AAARGH
édito 1 Le droit à l'indifférence
L’humanité commémore et les négationnistes sombrent… Par Albert Bellaïche
L'Italien Marcello Pezzetti dénonce, Propos recueillis par Patrick Vallélian
La mémoire de la Shoah s'est construite par à-coups, au gré d'une succession de crises, Nicolas Weill
Une mauvaise manière d'enseigner l'histoire, Abraham Cooper et Harold Brackman
Les chambres à gaz ont démarré en... 1933
Tsunami à Gaza, par Israel Shamir
Anti-Semites evolving New breed practising on university campuses, By Ezra Levant
20th Anniversary of the Great Holocaust Trial, by Michael A. Hoffman II
Renforcement de la sécurité à l'aéroport de Nice après une menace d'attentat au Zyklon B
Allegations Against Survivors’ Lawyer, Stewart Ain
Japon: la droite révisionniste fait son entrée au collège
FUROR TEUTONICUS Horst Mahler prend neuf mois
L'insupportable chape de plomb, Interview de J.-M. Le Pen
Jean-Marie Le Pen et le piège judiciaire, Raphaëlle Bacqué
Un lycéen exclu pour des propos antisémites lors d'une sortie à Auschwitz
Auschwitz: la preuve oubliée, Guillaume Fraissard
Un entretien avec le président du Conseil international du musée d'Auschwitz-Birkenau, Wladyslaw Bartoszewski, Arielle Thedrel
The Holocaust Denier Who [is now PA President] By Rafael Medoff
Pour Asharq al Awsat, la commémoration de la libération des camps de concentration représente un "cadeau inestimable à Sharon"
LE GALONNÉ ROGERIE: CHAMPION DU MONDE DE LA CONNERIE
Après la liste ignoble, "l'ouvrage" négationniste interdit en France... Indymédia persiste et signe, Pierre Lefebvre
L'affaire Garaudy, d'un incertain jcv-vidal
Merci Goethe, Le président Monfort avoue qu'il pense que la loi Gayssot est injuste avec Jean-Yves Monfort, Elisabeth Lévy
NÉGATIONNISME, Avigail Abarbanel
Gas Chamber Survivor Who Found Love at Belsen, By Laura Elston
ATTENTION: OPÉRATION SIONISTE D'ÉTOUFFEMENT DES CRITIQUES :
"BONHEUR JUIF, LARMES RUSSES"… Saisine du procureur général de Russie: la letttre traduite intégralementKarl Kraus, Pressac, Mattogno, Ingrid Weckert, Dubitando, Darius Ratajczak, Philippe Bilger, etc.
Le maire de Paris Bertrand Delanoë a dit son "respect, admiration, affection"
pour ceux qui ont vécu "cet enfer". "Je compte beaucoup
sur cette exposition pour faire que la vérité triomphe",
a-t-il ajouté, estimant que "le seul fait que
le négationnisme existe est une forme de crime".
"A ceux qui voudraient nier cette réalité, nier ces faits,
nier cette histoire, je dis solennellement qu'ils seront poursuivis
avec toute la rigueur de la loi", a assuré le président Chirac,
avec un geste du menton qui nous a bien fait rire.
Ils nous cassent les pieds. Trop c'est trop. Ils nous lassent. Tous les jours il en font des tonnes et des tonnes. Mais il faut qu'ils le sachent, une bonne fois: Auschwitz, tout le monde s'en fout. Dans un passé lointain... Oui. Mais 60 ans après, avec toutes ce simagrées, ce Sitruk qui fait semblant de chialer, toutes les énormes conneries qui se profèrent un peu partout, le savon à tous les étages, il y a longtemps que le point de saturation est atteint. Tels ces gamins que l'on force à faire un voyage grotesque dans un lieu dépourvu du moindre intérêt, nous revendiquons le droit à l'indifférence. Quand nous entendons, le mot Auschwitz, nous sortons notre oreiller. Plus le temps passe, et plus ils veulent grossir la bête. On nous corne aux oreilles qu'il s'agit là d'un événement unique dans l'histoire de l'humanité. Unique mon cul! Des massacres, avant, et depuis, il y en eut, en veux-tu en voilà. Regardez ce qu'ils font en Iraq et en Palestine, et dites-moi que c'est moins pire, que les types qu'on zigouille en masse sont pas tout à fait aussi innocents, qu'ils ont la gueule de travers et que, bref, ils ne ressemblent pas à des tailleurs de Cracovie ou de Riga... Abou Ghraib, Guantanamo, Bagram, tous ces centres de tortures, non, vraiment, vous ne voulez pas comparer? Le nez trop délicat peut-être?
C'est vrai. Ce que ces gens-là ne réalisent pas, c'est que leur tintamarre obsédant amène de plus en plus de gens à trouver qu'après tout l'antisémitisme, comme résistance à l'oppression idéologique des sionistes, est une bonne et non une mauvaise chose. Il disent que l'antisémitisme monte. Ils le disent toujours, depuis plus de cent ans. On pourrait se prendre à espérer que cela soit vrai.
Il y a quand même quelques petites évidences à rappeler. Quand ils sont entrés à Auschwitz, les Soviétiques n'ont rien remarqué d'anormal. C'est quelques jours plus tard, qu'ils se sont avisés de monter un scoop: ils ont mis en scène l'entrée de l'Armée rouge dans le camps. Il n'a pas été difficile de trouver quelques dizaines d'internés communistes pour faire la claque. Ils n'avaient pas l'air dénutris. Et puis les ténors de la presse stalinienne se sont emparés du morceau: Boris Polevoï, journaliste juif soviétique, a inventé de toutes pièces une "usine de la mort" qui ressemblait à une usine sidérurgique et dans laquelle des tapis roulants emportait les malheureux juifs gigotants pour les déverser dans la gueule d'un haut-fourneau. Image de Moloch. Demandez-vous pourquoi cette fable-là n'a plus cours alors que d'autres font un tabac, 60 ans après.
Ensuite, le silence est retombé sur Auschwitz. On en a parlé un peu à Nuremberg, mais le tribunal ne s'est pas déplacé et n'a pas envoyé d'enquêteurs sur place. Le silence et le rideau de fer sont retombés sur Auschwitz, désormais vide, et aux mains des communistes soviétiques et polonais. Cette période est encore obscure. Mais c'est de ces discussions entre bureaucrates communistes qu'est née l'idée de faire d'Auschwitz un... musée. Et un musée qui aura une fonction très particulière. Auschwitz va devenir une sorte de zone extra-territoriale, une sorte de Tanger de la Vistule. Les communistes sont sous la pression des Anglo-Américains qui commencent à regretter d'avoir laissé les Soviétiques prendre tant d'espace en Europe centrale. C'est le début de la guerre froide, le blocus de Berlin brisé par le pont aérien américain. Partout, les communistes sont repoussés, isolés, assiégés. Chassés du gouvernement à Paris, ils sont sans alliés et perdent tous les avantages politiques que leur tactique d'union nationale avait apportés pendant et juste après la guerre.
La muséification d'Auschwitz va dès lors servir à percer le rideau de fer. En invitant des délégations d'anciens déportés, de tous bords politiques, à venir se recueillir dans un environnement adapté, les communistes essaient de faire revivre cette union des forces "patriotiques" qu'ils voudraient rassembler pour chasser les Américains d'Europe: US go home, Ridgway go home! Et ça marche. Les lieux à Auschwitz ont été sérieusement remaniés; retaillés. Des reconstructions prennent place. Des expositions, cheveux, vêtements, sont artistiquement renouvelées. On restaure dans certains coins, on abandonne aux herbes folles certains autres, comme les prétendues chambres à gaz. Hors sujet, hors circuit. Une véritable équipe de muséographes est à l'œuvre. Les travaux durent deux ans, et se poursuivont par la suite, avec divers aménagements, et la providentielle "découverte" de bouteilles enterrées contenant des "messages". Pire que Fatima! D'ailleurs les équipes spécialisées dans la confection de ce genre d'exhibitions-monstres de nature politique vont faire école. Un peu partout, dans les pays communistes, on multiplie les musées de dénonciation politique des régimes antérieurs et des crimes américains. Quand les États-Unis abandonnent le Viêt-Nam, en avril 1975, c'est une équipe de muséologues nord-viêtnamiens formés à Auschwitz qui installe à Saigon des musées des "crimes de l'impérialisme" et autres "musée de la révolution" avec guillotine et photos jaunies où se précipitent les délégations officielles. Ce sont les mêmes qui se transportent au Cambodge, dans les fourgons de l'armée viêtnamienne, et qui installent la scénographie du "musée du génocide" à Tuol Sleng, un ancien lycée qui a servi de centre d'interrogatoire à la police politique du régime Pol Pot. Auschwitz est la matrice de toutes les mises en scène de la manipulation politique communiste. Le rôle des juifs, dans les années 40-50, est réduit à peu de choses.
Ainsi le lien est continu, entre la récupération d'Auschwitz et les mises en scènes macabres des communistes asiatiques ivres de leur victoire. La mythologie d'Auschwitz, alimentée par un flot continu de publication et d'images, est au départ une opération purement stalinienne. Dans le flot de visiteurs, les services spéciaux de l'Est cherchent à identifier des recrues potentielles. Et il n'en manque pas. Citons l'exemple du docteur Authier, ancien résistant, interné en Allemagne, visiteur d'Auschwitz, qui noue des liens avec d'anciens "internés" polonais. Il retourne ensuite à son poste de médecin au Sud Viêt-Nam, où il a de bonnes relations avec l'entourage de Diêm et avec les militaires. Son contact d'Auschwitz débarque à Saigon dans le cadre de la Commission internationale de contrôle où siègent les Polonais. En deux coups de cuiller à pot, le brave Dr Authier se retrouve au service des renseignements militaires polonais qui ont trouvé leur taupe dans le piège d'Auschwitz. Le Comité international d'Auschwitz est resté longtemps un intrument de pénétration dans les milieux politiques occidentaux.
Par la suite, au prix de reptations infinies, de manœuvres silencieuses et de gros chèques en dollars, les lobbies juifs se sont insinués dans la combine et ont fini par prendre le pouvoir, quand les communistes ont plié bagage et se sont reconvertis à l'économie Coca-cola. 60 ans de communisme sont partis en l'air comme une feuille de papier qui brûle, virevolte et tombe en cendres. On a à nouveau remanié le camp, déplacé des objets, retiré les plaques, donné un coup de cosmétique, bref, on a entrepris de judaïser Auschwitz pour en faire la pointe de diamant du chantage mondial exercé par Israël pour faire accepter en silence sa politique de génocide en Palestine. Opération réussie, il faut bien le dire. Et qui justifie notre refus viscéral: il est temps de raser ces ignobles baraques, d'en faire un grand feu de joie et d'oublier ce lieu où souffrirent des hommes et des femmes réels, trahis, manipulés, relookés par les actuels tortionnaires et assassins juifs, qui n'ont qu'un but: le nettoyage ethnique de la Palestine et du Moyen-Orient.
Quand on dit non au racisme, on dit non à Israël
Quand on dit non au fascisme, on dit non à Israël.
Quand on dit non à Auschwitz, on dit non à Israël.
25 janvier 2005
Rien ne me semble plus ignoble après une guerre d'honorer les victimes des uns et de trouver normales les victimes des autres. Alors que toutes les victimes sont victimes d'une expression extrême de la stupidité dont les humains sont capables. Et un petit pourcentage de personnes savent que Staline avait fait beaucoup plus de victimes que Hitler. Et un petit pourcentage du premier pourcentage sait que sans Staline, il n'y aurait pas eu de Hitler. Ou plutôt que sans le bolchevisme, il n'y aurait pas eu de fascisme.
Ma propre culture historique n'est d'ailleurs pas terminée (il est permis de rire), et dans Monologue im Führer-Hauptquartier 1941-1944 (monologues dans le quartier général du Führer) que j'ai trouvé chez un bouquiniste, j'ai trouvé une déclaration surprenante de Hitler. Il y déclare que si Staline avait pu rester au travail dix ou quinze ans de plus, l'Union soviétique serait devenue l'État le plus puissant de la terre... en deux ans ils ont construit des usines ayant la dimension des Hermann-Göring-Werke... ils ont des voies de chemin de fer qui ne se trouvent même pas encore sur les cartes... Staline... un ascète qui tient ensemble cet immense empire d'une main de fer. Celui qui dira qu'il s'agit là d'un État social exprimera une incroyable tromperie. Il s'agit là d'un État capitaliste... et à sa tête un homme qui dit: trouvez-vous la perte de 13 millions d'individus trop cher payer pour la réalisation d'une grande idée? "
Un discours tout de même incroyable, qui n'est pas le produit d'un imbécile. Et qui pourrait faire plaisir aux communistes de tous les temps et de tous les pays. Mais qui permet aussi de se faire une idée de ce que pourrait être l'Europe aujourd'hui si les événements n'avaient pas arrêté le parcours de Staline. Tout en sachant en outre que tout pouvoir, surtout s'il est grand, tombe rapidement entre les mains des parasites. Et qu'il ne reste alors pas grand-chose d'une grande idée qui a coûté cher, comme nous le voyons aujourd'hui en Russie.
Hitler avait donc de l’admiration pour Staline. Et l’avait peut-être pris comme modèle, surtout dans la manière de mettre des indésirables dans les camps. Mais si on lit Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier, le seul livre courageux et vrai sur un camp que je connaisse Rassinier reconnaît lui-même qu’il avait triché pour survivre et que la principale menace de mort pour un individu n’était pas les Allemands, mais les prisonniers qui s’étaient emparés de la direction du camp la vie dans un camp de Hitler ne semble pas comparable à celle dans un goulag de Staline telle que la décrit un Soljenitsine.
Que l’on commémore aujourd’hui des victimes d’il y a 60 ans, dans un conflit où il s’agissait au départ d’empêcher le bolchevisme de conquérir le monde, et de ne rien dire, ou peu, et faux, sur ce qui se passe aujourd’hui en Palestine, un conflit dont l’explication devrait être donnée par des spécialistes en psychiatrie religieuse, s’ils existaient, me semble incroyable. Incroyable si on voit juste ce point. Pas si incroyable que cela quand on se rappelle de Nietzsche disant que le suffrage universel amenait des faibles et des paresseux aux pouvoirs et que la démocratie moderne était la forme historique de la décomposition de l’État. Commémorer quelques victimes bien sélectionnées d’un conflit et ignorer toutes les autres, tout en ignorant les victimes d’aujourd’hui, victimes sous nos yeux, commémoration donc raciste au plus haut degré et pour bien indiquer le degré, il faudrait introduire dans une langue les indices de puissance des mathématiques , une telle commémoration démontre bien que pratiquement tous les États démocratiques sont en état avancé de décomposition. Et pas seulement les États. Aussi la culture. Et son produit, la civilisation.
Manfred Stricker
L’humanité commémore et les négationnistes sombrent…
Par Albert Bellaïche
Pendant des décennies les révisionnistes et les négationnistes ont sévi et usé de fourberies et de fallacieux arguments pour tromper les naïfs et conforter les méchants. Pendant longtemps ils ont fait croire à leurs mensonges et contrevérités, et nié l’existence de la Shoah et des camps de la mort.
Les Faurisson, Garaudy, Le Pen et autres partisans des thèses ignobles du révisionnisme, sont aujourd’hui confondus avec éclat grâce à l’ampleur internationale donnée à cette historique et inoubliable commémoration du soixantième anniversaire de la libération de ce camp d’Auschwitz-Birkenau, à la faveur de l’avancée des troupes soviétiques!
Les rescapés de la mort, juifs et non-juifs ainsi que tous les démocrates de la terre ressentent enfin, à la lumière de la vérité dévoilée, une sorte de soulagement voire d’apaisement, alors qu’ils ont dû endurer jusqu’à la fin des années soixante l’humiliation de la non-reconnaissance de leur calvaire, unique dans l’histoire des hommes.
Vers le début des années soixante-dix, les esprits changent, et en publiant La France de Vichy Robert Paxton ouvre la voie de la vérité et crève un tabou, qui n’avait pas lieu d’être, sinon que les non-dits et la pudeur des survivants ont constitué les motifs principaux du silence et de l’ignorance. Il ne fait pas de doute que les négationnistes ont profité de cette brèche pour répandre leurs calomnies et leurs thèses immondes.
A Paris, on vient d’inaugurer un monument sur lequel les noms des 76 000 déportés sont écrits par ordre alphabétique et cela prouve, s’il en était besoin, que la France des droits de l’homme est toujours debout en dépit de l’adversité! [Ce pauvre con raisonne comme un tambour.]
[...]
Fort heureusement les traces de l’innommable sont là qui giclent à la face de tous ces pervers, de tous ces méchants de tous ces fielleux qui finalement sombreront pour toujours au fond de du mépris d’autrui et de l’humanité.
Pour eux, il n’y aura jamais ni pardon ni oubli!
Guysen Israël News, 25 janvier 2005
Encore un hystérique qui va bientôt occuper un lit en psychiatrie...
L'Italien Marcello Pezzetti dénonce
Propos recueillis par Patrick Vallélian
[Conseils de révision: Nous avons eu maintes fois l'occasion de montrer que ce Pezzetti est un faiseur de la pire espèce, un bateleur qui gruge les naïfs. Cette paillasse joue pourtant une fausse note. Écoutons-la. ]
Un pavé dans la mare... A quelques encablures des commémorations officielles de la libération d'Auschwitz, l'historien italien Marcello Pezzetti, qui travaille depuis de nombreuses années sur l'organisation du camp, n'hésite pas. Pour lui, le site actuel n'est pas à la hauteur de son devoir de mémoire. Il s'explique en exclusivité pour La Liberté.
«La_Liberté»: Alors que le monde s'apprête à fêter en grande pompe la libération du camp d'Auschwitz, vous montez au créneau. Pourquoi?
Marcello Pezzetti: Tout simplement parce que le camp, dans l'état où il est, ne montre pas la réalité de ce qui s'y est passé durant la guerre.
Pardon?
La perception d'Auschwitz se limite au camp de concentration d'Auschwitz 1, alors que c'est à Auschwitz 2, donc dans le camp d'extermination de Birkenau, que la machine nazie a le plus tué. Il y a eu environ un million de morts dans les chambres à gaz de Birkenau et ils étaient quasiment tous juifs. C'est ce site-là qui devrait être mis en évidence. Ce n'est pas le cas. Selon mes informations, moins d'un tiers des visiteurs y vont. Ce n'est pas normal si l'on veut comprendre ce qu'était Auschwitz.
Comment expliquez-vous ce décalage?
En fait, Auschwitz 1 est le lieu de mémoire de la résistance. Durant la période communiste, c'est ce que les soviétiques ont mis en évidence. Le problème, c'est que les Polonais ont repris ce credo en mettant en avant le martyr[e] polonais et catholique au détriment de celui des juifs qui restent les principales victimes du camp, avec 970 000 morts. C'est nier une réalité historique. Du coup, des parties entières du camp ont disparu du circuit de visite et il faut la pression venant de l'étranger pour que cela évolue.
Un exemple?
La Judenramp, l'endroit où les juifs de France, d'Italie, de Yougoslavie ou encore des Pays-Bas ont été sélectionnés pour le travail ou pour la mort à leur descente du train, a complètement été oubliée. Quasiment cachée durant 60 ans et ce n'est que ces derniers mois qu'elle commence à être réhabilitée. Il y a aussi la première chambre à gaz du camp, le bunker 1, dont le terrain et la maison qui y était construite ont dû être rachetés par des juifs pour être remis en valeur. C'est un comble, ils ont dû payer pour faire respecter leur mémoire.
Vous parlez aussi de Mexico, la troisième extension de Birkenau?
L'endroit a été rendu à ses propriétaires. Les baraques ont disparu. Des maisons ont été construites sur un énorme cimetière. Et cela ne dérange personne. Idem pour la Kommandantur du camp qui est devenue une église.
Que proposez-vous?
Nous voulons une meilleure répartition des fonds européens et des donations de juifs de toute la planète entre Auschwitz et Birkenau. Notre idée est de remettre en état le bunker des pommes de terre (Kartoffelbunker), qui se trouve à côté de la Judenramp. On pourrait y créer un espace d'exposition retraçant les transports jusqu'à Birkenau, les itinéraires et les chemins vers les chambres à gaz. En fait, faire de l'histoire.
Vous vous attaquez là à un symbole?
C'est bien là le problème. Un symbole, on ne l'étudie pas. C'est un symbole. A mon sens, il n'y a pas assez d'histoires [il veut dire "historiens"] qui travaillent à la connaissance de l'organisation du système de mise à mort. L'autre problème, c'est qu'il est quasiment trop tard pour faire un travail d'historien à Birkenau, de nombreuses traces ayant été effacées. En fait, on doit se transformer en archéologue de la mort [c'est pas courant, chez les archéologues, ça? Les mecs qui fouillent, ils tombent pas souvent sur des ossements, des nécropoles ou des tombeaux?].
Et pour le musée qui a attiré plus de 25 millions de visiteurs depuis son ouverture en 1947?
Il faut refaire toutes les indications du musée. Trop de propagande et pas assez d'histoire. En fait, en le visitant, on ne comprend rien à l'extermination des juifs ou des Tsiganes. Et c'est pourtant essentiel si on veut saisir ce qu'a été l'enfer du lieu. On insiste trop sur l'univers concentrationnaire. PV
«Oswiecim se meurt», jurent ses habitants
Pavel a l'habitude de rôder la nuit dans les rues d'Oswiecim, Auschwitz en allemand. Ce cuisinier de 26 ans ne risque pas grand-chose à vrai dire. Carré d'épaule, grand, l'ancien skinhead, qui passe pour être un des caïds de la ville, sait se défendre. Mais voilà, Oswiecim la nuit, c'est mort. Pas âme qui vive et des restaurants et des bars qui ferment tôt, peste le jeune homme.
«Il n'y a rien à faire ici», poursuit-il alors qu'il zone avec un pote sur la place principale de la localité de 48.000 habitants. «Il y a encore quelques années, il y avait une boîte de nuit. Mais ils ont trouvé une combine pour la faire fermer. Elle était trop proche de la zone de silence qui protège les camps.»
Qui sont ces «ils» qui empêchent les jeunes d'Oswiecim de s'amuser? Pavel s'arrête de parler quelques secondes. «Mais les juifs bien sûr», répond-il, comme s'il s'agissait d'une évidence. «Ils vont jusqu'à fermer les bars en achetant des maisons. C'est légal. Mais ça tue la ville. Ils veulent tout contrôler.»
Pas bon pour le tourisme
Pas étonnant que les jeunes cherchent à s'en aller, insiste Pavel qui jure ne pas être antisémite malgré les deux «S» tristement connus tatoués sous son aisselle. Il faut dire aussi que la ville, qui dispose depuis peu d'un supermarché d'une chaîne allemande, est économiquement sinistrée. «Les camps bloquent tout développement», souligne Henryk. La trentaine, il travaille dans le domaine fiduciaire. «Il faut une permission spéciale pour construire une usine en ville. Ça freine les investisseurs.»
Des investisseurs qui sont aussi peu attirés par le nom d'Oswiecim. Il a mauvaise réputation dans le pays. «Généralement, on nous regarde d'un mauvais œil quand on dit qu'on habite ici. Les autres disent que nous vivons sur un cimetière», souligne Stanislaw Galuszka, garagiste.
N'empêche, le musée a attiré plus de 25 millions de visiteurs depuis sa création en 1947, dont 500.000 en 2004. L'impact sur le tourisme doit être important? «Pas vraiment», répond Ewelyna, qui travaille à l'hôtel Glob. «Généralement, les visiteurs passent une journée dans le camp et repartent vers Cracovie. Ils ne visitent même pas la ville et ne fréquentent pas ses magasins.» Si bien que les cinq établissements de la localité ne roulent pas sur l'or. «Les touristes ne laissent pas d'argent en ville», reconnaît Stanislaw Galuszka.
