AAARGH
Petite chronologie de l'escroquerie sioniste depuis la fin de
la guerre
(y compris ses avatars connus
sous le nom de Shoah-business, depuis près de trente
ans, et sous celui d'industrie de lolocoste depuis quelques années)
L'AAARGH connaît bien la
question de l'escroquerie sioniste; elle y a consacré,
dès ses origines, plusieurs articles de son dictionnaire
biographique et a souligné l'ancienneté du procédé
que Rassinier, dans le premier des livres qu'il a consacrés
aux aspects juifs de l'exploitation de la seconde guerre mondiale
(lorsqu'il a publié Le
Mensonge d'Ulysse, en effet, il s'agissait de dénoncer
le résistantialisme, c'est-à-dire l'exploitation
faite par les anciens déportés, principalement --
mais pas uniquement, loin de là -- communistes) . A partir
du procès Eichmann, les chantages sionistes prennent une
nouvelle dimension et peu à peu, et Rassinier, qui prévoit
qu'on n'en est qu'au début, leur consacre deux livres,
Le Véritable Procès Eichmann et Le Drame
des juifs européens complétés par un
recueil de textes, Ulysse trahi par les siens il y dénonce,
preuves à l'appui, comment s'est construite l'idéologie
de l'extermination de six millions de juifs. C'est seulement une
dizaine d'années après sa mort que, pour des raisons
de politique intérieure américaine, cette idéologie
envahit tout le champ culturel américain et vient ajouter
ses forces à la montée de l'exterminationnisme qui
se fait, en France principalement, au détriment du résistantialisme
et qui est parallèle à la baisse de puissance du
PCF. Le tout culmine au début des années 1990, avec
la disparition de l'Union soviétique: personne ne se souvient
plus que la seconde guerre mondiale était une guerre opposant
des puissances rivales sur le plan économique, arrivées
à une impasse avec la crise de 1929. On est désormais
prié de croire que cette guerre a été voulue
et préparée par l'Allemagne dans le but unique et
absolu de se débarrasser des juifs du monde entier et qu'elle
n'a pu en exterminer que six millions; les rescapés sont
vaillamment allés, malgré l'opposition universelle,
occuper une aride "terre sans peuple pour un peuple sans
terre" dont ils se sont empressés de faire la seule
démocratie du Proche-Orient. Tout centime qui transite
sur la Terre sans être taxé d'abord par l'état
terroriste d'Israël, représentant des six millions
de morts et des centaines de milliers de rescapés, dont
le nombre, curieusement, s'accroît sans cesse, est considéré
comme volé aux juifs morts et doit être immédiatement
récupéré par tout moyen. Voici la chronologie
de l'invasion du monde entier par ce chantage: limité au
début à l'Allemagne, il s'étend ensuite aux
autres pays européens; étant donné l'assistance
que les Etats-Unis accordent depuis le début aux maîtres
chanteurs, jusqu'à présent ils ont échappé
à l'"opprobre d'une condamnation à payer"
émanant de leurs propres tribunaux, mais leur assistance
leur coûte très, très cher.
- En 1952, le chantage exercé
par les bandes terroristes sionistes oblige l'Allemagne à
signer les "accords de Luxembourg", par lesquels elle
s'engage à verser 200 millions de marks par an à
Israël pendant dix ans. On doit rappeler ici la condamnation
généralement portée en Angleterre et aux
Etats-Unis, contre la France qui, en exigeant de l'Allemagne,
après la première guerre mondiale, des réparations
démesurées, aurait provoqué la ruine de
ce pays et l'arrivée consécutive du régime
nazi. On oublie toujours de dire que si la France (et accessoirement
la Belgique, ont effectivement écrasé l'Allemagne
sous le poids des réparations, c'est qu'à elles
seules elles avaient subi le poids de la guerre et assuré
en grande partie la victoire en Europe occidentale et que les
bénéfices avaient été tirés
par l'Angleterre (par le démantèlement de l'empire
ottoman et la mainmise sur les pays arabes) et les Etats-Unis
(par le remboursement des prêts consentis pendant la guerre
à l'Angleterre, cause de leur engagement, après
le retrait russe). On ne voit pas pourquoi ce qui était
si insupportable quand il s'agissait d'indemniser la France devient
si formidable quand il s'agit d'un pays qui n'existait même
pas pendant la guerre, sans même se demander ce qu'il pourrait
bien y avoir perdu.
