Le principe de la résistance
contre une force supérieure, mécanisée, qui
écrase tout sur son passage, est de faire retraite, éviter
les coups et frapper à l'improviste. Ne pas s'accrocher
mais rester mobile.
Nous allons appliquer ces principes. Les sites existants vont
rester en place puisque 95 % des internautes du monde continueront
à y accéder. Les moteurs de recherches font l'objet
de censures manuelles mais nous les déborderons par la
masse de notre mise en ligne. Nous sommes, ne l'oublions pas,
un des plus gros sites du Web. Nous allons donc décentraliser,
fragmenter l'AAARGH en petits morceaux, le plus souvent zippés,
et mettre ces morceaux aux quatre coins du Web. Nos pouruivants
devront avoir beaucoup de souffle pour essayer de nous attraper:
à chaque fois qu'ils auront capturé un microsite,
nous en ouvrirons deux ou trois nouveaux. Les lecteurs devront
donc arpenter, eux aussi, des vastes étendues cybériennes,
pour retrouver leur provende habituelle. Ils sauront s'adapter,
ils ont besoin de lectures roboratives et ce n'est pas la prose
pipi-de-chat des Knobel, Camus, Lilti et Cie qui pourrait les
satisfaire.
A tous, comme on disait dans le clan de Mowgli, sur les hauteurs
de Seeone, "Bonne chasse".
Nous avons pris des mesures
de rétorsion. Ceux qui veulent naviguer tranquillement
et décider eux-mêmes des pages qu'ils vont ouvrir,
ceux qui savent que les choses ont plusieurs côtés
et qui sont curieux de les voir, ceux qui partagent nos idées
se reporteront à notre page de CONSEILS PRATIQUES,
due en grand partie aux sages conseils de nos lecteurs. Ils se
récompensent eux-mêmes !
Antisémitisme
La saga judiciaire entre des associations antiracistes et le site négationniste Aaargh (Association des anciens amateurs de récits de guerre et d'Holocauste) se poursuit. Elles ont lancé une procédure de référé contre les fournisseurs d'accès français à l'Internet, à propos de ce site, mais après trois audiences on a du mal y voir clair. En vertu de la loi du 21 juin 2004 sur la «confiance dans l'économie numérique», les associations demandent que les internautes français ne puissent plus avoir accès au site. Les fournisseurs d'accès ont renvoyé la responsabilité du filtrage aux hébergeurs américains. Mais un de ces derniers se refuse à suivre la loi française. Demain, le tribunal devrait apporter une première réponse. Le site continue, lui, de narguer son monde avec un «Coucou c'est nous !» au-dessus d'une photo de Hitler et d'un texte en arabe.
Précisons que la photo de Hitler et le texte en arabe sont les première et quatrième de couverture de la traduction arabe du livre de Serge Thion, Vérité historique ou vérité politique ? L'affaire Faurisson et la question des chambres à gaz, qui vient de paraître à Damas, aux Editions Dar Tlass.
Nous avons
appris, par les ordonnances de référé, que
nos adversaires, fidèles à leur désir d'éradiquer
la liberté d'expression en France et dans le reste du monde,
ont porté plainte auprès du procureur de Paris contre
le site de l'AAARGH en décembre 2004.
Nous ne savons pas quelle suite a été donnée,
si un juge d'instruction a été désigné,
bref, pour le moment, c'est le noir complet.
