AAARGH
Un des plus proéminents témoignage qui a été
utilisé pour justifier l'histoire de l'Holocauste est celui
de l'espion et propagandiste de la deuxième guerre mondiale
Jan Karski. L'ancien messager de la résistance polonaise,
né Jan Kozielewski, écrivit un rapport sur son expérience
au sein de la Pologne occupée, Histoire d'un Etat Secret
(Story of a Secret State) qui fut un best-seller aux Etats-Unis
il y a quarante ans. Le plus récent coup d'éclat
de Karski fut son apparition dans le film Shoah (pour lequel
il reçut beaucoup d'éloges en dépit de ses
opinions fortement anti-polonaises affichées) dans lequel
sa description de l'agonie du ghetto de Varsovie lui gagna des
louanges supplémentaires pour son rôle de "Juste".
On sait depuis longtemps dans les milieux académiques à
tendances révisionnistes que le récit de Karski
concernant sa prétendue visite dans un camp pour juifs
situé près de Belzec lui a perdu depuis longtemps
la faveur des principaux propagandistes exterminationnistes. Comme
Arthur Butz l'a mentionné, "une nouvelle version aseptisée
de son histoire" est apparue dans l'ouvrage de Walter Laqueur
Le Terrifiant Secret (1). Laqueur ressentit la nécessité
d'expliquer l'incapacité de Karski à voir des chambres
à gaz en disant que "apparemment...celles-ci étaient
cachées derriéres des barrières et ne pouvaient
être approchées qu'avec un permis spécial"
(2). Karski ne s'est pas fait poser de questions sur sa visite
à Belzec lors de son interview avec Claude Lanzmann (Shoah),
et plus récemment Raul Hilberg a émis des doutes
quand à la visite de Karski à Belzec. "Je ne
mettrais pas son nom comme référence dans l'un de
mes livres", déclara-t-il. (3) Comme le chercheur
révisionniste Mark Weber l'a écrit plus tard, l'affirmation
de Karski selon laquelle les juifs étaient à Belzec
mis dans des trains et réexpédiés hors de
ce camp est plus consistante avec le point de vue révisionniste
qui considére ce camp comme un camp de transit pour les
juifs déportés vers l'est plutôt qu'un camp
d'extermination. (4) Il n'y a pas si longtemps une traduction
d'un rapport secret écrit avant ces événements
et soumis par Jan Karski au gouvernement polonais en exil est
apparu dans un journal juif de New-York (5). Dans ce rapport,
intitulé Zagadnienie Zydowskie w kraju (Le probléme
juif dans notre pays), Karski fournissait des informations sur
les juifs et Polonais vivant sous l'occupation nazie et soviétique,
mais aussi sur sa propension à trafiquer les faits lorsque
nécessaire quand celui-ci désirait s'en servir comme
arme de propagande. Le rapport de Karski, qui porte une mention
manuscrite "à être utilisé", fut
soummis au Gouvernement polonais en exil, alors basé à
Angers, France (février 1940). Karski revenait juste de
Pologne, où il fut gardé prisonnier par les envahisseurs
russes, retourné aux Allemands, avant de s'évader
pour rejoindre la résistance polonaise à l'automne
1939. Selon l'introduction de son rapport, qu'il composa lors
de son arrivée à Angers, il ne fit pas une étude
particuliére de la situation des juifs alors qu'il se trouvait
dans sa patrie. (6) Néanmoins, Karski fit quelques observations
prudentes. Aprés avoir décrit la situation des juifs
dans les territoires annexés par les Allemands en 1939
et dans le Gouvernement Général, Karski décrivit
le rôle des juifs dans la partie orientale (devenue soviétique)
en 1939 de cette façon: "Il n'y a pas de distinctions
faites ici entre les groupes ethniques et religieux. Tous peuvent
trouver une possibilité de travailler et un statut égal
devant la loi. Les juifs sont chez eux ici, pas seulement parce
qu'ils ne subissent pas les persécutions, mais aussi parce
qu'ils possédent, grâce à leur habilité
à s'adapter à toutes les nouvelles situations, un
pouvoir de nature économique et politique. Ils ont infiltré
la vie politique; dans bien des cas, ils ont pris les postes clef
dans ce domaine. Ils jouent un rôle déterminant dans
les syndicats d'usines, aux hautes études, et pratiquement
dans tout le commerce. Mais en plus de cela ils sont impliqués
dans les prêts usuraires et le marché noir, la contrebande,
le trafic de devises, l'alcool, la spéculation et d'autres
inéréts immoraux. Sur ces territoires dans la majorité
des cas leur situation est meilleure économiquement et
politiquement que ce qu'elle était avant la guerre. Celà
s'applique premièrement à la classe des petits commerçants,
les prolétaires et les personnes semi-éduquées.
