AAARGH
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Toute personne qui entre sur le chemin du questionnement de ce qui s'est réllement passé dans les camps nazis pendant la deuxième guerre mondiale, rencontre, à un moment ou à un autre, des questions de nature technique. Pour des profanes, comme nous le sommes, ces questions sont souvent absconses ou indécidables. L'usage du bon sens a certainement des limites. Par conséquent, nous ne prétendons pas ici imposer une vision technique qui aurait tout résolu. En dépit des anathèmes lancés par certains pontifes dotés d'un court savoir, il existe des discussions qui font que le terrain historiographique est aujourd'hui sensiblement différent de ce qu'il était il y a vingt ans, et que ces avancées sont à mettre au crédit de l'aiguillon révisionniste. Au lecteur armé de sa science de parcourir ce terrain que nous ouvrons aujourd'hui, trois ans après la création de ce site. Nous voulions d'abord montrer que le révisionnisme ne dépend pas d'une formule technicienne, aussi brillante soit-elle, mais qu'il est d'abord produit par une interrogation de nature historienne sur les faits. En histoire, on devrait le savoir, les questions techniques sont importantes mais toujours ancillaires.
LA QUESTION DU GAZ
Le document NI 9912, Office of Chief War Counsel for War Crimes, archives de la DEGESCH
Bien que le tribunal de Nuremberg se soit abstenu de toute enquête de police scientifique sur les crimes reprochés aux Allemands, et notamment l'exécution présumée des juifs dans des chambres à gaz spécialement conçues à cet effet, les travaux de ce tribunal n'ont pu éviter d'évoquer la réalité physique. C'est ainsi que parmi les documents de Nuremberg se trouve répertoriée la procédure de désinfection de locaux par le Zyklon B, établie par l'Institut d'hygiène de Prague, NI 9912, qui prouve définitivement et irréfragablement que les exécutions massives n'ont pu avoir lieu dans les locaux prétendument saturés de Zyklon B, parce que tous les êtres vivants alentour seraient morts asphyxiés; ce document a été traduit de l'original allemand par R. Faurisson et publié en annexe de sa Réponse à Jean-Claude Pressac(1994). Nous avons le texte allemand, en provenance du service de Santé du protectorat de Bohême-Moravie. Une version anglaise par un traducteur certifié avait été publiée en annexe du Rapport Leuchter, édition de Londres, p. 23-25. Pressac en avait aussi donné une version anglaise dans son gros livre publié par les Klarsfeld en 1989, p. 18-20. Le texte original en allemand, qui ne semble pas figurer dans les documents publiés par les Américains sur les procès des industriels, provient apparemment des documents de ce procès qui sont consultables aux archives fédérales allemandes à Coblence. Il a été publié par Udo Walendy, dans Auschwitz im IG-Farben Prozess, Vlotho, 1981, p. 66-72.
Il est étonnant de constater que l'enquête de police, qui aurait dû être faite en 1945, ne l'a jamais été et que la première description sérieuse d'Auschwitz date de 1988. Alors que l'on fait des fouilles archéologiques depuis plus de deux cents ans, que l'objet soit une friche industrielle du XXe siècle ou un tombe néolithique, c'est un détenteur de brevets industriels américains, spécialiste des chambre à gaz d'exécution capitale, Fred Leuchter, qui a dû aller subrepticement effectuer des prélèvements sur les murs des présumées chambres à gaz; on a beau jeu ensuite de lui faire des reproches sur son travail, qui par la force des choses avait un caractère clandestin! Néanmoins, l'impulsion est donnée et une série d'études fouillées a été effectuée par les révisionnistes pour prouver in situ l'impossibilité des gazages et de l'incinération de plus d'un million de cadavres à Auschwitz. Les études des exterminationnistes pour en prouver la réalité n'ont pu, c'est caractéristique, porter que sur les crémations et elles aboutissent à la conclusion qu'il y a eu beaucoup moins d'un million de morts incinérés à Auschwitz, ce qui correspond d'ailleurs au bilanaffiché par l'historiographie officielle dès 1960, d'après l'étude de Rassinier (plusieurs centaines de milliers de morts d'après Krausnick dans Frankfurter Allgemeine Zeitung en février 1964, 900.000 d'après la brochure de l'Institute of Jewish Affairs Eichmann's Confederates, 1961 (bientôt sur le site), cités par Rassinier en 1964 (Ulysse trahi par les siens, annexe.)