- Le 29 mars 1961, Le Canard
enchaînépublie un article dans lequel il affirme
que grâce au procès Eichmann, Ben Gourion a extorqué
cinq cent millions de marks l'Allemagne, qui aurait dû
être libérée du chantage en janvier 1962;
l'extorsion s'est faite en présence d'Eisenhower: nous avons
le texte de l'article, rapporté par Rassinier qui
s'intéresse vivement au chantage des six millions dans
ses rapports avec la politique israélienne. Rassinier
pense que le principal but du procès Eichamnn est de forcer
l'Allemagne (dont la rançon constitue la principale ressource
de l'état terroriste) à continuer à payer.
Toute son analyse
est exposée au chapitre III du Véritable Procès
Eichmann. Pour Rassinier, qui écrit cela
en 1962, l'Allemagne a jusqu'alors résisté mais
le filon est bon pour l'état sioniste: prémonitoire,
il annonce qu'on ne manquera pas de trouver à bon escient
des "coupables" qui serviront de prétexte à
de nouvelles extorsions.
- En 1964, dans Le Drame des
juifs européens, Rassinier
précise ses accusations: d'après lui le livre
de Raul Hilberg, La Destruction des juifs européens,
dontLe Drame des juifs européens constitue
la critique en règle, sert à compter les cadavres
pour asseoir les prétentions de l'état terroriste:
tant par mort.
- En 1965, Rassinier publie,
en annexe à L'Opération vicaire. Le rôle
de Pie XII devant l'Histoire, un court texte intitulé
"Le
problème des réparations dues par l'Allemagne"
: il y fait la liste des lois par lesquelles l'Allemagne s'est
engagée à réparer les spoliations et à
indemniser pour chaque mort et chaque spoliation la Conférence
sur les réclamations matérielles juives contre
l'Allemagne et l'état d'Israël, qui n'existait pas
à l'époque des faits qu'elle doit "réparer";
en outre, dans le courant de 1964, sur la base du dernier accord
(24 juin 1964), elle paie effectivement cinq mille marks à
chaque victime (ou trois mille marks à chacun des ayants-droit
des morts). Avec les trois milliards de marks payés à
Israël, puis augmentés d'un quatrième, elle
n'est pas quitte, Israël réclame sans cesse. De plus,
la Conférence des réclamations juives exige la
restitution de biens dont les juifs d'Europe centrale ont été
privés et qu'elle estime en 1964 à dix milliards
de dollars. Rassinier mentionne à cette ocassion que
les annuités versées à la Conférence
n'ont pas été réparties entre les victimes
mais entre les organisations constituant cet organisme: ainsi
Goldman a reçu en 1964 cent millions de dollars pour le
Congrès juif mondial dont aucun membre n'a subi le
moindre dommage (Le Monde, 19 mars 1964). Rassinier
nomme plusieurs scandales d'indemnisations obtenues par faux-témoignage.
- Dans le courant des années
1970, le gouvernement des Etats-Unis, submergé par la
contestation qui a progressivement gagné tout le pays,
enflammé par la guerre au Viet-Nam et la lutte des Noirs
américains contre l'apartheid, qui valent aux Etats-Unis
une réputation mondiale exécrable, décide
de livrer bataille sur le terrain idéologique: après
s'être retiré vaincu du Viêt-Nam, il proclame
le règne des droits de l'homme (conférence
d'Helsinski, 1975) et, à peu près au même
moment, lance un programme concerté avec les organisations
juives: il faut substituer aux souvenirs vivants des injustices
insupportables du passé (le quasi-génocide des
Amérindiens à la fin du XIXe siècle) et
du présent (l'apartheid des Noirs; l'abîme sans
cesse creusé entre les riches et les pauvres; l'exploitation
de l'Amérique latine) sur lesquelles se fonde la contestation
une nouvelle idéologie morale présentant les Etats-Unis
comme le défenseur absolu du Bien absolu et universel.