Les milieux plus éduqués (propriétaires d'hôtels,
de terres, d'usines, de magasins, aussi bien que les avocats,
médecins, ingénieurs, etc...) sont sujets en principe
aux mémes restrictions en tant que groupe, comme le sont
les autres nationalités à l'intérieur du
système soviétique."Karski en arriva à
écrire au sujet de l'attitude des Polonais envers les juifs
dans la zone d'occupation russe: "L'attitude des juifs à
l'endroit des bolchéviques est regardée parmi la
population polonaise comme très positive. Il est généralement
considéré que les juifs ont trahi la Pologne et
les Polonais, qu'ils sont en général communistes,
qu'ils ont accueilli les envahisseurs avec des drapeaux déployés.
Dans les faits, dans la plupart des villes les juifs ont accueilli
les bolchéviques avec des roses, des déclarations
conciliantes et des discours chaleureux, etc... Cependant, nous
devons ici mentionner qu'il y a des distinctions à faire.
Il est certain que les juifs ont adopté cette attitude
quel que soit leur rang social. Les juifs prolétaires,
les petits commercants, les artisans et tous ceux dont la position
s'est grandement améliorée par rapport aux vexations
et excés de l'ancien régime ont eu cet élan
d'enthousiasme. Leur attitude semble compréhensible. Cependant,
il y a des cas peu reluisants ou des juifs dénoncent les
Polonais, les étudiants nationalistes polonais et les politiciens
polonais lorsque ceux-ci dirigent le travail de la police bolchévique
derrière leurs bureaux ou sont membres de la police politique.
Il y a clairement des tentatives de diffamation par association
avec l'ancien régime. Malheureusement il est nécessaire
de dire que de tels incidents sont communs, plus fréquents
que les cas ou réellement il y a loyauté envers
les Polonais ou la Pologne." Aprés avoir exprimé
sa sympathie pour les juifs les mieux éduqués, Karski
concluait à propos du sentiment des Polonais envers ceux-ci:
"En principe, cependant, dans la majorité des cas
les juifs ont créé ici une situation où les
Polonais les regardent comme des agents bolchéviques et,
nous pouvons le dire, attendent le moment propice pour prendre
leur revanche contre eux. Pratiquement tous les Polonais sont
enragés et désappointés à propos des
juifs: les jeunes particuliérement parlent de leur faire
payer dans le sang cette trahison". Karski consacre le reste
de son rapport sur le problème juif en Pologne occupée
aux mesures anti-juives (nullement contestées par les révisionnistes)
des nazis qui réussirent à gagner le respect et
la sympathie d'un nombre considérable de Polonais. Après
avoir affirmé que le but des mesures allemandes vis-à-vis
des juifs en Pologne étaient le pillage et les persécutions,
Karski résume la situation ainsi: "Il doit être
admis qu'ils réussisent à merveille dans ce cas.
Les juifs payent et payent..., et les paysans polonais, les ouvriers,
les gens peu éduqués affirment: maintenant ils leur
donnent enfin une leçon. Nous devrions apprendre d'eux.
Les juifs sont foutus. Quoi qu'il advienne, nous devons remercier
Dieu que les Allemands soient venus et aient pris en charge le
probléme juif, etc. Je dois le dire et en prendre la responsabilité,
ces mesures sont un instrument puissant entre les mains des Allemands.
Il serait erroné de penser que ces seules mesures pourraient
leur accorder le soutien de la population. Cependant, méme
si les gens les détestent, cette question crée un
fragile pont pour lequel les occupants et la nation polonaise
se trouvent des points d'intérêt communs. Il est
certain que les Allemands désirent renforcer ce pont. Cette
situation risque de démoraliser de larges segments de la
population, et cela peut créer de sérieux problèmes
aux autorités qui auront à reconstruire l'Etat polonais.
