* Note de l'AAARGH: Rassinier commet une double erreur: ce n'est pas Broszat qui le dit mais Krausnick, le 18 et non le 26 février 1964; dans le même article, le journaliste déclare qu'« Auschwitz [...] est le symbole de le mort de centaines de milliers de juifs » (Auschwitz wird eines der größten Vernichtunglager, symbol des Todes für Hunderttausende von Juden). C'est dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 29 février qu'est rapporté le témoignage de Broszat, qui concerne le traitement des Polonais par les nazis et ne dit rien d'Auschwitz. Nous avons l'article du 18 février 1964.
** Note de l'AAARGH: Rassinier commet la même erreur. Il s'agit, en réalité, des déclarations de Krausnick, le 18 février 1964.
1. Frankfurter AlIgemeine Zeitung (27 février 1964) et Figaro (29 février 1964) .
3. Cité par
M. Paul Rassinier (Le drame des Juifs européens,
introduction)(texte intégral
sur le site de l'AAARGH).
4. Je sais aujourd'hui,
pour l'avoir lu au point 2 de votre lettre que vous n'avez jamais
reçu cet exemplaire .
* Note de l'AAARGH : il s'agit bien sûr du Mensonge d'Ulysse, présent intégralement sur le site de l'AAARGH.
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Note de l'AAARGH: Pascal (1623-1662) avait deux souers, Jacqueline,
religieuse, et Guillemette Périer; Mme Périer et
sa fille Marguerite ont écrit chacune une vie de leur parent.
Celle de Marguerite Périer (Mémoire sur la vie
de Pascal) rapporte un événement de l'enfance
de Pascal qui nous intéresse particulièrement, à
savoir l'envoûtement de Pascal, alors âgé d'un
an, par une sorcière; il ne fut sauvé, raconte sa
nièce, que par une exorcisation effectuée non par
un exorciste ecclésiastique mais par la sorcière
elle-même, qui accepte de transférer le sort sur
deux chats. L'anecdote est très révélatrice
d'un état d'esprit que les révisionnistes connaissent
bien, celui de l'abandon de la raison pour le fantasme sous la
pression de circonstances extraordinaires. Les parents de Pascal,
en effet, sont loin dÕêtre des ignorants ou des sots.
Il s'agit d'une famille de magistrats de province, profondément
catholiques et de formation universitaire; c'est ce même
milieu qui rejette, à la suite du Parlement de Paris, et
exactement à la même époque, le principe même
du procès de sorcellerie qui avait été l'une
des réponses politiques à la crise générale
(mentale, religieuse et politique) qui avait secoué l'Europe,
et particulièrement la France, du XIV' au XVIe siècle.
Or, devant la maladie bien réelle de leur enfant qui est
en langueur ou en convulsions pendant plus d'un an (les médecins
actuels que cette maladie, appelée « tomber
en chartre » à l'époque, est une atrophie
mésentérique, maladie sans gravité ni fièvre,
qui disparaît spontanément au bout de quelque temps),
les parents perdent tout contrôle et croient n'importe quoi.
Une fois le danger écarté, ils se resaisissent et
admettent avoir eu une conduite absurde. On est tenté,
très tenté, d'attribuer la croyance que les révisionnistes
sont des monstres nazis et sanguinaires, pour ne pas dire d'extrême-droite,
à l'affolement entretenu dans l'esprit des hommes de bonne
volonté par les photos de malades du typhus que l'on fait
passer pour des juifs en partance pour les chambres à gaz.
Il suffit sans doute de faire disparaître l'affolement,
c'est-à-dire d'amener les sujets pensants à lire
la légende des photos, pour qu'aussitôt ils aient
honte d'avoir cru au boniment.
5. Cette ligne de
points figure sur le manuscrit original. (N.D.L.V.T.)