Les Etats-Unis adoptent ainsi officiellement dans leur programme
"le souvenir de l'holocauste". On spécialise
ce terme religieux grec qui désigne un sacrifice par consomption
totale pour lui faire désigner l'ensemble des persécutions
(alléguées ou imaginaires) des juifs par les Allemands
pendant la seconde guerre mondiale. Toutes les légendes
et tous les bobards sciemment inventés et véhiculés
par les organisations juives, à partir des "souvenirs"
de plus en plus délirants de "rescapés"
émigrés aux Etats-Unis: sont valorisés dans
un glorieux ensemble, "l'holocauste", qui fait l'objet
d'enseignement universitaire et scolaire, de conférences,
de touernées, de colloques, de voyages organisés
en Europe avec apothéose en Israël. En 1978 le président
des Etats-Unis Carter décide la fondation d'un musée-mémorial
de l'holocauste en plein centre de Washington, financé
par l'état américain, afin que les Américains
se souviennent qu'ils n'ont joué aucun rôle dans
le seul crime digne de ce nom de l'histoire et que tout petit
manquement aux droits de l'homme auquel ils se livreraient directement
ou par gouvernement interposé ne serait que chiure de
mouche comparé au capital moral éternellement vivant
et productif de lolocoste. L'entreprise de commémoration
est lancée.
- Deux entreprises se fondent
désormais en une seule, l'entreprise de commémoration
et l'entreprise de chantage. A la première époque,
où l'entreprise de chantage s'exerçait exclusivement
contre l'Allemagne, succède l'époque d'implantation
de l'entreprise de commémoration qui fonctionne bientôt
à fond, préparant le terrain pour une extension
nouvelle de l'entreprise de chantage, qui va bientôt être
généralisée à toute l'Europe ainsi
que l'avait prévu Rassinier dans L'Opération
vicaire.
- L'association du p'tit gesheft
et de la seconde guerre mondiale donne naissance, dans les milieux
juifs, au proverbe "There's no business like shoah-business"
qui vient remplacer l'ancien "there's no business like show-business".
Quand on pense aux fortunes des magnats juifs du cinéma
américain, ça laisse rêveur. On trouve un
peu partout sur Internet l'affirmation que le ministre israélien
Abba Eban (fin de règne en 1974) aurait utilisé
ce proverbe qui devient péjoratif et résume la
critique (timide) que font certains juifs de l'exploitation de
la persécution. L'Américain Mark Weber introduit
cette notion en France dans le grand public dans un article des
Annales d'histoire révisionniste (n'oublions pas
que cette revue était vendue en kiosque). Les
conclusions en défense que présentent R. Faurisson
et P. Guillaume dans le procès qui est fait aux Annales
notamment pour l'emploi de cette expression donnent plusieurs
exemples de dénonciation du "shoah-business"
(cette série de citations est reprise et augmentée
par un texte
de R. Faurisson de 1993): aux Etats-Unis, on critique
librement tout en commémorant à tour de bras,
en France jusqu'à présent on ne commémore
pas mais on n'a pas le droit de critiquer: la sionisation
forcée de la société française par
l'action directe des gouvernements sionisto-socialistes qui la
gouvernent à partir de 1981 est en marche.
- Dans les années qui
suivent, diverses personnalités juives s'associent à
la critique: nous nous contenterons de citer Vidal-Naquet, qui
écrit en 1992: "Mais
il y a quelque chose de pire que l'utilisation politique ou religieuse
de la Shoah et c'est ce qu'on pourrait appeler le shoah-business." la dénonciation ne coûte pas cher
(important dans une affaire de gesheft) et ne fait de
mal à personne mais permet de poser à l'esprit
critique. Nous verrons bientôt ce que devint l'esprit critique
du malheureux Vidton-Caquet. Plus sérieusement, l'analyste
juif Gabriel Schoenfeld publie en 1998 dans la revue Commentary
un article intitulé "Auschwitz and the Professors" et sous-titré
par l'AAARGH à l'époque Holocaustology, Carreerism and Stupidology or
How the Need to Maintain a Myth is Destroying its Own Basis". Cet article
est suscité par une grave crise dans les affaires juives:
depuis trois ans, l'université de Harvard ne trouve pas
de professeur digne d'occuper sa "chaire d'holocauste"
[sic] financée par un millionnaire juif. Schoenfeld se
lamente, à cette occasion, de la transformation de la
persécution des juifs par les nazis en discipline universitaire,
très souvent utilisée comme produit d'appel dans
les campagnes publicitaires des universités. Il dénonce
le jargon que des érudits très sérieux et
sincères (Goldhagen, contre lequel Finkelstein ét Birn ont écrit
un livre,
et Katz, dont Finkelstein qualifie l'entreprise de "d'absurdité phénoménale"!) utilise et,
surtout, l'intégration "dégradante" de
ces études dans le cadre plus vaste des "études
sur les victimes", qu'accompagne la comparaison de ce malheur
uniquement unique avec d'autres malheurs. Nous avons résumé
ce texte assez long en français, (avec des citations nombreuses
parce que c'est impayable). Il marque une étape importante
parce que c'est lui qui aborde, pour la première fois,
des questions que Novick puis Finkelstein seront amenés
à développer, dans une optique totalement différente,
modérément critique pour la premier, entièrement
critique pour le second, dans leurs livres.