Peut-être sollicités, les fins limiers de l'Ocloctique
et de la Baslipe ont dû avouer qu'ils nageaient dans le
brouillard. On ne leur en veut pas. C'est nous qui avons machiné
ce petit brouillard. Le seul moyen logique serait l'envoi, par
le juge d'instruction, d'une convocation à l'adresse de
l'AAARGH. Une inspection approfondie de la boite postale n'a rien
révélé. Placés comme nous le sommes
sous la protection de l'article 19 de la Déclaration universelle
des Droits de l'homme (Paris 1948) qui stipule: «Tout individu
a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit»
et de l'article 11 - 1 de la Charte des droits fondamentaux de
l'Union Européenne, adoptée par l'Union européenne
à Nice le 7 décembre 2000, qui affirme que «Toute
personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit
comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir
ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et
sans considération de frontières», nous ne
redoutons pas les questions d'un juge qui se ferait obligation
de respecter les droits de l'homme ci-dessus visés et les
principes consitutionnels qui découilent de l'amalgame
à notre constituion de ces déclarations solennelles.
Remarques sur l'ordonnance du 25 mars :
"constater
que le service de communication au public en ligne AAARGH... caractérise
par son contenu une atteinte systématique et répétée
aux lois de la république"...
C'est même la raison d'être d'un site tel que l'AAARGH.
Les lois en question (Gayssot) sont exorbitantes du droit
traditionnel; elles abolissent les libertés de penser et
de parler qui sont protégées par l'ordre constitutionnel.
Ces lois, rappelons-le, n'ont même pas été
soumises à l'examen du Conseil constitutionnel par une
étrange carence de l'opposition d'alors (juin 1990, la
droite étant dans l'opposition et ayant voté contre).
Par conséquent, ces lois sont illégales.
C'est le devoir citoyen qui nous oblige à les trangresser.
Si nous ne le faisons pas, nous avouerions notre statut d'esclave,
notre sujétion abjecte à une petite tourbe de sionistes
partisans du génocide des populations du Moyen-Orient au
profit d'un Etat fondé sur le racisme. Toutes les traditions
républicaines s'insurgent contre cette situation. S'élever
contre des lois in,justes est le fondement des démocraties
instaurées au XVIIIe siècle, qui sont censées
perdurer jusqu'à nous. Nous n'avons donc aucun autre recours
que de piétiner et repiétiner ces lois iniques qui
ne sont celles "de la République" qu'au sens
ou le statut des Juifs était une des lois de l'Etat français
dirigé par le Maréchal Pétain. On sait que
les juges, sous Pétain comme sous Mitterrand ou Chirac,
appliquent les lois avec zèle, qu'ils sont les instruments
aveugles du pouvoir et que la justice, dans ces débat,
est totalement absente. C'est bien pourquoi nous ne participons
pas à ces mascareades judiciaires. Seul le spectacle qu'elles
offrent nous semble intéressant et révélateur.
Quant à l'idée que nous causerions un "dommage",
elle relève du grotesque. Le seul dommage qui soit perceptible
est l'atteinte portée au monopole de la mythologie issue
des propagandes de guerre. En réalité, une discussion
de nature historique ne peut pas causer de dommages, sauf à
ceux qui ignorent délibérément la vérité
qui s'appuie sur la confrontation des recherches. Inutile d'ajouter
que la rédaction de la LEN ne peut susciter que le mépris.
On note que le tribunal demande aux hébergeur américains toutes sortes de renseignements (adresse, numéro de téléphone) des éditeurs du site. Il applique là les normes de l'impresssion sur papier, codifiées dans la loi de 1881 sur la "liberté" de la presse. Cette loi faisait une sorte d'échange entre l'abandon de la censure préalable et la possibilité de traquer l'auteur et l'imprimeur de tout objet imprimé qui aurait le malheur de déplaire aux puissants du jour. On ne peut pas distribuer le moindre petit tract sur la voie publique sans qu'il comporte le nom et l'adresse de l'imprimeur, qui doit être capable d'identifier et de dénoncer à la Maison chtarpogne l'auteur des lignes qui déplairaient à ces Messieurs les argousins. Ce qu'ils appelent ainsi la "liberté de la presse" est étroitement encadré. Les idiots de législateurs n'ont pas pu s'empêcher d'appliquer ce régime tatillon et réactionnaire au monde nouveau de l'internet. On leur avait dit de ne pas le faire. Ces gens-là pratiquent une sorte d'onanisme juridique. Les effets retombent sur les épaules des juges, qui n'en peuvent mais.
