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Conseils
de révision
Actualités
de juin 2001
LES
JACQUES USÉS DE J'ACCUSE
Libération du 10 mai annonce la création d'une nouvelle
organisation vouée à la lutte anti-machin-truc-chouette,
avec, dans sa raison sociale, une petite nouveauté hyper-moderne:
ces jacques vont "lutter contre le négationnisme
sur Internet". Nous vla bien! Le président de
cette superbe chose, qui a choisi le nom très original
de "J'accuse", est le célèbre Marc Knobel,
qui, après le cirque Médrano, le cirque de Gavarnie
et le cirque Wiesenthal, opère maintenant dans les eaux
plus calmes de la LICRA. C'est un pro qui a besoin d'un gros salaire
dans la lutte anti-machin. Il s'est adjoint de brillants seconds
en la personne d'Yves Ternon, haineuneux professionnel, chirurgien
qui a perdu la main et depuis se fait passer pour "historien".
Philippe Breton, sociologue du même nom, Antoine Peillon,
journaliste (beurk) (il y a un Vincent Peillon député
socialiste -- rebeurk) et deux bavards, dont les noms ne sont
pas donnés. Ils vont certainement faire sisite. Ils vont
répondre à toutes nos questions, nous dessiner de
superbes chambres à gaz qui marchent... Du Zolocauste au
Zolacauste...
GESHEFT
EBAy et Auction ne vendant plus de trucs nazebrok, un petit malin
a créé son site spécialisé dans ce
domaine !!! <http://www.bidnazi.com/>
D'autres sont encore plus malins: par exemple le Board of Deputies
of British Jews qui est l'organe central de ces riches messieurs
que l'on appelait "israélites". En 1909 cette
honorable institution a acheté, dans la plus grande discrétion,
le manuscrit d'un explorateur célèbre du XIXe siècle,
Sir Richard Burton. Il avait écrit en 1877 un livre intitulé
Human Sacrifice among the Sephardine or Eastern Jews. Ce livre relatait une affaire assez connue qui s'est passée à Damas en 1840. Un capucin a disparu assassiné et on arrêta 13 juifs du lieu que l'on accusa de "meurtre rituel". Il y eut un hourvari, les légats des grandes "puissances" s'en mêlèrent, les juifs furent acquittés et cette affaire assez embrouillée alla nourrir deux courants de pensée également fanatiques et obscurantistes, les antisémites d'un côté qui sont persuadés que les juifs pratiquent secrètement des crimes rituels et qu'ils arrivent à le cacher, et les philosémites de l'autre qui voient dans cette affaire le paradigme de l'antisémitisme, des accusations sans fondement et des persécutions injustes. Burton, qui fut un moment consul à Damas, n'a pas publié son livre mais le titre indique assez de quel côté il penche. Son épouse, Lady Isabel avait demandé qu'il soit brûlé. On apprend donc que le conseil central des juifs anglais l'avait acheté, on ne sait à quel prix, en 1909, pour
qu'il ne soit pas publié. C'est un signe. Aujourd'hui,
le Board se propose de le faire vendre chez Christie's le 6 juin
et espère en tirer dans les £200.000, autour de de
deux millions de francs. Pour un prix deux mille fois inférieur,
le Board aurait pu acquérir chez les libraires spécialisés
un ouvrage du général Mustapha Tlass, inamovible
ministre de la défense de Syrie, imprimé à
Damas, et intitulé L'Azyme de Sion, qui relate,
archives à l'appui, cette ténébreuse affaire.
Il est, lui aussi, persuadé de la culpabilité des
juifs. Il est d'ailleurs dénoncé régulièrement
par tous les thuriféraires d'Israël, et le dernier
aboyeur en date est le rabbin Cooper, du centre néanwiesenthalien
de Los Angeles, qui tient cet ouvrage pour un signe que les Arabes
seraient des... antisémites!!! On trouvera plus bas sa
diatribe sous le titre "RABBIN SPONGIFORME", dans la
troisième partie.
Cette affaire de Damas - 1840, un siècle et demi après,
continue donc à nous chauffer les oreilles. Mais le plus
joli paradoxe, dans cette mince affaire, c'est que les moralistes
à la mord-moi-le-noeud qui veulent empêcher Yahoo,
Ebay et les autres sites internet de faire du commerce avec des
objets qualifiés d'antisémites, sont les mêmes
qui vont se faire un beurre énorme en revendant un
manuscrit qu'ils ont jugé eux-mêmes tellement antisémite
qui'ils l'ont mis sous clé pendant 90 ans!!! Seulement
eux, ils pensent qu'ils ont tous les droits!
BOUCHON
DE LIÈGE
Le mercredi 9 mai, Valérie Igounet présente et parle
de son livre Histoire du négationisme en France
sur la RTBF radio 1 (Radiodiffusion Télévision
belge d'expression francophone), première émission
d'une série de deux, diffusées de 22h00 à
23h00. Voici d'ailleurs le texte copié sur le site de la
RTBF:
Mercredi 9 : Mémo : Histoire du négationnisme
en France (1/2).
Le premier procès pour négationnisme vient de se
tenir à Bruxelles. Mémo propose un entretien avec
Valérie Igounet, auteur d'une Histoire du négationnisme
en France (Ed. Seuil) qui montre bien les liens entre la
négation des crimes hitlériens et l'extrême-droite.
Une émission de Jacques Olivier (Centre de production
de Liège)
Le présentateur a bien préparé son sujet
(ou lu le livre), il pousse parfois la virago (qui a une belle
voix) au c... lorsqu'elle semble vouloir souffler.
C'est la "propagandastaffel"!!! Il faut reconnaître
qu'ils en ont besoin car depuis quelques années, on nous
sert lolocoste à tous les repas et l'indigestion guette
la population.
MA MAMMA
Voici un extrait de la brochure de propagande électorale
que Mr. Berlusconi a envoyée à quelques dizaines
de millions d'Italiens. Il s'agit d'un miracle opéré
par la mère de Berlusconi, pendant l'occupation
allemande de l'Italie du nord. D'après ce récit,
elle aurait sauvé la vie d'une femme juive destinée
au "camp d'extermination".
"...E con un
ricordo indimenticabile. Quello di vedersi un mitra piantato
sul petto e la quasi certezza di lasciarci la pelle. Accadde
quando in treno impedi' ad un ufficiale SS di portar via una
signora ebrea destinata al campo di sterminio. Tutti erano terrorizzati
dalla paura, ma non mia madre. Afferro' per il bavero l'ufficiale
tedesco e si mise a gridare: "Vai via, di' che non l'hai
trovata e vattene di qui". Il tedesco incredulo le dette
uno spintone facendola cadere e le punto' addosso il fucile:
"Zitta tu, o ti ammazzo". Ma lei ebbe il fegato di
continuare: "Guardati in giro: se mi spari, tu da questa
carrozza non scendi vivo". Allora quello si guardo' in torno
e vide tutte quelle facce spaventate che erano diventate minacciose,
che non si sentivano di lasciare sola una donna con una grande
pancia, piccola di corpo ma grande di spirito, che metteva in
gioco la sua vita per salvarne un'altra. Il tedesco divento'
paonazzo, strinse il dito sul grilletto, ebbe un attimo di esitazione
e poi se ne ando'. Il treno riparti'; mia madre aveva vinto,..."
LES MONUMENSONGES
Les sépharades ne sont pas contents. Le monopole achkénaze
sur les bienfaits de la Shoah, le pognon, la morve et les pleurnicheries,
ça les énerve, eux que ces mêmes achkénazes
considèrent comme des chiens et des primitifs à
peine sortis de l'âge de pierre.
Alors ils veulent de la "reconnaissance", un truc à
la mode en ce moment. Et leur part du gâteau zolokaustique.
Ils ont donc commencé par déterminer qu'il y avait
en Europe, avant la guerre, quelque chose comme 350.000 sépharades.
Encore un petit coup de tourniquette et ils arrivent au chiffre
de 160.000 morts dans le grand Zolo. C'est aut'chose que les rosâtres
ou les manouches!!! Donc à nous la bonne soupe. Ils ont
commencé à faire campagne pour qu'on ajoute une
nouvelle plaque à Auschwitz dans leur sabir propre, dit
ladino ou djudeizmo. Question de reconnaissance. Ils en ont rédigé
le texte, que voici:
ke este lugar,
ande los nazis eksterminaron un milyon i medyo de ombres, de
mujeres i de kriaturas, la mas parte djudyos de varyos payizes
de la evropa, sea para syempre, para la umanidad, un grito de
dezespero i unas sinyales.
Voir les liens à <http://www.sefarad.org/connection/sefarad.html>
On dirait de l'espingoin écrit par des illettrés,
ou des espérantistes mal-voyants. Mais faut pas rire de
ces choses là.
Vous le voulez en hongrois ? Ça vous manque? On s'en doutait.
L'aaargh ne recule devant aucun frais. Le voici en hongrois:
- Legyen ez a hely
orok jajkialtas es intes az emberisegnek, a hitleristak itt gyilkoltak
meg hozzavetoleg masfel milio ferfit, not es gyermeket, tobbsegeben
europa orszagainakzsido polgarait.
C'est nettement plus joli. On l'a pas en
patagon, ne demandez plus.
<http://www.sepharadshoah.org/>
D'autres maniaques de la stèle se sont penchés sur
celle du mémorial du juif inconnu à Paris. Ils y
ont lu ceci:
- a) "1940 - Aux
deux cent mille martyrs Français morts dans les camps
de la déportation - 1945" et
b) "Pour que vivent les souvenirs des deux cent mille Français
sombrés dans la nuit et le brouillard exterminés
dans les camps Nazis.
<www.metropoleparis.com/1998/303/holo303.html>
Y paraît que les Polonais, quand on les coince en train
de dire des conneries, finissent par changer le monument où
se trouvent ces conneries. Mais pas nous. Nous on maintient. On
va quand même pas corriger. C'est pas facile de nos jours
de trouver 200.000 déportés. Va falloir creuser.
D'ailleurs
ces histoires de monuments, de stèles, de mémoriaux,
ça finit par engendrer un gros commerce, vu que ça
se propage comme la fièvre aphteuse. On en est à
vouloir créer au sein du Conseil international des Musées,
un (sous-)Comité des Musées Mémorieux des
Crimes Contre l'Humanité!!! Cette proposition émane,
on aurait dû s'en douter, des mabouls qui gèrent
ces monuments à la connerie humaine dans la bonne ville
de Berlin.
Re: Establishment
of a Memorial Museums Committee for Public Crimes Against Humanity
within the International Council of Museums (ICOM)
Dear Colleagues!
According to ICOM headquarters in Paris it is most likely that
we will be able to launch our new international committee during
ICOM's general conference in Barcelona in July 2001.
On April 20, 2001 we had sent our proposal for the establishment
of the new committee to the Secretary General of ICOM. Following
statutory conditions, the proposal was forwarded to the chairs
of ICOM's international committees and affiliated associations
asking for their comments.
Thomas Lutz, Topography of Terror
Foundation, Budapester Str. 40, D-10787 Berlin, eMail: l[email protected]> www.topographie.de/gedenkstaettenforum
ÉGALITÉ
ET JUDAITÉ
Voici ce qu'on peut tirer de la dernière livraison de Staatsbriefe:
Dans la FAZ du 3 avril il y avait un article d'un mec de
la "Fakultät für Raumplanung der Universität
Dortmund" (Gerd Held) qui parle d'un "bon colonialisme"
et donne comme exemple Israël. ("Das ominöse Institut
für neokoloniale Raumordnung, wie es eigentlich heißen
müßte", dit le commentateur de Staatsbriefe).
Dans le même article, l'auteur parle d'une exposition dans
le musée juif de Berlin (qui va ouvrir cette année
) qui traite des 2000 ans de l'histoire de colonisation juive
de l'Allemagne.
Nous, en Allemagne, nous sommes prêts à accueillir
des juifs de Palestine chez nous, mais il doit être clair
que nous n'acceptons pas leur domination ni qu'ils nous traitent
comme des Palestiniens. C'est ce qui est à craindre. Nous
demandons l'Égalité avec nos concitoyens juifs!
OUBLIEZ
PAS LE GUIDE
- I have just returned
with my College of Saint Elizabeth students from the first international
MARCH OF REMEMBRANCE AND HOPE.It was an incredible experience,
studying the Holocaust with students from all over the world.
Our visit to Majdanek had a powerful affect on all of the college/university
students as well as on the faculty, staff, and survivors.Those
of you who have been there know what this means. However, I am
concerned that many of the barracks with exhibits are closed;
I want to know if anyone on the list can provide assistance in
understanding the reasons (is this "temporary"?) and
to see what we can do to get them open. There is still one open
barracks exhibit with the shoes, but the others are closed (including
the one with the childrens' shoes). I remember the impact that
going through all the buildings with the shoes had on me on the
previous times I visited; I wanted my students to experience
this as well. The buildings with the caps and uniforms were also
closed.
I did meet the curator of this site in 1991 and was very impressed
with all he had done to preserve Majdanek and to make it a memorial
that presented the reality of the horror as it was, simply letting
the artifacts speak for themselves. His vision was reflected
in the ways that artifacts were set up and captions provided.
He served in his position for about 25 years and told us at that
time that he was retiring to write about his experiences. I don't
know what he would think about the closing of these buildings.
I also thought that the one new exhibit (a modern art installation)
would have been better installed at a site other than Majdanek.
Harriet Sepinwall -- College of Saint Elizabeth Holocaust
Education Resource Center 2 Convent Road Morristown, NJ 07960
<[email protected]>
Un incendie s'est déclaré samedi dans un ancien
camp de la mort nazi de la Pologne orientale, causant des dommages
peu importants. La police pense qu'il s'agit d'un acte criminel.
Treize pompiers ont éteint l'incendie qui avait été
découvert par des employés du musée de
l'ancien camp de Majdanek, a déclaré Robert
Machaj, porte-parole de la brigade de pompiers de la ville voisine
de Lublin, à 160 km à l'est de Varsovie.
Le feu a détruit deux lits et couvertures dans un baraquement
qui avait été occupé par des prisonniers
du camp construit par les nazis en 1941. Entre 1941 et 1944, 360.000
des 500.000 détenus, la plupart juifs, de Majdanek furent
tués dans les sept chambres à gaz de ce camp
où périrent à la suite de brutalités
et de conditions inhumaines.
Rappelons que, selon la lettre du Dr Martin Broszat, directeur
de l'Institut d'histoire contemporaine de Munich, publiée
dans Die Zeit du 19 août 1960, Majdanek ne faisait pas partie des camps possédant
des chambres à gaz homicides. Pensez donc! Sept d'un coup!
Comme dans Walt Disney! et des chambres avec des fenêtres!
un vrai palace!
ENFIN POUVOIR BRONZER ZOLO
On organise une université d'été pour le
bourrage de crânes sur l'histoire de la Shoah. On vise les
professeurs de lycées et collèges, toutes disciplines
confondues (on se fout pas mal de leurs disciplines) du 8 au 12
juillet 2001, à Paris, avec des "historiens (faut
voir lesquels) et des spécialistes de la pédagogie"
(bourrage de mou). Avec le soutien de l'APHG (Associatioon pour
un Holocauste grossi) et de la Fondation Jacob-Bourreman. Renseignements
et inscriptions au CDJC (Centre de la discrimination juive contemporaine):
01 42 77 44 72.
BULLE
A PESTE (SUITE)
Le mois dernier, on avait vu que le Parlement hongrois refusait
une gayssotine comme cheu'nous. Mais ça ne fait pas l'affaire
des interdiseurs de penser.
- Les juifs
hongrois jurent de faire voter une loi contre la négation
de l'Holocauste
- par Agnes Bohm
Budapest -- Le ministre hongrois de la justice vient de repousser
une demande de la communauté juive qui réclamait
une loi punissant la négation de l'Holocauste.
"Une telle loi serait anticonstitutionnelle" en Hongrie,
a déclaré Ibolya David à une commission
des lois la semaine dernière. Elle affirme avoir fondé
sa décision sur "un grand nombre d'opinions de professionnels",
la plupart provenant de fonctionnaires du ministère de
la justice. La Fédération des communautés
juives hongroises avait demandé au gouvernement, en novembre
1999, de s'atteler à la rédaction d'une telle loi.
La demande faisait suite à la parution d'un grand nombre
de livres présentant l'Holocauste comme une invention
juive. [Lesquels? On voudrait les voir...]
Les dirigeants juifs estiment que le nombre de magasins vendant
de la littérature et des vidéos antisémites
a considérablement augmenté depuis qu'ils ont déposé
cette proposition de loi. Ils citent l'exemple de Aron Monus,
qui habite en Hongrie du Sud et qui n'a jamais eu le moindre
ennui pour son livre bien connu, La Conspiration juive mondiale.
Peter Tordai, président de la fédération,
a fait savoir à l'Agence télégraphique juive
qu'en dépit de la déclaration du ministre de la
justice de la semaine précédente, la communauté
juive avait bien l'intention de tout faire pour introduire une
loi semblable à celles qui s'appliquent aux livres en
Allemagne, en France et en Autriche.
Agence télégraphique juive, 9 mai <http://www.jta.org/story.asp?story=7608>
Ceci n'est pas sans rappeler ce qu'en disait
le fonctionnaire Martin Luther, du ministère allemand des
affaires étrangères, dans un fameux mémorandum
du 21 août 1942 :
- "[Le ministère]
n'a entrepris aucun travaux d'approche auprès du gouvenement
hongrois sur la déportation des juifs parce que l'état
actuel de la législation hongroise ne donne pas suffisamment
l'espoir d'y parvenir."
Les lobbies devraient donc se dire:
"Les travaux d'approche entrepris auprès du gouvenement
hongrois sur la déportation des révisionnistes
ont échoué parce que l'état actuel de la
législation hongroise ne donne pas suffisamment l'espoir
d'y parvenir."
Toujours cette fichue législation
hongroise !
En Russie,
la Douma a rejeté pour la troisième fois, par 219
voix contre 73, une motion condamnant l'antisémitisme et
le fascisme dans le pays. Il aurait fallu 226 voix pour qu'elle
soit adoptée (c'est ce que le Lobby a appelé une
courte défaite...). Il y a quelques semaines, plusieurs
députés ont refusé de se lever et d'observer
une minute de silence le jour de la Commémoration de l'Holocauste.
TOMBÉ
SUR LA TÊTE
- Neutralizing
the New Testament's anti-Semitism
I have recently published an article in Vigiliae Christianae
54, no. 3 (2000) p. 233-47 which solves the problem of the
historical Jesus, using as a source a little-known fragment
of the Histories of the Roman historian Tacitus. According
to this fragment the Roman army destroyed the Second Temple in
the year 70 precisely because it wanted to retaliate against
the ideological followers of Jesus, the Christiani.
