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P. Rassinier, Ulysse trahi par les siens,

Notes du chapitre 2

1. Lagerkommandant.


2. Voir p. 22.


3. Werden


4. Grossteil


5

. Werden


6

. da.


7

.Souligné par l'auteur.


8. idem.


9. * Section IV B 4


10. S.D.


11. On se demande de quel secret il peut bien être question, les autorités nazies ayant clamé sur tous les toits dès septembre 1939 que les juifs seraient mis en camp de concentration et y travailleraient jusqu'à la fin de la guerre!

12. Miklos


13. D'après M. Michel Borwicz, dans une étude parue dans la Revue d'Histoire de la deuxième Guerre Mondiale, oct. 1956, p. 59. L'existence et le contenu de cette lettre ont été confirmées par M. Joseph Billig, dans le Figaro du 14 oct. 1960.


14. Voir les Mémoires d'un Français rebelle du commandant français Loustaunau Lacau.


15. Section IV B 4


16. Histoire de Joel Brand, p. 93, de l'écrivain juif A. Weisberg.


17. Souligné par l'auteur.


18. Heinrich Himmler (Lettre au Dr Kersten, 21 mars 1945).


19. 500 000 au lieu de 1500 000 : corrigé par l'auteur sur son exemplaire personnel.


20. cf. note précédente


21. Les points d'interrogation, que le Centre de documentation juive a laissé subsister dans cette statistique, expliquent que le total de la 31 colonne ne soit pas la différence des deux autres.


22

. Ces autres pays étaient classés en trois catégories:

1· Pays comptant entre 50.000 et 100.000 juifs : Lettonie, Grèce. Yougoslavie, Belgique, Italie, Turquie, Bulgarie, Algérie, Afrique du Sud. Tunisie, Égypte.

2· Pays comptant entre 10.000 et 50.000 juifs : Suisse, Brésil, Mexique, Uruguay, Perse, Syrie, Yemen, Inde, Afghanistan, Chine, Maroc Espagnol, Tripolitaine, Australie.

3· Pays comptant moins de 10.000 juifs : Dantzig, Suède, Danemark, Esthonie, Irlande, Espagne, Rhodes, Memel, Portugal, Norvège, Filande, Cuba, Chili, Japon, Singapour, Nouvelle-Zélande.

On remarquera que ni la Hongrie (404.000 dans la statistique du centre de documentation juive) ni la Tchécoslovaquie (315.000) ne sont citées, ni la Macédoine.


23

. Figurent dans les pays comptant entre 50 et 100.000 juifs, comptés à une moyenne de 70.000.


24. Figurent dans les pays comptant moins de 10.000 juifs.


25. 2.500.000 a dit l'American Jewish Committee, le 31 déc. 1951 et c'est aussi l'opinion du Rabin Joseph Miller dans la revue U.S. «Look» du 27 décembre 1956. Le Centre de documentation juive qui n'en a trouvé que 600.000 (étant donné le secret des statistiques soviétiques, on se demande d'ailleurs comment) n'a pas tenu compte du fait qu'au moment de l'annexion de la Bessarabie, de la Bukovine et des États Baltes, les juifs de ces pays tombèrent sous le contrôle russe, qu'au moment de l'avance des troupes allemandes en Pologne, la plupart s'enfuirent du côté russe et que, pendant la campagne de Russie, «grâce à l'évacuation, dit le journaliste juif David Bergelson, dans le journal moscovite l'Unité du 5-12-1942, la majorité des juifs d'Ukraine, de Russie blanche, de Lithuanie et de Lettonie (80 %) a été évacuée avant l'arrivée des Allemands, c'est-à-dire sauvée... Il y eut un moment, dit encore David Bergelson où en pleine ne guerre, la population juive atteignit les 5 millions en Russie... Ils ne sont pas encore tous rentrés dans leurs pays d'origine. Beaucoup sont partis en Asie Centrale, a déclaré le Joint Distribution Committee en juin 1942, d'autres ont réussi à gagner les États-Unis d'Amérique latine, Israël, etc. Depuis la fin de la guerre la Russie ne les laisse quitter les territoires sous son contrôle que clandestinement : on apprend de temps à autre que des convois de quelques centaines ou de quelques dizaines réintègrent la Pologne, la Roumanie, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, etc. De toutes façons, il n'y a pas de raisons de suspecter les chiffres antérieurement donnés par les juifs eux-mêmes.


26. Une institutrice allemande qui avait fait état de mon livre et de ma tournée de conférences dans une réunion pédagogique, ayant eu quelques «ennuis», s'est adressée au Pr Freiherr de Richtoffen pour lui demander ce qu'il pensait des chiffres que je citais d'après le Pr Listojwski. Elle en a reçu la réponse suivante: «Le nombre donné par M. Listojewski des juifs exterminés (il s'agissait de 600.000 N. D. l'auteur) est sûrement trop bas, bien qu'il l'ait, sans aucun doute, avancé de très bonne foi.. Il y a sur la responsabilité allemande « un document de Himmler qui n'est ni douteux, ni falsifié et qui fait état de 3.500.000! Mais si 6.000.000 n'ont sûrement pas été atteints, le chiffre de 4.100.000 peut être retenu. C'est l'opinion du patriote et très sérieux Archiviste d'État de Gottingen. le Dr Hans Günther Seraphin, dont le point de vue sur l'anéantissement des juifs figure dans le «Grand Brokhaus», source à laquelle je vous conseille de vous reporter. »

Cette lettre prouve que, dans l'Université allemande, il y a déjà des gens qui pensent que le chiffre de 6 millions est faux et c'est un résultat encourageant.


27. 17.800.000, non 18.700.000 : erreur typographique corrigée par l'auteur sur son exemplaire.


28. Au passage, on notera l'euphémisme «atteints par la solution définitive», et non «exterminés».


29. Dans ce rapport, il est dit, trois pages avant, que « Le bureau statistique du Reich indiquait pour 1937, le chiffre de 17 millions pour la population juive totale du monde » : Un quart, cela donne 4.250.000 et si ce quart représente la moitié de la perte du judaïsme européen, cette perte peut être à son tour évaluée à 8.500-000. Or, Korherr ne parle que de 4 millions 1/2. D'autre part, la perte évaluée à 8.500.000 et définie comme étant « la moitié des effectifs du judaïsme européen », cela signifierait qu'il y avait 17 millions de Juifs en Europe en 1937. D'où il appert, ou que le rapport a été rédigé par un fou, ou qu'il y a là un visible tripatouillage de texte.


30. C'est moi qui souligne : européens seulement. P.R.


31. J.-M. Guyau : corrigé par l'auteur sur son exemplaire.


32. Michel Duran, Le Canard enchaîné du 27-1-1960.