Remarques
sur l'ordonnance du 20 avril:
(page 7) Le tribunal vit manifestement dans un brouillard d'irréalité.
Il fait semblant d'avoir juridiction sur ce qui se passe aux Etats-Unis.
Le principe de souveraineté nationale est abandonné
dans une confusion complète. Il traite les entreprises
américaines comme si elles était à Romorantin.
On frôle le ridicule. Il se targue d'assigner "conformément
aux dispositions de l'article 684 du Nouverau Code de Procédure
Civile". On est en pleine globalisation, et on ne se rend
pas compte que la réalité échappe complètement
aux gesticulations des porteurs de toge. Les Américains
quand ils reçoivent ces papiers, rédigés
dans un français à peine compréhensible,
même pour nous, le jettent à la poubelle. Ils comprennent
confusément que des groupes juifs leur en veulent et ils
déterminent leur position par rapport à ça.
En outre, le tribunal a l'arrogance de dire qu'il n'est pas nécessaire
de traduire les assignations. Il cite pour se justifier une Convention
de La Haye du 15 novembre 1965 !!! Ces cochons de Yankis vont
être impressionnés par cette convention de 1965 !
Ils n'ont qu'à apprendre le français et à
bien se tenir, le TGI va venir leur tirer la barbichette. Bref,
on est chez Guignol.
Pour avoir mis à la poste de petits papiers en français, le juge prononce cette assignation "régulière" et même plus loin, alors que les assignés sont "non-comparants", il répute le débat comme "contradictoire" (page 9). C'est l'art délicat de donner aux mots un sens contraire de celui qu'ils ont.
Sur les interventions volontaires, le juge fait droit à des associations qui ont pour objet "de défendre les droits des communautés de confession juive". Doit-on rappler à l'éminent juriste que le droit français prohibe la notion de "communauté de confession" et qu'elles ne sont pas reconnues par le législateur ? Quant à l'idée qu'"entretenir la mémoire des déportés" pourrait se concilier avec le fait "de préserver la vérité historique", c'est le comble de l'angélisme. Les associations de déportés sont des organisations de chantage politique bien connues et le juge fait l'idiot en l'ignorant. Ne parlons pas de la LICRA et de sa défense hystérique des pires abjections israéliennes. Ces gens-là n'ont de leçon à donner à personne et feraient mieux de rester dans leur trou.
(page 12) La LEN ne semble pas s'intéressr véritablement aux éditeurs du site. Elle ne se fait peut-être pas autant d'illusions que les associations de fanatiques qui nous poursuivent. Le juge note ainsi qu'en "considération du principe d'efficience" le législateur a mis en place un dispositif "qui s'adresse, non pas à l'éditeur ou aux auteurs ayant contribué à l'élaboration du contenu d'un site mis en cause, mais aux prestataires techniques." "L'identification de l'éditeur, poursuit le juge, ne saurait "constituer un prélable que les textes visés n'imposent pas". Au diable l'auteur !!! Ce qu'on veut c'est lui couper le sifflet ! Il ajoute même, p; 13, "qu'il ne peut êtrre davantage prescrit, comme le demandent certains fournisseurs d'accès, de mesure préalable d'instruction en vue d'identification pour leur mise en cause des auteurs du site, que les textes invoqués n'imposent pas davantage". Les fins limiers vont donc rester à la niche. Quel malheur pour eux ? Un petit voyage à Chicago leur aurait prendre un bon bol d'air frais.