- En
juin 1999 paraît le livre de Peter Novick, qui se demande
pourquoi, après vingt ans de silence, la persécution
des juifs par les nazis est devenue l'objet d'un culte sans pareil
aux Etats-Unis. Ce livre, délire sur la mémoire
justifiant à peu près toutes les entreprises du
shoah-business par la "vulnérabilité de l'état
d'Israël, démontrée par les guerres de 1967
et de 1973" (cette citation de Wievorka dans Libération
n'est pas un canular, c'est vraiment ce que soutient Novick),
et par la peur légitime d'une disparition d'Israël
et d'un retour de l'antisémitisme, comporte cependant
quelques critiques envers le p'tit geshäft des organisations
sionistes auquel il ne fait pas la moindre allusion: il refuse
l'idée que la persécution des juifs par les nazis
serait un événement unique (en tant qu'historien
-- c'est ce qu'il croit être-- il sait que tout événement
historique est unique) et surtout, il dit que les juifs comme
groupe organisé se sont opposés au mouvement de
libération des Noirs américains des années
1960 et que les quelques juifs qui s'en sont mêlés
étaient isolés et assimilés: il y a donc
là rupture avec l'idéologie du consensus, les juifs
ne sont pas à la tête du combat contre le Mal.
- Enfin, en juillet 2000, paraît
le livre de Finkelstein, qui répond aux analyses molles
de Novick, qui ne sont possible que grâce à l'absence
de catégories logiquement définies, par une analyse
politique que l'on peut critiquer mais dont la qualité
incontestable, pour nous, réside dans sa volonté
affirmée sans cesse de prouver que toute cette entreprise
a pour but de financer la propagande des sionistes en Israël
et ailleurs et que le but final est l'assassinat des Palestiniens.
Au passage, il dénonce le faux et usage de faux des propagandistes
du malheur juif, les études universitaires et, surtout,
l'extorsion de milliards de dollars aux banques suisses, prélude
à l'extorsion de milliards de dollars à la France,
à l'Allemagne, aux pays de l'Est. Il accuse les banques
américaines de détenir beaucoup plus de "comptes
dormants" que les banques suisses. Enfin, crime suprême,
il accuse les organisations juives d'avoir volé cet argent
pour elles-mêmes et de ne l'avoir même pas distribué
aux victimes réelles de la persécution nazie (les
rares rescapés encore en vie).
- Aux Etats-Unis, le livre sort
dans un silence à peu près complet: le New
York Times néanmoins,
publie un article très hostile d'un Israélien (pourquoi se cacher?!) et Schoenfeld, dans Commentary,
publie en septembre une étude qui dénonce d'autres
détournements
(et qui lui vaut beaucoup de critiques publiées dans la
revue en décembre). En Angleterre, en revanche, l'accueil
est beaucoup plus varié. (cf dans la colonne de droite,
la liste des articles que nous avons récupérés
et traduits).
- Le 29 septembre 2000, quinze
jours après la date prévue pour la création
d'un état palestinien, à laquelle Israël et
les Etats-Unis ont contraint Arafat à renoncer, commence
une nouvelle guerre palestinienne dont l'objectif unique est
la disparition de l'état d'Israël.
- Au même moment, l'AAARGH
publie sa traduction française du livre qui est repris
en volume par La Vieille Taupe. Très embarrassé
que ce livre circule librement sur les ondes sans que l'on puisse
l'attaquer ouvertement, embargo du silence sur l'AAARGH, le groupe
de pression sioniste qui domine "l'opinion publique"
française décide, après plusieurs mois d'hésitation,
de sacrifier une maison d'édition trotskiste et l'oblige
à publier le
livre que Vidal-Caquet refuse de préfacer, prônant
le silence face aux accusations insupportables de Finkelstein
contre les organisations juives, alors même qu'en 1992
il dénonçait l'exploitation du malheur juif.(cf,
dans la colonne de gauche, la liste des articles que nous mettons
à votre disposition.)
