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Historical Fact No. 1

Y a-t-il vraiment eu six millions de morts?

par Richard E. HARWOOD

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Inventions sur Treblinka

Les derniers "mémoires" en date sont ceux de Franz Stangl, ancien commandant du camp de Treblinka en Pologne, condamné à la détention perpétuelle en décembre 1970. Ces "mémoires" furent publies dans le Daily Telegraph Magazine de Londres du 8 octobre 1971, et seraient basés soi-disant sur une série d'entretiens avec Stangl dans sa prison. Stangl mourut quelques jours après la dernière interview. Ce sont certainement les "mémoires" les plus dégoulinants de sang et les plus bizarres qui aient jamais été publiés, bien qu'on puisse se réjouir de quelques aveux fait par l'auteur de l'article qui écrit, par exemple, "les documents et témoignages présentés au procès n'ont pas prouvé que Stangl avait commis lui-même des crimes" et que "le compte rendu du début de l'activité de Stangl en Pologne était en partie de l'invention." La description de la première visite de Stangl à Treblinka constitue un exemple typique de ces inventions. Quand il arriva à la gare de Treblinka, il aurait vu "des milliers de cadavres" éparpillés à côté des voies, "des centaines, non, des milliers de cadavres partout, en train de se putréfier..." Et "il y avait un train plein de Juifs à la gare, certains étaient morts, d'autres vivaient encore... on aurait dit que ce train était là depuis plusieurs jours". Ce récit atteint le comble de l'absurdité quand l'auteur prétend que Stangl est descendu de sa voiture et qu'"il marcha dans un tas d'argent qui lui arrivait jusqu'aux genoux. Je ne savais pas par où me tourner, par où aller. Je pataugeais dans des billets de banque, dans des pièces de monnaie, des pierres précieuses, des bijoux et des vêtements. Il y en avait partout, répandus sur toute la place." Ce tableau reçoit sa touche finale par des "prostituées de Varsovie qui allaient et venaient, saoules, et qui dansaient, chantaient, jouaient de la musique" de l'autre côté des clôtures en fil de fer barbelé. Il faut vraiment être disposé à tout "avaler" pour croire à cette histoire d'un SS qui patauge "jusqu'aux genoux" dans des billets de banque et des pierres précieuses des Juifs, entre des milliers de cadavres en putréfaction et des prostituées titubantes qui chantaient. S'il ne s'agissait pas de la légende des Six Millions, cette littérature d'une absurdité inimaginable serait mise immédiatement à la poubelle. Le passage qui enlève certainement aux "mémoires" de Stangl toute trace d'authenticité est la prétendue réponse du commandant quand on lui demande pourquoi, à son avis, on exterminait les Juifs: "ils voulaient l'argent des Juifs" répond-il. "Cette histoire raciale n'était que secondaire." La série d'interviews se termine sur une note vraiment très douteuse. On lui demande s'il pensait qu'il y avait eu "un sens concevable à cette horreur", l'ancien commandant nazi aurait soi-disant répondu avec enthousiasme: "Oui, je suis sûr qu'il y avait un sens. Il était peut-être écrit que les Juifs devaient éprouver ce choc énorme pour les rapprocher les uns des autres, pour créer un peuple, pour qu'ils s'identifient les uns aux autres." Une réponse aussi parfaite (dans l'optique de la propagande sioniste. N.d.T.), il faut l'inventer.

Un best-seller qui est une mystification

Dans l'autre catégorie de mémoires, qui décrivent les pauvres Juifs impuissants pris dans l'étau du nazisme, le livre qui eut certainement le plus de succès fut Le Journal d'Anne Frank, et la vérité, c'est qu'il s'agit purement et simplement d'un exemple frappant de fabrication d'une légende aux fins de propagande. Publié pour la première fois en 1952, Le Journal d'Anne Frank devint immédiatement un best-seller puisqu'il fut réédité depuis lors 40 fois en livre de poche et que Hollywood en fit un film à succès. Rien qu'en droits d'auteur, Otto Frank, le père d'Anne, se fit une fortune grâce à ce livre qui prétend représenter la tragédie de la vie réelle de sa fille. Par leur appel direct aux sentiments, le livre et le film influencèrent littéralement des millions de personne, certainement plus que n'importe quelle autre histoire de ce genre. Et pourtant, sept ans seulement après la sortie de la première édition, un procès intenté devant la Cour Suprême de New York établissait que ce livre était une mystification. Le Journal d'Anne Frank fut vendu comme étant le véritable journal intime d'une petite fille juive d'Amsterdam âgée de 12 ans, qu'elle écrivit quand sa famille et quatre autres Juifs se cachaient dans la pièce arrière d'une maison pendant l'occupation allemande. Ils furent arrêtés ensuite et mis dans un camp de concentration ou Anne Frank mourut, suppose-t-on, à l'âge de 14 ans. Après sa libération à la fin de la guerre, Otto Frank retourna à cette maison d'Amsterdam et y "découvrit" le journal intime de sa fille caché dans le chevronnage d'un comble.

La vérité sur le Journal d'Anne Frank~fut révélée pour la première fois en 1959 par le journal suédois Fria Ord. Il établissait que c'était le romancier juif Meyer Levin qui avait écrit le dialogue du "journal" et qu'il réclamait le paiement de son travail au moyen d'une action en justice contre Otto Frank. Un condensé des articles du journal suédois fut publié dans la revue américaine Economic Counci l Letter du 15 avril 1959:

"L'Histoire connaît plusieurs exemples de mythes qui eurent une vie plus longue et plus riche que la vérité toute nue et qui peuvent devenir plus effectifs que la vérité.

"Le monde occidental a appris depuis quelques années l'existence d'une petite fille juive par le canal du Journal d'Anne Frank qui est prétendument son histoire écrite par elle-même. Un examen littéraire averti de ce livre aurait montré qu'il ne pouvait pas être l'oeuvre d'une petite fil!e de 12 ans.

"Une décision qui mérite l'attention de la Cour Suprême de New York confirme de point de vue: elle stipule que le père d'Anne Frank doit payer à Meyer Levin, écrivain juif américain bien connu, la somme de 50.000 dollars comme honoraires pour le travail de Levin pour le Journal d'Anne Frank.

"Monsieur Frank, qui se trouve en Suisse, a promis de payer à son frère de race, Meyer Levin, 50.000 dollars au moins, parce qu'il avait utilisé, tel quel, le dialogue écrit par l'auteur Levin et l'avait "intégré" dans le journal intime comme si c'était l'oeuvre intellectuelle de sa fille."

D'autres recherches aboutirent à la réponse suivante, datée du 7 mai 1962, d'un bureau d'avocats de New York:

"J'étais l'avocat de Meyer Levin dans l'action qu'il intenta contre Otto Frank et autres. Il est exact qu'un tribunal accorda à Monsieur Levin une somme de 50.000 dollars de dommages et intérêts, comme vous le dites dans votre lettre. Cette décision fit annulée ultérieurement par le juge de première instance Hon. Samuel C. Coleman, invoquant que les dommages n'avaient pas été prouvés de la manière requise par la loi. L'action fut réglée à l'amiable par la suite pendant qu'un appel de la décision du juge Coleman était en cours.

"Je crains que la cause ne soit pas enregistrée officiellement, quant au jugement même, ni la décision du juge Coleman. Certains éléments de la procédure figurent dans le 141 New York Supplement, Second Series 170, et dans le 5 Second Series 181. Le numéro exact du dossier au greffe du comté de New York est le 2241.1956 et le dossier est probablement volumineux..."

Voici donc une nouvelle tromperie dans toute la série de tromperies commises pour soutenir la légende l'"Holocauste" et le mythe des Six Millions. Naturellement, le procès concernant directement l'authenticité du Journal d'Anne Frank n'était pas "enregistré officiellement"!

Nous pouvons citer aussi brièvement un autre "journal" publié peu après celui d'Anne Frank et intitulé: "Notes du ghetto de Varsovie: le journal d'Emmanuel Ringelblum" (New York, 1958). Ringelblum fur un des dirigeants de la campagne de sabotage en Pologne et de la révolte du ghetto de Varsovie en 1943. Il fut arrêté et exécuté en 1944. Le journal de Ringelblum, qui parle des "bruits" habituels qui circulaient au sujet de la prétendue extermination des Juifs en Pologne, fut publié exactement sous les mêmes auspices communistes que les soi-disant mémoires de Hoess. Les éditeurs américains, McGraw-Hill, reconnaissent qu'on refusa de leur montrer le manuscrit original non expurgé par la censure à Varsovie et qu'ils traduisirent donc fidèlement le livre publié en 1952 par le gouvernement communiste de Varsovie.

Toutes les "preuves" de l'Holocauste provenant de sources communistes de ce genre n'ont aucune valeur comme documents historiques.

L'accumulation de mythes

Il y a eu depuis la guerre une production croissante et abondante de littérature à sensation sur les camps de concentration, en majeur partie d'origine juive. Dans chacun de ces livres, on accumule les détails horribles, de plus en plus horribles, on mélange des fragments de vérité avec les fantaisies et les impostures les plus grotesques, et l'on a créé sans rémission une mythologie qui n'a plus, depuis longtemps, aucun rapport avec les faits historiques. Nous avons déjà mentionné ce type de récit -- le livre absurde d'Olga Lengyel Five Chimneys ("24.000 cadavres traités chaque jour"), Doctor at Auschwitz par Miklos Nyizli, qui est manifestement une personne mythique et inventée, This was Auschwitz: The Story of a Murder Camp par Philip Friedman, et ainsi de suite, jusqu'à en avoir la nausée.

