AAARGH
It's time we Jews had an honest discussion of the Holocaust.
Toronto journalist Marshall Shapiro to Barry Shamish (Patriot Letter, 6 mai 2004)
Nous ne sommes désormais pas très loin du désastre (à Baghdad).
Lawrence d'Arabie, Sunday Times, 2 août 1920.
Avril
*Nous mettons en ligne un livre à la fois rare et très important. Un juif russe, émigré en 1947 en Palestine, Sabbatai Beit Zvi, a passé près de vingt ans à analyser le comportement du mouvement sioniste à l'égard des juifs pris dans la tourmente nazie, le fameux Zolocauste, auquel il croit dur comme fer. Il a découvert l'horrible réalité: les sionistes se fichaient pas mal des juifs européens et ne s'occupaient que de ceux qui étaient susceptibles de partir en Palestine pour "construire" l'Etat juif. Les autres pouvaient bien crever. On comprendra qu'un tel livre, sorti en 1977 en hébreu, n'a guère trouvé les moyens de sa diffusion. Nous l'avons identifié, trouvé en traduction anglaise, numérisé et mis en ligne: Post Ugandan Zionism on Trial. Le titre original hébreu disait: le sionisme dans le creuset, ou l'athanor, de l'Holocauste. Un grand coup de massue sur le sionisme. Voir, donc, la page “livres”.
*Également mis en ligne ce mois-ci: les réponses des révisionnistes (en anglais) au livre de Pressac sur les crématoires et deux autres "poids lourds": le texte anglais de Finkelstein sur l'Industrie de l'Holocauste et le gros livre d'Udo Walendy, Wahrheit für Deutschland, qui est une analyse des causes de la seconde guerre mondiale, qui cherche à être objective et dégagée des propagandes de guerre à la Nuremberg. Dans le même esprit, nous avons récupéré une excellente brochure qui circule en Allemagne, La Vérité interdite, très bonne introduction aux études que nous poursuivons.
*Nous ajoutons la version espagnole du texte de Genet sur Chatila, et un compte rendu des boucheries de civils pratiqués à Baghdad par les bandes d'analphabètes paniqués qui s'agitent sous l'uniforme américain. Le mot "soldatesque" n'a pas de meilleure illustration. Voir la page "livres".
Mai
* Nous avons l'honneur et le plaisir de pouvoir mettre en ligne un livre récent de l'avocat des révisionnistes, Maître Eric Delcroix, qui se livre à une réflexion profonde sur la dérive de la législation et l'abaissement de la magistrature. La portée de ce livre dépasse de beaucoup notre petite paroisse. Il jette une lueur inquiétante sur notre époque et ses évolutions régressives. Pour l'instant, nous proposons le volume, Le Théâtre de Satan (que l'on peut également acheter) en un seul PDF (2 M).
* Le reste de nos nouvelles acquisitions est en langues étrangères: une présentation de Robert Faurisson, en anglais; le compte rendu, en allemand, par Robert Lenski, du premier grand procès Zündel, au Canada en 1985; un classique de l'antisémitisme italien, en italien; une plainte collective déposée devant le parquet de Bruxelles par des victimes irakiennes de la soldatesque américaine; et un petit classique; la lettre de Léon Degrelle adressée au pape, en 1979, au moment où il s'apprêtait à partir pour Auschwitz. Voir la page "livres".
* Notre archive Rassinier est enfin complète: elle contient la collection complète des articles publiés par lui après la guerre dans la revue Défense de l'Homme (1949-1959), ainsi que les livres Le Parlement aux mains des Banques (1956) et L'Équivoque révolutionnaire (1960). Nous avons constitué un dossier très important pour la compréhension de Rassinier, à partir de sa contribution au journal Le Travailleur, qu'il fonda à Belfort comme tribune de son action pacifiste, antifasciste et communiste après son exclusion du PCF (avril 1932). Enfin, nous avons complété le volume Le Retour de Paul Rassinier, compilation réalisée à l'occasion d'un congrès du parti socialiste, en 1983. Voir l'archive Rassinier.
Résumé des audiences des 29 et 30 avril:
- L'audience du 29 avril s'est déroulée devant un juge visiblement pressé d'en terminer et reprochant à Me Peter Lindsay, avocat de Zündel, de vouloir faire traîner le procès en réclamant la parution de témoins non prévus au programme. A la fin de la journée l'impression régnante était que le juge, sous la pression des juifs, n'allait pas tarder à approuver le "certificat de sécurité" faisant de Ernst Zündel un terroriste et le condamnant à la déportation vers l'Allemagne. L'audience avait commencé à 9 heures du matin et s'est terminée à 20h 20. Ernst, bien que pâle, semblait en bonne forme. Tandis que les adversaires s'employaient à essayer de prouver les liens de Zündel avec des organisations d'extrême droite, Me Lindsay, lui, s'appliquait à détruire la crédibilité et l'honnêteté du CSIS, auteur du fameux "certificat".
Une petite anecdote: l'ancienne et fidèle avocate de Ernst Zündel, Barbara Kulaszka, à ses côtés pendant près de vingt ans, avait demandé - et obtenu - l'autorisation de déjeuner avec lui dans le petit réduit dans lequel il est enfermé à l'heure du déjeuner. Voyant qu'on ne servait à Ernst qu'une espèce de hamburger genre Mc-Donald, un carré de fromage fondu et un petit peu de margarine, elle demanda l'autorisation de lui donner un sandwich à la viande mais on la lui refusa sous prétexte que c'est le CSIS qui est chargé de la nourriture du prisonnier!
- Téléphonant à sa femme Ingrid au soir du 30 avril, Ernst Zündel, toujours soucieux de se montrer optimiste, a résumé ainsi l'audience de ce jour-là: "Mes adversaires sont extrêmement nerveux et très contrariés" et, parlant de l'ensemble de ses adversaires de toujours: "Ils sont à deux doigts de se faire ouvrir le ventre!" Mais aux yeux de certains de ses supporters, l'atmosphère avait pourtant gagné en tension ce jour-là. Il faut dire que Bernie Farber, responsable du Congrès juif canadien, avait cru utile de venir assister en personne à l'audience du matin!
Très important: Me Lindsay a réussi à faire porter au dossier des documents prouvant la collusion entre le Canada et les États-Unis dans le kidnapping de Zündel. Il a également tenté de démontrer que le "certificat de sécurité" ne reposait sur aucune preuve mais qu'il était le résultat de la pression de groupes juifs qui depuis 1985 cherchaient à se venger de son client. C'est ainsi qu'il a pu citer des éléments - notamment un article de presse - démontrant la pression exercée par le Congrès juif dès le début de 2003 sur le ministre de l'Immigration, M. Coderre.
Me Lindsay a insisté sur la nécessité de faire comparaître MM. Mitrovica et Farrell. Rappelons que M. Andrew Mitrovica est ce journaliste d'investigation auteur de l'ouvrage "Covert Entry" qui attaque le CSIS et dénonce, entre autres, sa complicité dans l'envoi d'une bombe au domicile de Zündel (voy. n/ message du 17 avril). C'est pendant ce week-end que le juge Blais prendra sa décision sur cette comparution. Prochaine audience: le 4 mai.
L'audience du 5 mai a vu se démener les différents avocats envoyés par les quatre témoins que Me Lindsay, avocat de Ernst Zündel, avait cités à comparaître:
- la juge Lauren Marshall,
- Andrew Mitrovica, auteur du livre Covert Entry (livre accablant pour le CSIS, auteur du fameux "certificat de sécurité");
- Frank Dimant, du B'naï B'rith,
- Keith Landy, du Congrès juif canadien,
Chaque avocat essayait d'obtenir du juge l'annulation de la convocation de son client en fondant ce refus de venir témoigner sur divers motifs: ils n'ont rien de particulier à dire, la citation à comparaître n'a pas été bien rédigée, c'est le voisin et non eux qu'il aurait fallu citer, ce qu'ils pourraient avoir à dire est confidentiel, etc.
Le juge Blais, un peu interdit tout de même de les voir tous se dérober, n'a pas voulu prendre de décision immédiatement et se réserve quelques jours pour réfléchir. Mais le pire est que la partie adverse a demandé pour elle la comparution de plusieurs témoins et que le juge, pourtant pressé d'en finir avec ce procès mais ne pouvant pas refuser, s'est vu contraint de fixer douze (12) autres audiences! Le procès est interrompu jusqu'à fin juillet et les prochaines audiences sont fixées au: 27 juillet, 9,10, 11, 12, 30, 31 août, 1er et 2 septembre! Ce qui signifie évidemment que Ernst Zündel, emprisonné depuis maintenant 15 mois, aura encore un minimum de 4 mois de prison à faire...
A moins que... Comme on s'en souvient, c'est le 10 mai que doit avoir lieu l'appel contre la décision de la juge Mary Lou Benotto qui s'était déclarée incompétente pour juger de la constitutionnalité de la loi fixant la procédure scandaleuse de ces "certificats de sécurité". Mais la Cour d'appel de l'Ontario n'a pas coutume de rendre ses arrêts sur le siège et les délais sont excessivement variables...
Voici les nouvelles du 11 mai 2004 avec le résumé de Paul Fromm:
Le traitement inflige à Zündel "n'est pas
digne du Canada", affirme Lindsay
Toronto, 10 mai. Après s'être concertés pendant moins de cinq minutes à la fin d'une audience de deux heures, les trois membres siégeant à la Cour de l'Ontario ont estimé qu'ils rejetteraient l'appel en habeas corpus de Ernst Zündel au motif que la juridiction de l'Ontario n'a pas compétence. "Nous sommes d'avis que cette cour rejettera l'appel pour incompétence", a déclaré le juge Mme Charron dans la minuscule salle d'audience de Osgood Hall où s'étaient entassés les supporters du vieil éditeur allemand de 65 ans.
Son avocat, Peter Lindsay, montre son désaccord et annonce que, en dépit du coût exorbitant que cela représente - estimé à 75.000 dollars -, l'affaire serait portée devant la Cour suprême du Canada.
A la fois furieux et déçu, Me Lindsay a déclaré à la mêlée des journalistes: "Je regrette de n'avoir pas pu débattre point par point de la constitutionnalité de cette loi (sur l'immigration). Ces procès en secret sont contraires à la constitution. Ils ne sont pas dignes du Canada! Dans l'affaire Zündel, le juge est sorti et a consulté le procureur lors d'une interruption de séance. Un jour, par un moyen ou un autre, il faudra bien que nous puissions débattre des particularités de cette affaire."
La Cour d'appel de l'Ontario a l'air de dire que "la seule solution est une action devant la Cour fédérale du Canada qui pourrait demander cinq ans", a-t-il expliqué dans la majestueuse salle des pas perdus du vieux Palais de justice de Toronto. "N'oubliez pas", ajouta-t-il, "qu'il s'agit du procès de M. Zündel, en prison de haute sécurité. Il a 65 ans. Aucune charge n'a été retenue contre lui. Il n'a jamais enfreint la loi canadienne. Et pourtant il est en prison depuis 15 mois."
(...)
La défense faisait appel d'une décision prise par Mme Benotto, juge du tribunal supérieur de l'Ontario, qui avait refusé, en novembre, de se prononcer sur la motion d'habeas corpus de Zündel, prétextant que la Cour fédérale était mieux placée pour statuer sur ce point. Dans ses conclusions, Peter Lindsay a fait remarquer: "Les parties sont d'accord pour dire que cette cour est compétente. La question est de savoir si elle va exercer son autorité."
"Je me permets de faire respectueusement remarquer à la cour que le véritable problème est de savoir si l'appelant est tenu d'exercer son recours devant une cour fédérale, ce qui est moins favorable à M. Zündel qu'une action en habeas corpus devant une cour provinciale", a dit Me Lindsay. "M. Zündel a démontré clairement et sans équivoque qu'un recours auprès de la cour fédérale était en effet pour lui moins avantageux qu'une motion en habeas corpus: il a démontré qu'en moyenne il fallait compter cinq ans pour que l'affaire soit évoquée. Est-il préférable, pour M. Zündel, d'attendre des années en prison de haute sécurité, sans la moindre charge contre lui, ou d'attendre quelques mois en ayant déposé une action en habeas corpus devant une cour provinciale?", a demandé Me Lindsay.
"Je vous demande de prendre en considération un certain nombre des plaintes importantes concernant cette loi sur l'immigration", a ajouté Me Lindsay. "Cette loi -(l'IRPA, c.-à-d. Immigration and Refugee Protection Act - NDT) - permet la tenue de séances secrètes. Or c'est ce qui s'est passé à plusieurs reprises avec le juge Blais. C'est une violation du principe élémentaire de justice tel que garanti par la Charte", a-t-il argumenté.
"De plus, 'n'importe quoi' peut être accepté pour preuve, avec cette loi. Un juge peut fonder sa décision sur cela, sur des articles de presse, sur des on-dit, sur des rumeurs. M. Zündel s'est trouvé face à une montagne de témoignages qui n'ont pas été faits sous serment et n'ont donné lieu à aucun contre-interrogatoire", a-t-il ajouté.
"L'article 80 de cette loi n'exige pas du juge qu'il détermine si une personne constitue ou non une menace pour la sécurité du Canada mais seulement si le certificat délivré contre elle est raisonnable", a expliqué Me Lindsay. "Le juge peut parfaitement estimer que la personne en question ne constitue pas une menace mais que le ministre peut raisonnablement le penser et, dans ce cas, il est contraint de considérer comme raisonnable le certificat." A en juger d'après l'air sceptique pris par les deux femmes-juges lorsqu'elles interrogeaient Me Lindsay, on peut se faire une idée sur la décision à venir. (...)
Un long papier du judéodélateur professionnel, Knobel. Il fait une longue litanie sur tous les vilains sites racistes qui se trouvent sur Internet. A part lui et ses clones, qui va les voir ? Il termine sur le CODOH, mis sur le même plan que les racistes de tous poils, et ordonne aux autorités de prendre les mesures qu'il indique. Ce Knobel est en lui-même, tant par sa figure que par ses propos, l'exacte justification des angoisses des antisémites ! Nous citons:
Un autre site, celui du Committee for Open Debate on the Holocaust (CODOH) est placé sous la direction de Bradley Smith. Influencé en 1970 par les articles de Robert Faurisson, Bradley Smith milite depuis lors ardemment. Il vit aujourd'hui de la publication et de la vente de ses pseudo-thèses et de « travaux » du CODOH, qu'il a fondé en 1988, afin de promouvoir et diffuser la propagande négationniste principalement auprès de lycéens et étudiants de plusieurs campus américains (Queens College, Brandeis, Duke, Northwestern, Cornell, University of Michigan, Vanderbild, Louisiana State end the University of Arizona). Il est également le Project Director de l'Institute for Historical Review's. Un peu plus loin on peut commander des vidéos, gadgets, revues à la gloire du IIIème Reich. D'autres sites de la même engeance affichent « les 66 questions et réponses sur l'Holocauste » de l'Institute For Historical Review. Morceaux choisis :
« 1) Existe-t-il des preuves que les nazis ont tué six millions de Juifs ?...
Aucune...
14) Combien y avait-il de chambres à gaz pour tuer des Juifs à Auschwitz ?... Aucune... »
Au Canada, Ernst Zundel sévit également. Le serveur de l'American Empire est tout aussi violent : Extrait de quelques pages :
« - Il n'y a pas de chambres à gaz.
- Le Zyklon B n'était qu'un pesticide.
- Anne Frank est morte du Typhus, comme beaucoup de Juifs dans les camps.
- Il n'y a pas eu d'Holocauste. L'Allemagne n'avait pas de programme de génocide.... »
Si la liberté d'expression est un droit constitutionnel dans de nombreux pays européens, les instances judiciaires de ces pays estiment que les dispositions interdisant l'incitation à la haine raciale et la diffusion du racisme constituent des restrictions raisonnables et nécessaires au droit à la liberté totale d'expression.
Le Comité pour l'élimination de la discrimination raciale considère que la liberté d'expression n'est pas un droit absolu mais qu'il est soumis à certaines limitations énoncées dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme (Article 29, Paragraphes 2 et 3 et Article 30) et dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques (Articles 19 et 20) qui convertit en règles précises de droit international, les principes énoncés dans la susdite Déclaration. Ces limitations résultent d'un juste équilibre entre les obligations découlant de l'Article 4 de la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale et la nécessité de protéger ces libertés fondamentales.
La Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale a fait l'objet le 7 mars 1966 d'une adhésion ou d'une ratification de la part de 148 Etats. Cette convention est le principal instrument juridique international visant à lutter contre la haine et la discrimination raciale.
Aux termes de l'article 4 de la Convention :
« Les États ... s'engagent à adopter immédiatement des mesures positives destinées à éliminer :
toute incitation à la discrimination, ou tous actes de discrimination (raciale), et, à cette fin, tenant dûment compte des principes formulés dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et des droits expressément énoncés à l'article 5 de la présente Convention, ils s'engagent notamment :
a) A déclarer délits punissables par la loi toute diffusion d'idées fondées sur la supériorité ou la haine raciale, toute incitation à la discrimination raciale, ainsi que tous actes de violence, ou provocations de tels actes, dirigés contre toute race ou tout groupe de personnes d'une autre couleur ou d'une autre origine ethnique, de même que toute assistance apportée à des activistes racistes, y compris leur financement ;
[Notons quand même que, dans la mesure où les races n'existent pas, aucune race inexistante n'est supérieures à une autre tout aussi inexistante. Quant aux juifs, ils ne forment pas de "race", ils n'ont pas de "couleur" particulière, il ont toutes sortes d'origines "ethniques" pour autant que ce mot veuille dire quelque chose et par conséquent ils ne peuvent faire l'objet d'un "racisme" tel que défini plus haut. ]
b) De déclarer illégales et à interdire les organisations ainsi que les activités de propagande organisée et tout autre type d'activité de propagande qui incitent à la discrimination raciale et qui l'encouragent et à déclarer délit punissable par la loi la participation à ces organisations ou à ces activités ;
c) A ne pas permettre aux autorités publiques ni aux institutions publiques, nationales ou locales, d'inciter à la discrimination raciale ou de l'encourager. »
Cependant, l'internationalisation du système rend l'Internet difficilement contrôlable. Aucune législation nationale ne peut encore réellement empêcher les transmissions, puisque tout serveur est accessible de n'importe quel point du monde. Par ailleurs, le terrain est si vaste, les intérêts si divergents (d'un pays à un autre), qu'il ne laisse pas de place à un code éthique.