Commence alors, p. 13, un inénarrable morceau de bravoure qui contient les avis des associations de censure sur le contenu de l'AAARGH, tel qu'elles le voient. Ce site viserait particulièrement le public français. Elles n'ont prabablement pas pris en considération la documentation disponible en huit autres langues. Le censeur n'est pas polyglotte. La preuve de cet intérêt pour le public français serait "les mutiples références à la léglislation nationale". Est-ce de notre faute si'il n'existe dans aucun pays un équivalent à la Loi Gayssot, de sinistre mémoire ? Et une chronique d'actualité "régulièrement alimentée et mise à jour". Mais le site préente aussi une chronique en italien, anglais, allemand, espagnol... Que faisaient les censeurs quand ils étaient à l'école ?
La crise de délire n'est pas loin. Le juge Binoche évoque les atteintes constatées à l'article 24bis de la loi du 29 juillet 1881. C'est la fameuse loi Gayssot, promulguée le 13 juillet 1990. Nous avons quelques raisons de la connaître. Et bien, le juge Binoche nous apprend qu'elle sanctionne le "crime contre l'Humanité perprétré à l'encontre des juifs" p. 13, dernier paragraphe). C'est une monstruosité. Le juge ne sait pas lire son Dalloz. Il n'y a rien de tel dans la loi. C'est du révisionnisme à l'état pur.
Quant aux imputations émanant des associations, on relèvera seulement que s'il est vrai que nous foulons aux pieds la loi anti-révisionniste du 13 juillet 1990, modifiant la loi sur la presse de 1881, nous ne pratiquons l'apologie d'aucun crime, tous les crimes contre les êtres humins nous paraissant condamnables et nous rejetons avec énergie tout ce qui s'apparenterait à de la discrimination ou de la haine raciale. Nous ne diffamons des groupes de personnes qu'à raison de leur ânerie collective.
On apprend p. 13 que des associations ont porté plainte. Mais il ne semble pas que le pénal tienne le civil en l'état puisque le juge dit qu'il se fiche bien des plaintes.
LES ALLEMANDS SONT INTÉRESSÉS
26.04.2005
Frankreich macht ernst: Ein französisches Gericht hat im Fall von drei Hosting Providern in den USA angeordnet, dass diese französischen Anwendern den Zugang zu dem revisionistischen Auftritt "Aaargh" verwehren.
Dem "Tribunal de grande Instance" (TGI, in etwa: Landgericht) in Paris ist dabei wohl klar, dass es keine Möglichkeiten hat, sein Urteil in den USA durchzusetzen. Doch das Verfahren kam zustande, nachdem acht antirassistische Organisationen ein Verfahren gegen die Hosting Provider in den USA und die Zugangs-Provider in Frankreich eingeleitet hatten. Das TGI verlangte von den Klägern dann aber, erst den beziehungsweise die Hosting Provider anzugehen, ehe man sich hinsichtlich einer Mitschuld an die Zugangs-Provider wendet (vgl.: "Rassismus-Gegner fordern juristische Mittel ein").
Diese Strategie scheint auch zumindest partiell aufgegangen zu sein. Das fragliche Angebot in den USA wird auf Servern von drei verschiedenen Providern veröffentlicht. Zwei der Provider (OLM und Globat) haben nach der Aufforderung aus Frankreich eingelenkt und eine Beendigung des Hosting-Verhältnisses in Aussicht gestellt. Doch ein drittes Unternehmen, ThePlanet, will der Anweisung nicht Folge leisten und beruft sich auf amerikanisches Recht.
Dabei muss wohl berücksichtigt werden, dass die Anweisung aus Frankreich auch für die Provider nicht ohne Tücken ist. Das TGI verlangt nicht die Einstellung des revisionistischen Angebotes insgesamt, sondern will nur den Zugang für französische Anwender verhindert sehen. Das Erste wäre nach US-Recht nicht nur ungerechtfertigt, sondern möglicherweise sogar eine strafbare Handlung. Das Zweite wiederum ist aus technischer Sicht nur lückenhaft machbar und kann beispielsweise nicht durch eine Unterlassungserklärung verpflichtend erklärt werden.
