Un lecteur averti,
qui fréquente les groupes de discussion, ce que nous ne
faisons pas, nous envoie ce qu'ils appellent un "post",
un message parmi beaucoup d'autres qui signalent une polémique.
D'un côté un certain R. Etienne qui défeznd
la mémoire de Rassinier, de l'autre un certain G. Karmasyn
qui a poussé le sens du devoir jusqu'à monter un
site web entièrement conscréé à la
lutte contre le révisionnisme, où, pour l'essentiel,
il reprend et traduit des argumentaires débilos du pseudo-McVay
publiés sur le site Nizkor. Nous repoduisons cet "échange"
à titre exceptionnel, pour que nos fidèles lecteurs
disposent d'une certaine notion de ces polémiques en cours,
mais nous n'avons pas l'intention d'y participer dans les "listes
de discussion".
<[email protected]>
Subject: Re: Les Chroniques du Redresseurs de Mort II
Date: Wed, 10 Nov 1999 13:05:13 +0100
Le Wed, 10 Nov 1999 01:23:58 +0100, [email protected] (Gilles
Karmasyn)
ecrit :
GK décide donc de remettre le couvert sur Rassinier en
recopiant un post dejà produit et auquel j'avais déjà
répondu. Pour rendre clair au lecteur, je ne reprendrais
donc pas toutes les citations faites par Gilles; le lecteur pourra
les retrouver en remontant le thread.
Rien de bien neuf sur la vision différente que nous
avons -- nous deux -- sur Rassinier. Je me bornerai donc à
répondre de nouveau aux principaux mensonges colportés
par la clique qui a attendu la mort de Rassinier pour lui sauter
à la gorge, en rajoutant qulques points par rapport à
ma précédente réponse.
Notez le "si", conditionnel qui dénote bien que les détracteurs de Rassinier ont tout de même du mal à gommer totalement le passé héroïque et glorieux (il n'aimerait pas ce genre de compliment) de Rassinier. Mais ce "si" est aussi une méthode qui tend à *minimiser* la portée de ses actes. Cette méthode -- curieusement -- est parfaitement décrite sur le site de Gilles Karmasyn comme étant une méthode "négationniste". Dont acte.
Classique de la débilité mentale. C'est le genre d'accusation: puisque vous fréquentez des fascistes, c'est donc que vous êtes fasciste. Raisonnement de haine, opposé à tout humanisme et à toute charité... (Aimez votre prochain...etc..) "Je n'attache pas d'importance aux opinions politiques des gens" écrivait Rassinier à Kogon, car il pensait -- lui -- que les opinions politiques des gens n'étaient pas *figées*, et que l'intelligence pouvait faire évoluer les esprits. [...]
Oh, mais les anciens de Dora ont bien témoigné *sur* Rassinier, comme le reconnaît Brayard à la page 55 de son livre (en note évidemment!) en citant le "compte rendu élogieux du Passage de la ligne" par un ancien de Dora dans le journal L'École émancipée du 26 novembre 1949:
Mensonge et falsification ! La vérité
consiste à rappeler que Rassinier fut torturé pendant
des jours après son arrestation par la police allemande
(la gestapo selon Brayard, la Feldgendarmerie selon Fresco)
et qu'il eut un rein éclaté, ce qui explique que
son état nécessitât de fréquents séjours
au Revier. Franchement, je ne connais pas la bio de ce
Sellier, qui vient cracher sur les tombes avec tant de lâcheté,
et ce en 1998, soit trente ans après la mort de Rassinier...
Ca doit être le genre de mec "courageux" (sic)
prêt à
bavarder facilement sous la torture, mais de préférence
avant que ça ne devienne trop dur. S'il avait été
arrêté par la gestapo en octobre 43 -comme le fut
Rassinier -- il aurait probablement balançé tout
son réseau. Beurk:-((
Rassinier -- lui -- fut torturé pendant quinze jours mais
ne balança personne. De cette torture, il gardera de graves
séquelles tout le restant de sa vie, ce qui n'empêche
pas Sellier de lui reprocher ses séjours au Revier.. re-beurk:-(
Son épouse et son fils furent aussi arrêtés
et incarcérés pendant deux mois. Rassinier fut ensuite
transféré au camp de Buchenwald, puis à celui
de Dora. Ce genre d'héroïsme soulève toujours
des rancunes parmi ceux qui sont entrés dans les Kommandanturs
et et qui en sont ressortis aussi vite pour rejoindre leur maison.