What this means is that Jesus was most likely the founder of
an anti-Roman guerrilla movement, not a Christian. Tacitus' fragment
implies that the New Testament is quite misleading and totally
depoliticized in its depiction of the first Christians as pacifists
who were supposedly at best politically neutral towards Rome.
Tacitus thus presents us with a fresh view of the New Testament
that should go a long way towards neutralizing its historical
value and discrediting it, together with its anti-Semitism.
My article can also be accessed directly by clicking on either:
<http://www.bham.ac.uk/theology/synoptic-l/laupot.htm> or
<http://www.infidels.org/library/modern/eric_laupot/nazoreans.html>
My study employs a certain amount of basic probability and statistics.
I have found that people confronting similar problems have sought
the aid of mathematicians specializing in these areas.
Eric Laupot, P.O. Box 286510, New York, NY 10128, USA
Tel. (212) 744-9450
Et c'est nous qu'on accuse d'être fous!
LES
DERNIERS SERONT LES DERNIERS
Une bonne analyse de la façon dont l'Amérique impériale
traite la Yougoslavie: comme une crotte, qu'elle touche du bout
de son bâton. Une économiste
canadien fait le bilan.
ZOLO
ET THALA VONT EN BATEAU
- The 32nd
annual scholars' conference on the holocaust
and the churches
March 2-5, 2002,
Kean University - Union, New Jersey
The theme of the conference will explore the knotty, if not complicitous,
relationship between literate civilization and genocidal, mass
murder-how educated and cultivated individuals become implicated
in methodical plunder, terror, and relentless human destruction.
[Like the Americans in Vietnam, for instance] Consideration of
rescuers and resisters-contemporaries who charted a different
course within the dark world of educated evil-will provide contrasting
shades of insight into the genocidal mind.
Major topics will include:
1. Complicity in the Holocaust & Genocide (Professors and
scholars in the universities, Teachers in the schools, Doctors
and nurses, Lawyers and judges, Journalists(radio & press)
2. The moral failure of religion and the Church struggle
3. Rescuers
4. Resisters
5. The Churches after Auschwitz -- "We Remember" and
other Church declarations
6. Humanizing the Professions After the Holocaust
7. Developing an Early Warning System on genocides, etc.
NOTE: Send a paper or panel proposal of no more than 500 words,
with
a brief vita, your email address and telephone number, before
August
1st, 2001 to:Dr. Marcia Sachs Littell, Executive Director, The
Annual Scholars' Conference, P.O. Box 10, Merion Station, PA
19066-0010
For more information, call 908-527-2376.
Teacher's Institute co-sponsored with Yad Vashem and the
New Jersey Commission on Holocaust Education.
AU
GUÉ DES BOEUFS
L'intervention de David Irving devant les étudiants d'Oxford
qui devait avoir lieu aujourd'hui a été annulée
hier. Plusieurs étudiants auraient demandé cette
annulation pour des raisons de sécurité...
- Holocaust
denier is denied a chance to debate at Oxford
- By Richard Allen
Greene
London, May 10 (JTA) -- A student group at Oxford has canceled
a debate on freedom of speech that was to feature Holocaust denier
David Irving.
The Oxford Union, a debating society, decided to call off the
event at the last minute after intense pressure from a range
of groups including the Union of Jewish Students, the Anti-Nazi
League, the Association of University Teachers and Oxford's own
Student Union.
The Anti-Nazi League, which had planned protests at the debate,
originally scheduled for Thursday, hailed the cancellation as
"great news." "It would have been horrendous for
David Irving to get to speak in Britain," league spokeswoman
Debbie Jack said. The debate was to address the question of whether
there should be restrictions on the freedom of speech of extremists.
Irving was scheduled to argue against restrictions, while Richard
Rampton, one of the lawyers who successfully defended Holocaust
scholar Deborah Lipstadt from Irving's libel lawsuit last year,
was to argue in favor. David Mitchell, a Jewish student at Oxford,
coordinated campus opposition to the event.
After distributing leaflets and pressuring other members of the
panel to pull out of the debate, he put motions to the Oxford
Union condemning the Irving invitation and demanding that it
be canceled. At a four-hour meeting on Tuesday, students voted
95 to 15 in favor canceling the debate, union spokesman Daniel
Johnson said. (...) This is the third time in recent years that
Oxford has canceled a planned Irving appearance.
<http://www.jta.org/story.asp?story=7616>
MIRAKEL
Témoignage
Rescapé
de la chambre à gaz
C'est un vieil homme
maintenant, même s'il ne fait pas ses 72 ans. Trois filles,
sept petits-enfants, un magasin de confection qu'il a transformé
en entreprise prospère... Joseph Wajsblat a réussi
sa vie.
A 15 ans, en octobre 1944, déporté du ghetto polonais
de Lodz, le petit Jo se trouvait dans le crématoire n·
IV d'Auschwitz-Birkenau. A l'intérieur de la chambre
à gaz. Impossible d'en réchapper. Et pourtant...
"Soudain, j'aperçois un rai de lumière: la
porte vient de se rouvrir. Plus forte que les plaintes, plus
forte que les sanglots, une voix se fait entendre: "Raus!'."
L'ordre vient de Mengele, le médecin-chef du camp. Que
s'est-il passé? Il ne le saura jamais. Son histoire, Wajsblat
a attendu jusqu'à aujourd'hui avant de la raconter dans
un livre, Le témoin imprévu (Florent Massot).
Jérôme Cordelie
Le Point, 16 mars 2001, p. 22, qui ne recule devant rien.
LA NOUVELLE RELIGION
S'ORGANISE
- Le 27 Nissan 5761, pour
le Yom HaShoah, le Consistoire de Paris fera paraître sous
l'égide du grand rabbin de Paris, David Messas, le
premier "Rituel de la Shoah", diffusé gratuitement
dans les synagogues, associations et écoles. Suite à
un entretien avec Moïse Cohen, Président du Consistoire
de Paris, Actualité Juive retrace les raisons qui
ont poussé un des principaux organismes du judaïsme
français à formaliser le récit de la Shoah
à travers un rituel. (...)
Ce Rituel de la Shoah est composé de trois parties: une
première partie que l'on peut qualifier de liturgique
(...). La seconde partie est historique. (...)
La troisième partie est un segment que l'on pourrait qualifier
d'illustratif ou d'édifiant au sens noble du terme
puisqu'elle se compose, entre autres, comme le dit Moïse
Cohen, de "citations d'anciens déportés, de
grands témoins connus, d'extraits de textes d'Anne Frank,
de Primo Levi, etc." (...)
Ariel Sion
Actualité juive, 19 avril 2001.
Le lecteur attentif n'aura pas été sans remarquer
qu'à chaque fois que des juifs parlent d'eux-mêmes
en tant que juifs, ils trouvent toujours à employer, pour
se faire mousser, l'expression "au sens noble du terme".
Nous connaissons des gens qui ne les appellent que "les nobles
-- au sens noble du terme".
ON SE MÉFIE DES MAFIAS
Selon Jürgen Roth, "aucun politicien
de la République fédérale d'Allemagne"
ne s'intéresse à la criminalité de la mafia
juive "aussi longtemps que les assassinats se tiennent dans
certaines limites". Comme les mass media sont aux mains de
juifs, la criminalité de la mafia juive restera discrète,
de sorte que le monde politique allemand pourra continuer à
entretenir les meilleures relations avec la plus grande association
criminelle au monde.
D'ailleurs dès que cette criminalité mondiale est
une fois mise en rapport avec la mafia juive, les mass media commencent
immédiatement une campagne d'excitation à la haine
contre la droite afin de détourner l'attention du public
sur des innocents. Dans les publications officielles, il est naturellement
interdit de dire que la mafia dite russe se compose exclusivement
de juifs.
La mafia russe
a disparu
- Par Jürgen
Roth
"Les années sauvages, c'est terminé",
expliqua un homme d'affaire russe de bonne humeur à un
employé plein de compréhension du BKA à
Berlin [Bundeskriminalamt, autorité chargée de
lutter contre le crime organisé]. Les "années
sauvages" étaient pour lui de 1989 à 1996,
lorsque la mafia russe était occupé à marquer
son territoire et ses activités portant sur le commerce
d'êtres humains, de la drogue, d'armes, le chantage à
la protection, la prostitution, entre les organisations criminelles
anciennes et nouvelles de l 'ex-URSS.
Selon des informations dont dispose l'office criminel de Berlin,
il y a tout de même eu trois meurtres et quatre tentatives
de meurtres contre des citoyens de l'ex-URSS en 1999 ayant tous
un rapport avec le crime organisé à Berlin.
Cependant la lutte de la soi-disant mafia russe pour ses domaines
d'influence est aujourd'hui terminée. Les anciens criminels
sont devenus des hommes d'affaires tout ce qu'il y a de plus
convenable, ou ont quitté Berlin, ou ont été
assassinés.
Aujourd'hui, croit-on savoir avec certitude, la "mafia russe"
traditionnelle n'existe plus. Et pour ce qui est de nouvelles
organisations criminelles, les autorités n'en savent pas
grand-chose, pour ne pas dire rien du tout, ce qui serait plus
juste.
Ceci est effrayant, car la capitale fédérale est
restée un lieu de rendez-vous de grands criminels venus
de l'ex-URSS. Un grand nombre d'entre eux ont acquis la nationalité
allemande à l'aide de faux documents, notamment de faux
extraits de naissance. La vente de faux documents est d'ailleurs
une affaire florissante pour certaines organisations mafieuses.
Quelquefois il arrive, mais c'est exceptionnel, que la police
entrevoie quelque chose sur ces activités criminelles.
Mais seulement lorsqu'il y a meurtre. Comme par exemple en août
1996, lorsque, dans un garage souterrain à Berlin-Wilmersdorf,
le chef d'entreprise Sharko Kakatschia, d'origine georgienne,
âgé de 55 ans, fut assassiné dans sa Mercedes
flambant neuve.
Lors de son enquête, les fonctionnaires de police découvrirent
que la plupart des chefs d'entreprises originaires de l'ex-URSS
étaient raketés par Sharko Kakatschia qui les "protégeait".
Les "contributions" commençaient à 150
DM. Y étaient soumis les fleuristes, les médecins,
les propriétaires de société d'import-export.
Le chiffre d'affaires mensuel de Sharko Kakatschia à Berlin
dépassait les 100.000 deutschmark. Il est fort probable
que la mort de Sharko Kakatschia n'aura rien changé à
la situation. Que l'homme d'affaire géorgien était
un parrain craint de la mafia ne fut découvert qu'après
sa mort. Mais on sait maintenant qu'il y a d'autres parrains
de ce genre vivant et agissant tranquillement à Berlin.
Le fait est cependant que toutes les grandes organisations criminelles
de l'ex-URSS ont leurs représentants à Berlin.
Un autre parrain, le chef de la "brigade lithuanienne",
a quitté Berlin pour aller se réfugier en Espagne.
C'est sa main droite, Boris G., originaire de St-Petersbourg,
qui le représente à Berlin. Une nouvelle organisation
est apparue en octobre 1998, "la bande de la Luganskaia".
Sa spécialité est le commerce d'êtres humains
venant de l'ex-Union soviétique. Les illégaux passés
dans la région de Berlin sont transmis aux employeurs
les plus divers.
Leurs petits salaires sont versés directement au syndicat
du crime. Après déduction de tous les frais de
passage, d'hébergement et d'alimentation, il reste aux
illégaux à peine de quoi vivre. Cela rend plus
facile leur utilisation pour des crimes et des délits.
Il semble, selon le Landeskriminalamt [office régional
de lutte contre le crime organisé], que des parrains importants
vivent là tranquillement et entretiennent, en plus, les
meilleures relations avec des milieux politiques à Berlin,
tout comme à Moscou. Dans un document du LKA de Berlin,
on peut lire: "Les parrains vivant à Berlin y sont
très bien installés et jouissent en plus d'une
grande considération sociale. On les rencontre quelquefois
à ces réceptions luxueuses où sont aussi
invités des dirigeants politiques ne montrant aucune crainte.
Pour le LKA de Berlin, ces autorités criminelles "exercent
leurs activités à partir de Berlin, avec des mouvements
de fonds très élevés, incontrôlables,
des moyens techniques les plus modernes, des relations politiques
et économiques".
Ce qui est surprenant est que, bien que tout cela soit connu,
rien n'a été entrepris contre eux. Cela peut s'expliquer
par le fait qu'ils savent parfaitement bien se protéger.
Ils n'utilisent, par exemple, des téléphones portables
qu'avec des puces venant de Hongrie, d'Italie, de Russie, sachant
bien que la police n'était pas en mesure d'écouter
ces téléphones. Lorsque ces autorités criminelles
se font conduire à leurs lieux de réunion, ils
sont accompagnés de véhicules transportant des
gardes-du-corps. Des fonctionnaires de police de Berlin ont constaté
qu'avec des véhicules d'accompagnement, ils forment des
barrages filtrants et qu'avec des portables ils sont informés
sur les mouvements des véhicules de police qui les suivent."
Dans un autre cas, la police s'était mise en observation
près d'un point de rencontre très apprécié
des criminels russes près du Kurfürstendamm.
La police avait installé un chantier avec des toilettes
mobiles. Leur intention était de photographier les participants.
Les gangsters l'ayant remarqué, subitement des gardes-du-corps
se précipitèrent vers l'observatoire et collèrent
du papier sur toutes les ouvertures. "L'observatoire avait
été installé longtemps à l'avance
et rien ne permettait de penser que les suspects pouvaient le
soupçonner", se plaignirent les policiers déçus.
C'est ainsi que cela se passe avec toute la police. Lorsqu'elle
croit savoir quelque chose, l'autre côté est déjà
au courant et ne peut que rire des vains efforts de la police
d'apprendre quelque chose. Et aussi longtemps que les assassinats
se maintiennent à un niveau raisonnable, aucun homme politique
ne s'intéressera au bétonnage d'organisations criminelles
de l'ex-URSS à Berlin.
Die Welt, le 4 mai 2001, page 10 (traduit de l'allemand)
LA CHARGE DE LA
PREUVE
- par Ingrid
A. Rimland
May 11, 2001;
-- A few days ago a Revisionist who is rather new to the struggle
wrote to the Zundelsite for information about what to do with
a new "documentary" a woman named "Gould"
had seen on TV about some new "evidence" connected
to Eichmann - which proved in her mind that "Holocaust Deniers"
were on the wrong track. (...) We absolutely must resist being
sucked into every new lie, every wild and unsubstantiated claim,
every new "document" and "documentary" these
people will dream up to keep us hopping and spinning. It will
never ever end -- we have to resist that tactic. It is a tactic
to keep us busy and on the defensive.
The basic facts around Eichmann are these:
Eichmann was forcibly kidnapped, held for years in solitary confinement,
the Israelis had total control over what he got to read, what
documents he was given, what he ate, drank and what medicines
he took. Israeli behavior toward ordinary Palestinian demonstrators
is awful - imagine the "special treatment" they would
mete out to a guy like Eichmann whom they call the "architect
of the final solution"?
Whatever he may have said or written under these prison conditions
is worthless - he simply was no longer a credible historical
source, much less a believable witness.
Secondly, there was recently the London Trial of David Irving
where, toward the end, the so-called "Eichmann Diaries"
surfaced. Had there been the slightest evidence of this newest
claim, it would have been trumpeted to the sky. There was nothing
incriminating or even of interest in those diaries.
It is not our job to answer every new Jewish claim with exhaustive,
time-consuming and expensive research. The basic work has been
done. We are way, way past this stage. We are willing to debate
the Holocaust claims openly and fairly on an international, neutral
forum, but to answer every silly individual claim of every kook
just drains our energy and our resources. We have done that for
years, and now it is time to move on and to instrumentalize what
Revisionist research has found - to stop the brutalities that
are inflicted on the claim of a false genocide story.
Revisionist research has proven that Germany had no government
policy to exterminate Jews or anybody else on racial, cultural
or religious criteria [Note
de l'AAARGH: revisionist research did nothing of the kind. The
fact was acknowledged by the director of Yazd Vashem in December,
1960 and Rassinier immediately pointed to it, lest it should
be later "forgotten". See the 1960 declaration in La Terre retrouvée
with the complete report.].
Leuchter, Rudolf, Lüftl all independently examined the so-called
gas chambers. They are fakes. No gassings took place. So there
is no policy, no murder weapon, no evidence of remains, existing
crematory capacity could not have handled that many corpses.
Some time ago a so-called "German documentary film maker"
was arrested who was quite popular with mainstream media. He
admitted that he staged and faked these documentaries. He is
merely one of many.
We have the historical, forensic, logistical answers to the Holocaust
Lobby's false, mendacious claims. We have done the "archeolical
digs" - there is no need to excavate the same site over
and over and over again. If they come up with a new lie - and
they are exceedingly good at that - we just walk around them.
We don't do them the favor of replying to something that has
been settled once and for all.
I think an answer to the Gould letter would be to urge her to
help us get a debate in an open forum going if she has any doubts.
Frankly, this letter is a thinly veiled attempt to frighten you
off from investigating the tabu. If they had nothing to fear,
they would encourage you to continue your research to find them
innocent.
ZGram - 5/11/2001 - "It's time to stop begin reactive",
by Ingrid A. Rimland (extract) From: <[email protected]>
LOURDE
La sanction disciplinaire de la révocation est prononcée
à l'encontre de M. Jean-Louis Berger, professeur certifié
de lettres classiques (l'arrêt porte "professeur certifié
d'histoire-géographie", l'administration n'est pas
à ça près) affecté au collège
La Paraison à Lemberg (Moselle). Voir
chapitres précédents.
KORREKTURE (du
mois dernier Y'EN À IENA)
Nous avions écrit: Voyez les photos. Voyez la bannière
des "anarchistes nationaux: "Solidarité avec
la Palestine pour un monde de peuples libres"
Nos kamarades disent:
- Ça, c'était
pas notre bannière! C'est le vieux truc national-révolutionaire
(bien que valable). Nous ne sommes pas des NRs!! Nous somme nA!
(national-anarchistes) Notre bannière était: "Nous
antisémites? Vous COMPLICES! Canaille de froussards!!"
Notre tract, le voici:
nA zur Pali-Demo am 14. April 01 in Jena:
- Israel muß
weg! Wir Antisemiten?
Wenn Juden Eingeborene mit brutaler Gewalt & Mord aus ihrer
Heimat verjagen und den verbliebenen Rest aufgrund der Rasse
diskriminieren, dann sind diese Juden Scheiß-Faschisten,
genau so, wie Deutsche oder Franzosen oder Katholiken oder Träger
apfelgrüner Krawatten SCHEISS-FASCHISTEN sind, die gleiches
tun.
