AAARGH

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LES FEUILLETONS DE L'AAARGH

 

Nos feuilletons seront fabriqués à partir des principaux livres qui ont pour objet de détruite, ou discréditer, ou annihiler le révisionnisme historique dit de l'Holocauste, que ses ennemis appellent d'un terme bizarre : le "négationnisme". Ici, à l'AAARGH, toute cette production nous fait rire depuis très longtemps. Mais l'impudence a des limites. Nous nous sommes dit que, finalement, il n'y avait pas de raison de laisser passer ce flot de calomnies, de crapuleries, petites et grandes, et qu'il n'était jamais trop tard pour prendre la règle et taper sur les doigts de ceux et celles qui se croient tout permis, parce qu'ils ou elles bénéficient d'une impunité politique, financière, judiciaire et policière. Basta !

Nous allons donc prendre ces bouquins les uns après les autres et les reproduire in extenso en ajoutant là où ils sont nécessaire les commentaires adéquats. Vidal-Mickey à qui nous avons infligé ce traitement a bouillonné de rage pendant vingt ans, puisqu'il a avait décrété qu'il ne fallait pas nous répondre, et il en est bel et bien crevé. Les autres y passeront aussi.

 

Première livraison : mai 2008

 

Le livre de Jouanneau sur le procès Badinter/Faurisson

Cette bande de rigolos, emmenée par Jouanneau, avocat poussif et pleurnichard, veut exploiter ce procès pour en faire un instrument de bourrage de crânes à l'usage des petites classes. Ils ont obtenu ainsi la permission, exceptionnelle, de filmer les débats, comme s'il y avait une matière "historique" dont il fallait beurrer les tartines de nos petites têtes de linotte. On peut donc prendre ce livre comme le geste ultime, unsurpassable, des ennemis du révisionnisme. Une génération arrive à bout de souffle. Nous verrons ce qu'il faut en penser.

Jouanneau/Badinter/Igounet/Wieworka / Première partie

Deuxième livraison : juin 2008

Les témoignages de la Fresco et d'un petit suppôt, Gérard Panczer, plus ou moins alchimiste dans la banlieue lyonnaise...

Troisième livraison : août 2008

Les témoignages d'un imbécile patenté, Didier DaeninXXX, et d'un fourbe fuyant, Henry (avec un Y) Rousso.

 

 

 

 

UN FEUILLETON EN LANGUE AMÉRICAINE

Tova Reich, My Holocaust, first installment.

Pourquoi ce livre ?

Nous n'avons jamais donné, ici, dans le millénarisme, nous n'avons pas cru qu'il viendrait un temps où enfin la "vérité" s'imposerait d'elle-même à des esprits enténébrés. C'est la fin de la forme étatique d'Israël qui amènera la fin de notre lutte. Nous avons donc encore du temps devant nous.
Mais quand une étape se marque d'un signe fort, il faut savoir la reconnaître. Le 11 septembre en était une, il n'y avait pas besoin d'être grand clerc pour le voir. Cette année, en mars 2007, nous en avons franchi une autre sans le savoir. Elle est marquée par la parution d'un simple roman, publié aux Etats-Unis, écrit par une dame peu connue. Elle s'appelle Tova Reich et c'est son quatrième roman.
Il s'appelle My Holocaust. Ce n'est pas du tout la ennième resucée des exercices de "mémoire" d'une "survivante", non. Ce roman met en scène trois hommes, le président du U. S. Holocaust Memorial Museum situé à Washington, à deux pas de la Maison Blanche, son fils et le directeur dudit musée. Ces gens-là sont tout-puissants. Mme Reich en fait une caricature infernale: des petits juifs médiocres, crados, menteurs, voleurs, imposteurs, trafiquants, fabriquants de passé héroïque et de témoignages, qui ne songent qu'à s'en foutre plein les poches, foutriquets érotomanes, toujours en guerre les uns contre les autres, mais tous vivant dans la terreur de leurs épouses, les terribles mamas juives. Cynthia Ozick, la muse des communautés, va jusqu'à invoquer Jonathan Swift ! Si n'importe lequel d'entre nous avait osé publier une charge pareille, il se retrouverait dans le box avec toute la sainte communauté aux basques. Or à Washington, ce n'est pas le cas. Certes, il y a eu quelques articles au vinaigre, par exemple dans le New York Times, mais la meute n'a pas osé se déchaîner. La raison en est simple: Mme Tova Reich, née Weiss, est l'épouse de M. Walter Reich, médecin et prof de psychologie mais surtout ancien directeur dudit Holocaust Memorial Museum, de 1995 à 1998. Il s'est fait virer comme un malpropre à l'occasion d'une grotesque histoire d'invitation à Yacer Arafat à venir visiter le Musée. L'administration Clinton était pour et Walter Reich était contre. En plus de tout le grenouillage qui a toujours présidé à la lente élaboration de ce pseudo-musée, - qui n'est qu'une suite de fumisteries et de bizarreries sinistres - il y avait un conflit entre ceux qui, comme Reich, voulaient en faire une institution pseudo-universitaire et les membre du conseil d'administration, présidé par un certain Miles Lerman, promoteur immobilier, qui voulaient en faire un instrument politique directement utilisable par le lobby pro-israélien.
Ajoutez à cela que Mme Reich est la fille du rabbin sioniste-religieux Moshe Weiss, et que son frère n'est autre que Avi Weiss, le rabbin fou qui avait sauté les grilles pour envahir le Carmel d'Auschwitz, installé dans l'ancien théâtre de la garnison autrichienne, en juillet 1989. Une bonne partie de l'action du roman se passe d'ailleurs là. Weiss, grand copain de l'avocat extrémiste Dershowitz, s'est par la suite attaqué violemment à Lerman qu'il accusait de vendre Auschwitz aux Polonais ! Sans dire, évidemment, qu'il avait vidé son beau-frère... C'est maintenant l'épouse de l'éjecté qui règle les comptes en dessinant les protagonistes de l'époque comme des pantins répugnants. On retrouve par exemple l'horrible Berenbaum sous les traits de l'opportuniste hystérique Monty Pincus. Les journaux hésitent un peu à fournir les autres clefs. Mais Mme Reich nous promène dans une galerie de monstres, où les femmes ont également présentes, jusque dans les détails les plus sordides. Et sur le livre des visiteurs, elle relève ceci:
I enjoyed it very much. Thank you for making the Holocaust possible.