Doch das ist wohl auch nicht nötig. Denn nun, nachdem die Hosting Provider mit der Forderung des Gerichts bekannt gemacht wurden, werden die Zugangs-Provider in die Pflicht genommen. Sie sollen bei der kommenden Verhandlung am 30. April erklären, wie sie die Einhaltung der Anordnung umzusetzen gedenken. Wie das enden wird, dürfte vermutlich klar: Aller Voraussicht nach werden sich die Provider bereit erklären, eine Sperre einzurichten. Womit der Grundstein für etliche andere Sperrforderungen gelegt sein dürfte.
Intern.de
http://www.intern.de/news/6672.html
The Paris Court of Justice ordered the US hosts of the Holocaust denying website Aaargh to prevent any French websurfers from accessing the site and to provide the court with the whereabouts of the site's authors.
In a former court decision, the judges told the plaintiffs to sue the hosts before turning to the Internet access providers.
Three companies were identified as hosts of the incriminated website. Two of them, OLM and Globat, decided to terminate the contract with Aaargh but the third one, ThePlanet.com, a company incorporated in the US refused to do so. The French Court ordered ThePlanet.com to "prevent any access to the Internet site from the French territory". The Court also demanded elements to identify the owners and operators of the website.
The plaintiffs and the Internet access providers are due to meet in court again on May, 30.
Aaargh's website provides free access to over two hundred anti-Semitic and Holocaust denying books and brochures, an offence according to French law.
In a related issue, the French anti-racist organization MRAP deplored the decision of the Paris Court of Appeals declaring Timothy Koogle "not guilty" of incitement to racial hatred. While Koogle was CEO of Yahoo, Nazi paraphernalia could be bought online through this search engine, an offence according to French law. The Paris Court said Koogle was the creator of Yahoo and not the owner of the site selling the illegal material. Hence, he could not be held responsible for the material sold on this particular site.
Not so, argued MRAP. Koogle should be held responsible, since Yahoo created a dedicated directory path on its servers called "White Pride".
http://www.crif.org/index02.php?id=4745&menu=&type=tout&PHPSESSID=1d846872cf0ccb164aa1cee720df4ac6
Le CRIF, grassement
subventionné par les juifs américains, s'est payé
un traducteur...
ATTENDU QUE ÇA COMMENCE À BIEN FAIRE
« Parce qu'un homme a tort de ne pas croire en Dieu, avons-nous raison de l'injurier ? On n'a recours aux invectives que quand on manque de preuves. Entre deux controversites, il y a cent à parier contre un que celui qui aura tort se fâchera. « Diderot, Pensées philosophiques, § 15.
Il y a tout d'abord lieu
d'exprimer notre gratitude émue aux journalistes du Monde
et de Libération pour leurs inoubliables compte-rendus
de l'audience en référé du 14 mars dernier.
Grâce à leurs témoignages irremplaçables,
le futur procès en canonisation libertaire de Serge Thion
est, d'ores et déjà, enclenché. En effet,
à l'instar du dernier des grands mystiques occidentaux,
l'admirable Padre Pio, le futur Bienheureux Serge, qui n'assistait
pourtant pas à l'audience, apparaît donc, incontestablement,
doté de bilocation.
Ce phénomène mystique vient s'ajouter à celui,
plus ancien, des douloureux stigmates qui lui sont survenus lors
de son exclusion du CNRS, pour défense, par trop héroïque,
des méthodes historiques les plus élémentaires
d'établissement des faits en histoire pourtant indispensables
à toute véritable liberté de penser. Nous
tous, qui collaborons à l'AAARGH, saurons, le moment venu,
nous souvenir de tout cela et porterons résolument sa cause
en béatification devant les instances idoines...