Peut-être que la Papa Sellier était de ceux-là:-((
Quel salaud!
Quelle menteuse! Voir plus haut ce qu'en pensent réellement les anciens de Dora.
En effet, le choix de Rassinier, à savoir Häftlingsführung, "pose problème" -- d'après Brayard (et Fresco reprend ça) -- bien qu' "à défaut d'être historiquement attesté", il paraisse "authentique" (p.74). Notons qu'il aura fallu attendre 1996 et la perspicacité de Florent Brayard pour que ce terme qu'aucun des déportés de Buchenwald et Dora ayant lu Le Mensonge d'Ulysse n'avait pris la peine de relever (pas même E. Kogon) devienne douteux et suscite une glose dont le principal mérite est de contribuer à fausser l'analyse des intentions de Rassinier !
D'autres qui "minimisent" le rôle de SS, alors.... D. Rousset, Primo Levi ! David Rousset dans une interview à Histoire magazine déclarait en 1980: "On discuta ferme chez les S.S. et un grand tournant fut pris qui consista à transférer la gestion des camps aux politiques, c'est-à-dire aux politiques allemands. Ces derniers étaient composés en majorité d'ouvriers qualifiés, le plus souvent communistes. Les exigences du travail ont donc permis aux communistes allemands de prendre le pouvoir dans les camps. Cela ne se fit pas paisiblement, tant s'en faut, mais au travers d'affrontements parfois sauvages entre droit commun et politiques allemands. Mais quand nous, les non-Allemands, sommes arrivés dans les camps, cette révolution était pratiquement achevée partout. Toute la gestion concentrationnaire, au moins dans les grands camps, était alors administrée de l'intérieur par les politiques allemands." (Histoire magazine, n· 8, p. 12 et 13). Également pour Auschwitz, Primo Levi : "Quant aux S.S., il y en a, mais pas beaucoup, ils n'habitent pas dans le camp et on ne les voit que rarement. Nos véritables maîtres, ce sont les triangles verts qui peuvent faire de nous ce qu'ils veulent, et puis tous ceux des autres catégories qui acceptent de les seconder, et ils sont légion." (Si c'est un homme, Julliard, édition Pocket, p. 33.)
Il en est sorti avec une infirmité à vie, crétin ! Est-ce que des anciens de Dora peuvent ignorer cela ?
Erreur ! Si l'on veut considérer que les colis en provenance de Belfort (libéré le 20 novembre 44) se sont arrêtés courant octobre 44. Cela n'empêche pas la Frasque de reprendre ce MENSONGE, lequel démontre bien la malveillance des témoignages sollicités par elle. Brayard donnait déjà ce mensonge, mais -- le plus amusant -- c'est qu'il se contredisait lui-même entre son texte et ses renvois en notes de bas de page ! Il reconnaît lui-même que les colis familiaux furent relayés pour les détenus français par les colis de la Croix-Rouge, ce qui donna lieu à des trafics par les détenus communistes, dont Marcel Paul comme l'a écrit E. Kogon dans l'Enfer organisé. Rassinier en parle d'ailleurs dans Le Mensonge d'Ulysse, p. 162. Les témoins de la Frasque semblent avoir oublié cela... Une mémoire sélective, très sélective:-((
Un monument de parano aiguë et de mensonge par omission/sélection. Il faut absolument lire la critique qu'en font les révisionnistes sur les sites internet. [Note de l'AAARGH: et pas seulement eux, cf notre page « Haïr Paul Rassinier » qui contient le dossier de presse du livre, très peu favorable dans l'ensemble, bien que l'on s'efforce de le cacher.]