De nombreux utilisateurs, centres universitaires et associations (J‚ACCUSE ! LICRA, UEJF...) surveillent cependant de près ces marchands de haine, suivent leurs mouvements et réfutent leurs affirmations. Ils et elles rassemblent ainsi des milliers de documents, en les rendant tous accessibles sur Internet. Le résultat est là : les négationnistes et les néo-nazis ont malgré tout du mal à se présenter dans des forums de discussion car leurs affirmations sont réfutées de manière concertée. [L'aveu est intéressant ] Parallèlement, quelques gouvernements ou hommes politiques mettent sur pied des commissions et des groupes de réflexion pour se pencher sur les problèmes liés à la libre expression sur Internet. [C'est bien ça qu'ils entendent supprimer]
QUE FAIRE ALORS ? :
Doit-on encourager la liberté (totale) d'expression sur le net ? [Horresco referens ]
C'est principalement aux États-Unis, où l'on a une conception quasi absolutiste de la liberté d'expression, que l'on voit dans la réglementation des propos racistes une violation du droit constitutionnelle [sic] à la liberté de parole. La liberté d'expression est également un droit constitutionnel dans de nombreux autres pays. Néanmoins les instances judiciaires les plus élevées de ces pays estiment que les dispositions interdisant l'incitation à la haine raciale et la diffusion d'idées racistes constituent des restrictions raisonnables et nécessaires au droit à la liberté de parole.
Il est possible alors d'intenter une action en justice contre les sites racistes. Il dépend néanmoins du pays où l'on se trouve et de l'existence d'une législation adaptée. Mais dans l'essentiel des cas, les suites judiciaires sont rares. Dans ces conditions, quels sont les moyens dont nous disposons pour lutter contre la multiplication de sites négationnistes et racistes sur le net ? [En voila une bonne question...]
Il faut veiller à ce que, à aucun moment, ni le racisme, ni l'apologie du terrorisme ne puissent être considérées comme des opinions. [Donc si une opinion n'est pas une opinion, un chat n'est pas un chat et, à parler franc, un juif n'est pas une juif. ] De nombreuses méthodes peuvent alors être utilisées pour combattre ces déchets informationnels, notamment dans les domaines législatifs, de l'enseignement ou de l'information, notamment. Et il appartiendra probablement à la réunion spéciale de l'OSCE sur l'interaction entre la propagande raciste, xénophobe et antisémite sur l'Internet et les crimes de haine qui se tiendra à Paris les 16 et 17 juin 2004, de tracer de nouvelles pistes.
[Qu'est-ce donc qu'un "déchet informationnel" dans la langue knobélienne, issue probablement du post-klingon ? C'est ce qui reste quand on soustrait une opinion à une opinion. Heureusement que ces gens-là sont qualifiés (par eux-mêmes) pour nous dire quelles opinions on a le droit d'avoir... ]
Ne conviendrait-il pas de proposer une norme à deux vitesses ? La criminalisation du discours raciste comme en France, en Belgique et en Suisse notamment. Et, en cas d'impossibilité constitutionnelle, la criminalisation de l'hébergement abusif destiné à contourner des lois. La pratique de l'hébergement abusif, par laquelle des "cyber-racistes" situent leurs serveurs dans des pays où la loi est moins sévère que le leur, devrait être sanctionnée par la loi. Par exemple, un site raciste français, s'adressant à un public français, mais hébergé par un serveur situé aux Etats-Unis, ne pourrait plus se cacher derrière les dispositions de la législation américaine protégeant la liberté d'expression. Nous estimons également que les hébergeurs ne peuvent constamment se retrancher derrière l'argument de la stricte neutralité, ils doivent balayer ces sites. Quant aux fournisseurs d'accès, nous pensons qu'ils seront bien obligés un jour de filtrer l'accès aux sites nauséeux même lorsqu'ils sont hébergés de [en français: "à" ] l'étranger. Le législateur serait d'ailleurs bien inspiré de faire évoluer notre législation : tolérance zéro, telle devrait être le mot d'ordre. [Le petit Knobel se verrait bien bourreau si on rétablissait la peine de mort... ] Il faudrait enfin créer un organisme de concertation ou de co-régulation au sein du Conseil de l'Europe dans le but de collaborer à l'élaboration de codes de conduite, servir de médiateur dans des conflits déterminés.
Comme le soulignait cependant un éditorial du quotidien Le Monde du 23 août 2002, « il vient en effet un moment où le nécessaire respect de la liberté d'expression se heurte à la non moins nécessaire protection des personnes visées par les injures et par les menaces proférées. » [Qui menace qui, dans le cas présent ? ]
<http://www.crif.org/index02.php?type=dossiers&id=2942&menu=5Modified=30969FEDB139C40101>
Holocaust Religion and Holocaust Industry
in the service of Israel
Shraga Elam
There can be no argument that Judeocide during World War II played and continues to play a major role in the Arab/Israeli conflict.
On the one hand, it is a commonly held Arab position that Judeocide is merely one of many bogus Zionist postures to manipulate world public opinion. On the other hand, most Zionists believe that this catastrophe (in Hebrew, 'Shoa') demonstrates beyond a doubt the necessity of a Jewish state; and had there been one during WWII, this genocide would not have taken place.
Moreover, it is claimed that only a militarily strong Israel can prevent such a catastrophe from recurring.
Each of the above positions is the result of the same distorted mode of processing the past. This mode can be called religious, even though the usual definition of religion includes a God concept one that is absent in this discussion. In all other ways, the necessary religious characteristics are in place: dogmas, commandments, rituals, shrines, prophets and priests and, of course, economic/financial structures.
One can, therefore, speak of a "Holocaust Religion" and its "Satanic" arch enemy, "Holocaust Denial". A third way to deal with the Judeocide, which should be defined as secular and scientific, is often identified with the "Holocaust Denial." The use of the term "Holocaust", which means "A burnt-sacrifice or offering, the whole of which was consumed by fire" , reflects the religious character of the dominant historiography of Judeocide.
Using the designation "Holocaust" for the extermination of the Jews implies accordingly the absurdity that the Nazis scarified the Jews in a kind of a religious ritual.
History of the Holocaust Religion
The birth of the Holocaust Religion is considered to have been triggered by the trial in Jerusalem of the Nazi criminal Adolf Eichmann in 1961. This show-trial was a spectacle meant to get the Jewish Israeli public, mainly the then youngest generation, acquainted with the Judeocide.
The trial did not succeed in achieving this aim not because this middle-ranking SS officer, Eichman, was not adequate to represent the whole extermination machinery. Nor was the failure due to the impossibility of reducing the Nazi monstrous system to a single individual. The fundamental reason for the failure must be attributed to the central Zionist tenet: the "Negation of the Diaspora" a recurrent theme which made it very difficult for the young Jewish-Israelis to identify themselves with European Jewry.
Several generations of Israeli Jews were brought up to loathe Jewish existence abroad. In fact, Jewish way of life in Europe, for example, was viewed as sick and to be overcome through Zionism. Young Jewish-Israelis were brain-washed up to the late '70's, to internalize typical Christian European prejudices against Jews and thus did not want to identify themselves with their own grandparents or even their parents, who had not resisted oppression in Europe.
Even though Eichmann's trial did not achieve the desired effect inside Israel, its impact abroad was enormous. Elie Wiesel, a former concentration camp inmate who came to Jerusalem to report on the process, subsequently initiated a religious modality for handling the Judeocide. This religion was to become very dominant in the ensuing years. It came to be accepted by not only most Jews but also many non-Jews, especially in the industrialized countries. It was to become one of the most important tools of Israeli propaganda machinery.
The relevancy of the Holocaust Religion to the Middle East conflict indeed cannot be overlooked. Its real breakthrough according to the Jewish theologian Marc Ellis, (who defines it rather as a theology), came through the Israeli victory in 1967: "Holocaust theology yields three themes that exist in dialectical tension: suffering and empowerment, innocence and redemption, specialness and normalization ". After the '67 war there was according to this analysis a kind of a religious messianic salvation. The Judeocide and the big 'threat' to Israel in 1967 are 'the suffering'. The building of the State of Israel and especially the victory of 1967 are 'the redemption'.
Of course Zionism lost its innocence long before 1967. Already in the 1930's, David Ben Gurion, the most important Zionist leader, realized the huge potential in Judeocide [if this term equels the "holocaust" It can't be used regarding Ben Gurion who probably meant Sufferings etc.] as he brought these religious elements together into a simple direct political motto for the instrumentalization of the Jewish sufferings in Europe.
He declared: "Catastrophe is Power". Which means the Zionist movement should find ways to profit politically and financially from the agony. Yet the catastrophe became a real source of political power only after Israel became a military success in 1967. Which means, a catastrophe as such is not necessarily a source of power. One must be powerful in order to be able to use and abuse a disaster.
In their book Dangerous Liaison, Andrew and Leslie Cockburn describe how only after 1967 did Israel become attractive to the US military establishment. Though Israel had, before that time, a burning desire to work for Washington, the US was not enthusiastic until Israel demonstrated its strength on the battlefield.
The journalist J.J. Goldberg argues that the Jewish lobby became strong only after 1967. AIPAC, the most known lobby, became influential through the Israeli importance for US foreign policy and not the other way around.
Zionist Role In Rescuing Jews In WW2
This claim [of Israels'increased importance to the U.S after 1967] sounds very plausible when one considers that the American Jewish organizations were not able to convince the Roosevelt administration to be more helpful towards European Jewry during the Nazi era.
Although, for example, the New York Times was at that time in Jewish ownership it did not dare just like the mainstream US Jewish organizations, to oppose the anti-Jewish policy of the State Department.
The lobby to establish a Zionist state in Palestine was anyway more effective than the one to save the Jews. This was the line dictated by Ben Gurion and executed by his delegate in the US Abba Hillel Silver.
Cooperation With The Nazis
Still the leadership of the Jewish agency (Jewish Agency), i.e., the government-in-formation, headed by the Zionist Labor movement, started very early to cash in on the Nazi persecutions of the Jews. This "Holocaust Industry" had been founded even before the Judeocide was really launched. In the mid 30's the Jewish Agency reached a deal with the Nazis, the so-called Ha'avara agreement, which helped the Zionist movement not only to attract to Palestine very wealthy investors, but to get direct control of some of their money. According to the this arrangement, rich Jews could get some of their properties out of Germany if they immigrated to Palestine and the Jewish Agency received a nice commission from these deals. This arrangement was, among others, the result of strong Nazi support for the Zionist project, since corresponding with the Zionist aims, the main German objective at that time was to expel the Jews from Europe.
The collaboration with the Nazis brought the Zionists the much-needed capital for the colonization of Palestine ($40 million, which totalled "60% of capital invested in Palestine between 1933 and the war"). This agreement practically saved the Zionist movement in Palestine from bankruptcy, argues the journalist Lenni Brenner. The Jewish Agency thus came to be the largest agent for German goods in the Middle East and sabotaged Jewish efforts to declare a boycott against the Nazis.
This fruitful cooperation between the Nazis and the Zionists came to an end in 1938 following Arab insurrections after which the British tried to stop Jewish Immigration into Palestine. Besides, the German faction, which sought an anti-British alliance with the Arabs got stronger and blocked the export to Palestine of goods so needed at home. Still the pro-Zionist Nazi factions (Eichmann was a part of them) kept their contacts with the Jewish Agency. According to the coordinator of the Zionist activities in occupied Europe, Nathan Dror-Schwalb, his people were working together with Eichmann in 1938 as he expelled the Austrian Jews. Zionist delegates, according to Schwalb, could operate without disturbance in Germany throughout the war and organize their cells of the youth movement Hehalutz .
Zionist Role in Rescueing Jews
According to the Israeli historian S. Beit-Zvi, the Jewish Agency leadership did not hesitate to sabotage rescue efforts. This happened after it became clear, that the British would not allow a Jewish mass immigration to Palestine.
[See: <http://aaargh-international.org/fran/livres4/Beitzvi.pdf>]
Beit-Zvi argues that the Jewish Agency leadership was afraid that a large number of Jews would be saved and sent to some other destinations rather than Palestine. This development was considered a political and economic danger (!) to the Zionist project, as it would absorb resources needed to establish the state and would weaken the Zionist claim that Palestine is the only possible refuge for Jews. According to Beit-Zvi, Golda Meir was responsible for sabotaging the concrete chances of rescue of the refugees which was discussed at conference of Evian in 1938. Beit-Zvi claims that this was the real reason why this famous conference actually failed.
In a very famous speech Ben Gurion formulated the Jewish Agency rescue policy as follow: "If I knew that it would be possible to save all the children in Germany by bringing them over to England, and only half of them by transporting them to Eretz Yisrael, then I would opt for the second alternative. For we must weigh not only the life of these children, but also the history of the People of Israel." Ben Gurion's apologists have tried to explain away this quotation. But an objective examination of the following activities of the Jewish Agency, the protocols of Jewish Agency leadership and the factual low priority it gave to rescue operations, can only confirm the claim that this speech was emblematic of this attitude and that it basically never changed even after the scope of the catastrophe became clear .
Another Israeli historian, Idith Zertal, claims that Ben Gurion was already before WWII mainly interested in the rescue operations only for the national purposes. The saving of persecuted Jews was to be used primarily as means of pressure on the British Empire to abolish its restrictions on Jewish immigration to Palestine.
But even for these purposes, there were hardly any meaningful rescue activities during the war. There were very few Zionist delegates to coordinate such operations and they had hardly any financial resources to be effective. According to Zertal the spectacular actions of the illegal immigration after the war, like the famous trip of the "Exodus", were mainly part of a very effective propaganda campaign. The Jewish organization "Joint" claimed at that time, that the total number of immigrants including the illegal ones was smaller than British quota. This means that if the Jewish refugees would have been transported to Palestine legally, under normal conditions, it would have been cheaper, more comfortable and safer for them than using the shaky illegal ships and their number would not necessarily have been lower. But by using this legal way, the Jewish Agency would have lost the propaganda effects of the pictures of British soldiers using excessive amount of force against Jewish survivors.
Abusing Restitution Rights Of Holocaust Victims
Though the Zionist leadership was not very active in saving Jews (to say the least), it started already during WWII to prepare a restitution campaign. The Jewish Agency felt itself empowered to make claims on Jewish properties without being bothered by such trivialities like whether or not the legitimate owners or their heirs were still alive. The Zionist project needed a lot of money and therefore it is not surprising that the Jewish Agency did not have too many ethical considerations when they endeavored to save Nazi war criminals, that is, if the Nazis could pay enough for it. Thus the SS officer responsible for the robbery of the Hungarian Jewry, Kurt Becher, and some of his friends were saved.
Israel [real name: Rudolf ] Kasztner [the Zionist representative in Hungary in WW2 who was accused later of collaborating with the Nazis in rescuing a few thousands Jews] was sent in 1948 by the Israeli finance minister to Germany to save these Nazis from trial. In return, Becher gave orders to his Swiss trustee to transfer money to the Jewish Agency .
This was also the case of the important Nazi agent, Jaac van Harten, whose money financed in 1945/46 the illegal Jewish immigration to Palestine and acquisitions of weapons [by the Jewish Agency]. Van Harten was crucial for the flight of Nazis out of Europe, but the agents of the Mossad Le'Aliyah Beth who protected him, could not care less. He himself found refuge later in Tel Aviv, where he got the protection of no less than Golda Meir, the de-facto foreign minister at that time (1947). Till the 60's Van Harten kept contacts with his former Nazi boss, Friedrich Schwend, who was then working in Peru with other famous Nazis like Josef Mengele and Klaus Barbie. Schwend was considered to be a kind of finance minister of the planned Fourth Reich.
The Zionist movement succeeded after WWII in getting restitution illegitimately in the name of the Nazi victims. At the last stages of the war, representatives of the Jewish Agency gathered Jewish properties and were nominated as recipients for such assets at the Paris Reparation Conference (1945/46). The large amount of money that began to flow to Israel in the 50's increased as the USA intensified its efforts to reintegrate West Germany in its Cold War strategy. A German researcher reports about a meeting in Switzerland between the German Chancellor Konrad Adenauer and the Israeli President Haim Weizmann. In this meeting Adenauer agreed to pay compensations if Israel would give it consent for the rearmament of West Germany. These restitution monies were very crucial for building the Israeli economy and military. Most probably the victory of 1967 would not have been possible without this support.
As said, after 1967 the influence of the Holocaust Industry and the Holocaust Religion increased as a result of the ever-growing importance of Israel in terms of US interests. The Holocaust Religion was able to achieve a growing control over the public opinion in Western countries. Its influence over public opinion in the Western countries reached an unexpected climax in the 90's. Steven Spielberg's film Schindler's list and the ceremonies commemorating the Jubilee of the end of WWII functioned like a trigger for this outburst. As an outcome of this memory-explosion the Holocaust Industry was in position to launch in 1995 a very effective restitution campaign against the Swiss banks, which now has been expanded to include other countries.