C'est difficile; la leçon n'est pas perdue. De plus, la
présente situation crée un schisme entre les habitants
de ce territoire, premièrement un schisme entre les juifs
et les Polonais contre un ennemi commun, deuxiémement parmi
les Polonais entre ceux qui méprisent les méthodes
barbares des Allemands et ceux qui regardent ceux-ci avec curiosité
et fascination.
Karski et ses supérieurs ne pouvaient pas cependant laisser
les choses dans cet état. Peut-être pour éviter
d'offenser les officiels britanniques et français qui pouvaient
lire le rapport, mais plus probablement parce qu'il fallait utiliser
celui-ci afin de garder l'appui des libéraux de l'ouest
et des juifs de ces pays, Karski prépara une autre version
de son rapport ou des passages furent modifiés ou ajoutés.
Les nouveaux paragraphes représentaient les Polonais comme
sympathiques aux juifs face à leurs malheurs, et décrivaient
les efforts des Allemands pour les gagner à leur cause
comme infructueux. Le passage suivant est une réécriture
du passage mentionné plus haut et montre ce que Karski
et le Gouvernement polonais en exil ont imaginé pour rendre
plus respectable la situation aux yeux des ennemis de Hitler à
l'Ouest. Il décrit l'attitude des Polonais ainsi: "il
est nécessaire d'admettre qu'ils ne réussisent que
trés partiellement dans cet effort, alors que dans la majorité
des cas ils provoquent un effet contraire à leurs attentes.
Les juifs payent et payent..., mais la population polonaise de
plus en plus fréquemment dit tout haut: 'C'est déjà
trop. Ces Allemands ne sont pas humains. Ces crimes devront étre
payés un jour ou l'autre par les Allemands. La solution
du probléme juif par les Allemands est supposée
être utilisée pour se gagner la faveur des couches
de la population polonaise. Certainement, ce serais une erreur
de supposer qu'ils s'attendent à ce que cette donnée
seule puisse leur gagner le soutien du peuple. Ils savent que
le peuple polonais les déteste royalement, mais en méme
temps ils pensent que ces mesures vont créer un pont fragile
entre eux et certains Polonais. Ils savent de surcroît,
et ils s'attendent à cela, que leurs méthodes à
l'endroit des juifs menacent de démoraliser de larges segments
de la population et cela nuira à la reconstruction de l'Etat
polonais. Ils pensent aussi que la situation présente créera
un schisme parmi les gens vivant sur ce territoire, premièrement
un schisme entre juifs et Polonais dans leur combat contre un
ennemi commun, et, deuxièmement, un schisme entre les Polonais,
un groupe indigné par leurs méthodes barbares (conscients
du danger de celles-ci) et l'autre regardant ces méthodes
avec fascination et curiosité. En ce moment il est difficile
de dire jusqu'à quel point les Allemands comprennent que
ce groupe est petit et va même avec le temps se rapetisser."
Le rapport Karski, intéressant en lui-méme à
cause de sa description des activités pro-soviétiques
de plusieurs juifs dans la partie orientale de la Pologne, fournit
d'avantage de preuves sur la propension de Karski à mentir
dans un but propagandiste. En effet, le rôle de Karski en
tant que propagandiste en charge de la diffusion des récits
les plus horribles sur les atrocités allemandes parmis
les représentants des médias britanniques et américains
était encore plus important encore que son rôle de
messager aux yeux de ses supérieurs du Gouvernement polonais
en exil, en quête d'alliances et de soutien (financier ou
autre). Comme son successeur Jan Nowak écrivait: La route
me fut ouverte par mon prédécesseur Jan Karski.
Doté d'une grande clairvoyance politique, extrêmement
imaginatif, et parlant un excellent anglais, Karski fit un excellent
travail d'activiste politique et de propagandiste des deux côtés
de l'Atlantique. Il a parlé avec Churchill, Roosevelt,
et un grand nombre de politiciens influents et des journalistes
britanniques et américains. Son livre The Story of a
Secret State fut un succès aux USA. "J'espère",
déclara le ministre de l'intérieur Mikolajczyk ,
"que vous allez devenir un autre Karski". (note 7).