Les rapports Leuchter, résultent de deux visites effectuées par un ingénieur américain à Auschwitz, Majdanek, Dachau, Mauthausen, Hartheim, en 1988 et 1989. Ces visites, très rapides, ont permis, pour la première fois, de donner une description technique générale des présumées chambres à gaz mais leurs résultats ne dépassent pas ce que l'on savait déjà après la lecture du document NI-9912 et l'étude, même superficielle, des divers témoignages sur le fonctionnement des chambres à gaz, que Rassinier avait déjà déclaré techniquement impossibles: les gazages, à la fréquence décrite, n'auraient pu avoir lieu sans asphyxier tous les alentours des chambres à gaz, et, dans le cas d'Auschwitz I, les occupants de l'hôpital SS voisin. Pour le reste, c'est-à-dire les prélèvements faits par Leuchter sur les murs des prétendues chambres à gaz, et la lecture des analyses, nous nous déclarons ici dépouvus de toute compétence. Il est par conséquent urgent de se reporter à une expertise pratiquée par un véritable chimiste, consignée dans le Rapport Rudolf, sur Auschwitz.
"Ce document à été préparé [dans sa version anglaise] par Danny Keren et Jamie McCarthy, puis mis en forme par Ken McVay [et traduit en Français par Gilles Karmasyn]."
C'est assez nul; nous l'avons récupéré en 1997 sur le site de Karmasyn, un excité des newsgroups qui a pour mission d'être le sosie français des activistes de la police juive américaine de la pensée.
http://myweb.worldnet.fr/~gilkarm/negation/leuchfaq.html
Il semblerait que le texte n'ait pas été modifié depuis le 20 juillet 1997.
Le rapport Rudolf, de 1993, a été établi par un jeune chimiste allemand, Germar Rudolf, à qui il a valu l'interruption brutale de sa carrière alors qu'il s'apprêtait à soutenir une thèse de chimie. Rudolf s'est entêté, a été condamné à un an de prison et s'est réfugié en Angleterre où il se consacre à des travaux sur le révisionnisme. Découvert récemment par les policiers de la pensée, peu puissants jusqu'à présent en Angleterre (où Tony Blair, qui avait promis une loi contre les révisionnistes, s'est résigné à oublier sa promesse électorale), il est en butte, depuis deux mois, à une campagne visant à l'expulser mais il entend résister. Son rapport, publié en allemand, a été traduit en français et publié en Belgique. Nous en avons un résumé, qui contient l'essentiel de ses conclusions chimiques et sa critique des critiques de Leuchter. C'est un texte important qu'il faut connaître.
Le Rapport Rudolf en allemand / Das
Rudolf Gutachten
(www.vho.org/D/rga/rga/html)
Le rapport Rudolf en français. Il est ici préparé en quatre parties: | 1 | 2 | 3 | 4 |
Traduction française de Gutachten über die Bildung und Nachweisbarkeit von Cyanidverbindungen in den "Gaskammern" von Auschwitz. Nous utilisons la 3e édition révisée et élargie, de novembre 1992, de Germar Rudolf, Stuttgart. Cette version française, Le Rapport Rudolf -- rapport d'expertise sur la formation et le contrôle de la présence de composés cyanurés dans les "chambres à gaz" d'Auschwitz a été diffusée en France comme numéro 4 de la revue La Vieille Taupe, 2ème année, Hiver 1996. Cet ouvrage a eu l'insigne honneur d'être interdit par un arrêté du ministre de l'Intérieur en date du 7 avril 1997 (JO du 11 avril, p. 5517) qui précise que l'ouvrage ""est un écrit étranger" et que, "par son contenu qui contribue à la propagation de la thèse négationniste de l'existence de crimes contre l'humanité, [il] fait courir un rique de trouble à l'ordre public". Précisons à ces juristes casqués qu'il n'existe aucun délit qualifiable de "négationnisme" dans le Code pénal, et que la phrase "la thèse négationniste de l'existence" relève d'un jargon qui n'a rien en commun avec la langue française et qu'on peut donc la réputer "écrit étranger", elle aussi, et donc la bannir de nos mémoires. Mais cette interdiction nous fait un devoir moral de mettre le texte sur Internet.