Les «ils» qui bloquent tout
«De toute façon, à part la patinoire et la piscine olympique ou quelques églises, on n'a pas grand-chose à offrir comme attraction», renchérit Henryk. «La ville se meurt et personne ne veut la sauver. Il nous faudrait des projets. Mais ils bloquent tout.» Ils? Les juifs bien sûr. «Ils ont un sacré poids politique.» Et en fait, ils n'ont qu'une envie, ajoute le garagiste: «Nous foutre dehors et fermer l'endroit pour le transformer en lieu de recueillement.»
Autant dire que dans la ville, les juifs, qui constituaient près de 60% de la population totale d'Oswiecim avant la guerre, n'ont pas bonne presse dans la ville de Haute-Silésie. «Ils veulent que nous marchions la tête en bas», lâche Pavel. «Et ils nous regardent de haut», complète Henryk. Des arguments qui font doucement sourire Béatrice Prasquier, étudiante française à l'Université de Cracovie. «Si nous étions aussi puissants qu'ils le disent, cela ferait belle lurette que les croix catholiques qui ornent les camps auraient disparu.» [Quel aveu! Et si les cathos faisaient détruire toutes les synagogues du pays, qu'est-ce qu'on entendrait? Lisez donc infra la plainte des Russes au procureur général de Russie…]
PV
[Note: le père de la môme Prasquier est une des principales dupes de Pezzetti. Voir un article de Mattogno qui en parle]
La Liberté, Fribourg, Suisse 23 janvier 2005
La mémoire de la Shoah s'est construite par à-coups,
au gré d'une succession de crises
Pourquoi paraît-on célébrer le 60e anniversaire de la fin du cauchemar concentrationnaire avec plus d'éclat encore que le cinquantenaire? Pour Jean-Charles Szurek, un historien français [un peu polonais quand même...] qui travaille sur la mémoire de la Shoah en Pologne, "on a un sentiment de dernière fois". Comme ce fut le cas à l'été 2004 pour les célébrations du débarquement, le 60e anniversaire de l'entrée des troupes soviétiques à Auschwitz serait l'ultime rassemblement des survivants de l'événement. Pour Marie-Claire Lavabre, directrice de recherches au Cevipof et spécialiste de la mémoire collective, "on commémore d'autant plus qu'il y a de moins en moins de mémoire vive".
Un discours sur la "lassitude d'entendre parler d'Auschwitz" (Holocaust fatigue) se fait aussi entendre depuis les années 1990, en Europe comme aux États-Unis. Le romancier Martin Walser en avait été à l'automne 1998 le porte-parole occasionnel lorsqu'il se mit à dénoncer "l'instrumentalisation" d'Auschwitz et la "routine de la culpabilisation" dans le débat public allemand. Mais la sensibilité de certaines élites ne reflète pas forcément la perception générale, où le sujet inspire, y compris parfois dans les jeunes générations, de la douleur plutôt que de la réticence.
La mémoire de la Shoah ne suit donc pas un cours linéaire, baissant tendanciellement selon le modèle du deuil individuel. Elle procéderait plutôt par à-coups, par une succession de crises qui portent, à intervalles de plus en plus réguliers, le sujet sur la scène publique internationale.
On peut dater la première de ces "crises" de l'enlèvement en Argentine par les services secrets israéliens d'Adolf Eichmann, l'un des organisateurs de l'extermination, dont le procès s'est ouvert à Jérusalem le 11 avril 1961.
80 ans de mémoire vive
Le retentissement de ce procès (la salle de presse pouvait accueillir 600 journalistes) désenclave une mémoire qui jusque-là - et depuis la clôture des procès des responsables nazis à Nuremberg, à la fin des années 1940 - demeurait d'autant plus cantonnée aux cercles de survivants ou aux milieux juifs que la guerre froide créait un contexte peu favorable à son expression. Le "camp socialiste" était soupçonné de s'approprier le souvenir d'Auschwitz, tandis que la réintégration de l'Allemagne dans le concert des nations mettait, à l'Ouest, ces commémorations sous le boisseau.
Si les grands témoignages - L'Univers concentrationnaire de David Rousset (1946), Si c'est un homme de Primo Levi (1947), L'Espèce humaine de Robert Antelme (1949) ou La Nuit d'Elie Wiesel (1957) - sont publiés avant le procès d'Eichmann, leur popularité sera bien postérieure. Les procès charrient un lot d'archives qui constituent les premiers fonds où commencent à puiser les historiens: le Français Léon Poliakov de façon pionnière avec son Bréviaire de la haine (1951), puis l'Américain d'origine viennoise, Raul Hilberg, avec sa Destruction des juifs d'Europe (1961, traduction française, Fayard, 1988).
C'est à partir du 40e anniversaire que la commémoration d'Auschwitz devient un événement international. Un intellectuel allemand, l'égyptologue Jan Assmann, a tenté, dans un de ses ouvrages, La Mémoire culturelle (Beck, 1997), d'expliquer pourquoi. Pour lui, la mémoire vive s'étend sur une période de quatre-vingts ans à l'issue de laquelle disparaissent les derniers survivants.
Après quarante ans, note-t-il, les témoins se souviennent, adultes, d'un événement vécu dans leur enfance ou leur jeunesse. C'est l'occasion d'une "crise mémorielle" dont le discours solennel du 8 mai 1985 du président allemand Richard von Weizsäcker au Bundestag à l'occasion du 40e anniversaire de la capitulation et la "querelle des historiens" allemands sur l'unicité du génocide fournit l'illustration.
En France, cela correspondrait à la sortie du film Shoah de Claude Lanzmann (1985) et aux premiers procès pour "crimes contre l'humanité" liés au génocide avec, en 1987, celui de Klaus Barbie, traqué et retrouvé par Serge et Beate Klarsfeld. La montée en puissance du négationnisme dans ces années-là contribue, à sa manière, à mobiliser historiens, juristes et associations de déportés. En 1986, Elie Wiesel reçoit le prix Nobel de la paix, au titre des rescapés d'Auschwitz.
Tandis que le 50e anniversaire de la libération du camp d'extermination avait entériné les effets que la fin de la guerre froide produisait sur la mémoire de la Shoah, le 60e correspondrait à un moment de transition. Les témoins sont encore là, mais les éléments qui supporteront une mémoire désormais fortement institutionnalisée se mettent, eux aussi, en place.
Si un Musée de l'Holocauste existe, depuis 1993, à Washington, il est significatif que ce 60e anniversaire coïncide avec l'achèvement du Denkmal (Monument) de l'Holocauste à Berlin, après quinze ans de controverses (l'inauguration est prévue en mai). Bien loin donc de "passer", comme certains le pensaient, le souvenir d'Auschwitz s'inscrit, au contraire, dans la pierre. Après la lente reconnaissance de la singularité du génocide, sa mémoire semble maintenant échapper aux victimes et à leurs descendants pour se métamorphoser en patrimoine universel.
Nicolas Weill
Le Monde, 25 janvier 2005
Une mauvaise manière d'enseigner l'histoire
Nombreux sont ceux qui cherchent à réfuter l'Holocauste ou,
sinon, à attaquer sa spécificité juive
Abraham Cooper et Harold Brackman
Selon un nouveau sondage, 62% des Allemands en ont assez d'entendre parler des six millions de juifs assassinés durant la seconde guerre mondiale, tandis que 52% d'entre eux pensent que le traitement infligé aux Palestiniens par les Israéliens n'est pas fondamentalement différent de celui que les Nazis ont réservé aux juifs. Ces résultats inquiétants démontrent suffisamment pourquoi il est nécessaire de poursuivre l'enseignement de l'Holocauste.
Partout dans le monde, des musées, des monuments et des programmes scolaires témoignent de la réalité du génocide nazi. Pour ce qui concerne les survivants, la prise de conscience par la société contemporaine de leur héritage douloureux leur a fourni un grand réconfort. Mais ce réconfort s'érode face à une double menace: des mouvements organisés essaient soit de prouver que l'Holocauste n'a pas existé soit d'attaquer sa spécificité juive. Naturellement, les "historiens" révisionnistes et les marchands de haine qui nient l'existence de l'Holocauste, influents comme ils le sont dans certains cercles marginaux, oeuvrent en dehors de tout discours respectable. Mais il n'en est pas de même pour ceux qui cherchent à éliminer de l'Holocauste sa composante juive. Imaginez, si vous le voulez bien, une commémoration de l'Holocauste à laquelle on aurait interdit aux juifs d'assister. Eh bien, Oslo a été le témoin d'un tel événement le 9 novembre, 66e anniversaire de la Nuit de Cristal, le pogrom d'État organisé par le IIIe Reich contre les juifs allemands. Les autorités norvégiennes, voulant éviter des troubles de la part de musulmans, ont interdit l'étalage de symboles juifs, y compris l'Etoile de David et le drapeau israélien. Les journaux du soir ont montré un policier en train de demander à un groupe de juifs qui s'apprêtait à prendre part à la commémoration de "bien vouloir quitter les lieux".
(...) En attendant, en Belgique et en France des professeurs sont de plus en plus réticents ou incapables de rendre obligatoires des cours sur l'Holocauste en raison de perturbations violentes de la part d'élèves arabes. Dans la patrie de Raoul Wallenberg, la Suède, un récent sondage montre qu'un jeune Suédois sur trois est sceptique sur la réalité de l'Holocauste. On a relevé un scepticisme similaire dans des journaux grecs -- avant, pendant et après les Jeux olympiques du dernier été. Et un récent rapport de la plus grande organisation communautaire juive hollandaise, l'Ashkenazi Orthodox NIK, a relevé qu'"il y a de moins en moins de gens au courant que six millions de juifs ont été assassinés au cours de la seconde guerre mondiale" et se demande "s'il s'agit du résultat naturel du temps qui passe, qui amène à de distancier de l'Holocauste, ou si c'est le résultat d'une politique de gouvernement". (...)
Chez les penseurs d'extrême gauche, on se plaît à faire dévier la Solution finale d'Hitler en ne braquant plus les projecteurs sur l'extermination des juifs européens pendant la guerre mais en les dirigeant sur les souffrances des Palestiniens de l'après-guerre. Avec cette perversion, l'Israël -- attaqué par les Arabes dans cinq guerres depuis sa fondation en 1948 et toujours sous la menace d'un terrorisme permanent - n'est plus pour longtemps le refuge des survivants d'Hitler mais le responsable de "nettoyages ethniques", d'"apartheid" et autres calomnies multiples. Pendant ce temps-là, les atrocités commises par les attentats-suicides arabes sont évoquées d'un ton dégagé comme étant des actes désespérés de "militants" mis en furie par la cruauté israélienne. Alors qu'il est encore de bon ton pour les dirigeants européens de verser des larmes sur les victimes d'Auschwitz, ceux-là gardent les yeux secs devant les meurtres de masse des enfants de ces mêmes victimes. (...)
Mais si ce qui est arrivé le 9 novembre à Oslo est un signe, la "mémoire" de l'Holocauste est en train d'être compromise par le propre mal qu'elle cherche à combattre. Si l'on n'y prend pas garde, cette nouvelle pathologie risque d'ouvrir la voie à un nouvel épisode noir des relations entre l'Europe et le peuple juif.
National Post, 7 janvier 2005
< http://www.canada.com/national/nationalpost/news/comment/story.html?id=977be436-557c-479c-94f4-2f8bee64e397 > [The story is no longer available]!!
Dans le tsunami de conneries et l'ouragan de bêtises qui ont déferlé sur les écrans pour le 27 janvier, il fallait que RFO Sat, la télévision spécialisée dans l'abêtissement colonial, se distingue. Dans une émission spéciale [sonderémission] intitulée "libération des camps", il a fallu se pencher sur la question de savoir si Hitler avait un plan pour les Noirs. Forcément, puisque c'est une télévision pour les Noirs. On n'allait pas se demander si Hitler avait un plan pour les Jaunes. Au lieu de "RFO Sat", elle devrait s'appeler "Télé-ya-bon-banania".
Puisqu'on s'adresse à des Noirs, il n'y aucune raison de se gêner et de ne pas les prendre pour des cons. Ainsi un "historien Peter Martin" est venu parler de la supposée extermination des "bâtards de Rhénanie", produits des amours tumultueuses des tirailleurs sénégalais qui faisaient partie des troupes d'occupation françaises de la Rhénanie (rive gauche du Rhin, en Allemagne, après la première guerre mondiale) et les jeunes Gretchen, volontaires ou non pour le zizipanpan. Et bien? Que fit le sinistre Hitler: il les passa tous aux gaz. En 1933. D'après cet "historien". Et d'après RFO Sat. (Voir Le Monde télévision, 23-24 janvier 2005, p. 21. Compte rendu de Thérèse-Marie Deffontaine, qui doit être une sacrée idote.) Avec presque dix ans d'avance sur les gaz que ce vilain moustachu allait réserver aux juifs innocents. C'est une chose absolument inconnue dans l'historiographie courante et c'est donc une grande nouvelles. Le monopole juif en prend un coup. Il va probablement poursuivre ces vilains noirs pour "antisémistisme" et "atteinte à l'unicité de la chwachwa." Ça va barder.
Maintenant, si l'on veut bien évacuer les conneries de RFO, il reste une question réelle, étudiée par un journaliste ivoirien, qui s'appelle Serge Bilé, et qui a publié un livre intitulé Noirs dans les camps nazis au Serpent à plumes, 2005, 158 p. Il avait même fait un film en 1995 sur ce thème mais il semble que personne n'ait voulu s'y intéresser. Au sujet des métis nés pendant l'occupation de la Rhénanie, il estime leur chiffre à 800. Il dit que les nazis, arrivés au pouvoir, les ont fait stériliser et que la moitié d'entre eux s'est retrouvée dans les camps de concentration. Il ajoute qu'il faudrait qu'un véritable historien se penche sur ces questions. Il ne parle nullement de "chambres à gaz". Il dit que l'Holocauste commence en Afrique...
< http://www.grioo.com/info3912.html >
< http://www.serge-bile.com/2005/site.html >
< http://www.serge-bile.com/2005/marianne.jpg >
Les patrons des télés se sont battu les flancs pour nous trouver du piquant et de l'inédit. Un peu comme font les chiens, TV5 se devait de marquer son territoire. Elle a préparé pour l'incontournable 27 janvier un documentaire sur Alfred Nacache, juif de Constantine, devenu champion de natation en 1936, arrêté en novembre 1943 et envoyé à Auschwitz. Et là-bas, qu'est-il arrivé à ce juif promis à l'extermination chwanesque? On a reconnu le champion de natation et on lui a permis de continuer à nager dans la piscine du camp. Et oui! Il y avait une piscine dans le camp. On peut d'ailleurs toujours la voir, si on est un peu curieux. Elle est "non loin des fours crématoires" comme le rappelle Sylvie Kerviel qui raconte cette belle histoire dans Le Monde télévision, 23-24 janvier 2005, p. 20. Et que s'est-il passé ensuite dans cette bouche de l'enfer zébrée de tous les tonnerres: Nacache est tranquillement rentré chez lui, en France, a continué à nager et à faire le champion. "L'horreur des camps n'aura pas réussi à le briser" ajoute la pauvre andouille. Évidemment. il était trop occupé à s'entraîner. Mais, franchement, les Allemands, ce ne sont pas des gens un peu bizarres, non?
Tsunami à Gaza
par Israel Shamir
Alors que le monde entier envoie de l'aide à l'Asie du Sud-Est frappée par le tsunami, Israël a envoyé une équipe chargée d'une mission unique. Le nombre de touristes israéliens emportés par les vagues géantes a été faible- les chiffres officiels parlent de 3 morts et de 20 disparus, ce qui estbien peu, comparé aux 100.000 Indonésiens ou même aux 3000 Suédois. Mais les équipes israéliennes se sont beaucoup activées sur le terrain. Les experts hautement qualifiés dirigés par le rabbin Meshi Zahav ne se sont pas déplacés pour sauver des survivants coincés ou alléger les souffrances de millions de gens. Non, leur travail consiste à sauver des juifs morts d'un destin pire que la mort: être enterré dans la même tombe que des goyim (non-juifs). Le quotidien Haaretz a rapporté: «Les équipes de sauvetage israéliennes se sont divisées en 2 groupes jeudi en Thaïlande: l'un travaillait à l'identification des corps à Krabi, tandis que l'autre faisait de même à Phuket. Les équipes israéliennes, appartenant à la police et à ZAKA (une ONG spécialisée dans l'identification de victimes de désastres), essaient de localiser des morts israéliens avant qu'ils soient enterrés.»
Ils ont fait pression sur le gouvernement thaïlandais pour qu'il reporte l'enterrement de masse, ce qui était nécessaire pour prévenir la diffusion d'épidémies; et Bangkok a cédé. Chaque corps de juif mort devrait être transporté en Israël ou au moins être enterré séparément, à part de non-juifs impurs. Le spirituel Gilad Atzmon a fait cette remarque: «Les juifs "altruistes"... sont dans un état de panique, comme nous le savons bien, les juifs morts sont précieux, ils méritent un enterrement spécial. Le fait que 5 à 10 juifs puissent être perdus à jamais au milieu de 125.000 Gentils est réellement horrifiant, je suis sûr que vous vous en rendez compte...» C'est une partie et une parcelle de la croyance juive, le sommet du commandement !Erreur de syntaxe, « - les juifs ne sont pas supposés vivre ou mourir parmi des non-juifs. Leur enterrement séparé est nécessaire pour garantir leur résurrection corporelle lorsque le Messie viendra. Un corps juif profané par des Gentils ne connaîtra pas de résurrection, selon les juifs. Même les juifs non-religieux suivent cette règle de séparation sans y réfléchir plus que cela.
Cette attitude délicate est particulièrement déplaisante: chaque fois que les juifs découvrent qu'une personne dont la judéité est douteuse est enterrée parmi les leurs, ils déterrent le corps et vont le bazarder n'importe où. C'est arrivé à une citoyenne israélienne, Teresa Argelowitz. Elle était enterrée au cimetière juif; puis les autorités religieuses ont découvert qu'elle n'était pas juive, bien que mariée à un juif. Elles ont fait exhumer le corps en pleine nuit et l'ont balancé dans une décharge. C'est arrivé à beaucoup de soldats russes morts en défendant le caractère juif d'Israël, auxquels a été refusé un enterrement. Aujourd'hui, face à l'immense tragédie en Asie du Sud-est, cette insistance sur l'exigence de "ne pas être compté parmi les goyimé est particulièrement offensante et frise la dénégation de notre humanité commune. Quel mal a-t-il à laisser votre mort reposer aux côtés de Thaïlandais, de Chinois, de Français et d'autres gens qui ont trouvé la mort dans la catastrophe?
Et si les colons de Gaza suivaient l'exemple des colons anglais du Kénya? Cet exclusivisme déplaisant doit être pris en considération si on veut comprendre le show prolongé du redéploiement israélien à Gaza. Sharon veut retirer ses troupes de l'intérieur de la Bande et les positionner sur son pourtour. Bien: c'est une décision raisonnable (de son point de vue) car c'est moins cher de garder Gaza sous écrou si elle est entourée de troupes israéliennes. Le redéploiement n'est ni bon ni mauvais pour les Palestiniens: les juifs seront en mesure de tuer qui ils veulent à partir de leurs bases tout autour de l'étroite Bande de Gaza, mais cet acte est présenté comme une étape importante sur le chemin de la création d'un État palestinien. Désormais, ce n'est plus du redéploiement que les Isaréliens débattent mais du sort des quelques colons juifs dans la Bande de Gaza (sans doute 2000).
Sharon veut les évacuer et leur payer de grosses compensations; eux s'opposent à l'évacuation. Toute la société israélienne discute pour savoir s'ils peuvent être déplacés, combien de force il faudrait employer, si "des juifs peuvent déplacer des juifs" et si la sentence des rabbin interdisant cette évacuation devrait l'emporter sur les décisions gouvernementales. Personne, absolument personne n'est prêt à envisager une solution évidente (pour un non-juif): retirer l'armée et laisser les colons là où ils sont. S'ils veulent rester à Gaza, qu'ils y restent. Ne payez pas un centime pour leur évacuation: ce sont des hommes et des femmes libres; ils savaient ce qu'ils faisaient en acceptant des terres et des maisons à Gaza. Il y a des centaines de juifs américains qui sont prêts à acheter leurs maisons, il y aura aussi des Palestiniens disposés à acheter, si bien qu'il n'y a pas de problème. Que ceux qui le voudront restent, que ceux qui veulent partir vendent leur maison et s'en aillent. S'ils veulent être hostiles à leurs voisins, ils se sauveront. S'ils veulent être de bons voisins, ils prospèreront.
De fait, quand l'empire britannique a abandonné la Palestine, l'Inde ou l'Afrique, il n'a pas évacué ses ressortissants par la force. Ceux qui sentaient qu'ils avaient causé trop de torts aux natifs sont partis en Angleterre. Ceux qui préféraient rester sont restés. Le Kénya est un bon exemple. Le pays comptait une importante communauté de colons anglais, très actifs. La résistance native des Mau-Mau était beaucoup plus violente que celle des Palestiniens. Et pourtant, quand le Kénya est dévenu indépendant, les colons sont restés. J'en ai rencontré sur les hauts-plateaux près du Lac Rudolf: des fermiers prospères, forts et burinés par le soleil, similaires aux Israéliens de la vieille école, ils parlent la langue locale et participent à la vie locale. Beaucoup d'eux ont des petits avions et vont faire un saut à Nairobi pour boire un verre quand ils en ont assez d'observer les flamants roses sur les rives du lac. Les colons essayent d'avoir des relations de bon voisinage avec les natifs: après tout, le pouvoir politique est aux mains des Kikuyus et il n'y a pas de risque que la RAF se porte à leur secours.
C'est l'exemple que doivent suivre les colons israéliens et le gouvernement israélien ne devrait pas avoir à leur dire quoi faire et où vivre. Leurs colonies ne seront pas réservées uniquement aux juifs. Ils auront des voisins natifs, pas seulement comme main d'œuvre agricole, mais comme fonctionnaires, comme policiers, comme juges. Cette perspective n'a pas empêché des milliers de Britanniques et de Français, de Portugais et d'Espagnols, de Russes et d'Allemands de rester vivre dans les pays décolonisés.
Le discours sur l'évacuation qui a conduit Israël au bord de la guerre civile ne peut être compris si on ne prend pas en compte le panorama général de l'exclusivisme juif. Seuls des gens qui ne peuvent supporter l'idée d'être enterrés dans la même tombe qu'un goy, sont incapables d'imaginer qu'il serait possible de rester comme égaux, sans l'appui de l'armée et de l'administation coloniale pour renforcer leur supériorité. Azmi Bishara, notre député de Nazareth, a eu raison de ne pas soutenir l'initiative de Sharon. En revanche, le parti travailliste de Perès et Barak a ajouté une nouvelle page à l'épaisse liasse de pages honteuses de son histoire en entrant au gouvernement Sharon pourmettre en oeuvre le "désengagement". L'affaire des colons de Gaza peut être utilisée pour saboter et détruire le "caractère juif de l'État". Il n'y a aucune raison de jouer le jeu de l'exclusivité juive, que ce soit en Thaïlande ou à Gaza.
[cet article doit être lu en relation avec le texte traduit du russe "Bonheur juif, larmes russes"]
31 décembre 2004
Traduit de l'anglais par AEH pour le site Quibla
Anti-Semites evolving
New breed practising on university campuses
By Ezra Levant
Twenty years ago, Holocaust revisionists in Canada were a handful of middle-aged men, like Jim Keegstra. They were relatively harmless -- lacking any media savvy, organizational skills or funding.
