AAARGH

| Accueil général | Accueil français |

| La parole à nos adversaires | Bavarde à côté du sujet |

2/2 -- Première partie

Le jeune poulpe contre la vieille taupe

 

par Didier Daeninckx

plus connu sous le nom de Dédé Bellepou

Nanti d'une partie de ces informations, je me remis en contact avec le créateur du Poulpe, Jean-Bernard Pouy, et l'informai qu'au cas où la maison d'édition publierait le roman de ce Gilles Dauvé dans une collection qui se positionne comme antifasciste, je me verrais dans l'obligation de retirer mon livre Nazis dans le Métro qui dénonce justement le type de dérives des animateurs de La Guerre sociale, et dans lequel La Vieille Taupe apparaît sous le nom de Vieille Gaufre. [NOUS AVONS MALHEUREUSEMENT MANQUE CE CHEF D'OEUVRE...] La direction des éditions Baleine prit la décision d'écarter le polar de Dauvé quelques jours plus tard, à la mi-février 1996.

Immédiatement une longue lettre qui m'était personnellement destinée, mais que je ne reçus qu'une semaine après tout le monde, se mit à circuler dans le petit monde du polar parisien, reproduite à des dizaines d'exemplaires. Serge Quadruppani, auteur et diffuseur de la missive, commençait par un cordial: "Cher Didier" avant de rapidement tourner à l'injonction et de se poser en donneur de leçons. Il y prenait la défense de son vieil ami, le jeune auteur Gilles Dauvé, niant contre toute évidence qu'ils furent négationnistes .

Je répliquai à cette lettre ouverte dont je fus le dernier à prendre connaissance, par un texte intitulé "Le jeune poulpe et la vieille taupe, ou les animaux malades de la peste brune", après quoi une nouvelle lettre ouverte de Quadruppani, dans laquelle il évitait de parler de Dauvé, manifestement trop exposé, me conduisit à rompre le débat par quelques lignes, le 15 mars 1996.

Au cours des trois mois qui suivirent, le monde du polar et quelques réseaux antifascistes furent agités de nombreuses rumeurs dont la grande majorité prenaient naissance dans les locaux du groupe Reflex accueilli à l'espace Voltaire. On ne peut sûrement voir que l'effet du hasard dans le fait que cette organisation, issue du Scalp et recrutant essentiellement chez les collégiens et les lycéens, venait d'être rejointe par plusieurs militants quadragénaires et aguerris comme Hervé Delouche ou Aris Papathéodorou qui avaient fait leurs premières armes, à la fin des années 70, à proximité immédiate de... La Guerre sociale, de La Banquise, puis du Dilettante, de Mordicus. En 1979, ils avaient créé, financé et animé une revue, Magazine, dans laquelle on ne se privait pas de citer avantageusement Mussolini, Hitler, ou Alain de Benoist accusant même la presse de "lui faire porter l'étoile jaune"! Où les bandes dessinées faisaient la part belle aux croix celtiques et calligraphiaient les deux "S" de RéSiStance comme sur les uniformes nazis. On y glorifiait également l'écrivain pro-nazi Ernst von Salomon, auteur du roman Les Réprouvés, évoquant sa participation à l'assassinat, en 1922, du ministre des Affaires Étrangères de la république de Weimar, Walter Rathenau, sans préciser que Rathenau fut tué en raison de ses origines juives. Ernst von Salomon considérait même que Rathenau était le membre allemand du complot des Sages de Sion! Pierre Péan, dans son livre Le mystérieux Docteur Martin (Fayard 1993), montre l'influence décisive de la pensée d'Ernst Von Salomon sur ce fondateur de La Cagoule.

Le 8 juin 1996 le débat sur la tentative de publication d'un militant révisionniste dans la collection Le Poulpe était rendu public par Le Monde. La pleine page que le journal consacrait à cette affaire était motivée par la publication imminente par le groupe Réflex d'une brochure de Dauvé et Quadruppani. La grande surprise dont Le Monde avait eu vent, était la personnalité du préfacier: Gilles Perrault. A côté d'extraits de cette préface fournis par Gilles Perrault, d'un article d'Ariane Chemin et du compte-rendu d'une publication de la revue Golias consacrée à la perdition de l'abbé Pierre, cette page comprenait également les réponses que j'avais faites au journal qui m'avait contacté. Dans son article de présentation, la journaliste, Ariane Chemin, soulignait que, jusqu'alors, je n'avais pas souhaité m'exprimer publiquement sur cette affaire, mais que j'y étais contraint par la décision du journal de consacrer une page à cette affaire. Je me contentai d'établir ce qui m'avait conduit à ne pas vouloir être publié, dans une collection antifasciste, en compagnie d'un révisionniste. Je ne citai pas une seule fois le nom de Gilles Perrault, ignorant encore au moment de l'interview, que ces individus étaient de ses connaissances et qu'il avait décidé de voler à leur secours.