It was a mixture of a just claim, presented by the wrong organizations for the wrong purposes, but fed through a fear of the mythological 'Jewish Power' and its overestimated influence on the US government. Of course the Jewish organizations got the support of Clinton's administration in this campaign, but it is not clear how far the US would have gone on this issue against the Swiss banks. Thus the Swiss became 'victims' of their own prejudices against the Jews.
From a rather unimportant organization looking for an issue, with this Swiss help, the World Jewish Congress and the affiliated organizations came to be a very influential factor. The undertaking has brought till now some $9 billion and the story is not yet over.
Israel itself tries not to be involved directly in this campaign, in order not to get into any diplomatic complications with friendly countries like Switzerland. Instead the World Jewish Congress (WJC), the Jewish Claims Conference (JCC) and some other organizations are leading the activities. Israel just hopes in one way or another to get its share in any eventual booty.
For example, after a certain compensation for survivors was paid by Switzerland, the Israeli government tried to cut the social security support to the Israeli recipients commensurate with what they'd receive from Switzerland. A step which means, that actually the money from Switzerland would have gone to state of Israel and not to the victims. In the meantime there is much more money in the restitution funds, but its distribution is delayed (Israel belongs to the slowest distributors) and the survivors have the feeling that the Jewish organizations 'representing' them, are just waiting for more of them to die, so that the funds will be distributed for other purposes.
The survivors and the legitimate owners of robbed properties realized too late that their interests are being abused by the leading Jewish organizations (all of them with a strong Zionist influence). These survivors are too weak and too old to fight effectively against the mighty jet-setters of organized Jewry.
In a web-site entitled "The Survivors vs. the Holocaust Industry", several old survivors have tried to initiate the struggle against the JCC, but they are not very optimistic, as they do not have funds to finance the fight against the mighty organizations. They protest against the injustices and demand that they should be able to decide how the money should be allocated. They also claim that the Jewish organizations are very slow in distributing the monies and that they are just waiting until all of the survivors die. They note that actually each and every month 1,000 survivors around the world die. The survivor Gerhard Maschkowski who is among the leaders of this struggle writes:
"After the war ended in 1945, Holocaust survivors were treated shabbily; most were forced to live in Displaced Persons Camps in Europe as the world was forced to deal with stateless character of the Jewish people until the founding of the State of Israel in 1948. [He seems to forget to mention explicitly the role of the Jewish Agency in this postponement. The Jewish Agency used once again the sufferings of the survivors as a political instrument - S.E.]. Later, the "reparations and restitution" efforts established ostensibly for the benefit of Holocaust survivors in the United States, were inadequate and arbitrarily administered, resulting in a legacy of frustration and humiliation for American survivors.
"Today's abandonment is occurring in the context of settlements of class actions and disputes over Swiss bank accounts, looted Nazi gold, Nazi use of Jewish slave laborers, and European insurers' theft of Jews' insurance policies. While the headlines cry with large dollar figures purporting to represent compensation for Holocaust victims, and the box quotes are full of lavish praise and gratitude for the settlements "as we enter a new millennium," the truth is, the interests of Holocaust survivors have received the lowest priority in these negotiations. From every perspective, the deals fall short of rendering meaningful justice or dignity to those who were victimized. [...] The agreements were struck to provide immunity for vast numbers of European corporations that profited from the Holocaust, in most cases, without a true accounting for their World War II actions".
[See: <http://mywebpage.netscape.com/gerhardmas2/compensation>]
This last point is demonstrated perfectly by the Interhandel affair, the scandal of the foreign assets of the largest Nazi chemical combine IG Farben, who among other things produced the gas for the extermination of the Jews. These assets should have been confiscated already during WWII and be used for the rehabilitation of war refugees, for example. This did not happen, because Corporate America was interested in protecting these funds and the Swiss authorities and some banks were willing to help. This money, estimated to be of a present value of at least $5 billion, was in the '60's after a long legal fight (mis)appropriated by the largest Swiss bank, Union Bank of Switzerland, (today United Bank of Switzerland - UBS) and the US government under Kennedy. In 1995 I discovered in the Swiss federal archives highly classified documents proving clearly the dubious role of the UBS and the Swiss government in this affair.
The Jewish organizations leading the restitution campaigns show an ostensive disinterest in this large amount of money stemming from the most important Nazi combine, whose direct involvement in the crimes in Auschwitz is well known. Recently an employee of the JCC confirmed my suspicions and said that the organizations do not want to raise the issue in order not to hurt US interests involved.
It is safe to argue that neither the Holocaust Industry nor Israel have ever really represented the interests of the Judeocide victims, although they keep trying to create this impression that they do. This lie serves Israel in many ways. It guarantees today the support of most of the Jews, who feel that Israel is their redemption in the possible hour of their need, a kind of insurance against possible dangers. With the Holocaust Religion, its institutions and priests it is possible to block an all too radical critique against Israel and its crimes against the Palestinians. Thus the Palestinians actually become indirectly victims of the Nazis. The Holocaust Industry helps to finance the aggressions against them and the Holocaust Religion assists in creating a negative public opinion of them.
Thus the Palestinians have to pay the price for German crimes and Western hypocrisy. The exposure of the Zionist abuse of Judeocide, is therefore an important element in the efforts to reach a real and just peace in the Middle East.
Similar to the formulations of Israeli philosopher Adi Ophir the dogmas of this Holocaust Religion can usefully be articulated as religious commandments:
Remember what Amalek has done to thee!
This compulsory directive is meant to cultivate and preserve for ever and ever the memory of all the wrongdoings of Amalek against the Jews. Amalek is the biblical collective designation for all the enemies of the Jews, who, in the 20th century became to be mainly the Nazis and the Arabs. It is in this sense not only a command to remember but also to distrust and hate the non-Jews, the gentiles. This attitude is based on the concept that the hate of the Jews, Judeophobia , is inherent in all other cultures. Any questioning of the real danger for the Jews in Europe or North America, for example, is considered blasphemy. Another consequence of this commandment is that the Jews are to be considered as the eternal victims. So even if they are the victimizers they are still to be conceived as victims.
Thou shall never compare The Holocaust with any other Genocide!
The uniqueness of the Judeocide is a modern version of the old judeocentric concept of "choseness". Jewish sufferings are special, cannot and must never be compared with other miseries. This commandment is very important for the mythologizing of the Judeocide and for preventing a normal historical analysis, as one of the common and important scientific method is the comparison.
This commandment is very successful in the Western countries where the Judeophobia has a very long tradition and is still common. The contemporary manifestation of the prejudices against Jews is sometimes very ingenious. It camouflages itself in an allegedly opposite attitude, "Judeophilia", a kind of 'positive' racism. The transformation from one to the other is often seamless.
Thou shall never compare the nazi crimes with those of Israel!
Though on the whole, Israeli crimes are not yet comparable to nazi crimes, [We, and the Palestinians, believe otherwise. Rantisi said the comparison is an insult to the nazis... ] there are certain tendencies that must be recognized before they become full-fledged reality. Parallels therefore should not, a-priori, be ignored. For example, the potential for technocrats, officers etc. to commit crimes is not some specific Nazi characteristic but is endemic to all modern system.
No causal relationships between the Judeocide and the Palestinian tragedy are allowed
Every attempt to point out such a connection is considered to be a kind of Holocaust-denial.
Thou shall never doubt the number of 6 million Jewish victims!
There is no real logical explanation for this figure's being defended so desperately. The source of this statistic, the SS officer Wilhelm Höttl, was certainly not the most reliable informant. [he was a drunkard and an informer ] If the number of the slaughtered Jews were 500,000 less, would the Nazi crimes be less dreadful?
<http://www.between-lines.org/archives/2001/feb/Shagra_Elam.htm> Shraga Elam est un auteur d'origine israélienne, installé en Suisse.
Between the Lines, as a project of radical and progressive Palestinians and Israelis, is increasingly significant and urgent given the new era emerging in the wake of the Al Aqsa Intifada.
[à propos de Lanzman et de sa , cf le dossier de l'aaargh:Lanzmann]
Retour sur Shoah, film de Claude Lanzmann
par Robert Faurisson
Dans l'argot du cinéma, "nanard" ou " nanar" désigne un mauvais film, en particulier un film déprécié parce qu'il est archaïque, rétro, ringard. Quant à" navet", le mot s'applique à un très mauvais film, insipide ou ennuyeux; on dira: un affreux, un insupportable navet. Le film culte de Claude Lanzmann date de près de vingt ans, il est d'une insupportable durée (environ 9h20) et son style, grossier et lourd, semble inspiré des plus vieux produits de la propagande stalinienne. En somme, il est, au choix, un "navet" ou un "nanar", et vraiment rien de plus. Par ailleurs, pour ce qui est de la malhonnêteté du contenu, les révisionnistes en ont assez parlé pour qu'on n'y revienne pas ici.
Mais il est toujours plaisant de voir les coreligionnaires de C. Lanzmann mettre leurs pas dans les pas des révisionnistes et décider enfin, à leur tour, de proclamer une évidence qu'en 1985, à la sortie du film, ils feignaient de ne pas voir. Bernard-Henri Lévy s'émeut de constater qu'on ose maintenant remettre en question ce qu'il appelle la "grandeur de Lanzmann" ("Le bloc-notes", Le Point, 11 mars 2004, p. 130). En son pathos de marchand de bretelles, il écrit :
Bizarres [...] ces attaques croisées, quoique encore feutrées contre Claude Lanzmann et son Shoah. Ici, ce sont des blagues grasses sur sa supposée intolérance aux autres films sur la "question". Là des considérations confuses et témoignant, surtout, de ce que l'on parle du film sans l'avoir vu sur l' "interdit" qu'il ferait peser sur l'idée même de représenter le trou noir de la destruction des juifs. Là encore (Georges Didi-Huberman, Images malgré tout, Minuit), une étrange "guerre des images", dont le seul effet est, pour l'heure, de relancer les débats les plus oiseux autour des "preuves" des chambres à gaz. Et puis le comble, enfin : ce gros livre (Shlomo Sand, Le XXe siècle à l'écran, Seuil) qui se présente sans rire comme une synthèse des relations entre le cinéma et le siècle et qui, dans les quatre pages consacrées à Shoah, accumule les niaiseries, les contre-vérités les plus énormes et, parfois, les calomnies (quelques lignes, ordurières, sur la production du film). Je ne vais pas rappeler ici l'importance d'une œuvre qui bouleversa la vision du monde de nombre d'entre nous. Je ne vais pas redire la force d'une entreprise qui sut, sans prétendre les "ressusciter", faire parler les âmes mortes d'Auschwitz et de Treblinka. Et je ne m'inquiète guère, au demeurant, du tort que peuvent causer des vomissures de cette espèce à un film qui a d'ores et déjà sa place et quelle place ! dans l'histoire du cinéma. Mais il y a là, simplement un signe. Un très, très mauvais signe. Je ne "sacralise" pas Lanzmann. Mais je suis persuadé que le cas Lanzmann est un marqueur. Cracher sur Shoah, c'est dire que le pire est, de nouveau, à portée de souffle.
B.-H. Lévy met ainsi en cause, d'une part, G. Didi-Hubermann et, d'autre part, S. Sand. Le premier des accusés s'exprime en un si pénible jargon qu'on s'abstiendra de le citer. Le second, plus compréhensible et plus direct, mérite qu'on rapporte au moins ce qu'il écrit sur Shoah dans les pages 330-333 de son ouvrage, Le XXe Siècle à l'écran (préface de Michel Ciment, traduit de l'hébreu par Yaël Shneerson et Michel Bilis, Le Seuil, 2004 [février], 526 p.). L'auteur, qui est professeur d'histoire contemporaine à l'université de Tel-Aviv, confirme ce que des révisionnistes avaient déjà révélé sur le financement occulte du film. Certes, le ministère français de la Culture a contribué aux frais du tournage mais Shoah est un film de propagande israélien, essentiellement conçu et financé par le gouvernement israélien. S. Sand écrit :
"L'idée du film a été avancée par le chef du département de l'information du ministère [israélien] des Affaires étrangères, à la veille de la campagne électorale de 1977. Le ministère était intéressé à produire un film d'information historique et s'adressa à Lanzmann pour le faire. Pour éviter qu'il ne soit perçu comme un film de propagande israélien, le financement du metteur en scène fut transféré via une société fictive créée à l'étranger à cet effet", Yoram Yarkoni, "Shoah privée" (en hébreu), Kol Hair, n° 476, 23 octobre 1987. Je remercie Levana (Jeannine) Frenk pour m'avoir communiqué cette information. Frenk traite des questions relatives à la production du film Shoah dans sa thèse de doctorat, en préparation.
S. Sand en vient ensuite à employer à propos de l'œuvre ou de son auteur les mots suivants : "artificielle", "déformante", "faiblesse", "prétention", "manipulation", "subjectivité", "mégalomaniaque". Il reproche à C. Lanzmann d'avoir passé sous silence ou ignoré des points essentiels de la réalité historique et il estime que le film "représente une sorte de triomphe du souvenir personnel aux dépens de l'histoire [critique]". A ses yeux, le réalisateur s'est contenté de témoignages dont certains (malheureusement non précisés par S. Sand) sont aussi faux que ceux qui avaient abusé les juges israéliens au point qu'en un premier temps ces derniers avaient condamné le malheureux Ivan Demjanjuk à la pendaison. C. Lanzmann, dit-il, accorde foi au témoignage personnel "dès lors qu'il émane d'une victime ; comme si la mémoire individuelle pouvait, après quarante ans, contenir la vérité pleine et entière".
S. Sand dénonce ainsi "une manipulation politique qui ouvre la voie, consciemment ou non, à un genre nouveau de présentation mythologique du passé". Retenons cette formule qui résume assez bien la production cinématographique et documentaire de ces dernières années en ce qui concerne l'histoire de la prétendue extermination physique des juifs durant la deuxième guerre mondiale. Stephen Spielberg et les siens ne nous offrent effectivement plus qu'une "présentation mythologique du passé".
S. Sand déplore aussi ce qu'il appelle "une subjectivité incisive et orientée". Il souligne le fait que C. Lanzmann "choisit de se filmer lui-même en acteur principal sans la moindre trace d'autodérision" et juge son film "quelque peu mégalomaniaque". Il estime que "le réalisateur a moins tenté d'élargir la compréhension du passé qu'il n'a cherché à le réinventer et à s'en constituer un monopole". Il ajoute que "l'anathème systématiquement prononcé [par C. Lanzmann] sur chacun des films consacrés à la Shoah, antérieurs ou postérieurs au sien, ne fait que [renforcer] cette impression". Ultérieurement, S. Sand n'évoquera plus Shoah dans son livre que pour le classer dans la catégorie des films "manipulateurs" (p. 473).
"Une traditionnelle névrose juive"
S. Sand n'est pas le premier des thuriféraires du prétendu "Holocauste" à critiquer C. Lanzmann mais, avant lui, on s'en était pris à l'infatuation du personnage et à sa thèse imbécile sur le refus des preuves et des représentations matérielles sans pour autant relever la fausseté intrinsèque de Shoah. En 1998, par exemple, un ancien journaliste du New York Times, Ron Rosenbaum, lui consacrait tout un chapitre de son livre Explaining Hitler (Randam House, puis Macmillan ; en français, Pourquoi Hitler ?, J.-C. Lattès) mais principalement pour condamner la suffisance et l'arrogance de C. Lanzmann. Avec le temps, les réserves, les critiques ou les attaques se sont multipliées à tel point que l'intéressé a fini par s'en plaindre ouvertement et de plus en plus souvent. A titre d'exemple, voici quelques extraits d'un entretien publié dans Paris-Match (7 novembre 2002, p. 12), où, comme toujours chez notre balourd, plainte et forfanterie allaient de pair :
Moi, je suis l'auteur du film Shoah, auquel j'ai consacré onze années d'un travail acharné, mais, depuis que j'ai fait ce film, je suscite des haines que je n'imaginais pas du tout ! Une jalousie terrifiante, une volonté meurtrière que je constate, particulièrement chez certains Juifs. On dirait que Shoah les empêche de vivre, de dormir, de penser. Shoah est un film pur, radical. Pureté et radicalité qui sont intolérables à beaucoup. [...] J'ai dit aussi et je le maintiens que je mettais quiconque au défi de représenter au cinéma ce qui se passait à l'intérieur d'une chambre à gaz, où trois mille personnes mouraient ensemble, asphyxiées. J'ai dit que cela et cela seul n'était pas représentable et qu'en l'occurrence la fiction serait la transgression la plus grave. [...] Je vous signale par ailleurs que [en France] le ministère de l'Education nationale a adressé, cette année, un DVD de trois heures d'extraits de Shoah aux 4500 lycées de France. [...] Un journal polonais a parlé du "seul document traduisant la réalité de l'Holocauste". Le Pape et je vous rappelle qu'il est né polonais a fait une déclaration officielle de soutien à Shoah.