Pour en juger, les lecteurs francophones doivent savoir qu'à présent, toute la production de Rassinier se trouve en ligne sur internet, sauf ses articles d'avant-guerre qui continuent à se compléter. Cela devrait réjouir Y. Rolandeau qui disait -- il y a trois ans -- que les révisionnistes n'osaient même plus se reporter à Rassinier. Si tel était le cas, on ne verrait pas la horde antirévisionniste se déchaîner comme elle le fait en ce moment pour assassiner (par l'écrit malfaisant) un homme, et ce trente ans après sa mort physique, allant jusqu'à organiser des réunions en Province pour promouvoir le bon livre de Nadine.
GK est-il conscient en écrivant
cela ? On peut se le demander. Ainsi, il aura fallu attendre
seize ans pour que Vidal-Naquet s'en rende compte en propulsant
Brayard ! Pfuuitt ! Pierre Vidal Naquet ne semblait
pas être de cet avis lorsque paraît Le Mensonge
d'Ulysse de Rassinier, du moins en ce qui concerne sa partie
sur le témoignage de l'auteur et son vécu dans les
camps; au contraire:
"Un livre comme Le Mensonge d'Ulysse de Paul Rassinier
doit être mentionné ici: excellent comme témoignage
de l'auteur sur ce qu'il a vécu, intéressant quand
il critique les autres témoins de Buchenwald et de Dora
et met en lumière les responsables de l'appareil politique
dirigé principalement par les déportés communistes,
il devient franchement absurde et haineux, dès lors qu'il
traite de ce qu'il n'a aucunement connu : les camps d'extermination
et principalement Auschwitz."
Au passage, on s'étonnera encore que P.Vidal-Naquet ne
se soit pas décidé à exposer publiquement
ses critiques lui-même; il a choisi de le faire par Brayard
interposé. Dommage, il eût été intéressant
de le voir venir nous expliquer ce qui lui permettait seize ans
plus tard de reconnaître enfin la puissance d'illusion diabolique
de Paul Rassinier... Il écrit en effet:
"L'originalité
-- la perversité -- de Rassinier est ailleurs, elle est
dans le fait qu'il exonère les S.S. et le régime
hitlérien de toute responsabilité dans ce que les
camps ont eu de pire."
(Introduction, p.14). [Note
de l'AAARGH : nous ne le répéterons jamais
assez, il manque dans tout cela un jalon indispensable que personne
n'ajamais pu fournir,; il s'agit de l'étape au cours de
laquelle Rassinier, de résistant déporté
et torturé par les nazis, devient nazi lui-même.
Quand commence-t-il à approuver ses bourreaux ? Sous
la torture ? Est-ce pour cela que Vidal-Naquet, vierge de
toute résistance (même la révolte semble absence
dans son récit de l'arrestation de ses parents, premier
volume de ses Mémoires, références
oubliées pour l'occasion), est, lui, resté vierge
de tout nazisme ?]
"Perversité" telle -- donc -- qu'il lui fallut
seize longues années pour en percer le jeu, sans compter
tous ceux qui, à la sortie du Mensonge d'Ulysse,
des l'historiens Dommanget et Prudhommeaux à Jean Puissant,
de Correspondance Socialiste Internationale au Libertaire
et à Maurice Joyeux faillirent à déceler
l'exonération des fautes nazies contenue dans le livre
de Rassinier et son approche du problème concentrationnaire.
Pourquoi cette attaque tant d'années après sa mort?
Et GK (qui vient ici nous reco-piller André Sellier et
la Frasque, lesquels se réveillent en 1998) affirme ici
haut et fort une accusation qu'il est in-ca-pa-ble de prouver
sans reco-piller sur les plus grands menteurs que sont -- sur
ce sujet -- les auteurs dont il vient de nous gratifier.
Il manque pas d'air !
> Rappel:
Non! Reco-pillages, tout simplement.
Et alors ? C'est normal pour un pacifiste
convaincu qui assortissait sa "philosophie de Tolstoï
et de Gandhi". Pas étonnant qu'il s'élève
contre la guerre et les nationalismes. [Note de l'AAARGH : il suffit de lire
Les
responsables de la seconde guerre mondiale pour
comprendre pourquoi Rassinier a cette attitude. Il pense que les
Anglais ont voulu la guere mais ne l'ont pas préparée,
comme tous les autres Alliés.]