- Après
une sortie orageuse en France en février 2001, le livre
fait l'objet d'une double plainte (contre l'auteur et l'éditeur)
émanant de l'association Avocats sans frontières.
Le 8 mars 2001, Libération publie la réponse de l'éditeur qui a porté plaine à
son tour pour dénonciation calomnieuse. Il paraît
qu'en France, on doit avoir "la liberté
de dire et de critiquer dans ces domaines «sensibles»
que sont l'instrumentalisation idéologique du génocide
des juifs et la politique de l'Etat d'Israël envers le peuple
palestinien", on
ne voit pas très bien pourquoi Garaudy a été
condamné et pourquoi l'éditeur ne répond
pas à l'accusation de l'association plaignante: «Sous couvert de son patronyme, Norman
Finkelstein ne fait que reprendre à son compte les thèses
révisionnistes de Roger Garaudy, déjà condamné
pour révisionnisme et diffamation raciale» .
Ce procès vient devant la 17e chambre correctionnelle, à Paris, en décembre 2004, soit au bout de près de trois ans d'instruction! Nous avons un compte rendu. Le jugement, rendu en janvier 2005, relace l'éditeur sur tous les points mais l'avocat Goldnadel fait appel (cf les réactions de l'éditeur)
- En mai 2001, le propagandiste Bauer, de l'institut Yad Vashem à Jérusalem, prononce un discours à une conférence qui se tient à Vienne, qui est une réfutation implicite des thèses de Novick et de Finkelstein: comme il n'a absolument aucun argument à leur opposer, il croit s'en sortir en faisant appel à des concepts des sciences humaines, par exemple la pensée magique, auxquels il n'a rien compris et qu'il confond avec d'autres; le résultat est poignant de bêtise suffisante et nous avons fait l'énorme effort de le traduire. [français-anglais]
- En mai 2001, les institutions
accusées d'extorsion par Finkelsztein sont obligées
de reconnaître qu'elles ont détourné l'argent
qu'elles ont volé au nom des "rescapés nécessiteux"
de la persécution nazie. Nous avons un article du Los
Angeles Times (français et anglais) qui raconte...
- En juin 2001 N. Finkelstein
fait circuler sur Internet son analyse du rapport, publié
en décembre 2000, d'une commission du gouvernement américain,
[en français
et en anglais]
dirigée par l'extorqueur-en-chef Bronfman, des vins et
spiritueux Seagram, sur "les biens des confisqués
aux victimes de lolocoste": il ressort que les Etats-Unis
ont volé et détourné ces biens beaucoup
plus systématiquement que les Suisses mais qu'il ne leur
sera rien réclamé. Finkelstein souligne que l'industrie
de lolocoste a, une fois de plus, l'audace de qualifier le détournement
des biens juifs par les nazis dxe "plus grand vol de l'histoire",
oubliant sans doute le vol du territoire des Etats-Unis aux Indiens
et le produit de l'esclavage des Noirs. Ces choses-là,
à l'heure de la préparation de la conférence de Durban, font du bien.
- En juin 2001 encore, un article
de The Independent explique que les avocats des plaignants
dans l'affaire du travail forcé ont gagné des millions, tandis que les travaileurs forcés
toucheront en plusieurs fois entre 2.500 et 7.500 dollars...
[en français et en
anglais]
- En août 2001, Finkelstein fait le point sur la réception
de son livre. Personne n'a rien à lui répondre.
- En septembre 2001, Le Temps publie
un article étonné
sur les résultats concrets des recherches sur les comptes
en déshérence que les banques suisses auraient
volés aux rescapés de la persécution nazie:
l'examen de quatre millions de comptes en déshérence
a abouti à... six mille réclamations (alors que
les avocats juifs américains faisaient état de
près de six cent mille plaintes collectives! Les sommes
à restituer se montant à cent cinquante mille francs
suisses alors que l'enquête a coûté un milliard...
- Toujours en septembre 2001,
Finkelstein
fait à nouveau le point sur son sujet favori et propose
l'indemnisation par Israël, qui ferait ainsi sa transition
démocratique, des dommages infligés chaque jour
depuis cinquante-trois ans aux Palestiniens.
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