Le diagnostic s'établit de lui-même : Claude Lanzmann souffre de ce que son coreligionnaire Jacques Mandelbaum nomme "la traditionnelle névrose juive" ("L'impossible Pologne d'un juif argentin", Le Monde, 21 avril 2004, p. 27). Avec la sûreté de coup d'œil propre au clinicien et avec le don du génie artistique, Louis-Ferdinand Céline, dans ses satires et dans sa correspondance, a décrit ce type de névrose. Il en a répertorié non seulement les manifestations les plus comiques ou les plus clownesques, celles dictées par une "sensibilité fer-blanc" (par opposition à la "sensibilité de bronze"), mais encore les effets les plus redoutables : perpétuelle insatisfaction, incessantes récriminations, appels enflammés à la haine, à la vengeance, à l'assassinat, à la révolution, à la croisade guerrière ; tout cela, bien entendu, sous couvert de défense des droits de l'homme et d'amour de l'humanité. C. Lanzmann, pour sa part, s'est normalement fait, dans deux films, le chantre de l'Etat hébreu (Pourquoi Israël ?) et de l'armée juive (Tsahal). Dans un entretien, il expliquait que le para israélien était différent du para français : "Le soldat juif n'a pas la violence dans le sang. Il tue peut-être [sic] mais ce n'est pas un tueur. [...] Les soldats [israéliens] sont doux, tendres. Les autres, le passage à l'acte, ils ont ça dans le sang" (Entretien avec François Hauter, Le Figaro, 10 novembre 1994, p. 27). Mais rien n'illustre mieux "la traditionnelle névrose juive" qu'une controverse intestine entre juifs : C. Lanzmann ainsi que ses amis et ses ennemis les plus proches sont là pour nous le prouver.
21 avril 2004
Note de l'aaargh: A propos de Céline, il faut savoir que "satire" est la nouvelle appellation, plus "correcte", de ce qu'on a toujours appelé jusqu'ici les "pamphlets". Rappelons que le site de l'AAARGH est le premier à proposer les trois principaux "pamphlets" de Céline, Bagatelles pour un massacre, l'École des cadavres et Les beaux draps. La presse n'ose pas en souffler mot. Les céliniens sont transis de trouille. Les anti-céliniens chient dans leur froc. Les journaux littéraires s'intéressent à Justine Lévy. La veuve et ses bavards ne mouftent pas. Gallimard est aux abonnés absents. Le silence est total. De quelle autre arme d'abrutissement massif disposent-ils ? Voir:
<http://aaargh-international.org/fran/livres/livres.html>
Enfants d’un Dieu Subalterne ?
par Israël Shamir
[A Berlin, tous les puissants de ce monde (dont le secrétaire d’Etat américain Colin Powell, le président allemand Johannes Rau et le président israélien Moshe Katsav) se sont réunis dans le cadre d’une Conférence de l’Organisation de la Sécurité et de la Coopération en Europe [OSCE] consacrée à la lutte contre l’antisémitisme. Ils ont affirmé que "le conflit israélo-palestinien sert de couverture à un sentiment antisémite répandu dans le monde entier", comme l’écrit Ha’Aretz, aujourd’hui. Je n’ai pas été invité à cette rencontre des Grands de ce monde. Mais si je l’avais été, je leur aurais tenu les propos ci-après…]
Excellences,
Cette conférence, en effet, est d’une extrême importance. Il s’agit même d’un événement historique, comparable à l’Edit de Milan adopté par Constantin, ou encore aux Conciles les plus déterminants de l’Eglise. Je ne suis pas totalement certain que vous ayez compris exactement ce que vous faisiez en décidant de sa tenue, ni le sens des mots codés "lutte contre l’antisémitisme". Définissons, tout d’abord, ce dont il ne s’agit pas. "La lutte contre l’antisémitisme" n’est pas la défense d’une petite nation persécutée. Si tel était le cas, vous auriez pris la défense du peuple palestinien assiégé. Il ne s’agit pas non plus de lutte contre le racisme, puisque vous défendez l’apartheid en Palestine. Il n’est pas non plus question de lutte contre je ne sais quelle discrimination anti-juive, puisqu’il n’en existe nulle part et puisque, de Moscou à New York, en passant par Paris, les juifs occupent le pinacle même du pouvoir. Il ne s’agit pas de défendre des vies juives, puisque le seul juif blessé, en Europe, s’est coupé avec son couteau de cuisine, en voulant simuler l’agression d’un musulman. Ni de la défense de biens juifs, puisque les juifs sont les seuls, sur Terre, à avoir récupéré jusqu’au moindre des biens qu’aient jamais possédés leurs ancêtres, de Berlin à Bagdad. Cela n’a rien à voir avec l’antisémitisme historique, cette théorie raciste anti-juive morte il y a bien longtemps, puisque, dans ce conflit, il y a des Sémites et des descendants de Juifs dans les deux camps.
La "lutte contre l’antisémitisme" est un concept théologique, lié à la question séculaire : "Tous les peuples sont-ils égaux entre eux, ont-ils une égale une importance et sont-ils également proches de Dieu ? Ou bien les juifs sont-ils supérieurs à tous les autres, les non-juifs étant les enfants d’un Dieu subalterne ?" La première proposition a été affirmée par Saint Paul. La seconde aurait pu orner la bannière de Caïphe. Aujourd’hui, vous avez répondu à la question et, tel Ponce Pilate, en son temps, vous avez opté pour Caïphe. Aujourd’hui, vous avez proclamé que l’idéologie et les valeurs judaïques représentent le socle du Nouvel Ordre Mondial que vous prônez et faites régner.
Peu importe que les Palestiniens soient emmurés vivants derrière un mur de béton haut de huit mètres ; peu importe que les oliveraies soient arrachées et les puits détruits. Ce qui est important, c’est qu’ "Israël ou ses dirigeants ne soient ni démonisés, ni fustigés", pour reprendre les propos de votre collègue Colin Powell. Ce n’est désormais plus une question politique, mais bien une question théologique, puisque la foi dans la supériorité juive est la doxa officielle de la Pax Americana, comme le christianisme était celle de l’Empire romain à l’époque de Constantin le Grand. Pour qu’on comprenne bien, vous avez interdit l’utilisation de symboles nazis en rapport avec la politique israélienne. En revanche, vous avez bel et bien autorisé la surimposition de la Swastika d’Hitler au Crucifix.
Sans doute vous considérez-vous comme des gens "réalistes et pragmatiques", qui se moquent pas mal de ces complications religieuses. Si vous l’étiez réellement, vous réfléchiriez à ce que cette acceptation de la supériorité juive signifie pour VOUS, puisque vous vous moquez totalement du sort des Palestiniens ou des Irakiens. J’ouvre le Jerusalem Post du 22 avril, et je lis les propos de vos nouveaux chefs :
"Je n’ai pas seulement un problème avec l’Allemagne. Ce qui me pose problème, c’est tout ce qui est allemand, où que ce soit. Je ne polémique jamais, je ne suis jamais bouleversé. Simplement, j’ai effacé l’Allemagne et son peuple de mon globe terrestre personnel", écrit Matti Golan, ancien rédacteur en chef du principal quotidien israélien Ha’Aretz et du journal des élites économiques juives, The Globe. Matti Golan n’est pas un incendiaire ; il n’est pas un de ces juifs religieux fanatiques qui vont jusqu’à dénier que les goyim descendent eux aussi d’Adam. De fait, je pourrais remplir des centaines de pages de citations similaires et pires tirés des traités du Khabbad ou des grimoires des sorciers de la Kabbale. Mais Golan n’est pas un kabbaliste ni un extrémiste. Il appartient à la catégorie des intellectuels juifs consensuels et non-religieux, normaux, quoi… Cet article ayant fait l’objet d’une discussion sur le site Internet http://www.IsraelForum.com/, une réaction juive typique fut : "Matti Golan est un journaliste et un éditorialiste éminent. Il est représentatif des idées de la vaste majorité des juifs israéliens, sur cette question. Des miennes, y compris."
Si j’étais Allemand, j’y réfléchirais à deux fois, avant de fournir au pays d’un Matti Golan des sous-marins nucléaires. J’aurais bien trop peur qu’il "efface, simplement, l’Allemagne et son peuple de notre globe terrestre à tous".
A mon avis, Golan ne fait pas autre chose que provoquer la haine raciste et le génocide. Vous pourriez en discuter. Mais non : vous préférez condamner Mahathir, ou un militant pacifiste qui se bat pour l’égalité en Palestine. Votre collègue, le président allemand Johannes Rau, a dit : "Tout le monde sait qu’un antisémitisme massif est à l’origine des critiques adressées à la politique du gouvernement israélien depuis dix ans". Il l’a déclaré une semaine après qu’Asma, une fillette de quatre ans, soit morte dans sa chambre, à Gaza, le 23 avril, asphyxiée par les gaz lacrymogènes israéliens, et un an après que Rachel Corrie ait été écrasée par un bulldozer israélien. Par conséquent, quiconque parle d’ "antisémitisme" est d’accord avec l’assassinat d’Asma et de Rachel.
Vous suscitez du mépris, et c’est dangereux pour vous. Dans le quotidien israélien à grand tirage, Maariv, du 24 avril, Dan Margalit, superstar du journalisme israélien, écrit ceci, au sujet de l’homme qui a tenté de vous avertir du grave danger du potentiel nucléaire israélien :
"Vanunu pose en Mel Gibson souffrant, en une sorte de nouveau Jésus Christ, qui a souffert en prison en raison de sa conversion au christianisme. Je dois admettre qu’il a fait l’objet de discrimination, sur le plan religieux. Toutefois, il ne s’agissait nullement de vexations, mais bien au contraire, d’une discrimination positive. Vanunu est resté en vie : peu importe sa trahison, son espionnage et sa conversion : Israël l’a traité en juif. Tout le monde sait quel sort lui aurait réservé le Mossad s’il avait été un technicien nucléaire allemand au service d’un pays arabe : les noms de ce genre de types sont gravés sur des pierres tombales, dans les cimetière d’Europe". (Ne cherchez pas cette citation dans la cuvette du site ouèbe du Maariv en anglais : elle a été récurée.]
Le message est clair : le sang d’un goy, à fortiori d’un goy allemand, a moins de valeur que le sang d’un juif. Vous ne tarderez pas à vous en apercevoir.
Israël s’est vanté des meurtres commis par ses assassins contre la personne de techniciens et de scientifiques allemands mais l’Allemagne n’a jamais élevé la moindre plainte. Un brave et noble juif américain, John Sack, a publié un ouvrage sur les atrocités perpétrées par des juifs contre des Allemands innocents, à la fin des années 1940 mais l’Allemagne n’a jamais fait d’enquête au sujet de ces graves accusations, et elle s’est abstenue de demander que les criminels fussent arrêtés et jugés. Pire : le livre de Sack n’a jamais été publié en Allemagne. [Shamir fait erreur sur ce point. Auge um Auge est sorti chez Kabel Verlag, à Hambourg en 1995 ]. Les juifs ont reconnu des empoisonnements massifs de prisonniers de guerre allemands, et une tentative d’assassiner plusieurs millions de civils allemands : l’Allemagne n’a diligenté aucune enquête. [Voir Tobias & Zinke, Nakam Jüdische Rache an NS-Tätern, 2000 ] Elle s’est contentée d’expédier encore plus d’argent et d’équipement militaire en Israël.
Vous avez accepté votre statut de deuxième classe, d’enfants d’un Dieu subalterne. Ce n’est d’ailleurs pas nouveau : vous l’aviez déjà fait, en suscitant tout ce bruit autour d’Auschwitz, tout en ignorant totalement le terrible holocauste perpétré à Dresde. Lorsque vous avez déploré les déportations de juifs et ignoré les déportations de personnes d’origine allemande par les gouvernements saturés de juifs de Pologne et de Tchécoslovaquie. Lorsque vous avez poussé au désarmement de l’Irak, tout en fournissant des équipements nucléaires au centre de recherches israéliens de Dimona. Lorsque vous avez arrêté et extradé des combattants palestiniens, en vous abstenant d’exiger l’extradition du citoyen israélien Solomon Morel, lequel a torturé et assassiné des milliers d’Allemands. Lorsque vous avez intenté un procès aux éditeurs de l’ouvrage intitulé L’Industrie de l’Holocauste, de Norman Finkelstein, et que vous avez permis à des agents de l’Anti-Defamation League de défiler dans les rues de Berlin en portant des drapeaux israéliens et des portraits de Bomber Harris.
Vous avez admis que votre sang est bon marché. Ne soyez donc pas surpris de le voir couler à flots, une fois le réservoir de sang palestinien épuisé.
Personnellement, je vous suis plutôt reconnaissant d’avoir fait ce que vous avez fait. Jusqu’à présent, la lutte pour l’égalité en Palestine avait été entravée par des femmes et des hommes croyant bien faire, qui ne remettaient pas en question la suprématie juive en Europe et aux Etats-Unis : simplement, ils étaient horrifiés au spectacle du génocide perpétré contre les Palestiniens. Tout en luttant contre le Mur de Sharon, ou contre la dévastation de Gaza, ils redoutaient comme la peste de se voir accuser d’ "antisémitisme". Ils pensaient que la critique de l’apartheid israélien était légitime, dans les limites imposées par le Nouvel Ordre Mondial. Et voilà que vous avez éliminé cet obstacle, en apportant la preuve que tout ce qui se passe en Palestine quoi que ce soit ne relève en rien de je ne sais quelle aberration locale, mais qu’il s’agit bien de la pierre angulaire de la Pax Americana.
Que tombent, tous les deux, en même temps, les schémas local et mondial de la suprématie juive ! Ainsi, les juifs et les Gentils pourront à nouveau vivre égaux en Palestine. Et partout ailleurs.
30.04.2004
Berg decapitation video was filmed inside the Abu Ghraib prison
by Hector Carreon
Los Angeles, Alta California - May 16, 2004 - (ACN) There is now ample evidence that the video showing the decapitation of 26 year old Nicholas Berg of Philadelphia by purported Al queda members is a complete fraud. The real Nick Berg may or may not be dead, but the heavily edited video is nothing but a fake. This is the conclusion of La Voz de Aztlan after a frame by frame analysis and the conclusion of hundreds of film, medical and other experts world wide who downloaded, viewed and analyzed the video as well. Literally thousands of persons world wide requested the video, which is rapidly disappearing from the Internet, after our news service published "Nick Berg decapitation video declared a fraud by medical doctor" on Wednesday May 12 and which was linked by other independent news services on the World Wide Web.
With the advent of the Internet, computers and sophisticated programs it has become increasingly difficult for governments to "pull the wool" over the eyes of their citizens. The Internet has essentially allowed freedom loving people around the world to form communication networks that can now out compete the best intelligence government agencies or special operations groups. This has certainly been the case with the hastily released and shoddy video showing five phoney Al queda members participating in the decapitation of Nicholas Berg that was intended, exclusively, to defray attention from the scandalous sexual abuses of Iraqi POW's that took place at the Abu Ghraib prison outside Baghdad. Evidence in fact shows that the Berg decapitation was filmed inside the walls of the notorious Abu Ghraib prison, this cursed dungeon where probably Satan himself roams its corridors.
It is now known that the opportune decapitation video was first uploaded from London, England to a now defunct website in a server located in Malaysia. The website at <http://www.al-asnar.biz/> was shut down as soon as conservative news outlets like CNN and Fox News were notified. These two news services wasted no time in coming out with headlines like "Islamic Terrorists Decapitate an American in Iraq". Within minutes, local news services from New York to Los Angeles were screaming "Muslim Animals Chop Off the Head of an American" and were showing only short segments of the fake video. Pro-Zionist radio stations in Los Angeles have spent literally days since then talking about the Muslim barbarians and why it is so important to support the war in Iraq.
La Voz de Aztlan became mighty suspicious when we first saw a photograph of the purported Nicholas Berg sitting in front of his captors on a white plastic chair that looked very familiar. In addition, the orange prison overalls he was wearing in the video looked mighty familiar as well. La Voz de Aztlan is very lucky that we have a very large readership base that utilizes both e-mail and our "News-Tips Form" on our home page to send us information. Within minutes we were sent the URL where we could download the entire and original video of Nicholas Berg's decapitation. Immediately after viewing the video, we knew that many things about the video just didn't look right and which defied simple logic.
Some peculiar anomalies became readily apparent after watching the video and others followed after careful analysis. Many of the anomalies were pointed out to us by our readers who responded after downloading and viewing the video themselves. Please refer to the photographs published, along with this article, on our website at
<http://www.aztlan.net/berg_abu_ghraib_video.htm> as these anomalies are described and enumerated below:
1. Notice the standard US Military Police issued prisoner overalls that Nicholas Berg is wearing in Photo 1. The orange color prisoner overalls that Nicholas Berg is wearing are identical to the ones Islamic prisoners are made to wear by the US Military Police at the Guantanamo, Cuba prison as shown in Photo 2.
2. Notice the white plastic chair that Nicholas Berg is sitting on as shown in Photo 1. It is identical to the white plastic chair that the now infamous Pfc. Lynddie England is sitting on at the Abu Ghraib prison as shown in Photo 3. This same white plastic chair can also be seen in the horrid photograph where an MP is sodomizing an Iraqi POW with his finger at the upper right corner of Photo 4. In addition, it can be seen on the lower left side of Photo 5.
3. The color and texture of the wall as shown in the frames taken from the video as shown in Photo 1 and Photo 6 are the same as those of the Abu Ghraib prison shown in Photo 4.
4. The most telling evidence that the video of the decapitation of Nicholas Berg was taken inside the Abu Ghraib prison can only be detected by performing a frame by frame analysis. La Voz de Aztlan did just that and some revealing frames came up that are difficult to see if the video is played on normal speed. Towards the end of the video, at frames 9306 through 9368, a person with a US military cap temporarily pokes about a quarter of his left head into the video. His neck, left ear and part of his cap and visor can be seen. We have prepared an animated gif with just the relevant frames that clearly shows this at Animated Photo 7. Look at the right hand side as someone with a military cap, possibly with a second video camera, pokes his head into the video. Compare this animated gif with the MP whose cap is circled on Photo 4.