Je pris connaissance de sa position à parution. Gilles Perrault, auréolé de son titre de directeur de publication du journal antifasciste Ras l'Front, [AUREOLE EST EVIDEMMENT UNE METAPHORE DEPLACEE) m'attaquait violemment et prétendait, au mépris de toute vérité, que Quadruppani et Dauvé n'avaient jamais soutenu Robert Faurisson. Il écrivait alors:

"qu'on les assimile à la crapule négationniste, voilà qui leur fait à juste titre horreur. Ont-ils jamais témoigné de l'antisémitisme rabique qui est le signe distinctif de la secte ?

Faurisson bénéficie-t-il de leur soutien ?

Les a-t-on pris à fricoter avec l'extrêmedroite ?"

La réponse est hélas oui à toutes les questions. Gilles Dauvé, de son côté, fournissait à la presse une épreuve de la contribution qu'il avait écrite début juin 1996 pour le livre commun avec Quadruppani. On pouvait y lire: "les chambres à gaz, gigantesque détail de la Seconde Guerre mondiale", une expression qui a valu à Jean-Marie Le Pen une condamnation à un million deux cent mille francs d'amende. [CE N'ETAIT NI LA MEME PHRASE, NI LE MEME CONTEXTE, NI LE MEME SENS; DD NE SAIT LIRE QUE DE MANIERE APPROXIMATIVE.]

Gilles Dauvé écrivait également que le procès de Nuremberg n'était pas plus truqué qu'un autre, ou que son ami Pierre Guillaume s'était attaqué au mythe des chambres à gaz, mais qu'il "aurait pu aussi briser un interdit majeur comme la pédophilie".

Cet argument, aberrant au premier abord, est à rapprocher d'un article de La Banquise n·2 intitulé "Ami(e)s pédophiles, bonjour" et dans lequel Quadruppani et Dauvé avancent que: "Si la pédophilie est la plupart du temps misérable, il en est de même de tous les rapports "sexuels" et amoureux. Il n'est pas nécessaire d'être un révolutionnaire pour voir que le supplément de misère de la pédophilie est le fruit de sa répression sociale. Un pédagogue libéral américain n'explique-t-il pas que le principal traumatisme que subit l'enfant "victime" (les guillemets sont de La Banquise) d'un satyre provient de ses parents qui en font tout un plat, alors que lui, s'il n'y a pas eu violence, aurait plutôt tendance à s'en foutre".

Déjà le même fantasme pointait dans le texte révisionniste "L'Horreur est humaine" écrit et publié par Dauvé et Quadruppani dans La Banquise:

"De nos jours les intellectuels ont pris conscience du pur caractère historique de tabous qui passaient jusqu'alors pour naturels. Mais c'est une conscience purement intellectuelle, totalement séparée de leur propre vie. On verra tel prof d'université dans le vent réagir avec la même hystérie qu'une prolétaire si quelqu'un s'avise de jouer à touche-pipi avec son enfant. Pour l'intellectuel comme pour tous les autres, I'une des raisons qui font des camps une horreur plus horrible, c'est qu'ils ont bousculé un certain nombre de tabous occidentaux: la mort et les cadavres, les enfants, la nudité des corps et les fantasmes sado-sexuels".

Des arguments identiques seront republiés par Quadruppani en 1993, dans Mordicus, une nouvelle revue dont il est le responsable, et qui consacre un dossier-hommage à H.B., I'homme qui venait de prendre une classe de maternelle en otage, à Neuilly:

"Pourtant, combien de meurtres commis par des pédophiles auraient pu être évités, si la pédophilie, "épisode particulier de la misère générale des relations adultes-enfants" était moins dramatisée". (...) "Mais dans la haine que certains parents étalent, dans cette douleur entretenue par les hurlements des chacals de village et médiatisée par la plus basse ordure journalistique, on sent comme une parenté avec la fureur du propriétaire cambriolé".

On peut lire une adresse aux enfants, un peu plus loin:

"Quand tu joues, tu peux être le matin l'infirmière qui prend la fièvre ou le malade à qui on met un bâton dans le cul, et l'après-midi Mesrine qui tue les méchants flics...".

puis une apologie du meurtre:

"Bien que les élèves se rebiffent de plus en plus, quelques profs ont encore la main leste. Heureusement, depuis peu, dans certains établissements de pointe, les élèves ont découvert les vertus égalisatrices des armes à feu".

Le combat pervers de ce petit groupe contre "tous les tabous", la nudité des corps, les relations enfants-adultes, I'argent, le spectacle de la mort a ainsi trouvé son expression maximale dans la négation de l'extermination et de ses moyens.