Il faut prévenir le lecteur: ce texte échappe au profane et il vaut mieux, pour l'aborder, se munir d'une forte culture de chimiste. Nous conseillons de l'aborder par le biais du résumé ci-dessous, beaucoup pus abordable:
Nous avons deux résumés français du Rapport Rudolf:
-- celui de Célestin Loos, paru dans le numéro 6 de la Revue d'histoire révisionniste, en 1992;
-- celui d'EG écrit pour la Vieille Taupe en 1996 au moment de la sortie du rapport Rudolf en traduction française.
Nous avons aussi des considérations sur la réception du Rapport Rudolf:
Nous avons un article du Los Angeles Times qui parle du révisionnisme à propos du procès Irving-Lipstadt et évoque, en des termes modérés, le rapport Rudolf (7 janvier 2000, en anglais)
"GRUNDLAGEN" OU LES FONDATIONS
Il s'agit ici d'un ouvrage collectif, qui a rassemblé diverses études historiques et techniques sous la houlette de Germar Rudolf, en 1994. Ce livre représente encore aujoud'hui la pointe de la recherche révisionniste, prolongée ensuite par la revue trimestrielle de Rudolf fait paraître depuis son exil en Angleterre. Quelques exemplaires de ce livre allemand sont encore disponibles à la VHO à Anvers (Vrij Historisch Onderzoek, Boîte Postale 60, B-2600 Berchem 2, Belgique). L'ouvrage existe aussi en traduction anglaise, mais seulement sous forme numérique. Quelques chapitres sont disponibles en français.
Grundlagen zur Zeitgeschichte. Ein Handbuch über strittige Fragen des
20. Jahrhunderts, Ernst Gauss
hgr., Tübingen, Grabert, 1994.
Il est à noter que cette édition numérique
allemande comporte des corrections et des rectifications par rapport
au texte imprimé de 1994.
Nous donnons, à titre documentaire, le sommaire de l'ouvrage:
1-- Robert FAURISSON, Vorwort
2 -- Germar RUDOLF, Streitpunkt Judenvernichtung. Eine Einleitung
3 -- Werner RADEMACHER, Der Fall Lüftl oder: Die Justiz
zur Zeitgeschichte
4 -- Manfred KOEHLER, Der Wert von Aussagen und Geständnissen
zum Holocaust
5 -- Robert FAURISSON, Die Zeugen der Gaskammern von Auschwitz
6 -- Klaus JORDAN, Politik und Rechtsprechung - Ein Fallbeispiel
Germar RUDOLF, Statistiches über die Holocaust - Opfer
W. Benz und W.N. Sanning im Vergleich
7 -- Johannes Peter NEY, Das Wannsee-Protokoll - Anatomie einer
Fälschung
8 -- Ingrid WECKERT, Die Gaswagen - Kritische Würdigung
der Beweislage
9 -- Udo WALENDY, Bild- "Dokumente" zur NS-Judenverfolgung?
10 --John Clive BALL, Luftbild-Beweise
11 -- Germar RUDOLF und Ernst GAUSS, Die "Gaskammern"
von Auschwitz und Majdanek
12 -- Carlo MATTOGNO und Franco DEANA, Die Krematoriumsöfen
von Auschwitz-Birkenau
13 -- Friedrich Paul BERG, Die Diesel-Gaskammern: Mythos im
Mythos
14 -- Arnulf NEUMAIER, Der Treblinka-Holocaust
15 -- Herbert TIEDEMANN, Babi Jar: Kritische Fragen und Anmerkungen
16 -- Ernst GAUSS, Holzschutz durch Blausaeure-Begasung Blaufärbung
von Kalkzement-Innenputz
17 -- Ernst GAUSS, Zu guter Letzt
Voici maintenant la version anglaise, pour ceux qui n'ont pas cru nécessaire d'apprendre l'allemand à l'école...
