Jean-Claude Pressac, pharmacien, aurait, selon certaines rumeurs, trouvé, après mille recherches laborieuses, la preuve de ceci, de cela, bref, la preuve que nous aurions raison de croire ce que jusqu'à présent nous avons cru sans preuve. Hélas, trois fois hélas, on trouvera dans ce tiroir la preuve que de méchants esprits, penchés sur le cas du malheureux Pressac, ont fait éclater la baudruche dans lequelle beaucoup d'esprits "vigilants" avaient cru devoir placer leurs derniers espoirs de preuve. Pas de bol. Et pour comble de malheur, ses éditeurs l'ont laissé tomber; il y a même un périodique qui s'appelle Le monde juif qui a dit du mal de lui. Pourtant, ils l'avaient tous bien défendu, avant de lire les révisionnistes sur Pressac... Et en plus, ils ne savent pas trop quoi faire avec lui: en 1995, Bédarida a de nouveau soutenu Pressac en le faisant collaborer à un ouvrage sur la libération des camps, (La Déportation, le svstème concentrationnaire nazi, sous la direction de François Bédarida et de Laurent Gervereau, BDIC, 1995, 314 p.- catalogue de l'exposition du musée d'histoire contemporaine de 1995) tandis que Le Monde juif l'agonit d'injures!
Le comble de la lâcheté est atteint en 2003: Pressac meurt alors prématurément et la presse ne lui accorde pas un entrefilet. Seul Carlo Mattogno, un des seuls chercheurs révisionnistes encore actifs, lui a consacré un article dans la "Vierteljahreshefte für freie Geschichsforschung" de septembre 2003. Pressac est la preuve, s'il en faut, de la malhonnêteté des exterminationnistes: dès qu'on touche, de près ou de loin, à leur véritré officielle, ils crient haro sur le baudet. Toute personne de bon sens verra là la preuve qu'ils ont tort.
Un entretien de Pressac avec Valérie Igounet, datant de 1995, publié en 2000.
Un article de Pressac de 1988, Les carences et incompétences du rapport Leuchter, Jour J, 12 décembre 1988, pp. V à XII.
Aux origines du personnage public, évoqué par S. Thion
Comment Joel Bloker, vieux routier du journalisme américain, blanchi sous de nombreux harnais, essaie de récupérer le malheureux Pressac, qui se prête aux journalistes avec une complaisance de vieille hétaïre provinciale.
Déjà, une partie des exterminationnistes est contre Pressac... qui persiste avec un article sur Garaudy (anonyme, mais on a reconnu sa plume) qui commence par « L'ouvrage de Roger Garaudy les Mythes fondateurs de la politique israélienne mérite mieux que le traitement qui lui a été réservé par les médias. La grande majorité des journalistes et des commentateurs se sont publiquement étranglés d'indignation en se gardant bien de contester le contenu du livre sous le fallacieux prétexte que le débat historique a déjà eu lieu. Cet argument est faux et ne sert qu'à camoufler l'ignorance crasse du sujet par la presse, ce qui n'est pas étonnant et aussi par les universitaires, ce qui est consternant. »
Afficher un texte sur le Web équivaut à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail. Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois qui instituent une censure spécifique dans certains pays (Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres), nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19
<Tout individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considération de
frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.