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Voyez les ECHOS RADAR qui mettent en relief quelques éléments de l'actualité qui nous semblent particulièrement significatifs de notre époque. Nos amis lecteurs sont invités à nous envoyer leurs propres "échos radar" par courrier électronique.

L'ACTUALITE DE SEPTEMBRE 1999

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  • Le judéographe du Monde s'efforce de protéger Goldhagen, universitaire américian raciste anti-allemand, des critiques de gauche faites par des individus que l'on peut soupçonner d'être proches des positions de Chomsky, ce qui fait dresser les cheveux sur la tête de pas mal de gens, sur les bords de la Seine comme sur ceux du Potomac. Nous avons le texte auquel nous avons ajouté un commentaire idoine. Tout ce déballage nous amuse intensément.
  • Autre source d'amusement, le puceau de l'antirévisionnisme, l'ineffable Brayard vient de faire des aveux aussi involontaires que candides: les historiens ne savent absolument pas quand et comment la fameuse extermination des juifs aurait été décidée dans l'empyrée du régime nazi. Et pourtant, on a des documents, que l'on fait parler, et on sait s'y prendre. Brayard parle de l'agenda de Himmler, pour les années 1941 et 1942, retrouvé dans les archives de Moscou ! Ce devrait être du nanan. Point du tout. Nous lisons Brayard et nous rions...
  • L'actualité charrie, parmi tant de nouvelles sinistres, quelques raisons de se gondoler. Ainsi en est-il des déclarations de François Mitterrand rapportées par Jean d'Ormesson, caméléon à plume qui savait voir en Mitterrand l'homme de droite qu'il n'avait jamais cessé d'être. Le jour de son départ de l'Elysée, Mitterrand n'avait rien d'autre à faire que de parler avec ce jobastre à plume. Il lui a confié que les pressions qu'il avait subies à propos de ces rapports avec Bousquet venaient de "l'influence puissante et nocive du lobby juif en France". Silence. D'Ormesson mouille instantanément sa culotte en entendant cette phrase. Pourtant, Mitterrand disait, depuis longtemps, à qui voulait l'entendre: "Ils m'emmerdent". On ne pouvait ignorer qui étaient ces "ils" sur le compte desquels chacun, dans la classe politico-journalistique, gardait un silence prudent. Nous qui sommes chaque jour poursuivis par la vindicte de ce lobby juif, nous avions observé ces choses. C'est seulement sur la fin, alors qu'il n'avait plus rien à perdre que Mitterrand avait fourni au journaliste Péan les éléments qui devaient servir à désamorcer le chantage permanent exercé sur lui par ce lobby juif, au premier rang duquel se trouve un assassin raté, un dégonflé du six-coups, un foie jaune nommé Klarsfeld. Tout ceux qui voulaient savoir savaient que Mitterrand avait cherché à faire carrière à Vichy. L'étonnement de la "gauche" après les pseudo-révélations de Péan témoignait de l'excellente formation d'acteurs de théâtre que ces gens-là ont reçue. Gilles Martinet, qui n'appartient pas au choeur des pleureuses et qui était un des plus fins critiques de Mtiterrand, dans le parti socialiste, dit (Le Monde, 1er septembre 1999) préconiser de reconnaître que le "lobby juif" existe, purement et simplement. Son commentaire est éclairant: "La question importante est de savoir si l'on peut considérer les Français d'origine juive comme des citoyens comme les autres et parler d'eux comme on parle des Corses ou des Bretons ou si le terrible souvenir de la Shoah, les souffrances subies et aussi la persistance d'une idéologie d'extrême-droite nous interdisent toujours de le faire." On peut se demander comment, dans les termes mêmes de Martinet, il était alors possible de parler de... ceux-qui-n'ont-pas-de-nom-à-cause-de-la-Shoah... Mais Martinet poursuit par un aveu: "J'ai, comme la plupart des anciens résistants, respecté cet interdit tant je craignais que ce qu'on appelle l'antisémitisme "ordinaire" ne refleurisse dans ce pays." Il s'agissait donc bien d'un interdit, interdit de nomination qui est déjà, remarquons-le en passant, au fondement même du rapport de l'israélite antique avec son dieu. "Mais aujourd'hui, continue l'ancien résistant, je me demande si cette "discrimination positive" ne va pas dans le mauvais sens." Cette intempestive intervention du clown d'Ormesson allait déclencher, chez les descendants de la Charente de la pensée des réactions contradictoires. Le fils, Jean-Christophe, engagé, lui, jusqu'au cou dans la politique française qui a amené le génocide du Rwanda, préfère parler de "lobbys juifs" au pluriel, en insinuant d'ailleurs que Le Monde est une caisse de rénonance d'un "certain lobby juif". On se perd en conjectures... La jeune Mazarine, de son côté (Le Monde, 27 août 1999) nous a révélé que son père avait l'habitude travailler devant un portrait de Golda Meier, ce qui pourrait expliquer certains aspects cauchemardesques de la politique mitterrandienne. Elle dit qu'elle appris de lui des "valeurs humanistes; et cet enseignement ne fut pas seulement théorique". On se demande à quoi elle peut bien faire allusion. Quelle est la "pratique" de cette mijaurée? La presse dit qu'elle couche avec un immigré. Ceci ne semble pas tellement un exploit pratique... En tout cas, l'humaniste continue à se faire protéger par un peloton de gendarmerie basé au chateau de Souzy-la-Briche, près d'Arpajon, où elle passe peut-être une partie de ses congés. Ce chateau et les gendarmes appartiennent pourtant à l'Etat. Quand on détourne les biens publics à son propre profit, on ne donne pas de leçons de morale. Tout ça ne nous dit rien sur la fortune cachée de Mitterrand, palais vénitien compris. Mais il nous a laissé une piste: il appelé sa fille Mazarine, un mot qui n'avait jamais été employé comme prénom. La filiation nous semble évidente: Mazarin a été, de tous les premiers ministres de la France, le plus énorme voleur. Impuni.
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    De: [email protected] Subject: Arutz-7 News: Thursday, August 26, 1999

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