Foundations of Contemporary History, originally published on the Net.
Enfin, quelques chapitres disponibles en français:
Les Fondations de l'histoire contemporaine:
1 --Préface de Robert Faurisson
5 -- Robert Faurisson, Les témoins des chambres à gaz d'Auscwhitz
7 -- Germar Rudolf, Statistiques
sur les victimes de l'holocauste --
Comparaison entre W. Benz et W.N. Sanning.
8 -- Johann Peter Ney, Le protocole de Wannsee -- Anatomie d'un faux
11 -- John Clive Ball, Ce que prouvent les photos aériennes
13 -- Carlo Mattogno et Franco Deana,
Les fours crématoires
d'Auschwitz et Birkenau.
DIESELS ET CAMIONS A GAZ
Il existe un excellent ouvrage sur ces introuvables camions de Pierre Marais. Nous espérons pouvoir prochainement mettre en ligne des éléments de ce livre: Les Camions à gaz en question, Polémiques, Paris, 1994, 325 p. Des tentatives d'établir l'existence desdits camions a été repérée sur le site antirévisionniste www.holocaust-history.org.
L'Américain Friderich Paul Berg a consacré plusieurs études à la question des chambres qui auraient été équipées d'un moteur Diesel pour asphyxier leurs occupants.
TEXTES (accessibles
à partir de www.codoh.com/berg/berg.html)
I. Background
II. Der selbstassistierte Holocaust-Schwindel
III. Die Diesel-Gaskammern: Mythos im Mythos (in Grundlaguen)
IV. Diesel Gas Chambers: Myth Within a Myth
V. Gas Chambers for Robert Faurisson: Answers
to a Challenge
VI. Pat Buchanan and the Diesel Exhaust Controversy
VII. The Self-assisted Holocaust Hoax
VIII. Typhus and the Jews
IX. Appendix, Typhus and the Jews
X. Zyklon B and the German Delousing Chambers
On notera que le texte V se présente
comme une "réponse à un défi" lancé
par Robert Faurisson. Il y a eu, à cette époque-là,
une discussion un peu animée entre R. Faurisson, qui demandait
à l'opposition de produire un dessin d'une chambre à
gaz ayant servi au massacre des juifs et F. P. Berg, qui, bien
que révisionniste, présentait des dessins de chambres
à gaz qui auraient pu servir à des fins homicides,
tout en remarquant que rien ne permettait à personne de
dire que quiconque avait songé à s'en servir. Cette
polémique, assez stérile, n'a pas continué
mais son seul mérite est de donner à penser que
si les nazis avaient voulu créer des "usines de la
mort" comme on leur reproche si souvent, ils auraient eu
l'embarras du choix pour utiliser des méthodes bien meilleures
que celles qu'on leur a attribuées dans ce grand temple
de la mythologie contemporaine que fut Nuremberg. Nous présentons
donc la réponse
de Faurisson à Berg (en anglais).
LE RAPPORT LÜFTL
C'est un rapport intitulé "L'holocauste: les croyances et les faits". Il a été rédigé en mars 1992 par celui qui était alors président des chambres d'ingénieurs autrichiens (Bundes-Ingenieurkammer). Il insiste sur le fait que les lois de la nature ne permettent pas de soutenir quelques unes des affirmations centrales de la croyance holocaustique. Il note en particulier que si l'on avait employé du Zyklon B dans des pièces fermées, il aurait continué à se diffuser longtemps après avoir eu ses effets mortels et il aurait rendu la tâche de ceux qui devaient déblayer ces chambres, y compris des tonnes d'excréments, totalement impossible. Il note aussi que produire du monoxide de carbone avec des moteurs diesel est une drôle d'idée, d'autant que les moteurs des chars allemands, souvent incriminés, marchaient à l'essence... et que les moteurs russes auraient eu besoin de pièces détachées...