How I long for those days again.
Today's Holocaust revisionists are the opposite. They're left wing -- so they know the language of victimology, which is more effective than Keegstra's blunt hate. They're young -- perversely, they thrive on campuses, not in the boondocks of a would-be "Aryan Nation." They're well-funded -- often from the coffers of Canada's tax-subsidized left-wing activist coalitions.
Imagine if Keegstra could have done that!
I speak, in particular, of the Palestinian-Canadian Student Society at the University of Calgary. Their name is a misnomer, not just because many of their members are Canadian leftists or Arabs from everywhere except for "Palestine," but because their major events don't seem to be about Palestinians.
They're about Jews. More specifically, they're about discrediting Jews, Judaism, and Judaism's claim to the Holy Land. And last weekend, they were about discrediting the Holocaust, too. Just like Keegstra did.
The first PCSS event I attended was stunning.
It was about how true Jews couldn't be Zionists. As I wrote in the Sun last February, the crowd cheered when an Arab student said "Jews planted bombs in synagogues. Do you think the same thing was done on Sept. 11?"
So Jews aren't victims of terror -- they bomb themselves and blame the Arabs. 9/11 was a Jewish conspiracy.
No talk of "Palestine." No talk of Israel. Just talk about those damn Jews, Jews, Jews, and how they lie, lie, lie.
Keegstra would have loved it -- and he would have been impressed that such a meeting was held in the bosom of a university, with a Jewish president, no less.
Last week, the same club brought in Norman Finkelstein to speak. His greatest asset is that he has a Jewish last name, and that his parents survived the Holocaust. What a perfect deodorant for his toxic views.
Like Keegstra, Finkelstein denies that six-million Jews died in the Holocaust. He calls it The Holocaust Industry -- indeed, that's the title of his book -- and he claims that Jews trump up the Holocaust for profit, and as moral cover to be Nazi-like themselves.
Again, this has very little to do with "Palestine." But if you find someone with a Jewish last name who is willing to do your anti-Semitic work for you, why not?
Keegstra doesn't get a lot of speaking invitations. But Finkelstein does. Not by scholarly panels or conferences -- his "studies" have been roundly discredited, even by scholars Finkelstein himself relies upon.
For example, Finkelstein praises Professor Peter Novick, and cites him in The Holocaust Industry.
Novick, however, knows the difference between controversial scholarship and hate-mongering. He called Finkelstein's work a "hate campaign" and accused him of "a paranoid belief in some sort of global conspiracy of the Jewish elites."
And that's Finkelstein's friend talking.
Neo-Nazi groups and Holocaust deniers aren't so picky. At Calgary's PCSS, they know a good thing when they see it. Finkelstein can say what they feel -- and he can get away with it, because he's named Finkelstein.
A quick look at his upcoming speaking engagements shows that he's become the favourite amongst the anti-Semitic set -- and he will tell them what they want to hear for his significant speaking fee.
Anti-Semites should not be arrested. But they should not be tolerated, and excused, and subsidized, as Finkelstein and his university hosts have been.
Calgary Sun April 12, 2004
Email: [email protected]
http://www.normanfinkelstein.com/id130.htm
Michel Dakar a été condamné à 5000 euros d'amende et à 1 mois de prison avec sursis, le 16 novembre 2004, par le juge sioniste Nicolas Bonnal, selon ce juge pour antisémitisme et négationnisme, à la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, en réponse à ses nombreuses plaintes adressées à la justice française contre les organisations juives sionistes génocidaires du peuple arabe de Palestine, et contre leurs complices au sein même de l'appareil judiciaire français: juges, avocats, procureurs et huissiers.
Moins de trois mois plus tard (un record inégalé de vitesse), il passera en appel, le 9 février 2005, à 13 heures trente, à la 11e chambre correctionnelle de la Cour d'appel de Paris, devant la juge supposée sioniste Trébucq.
Il demandera publiquement à cette juge qui elle est, puisque depuis le tribunal militaire de Nuremberg, de 1945, qui a décrété d'autorité et statutairement en se passant de preuves, le génocide des Juifs européens par les nazis, génocide décrété qui sert à légitimer le génocide constatable et vérifiable par tous des Palestiniens par les Juifs sionistes, et à légitimer l'écrasement capitaliste des peuples de toute la planète, le principe de légalité n'existe plus en France, car ce tribunal a condamné les nazis selon un droit qui n'existait pas au moment de l'accomplissement du crime décrété de génocide.
Depuis août 1945 il n'existe donc plus de droit en France, et donc plus de magistrats. Il n'y a plus d'État de droit.
Michel Dakar demandera donc publiquement à Madame la pseudo juge Trébucq de bien vouloir nous dire qui est elle, et aussi d'identifier précisement pour nous qui elle sert, car depuis 1945-Nuremberg, les pseudo juges français ne rendent donc pas la justice, et qu'en conséquence, la formule qui apparaît sur tous les jugements de ces pseudo juges: "au nom du peuple français" est un pur mensonge.
Ce présent communiqué constitue le corps du "mémoire et conclusions" pour cette affaire, qui sera remis à la pseudo juge Trébucq (en résumé: Qui vous êtes? Qui vous servez?).
Audience du mercredi 9 février 2005, 13 heures trente, Palais de justice de Paris, 4 boulevard du palais, 75001 Paris, Cour d'appel, 11e chambre, section A, juge: Madame Trébucq.
20th Anniversary of the Great Holocaust Trial
by Michael A. Hoffman II
January 7, 2005 marks the 20th anniversary of what came to be known throughout the world as "The Great Holocaust Trial" thanks chiefly to the drive, determination, courage and vision of one man, Ernst Zundel, supported by those he inspired.
In 1985 Zundel was a German immigrant residing in Toronto, Canada where he had built a highly successful advertising and graphic arts business based in a rambling Victorian mansion in the bohemian "Cabbagetown" section of metropolitan Toronto.
Zundel viewed the "Six million" story as a form of mental genocide against the German people; ostensibly a noble tale of the epoch struggle for human rights that in actuality was a form of devious hate propaganda, leveling every conceivable blood libel at the Germans and branding them with the Mark of Cain. Having survived the Allied firebombing of his native city of Pforzheim as a child, Zundel was well familiar with the war crimes of the hypocritical Allies and he made it his life's work to clear the name of his own people.
For this commendable enterprise, Zundel had his mailing privileges revoked by the Canadian government in 1983, forcing him to open a post office box in Buffalo, New York and send a messenger to commutes hundreds of miles just to receive mail.
In 1985 he was charged under an archaic "False News" provision of an old Edwardian municipal code, for having published the pamphlet Did Six Million Really Die? He faced two years in prison if convicted.
In reponse Zundel put the so-called "Holocaust" itself on trial, hiring a little-known maverick lawyer from British Columbia, Douglas Christie, to argue his case before Judge Hugh Locke. Seated next to Christie was the learned revisionist historian Prof. Robert Faurisson of France, who guided Christie's withering cross-examination of a long train of "saintly 'Holocaust' survivors" offered by the "Crown."
Zundel's defense was initially regarded by the press and public as preposterous. "How can anyone deny the 'Holocaust?" was the incredulous response to the news that Zundel would vigorously defend himself and the free speech rights of all Canadians. The trial was expected to be a quick and ignominious rout of Zundel and his motley crew.
How wrong the odds-makers were! For the first time in history the holy "survivors" finally had to submit their "testimony" to scrutiny, to the rules of evidence and cross-examination, something that has never happened before or since. Seated in the press gallery, I watched as my colleagues of the fourth estate grew ever more surprised and shocked at the amazing admissions Christie and Faurisson elicited from the "eyewitnesses" to the gas chambers. TV reporters like Claud Adams and journalists from the Toronto Star and Globe and Mail produced footage and headlines that turned Canada upside down.
Canadian readers and viewers learned that there was no scientific evidence for homicidal gas chambers, that homicidal gassings (as opposed to the German use of Zyklon B as a life-saving prophylactic against the deadly typhus louse) were a rumor that the inmates heard but never actually witnessed for themselves--these were statements obtained by Mr. Christie from the prosecution's own vaunted Auschwitz eyewitnesses!
In March of 1985 Zundel was convicted by a cowardly jury that had followed the prejudicial advisories of a bent judge; but the conviction was reversed on appeal and Zundel went to trial again in 1988, eventually winning a Supreme Court decision for free speech in Canada.
The 1988 trial is more well known in revisionist circles. Zundel was famous by then and the appearance of Fred "Dr. Death" Leuchter, the designer of the US Prison's system's execution apparatus, as an expert defense witness who tested purported execution "gas chambers" on-site in Auschwitz, Poland and determined they had never been used to kill anyone, created a sensation.
Still, for this writer, the 1985 trial has the greatest significance. Having been badly burned the first time around (Dr. Raul Hilberg, the preeminent historian of the Six Million admitted on the witness stand in the first trial that there was no scientific evidence for gassings--"I'm at a loss" he said when asked to produce evidence), the Judaic establishment kept all their infallible "Holocaust" saints and martyrs away from the second trial. Yet it is upon the word of these supposedly unimpeachable "eyewitnesses" that the tale hangs and it was in the first trial that they were hanged by their own lies and misprision. It was poetic justice that this was done in the full glare of the publicity they had marshaled in the expectation of witnessing Zundel's disgrace.
20 years ago today your editor left Ithaca, New York for Toronto, arriving on a snowy Sunday evening at Zundelhaus, a place teeming with hope and buzzing with activity that night. There I met many elderly veterans of the German military, some of them driven almost insane with grief and agony in the face of the unconscionable-and heretofore largely unchallenged--group libel that had been heaped upon the German people in the wake of World War Two. Every man and every woman among them was a noble person and they looked to Ernst Zundel to lift the Jew-killer stigma from off their weary and aged shoulders, and in particular from the souls of their children and grandchildren.
On January 7, 1985 I was privileged to walk directly behind Zundel and Christie, through a gauntlet of JDL terrorists and into the courthouse where I would report the trial for eight weeks, first in the pages of the Washington D.C. newspaper Spotlight, and later in a book published by the Institute for Historical Review, The Great Holocaust Trial (now out of print).
It is difficult to fathom that twenty years later Ernst Zundel is completing his twenty-third month of solitary confinement in Guantanamo Bay north, a Canadian jail in Rexdale, on a star chamber charge of being a "terrorist" with key "evidence" against him presented in secret, without the defendant or his lawyers present or privy to any of it.
The pacifist who entered Canada because it had no conscription law, the activist who was repeatedly denounced as a reactionary and a wimp by neo-Nazi and Aryan extremists because he opposed armed resistance of any kind, now rots in a tiny cell without so much as a pillow, a pen or a desk, purely for reasons of Talmudic revenge of the most primitive and tribal nature.
This is what the "war on terror" is all about: the recrudescence of the prerogatives of dictatorship for the sake of eliminating all those who dissent, as was done to Cicero after he protested the destruction of the Roman Republic and the tyrants who replaced it with an empire, for which his hands and head were nailed to the Senate podium. Our modern day Ceasars however, have no such candor. They nail men like Zundel in secrecy and darkness and call it human rights and fighting terror. But the Great Holocaust Trial was not fought in vain and if there is a history of human rights worth writing, Ernst Zundel will be on page one of any authentic compendium. History teaches that you can't kill ideas with prisons and gulags and that as long as men like Zundel continue to keep their faith in the power of the truth, others will come forward to raise the banner. This is how our rights were gained in the first place and will be secured in the future. On January 7 light a candle, literally or in your heart, for all the men and women throughout the centuries who have given their lives for freedom, among whom we number the unforgettable Mr. Zundel.
January 6, 2005. This column is online at
< http://www.revisionisthistory.org/revisionist14.html >
Ernst Zundel can be reached by writing him c/o Metro West Detention Centre, 111 Disco Road, Rexdale, Ontario, M9W 1M3 Canada.
Protest his incarceration to Canadian officials and tell Canadian businesses you are boycotting their products and tourism until such time as Ernst Zundel is released by Canada.
The Great Holocaust Trial, a 65 minute documentary film about the 1985 trial, edited by Michael Hoffman from more than 100 hours of TV news coverage, is available on VHS Video:
Renforcement de la sécurité à l'aéroport de Nice
après une menace d'attentat au Zyklon B
Nice - Un vaste dispositif de sécurité a été discrètement mis en place samedi à la mi-journée dans l'aéroport de Nice-Côte d'Azur à la suite d'une menace d'attentat au gaz Zyklon B formulée par un groupe altermondialiste inconnu, a-t-on appris de source bien informée.
La préfecture des Alpes-Maritimes confirmait en soirée l'existence d'une lettre menaçant d'un attentat au gaz. "Nous avons effectivement reçu une lettre de menace, mais après analyse par les services spécialisés, elle nous apparaît plutôt comme fantaisiste", a précisé à l'Associated Press Françoise Souliman, directrice de cabinet du préfet des Alpes-Maritimes.
"Cela faisait plusieurs mois que nous voulions organiser un exercice NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique) dans le département. Nous profitons de l'occasion pour mettre en œuvre cet exercice dimanche matin", a-t-elle ajouté. [...] Dans la lettre rédigée en allemand, qu'a pu consulter l'AP et dont des extraits seront également publiés dans le "Journal du Dimanche", un mystérieux groupe baptisé Europäische Befreiungsfront Globalisierung (EBG, Front européen de libération contre la mondialisation) menace de faire exploser une cartouche de gaz Zyklon B dans un terminal de l'aéroport de Nice dimanche matin entre 9h et 12h. Ce groupe inconnu précise que "cette capsule de gaz provient des stocks découverts par les Alliés à la libération des camps d'Auschwitz-Birkenau" et donne certains détails techniques sur ce gaz à base d'acide cyanhydrique autrefois employé dans les camps d'extermination nazis. [...] L'ensemble du dispositif de sécurité de l'aéroport de Nice a été considérablement renforcé dès samedi matin. Outre une augmentation des patrouilles des policiers et militaires, de très nombreux fonctionnaires en civil, des pompiers, arpentent les couloirs des deux terminaux, a pu constater l'AP. L'ensemble du personnel travaillant sur le site a été sensibilisé et a reçu comme consigne la plus grande discrétion, a-t-on également pu savoir.
AP, 8 janvier 2005.
Il y a des rigolos qui se paient la tête des gens...
Bref extrait
Most troubling, perhaps, of Chomsky’s involvements with anti-Semitic publishers is his long-time involvement with the Holocaust-deniers Pierre Guillaume and Serge Thion. At the same time that Chomsky began making public statements on behalf of Robert Faurisson, he assigned publication rights for the French edition his book The Political Economy of Human Rights to Guillaume and Thion. This saved them from bankruptcy and gave them the money to publish their Holocaust-denying pal Faurisson’s scholarly masterpieces. In addition, according to a memoir written by Guillaume about his friendship with Chomsky, the fact that the Guillaume-Thion duo were the publisher and editor, respectively, of Chomsky’s book helped to rehabilitate their reputations, which had been damaged by their Holocaust-denial activities. [...] Saving the business of these Holocaust-denying publishers, and enabling them to bring out Holocaust-denying “scholarship,” must surely have helped in a very tangible way to re-legitimate anti-Semitism in France. We are seeing the results of this legitimization in the growing violence against French Jews today.
< http://www.michnews.com/artman/publish/article_6339.shtml >
cf. la page Chomsky de l'AAARGH, pour ceux qui auraient des doutes.
this blog is dedicated to the permanent and total discrediting of the work of noam chomsky and his fellow travelers. VIVA LA COUNTERREVOLUTION!
On y trouve le commentaire suivant, un peu désabusé, sur les aboyeurs attachés aux chausses de notre ami Noam:
After a lot of hemming and hawing, Ben finally brings out the Faurisson affair, which as been thoughly discredited except to the small group of career Chomsky haters (mainly Werner Cohen and Alan Dershowitz, though the maniac who runs massada2000.com might claim it as gospel truth were he/she able to read.) What I find funny about Cohen and his book is that he gave a lecture about it and claimed that: (1) Chomsky had never been published by a major publisher (which is untrue; he was published by Pantheon, Colombia University Press, and the MIT Press, among others); (2) that Avukah (a Hebrew student group Chomsky was a member of) was the same as Hashomer Hatzair (patent nonsense); (3) that Chomsky and Serge Thion had cowritten a book on Vietnam (it was Edward Herman); and (4) that Chomsky's work in linguistics was unfounded. Now I could argue about point 4, but if the guy is that wrong about basic, verifiable facts, then I would say he either didn't know anything about his subject, or that the book was ghostwritten by somebody.
< http://antichomsky.blogspot.com/2004/07/political-economy-of-holocaust-denial.html >
Dershowitz, quant à lui, est un plagiaire de très bas étage, comme l'a superbement montré Norman Finkelstein. C'est fou, cette bande de nuls qui grouillent partout et s'installent sur le devant de la scène. Crochet!
Allegations Against Survivors’ Lawyer
N.J. ethics office claiming Fagan misappropriated more than $400,000 from accounts
Stewart Ain
Edward Fagan, the first lawyer to sue Swiss banks for hoarding the money of Holocaust victims and who championed survivors’ rights in insurance and art cases, has been charged by the New Jersey Office of Attorney Ethics with looting more than $400,000 from the trust accounts of two survivors he represented.
Disciplinary action ranges from an admonition to disbarment.
“The knowing misappropriation [of funds] is a disbarable offense,” said John McGill III, the deputy ethics counsel who is overseeing the case.
McGill said state rules allow his office to refer cases to law enforcement “if a crime has been committed,” and that it would not be necessary to wait until the complaint process is completed. It usually takes about a year. McGill said no referral has been made “at this point.”
Fagan said he had not seen the complaint. “As soon as I see the information I will retain counsel and respond,” he said.
When he was interviewed by McGill’s office last year, Fagan was working from an office in Short Hills, N.J. A secretary at that office said Tuesday that Fagan has not worked there for six months.
McGill’s office sent a certified letter to the Short Hills office, but it was returned unopened this week. McGill said the post office provided an address for Fagan in Morris Plains, N.J., and that he has sent another certified letter, as well as a regular letter, to the attorney there. McGill said he will give Fagan until Feb. 4 to respond.
If Fagan has not responded by that date, McGill said he would send another letter giving Fagan five days to either respond or be found in default.
If Fagan contests the charges, a three-member panel of the Ethics Committee will hold a hearing. Its recommendation would be offered to the nine-member Disciplinary Review Board, whose decision would then be submitted to the New Jersey Supreme Court for final action.
The allegations against Fagan include that he deliberately misled the New York State attorney disciplinary committee when it questioned him about charges brought by a former client and survivor, Gizella Weisshaus. She claimed that Fagan had stolen funds from an escrow account established in the name of her deceased cousin, Jack Oestreicher.
Weisshaus said she entrusted the funds to Fagan because the attorney told her that he could get a higher interest rate on the $82,583 in the account.
The New Jersey complaint alleges that Fagan withdrew money from that account for matters “unrelated to the Oestreicher client matter. At the time [Fagan] invaded the Oestreicher estate funds … he knew he lacked the authority to do so.”
When New York authorities questioned Fagan in June 1998 about the Oestreicher account, the complaints said Fagan produced a bank statement from another account “as proof that the integrity of the estate funds had been maintained.”
In fact, the complaint alleges, Fagan showed state investigators a bank statement from another trust account he controlled. That account was in the name of Estelle Sapir, a survivor whose complaints against Swiss banks led them to settle with her for $500,000.
“By providing a copy of his Summit trust account bank statement … [Fagan] attempted to deceive the New York disciplinary authorities into believing that he had maintained the integrity of the Oestreicher estate funds, knowing that the only funds in that account at the time were those for the Sapir matter,” according to the complaint.
It is alleged that Fagan then used Sapir’s money “without authority” to pay a court judgment against the Oestreicher estate.
“From May 18, 1998, the date the Sapir settlement funds were deposited into [Fagan’s] Summit trust account, to April 15, 1999, the date of Sapir’s death, [Fagan] made 37 disbursements totaling $302,750 by checks payable to cash and wire transfers to his Summit business account from Sapir’s funds,” the complaint said. “[Fagan] made the disbursements … knowing that he lacked the authority to do so.”
The complaint alleges that other than $1,500 Fagan gave Sapir in June 1998 and $7,300 he allocated to cover Sapir’s funeral expenses, Sapir systematically looted her account. In the five months after her death, it is alleged that Fagan withdrew $124,750 from Sapir’s account that was paid either in cash or to his own business account.”
It is further alleged that in August 1999, in order to cover the disbursement of $190,000 to Sapir’s relatives when he only had $3,330.94 in the Sapir account, Fagan borrowed $225,000 from a former client and friend.
A spokeswoman for the Sapir family said she hopes Fagan “comes forward and does the right thing for everyone if there is money owed to any of the family. This issue brought up such emotional distress, and this is only adding to it.”
Weisshaus said Fagan never “had the right to switch my money.” She said she initially believed in him, even working in his office for eight months without pay because “I thought he was working for us.”
McGill said any action taken against Fagan would be forwarded to New York State authorities, whose First Department Departmental Disciplinary Committee would then be expected to submit the decision to the Appellate Division for its consideration. n
7 Jan. 2005
< http://www.thejewishweek.com/news/newscontent.php3?artid=10333 >
Japon: la droite révisionniste fait son entrée au collège
La commission sur l’éducation vient d’autoriser les professeurs d’Histoire à utiliser un manuel plutôt controversé
«Désormais, le drapeau japonais se peindra sur les visages de tous les professeurs d’Histoire du pays», ironisait le caricaturiste No-rio Aomori dans son dessin quotidien à la «une» du Asahi Shimbun.
Pourtant, il n’y a pas de quoi rire. La commission sur l’éducation vient d’autoriser l’utilisation d’un manuel d’Histoire que ses détracteurs n’hésitent pas à qualifier de «révisionniste». Concrètement, le manuel raconte l’Histoire du pays en faisant la part belle aux hommes politiques japonais. Ainsi, la guerre du Pacifique est présentée sous un jour très favorable au Japon…Plus grave, ce manuel contient de longs passages sur les kamikazes, présentés comme des héros de la nation et appelle les élèves à «réfléchir sur les motivations de ces grands soldats»…Si l’attachement à la nation japonaise est glorifié, en revanche, les peuples qui «cèdent aux sirènes du nationalisme» sont très critiqués.
Ce manuel offre une vision si partiale de l’Histoire qu’il ne peut être mis entre les mains de collégiens. Comment pourront-ils tirer les leçons de l’Histoire s’ils n’en connaissent qu’une vision? A ce rythme-là, les jeunes générations seront bientôt persuadées que la colonisation de la Corée était une guerre de libération!
Auteur: Anna Topaloff: 15/09/2004
Marianne.web
Le procureur allemand Reiner Krüger a demandé la condamnation à 11 mois de prison de notre ami Horst Mahler, pour "incitation du peuple". Il a obtenu 9 mois sans sursis. (voir le début de l'affaire dans nos numéros précédents)
Horst Mahler soll für ein Jahr ins Gefängnis
Der Marathonprozess gegen Horst Mahler scheint nach elf Monaten Dauer die Endphase erreicht zu haben. Staatsanwalt Reiner Krüger hielt gestern vor der 22. Groflen Strafkammer des Landgerichts sein Plädoyer und forderte für den rechtsextremen Anwalt ein Jahr Haft wegen Volksverhetzung. Krüger betonte, die Strafe dürfe nicht zur Bewährung ausgesetzt werden, obwohl dies bei einem Urteil bis zu maximal zwei Jahren möglich ist. Mahler habe im Prozess alles getan, um eine Haftstrafe zu bekommen, so Krüger. Es gebe im Strafrecht nichts, was zugunsten Mahlers spreche. Mahler hatte den Prozess mit ganzen Salven antijüdischer Vorträge in die Länge gezogen.
