AAARGH
A l'heure où paraît le torchon dominical, le directeur d'Akribeia n'a pas reçu de citation à comparaître.
Il faut en conclure que le journaliste a son strapontin dans le bureau du juge (ou vice-versa) et qu'accessoirement il se fait des piges pour le Conseil représentatif des associations juives de France.
Bernard Fromentin apporte toutes les confirmations voulues à ceux qui affirment que les journalistes ne sont généralement que des flics qui ont raté leur entrée dans la police pour pure pleutrerie.
Accessoirement, on voit que le journaliste-flic est branché Internet. Ils le sont tous, et nous saisissons l'occasion de saluer ici ces fidèles lecteurs. Ils y sont bien obligés puisque ce n'est pas en lisant leurs torchons respectifs qu'ils apprendront ce qui se trame sur la planète révisionniste.
Enfin, nous aimons bien le coup du "danger pour la jeunesse". C'est un vieux truc vichyste qui marche encore. Séquence nostalgie...
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