En annexe, on donne quelques renseignements sur la façon dont l'ingénieur Walter Lüftl a été contraint de démissionner, a été poursuivi mais finalement relaxé par un tribunal autrichine qui a reconnu que ses recherches étaient motivées par le désir de savoir, ce qui -- en principe, dans le droit allemand et autrichien, doit exonérer de poursuites les auteurs de textes inorthodoxes. (Dossier en anglais)
L'affaire Lüftl est détaillée dans un chapitre des "Grundlagen" (voir plus haut) de Werner Rademacher intitulé "Le cas Lüftl ou la justice contemporaine" (en allemand et en anglais).
LES TRAVAUX DE PRESSAC
Etude de J.-C. Pressac (1993) et réponse de Mattogno et Deana sur les crématoires (1994): si l'on n'a pas pu gazer, on a pu tuer autrement et seule l'étude des cadavres permet d'établir leur nombre: si l'on n'a pas pu les incinérer, comme on ne les a retrouvés nulle part ailleurs, il est certain qu'ils n'ont pas pu exister et c'est cela, la preuve véritable qu'on n'a pas tué cinq millions de personnes.
D'autres réponses ont été apportées au livre de Pressac sur Les Crématoires d'Auscwhitz, la Machinerie du meurtre de masse, publié par le CNRS en 1993, celles de Robert Faurisson, Manfred Köhler, Carlo Mattogno, Serge Thion, Pierre Guillaume et d'autres.
LES AFFIRMATIONS DE KURT GERSTEIN
Voir l'édition critique des documents Gerstein par Henri Roques.
Nous présentons la réflexion technique d'un chimiste allemand, M. Natu, sur les affirmations déroutantes contenues dans les "Confessions" de Kurt Gerstein, considéré comme l'un des pères de l'histoire des chambres à gaz (25 millions de morts...). Nous avons la version allemande et aussi une traduction française.
LE DEBAT SUR LA PLACE DES ABRIS ANTI-AERIENS
La compilation de Samuel Crowell trouve son origine dans une réflexion sur les portes étanches que l'on trouve en maint endroit à Auschwitz. Par un intéressant travail de comparaison, Crowell cherche à montrer que de nombreux endroits ont été considérés par les Allemands comme fournissant une protection contre les attaques aériennes aux gaz toxiques. Ils les redoutaient à juste titre puisque Churchill lui-même avait demandé à ses collaborateurs d'étudier un plan pour "noyer l'Allemagne dans un océan de gaz toxique". Il redoutait surtout que les "mauviettes" de son entourage parviennent à l'empêcher de passer aux actes, ce qui s'est effectivement produit. Les Allemands ont donc pensé que certains locaux pouvaient ainsi être utilisés comme abris anti-aériens contre les gaz.
L'analyse de Crowell a suscité des réactions et des réponses variées et nous donnons ici celles que nous avons récoltées.
TEXTES The Gas Chamber of Sherlock Holmes, An Attempt at a Literary Analysis of the Holocaust Gassing Claim. (ici en deux parties)
La note 1 de ce texte prévient qu'il en regroupe plusieurs déjà publiés sur le Net: "The present essay in its research phase has given rise to two specialist articles, "Technique and Operation of German Anti-Gas Shelters: A Refutation of J. C. Pressac's 'Criminal Traces'" and"Defending Against the Allied Bombing Campaign: Air Raid Shelters and Gas Protection in Germany, 1939-1945, Parts 1 and 2". These articles correspond to sections 12 through 14."
Samuel Crowell, Technique and Operation of German Anti-Gas Shelters in World War II: A Refutation of J. C. Pressac's "Criminal Traces".
LA QUESTION DES PHOTOS AERIENNES
Le premier à avoir prévu qu'on aurait accès un jour à des photos aériennes des camps, pris pendant la guerre, a été incontestablkement Arthur Butz en 1976. En 1979, la CIA publie quelques unes de ces photos, avec des commentaires surréalistes: en effet, ces photos montre que l'Holocauste, non seulement ne laisse pas de trace dans les archives, au sol dans les données archéologiques, mais pas non plus sur place, au moment où il était censé se passer. Un événement invisible ! Prodigieux! Les croyant qui, par définition, peuvent voir dans l'invisible, tiennent les photos pour probantes. Serge Thion, dans sa naïveté, avait acheté sur place, à Washington, plusieurs exemplaires de cette borchure prodigieuse et à son retour à Paris en avait donné un exmplaire à Wellers, directeur du CDJC. Wellers allait republier ces photos avec des commentaires répondant à l'impérieuxc besoin de voir clair dans l'invisible obscur. On ne détruit pas une croyance.