A travers son activité maintenant de "témoin
occulaire" de l'Holocauste, et sa défense du film
anti-polonais de Claude Lanzman Shoah, le prétendu
"Juste" Jan Karski semble avoir repris son rôle
de propagandiste pour des intéréts différents.
Notes
1. Arthur Butz, "Perspective in the 'Holocaust' Controversy,"
JHR, Vol. 3, no. 4 (Winter 1982), p. 388. Reprinted in Butz, The
Hoax of the Twentieth Century, IHR, 1985, p. 352.
2. Walter Laqueur, The Terrible Secret, New York: Penguin,
1982, p. 231.
3. Interview by Emie Meyer, Jerusalem Post, week ending
June 28, 1986, p.9.
4. "An Open Letter to Rev. Mark Herbener," Christian
News, April 27, 1987, p. 1.
5. David Engel, "An Early Account of Polish Jewry under Nazi
and Soviet Occupation Presented to the Polish Govemment-in-Exile,
February 1940, Jewish Social Studies, Vol. XLV, no. 1 (Winter
1983), p. 1.
6. Toutes les citations du rapport Karski sont prises de la traduction
de l'article de Engel. Des fragments d'une traduction légèrement
différente du rapport Karski apparurent plus tard dans
une lettre de l'historien britannique Norman Davies, qui fut publiée
dans The New York Review of Books, April 9, 1987 ("Poles
and Jews: An Exchange")
7. Jan Nowak, Courier from Warsaw, Detroit: Wayne State
University, 1982, p.234.
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Traduit par Jean-Francois Beaulieu, article paru dans The Journal
of Historical Review, available from: Institute for Historical
Review, P.O. Box 2739, Newport Beach, California 92659, USA. Publié
sur le web le 16 mai 1998 par CODOH, Box 439016/P-111 San Diego,
CA 92143, USA. Email: [email protected] Nous avons procédé
à des corrections mineures.
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The United States Holocaust Memorial Museum knowingly exploits
a known fraud to propagate the "genocide" theory. Few
alleged eyewitnesses to the Nazi "extermination" camps
have been as influential, and as honored, as Jan Karski. Karski,
who worked as a spy and courier in the Polish underground in World
War II, personally briefed such American leaders as Supreme Court
Justice Felix Frankfurter about what he saw undercover at Belzec,
where hundreds of thousands of Jews are said to have been exterminated.
But two recent biographers of Karski - -with Karski's assent --
have written that this renowned "eyewitness" made his
observations about mass-murder at Belzec -- not at Belzec, but
rather in Izbica Lubelska, a town forty miles distant from Belzec
that has never figured as a death camp.
Revisionists who challenge the canonical history of the Holocaust
are often confronted by its defenders with the argument that the
seemingly overwhelming number of witnesses and testimonies is
proof of the gas chambers. The response of the very much under-whelmed
revisionists has been to examine the testimony of these witnesses
one by one, starting with the most believable that supporters
of the gas chamber theory have to offer. If there were ever a
star witness to the Holocaust, it would seem to be Jan Karski,
and, as a matter of fact, for fifty years it has been Jan Karski.
Born Jan Kozie-lewski in Russian ruled Poland in 1914, Karski
has had a distinguished career as a soldier and as a diplomat
in the Polish service, and as a professor at Georgetown University
after the war. He undertook several perilous missions for the
Polish government-in-exile in German-occupied Poland, was captured,
tortured, and made a daring escape. Though not Jewish himself,
Karski has worked to publicize the orthodox Holocaust story using
his authority as an undercover "eyewitness" to alleged
Nazi crimes at Belzec, in the Warsaw ghetto, and elsewhere for
more than fifty years.
In 1943 he briefed President Franklin Roosevelt and Supreme Court
Justice Felix Frankfurter in person on what he claimed to have
seen with his own eyes. Shortly afterward, he wrote a book on
his wartime missions, including his supposed visit to Belzec:
The Story of a Secret State (Boston: Houghton Mifflin,
1944). It sold over 400,000 copies in the U.S. In 1982 Karski
was named a "righteous Gentile" by Yad Vashem, Israel's
agency for commemorating the Holocaust. Three years later, he
was featured in French director Claude Lanzmann's nine-hour Holocaust
film opus Shoah (in which Karski staged a dramatic, emotional
exit from Lanzmann's interview--but said nothing about his earlier
claim to have visited the "extermination camp" at Belzec).