Und da könnt Ihr ,antifaschistisches" (in Wahrheit
pro-zionfaschistisches) Gesindel TAUSEND MAL behaupten, wir seien
,Antisemiten". Ihr seid nur zu FEIGE, diese einfache Wahrheit
zu denken und auszusprechen. Ihr laßt Oich mit der ,Antisemitismus"-Koile
KORRUMPIEREN & ERPRESSEN: Jetzt dünkt Ihr Oich WAS BESSERES
und seid GUTE MENSCHEN und merkt gar nicht, wie Ihr Oich an der
Nase herumführen laßt und dabei SCHLECHTES geschieht.
Ihr überlaßt die Palästinenser dem mordenden
Fascho-Mob und KLATSCHT BEIFALL, wenn Juden böse ,antisemitische"
arabische Kinder massakrieren, wagt keinerlei Kritik, weil Ihr
ja sonst ,Antisemiten" seid, Ihr armen Kerle.
Es gibt Menschen, die dürfen einfach ALLES und sind UNANTASTBAR,
nur weil sie die neuen Heiligen sind: die Juden.
Uns eint mit den palästinensischen Befreiungskämpfern,
daß auch wir von jüdischen Bonzen und ihren philosemitischen
Arschkriechern unterdrückt werden, die sich ANMASSEN &
ERDREISTEN, uns Tag für Tag mit ihrem Scheiß zu BELÄSTIGEN,
uns die Ohren vollzunölen und die freie Rede zu verhindern.
Wir lassen uns keinen Gedanken, kein Gefühl und kein Wort
verbieten, heute nicht und auch in Zukunft nicht, wenn wir Juden
gegen Oich in Schutz nehmen werden, wenn Oier Philosemitismus
in (wirklichen!) Antisemitismus umschlagen wird, denn positive
hat negative Diskriminierung zur Folge.
Israel ist ein faschistischer Staat und muß & wird
verschwinden!
Die Araber werden NIE Ruhe geben. Und warum auch sollten sie
sich VERNICHTEN lassen? Die Juden hatten genug Zeit, sich mit
den Arabern von gleich zu gleich zu verständigen. Aber von
ihrer Führung kam nur HOCHMUT, VERACHTUNG & TERROR!
Die israelische Friedensbewegung war zu schwach; die meisten
Juden gefielen sich als HERREN & BESSERE MENSCHEN oder haben
die anderen NICHT WAHRHABEN WOLLEN.
Jetzt ist es soweit: die Juden haben die Wahl: Dorthin zurück,
wo sie hergekommen sind, am besten nach USA, wo die meisten Hardcore-Talmudisten
ja auch herkommen. Oder sie geben das Rassisten-Regime auf und
leben in Palästina nicht unter und nicht über anderen
Menschen. Das ist die Perspektive einer friedlichen Lösung
des Konfliktes.
- Für
ein freies, nicht-rassistisches Palästina!
- Sofortige
Auflösung der Flüchtlings-Lager und Rückkehr aller
Vertriebenen!
- Rückgabe
des Eigentums an die Bestohlenen!
- Nieder
mit dem Zion-Faschismus wie jedem anderen Faschismus!
- ,Antisemitismus"?
: ARSCH LECKEN!
POIGNANT
POGNON
- 30 millions
de dollars dépensés par la Commission des réclamations
de lolocoste pour ses "frais"
-
- Les dépenses
de la commission des réclamations de lolocoste sont critiquées.
Une commission internationale créée pour résoudre
les conflits concernant les assurances de l'époque de
lolocoste a dépensé dix fois plus en frais de gestion
comme des salaires, des notes d'hôtels et des encarts publicitaires,
que les assureurs n'ont payé aux rescapés des camps
de la mort, d'après les documents internes de cette commission.
Ces documents établissent que la Commission internationale
pour les réclamations aux assurances de l'époque
de lolocoste a dépensé plus de trente millions
de dollars depuis sa constitution en octobre 1998, alors que
les cinq sociétés qui constituent l'association
ont reversé seulement trois millions aux plaignants. De
plus, les rescapés ont repoussé la moitié
au moins des propositions faites par les assureurs, affirmant
que les sommes proposées (parfois 500 dollars) sont absolument
insuffisantes.
La disparité éclatante entre les paiements effectués
à ce jour et les frais de gestion préoccupe les
membres de la commission eux-mêmes; elle est présidée
par un ancien ministre des affaires étrangères
américain, Lawrence Eagleburger. Une note interne rédigée
en janvier [2001] par Geoffrey Fitchew, vice-président
de la commission, admet que "la commission risque d'encourir
des critiques de plus en plus nombreuse, essentiellement parce
le nombre d'offres faites aux plaignants est très bas
[...] et à cause du fossé entre le montant des
frais de gestion de la commission et celui des offres."
Ces critiques sont devenues publiques mercredi [16 mai 2001]
au cours d'un procès fait par une femme de Los Angeles
à la compagnie d'assurances italienne Assicurazioni Generali
devant le tribunal du comté de Los Angeles. Eagleburger
a reconnu la disparité au cours d'une conversation téléphonique
avec le siège de la commission à Washington. "Je
suis le premier à admettre qu'au regard de ce que nous
avons déjà dépensé, dit Eagleburger.
le résultat n'est pas à la hauteur des espérances.Il
a fallu beaucoup plus longtemps pour que la commission mette
au point les méthodes de paiement des réclamations
et leur évaluation." Eagleburger est payé
trois cent cinquante mille dollars par an pour diriger la commission
qui est une association privée qui échappe au contrôle
de l'Etat et dépense les fonds librement.
Eagbleburger a dit que Assicurazioni Generali avait accepté
à la fin de l'année dernière de payer cent
millions de dollars de dommages intérêts pour lolocoste
par l'intermédiaire de la commission et d'une association
israélienne chargées de distribuer l'argent. A
ce jour, la compagnie d'assurances a versé plus de cinq
millions mais Eagleburger dit qu'on ne sait pas bien si l'argent
sera distribué et à qui. La plupart des rescapés
de lolocoste ont maintenant plus de soixante-dix ans et il en
meurt dix par mois.
Los Angeles Times 17 mai 2001
<http://www.usajewish.com/scripts/usaj/paper/Article.asp?ArticleID=1176>
Boston,
Thursday, May 17, 2001
-
Holocaust panel
spends $30 million to award $3 million
Los Angeles (Associated Press -- An international commission
created to resolve Holocaust-era insurance disputes has reportedly
spent more than $30 million on salaries, hotel bills and newspaper
ads while distributing only $3 million to claimants.
Internal documents obtained by the Los Angeles Times show
that the International Commission on Holocaust Era Insurance
Claims realizes it is coming under fire. "ICHEIC is
at risk of facing increasing criticism, focusing on the low proportion
of our claimants who have received offers ..." commission
vice chairman Geoffrey E. Fitchew wrote in an internal memorandum
in January. Commission President Lawrence S. Eagleburger
acknowledged those concerns in an interview with the newspaper.
I will be the first to admit that given the amount we have spent
so far, the result in claims paid out is by no means as high
as it should be," said Eagleburger, a former U.S. secretary
of state who draws a $350,000 annual salary as commission
president.
The documents show that since 1998 the commission has held at
least 18 meetings with up to 100 participants at hotels in London,
Jerusalem, Rome, Washington and New York. The commission is a
private organization created in 1998 by U.S. and European insurance
regulators, Jewish organizations and European insurers flooded
by a lawsuits for allegedly failing to pay valid claims lodged
by Holocaust survivors or their heirs.
In a related development, the House of Representatives on Wednesday
approved an amendment to the State Department budget providing
the department will review the commission's claims. "ICHEIC
is not doing the job Congress expected it to do and I intend
to ensure that is has fair procedures and is accountable to Holocaust
survivors," said Rep. Henry Waxman, D-Calif. The commission
is not regulated by any governmental agency and makes independent
spending decisions. Nearly all the commission's funding is
provided by its five European insurance company members.
Norman F vous l'avait bien dit. Ils ne peuvent plus cacher
la monstrueuse gabegie.
<http://www.boston.com/dailynews/137/nation/Report_Holocaust_panel_spends_:.shtml>
VIE
PARISIENNE
On apprenait, dans le Carnet du Monde,
la tenue d'une conférence. L'invitation était ainsi
formulée: "Les Forums du Champ Lacanien invitent Nadine
Fresco pour une conférence intitulée: «Du
mouton cloné à la brebis galeuse: vertiges de la
science et tourments de la morale», le jeudi 10 mai
2001, à 21 h 15, au 118 rue d'Assas, Paris-6e. Tél.:
01-56-24-22-56"
Alors, nous dira-t-on, qu'est-ce qui attire dans cette pâture
la sinistre autrice d'un livre tout entier voué à
l'exécration de Paul Rassinier,
sur 800 longues pages? Le rôle de brebis galeuse ? C'est
le produit subtil des règles de la vie parisienne. Dans
les années 80, comme les sinécures procurées
par les patitos se faisaient rares, Fresco n'a pu entrer comme
"chercheuse" qu'à l'INSERM, l'organisme plutôt
bas-de-gamme qui gère la recherche en matière médicale.
Mais les compétences de la Fresco en matière médicale
sont strictement égales à zéro. Il a donc
fallu se replier sur des baratins quelconques et les histoires
de morale médicale offraient un champ infini à des
élucubrations gratuites. Sous cette couverture elle allait
pouvoir passer son temps à préparer sa charge contre
Rassinier, qui n'avait aucune justification possible aux yeux
des directeurs de l'INSERM, même avec les complicités
que l'on imagine. Maintenant que, grâce au détournement
du temps de travail payé par l'INSERM elle a pu entrer
au CNRS en se faisant passer pour une "historienne",
et comme elle n'a aucun travail historique dans son cabas, elle
doit remplir quelques vieux contrats avec ceux qui croient, avec
retard, qu'elle est une "spécialiste" des questions
de morale médicale, très agitées en ce moment
avec les possibilités de la technique du clonage. Donc
elle va parler aux Lacaniens. Pourquoi les lacaniens? Parce qu'un
autre ancien sigisbée lui a fait visiter la maison Lacan,
où, comme chacun sait, la maison où les non-dupes
errent a beaucoup de chambres. Encore une façon de rouler
les gobeurs dans la farine. Comme on le voit, la gestion d'une
masse d'anciens céladons devient intellectuellement acrobatique.
Et comme la rumeur publique dit qu'elle a largué le philosophe
de pacotillle Droit parce qu'elle le trouvait un peu tordu, il
faut s'attendre à des suites désopilantes.
CONFU-SIONISME
2
- Subject: Holocaust revisionist
conference
A. M.asked "What do the holocaust deniers have against
the Nazis? Can anyone point me to any material from any of the
deniers that explains what, if not the holocaust, the Nazis have
done that warrants their being equated with Zionists?"
The answers to these questions rests with the false information
that led to them. Holocaust Denial is a broad category
for contemporary fascist propaganda and one must not expect the
normal logic of scientific or academic discourse to hold true.
The equation of the bad Nazis with the bad Zionists is a fascist
troll, a form of misdirection used by contemporary fascist agitators
to create a sense of misdirection. (...)
As one consequence, one can find people who favorably post pictures
of Hitler to the net and then shortly after present themselves
as anti-fascists calling for the need to fight "Nazi Israel."
In short, the question Miller asked is based on information rooted
in fascist advertising jingles, not historical analysis. It is
not due to some misunderstanding of history anymore than the
Nazi charges against Polish aggression were based on a Nazi misunderstanding
of geography.
Miller also asked "Have the deniers actually suggested,
as is claimed in the article, that the gas chambers could not
have burned more than a half-million people? Have they also claimed
that no one was gassed in the ovens?"
The answer to these questions is made meaningful only when we
note that Holocaust Denial is not rooted in an honestly mistaken
sense of history but in a consciously false sense of an ongoing
campaign of Nazi-Apolgetics.
Those people with a mistaken view of history tend to put forward
single theories, which, while wrong, have an internal consistency.
The fascist agitator need not worry about consistency. The purpose
is not truth but useful advertising jingles that are presented,
dropped when disputed, and then represented again and again.
To answer Miller, the Deniers routinely claim that: (1) there
were no gas chambers; (2) the gas chambers existed but only to
fumigate clothing; (3) the gas chambers were used only to kill
a tiny number of people by Nazis that were not representing Nazi
policy.
I believe Miller meant to ask about Denier claims of people cremated,
not gassed, in the ovens.
Here, Denier claims run from (1) nobody was cremated to (2) the
ovens cremated corpses exactly as the "Holohoaxers"
claim, but the corpses died from starvation and typhus after
Allied planes bombed the railroad tracks to prevent food and
medicine from getting to the camps.
To summarize, in closing, there *is* a logic to Holocaust Denial,
but it is not the logic of history; it is the logic of fascist
propaganda.
-- tallpaul (Paul Kneisel) <[email protected]>
Editor: The Internet Anti-Fascist. taken from H-Antisemitism,
Date: Thu, 17 May 2001.
MICHEL
SERVET À RIEN
Genève
accorde à des groupes antiracistes le droit de poursuivre
les négationnistes
- par Roy Probert
C'est à
la suite de la distribution en Suisse du livre de Garaudy,
Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, que le canton de Genève
a réclamé et obtenu la possibilité pour
les survivants du génocide et pour les associations antiracistes
de poursuivre les négateurs de l'Holocauste. Ce canton
est le premier, en Suisse, à posséder une telle
législation. "C'est un pas important", dit Philippe
Grumbach, de la LICRA suisse, car les survivants commencent à
disparaître.
Ph. Grumbach a déclaré à swissinfo: "(...)
le Code pénal suisse possède un excellent texte
sur le négationnisme mais il est impossible à appliquer",
car l'article du Code pénal fédéral peut
être interprété de toutes sortes de manières.
"Ce n'est qu'un premier pas. La Suisse est encore très
en retard par rapport à d'autres pays. J'espère
que d'autres cantons suivront l'exemple de Genève",
a dit Ph. Grumbach.
Traduit de l'anglais. Original anglais:
<http://www.swissinfo.org/sen/Swissinfo.html?siteSect=111&sid=689869>
ITALIA
FARA DA SE
Saluons l'arrivée sur le net d'un
collègue italien ,un site révisionniste tout en
italien. Il en existait un qui s'était figé il y
a longtemps (<http:/
/www.members.tripod.com/~revisionismo/>. Ce lui-ci, qui
a une adresse simplissime, <http://www.revisionismo.com>
semble plein de dynanisme et nous lui souhaitons bona fortuna...
Ce site reprend nos documents italiens et c'est la meilleur chose
qui puisse nous arriver: être repris et développé
par d'autres. Bellissimo
Ce site présente des petits bouts de vidéo,
que nous n'avons pas pu voir avec notre connection faiblarde.
Surtout, il reprend des articles des journaux italiens qui sont
aussi paillasse et pantalon que les nôtres. Mais nous avons
trouvé dans l'un d'eux la lettre d'un professeur qui a
été l'objet d'une grande dénonciation des
pantouflards vénitiens de l'antifascisme (une maladie d'origine
italienne. N'oubliez pas l'avertissement de Malaparte: "Le
plus terrible legs du fascisme, c'est l'antifascisme " ).
Nous avions cité en décembre 2000 un article ignoble
et calomniateur du site <aministia.net>, animé
par des criminels politiques italiens réfugiés en
France. Ce professeur a pris dignement la plume et a écrit
à ceux qui le traînaient dans la boue.
- La verità
e le mistificazioni sull'Olocausto
17-09-2000
Egregio direttore,
apprendo solo ora che il quotidiano da lei diretto ha pubblicato
circa un mese fa un articolo sul sottoscritto intitolato: "Un
professore neonazista nega in classe l'Olocausto". Non ho
ancora potuto leggere l'articolo, ma rifiuto la definizione di
neonazista che ritengo ingiuriosa. Sono cattolico del tipo che
voi definite 'integralista' e considero il nazismo espressione
di una filosofia gnostico-esoterica con radici neopagane, del
tutto incompatibile col cattolicesimo. Quello che l'autore dell'articolo
evidentemente ignora è che il revisionismo olocaustico,
fondato dal socialista deportato a Buchenwald Paul Rassinier e pubblicato in Francia e in Italia anche da
case editrici di estrema sinistra, non ha nulla a che vedere
col neonazismo, che anzi considera il suo avversario più
pericoloso perché riduce i frutti di lunghi e accurati
studi a slogan buoni per gli orecchianti. Esso ha come unico
scopo l'accertamento della verità storica al di là
della propaganda. Insegnando Storia, non posso dunque nascondere
ai miei studenti l'esistenza di una corrente cosiddetta 'revisionista'
che, sulla base di argomentazioni prettamente tecniche, contesta
la versione ufficiale dell''Olocausto' e anzi la sua stessa esistenza
nei termini solitamente indicati. Avendo una conoscenza di massima
di tale corrente ed essendomi convinto che le sue argomentazioni
siano valide o comunque interessanti (in realtà anche
gli autori revisionisti sono diversi tra loro e di diverso valore),
ho ritenuto doveroso farla conoscere ai miei studenti, che saranno
forse tra i pochi in Italia e in Europa (viste le leggi esistenti
in Francia, Germania e Svizzera) ad avere il privilegio di conoscerne
l'esistenza, il che ritengo sia per loro un arricchimento culturale
che li induca quanto meno a pensare. L'ispezione ministeriale
già svoltasi ha accertato la perfetta regolarità
del mio operato, regolarmente registrato nel giornale di
classe e nel documento d'esame, con tanto di bibliografia completa.
Constato che in Italia si scrivono gli articoli senza nemmeno
conoscere i fatti (chi infatti ha letto il tema 'incriminato',
chi conosce la sua autrice ó che si è sempre dichiarata
entusiasta del lavoro svolto, solo esprimendo turbamento per
il contrasto tra ciò che sentiva e ciò che le era
stato sempre insegnato ó chi sa che cosa ha letto in classe
il sottoscritto? I testi sono in commercio e stampati con tutti
i crismi di legge, anche se ahimé di difficilissima reperibilità).
L'altro motivo di amarezza è che la libertà di
insegnamento e di ricerca sia considerata una pura petizione
di principio, regolarmente conculcata ogniqualvolta qualcuno
si permette di dire cose 'sgradite'. Penso che il vero nazismo
sia questo.
Franco Damiani
Il Giornale.
<http://www.revisionismo.com>
IL
FAUT LIMOGER À LIMOGES
Mercredi 16 mai 2001, quatre perquisitions
ont eu lieu en Belgique (trois à Anvers et une à
Bruxelles), à la demande d'un juge de Limoges; les policiers
étaient à la recherche du livre et de la vidéo
de Vincent Reynouard sur Oradour. C'est surtout elle qui les excite.
Tout a été confisqué chez Vincent Reynouard:
son ordinateur et tout son stock de livres, emportés dans
une soixantaine de caisses. Ils ont fait le nettoyage par le vide.