Le dernier de cette veine est For Those I Loved ("Au nom de tous les miens") par Martin Gray (Bodley Head, 1973), qui prétend être un récit de ce que l'auteur a vécu au camp de Treblinka en Pologne. Gray s'était spécialisé dans la vente de fausses antiquités destinées aux Etats-Unis avant de se mettre à écrire ses mémoires sur les camps de concentration. Cependant, les circonstances qui entourèrent la publication de son livre furent uniques en leur genre parce que, pour la première fois, un doute sérieux fut jeté sur l'authenticité de son contenu. Même des Juifs, alarmés par le tort qu'il pouvait causer, dénoncèrent son livre comme une tromperie et se demandèrent s'il avait jamais été à Treblinka, tandis que la BBC lui demandait avec insistance pourquoi il avait attendu 28 ans avant d'écrire ses mémoires .

Dans la rubrique "Personal Opinion" du Jewish Chronicle de Londres du 30 mars 1973, tout en condamnant carrément le livre de Gray, on en rajoute allégrement au mythe des Six Millions: "Près d'un million de personnes furent assassinées à Treblinka en un an. On y faisait entrer 18.000 personnes par jour dans les chambres à gaz." Il est vraiment pénible de voir que tant de gens lisent et acceptent ce genre d'absurdité sans réfléchir. Si l'on assassinait 18.000 personnes par jour à Treblinka, il n'aurait fallu que 56 jours pour atteindre le total d'un million de victimes, et non pas un an". Il n'y aurait plus eu alors aucune victime pendant les 10 mois restants de l'année. 18.000 par jour, cela fait 6.480.000 "en un an". Dans ce cas, les Six Millions auraient été tués en 12 mois à Treblinka? Que deviennent alors les prétendus 3 ou 4 millions d'Auschwitz? Ceci nous montre simplement que dès qu'on parvint à faire admettre le chiffre absurde de Six Millions, on pouvait faire toutes les permutations -- impossibles en bonne arithmétique -- qu'on voulait, et que personne ne penserait même pas à les discuter. Dans sa critique du livre de Gray, le Jewish Chronicle nous donne aussi un aperçu révélateur des mensonges sur les chambres à gaz: "Gray rappelle que les sols des chambres à gaz étaient en pente, tandis qu'un autre survivant qui participa à leur construction maintient qu'ils étaient plats..."

Certains livres écrits par d'anciens détenus des camps de concentration offrent une image totalement différente des conditions de vie dans les camps. C'est le cas du livre de Margarete Buber Under Two Dictators (Londres, 1950). Il s'agit d'une Juive allemande qui connut pendant plusieurs années les conditions de vie brutales et primitives des camps soviétiques avant d'être envoyée à Ravensbrück, le camp allemand pour femmes, en août 1940. Elle fait remarquer que, de tous les Juifs de son contingent de rapatriés de l'Union Soviétique, elle fut la seule à ne pas être relâchée directement par la Gestapo. On voit dans son livre le contraste frappant entre les camps soviétiques et les camps allemands; comparativement à la saleté, au désordre et à la famine des camps soviétiques, elle trouva que Ravensbrück était propre, civilisé et bien administré. Les bains réguliers et du linge propre lui parurent un luxe, et son premier repas de pain blanc, saucisse, gruau d'avoine sucre et fruits secs le surprit tellement qu'elle demande a une autre détenue si le 3 août 1940 était un jour férié ou une festivité nationale de l'Allemagne nationale-socialiste. Elle fait remarquer aussi que les baraquements de Ravensbrück étaient très spacieux en comparaison des huttes de terre surpeuplées des camps soviétiques. Au cours des derniers mois de la guerre, en 1945, elle constata la détérioration progressive des conditions de vie du camp, dont nous examinerons les causes plus loin.

Il existe un autre récit pas du tout dans la ligne de la propagande courante. C'est Die Gestapo lasst bitten ("La Gestapo vous demande") par Charlotte Bormann, communiste, prisonnière politique, qui fut internée aussi à Ravensbrück. La révélation certainement la plus importante contenue dans son livre est que les bruits relatifs aux chambres à gaz furent inventés et propagés délibérément par les détenus communistes. Ces communistes refusèrent d'intégrer Margarete Buber dans leur groupe parce qu'elle avait été détenue en Union Soviétique. Autre constatation frappante concernant les procès des "criminels de guerre": on ne permit pas à Margarete Buber de venir témoigner au procès des gardiens du camp de Ravensbrück à Rastadt. C'est ce qui arrivait normalement à ceux qui démentissaient la légende de l'extermination.


8. Nature des camps de concentration pendant la guerre et conditions de vie dans ces camps

Dans son livre récent Adolf Hitler (Londres, 1973) Colin Cross, qui aborde avec plus d'intelligence qu'on n'en rencontre habituellement dans ce domaine plusieurs problèmes de cette période, fait remarquer très intelligemment que "cela ne servait absolument à rien, de n'importe quel point de vue rationnel, de déplacer des millions de Juifs d'un bout à l'autre de l'Europe et de les assassiner, à un moment où l'Allemagne était acculée et faisait la guerre sur plusieurs fronts dans des conditions désespérées" (p.307). Très juste! Il nous est donc permis de nous demander si cette politique déraisonnable était vraisemblable et si elle était même possible. Est-il vraisemblable qu'au plus fort de la guerre, quand les Allemands luttaient désespérément pour survivre, ils aient transporté des millions de Juifs sur des centaines de kilomètres vers des abattoirs humains compliqués et coûteux? Rien que le transport de trois ou de quatre millions de Juifs à Auschwitz (en supposant qu'il y avait autant de Juifs en Europe, ce qui n'était pas le cas) aurait représenté pour le système de transports allemand, sollicité au maximum pour l'approvisionnement de l'immense front de l'Est, une difficulté insurmontable. Le transport, le logement, l'alimentation, l'habillement des Six Millions de Juifs mythiques et des innombrables autres détenus d'autres nationalités dans les camps de concentration auraient paralysé les opérations militaires allemandes, purement et simplement. Rien ne nous permet de supposer que les Allemands si bien organisés et si efficients auraient risqué le sort de la guerre pour cette fantaisie cruelle.

Par contre, le transport à Auschwitz de 363.000 détenus -- chiffre raisonnable qui est le total connu des prisonniers qui furent enregistrés dans ce camp -- pendant les années de guerre est compréhensible en vue de leur mise au travail dans ce complexe industriel. En fait, sur les 3 millions de Juifs qui restaient en Europe, il est certain qu'il n'y en eut jamais plus de 2 millions internés simultanément, et il est probable que ce total se rapprochait beaucoup plus de 1.500.000. Nous verrons plus loin, dans le Rapport de la Croix Rouge, que des populations juives entières, comme en Slovaquie, ne furent pas déportées, tandis que d'autres furent mises dans des ghettos tels que Theresienstadt. En outre, les déportations des Juifs d'Europe occidentale furent beaucoup moins nombreuses. Nous avons déjà fait remarquer que Reitlinger estime qu'il y eut seulement 50.000 Juifs français -- sur 320.000 -- qui furent déportés et internes.

On doit se demander aussi s'il aurait été possible, physiquement, de détruire des millions de Juifs prétendument assassinés. Les Allemands en eurent-ils le temps? Est-il vraisemblable d'imaginer qu'ils auraient incinéré des millions de gens alors qu'ils manquaient tellement de main d'oeuvre et qu'ils avaient besoin de tous les prisonniers de guerre pour produire des armements? Aurait-il été possible de détruire et de faire disparaître toute trace de millions de gens en six mois? Aurait-on pu garder secrètes des concentrations aussi énormes de Juifs et des exécutions sur une si grande échelle? C'est le genre de questions que devrait se poser toute personne sensée, dotée d'esprit critique, qui pense par elle-même au lieu de se laisser influencer par tous les "bourrages de crâne". Cette personne sensée découvrira alors rapidement que la légende des Six Millions est réduite à néant non seulement par les statistiques et les documents probants que nous avons cités dans cette étude, mais aussi par des simples considérations de logistique.

Bien qu'il fût impossible que des millions de détenus eussent été assassinés dans les camps de concentration allemands, on a fortement exagéré la nature de ces camps et les conditions de vie qui y régnaient pour rendre cette affirmation plausible. William Shirer, dans un passage typiquement irréfléchi de son livre, dit que "Tous les trente et quelques principaux camps de concentration nazis étaient des camps de la mort" (ibid, p.1150) . C'est complètement faux et ce n'est même plus accepté maintenant par les principaux propagateurs de la légende de l'extermination. Shirer cite aussi le livre d'Eugen Kogon The Theory and Practice of Hell (N.Y. 1950, p.227) qui fixe le total des morts de tous les camps au chiffre ridicule de 7.125.000 bien que Shirer reconnaisse dans une note au bas de la page que c'est "certainement un chiffre trop élevé".