Anyone who views the video will see that it is phoney. The five so call terrorists are phoney. The one on the extreme right in Photo 6 is pudgy and is wearing very clean tennis shoes. This will not be the case with an Al queda fighter. Also, Photo 6 shows that at least three of them are wearing bullet proof vests. Has anyone seen Al queda members wearing heavy and cumbersome bullet proof vests? Look at the garb that all five are wearing. They look like Halloween costumes.
For the time being, the mainstream media is totally ignoring the above evidence. Hopefully soon some brave mainstream publisher will dare to bring this important information to the American people. The nation needs to know who was and what really happened to Nicholas Berg.
La Voz de Aztlan, 17 mai 2004.
Pierre Milza
: Un prof bien mal inspiré
Pierre Milza a écrit dans un article intitulé "Le négationnisme en France", les stupéfiantes lignes suivantes :
«Soyons clair. L'existence d'un "révisionnisme" anarcho-trotskyste (Jean-Gabriel Cohn-Bendit, qui a participé à l'édition du livre de Serge Thion, ne se présente-t-il pas comme "juif d'extrême gauche, libertaire pour tout dire ?") organisé autour de La Vieille Taupe, et le rôle que celle-ci a joué dans la diffusion en France et à l'étranger des thèses négationnistes, n'autorisent personne à renvoyer purement et simplement dos à dos les deux franges extrêmes du spectre politique français. Les Pierre Guillaume, Serge Thion et autres Jacob Assous ne représentent en effet qu'une fraction extrêmement minoritaire de l'ultra-gauche, celle des intégristes du marxisme antistalinien.» (Pierre Milza, Relations internationales, n° 65, printemps 1991. On trouve cet article sur Internet. Y.C. (=Yves Camus]).
Pierre Milza s'est illustré entre les deux tours de l'élection présidentielle de 2002 par un bon article dans Libération ["bon", c'est-dire approuvé par les sages de Sion ] où il rappelait, fort justement, que la situation politique française n'avait rien à voir avec celle de 1933 en Allemagne, contrairement à ce que beaucoup de "penseurs" et de plumitifs stipendiés par la droite et la gauche parlementaires essayaient de nous faire croire à l'époque. De la part d'un homme qui n'a pas peur d'aller à contre-courant dans un tel climat d'hystérie collective, on attendait mieux que le catalogue d'accusations absurdes, d'amalgames et de contre-vérités ci-dessus.
Jean-Gabriel Cohn-Bendit y est qualifié d'"anarcho-trotskyste". Outre que ce terme n'a absolument aucun sens, [c'est vrai, ce Milza écrit n'importe quoi ] JGCB n'a jamais été trotskyste, du moins à ma connaissance. Pourquoi embarquer les trotskystes dans cette galère ? Pourquoi dénoncer "les tenants d'un trotskyme tiers-mondiste et pro-arabe qui se meuvent dans l'orbite de la Vieille Taupe" alors que Pierre Guillaume, bien avant qu'il affiche son antisémitisme, a toujours été un antitrotskyste et un antiléniniste ? On peut parfaitement critiquer les positions des trotskystes sur le sionisme et la Palestine mais pourquoi les mettre dans le même camp que les révisionnistes, les négationnistes, les antisémites et - disons-le clairement - les fascistes ? Sous prétexte de ne pas effectuer d'amalgame entre extrême droite et extrême gauche ("n'autorisent personne à renvoyer purement et simplement dos à dos", écrit-il), Pierre Milza amalgame les négationnistes antisémites (Guillaume, Thion and Co) avec ce qu'il appelle des "intégristes du marxisme antistalinien" [ce qui montre bien que Milza est très mou de la tronche ].
Pierre Guillaume et Serge Thion ne sont pas des "marxistes antistaliniens", n'en déplaise au si rigoureux professeur Milza[1]. Ou alors Pinochet est un excellent interprète de l'Évangile et un théologien de référence. George W. Bush un fin exégète de la Bible. Et la Star Academy une école de chanteurs d'opéra… C'est le droit le plus absolu de P. Milza de détester le marxisme, le gauchisme, le trotskysme, le tiers-mondisme, etc. Il paraît que l'on a trouvé un nom pour cette attitude assez répandue: la "sinistrophobie". C'est son droit le plus absolu d'avancer des arguments historiques solides pour justifier ses positions politiques. Par contre, il est inadmissible de calomnier les trotskystes. [On se demande franchement comment un incirconcis ose attaquer les trotz... ] Pas plus qu'il ne peut se servir de son aura d'historien sérieux pour diffamer, sans le nommer, un autre courant politique (celui visé par l'expression "intégristes du marxisme antistalinien"): la Gauche communiste dite italienne ou le courant bordiguiste (du nom de son inspirateur Amadeo Bordiga, à l'origine du premier PC italien), représenté en France aujourd'hui par deux publications Le Prolétaire et Programme communiste, et le minuscule Parti communiste international qui prétend défendre effectivement intégralement, à la lettre, le marxisme. Ce groupe ne s'est jamais compromis avec les antisémites ou les négationnistes, comme l'insinue Milza sans le nommer.
Pourquoi ce tour de passe-passe peu reluisant ? Des antisémites (dont Pierre Guillaume) se sont indûment approprié un texte écrit par le Parti communiste international: Auschwitz ou le Grand Alibi, article écrit VINGT ans avant que n'éclate le scandale monté de toutes pièces par la presse, Le Monde en tête, alors qu'il aurait suffi que ce journal mette à la poubelle la lettre de Faurisson et fasse le silence sur cet individu, ses écrits et son microscopique cercle de charlatans. Auschwitz ou le Grand Alibi repose sur une analyse erronée, mécanique, de la question juive[2] et contient de nombreuses formulations qui ont effectivement été reprises par des antisémites.
<http://aaargh-international.org/fran/archVT/vt97/TI970310.html>
Ce texte ne nie absolument pas l'existence des chambres à gaz, par contre il en dénonce, de façon en grande partie fausse et en tout cas extrêmement maladroite, l'utilisation politique qui en a été faite par le camp des démocraties. Mais le fait que ce texte ait été utilisé par des antisémites ne prouve pas que son ou ses auteurs soient antisémites. Est-ce parce que La Question juive de Marx se trouve sur des sites Internet antisémites que Marx était antisémite [le texte se se trouve bien sur le site de l'AAARGH, qui n'est ni marxiste ni surtout antisémite car on n'y sait même pas ce qu'est un sémite] ? Le dirigeant du groupe néo-nazi Unité radicale utilise la détestable expression Shoah Business; cela fait-il de l'auteur du livre homonyme, Norman Finkelstein, un nazi ? [Camus ignore le titre réel du livre de Finkelstein, qu'il n'a pas lu, à l'évidence. Vidal-Criquet recommandait d'ailleurs de ne pas le lire. ] Ces procédés de "discussion" ne sont pas sérieux. Mais surtout que cela ne vous empêche surtout pas de lire le livre de Pierre Milza sur Le fascisme en Europe. Vous y apprendrez plein de choses utiles ! (Y. C.)
Pierre Milza est ce feignant qui a supervisé les devoirs de vacance de Valérie Igounet, qu'elle a osé, avec l'assentiment dudit Milza, présenter comme une "thèse". Ces gens-là prennent leur retraite à la fin de leurs études.
Museum of Jewish history to open in St. Petersburg
St. Petersburg. May 3 (Interfax-Northwest) - The first part of the museum of Jewish history will open in the Russian Ethnographic Museum in early 2006, a Russian Culture Ministry official told Interfax.
All in all, there will be two such museums in Russia, said Anna Kolupayeva, the head of the Culture Ministry's museum department. One of them, the Holocaust Museum, will be part of the Central Military Historical Museum on Poklonnaya Gora in Moscow. The second, a historical-ethnographic museum, will be created in the Russian Ethnographic Museum in St. Petersburg.
The exhibit entitled "Images of One Nation. Jewish Collections of the Russian Ethnographic Museum" will become the main collection of the future museum. It will display dishes, costumes, household objects, talismans, and photographs.
Most of the exhibit's items are unique objects. For example, one of the items is a wedding dress, which was brought to St. Petersburg after the 1916 pogroms. It was covered in dirt and blood back then and has now been restored.
All in all, the Jewish section of the Russian Ethnographic Museum has some 2,500 items.
Le Ha'aretz (qui a une pub pour le lecteur qui voudrait trouver des "Nice Jewish Girls by the tens of thousands" annonce que le nouveau Museo del Holocausto se trouvera dans la villa de... Mussolini lui-même. Rappelons que personnellement Mussolini était judéophile et pro-sioniste.
Rome - The former residence of Fascist dictator Benito Mussolini in the Italian capital will host a museum dedicated to Rome's victims of the Holocaust, the city's mayor said. Rome officials said Tuesday that construction of the museum in Mussolini's Villa Torlonia hasn't yet begun, but that they nevertheless expected the museum to open as soon as 2006.
"It's a place that has a symbolic value and an important meaning for the martyrdom of Jews in our city," Mayor Walter Veltroni said in 27/04/2004 14:07
Le nombre de putes juives semble en hausse, s'il faut en croire ce même journal israélien. Tue., April 27, 2004, Iyyar 6, 5764
<http://www.haaretz.com/hasen/spages/420649.html>
Budapest: ouverture jeudi du premier musée de l'Holocauste d'Europe centrale
par Zoltan Simon
Budapest, 11 avr (AFP) - Le premier musée de l'Holocauste d'Europe centrale, controversé pour le site et le contenu choisis, ouvrira à Budapest jeudi, pour le 60e anniversaire du début de l'enfermement des Juifs hongrois dans des ghettos avant leur déportation. Un total de 600.000 Hongrois, surtout des juifs, ont péri dans les camps de la mort nazis. Plus de 437.000 juifs furent déportés en moins de deux mois en 1944, après la prise de contrôle direct par les Allemands de ce pays allié du Reich pendant la guerre
"Plus qu'un musée, c'est un endroit pour apprendre, surtout pour les jeunes qui non seulement doivent savoir ce qu'a été l'Holocauste mais aussi l'intégrer dans leurs vies pour empêcher que cela puisse se reproduire", déclare le directeur du musée Andras Daranyi. [Toujours le même baratin insipide et mensonger. La zolocaustomanie n'a jamais empêché le moindre massacre, au Cambodge ou au Rwanda, ou ailleurs, et surtout pas en Palestine où l'armée de l'état juif pratique le génocide à grande échelle. Qu'on cesse de nous raconter ces sornettes ! Pitié ! Ce matin, les soldats juifs ont logé deux balles dans la tête d'une petite fille de 3 ans. Voila ce que protègent les "musées de l'Holocauste". Ils nous dégoûtent. ] Le Premier ministre hongrois Peter Medgyessy, le président d'Israël Moshe Katzev et le ministre français des Finances Nicolas Sarkozy, d'origine hongroise, assisteront à l'inauguration.
Situé dans une rue étroite de Budapest, ce lieu de mémoire a été construit à l'emplacement d'une ancienne synagogue qui servit de centre d'internement pour les juifs. Il s'agit du cinquième musée public de l'Holocauste après ceux de Jérusalem, Washington, Londres et Berlin.
La Hongrie est aujourd'hui le pays d'Europe centrale et orientale à la plus forte communauté juive, estimée entre 60.000 et 100.000 personnes. Une des plus grandes synagogues du monde avec un arbre du souvenir est située dans le centre de la capitale hongroise. Pour l'inauguration, une exposition temporaire montre des photos de Hongrois du village de Bilke (aujourd'hui en Ukraine) arrivant à Auschwitz.
Dans la cour, les noms de 40.000 victimes identifiées sont inscrits. D'autres seront ajoutés au fur et à mesure des recherches. [Soixante ans de recherches et ils ont un nom sur quinze ???? Ils se foutent de notre gueule, pour parler poliment. On était déjà révisionnistes avant, alors maintenant…]
Cependant, le musée a été critiqué par des historiens, qui estiment qu'on aurait dû l'édifier à la campagne, où vivaient la majorité des juifs avant la Shoah, ou en tout cas dans l'ancien ghetto de la capitale. De plus, le musée dans un quartier aux rues étroites est difficile d'accès pour les voitures et les autobus. La critique la plus forte cependant est qu'il n'y aura pas d'exposition permanente à ce stade, semble-t-il faute d'espace. "C'est une gifle pour les victimes de l'Holocauste", a protesté le mois dernier Laszlo Karsai, un des créateurs du musée, dans le journal Nepszabadsag. [C'était le journal du parti communiste, de sinistre mémoire...]
Pour le directeur du musée Andras Daranyi, en revanche, même sans exposition permanente à ses débuts, l'essentiel est de lancer un débat de société sur la participation du régime collaborationniste hongrois au génocide [on sent l'urgence du débat…]. Insister sur l'éducation est d'autant plus approprié en Hongrie, que le régime autoritaire fut le premier en Europe à restreindre dès 1920 l'admission des étudiants juifs à l'université. "Comment se fait-il que cette première loi antisémite dégénéra en massacre 20 à 25 ans plus tard? Comment se fait-il que si peu de voix s'élevèrent pour protester?", demande Andras Daranyi. "Nous ne voulons pas donner de réponses, seulement poser des questions", dit-il.
AFP, 11/04/04
La vengeance sans fin
Brussels - The Jewish museum in Brussels has finally moved into its permanent home in a building that used to be a Nazi police station during World War II.
<http://www.expatica.com/source/site_article.asp?subchannel_id=48&story_id=7287>
Le musée ethnographique de Saint Petersburg, logé dans un somptueux palais de l'époque impériale, relève d'une vision naïve et ancienne de l'ethnographie, dont il conserve le nom. Costumes folkloriques, outillage, vaisselle, broderies évoquent, comme des fantomes passés, les différents peuples de l'ancienne Union soviétique. Ajouter les "juifs" à cette collection de peuples quasiment empaillés, ne devrait ni les flatter ni leur faire plaisir. Nous y verrions plutôt le signe que leur présence s'efface (par l'émigration) et que le souvenir qu'ils auront laissé n'est pas beaucoup plus important que celui des Ostiaks, des Tchouvaches ou des Bouriates. C'est l'occasion de rappeler que le Birobidjan les attend de pied ferme. Tout est prêt pour la chute d'Israël. Pas de souci, comme on dit aujourd'hui.
< http://birobidzhan.swarthmore.edu/>
(brut de décoffrage)
imc-france-paris-bounces at lists.indymedia.org wrote on 25/10/2003 14:54:49:
> Bonjour,
> Je suis journaliste et je travaille pour transfert.net
> Quelqu'un a envoyé un email à notre rédaction en nous alertant de la
> présence de messages antisémites sur le site d'indymedia paris.
> > J'aimerais en discuter avec vous. merci de me rappeler au plus vite au 06 8117 26 37 ou de m'écrire à ada at transfert.net (sans répondre à ce mail, merci!)
> Cordialement,
> Ada.
> > voici une partie du message :
> > > Exemples (tous les extraits de textes ci-joints ont reçu une
> pastille verte en
> > haut à gauche du titre qui signifie que le texte a été lu et accepté
par
> > l'équipe de rédaction d'Indymedia comme conforme à leur charte
éditoriale) :
> > > > [Israël a été bâti sur un lac de sang]
> > " ... Voici un bref historique suivi de faits plus récents
contredisant la
> > soi-disant théorie relevant Israel au rang de " rempart contre la
> barbarie " !
> > ! ! Un rempart commettant plus de massacres et crimes que la barbarie elle même ! ! ! ! ! !... "
> > ---> http://paris.indymedia.org/article_theme.php3?id_article=6680
> > > > [y a-t-il une question juive ?]
> > --> http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=7856
> > C'est un extrait de "LA BANQUISE" n°2 p.61-63 (une revue
> négationniste voir :
> > http://www.dignaction.org/negationisme.html).
> > > > D'autres extraits d'un texte de cette revue négationniste ont été
> mis en ligne
> > par un membre de la rédaction d'Indymedia Lilles ("nico" ou
> > "minerval at altern.org") sans mise en garde sur la nature de cette
> revue, voir :
> > [Le militantisme, stade suprème de l'aliénation] sur :
> > http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=980 et ---->
> > http://lille.indymedia.org/article.php3?id_article=1095
> > > > D'autre texte de révisionnistes trainent sur Indymedia Paris comme [nous ne
> > sommes pas des américains !] de Serge Thion, publié sur Radio
> Islam, voir sur:
> > http://abbc2.com/usa/thion.htm
> > ---> http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=6036
> >> > >> ["Jenine, Jénine" Prévu le1 avril et déprogrammé sur Arte]
> > " ... et voilà que le Big Brother Sharono Bushien arrive à le faire
> > déprogrammer. Jusquà quand le lobby sioniste commandera -t-il nos médias ?
> > Jusqu'à quand décidera-til de ce que moi je peux ou ne pas voir ?
> Big Brother
> > est là et il est temps de réagir: il en va de notre dignité . Pnina "
> > ------> http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=1629
> > > > [La liberté d'expression]
> > " ... Je pense en effet qu'il n'est pas possible que ce soit le
> MOSSAD qui ait
> > réalisé les attentats du 11 septembre 2001. Car il n'en avait pas les
> > moyens... Il peut tout au plus avoir eu l'idée de ce triste 11
septembre...
> > Mais, de par le monde, une grosse partie de l'opinion publique
> > arabo-musulmane, voyant tout l'univers à travers la Palestine,
> pense que c'est
> > l'État d'Israël qui a commis le terrorisme massif du 11 septembre. Et
je ne
> > vois pas pourquoi une telle opinion n'aurait pas le droit de
s'exprimer... "
> > --> http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=2255
> > > > [Corinne Lepage, député Verts ou sioniste acharnée ?]