Ils ont même emporté les papiers d'identité.
Le tout en son absence, et en présence de sa femme et de
ses trois jeunes enfants qui ont ainsi pris une excellente leçon
de civisme. Chez Siegfried Verbeke, directeur de VHO, l'éditeur,
seuls des livres ont été saisis, principalement
le livre sur Oradour, qui ne fait pourtant l'objet d'aucune interdiction
en Belgique.
Il faudrait peut-être que les juges de Limoges apprennent
qu'ils doivent appliquer des lois françaises, que la loi
française dans sa version gayssotisée prévoit
de punir la contestation de crimes qui ont fait l'objet d'une
condamnation devant un tribunal international et que -- malheureusement
-- le drame d'Oradour a été jugé par cette
inoubliable institution française qu'on nommait un "tribunal
militaire", (maintenant supprimée) qui n'avait rien
d'international et qui siégeait à Bordeaux, en 1952.
Par conséquent, on est libre, dans le cadre des lois de
la république, de contester les crimes condamnés
par ces immondes saloperies qu'étaient les tribunaux militaires,
qui se sont couverts de sang du temps où ils coupaient
les têtes des nationalistes algériens à la
volée. Certains Français y passèrent aussi,
d'ailleurs. Et le trafic qui consiste à exploiter Oradour,
dans tous les cas, nous débecte.
Voici l'AFP qui rend compte de l'expédition belge: 18/05/2001
16h41
Massacre d'Oradour:
la justice belge saisit des ouvrages révisionnistes
Bruxelles, 18 mai (AFP) - Un magistrat belge a mené mercredi
des perquisitions à Bruxelles et à Anvers (nord)
pour "retrouver de la littérature révisionniste
concernant le massacre d'Oradour, dans le cadre d'une commission
rogatoire demandée par la justice française",
a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Bruxelles.
Pas moins de 64 cartons de livres auraient été
emmenés, dont 300 exemplaires de l'ouvrage Le massacre d'Oradour,
un demi-siècle de mise en scène, attribué à Vincent Reynouard,
et 175 exemplaires de sa version allemande, Die Warheit über
Oradour, a rapporté l'agence Belga. Vincent Reynouard
conteste dans ce livre les événements qui se sont
déroulés le 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane
(sud-ouest), où 642 personnes ont été tuées
par les SS au cours d'une opération de représailles.
En 1997, le Conseil général de la Haute-Vienne
avait demandé la saisie de l'ouvrage et réclamé
que des poursuites soient engagées contre son auteur.
Les élus dénonçaient "la provocation
et l'insulte à la mémoire des victimes et de leurs
familles que constitue un tel écrit." Vincent Reynouard
a été exclu en 1997 de l'Education nationale française
pour avoir notamment stocké des documents niant l'holocauste
du peuple juif sur l'ordinateur d'un lycée professionnel
de Honfleur (ouest) où il enseignait les mathématiques.
Le 19, commentaire de S. Verbeke:
- -- On n'a pas saisi
l'édition allemande du livre chez moi.
-- La perquisition à Anvers a été effectué
par une cellule anti-terroriste de la police judiciaire, avec
pistolet dans le ceinturon (bien visible aux yeux de la clientèle
universitaire de S.Verbeke) qui en outre s'est moquée
de la saisie.
-- Les agents ont visiblement emmené des dossiers qui
n'avaient rien à faire avec le livre ou l'auteur français.
-- Les saisies ont été effectuées pendant
l'absence de S. Verbeke, qui se trouvait à ce moment en
un domicile inconnu de la police.
-- Il y a 3 ans et demi, la police avait saisi le magasin complet
de S.Verbeke, contenant environ 40.000 ouvrages. Ces livres sont
toujours en possession de la police. S. Verbeke n'a été
pas mis en accusation, bien qu'il ait insisté régulièrement
pour être entendu par la cour, afin qu'on lui rende ses
propriétés.
C'est comme cela que fonctionne la justice dans une démocratie
occidentale à l'égard des révisionnistes.
- Aucun média n'a réagi en faveur de S. Verbeke
et de la liberté de presse et d'opinion.Il en aurait été
autrement si S. Verbeke avait édité le livre d'un
dissident iranien. Est-ce que la police belge aurait procédé
de la même façon si l'Iran avait demandé
la saisie des livres d'un dissident iranien vivant en Belgique
et édités par un imprimeur belge?
Un cruel Belge envoie en même temps ce péan à
la gloire de la maréchaussée belge:
- Savez-vous comment un
Belge se suicide ?
Il contacte les enquêteurs de l'affaire Dutroux pour dire
qu'il a des révélations importantes à faire.
Il peut alors choisir entre:
-- être battu, étranglé puis jeté
dans la Meuse (comme Anna Konjevoda),
-- être abattu sur un parking (comme Michel Piro),
-- être "suicidé" (comme Brigitte Jenart),
-- être "laissé s'échapper de prison"
puis assassiné (comme Christian Coenraedts),
-- avoir le système respiratoire paralysé au Rohypnol
(comme José Steppe),
-- être "suicidé" avec son arme de service
(comme le gendarme Guy Geubels),
-- être empoisonné (comme Bruno Tagliaferro),
-- demander la protection de la police puis être carbonisé
au méthanol (comme Fabienne Jaupart, la veuve de Bruno
Tagliaferro),
-- disparaître, sauf un pied, repêché dans
le canal (comme Jean-Paul Taminiau),
-- avoir un accident de la route (comme Gina Pardaens),
-- prendre quatre balles à bout portant (comme l'inspecteur Simon Poncelet),
-- être écrasé par un train (comme François
Reyskens)
ou perquisitionné comme Reynouard et Verbeke...
Le 27 avril,
en France, les enquêteurs de la brigade des affaires sanitaires
et des libertés publiques, la bien-nommée, ont effectué
une perquisition chez Serge Thion, suite à une dénonciation
de son ancienne directrice générale au CNRS, Mme
Bréchignac. Une grande première dans les annales
de la recherche française! Ils était cinq, dont
deux totors de la brigade informatique (BEFTI, quelque chose comme
Brigade d'enquête sur les fraudes dans la technologie informatique...).
Ils avaient une liste de documents politiquement incorrects placés
sur Internet en 1997. Ils n'ont apparemment pas trouvé
ce qu'ils cherchaient. La prescription, oui, ils avaient entendu
parler, mais ce n'était pas leur affaire, dirent-ils, mais
celle du tribunal, qui, comme on dit toujours, appréciera.
Ce n'est pas bon pour Bréchignac...
GUEUSE
Le ministre flamand de la culture, Mr. Bert
Anciaux, a annoncé le 16 mai une épuration des bibliothèques
flamandes. Il a donné l'ordre aux bibliothécaires
d'éloigner tous les livres révisionnistes (ou proches
du révisionnisme). Le ministre installera une cellule "Centre
Flamand pour les Bibliothèques Publiques" qui distribuera
aux bibliothèques la liste des publications révisionnistes
qui doivent être cachées aux regards. Cette ordonnance
fait suite à l'interpellation d'un délégué
écologiste qui avait constaté la présence
d'ouvrages révisionnistes dans des bibliothèques.
[C'est ce qu'on peut appeler une "mouche verte".]
Mr. Marc Storms, directeur de l'Association des Bibliothèques
Flamandes a réagi négativement, constatant
qu'aucune cour belge n'avait interdit l'un de ces livres, et par
conséquent qu'ils devaient être conservés
dans les bibliothèques. Il a déclaré que
la liberté de la presse devait être maintenue
et que les bibliothèques ont un devoir déontologique
et pluraliste et le devoir de fournir au public toute information
nécessaire.
VOYEURS ET
DÉNONCIATEURS
Un gars nommé Aziz, viré du
spectacle jeuniste appelé Loft Story:
- "J'ai entendu dire
que le Mrap avait signalé au CSA un dérapage de
la part de Delphine, parce qu'elle m'a traité de "sale
Arabe" en déconnant. Du calme, arrêtons le
délire! Il y en a qui ne comprennent rien..."
- Le Journal du Dimanche,
14 mai 2001.
ÉCHAPPEMENT
LIBRE
Si vous n'avez pas le temps, cet été,
d'aller bronzer dans une des multiples conférences sur
le Zolocauste qui se préparent un peu partout dans des
endroits plus idylliques les uns que les autres, si vous ne bénéficiez
pas des invitations luxueuses des récupérateurs
du fric des assurances pour les victimes zolo, nous vous suggérons,
une belle balade à travers les fictions de notre époque.
C'est Sara, notre lectrice chilienne (<[email protected]>),
qui nous le signale. C'est un livre et un site. Il s'appelle L'échappée
de Hitler d'un certain Patrick S. Burnside, dont nous ne garantissons
pas l'identité. Le site se trouve à <www.hitlers-escape.com>
C'est l'histoire de Hitler, qui n'est pas du tout mort à
Berlin, comme un vain peuple le croit, mais qui s'est carapaté
par les souterrains. A la suite de certaines péripéties,
il arrive en Patagonie. Evidemment tous le services secrets sont
au courant mais ils préfèrent garder Hitler au chaud
juste pour le cas où il y aurait une troisième guerre
mondiale, car c'est un expert de ces questions. Enfin, voyez vous-mêmes,
il y a une enquête, des documents, des photos, et plein
de découvertes à faire. Buon viaje!
Subjet: Hitler no
se suicidó en Berl'n, murió en la Argentina Hola!,
mi nombre es Sara Levi, estoy utilizando este medio junto a unos
amigos periodistas freelance en todo el mundo para difundir una
investigación sumamente importante de un colega. En s'ntesis
la tesis de Patrick Burnside es que Hitler sobrevivió
a la Segunda Guerra Mundial, se evadió de Berl'n en un
avión jet y desde Noruega se embarcó con sus seguidores
en un convoy de U-Boote viajando hasta la costa patagónica
de la Argentina, donde, en la falda de los Andes, vivió
tranquilo por casi 15 años. Esto fue posible gracias a
un plan desarrollado por el jefe de la Inteligencia alemana,
el Almirante Canaris, entre el 1942 y el 1943 y el rol de una
de sus agentes que en la Argentina resultó indispensable
Eva Mar'a Duarte. Evita, utilizando a Domingo Perón, logró
ejecutar exitosamente parte del plan de Canaris, quien también
tuvo conexiones interesantes en Chile y en Uruguay. Hay pruebas
documentales que varios servicios de Inteligencia americanos
sab'an, ya desde 1944, cuanto se hab'a proyectado y que, desde
1945, dejaron tranquilo a Hitler en caso de necesitarlo ante
la perspectiva de una Tercer Guerra Mundial considerando una
eventual invasión soviética a través de
Alemania Oriental. Los documentos que avalan la investigación
fueron desclasificados hace poco tiempo por el FBI y pese a este
hecho el tema y la investigación relativa es sistemáticamente
ignorado por la prensa. Se eligió este medio incorruptible
por que sólo es nuestro deseo que sean de total dominio
público los elementos documentales y testimoniales de
lo que ocurrió. Por eso si le interesa el tema o conoce
a alguien que le pueda interesar puede ingresar libremente al
sitio www.hitlerescape.com donde hay una s'ntesis de la investigación
nacida como complemento a la misma, donde se pueden visualizar
600 fotos y documentos muy comprometedores para la pareja Perón
y los Servicios de Inteligencia estadounidenses OSS-FBI-CIA.
Tiene que saberse la compleja verdad y no el dogma simplón
que conocemos desde más de medio siglo, es el m'nimo que
se debe a las decenas de millones de muertos de la Segunda Guerra
Mundial desencadenada por Hitler. Paz Para un siglo mejor y sin
mentiras Sara Levi [email protected] para engresar
al sitio www.hitlerescape.com utilice como nombre usuario:
sara y como password: levi
LA
LIE DU SIONISME
- Israeli Extremists
and Christian Fundamentalists: The Alliance
- By Grace Halsell
At the time I began my research for my book Prophecy and Politics,
I discovered the average American I met in Washington, DC, and
New York was not interested in TV evangelists and their link
to Israel. Neither were book editors. I went to 25 top editors
in New York with my book idea on religion and politics. Michael
Korda of Simon and Schuster was typical. "Jerry Falwell?
Pat Robertson? Who is interested in those crazies?"
By the time my book came out those "crazies" were on
the front page of every American newspaper and on every news
channel. (...) But almost everyone ignored the biggest scandal
of all: the peculiar mixture of prophecy and politics professed
by these and other Christian Zionists.
The Christian Zionists Message
What is the message of the Christian Zionist? Simply
stated it is this: Every act taken by Israel is orchestrated
by God, and should be condoned, supported, and even praised by
the rest of us.
"Never mind what Israel does," say the Christian Zionists.
"God wants this to happen." This includes the invasion
of Lebanon, which killed or injured an estimated 100,000 Lebanese
and Palestinians, most of them civilians; the bombing of sovereign
nations such as Iraq; the deliberate, methodical brutalizing
of the Palestinians-breaking bones, shooting children, and demolishing
homes; and the expulsion of Palestinian Christians and Muslims
from a land they have occupied for over 2,000 years.
My premise in Prophecy and Politics is that Christian
Zionism is a dangerous and growing segment of Christianity, which
was popularized by the 19th-century American Cyrus Scofield when
he wrote into a Bible his interpretation of events in history.
These events all centered around Israel -- past, present, and
future. His Scofield Bible is today the most popular of the reference
Bibles.
Scofield said that Christ cannot return to earth until certain
events occur: The Jews must return to Palestine, gain control
of Jerusalem and rebuild a temple, and then we all must engage
in the final, great battle called Armageddon. Estimates vary,
but most students of Armageddon theology agree that as a result
of these relatively recent interpretations of Biblical scripture,
10 to 40 million Americans believe Palestine is God's chosen
land for the Jews.
Has the power of the Christian Zionists diminished?
I do not think so. Rather, we are seeing how the Christian
Zionists, motivated by religious beliefs, are working hand
in glove with politically motivated, militant Jewish Zionists
around the world. It is the Christian support of Zionism
that emboldens Zionists to believe they can dictate to relatively
weak and dependent countries such as Austria, whom they may choose
as their president.
It is the Christian support of Zionism that allows Manuel Noriega
to remain the strongman in Panama, misusing his power, regardless
of what harm he causes to the United States, his neighbors, and
his people.
It is the Christian support of Zionism that enables the militant
Israelis to take over Palestinian homes surrounding the Al-Aqsa
mosque in pursuit of their well-documented plan to destroy Jerusalem's
most holy Islamic site, sacred to a billion Muslims around the
world-one-fifth of humanity.
Christian Zionists and the Iran-Contra Scandal
Remarkably,it was this Christian cult of Israel that brought
us the Iran contra scandal, perhaps the most self-destructive
act in the history of the United States. Marine Col. Oliver North,
the perpetrator of this misguided series of actions, is a Christian
Zionist. A born-again charismatic figure, he endeared himself
to the militant Israeli Zionists who plotted Iran-contra. "He
is more Israeli," said one Jewish general, "than we
Israelis." This is often the case. In his zealotry, the
Christian Zionist can become more Zionist, more militant, than
the Jewish Zionist.
In the Iran-contra hearings, Sen. James McClure (R-ID) explained
to North that the US had a stated policy of neutrality in the
Iran-Iraq war. That policy differed radically from Israel's policy
of selling arms to Iran. Yes, agreed North, the two policies
were not the same. The question, to which McClure's efforts yielded
no response, then becomes: Why would the US forego its American
policy to pursue Israeli policy?
The answer, unfortunately, lies in the belief system of Christian
Zionists: They believe that what Israel wants is what God wants.
Therefore, it is perfectly acceptable to give the green light
to whatever it is Israel wants and then conceal this from the
American people. Anything, including lies, theft, even murder,
is justified as long as Israel wants it.
Another perfect example of a Christian Zionist is Sen. Daniel
Inouye (Démocrate de Hawaii d'origine japonaise). Throughout
the hearings on the Iran-contra scandal, the Hawaiian kept the
focus on the contras and steered determinedly clear of any criticism
of Israel. If, in answer to questions, witnesses sought to explain
the seminal and continuing role of Israel, Inouye abruptly broke
off the line of questioning that had led the hearings to this
unwanted destination.
Despite the political problems created by its lay practitioners
and the scandals that rocked some of its TV ministries, this
belief system -- this cult of Israel --has not been diminished.
Indeed, I hold that Christian Zionism threatens not just the
lives of Palestinians and other Arabs, but the very existence
of the United States. Because of the cult of Israel, we have
become a nation that does not have its own Middle East policy,
but the policy the government of Israel tells us to have.
Despite the terrifying aspects of the alliance of militant Christians
with militant Jewish Zionists, I find some encouraging developments.
In my visits to colleges, clubs, and churches around the country,
I have found strong support for the message and warning in Prophecy
and Politics. It has come not only from liberal congregations,
but from across the whole spectrum of Christianity, including
those Christians who call themselves fundamentalists. These supporters
see Christ as the bearer to humanity of God's message of peace,
brotherhood, love, and reconciliation. These Christians do not
endorse either the cult of Israel or its killIngs and beatings
of Palestinians.
I have found many such Christians in my frequent visits to my
home state of Texas. There and all over this slowly-awakening
land of ours, I have found a small but increasing number of ministers
and lay people who are deeply alarmed by the cult of Israel and
willing to stand up and speak out about it.
Grace Halsell is a Washington, DC-based writer and author
of Journey to Jerusalem and Prophecy and Politics
.
<[email protected]> Wed, 16
May 2001.
GONDOLANTES
GONDOLES
Distribuer de la lessive et des petits pois
ne leur suffit pas. Il faut qu'il en rajoutent dans l'idéologie
du conservatisme à tous crins. Voilà que le site
des supermarchés d'origine suisse MIGROS s'en prend aux
révisionnistes. On hallucine franchement:
Pour combattre
le révisionnisme
Toujours plus de documents traitent de la Shoah. Reste à
s'en servir avec discernement pour faire passer le message à
nos enfants
Aujourd'hui, révisionnistes et négationnistes
jouent les araignées opportunistes. Ils profitent
des libertés de mouvement qu'offre la toile Internet pour
distiller leurs théories fallacieuses à travers
le monde. Ces cyniques nient l'existence des camps de concentration
et la réalité de la solution finale. Ils font front
commun avec leurs amis aux crânes rasés qui,
eux, usent de ce moyen de communication pour faire de la propagande
et enrôler de nouveaux membres.
Philosophes et historiens s'insurgent contre cet état
de fait et demandent que ces «nazillons» soient exclus
du web. Il y a en effet lieu de résister, mais la partie
risque de s'avérer difficile «On peut les accabler
de notre mépris et essayer de les empêcher de nuire,
remarque Mih'al Gans. La vraie réponse au négationnisme
cependant, c'est de former une nouvelle génération,
de lui donner des outils de qualité pour juger et se faire
une opinion.»