La question a été reprise
ensuite par un expert canadien nommé Ball. Il a été
plus loin puisqu'il a tâché de démontrer que
certaines photos avaizent pu être retouchées. Il
se plaignait du fait que les Archives américaines, dépositaires
de ces photos de reconnaissance aérienne, ne fournissait
pas les négatifs à ceux qui désiraient les
examiner. Il publiait un livre, des brochures et créait
ensuite un site Internet. Il allait jusqu'à promettre
une somme de 100.000 dollars à qui prouverait qu'il avait
tort. Le cas Mermelstein n'avait pas suffi. Ball allait ensuite
organiser une sorte de disparition, d'invisibilité qui
lui a permis de ne pas débourser cette somme rondelette.
Les argousins de Nizkor, appâtés par le fric, couraient
après une ombre. (Voir "John Ball's $100,000 Challenge:
Where is John Ball? Retrieved Dec 7, 1997 at
http://www-mathphys.iam.uni-bonn.de/nizkor/features/ball-challenge)
Car il est bien possible que les photos n'aient pas été
retouchées et sur ce point l'expert convoqué par
Zimmerman (voir ci-dessous, le point suivant), Carroll Lucas,
nous paraît parfaitement crédible. Nous n'avons jamais
cru, pour notre part, que les photos aient été trafiquées.
D'ailleurs, il n'y en avait pas besoin.
Le site de Ball laisse une curieuse impression. On ne voit plus les photos, mais des plans dessinés. Des documents peuvent être chargés mais on ne peut pas les ouvrir. Est-ce parce que le mieux est l'ennemi du bien?
Il n'est reste pas moins, si Ball a eu tort de s'aventurer si loin, que les photos ne montrent pas l'Holocauste tel que les récits homériques nous le présentent.
Pour notre part, nous aurions tendance à croir que l'on a d'abord publié celles qui pouvaient avoir l'air parlantes et que toutes les photos n'ont pas été enocre publiées; c'est de leur totalité que sortira la connaissance complète qu'elles devaient nous apporter.
Il reste son livre qui est tout à fait intéressant.
Nous en avons, tirée de nos archives, une description et un sommaire du livre (en anglais).
LA QUESTION DES DETECTEURS DE GAZ (GASPRÜFER)
On possède une lettre de l'administration des bâtiments (Bauleitung) d'Auschwitz qui passe commande à la firme Topf, constructrice des fours crématoire, pour "dix détecteurs de gaz"; or, cette firme ne fabrique pas ces engins. D'où toute une série de spéculations, d'un côté comme de l'autre, sur le sens qu'il convient d'attribuer à cette lettre.
Sans vouloir être exhaustifs, nous avons relevé les contributions suivantes, du côté révisionnistes:
Arthur R. Butz: Gas Detectors in the Auschwitz Crematorium II, publié d'abord le 4 mars 1997 sur son site web
Carlo Mattogno: Critique of the A.R. Butz article, "Gas Detectors in Auschwitz Crematorium II", qui refuse entièrement l'hypothèse formulée par Butz.
Ensuite, Carlo Mattogno revient sur le sujet, surtout pour discuter ce que Pressac a dit du sujet, dans un texte du début 98.
Nous ne considérons pas que la discussion soit close.
LA DISCUSSION SUR LE TRAITEMENT DES CADAVRES DANS LE CAMP D'AUSCHWITZ
Une des questions qui se posent à l'historiographie contemporaine est la façon dont on a disposé des cadavres qui se trouvaient à Auschwitz. Un professeur assistant de l'Université de Las Vegas, nommé John Zimmerman, a cru pouvoir faire sonner les trompettes de Jéricho en annonçant ni plus ni moins la fin du révisionnisme! Son texte, affiché sur un site anti-révisionniste à l'automne 1999 semble faire partie d'un livre qui doit sortir en 2000 et qui prétend apporter toutes les réponses que l'on pourrait donner à toutes les questions des révisionnistes. En attendant ce jour béni, il s'est attiré une réponse fulgurante de Carlo Mattogno qui se demande, à la fin de son texte, si ça valait la peine de passer trois jours de sa vie à la préparer. Vous pouvez lire ce texte en italien, ou dans une traduction anglaise. Il est vrai qu'il publie, lui aussi, un gros livre en 2 volumes sur les crématoires d'Auschwitz, dont nous rendrons compte quand il nous sera parvenu.