> > ---> http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=8279
> > [Pas de "mur de séparation" pour les dons d'organes]
> > Voir le commentaire: [Les Israéliens...] le 31/07/2003 à 00h11
> > " ...Les Israéliens juifs ne sont pas tous des monstres. C'est le
> sionisme qui
> > est un monstre ! " -->
> > http://paris.indymedia.org/article_theme.php3?id_article=5821&id_mot=4
> > > > [l'antisémitisme poudre aux yeux]
> > " en relançant le débat sur l'antisémitisme, les juifs de France
> veulent faire
> > oublier les crimes et massacres quotidiens commis par l'armée
israélienne en
> > Palestine. Hier, 7 palestiniens (dont 3 enfants) ont été massacrés
> par l'armée
> > israélienne : une moyenne de 29 secondes de temps consacrées à ce
sujet dans
> > les infos et presqu'en dernière partie des JT. alors que le moindre
mort
> > israélien fait les gros titres et, souvent plusieurs jours de suite !
! ! "
> > --> http://paris.indymedia.org/article_theme.php3?id_article=8098&id_mot=4
> > > > [Freud et le Sionisme]
> > Voir le Commentaire: [Il faut démanteler l'État d'Israël]
> > " De même qu'on a démantelé l'État d'Allemagne de l'Est sans
fairecouler une
> > seule goutte de sang, on peut démanteler l'État d'Israël ! C'est la
seule
> > solution ! Le fondement d'Israël, c'est le nettoyage ethnique. A+ do
> > http://mai68.org "
> > > > [le fondement d'Israël, c'est le nettoyage ethnique !]
> > --> http://perso.cs3i.fr/do/ag/527.htm
Liste de diffusion Imc-france-paris, Site du CMI Paris/île de France : http://paris.indymedia.org/
<http://lists.indymedia.org/pipermail/imc-france-paris/2003-October/002823.html>
En janvier dernier, on a pu lire ce "post" sur Indymedia, le site des encrassés de la cervelle:
RÉUNION NEGATIONNISTE AU CŒUR DE PARIS CE SAMEDI 17 JANVIER 2004
Le groupuscule d'extrême-droite "Réseau Radical" est issus du groupe néo-nazi “ Unité Radicale ” dissous il y a bientôt deux ans.
Aujourd'hui, le groupuscule d'extrême-droite teste de nouveau la tolérance des institutions républicaines et des citoyens antiracistes militants en organisant une provocation en plein Paris et au grand jour.
(Rappel : une 1ere réunion identique a été interdite en juin dernier à Livry-Gargan dans le 93 par la Mairie sous pression de la CGT local)
Sous couvert d'une "1ere conférence-débat de la radicalité", le "Réseau Radical" a l'intention de tenir ce samedi 17 janvier 2004, à 14 h 30 une réunion négationniste néo-nazie: SEIN (Société d'Encouragement de l'Industrie Nationale) 4 Place Saint-Germain des Près 75006 Paris Tel : 01 44 39 20 50 Fax : 01 42 84 17 73.
Organisée officiellement par l'association "ARS MAGNA Editions-diffusion" de Christian Bouchet, nous allons assister en plein Paris et au grand jour à la réunion des négationnistes Serge THION, Ahmed RAMI, Pierre GUILLAUME et de leur fan's club, sans oublier la dizaine de membre du groupuscule "Réseau radical".
CETTE PROVOCATION NE PEUT ET NE DOIT BENEFICIER D'AUCUNE IMPUNITE !
LE NEGATIONNISME, LE RACISME NE SONT PAS DES OPINIONS MAIS DES DELITS PUNIS PAR LA LOI !
<http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=14293#commentaires>.
Renseignements pris, c'était pur fantasme. De la fausse nouvelle à l'état brut A notre humble avis, ces pauvres gens se laissent intoxiquer par des petits malins qui émargent aux caisses sionistes, et qui pullulent actuellement.
Bureau national de vigilance contre l'antisemitisme
Drancy le 16 mai 2004
Nous saluons l'initiative de SOS RACISME d'avoir organisé une manifestation pour condamner l'antisémitisme. Le Bureau National de Vigilance contre l'antisémitisme a appelé à rejoindre cette marche. Cependant la faible mobilisation des français, hommes politiques, intellectuels, artistes, etc., nous conduit à penser que l'antisémitisme aujourd'hui dérange ou agace. Cette observation tend à conforter notre pessimisme pour l'avenir, pour les raisons suivantes:
1. Parce que de tous les intervenants, seul Harlem DESIR a osé dénoncer à la tribune l'antisionisme comme source de l'antisémitisme qui sévit depuis trois ans dans notre pays.
2.. Parce que l'organisation par le MRAP et la Ligue des Droits de l'Homme, avec le Parti des Verts, d'une manifestation dissidente, démontre qu'il y a des antiracistes qui peuvent être des antisémites recouverts du masque de l'antisionisme.
3.. Parce que l'on constate que le combat contre le fléau de l'antisémitisme mobilise moins qu'un match de foot ou un concert de rock.
[...]
Sammy GHOZLAN, Président du Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme. Mis en ligne le 17 mai 2004 sur le site
Cette sous-merde d'Harlem Désir, pondue par Mitterrand et Attali en est là: dénoncer les antisionistes. Dès que ça sort du caniveau, ça se rebique.
New York--Now it's official: American troops occupying Iraq (news - web sites) have become virtually indistinguishable from the SS. Like the Germans during World War II, they cordon off and bomb civilian villages to retaliate for guerilla attacks on their convoys. Like the blackshirts who terrorized Europe, America's victims disappear into hellish prisons ruled by sadists and murderers. The U.S. military is short just one item to achieve moral parity with the Nazis: gas chambers. [...]
Nous connaissons des spécialistes qui peuvent fournir des chambres à gaz dans les plus brefs délais, avec mode d'emploi, éclairage idéologique et campagne de communication, effets garantis. Devis sur mesure. Nous écrire.
Le trafic internet pourra être analysé pour le compte des autorités judiciaires. Un test débute lundi à Bruxelles. Le respect de la vie privée pose question
Alain Jennotte
Belgacom va lancer dès lundi un test d'analyse du trafic internet pour le compte de la CCU (la Computer Crime Unit, une unité de la police fédérale belge qui lutte contre la criminalité informatique). L'information a été dévoilée jeudi par la Dernière Heure.
Les "clients" qui feront l'objet de ce test seront en réalité les agents de la CCU eux-mêmes et l'opération est destinée à valider un équipement de la firme israélienne Nice. Le trafic des connexions ADSL, une fois séparé du trafic téléphonique, est acheminé sur le réseau à très haut débit en fibres optiques de l'opérateur, qui charrie simultanément les données de milliers d'abonnés. Un duplicateur optique va permettre de dévier une copie exacte de ces données vers un puissant ordinateur sur lequel les logiciels de Nice seront installés. Ceux-ci pourront alors détecter les petits paquets d'informations en provenance de l'internaute que l'on a ciblé et reconstituer toutes ses communications, qu'il s'agisse d'un e-mail, d'un "chat" ou de la visualisation d'une page web.
Si l'opération est parfaitement légale, elle diffère cependant des écoutes téléphoniques classiques. Dans le cas de l'écoute d'une conversation, c'est la ligne fixe bien identifiée d'un abonné que l'on va mettre sous contrôle. Mais dans le cas du test qui va débuter lundi prochain, c'est l'ensemble du trafic internet d'une partie de Bruxelles qui devrait être scanné, pour que l'on tente d'y détecter les communications des policiers qui joueront le rôle de cobayes. A plus long terme, heureusement, le système pourrait être affiné et ne plus rendre indispensable les recherches sur un tel volume de trafic internet, note un proche du dossier.
Belgacom qui s'est refusé à tout commentaire ne sera pas le seul opérateur concerné. Si les tests sont concluants, l'ensemble des fournisseurs d'accès en Belgique devront installer à leur tour un tel système à la demande des autorités judiciaires. Les coûts du système d'écoute seront à charge des pouvoirs publics mais le fournisseur d'accès à l'internet devra cependant financer l'équipement informatique indispensable à son utilisation par les services de police concernés.
16 avril 2004
<http://www.laviedunet.be/VDN/Viedunet/Telecoms/page_5015_209985.asp>
Contrôler le net.
Naviguer sur internet conduit souvent à tomber sur des contenus plus que douteux. Le gouvernement a rappelé à plusieurs reprises l'importance de la lutte contre la diffusion sur le réseau mondial de "contenus illicites" - racistes, négationnistes ou pédophiles. Le comité interministériel de lutte contre le racisme et l'antisémitisme a ainsi consacré sa dernière réunion, en mars, aux moyens de lutter contre la diffusion de ces idées sur internet. [C'est plus clair que jamais: le gouvernement de la république entend lutter contre des idées. Une telle république ne durera pas longtemps... ] Sur le sujet, la France organisera les 16 et 17 juin une conférence internationale et participera, lors de la conférence de Berlin organisée par l'Allemagne les 28 et 29 avril, à un groupe de travail consacré à l'antisémitisme.
Pourtant, le gouvernement vient de soutenir le Sénat dans sa décision de ne pas exiger une vigilance accrue des hébergeurs et des fournisseurs d'accès internet (FAI) sur les contenus à caractère raciste, négationniste ou pédophile. Les sénateurs ont ainsi voté vendredi 9 avril contre des dispositions inscrites par les députés dans le texte de loi sur l'économie numérique (LEN) qui visaient à imposer aux acteurs internet un contrôle plus strict à l'égard des contenus illicites.
Sur proposition du député UDF de Lot-et-Garonne, Jean Dionis du Séjour, l'Assemblée nationale avait en effet voté le 8 janvier dernier une disposition demandant aux hébergeurs de "mettre en œuvre les moyens conformes à l'état de l'art pour empêcher la diffusion de données constitutives des infractions" d'incitation à la haine raciale, de négationnisme et de pédo-pornographie.
Selon les fournisseurs d'accès internet, la nouvelle loi aurait imposé a priori aux hébergeurs une surveillance généralisée des contenus techniquement impossible. Ils avaient menacé, si le texte était promulgué en l'état, de fermer l'ensemble des services hébergés par les acteurs français: soit les trois millions de sites personnels, les 2.000 forums de discussion, les albums de photos. "L'amendement demandait aux hébergeurs de surveiller toute mise en ligne, de revoir tous les textes et images avant leur publication sur internet", explique Stéphane Markovitch, délégué général de l'AFA (Association des fournisseurs d'accès internet). "Politiquement, c'est très satisfaisant, c'est un beau projet de loi mais, pratiquement, c'est impossible pour nous". [Ce type est une vraie lopette: ce projet de loi, qu'il trouve beau, est un assassinat de la liberté. Ou une tentative. ]
Après le retrait de l'amendement par le Sénat, les fournisseurs d'accès internet et les hébergeurs se sont en revanche engagés à renforcer leurs dispositifs de coopération avec la police pour le signalement a posteriori des contenus illicites, notamment par l'application d'une "charte de bonne conduite".
Cela dit, pour Patrick Bloche - auteur en 2000 d'un texte de loi, encore en vigueur, qui avait pour la première fois posé l'obligation pour les hébergeurs d'interdire l'accès aux sites après tout signalement de contenu illicite - le texte incriminé est beaucoup moins contraignant que ne le laissent entendre les FAI. "Les hébergeurs et fournisseurs d'accès ont estimé, explique le député PS de Paris, qu'on leur demandait quelque chose d'excessif en exigeant une démarche préventive, une vigilance toute particulière à l'égard de ces infractions. Or le législateur voulait seulement les inciter à faire un travail d'alerte et de réactivité, ce qui n'a rien à voir avec de la surveillance généralisée".
Cette interprétation du projet semble plus conforme au texte adopté par les députés, qui précise que les prestataires techniques "ne sont pas soumis à une obligation générale de surveiller les informations qu'ils transmettent ou stockent, ni à une obligation générale de rechercher des faits ou des circonstances révélant des activités illicites".
“Il y a une présentation malhonnête de ce problème par les fournisseurs et hébergeurs internet qui est navrante", estime Marc Lévy, un des avocats de la LICRA. Selon lui, le véritable enjeu du caractère licite ou illicite des contenus sur internet est le débat sur la liberté d'expression. La grande majorité des acteurs de l'internet souhaitent qu'elle soit absolument libre, sur le modèle du premier amendement américain, contre ceux qui considèrent qu'internet est un media comme un autre, régi par la loi de 1881 qui affirme le principe de la liberté d'expression mais en définit aussi les limites. "Sous prétexte qu'un outil, internet, a démultiplié les possibilités techniques de délocaliser son expression en se faisant héberger dans des pays où règne une liberté totale d'expression, par exemple aux Etats-Unis du fait du premier amendement, les acteurs se mettent hors de portée de la loi. C'est une manière de remettre en cause notre système juridique", s'insurge Maître Lévy. [Parce que ce système supprime purement et simplement la liberté d'expression, pauvre noix.]
Par Daphné Matthieu <[email protected]>
La navette parlementaire est terminée, les deux chambres ont adopté la loi pour la confiance dans l’économie numérique. Mais socialistes et communistes vont saisir le Conseil constitutionnel, pour tenter de faire invalider certaines dispositions. Les sénateurs UMP et UDF ont validé le texte élaboré par leurs collègues en commission mixte paritaire fin avril, et déjà entériné la semaine dernière par l’Assemblée nationale.
ZDNet France, Jeudi 13 mai 2004.
Tous les connards qui gueulent au fascisme, là, tout d'un coup, on ne les entend plus. Pourtant, ce serait vraiment le moment de crier très fort. C'est une loi de tyrannie, qui rabaisse le France au niveau de Singapour ou de Pyong Yang. merci les libéraux !!!
Je m’aperçus vite qu’il suffisait de tirer sur un des fils de la "toile" pour remonter toute une filière. Je tapai, par exemple, les caractéristiques du site "AAArgh", trouvées au milieu du compte rendu d’un procès pour diffusion de cassettes pédophiles, et tombai sur d’hallucinantes pages de propagande négationniste. Le site "AAArgh" saluait un site nazi, "abbc.com" qui lui-même sous-traitait les pages d’un autre nid d’adorateurs de svastika, "http.th.vt" dont je constatai qu’il émanait directement d’un ordinateur de la section "Histoire" à la direction du Centre national de la recherche scientifique ! Dans un premier temps, je pensai qu’un chercheur de cette vénérable institution avait choisi de s’installer au cœur d’un réseau de malfaisants afin d’en contrecarrer les actions. Je transmis l’information au ministère de l’Éducation nationale. Vérification faite, il apparut que le responsable du laboratoire d’histoire en question, spécialiste du règne de Saint-Louis, militait depuis quinze ans dans un groupe révisionniste. [...]
<http://www.editions-verdier.fr/banquet/97/n25/cadavre3.htm>
Elle se nomme Patricia Tarpon, de la famille Jetarpogne. Elle n'existe probablement même pas.
Aux juifs de tous pays
Nestor Makhno
Citoyens juifs! Dans mon premier "appel aux juifs", publié par le journal français "Le Libertaire", j'ai demandé aux juifs en général, c'est à dire aussi bien aux bourgeois qu'aux socialistes, et même aux anarchistes tels que Yanovsky, qui ont tous parlé de moi comme d'un pogromeur de Juifs et traité d'antisémite le mouvement de libération des paysans et ouvrier ukrainiens que j'ai guidé, de m'indiquer les faits exacts, au lieu de bavarder dans le vide là-dessus: où et quand dans le mouvement précité, avons nous commis de tels actes?
Je m'attendais à ce que les juifs en général répondent à mon "Appel" de la manière qui convient pour des gens qui désirent révéler la vérité au monde civilisé sur les gredins, responsables des massacres de juifs en Ukraine, on bien encore qu'ils s'efforcent de fonder leurs honteux racontars à mon sujet sur le mouvement makhnoviste sur des faits quelques peu véridiques, puis qu'ils m'en fassent part et les diffusent auprès de l'opinion publique.
Jusqu'ici, je n'ai eu connaissance d'aucun fait de ce genre avancé par les Juifs. Tout ce qui a paru jusau'à présent dans la presse de tout bord, y compris dans certains organes anarchistes juifs, n'a été que le fruit du mensonge le plus éhonté de la vulgarité de certains aventuriers politiques et de leurs stipendiés, tant à mon propos qu'à celui du mouvement insurrectionnel que j'ai guidé. D'ailleurs dans ce mouvement, des unités combattantes révolutionnaires composées de travailleurs juifs ont joué un rôle de premier plan. La lâcheté de ces calomniateurs ne me touche pas, car je l'ai toujours méprisée en tant que telle. Les citoyens juifs peuvent s'en convaincre en constant que j'ai pas dis un seul mot à propos de la pasquinade d'un certain Joseph Kessel, Makhno et sa Juive, roman rédigé à partir de fausses informations sur moi et le mouvement qui m'est lié organisationellement et théoriquement. L'intrigue de cette pasquinade est extraite du texte d'un obséquieux laquais des bolcheviks, un certain colonel Guèraddimenko, jugé d'ailleurs, il y a peu de temps, par les tribunaux tchèques pour espionnage au profit d'une organisation bolchévique.
Ce petit roman s'est également inspiré des articles d'un journal bourgeois, un certain Arbatov, lequel n'a pas craint de m'imputer toutes sortes de violences contre une troupe d'"artistes liliputiens"! Affaire, bien entendu inventée de toutes pièces.