Les "camps de la mort" derrière le Rideau de Fer

En 1945, la propagande alliée prétendait que tous les camps de concentration, spécialement ceux d'Allemagne même, avaient été des "camps de la mort", mais cela ne dura pas longtemps. Harry Elmer Barnes, éminent historien américain, a écrit à ce sujet: "Ces camps (de la mort) furent présentés d'abord comme les camps d'Allemagne tels que Dachau, Bergen-Belsen, Buchenwald, Sachsenhausen et Dora, mais il fut bientôt démontré qu'il n'y avait pas eu d'extermination systématique dans ces camps. On dirigea alors l'attention vers Auschwitz, Treblinka, Chelmno, Jonowska, Tarnow, Ravensbrück, Mauthausen, Brezeznia et Birkenau, ce qui n'épuise pas cette qui a été allongée suivant le besoin" (Rampart Journal, été 1967). Il s'était passé ceci: des observateurs honnêtes faisant partie des troupes d'occupation britanniques et américaines en Allemagne, qui avaient visite les camps de concentration dans la zone non occupée par l'Armée Rouge, tout en reconnaissant que beaucoup de détenus étaient morts de maladie et de faim au cours des derniers mois de la guerre, n'avaient trouvé aucune trace de "chambres à gaz". Résultat: les camps de l'Est de l'Europe, dans la zone d'occupation soviétique, tels qu'Auschwitz et Treblinka, furent places alors sur le devant de la scène dans le rôle de "centres d'extermination" horribles (bien que personne ne fût autorisé à aller les visiter), et cette tendance s'est maintenue jusqu'à présent. On prétend que toutes les horreurs possibles et imaginables se passèrent dans ces camps, mais comme il y a un Rideau de Fer bien solide à la ligne de démarcation, personne ne put jamais le vérifier. Les communistes prétendirent que 4 millions de détenus furent tués à Auschwitz dans des chambre à gaz gigantesques pouvant contenir 2000 personnes, et personne ne pouvait prouver le contraire.

Quelle est la vérité sur les soi-disant "chambres a gaz?

Stephen F. Pinter, qui fut pendant 6 ans juriste du Ministère de la Guerre des Etats-Unis pour les forces d'occupation en Allemagne et en Autriche, publia la déclaration suivante dans la revue catholique de très grande diffusion Our Sunday Visitor du 14 juin 1959:

"J'ai été à Dachau pendant 17 mois après la guerre comme juriste du Ministère de la Guerre des Etats-Unis, et je peux affirmer qu'il n'y avait pas de chambre a gaz à Dachau. C'était un four crématoire qu'on montrait aux visiteurs en leur disant que c'était une chambre à gaz. Il n'y eut pas non plus de chambre à gaz dans les autres camps de concentration d'Allemagne. On nous raconta qu'il y avait une chambre à gaz à Auschwitz, mais comme c'était la zone d'occupation soviétique, nous ne pûmes pas y faire une enquête puisque les Soviétiques nous refusèrent l'autorisation d'y aller. D'après ce que j'ai pu déterminer pendant les six années que j'ai passées en Allemagne et en Autriche après la guerre, il y eut un certain nombre de Juifs tués, mais ce chiffre n'atteignit certainement jamais un million. J'ai interrogé des milliers de Juifs qui avaient été enfermés dans des camps de concentration en Allemagne et en Autriche, et je me considère comme étant très qualifié pour parler de cette question." C'est là un son de cloche très différent de la propagande habituelle. L'histoire du four crématoire présenté comme une "chambre à gaz" est très intéressante car c'est un truc qui s'est employé souvent puisqu'on n'a jamais retrouvé de "chambre à gaz" dans ces camps. On utilise aussi délibérément le terme trompeur de gasofen (four à gaz) pour faire confondre une chambre à gaz avec un four crématoire. Celui-ci était habituellement un four normal semblable aux fours crématoires utilisés actuellement dans tous les cimetières; on l'employait tout simplement pour incinérer les cadavres des personnes mortes au camp à la suite de diverses causes naturelles, de maladies infectieuses spécialement. Ce fait fut prouvé d'une façon concluante par le cardinal Faulhaber, archevêque de Munich. Il fit savoir aux Américains que 30.000 personnes avaient été tuées à Munich au cours des bombardements alliés de septembre 1944. L'archevêque demanda alors aux autorités allemandes d'incinérer les corps des victimes dans le four crématoire du camp de Dachau, mais on lui répondit que c'était impossible puisqu'il n'y avait qu'un seul four qui ne pouvait pas incinérer autant de cadavres. Il est donc bien évident que ce même four était tout aussi insuffisant pour incinérer les 238.000 cadavres de Juifs qui, prétend-on, auraient été brûlés à Dachau. Pour y parvenir, ce four crématoire aurait dû fonctionner jour et nuit pendant 326 années et l'on aurait recueilli 530 tonnes de cendres.

Le nombre de morts diminue

Les totaux du nombre de détenus morts à Dachau, tels qu'ils furent présentés successivement au public, sont un exemple typique du genre d'exagérations qui furent corrigées depuis lors d'une manière radicale. En 1946, Philip Auerbach, Secrétaire d'Etat juif du gouvernement bavarois qui, entre parenthèses, fut reconnu coupable par la suite de s'être approprié des sommes qu'il avait réclamées à titre de dommages et intérêts pour des Juifs qui n'existaient pas, dévoila une plaque au camp de Dachau rappelant le souvenir des 238.000 personnes incinérées à cet endroit. Depuis lors, le chiffre officiel des morts a dû être corrigé constamment vers le bas et se situe maintenant à 20.600 seulement, décès dus principalement au typhus et à la famine, uniquement à la fin de la guerre. Nous en sommes donc à 10% du chiffre initial, et l'on continuera certainement à corriger ce total, opération qui se fera un jour sur le chiffre légendaire de 6 millions. L'estimation actuelle du total des décès à Auschwitz nous offre un autre exemple de diminution impressionnante. Même Reitlinger ne croit plus à l'absurdité des 3 ou 4 millions de morts. Il ramène maintenant ce chiffre à 600.000, et bien que ce total soit encore extrêmement exagéré, c'est une réduction significative par rapport à 4 millions et l'on peut s'attendre à de nouvelles rectifications. Quant à Shirer, il cite cette dernière estimation de Reitlinger sans remarquer qu'elle ne cadre pas avec ce qu'il affirme plus haut, à savoir que 300.000 Juifs hongrois environ -- donc la moitié des 600.000 -- "auraient été tués en 46 jours", encore un bel exemple du genre d'insanités qu'on écrit sur ce sujet.

Des conditions humaines

La mort de plusieurs milliers de détenus des camps de concentration pendant les derniers mois chaotiques de la guerre nous incite à nous demander: "Quelles étaient les conditions de vie dans les camps de concentration pendant la guerre?"

Ces conditions ont été déformées et falsifiés délibérément dans d'innombrables livres extrêmement sinistres et déplaisants. Le rapport de la Croix Rouge, que nous examinerons plus loin, démontre de façon probante que les camps étaient bien administrés pendant la guerre. Les détenus qui travaillaient recevaient une ration quotidienne de 2750 calories au moins, même en 1943 et 1944, soit plus que le double de la ration moyenne des civils en Allemagne occupée à partir de 1945. Les détenus recevaient régulièrement des soins médicaux et ceux qui tombaient gravement malades étaient transférés à l'hôpital. Contrairement à ce qui se passait dans les camps soviétiques, tous les détenus pouvaient recevoir des colis de la Croix Rouge (nourriture, vêtements, médicaments). La Justice du 3· Reich fit des enquêtes poussées dans tous les cas d'arrestations, et les personnes qui étaient reconnues innocentes étaient libérées; les détenus reconnus coupables de crimes graves dans le camp étaient jugés par des cours martiales et exécutés; les Archives Fédérales de Coblence contiennent une directive de Himmler de janvier 1943 concernant ces exécutions et soulignant "qu'on ne doit pas permettre de brutalités" (Manvell & Frankl, ibid, p.312). Il y eut parfois des cas de brutalité, mais ils firent l'objet d'une enquête immédiate et minutieuse du juge SS Dr. Konrad Morgen de la Police Criminelle du Reich qui avait pour tâche d'enquêter sur les irrégularités commises dans les camps. C'est Morgen qui exerça des poursuites contre Koch -- commandant de Buchenwald -- en 1943, pour des cruautés qui furent commises dans son camp, et il y eut un procès public. Oswald Pohl, l'administrateur des camps de concentration, qui fut traité si durement à Nuremberg, était partisan de la peine de mort pour Koch, fait très significatif. En fait, le tribunal SS condamna Koch à mort mais lui offrit la possibilité d'aller combattre au front de l'Est. Cependant, avant qu'il puisse choisir cette solution, le prince Waldeck, chef de la SS du district, le fit exécuter. Ce cas nous prouve amplement avec quelle sévérité la SS jugeait les actes de brutalités inutiles. Plus de 800 cas de ce genre firent l'objet d'enquêtes et de jugements par des tribunaux SS. Morgen déclara à Nuremberg qu'il avait parlé confidentiellement avec des centaines de détenus pour connaître les conditions qui régnaient dans les camps. Il trouva peu de détenus sous-alimentés, sauf dans les hôpitaux, et il constata que la cadence de travail et le rendement des détenus étaient beaucoup plus faibles que ceux des ouvriers allemands. Nous avons déjà présenté les témoignages de Pinter et du cardinal Faulhaber réfutant les accusations d'extermination à Dachau, et nous avons vu comment on corrige continuellement le total des morts de Dachau pour le ramener à des chiffres plus vraisemblables. En fait, le camp de Dachau, près de Munich, est un exemple assez typique de ces lieux de détention. Ernst Ruff, dirigeant communiste, déclara le 18 avril 1947 devant le Tribunal de Nuremberg, que les prisonniers de Dachau étaient traités humainement sur les chantiers, dans les usines et au camp même. Jan Piechowiak, un des chefs de la Résistance polonaise, détenu à Dachau du 22 mai 1940 au 29 avril 1945, déclara aussi le 21 mars 1946 que les prisonniers y étaient bien traités et que les SS du camp étaient "bien disciplinés". Berta Schirotschin travailla au service de ravitaillement du camp de Dachau pendant toute la guerre; elle déclara que les détenus qui travaillaient reçurent jusqu'au début de 1945, et malgré les privations croissantes en Allemagne, leur 2· petit déjeuner réglementaire à 10 h tous les matins.

