AAARGH
• Pour commencer, nous extrayons du livre de Vincent Montei, violemment et radicalement anti-isre, un texte où l'auteur, en 1977, exprime une gêne générale vis-à-vis du personnage, sans toutefois aller jusqu'au bout de son impression: c'était avant l'affaire révisionniste, et les positions des uns et des autres n'étaient pas encore affirmées. On note cependant la justesse de l'analyse de Monteil, qui dénonce inlassablement le système à deux poids, deux mesures, utilisé pour juger les crimes des juifs au nom d'Israël et les crimes contre les juifs (on peut lire l'intégralité du livre de Monteil, introuvable depuis plus de vingt ans, sur le site de l'AAARGH, ainsi que sa contribution à Intolérable intolérance, livre des intervenants volontaires du procès Faurisson)
• Puis l'individu est peu à peu démasqué: dès 1963, il entre en conflit avec Otto Frank, le père d'Anne, quand il prétendit avoir découvert l'arrestateur de la famille Frank (voir le récit de R. Faurisson) Puis il est exposé officiellement, d'après les termes mêmes de son autobiographie, comme ancien collaborateur des nazis lors de sa "déportation". L'AAARGH vous propose un compte-rendu très précis de l'affaire (dénonciation publique de Wiesenthal à la télévision allemande (rapportée en France par Lorraine Millot, "Une émission déboulonne Wiesenthal. Le chasseur de nazis présenté comme un imposteur à la télé allemande" Libération, 10-11 février 1996, p. 7 et Lucas Delattre, "Le "chasseur de nazis" Simon Wiesenthal est critiqué aux États-Unis et en Israël" Le Monde, 11/12 février 1996, p. 3). Il loue son nom au "Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles--Musée de la tolérance" (dirigé par des rabbins) et qui célèbre aux heures ouvrables la liturgie holocaustienne dans son essence intemporelle, universelle et inexistente. Le Temps irréparable l'a visité pour vous et vous raconte les mensonges qui s'y étalent (en anglais si vous préférez). L'individu, dans son apologie de la tolérance, ne se contente pas de lui consacrer un musée: il va jusqu'à justifier son statut muséographique en la traquant partout où elle existe encre: il milite ainsi pour un contrôle idéologique du réseau internet (article publié dans The Vancouver Sun (A12) mardi 15 janvier 1995). Ce centre est actuellement dirigé par une famille d'escrocs nommée Hier (père, mère et fils) et a évidemment participé à l'escroquerie contre les banqsues suisses, en affirmant que les Suisses avaient enfermé les juifs dans des camps d'esclavage; l'affaire est racontée par Finkelstein dans L'industrie de l'holocauste, 2000 (trad. de l'AAARGH).
• Puis nous avons la version française du texte de Marc Weber, qui démonte entièrement le personnage (texte de 1989, complété en 1995). La démonstration de cette imposture est aussi faite avec beaucoup de détails par Tuviah Friedman dans un document qui se trouve sur le site du… Centre Wiesenthal : « Isser Harel (ancien chef du Mossad) attacks Simon Wiesenthal » Special Collections du « Museum of Tolerance. (c'est eux qui disent "tolérance"!):
http ://motlc.specialcol.wiesenthal.com/instdoc/d09c07/iss21z3.html
• Enfin, en 2005, Wiesenthal meurt, et le gouvernement israélien, en s'abstenant de participer aux obsèques, manifeste ouvertement sa distance envers ce fraudeur (article du journal israélien Arouts-7 du 25 septembre 2005)
. Nous reproduisons aussi l'éditorial des Conseils de révision de l'automne 2005, consacré au bonhomme.
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