Chargée des relations internationales de Yad Layeled (une
association juive implantée en Israël, aux Etats-Unis
et en France qui soutient les activités du Musée
mémorial des enfants de la Shoah, situé en Galilée),
cette femme a présenté récemment à
la presse française un site Internet en phase d'élaboration
(www.yadlayeled.fr), ainsi qu'une mallette pédagogique
destinée aux 10-12 ans. Précision des concepteurs
dudit document: «Ce travail sur la mémoire se veut
une école de tolérance, de lutte contre les racismes,
de vigilance.»
En Suisse, où l'histoire du XXe siècle n'est généralement
enseignée qu'en dernière année de scolarité
obligatoire, à raison de deux périodes hebdomadaires
de quarante-cinq minutes, on s'inquiète également
de la résurgence des thèses révisionnistes.
«L'Holocauste est un chapitre de l'histoire qui doit absolument
être abordé. Ça doit rester une éducation
permanente parce que le monstre peut renaître de ses cendres»,
martèle Pierre-Philippe Bugnard, professeur en histoire
de l'éducation et en didactique de l'histoire aux universités
de Fribourg et Neuchâtel.
Mis à part le «Chevallaz», qui occulte en
partie certains épisodes gênants de la Deuxième
Guerre mondiale, génocide compris (édité
jusqu'en 1995 et mis depuis au rancart par la plupart des enseignants,
ce livre y consacre un alinéa), le matériel scolaire
et parascolaire traitant de ce sujet existe et est souvent de
qualité. «Il y a des moyens, mais on ne sait
pas comment ils sont utilisés, relève Pierre-Philippe
Bugnard. Ce que l'on constate, c'est une très grande différence
d'une classe à l'autre.» Autrement dit, ce boulot
de prévention dépend du bon vouloir du prof concerné.
Et aussi de la capacité de ce dernier à faire passer
le message de cet enseignement. «Pour modifier les représentations
tournant autour du racisme en général et de l'Holocauste
en particulier, il ne suffit pas de disposer d'un bon manuel
à apprendre pour l'examen, note le docteur en histoire.
Seul un travail en profondeur permet de tordre le cou à
celles-ci.»
Alain Portner
Construire 41, 10 octobre 2000. Site de MIGROS.ch
Autrement dit, si on comprend bien, tous
les jeunes Suisses sont naturellement révisionnistes et
il faut travailler d'arrache pied pour en convaincre quelques-uns
du contraire. Cette histoire, c'est du vrai fendant !
LE
CHEWING GUM NE FAIT PAS LA BEGUM
- Récemment, le
New York Times a révélé qu'Hilary
Clinton avait dû, conformément à la loi,
rendre des bijoux pour une valeur de sept mille dollars, que
lui avait offert Yasser Arafat et, d'après le même
informateur au gouvernement américain, Madeleine Albright,
ministre des affaires étrangères pendant le second
mandat de Clinton, a reçu pour dix-sept mille dollars
de bijoux du même donateur (Edward Said, Al Ahram Weekly)
A short time ago it was revealed in the New York press that Hilary
Clinton had been compelled by federal law to return $7,000 worth
of jewelry given to her by Yasser Arafat; and, according to the
same official US government source, Madeleine Albright, Secretary
of State during the second Clinton presidency, had received $17,000
worth of jewelry from the same generous donor. (Edward Said,
dans al Ahram Weekly. en anglais)
CHRONIQUE
DE L'AHURI DES POUBELLES
Le 10 mai, l'ahuri des poubelles était attrait devant la
XVIIe chambre par les éditions de l'Harmattan qui se jugeaient
diffamées par les âneries répandues par l'ahuri
sur les écrans du site <aministia.net>. Il
s'est lancé dans des tirades mégalo comme quoi l'affaire
Garaudy c'était lui, que Wiesel était son pote,
que les négationnistes c'était très grave,
et patin et couffin. La procureuse l'a sabré en plein élan
et lui faisant savoir qu'elle était là pour faire
respecter les lois sur la presse (qui répriment la calomnie)
et non pour complaire aux excités. Son avocate s'est ridiculisée
parce que deux des trois personnes qu'elle faisait comparaître
étaient complètement en dehors du coup, ils avaient
amené un témoin encore plus foireux qui se bornait
à supputer que l'Harmattan était forcément
financé par une officine d'extrême droite parce qu'on
avait refusé de publier le témoignage d'une amie
d'une employée de l'Harmattan, qui était pourtant
une pauvre juive victime de discriminations etc. Denis Pryen,
patron éternel de l'Harmattan regardait tout ça
impavide , comme une algue qu'on écrase sur la plage et
qui fait un bruit de pet. La procureuse n'a vu aucune diffamation
raciale dans le texte de Salah El Hamdani, reproduit ci-dessous.
"Policier israélien" lui semble une expression
tout à fait autorisée. A nous aussi. Jugement le
14 juin.
LES NAINS N'ENGENDRENT
PAS DES GÉANTS
Lettre à Didier des nains ks
- Monsieur,
- Le 23 septembre dernier,
j'ai reçu deux torchons intitulés "Sciences
inhumaines à l'Harmattan" publiés par vous
dans la revue Amnistia sur Internet, que je considère
comme un ghetto de névrosés. Vous êtes malhonnête
et surtout frustré de n'être ni un bon écrivain
ni un poète.
- Des pensées maléfiques
vous prennent certainement très tard la nuit et vous voulez
salir gratuitement des poètes pourchassés par des
régimes dictatoriaux fascistes comme celui de Saddam Hussein.
- [...] Dans la liberté
pour l'individu de parler et d'écrire, l'humanité
trouvera son salut.
- Ce n'est pas avec un
policier arabe, un policier français, ni un policier israélien
comme vous que le monde trouvera la paix un jour. [...]
Salah al Hamdani
Nous avons la lettre entière.
On comprend que l'ahuri ait quitté le Palais la queue basse.
CASSEURS
On apprend que la Cour de cassation a rejeté,
le 13 mars 2001, un pourvoi en cassation formé par Jean
Plantin, directeur de la revue révisionniste Akribeia
(45/3, route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval), contre
une décision de la cour d'appel de Lyon en date du 21 juin
2000 qui l'avait condamné à six mois de prison avec
sursis, à 10.000 francs d'amende et à 54.000 francs
de dommages-intérêts à trois associations
(Licra, B'nai B'rith, Sos-Racisme) pour avoir mentionné
dans sa revue le titre de plusieurs revues interdites de vente
aux mineurs.Le même jour, la Cour a rejeté son second
pourvoi . Il avait été condamné le 21 juin
2000 par la cour d'appel de Lyon à six mois de prison avec
sursis et à 30.000 francs d'amende et à 45.000 francs
de dommages-intérêts à deux associations (Licra,
Sos-Racisme). Interdiction lui avait également été
faite, pour une durée de trois ans, d'exercer le métier
d'éditeur. La Cour de cassation entérine donc toutes
les décisions liberticides de la cour d'appel de Lyon.
Rappelons que, dans cette affaire, Plantin avait été
poursuivi, en vertu de la loi Gayssot, pour avoir notamment contesté
l'existence de chambres à gaz à Buchenwald et à
Bergen-Belsen, là où aucun historien ne prétend
qu'il y en ait jamais eu, mais les juges de Lyon ont la science
infuse. Au total, Plantin devra donc verser la somme minimum de
140.000 F. Les deux ordinateurs de J. Plantin qui avaient saisis
en 1999 lors d'une perquisition sont définitivement confisqués
par la justice française.
GROSSE
RAQUETTE
- Un communiste "scandalisé"
[Serge Klarsfeld] sera-t-il entendu de l'Élysée
comme il l'a été du Conseil d'État, lequel
a déclaré valide le décret très discriminatoire
accordant le paiement d'une indemnité de 180.000 francs
ou d'une rente à vie aux orphelins (aujourd'hui sexagénaires)
des seuls déportés "pour motifs raciaux"
?
Cet arrêt du Conseil d'État entérinant une
dérogation au droit commun a, on le sait, déclenché
la fureur des autres orphelins de parents morts en déportation,
au point que, le 8 mai, Maurice Choquet, président départemental
de la fédération nationale des déportés
résistants politiques dans le Rhône, déclarait:
"L'holocauste n'a pas touché que le peuple juif mais
il ne se passe pas une émission, un journal télé
qui parle des déportations sans faire le lien avec le
seul peuple juif. L'indemnisation leur est réservée
et c'est scandaleux. Combien de milliards ont déjà
été versés à Israël sans
que personne ne puisse se prononcer sans passer pour un révisionniste
? Les trois quarts de la population juive ont survécu
protégés par des citoyens, pour un quart de déportés.
Au Pays-Bas, à la même époque, les statistiques
sont inversées. Le peuple de France n'a pas été
déporté." Une contestation de la vulgate
(publiée dans Le Progrès du 15 mai 2001)
qui prend tout son sel quand l'on sait que le camarade Choquet
fut adjoint communiste au maire de Poligny et qu'il se
targue de n'avoir "jamais roulé avec une voiture
chleuh depuis 50 ans".
Les nouveaux diktats de Serge Klarsfeld
Sans doute son exaspération serait-elle plus grande
encore s'il savait comment la décision du Conseil d'État
a été obtenue par Serge Klarsfeld, dans son éditorial,
signé S. K., du n· 74 du Bulletin de liaison
des Fils et Filles des déportés juifs de France-Militants
de la mémoire, bulletin qu'une aimable "taupe"
nous a fait parvenir: "par notre plus récent courrier,
nous vous avions demandé de manifester à nos côtés
le 23 mars devant le Conseil d'État pour exprimer notre
opposition à la menace d'annulation du décret du
13 juillet 2000... Nous vous avions annoncé notre manifestation
qui mettait en cause le comportement du Conseil d'État
envers les Juifs de 40 à 44 en souhaitant qu'il ne récidivât
pas. L'effet a été salutaire... Nous avons agi
comme nous devions le faire, avec énergie et détermination."
Des photos de la manifestation place du Palais-Royal sont parlantes.
On y voit notamment des déportés (ou plutôt
leurs fils) en pyjama rayé brandissant une immense banderole
: "Le Conseil d'État s'est trop mal conduit de
1940 à 1944 pour récidiver".
Dans le même édito, Me Klarsfeld annonçait
un nouveau lobbying, cette fois pour l'extension du décret
d'indemnisation aux "orphelins Juifs morts en France avant
d'être déportés, fusillés ou exécutés
sommairement", et même à "ceux dont les
parents ont été abattus en tentant de franchir
la frontière suisse ou espagnole" ou, mieux encore,
"sont morts à leur libération du camp
de Drancy en novembre 1941 des suites de la famine
endurée dans le camp". Et, the last but not the last,
doivent être également réparés les
torts faits à "ceux dont le père n'a pu les
reconnaître car interné dès 1939 comme
ressortissant ennemi (c'est-à-dire en tant qu'Allemand
présumé favorable au Reich!), etc." Et le
papa d'Arno de conclure: "Ceux d'entre vous qui sont dans
ces cas savent qu'ils peuvent compter sur nous pour défendre
leurs droits légitimes: c'est ce que nous faisons."
Les orphelins de juifs décédés avant la
guerre en glissant dans l'escalier ou d'une indigestion devront-ils
également être rentés à vie ? Nous
est avis qu'informés de ces nouvelles revendications (légitimes,
notez bien?), pas mal de déportés ou de descendants
vont s'en indigner à l'instar de M. Choquet au risque
de "passer pour révisionnistes".
Claude Lorne
Rivarol, 25 juin 2001.(Extrait)
2
- INTERNET ET
LA FLICAILLE
LES
PIONS ET LES ESPIONS
- La surveillance et de
contrôle d'Internet sont en augmentation croissante, tant
dans leur diversité que dans leur puissance.
Tous les pays dits "démocratiques" ont en effet
mis au point des structures permettant d'espionner tout ce qui
circule sur Internet. Le projet "Echelon", mise en
commun des ressources techniques et quadrillage systématique
d'Internet par les pays les plus industrialisés, n'en
est que l'un des exemples. Et bien entendu, dans les pays "non
démocratiques", les mesures de contrôle, si
elles ne sont pas connues, n'en existent pas moins.
La NSA (National Security Agency) américaine peut intercepter
tout fichier circulant sur Internet. Et donc bien entendu en
particulier les emails. Plus généralement, même
si c'est avec des moyens plus limités, sachez que tout
ce que vous pouvez écrire et lire sur Internet peut être
lu par des tierces personnes.
Vous êtes à votre bureau, ou chez vous. En admettant
que votre ordinateur soit "sûr", sans aucun virus
ou Cheval de Troie, sachez bien que toute information entrant
ou sortant de votre ordinateur par le biais du modem, peut être
interceptée.
Le plus évident est déjà votre fournisseur
d'accès. Il peut d'un regard savoir quels sites vous avez
visité, durant combien de temps, et si vous y avez effectué
des achats par exemple. Vos emails ? C'est encore plus facile!
Savez-vous que les emails que vous "effacez" après
lecture, ne sont en aucun cas effacés des disques durs
de votre fournisseur d'accès (FAI)? Ils y seront archivés
durant... "un certain temps"! Durant ce temps, tout
un chacun ayant accès aux serveurs de votre FAI, peut
les y consulter. Et bien entendu, cela est aussi possible avant
que même vous ne les ayez lus!
Vous envoyez un email. Avant d'arriver chez votre correspondant,
il va transiter par plusieurs ordinateurs. A chacun de ces niveaux,
il peut être lu, ou/et copié et archivé.
Même sans être James Bond en mission secrète,
on peut très bien avoir des choses que l'on ne désire
pas divulguer! Avec les emails, inutile d'y penser !
A moins de se protéger des éventuelles indiscrétions...
Un email peut être crypté, pour que son contenu
ne puisse pas être connu par toute personne autre que son
destinataire.
Plus fort encore, vous pouvez cacher l'adresse email de votre
destinataire. Tout "espion" verra que vous écrivez
à un remailer, et ne saura donc pas à qui vous
écrivez. Vous pouvez également recevoir du courrier
sans que la personne qui vous écrit ne sache qui vous
êtes, et sans que personne ne puisse savoir que cette personne
vous écrit.
Vous pouvez également cacher les adresses des services
auxquels vous vous connectez. La aussi, en faisant appel à
des "rerouteurs", les Proxies. Ils offrent une bonne
sécurite pour que les services auxquels vous vous connectez
ne sachent pas qui vous êtes, mais sont très faibles
si vous voulez que personne ne puisse tracer vos connexions,
et donc voir sur quels services vous vous connectez. Pour ceci,
si vous êtes réellement paranoiaque et si vous voulez
99% de secret, utilisez un tunnel.
Nous ne rentrerons pas sur ce site dans les explications techniques
complexes, mais donnerons des exemples pratiques d'utilisation
des logiciels les plus performants à ce jour. Vous trouverez
les liens pour vous les procurer dans la section Logiciels. Ils
sont généralement gratuits, développés
pour l'ensemble de la Communauté. Ces logiciels sont pour
la plupart en anglais, mais nous avons préparé
à votre intention des explications en français
!
(...), Cameleon International Ltd.
http://cameleon.org/koi.html
Le "top" pour que même votre FAI ne sache pas
ce que vous faites sur le Net: Le tunnel, qui allie les avantages
des proxies et du cryptage. Un Tunnel est une liaison cryptée
entre votre ordinateur et un service distant, que vous utiliserez
comme Proxy. A quoi ca sert ?
Vous avez vu que toutes les informations entrant ou sortant de
votre ordinateur peuvent être interceptées par des
tierces personnes. Si l'on ne peut empêcher cette interception
(par exemple par votre fournisseur de service), on peut faire
en sorte que les données interceptées ne puissent
pas être lues. Il faut donc les crypter.
La solution est donc de systématiquement tout crypter
ce qui sortira et entrera dans votre ordinateur, de les envoyer
à un service Proxy qui les décryptera, et les traitera,
c'est à dire les enverra à leur destinataire. De
la même manière, les informations qui vous seront
envoyées en retour transiteront par ce Proxy, qui les
cryptera et vous les enverra.
Ceci peut concerner des emails bien sur, des articles de forum,
mais aussi des adresses de services web, des adresses ftp, etc
etc...
Tout "curieux" interceptant vos données ne verra
donc que deux choses :
1- Toutes les données sont envoyées à UN
seul service, ou proviennent d'un seul service (le Proxy).
2- Toutes ces données sont cryptées et donc illisibles.
Bien entendu, les opérations de cryptage et décryptage
se font en temps réel, et automatiquement.
Comment faire, pratiquement ? Ceci demande un peu plus de "matériel",
ou plutot de logiciel, et surtout demande un Proxy qui accepte
de crypter et décrypter vos données. Ces services
sont bien entendu payants. Consultez notre Liste. Il vous faut
également un logiciel qui traitera (cryptera et décryptera)
vos données. Ce logiciel doit être le même
que celui du Proxy. La aussi, consultez notre Liste. Une fois
le logiciel installé, vous aurez à le paramétrer,
en indiquant le Proxy choisi (nom ou adresse IP), et en lui indiquant
quelles données vous désirez qu'il traite : Emails,
http, newsgroups. L'installation est quelque peu technique, mais
nous sommes à votre disposition pour vous y aider. Bien
entendu, vos logiciels devront être paramétrés
également. Si par exemple vous désirez surfer sur
le Web en utilisant votre tunnel, vous devrez dire à votre
navigateur d'y envoyer toutes les requêtes. De même
pour les articles de newsgroups et les emails.
Lors de la première connexion au Proxy, celui-ci vous
enverra une paire de clés permettant cryptage et décryptage.
Ces clés vous sont personnelles, et sont changées
automatiquement à intervalles reguliers.
L'emploi d'un tunnel crypté demande donc un logiciel spécifique,
et un paramétrage de vos logiciels. En contrepartie, toutes
les données transitant par votre ordinateur seront cryptées.
Et bien entendu, les adresses IP indiquées comme étant
"les vôtres" seront en fait celles du Proxy.
Adresse IP : C'est un numéro de type aaa.bbb.ccc.ddd,
qui identifie le FAI par qui vous êtes connecté
sur Internet. Si vous avez une liaison permanente, l'IP est toujours
la même. Si vous vous connectez par modem sur une ligne
téléphonique normale, votre IP est "dynamique",
seule la zone "ddd" change à chacune de vos
connexions.
Il existe très peu de services de tunnels cryptés
accessibles "au public". Nous vous présentons
ici la solution que nous avons selectionnée, qui offre
toutes garanties de sérieux, fiabilité, et d'un
prix très accessible.