Des centaines de déclarations sous serment faites pour les procès de Nuremberg témoignent des conditions humaines qui régnaient dans les camps de concentration, mais on a toujours mis en évidence les témoignages défavorables susceptibles d'être utilisés par la propagande antiallemande. Ces documents révèlent aussi que les témoins juifs, pleins de ressentiment à cause de leur déportation et de leur internement dans des camps, avaient tendance à exagérer fortement les rigueurs des conditions de détention, tandis que des prisonniers politiques d'autres nationalités, tels que ceux que nous venons de citer, présentaient généralement les choses avec plus de pondération. Dans plusieurs cas, on ne permit pas à des anciens détenus, comme Charlotte Bormann, dont la relation des faits ne concordait pas avec l'image de propagande fabriquée à Nuremberg, de venir témoigner.

Le chaos inévitable

La situation ordonnée qui régnait dans les camps de concentration allemands se détériora lentement au cours des derniers mois terribles de la guerre en 1945. Le rapport de la Croix Rouge de 1948 explique que les bombardements systématiques des Allies paralysèrent les transports et les communications, le ravitaillement ne parvenait plus dans les camps et le manque de nourriture fit périr un nombre croissant de personnes, non seulement dans les camps, mais aussi parmi la population civile. Il faut y ajouter une grande surpopulation dans les camps (à cause des transferts des camps de l'Est) et les épidémies de typhus qui en résultèrent. Des colonnes de détenus épuisés arrivèrent dans les camps d'Allemagne où les prisonniers supportaient déjà de grandes privations. Le camp de Bergen-Belsen, près de Brème, se trouva dans une situation particulièrement chaotique à partir de janvier 1945, et le médecin de Himmler, Felix Kersten, explique que la réputation de "camp de la mort" faite à Bergen-Belsen fut due uniquement à la terrible épidémie de typhus qui s'y déclara en mars 1945. (Memoirs 1940-1945, Londres 1956). Il est certain que ces conditions effrayantes furent la cause de plusieurs milliers de décès, et ce sont ces conditions qui sont reflétées par ces photos d'êtres humains décharnés et de tas de cadavres que les propagandistes publient et republient à plaisir sous le titre de "victimes de la politique d'extermination nazie".

Une appréciation étonnamment honnête de la situation à Bergen-Belsen en 1945 fut publiée dans History of the Second World War de Purnell (Vol.7, N· 15) par le docteur Russell Barton,actuellement directeur et psychiatre du Severalls Hospital, Essex. Il passa un mois dans ce camp après la guerre comme étudiant en médecine. Son récit montre très clairement quelles furent les véritables causes de la mortalité dans ces camps vers la fin de la guerre et comment survinrent des conditions aussi pénibles. Le Dr Barton explique que le général Glyn Hughes, officier médecin britannique qui prit le commandement de BergenBelsen en 1945 "ne pensait pas qu'il y avait eu des atrocités au camp" malgré la discipline et le travail pénible. "La plupart des gens", écrit le Dr Barton, "attribuaient les conditions de vie des détenus à une intention délibérée des Allemands... Les détenus désiraient vivement citer des exemples de brutalité et de négligence des gardiens, et les journalistes qui les interviewaient interprétaient la situation suivant les besoins de la propagande dans leur pays." Le Dr Barton explique cependant très bien que la famine et la maladie étaient inévitables dans les conditions de la fin de la guerre qui existèrent seulement dans les tout derniers mois. "D'après ce que nous racontaient les prisonniers, il semblait que les conditions ne furent pas trop mauvaises au camp jusque vers la fin de 1944. Les baraquements étaient installés parmi des pins et il y avait dans chaque baraquement des toilettes, lavabos, douches et poêles pour le chauffage." Il explique aussi la cause du manque de nourriture. "Des médecins militaires allemands me racontèrent qu'il était devenu de plus en plus difficile de transporter du ravitaillement au camp depuis quelques mois. Les avions alliés mitraillaient et bombardaient tous les véhicules sur les routes... Je fus surpris de trouver des rapports portant sur deux ou trois ans, notant les grandes quantités de nourriture utilisées pour la préparation des repas à la cuisine. J'acquis alors la conviction, contrairement à l'opinion répandue, qu'il n'y avait jamais eu de politique visant délibérément à affamer les détenus. J'en eus la confirmation en voyant le grand nombre de détenus bien nourris. Pourquoi donc y en avait-il tant qui étaient sous-alimentés?... Les raisons principales de la situation de Bergen-Belsen à la fin de la guerre furent la maladie, le surpeuplement à cause de l'arrivée des détenus des camps de l'Est, l'absence de discipline dans les baraquements et l'approvisionnement insuffisant en nourriture, en eau et en médicaments." L'indiscipline provoqua des bagarres à cause de la distribution de la nourriture: les Anglais durent tirer à la mitrailleuse et faire passer leurs tanks et leurs voitures blindées dans les rues du camp pour calmer les esprits. Indépendamment des décès inévitables dans ces circonstances, Glyn Hughes estimait qu'il y avait eu environ "1000 détenus qui moururent à cause de l'abondance soudaine de nourriture, les soldats anglais leur distribuant leurs propres rations et leur chocolat." Ayant été lui-même à Bergen-Belsen juste après la fin de la guerre, le Dr Barton est donc très averti quant aux mensonges de la mythologie des camps de concentration et il conclut: "Pour essayer de déterminer les causes des conditions découvertes à Bergen-Belsen, il fallait éviter de se laisser prendre par l'étalage horriblement spectaculaire des tas de cadavres faméliques qui étaient vraiment un ''morceau de choix'' pour la propagande alliée." "Parler naïvement des conditions qui régnaient dans les camps à la fin de la guerre, comme si elles avaient dépendu uniquement de la ''bonté'' ou de la ''méchanceté'' des uns et des autres, c'est montrer qu'on ignore complètement des éléments du problème..."

Photos truquées

Cette propagande ne se contenta pas d'utiliser des situations réelles telles que celles de Bergen-Belsen à la fin de la guerre: elle utilisa et elle utilise encore des photos et des films d'atrocités entièrement truqués. En effet, les conditions terribles de Bergen-Belsen se retrouvèrent dans très peu de camps qui, pour la plupart, échappèrent aux pires difficultés et dont tous les détenus survécurent en bonne santé. On utilisa donc carrément des faux pour exagérer les conditions d'horreur. Un cas saisissant d'un faux de ce genre fut révélé dans la revue britannique Catholic Herald du 29 octobre 1948: à Kassel, on obligea tous les Allemands à assister à la projection d'un film sur les "atrocités" de Buchenwald. Un médecin de Göttingen se reconnut sur l'écran en train de soigner les victimes, mais il n'avait jamais été a Buchenwald! Après un moment d'ahurissement, il se rendit compte qu'il venait de voir des scènes d'un reportage tourné par les Allemands eux-mêmes après les terribles bombardements de Dresde par les Alliés le 13 février 1945, où ce médecin avait prêté son aide. Ce film fut projeté à Kassel le 19 octobre 1948. Après les bombardements de Dresde qui firent 135.000 victimes, pour la plupart des réfugiés de l'Est, femmes et enfants, les corps des victimes furent mis en tas de 400 à 500 cadavres et on les fit brûler plusieurs semaines. Telles étaient les scènes, soi-disant de Buchenwald, que le médecin avait reconnues.

La confection de photos truquées représentant des atrocités de la guerre n'est pas neuve. Nous renvoyons a cet effet le lecteur au livre d'Arthur Ponsonby, Falsehood in Wartime (Londres, 1928), qui présente les photos truquées des "atrocités" allemandes de la Première Guerre Mondiale. Ponsonby cite notamment "l'usine à cadavres" et "le bébé belge aux mains coupées" qui rappellent de façon frappante la propagande sur les "atrocités nazies". F. J. P. Veale explique dans son livre que le faux "pot de savon humain" présenté solennellement par l'accusateur public soviétique au procès de Nuremberg faisait le pendant avec la fameuse invention des Anglais, en 14-18, de "l'usine à cadavres" ou ces vampires de Teutons, déterreurs de cadavres, produisaient, disait-on, divers articles au moyen de la transformation chimique des cadavres (Veale, ibid, p.192). Cette accusation inventée de toutes pièces par les Anglais fut une de celles pour lesquelles le gouvernement britannique présenta ses excuses à l'Allemagne après 1918. On en fit une nouvelle mouture après 1945 avec les abat-jour en peau humaine qui étaient certainement "de la même farine" que le "savon humain" des philantropes soviétiques! En fait, Manvell et Frankl reconnaissent à contre-coeur que l'abat-jour "en peau humaine" présenté comme preuve au procès de Buchenwald "apparut plus tard être d'origine douteuse" (The Incomparable Crime, p.84). Cette histoire d'abat-jour figurait dans une "déclaration écrite tenant lieu de serment" d'un certain Andreas Pfaffenberger -- nous avons parlé au début de ces "déclarations tenant lieu de serment" -- mais en 1948, le général américain Lucius Clay reconnut que ces déclarations utilisées pour le procès étaient pour la plupart de "simples ouï-dire" (non admissibles en justice); c'est ce qu'une enquête plus poussée avait permis de constater.