Suivent des considérations sur le pacifisme munichois de
Rassinier (qu'il a toujours revendiqué), [Note 3 : cf. par exemple
Défense de l'homme no 23, Aux frontières de
la désespérance]
et la dérive malheureuse de son ami socialiste Paul Faure.
En effet comme le dit si bien Brayard "Contrairement à
un certain nombre de ses amis, Paul Rassinier ne versa pas dans
la collaboration" (p. 28), ce qui laisse toujours la possibilité
de lui reprocher ses amitiés, n'est-ce pas ?
Et alors? Dites, GK, la distance est-elle si grande entre la collaboration et le fait d'écrire en mars 1942 dans la revue du socialiste-collaborateur Spinasse un article où "(...) [ Rassinier ] fustigeait la responsabilité des élites dans le déclenchement de la guerre." (p. 28) ? Il faut un début à tout; commencez par mettre en cause les élites et vous finirez national-socialiste, comme vous le diront tous les parlementaires .... ou comme cherchent à l'insinuer certains en voulant expliquer "comment on fabrique un antisémite":-)
[...] (Snip sur des banalités que
pas même Rassinier ne contesterait:
Rassinier-pacifiste, Rassinier-grande gueule, Rassinier et son
rôle
*pacisfiste* dans la Résistance ...etc...)
CQFD. Nadine a trouvé cet argument choc qu'elle ne démontre pas. Voyez comment fonctionne la méthode hypercritique que d'aucuns me reprochent !
Ah, bon? "approximativement"
dites-vous (ou dit-elle, la Frasque) et -- bien sûr -- le
cachet de la poste faisant foi:-)
C'est complètement débile. Tout le monde sait que
les mouvements de résistance étaient divers
et multiples, et qu'ils se sont créés
dans le plus grand secret. Or sur ce point, pour Rassinier, les
témoins interrogés ne sont pas en mesure de savoir
ce qui se passait à côté ou au-dessus d'eux.
Mais avec votre méthode hypercritique, on peut raconter
n'importe quoi, et comme Rassinier est mort, on ne risque plus
d'être contredit. Mais -- au fait -- pourquoi ne décrouvrez-vous
cela qu'en 1988 ? Car, que vous le vouliez ou pas, l'engagement
de Rassinier en résistance date de juin 1941 auprès
des Volontaires de la Libérté et en 1942 à
Libération-Nord. Lui seul pourrait dire le mois, mais il
est vrai que les affirmations de Rassinier valent ce qu'elles
valent, c'est-à-dire bien peu de chose aux yeux de ses
détracteurs qui ont attendu sa mort pour le piétiner.
Brayard, cependant, dans une note 3 page 29 de son livre, cite
un
rapport sur les maquis de la région dont l'auteur a été
dès 1942 placé sous l'autorité de
Paul Rassinier. Si -- dès 1942 -- Rassinier était
déjà un chef de réseau résistant,
on peut facilement en déduire que son engagement date d'avant.
Le fait que ce groupe ait pris naissance à Paris et que Rassinier ne rencontre les Parisiens qu'en 43, le fait qu'à cette occasion il rencontre Cochery et remplisse des renseignements sur un dossier ne prouvent absolument pas les délires de la Frasque pour dater son engagement de janvier 43. C'est de la pure hypercritique en action...
[...] Vilains reco-pillages de Karmasyn:-((
Malgré les délires mensongers de la Frasque (reco-pillés
par Karmasyn) on jugera avec un meilleur avec intéret de
l'apport de Rassinier (et Jacob) au Semeur en se reportant
à un article du journal de la Fédération
communiste indépendante du Doubs Le Travailleur
dans son n· 3, 1932, p. 1... qui se termine ainsi:
"Le Semeur,
ce journal pour lequel nous nous sommes battus, ce journal dans
lequel nous avions placé tous nos espoirs il y a 9 ans,
qui avait réussi grâce à l'énergie
de quelques militants à redevenir ce qu'il était
au moment de son lancement, est disparu. Toutes les équivoques
sont dissipées et l'ombre d'un passé douloureux
ne se portera pas sur un avenir plein d'espoirs pour le
prolétariat et le mouvement que nous lançons. Le
Travailleur, notre journal commun, reste. (...)"
Et sur la même page, parait alors la première contribution
hebdomadaire de P.Rassinier, qui fait suite à un article
paru dans le précédent numéro du Semeur.
