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LE TIROIR DE Jean-Claude PRESSAC

D'après Michael Berenbaum, directeur scientifique de l'Holocaust Memorial Museum à Washington, "depuis 1982, le travail de M. Pressac a été promu et soutenu au niveau de la documentation, de l'édition et des finances par la Fondation Beate Klarsfeld" (Anatomy of the Auschwitz Death Camp, Indiana University Press, 1994, p. XIII).

Jean-Claude Pressac, pharmacien, aurait, selon certaines rumeurs, trouvé, après mille recherches laborieuses, la preuve de ceci, de cela, bref, la preuve que nous aurions raison de croire ce que jusqu'à présent nous avons cru sans preuve. Hélas, trois fois hélas, on trouvera dans ce tiroir la preuve que de méchants esprits, penchés sur le cas du malheureux Pressac, ont fait éclater la baudruche dans lequelle beaucoup d'esprits "vigilants" avaient cru devoir placer leurs derniers espoirs de preuve. Pas de bol. Et pour comble de malheur, ses éditeurs l'ont laissé tomber; il y a même un périodique qui s'appelle Le monde juif qui a dit du mal de lui. Pourtant, ils l'avaient tous bien défendu, avant de lire les révisionnistes sur Pressac... Et en plus, ils ne savent pas trop quoi faire avec lui: en 1995, Bédarida a de nouveau soutenu Pressac en le faisant collaborer à un ouvrage sur la libération des camps, (La Déportation, le svstème concentrationnaire nazi, sous la direction de François Bédarida et de Laurent Gervereau, BDIC, 1995, 314 p.- catalogue de l'exposition du musée d'histoire contemporaine de 1995) tandis que Le Monde juif l'agonit d'injures!

Le comble de la lâcheté est atteint en 2003: Pressac meurt alors prématurément et la presse ne lui accorde pas un entrefilet. Seul Carlo Mattogno, un des seuls chercheurs révisionnistes encore actifs, lui a consacré un article dans la "Vierteljahreshefte für freie Geschichsforschung" de septembre 2003. Pressac est la preuve, s'il en faut, de la malhonnêteté des exterminationnistes: dès qu'on touche, de près ou de loin, à leur véritré officielle, ils crient haro sur le baudet. Toute personne de bon sens verra là la preuve qu'ils ont tort.


Un entretien de Pressac avec Valérie Igounet, datant de 1995, publié en 2000.

Un article de Pressac de 1988, Les carences et incompétences du rapport Leuchter, Jour J, 12 décembre 1988, pp. V à XII.

RECUPERER PRESSAC

Aux origines du personnage public, évoqué par S. Thion

Comment Joel Bloker, vieux routier du journalisme américain, blanchi sous de nombreux harnais, essaie de récupérer le malheureux Pressac, qui se prête aux journalistes avec une complaisance de vieille hétaïre provinciale.

Analyse des travaux de Pressac:

Déjà, une partie des exterminationnistes est contre Pressac... qui persiste avec un article sur Garaudy (anonyme, mais on a reconnu sa plume) qui commence par « L'ouvrage de Roger Garaudy les Mythes fondateurs de la politique israélienne mérite mieux que le traitement qui lui a été réservé par les médias. La grande majorité des journalistes et des commentateurs se sont publiquement étranglés d'indignation en se gardant bien de contester le contenu du livre sous le fallacieux prétexte que le débat historique a déjà eu lieu. Cet argument est faux et ne sert qu'à camoufler l'ignorance crasse du sujet par la presse, ce qui n'est pas étonnant et aussi par les universitaires, ce qui est consternant. »

Autour du malheureux livre du pauvre Pressac, Les crématoires d'Auschwitz. La machinerie du meurtre de masse, Paris, Presses du CNRS, 1993. Dans ce livre, qui traite exclusivement des fours crématoires, Pressac estime à huit cent mille le nombre de morts d'Auschwitz; dans des éditions ultérieures, il descend jusqu'à six cent mille (nous vous proposerons bientôt l'étude de C.Mattogno sur la même question).

Dossier publié dans L'histoire, n.156, juin 1992 (articles de Vidal-Naquet, P.Burin, F.Bédarida et Pressac lui-même, en avant-première de son livre). L'AAARGH vous propose tous ces textes in extenso.
...mais Le monde juif contre Pressac, par Robert Faurisson, mars et avril 1996,
Mais Vidal-Naquet, incohérent comme à l'accoutumée, lui refait allégeance! (mai 1997)


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