Il existe une brochure excellente sur les photos truquées d'atrocités du Mythe des Six Millions: Bild 'Dokumente' für die Geschichtsschreibung? du Dr. Udo Walendy (Vlotho/Weser, 1973), et nous reproduisons ci-contre un des nombreux exemples cités. L'origine de la première photo est inconnue, mais la deuxième est un montage photographique. Un examen attentif montre immédiatement que les personnes debout proviennent de la première photo et qu'on a surimprimé un tas de cadavres devant ces personnes. Il n'y a plus de palissade derrière et l'on obtient ainsi une "photo" d'atrocité toute neuve. Ce faux vulgaire et grossier est une illustration de la page 341 du livre de R. Schnabel sur la SS Macht ohne Moral: eine Dokumentation über die SS (Francfort, 1957), avec la légende "Mauthausen". (Walendy cite 18 autres exemples de faux dans le livre de Schnabel). La même photo fut publiée dans les Proceedings of the International Military Tribunal, Vol.XXX, p.421, en prétendant également que c'était une photo prise au camp de Mauthausen. On la retrouve, sans légende, dans le livre d'Eugene Aroneanu Konzentrationslager, Document F.321 pour le Tribunal International de Nuremberg; dans le livre de Heinz Kuhnrich Der KZ-Staat (Berlin, 1960, p.81); dans celui de Vaclav Berdych Mauthausen (Prague, 1959); et dans celui de Robert Neumann Hitler-Aufstieg und Untergang des Dritten Reiches (Munich, 1961).


9. Les Juifs et les camps de concentration: une appréciation de la Croix Rouge basée sur les faits

Il existe une étude de la question juive en Europe pendant la Deuxième Guerre Mondiale et des conditions de vie dans les camps de concentration allemands qui est presque unique dans son genre par son honnêteté et son objectivité. Il s'agit du Rapport en trois volumes du Comité International de la Croix Rouge sur ses activités pendant la Deuxième Guerre Mondiale, Genève, 1948. Ce compte rendu complet provenant d'une source entièrement neutre comprend et étend les constatations de deux ouvrages précédents: Documents sur l'activité du CICR en faveur des civils détenus dans les camps de concentration en Allemagne 1939-1945 (Genève, 1946) et Inter Arma Caritas: the Work of the CICR during the Second World War (Genève, 1947). Le groupe d'auteurs, dirigé par Frédéric Siordet, explique au début du Rapport qu'il s'est inspiré d'une stricte neutralité politique, dans la tradition de la Croix Rouge, et c'est en cela que réside sa grande valeur.

Le CICR réussit à faire appliquer la convention militaire de Genève de 1929 pour pouvoir visiter les détenus civils des camps allemands d'Europe Centrale et d'Europe Occidentale. Par contre, il lui fut impossible d'aller faire une enquête en Union Soviétique puisque ce pays n'avait pas ratifié la Convention. Les millions de prisonniers civils et militaires de l'Union Soviétique dont les conditions de vie étaient, comme chacun sait, de loin les plus pénibles de toutes, étaient complètement coupés de tout contact ou contrôle international.

Le Rapport de la Croix Rouge est précieux parce qu'il fait d'abord la lumière sur les circonstances légitimes de la détention des Juifs dans des camps de concentration, c'est-à-dire comme citoyens d'un pays ennemi. En décrivant les deux catégories de civils internés, le Rapport qualifie le deuxième type de "civils déportés pour des raisons administratives (en allemand: Schutzhäftlinge = en détention préventive) qui avaient été arrêtés pour des motifs politiques ou raciaux parce que leur présence était considérée comme un danger en puissance pour l'Etat ou pour les troupes d'occupation" (Vol.III, p.73). Le Rapport poursuit: "Ces personnes étaient assimilées aux personnes arrêtées ou emprisonnées en vertu du droit commun pour des raisons de sécurité" (p.74). Le Rapport reconnaît que les Allemands furent d'abord peu disposés à permettre à la Croix Rouge d'aller surveiller des personnes détenues pour la sécurité de l'Etat, mais qu'à partir du 2· semestre de 1942, le CICR obtint des concessions importantes de l'Allemagne. On l'autorisa à distribuer des colis de vivres dans les grands camps de concentration à partir du mois d'août 1942, et à partir de février 1943, cette concession fut étendue à tous les autres camps et à toutes les autres prisons" (Vol.III, p.78). Le CICR établit bientôt le contact avec les commandants des camps et entama un programme d'envoi de vivres qui fonctionna jusqu'aux derniers mois de la guerre en 1945 ainsi qu'en témoignent des lettres de remerciement envoyées par milliers par des Juifs détenus dans les camps.

Les Juifs reçurent les colis de la Croix Rouge

Le Rapport signale que "9.000 colis étaient emballés chaque jour. A partir de l'automne de 1943 jusqu'à mai 1945, 1.112.000 colis environ, représentant un poids total de 4.500 tonnes, furent envoyés aux camps de concentration" (Vol.III, p.80). En plus des colis de vivres, on expédia des colis de vêtements et de produits pharmaceutiques. "Des colis furent envoyés à Dachau, Buchenwald, Sangerhausen, Sachsenhausen, Oranienburg, Flossenburg, Labdsberg-am-Lech, Floha, Ravensbrück, Hamburg-Neuengamme, Mauthausen, Theresienstadt, Auschwitz, Bergen-Belsen, à des camps situes près de Vienne et dans le centre et le sud de l'Allemagne. Ils furent destinés surtout à des Juifs belges, hollandais, français. grecs, italiens, norvégiens, polonais et apatrides" (Vol.III, p.83). Au cours des années de guerre, "le Comité put faire transporter et distribuer des marchandises valant plus de 20 millions de francs suisses collectés par des organisations juives de bienfaisance dans le monde entier, spécialement par le comité de New York American Joint Distribution Committee" (Vol. I, p.644). Jusqu'à l'entrée en guerre des Etats-Unis, ce comité de New York fut autorisé par les Allemands à avoir ses bureaux à Berlin. Le CICR se plaint de ce que son action de grande envergure d'aide aux détenus juifs fut entravée non pas par les Allemands, mais par le blocus étroit de l'Europe par les Alliés. La Croix Rouge acheta la majeure partie des vivres en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie. Le CICR a des éloges particuliers pour les conditions de vie libérales qui régnaient à Theresienstadt jusqu'aux dernières visites des délégués du Comité en avril 1945. Ce camp, "où vivaient environ 40.000 Juifs déportés de divers pays, était un ghetto relativement privilégié" (Vol.III, p.75). Suivant le Rapport, "les délégués purent visiter le camp de Theresienstadt (Terezin) ou vivaient exclusivement des Juifs et ou régnaient des conditions spéciales. D'après les renseignements recueillis par le Comité, ce camp avait été créé à titre expérimental par certains dirigeants du Reich qui voulaient donner aux Juifs la possibilité de vivre en commun dans une ville administrée par eux-mêmes et possédant une autonomie presque complète... deux délégués purent visiter le camp le 6 avril 1945. Ils confirmèrent l'impression favorable de leur première visite" (Vol.I, p.642).

Le CICR loue aussi le régime d'Ion Antonescu de la Roumanie fasciste où le Comité put apporter une aide spéciale à 183.000 Juifs roumaine jusqu'à l'occupation du pays par les troupes soviétiques... qui signifia la fin de cette action humanitaire, et le CICR se plaint amèrement de n'avoir jamais réussi à envoyer quoi que ce soit en Union Soviétique" (Vol.I, p.62). Ce fut le cas aussi pour plusieurs camps de concentration allemands après leur "libération" par l'Armée Rouge. Le CICR reçut une correspondance volumineuse d'Auschwitz, jusqu'au moment de l'occupation soviétique. Une partie des détenus fut évacuée vers l'Ouest, mais les efforts de la Croix Rouge pour envoyer des colis aux détenus restés à Auschwitz occupé par l'Armée Rouge furent vains. Cependant, des colis de vivres furent encore envoyés à des anciens détenus d'Auschwitz transférés à l'Ouest dans des camps tels que Buchenwald et Oranienburg.

Aucune preuve d'un génocide

Un des aspects les plus importants du Rapport de la Croix Rouge est qu'il fait la lumière sur la véritable cause des nombreux décès dans les camps vers la fin de la guerre: "Dans les conditions chaotiques de l'Allemagne après l'invasion, pendant les derniers mois de la guerre, plus aucun ravitaillement n'arrivait dans les camps de concentration et il y eut de plus en plus de détenus qui moururent d'épuisement. Alarmé par cette situation, le gouvernement allemand lui-même en informa finalement le CICR le 1er février 1945. En mars 1945, des entretiens du Président du CICR avec Kaltenbrunner, général de la SS, eurent des résultats encore plus décisifs. Les colis de vivres purent désormais être distribués par le CICR et un délégué de la Croix Rouge fut autorisé à séjourner dans chaque camp..." (Vol.III, p.83). Il est donc évident que les autorités allemandes faisaient tout leur possible pour remédier à cette situation désastreuse. Le Croix Rouge précise que le ravitaillement des camps fut interrompu à cause des attaques de l'aviation alliée sur toutes les voies de communication, et dans l'intérêt des détenus juifs, la Croix Rouge protesta le 15 mars 1944 contre "la guerre aérienne barbare des Alliés" (Inter Arma Caritas, p.78). Le 2 octobre 1944, le CICR avertit le Foreign Office de l'effondrement imminent du système de transport allemand en déclarant qu'il entraînerait inévitablement la famine pour tous ceux qui se trouvaient en Allemagne à l'époque.

L'examen de ce volumineux Rapport en trois volumes nous montre -- et il importe de le souligner -- que les délégués de la Croix Rouge Internationale n'ont trouvé aucune preuve, dans les camps de concentration des pays européens occupés par l'Allemagne, d'une politique délibérée d'extermination des Juifs. Il n'est fait mention nulle part, dans les 1.600 pages du Rapport, d'une chose telle qu'une chambre à gaz. Le rapport reconnaît que les Juifs, comme beaucoup d'autres peuples pendant la guerre, ont subi les rigueurs de la vie dans les camps et ont souffert de privation, mais le silence complet du rapport sur une extermination voulue et planifiée réfute amplement la légende des Six Millions. Comme les délégués du Vatican avec qui elle a travaillé, La Croix Rouge Internationale estime qu'il lui était impossible à la campagne irresponsable menée partout à grand fracas pour accuser l'Allemagne nazie d'avoir appliqué une politique de génocide.