Il en ressort que les juifs sont tous cinglés, que le Zolo leur a grillé le cerveau, qu'on trouve tous les états de symbiose pseudo-religieuse possible, avec une nette prépondérance pour un bouddhisme de pacotille qui est très à la mode. Toute cette confusion est prévalente surtout chez les juifs américains, mais elle déborde partout. Ceux qui voudraient des exemples iraient voir, entre mille autres, le site http://www.donmeh-west.com/ .
Le tableau clinique tracé par Tova Reich montre bien que le judaïsme a disparu, remplacé par une énorme salade russe où une truie ne retrouverait pas ses petits: la nouvelle religion de l'Holocauste. Ses prêtres se la disputent...
Il en ressort aussi et surtout que l'Holocauste n'est pas seulement une industrie, comme l'avait montré Norman Finkelstein, dans un livre que nous fûmes les premiers à traduire. Tova Reich nous donne le spectacle d'une danse macabre menée par des fumistes, des imposteurs et des voleurs. Le respect de la "mémémoire", le tabou, l'aura quasi religieuse qui devaient entourer l'opération Holocauste, volent en éclat. L'exploitation du drame historique le rend impropre à la consommation. Moralement, historiquement, politiquement, l'affaire sombre sous nos yeux, commentée par l'un des personnages, une véritable rescapée de l'Holocauste, la seule personne sympathique du livre, peut-être: c'est une authentique rescapée des camps, porteuse d'un numéro tatoué au poignet qu'elle n'exploite pas à des fins personnelles ; bien qu'elle ne soit pas exempte non plus de ridicule et d'outrance, on peut voir, à deux ou trois signes, qu'elle est sincère : elle évoque en deux phrases poignantes l'envie que lui inspiraient les oiseaux qui s'envolaient des barbelés d'Auschwitz; elle se souvient, en une phrase, du désespoir qui l'a envahie lorsqu'on est venu l'emmener avec sa mère et ses soeurs ; toutes les « personnes déplacées » du monde reconnaîtront ces sentiments, devant lequel, nous semble-t-il, une fois la tempête passée, il n'est qu'un remède : le silence et l'oubli. C'est cette femme qui, avec un groupe de rescapés pas très sympathiques, eux, a permis à un rabbin exploiteur de sortir les souvenirs des juifs rescapés des camps de l'oubli (« du silence ») où ils dormaient tranquillement depuis la guerre, pour en faire une « épidémie », une « peste »; finalement, il lui reste la nostalgie « d'un peu de silence », « d'un peu de paix et de tranquillité » (p. 272 à 276).
Pour le grand public, il en reste un carnaval échevelé, où tous les jaloux de l'enviable situation de génocidé tournent comme un manège devenu fou. Le musée est pris d'assaut par les futurs fonctionnaires de l'ensemble de tous les Holocaustes possibles et imaginables. A la fin, on ne s'amuse plus comme au début, accablé que l'on est par l'accumulation des absurdités et des délires.

A nous, les révisionnistes, qui avons tâché de progresser rationnellement dans ce champ de mines depuis des dizaines d'années, Tova Reich ne laisse rien, que des fragments explosés, dérisoires, dépourvus de sens. Avec son roman la période que l'on pourrait appeler celle de l'Holocauste, inaugurée par la série télévisuelle du même nom vers 1978, se termine. Il ne reste qu'un chaos frénétique, une sarabande quasi-célinienne des exploiteurs de la souffrance humaine qui provoque un infini dégoût.

Ce brûlot, même si les milieux qu'il vise feignent de l'ignorer, ne pourra pas ne pas avoir un impact sur eux et sur nous et nos activités. Poursuivre les trajectoires de cette explosion du mythe serait dérisoire et inutile. Maintenir la fiction de l'Holocauste comme cible de nos flèches n'a plus beaucoup plus de sens. Nous visions une construction et voilà qu'elle s'effondre toute seule, comme la tour n° 7. Ceux qui voudront se faire les gardiens de ses ruines, nous les renverrons au livre de Reich, My Holocaust. Cela suffira pour les crever comme des baudruches.

* * *


My Holocaust, 336 pages. HarperCollins; 1st edition (April 3, 2007)
ISBN 0061173452

 

Pour une bonne analyse de l'éjection de Walter Reich du musée, voir l'article de notre confrère et ami, Michael Hoffman II, A Peek inside the Cathedral of Our State Religion, à l'adresse suivante:
http://www.revisionisthistory.org/whore9.html
Le compte rendu du livre dans le New York Times du 27 mai 2007:
http://www.nytimes.com/2007/05/27/books/review/Margolick-t.html?pagewanted=2&ei=5070&en=7117875eaddca278&ex=1185249600

Le compte rendu dans le journal juif de New York Forward du 23 mars 2007
http://www.forward.com/articles/the-greatest-shoah-on-earth/

 


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