Die Staatsanwaltschaft wirft dem 68 Jahre alten, einstigen RAF-Terroristen vor, er habe im September 2002 in der Berliner Zentrale der NPD ein antijüdisches Pamphlet verteilt. In dem Schriftsatz heißt es, der Hass auf Juden sei "das unträgliche Zeichen eines intakten spirituellen Immunsystems". Ein weiteres, in den Prozess integriertes Verfahren wurde Ende September eingestellt.
Mahlers Verteidiger konnte nur wenige Minuten sein Plädoyer vortragen, dann fiel ihm der Rechtsextremist ins Wort. Der Anwalt nuschelte noch "Freispruch" und setzte sich hin. Dann legte Mahler los und präsentierte wieder einen bizarren Mix judenfeindlicher Sprüche. Begriffe wie "spirituelle Zersetzung", "satanisches Prinzip" und "Furor teutonicus" tönten durch den Saal. Selbst Mahler-Fans im Publikum mussten gähnen.
Mit seinen Tiraden im Prozess hat sich Mahler selbst sehr geschadet. Das Amtsgericht Tiergarten verhängte im April gegen den Anwalt ein vorläufiges Berufsverbot, die Staatsanwaltschaft erhob im selben Monat eine weitere Anklage wegen des Verdachts der Volksverhetzung.
Frank Jansen
< http://zeus.zeit.de/hb/667692.xml >
L'insupportable chape de plomb
R. Que pensez-vous des commémorations de la fin de la Seconde Guerre mondiale avec la propagande qui va se déchaîner dès ce mois-ci et tout au long de l'année 2005?
J.-M. Le Pen: En France du moins, l'occupation allemande n'a pas été particulièrement inhumaine même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550.000 kilomètres carrés.
Je me souviens que dans le Nord, un lieutenant allemand, fou de douleur que son train de permissionnaires ait déraillé dans un attentat, causant ainsi la mort de ses jeunes soldats, voulait fusiller tout le village; il avait d'ailleurs déjà tué plusieurs civils. Et c'est la Gestapo de Lille, avertie par la SNCF, qui arriva aussitôt à deux voitures pour arrêter le massacre. On pourrait multiplier les anecdotes de ce type. Sur le drame d'Oradour-sur-Glane il y aurait ainsi beaucoup à dire.
D'ailleurs, si les Allemands avaient multiplié les exécutions massives dans tous les coins comme l'affirme la vulgate, il n'y aurait pas eu besoin de camps de concentration pour les déportés politiques. Ah bien sûr, si l'on était pris avec une arme à feu cinq minutes après que quatre soldats de la Wehrmacht eurent été fusillés, on passait rapidement à la casserole mais notez que les Allemands agissaient de la même;manière vis-à-vis de leurs soldats ayant fauté. Il y a donc une insupportable chape de plomb qui pèse depuis des décennies sur tous ces sujets et qui, comme vous le dites, va en effet être réactivée toute cette année.
Mais le plus insupportable à mes yeux, c'est l'injustice de la justice. Lorsque des magistrats, au mépris de ce qui leur est obligation morale et fonctionnelle, bafouent le principe d'équité et accordent le bénéfice de la bonne foi à des gens qui à l'évidence ne le sont pas, comme encore récemment les journalistes du Monde sur la torture qui aurait été pratiquée par le lieutenent Le Pen en Algérie, comme le prouverait un poignard des Hitlerjugend à mon nom méticuleusement conservé par un Algérien pendant quarante ans et que ce dernier a brandi à l'audience (qui peut sérieusement croire à cette fable?), c'est proprement révoltant.
Ce n'est pas seulement de l'Union européenne et du mondialisme que nous devons délivrer notre pays, c'est aussi des mensonges sur son histoire, mensonges protégés par des mesures d'exception.
D'où notre volonté constante d'abroger toutes les lois liberticides, Pleven, Gayssot, Lellouche, Perben II. Car un pays et un peuple ne peuvent rester ou redevenir libres s'ils n'ont pas droit à la vérité dans tous les domaines. Et cela quoi qu'il en coûte.
Propos recueillis pr Jérôme Bourbon <[email protected]>
In Rivarol, du 12 janvier 2005
Ensuite, la longue théorie des aboyeurs a aboyé.
Google, à la date du 19 janvier recense 195 articles (qui disent tous la même chose d'ailleurs!
Jean-Marie Le Pen et le piège judiciaire
Faut-il toujours répondre à Jean-Marie Le Pen par l'arme du procès? Faut-il laisser aux seuls juges le soin de dire si les propos du président du Front national sur l'occupation allemande sont condamnables ou pas? Faut-il déplacer systématiquement sur le terrain judiciaire ce qui peut relever de la morale, de la politique, de l'histoire?
C'est un dilemme constant pour tous ceux qui vomissent le révisionnisme masqué de M. Le Pen. C'est aussi devenu un piège. Et parfois un aveu de faiblesse. A peine connus les propos du président du Front national dans l'hebdomadaire Rivarol (rapportés par Le Monde du 13 janvier), le ministre de la justice, Dominique Perben, a en effet convoqué une conférence de presse pour annoncer qu'il avait "demandé au procureur de la République d'ouvrir immédiatement une enquête préliminaire". Et, sans attendre les résultats de l'enquête, a déclaré que Jean-Marie Le Pen s'était "sans doute rendu coupable de révisionnisme". Depuis, le parquet du tribunal de Paris cherche dans les propos de M. Le Pen s'ils sont passibles de poursuites judiciaires au titre, notamment, de la loi sur la presse qui prévoit de punir ceux qui "auront fait l'apologie des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou des crimes ou délits de collaboration avec l'ennemi". Mais les juristes qui planchent sur le dossier ne sont pas certains que les affirmations de M. Le Pen, justement pesées avec soin pour éviter toutes poursuites judiciaires, puissent le conduire devant le tribunal correctionnel.
Car le leader d'extrême droite est passé maître dans l'art de délivrer une sorte de négationnisme euphémisé qui, sans nier de front les horreurs nazies, adresse des signaux à une opinion qui sait parfaitement les décrypter. C'est encore une fois ce qu'il a fait. Chacun a bien compris qu'il poursuivait là l'un de ses buts les plus constants: dédouaner de ses crimes le régime nazi, minimiser le génocide juif et réhabiliter le régime de Vichy. Mais les mots qu'il emploie sont vagues. Oradour-sur-Glane? "Sur ce drame, il y aurait beaucoup à dire..." Les commémorations sur la libération des camps d'extermination? "Une insupportable chape de plomb pèse sur tous ces sujets depuis des décennies."
Bref, assure l'avocat de M. Le Pen, Wallerand de Saint-Just, celui-ci "n'a commis aucune infraction". Dans plusieurs cas similaires, d'ailleurs, la justice a relaxé au bénéfice de la libre expression. Seule la présentation du rôle de la Gestapo, minimisé par M. Le Pen, pourrait lui valoir des poursuites judiciaires, la police nazie ayant été déclarée par le tribunal de Nuremberg "organisation criminelle" et acteur principal des crimes contre l'humanité perpétrés par le régime nazi.
En somme, la réaction rapide du ministre de la justice pourrait se révéler... contre-productive. Si les poursuites engagées aboutissent à une relaxe, que dira en effet Jean-Marie Le Pen? Que ses affirmations étaient bien la vérité, puisque la justice ne les condamne pas. Et s'il est condamné? Que cette justice n'est qu'une arme aux mains des politiques puisque c'est celle qu'ils brandissent aussitôt. Déjà, il fustige le garde des sceaux: "Je constate qu'il ne m'a pas appliqué à moi la présomption d'innocence. Il a commencé à commenter les faits dont il n'était pas certain, puisqu'il ordonne une instruction." En quelque sorte, le dirigeant du FN referme le piège judiciaire comme il referme déjà depuis plusieurs années le piège médiatique chaque fois que l'on cherche à le dénoncer.
Contre-attaque
Pourquoi, alors, le garde des sceaux lui-même s'est-il lancé - et si vite - dans une action aléatoire? [Parce que c'est un politicien véreux qui rêve de se faire élire maire de Lyon].
Depuis maintenant plusieurs années, une grande partie des dirigeants de droite comme de gauche ont renoncé à porter la contradiction politique à Jean-Marie Le Pen. Comme s'ils ne croyaient pas eux-mêmes à la solidité de leurs valeurs. Comme s'ils ne reconnaissaient pas de force à leurs propres paroles. Or on ne peut répondre au dirigeant d'extrême droite avec les mêmes armes que celle utilisées contre les historiens négationnistes, c'est-à-dire l'application de la loi Gayssot. Parce que cette loi, même si elle limite l'expression des négationnistes, ne règle pas tout. Et surtout pas les phénomènes de relativisation de l'histoire, de remise en cause des vérités sur le passé, lorsqu'ils naissent du soupçon habilement distillé et non du débat entre historiens.
Répondre par la seule menace judiciaire est vain parce que le temps de la justice n'est pas le temps médiatique. Lorsque les jugements seront rendus, des mois et des mois plus tard, le cancer distillé par le président du Front national aura largement fait son œuvre.
Judiciariser la contre-attaque est inefficace parce qu'il dispose d'une audience qui va bien au-delà des prétoires.
Parce qu'il sait user des questionnements de l'époque aussi. Ce n'est évidemment pas un hasard s'il a évoqué l'Occupation au moment même où l'on commémore les 60 ans de la libération des camps et où l'on débat en France et en Allemagne de la façon de représenter au cinéma l'homme autant que le dictateur Hitler.
Parce que son bagout, sa culture, lui donne bien plus de crédit auprès d'une partie de la population que les petits groupuscules qui éditent dans leur coin des thèses révisionnistes.
Parce qu'enfin et peut-être surtout, il est arrivé au second tour de la présidentielle. C'est cette force électorale-là qui réclame qu'on lui oppose des arguments qui ne soient pas seulement juridiques. Mais des convictions morales, intellectuelles et politiques.
Raphaëlle Bacqué
Le Monde, 19.01.05
Un lycéen exclu pour des propos antisémites lors d'une sortie à Auschwitz
Un élève d'un lycée de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a été exclu définitivement de son établissement pour avoir tenu des propos antisémites lors d'un voyage scolaire au camp de concentration nazi d'Auschwitz, a-t-on appris mardi auprès de l'établissement.
L'élève, qui était scolarisé en classe de première au lycée Jean-Jaurès à Montreuil, a été exclu lors d'un conseil de discipline qui s'est tenu entre le 9 et le 10 décembre, a expliqué mardi Michèle Amiel, proviseur du lycée.
Il a été renvoyé pour avoir dit à propos des juifs, le 24 novembre, lors de ce voyage scolaire organisé par le conseil régional: "Ils ont bien fait de les brûler", a rapporté Mme Amiel.
Le lycéen a fait appel de son exclusion. Il a été scolarisé dans un autre établissement après le conseil de discipline.
Cinq autres élèves du lycée, qui avaient eu des comportements "désinvoltes" lors de cette sortie, mais qui n'ont pas tenu de propos antisémites ou négationnistes, ont également été sanctionnés par le conseil de discipline, selon Mme Amiel. Ils sont visés par des "mesures de réparation".
"Ils auront notamment des entretiens pour assumer la responsabilité de leurs actes", a expliqué Michèle Amiel.
Parmi ces cinq élèves, l'un a été renvoyé pendant quinze jours. Il aurait eu des postures désinvoltes. Les autres sont accusés d'avoir couru dans le camp, fait des batailles de boules de neige et ri devant des photos anthropométriques des déportés.
Selon un communiqué du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme, "en ricanant, en tenant des propos antisémites, en se photographiant avec des positions et des gestes obscènes, en tournant en dérision ce site chargé de l'histoire pesante de l'inhumanité antijuive, ces élèves ont profané ce lieu de mémoire hautement symbolique et témoin de la tragédie des Juifs d'Europe".
"J'ai reçu les familles après la sortie. Ces adolescents ne vivent pas du tout dans un contexte familial d'antisémitisme. On est en train de préparer un travail de réflexion dans le lycée", a encore expliqué Mme Amiel
voila.fr
< http://actu.voila.fr/Depeche/depeche_emploi_050104151753.846710s1.html >
Ces lycéens, on les embarque dans ces voyages à la con pour leur laver le cerveau. Pour la plupart, ils s'en foutent royalement. Ils ont pris des "postures désinvoltes"? Il n'y avait qu'à pas les emmener malgré eux. Ces opérations de propagande, qui sont à la charge du contribuable, sont scandaleuses, et ont un résultat inverse de celui que leur promoteurs en escomptent, à savoir des retombées politiques favorables au programme génocidaire israélien.
Auschwitz: la preuve oubliée
Un film qui met en question la stratégie des Alliés face à «la solution finale»
En janvier 2004, le département des archives de reconnaissance aérienne de l'université de Keele (Grande-Bretagne) publiait pour la première fois des photos aériennes montrant le camp d'Auschwitz-Birkenau en activité. [Énorme mensonge ou abyssale ignorance. Serge Thion a rapporté de Washington à Paris, en janvier 1979, les photos comprises dans une brochure de la CIA sur le sujet. Il a distribué des copies de cette brochure tant aux révisionnistes qu'à leurs adversaires, Wellers et autres zozos.] Pris par les avions de la Royal Air Force à l'été 1944, ces clichés stupéfiants sur lesquels on aperçoit la fumé des fours à ciel ouvert [l'invention des "fours à ciel ouvert" est une grande première technologique et mérite sans doute le Nobel de l'ânerie] et l'organisation du camp d'extermination, auront attendu soixante ans avant d'être rendus publics.
Pourquoi ce délai? C'est l'une des questions que pose Auschwitz: la preuve oubliée, documentaire britannique inédit de Lucy Carter, bâti à partir du décryptage des photos aériennes anglaises et de témoignages de survivants d'Auschwitz. [Ah les survivants! Quelle bénédiction! ] Ce film poignant, qui apporte de nouveaux éléments pour comprendre l'attitude controversée des Alliés [controversées par quelques groupes extrémistes juifs seulement! ] face à «la solution finale», est diffusé dans le cadre des programmations spéciales célébrant le 60e anniversaire de la libération d'Auschwitz, le 27 janvier 1945. Il illustre en partie le livre que Laurence Rees, directeur des programmes d'histoire à la BBC et spécialiste du nazisme, vient de publier, Auschwitz, les nazis et la solution finale (éd. Albin Michel).
Autre question soulevée par ces photos: pourquoi, alors qu'ils avaient tous les yeux la preuve matérielle de l'existence d'un camp de la mort [il n'y a rien de probant dans ces photos, tout au contraire.], les Alliés n'ont-ils pas cherché à bombarder Auschwitz, et à empêcher ainsi la mort de dizaines de milliers de juifs? [On aurait sauvé les juifs (et les autres internés? ) en leur foutant des bombes sur la gueule? A qui veut-on faire avaler ça? ] Afin de tenter d'expliquer cette absence de réaction [parfaitement imaginaire, les journalistes étant parfaitement incompétents pour juger des nécessités tactiques d'une campagne militaire comme celle qui allait amener la chute du IIIe Reich ], les historiens interrogés indiquent que ce n'est pas le camps d'Auschwitz que les avions photographiaient à l'époque, mais un énorme complexe pétro-chimique allemand [sis un peu à l'écart, à Monowitz, dit aussi Auschwitz III ]. Dans l'urgence, les agents chargés d'analyser les clichés n'auraient pas réalisé que les camps d'Auschwitz et de Birkenau, proches de cette usine de pétrole synthétique, appartenaient au même ensemble. [ C'est prendre les analystes pour des billes. Ils ont forcément vu que le tout formait un ensemble à vocation industrielle. Surtout, il n'y a rien sur les photos qui indiquerait, encore aujourd'hui, qu'il s'y passait des choses abominables. ] «Ils n'ont pas compris ce qu'ils voyaient», estiment les historiens, qlors que l'existence de plans d'extermination massive des juifs étaient connus depuis 1941. [D'abord, ces plans, qui prévoyaient la déportation vers l'est, et non l'extermination, des juifs n'ont été connus qu'après la guerre. Ensuite, il est manifeste que ce sont les historiens qui "voient" sur les photos la projection de leurs propres constructions mentales, fondées sur un choix politique opéré par le tribunal de Nuremberg dans la documentation allemande. Les analystes militaires étaient beaucoup plus réalistes et terre-à-terre, comme l'exigeait leur rôle: fournir des faits au commandement.]
Ordonné par Churchill en 1944, sous la pression d'organisations juivees et de témoignages de rescapés, le bombardement d'Auschwitz n'eut jamais lieu. [Et pour cause, une bonne partie des "informations" circulant sur ce camp, comme d'autres, avait été concoctée par les services anglais. Chruchill voulait aussi "noyer l'Allemagne sous les gaz". Il levait un peu trop le coude et son entourage le savait.] Mobilisés sur plusieurs fronts, les Alliés voulaient d'abord gagner la guerre. «Je m'en fichais de mourir sous les bombes, raconte une survivante. L'important, c'était qu'on fasse quelque chose pour nous". [C'est un cliché du judéocentrisme: y'a que nous qui compte! ]
Guillaume Fraissard
Le Monde (télévision), 9-10 janvier 2005, p. 24.
Un entretien avec le président du Conseil international du musée d'Auschwitz-Birkenau
Bartoszewski: Historien, ancien chef de la diplomatie polonaise, prisonnier politique à Auschwitz en 1940-1941, Wladyslaw Bartoszewski, 83 ans, préside le Conseil international du musée d'Auschwitz-Birkenau. Il fait partie aussi des 6000 Polonais reconnus «justes» par l'institut Yad Vashem. Wladyslaw Bartoszewski était hier à Paris pour inaugurer avec Simone Veil la conférence intitulée. Propos recueillis par Arielle Thedrel [14 janvier 2005]
LE FIGARO. Que vous inspirent les propos de Jean-Marie Le Pen?
Wladyslaw BARTOSZEWSKI. A mon avis, cela relève plutôt de la psychiatrie. C'est, hélas, un Français, Robert Faurisson, qui a développé les thèses négationnistes que l'on a également entendues dans d'autres pays, en Autriche, dans les États scandinaves. En Allemagne, ils n'osent pas.
L'ouverture d'une enquête constitue-t-elle une bonne riposte?
Nier les crimes nazis est puni par la loi. En général, c'est une peine avec sursis ou une amende. C'est plutôt contre-productif. D'abord, cela ne change en rien la personne qui a fait de telles déclarations. Ensuite, le scandale est tel que cela lui fait plutôt de la publicité. Vous voyez, si moi, un Polonais qui vit à des milliers de kilomètres de la France, cite Faurisson, c'est que ce dernier a atteint son objectif. Il n'existe pas de recette pour se débarrasser de la bêtise ou du mensonge. Roosevelt disait bien en 1945 que Staline était un démocrate, un homme d'honneur, et il est mort convaincu de cela!
La négation des chambres à gaz s'appuie notamment sur le fait qu'elles avaient disparu au moment de la libération des camps, Himmler ayant ordonné leur destruction en novembre 1944. Que répondez-vous aux thèses de Faurisson?
Des recherches scientifiques ont prouvé leur existence. En Pologne, il y a eu aussi des centaines de témoins. Je dirai même des témoins impartiaux puisqu'il s'agissait de Polonais chrétiens. Alors qu'ils étaient prisonniers, ils ont participé sous la contrainte à la construction des chambres à gaz, puis ils ont vu les juifs se faire gazer. Ces négationnistes profèrent des mensonges éhontés. C'est comme si l'on polémiquait pour savoir si Napoléon a été empoisonné ou non. [Ce palotin ignore qu'il existe une réelle controverse sur ce sujet ] Lors de son procès en 1947, Rudolf Höss, le commandant d'Auschwitz, a confirmé l'existence des chambres à gaz. Il n'a contesté qu'une seule chose: les données soviétiques qui faisaient état de quatre millions de morts à Auschwitz. Höss parlait d'un million et demi. Eichmann en a fait autant lors de son procès à Jérusalem. Mais, du point de vue moral, quatre millions ou un million, c'est la même chose. Dans cinquante ans, que dira-t-on du génocide rwandais? Y aura-t-il un Faurisson pour le nier? Ce n'est pas impossible. On entend aujourd'hui de telles choses sur Auschwitz!
Mais en Pologne aussi, deux mémoires rivalisent. Pour les juifs, Auschwitz est le symbole de la solution finale alors que, pour les Polonais, c'est celui de leur propre martyre.
Grâce au procès de Nuremberg, nous savons que les Allemands voulaient éliminer les élites polonaises alors qu'en Europe occidentale ils ne visaient que la maîtrise du terrain. La solution finale est née en janvier 1942, mais savez-vous qu'auparavant un million de Polonais non juifs avaient été exterminés par les nazis, 90 000 rien qu'à Auschwitz?
Texte du 21 février 2003
The Holocaust Denier Who Would Be Yasser Arafat's Prime Minister [and is now PA President]
By Rafael Medoff
While European Union officials praised Yasser Arafat's decision to appoint his first-ever prime minister, historians of the Holocaust were wincing at the thought that a leading candidate for the job is the author of a book questioning whether the Nazis murdered 6 million Jews.
The candidate is Mahmoud Abbas, also known as Abu Mazen, Arafat's second in command. His book, published in Arabic in 1983, is titled The Other Side: The Secret Relations Between Nazism and the Leadership of the Zionist Movement. It was originally his doctoral dissertation, completed at a Moscow college during the 1970s. The book, discovered in an Amman bookstore in 1995 and reported at the time in the Jerusalem Post, raises hard questions for Israel and the West.
According to a translation provided by the Wiesenthal Center, Abbas's book repeatedly attempts to cast doubt on the fact that the Nazis slaughtered 6 million Jews. He writes: "Following the war, word was spread that six million Jews were amongst the victims and that a war of extermination was aimed primarily at the Jews... The truth is that no one can either confirm or deny this figure. In other words, it is possible that the number of Jewish victims reached six million, but at the same time it is possible that the figure is much smaller below one million." Abbas denies that the gas chambers were used to murder Jews, quoting a "scientific study" to that effect by French Holocaust-denier Robert Faurisson. [On voit qu'il a de bonnes lectures... ]
Abbas claims the number 6 million is the product of a Zionist conspiracy: "It seems that the interest of the Zionist movement, however, is to inflate this figure so that their gains will be greater," he writes. "This led them to emphasize this figure [6 million] in order to gain the solidarity of international public opinion with Zionism. Many scholars have debated the figure of six million and reached stunning conclusions -fixing the number of Jewish victims at only a few hundred thousand." Another falsehood. In fact, no serious scholar proposes such a figure.
After reducing the magnitude of the Nazi slaughter so that it no longer seems to have been a full-scale Holocaust, Abbas seeks to absolve the Nazis by blaming the Zionist leadership for whatever killings did take place. According to Abbas, "a partnership was established between Hitler's Nazis and the leadership of the Zionist movement... [the Zionists gave] permission to every racist in the world, led by Hitler and the Nazis, to treat Jews as they wish, so long as it guarantees immigration to Palestine." In addition to encouraging the persecution of Jews so they would emigrate to the Holy Land, the Zionist leaders actually wanted Jews to be murdered, because in Abbas's words "having more victims meant greater rights and stronger privilege to join the negotiation table for dividing the spoils of war once it was over. However, since Zionism was not a fighting partner suffering victims in a battle it had no escape but to offer up human beings, under any name, to raise the number of victims, which they could then boast of at the moment of accounting."
When Abbas's words first came to the West's attention in 1995, he was questioned by the Israeli newspaper Ma'ariv. His reply was a cynical attempt to frame the matter as politics. "When I wrote The Other Side... we were at war with Israel," Abbas said. "Today I would not have made such remarks... Today there is peace and what I write from now on must help advance the peace process."