Quant au taux réel de la mortalité, le Rapport explique qu'on utilisa les services de la plupart des médecins juifs des camps pour lutter contre le typhus sur le front de l'Est, de sorte que ces médecins n'étaient pas dans les camps quand les épidémies de typhus s'y déclarèrent en 1945 (Vol. I, p.204 ff). On prétend souvent, par ailleurs, que des exécutions en masse eurent lieu dans des chambres à gaz habilement maquillées en salles de douches. Le Rapport réduit aussi à néant cette allégation.

"Les délégués visitèrent non seulement les lavabos, mais aussi les installations de bain, les douches et la blanchisserie. Ils durent intervenir souvent pour faire améliorer les appareils et pour les faire réparer ou agrandir" (Vol. III, p.594).

Ils ne furent pas tous détenus

Le Volume III du Rapport de la Croix Rouge, chapitre 3 (I. Population civile juive) traite de "l'aide apportée aux Juifs de la population libre"; ce chapitre montre clairement que tous les Juifs d'Europe ne furent certainement pas internés mais restèrent parmi la population civile en étant soumis à certaines restrictions. Ceci contredit nettement le soi-disant "perfectionnisme" du prétendu "programme d'extermination", et ce qui est affirmé dans les faux mémoires de Hoess, à savoir qu'Eichmann était obsédé par l'idée d'arrêter "absolument tous les Juifs qu'il pourrait attraper." En Slovaquie, par exemple, où l'adjoint d'Eichmann, Dieter Wisliceny, exerçait ses fonctions, le Rapport spécifie qu'"une grande partie de la minorité juive fut autorisée à rester dans le pays, et à certaines périodes, la Slovaquie fut considérée comme un hâvre relatif pour les Juifs, spécialement pour ceux qui venaient de Pologne. Les Juifs qui restèrent en Slovaquie semblent avoir été relativement en sûreté jusqu'à la fin du mois d'août 1944, quand il se produisit un soulèvement contre les troupes allemandes. Il est vrai que la loi du 15 mai 1942 avait entraîné l'internement de plusieurs milliers de Juifs, mais on les mit dans des camps où les conditions de nourriture et de logement étaient tolérables et où les détenus pouvaient travailler en étant payés dans des conditions presque égales à celles de l'extérieur" (Vol.I, p.646).

Parmi les 3 millions de Juifs à peu près qui se trouvaient en Europe pendant la guerre, il y en eut non seulement pas mal qui ne furent pas détenus, mais une partie d'entre eux put continuer à émigrer pendant toute la guerre, généralement via la Hongrie, la Roumanie et la Turquie. Ironie du sort, cette émigration, à partir des territoires occupés par les Allemands, fut facilitée aussi par le Reich, comme dans le cas des Juifs polonais arrivés en France avant l'occupation de ce pays. "Les Juifs de Pologne qui avaient obtenu, quand ils étaient en France, des permis d'entrée aux Etats-Unis, furent considérés comme des citoyens américains par les autorités allemandes d'occupation qui acceptèrent ultérieurement de reconnaître la validité d'environ trois mille passeports remis à des Juifs par des consulats de pays d'Amérique Latine" (Vol.I, p.645). Comme futurs citoyens américains, ces Juifs furent rassemblés au camp de Vittel réservé aux citoyens américains. L'émigration de Juifs européens à partir de la Hongrie, en particulier, se poursuivit pendant la guerre, sans entraves des autorités allemandes. "Jusqu'au mois de mars 1944", dit le Rapport de la Croix Rouge, (des Juifs qui avaient le privilège de posséder des visas pour la Palestine furent autorisés à quitter la Hongrie" (Vol.I, p.648). Même après le remplacement du gouvernement Horthy en 1944 (il voulait conclure un armistice séparé avec l'Union Soviétique) par un gouvernement qui dépendait davantage de l'autorité allemande, l'émigration de Juifs continua. Le Comité obtint les promesses de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis "d'aider par tous les moyens l'émigration des Juifs à partir de la Hongrie", et le CICR reçut un message du gouvernement américain: "Le gouvernement des Etats-Unis répète de façon précise qu'il fera le nécessaire pour prendre soin de tous les Juifs qui sont autorisés à partir dans les circonstances actuelles" (Vol.I, p.649).


10. Enfin la vérité ! L'oeuvre de Paul Rassinier

L'oeuvre de l'historien français Paul Rassinier fut sans aucun doute la contribution la plus importante à une étude véridique de la question de l'"extermination". La valeur remarquable de cette oeuvre réside premièrement dans le fait que Rassinier fut lui-même détenu dans les camps de concentration et aussi qu'il était moins disposé que quiconque à défendre Hitler et la national-socialisme puisque Rassinier était un intellectuel socialiste antinazi. Pourtant, soucieux de défendre la justice et la vérité historique, Rassinier consacra les années d'après-guerre jusqu'à sa mort, survenue en 1966, à poursuivre des recherches dont l'aboutissement fut la réfutation complète du mythe des Six Millions et de la légende du nazisme diabolique. De 1933 à 1943, Rassinier fut professeur d'histoire au lycée de Belfort, Académie de Besançon. Pendant la guerre, il fit de la Résistance et fut arrêté par la Gestapo le 30 octobre 1943; il fut détenu à Buchenwald et à Dora jusqu'à la fin de la guerre. Atteint du typhus à Buchenwald, vers la fin de la guerre, il ne put se rétablir complètement et dut abandonner son travail dans l'enseignement. Décoré de la Médaille de la Résistance et de la Reconnaissance Française, élu député à l'Assemblée Constituante dont les communistes parvinrent à le faire évincer en novembre 1946. Rassinier entreprit alors une analyse systématique des prétendues atrocités allemandes, en particulier de la prétendue "extermination" des Juifs. Ses livres sont peu connus, ce qui ne doit pas nous surprendre. Aucun de ses livres n'a été publié en anglais. Titres les plus importants: Le Mensonge d'Ulysse, une étude des conditions de vie dans les camps de concentration basée sur sa propre expérience; Ulysse trahi par les Siens, suite du premier livre poursuivant la réfutation des impostures des propagandistes anti-allemands. Le véritable Procès Eichmann, le Drame des Juifs européens, dans lequel Rassinier montre au moyen d'une analyse statistique soigneuse comment on a déformé les faits de façon malhonnête et irréfléchie; il examine aussi dans ce livre les conséquences politiques et financières de la légende de l'extermination et son exploitation par Israël et par les pays communistes. (Autres livres de Rassinier: Les Responsables de la Seconde Guerre Mondiale", L'Opération "Vicaire", etc. etc. N.d.T.)

Un des nombreux mérites de l'oeuvre de Rassinier est d'avoir démontré la fausseté du mythe de la "méchanceté", uniques en leur genre, des Allemands. Il révèle au moyen d'arguments accablants comment on a fait disparaître la vérité historique dans un brouillard impénétrable de propagande partisane. Il démontre de façon concluante que le sort des Juifs pendant la Deuxième Guerre Mondiale dégagé de la déformation des faits et ramené à ses justes proportions, perd son "énormité" tant proclamée et devient seulement un acte d'une tragédie beaucoup plus grande et plus vaste. Au cours d'une grande tournée de conférences en Allemagne Occidentale au printemps de 1960, Rassinier dit qu'il était grand temps que renaisse la vérité sur l'"extermination" et que c'étaient les Allemands eux-mêmes qui devaient entreprendre cette tache puisque cette accusation restait aux yeux du monde entier une tache -- absolument injustifiable -- sur le blason de l'Allemagne.

L'imposture des "chambres a gaz"