In 1991, Karski was awarded the Eisenhower Liberation Medal by
the U.S. Holocaust Memorial Council. On May 12, 1994 he was made
an honorary citizen of Israel. Although in his mid-eighties, Karski
has continued to speak out on his Holocaust witnessing under the
auspices of both the U.S. Holocaust Memorial Museum and the Anti-Defamation
League. Former USHMM official Michael Berenbaum has extravagantly
summed up his hero's significance:
Jan Karski has redeemed the image of humanity precisely at the
moment when by his very being, by his heroic deeds, he indicts
the image of humanity. (Karski, p. 257)
For over half a century, the centerpiece of Karski's Holocaust
witness and warning to the world has been his alleged infiltration
of the German camp at Belzec, Poland in 1942. In his book
Story of a Secret State, Karski was very specific
about the location of the Nazi "death camp" he claims
to have entered, disguised as a guard:
A few days after my second visit to the Warsaw ghetto, the [Jewish
Labor] Bund leader was to arrange an opportunity for me to see
the Jewish death camp. The camp was located near the town of Belzec
about one hundred miles east of Warsaw and was well known all
over Poland from the tales of horror that were circulated about
it. The common report was that every Jew who reached it, without
exception, was doomed to death. The Bund leader had never been
in it but had the most detailed information in [sic] its operations.
(P. 339)
We arrived in Belzec shortly after midday and went directly to
the place where the Estonian was supposed to be waiting to give
me his uniform. It was a little grocery store that had belonged
to a Jew (p.340). The camp was about a mile and a half from the
store (p. 341). It was on a large, flat plain and occupied about
a square mile. (P. 344)
That's what Jan Karski wrote, and it is what the operatives of
the US Holocaust Museum have publicly endorsed so that the public
would continue to swallow it. Yet a recent, laudatory biography,
Karski: How One Man Tried to Stop the Holocaust (New
York: John Wiley & Sons, 1994) by E. Thomas Wood and Stanislaw
Jankowski, contradicts Karski's 1944 published account of a visit
to the Belzec camp in 1942. The authors assure us that they had
Karski's full cooperation: "Not only did Professor Karski
open his personal archive to us, endure many full days of questioning,
and pain-stakingly review the manuscript for accuracy...."
(p. xv). Here is their verdict on Karski's claim to have visited
the "death camp":
The village Jan reached was not Belzec, nor did Jan think it was
while he was there. When he first spoke of this mission after
reaching London three months later, he described the site as a
"sorting point" located about fifty kilometers from
the city of Belzec although in the same statement he referred
to the camp's location as "the outskirts of Belzec."
(The actual Belzec death camp was in the town of Belzec, within
a few hundred feet of the train station.) In an August 1943 report,
Karski at first placed the camp ten miles, then twelve kilometers
outside of Belzec. By the time he began retelling his story publicly
in 1944, the town he had reached had become Belzec itself. (P.
128)
Thus the authority of another self-proclaimed eyewitness to the
"extermination camps," and one of the mere handful to
have witnessed Belzec, is revealed as bankrupt. The horrors Karski
told the world he witnessed at Belzec -- mass shootings of Jews,
and the cramming of thousands of them into boxcars lined with
quicklime, after which they were sent off eighty miles to die
agonizing deaths in the sealed cars ("My informants had minutely
described the whole journey," says Karski in Secret State,
p. 350) -- turn out to be the fantasies of a professional propagandist,
one shamelessly exploited by the U. S. Holocaust Museum.
For some time, not only revisionist scholars but also certain
academic defenders of the Holocaust story have cast doubt on Karski's
Belzec testimony. Thus Raul Hilberg, author of the standard
The Destruction of European Jews, said of Karski,
"I would not put him in a footnote in my book." (interview
with Ernie Meyer, Jerusalem Post, week ending June 28,
1986, p. 9). That was 13 years ago -- but the Holocaust Museum,
intent on silencing revisionists with the "truth," still
uses him. The embarrassing attempts of Karski's biographers to
transfer the alleged atrocities Karski claimed to have seen at
Belzec to an obscure "sorting point" at Izbica Lubelska
only serve to confirm Hilberg's comment.