In most Western countries, Holocaust-deniers have been treated as pariahs. In Canada and many European countries, Holocaust-denial is a criminal offense. In New Zealand, Canterbury University recently issued an apology for having accepting a master's thesis denying the Holocaust, while the French minister of education revoked a doctoral degree that was awarded to a Holocaust-denier by the University of Nantes. A Polish university professor who denied the Holocaust was suspended from his position. The Japanese publisher Bungei Shunju shut down one of its magazines for printing an article denying the Holocaust.
International pressure compelled Croatian president Franjo Tudjman to publicly retract statements in his book doubting that the Holocaust had taken place. Austrian Freedom Party leader Jörg Haider was ostracized by the international community for his remarks praising members of the Waffen S.S., as was French politician Jean Marie Le Pen, for questioning the existence of the gas chambers and belittling the significance of the Holocaust.
Yet some in the media have treated Abbas with kid gloves, to say the least. The official BBC News profile of Abbas reports: "A highly intellectual man, Abbas studied law in Egypt before doing a Ph.D. in Moscow. He is the author of several books." The New York Times recently characterized Abbas as "a lawyer and historian... He holds a doctorate in history from the Moscow Oriental College; his topic was Zionism." Neither the BBC nor the Times have offered any further explanation as to the contents of Abbas's writings.
If Abbas is elevated to the post of prime minister of the Palestinian Authority, not only the media but the entire international community will be confronted with the question of whether Abbas deserves to be treated any differently from the pariahs Haider and Le Pen or, for that matter, the repentant Tudjman.
< http://www.forward.com/issues/2003/03.02.21/oped4.html >
Pour Asharq al Awsat, la commémoration de la libération des camps de concentration représente un "cadeau inestimable à Sharon" qui pourra poursuivre "l'extermination des Palestiniens"
Ghaïda Fakhri du quotidien londonien Asharq al Awsat s'interroge dans une longue tribune sur les raisons qui poussent l'Onu à tenir une Assemblée générale exceptionnelle, lundi prochain, pour commémorer la libération des camps de concentration, 60 ans après la fin de la Shoah. "Cette Assemblée générale est surprenante, constate le journaliste, car les 27 Assemblées convoquées depuis la création de l'Onu en 1945 ont été réunies pour examiner des questions pressantes relatives à la sécurité mondiale ou des questions de famine… Les deux premières sessions extraordinaires étaient consacrées, en 1947 et 1948, à la Palestine. Pour la première fois de son histoire, la prochaine session sera consacrée à la commémoration d'un événement. Ce qui est surprenant, en dépit de l'horreur de cet événement… Il est vrai que les camps de concentration ont marqué une page noire de l'Histoire humaine, mais peut-on considérer que la fermeture des camps est plus importante que la fin de la deuxième guerre mondiale? Et que cette importance mérite une commémoration? Pourquoi l'Onu n'a-t-elle pas commémoré le 10ème anniversaire des massacres du Rwanda?".
Le journaliste estime que «l'initiative de la commémoration de la Shoah à l'Onu fait partie de l'agenda du président américain. En proposant la commémoration de la fermeture des camps de concentration à l'Onu, Bush aura offert un cadeau inestimable à Sharon, d'autant plus que les pays arabes ne s'y sont pas opposés… En relançant la question de l'Holocauste, l'Europe se sentira encore culpabilisée et sortira intimidée. De ce fait, elle aura les mains liées dans la question palestinienne. Ce qui donnera à Sharon toute liberté pour poursuivre l'extermination des Palestiniens", conclut Ghaïda Fakhri.
proche-orient.infomerdo. 21 janvier 2005
< http://www.proche-orient.info/xjournal_racism_der_heure.php3?id_article=35311 >
Hôtel de Ville de Paris, 17 janvier 2005
Le général André Rogerie a ensuite évoqué avec beaucoup d’émotion ce qu’il a vécu à Auschwitz durant les dix mois de sa détention. Lui, le fils d’une mère catholique très pieuse, qui a rejoint à Auschwitz les fils de Jacob qu’il avait aimés dans la Bible de son enfance, dit d’emblée: «Cette image qui le poursuit, ce souvenir qui le hante: les femmes nues avec les enfants nus à l’entrée du crématoire.» Il dit entre deux silences la fumée qui envahit le camp, l’odeur de viande grillée, ces 4 000 Tziganes envoyés à la chambre à gaz... Les anciens déportés essaient de transmettre leur expérience à leur retour mais «comment dire le froid, la faim, les coups, les cris, les aboiements, la peur, la crasse, l’horreur des chambres à gaz, la mort?». Le général Rogerie appelle enfin la jeunesse à regarder avec courage ce que fut «l’organisation de mort nazie pour comprendre que rien n’est jamais terminé.»
L'Humanité, 18 janvier 2005, qui porte en bandeau: "Dans un monde idéal, L'Humanité n'existerait pas." Mais, coco, dans un monde normal ce journal débile n'existerait pas non plus!
Rogerie est un des plus flasques menteurs qui soient. Il a été coocooné par les staliniens au camp et n'a souffert de rien. Ce vieux saligoince oublie les tartines de confiture dont il se bâfrait chez les kapos communistes.
Bertrand Delanoë a assuré que la Ville transmettrait aux citoyens la vérité de l’histoire tout au long de l’année 2005: «Nous ferons de la commémoration une arme pacifique contre celles et ceux qui s’inspirent encore de la barbarie, les falsificateurs de l’histoire, ceux qui déclarent que l’occupation nazie en France n’était peut-être pas la barbarie», a-t-il déclaré.
< http://www.humanite.presse.fr/journal/2005-01-18/2005-01-18-454924 >
La barbarie, ducon, il y a des canards pour ça.
"l'ouvrage" négationniste interdit en France...
Indymédia persiste et signe
Pierre Lefebvre
Après avoir rendu publique une pseudo-liste recensant les Juifs de France qui auraient le pouvoir (affaire révélée par le site Mitspe dés le samedi 17 juillet), Indymédia poursuit sur sa lançée et nous propose du négationnisme de la plus "belle" eau.
Il offre une tribune inespérée à un intellectuel suisse, un certain Graf, et à son livre " L'HOLOCAUSTE AU SCANNER " . Ce livre de Jürgen GRAF est un ouvrage interdit en France. En effet, par arrêté du 19 décembre 1994 pris par le ministre de l'Intérieur français, "L'Holocauste au scanner" est interdit de circulation, de distribution et de mise en vente en raison du danger qu'il représente pour l'ordre public. [Décision cassée grâce à l'action décisive de Me Delcroix. Ce livre circule normalement, nous l'avons signalé en son temps, voir Conseils de révision de février 2002. Les sionards n'ont que deux ans de retard.]
Cela ne gêne absolument pas Indymédia qui en cite de larges extraits que l'on peut aussi retrouver sur le site AAARGH [texte intégral: http://aaargh-international.org/fran/polpen/graf/graf.html], ramassis des idées les plus violentes et les plus farfelues qui se puissent trouver.
Cette étonnante collusion entre gens de la gauche extrême, altermondialiste, et des tenants du révisionnisme pur et dur, à l'extrême droite de l'extrême droite pour qui Jean-Marie Le Pen est un dangereux maoïste, ne peut que surprendre le français apathique dont parlait Marek Halter. [Qui est ce Marek Haltère, un sportif? ]
Mais pour ceux qui analysent depuis quelques années le discours antisémite, son corollaire, l'antisionisme, et les mouvances que celui-ci réunit, l'étonnement n'est même pas perceptible.
La haine des Juifs en général et d'Israël en particulier dépasse de loin les clivages politiques, idéologiques et religieux. [Mais non, on ne hait pas une ambulance qui passe ] Extrême gauche et extrême droite se rejoignent dans la même détestation et préfèrent de beaucoup nouer une alliance objective avec les pratiquants d'un antisémitisme venu du fond des âges, l'antisémitisme du fondamentalisme musulman.
La sagesse populaire assure depuis fort longtemps que les extrêmes se rejoignent toujours. Indymédia nous en offre une nouvelle fois la preuve éclatante.
Nous renonçons à donner ici les liens. Nous ne pouvons nous résoudre à augmenter de manière significative le taux de fréquentation de ce site qui, de leur aveu même, tarde un peu à décoller. Il suffit de taper "indymédia " sur un moteur de recherche pour prendre connaissance de ces articles.
Nous espérons seulement que les Ministères de la Justice, de l'Intérieur et les services du Premier Ministre réagiront avec promptitude . Ils ont été aujourd'hui informés, par courrier avec l'ensemble des copies écrans, de ces faits gravissimes.
Nous informons Indymédia qu'ils peuvent retirer ces articles de leur site ou les changer de place comme ils ont pu le faire avec cette désormais trop fameuse liste juive. Tout est d'ores et déjà enregistré et conservé précieusement. Une copie a été transmise aujourd'hui aux autorités concernées. [Ce sont vraiment de petits flics, ces gens-là! ]
Bien sur, Indymédia refuse de reconnaître toute responsabilité et rappelle qu'il est "un réseau mondial dédié à la contre-information, proposant une alternative radicale aux médias institutionnels et commerciaux, par le biais de sites oueb, de radios internet et autres outils de communication électroniques, de façon complètement décentralisée".
Certes, un texte aurait pu paraître comme étant une erreur ou l'initiative malheureuse d'un collaborateur comme Primo l'a déjà envisagé dans son premier article (voir la sélection de la semaine). Mais cette récidive fait qu'il n'y a désormais plus d'excuse valable à recevoir ni même à attendre.
Ce site tient et relaie des propos racistes, négationnistes. Qu'il soit condamné et lourdement!
Que ces animateurs apprennent, une bonne fois pour toutes, que liberté n'est pas licence!
Et qu'ils sachent bien qu'aujourd'hui, des voix s'élèvent pour demander l'interdiction pure et simple de ce site, ces voix venant autant de l'intérieur de Primo Europe que du mouvement des Maghrébins Laïques de France avec qui nous sommes heureux de vivre des moments de lutte d'une rare intensité.
Primo Europe. Une agence extrême-sioniste. Personne ne les écoute. Ils ragent dans leur coin.
< http://www.bethel-fr.com/afficher_info.php?id=10716.209 >
Ces charmants zélotes entretiennent une rubrique "Négationnisme / Révisionnisme":
Ces gens sont des chrétiens hérétiques qui sentent le bûcher anglo-saxon.
L'affaire Garaudy
D'un incertain jcv-vidal
Maintenant, tout le monde connaît Roger Garaudy, cet homme qui a si souvent changé de foi au cours de sa vie ... En fait, personne (ou presque) ne le connaissait avant l'irruption de "l'affaire Garaudy"[on a de la peine à croire ce qu’on lit là. Y croit-il vraiment lui-même?]... De quoi s'agit-il exactement? Eh bien, cet homme s'est rendu coupable d'avoir écrit un ouvrage "révisionniste" et s'est fait cloué au pilori des média. Pour parler crûment, il s'agit d'un lynchage médiatique, ni plus, ni moins. Ce qui m'a frappé dans les divers comptes-rendus de cet ouvrage, c'est le fait que presque aucun journaliste ne s'est manifestement donné la peine de le lire (depuis quand les journalistes vérifient-ils leurs sources?). Crier au loup avec le reste de la meute n'est pas mon fort, ça me dégoûte même, et je me suis pris par la main pour lire le bouquin incriminé et me faire une opinion par moi même. Ce que devrait faire tout un chacun. Évidemment ce n'est pas une mince affaire: le livre a été mis à l'index [absurde, ce livre circule normalement ], et le seul moyen de se procurer l'ouvrage est d'aller fouiner dans les quelques librairies d'extrême-droite de Paris ou de la région PACA. Ce qui n'est guère ragoûtant. J'ai fini par le dégotter sur un site Web particulièrement antisémite[1]. et je l'ai téléchargé. Et je l'ai lu (horreur!).
Disons d'emblée que seulement un tiers du livre est explicitement révisionniste[2]… En fait, le propos de Garaudy est plutôt l'anti-sionisme. En gros le bouquin se divise en 3 parties.
1. D'abord il s'attaque aux justifications bibliques de l'état d'Israël et entre dans des considérations théologiques assez pointues, qui sont à mon avis inutiles: Un état qui se présente comme étant "occidental" ne peut pas avoir un livre religieux comme fondation. Que dans notre beau pays, des "intellectuels" soi-disant héritiers des Lumières défendent coûte que coûte un état théocratique et colonialiste me dépassera toujours.
Il met aussi le doigt sur l'instrumentalisation du génocide par l'état d'Israël pour faire accepter à peu près n'importe laquelle de ses exactions. Pas besoin d'être révisionniste pour faire cela. Le Torquemada de l'anti-révisionisme, Pierre Vidal-Paquet (son livre sur - ou plutôt contre - le révisionnisme se trouve ici:
< http://www.anti-rev.org/textes/VidalNaquet87a/ > et il est indispensable ...) reconnaît aussi le procédé comme assez obscène et ne pratique pas l'argument massue du discours ambiant: anti-sionisme=antisémitisme[3] (3).
2. La dernière partie (assez pénible) est consacré aux méfaits du lobby sioniste, en particulier aux USA. Garaudy, comme beaucoup trop de gens, a une vision policière de l'histoire qui se résume, dans son cas, aux agissements d'une poignée d'individus dissimulés dans les coulisses (pour d'autres, c'est le KGB ou la CIA ...). Ce mode de pensée est assez fréquent (voire omniprésent) dans les rangs de l'extrême-droite, mais pas seulement là, loin s'en faut ... Qu'il y ait un lobby sioniste, personne n'en doute; que tout doive lui être imputé, c'est une autre paire de manches ...
3. Enfin, la partie qui nous préoccupe: celle de la révision du génocide. Garaudy emploie toutes les ficelles assez usées du révisionisme[4]... Son "habileté", comme celle de ses congénères les plus rusés consiste à pointer les pieux mensonges des vainqueurs de 45, les inexactitudes, les points obscurs. Il souligne - et re-souligne - qu'il n'y a jamais eu de chambre à gaz à Dachau (celle qu'on montrait jusque récemment aux touristes était une mystification); il démontre certaines anomalies flagrantes du procès de Nuremberg, et surtout met en avant l'absence de preuves écrites ou de témoins directs fiables (à son sens). Mais comme le disait P. Vidal-Criquet, les seules preuves qu'accepterait un révisionniste seraient celles que pourrait apporter quelqu'un qui est passé par la chambre à gaz et le crématoire. Et encore ...
Garaudy se contredit parfois: il démontre (suivant les dires d'un "expert") par exemple que les fours crématoires n'ont pu pratiquement consumer tous les cadavres qu'on leur attribue, mais plus loin admet l'hécatombe d'Auschwitz (pour cause de typhus ...); il a pourtant bien fallu brûler tous ces cadavres dans des fours incapables de le faire ... Il joue aussi sur les chiffres de manière assez dérisoire. Pour mettre les choses au clair, le bilan est actuellement le suivant (voir par ex. "La destruction des juifs d'Europe", de Raul Hilberg et d'autres, peu suspects de révisionisme): environ 5 millions de juifs ont été tués par les nazis et la ventilation en est grosso-modo celle ci: 1 million victimes des "Einsatzgruppen" sur le front de l'est (ex: Babi Yar), 500000 dans les ghettos et durant les transits et 3,5 dans les camps dont 1 à Auschwitz. Ces faits sont connus et reconnus depuis longtemps, contrairement à ce que pense Garaudy qui ironise lourdement et longuement sur les 4 millions dont Auschwitz fut crédité dans l'immédiat après guerre (et particulièrement à Nuremberg).
Ceci étant dit, il faut répéter ce qui a été dit au début: Garaudy ne donne dans le révisionnisme que pour combattre le sionisme: puisque l'état d'Israël n'existe que du fait d'Auschwitz et de son incommensurabilité[5], il lui faut s'attaquer au récit de l'Holocauste et ce qui lui donne son caractère unique: les chambres à gaz. Sans chambres à gaz, le massacre des juifs d'Europe se retrouve sur le même plan que tous les autres massacres du 20ème siècle (Goulag, Timor oriental, ...) et dans ces conditions le sionisme se retrouve privé de sa légitimité. Il faut noter que cette remise en cause du caractère unique d'Auschwitz n'est pas uniquement le fait des révisionnistes ou de quelconques nervis néo-nazis (voir le très bon livre de Alain Brossat, L'épreuve du désastre, dont les réflexions se nourrissent de celles de Hannah Arendt et de Michel Foucault, tous deux fascistes notoires, comme chacun sait ...).
Ceci étant dit, "l'affaire Garaudy" soulève quelques problèmes:
D'abord une pensée extrêmement inquiétante: pour des gens qui ne connaissent rien du génocide ou par ce que leur en dit la culture fast-food, un livre comme celui de Garaudy (ou de n'importe lequel des révisionnistes) est aussi convaincant, à priori, que celui d'un Vidal-Cliquet. C'est probablement ce qui a inspiré les lois qui répriment la pensée révisionniste. Des lois qui réinventent le délit d'opinion, soit dit en passant ... Plus grave encore: pour quelqu'un qui connaît un peu le sujet (comme c'est mon cas, soyons immodestes), se pose le problème de qui croire et de la légitimité de la parole. Sur certains points, comme par exemple le fameux rapport Gerstein, nous sommes "obligés" de croire un Vidal-Baquet: sa démonstration n'en n'est pas une, à proprement parler. Car il y a une chose qu'il faut bien dire et répéter: s'il y avait des preuves irréfutables du Génocide (traces écrites, photos, films, choses dont les nazis semblent avoir été très friands), il n'y aurait pas de révisionnisme. Celui-ci se nourrit des trous dans le récit, des imprécisions, de certaines aberrations, voire de pieux mensonges. A la limite, pour pouvoir satisfaire sa probité intellectuelle, le lecteur devrait se muer en historien et aller puiser directement aux sources pour se forger une vision raisonnablement exacte de la vérité. Personnellement, je crois ce que raconte un Vidal-Chiklet; mais je me rends bien compte qu'il s'agit de ma part d'un calcul non rationnel. Pourquoi ne croirais-je pas un Garaudy, qui, a priori, ne semble ni un néo-nazi, ni un antisémite? Un exemple: suivant les historiens, les chambres à gaz auraient fonctionné environ deux ans et demi à Auschwitz; le nombre des victimes se montent à 1 million pour ce camp. En y réfléchissant, avait-on vraiment besoin du Zyklon B pour éliminer autant de personnes durant ce laps de temps? Quand on voit qu'au Rwanda, le bilan est de 500.000 victimes pour quelques mois avec des moyens des plus "artisanaux", il est permis d'en douter. De même, dans les camps staliniens, on arrivait à des taux de mortalité aussi élevés par la simple combinaison du froid, du travail hallucinant, de la malnutrition et des mauvais traitements ... Finalement, je crois P. Vidal-Briquet, mais je sais aussi qu'à partir d'un certain point, je le crois sur parole ... [Grave erreur, petit jobard. ]
Qu'on ait mis sur certains sites des petits rubans bleus pour défendre la liberté d'opinion, c'est très bien. Mais dans ce cas, il faut être conséquent vis à vis de son rapport à la censure: Le révisionnisme n'a pas, a priori, à être mis au pilori. Une censure sélective reste une censure ou alors il faut réfléchir un peu plus loin que le bout de son nez sur la notion de censure. La censure ne doit pas simplement être considérée comme une entrave pour la défonce du consommateur, comme c'est trop souvent le cas (ce qui est une des nombreuses apories de la pensée libérale). La censure peut être justifiée si elle défend certaines valeurs; mais dans ce cas, il faut déterminer lesquelles (et essayer de voir si la notion de valeur peut encore exister dans un monde dominé par le paradigme de la marchandise).
Enfin, une dernière chose. Qu'un P. Vidal-Friqué s'attaque aux révisionnistes, c'est son droit, il sait de quoi il parle, il sait qu'il a affaire à des faussaires, et il peut (dans une certaine mesure) le prouver. Qu'un pigiste du "Canard enchaîné" qui ne connaît rien à l'histoire du Génocide se permette de fusiller Garaudy de quelques phrases sèches (et qui se veulent drôles), voilà qui est anormal. Au bout du compte, à quoi arrive-t'on: un homme, ni nazi, ni antisémite, se retrouve du fait d'une campagne médiatique au ban de la société et doit se faire publier par des officines néo-nazis. D'ici quelques années, Garaudy sera probablement devenu effectivement nazi et/ou antisémite; ce sera une grande réussite. Il pourra se présenter comme une victime du lobby franc-maçonno-judéo-cosmopolite, un martyr de plus. Il est vrai qu'à ce moment là, ce ne sera plus très grave car le FN aura pris le pouvoir grâce à la gabegie du milieu médiatico-politique ...
Cf la page Garaudy de l'AAARGH [ http://aaargh-international.org/fran/fren/fren.html ]
Andreas Röhler, publisher of Sleipnir, has been resisting the Berlin authorities for many years. As a former East German, his dialectically-trained mind is sharper than that of the state prosecutors' and judges who wish to silence him.
As in the Horst Mahler case, a frustrated public prosecutor attempted to silence Röhler by having him certified - without success.
Use of such Soviet-style psychiatric tricks is still not yet accepted as a matter of course, but one may surmise that it is only a matter of time before judicial personnel in power will use psychiatry to stifle intellectual dissent in Germany.
A questionable financial-tax complaint has now been levelled against Röhler. This trick was also recently used by the German authorities against Germar Rudolf, which lead to Rudolf incurring a massive financial debt.
Andreas Röhler needs your financial support -
SLEIPNIR, Zeitschrift für Kultur, Geschichte und Politik,
Andreas Röhler (V.i.S.d.P.), Postfach 350264, D-10211 Berlin
Tel./Fax: (0049/0/30)-42857835
http://www.nationalanarchismus.org
Keine neue Gestapo, keine neue Stasi,
keine politische Justiz!
- Après cinq ans de travaux, la commission d'enquête de la Knesset publie son rapport aujourd'hui.
Scandale sans précédent: les banques israéliennes détiennent 9000 comptes dormants ouverts en Palestine par des juifs européens ensuite victimes de la Shoah, et les organismes d'État auraient spolié dans les mêmes conditions 5 à 10% des terres.
C'est sous la houlette de la députée travailliste Colette Avital que cette enquête a été menée, non sans d'énormes difficultés. Au cœur du scandale: la Bank Leumi, la Mizrahi, l'Hapoalim, la Discount Bank et la Merkantil Discount. Les noms des 9000 détenteurs de comptes seront publiés cet après-midi sur le site internet de la Knesset. Israël a donc mis quelques années de plus que la France, la Suisse ou les États-unis pour faire son mea culpa. Mais ce qui était déjà inadmissible pour ces pays est-il pardonnable de la part des institutions bancaires et de l'État juifs?
< http://www.proche-orient.info/xjournal_eco_der_heure.php3?id_article=35053 >
Pour lire l'article en entier il faut raquer, et nous, on raque pas.
Merci Goethe
Le président Monfort avoue qu'il pense que la loi Gayssot est injuste
Au cours d'une émission diffusée le 15 janvier sur France-Cul, Jean-Yves Monfort, qui fut pendant dix ans président de la XVIIe Chambre du Tribunal de Paris et à ce titre juge des grands procès révisionnistes, "avant que le révisionnisme n'émigre sur Internet où il est beaucoup plus difficile à poursuivre", s'est exprimé sur la loi Gayssot. Extraits:
Elisabeth Lévy: Est-ce que la loi n'a pas permis, finalement, de donner un très large écho aux thèses négationnistes?