Le titre Le Mensonge d'Ulysse fait allusion aux histoires incroyables contées par ceux qui reviennent de pays lointains ("a beau mentir qui vient de loin"). Jusqu'à sa mort Rassinier lut tout ce qui se publiait sur l'"extermination" et il essaya de retrouver ou de rencontrer les auteurs de ces histoires. Il fit justice des affirmations extravagantes de David Rousset qui prétendait dans son livre The Other Kingdom (New York, 1947) qu'il y avait des chambres à gaz à Buchenwald; ayant été lui-même à Buchenwald, Rassinier prouva qu'il n'y eut jamais de chambres à gaz dans ce camp (Le Mensonge d'Ulysse, p .209 ff ) . Rassinier interpella aussi l'abbé Jean-Paul Renard qui avait affirmé la même chose dans son livre Chaînes et Lumières. L'abbé Renard lui répondit que d'autres lui avaient dit qu'il y en avait..! (ibid, p.209 ff). Rassinier disséqua aussi le livre de Denise Dufournier Ravensbrück: The Women's Camp of Death (Londres, 1948) et découvrit également que l'auteur n'avait d'autres preuves de l'existence de chambres à gaz que de vagues "bruits" qui, selon Charlotte Bormann, furent lancés délibérément par les détenus communistes. Il aboutit au même résultat avec les livres de Philip Friedman This was Auschwitz: The Story of a Murder Camp (N.Y., 1946) et d'Eugen Kogon The Theory and Practice of Hell (N.Y., 1950): aucun de ces auteurs ne pouvait présenter un témoin oculaire authentique d'une chambre à gaz d'Auschwitz et ils n'avaient jamais vu de chambres à gaz eux-mêmes. Kogon prétend qu'une ancienne détenue, décédée, Janda Weiss, lui avait dit, rien qu'à lui, qu'elle avait vu des chambres a gaz à Auschwitz, mais, naturellement, puisque cette personne était décédée -- disait Kogon -- Rassinier ne pouvait pas aller lui demander des explications. Rassinier put rencontrer Benedikt Kautsky, auteur du livre Teufel und Verdammte qui avait prétendu que des millions de Juifs furent exterminés à Auschwitz. Kautsky confirma seulement à Rassinier ce qu'il avait avoué dans son livre, à savoir qu'il n'avait jamais vu de chambre à gaz et qu'il basait son information sur ce que d'autres "lui avaient raconté". Selon Rassinier, il faut attribuer l'"Oscar" de la littérature sur l'extermination au livre de Miklos Nyizli, Doctor at Auschwitz: la falsification des faits, les contradictions évidentes et les mensonges éhontés montrent que l'auteur parle d'endroits qu'il n'a jamais vus, manifestement (Le Drame des Juifs européens, p.52). Suivant ce "docteur d'Auschwitz", 25.000 personnes y furent exterminées chaque jour pendant 4 ans et demi, ce qui représente un grand progrès par rapport aux 24.000 par jour pendant 2 1/2ans d'Olge Lengyel. Cela nous donnerait un total de 41 millions de victimes pour Auschwitz jusqu'en 1945, soit deux fois et demie la population juive du monde entier avant la guerre. Rassinier essaya de découvrir l'identité de cet étrange "témoin", on lui dit qu'il "était mort peu de temps avant la publication du livre." Rassinier était convaincu que cette personne n'a jamais existé. Après la guerre, Rassinier voyagea dans tous les coins d'Europe pour essayer de rencontrer un témoin oculaire des exterminations dans des chambres à gaz dans les camps de concentration allemands. Il n'en trouva jamais un seul. Aucun des auteurs des nombreux livres accusant les Allemands d'avoir exterminé des millions de Juifs n'avait jamais vu une chambre à gaz construite dans ce but, et encore moins une chambre à gaz en fonctionnement. Aucun auteur ne pouvait présenter un témoin authentique vivant ayant vu une chambre à gaz. Invariablement, les anciens détenus tels que Renard, Kautsky et Kogon basaient leurs affirmations, non pas sur ce qu'ils avaient vu réellement, mais sur ce qu'ils avaient "entendu dire", toujours par des personnes "dignes de foi", mais qui, par un triste hasard, étaient presque toujours décédées et ne pouvaient donc pas confirmer ou infirmer leurs déclarations.

Le fait certainement le plus important qui ressort des études de Rassinier et qui n'offre aucun doute est l'imposture absolue des "chambres a gaz". Des enquêtes sérieuses faites sur place révélèrent, de manière irréfutable, que, contrairement aux déclarations des "témoins" survivants, examinées ci-dessus, il n'y eut jamais de chambres à gaz à Buchenwald, Bergen-Belsen, Ravensbrück, Dachau et Dora, ni à Mauthausen en Autriche. Ce fait avait été certifié -- nous l'avons vu plus haut -- par Stephen Pinter du Ministère de la Guerre des Etats-Unis. Il est reconnu maintenant et admis officiellement par l'Institut d'Histoire Contemporaine de Munich. Cependant, Rassinier fait remarquer que malgré cette vérité historique officielle, des "témoins" s'en furent de nouveau déclarer au procès Eichmann qu'ils avaient vu à Bergen-Belsen des prisonniers partir pour les chambres à gaz. Quant aux camps de l'Est, en Pologne, Rassinier montre que l'unique "preuve" de l'existence de chambres à gaz à Treblinka, Chelmno, Belzec, Maidanek et Sobibor est constituée par les notes, dont la véracité est contestée, de Kurt Gerstein, dont nous avons parlé plus haut. Rappelons qu'il prétendit en premier lieu que 40 millions de personnes furent exterminées pendant la guerre, chiffre absurde, et que dans sa première note signée, il ramena ce chiffre à 25 millions. Nouvelles réductions dans sa deuxième note. L'authenticité de ces notes parut si douteuse qu'elles ne furent même pas acceptées par le Tribunal de Nuremberg, bien qu'elles continuent à circuler dans trois versions différentes, une version allemande (distribuée dans les écoles!) et deux versions françaises, aucune de ces versions ne concordant avec les autres. La version allemande servit de "preuve à conviction" au procès Eichmann en 1961. Finalement, Rassinier attire l'attention sur an aveu important fait par le Dr Kubovy, directeur du Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine de Tel-Aviv, dans La Terre Retrouvée du 15 décembre 1960. Le Dr Kubovy reconnaît qu'il n'existe pas un seul ordre d'extermination écrit de Hitler, de Himmler, de Heydrich ou de Goering (Le Drame des Juifs européens, p.31,39).

Paul Rassinier nie l'authenticité du chiffre de Six Millions

Quant au chiffre effrayant de Six Millions, adopté pour les besoins de la propagande, Rassinier prouve qu'il est totalement faux en se basant sur une analyse statistique extrêmement détaillée. On a gonflé, d'une part, le chiffre de la population juive d'avant la guerre en ignorant toute l'émigration et l'évacuation, et d'autre part, on a réduit le nombre de survivants après 1945. Telle fut la méthode utilisée par le Congrès Juif Mondial. Rassinier rejette aussi tous les témoignages écrits ou verbaux des "témoins" du genre cité plus haut et qui indiquent le chiffre de Six Millions, parce qu'ils sont pleins de contradictions, d'exagérations et de mensonges. Il donne l'exemple du total des morts de Dachau: en 1946, le pasteur Niemoller avait répété le total mensonger d'Auerbach (238.000 morts), mais en 1962, l'évêque Neuhausseier de Munich déclara dans un discours prononcé à Dachau que 30.000 personnes seulement y moururent "sur les 200.000 détenus de 38 pays qui avaient été enfermés à Dachau" (Le Drame des Juifs européens, p.12). Aujourd'hui, cette estimation a encore diminué de plusieurs milliers d'unités et cela continue!

Rassinier récuse aussi les témoignages, à l'appui du chiffre de Six Millions, présentés par des accusés tels que Hoess, Hoettl, Wisliceny et Hoellriegel, qui se trouvaient dans l'alternartive d'une condamnation à mort et de l'espoire d'obtenir une commutation de la peine capitale, et qui furent souvent torturés pendant leur détention. Rassinier estime qu'il est très significatif que le chiffre de Six Millions n'ait pas été cité pendant le procès Eichmann. "Au procès de Jerusalem, l'accusation fut considérablement affaiblie par l'absence de son motif central: les six millions de Juifs européens qui, prétend-on, auraient été exterminés dans des chambres à gaz. Cette allégation parvint facilement à s'imposer juste après la guerre, en profitant de chaos général, spirituel et matériel. Aujourd'hui, plusieurs documents qui n'étaient pas disponibles au moment des procès de Nuremberg ont été publiés; ils tendent à prouver que si les Juifs furent lésés et persécutés par le régime hitlérien, il n'a pas pu y avoir six millions de victimes" (ibid, p.125). Rassinier utilise 100 pages de statistiques qu'il recoupe entre elles et il conclut dans Le Drame des Juifs européens qu'il n'a pas pu y avoir plus de 1.200.000 Juifs tués ou morts pendant la Deuxième Guerre Mondiale; il fait remarquer que ce chiffre a été accepté finalement par le Centre Mondial de Documentation Contemporaine de Paris. Il considère cependant que ce chiffre est une limite maximale et il cite l'estimation inférieure de 896.892 morts ou tués dans une étude du même problème par le statisticien juif Raul Hilberg. Et pourtant, dit Rassinier, l'Etat d'Israël continue à réclamer des indemnités pour 6 millions de morts, à raison de 5.000 marks par cadavre (imaginaire)!

L'émigration à la solution finale

Rassinier affirme catégoriquement que le gouvernement du 3· Reich n'a jamais eu d'autre politique à l'égard des Juifs que celle de les faire émigrer par-delà les mers. Il montre qu'après la promulgation des lois raciales de Nuremberg en septembre 1935, les Allemands négocièrent avec les Anglais l'envoi de Juifs allemands en Palestine, sur la base de la Déclaration de Balfour. Quand ce plan échoua, ils demandèrent à d'autres pays d'accepter des Juifs chez eux, mais ces pays refusèrent (ibid, p.20). Le projet d'émigration en Palestine refit surface en 1938 mais échoua parce que l'Allemagne ne pouvait pas accepter de payer 3 millions de marks réclamés par les Anglais sans obtenir un accord de compensation. Malgré ces difficultés, le Reich parvint à faire émigrer la majorité des Juifs allemands, surtout aux Etats-Unis. Rassinier parle aussi du refus de la France d'accepter le plan allemand d'émigration des Juifs à Madagascar, à la fin de 1940. "Dans un rapport du 21 août 1942, Luther, Secrétaire d'Etat du Ministère des Affaires Etrangères allemand, dit qu'il serait possible de négocier avec la France dans ce sens et décrit les entretiens qui avaient eu lieu entre juillet et décembre 1940 et qui furent stoppés à la suite de l'entrevue de Montoire, le 13 décembre 1940, par Pierre-Etienne Flandin, successeur de Laval. Pendant toute l'année 1941, les Allemands gardèrent l'espoir de pouvoir reprendre ces négociations et de les faire aboutir" (ibid, p.108).