Et c'est sans aucune surprise que l'on constate que le responsable du vaste réseau pédophile jugé à Paris en juin 1997, le néo-nazi Michel Caignet, fondateur du Faisceau Nationaliste Européen et de la filière Gay-France, était également un proche collaborateur de La Vieille Taupe, édition pour laquelle il traduisit, en 1984, un classique du négationnisme, Le Mythe d'Auschwitz de Wilhelm Stäglich, sous la direction de Pierre Guillaume, de Robert Faurisson et du chercheur au CNRS Serge Thion. D'ailleurs tout le matériel négationniste de La Vieille Taupe et celui du réseau néo-nazi Gay-France sortait des presses du même imprimeur peu regardant.

Dans le livre préfacé par Gilles Perrault, Serge Quadruppani ne craint pas de déclarer, concernant la croisade révisionniste: "J'estime que, sur l'essentiel, nous avons vu juste", après avoir concédé deux faiblesses, son attitude vis à vis de Faurisson et sur la question des chambres à gaz. Deux faiblesses qu'aujourd'hui encore il s'obstine à juger comme inessentielles, des points de détail en quelque sorte, alors que c'est là-dessus que porte tout le débat.

* * * * *

A la suite de l'article du Monde du 8 juin, le quotidien Le Figaro du 17 juin 1996 interrogeait à nouveau Gilles Perrault qui amorçait un timide recul: oui, Serge Quadruppani et Gilles Dauvé avaient bien soutenu Robert Faurisson, dans le passé. Remarquons que les principaux intéressés se refusent toujours à reconnaître cette implacable évidence. Mais l'important, aux yeux de l'auteur de L'Orchestre Rouge, c'est ce qu'ils écrivaient aujourd'hui. Le "gigantesque détail" serait donc acceptable dès lors qu'il est énoncé par quelqu'un qui proclame tenir ce discours au nom d'une ultra-gauche dévoyée, et effroyable seulement dans la bouche d'un lepéniste ? Devant le scandale, cette phrase fut retirée du texte avant impression.

Mais l'association du nom de Gilles Perrault à de tels personnages avait de quoi semer le trouble.

Le 27 juin 1996, l'Evénement du Jeudi publie sur deux grandes pages une interview du célèbre préfacier. Celui-ci s'enfonce un peu plus encore en reconnaissant que ces militants pour lesquels il a engagé sa réputation "ont eu des complaisances coupables pour le négationnisme" et que si Gilles Dauvé a écrit des choses horribles, elles datent de treize ans! Il suffit pourtant de lire: les documents élaborés par Barrot-Dauvé accumulent les horreurs, et cela de 1970 à... juin 1996! Gilles Perrault termine en regrettant hypocritement que Le Monde ait consacré une page entière "à une polémique stupide concernant trois ultra-gauchistes inconnus", alors que c'est le poids de son nom, et le poids de son nom seul, en préface aux âneries de ces ultra-gauchistes dévoyés, Dauvé et Quadruppani, qui a suscité cette pleine page!

Gilles Perrault qui, deux ans plus tôt, alors qu'il dirigeait déjà le réseau antifasciste Ras l'Front, s'était présenté aux élections européennes en compagnie de militants nazis flamands du Vlaemsche Federalistische Party, partisans du Grand Apartheid et de l'Europe blanche, et d'autonomistes alsaciens d'extrême-droite dont certains animaient la revue négationniste Rot und Wiss, tirera les conséquences de son action de banalisation du passé faurissonnien de ses protégés en démissionnant discrètement de Ras L'Front, mais sans aller jusqu'à renier ce qu'il a écrit en leur faveur!

Pour terminer en beauté, Le Monde publiera le 1er juillet 1996 une lettre signée de l'historien Denis Peschanski cautionnant un douteux devoir de physique sur les chambres à gaz donné à ses élèves par une enseignante du collège de Maurepas.

Deux jours plus tard Le Monde insérera un démenti de ce chercheur au CNRS: il n'avait jamais rien écrit de tel, la lettre était un faux émanant des négationnistes, et que le journal n'avait pas détecté.

Faurisson de son côté enverra un texte sur les sites révisionnistes d'lnternet: "Je bois du petit lait":

"Hier avec Garaudy, c'était du gâteau. Avec l'Abbé Pierre, c'était pain bénit. Et avec Régine ça fumait (on prendra la mesure de l'allusion antisémite. ndlr). Aujourd'hui avec les nageuses olympiques, ça baigne. Avec la prof de chimie, ça gaze. Et avec la zizanie des intellos du Monde, c'est la vie en rose. Et demain ? Pour demain, j'en attends de belles et bonnes." "Il faudra bien que crève la baudruche. C'est un bidon phénoménal, ce grand martyr de la race juive" (Céline 1937)."