J.-Y. Monfort: Oui, c'est un sujet délicat que cette loi de 90. Je voudrais rappeler, la citation est très courte, la position de la Cour européenne des droits de l'homme sur un sujet qui me paraît tout-à-fait essentiel. La Cour europénne ... dit ceci: "La liberté d'expression constitue l'un fondements de la vie démocratique, l'une des conditions primordiales de son progrès et de l'épanouissement de chacun, sous réserve du paragraphe 2 qui autorise des restriction, paragraphe 2 de l'article 10: elle vaut non seulement pour les idées accueillies avec faveur, considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l'esprit d'ouvertures sans lesquels il n'est pas de société démocratique." Le principe est très fort: L'appliquer sur le sujet que vous évoquiez à l'instant est évidemment extrêmement douloureux car on voit très bien que cette loi est venue de la douleur des victimes, le souvenir d'événements historiques particulièrement odieux sur lesquels tout le monde est d'accord, sauf justement quelque négationnistes, mais le contre-effet de cette loi a été de jouer, je dirais, comme une sorte de chiffon rouge à l'égard précisémmment de tous ceux qui en faisaient les frais, eux qui finalement recherchent une posture de martyr [...]
Je crois qu'il y a d'autres façons de répondre à l'interpellation des thèses révisionnistes ou négationnistes, on l'a un peu perdu de vue dans ce pays. On pourrait tout à fait concevoir que des historiens montent au créneau, et viennent répondre à ces thèses, débattre et convaincre l'opinion qu'il y a là mensonge.. euh.. dans ces thèses. [Notre excellent magistrat semble oublier que les historiens qui, avant 1990, étaient montés au créneau en sont précipitamment redescendus et que pour se protéger des arguments-massue qui leur tombaient sur les côtelettes, ils ont préféré le solide bouclier de la dura lex, dura pour les autres. Eux, ils n'avaient plus qu'à attendre la pluie des Légions d'honneur. ] On pourrait aussi concevoir que les citoyens, indignés par un certain nombre de propos, descendant dans la rue car après tout j'ai le sentiment qu'à l'époque du home cinema et du confort ménager, les citoyens se déchargent un peu facilement sur le juge du soin de manifester leur indignation. Alors, pardonnez-moi, en tant que magistrat de donner l'impression de préférer un désordre à une injustice, mais c'est peut-être un petit peu le sens de ma pensée, effectivement. [Dans cette pensée, on voit donc que c'est la condamnation automatique déclenchée par la loi Gayssot qui est "injuste". C'est aussi notre sentiment, Monsieur le Juge. ]
Elisabeth Lévy:: Est-ce qu'il est plus urgent de punir: Faurisson ou les gamins qui vont ricaner à Auschwitz?
J.-Y. Monfort: J'opte incontestablement pour la deuxième solution. [Pourtant ces gamins n'ont commis aucune infraction au Code pénal en ne prenant pas au s"rieux les âneries qu'on leur débite en les obligerant à faire un voyage contre leur gré. Le juge dérape, ou la question de la mère Lévy est vicieuse.]
J.-Y. Monfort: J'ai eu l'impression, pour vous livrer un expérience personnelle, sur les dix années que j'ai passées à la XVIIe, que, entre 1990, promulgation de la loi réprimant la contestation de crimes contre l'humanité, et 2000, chaque procès sur ce type de contentieux amenait de plus en plus de monde dans la salle d'audience et de plus en plus de supporters des thèses négationnistes. J'ai été quelque peu effrayé de voir également le contre-effet de la loi, avant que le négationnisme n'émigre vers Internet et soit de plus en plus difficile à poursuivre. [Bisque bisque rage...]
<http://www.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/1erpouvoir/fiche.php?diffusion_id=27695>
Cette émission est vraiment nulle, pondéreuse, assoiffante: la mère Lévy anonne des textes qu'elle a écrit d'avance et qui ne collent pas toujours avec les propos des invités. L'ambiance s'assombrit quand on entend jacasser Philippe Val, sous-journaliste, qui s'apparente à son lointain prédécesseur, un certain Vychinski...
I watched Israeli intellectuals on TV engage in genuine discussion trying to analyse and understand why things are so bad in Israel. They raised every possible reason for the situation other than the most obvious one Israel's history. It was excruciating to watch but also familiar. I have never seen a society so steeped in denial as Israeli society.
The entire spectrum of Israeli politics is in denial about Israel's history and this is why I do not have much faith in the Israeli Left. The handful that are not in denial like Dr Ilan Pappe who visited Australia last year, or Dr Uri Davis exist outside this spectrum. Their research into the events of 1948 and the circumstances surrounding the birth of the state of Israel is not discussed on public television and is not in Israeli history books. The average Israeli does not even know who they are. Although published by reputable publishers like Cambridge University Press, Dr Pappe's books have so far been refused publication in Hebrew. The reason offered is that they lack academic merit... The way most Israelis perceive their own history is as if they have always been the weak victim. The question of whether or not it was morally right or even wise to create a state at the expense of another people is never raised. No one in the mainstream questions the validity of democracy in a country where the right for citizenship is based on race (you can only become an Israeli citizen if you can prove that your mother is Jewish).
Avigail Abarbanel, ex-Israélienne émigrée en Australie.
< http://peacepalestine.blogspot.com/2005/01/avigail-abarbanel-what-peace-really.html >
Gas Chamber Survivor Who Found Love at Belsen
By Laura Elston
Gena Turgel entered the gas chamber at Auschwitz and lived to tell the tale. In the winter of 1944, the 21-year-old was made to strip naked with her mother inside the concentration camp's extermination block and wait, but miraculously the deadly poison was never released. "We were trembling. I didn't know where we were. Inside, it looked terrible. A woman came in that I recognised from a previous camp. She was very shocked. I was there and went out again. We waited a while and then water came through the walls. It was wonderful. For many weeks we had had no water on our backs. We were all drinking it. As we came outside, the women there said how wonderful it was to see us. They screamed with happiness. I didn't understand what they meant. I said "What are you shouting about?" They said "Don't you know? You were in the gas chamber." I lost my voice. I couldn't produce any saliva."
On en connaît des palanquées de nénettes qui racontent ce genre d'histoire. C'est à se demander...
La scène se passe en Russie. Excédés par les tentatives des organiations juives, appuyées par ces fonds juifs américains, pour imposer leur censure, un groupe d'intellectuels patriotes, orthodoxes convaincus, en opposition à l’Église russe, émet une protestation sur la fondement d'une idée que nous sommes nombreux, en Occident, à partager: "Les juifs en font trop. Il faut une limite à leurs prétentions. Nous sommes en état de légitime défense."
Aussitôt se met en branle la lourde machine, le juggernaut, comme disent les Indiens, de la dénonciation et de l'accusation d'antisémitisme, une vieillerie qui ne trompe personne.
Nous présentons d'abord l'offensive juive:
Russian MPs' letter angers Israel
Steve Rosenberg
The Israeli embassy in Moscow has called on the Russian authorities to respond toughly to all acts of anti-Semitism and xenophobia.
It follows a letter signed by members of the Russian parliament calling on the authorities to close down Jewish organisations across Russia. [A brazen lie]
The letter - since withdrawn - [Another brazen lie] accused Jewish groups of fomenting ethnic hatred and fuelling anti-Semitism. It was published by the Rus Pravoslavnaya nationalist ["nationalist" means "no under jewish control"] newspaper. The newspaper claims that the letter was signed by 500 academics and intellectuals and by 19 members of Russia's lower house of parliament, the Duma.
It called for Jewish organisations to be investigated and closed down, condemning Judaism as anti-Christian, even linking the religion to ritual murder. [Another enormous brazen lie ].
[...] In a statement the embassy said the letter contained the same arguments used by the Nazis to justify the mass extermination of Jews in World War II. [Another enormous brazen lie ] [...]
BBC News, 25 Jan. 2005
< http://news.bbc.co.uk/1/hi/world/europe/4205597.stm >
Nous avons le texte intégral de la lettre, traduit en français (le texte russe se trouve à l’adresse: http://www.rusprav.ru/2005/new/1.htm; nous l’avons aussi en russe en pdf:
http://aaargh-international.org/russ/russ.html ]
Note du traducteur:
Ce texte, qui a été publié dans la petite revue Rus' pravoslavnaja (La Rouss' - nom ancien de la Russie orthodoxe) sous le titre "La russophobie en action", qui dit bien la filiation avec l'œuvre du grand penseur russe Igor Chafarévitch, est une réponse, point par point, et libre, aux agressions que font subir les associations juives aux sociétés dans lequel elles vivent, ici la Russie, objet de leur haine féroce. Le traducteur de la lettre insiste, révolté par tant d’impudence, pour que nous précisions que, contrairement à ce que fait le journal Le Monde, qui en cite quelques extraits, (26 janvier 2005, sur internet: http://abonnes.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-395648,0.html ) le terme employé pour parler de la communauté juive ne peut en aucun cas être traduit par le terme français, aujourd’hui péjoratif, à connotation «antisémite» de «juiverie»; le mot ievrejstvo est aussi courant en russe que le mot jewry en anglais. Il ne viendrait à l’idée de personne de traduire le titre du livre de Raul Hilberg, The Destruction of European Jewry par La Destruction de la juiverie européenne. Le journal Le Monde n’hésite pas à le faire: tous les moyens sont bons pour discréditer un texte auquel on ne peut pas reprocher grand chose (et qui est écrit dans une langue que peu de lecteurs du Monde connaissent).
La demande contenue dans la lettre, qui est une saisine du procureur général, présentée par un député du parti Rodina (Patrie), a été retirée; les dix-huit autres députés signataires, membres du même parti et du parti communiste, ne savent plus très bien (à part deux ou trois), pourquoi ils ont signé cette lettre. (Mais le texte se trouve toujours sur le site de la revue Rus pravoslavnaïa, qui tient la chronique des réactions.) L’important n’est pas là: il est dans le fait qu’en Russie, un groupe se livre à une analyse fine et sans préjugé des actions des organisations juives, dans le pays et en Palestine, les relie très exactement aux prescriptions contenues dans les livres diffusés aujourd’hui par ces associations, et ose suggérer que ces actions constituant un crime prescrit par les textes, doivent faire l’objet d’une enquête et éventuellement interrompues le plus vite possible. L'invocation de la légitime défense, qui découle logiquement de la démonstration faite par les auteurs, nous paraît particulièrement intéressante et pleinement justifiée. Nous invitons nos lecteurs à lire le texte en entier et très attentivement: pas une de ces affirmations n’a été infirmée ou contestée par les associations et individus cités, ce qui tend à leur conférer une présomption de véracité… Et puis, qu’on soit chrétien ou pas, ça fait vraiment plaisir de voir des chrétiens qui osent revendiquer l’enseignement de leur Église, fondé sur l’Évangile et les Pères de l’Église.
(les caractères gras ne sont ni du traducteur, ni de l’AAARGH)
La Russophobie en action
BONHEUR JUIF, LARMES RUSSES…
"Des représentants de la société russe demandent au procureur général de Russie d'interdire la diffusion jusqu'ici impunie de l'extrémisme national et religieux juif"
Monsieur le Procureur général,
Le 18 décembre 2003, V.V. Putin, président de la Fédération de Russie, au cours d’un dialogue télévisé avec le public, a cité ces chiffres: quatre condamnations ont été portées en 1999, sur la base de l’article 282 du Code pénal de la Fédération de Russie «réprimant l'incitation à la discorde nationale», dix en 2000 mais en 2003, «plus de soixante instructions ont été ouvertes et vingt ont donné lieu à un procès; entre dix-sept et vingt condamnations ont été prononcées. (V. Putin, Conversation avec la Russie, 18 décembre 2003, Moscou, 2003, p. 53).
QUI A CRIÉ «AU VOLEUR»?
L'écrasante majorité de ces plaintes a été portée par des militants ou des associations juives, qui accusent les inculpés "d'antisémitisme". Et l'écrasante majorité des accusés et des condamnés affirment être des patriotes russes. B.S. Mironov, un homme politique et publiciste indépendant bien connu vient de les rejoindre.
Nous admettons que les propos tenus par les patriotes russes envers les juifs sont souvent péjoratifs, trop passionnés, ce qui est inadmissible dans la discussion publique, et que c'est cela que les tribunaux considèrent comme de l'extrémisme. Cependant, au cours des procès cités plus haut, on ne s'est pas une seule fois interrogé sur la cause de ces excès et sur la source de l'extrémisme dans le conflit entre nationalités en question.
Mais la question essentielle à laquelle l’instruction et le jugement doivent répondre est celle-ci: les jugements très péjoratifs portés sur les juifs par les patriotes russes correspondent-ils, dans leur essence, à la vérité? Si c’est non, il peut s’agir alors d’humiliation des juifs et d’incitation à la discorde nationale et religieuse. Si c’est oui, ces jugements sont justifiés, et malgré leur expression passionnelle, ils ne peuvent être considérés comme humiliants, incitant à la discorde, etc. (par exemple, si on traite un honnête homme de criminel, c’est humiliant pour lui; mais si on traite un criminel avéré de criminel, il s’agit de l’énonciation d’un fait).
De plus, comme dans le conflit entre nationalités dont il est question ici, il y a deux parties (l’accusation et les accusés), il faut donc déterminer lequel a déclenché le conflit et en est donc responsable, et, par ailleurs, on doit s’assurer que les actes reprochés aux accusés ne sont pas tout simplement de la légitime défense face aux actes d’agression commis par l’accusation.
Nous vous affirmons, Monsieur le Procureur général, qu’il existe sur ces questions, et dans le monde entier, de nombreux faits et de nombreuses sources qui permettent de conclure sans discussion possible: les jugements péjoratifs portés par les patriotes russes sur les qualités typiquement juives et les actes contre les non-juifs correspondent à la vérité. De plus ces actes ne sont nullement le fruit du hasard, ils sont prescrits par le judaïsme et se pratiquent depuis deux mille ans. Par conséquent, les déclarations et les publications contre les juifs reprochées aux patriotes relèvent d’une légitime défense dont le style n’est pas toujours irréprochable, mais qui est justifiée dans son essence.
MORALE DU FASCISME JUIF
A l’appui de cette affirmation, nous signalons à votre attention le livre Kitsour Coulkhan Aroukh, publié officiellement à Moscou, en 2001, par le Congrès des Associations et groupements juifs religieux de Russie (KEROOR). Il s'agit d’une édition abrégée du code juridique juif intitulé Choulkhan Aroukh, composé il y a quelques siècles à partir du Talmud et qui a encore caractère obligatoire aujourd’hui. Le chef du KEROOR, le rabbin Zinobée Kogan, avoue franchement (c’est nous qui soulignons):
«Le comité de rédaction du KEROOR a estimé nécessaire d’abandonner, dans cette traduction, quelques prescriptions de la Halacha (loi juive)… dont la présence dans une édition en russe serait considérée comme une offense gratuite par la population russe étrangère au judaïsme. Nous invitons les lecteurs qui désirent lire le Kitsour Choulkan Aroukh en texte intégral à se rendre dans une école religieuse juive pour étudier ce livre ainsi que de nombreux livres sacrés en texte original.»
L’un des dirigeants des juifs russes reconnaît donc qu’un certain nombre d’articles du code de conduite juive sont offensants pour la population non-juive de Russie, mais cela ne l’empêche pas d’inciter les membres de son peuple à étudier ces offenses dans les yechivas, c’est-à-dire des écoles juives financées par le budget de l’État et des collectivités locales. D’ailleurs, même dans l’édition censurée, nous trouvons les prescriptions suivantes:
Dans «Les lois sur l’idolâtrie», on dit qu’«il est interdit d’utiliser l’objet constitué de deux bâtons en croix, que l’on révère», ce qui signifie que le christianisme est considéré comme une idolâtrie et qu’en Russie, pays majoritairement orthodoxe, toutes les prescriptions qui s’appliquent aux idolâtres («akoum») concernent avant tout les chrétiens orthodoxes (art. 389).
Il est prescrit de proférer contre «la maison de l’idolatrie (c’est-à-dire l’église) la malédiction «Que D-u arrache la maison des orgueilleux» et en voyant une église détruite, on doit s’écrier: «D-u a manifesté sa vengeance!». Et surtout, un peu plus loin on propose une variante de cette prescription: «Certains pensent qu’il s’agit des maisons des non-juifs, qui vivent en paix, dans la tranquillité et la richesse» (art. 389-390)
Les non-juifs sont traités d’excréments (art. 47 et 48).
Il est interdit d’enseigner un métier aux non-juifs (art. 390).
«Une juive ne doit pas aider une non-juive dans ses couches.» (art. 390)
«Si un homme a emprunté de l’argent à un non-juif, et que ce créancier meurt, l’homme a le droit de refuser de rembourser son fils s’il n’est pas absolument certain que ce juif a emprunté de l’argent à son père.» (art. 405
Dans les échanges d’argent, «si un non-juif se trompe, il est permis d’exploiter son erreur» (art. 406
«Il est interdit de remettre un juif à des non-juifs, qu’il s’agisse de la vie du juif ou de ses biens; et cela est valable, que la chose se fasse en paroles ou en action; et il est interdit de le dénoncer ou de montrer l’endroit où ses biens sont cachés. (art. 408). Nous insistons sur le fait que cette attitude est prescrite aux juifs pendant une enquête judiciaire ou au tribunal.
Bien entendu, parmi les treize principes du judaïsme figure l’attente de la domination juive mondiale, qui fera régner les juifs sur les autres peuples du monde: «Je crois absolument à la venue du Messie, et bien qu’il n’arrive pas, je l’attendrai chaque jour.» (art. 485) L’Église orthodoxe enseigne que ce maître attendu du monde est l’antéchrist, annoncé par Jésus-Christ (Jn, 5, 43), l’apôtre Paul (II Thess. 2) et les saints Pères de l’Église. C’est une partie importante et intégrante de l’enseignement orthodoxe.
Le chef du KEROOR écrit dans cette introduction que «le Talmud est un chef-d’œuvre insurpassable du génie juif» et le Kitsour Choulkhan Aroukh, résumé de sa morale, est «l’anthologie de la civilisation juive de notre temps… Vous ne pouvez pas vous passer de ce livre. Si vous agissez selon ce qui y est écrit, vous pouvez être certain d’avoir accompli la volonté du Très-Haut.»
Le grand rabbin de Russie, A. Chaïevitch, note dans sa préface: «L’intérêt que ce livre a suscité dépasse nos prévisions les plus optimistes. Nous recevons sans cesse, depuis tout ce temps, une énorme quantité de remerciements venant des gens les plus différents Nous recevons encore plus de lettres nous demandant notre aide pour l’acquisition de cette édition».
Il nous semble que la seule existence de cette édition juive officielle devraient contraindre la justice à interdire, sur la base de l’art. 282 du code pénal de la FR, la propagation d’une religion qui incite les juifs à haïr le reste de «la population de la Russie» et que le contenu de «ce recueil de taille idéale du chef d’œuvre insurpassable de la morale juive», Choulkhan Aroukh, étudié dans les yechivas, renforce cette conviction.
Nous visons maintenant les traductions d’une édition juive d’Amsterdam, faites par un expert judiciaire, un savant hébraïsant allemand, le Docteur K. Ecker, à l’occasion d’un procès qui a eu lieu en Allemagne en 1883 (Dr. K. Ecker. Der "Judenspiegel" im Lichte der Wahrheit, - eine wissentschaftliche Untersuchung. Paderborn. 1884; trad. russe K. Ecker, «Le miroir juif» à la lumière de la vérité. Étude scientifique, Moscou, 1906).
Les juifs avaient entamé ce procès parce qu’un des leurs, nommé Justus Briman, converti au christianisme, avait publié les lois anti-humaines du Choulkhan Aroukh et du Talmud, mais le tribunal avait reconnu le bon droit de l’éditeur, les traductions étant conformes à l’original. Le Dr Ecker n’avait eu à rectifier que d’infimes inexactitudes et nous citons ici le texte corrigé, avec les références exactes aux sources juives (nous faisons confiance aux compétences du savant et du tribunal allemand).
«Sa (du non-juif) semence est considérée comme la semence du bétail» (Tosephta, complément au talmud Ketoubot, 3, 6). «Lorsque ses serviteurs ou ses servantes [sont morts], on n’adresse pas de condoléances à ceux qui leur survivent, mais on lui (au maître juif] dit:“ Que Dieu compense la dépense subie“, exactement comme on le dit à un homme dont l’âne ou le bœuf viennent de crever.» (Iore de’a, 377-1)
«Il est interdit de leur porter secours [les non-juifs-akoum] quand ils risquent de mourir. Par exemple, si tu en vois un tomber à la mer, ne l’aide pas à sortir, même s’il te propose de te payer… Il est permis d’essayer un médicament sur un akoum, pour voir s’il est efficace.» (Iore de’a, 158-1)
«L’argent des akoums est pour ainsi dire sans propriétaire légal et le premier qui le prend en devient propriétaire.» «Il n’y a pas de tromperie quand il s’agit d’un akoum.» (Khochen Gamichpat 156-5, Haga; 227-26; 348-2, Haga)
«Quand un juif a volé un akoum et qu’on l’oblige (le juif] à prêter serment…, il doit déclarer dans son for intérieur que le serment est invalide parce qu’il a été contraint de le prêter.» (Iore de’a 329-1, Haga). Attention: là encore, il s’agit de l’attitude des juifs pendant les enquêtes judiciaires et les procès!
«Quand il est établi que quelqu’un a trahi un juif trois fois ou a donné son argent à un akoum, il faut trouver la voie et les moyens de le tuer.» «Tous les habitants du lieu doivent contribuer financièrement aux dépenses nécessaires pour le tuer.» (Khochen Gamichpat 388-15 et 16)
«Il est permis de tuer un traître n’importe où, de nos jours encore. Il est permis de le tuer avant qu’il ait le temps de faire une dénonciation [susceptible de provoquer des dommages «physiques, financiers, même s’ils sont minimes»]… et quiconque le tuera le premier en tirera un mérite (Khochen Gamichpat 388-10)
«Un juif libre-penseur, c’est-à-dire qui accomplit les rites religieux des akoums… c’est une bonne action de tuer tous ceux qui le font. Quand on a le droit de les tuer en public à l’épée, il faut le faire; si on n’a pas ce droit, il faut tout entreprendre pour le tuer. Par exemple, si tu vois l’un d’entre eux tomber dans un puits et qu’il y a une échelle dans ce puits, dépêche-toi de l’enlever en disant: “J’ai des ennuis, il faut que j’aille chercher mon fils sur le toît, mais je te la rapporte tout de suite“, etc.» (Khochen Gamichpat 425-5)
PROVOCATEURS ET ENNEMIS DE L’HUMANITÉ
Il faut souligner que même les dernières prescriptions de tuer, ne sont pas théoriques mais concrètes, aujourd’hui encore. L’ex-président de la communauté juive de Kharkov, E. Khodos, en a publié les preuves (Une hache au-dessus de l’orthodoxie, ou Qui a tué le père Men’, Kharkov, 1999): il accuse des membres du mouvement juif Khabad du meurtre du prêtre-juif, le père Alexandre Men’ (qui «a accompli les rites religieux des akoums» et rêvait de fonder «une Église orthodoxe juive», ce qui est considéré comme un crime par les lois de l’état d’Israël), mais les autorités russes n’ont prêté aucune attention à ces preuves. Il faut chercher les coupables dans le milieu «des antisémites russes», exclusivement.
Soulignons que beaucoup d’actes anti-juifs dans le monde entier sont le fait de juifs qui espèrent, par ces provocations, susciter des mesures contre les patriotes. En Russie, l’affaire la plus connue est celle de Norinski, qui a envoyé en 1988 des textes antisémites au nom de l’association «Pamiat’», pour inciter les autorités à prendre des mesures de répression contre elle; G. Baklanov, juif lui aussi et rédacteur en chef de la Revue Znamia (Étendard), l’a aidé en publiant le texte à cinq cent mille exemplaires, et c’est seulement après que la provocation fut découverte (Znamia, n° 10 1988; Pravda, 19 novembre 1988; Komsomolskaïa Pravda, 24 novembre 1988; Ogonek, n° 9 1989).
