|
L'une des raisons essentielles
de la défense acharnée d'une version intenable de
ce que certains appellent l'holocauste est qu'il sert de base
à toutes sortes d'opérations de nature financière
qui s'apparentent à du rackett, c'est-à-dire à
de l'extortion de fonds pratiquée par des groupes qui se
drapent dans la qualité de "juifs" aux dépens
des autorités de différents pays qui sont soumises
à différents types de chantage dont le prototype
est généralement le suivant:
"Vous n'avez pas sauvé les juifs de la mort (entre
1940 et 1944) et donc vous êtes coupables: par conséquent,
vous devez payer maintenant, beaucoup, et dans l'avenir, jusqu'à
une date indéterminée".
Ces procédés relèvent d'une forme de gangstérisme
qui se camoufle sous les dehors de la moralité et de la
juste punition des crimes supposés commis par les autres.
Les vrais gangsters sont plus honnêtes.
Certes, il ne nous viendrait pas à l'idée d'associer
les notions de "juif" et d'"argent" à
la manière des anciens antisémitismes qui se nourrissaient
de caricatures. Mais les faits sont là: certains groupes,
y compris, au premier plan, l'état d'Israël, ne cessent
de réclamer de l'argent, à tout le monde, au nom
de douleurs passées, très réelles le plus
souvent, mais passées, c'est-à-dire prescrites,
sur le plan judiciaire, et détachées de leur contexte,
celui où plusieurs dizaines de millions de gens ont subi,
eux aussi, des pertes de toutes natures et n'ont jamais reçu
la moindre compensation.
Nous suggérons à la communauté internationale
et tout particulièrement aux différents appareils
judiciaires de suspendre tout examen de demande de compensation
jusqu'à ce que les juifs, pris corporativement sous les
espèces de l'état d'Israël et des différentes
organisations sionistes, aient mis fin à l'énorme
et violente spoliation qu'ils exercent sur la Palestine et ses
habitants légitimes. Quand ils auront rendu le pays, avec
toute sa terre et compensé les victimes des crimes innombrables
et incessants qui sont nécessaires à la spoliation
massive de tout un peuple, depuis 1916, alors il sera temps d'examiner
si certains malheurs juifs individuels ou collectifs ont des raisons
quelconques de vouloir échapper à la loi d'airain
de la prescription.
En attendant ce moment, exigé par la justice, nous tiendrons
ici une chronique de ce rackett holocaustique, de manière
symptomatique et nullement exhaustive, évidemment.
1/ La récente tentative de certains juifs américains
d'extorquer de l'argent à l'état polonais (post-1945),
bizarrement décrit comme identique au régime nazi.
Nous avons le texte (en anglais) d'une demande
adressée à un tribunal de New York. On y voit
quels mécanismes mentaux sont à l'oeuvre.
2/ Un extrait d'un journal juif
canadien, qui s'inquiète de voir la Catastrophe
gagnée par le fric. (anglais)
3/ Comment se procurer l'argent suisse (anglais): Swiss Money for the Dummies .
4/Le
dossier très complet de l'affaire Finkelstein se trouve
désormais à la page
Finkelstein.
Notre résumé du livre de Finkelstein
5/ Un article de Berclaz sur l'argent suisse (février 2001).
6/ Un article de Marc-Antoine Coppo qui descend en vol Domnique Vidal, comme un vulgaire canard, à cause d'une recesion particulièrement basse parue dans Le Monde diplomatique.
Afficher un texte sur le Web équivaut à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail. Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois qui instituent une censure spécifique dans certains pays (Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres), nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19
<Tout individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considération de
frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.