Certes, nous objectera-t-on,
ce procès-là n'est pas pour demain. Nous répondrons
simplement qu'une postérité qui n'est pas
forcément si lointaine que le pensent les goys ensorcelés
d'aujourd'hui ne pourra que s'étonner, voire s'indigner,
que les deux instances responsables, au premier chef, de cette
liberté de penser, l'Université et la Magistrature,
aient baissé les strings de leurs méninges devant
les débordements mythologiques des agités de la
mémémoire qui est à la mémoire
ce que la méconnaissance est à la connaissance.
Il suffira à ladite postérité de simplement
lire les publications des deux parties. Elle ne manquera pas de
s'apercevoir alors que, depuis le procès au civil intenté,
il y a plus de vingt ans, par ces mêmes agités de
la mémé au Professeur Faurisson, au motif qu'il
aurait scandaleusement falsifié l'histoire du système
concentrationnaire allemand, aucun desdits agités n'a simplement
entrepris de répondre, autrement que par les insultes d'usage,
aux analyses factuelles et aux arguments rigoureusement historiques
que leur opposaient ce valeureux Professeur, ainsi que nombre
d'autres historiens.
Les magistrats de la Cour d'appel de Paris, par leur arrêt
du 26 avril 1983, avaient pourtant reconnu le fait et déclaré
n'avoir trouvé aucune trace de falsification dans les écrits
dudit Professeur. Il faut toutefois reconnaître que ces
honorables magistrats s'étaient gardés de laisser
entendre - c'était pourtant une évidence de simple
bon sens que s'il y avait eu falsification « quelque
part », ce ne pouvait être alors que du côté
des agités susdits et que leur prétendue « mémoire »
présentait la caractéristique inquiétante
de porter sur des événements qui ne se sont historiquement
pas produits : pas de décision d'extermination allemande
de quelque groupe ethnique que ce soit, et, par conséquent,
pas de chambres à gaz.
Aujourd'hui, deux décennies plus tard, l'argumentation
historique de ceux qui « nient » ces pseudo-événements
n'a fait que s'accroître et se confirmer. Les agités
de la mémé en ont été bientôt
contraints de faire appel à des mesures législatives
manifestement anticonstitutionnelles pour interdire la remise
en cause des dispositions du deal magistral auquel a donné
lieu le procès exemplaire de Nuremberg entre américano-sionistes
et soviétiques : massacres de Katyn contre massacres
des chambres à gaz. On sait toutefois ce qu'il est advenu
du massacre prétendûment allemand de Katyn...
Seule, la constitution états-unienne, plus efficacement
protégée par son premier amendement, a pu échapper
à cette intense subversion législative.
Mais c'est précisément là où le bât
blesse nos agités incomparables de la mémé.
Que nous tous, à l'AAARGH, profitions de l'internet et
de l'exception constitutionnelle américaine pour maintenir
une toute petite étincelle de liberté de penser
sur les événements concentrationnaires de la seconde
guerre, selon les méthodes strictes d'une historiographie
digne de ce nom, les met en furie et ils n'auront de cesse de
mettre un terme à ce scandale vraiment horrible.
Il faut bien reconnaître
que, depuis les années 80, ce n'est plus tellement l'établissement
des faits concentrationnaires allemands qui est en cause (il est,
pour l'essentiel, achevé) - mais bien plutôt, leurs
conséquences géopolitiques d'une actualité
ô combien... saignante.
Tout d'abord, la spoliation coloniale de la Palestine par les
hordes israéliennes et la suite ininterrompue de massacres
auxquels elle ne cesse de donner lieu.
Mais tout aussi bien, les innombrables exactions de l'hégémonisme
planétaire américain, un peu partout dans le monde,
qui vont de pair avec le maintien d'un effroyable système
financier d'exploitation forcenée et insensée de
la planète, lequel met de plus en plus gravement en danger
la survie de l'espèce.
Ce que cette admirable histoire
d'holocauste a pour effet principal d'inhiber, c'est l'émergence
européenne d'une évidence fondatrice de l'essence
même du politique, qui est la capacité de « désigner
l'ennemi ».