Dans les affaires récentes, on peut rappeler une série bizarre d’actes de vandalisme commis en 1998-1999: le 19 mai 1998, à Moscou, il y a eu une explosion dans une synagogue du quartier du bois de Maria (Marin’ia rochtcha): un mur a été endommagé; le même jour, «un bidon d’essence enflammée a été déposé non loin de la synagogue d’Otradnoe» (région de Léningrad), et «le cimetière juif d’Irkoutsk (Sibérie orientale) a été saccagé». Tout ces événements ont provoqué un émoi général dans la presse internationale et, sans la moindre preuve, on les a attribués à des nazis russes (Nezavuisimaïa Gazeta, 15 mai 1998).
Mais après la mise à sac d’une synagogue au Birobidjan, en 1999, la justice a établi que c’était des juifs qui avaient loué les services d’un individu à cette fin. La presse démocratique n’en a rien dit.
Si l’on se fonde sur les règles de conduite juive et sur leur mise en œuvre, on comprend vite pourquoi le fameux «antisémitisme», c’est-à-dire le refus de cette morale juive, est le compagnon inséparable des juifs au sein de tous les autres peuples. C’est à cause de cela que les juifs ne disposaient pas de l’égalité de droits dans les pays chrétiens et qu’ils ne l’ont obtenue qu’après des révolutions bourgeoises antimonarchiques.
Dans l’empire russe aussi, les juifs, après les tentatives infructueuses du pouvoir tsariste pour les rendre «comme les autres», ont été privés de l’égalité de droits au XIXe siècle: ce n’est pas parce qu’ils étaient juifs par le sang (l’empire était multinational), ni parce qu’ils n’étaient pas chrétiens (ce qui était le cas aussi des musulmans, des bouddhistes, etc.); mais parce que la religion juive est antichrétienne et hait l’humanité, ce qui la conduit jusqu’aux crimes rituels. Cet extrémisme rituel a été prouvé souvent devant la justice (cf., par exemple, l’enquête du savant V.I. Dahl Enquête sur le meurtre par des juifs de nouveaux-nés chrétiens et sur l’usage fait de leur sang, St-Pétersbourg, 1884).
On peut ajouter, enfin, les paroles d’une prière nommée Chefokh, dans laquelle les juifs à la veille de leur Pâque demandent à leur «dieu» «d’éliminer de la terre» tous les autres peuples.
L’AGRESSIVITÉ JUIVE, UNE FORME DE SATANISME
La cause spirituelle de cette haine de l’humanité se trouve dans l’Évangile, où le Christ parle des chefs spirituels des juifs qui ont rejeté le Fils de Dieu: «Le père dont vous êtes issus, c’est le diable, «et vous voulez réaliser les désirs de votre père! Il a été homicide dès le commencement» (Jn, 8, 44).
C’est pour cela que l’orthodoxie voit dans l’agressivité juive une forme de satanisme. Des philosophes et des intellectuels bien connus qu’on ne peut pas soupçonner d’antisémitisme l’ont expliquée ainsi. A. F. Lossev (Istotchnik, Moscou, 1996, n° 4, pp. 117-122), le père Pavel Florenskij (cf. v. v. Rozanov, Sakharna, Moscou, Respublika, 1998, p. 360) et le père Sergui Boulgakov: les juifs qui ont rejeté le Christ sont devenus «le laboratoire de tous les vices moraux qui empoisonnent le monde et particulièrement l’humanité chrétienne» (Vestnik RKD Messager du Mouvement chrétien russe, Paris, 1973, n° 108-110, p. 72). Même le père judéo-chrétien Alexandre Men’, qui luttait contre «l’antisémitisme», affirmait que les juifs qui ont rejeté le christianisme «se trahissent eux-mêmes et se trouvent rapidement au pouvoir des forces des ténèbres (revue Les juifs en Union soviétique, 1975, n° 11).
C’est ce qui est arrivé, malheureusement, à la majorité du peuple juif (mais pas aux juifs, peu nombreux, qui se sont convertis au christianisme). Mais il ne veut pas le reconnaître et considère que cette vérité énoncée par le Christ et par les chrétiens orthodoxes qui le suivent est «offensante» pour les juifs. Les plaignants juifs dirigent souvent leur accusation «d’antisémitisme» contre ce point précis de l’enseignement orthodoxe, demandant son interdiction de fait (comme dans le cas du manuel Les fondements de la culture orthodoxe).
Mais nous ne pouvons accepter l’interdiction de la conception orthodoxe de l’histoire comme lutte entre les forces du bien (représentées par l’Église) et les forces du mal (représentées par la religion opposée, qui prépare le règne de l’Antéchrist).
Conformément à la tradition des pères orthodoxes de l’Église, nous ne pouvons admettre non plus l’interprétation communément admise et fautive qui fait de la tolérance une complaisance pour le péché, le mal et, dans le cas présent, le satanisme. Les chrétiens doivent, par respect pour l’image de Dieu présente en chaque homme, et pour le salut de leur âme, montrer ouvertement aux juifs qu’ils s’écartent dangereusement de la vérité vers le satanisme, ce qui, du point de vue chrétien, constitue la manifestation du véritable amour de l’humanité, contrairement à l’encouragement «tolérant» des hérésies et du satanisme qui provoque leur perte. Et leurs victimes sont nombreuses.
On peut répondre d’avance à ceux qui nous objecterons que les patriotes russes, qui accusent les juifs, ne font pas toujours la différence entre les juifs religieux et les juifs non-religieux, alors que la majorité des juifs ne se considèrent pas comme croyants et n’étudient pas le Choulkan Aroukh. Depuis des générations, cependant, les juifs vivent au sein des autres peuples (c’est ce qu’il faut entendre par la définition du kahal juif comme «un état dans l’état», cf. les livres d’auteurs juifs comme L’antisémitisme dans l’Antiquité de S. Lourié et Le livre du kahal de I. Brafman) et en conséquence la morale du Choulkhan Aroukh est devenue partie intégrante de la conscience nationale juive même dans sa forme laïque. Hannah Arendt, sociologue et écrivain juif célèbre, arrive à cette conclusion:
«C'est précisément au cours du processus de sécularisation qu'est né le véritable chauvinisme juif… Du concept d'élection des juifs est venue l'idée que les juifs sont en quelque sorte le sel de la Terre. Depuis lors, l'antique concept religieux de l'élection a cessé d'être l'essence du judaïsme pour devenir l'essence de l'être-juif.» («L'antisémitisme», Syntaxis, Paris, n° 26, 1989).
Ce «véritable chauvinisme juif» et le cynisme de l'esprit du Choulkhan Aroukh sont apparus au grand jour, sans vergogne, au cours de l'effondrement de l’Union soviétique et des réformes post-communistes dans notre pays et se sont manifestés par l'appropriation illégale de la propriété collective considérée comme «vacante» ou par la constitution de la nouvelle classe dirigeante: «Le gouvernement est plein de juifs», admet le rabbin A. Chaevitch (NG-Figury i litsa, 1998, n° 16 supplément à la revue Nezavisimaïa Gazeta). Par conséquent, leur influence sur la vie du pays est absolument disproportionnée par rapport à leur nombre (0,16% d'après le dernier recensement), au détriment des intérêts de tous les autres peuples du pays et particulièrement du peuple russe qui est le fondateur de l'État.
LA RÉVOLUTION JUIVE
L. Radsikhovski, un publiciste juif célèbre, appelle ça «la révolution démocratique et capitaliste»… «L’intelligentsia juive ou proche des juifs a été l’un des principaux porte-drapeau de l’idéologie occidentale libérale, elle est devenue le théoricien de cette révolution.» C’est pourquoi «l’importance qu'ont les juifs dans la politique et les affaires russes est plus grande que dans n’importe quel autre pays chrétien». C’est ce que Radzikhovski appelle «le bonheur juif», titre que porte son article (dans Novoe russkoe slovo, 17 janvier 1996).
Les oligarques juifs eux-mêmes ont parlé sans détours des causes de ce «bonheur» à la télévision israélienne (deuxième chaîne, le 3 octobre 1996):
«Le degré de corruption en Russie correspond tout à fait au degré des transformations en Russie. Je ne pense pas que les fonctionnaires israéliens… aient eu la possibilité de se partager une fortune dont le montant s’évalue en millions et en milliards… ce n’était à personne, c’était à l’État, c’était à tous! Et alors, un fonctionnaire avait la possibilité, par une simple signature, de déclarer: «ça t’appartient à toi ou ça appartient à un autre.»… C’était une bonne bagarre, qui a produit le résultat que nous avons aujourd’hui.» (Berezovski).
«On n’a jamais pu gagner autant de revenus et autant de bénéfices qu’en Russie, nulle part… Une grande part du capital là-bas, 50%, appartient aus hommes d’affaires juifs. (Malkin, qui est actuellement membre du présidium du Congrès juif russe).
Au cours de cette émission, Gousinski, premier président du Congrès juif russe, a cité, parmi les raisons du succès des juifs, «la dureté», «des règles moins nombreuses, plus souvent la loi du plus fort, le principe de l’agression».
Pour la première fois depuis mille ans que les juifs sont installés en Russie, nous avons obtenu le vrai pouvoir dans ce pays», constate E. Topol’, autre écrivain juif, dans sa «Lettre ouverte à Berezovski, Fousinski, Smolenski, Khodorkovski et les autres oligarques (Argumenty i fakty, 1998, n° 38). En conséquence, Topol et d’autres juifs subtils (par exemple, Iori Noudelman, cité dans la revue Sovetskaïa Rossia, 20 juin 2002), font remarquer que la politique ravageuse et cupide des oligarques juifs, qui humilie le peuple russe, provoque l’hostilité du peuple russe envers les juifs. A. Mernier, ambassadeur de Belgique en Russie, a noté ce fait qui crève les yeux dans le bilan final de son travail qu’il a envoyé en septembre 2004, avant de quitter Moscou, à toutes les ambassades étrangères et aux membres du corps diplomatique.
Nous demandons au Procureur général de considérer l’opinion de Topol et de Noudelman comme l’aveu de la responsabilité de l’accusateur (juif) dans l’aggravation actuelle du conflit entre les Russes et les juifs.
D’autant plus que ce groupe dirigeant, pour conserver le pouvoir et les biens de l’État «vacants» dont il s’est emparés illégalement, conduit une politique systématique de décomposition de la morale commune et d’éradication des valeurs spirituelles, cherchant ainsi à transformer le peuple en une masse animale sans foi ni tradition il sera plus facile alors de le gouverner et d’écraser sa résistance.
En particulier, ce sont justement les juifs qui se sont férocement opposés à l’enseignement dans les écoles des Fondements de la culture orthodoxe. C’est justement à leur initiative que nous, le peuple russe qui a fondé l’État, nous nous sommes vu interdire de mentionner notre nationalité dans nos papiers d’identité. A. Chaïevitch, grand rabbin de Russie, a déclaré dans un entretien avec le Los Angeles Times que c’étaient les juifs qui avaient insisté pour que l’on retire la mention de la nationalité et d’après lui, la raison en est que «des juifs occupent des postes élevés dans l’administration». Ils admettent donc eux-mêmes quel effet produirait leur nationalité chez les non-juifs et ils s’efforcent de dissimuler leur appartenance nationale: le fait en dit long.
Parmi d’innombrables cas de tentative d’éradication des valeurs spirituelles, nous devons absolument attirer votre attention, Monsieur le Procureur général, sur la politique du ministre de la culture Chvyski (il est depuis devenu le directeur des affaires culturelles du gouvernement) et son émission de télévision La révolution culturelle, où le patriotisme russe et les valeurs orthodoxes sont régulièrement tournés en ridicule et qui est le propagandiste de la langue des milieux criminels et de l’idée que «le sexe est le moteur de la culture» (7 mars 2002). Toutes les protestations de la société russe contre l’action éprouvante, provoquante en soi, du «principal homme de culture du pays» sont restées sans effet.
En outre, Chvydski et ses collègues ont à leur disposition, pour leurs attaques, les chaînes nationales diffusées dans tout le pays, alors que les patriotes orthodoxes n’ont que des revues confidentielles, pour lesquelles on les poursuit et on les condamne: cette inégalité dans les moyens peut aussi, sans qu’ils le veuillent, les mener à réagir trop passionnément, en particulier lorsqu’ils sont confrontés aux procédés sacrilèges et cyniquement antirusses de personnalités d’origine juive.
Mais il ne faut pas confondre cette passion du camp attaqué qui est poussé dans ses derniers retranchements avec la passion du camp qui attaque avec agressivité. Pour un orthodoxe, l’agression est interdite, mais il a le devoir de défendre son peuple et tout ce qui est sacré pour lui, le Christ lui-même a donné l’exemple en chassant à coups de fouet les marchands qui profanaient le temple.
QUI A LE DROIT DE FAIRE QUOI?
On trouve dans les journaux juifs qui paraissent en Russie des déclarations de juifs à propos des non-juifs qui sont beaucoup plus agressives que les déclarations pour lesquelles on poursuit les patriotes russes. Par exemple, dans les Nouvelles juives, organe du Congrès juif russe (2002, n° 16, p. 9), un député du parlement israélien nommé A. Liberman incite à la déportation violente des Palestiniens hors d’Israël. Or les Palestiniens malgré les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, non seulement sont chassés de leur terre natale (il y a quatre millions de réfugiés) mais leurs militants sont tués avec leur famille: c’est comme cela que le Choulkhan Aroukh est mis en œuvre par la politique du gouvernement israélien.
Et les juifs de la Fédération de Russie soutiennent cette politique: le congrès juif russe dans l’exposition de ses buts, déclare «qu’il mène des actions de solidarité avec le peuple d’Israël et un lobbying politique en faveur des intérêts d’Israël» (Evrejskie Novosti Les nouvelles juives , 2002, n° 15, p. 5). L’Institut national d’Israël et du Proche-Orient, dont le directeur, Satanovski, était en même temps le chef du congrès juif russe, poursuit aussi ce but.
Les communautés juives de tous les pays mènent le même «lobbying politique» en faveur des intérêts de la communauté juive internationale, au détriment des intérêts des pays dans lesquels ils vivent, aux États-Unis notamment, ce pays étant devenu l’instrument favori par lequel les juifs cherchent à atteindre leurs buts planétaires. Par leurs accusations préventives d’antisémitisme (c’est-à-dire, pour ainsi dire, de haine raciale) dirigées contre tous ceux qui n’acceptent pas leur morale, leurs actes et leurs guerres, ils cherchent à masquer le racisme de leur propre Choulkhan Aroukh.
Mais cette substitution des concepts n’est qu’un artifice grossier qui doit être évident aux yeux de n’importe quel juge impartial. On peut dire que tout le monde démocratique, aujourd’hui, se trouve sous le contrôle politique et financier de la communauté juive internationale et que des banquiers en vue s’en vantent publiquement (Jacques Attali par exemple). Nous ne voulons pas que notre Russie, contre laquelle est menée en permanence une guerre préventive sans règles, rejoigne le groupe de ces pays privés de liberté.
C’est pourquoi nous sommes contraints tant par la nécessité de défendre notre patrie que par autodéfense personnelle de nous adresser à vous, Monsieur le Procureur général, pour vous demander instamment de vérifier dans les plus brefs délais les faits terrifiants exposés plus haut et, s’ils s’avèrent exacts, de lancer une procédure, sur la base des articles correspondants du Code pénal de la Fédération de Russie, de la loi «sur la lutte contre les activités extrémistes» (2002) et l’art. 13 de la Constitution de la Fédération de Russie («la création et les agissements des associations publiques dont les buts visent à allumer la discorde sociale, raciale, nationale et religieuse sont interdits») en vue de l’interdiction dans notre pays de toutes les associations religieuses et nationales juives qui doivent être considérées comme extrémistes. Nous demandons également que la responsabilité des individus qui ont mis à la disposition de ces associations les biens de l’État et des municipalités soit également engagée, quelles que soient les fonctions qu’ils occupent.
V. M. Klykov, artiste national de Russie
A.N. Kroutov, député de l’Assemblée nationale, rédacteur en chef de la revue Russki Dom (La Maison russe)
A.A. Senin, rédacteur en chef du journal Russki Viestnik (Le Messager russe)
M.V. Nazarov, directeur des éditions Russkaïa Ideïa (L’Idée russe)
K. I. Duchenov, rédacteur en chef du journal Rus’ przavoslanaïa (La Rus’ orthodoxe)
V.V. Khatiuchin, rédacteur en chef adjoint de Molodaïa Gvardia (La jeune garde)
A.V. Djikovitski, rédacteur en chef du journal Kazatchi vsgliad ( Le Point de vue cosaque).
T. G. Basova, rédactrice en chef du journal March Slavianki (La marche de la Slave)
V. F. Kalentiev, rédacteur en chef du journal Ottchizna (La Patrie)
Et d’autres (plus de cinq cents signatures, dont dix-neuf députés)
Le mot de la rédaction
Cette lettrre a été rédigée par des patriotes orthodoxes russes moscovites et ouvert à la signature de tous les patriotes russes (la rédaction de Rus’ Pravoslanaïa s’est contentée de donner un titre et de diviser le texte en chapitres avec des sous-titres). Les signatures doivent être adressées à Vladimir Nikolaïevitch Krygin (tél (095) 355 00 85 (Moscou).
13 janvier 2005
http://www.rusprav.ru/2005/new/1.htm
Rappel: Igor Chafarévitch, La Russophobie, Éditions Chapitre Douze, Bruxelles - Paris, trad. par Alexandre Volsky, 1993, 290 p.
The Slovaks could teach Western democracies a fine lesson. They are taking steps to decriminalize Holocaust denial. In a general overhaul of the penal code, the Justice Ministry will submit a bill to the Parliament in February that would eliminate any sanction for promoting the view that Jews were not systematically targeted for elimination under Hitler. Justice Ministry spokesman Richard Fides has told the Slovak press that the current ban interferes with freedom of speech. In a fine act of diplomatic finesse, he told the Jewish Telegraph Agency: "If you start letting people promote the idea of Holocaust denial in a country where most people don't even know what the Holocaust is, you are asking for trouble. Holocaust denial is infectious." [JTA]
January 8, 2005 10:39 PM
Subject: Courouve en 2003-4
Bonjour,
Je découvre ce soir le dossier "Claude Courouve en 2003 et 2004"; depuis les années 1980 et les RG, on ne s'était autant intéressé à moi.
[Voir Conseils de Révision, de novembre 2004.]
Mais cela commence mal; je ne suis pas militant, ni athée, ni homosexuel; m'a-t-on entendu en faveur du mariage homo ou de la répression des propos homophobes? Si je suis militant de quelque chose (mais peut-on dire cela d'un individualiste?) c'est de la liberté d'expression.
Plus précisément:
J'ai bien dit, suite à une émission d'Ardisson, que l'accusation d'escroquerie était infamante, mais je ne me suis pas prononcé sur la question de savoir si cette accusation était justifiée ou non.
Je maintiens qu'elle sort du registre historique.
J'ai dit que Faurisson avait été condamné pour le caractère de cette accusation; je n'ai pas dit que cette accusation était justifiée.
J'ai tenté, en effet, un exposé chronologique de la problématique de la loi Gayssot; cet exposé s'expose à des compléments, voire à des corrections, que j'accueille bien volontiers;
Mais Faurisson confond l'estimation la plus basse dans le Quid, ce dont je parlais, avec la plus basse dans l'ensemble des sources disponibles au moment où Faurisson écrit.
Si ma liste de personnalités hostiles à la loi Gayssot était incomplète, c'est bien involontairement. Je l'ai depuis actualisée sur mon site, < http://www.courouve.com > en espérant qu'elle ne soit pas trompeuse. Faurisson pourrait aussi se demander si son comportement n'est pas une des causes du retrait d'une certain nombre de personnes dans une cause qui était initialement celle de la vérité historique mais dont il finit par faire une affaire personnelle anti-sioniste.
Que les opposants à la loi Gayssot soient devenus muets, c'est faux. D'abord, je m'exprime, par courrier et sur mon site. Ensuite, de nouvelles personnalités, comme Robert Ménard ou Philippe Nemo, se sont exprimées. Un ancien, Alfred Grosser, a fait passer un bon message chez Ruquier cette semaine. Je ne nie pas la "pression juive", mais je la relativise.
Que Jacques Toubon, actuellement député européen, se soit renié, comme dit Faurisson, on ne m'en a jamais donné la preuve. Pour ce qui concerne la problématique de l'antisémitisme, je n'en néglige aucun aspect, comme le montre le texte joint en fichier.
Bien à vous,
Claude Courouve.
PS. Vous pouvez publier mon présent courrier.
Tuesday, December 7, 2004 11:07 PM
To Henry Gardner-
Sir- thanks for the review of the Case for Auschwitz, by professor Robert van Pelt. Unfortunately, my attempt to contact the Author or purchase this book were unsuccessful; I would very appreciate information about its publisher.
In Chicago I met a former inmate of Birkenau, who worked as a carpenter in construction of the Crematorium no. III . He there aye-witnessed atrocities committed by germans. I think that his testimony may add further details to this case. Also published two years ago in the US book: War in the Shadow of Auschwitz by John Wiernicki describes those horrific places.
My point of view in that topic is linked to information send by Polish Underground (Home Army- Armia Krajowa) to the Government on exile in London, especially a report of its organizer in Auschwitz- kpt.Pilecki. We, in Poland had no doubt that number of victims in Auschwitz was counted in the range of 3 to 5 million people. Not because a "communist propaganda": During WWII Poland lost 1/3 of its population and simple arithmetic shows that among 12 milion of lost citizens, approx 2 million perished in Auschwitz. If you are interested in the English Bibliography- please have a look on the attached list. One of them is ESCAPING HELL by, Kon Piekarski published in Canada (1989) and also sold in the US by AMAZON-Yahoo last year.
Yours truly, Stefan Pagowski, Toronto.
AU COURRIER 3
Sunday, December 5, 2004 3:45 PM
Vous avez publié, dans vos "Actualités d’octobre 2004", le texte ci-dessous qui figure en dessous de ma signature, en bas de page.
Je serais trés curieux de connaître le nom de l'auteur qui n'a même pas le COURAGE de signer les articles, ce qui montre bien son peu de crédibilité qui influe donc sur celle de vos "actualités".
En effet, lorsque je rédige mes articles, j'ai au moins le COURAGE de signer de mon nom et prénom.
Votre auteur est-il l'un de ces nombreux LACHES qui, tel un "rat d'égoût", se cache dans les souterrains immondes dans lequels il/elle se complait et n'ose pas affronter les personnes qu'il/elle attaque?
L'email auquel votre auteur fait réfèrence était une réponse adressée AMICALEMENT à un internaute, suite à un de ses articles sur lequel je ne partageais pas son analyse, et je m'en suis fort bien expliqué. C'est un manque d'honnêteté intellectuelle que de ne pas avoir également mis le texte initial auquel se référait ma réponse, mais de l'avoir complétement sorti de son contexte. En effet:
- Le principe même de toute démocratie - notion à laquelle je suis trés attaché -, est de ne pas porcément être d'accord et de pouvoir en débattre au cours d'un échange cordial et ouvert;
- Je n'ai JAMAIS nié le génocide nazi et, ce ce fait, je n'ai JAMAIS été condamné pour NEGATIONNISME, contrairement à certaines personnes qui sont mentionnées dans vos articles et auxquelles vous vous référez fréquemment;
- Du reste, comment pourrais-je nier le génocide nazi alors que mon prand-père a été assassiné par un Waffen SS, ma famille maternelle entièrement décimée par les bolchéviques et les SS et ma propre mère internée dans plusieurs camps de concentration?!!!
