Depuis un demi-siècle, les autorités françaises affirment que, le 10 juin 1944, les Waffen-SS de la division Das Reich ont commis un crime de guerre monstrueux à Oradour-sur-Glane, massacrant toute la population du village (y compris les femmes et les enfants, brûlés vifs dans l'église) avant d'incendier les maisons et les édifices publics. Ce crime, prétend-on, est d'autant plus odieux qu'Oradour était une bourgade parfaitement tranquille, abritant une population paisible.
Au terme de sept ans d'enquête, après avoir dépouillé des dizaines de liasses dans les archives, découvert des documents inédits, inconnus ou cachés, après avoir interrogé de multiples témoins, examiné plusieurs dizaines de clichés d'époque, s'être entretenus avec des experts, des pompiers, Vincent Reynouard et son équipe déclarent que la version officielle du massacre d'Oradour-sur-Glane est mensongère.
Dans Le massacre d'Oradour: un demi-siècle de mise en scène, vous découvrirez que, pendant la guerre, Oradour ne fut pas cette paisible bourgade que l'on décrit aujourd'hui dans les livres officiels. Elle abritait en vérité un réseau structuré de Résistance auquel participaient non seulement des autochtones mais aussi des réfugiés espagnols.
Vous apprendrez alors les raisons qui motivèrent la venue des SS dans le village le 10 juin 1944; vous lirez le but véritable de leur mission: tenter de délivrer un gradé allemand capturé la veille dans la région par les maquisards de Jean Canou et que les SS pensaient être retenu dans le village; vous comprendrez que ceux-ci ne désiraient nullement exterminer la population des lieux (les femmes et les enfants furent mis dans l'église non pour être exterminés mais pour êtres mis en sécurité pendant les perquisitions domiciliaires); vous découvrirez les événements imprévus (non imputables aux SS) qui entraînèrent la mort atroce des hommes, des femmes et des enfants.
Vous trouverez les arguments qui démontrent que l'église du village n'a pas été incendiée par les SS, que l'"unique" femme survivante n'a pas dit la vérité lorsqu'elle a témoigné et vous apprendrez les causes réelles de la mort des femmes et des enfants dans le sanctuaire (une gigantesque explosion provoquée par des stocks d'explosifs qui avaient été cachés par les maquisards dans le lieu saint).
Vous découvrirez comment, de 1944 à 1953, les autorités ont mené l'instruction puis le procès des SS accusés du crime afin d'éviter que la vérité ne surgisse.
Enfin, vous apprendrez pourquoi le drame du 10 juin 1944 ne saurait être utilisé pour condamner la Waffen-SS et, plus généralement, l'Allemagne, tant il est vrai que, de leur côté, les vainqueurs ont commis des crimes terribles (bombardements aériens traditionnels et atomiques, viols des femmes dans les territoires germaniques etc.).
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