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L'HISTOIRE D'UNE PAUVRE MALHEUREUSE



VALÉRIE IGOUNET, Histoire du négationnisme en France, Paris, Le Seuil, 2000, 700 p.

Dans l'ensemble, ce livre est intellectuellement consternant. C'est un engin de guerre, qui vise à capturer tout le terrain occupé par les révisionnistes depuis cinquante ans, et à le marquer de petites pancartes sottes sur lesquelles serait écrit le mot "négationniste", comme si ce mot, dont cette malheureuse Igounet ne sait même pas comment il a été inventé, résumait tout à lui tout seul. Exorcisme? Danse rituelle? Parlant de Rassinier ou de Faurisson, elle dit "le négationniste", comme si une telle catégorie avait le moindre sens, comme si elle disait l'alpha et l'oméga du monstre ainsi désigné.
Lorsque George Fox, chef d'une dissidence de l'église anglicane, tint un discours fameux en disant que le croyant devait "trembler" devant son dieu, il se gagna, pour lui et ses adeptes, le surnom de "trembleurs" = quakers. Depuis, on les appelle "trembleurs" (Quakers) alors qu'eux-mêmes continuent de s'appeler "Société des Amis". Ça ne les gêne pas qu'on les appelle "quakers" mais ce nom n'appartient pas à leur vocabulaire. Cette situation dure depuis plus de trois cents ans.
Que les régisseurs de l'opinion publique aient décidé de nous appeler "négationnistes" depuis dix ou quinze ans, peu nous chaut. C'est à eux de payer le prix -- en éléments de compréhension -- de l'erreur évitable qui consiste à ne pas appeler les choses par leur nom. Car, comme le dit Michel Zaoui, "mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur des hommes" (L'Humanité, 10 décembre 1998). Mais l'emploi hypnotique qu'en fait cette malheureuse Igounet obscurcit son jugement. Elle confond sa hâte de coller des étiquettes avec le besoin de construire un argument. Elle n'argumente donc à peu près jamais.
Elle ne se donne pas les moyens d'évaluer la réalité des choses. Elle donne autant d'importance à un mouvement politique qui a des millions d'électeurs qu'à une mouvance idéologique qui regroupe quinze personnes. Il n'y a pas de réalité sociale: il y a des textes qu'elle paraphrase sans grâce et qu'elle colle les uns à côté des autres. Cet énorme pavé, 700 pages, est uniquement composé de paraphrases et de digressions au sujet des paraphrases. Pas un fait; pas une date (au sens historique du terme); pas un portrait de protagoniste; pas une situation; pas une époque; pas un enchaînement de causes et d'effets; pas de contexte; pas d'analyse du contenu des affirmations des uns ou des autres; pas d'échelle de jugement; pas de différence entre les mouvements politiques selon leurs finalités; pas d'histoire globale; pas d'histoire à l'étranger, à part de brèves allusions, bref, ce n'est pas un livre d'histoire et cette bonne femme n'a rien d'une historienne. C'est de l'idéologie bas-de-gamme, du ressassement ras-le-front, de l'harlem-désir pour petits-bourges de province. Ce pensum lui a rapporté un doctorat d'histoire, semble-t-il, décerné par des gens qui ne sont pas non plus de véritables historiens, puisque tout ça s'est passé dans un cadre "sciences po" avec au jury, en particulier, un baril de suffisance et d'incompétence démontrée, un réfuté de partout, l'icône des mrapistes, Pierre Vidal-Naquet, l'homme qui ne peut pas répondre aux critiques qu'on lui adresse parce qu'il s'est engagé à ne pas répondre à ses détracteurs, ce qui est bien la situation la plus mollement commode qui soit dans la république des lettres.