- Je suis cependant tout à fait dans MON DROIT DE M'INTERROGER, tout en restant en conformité avec Loi Fabius-Gayssot, sur certains évènements historiques qui ne sont, à mon avis, toujours pas élucidés, ce qui est bien regrettable.
D'autant que, comme il/elle l'écrit "On ne sait pas d'où il vient", ce qui prouve bien que cette personne écrit pour le plaisir d'insulter des personnes qu'il/elle ne connaît pas.
Mais pour qui se prend il/elle de s'arroger le droit d'insulter ainsi autrui? DIEU?
Quand cette personne se permet d'écrire "Il a donné dans toutes sortes de trafics louches", je souhaiterais qu'il/elle en apporte les preuves, sous peine de se prendre un procès pour diffamation. Il ou elle, porte là atteinte à mon honneur et à ma probité. Je ne pense pas que j'aurai pu avoir, durant des années, des responsabilités de cadre suppérieur dirigeant dans des groupes internationaux de premier plan si j'avais, comme le prétend cette personne "donné dans toutes sortes de trafics louches".
Il est malheureusement bien connu en psychiatrie que ce sont ces mêmes personnes qui accusent les autres de tels ou tels maux qui les pratiquent elles-même!
Sachez que mon casier judiciaire est vierge, ce qui ne serait pas le cas si j'avais "donné dans toutes sortes de trafics louches":
je n'ai jamais été condamné et je prends toutes les précautions nécessaires pour ne jamais l'être, contrairement à beaucoup de personnes citées dans votre revue qui ont même perdu leurs procès pour négationnisme et révisionnisme...
N'est-il pas plus louche de véhiculer des fausses rumeurs sans signature?!
Quant à mes livres, ils se vendent trés bien, merci, non pas dans "des circuits fantômes" comme l'écrit avec jalousie cette personne, mais jusque dans les supermachés LECLERC et ce, sans aucune publicité des "trash médias" dont je peux volontiers me passer, ni sans faire de conférence, ni signature dans les librairies. Encore l'un de mes rares privilèges...
Je vais même vous confier que mes livres sont à 80% prévendus avant même d'être imprimés et, vendus, pour 60% d'entre eux, directement aux particuliers, ce qu'aucun éditeur ne peut se vanter!
Par ailleurs, je n'ai pas besoin de mettre gratuitement en ligne mes livres pour qu'ils soient lus, la preuve, vous n'en trouverez aucun sur mes sites.
Et, le premier site internet qui s'amuserait à copier et mettre en ligne mes livres aurait immédiatement un procés.
Enfin, cette personne semble faire une totale confusion entre "négationnisme" et "révisionnisme".
Lorsque j'écris "je ne suis pas un négationniste", il/elle écrit "il n'est pas un révisionniste".
Quel est le niveau d'instruction de cette personne pour faire un tel amalgame?
Maths sup? ou devrais-je dire Maternelle supérieure?
Cette personne qui a écrit cet article ignoble serait-elle jalouse du succès des autres?
Fait-il/elle partie de ces agri(e)s de la vie?
C'est probable si j'en juge sa prose infâme.
En conclusion, je n'ai aucune leçon à recevoir d'un(e) tel(le) lâche qui n'ose dévoiler son nom et son prénom.
Transmettez lui mon plus profond mépris.
Je laisse le soin, aux personnes qui me lisent en copie, parmi lesquelles figurent des ami(e)s qui me connaissent bien, de vous répondre éventuellement directement avec copie à moi-même.
Alain COUTTE
Ce type qui a été "cadre suppérieur (sic) dirigeant dans des groupes internationaux de premier plan" a, de son propre aveu, eu des activités louches, comme en ont tous les "groupes internationaux de premier plan". On voit qu'il n'a pas eu le temps d'apprendre le français. Pour le reste, nous refermons, définitivement, cette poubelle.
Bonjour,
je vous envoie ce court message pour vous remercier, pour vous dire à quel point votre site est bien fait. Fondamental, je dirai.
Il m'a permis, de faire "découvrir" des ouvrages essentiels a des personnes qui n'étaient pas forcement intéressées par le révisionisme.
Je crois que c'est là le véritable combat: Répandre l'information. N'étant ni une historienne ni une chercheure, c'est la seule chose que je puisse faire!
Vraiment je vous remercie.
A
Sent: Saturday, December 18, 2004 9:43 PM
Subject: à vomir!
Vous êtes aveuglés par la haine, la nostalgie de cette barbarie que fut le Troisième Reich et animés d'une jalousie inextinguible à l'égard de notre peuple si brillant , qui tel le phénix renait toujours de ces cendres. Comme nous vous plaignons!!
§==== Enfin la version intégrale
Karl Kraus, Les Derniers jours de l'humanité. Version intégrale. Théâtre traduit de l'allemand par Jean-Louis Besson & Henri Christophe
"Au secours, les tués! Assistez-moi, que je ne sois pas obligé de vivre parmi des hommes qui, par ambition démesurée, ont ordonné que des cœurs cessent de battre, que des mères aient des cheveux blancs! Revenez! Demandez-leur ce qu'ils ont fait de vous! Ce qu'ils ont fait quand vous souffriez par leur faute avant de mourir par leur faute! Cadavres en armes, formez les rangs et hantez leur sommeil. Avancez! Avance, cher partisan de l'esprit, et réclame-leur ta chère tête! Avance pour leur dire où tu es et comment c'est là-bas, dis-leur que tu ne voulais plus jamais te laisser utiliser pour ça! Et toi là-bas, avec ce visage défiguré à ton dernier instant, lorsque sur ordre la bête sauvage, l'écume aux lèvres, se précipita sur toi - avance! Ce n'est pas votre mort - c'est votre vie que je veux venger sur ceux qui vous l'ont infligée! J'ai dessiné les ombres qu'ils sont et qu'ils voulaient par esprit de mensonge transformer en apparence! Je les ai dépecés de leur chair! Mais les pensées nées de leur bêtise, les sentiments nés de leur malignité l'effroyable rythme de leur inexistence, je les ai affublés de corps et je les laisse se mouvoir! Si on avait conservé les voix de cette époque, la vérité extérieure aurait démenti la vérité intérieure, et l'oreille n'aurait reconnu ni l'une ni l'autre. J'ai sauvegardé la substance, et mon oreille a découvert la résonance des actes, mon œil le geste des discours, et ma voix, chaque fois qu'elle citait, a retenu la note fondamentale, jusqu'a la fin des jours."
Les faits mis en scène ici par Karl Kraus se sont réellement produits; les conversations les plus invraisemblables ont été tenues mot pour mot; les inventions les plus criardes sont des citations; les récits prennent vie sous forme de personnages, les personnages dépérissent sous forme d'éditorial; la chronique a reçu une bouche qui la profère en monologues, de grandes phrases sont plantées sur deux jambes bien des hommes n'en ont plus qu'une. Quiconque a les nerfs fragiles, bien qu'assez solides pour endurer cette époque, qu'il se retire du spectacle.
La vie de l'écrivain et journaliste viennois Karl Kraus (1874-1936) se confond avec l'infatigable bataille qu'il mena dans sa revue Die Fackel (Le Flambeau) contre la corruption de la langue et donc de la morale.
Editions Agone. Collection "Marginales". Format 12X21- 794 pages
30 euros, ISBN 2-910846-88-1
< http://www.agone.org/lesderniersjoursdelhumaniteversionintegrale >
§==== PRESSAC
I am pleased to announce that the entire text of Jean-Claude Pressac's book Auschwitz: Technique and Operation of the Gas Chambers is now available on the website of the Holocaust History Project
The book starts here:
< http://veritas3.holocaust-history.org/auschwitz/pressac/technique-and-operation/ >
We are indebted to the Beate Klarsfeld foundation for permitting us to reproduce this seminal work on Auschwitz and to Mr Mazal for securing the permission.
A great deal of work went into putting this book online and there are doubtless many typos and other errors. Anyone noticing one may point it out to the undersigned, with my thanks in advance. We sincerely hope this book will be useful to scholars and readers in general.
Best regards
Gord McFee < [email protected] >
Two more books came back from the printers:
Carlo Mattogno, The Bunkers of Auschwitz, $20.-
< http://www.vho.org/store/USA/bresult.php?ID=105 >
The so-called "Bunkers" at Auschwitz-Birkenau are claimed to have been the first homicidal gas chambers at Auschwitz specifically erected for this purpose, in early 1942. In this examination of a critical component of the Auschwitz extermination legend, the indefatigable Carlo Mattogno has combed tens of thousands of documents from the Auschwitz construction office -- to conclude that these "Bunkers" never existed. The Bunkers of Auschwitz shows how camp rumors of these alleged gas chambers evolved into black propaganda created by resistance groups within the camp, and how this black propaganda was subsequently transformed into "reality" by historians. In a concluding section that analyzes such hands-on evidence as wartime aerial photography and archeological diggings, Mattogno bolsters his case that the Auschwitz "bunkers" were -- and remain -- nothing more than propaganda bunk.
266 pp ., 6"◊9", pb, ill., bibl., index (2004) , ISBN: 1591480094, ISSN: 1529-7748
Ingrid Weckert, Jewish Emigration form the Third Reich, $8.-
< http://www.vho..org/store/USA/bresult.php?ID=182 >
Current historical writings dealing with matters related to the Third Reich paint a bleak picture. This applies especially to writings that deal with the Jewish ethnic group. To this day there are still accounts of the Jewish emigration that depict it as some kind of clandestine operation - as if the Jews who wished to leave Germany had to sneak over the borders in defiance of the German authorities, leaving all their possessions and wealth behind.
The truth is that the emigration was welcomed by the German authorities, and frequently occurred under a constantly increasing pressure. Emigration was not some kind of wild flight, but rather a lawfully determined and regulated matter. Weckert's booklet elucidates the emigration process in law and policy, thereby augmenting the traditionally received picture of Jewish emigration from Germany.
German and Jewish authorities worked closely together on this emigration. Jews interested in emigrating received detailed advice and offers of help from both sides. The accounts of Jews fleeing Germany in secret by night across some border are untenable. On the contrary, the German government was interested in getting rid of its Jews. It would have been senseless to prevent such an emigration.
72 pp ., 6"◊9", pb., bibl., index (2004) , ISBN: 1591480116 , ISSN: 1529-7748
§==== For a photo of the Mauthausen Gaskammer see
< http://www.remember.org/camps/mauthausen/mau-gas01.html >
Mauthause ovens are at:
< http://www.remember.org/camps/mauthausen/mau-krem01.html >
The gas is smaller at Bukenwald but their Krematoria, complete with Topf & Sons (of Erfurt) ovens, are larger. Buchenwald had a shooting room where people were tricked into standing for a height measurement and then shot in the back of the neck through a slit in the wall.
See
< http://www.scrapbookpages.com/DachauScrapbook/DachauTrials/BuchenwaldTrial2A.html >
Alan Jacobs (H-Holocaust) 4 Jan. 2005
§==== Forum sur le site du Nouvel Oservateur
Quels sont à vos yeux les meilleurs moyens pour lutter contre l'antisémitisme et le négationnisme?
Votre avis sur la question
Il y a 9117 points de vue.
Cependant qu'un bandeau proclame:
Cette semaine, Auschwitz, l'histoire vraie du crime absolu
Avec Annette, Boris Cyrulnik, Simone Veil
Des experts!
Même site, dépêche AP: Momone Veil:
«Pardonner, ce n'est pas possible. Il faut essayer de tout faire pour que ça ne se reproduise pas. Il ne suffit pas de dire qu'on se réconcilie et qu'on fonde l'Europe», avance l'ancienne ministre. «Il faut qu'elle soit basée sur des engagements les uns vis-à-vis des autres».
Interrogée sur le négationnisme, Simone Veil estime qu'«il faut réagir, voire sanctionner parce que ce n'est pas supportable».
C'est normal, ces gens-là ne sont pas chrétiens, ils ignorent ce qu'est le pardon. Tout le monde pratique le pardon. Sauf les juifs. Eh!
§==== Négationnistes au secours de Gollnisch
Un bulletin belge défend le numéro 2 du FN, professeur à Lyon-III.
Par Christophe Forcari
jeudi 13 janvier 2005 (Libération - 06:00)
Bruno Gollnisch sait se faire de nouveaux amis. Les propos révisionnistes que le numéro 2 du Front national a tenus en octobre à propos du rapport Rousso sur la présence de l'extrême droite à l'université de Lyon-III lui valent d'être ardemment défendu dans un bulletin négationniste intitulé Dubitando, petite revue d'histoire révisionniste. En octobre, le délégué général du FN, professeur de civilisation japonaise à Lyon-III, avait jugé qu'il appartenait aux historiens de se déterminer sur l'existence des chambres à gaz pendant la Seconde Guerre mondiale. [...]
"Pas une seule preuve". La profession de foi de Gollnisch a aussi séduit Dubitando. Dans son numéro 2 daté de décembre, la revue publie, sur douze pages, une "défense de Bruno Gollnisch [déjà publié dans le dernier numéro de Conseils de révision] "Je ne connais pas cette revue, et j'ignorais même jusqu'à son existence", se défend Gollnisch, gêné aux entournures par de tels soutiens. [commentaire inepte]
Plaidoirie encombrante. Dubitando, imprimé aux Pays-Bas, est publié par une officine négationniste, VHO (Groupe de recherche historique libre). Ce groupe a été créé en 1985 par les frères Verbeke, des proches du Vlaams Blok, le parti d'extrême droite flamand qui entretenait des relations étroites avec le FN. Cette formation a été récemment interdite après sa condamnation par la Cour de cassation belge pour "incitation permanente à la ségrégation et au racisme".
[C'est une pure invention du connard de Libération: cette revue, imprimée aux Pays-Bas, n'a rien à voir avec VHO. Elle désigne un éditeur responsable nommé Maurice Haas-Colle et donne une adresse: <[email protected]>, sur un serveur géré par Germar Rudolf, aux États-Unis.]
Le numéro 2 (décembre 2004) est sorti. Textes de R. Faurisson et Maurice Haas-Colle.
§==== Commentaire et traduction de Robert Faurisson, La Clé des Chimères et Autre Chimères de Nerval...
...en japonais. S'il vous manque du vocabulaire, vous pouvez demander à Gollnisch...
< http://www1.ocn.ne.jp/~ppl/epaves03/rf-nerval.htm >
§==== Portreciki, c'est-à-dire "portraits" de révisionnistes vu par notre ami Dariusz Ratajczak, qui a subi toutes les persécutions habituellement réservées aux hérétiques de notre genre. Voici ce qu'il dit de Rassinier:
PAUL RASSINIER - ojciec francuskich "zaprzeczaczy" Holocaustu. Ten "100% hitlerowiec" by pacyfist i czonkiem Francuskiej Partii Socjalistycznej. W roku 1943 zosta uwiziony przez "kolegów-niemieckich faszystów" i spdzi niezapomniane miesice w obozach koncentracyjnych Dora i Buchenwald. Po wojnie rzd francuski uhonorowa go za dziaalno w ruchu oporu (resistance). Osobiste dowiadczenia absolutnie nie przeszkadzay mu zaprzecza oficjalnej wersji Holocaustu.
On trouve ça sur un site "patriota.pl", s'il vous plaît!
< http://www.patriota.pl/?dzial=historia&nr=6 >
Il y a aussi un chapitre sur "le révisionnisme en Pologne":
Rewizjonizm holocaustu a Polacy
Jest rzecz charakterystyczn, e w szeroko pojtym midzynarodowym ruchu rewizjonizmu historycznego (w tym rewizjonizmu holokaustu) Polacy nie odgrywaj adnej lub prawie adnej roli. Myl, e przyczyny tej absencji s zoone. Przede wszystkim wprowadzona pod koniec 1998 r. w Polsce prawna regulacja "antyrewizjonistyczna", a to w postaci artykuu 55. Etc...
Dariusz Ratajczak
On y trouve le contenu du livre qui a lui valu condamnation, Tematy niebezpieczne, "Thèmes dangereux".
Voir < http://www.patriota.pl/?dzial=historia&katalog=tematy >
§==== Le Roman de nos origines, pubié jadis dans La Banquise, et que nous avons en ligne, se trouve sur un nouveau site:
< http://troploin0.free.fr/biblio/roman/index.htm >
§==== Chomsky esineb.
Tuntud ultravasakaktivist Noam Chomsky on taas mokka paotanud ning esinenud avaldustega, mis igal mõistlikul inimesel ajab teatud asjad keema.
Nimelt on kodanik kirjutanud Prantsusmaa holokaustieitaja Robert Faurissoni raamatule eessõna. Raamatule, kus Faurisson kirjutab:
"The alleged gassing and the alleged genocide of Jews are part of the same historical lie which has been the basis of a huge political and financial swindle of which the principle beneficiaries are the State of Israel and principal victims the German people, not its leaders, and the Palestinian people..."
Ukrainas elav ameeriklane Discoshaman mainib oma ajaveebis, et Chomsky on kirjutanud kõlava austusavalduse ka raamatule, mis väidab, et juudid kummardavad saatanat ning mis õigustab 17. sajandi Hmelnitski pogromme Ukrainas, kus tapeti tuhandeid juute. Chomsky kiitis autorit kui "väljapaistvat õpetlast, kel on märkimisväärne taiplikkus ja sügavad teadmised".
Discoshaman on öelnud samas postituses, millele eelnevalt viidatud: Chomsky is like a Michael Moore who's been taught to shave and eat with utensils.
Il n'y a pas à dire, c'est de l'esthonien... Ça se voit comme le nez au milieu de la figure! Bienvenue à nos amis esthoniens.
< http://www.hankewitz.ee/ajaveeb/ >
§==== La discussion pour savoir si Hergé a emprunté ses jurons à Céline fait rage un peu partout et en particulier sur le "blog" mondain de Pierre Assouline, où nombreux sont ceux qui remarquent que tout cela se trouvait déjà dans un livre d'Olivier Mathieu, De Léon Degrelle à Tintin, Bruxelles, 1990. Mathieu, ex-post-révizo, lui, contrairement à beaucoup, a longuement fréquenté et Hergé et et Degrelle. Mais on n'a pas encore tout vu...
< http://passouline.blog.lemonde.fr/livres/2004/11/laxe_clineherg.html >
§==== La connaissez-vous?
Figures de proue du révisionnisme, Maria Poumier tient depuis 45 ans un discours antisémite et antisioniste, soutenant groupes terroristes d'extrême gauche et groupes terroristes qui agissent contre les intérêts israëliens.
Belle longévité!
§==== Il y a (aurait) des "forums récents concernant le négationnisme" sur le site de soutien à Dieudonné. Dieu soit loué, nous ne les avons pas vus!
< http://soutiendieudo.free.fr/article.php3?id_article=93 >
§==== Les vrais nazis existent. Nous ne les avons pas rencontrés, mais ils existent sûrement. Pas les jeunots néonazes, non, les vrais, les durs à cuire, les culottes de peau, les paléo. La preuve, on a reçu un catalogue d'un éditeur qui s'appelle "Éditions de l'homme libre", 26 rue des Rigoles, 75020 Paris. Évidemment, ça fait drôle d'accoupler "nazi" avec "homme libre". Et puis la rue des "rigoles"... Ils ont pas l'air rigolo: tous leurs bouquins sont de l'ordre de la nostalgie, de l'évocation romantique et passionnée des héros nazis, si possible SS. Si ces gens-là publient tout un tas de bouquins, c'est qu'ils ont un public. Probablement de bons pères de famille qui donnent du Ronron à leur chat et vident la poubelle à heure fixe. Qui rêvent sous la couette de grands défilés nazis en se demandant s'ils ont bien arrosé le géranium dans le salon. Tout le monde leur fout la paix et ils continuent leur traintrain, en s'imaginant lancés au galop dans les steppes glacées du Kouban...
§==== '' Je suis profondément hostile à la judiciarisation de plus en plus accentuée de la parole... [Concernant] les dérapages délibérés de Dieudonné, je suis heureux que les tribunaux '' l'aient relaxé, déclare Philippe Bilger, Avocat général près de la cour d'assises (crimes), à L'Express (3 janvier). (Guysen.Israël.News 4 janvier 2005)
''J'ai critiqué la loi Gayssot [qui sanctionne l'expression publique des discours négationnistes]. J'ai horreur des interdictions intellectuelles et des étouffements anticipés. Je crois que, en dépit de la bonne conscience qu'apportent les censures qui mêlent morale et Histoire, c'est assurer l'impunité à l'erreur que de la condamner au silence... Pour peu qu'une minorité puisse se dire victime, elle est sûre de pouvoir obtenir une dépouille du beau concept de la liberté d'expression ''.
On voit que ce connard n'est pas à notre place. Les dépouilles, non merci. On ne fait pas le commerce des peaux de lapin....
[1] Je ne citerai pas ce site explicitement (pas d'URL). Ce n'est pas à mettre entre toutes les mains et ce n'est pas la peine de faire de la pub à ces gens là. Ceux qui y tiennent vraiment pourront faire mumuse avec les divers moteurs de recherche. Disons tout de suite qu'il faut y mettre le temps et que les censeurs peuvent dormir tranquilles : nos chères têtes blondes n'ont qu'une chance infinitésimale de tomber dessus au hasard du web-surfing. Ajoutons aussi, pour bien situer le contexte, que ce site est maintenu par un antisémite notoire, en cheville avec la quasi-totalité des groupuscules d'extrême-droite dans le monde. Il s'agit de Ahmed Rami, ex-officier de l'armée marocaine, et auteur (avec d'autres) d'un attentat manqué contre Hassan 2. Il vit en exil en Suède et a monté, avant son site web, une radio, "Radio-Islam", antisémite (sous couvert d'antisionisme). Pour plus de renseignements, se référer au numéro spécial de la revue Reflex : "L'Europe en chemise brune". Les gens de Reflex ont aussi un site web dont voici l'URL.:
[2] Il faudrait d'ailleurs donner une définition plus précise du révisionisme. Entre un Garaudy qui nie les chambres à gaz, mais pas le massacre (ou qui en atténue la portée) et quelques hallucinés qui transforment Auschwitz en une succursale du Club Med', il y a une marge ... De plus il faudrait rappeler que le revisionisme n'est pas à l'origine une émanation de l'extrême-droite, mais bien de l'ultra-gauche (Librairie "La Vieille Taupe"). L'initiateur de ce mouvement, Paul Rassinier, était militant SFIO (ancêtre du P.S.), et ex-déporté de Dora.
[3] ] Contrairement à Léon Poliakov, qui par ailleurs dans le tome 2 de son Bréviaire de la haine explique l'actuel antisémitisme en pays musulmans à l'aide d'un subtil racisme anti-arabe (ces gens là sont des obscurantistes, etc ...)...
[4] Voir l'indispensable Les assassins de la mémoire, suivi d'un Eichman de papier de P. Vidal-Perroquet. On y voit comment réfuter la plupart des propositions des révisionnistes. Il faut toutefois noter que P. Vidal-Pipiquet a une position maximaliste, puisque selon lui, toute discussion sur la réalité du génocide est ontologiquement à bannir ... De quoi faire des émules dans l'autre camp, qui passeront pour autant de martyrs.
[5] Il est évident que si la Palestine (alors sous mandat britannique) avait été une colonie de peuplement comme l'était alors l'Algérie pour la France, l'état d'Israël n'aurait jamais vu le jour. Les prétentions territoriales à base biblique n'auraient pas eu la moindre chance de s'imposer sans le Génocide ...
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The Revisionist Clarion Il Resto del Siclo
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