Après que la guerre eût éclaté, les Juifs qui, comme Rassinier nous le rappelle, avaient déclaré la guerre financière et économique à l'Allemagne dès 1933, furent internés dans des camps de concentration, "ce que font tous les pays en guerre avec les citoyens des pays ennemis... On décida de les regrouper et de les faire travailler dans un immense ghetto qui, après l'invasion de l'Union Soviétique, fut installé vers la fin de 1941 dans les 'territoires de l'Est' (Ostgebiete), près de l'ancienne frontière entre la Russie et la Pologne: à Auschwitz, Chelmno, Belzec, Maidanek, Treblinka, etc... C'est là qu'ils devaient attendre la fin de la guerre, pour qu'on puisse reprendre les négociations internationales qui décideraient de leur avenir" (Le Véritable Procès Eichmann, p.20). L'ordre de concentrer les Juifs dans le ghetto des "territoires de l'Est" fut donné par Goering à Heydrich -- nous l'avons dit plus haut -- et était considéré comme le prélude de "la solution finale désirée", c'est-à-dire de leur émigration par-delà les mers après la fin de la guerre.

Une énorme escroquerie

Rassinier insiste sur l'exploitation délibérée de la légende de l'extermination pour en retirer des avantages politiques et financiers, et il trouve qu'Israël et l'Union Soviétique sont d'accord pour exploiter ce "filon". Il fait remarquer comment, après 1950, on vit apparaître une avalanche de livres mensongers sur l'extermination, sous l'estampille de deux organisations dont les activités sont synchronisées de manière si remarquable qu'on pourrait croire qu'elles sont conçues de concert. La première organisation est le "Comité de Recherche des Crimes et des Criminels de Guerre" sous les auspices des communistes à Varsovie, et la deuxième est le "Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine" à Paris et à Tel-Aviv. Leurs publications paraissent à des moments favorables du climat politique, et pour l'Union Soviétique, elles ont uniquement pour but d'entretenir la crainte du nazisme pour distraire l'attention de ses propres activités. Quant à Israël, Rassinier considère que le mythe des Six Millions a des motivations purement matérielles. Il écrit dans le Drame des Juifs européens (p .31,39):

"...Il s'agit simplement de justifier par un nombre proportionné de cadavres les sommes énormes versées chaque année à l'Etat d'Israël par l'Allemagne Fédérale au titre de réparation de dommages; cette indemnisation n'a aucune base ni morale ni légale puisque l'Etat d'Israël n'existait pas au moment des prétendus faits; c'est donc purement et platement une question de 'gros sous' ".

"Qu'il me soit permis de rappeler que l'Etat d'Israël fut fondé seulement en mai 1948 et que les Juifs étaient des citoyens de tous les pays, sauf d'Israël, pour souligner les dimensions d'une escroquerie défiant la description dans toute langue vivante: d'une part, l'Allemagne de Bonn verse à Israël des sommes calculées sur la base de 6 millions de morts, et d'autre part, puisqu'il y avait au moins les 4/5 de ces 6 millions qui vivaient bel et bien à la fin de la guerre, elle verse aussi des sommes importantes au titre de Wiedergutmachung (indemnisation des victimes des persécutions du national-socialisme) aux Juifs encore vivantes dans des pays du monde entier autres qu'Israël et aux ayants-droit des Juifs décédés depuis lors, ce qui signifie que, pour les premiers (c'est-à-dire les 6 millions) ou autrement dit, pour la grande majorité, elle paie deux fois. "


Conclusion

Nous allons résumer les données sur le nombre de Juifs morts ou tués pendant la guerre. Contrairement au chiffre de plus de 9 millions de Juifs dans les territoires occupés par l'Allemagne, présente au procès de Nuremberg et au procès Eichmann, nous avons déjà établi qu'après une forte émigration, il restait environ 3 millions de Juifs en Europe, Union Soviétique non comprise. Même en ajoutant les Juifs des territoires de l'Union Soviétique occupés par l'armée allemande (en réalité, ces Juifs furent évacués en majeure partie avant l'arrivée des troupes allemandes), le total ne dépasse pas probablement 4 millions. Le statisticien de Himmler, Dr Richard Korherr, et le Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine fixent ce total respectivement à 5.550.000 et 5.294.000 au moment de l'expansion maximale de l'occupation allemande, mais ces deux totaux comprennent les 2 millions de Juifs des pays baltes et de la Russie occidentale sans tenir compte du grand nombre de Juifs qui furent évacués. On peut déjà retenir cependant que ce centre de documentation juif reconnaît qu'il n'y avait même pas six millions de Juifs en Europe plus la Russie Occidentale.

Au procès Eichmann, l'accusation évita délibérément de citer le chiffre de 6 millions. En outre, les estimations officielles juives du nombre de victimes sont corrigées régulièrement "en douce" vers le bas. Notre analyse des statistiques de la population et de l'émigration, ainsi que les études du Baseler Nachrichten et de Rassinier, démontre qu'il était tout à fait impossible que le total des victimes juives (décédés et tués pendant la guerre) dépasse un maximum absolu d'un million et demi. Il est donc très significatif que le Centre Mondial de Documentation Juive Contemporaine de Paris dise maintenant qu'il y eut seulement 1.485.292 Juifs qui moururent, de mort naturelle ou autre, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, et bien que ce chiffre soit certainement trop élevé, on voit au moins qu'il n'a rien à voir avec les Six Millions légendaires. Nous avons noté plus haut que le statisticien juif Raul Hilberg estime qu'il y eut 896.892 morts ou tués, total encore inférieur au précédent. On commence à se rapprocher d'un chiffre réaliste et il est certain que les corrections vont continuer.

Il est hors de doute que plusieurs milliers de Juifs moururent pendant la Deuxième Guerre Mondiale, mais il faut considérer ce fait dans le contexte d'une guerre qui fit plusieurs millions de victimes innocentes dans les divers pays participants. Il y eut, par exemple, 700.000 civils russes qui moururent pendant le siège de Leningrad, 2.050.000 civils allemands furent tués par les bombardements aériens et au cours de leur expulsion des territoires conquis par l'Armée Rouge. En 1955 une autre source suisse, Die Tat de Zurich (19 janvier 1955), passant en revue les pertes en vies humaines causées par la Deuxième Guerre Mondiale, sur la base des chiffres publiés par la Croix Rouge Internationale, dit qu'il y eut "300.000 personnes qui moururent dans des prisons et les camps de concentration entre 1939 et 1945, victimes de persécutions politiques, raciales ou religieuses" et que toutes ces victimes n'étaient pas juives. Ce chiffre semble être l'estimation la plus précise.

Massacre imaginaire

La question la plus pertinente quant à la légende de l'extermination est naturellement la suivante: Combien de Juifs survécurent après 1945 sur les 3 millions de Juifs européens qui se trouvaient pendant la guerre dans les pays occupés par l'Allemagne? Le Jewish Joint Distribution Committee avait estimé qu'il y avait seulement 1 1/2million de Juifs survivants en Europe, mais ce chiffre est devenue totalement inacceptable aujourd'hui. La preuve en est dans le nombre croissant de Juifs qui réclament des indemnisations au gouvernement de Bonn en prétendant qu'ils furent persécutés entre 1939 et 1945. En 1965, le nombre de ces demandeurs avait triplé en 10 ans et atteignait le chiffre de 3.375.000 (Aufbau, 30 juin 1965). C'est la preuve la plus accablante du mensonge effronté des Six Millions. La plupart de ces demandeurs sont des Juifs; il est donc certain que la majorité des 3 millions de Juifs des pays européens occupés par l'Allemagne sont, en fait, bel et bien vivants. Confirmation éclatante du fait que les pertes en vies humaines de la population juive pendant la Deuxième Guerre Mondiale durent être de l'ordre de grandeur de milliers et non pas de millions. C'est sûrement un motif d'afflication suffisant pour le peuple juif. Mais qui a le droit de transformer ce tragique épisode de la Deuxième Guerre Mondiale en un massacre imaginaire, en couvrant d'un opprobre ineffaçable une grande nation européenne et en lui extorquant une indemnisation financière frauduleuse?

 

Translated by A.D.

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Avertissement: Nous nous sommes abstenus de corriger les innombrables fautes que comporte cette version française, manifestement réalisée par des amateurs. Nous traitons ce document comme une "document historique", appartenant à l'histoire du révisionnisme. Nous savons que certains points mériteraient des rectifications ou des corrections. Comme chacun pourra s'en convaincre, ce texte provient de l'extrême-droite. Il est imbu d'un racisme que nous, ici, nous trouvons, grotesque. Il a été largement distribué mais il ne semble pas qu'il ait été lu dans les gauches européennes; à l'exception de Pierre Viansson-Ponté qui en a fait une critique fulminante dans Le Monde. (17-18 juillet 1977) Robert Faurisson allait juger cette critique fort injuste dans les détails et déclencher une guérilla par lettres qui allait aboutir fin 1978 à la publication d'un article dans Le Monde et au lancement public du révisionnisme en France.

Mais la diffusion de ce texte au Canada par un émigré allemand, graphiste de son état, allait déclencher les deux plus importants procès d'Ernest Zündel, en 1985 et 1988. La diffusion de la brochure de Harwood allait être assimilée à "la propagation de fausses nouvelles". La bataille, sur le plan juridique, allait culminer, en cour suprême, par l'abolition de cette loi désuète. Mais sur le plan documentaire, ces procès, surtout celui de 1985, allait fournir l'occasion de confronter les principaux "témoins" et "historiens" de l'histoire officielle et orthodoxe avec les thèses révisionnistes. Ce fut le Waterloo de l'histoire officielle.

On comprend pourquoi nous jugeons que ce texte, bourré d'imperfections et aussi de lueurs d'une grande justesse, a marqué son époque. C'est à ce titre que nous l'affichons ici.

Il est désormais connu que l'auteur de cette brochure est un enseignant britannique qui s'appelle en réalité Verrall. Il est vivement recommandé de consulter le texte anglais original. Mais il existe aussi des traductions en allemand et en italien.

Ce texte est paru sans mention d'éditeur, sans lieu et sans date mais il semble qu'il soit sorti dans les années 70.


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