Dans ce livre, nous avons, pour notre part, trouvé vingt-cinq pages à peu près intéressantes, donnant quelques éléments nouveaux sur la dernière partie de la vie de Rassinier, lorsqu'il fréquentait les anars et qu'il publiait dans certaines de leurs feuilles. Rassinier lui-même n'était pas anarchiste, il venait de la filière des communistes passés chez les socialistes. Il ne s'entendait pas très bien avec beaucoup d'anars et il eut assez vite l'impression qu'il y avait, dans ce milieu, au moins dans certaines organisations, comme la Fédération anarchiste, une forte coalescence de francs-maçons qui s'opposait à ses points de vue. La malheureuse Igounet est tombée sur une archive assez riche, qu'elle ne dévoile d'ailleurs pas entièrement, et elle en tire des échanges et des discussions entre Rassinier et divers acteurs de la scène anar qui ne sont pas sans intérêt. Ils avèrent d'ailleurs, dans l'état où nous les percevons par ce qu'en dit cette pauvre malheureuse, que Rassinier était totalement dépourvu de ce que toute cette bande de sangsues conformistes répète à satiété, à savoir qu'il aurait été antisémitisme. Il suffit de LIRE Rassinier pour voir que les juifs, pour lui, n'existent pas comme problème. Il s'en fiche comme de ses premiers sabots. Et ni Brayard, ni Fresco, ni cette malheureuse Igounet n'ont pu trouver un discours de Rassinier qui aurait dit le contraire. Ils se contentent de bouts de phrases qu'ils déforment, tronquent, inversent, badigeonnent et revomissent après un long transit dans leurs cervelles torturées et avides de gloire pas chère, avec un petit boulot pépère à la clé. Rassinier fréquentait des gens avec qui il n'était pas d'accord parce qu'ils étaient d'accord, pour leurs raisons propres, pour le publier, pour publier ce qu'il pensait -- indépendamment des gens qui le publiaient. Il n'a jamais varié sur ce point et donc il s'est fait publier en même temps par des fascistes et par des anarchistes. Seuls les idiots croiront que les fascistes penchaient pour l'anarchie ou que les anarchistes avaient des attirances pour le fascisme. Rassinier, impavide, poursuivait sa quête des causes de la deuxième guerre mondiale. C'était, à ses yeux, le travail le plus important que sa génération n'avait pas su faire, comme l'avait plus ou moins fait celle qui avait vécu la guerre de 14. C'est cela qui a attiré sur lui l'attention des révisionnistes américains, comme Elmer Barnes, et qui a valu à Rassinier l'étiquette de père du révisionnisme français, un terme qu'il n'a jamais utilisé lui-même. Dans cette affaire, pour lui, les juifs (c'est-à-dire les organisations juives) n'ont joué aucun rôle en tant que tels. Après la guerre, il les voit comme des bêtas qui se laissent utiliser par les communistes. À son avis, ils n'ont rien compris. C'est un avis que le temps qui passe pousse à partager toujours davantage.
A part ces quelques pages (p. 78-115, pour être précis) qui auraient pu faire un petit article dans une bonne revue, si on les avait bien mises en valeur, le reste de l'ouvrage est d'un ennui considérable. Elle a collé des exercices scolaires de paraphrases de textes et de livres qui ont eu leur heure de célébrité ou d'importance dans la vie politique des cinquante dernières années, les uns à la suite des autres, entrecoupés de généralités sur le "négationnisme" qui fait ci ou qui fait ça, comme s'il existait quelque chose qui s'appelle le négationnisme, un supposé mouvement, avec des militants, des leaders, des doctrines, etc., ce qui est soit une pure illusion, soit un pur mensonge. Nous ne sommes pas là pour faire son travail et pour dire ce qu'est ou ce que n'est pas le révisionnisme, mais qu'on veuille bien nous croire si nous disons que c'est une simple vue de l'esprit. Il y a des textes. C'est tout. Elle confond mouvement d'idées et organisation politique. Le révisionnisme, ou ce que cette malheureuse préfère appeler le négationnisme, ce sont des textes. Compliqués, difficiles, on peut le reconnaître. Ces textes sont produits, depuis cinquante ans, par une trentaine d'auteurs (et quelques vulgarisateurs) , on n'a pas fait le compte, dispersés de par le monde. Que ces textes circulent, qu'ils exercent une certaine influence dans certains milieux, de façon ouverte ou souterraine, c'est autre chose. Une historienne pourrait se pencher sur ces milieux, les décrire, les analyser, les replacer dans le contexte des luttes politiques de leur temps, etc. Non, la malheureuse trouverait ça trop compliqué. Elle se borne, de manièr très orientée, à paraphraser DES textes. Non pas tous les textes. Sa bibliographie est étique. Elle choisit sans autre règle que sa fantaisie, ou les besoins de son idéologie particulière. On peut dire que la majorité des textes révisionnistes sont totalement absents de son pensum. Elle sélectionne sévère. Nombre d'auteurs sont totalement ignorés, ou mentionné en passant.
Saura-t-on au moins ce que contiennent les textes qu'elle a sélectionnés? Nenni. Elle sélectionne l'intérieur pour le besoin de sa paraphrase. Je n'ose pas dire de sa démonstration parce que manifestement l'effort de logique que réclamerait une démonstration outrepasse de loin les capacités de cette malheureuse.

Pour ne pas donner à cette recension une allure pachydermique, je me bornerai à quelques erreurs typiques.