Logiciel nécessaire : Secure CRT de VanDyke Technologies
(Restrictions Export : Utilisez un Proxy situé aux USA
!)
Version d'essai valable 30 jours. Ensuite, deux solutions : Vous
payez $ à VanDyke, ou vous nous contactez...
Les Abonnés à notre "Red Alert" pourront
avoir une documentation en français sur le paramétrage
de Secure CRT.
Tunnel : Anonymizer, de Anonymizer, Inc.
Tarif : $ 29.99 pour 3 mois, vous donnant droit à une
utilisation illimitée du tunnel, un email POP/SMTP, et
un espace pour héberger vos pages. Aucune identité
ne vous est demandée, même pas un email !
Remise de 10% sur les tarifs d'Anonymizer, offerte par Cameleon
:-)
Abonnés à notre "Red Alert", nous pouvons
payer à votre place à Anonymizer, vous resterez
donc anonymes. Et vous aurez non pas 10, mais 15% de remise.
Pour recevoir par email une documentation en français
sur le paramétrage de vos logiciels de navigation, email
ou newsgroup, écrivez-nous
Cameleon International Ltd.
tunnel.html
On savait que la Chine, les Emirats Arabes Unis, la Corée
du Nord, étaient à la pointe du combat POUR la
censure sur Internet. Eh bien la France les dépasse, en
censurant même les emails, ce qu'AUCUN autre pays n'a encore
osé faire !
Non, vous ne rêvez pas, la France censure bel et bien Internet,
que ce soit dans les messages publics sur les forums de discussion.
ou dans les correspondances privées (les emails). Cette
situation, exposée sur les forums "non-français"
a provoqué la stupeur, et la France est une fois encore
la risée du monde, concernant Internet.
Situation: Les Faits
Si vous êtes abonné à un serveur géré
par Proxxx (Par exemple frxxx.fr), vos emails sont contrôlés
avant de vous être distribués !
Tout email en provenance de Supernews, Altopia et Cyberpass,
3 serveurs américains regroupant environ 30% des internautes
de ce pays, est détruit sans vous être distribué.
Pourquoi ? De vagues accusations d'abus provenant de ces serveurs
! Il n'en faut pas plus pour que les Zorros français décident
de détruire des milliers d'emails, sans bien entendu en
informer leurs abonnés. Vol, détournement et destruction
de correspondance!
Meme les pays réputés les plus durs au niveau de
la censure sur Internet (Emirats Arabes Unis par exemple) ne
filtrent pas le courrier personnel!
Newsgroups
- Encore menés
tambour battant par Proxxx , les grands démocrates qui
régissent les newsgroups francophones (fr.) ont décidé
de censurer tout message en provenance de Corp.Supernews, Cyberpass,
Usenet.com, et Altopia.net. De plus, tous les messages postés
par des "passerelles anonymes" (mail2news par exemple)
sont eux aussi détruits automatiquement. La encore, le
prétexte est "des abus ont été commis"
!
Mais la, pour les newsgroups, tous les FAI francais jouent le
jeu et censurent a tour de bras !
Notons que bizarrement, tous les serveurs censurés sont
ceux qui autorisent l'anonymat des posteurs. On ne censure bien
entendu pas le nid de spammeurs qu'est AxL !!!
Notons également que contrairement aux usages des newsgroups,
les messages censurés ne font l'objet d'aucun message
dans le groupe "control.cancel". Ces messages donc
n'ont jamais existé ! Pratique... Dans certains pays,
ce sont les gens qui "pensent mal" qui disparaissent
sans laisser de traces, eh bien la France est sur la bonne voie
Que faire?
- Très nombreux
sont ceux ayant posé des questions aux administrateurs
des FAI. Ceux-ci ne savent que répondre "Il y a des
abus, et nous décidons de fermer tel ou tel accès".
Imaginez votre facteur qui détruit votre courrier "parce
que des lettres anonymes injurieuses ont été postées".
Il semble en fait que les FAI français ne supportent pas
le fait que certaines personnes puissent utiliser d'autres services
que les leurs, qui fichent leurs utilisateurs dans tous les sens.
Nous proposons des moyens techniques pour contourner cette censure,
par l'utilisation de proxies, remailers, et serveurs de news
"ouverts".
Soyons clairs, nous n'approuvons pas les spams, usurpations d'identité
ou autres actes délictueux. Si de tels abus sont commis,
que l'on en poursuive pénalement les responsables. Mais
il est inadmissible que de tels abus, commis par un nombre tout
a fait limité de personnes, provoquent la censure de milliers
d'autres. Par ailleurs, des quantités énormes de
messages à caractère ouvertement raciste, usurpant
des identités, ont été postés sur
les groupes fr.soc.politique, depuis.... depuis Frxxx.fr ! Or
Frxxx.fr n'est pas censuré...
On est alors en droit de se demander si certains FAI français,
soucieux de garder un controle total sur les forums "fr.",
ne créent pas eux-même de l'agitation pour justifier
leurs mesures de censure...
Vous pouvez consulter les forums "alt.privacy" et "alt.privacy.anon-server",
deux forums heureusement non-censurés par les français,
pour suivre l'évolution des choses. Nous avons par ailleurs
été informés que d'autres actions sont en
cours, soutenues par de nombreux internautes hors de France.
Vous pouvez consulter les pages suivantes, faites par des mouvements
totalement indépendants de Cameleon, qui ne saurait être
tenu responsable de leur contenu.
- Très légaliste: "Non à la censure",
Ministère Français de l'Injustice
- Projet Emeraude: Voyez comment la France veut imposer aux FAI
le controle des mails .
Cameleon International Ltd.
Echelon, vous connaissez. Mais Emeraude ? Surement pas ! Et pourtant...
Voyez comment la France met en place le controle de "son"
Internet... et des "ses" internautes !
La crypto en France
Jusqu'en 1999, l'usage de la crypto "forte" était
interdit en France, étant du ressort du Ministère
de la Défense. Pourquoi ? Selon l'administration francaise,
la crypto permettrait aux terroristes et gangsters de tout poil,
de berner les services chargés de lutter contre eux. Toujours
le même épouvantail pour brider la liberté
d'expression ! Ceci n'empêchait d'ailleurs pas que le logiciel
PGP, interdit en France, y soit largement utilisé.
Puis, se rendant compte sans doute du ridicule de cette position,
l'usage de la crypto "forte" a été autorisé
sans mesure de controle. Et on assiste depuis quelques mois à
une importante augmentation du nombre de personnes l'utilisant
en France. L'utilisation principale en est le cryptage des emails.
Ceci "inquiète" pas mal de gens en France, qui
sont persuadés que ces moyens de cryptage sont un avantage
donné aux malfaiteurs, puisque la police sera dans l'impossibilité
de décrypter tout fichier protégé.
Les plans français de controle d'Internet
Ceci contrarie également les "plans" du gouvernement
visant au contrôle total d'Internet. On parle beaucoup
actuellement d'Echelon, système d'espionnage électronique
installé par les américains, mais bizarrement on
omet de signaler que, actuellement, l'Angleterre met en place
un système de contrôle d'Internet, comme l'Allemagne,
et comme..la France !
En effet, le Royaume Uni, l'Angleterre, et la France, mettent
en place chacun de leurs cotés un "centre d'écoutes"
vers lequel tous les Fournisseurs de Service devront être
prêts, sur injonction, à dérouter tout ou
partie du trafic. Ceci existe déjà en Russie, sous
le nom de "Sorm-2".
Le projet Francais a pour doux nom "Emeraude". Ce nom
a t-il été choisi en relation avec Rubis et Saphir,
les 2 systèmes de transmissions et de bases de données
de la gendarmerie française ? Nous ne le savons pas. D'ailleurs,
qui a déjà entendu parler d'Emeraude ?
Emeraude, ou l'espionnage des citoyens français par le
gouvernement français
Le projet Emeraude consiste à installer les moyens d'interception
de tout trafic, incluant bien entendu les emails, ayant pour
origine ou destination un internaute situé sur le territoire
français, utilisant donc en principe les services d'un
fournisseur de service français. C'est techniquement très
facile, comme en quelque sorte d'installer une "bretelle"
sur une ligne téléphonique.
Le but de ce projet ? Selon une note en date du 3 février
2000 du cabinet du Premier Ministre français, "permettre
aux services de lutte contre le terrorisme et contre le banditisme
organisé, d'intercepter tout échange de données
et d'informations susceptibles de porter atteinte à l'ordre
public ou à la sécurité du territoire."
Louable intention. Le problème est que la France a depuis
plusieurs années mis en place des lois restreignant la
liberté d'expression (Loi Pleven, loi Gayssot en particulier).
On est donc en droit de se demander si un tel outil d'interception
des communications sera employé uniquement dans les buts
pour lesquels il a été conçu.
Juridiquement, les choses sont simples: Tout magistrat peut ordonner
l'interception des communications de toute personne soupconnée
de quoi que ce soit, par "commission rogatoire". Ce
sont les écoutes "judiciaires". De plus, dans
les cas d'atteintes à la sûreté de l'Etat,
le Premier Ministre peut ordonner des écoutes "administratives",
comme celles ordonnées par exemple par François
Mitterrand contre Carole Bouquet ! Le cadre juridique existe
donc.
Comment Emeraude "résoud le problème PGP"
Avec le développement de la crypto "à la portée
de tous", le projet Emeraude a un gros problème !
En effet, intercepter les emails c'est bien, mais si ceux-ci
sont cryptés, ça ne sert pas à grand-chose.
Et pas question pour le gouvernement de revenir en arrière
et interdire la crypto "forte". Mais une solution a
été trouvée !
Des constats simples ont été faits:
PGP est quasiment le seul logiciel de cryptage utilisé
par le "grand public" (et donc les terroristes et gansgsters
!) Tout message crypté par PGP commence par les mêmes
séquences.
Il a donc été décidé, très
simplement, deux choses:
1.Repérer les suspects potentiels, c'est à dire
tous ceux qui cryptent leur courrier. Dans le lot, il se trouvera
bien quelques terroristes et gangsters.
2.Par ailleurs, "en cas de doute", puisque on ne peut
pas décrypter les données, on les détruit.
En espérant qu'elles seront alors renvoyées non
cryptées !
Et comme les "services" ne veulent pas passer leur
temps à contrôler le courrier, le boulot sera imposé
aux fournisseurs de service ! C'est d'ailleurs en quelque sorte
ce qu'il se passe concernant les écoutes téléphoniques,
qui sont maintenant effectuées par des agents des télécoms,
qui transmettent ensuite les bandes aux services demandeurs (Sauf
en cas d'écoutes "administratives", alors gérées
directement par le Ministère de la Défense).
Ainsi, les 3 plus grands fournisseurs de service francais ont
été priés, au mois de mars 2000, de préparer
un système de contrôle des mails, directement sur
leurs serveurs. Concrètement donc, si vous cryptez votre
courrier, vous serez inscrit sur une liste particulière
qui sera transmise au ministère de l'intérieur.
N'oubliez pas que votre Fournisseur sait qui vous êtes,
puisqu'il connait le numéro de téléphone
par lequel vous vous connectez.
Et si l'administration a un "doute" vous concernant,
ordre sera donné au FAI de détruire le courrier
crypté, espérant que vous le ré-expédierez
non-crypté.
Selon nos informations, sur les trois Fournisseurs de service
concernés, les trois sont fin prêts à collaborer!
Et donc à espionner vos emails.
Les autorités françaises ont prouvé leur
goût prononcé pour la censure en rétablissant
le "délit d'opinion" (lois Pleven et Gayssot).
Il devient donc urgent de se protéger de cette nouvelle
violation permanente de la vie privée, instaurée
sous le louable prétexte de lutter contre la criminalité.
- Comment se défendre
- Un moyen de contrer
cet espionnage consiste à utiliser un autre logiciel que
PGP. Facile pour les "professionnels" de l'informatique,
beaucoup moins pour les "amateurs".
Un autre moyen est d'employer des procédés de stéganographie,
consistants à dissimuler au sein de fichiers "anodins"
(images, pages html, etc) d'autres fichiers. Cette solution est
de loin la plus "sure", car vos fichiers confidentiels
peuvent alors être encryptés par PGP, puis cachés
au sein par exemple d'une photo de vacances. Le "filtre
PGP" ne détectera strictement rien.
Consultez notre section "Stéganographie".
Cameleon International Ltd.
JOSPIN
FAIT LE PÉTAIN
- Communiqué
de presse d'IRIS - 21 mai 2001 (extraits)
Dans un rapport de 30 pages publié aujourd'hui, l'association
IRIS (Imaginons un réseau Internet solidaire) présente
dans une première partie une analyse d'ensemble de l'avant-projet
de loi sur «la société de l'information».
La seconde partie du rapport traite dans le détail chacun
des 61 articles du texte, et présente les modifications
qui paraissent nécessaires à l'association.
Pour une loi sur la liberté de communication en
ligne
Le texte de l'avant-projet est loin des grandes ambitions
affichées par le gouvernement sur la «société
de l'information», note d'emblée le rapport: on
y trouve pêle-mêle «diverses mesures d'ordre
électronique», visant à modifier sept lois
et autant de codes, ainsi que d'innombrables décrets.
Un tiers des articles renvoient eux-mêmes à des
décrets administratifs, y compris pour des questions capitales
du point de vue des libertés constitutionnelles.
Liberté et responsabilités dans la communication
en ligne : Régression sur la responsabilité
des intermédiaires techniques, appel à la délation
pour les fournisseurs, force de loi donnée à la
jurisprudence contestable dans l'affaire Yahoo!, extension des
droits des auteurs aux titulaires de droits voisins en matière
de saisie-contrefaçon, établissement implicite
que la publication en ligne est une publication continue... IRIS
analyse en détail ces dispositions qui font des intermédiaires
techniques des auxiliaires de police, et des éditeurs
de contenus des citoyens de seconde zone.
-- Protection de la confidentialité et des données
personnelles : Après une clause de style pour
l'effacement des données dès la fin d'une communication,
l'article 17 rend finalement systématique la conservation
des données pendant une année. Tout en se félicitant
que ces données excluent les données de consultation
de sites web, IRIS relève que l'identité des personnes
impliquées dans une communication, même privée,
pourra être connue et conservée.
-- Lutte contre la cybercriminalité,
«écoutes électroniques», cryptographie
et déchiffrement des données : Le texte assimile
les chercheurs et spécialistes de sécurité
informatique à des pirates, alors que même le Conseil
de l'Europe a reculé sur ce point du projet de convention
sur la cybercriminalité. Par ailleurs, on note une régression
certaine sur les garanties de la défense et la présomption
d'innocence. IRIS demande donc qu'un certain nombre de procédures
soient soumises à une décision du juge des libertés
et de la détention, qui peut statuer dans le cadre d'un
débat contradictoire. IRIS relève également
qu'en introduisant des circonstances aggravantes pour l'utilisation
d'un moyen de cryptographie dans la commission d'infraction,
la cryptographie est assimilée à une arme, et ceux
qui l'utilisent sont des suspects en puissance. Enfin, le texte
autorise l'auto-incrimination, ainsi que l'incrimination par
les proches, et risque en outre de porter atteinte au secret
professionnel des avocats.
Le rapport intitulé «Avant-projet de loi sur la "société
de l'information": analyse et recommandations d'IRIS »
est disponible sur le site de l'association : <http://www.iris.sgdg.org/documents/rapport-lsi-apl/>.
Le dossier d'IRIS sur la LSI est mis à jour avec d'autres
avis et réactions : <http://www.iris.sgdg.org/actions/lsi>.
C e communiqué sur le web :
<http://www.iris.sgdg.org/info-debat/comm-lsi-apl0501.html
>
3
Autres parties du dossier:
| 1
| 2
| 3 |
Les suites de
Beyrouth
Sous les cailloux,
la Palestine
PAS
BONNE
-
- Dire la vérité
sur Israël
- Robert Fisk
Que se passerait-il si nous avions défendu le régime
d'apartheid dirigée contre la population noire majoritaire
d'Afrique du Sud? Si nous avions encensé le gouvernement
blanc de ce pays en le qualifiant de "guerriers de grande
valeur" au lieu de racistes? Si nous avions justifié
la fusillade de cinquante-six manifestants noirs à Sharpeville
en n'y voyant qu'une bavure compréhensible de la police
d'Afrique du Sud, assurant la sécurité? Et traité
les enfants noirs abattus par la police comme des cas "d'enfants
sacrifiés" par leurs parents? Si, enfin, nous avions
exigé que les dirigeants "terroristes" de l'ANC
"contrôlent leur peuple"?
C'est pourtant ainsi que nous traitons la guerre palestino-israélienne
pratiquement tous les jours. Quel que soit le nombre de jeunes
gens abattus par les Israéliens, le nombre de meurtres
(des deux côtés) et la réputation d'assassin
du premier ministre israélien, nous parlons de cette guerre
terrible exactement comme si nous avions soutenus les Blancs
d'Afrique du Sud contre les Noirs. Non, l'état d'Israël
n'est pas l'Afrique du Sud (bien qu'il ait soutenu allègrement
l'apartheid) et non, les Palestiniens ne sont pas les Noirs des
bidonvilles. Mais il n'y a pas beaucoup de différence
entre Gaza et les taudis noirs de Johannesburg ni entre la tactique
de l'armée israélienne dans les territoires occupés
et celle de la police sud-africaine. L'apartheid avait ses escadrons
de la mort, exactement comme Israël aujourd'hui. Mais eux,
au moins, n'avaient pas d'hélicoptères de combats
ni de missiles.
The Independent , 17 avril 2001. Traduit de l'anglais
LE
RABBIN SPONGIFORME
L'Evangile haineux
de l'Occident plante ses racines au Moyen-Orient
- par le rabbin
Abraham Cooper
Le 7 avril, tandis que partout dans le monde les juifs se rassemblaient
pour célébrer la première nuit de la Pâque,
un groupe d'intellectuels arabes, avec en tête l'Association
des Ecrivains de Jordanie, mettait la dernière main à
un "forum sur les historiens révisionnistes".
Le but du forum d'Amman était d'apporter son soutien aux
négateurs de l'Institute for Historical Review dont la
Conférence internationale de Beyrouth, intitulée
"Révisionnisme et Sionisme" et annoncée
à sons de trompe, avait été courageusement
annulée par le gouvernement libanais. Pour l'instant,
la grande fête de la haine voulue par l'IHR se retrouve
sans domicile, au grand dam de l'organisateur de l'événement,
Jürgen Graf, fanatique professionnel qui a fui la Suisse
après avoir été condamné à
la prison pour avoir diffamé la mémoire des victimes
d'Hitler, et qui avait trouvé refuge à Téhéran.