En juillet de la même année, le journal d'extrême droite National Hebdo, sous la signature de Martin Peltier, rapportera longuement, avec délectation, des menaces délirantes de cassage de gueule à mon endroit proférées par un journaliste de Ras l'Front, lors de la conférence de presse organisée par le groupe Réflex pour le lancement du livre collectif de Quadruppani-Dauvé préfacé par Gilles Perrault. Membre fondateur de Ras l'Front, je lui téléphonai pour lui demander la raison de ces menaces publiques, et il me répondit "qu'on lui avait dit que j'aurais dit qu'il aurait participé à La Guerre sociale"... Il refusa de me communiquer l'identité de ce "on" singulier, adepte de l'enfantin jeu du téléphone. En fait, il trouvait insultant qu'une rumeur non identifiée puisse l'assimiler aux rédacteurs négationnistes de La Guerre sociale, mais ne semblait guère gêné de se produire en leur compagnie en accueillant leur collaboration régulière dans une feuille qu'il édite par ailleurs à l'enseigne de "Que fait la police"! [IL N'OSE PAS NOMMER MAURICE RAJSFUS, VIEUX MILITANT TROTZKYSTE) En récusant Gilles Dauvé, ce "jeune auteur" si prometteur et si protégé, Le Poulpe l'a donc échappé belle. Mais certains auront laissé une bonne part de leur intégrité en route.

+++++++++++++++++++++++++

QUATRIÈME DE COUVERTURE

Une première version de ce texte a paru dans "Négationnistes, les chiffonniers de l'histoire" publié aux éditions Syllepse-Golias.

Cet ouvrage comporte des contributions d'historiens (Philippe Videlier, Valérie Igounet), de sociologues (Alain Bihr), de philosophes (Pierine Piras), de psychanalystes (Emmanuel Chavaneau), de journalistes (Christian Terras, Guido Caldiron), d'écrivains (Roger Martin, Thierry Maricourt), de militants politiques (Georges Fontenis).

Documents à l'appui, il met en lumière les réseaux du négationnisme, depuis les rescapés de la défaite nazie jusqu'à La Vieille Taupe, l'affaire Garaudy et l'usage spectaculaire de l'abbé Pierre, en passant par Faurisson et ses "fantassins de La Guerre sociale". Il présente leurs thèmes, leurs méthodes, leur pratique éprouvée du coup médiatique. Il analyse leurs publications et constitue la somme attendue sur ces nouveaux fossoyeurs de l'histoire.


Première partie

Source: Le titre, plusieurs fois utilisé par l'auteur, manifestement content de l'avoir trouvé, était celui d'un texte publié dans un volume intitulé Négationnistes: les chiffonniers de l'histoire, titre qui semble indiquer que les "négationnistes" ont pour fonction ou pour vertu de sortir des poubelles les éléments dont se seraient débarrassés les historiens de cour. Il a été publié conjointement pas un groupe spécialisé dans la destruction de l'Eglise catholique, Golias, et ce qui semble être une antenne de certains petits marquis de "Ras l'front". Il figure p. 165-174 au milieu d'autres incomparables chefs d'oeuvre de drôlerie involontaire et de tartines de bonne conscience. Bientôt sur vos écrans!!!

Il était si content de son texte, le Dédé, qu'il l'a fait republier (deuxième version) sous forme de minuscule opusculet (10x15 cm) dans une collection à venir chez deux éditeurs aussi différents qu'inconnus, volontaires pour être ainsi marqués au fer rouge de l'ânerie contemporaine. C'est cette version que nous reproduisons ici in extenso.

Golias : BP 3045, 69605 Villeurbanne cedex, France. Tel 04 78 03 87 47. Fax: 04 78 84 42 03; Syllepse: 42 rue d'Avron, 75020 Paris; Editions Bérénice, 11, rue de la Glacière , 75013 Paris Tél./Fax: 0147 07 28 27; Valmont, 48, rue Henri Vieillard, BP 102, 60761 Montataire, Tél.: 03 44 25 71 13, Fax: 03 44 25 71 26

ISBN 2-911232-05-4. Pas de copyright.

Les incises en lettres capitales sont de la rédaction de l'AAARGH.


Ce texte a été affiché sur Internet à des fins purement éducatives, pour encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour une utilisation mesurée par le Secrétariat international de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerre et d'Holocauste (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat est <[email protected]>. L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.

Afficher un texte sur le Web équivaut à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail. Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois qui instituent une censure spécifique dans certains pays (Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres), nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent car ils ne sont pas libres de consentir.

Nous nous plaçons sous la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.


[email protected]



| Accueil général | Accueil français |

| La parole à nos adversaires | Bavarde à côté du sujet |

L'adresse électronique de ce document est:

http://aaargh-international.org/fran/arvs/bavarde/DDjeunepoulpe2.html