Dans ce cadre est également apparue une discussion intrarévisionniste à la suite de la parution d'un article de Knud Bäcker intitulé "Das "Krematorium" von Auschwitz-Birkenau in der Kriegspropaganda und in der sowjetischen Nachkriegsdarstellung" (Le crématoire d'Auschwitz-Birkenau dans la propagande de guerre et dans la représentation soviétique d'après-guerre) paru dans le VffG de mars 1999 (p. 39-63). La revue appelait à la discussion, mais de manière un peu embarrassée. En effte, Bäcker témoigne de l'existence d'une frange que l'on pourrait nommer "ultra-révisionniste". Il affirme, dans son texte, que la plupart des crématoire d'Auschwitz sont des effets de la propagande soviétique et qu'ils n'ont pas eu d'existence réelle. C'est d'ailleurs un bon connaisseur de la littérature spécialisé d'Europe de l'Est. Carlo Mattogno, jamais très loin du front, a dû encore une fois monter en première ligne.
il s'est récemment développé une discussion sur le camp dit d'extermination de Majdanek, qui se situe, cette fois, entièrement entre révisionnistes. Tous les points de vue sur cette discussion technique ont évidemment droit de cité sur l'AAARGH.
Le point de départ est un petit ouvrage en allemand, paru récemment, de J. Graf et C. Mattogno, KL Majdanek. Eine historische und technische Studie. Nous en avons un résumé sous la forme d'une conférence prononcée en Australie par J. Graf, en août 1998, que nous avons traduite en français et que vous pouvez lire soit dans l'original anglais, soit dans notre traduction.
L'ouvrage
complet (en allemand) se trouve
sur le vite VHO.
<www.vho.org/D/Majdanek/MR.html>
Robert Faurisson en a fait une recension polémique, dont nous avons aussi une version allemande. Elle a provoqué une réponse de Jürgen Graf dans les colonnes de la revue dirigée par G. Rudolf, Viertelsjahrhefte für freie Geschichtsforschung (Cahiers trimestriels pour une libre recherche historique), sous forme de "lettre ouverte". A cette réponse, Faurisson a donné une réplique. Nous n'en avons pour le moment qu'une version allemande. Mattogno a également réagi par un texte en italien, que nous avons; notre traduction française est presque prête; Russ Granata nous a devancés avec sa traduction anglaise que nous affichons (son site contient une archive Mattogno bien fournie: http://www.codoh.com/granata/). Pour le moment, cette discussion s'est déroulée en allemand. Aussitôt que des versions françaises apparaîtront, nous les communiquerons.
D'une manière générale, les questions techniques, DU CÔTE ANTIRÉVISIONNISTE, sont abordées surtout sur le site de Mc Carthy, transfuge de Nizkor. Il est lui-même totalement incompétent mais il accueille les contributions que quelques universitaires américains qui croient de leur devoir de lutter contre le Mal -- que nous avons le bonheur d'incarner à leurs yeux embrumés -- ou de faire carrière dans l'holocaustisme, qui est une soupière richement garnie dans les universités américaines, mais malencontreusement assiégée par la génération en place, surtout composée de rabbins fatigués, de philosophes délcassés et d'idéologues arriérés. Une jeune génération arrive qui croit qu'elle va tout casser par la maîtrise des questions techniques que les anciens avaient certainement négligées, ce qui aurait permis, à les en croire, la percée du révisionnisme.
Afficher un texte sur le Web équivaut à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail. Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois qui instituent une censure spécifique dans certains pays (Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres), nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent car ils ne sont pas libres de consentir.
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ARTICLE 19
<Tout individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considération de
frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.