Alors, il ne savait plus où réunir la galerie-vedette
de gredins internationaux de l'IHR, qui comprenait le dirigeant
d'extrême droite allemand Horst Mahler et le président
de National Alliance et en même temps auteur des "Cahiers
Turner", William L. Pierce, dont le livre raciste a inspiré
à Timothy McVeigh le plastiquage de la ville d'Oklahoma.
Mais Graf et l'IHR ne sont pas restés longtemps le bec
dans l'eau. Voilà Ibrahim Alloush qui est arrivé
pour rallier à leur cause "des foules d'écrivains
et d'intellectuels à travers la Jordanie, la Syrie et
le Liban prêts à défendre la liberté
d'expression dans le monde arabe et à rétablir
la vérité sur les Historiens révisionnistes".
Le forum d'Amman, selon Alloush, "n'est que le commencement
d'une série d'opérations qui, espérons-le,
aboutiront à une conférence des historiens révisionnistes
dans un pays arabe". Les mondes arabe et musulman, nous
dit-il, doivent conna"tre un certain nombre de "vérités"
scientifiquement prouvées comme le fait que "les
prétendues chambres à gaz n'ont pas été
utilisées pour exterminer systématiquement les
juifs mais pour brûler les cadavres de personnes de différentes
nationalités (après leur mort) afin de pallier
les épidémies". Parmi les "prétendues
victimes": Anne Frank. En dépit de ces projets, la
conférence d'Amman a été annulée
- en tout cas pour l'instant. Des fonctionnaires jordaniens s'étaient
inquiétés auprès des organisateurs à
l'idée que l'événement pourrait gêner
le jeune roi de Jordanie Abdullah au moment où il s'apprêtait
à rencontrer pour la première fois le président
George W. Bush à la Maison Blanche.
Des annulations de ce genre ne sont pas évidentes à
Damas. Là, un assaut de haine a été lancé
en parallèle par le président Bachir Assad, qui
a fait ses études en Occident: à deux reprises
il a dit des Israéliens qu'ils étaient "pires
que les nazis". Sur une toile de fond pareille, la décision
prise par le premier ministre libanais Rafiq Hariri de virer
la Convention de l'IHR n'en était que plus courageuse.
Comme il l'a déclaré, "le Liban a mieux à
faire que de tenir des conférences qui portent tort à
son image internationale et qui salissent son nom".
Mais hélas, en dépit de l'initiative prise par
Hariri, bien trop de gens, dans le monde arabe et le monde musulman
, enseignent le contraire à leurs enfants: à savoir
que l'Holocauste n'a pas existé. Pour eux, gommer
les leçons historiques et morales de la Shoah sert à
nier la légitimité d'Israël et à
diaboliser tous les juifs. Et ce qui est particulièrement
alarmant, c'est que cette campagne gagne du terrain au moment
précis où le premier ministre israélien,
Ehud Barak, faisait publiquement une proposition de paix sans
précédent aux Palestiniens dans laquelle aurait
même figuré le Mont du Temple.
De Téhéran à Baghdad, à Damas,
à Gaza, au Caire, l'idéologie négationniste
est propagée, accompagnée d'un évangile
de "guerre sainte", par ceux qui se consacrent à
délégitimer le peuple juif et à détruire
l'Etat d'Israël. En mai 2000, l'ambasssade d'Iran à
Vienne a accordé asile au négationniste autrichien
Wolfgang Fröhlich qui avait témoigné en tant
qu'"expert" en matière de Zyklon B et de chambres
à gaz au procès de Jürgen Graf en Suisse.
Et, en février 2001, le Dr Younes Geranmayeh a, dans le
Tehran Times, tourné en dérision la "Conspiration
d'Auschwitz" perpétrée par "une poignée
de mystificateurs juifs" qui "se présentent
en témoins des chambres à gaz". Plus près
d'Israël, Abdallah Horani a déclaré à
ses camarades palestiniens que, "au lieu de parler du prétendu
Holocauste, (nous) ferions mieux de nous intéresser aux
doutes (à son sujet) qui gagnent du terrain au sein de
l'arène internationale et dans les milieux des principaux
intellectuels européens". Le cheik Nafez Azzam, du
mouvement de la "Djihad palestinienne" à Gaza,
maintient que toute "intention d'enseigner l'Holocauste
dans les écoles palestiniennes vient en contradiction
avec l'ordre naturel de l'univers". Et le chroniqueur Anis
Mansour, qui écrit dans le journal officiel égyptien
Al-Ahram, dit qu'il devrait "devenir évident
aux yeux du monde que ce qui est arrivé aux juifs d'Allemagne,
de Pologne et de Russie était justifié".
Il ne faut pas s'étonner si l'institut américain
IHR rêve de participer et d'être à la tête
d'une vague de haine au Moyen-Orient qui lui gagnerait une notoriété
et une influence internationales sans précédent.
(...)
Pendant ce temps-là, aux Etats-Unis, les négationnistes
professionnels recrutent de nouveaux défenseurs. Récemment,
le magazine Esquire (a eu l'audace de présenter
les révisionnistes comme des gens normaux) (...).
Mais la propagande de haine que diffusent les négationnistes
n'est pas un sujet de plaisanterie. [Un certain Furrow a tué
un facteur, blessé cinq juifs dont trois jeunes enfants
et voulait attaquer le Musée de la Tolérance du
Centre Wiesenthal, à Los Angeles, parce qu'il était
adepte du négationnisme. trad.]
Les violences de Furrow en 1999 nous rappellent fort à
propos que, même en Amérique, la campagne du Grand
Mensonge visant à nier le plus grand crime de l'histoire
peut être à l'origine de violents délits
raciaux chez les fanatiques. Mais la menace d'un cataclysme de
violence provoqué par la haine est encore plus grande
dans la poudrière du Moyen-Orient quand des présidents
embrassent pour politique la même haine.
Il est temps maintenant que les responsables politiques américains
et les Européens qui se voudraient Moyen-Orientaux fassent
savoir aux Assads, aux Arafats, aux Khameinis, que l'adoption
du Grand Mensonge ne peut servir de politique au sein des nations
du monde civilisé. Car, si l'on n'y met un terme, on verra
se réaliser la prophétie terrible de Santayana:
"Ceux qui oublient l'histoire sont condamnés à
la recommencer."
The Miami Herald.
- Original English:
- Western Gospel
of Hate puts Down Roots in the Middle East
- by the Rabbi
Abraham Cooper
On April 7th, as Jews the world over gathered at their seder
tables to celebrate the first night of Passover, a group of Arab
intellectuals, headed by the Jordanian Writers Association, was
putting the final touches for a "Forum on Revisionist Historians"
The purpose of the Amman Forum was to rally support for the Holocaust-Denying
Institute for Historical Review (IHR) which just had its
much-hyped Beirut International Conference, entitled "Revisionism
and Zionism" courageously cancelled by the Lebanese government.
At the moment, the IHR's global hatefest is without a home, much
to the chagrin of the event's coordinator, Jürgen Graf,
a professional bigot who fled Switzerland to Tehran after being
sentenced to jail for defaming the memory of Hitler's victims.
Now, he had nowhere to convene the IHR's all-star, international
rogues gallery of violent haters including German Far Right leader
Horst Mahler and National Alliance head and Turner Diary
author, William L. Pierce, whose racist tract served as blueprint
for Oklahoma City bomber Timothy McVeigh.
Not for long, however, were Graf and the IHR left in the lurch.
Ibrahim Alloush stepped in to rally on their behalf "scores
of writers and intellectuals across Jordan, Syria, and Lebanon
moved to defend freedom of expression in the Arab World and to
set the record straight on Revisionist Historians." The
Amman Forum, according to Alloush, "is just the beginning
of a series of activities that will hopefully culminate in a
conference for revisionist historians in some Arab country."
The Arab and Muslim worlds, he informs us, need to learn such
scientifically-proven "truths" as that "the so-called
gas chambers were not used to exterminate Jews systematically,
but to burn the corpses of people from different nationalities
(after their deaths) to circumvent plagues. Among the "so-called
victims": Anne Frank. Despite these plans, the Amman conference
has been shut down -- at least for now. Concerned Jordanian officials
told the organizers that the event would embarrass Jordan's young
King Abdullah, as he prepared to meet President George W. Bush
for the first time at the White House.
No such hangups are evident in Damascus. There, a parallel hateful
assault has been launched by the Western-trained President Bashir
Assad, who recently twice labeled Israelis "worse than Nazis."
Against the backdrop of such rhetoric, Lebanese Prime Minister
Rafiq Hariri's decision to pull the plug on the IHR Convention
was even more courageous. In his words, "Lebanon has more
important things to do than holding conferences that hurt its
international standing and smear its name."
Yet tragically, despite Hariri's initiative, too many in the
mainstream Arab and Muslim worlds teach their children just the
opposite: that there was no Holocaust. They see the erasing
of the historic and moral lessons of the Shoah, as a key component
to deny Israel's legitimacy and demonize all Jews. And
what is particularly alarming is that this campaign gained momentum
at the very time that then Israeli Prime Minister Ehud Barak
was publicly offering the Palestinians an unprecedented peace
deal which would have even included the Temple Mount.
From Tehran to Baghdad to Damascus to Gaza to Cairo, the Holocaust-denial
ideology is being fused with a "holy war" gospel by
those dedicated to delegitimatizing the Jewish people and destroying
the state of Israel. In May 2000, the Iranian embassy in
Vienna granted refuge to Austrian Holocaust denier Wolfgang Fröhlich
who testified as a defense "expert witness" on Zyklon
B and the gas chambers at Jürgen Graf's trial in Switzerland.
And in February 2001, Dr. Younes Geranmayeh in the Tehran
Times ridiculed "the Auschwitz Conspiracy" perpetrated
by "a handful of Jewish swindlers" who "present
themselves as gas chamber witnesses." Closer to Israel,
Abdallah Horani told his fellow Palestinians that, "instead
of talking about the so-called Holocaust, (we) should have followed
the doubts (about it) that are gaining momentum in the international
arena and among leading European intellectuals." Sheik Nafez
Azzam of the "Palestinian Jihad" movement in Gaza insists
that any "intention to teach the Holocaust in the Palestinian
schools contradicts the natural order of the universe."
And columnist Anis Mansour, writing in Egypt's official Al-Ahram
newspaper, says it should "become clear to the world that
what happened to the Jews of Germany, Poland and Russia was justified."
No wonder that the U.S.-based IHR dreams of contributing to and
riding the crest of a tidal wave of hate in the Middle East which
would garner for itself an unprecedented level of international
prominence and influence.
Perhaps all this would give some context to this outrageous news
from one of Beirut's Big Brothers, the Syrian Defense Minister
Field Marshal Mustafa Tlass. He confirmed that he has signed
a contract with Egyptian producer, Munir Radhi, to make a film
based on Tlass' 1983 book, The Matzah of Zion. That book,
whose full-color cover is adorned with hook-nosed Hasids draining
the blood of an innocent gentile, endorses as historical fact
the notorious Damascus Blood Libel of 1840, when Syrian Jews
were persecuted for allegedly conspiring to murder Muslims and
Christians. The movie based on it, which is supposed to be an
answer to Schindler's List, may be titled Harari's
List. David Harari was the head of the Jewish community in
Damascus in 1840 who was accused of masterminding the murder
plot.
Meanwhile back in the U.S.A., professional Holocaust Deniers
are recruiting new apologists. Recently, Esquire magazine
decided to play Holocaust Denial for laughs by running veteran
war reporter John Sack's "Inside the Bunker" account
not of Hitler's last days but of today's deniers that the Nazis
ever intended to annihilate the Jews. Sack presents a sympathetic
"insider's view" of IHR stalwarts as "the most
middling of middle Americans," while accusing their Jewish
critics like Deborah Lipstadt of "bias, rumors, exaggerations,
and other preposterous matters." Sack gave a speech at the
latest IHR Convention recycling the thesis of his own discredited
1993 book, An Eye for an Eye, that Jewish Survivors of
Hitler perpetrated "a little Holocaust" on Poland's
post-World War II German minority. And he even embraced the IHR's
man in Tehran and Beirut, Jürgen Graf [Note de l'AAARGH: cf. le récit
de J. Sack sur ce site, Inside the bunker].
But the hate propaganda of the Holocaust Deniers is no laughing
matter. Just ask the grieving relatives of murdered postman Joseph
Ileto. Though not a Jew, he was "an Asian American who worked
for the government." This was enough to make him a target
for Neo-Nazi and White Supremacist Buford O. Furrow, Jr., recently
sentenced to five life sentences for wounding five people, including
three small children, at the Jewish Community Center in the San
Fernando Valley and then shooting Ileto. Furow who originally
planned to attack the Wiesenthal Center's Museum of Tolerance
in Los Angeles was indoctrinated as a Holocaust Denier at the
Hayden Lake, Idaho, compound of Christian Identity preacher Richard
Butler.
Furrow's 1999 rampage is a stark reminder that, even in America,
the Big Lie campaign denying history's greatest crime can inspire
violent hate crimes by "lone wolf" fanatics. But the
threat of hate-inspired cataclysmic violence is much greater
in the tinderbox of the Middle East when presidents embrace the
same hate as policy.
Now is the time for U.S. policy makers and European Middle East
wanabees to signal the Assads, the Arafats, the Khameinis that
the embrace of the Big Lie cannot pass for policy among the
civilized nations of the world. For left unchallenged, it
will surely fulfill Santayana's chilling prophecy: "Those
who forget history are condemned to repeat it".
The Miami Herald
http://www.wiesenthal.com/social/press/pr_item.cfm?ItemID=1147>
COBRA
- Réponse
du Dr Ibrahim Alloush
Responsable médiatique de l'Association contre le Sionisme
et le Racisme
Chers lecteurs, Vous trouverez ci-après un échantillon
du venin que les sionistes lancent contre l'Association des Etudiants
de Jordanie et un groupe d'intellectuels arabes, ainsi que contre
le président syrien Bashar Al Assad et l'Iran. Le cobra
qui crache ce venin n'est autre que le rabbin Abraham Cooper,
du Centre Simon Wiesenthal. Parmi ses dernières récriminations,
le rabbin Cooper tente de jeter l'opprobre sur le journaliste
Abdallah Hourani, le cheik Nafez Azam de Gaza, le chroniqueur
égyptien Anis Mansour, le ministre de la défense
syrien Mustafa Tlass, le révisionniste suisse Jürgen
Graf, l'Institute for Historical Review des Etats-Unis, et Ibrahim
Alloush. Tous, selon le cobra Cooper, sont "coupables"
d'émettre des soupçons sur la version officielle
de l'"Holocauste" et de diffuser "la haine".
Mais tandis que vous lirez entre les lignes l'article ci-dessus,
qui a été publié en éditorial dans
le "Miami Herald" ainsi que sur le site du Centre Simon
Wiesenthal, ne perdez pas de vue ceci:
1) que les sionistes sont prêts à tout pour étouffer
les enquêtes scientifiques ou critiques du prétendu
"Holocauste", en particulier le mythe des chambres
à gaz où des millions de juifs sont censés
avoir trouvé la mort au cours de la seconde guerre mondiale.
C'est bien la preuve, entre autres, que l'affirmation incessante
de l'"Holocauste" est comme une forteresse morale qui
protège l'occupation de la Palestine par les sionistes.
C'est la raison pour laquelle la question de l'"Holocauste"
doit rester un tabou sacro-saint (au siècle de la science
et de la technologie), et que ceux qui osent y toucher doivent
être impitoyablement persécutés;
2) que l'accusation de "négationnisme" n'est
qu'un moyen de brouiller les pistes utilisé par des criminels
qui cherchent à couvrir leurs crimes inqualifiables en
inventant des problèmes totalement imaginaires afin de
dissimuler les preuves de leur criminalité. C'est ainsi
que l'"Holocauste" s'est transformé en dogme
politique néfaste, aux tentacules étouffantes.
A l'origine la question touchait les juifs morts pendant la seconde
guerre mondiale, mais on se trouve aujourd'hui devant une mentalité
digne du Moyen Age, avec des pratiques faisant appel au terrorisme
moral, politique et parfois physique contre des intellectuels
et contre ceux qui osent exercer leur réflexion. C'est
comme cela que l'on répand le fanatisme, l'ignorance et
la haine. L'"Holocauste" est devenu une une chose opaque
destinée à couvrir les crimes du sionisme, et le
"négationnisme" est devenu l'accusation que
l'on porte à l'encontre de ceux qui refusent d'être
dupes;
3) que les historiens révisionnistes, que l'on soit d'accord
ou non sur les conclusions de leurs recherches, se battent simplement
pour la liberté de la recherche scientifique, mais que
les Palestiniens ont un enjeu bien plus important: un pays, un
peuple, une identité, et une libération. Alors,
si le rabbin Cobra et ses camarades sionistes s'imaginent que
les tactiques qu'ils emploient contre les historiens révisionnistes
en Europe et en Amérique du Nord pour leur faire peur
entameront le moins du monde notre solide détermination
à dénoncer les mensonges sionistes, nous leur conseillons
d'y réfléchir à deux fois: Vous n'avez pas
affaire ici à un individu isolé ou même à
un petit groupe d'individus. Vous avez en face de vous un peuple
entier qui a été témoin du mal que vous
avez perpétré contre les Palestiniens, contre les
Arabes et contre les musulmans depuis la fin du XIXe siècle.
Vos mensonges ne passeront pas! Vous ne nous soumettrez
pas au terrorisme de l'"Holocauste", mensonge utilisé
constamment pour justifier les massacres contre les Palestiniens
et mensonge qui, à force d'être matraqué,
ne pourra que générer encore d'autres massacres;
4) que l'une des tactiques employées par le rabbin Cooper
dans son article pour instiller la peur consiste à faire
l'amalgame indirectement entre les historiens révisionnistes
et le terrorisme ou les délits raciaux. La pratique qui
consiste à accuser les Palestiniens de terrorisme n'est
pas nouvelle, évidemment. Mais, dans le contexte actuel,
le fait de chercher à faire l'amalgame entre le révisionnisme
historique et les Arabes d'une part, et le terrorisme et les
délits raciaux d'autre part, a pour but de faire fuir
leurs partisans tout autant que d'exciter les Américains
et le reste du monde contre les historiens révisionnistes.
Veillez à ne pas perdre de vue ce venin au cours de votre
lecture;
5) qu'à la fin de son article le rabbin Cooper laisse
percer sa crainte morbide de voir le révisionnisme historique
prendre racine dans le monde arabe (qu'il appelle à tort
le Moyen-Orient). Pensez-y. Pourquoi une telle peur chez les
sionistes? En fait, tout à fait à la fin le rabbin
Cooper exige du gouvernement américain et des "Européens
qui se voudraient Moyen-Orientaux" -- comme il qualifie
les Etats européens cherchant à jouer un rôle
dans la région arabe -- qu'ils fassent pression sur les
gens du pays afin qu'ils adoptent la version officielle de l'"Holocauste".