More than one scholar who has examined Karski's activities on
behalf of the Polish government in exile during the Second World
War has noted his flexibility with the truth in the service of
his government's propaganda. Thus David Engel has noted how Karski
helped re-write findings he had made on Polish-Jewish tensions
in Soviet occupied eastern Poland.
Engels notes that Karski originally found that the Poles resented
the Jews, many of whom had sided with the Soviets, and thus Poles
were vulnerable to Nazi anti-Semitic propaganda. Yet the Polish
government-in -exile's published report represented the Poles
as deeply sympathetic to the Jews and repelled by the Nazi's treatment
of Jews. (David Engel, "An Early Account of Polish Jewry
under Nazi and Soviet Occupation Presented to the Polish Government
in Exile, February 1940," Jewish Social Studies, Vol.
XLV, no. 1, Winter 1983).
Whatever Karski's purposes were during the Second World War, it
is now admitted by him and his biographers that he was lying about
having slipped into Belzec and observed the alleged extermination
of Polish Jewry. Yet the admission that Karski is a liar and a
libeler comes matter-of-factly in the biography, and has caused
no noticeable stir in the Holocaust industry. Karski continues
to be trotted out on behalf of the U.S. Holocaust Memorial Museum,
the ADL, and other groups not only as an eyewitness who "proves"
the standard story, but as a great moral authority.
Meanwhile, revisionist scholars and researchers such as Robert
Faurisson, David Irving, Wilhelm Staeglich, Fred Leuchter, and
many more, who have risked careers, personal freedom, and life
and limb in pursuit of the facts on the Holocaust, face continued
slander from the academy and media. It's time the bemedalled gossip-monger
and phony, Jan Karski (and more importantly, those institutions
that exploit the old fraud), be held to a rigorous standard of
accuracy, morality, and truth on what he saw -- or didn't see
-- at Belzec, or wherever he and his backers claim Karski was.
The Revisionist, A Journal of Independent Thought, No 1. Publié
par le CODOH. Installé sur le Net: 10/09/99. Reproduit
d'après le site Codoh.
+++++++++++++++++++++++++++++
The words of the Kaddish rang out in Washington, DC's Roman Catholic
Cathedral of St. Matthew this morning, and presidents of two nations
paid tribute to an honorary citizen of a third, at the funeral
of Jan Karski. The event brought together Christians and Jews,
Americans, Poles and Israelis -- in tribute to a Roman Catholic
Pole who risked his life to aid Jews, who took American citizenship
after World War II, and who was granted honorary Israeli citizenship
in 1994.
Nine priests took part in the Mass of Christian Burial, including
Georgetown University President Leo J. O'Donovan, S.J., who delivered
the homily in honor of Karski, a longtime Georgetown professor.
Michael Berenbaum, former director of Steven Spielberg's Survivors
of the Shoah Foundation, said the Kaddish.
From Camp David, U.S. President Bill Clinton sent a letter that
read in part as follows: "Jan Karski was brave; he was resolute;
and he demanded of us what he demanded of himself: that we face
with clarity the existence of injustice and evil in the world
and act with courage to defeat them."
Polish President Aleksandr Kwasniewski also sent a message of
tribute that was read at the funeral.
Guests at the ceremony included former Warsaw Ghetto fighter Marek
Edelman (sent from Warsaw as Kwasniewski's representative), the
heads of several national Jewish and Polish organizations, and
numerous U.S. national-security and diplomatic personalities,
such as former Secretary of State Alexander Haig.
--Tom Wood <[email protected]>
Date: Wed, 19 Jul 2000 10:20:26 -0500 H-NET List for History of
the Holocaust
+++++++++++++++++
Jan Karski was a shining star, who in his quest for justice and
truth maintained throughout his life that nobody did enough to
save the Jews, neither the Poles nor the Americans. The death
of this great and humble man is a great loss to our civilization.-Wlodzimierz
Rozenbaum
++++++++++++++++++++++++++
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inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
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frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.