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Elie Wiesel, pleureur en chef des malheurs juifs, prix Nobel de la paix pour laquelle il a tant fait

Voici deux phrases qui suffisent à décrire cet effrayant personnage:

Nobel Peace Prize winner Elie Wiesel criticized "anti-Semitism in Jewish leftist circles" in America and what he called their "desire to please the outside world." Speaking at the opening session of the American Israel Public Affairs Committee's annual policy conference, Wiesel said Jews should not use their Jewishness as an excuse to condemn Israel.
Jewish Telegraphic Agency, 19 mars 2001.

"Every Jew, somewhere in his being, should set apart a zone of hate -- healthy, virile hate -- for what the German personifies and for what persists in the German. To do otherwise would be a betrayal of the dead." Commentary

Elie Wiesel est un juif roumain qui a échappé à la féroce persécution nazie pendant la seconde guerre mondiale et gagne depuis énormément d'argent en pleurant en public et sur commande sur les malheurs du peuple juif. Depuis François Mauriac, le premier à s'être laissé abuser par son air affecté de victime, il a trompé des milliers de gens dans les milieux religieux juifs et non-juifs, adonnés au culte du malheur des juifs. Heureusement, il est également repoussé par beaucoup de gens, juifs ou non, qui voient en lui un imposteur pur et simple et refusent de marcher en l'encensant et en contribuant à son enrichissement sans cause.

Ses liens officiels avec Israël sont dénoncés par beaucoup de juifs, les plus notables d'entre eux étant, dernièrement, Finkelstein et Chamir. Vidal-Naquet, qui veut toujours se faire passer pour un combattant (à cause d'une pétition qu'il a fait circuler pendant la guerre d'Algérie, alors que d'autres y risquaient leur vie), le déteste et a dit: "...le rabbin Kahane, cet extrémiste juif, qui est moins dangereux qu'un homme comme Elie Wiesel, qui raconte n'importe quoi..." Il est critiqué également en Israël, où les fanatiques colonisateurs le trouvent trop mou!

Nous avons réuni quelques-uns des textes qui circulent regulièrement pour dénoncer son action. Ils émanent principalement de juifs mais les révisionnistes lui ont parfois aussi consacré du temps:

N. Finkelstein a consacré des pages impitoyables à Wiesel, dont il moque notamment les procédés littéraires. Lisez son introduction qui met d'emblée Wiesel au centre de l'affaire et ensuite le chapitre 2 dans notre traduction française. Ce personnage est pour lui un hypocrite, responsable de la sacralisation de lolocoste. Lors de la sortie du livre en Angleterre, en juillet 2000, se tenait à Oxford une conférence sur la chose sacrée, où Wiesel officiait comme grand-prêtre.

Daniel A. McGowan, Directeur du Souvenir de Deir Yassine, Geneva, NY, USA. (décembre 2000): il s'agit ici de mettre Wiesel en demeure d'avouer sa participation, au moins indirecte, aux massacres de Der Yassine, en 1948 (à l'époque Wiesel appartenait aux bandes terroristes qui étaient en train d'arracher la Palestine aux Palestiniens). Nous avons le texte anglais et la traduction française.

En janvier 2001, les propos extrémistes que Wiesel tient en faveur d'Israël lui attirent des protestations nombreuses:

Un texte d'Israël Chamir, en anglais, qui circule sur internet en février 2001, rappelle à Wiesel que seules quelques légendes juives rattachent les juifs actuels, un peuple d'Europe centrale, à la Bible et à la Palestine, et que le nom de Jérusalem ne figure pas une seule fois dans le livre sacré des juifs, la Thora. Nous avons l'original anglais et une traduction française.

Christopher Hitchens, publiciste anglais très connu aux Etats-Unis, a surenchéri au texte de Chamir, qu'il apprécie visiblement, tout en le trouvant "trop gentil". Nous l'avons en anglais et en français: il commence par traiter Wiesel de baudruche et de poseur.

Jay Shapiro, Open letter to Elie Wiesel, <http://www.arutzsheva.org> site de la droite israélienne, Broadcast Dec. 2000 (dans l'original anglais et en traduction française). Cet intéressant personnage reproche à Wiesel, qu'il considère comme "la conscience de l'Amérique et même du monde" (il ne dit pas très bien sur quel sondage il s'appuie; nous serions étonnés que les Equatoriens ou les Chinois connaissent le personnage ou que les Français ou les Italiens aient pour lui le moindre respect; ils préfèrent l'abbé Pierre, ces affreux antisémites...) d'être trop mou parce qu'il a refusé de comprendre qu'Arafat était et resterait toujours un terroriste, c'est-à-dire un type qui pense que la Palestine est aux Palestiniens. Il faut lire cet article, c'est un petit chef doeuvre d'arrogance et de prétention, directement sorti de l'univers parallèle où baignent ceux qui affirment que la Palestine est "une terre sans peuple pour un peuple sans terre".


Et du côté des thuriféraires du mensonge sacré, une professionnelle analyse comparativement la version yiddish originale et la traduction française de La Nuit, première apparition de l'auteur mentant:

Pour commencer, citons encore Vidal-Naquet: " Il se trouve que je déteste l'oeuvre d'Elie Wiesel, à la seule exception de ce livre." .. Et zut alors, voilà qu'il s'agit d'un autre faux témoignage. Le Ciel (des chrétiens, sans doute) est contre Vidal...

Naomi Seidman, un professeur d'études juives à l'Union théologique de Berkeley (Californie), a comparé une version en yiddish de La Nuit, publiée en 1956 sous le titre "Un di velt hot geshvign" ("And the World Kept Silent"), avec les versions française et anglaise.dans la revue Jewish Social Studies. Cet article, a suscité une controverse. Texte de décembre 1996. C'est un texte très important pour la compréhension des mentalités juives: l'auteur du livre accuse formellement Wiesel de mensonge... mais l'exonère de sa responsabilité: s'il a menti, c'est par gentillesse, pour faire plaisir aux... gentils chrétiens (et, plus particulierement, à Francois Mauriac) et leur permettre de se libérer de leur culpabilité historique dans la persécution des juifs. Comme quoi, c'est toujours la faute des autres. et pour finir, sachez que ce mensonge, par sa provenance, n'est pas un faux mais une "humanisation" de la personne de Wiesel... Ce qui n'est pas dit, et serait pourtant de première importance, est le moyen employé par Mauriac depuis 1956, et plus particulièrement depuis sa mort en 1970, pour pervertir Élie Wiesel et convertir ce parangon de vertu en ignoble chrétien "spiritualisé" et "élu de dieu". ...et si vous êtes pressé, l'AAARGH vous suggère de lire, en version francaise ou en version originale anglaise, un compte-rendu de l'article de Seidman: 'The rage That Elie Wiesel edited out of "Night" - One Scholar's Explosive Accusation', by E.J. Kessler:

Notre réaction à ces articles a suscité quatre ans plus tard une protestation indignée d'un théologien de lolocoste, dénommé Manseau, The Hazards of Holocaust Theology, qui nous explique que nous n'avons rien compris et qu'il est normal de publier un "témoignage" dont la teneur varie d'une langue à l'autre... Évidemment, là on ne prétend même plus qu'il pourrait s'agir d'histoire et tout ça est comparé à des histoires de prophètes et de révélations. Very funny.

 

R. Faurisson, Elie Wiesel, Un grand faux témoin, 1, par (article paru dans les Annales d'histoire révisionniste en 1986). id., Elie Wiesel, un grand faux témoin (suite), 1993. id., Elie Wiesel, un mensonge de plus: 1996

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