Quel est-il donc aujourd'hui, cet ennemi, sinon les puissances
terroristes de l'axe Tel Aviv-Washington ?
Or, seule la « vieille » Europe serait en
mesure, non seulement de le comprendre, mais de l'expliquer clairement
au monde et de le mettre en oeuvre le plus pacifiquement possible.
C'est précisément ce qu'a pour effet de bloquer
la camisole de force des législations européennes
aussi anti-négationnistes qu'anticonstitutionnelles.
Terminons cependant sur une notation positive. Il y a malgré
tout un point, c'est vraisemblablement le seul, sur lequel nous
soyons pleinement d'accord avec les principaux agitateurs sionistes
de la mémé, lesquels n'ignorent bien sûr rien
des évidences que nous avons résumées ici.
Et ce point, c'est que
les goys sont des cons...
ajoutons simplement cette légère précision :
...et que les Amères Loques sont vraiment les plus cons
des goys !
23 avril 2005
UN MILLIONS D'EUROS POUR UNE OUTRE VIDE
L'année 2004 a été marquée par le vote de la loi sur la confiance dans l'économie numérique, considéré comme un texte fondateur pour le droit de l'Internet en France. Avec la parution de son rapport annuel*, le Forum des Droits sur l'Internet (FDI) retrace les grandes problématiques qu'il a abordées en lien avec les technologies de l'information et de la communication. Trois recommandations ont été publiées (protection de l'enfance, courtage en ligne de biens culturels et télétravail). Le FDI est également intervenu sur des sujets comme la cyberconsommation, le racisme sur Internet ou le peer-to-peer. Isabelle Falque-Pierrotin, présidente de ce cercle de réflexion de l'Internet français, considère que la sensibilisation aux enjeux liés nouvelles technologies demeure primordiale au regard de la place que prend le Net dans notre vie quotidienne. (Interview réalisée le 22 avril 2004.)
Vnunet.fr : La Commission Nationale Informatique et Libertés
se plaint d'un manque de moyens financiers pour assurer sa mission.
Quid du Forum des Droits sur l'Internet ?
Isabelle Falque-Pierrotin : Depuis 2001, notre niveau de
subvention est constant chaque année. Or, vous pouvez constater
que nous faisons beaucoup plus de choses depuis la création
du Forum des droits sur l'Internet (FDI). Donc, cette année,
nous demandons une augmentation substantielle auprès du
ministère de l'Economie, de l'Industrie et des Finances.
Nous sommes une association qui vivons à 85% des subventions
de l'Etat et le reste des cotisations de ses adhérents.
Nous avons recensé une hausse du nombre des adhérents
(70 actuellement). Après quatre ans d'activité,
nous demandons une hausse de subvention, laquelle est aujourd'hui
de 1 148 000 euros.
Compte tenu de votre statut de médiateur, rencontrez-vous
des difficultés particulières à vous faire
connaître voire reconnaître auprès de vos interlocuteurs
?
Notre légitimité croît dans le monde des
entreprises et des pouvoirs publics grâce à nos travaux
globaux sur la régulation sur Internet, ceux sur la cyberconsommation
mais aussi nos recommandations pour la loi sur la confiance dans
l'économie numérique. L'année dernière,
des entreprises comme Orange ou PriceMinister ont rejoint le FDI.
Du côté du grand public, nous menons nos efforts
auprès du grand public sur le site DroitduNet.fr, dont
l'audience augmente progressivement. Nous avons recensé
entre 330 000 visiteurs uniques sur le site en 2004. [...]
Le projet de loi sur la confiance dans l'économie numérique
a été l'un des sujets phares que vous avez traité
en 2004. Estimez-vous que l'application de ce texte fondateur
pour le droit de l'Internet est sereine ?
Nous sommes satisfaits de la création de cette loi
car nous avons été largement entendus dans nos recommandations.