Dans son roman révoltant de mensonges, le jeune écrivain Kessel s'ingénie à me dépeindre d'une manière si odieuse qu'il lui aurait fallu, au moins que dans les passages où il s'inspire des écrits de Guérasimenko et Arbatov, citer ses sources. Dans la mesure où le mensonge joue un rôle principal dans ce roman et que ses sources sont inconsitantes, ma seule réponse ne pouvait être que le silence.
C'est de manière tout à fait différente que je considère les calomnies qui proviennent d'associations juives, lesquelles veulent donner l'impression à leurs coreligionnaires qu'elles étudient avec soin les actions indignes et criantes d'injustices accomplies contre la population juive en Ukraine et dont ces associations veulent dénoncer les auteurs.
Il y a peu de temps, l'une des associations, qui a d'ailleurs son siège social dans le royaume bolchevik, a édité un ouvrage illustré de photographies sur les atrocités commises contre la population juive en Ukraine et en Biélo-Russie, cela à partir de matériaux recueillis par le camarade Ostrovsky, ce qui signifie en clair: de source bolchévique. Dans ce document "historique", nulle part il n'est fait mention de pogrom anti-juifs accomplis par la si vantée "Première armée de cavalerie rouge", lorsque venant du Caucase, elle traversa l'Ukraine en mai 1920. En revanche, ce document mentionne un certain nombre de pogroms et publie en rapport des photos d'insurgés makhnovistes, sans que l'on sache ce qu'il viennent y faire, d'une part, et qui, d'autre part, ne représentent même pas des makhnovistes, comme, par exemple celle qui montre des "makhnovistes en déplacement", précédés d'un drapeau noir orné d'une tête de mort; c'est une photo qui n'a rien à voir avec les pogroms et qui, surtout, ne représente aucunement des makhnovistes.
Une falsification encore plus importante, tant contre moi que contre les makhnovistes, apparait dans les photographies représentant les rues de la ville d'Alexandrovsk, prétendument dévastées après un pogrom commis par les makhnovistes, en été 1919. Ce grossier mensonge est impardonnable pour l'association juive responsable de la publication, car il est de notoriété publique en Ukraine qu'à cette époque, l'armée insurrectionnelle makhnoviste se trouvait loin de cette région: elle s'était repliée en Ukraine occidentale. En fait, Alexandrovsk a été sous le contrôle des bolcheviks, de février à juin 1919, puis des dénikiens jusqu'à l'automne.
Par ces documents, la société juive d'obédience bolchévique commet une grande bassesse à mon égard et envers le mouvement makhnoviste: n'ayant pu trouver de documents pour nous accuser - au profit de ses commanditaires - de pogroms anti-juifs, elle a recouru à la falsification directes de pièces qui n'ont aucun rapport ni avec moi ni avec le mouvement insurrectionnel. Son procédé mensonger est encore plus flagrant lorsqu'elle reproduit une photo - "Makhno, un "paisible" citoyen" -, alors qu'en fait il s'agit d'une personne qui m'est complètement inconnue.
C'est pour toutes ces raisons que j'ai considéré de mon devoir de l'adresser à l'opinion de la communauté juive internationale afin d'attirer son attention sur la lâcheté et le mensonge de certaines associations juives, tenues en sous-main par les bolcheviks, m'accusant personnellement, ainsi que le mouvement insurrectionnel que j'ai guidé, de pogrom anti-juifs. L'opinion juive internationale se doit de vérifier attentivement la teneur de ces affirmations infâmes, car présenter de telles absurdités n'est pas la meilleure méthode pour établir, aux yeux de tous, la vérité sur ce qu'a subi la population juive en Ukraine, sans tenir compte déjà que ces mensonges ne servent qu'à déformer totalement l'histoire.
Dielo trouda, n°23-24, avril mai 1927, pp.8-10.
Two foreigners found dead in Afghan capital, police say
Kabul, Afghanistan (AP) Two foreigners, one carrying a Swiss passport, were found dead in the Afghan capital Sunday after being hit over the head with stones or bricks, police said.
Police said the motive was unclear. But a Swiss official said the killing appeared to be criminal, rather than political, and that the men may have been tourists.
Posted 5/9/2004
On se demande si Jospin n'a pas fini là, comme il aurait dû à Bir Zeit...
Un scandal: libraria romana din Paris
Bernard Camboulives
Amatorul de literatura romana in trecere prin Paris (daca nu cumva e chiar parizian) se va gandi cu siguranta intr-o buna zi sa se duca la libraria romaneasca al carei nume exact este Libraria Cunoasterii - Libraria Romaneasca Antitotalitara. Precizarea de antitotalitara, in anul 2004, adaugata la atributul de romaneasca, ar putea sa surprinda la prima vedere, desi nu-l va soca peste masura pe individul obisnuit care se va gandi ca, in definitiv, denumirea reprezinta urma unui trecut pe care, probabil, proprietarul nu a dorit sa-l dea uitarii prea repede. Romanofilului in trecere nu-i va trebui mult ca sa-si dea seama ca se gaseste nu in fata unui fost focar de lupta contra national-comunismului in versiunea Ceausescu, ci a unei oficine care privilegiaza tezele revizioniste si negationiste indreptate impotriva "gandirii occidentale dominante". Nici mai mult, nici mai putin. Virtualul amator de literatura romana va descoperi, de asemenea, ca antitotalitarismul de care e animata libraria romaneasca este un mijloc de a permite celor care pun la indoiala mai cu seama camerele de gazare, sa-si etaleze ideile. Afara din vitrina cu marile comori ale literaturii romane gen Creanga, Caragiale (tatal si fiul), Eminescu si alti cativa!
Ei vor fi inlocuiti, inca de la sfarsitul anilor 1990, cu manuscrisul foarte controversat al lui Roger Garaudy, Miturile fondatoare ale politicii israeliene, sau cu mediocra prefata a filozofului roman antisemit Nae Ionescu la cartea lui Mihail Sebastian, De doua mii de ani. Si nu atat aceste lucrari atrag astazi atentia vizitatorului, cat intarirea intrarii in librarie printr-o usa blindata si o grila de siguranta. Incredibil! Ce cauta Romania in aceasta combinatie care nu face decat sa-i mai deterioreze un pic imaginea? In martie 1988, un exilat roman, Georges Piscoci-Danesco, recupereaza libraria romaneasca situata pe strada Malebranche la nr. 5 in al V-lea arondisment. Iata ce spune acest domn despre antecedentele sale, despre cele ale librariei pe care o preia si despre intentiile sale: "Înainte, micul local era ocupat de o librarie care functiona mai ales pe baza de comenzi, pentru particulari si biblioteci, si care se specializase in psihanaliza. Din 1966, aceasta librarie fusese, pentru initiati, un punct de vanzare al Internationalei Situationiste...
Specializata in cultura, literatura, arta, istorie si documentatie romaneasca, libraria nu parea sa aiba vreun motiv specific ca sa intervina in dezbaterile franceze. Eu si familia mea am cunoscut persecutiile, inchisoarea, prigoana in Romania, sub domnia Conducatorului - marxist - Ceausescu. Am fost impinsi la exil. Loc de intalnire, de reflectie si de schimburi de idei pentru diaspora romaneasca, libraria era si un instrument de rezistenta la totalitarism, unde se facea schimb de experienta si se coordonau solidaritatile..."[3].
În completarea textului lui Georges Piscoci-Danesco, trebuie sa precizam ca, atunci cand se instaleaza, in 1966, pe strada Malebranche la nr. 5, Internationala Situationista venea din localurile unei librarii vecine (din strada des Fossés Saint-Jacques, nr.1), infiintata odata cu cealalta, cu un an inainte, de Guy Debord (mentorul spiritual al situationistilor) si de Pierre Guillaume (de la revista Socialism si Barbarie). Numele librariei a devenit celebru, caci este vorba de La Vieille Taupe care a contribuit considerabil la raspandirea ulterioara a ideilor revizionismului. Pierre Guillaume asuma singur conducerea librariei, in ciuda dificultatilor (un prim cocktail Molotov in 1966). În 1978, afacerea Faurisson relanseaza La Vieille Taupe care agoniza. Robert Faurisson, conferentiar la Lyon II, tocmai isi facuse cunoscute tezele referitoare la Holocaust in revista Défense de L’Occident. Faptul ca punea sub semnul intrebarii existenta camerelor de gazare indignase opinia publica. Cu toate acestea, Pierre Guillaume hotaraste sa-l sustina, punand, la randul sau, sub semnul intrebarii jurnalul Annei Frank, Zyklonul B, sapunul facut din grasimea evreilor etc.
Este cazul sa ne intrebam cum au ajuns La Vieille Taupe si libraria romaneasca a lui Georges Piscoci-Danesco, situate la cateva zeci de metri una de alta, sa se apropie din punct de vedere ideologic. Iata explicatiile librarului roman: "La inceput, controversele si polemicile starnite in jurul revizionismului si negationismului au trecut pe langa mine fara sa le dau nici o atentie, dar Libraria Cunoasterii se afla la doua sute de metri de La Vieille Taupe, care isi (re)deschisese portile in 1990 si fusese obligata sa le reinchida in 1993 in urma unei serii neintrerupte de agresiuni, amenintari si intimidari, la care s-au adaugat agresiuni fizice soldate cu mai multi raniti... Or, nici una din cartile vandute in aceasta librarie nu fusese interzisa sau condamnata de vreun tribunal!... Pe cat eram de socat sa descopar in Franta procedee inacceptabile care imi aminteau ceea ce cunoscusem sub domnia Securitatii, pe atat tezele revizioniste, sau mai bine zis ce credeam ca stiu despre ele, nu imi pareau a merita mare atentie. Ca sa fiu mai precis, nu era de-ajuns sa raspunzi si sa respingi?
De ce era nevoie de interdictie si de cenzura?". Astfel, conform explicatiilor oficiale, la baza sprijinului pe care libraria romaneasca decide sa il acorde librariei La Vieille Taupe, se afla principiul libertatii de expresie si nu cel al unei conivente intelectuale antisemite. "Experienta mea trecuta, scandeaza deci Georges Piscoci-Danesco, imi permite sa afirm ca libertatea de expresie pentru toti constituie ultimul zid de aparare, si singurul eficace, impotriva oricarui totalitarism". Faptele ulterioare vor confirma acest angajament de principiu. În 1995 apare cartea lui Roger Garaudy: Miturile fondatoare ale politicii israeliene, care reia temele favorite ale lui Faurisson. Urmarea o aflam de la Georges Piscoci-Danesco: "Cand s-a declansat linsajul mediatic al lui Roger Garaudy... si cand dreptul cel mai elementar de a le putea raspunde calomniatorilor lui ii era refuzat de toate mediile, am simtit ca daca nu as fi intervenit impotriva acestei infamii pe cat imi statea in putinta ar fi insemnat sa tradez sensul propriei mele experiente... Iata cum a ajuns Libraria Cunoasterii sa asigure difuzarea a zece mii de samizdaturi ale lui Roger Garaudy...".
Consecintele unui astfel de sprijin nu aveau sa intarzie. Libraria romaneasca este tinta multor agresiuni, din care cea mai importanta are loc la 16 iulie 1996 (data raziei de la Vel d’Hiv). Librarul primeste o lovitura puternica (are nasul si sinusul frontal fracturate). Materialul informatic si telefonic este vandalizat si mii de carti sunt manjite cu vopsea rosie. Concluzia lui Georges Piscoci-Danesco este ca trebuie sa "instaleze pe fatada librariei un... oblon de fier!".
Si cum ramane cu cultura romana? Bineinteles, ea este marele perdant si marele absent. Desigur, Georges Piscoci-Danesco traduce si publica opera (mai ales filozofica) a lui Lucian Blaga, autor care merita efectiv toata atentia noastra, dar cu siguranta ca altminteri decat in acest context ideologic dezastruos pe care Blaga insusi l-ar fi condamnat si evitat. În pravalioara se aliniaza numeroase etajere pline de carti care nu au nimic de-a face cu literatura romana si care arata ca de-aici incolo prioritatea intreprinderii este negationismul si temele lui adiacente. Si atunci de ce sa implici Romania prin aceasta denumire de librarie romaneasca si sa o tarasti intr-o confruntare care nu ar trebui sa-l angajeze decat pe Piscoci-Danesco? Este de mirare ca autoritatile romane din Franta nu au cautat sa puna lucrurile la punct si sa curme o situatie care nu poate decat sa dauneze imaginii Romaniei in tara noastra. Sa existe conivente intre Piscoci-Danesco si Ambasada (care reprezinta statul roman), in asa masura incat acesta sa inchida ochii si sa-si dea binecuvantarea? Este o impresie dezastruoasa care nu poate decat sa intarzie integrarea Romaniei in Europa si sa impiedice corectarea unei imagini degradate pe care acesti romani o dau despre tara lor. Suntem foarte departe de eleganta si rafinamentul editurii poloneze Noir et Blanc (care publica autori romani ca Liviu Rebreanu si Augustin Buzura) si care este prezenta masiv in foarte spatioasa si ordonata librarie poloneza instalata pe bulevardul Saint-Germain[4].
Textul a aparut in revista Les Nouvelles de Roumanie, sub titlul «Mai degraba o vitrina a revizionismului si a negationismului decat a culturii romane». Traducere de Luminita Braileanu
Revista 22, (Grupul pentru dialog social), saptamanal independent de analiza si actualoitate culturala, Anul XIV (735) (6 aprilie - 12 aprilie 2004), Bucuresti. <mailto:[email protected]>
<http://www.revista22.ro/html/index.php?art=859&nr=2004-04-21>
Bernard Camboulives, enseignant, écrivain d'une extrême médiocrité, collaborateur, c'est le mot, littéraire aux Nouvelles de Roumanie, réside à Belfort en France et est marié à une Roumaine. Dans ses articulets, il lèche le cul de l'ambassadeur américain à Bucarest, appelle à l'épuration et demande des procès. Le bel oiseau ! Il s'érige en juge suprême de la classe politique roumaine, il fait le Charon des enfers danubiennes ! Il aurait mieux fallu qu'il restât bougnat, comme son père.
<http://laroumanie.free.fr/lndr/n19/new04.html>
Tlass prend sa retraite ! Le ministre syrien de la Défense, Moustapha Tlass, devrait annoncer son départ à la retraite le 11 mai, jour de ses 72 ans. Une retraite très partielle : elle ne concernera que... ses activités militaires. Le général Tlass conservera bien sûr toutes ses autres fonctions, notamment, du moins dans un premier temps, le poste de ministre de la Défense qu'il détient sans interruption depuis 1970.
Source: Agende de presse sioniste. Elle a oublié de rappeler le truc habituel: Moustapha Tlass reçoit tous les révisionnistes qui passent sur le chemin de Damas. Et il est l'auteur d'un livre qui fait sauter les sionistes au plafond, sur l'affaire du père Toma, victime d'un meurtre en 1840, que beaucoup considèrent comme un meurtre rituel juif : L'Azyme de Sion. Bientôt sur vos écrans...
§=== Hiver 42 : La conférence. Un téléfilm sur la planification de l'extermination des juifs par les nazis
De la conférence de Wannsee, qui s'est tenue le 20 janvier 1942 dans une villa de la banlieue de Berlin, il ne reste aujourd'hui qu'un seul témoignage écrit. Il s'agit du compte rendu rédigé par le SS Adolf Eichmann à la demande du général Reinhart Heydrich, le "boucher de Prague", directeur de l'office central de la sécurité du Reich. Sur ordre d'Hitler, Heydrich réunit ce jour-là une quinzaine de hauts dignitaires du régime nazi, civils et militaires, pour régler une fois pour toutes, en secret, la "question juive". Son objectif, réussi, est d'obtenir l'accord de tous les participants pour une "solution finale" qui permettrait d'exterminer massivement les onze millions de juifs d'Europe et d'URSS recensés par les nazis. La systématisation des chambres à gaz a ainsi été décidée à Wannsee. [On voit que le pauvre connard qui écrit ces lignes ne sait pas du tout de quoi il parle. Il n'a manifestement même pas lu le texte du protocole de Wannsee. C'est vraiment lamentable. ]
Magistrale reconstitution, le téléfilm de Franck Pierson (Oscar du meilleur scénario en 1975 pour Un après-midi de chien), produit par la chaîne américaine HBO, donne vie à ce qui reste l'un des épisodes les plus importants de l'histoire du génocide juif pendant la seconde guerre mondiale. Pour l'essentiel, l'action se déroule dans la grande salle de conférences. Autour de la table, entre deux verres de grands crus, Eichmann (Stanley Tucci, glacial), Heydrich (Kenneth Branagh, impressionnant) et les autres discutent le plus simplement du monde de l'élimination physique de millions de juifs. Dehors, quelques soldats s'amusent avec des boules de neige.
Fusillade ou chambre à gaz ? Monoxyde de carbone (un gaz qui fait ' rosir ' les cadavres, pour la plus grande hilarité de l'assistance) ou un autre mélange chimique ? Telle était la teneur des discussions pendant la conférence. [Invention à l'état pur. Les protocoles ne disent pas un mot de ces choses-là et n'envisagent nullement l'élimination physique des juifs, mais leur déportation vers l'Est. ] Dans un langage administratif cru et sous couvert de normalité, Heydrich organise la mort comme on planifie la construction d'une route. Et avec leurs airs de bureaucrates respectables, les quinze de Wannsee profèrent les pires atrocités, évoquant ouvertement et sans complexe (hormis un ou deux d'entre eux) leur rêve secret. Et c'est bien là toute la force de ce film qui mériterait d'être diffusé, en France, sur une chaîne hertzienne. Car Hiver 42 : La conférence montre que l'extermination des juifs n'est pas le seul fait d'un dictateur fou furieux, mais une action concertée, mise en place par toute une bureaucratie civile et militaire. Une "oeuvre" collective effroyable, érigée en politique d'Etat.