Is that correct Karmasyn?
Pourquoi la Frasque ment-elle ?
"Ce qui est sûr, c'est que son combat ne fut pas armé; Rassinier prit en charge la publication d'un journal clandestin, La Quatrième République, dont le premier numéro sortit le 1er novembre 1943." dixit Brayard !
Tiens, comme par hasard, les Parisiens choisissent l'illustre inconnu Rassinier qui vient juste de les connaitre et de s'inscrire en leurs rangs... Mais cela n'a pas l'air de surprendre La Frasque qui n'y voit -- elle -- qu'un besoin purement fonctionnel !
Ca, c'est la part du destin. Cela ne démontre rien, sinon qu'elle et vous, avez la hargne. [Note de l'AAARGH : ça devient vraiment très drôle. On reproche à Rassinier de n'avoir pas été résistant parce qu'il était arrêté et entre les mains des tortionnaires.]
Et vous, la hargne, vous dis-je. [Note de l'AAARGH : a
priori, si l'on devait choisir entre deux camps, celui du travailleur
provincial militant depuis toujours et celui des étudiants
parisiens, on n'hésiterait pas longtemps ! Quant au
populisme, on sait ce que ce reproche désigne dans la bouche
des révolutionnaires bourgeois : tous les révolutionnaires
prolétaires.]
Non, on se serait passé d'un reco-pilleur de mensonges.
Das ist propagand ! Mais il est vrai que GK n'a découvert que
récement ce qu'était la propagande de guerre:-)
Avant que je lui apprenne, il ignorait que cela pût exister.
[ snip se reporter aux délires de la Frasque .....]
Non, normal puisqu'il était le fondateur
de ce journal.
[....] snip sur vomissements pillés par Karmasyn chez la
Frasque.
[...] snip sur vomissements pillés
par Karmasyn chez la Frasque.
Je suis peu enclin à saisir toutes les nuances qu'elle
formule.S'agirait-il uniquement d'attaques ad hominem ou
bien me trompais-je?
De l'hypercritique chez la Frasque, encore
et encore.
Quand on a rien de sérieux à se mettre sous la dents,
c'est bien pratique;j'espère que ça lui permet de
se gratter le cul:-)
GK et la Frasque sont très sélectifs
dans leurs viles attaques contre le défunt.... Victor Méric
-- qui combattit dans le camps des dreyfusards -- se verra lui
aussi taxé d'antisémitisme pour avoir par exemple
déclaré quelques années après l'affaire:
"Ces dreyfusards
ardents à organiser le chambardement général,
pour un capitaine juif et millionnaire et, sitôt vainqueurs,
remisant leurs promesses, s'installant dans les sinécures,
pataugeant dans l'assiette au beurre, reniant et poursuivant de
leur haine féroce les auxiliaires de la veille."
Toujours aussi sélectifs, les compères GK/Fresco/Brayard! Ils ne semblent pas se remémorer que Souvarine -- "l'une des grandes figures -- mais rebelle -- de la culture communiste en France" (dixit Brayard p. 25, note 8)... doive encourir les mêmes reproches qu'ils formulent à Rassinier pour avoir lui aussi écrit et fait l'éloge de ses propres oeuvres dans un journal d'extrème-droite, sous le pseudonyme éloquent de Motus...
Dites plutôt que vous pourriez encore reco-piller quelques mensonges ou quelques attaques polémiques et personnelles envers celui qui ne peut plus vous répondre. Dites plutôt que vous pourriez nous scanner -- comme le fît l'Euthydème -- tout un chapitre (ou plusieurs) de la Frasque.
Et GK qui a toujours raconté qu'il
n'affirmait rien sans l'avoir vérifié lui-même
(je le cite de mémoire) vient là de nous avouer
qu'il se borne à croire la Fresco et Sellier.
Sa "rigueur" vient d'en prendre un bon coup en reco-pillant,
tel
l'Euthydème -- les mensonges des autres.
Snip
[email protected]
" Tu dis qu'il faut brûler mon livre;
" Les tiens auront un meilleur sort,
" Ils mourront de leur belle mort !"
J-B. Rousseau
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