Elle ne procède à aucune évaluation du rapport Leuchter, dont tout le monde s'accordera à dire qu'il a été un moment crucial de l'"histoire du négationnisme en France", pour reprendre le titre du pensum. Mais elle croit que Leuchter est "le concepteur du système des chambres à gaz américaines" (p. 360, n.50) A se demander si elle pourrait passer son BEPC.
Lors d'un entretien avec Garaudy, elle note qu'il mentionne un jeune homme qui, à la suite de Leuchter, a été à Auschwitz, enquêter sur place. Elle transcrit le nom: Rudolph Vermar. Elle ignore visiblement qui est Germar Rudolf que nous n'aurons pas besoin de présenter aux lecteurs. Néanmoins, cette petite bourde en dit long: elle n'a même pas lu l'ensemble des textes "négationnistes" dont elle est supposée raconter l'histoire. Pour qui est familier de ces textes, ses lacunes sont criantes et désignent son souci essentiel: faire croire que tout, dans le révisionnisme, procéderait de l'antisémitisme. Ce réductionnisme bébête se manifeste presque à chaque page. Nous n'en ferons pas la liste. Il avait fallu attendre la p. 163 pour recueillir cet aveu: "C'est à travers l'histoire du Front national que l'évolution de la thématique négationniste va être étudiée." Il y a donc tromperie sur la marchandise, et d'autant plus qu'elle n'entreprend pas non plus d'étudier historiquement le Front national. D'autres le font, sans doute, ou le feront, et mieux. Elle se contente de plagier, dans ce domaine, comme dans d'autres. Mais ça occupe plus de la moitié du livre. Elle inverse la relation de cause à effet: elle ne voit pas que l'origine du révisionnisme est totalement étrangère à des considérations qu'elle appelle antisémites alors même que les antisémites ont fini, non sans réticences, par accepter le révisionnisme, comme d'ailleurs beaucoup d'autres qui n'ont rien à voir avec l'antisémitisme. Auparavant, quand les antisémites, ou ce qu'elle nomme tels, ignoraient le révisionnisme, ils étaient sionistes, dans l'idée que le sionisme était ce qui faisait partir les juifs. C'est pourquoi, tout ce qui compose aujourd'hui le Front national s'est précipité, en 1967, au moment de la Guerre des Six jours, pour s'engager aux côtés de l'armée israélienne. Ça, elle ne le trouve pas condamnable, sans doute.
En fait, dès qu'elle a besoin d'un renseignement, d'une biographie, elle se tourne vers des officines bien connues, animées par les Camus, Monzat, Maricourt, qui font un travail de policier, financé on ne sait comment, et qui sont en rapport avec des réseaux policiers. Pour un ou une universitaire, il est déshonorant d'aller pêcher ses informations dans les poubelles de ces gens-là, sans les confronter à d'autres sources, ce qu'elle ne fait jamais. L'historien travaille certes avec de l'ordure, s'il le faut, comme le disait Marrou, mais il doit le dire, c'est le moins qu'il puisse faire. Cette malheureuse ignore le b.a.ba de la déontologie et ce n'est pas Vidal-Naquet qui aurait pu la lui enseigner.
Ceci fait que ses dénonciations se retournent parfois de façon curieuse. Elle reprend les affirmations du magazine allemand Stern (p. 521, n.91) qui prétend avoir vu M. Yvan Blot, du FN, à une "réunion négationniste" à Munich en 1990. On le verrait sur une photo "en compagnie d'Elwald Althans". Or le milieu révisionniste tout entier est au courant de ce congrès raté de Munich et du fait qu'Althans, un des organisateurs, s'est révélé par la suite être un indicateur de la police bavaroise. Ce que cette malheureuse ignore totalement parce que ses propres sources policières françaises lui ont caché la vérité. Sic transit.
Elle passe cinq pages sur le texte bordiguiste Auschwitz ou le grand alibi, qui n'en fait guère plus, et elle y revient deux ou trois fois avec fureur, comme si ce texte avait eu le moindre rôle réel dans cette histoire. Mais comme ce texte est dogmatique, il permet toutes les facilités de l'interpétation paranoïaque qui en fait un fondement du "négationnisme" d'extrême-gauche!
Elle passe aussi un temps fou sur ce qu'elle appelle le "post-révisionnisme", élucubration d'un certain Olivier Mathieu, qui a fait ses tournées de pitre entre 1988 et 1990 et a totalement disparu depuis. Elle essaie aussi de se servir de Guionnet. Ce sont tous les deux des handicapés mentaux qui n'ont jamais exercé la moindre influence, mais ils sont utiles à son étiquetage intensif. Tout est sélectionné avec rigueur.