Guillaume Fraissard (stagiaire archinul)
Le Monde, 27 mars 2004
Ce ramassis d'inventions est devenu une sorte de "catéchisme" de la nouvelle religion zolocaustique. Ce catéchisme trouve maintenant ses propagateurs.
§=== Des flics juifs sur le net:
1) Richard Eaton, Simon Wiesenthal Center researcher who monitors hate groups worldwide: <[email protected]> <www.jewwatch.com>
2) ELECTRONIC FIGHT SYSTEM, The Jewish Internet Association, Chuck Chriss, President
<[email protected]> <http://www.jewishinternetassociation.org/>
3) Internet Haganah: Confronting Islamist Terrorism and its Supporters Online <[email protected]> Haganah B'Internet: Defending Israel and the Jewish People <http://haganah.org.il/haganah/>
4) ELECTRONIC WEB POLICE <http://www.web-police.org/>
<http://www.intergov.org/forms/wp_crimereport.html>
§== Révisionnisme ensablé. Emmanuel Anati, Les Mystères du mont Sinaï, Har Karkom. Paris, Bayard, 226 p., 23 euros. "Et si le Sinaï n'était pas où l'on croit ? Emmanuel Anati, paléontologue italien, enseignant à Paris et en Italie, nous livre le résultat étonnant de trente ans de fouilles. Une thèse révolutionnaire sur le mont Sinaï".
L'attribution de toponyme connus par la littérature à des lieux fouillés par les archéologues est une source de débats sans fin. L'auteur a fouillé un lieu, Har Karkom, riche en objets paléo et néo qui donnent à penser qu'il s'agit d'une "montagne sacrée". Soit. Le lieu se trouverait, d'après l'auteur, "dans la zone probable de la montagne sacrée de Moïse". Le bonhomme doit se trouver, lui, dans "la zone probable de la crédulité". Manque de bol, il ne trouve pas de vestiges attribuables au IIe millénaire et singulièrement au XIIIe s. av. J.-C., "date habituellement proposée pour l'Exode de Moïse". Plutôt que de renoncer à attribuer un toponyme à un lieu qui reste muet, ou de mettre en doute le mythe de Moïse, il déplace allégrement la chronologie, cette fragile construction appuyée sur des suppositions. C'est le désir de s'accrocher à des mythes et de replâtrer cet édifice chancelant qui anime l'auteur, d'ailleurs sorti de sa zone de compétence. Le révisionnisme est là: un demi-siècle de fouilles dans la région a montré que les histoires de l'Ancien Testament ne valaient pas un pet de lapin, et qu'elles aveient été concoctées à une date tardive. Les mythes ont la vie dure, nous en savons quelque chose.
La bibliographie de cet "italo-israélien", nettement mégalomane et affairiste, témoigne des affolantes théories de ce demi-savant, qui vulgarise une science dont il fait très bon marché.
<http://www.festivaletteratura.it/fr/archivio/schedaautore.php?autid=139>
§=== Tout Dumas (bientôt) en ligne. Un travail aussi herculéen qu'Alexandre Dumas (père) et son père, le général ! On recommande un roman un peu méconnu mais qui exprime l'anticolonialisme de Dumas; Georges (1843)
<http://www.dumaspere.com/pages/biblio/index.html>
§=== A pays des Hurons. La publication Rémanences: Evocations de l'Holocauste dans les arts et la littérature canadiens contemporains est le résultat de l'exposition et du colloque tenus au Musée de l'Holocauste de Montréal et consiste en deux parties. La première examine l'exposition Rémanences, laquelle présentait des œuvres inspirées de souvenirs de la Shoah exprimés par des artistes nées vers la fin ou après la Seconde guerre mondiale qui furent touchées par la guerre et l'Holocauste. Ces artistes sont Sorel Cohen, Katja MacLeod Kessin, Mindy Yan Miller, Marie-Jeanne Musiol, Wendy Oberlander, Sylvia Safdie, Yvonne Singer et Marion Wagschal.
La deuxième partie est un rassemblement d'essais et de créations littéraires d'artistes visuels et d'interprétation, d'écrivains et d'historiens culturels qui ont participé au colloque pour discuter de l'impact de l'Holocauste sur l'art et la littérature au Canada au cours des dernières années. La diversité des présentations, dont articles érudits, présentations vidéo et lectures littéraires, est reflétée dans ces créations artistiques, académiques et personnelles. Les auteurs sont Doug Beardsley, Lisa Marielle Bleyer, Irena Eisler, Tibor Egervari, Gary Evans, Linda Frimer, Reesa Greenberg, Katja MacLeod Kessin, Loren Lerner, Bernard Lévy, Claudine Majzels, Marie-Jeanne Musiol, Norman Ravvin, Régine Robin, Yvonne Singer, Judith Thompson et Belarie Zatzman.
Rémanences est la première publication du genre à examiner les études de l'Holocauste avec un regard canadien sur les arts et la littérature.
Loren Lerner (professeur agrégé en histoire de l'art à l'université Concordia)
§=== Antizion. Au nom de la Torah - Une histoire de l'opposition juive au sionisme, de Yakov M. Rabkin, aux éditions Les Presses de l'Université Laval (Canada) [250 pages - 21 euros - ISBN : 2763780245]
L'association des juifs avec l'État d'Israël est facile, presque automatique. "L'État juif" et "l'État hébreu" sont devenus des termes courants. Pourtant, parmi les partisans inconditionnels d'Israël, il y a moins de juifs que de chrétiens. Le présent ouvrage explique ce paradoxe apparent et met en évidence l'opposition au sionisme articulée au nom de la tradition juive. Cette opposition mine la légitimité proprement juive de l'État d'Israël et représente, selon un expert israélien, «une menace plus fondamentale que l'hostilité arabe et palestinienne». Les racines de l'opposition juive à l'existence même de l'État d'Israël est un phénomène souvent occulté, voire même censuré et provoque autant de colère que de curiosité.
Yakov M. Rabkin est historien à l'Université de Montréal (Québec, Canada). Ses champs de recherche sont l'histoire juive contemporaine et l'histoire des sciences. Outre son cursus universitaire, il a étudié le judaïsme auprès de plusieurs rabbins au Canada, en France et en Israël.
§== Petit grenouillages chez les prétendus amis des Palestiniens dont la seule utilité sociale est de protéger l'Etat juif de la revendication globale desdist Palestiniens, à savoir, barrez-vous, vous n'êtes pas chez vous. La malicieuse Ginette Skandrani ayant titillé les sionistes de l'Union Juive Française pour la Paix qui, malgré son nom, se prétend "opposée à tout communautarisme" en leur envoyant un message intitulé "La barbarie c'est le colonialisme, la torture n'est qu'un de ses avatars", un certain Pierre Stamboul s'est mis à couiner qu'on ne devait pas parler avec des "négationnistes". Ce n'est pas grave, elle est habituée à ces éructations, c'est une pathologie répandue.
Mais ce qui est plus amusant, pour les vieux flâneurs parisiens que sont, en tout cas, certains d'entre nous, c'est de voir moucher ce Stambouliote égaré par Claude Karnoouh, qui fut jadis de la bonne compagnie des révisionnistes et qui écrit aujourd'hui ceci: "Le B.A. BA de l'art de la guerre de Sun Tse vous avise simplement qu'il faut utiliser la force de son ennemi pour le basculer. Or, que font les sionistes, ils utilisent la Shoah pour vendre au monde esbaudi et tétanisé la mort des juifs européens... Mais les Arabes palestiniens n'y sont pour rien... Donc, ne vous battez pas contre ces délirants que sont les négationnistes, leurs thèses sont fausses, mais il y a tellement de thèses fausses en histoire, vous perdez votre temps et renforcez votre adversaire.
Regardez plutôt du côté d'Israël Shamir et de Vanunu. Eux se moquent des négationnistes, ils ont compris que l'urgence est de combattre aux côtés des Palestiniens (pas des mondains qui vivent tranquillement à l'étranger) ou de dénoncer la fabrication et la potentialité d'usage des armes de destruction massives israéliennes..." (mail du 12 mai 2004).
On voit que Karnoouh a été traîné injustement dans la boue par la bande à Denainxxx et qu'il est devenu, ou redevenu, tout à fait fréquentable. Il a tort de croire que Shamir et Vanunu se moquent des révisionnistes mais c'est une autre affaire. Maintenant reste la question de savoir si Karnoouh croit ce qu'il écrit, ou s'il joue du billard à quatre bandes. Va savoir, mon fieu...
§=== Mauvaises lectures. J’étais en train de lire l’article publié en page 12 du n° 318 du Libre Journal quand une patrouille de police qui surveille le train passe à mon niveau. Un policier jette un coup d’œil sur le journal au passage et remarque le titre : «Raffarin nomme une police juive pour surveiller Internet». Il arrête net ses collègues et, fixant alternativement mon regard et mon sac a dos (jolie acrobatie !) il me somme à haute voix, devant les voyageurs médusés, de le suivre afin de "procéder à des vérifications."
<http://www.francecourtoise.info/04/320/page.php?id=03edi>
§=== Vla aut'chose ! Un lecteur italien signale le fait étrange suivant: Oriana Fallaci, grande gueule du journalisme italien, qui s'est signalée récemment par un très violent libelle anti-musulman, La Rage et l'Orgueil, vient de sortir un nouveau livre en Italie, La forza della ragione (ed. Rizzoli), dans lequel, nous dit-on, elle prend vivement à partie les lois anti-révisionnistes et défend Gaston Amaudruz et Robert Faurisson en réclamant qu'on leur laisse la liberté de s'exprimer. Ce doit être le salaire de nos horribles péchés. Quand on pense que des zozos de gauche ayant prétendu interdire son livre, elle avait trouvé comme avocat le très horrificque William Goldnadel, descendant d'une longue lignée de vampires transylvains, on se dit que le malheureux risque d'avaler son dentier à la lecture du nouvel opus de la diva.
Affaire à suivre
Ieri ho sfogliato in libreria il nuovo libro di Oriana Fallaci, La forza della ragione (ed. Rizzoli). A parte qualche battuta che mi è rimasta sullo stomaco, mi è sembrato un eccezionale e salace pamphlet contro la visione politica teocratica dell'Islam e le devastazioni che produce all'identità europea.
Ma non è questo il punto. Mi riservo di approfondirlo dopo aver letto il libro che comprerò oggi, soprattutto dopo aver letto che, in questo libro e senza infingimenti di parole, Oriana Fallaci critica le leggi liberticide antirazziste e difende vigorosamente Gaston Armand Amaudruz, direttore de Il Courrier di Continent con cui collaboro dal 1995, incarcerato a 80 per i suoi articoli ("ha criticato la versione ufficiale della storia. Cosa oggi proibita. Alla faccia della libertà di espressione !") e il prof. Robert Faurisson, reo solo di pensare controcorrente.
La Fallaci è la prima intellettuale di punta che in un suo libro ad altissima tiratura non ha paura di difendere il diritto alla libertà di espressione dei revisionisti.
mailto:[email protected]. April 20, 2004
§=== Thèses et foutaises. Le Monde du 27 décembre 2002 donnait l'annonce suivante (payante) dans son Carnet:
Soutenances de thèse
Le 18 décembre 2002, Michel Lafitte a soutenu à l'EHESS sa thèse «L'Union Générale des israélites de France, 1941-1943. Les organisations juives d'assistance et leurs limites légales au temps de la Shoah»•
Le jury, présidé par M. Jean-Pierre Azéma (IEP), composé de Mme Annette Wieviorka (CNRS), directrice de recherche, de M. Pierre Vidal-Naquet (EHESS) rapporteur, de M. Robert Frank (Paris-I) et de M. Henry Rousso (IHTP), lui a décerné la mention Très Honorable et les félicitations à l'unanimité.
On remarquera que le jury est à 100% juif. C'est ce qu'en anglais on appelle "damage control", et le faire remarquer s'appelle de "l'antisémitisme" (on fait des manifs à trois, contre). Le rapporteur est un helléniste dépourvu de la moindre compétence professionnelle dans le domaine en question. Ses ridicules travaux d'amateurs sur ce genre de sujet se bornent à des préfaces généralement moralisantes.
Signalons que dans le système actuel, les thèses sont accessibles à partir de toutes les bibliothèques universitaires, et d'autres, soit immédiatement sous forme de microfiches, soit en prêt inter-bibliothèques. les amateurs peuvent donc lire cette thèse facilement. Voir le Fichier central des thèses - quand le serveur de Paris-X marche (??):
§== Voir Voline, La révolution inconnue, le plus grand livre sur la révolution de 17:
<http://kropot.free.fr/Voline-revinco.htm>[1] Pierre Vidal-Naquet commet d'ailleurs le même type d'erreur ou d'amalgame que Milza puisqu'il écrit dans un article à propos du révisionniste Paul Rassinier: "Ses héritiers spirituels sont une secte "marxiste", La Vieille Taupe, elle-même issue, par plusieurs intermédiaires d'un groupe dissident du trotskisme, Socialisme ou Barbarie." La Vieille Taupe N°1 n'était pas une secte mais un groupe assez informel de copains et une librairie où l'on trouvait autant de propagande marxiste qu'antimarxiste, voire “anticommuniste de droite” (anciens collabos passés à la SFIO, écrivains de droite ou d'extrême droite, transfuges anticommunistes de l'Est, etc.).
Pierre Guillaume, dans sa période publiquement antisémite (dite période de la Vieille Taupe N° 2), ne peut être qualifié de marxiste, même en y ajoutant des guillemets.
Quant à Socialisme ou Barbarie, le qualifier de "groupe dissident du trotskysme" ne peut qu'induire le lecteur non averti en erreur, quand on sait la fulgurante trajectoire qu'ont parcouru ses dirigeants - Lyotard, Mothé, Lefort et Castoriadis - en une vingtaine d'années, de la critique radicale du capitalisme à l'abandon de toute perspective révolutionnaire, pour des raisons diverses qu'il serait trop long de détailler ici.
[2] Cf. La rubrique "Limites de l'antisionisme" dans les numéros précédents ainsi que l'article “ Onze points de démarcation sur la prétendue question juive, le sionisme et l'antisémitisme" au début de ce numéro.
[3] Extrasele pe care le prezentam provin dintr-o declaratie de intentie redactata in 1997 de Georges Piscoci-Danesco, consultabila pe site-ul Internet al librariei romanesti. Din 1998, libraria romaneasca poseda un site Internet gazduit de cel al AAARGH (Asociatia Fostilor Amatori de Razboaie si Holocausturi) creat in 1996. Evident, site-ul este negationist si se numara printre cele mai active care afiseaza aceasta tendinta ideologica. Creatorii lui sunt Pierre Guillaume si Serge Thion. Acest cercetator in sociologie la CNRS (destituit in octombrie 2000) este calificat de Pierre Vidal-Naquet ca fiind "cel mai infam si cel mai pervers deoarece este cel mai inteligent dintre negatorii camerelor de gazare hitleriste". Din cauza dificultatilor pe care le are in Franta pentru a-si mentine site-ul, a cerut azil Internet in SUA. La Vieille Taupe (Batrana Cartita) este prezenta pe site sub denumirea de Organ de critica si de orientare post-mesianica si difuzeaza un buletin confidential destinat abonatilor care constituie Asociatia Prietenilor Batranei Cartite.
[4] Libraria poloneza de la Paris exista din epoca care a urmat insurectiei poloneze din 1830 impotriva Rusiei tariste. A fost, pe vremea aceea, centrul vietii intelectuale foarte bogate a emigratiei. Cei mai mari poeti - Adam Mickiewicz, Julius Slowacki si Cyprian Kamil Norwid isi compun la Paris capodoperele care sunt apoi introduse clandestin in Polonia. In 1925, Libraria poloneza se instaleaza in localul pe care il ocupa actualmente pe bulevardul Saint-Germain, la nr. 123. Dupa preluarea ei de catre editura Noir et Blanc in 1991 si dupa serioase lucrari de renovare, aceasta venerabila institutie poloneza si totodata pariziana spera sa continue vechea si frumoasa sa traditie: sa slujeasca de pol cultural pentru polonezii din emigratie, pentru cei in trecere prin capitala Frantei, ca si pentru toti cei interesati de aceasta regiune a lumii. Editura Noir et Blanc, condusa de Vara Michalski, poseda o superba vitrina in centrul literar al Parisului. De retinut: Comitetul de sponsorizare a editurii Noir et Blanc si a Librariei poloneze de la Paris comporta o lunga lista de personalitati, printre care doamna Jacques Chirac, istoricii Franois Fetjõ, Jacques Le Goff, René Rémond, scriitorii Ryszard Kapuscinski, Czeslaw Milosz (laureat al premiului Nobel), Elie Wiesel (laureat al premiului Nobel), filozofii André Glucksmann, Leszek Kolakowski, cineastul Andrzej Wajda, compozitorul Krysztof Penderecki etc.
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ARTICLE 19 <Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo tem direito à liberdade de opinião e de expressão, o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração de fronteiras, informações e idéias por qualquer meio de expressão.> Déclaration universelle des droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret unArticle 11 - 1. «Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.»Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000."Congress shall make no law respecting an establishment of religion, or prohibiting the free exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the press; or the right of the people peaceably to assemble, and to petition the government for a redress of grievances." -- The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First Ten Amendments to the Constitution of the United States of America), connu sous le nom de "premier amendement". |