Au niveau des décrets d'application, il reste encore beaucoup
de choses à faire. Une concertation avec l'ensemble des
acteurs devrait s'approfondir. Nous n'avons pas de visibilité
absolue de la part des pouvoirs publics sur ce sujet-là.
Il existe encore de très gros dossiers pour lesquels les
décrets d'application vont être essentiels. Cette
année, le FDI voudrait établir un groupe de travail
pour faire le point sur les textes de lois et décrets d'application
qui sont intervenus récemment et qui modifient les conditions
légales de la cyberconsommation. Le cas échéant,
nous pourrions émettre des recommandations ultimes afin
de rendre plus efficace cette consommation en ligne.
Dans le cadre de l'affaire Aaargh du nom d'un site à
caractère révisionniste hébergé aux
Etats-Unis, la responsabilité des hébergeurs et
des FAI est mise en cause pour ne pas avoir coupé "par
défaut" l'accès à ce site au contenu
illlicite. Estimez-vous que les associations de lutte contre le
racisme pourraient demander de couper l'accès à
tous les sites qui appellent à la haine en vertu de l'application
de la LCEN ?
C'est un problème
qui concerne plus généralement les contenus illicites
et la responsabilité des intermédiaires techniques.
Dans la jurisprudence se dessine une évolution en faveur
de la responsabilisation des intermédiaires techniques.
Avec la démocratisation de l'Internet et l'exposition des
jeunes publics à des contenus illicites, une réaction
judiciaire pour trouver un responsable semble apparaître.
Ce n'était pas le cas au début de l'Internet mais
je pense que les magistrats ont tendance à se montrer plus
favorables à une forme de responsabilisation des intermédiaires
techniques. Par exemple, en leur demandant le filtrage.
[...]
*Le rapport annuel 2004 du Forum des droits sur l'Internet est vendu au prix de 23 euros. Il peut être commandé sur le site de la Documentation Française.
vnunet.fr
http://www.vnunet.fr/actualite/tpepme_-_business/vie_publique/20050427006
DOUZE MILIONS DE LECTEURS POTENTIELS DE L'AAARGH
28 avril
2005
Selon l'Autorité
de Régulation des Télécommunications, le
nombre d'abonnés à internet a augmenté de
12% en un an avec 11,9 millions d'abonnés fin 2004. Ce
secteur a généré un revenu de 2,4 milliards
d'euros dont 1,6 milliard pour le haut débit. Le nombre
d'abonnés haut débit est en croissance de 83%, passant
de 3,6 millions fin 2003 à 6,5 millions à la fin
2004. En revanche, les abonnés bas débit se font
plus rares avec une baisse de 23% et 5,4 millions d'accès.
http://news.tf1.fr/news/multimedia/0,,3215904,00.html
Si l'on estime,
avec les instituts de sondage, que 20 à 30% des Français
sont peu ou prou révisionnistes, ça fait entre 2,4
et 4 millions de lecteurs potentiels de l'AAARGH, disposant d'une
liaison internet. nous ne parlons pas ici des autres. Si chacun
de ces, disons 3 millions de lecteurs, donnait une toute petit
claque sur le mufle de Knobel ou celui de Lilti, ils ne nous emêteraient
plus du tout.
TESTEZ LES MOTEURS
Sur des moteurs de recherches non-censurés, parce que récents, comme <gigablast.com> une recherche sur les deux mots mis côte à côte "aaarg" et "holocaust" donne 92,217 for aaargh Holocaust .
Google.com, fortement
censuré, en donne 10 fois moins
1 - 10 su circa 878 per aaargh holocaust.
Google.fr donne 1300 résultats.
Ce texte a été affiché sur Internet à des fins purement éducatives, pour encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour une utilisation mesurée par le Secrétariat international de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerre et d'Holocauste (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat est <aaarghinternational - at - hotmail.com>. L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
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Déclaration internationale des droits de l'homme,
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