Elle ne connaît même pas les documents qu'elle cite, il lui suffit que le titre soit emblématique de ses obsessions. Ainsi, p. 584, elle écrit cette phrase: "Au cours de ces années, Robert Faurisson est présenté comme un "espion venu de l'extrême-droite". Elle ajoute en note qu'il s'agit d'un film d'Annette Lévy-Willard, diffusé le 26 avril 1984 sur Antenne 2". Il est probable qu'en 1984 cette malheureuse était encore dans son youpala. Mais il y a les articles de journaux, les deux comptes qu'en ont faits deux révisionnistes différents. Elle n'a rien lu, elle ne connaît rien, elle voit le mot "extrême-droite" et elle salive comme une pauvre bête de Pavlov. Car le titre du film ne désignait nullement Faurisson, mais un quelconque indic, nommé Hill, infiltré par la police anglaise dans les milieux de l'extrême-droite anglaise. Des flics, il y a en a beaucoup dans cette histoire, comme dans le PC américain, qui était composé à 60% d'agents du FBI. D'ailleurs, trois pages plus loin, elle rend compte d'une "réunion privée" tenue à Haguenau les 11 et 12 décembre 1989, avec D. Irving, Zündel, Walendy, Faurisson et deux cents autres. Elle cite. Sans source. Pas de paraphrase, des phrases. D'où viennent-elles? Il n'y a jamais eu de compte rendu publié de cette réunion. À notre avis, ses citations proviennent tout droit des Renseignements généraux via les officines "de gauche". Elle n'ose pas les citer, on la comprend. On voit bien de quel iceberg la malheureuse est la partie émergée.
Ce livre a fait l'objet d'une thèse soutenue en 1998, dit-on. Il a été rédigé en 1995 et à peu près terminé en 1996 d'après les faits qu'il cite. Quelques phrases ont été rajoutées de ci de là pour l'édition en livre. C'est donc peu dire qu'à sa sortie ce livre est déjà ancien, dépassé, qu'il y manque des chapitres entiers. Que sous chaque phrase de la fin, nous avons des dizaines de pages de documents variés, inconnus de cette pauvre malheureuse.
Elle fait partie de la même entreprise que cette autre égarée, Poor Old Debbie Lipstadt, des pseudo-universitaires qui sont nourris par des réseaux policiers, des réseaux d'influences qui entendent maintenir par tous les moyens leur orthodoxie holocaustique et les immenses sources de revenus qu'elle leur procurent. Evidemment, ces gens-là peuvent faire annuler la thèse de Roques, sous les prétextes les plus minuscules, et faire valider par leurs satellites, genre Milza, Vidal-Naquet et autres chiens de garde, des dissertations aussi lamentables que celle-ci. Le niveau générale des thèses ne semble pas en hausse, on le sait. Mais il faut bien se rendre à l'évidence: Igounet est une pauvre simplette, qui a bien le droit de ne pas aimer le Front national, ou la droite, ou les yahoo, mais nous étions accoutumés de voir ce genre de travail couronné de lauriers à l'Université Lumumba de Moscou, et non pas à Nanterre-la-Folie. C'est encore une fois Vidal-Naquet qui se charge de cautionner et de lancer une médiocre stalinânerie.

Il faut signaler en annexe le texte de Pressac. Il a tenu à le rédiger lui-même, conscient que cette pauvre malheureuse n'avait pas les capacités intellectuelles voulues pour suivre cette sombre histoire de recherches sur l'histoire technique des crémas d'Auschwitz. Mais elle lui a joué un tour de cochon: elle n'a pas corrigé les innombrables fautes de frappe du texte, qui est donc un véritable torchon. Un torchon intéressant parce que nous y retrouvons notre Pressac bifrons, à la fois humble et arrogant, impavide aux critiques, dressant de lui le portrait d'un homme décidé, énergique, à l'esprit et au verbe clairs, c'est-à-dire tout le contraire de ce que nous le savons être. Il étrille Vidal-Naquet de la belle manière, ce qui explique le coup de pied en vache que lui décoche celui-ci dans son article du Monde. Mais avec ses défauts et ses palinodies, ce texte qui date de 1995, et qui annonce monts et merveilles, est peut-être ce qu'il y a de plus intéressant dans le livre. Quant aux monts et merveilles, nous les attendons. Nous notons aussi que Pressac, comme Vidal-Naquet, ne répond pas aux critiques détaillées, point par point, qui lui sont faites. Il les ignore ou les repousse du pied. Il est pourtant l'homme le plus réfuté de tout le champ révisionniste. Il fait semblant de ne pas s'en apercevoir.


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