N'oubliez pas cela non plus. Pourquoi les sionistes se font-ils
un tel souci à ce propos? Et puis, pensez au rôle
que jouent certains intellectuels arabes quand ils imposent la
version sioniste de l'"Holocauste"... Si vous n'êtes
pas sûr des réponses, reportez-vous au paragraphe
1) ci-dessus.
Ibrahim Alloush
- Response
to Rabbi Cooper's New Attack on Arab Intellectuals, Syria, and
Iran
Dear Readers, above you shall find another sample of Zionist
venom directed at the Jordanian Writers Association and a group
of Arab intellectuals, as well as Syrian president Bashar Al
Asad and Iran. The cobra spewing out this venom is none other
than Rabbi Abraham Cooper of the Simon Wiesenthal Center. In
his most recent recriminations, Rabbi Cooper attempts to vilify
Palestinian journalist Abdallah Hourani, Sheik Nafez Azam of
Gaza, Egyptian columnist Anis Mansour, Syrian Defense Minister
Mustafa Tlass, Swiss revisionist Jurgen Graf, the Institute of
Historical Review in the U.S., and Ibrahim Alloush. All the above,
according to Cobra Cooper, are 'guilty' of suspecting the received
version of the Hollowcause and of spreading 'hatred'. But as
you read between the lines of his piece below, which appeared
as an editorial in the Miami Herald and again on the website
of the Simon Wiesenthal Center, please mark the following:
1) that the Zionists would not stop at anything to suffocate
the scientific or critical investigation of the alleged "Holocaust",
especially the myth of the gas chambers where millions of Jews
supposedly perished in WWII. This indicates, among other things,
that THE INCESSANT ASSERTION OF THE 'HOLOCAUST' IS ONE OF THE
MORAL BULWARKS OF THE ZIONIST OCCUPATION OF PALESTINE. That's
why the topic of the "Holocaust" must remain sacrosanct
taboo (in the age of science and technology), and those who dare
to broach it must be viciously persecuted.
2) that the accusation of 'Holocaust denial' is merely a red
herring thrown into the discourse by criminals trying to cover
up their unquatifiable crimes by raising other totally fabricated
issues, in order to drown out the evidence of their criminality.
Thus, the "Holocaust" has turned into a malevolent
political dogma with oppressive tentacles. It has ceased to be
about the Jews who died in WWII to become a medieval mentality
that practices moral, political, and sometimes physical terrorism
against intellectuals and those who dare to think for themselves.
Therein lies the real spreading of fanaticism, ignorance and
hatred. The "Holocaust" has become a charade to cover
up for the crimes of Zionism, and "Holocaust denial"
has become a charge directed at those who refuse to be duped
by that charade.
3) Revisionist historians, whether you agree or disagree with
the results of their findings, are simply fighting for the freedom
of scientific research, but Palestinians have much more at stake:
a land, a people, an identity, and a liberation. So if Rabbi
Cobra and his fellow Zionists think that scare tactics such as
the ones used on revisionist historians in Europe and North America
will make any dent whatsoever in our resolve to expose Zionist
lies, we advise them to think again. You are not dealing with
one individual here or even a small group of individuals. You
are up against a whole people who have witnessed the evil you
have been perpetrating against Palestinians, Arabs, and Muslims
since the end of the nineteenth century. YOUR LIES WILL NOT PASS.
You will not subjugate us to the terrorism of the "Holocaust";
a lie which keeps on being used to justify massacres against
Palestinians, and a lie whose continued imposition is guaranteed
to generate more massacres still.
4) that one of the scare tactics employed by Rabbi Cooper in
the article below, consists of tying revisionist historians indirectly
to terrorism and hate crimes. The practice of accusing Palestinians
of terrorism is not new of course. But in this context, the attempt
to tie historical revisionism and Arabs to terrorism and hate
crimes is meant to scare off supporters as much as it is meant
to galvanize Americans and the rest of the world against revisionist
historians. Please remain aware of this venom as you read along.
5) that at the end of the article Rabbi Cooper unveils the Zionist
morbid fear of having historical revisionism take root in the
Arab World (erroneously called the Middle East). Think about
that. Why would Zionists have such a fear? In fact, towards the
very end, Rabbi Cooper demands that the U.S. Government and "European
Middle East wanabees", as he calls European states seeking
a role in the Arab region, pressure the locals to adopt the official
version of the "Holocaust". Think about that too. Why
should this be such an important concern for Zionists? Then,
please think about the role that some Arab intellectuals play
in enforcing the Zionist version of the "Holocaust"...
If in doubt of the answers, please go back to item one above.
Ibrahim Alloush <[email protected]>, 8 mai 2001
Media Coordinator of the Association against Zionism and Racism
=============================================
- Read an interview on
revisionist historians and Jordan at:
<http://www.middleeastwire.com/commentary/stories/20010507_meno.shtml>
To read more about revisionist historians and the Arab World,
please go
to <http://www.fav.net>
LA MANNE ET LE BATON
Jordan: The Story
of the Forum that WILL Happen
"Today he [Edward Walker, U.S. Assistant Secretary of State]
travels to Jordan, where intellectuals are planning to hold a
holocaust denial conference on Sunday." (The Independent,
April 20, 2001)
Amman, Jordan, April 21, 2001
Part I: The Jordanian Government forced today another `postponement'
for a forum titled `Revisionist Historians and the Cancelled
Conference in Beirut' that was supposed to take place April 8
the first time, and April 22 the second time.
The Minister of Culture, Mr. Mahmoud Al Kayed, called most of
the members of the board of the Jordanian Writers Association
(JWA) repeatedly today, and exerted extreme pressure. Some of
those called were reportedly told that `it's better for the JWA
to postpone the Forum on its own, than to have it postponed by
force', and that `trying to hold the Forum anyway will result
in measures that will guarantee its complete cancellation forever'.
On the other hand, a few pseudo-leftists and defeatists in the
JWA volunteered themselves to voice the government's line for
the postponement of the Forum. Eventually, a majority of the
members of the board of the JWA obliged with the government's
demand to postpone, according to JWA president Fakhri Qawar.
Thus, the Forum on Revisionist Historians that was scheduled
for tomorrow evening, Sunday, April 22, 2001, in the offices
of the JWA, will not take place in that particular time and place.
Part II: But, this is not the end of the story. In fact, Zionists
may have our hands shackled in the chains of the Arab regimes,
but it is only when you give up in your heart and mind, that
Zionists win, and we are just warming up still.
This is what happened today. The oppressive measures of the Jordanian
Government moved the whole battlefield into the domain of braver
generals. Thus, upon receiving [until that point] unconfirmed
news of the forced postponement of the Forum of the JWA yet again,
Laith Shubeilat, the eye of the tiger, announced after consulting
with members of the board of the Association against Zionism
and Racism (AZAR) which he heads, that AZAR will be proud to
host the twice-postponed JWA Forum on Revisionist Historians
at a date to be agreed upon by AZAR's board when the forced postponement
is ascertained.
Laith Shubeilat of course is the distinguished Jordanian Arab
opposition leader who has risen to the occasion more than once
before where others faltered. This time he was speaking to a
packed hall at the offices of the Association against Zionism
and Racism (AZAR) on the occasion of Prisoners Day. AZAR was
hosting an event to honor Jordanian prisoner Ahmad Daqamseh.
Members of his family were honored on his behalf. One of the
wounded of the Intifada, currently receiving medical treatment
in Amman, was also honored. He gave a speech from the heart in
which he condemned all Arab regimes (with the exception of Iraq),
and in which he urged the Arab masses to move. It was at the
end of that event that Laith Shubeilat rose up to make his timely
announcement about the willingness of AZAR to host the forum
of the Jordanian Writers Association should the news about its
postponement turn out to be true.
Now, the board of AZAR will meet to set the new date for the
Forum, and we will keep you posted, as usual. And neither Laith
Shubeilat nor the members of the AZAR are the kind to bow under
pressure over the phone!
The forces of Zionist evil will NOT win. The Forum will take
place sooner or later, somewhere, whether Zionists and their
supporters like or not.
Again, we urge all those who support the suffocation of free
speech rights for revisionist historians and dissident Arab intellectuals
to reconsider their positions. Plus, if historical revisionism
were not so dangerous to Zionism, why all this hassle over a
local forum discussing it in Amman?! At any rate, if you don't
want to stand by your natural allies, at least don't stand against
their right to practice free
speech..
Ibrahim Alloush
Media Coordinator and elected member of the board of AZAR
LOUCHE ALLOUSH
- Interview exclusive du Dr Ibrahim Alloush
accordée à Middle East News Online
- Recueillie par
Edna Yaghi, correspondant en Jordanie de Middle East News Online
7 mai 2001 - 10:10:45 AM EDT (traduit en français)
On a beaucoup parlé ces derniers temps des historiens
révisionnistes. Mais, contrairement à ce que
croient beaucoup de gens, les révisionnistes ne nient
pas que des juifs soient morts pendant la seconde guerre mondiale.
Ces historiens pensent que des centaines de milliers de juifs
sont réellement morts, mais qu'ils n'ont pas été
les seuls. Ils sont morts tout comme sont mortes 45 millions
d'autres personnes au cours de la guerre.
Il y a d'autres points sur lesquels les historiens ne sont pas
non plus d'accord. Outre la question du nombre des juifs morts
pendant la guerre, ils contestent la manière dont ces
juifs sont morts et également le caractère prétendument
unique de cette mort dans l'histoire de l'humanité.
Le Dr Ibrahim Alloush, champion des droits de l'homme en Jordanie
et avocat déterminé de la liberté d'expression
et de presse, nous éclaire ici sur le forum qui doit avoir
lieu le 15 mai et qui concernera un certain nombre des questions
étudiées par les historiens révisionnistes.
Le Dr Alloush a passé son bac et sa licence à l'Université
de l'Ohio et son doctorat à l'Université de l'Oklahoma.
Il enseigne l'économie, les mathématiques et les
statistiques dans une université privée d'Amman,
en Jordanie. C'est aussi un écrivain prolifique très
cultivé et très compétent. Le Dr Alloush
est chroniqueur régulier dans l'hebdomadaire As Sabil.
Cette semaine, il a bien voulu répondre à Middle
East News Service:
MENO: A quels sujets vous intéressez-vous?
Dr Alloush: Tous.
MENO: Quels sont les droits de l'homme que vous voulez défendre?
Dr Alloush: Le droit à la libre expression, la suppression
des interdictions de manifestation ou de défilé,
la libération de manifestants arrêtés au
cours de ou après des manifestations pro-Intifada en Jordanie,
etc.
MENO: Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser
aux historiens révisionnistes?
Dr Alloush: C'est d'abord le livre de Roger Garaudy qui m'a ouvert
les yeux sur la manière dont l'opinion publique occidentale
était manipulée; puis, au cours des derniers mois,
l'Internet m'a permis de me rendre compte combien Garaudy ne
faisait qu'effleurer la surface du problème. Il y a tellement
plus que je ne pouvais même imaginer! Si vous lisez les
travaux de Faurisson, par exemple, là vous buvez à
la fontaine même à laquelle s'est abreuvé
Garaudy sur cette question.
MENO:Alors quel est le thème du forum qui doit avoir lieu?
Dr. Alloush: Notre forum a pour titre: "Qu'est-il arrivé
à la conférence de Beyrouth sur le Révisionnisme
et le Sionisme?"
MENO: Le forum a déjà été reporté
deux fois. Avez-vous des éléments qui vous font
penser qu'il sera à nouveau reporté?
Dr. Alloush: Non. Il y a eu des pressions, bien sûr, mais
rien ne laisse penser pour l'instant qu'il sera reporté.
MENO: Qui sponsorise le forum?
Dr Alloush: C'est l'Association des Ecrivains de Jordanie (AEJ).
MENO: Pensez-vous que le gouvernement cédera aux pressions
exercées sur lui par différents groupes sionistes
pour qu'il empêche ce forum?
Dr Alloush: Le gouvernement, s'il représente sincèrement
les intérêts du peuple jordanien, devrait résister
à ces pressions extérieures qui empiètent
sur la souveraineté de la Jordanie, et il devrait être
à l'écoute de son peuple.
MENO: Puisque ces différents groupes, y compris le Grand
Rabbin Lau, savent que ce n'est pas un forum international mais
un forum local et que ceux qui vont assister feront partie de
la communauté jordanienne, comment expliquez-vous qu'ils
soient à ce point hostiles à la tenue de ce forum?
Dr Alloush: C'est qu'ils veulent empêcher que ne soient
dévalorisés les mythes de l'Holocauste, car ces
mythes sont une source, tellement lucrative, de soutien financier,
politique et moral en faveur d' "Israël" et du
mouvement sioniste.
MENO: Qu'attendez-vous de ce forum?
Dr Alloush: 1) Qu'il condamne l'infraction à la liberté
d'expression dont sont responsables ceux qui ont annulé
ou ont demandé l'annulation de la Conférence de
Beyrouth sur le Sionisme et le Révisionnisme historique,
et 2) qu'il fasse conna"tre au public les travaux des historiens
révisionnistes.
MENO: Qui, selon vous, assistera à ce forum?
Dr Alloush: C'est évidemment une activité de l'AEJ,
par conséquent il s'agira principalement de membres de
l'AEJ et de leurs amis.
MENO: A part vous, quels seront les principaux intervenants?
Dr Alloush: Il y aura Hayat Atiyeh et Arafat Hijjazi, journalistes
tous les deux. Le présentateur sera le Dr Hisham Ghassib.
MENO: Pourquoi certains intellectuels arabes sont-ils hostiles
aux historiens révisionnistes?
Dr Alloush: Parce qu'on leur a fait croire que pour obtenir le
soutien en faveur de la Palestine il leur fallait se mettre à
la remorque de l'Occident. Pourtant, c'est en se mettant ainsi
à la remorque qu'ils sabotent ce soutien à la cause
palestinienne, puisque l'Holocauste a pour but de:
1) justifier le vol de la Palestine au prétexte que les
juifs ont besoin d'un havre de paix dans un Etat à eux;
2) justifier les violations de la loi internationale par les
sionistes, au prétexte qu 'ils ont tellement souffert
pendant la seconde guerre mondiale qu'ils ont le droit de prendre
quelques libertés avec la loi, et
3) justifier les extorsions financières, politiques et
morales pratiquées auprès de l'opinion publique
occidentale parce que l'Holocauste doit servir à susciter
un sentiment de culpabilité collective parmi les Occidentaux
qui se transforme en soutien tangible en faveur d' "Israël".
D'autre part, une certain nombre d'intellectuels arabes ont choisi,
hélas, de vendre la Palestine en échange d'avantages
personnels. Chacun sait ce qu'il en coûte aux intellectuels
qui ne sont pas dans la ligne du courant dominant.
Eh bien, CERTAINS des intellectuels arabes qui ont signé
la pétition demandant l'interdiction de la Conférence
de Beyrouth ont trahi leur rôle d'intellectuels en réclamant
d'un régime arabe qu'il interdise une activité
intellectuelle. Il n'y a pas à s'en étonner puisque
l'un des disciples de Jésus l'a vendu pour trente pièces
d'argent.
MENO: Pourquoi la tenue de ce forum contrarierait-elle le gouvernement,
comme l'a prétendu Laura Kam Issacharoff, porte-parole
de l'Anti-Defamation League à Jérusalem?
Dr Alloush: Ça, c'est pour faire pression sur le gouvernement
jordanien, lui rappeler le contrôle des sionistes sur le
gouvernement américain et signifier à la Jordanie
qu'elle est sous leur contrôle, pour le cas où elle
ferait quelque chose qui déplairait aux sionistes. Il
appartient au gouvernement américain de prendre dans cette
affaire position en faveur de la liberté d'expression
conformément au Premier Amendement de la constitution
américaine.
MENO: Quelle raison pousse les agences internationales de presse
à répéter que le forum est sponsorisé
à la fois par l'Institute for Historical Review basé
aux Etats-Unis et par l'association suisse Vérité
et Justice?
Dr Alloush: Pour qu'il ait l'air d'être une opération
étrangère se déroulant sur le sol jordanien
et ainsi entraîner l'intervention directe du roi. En réalité,
le forum est une opération jordanienne locale, avec des
intervenants locaux.
MENO: Pouvez-vous nous dire quelle est votre propre interprétation
ou définition du mot Antisémite, et pensez-vous
que les Arabes en général soient réellement
antisémites?
Dr Alloush: C'est une idiotie de qualifier les Arabes d'antisémites
puisque les Arabes sont des Sémites par définition.
D'autre part, il y a des juifs occidentaux, les Ashkénazes,
qui n'ont pas l'ombre d'une goutte de sang sémite dans
les veines et qui ont une origine turco-finlandaise. Reportez-vous
à cet égard au livre d'Arthur Koestler, "La
Treizième Tribu".
MENO: Quel sera selon vous l'aboutissement du forum?
Dr Alloush: Prendre position en faveur de la liberté d'expression
et de la liberté de la recherche scientifique.
<http://www.middleeastwire.com/commentary/stories/20010507_meno.shtml>
pour le texte anglais.
POWWOW
- Amman, 13 mai 2001.
Le Forum d'Amman sur les Historiens révisionnistes a été
un grand succès ce soir. Des éléments de
la police et des services secrets étaient dans l'assistance
mais ne sont pas intervenus. Les gens débordaient jusque
dans la rue. Des stations satellites avaient placé là
des caméras et tout a été enregistré
sur vidéo. Les gens en général ont manifesté
beaucoup de sympathie pour notre cause. Les personnes présentes
ont voté une résolution condamnant les 14 intellectuels
arabes qui avaient signé la lettre demandant au gouvernement
libanais d'annuler la conférence révisionniste
de Beyrouth. Il a été également proposé
d'établir un Comité arabe sur le révisionnisme
historique. Des tracts sur le sujet seront publiés. Au
cours du temps qui m'a été imparti, j'ai présenté
l'intervention que le Dr Faurisson avait prévu de présenter
à la Conférence de Beyrouth. Aussi bien Hayat Atiyeh
que moi-même nous avons insisté pour montrer que,
si Garaudy avait contribué de manière importante
à faire connaître le révisionnisme dans le
monde arabe et le monde musulman, ses contributions s'étaient
arrêtées là. Nous avons présenté
Ahmed Rami à l'assistance, pour ceux qui désiraient
connaître une figure arabe musulmane du révisionnisme,
ainsi qu'un certain nombre des principales figures du révisionnisme
historique.
De bout en bout la soirée de ce soir a été
un grand succès, un pas dans la bonne direction, qui,
espérons-le, sera suivi d'autres pas du même genre.
Ibrahim Alloush
COUVERTURE
MERDIATIQUE
- Tuesday 15 May Jordan Times
- JWA pulls
off revisionist historian conference
- By Hada Sarhan
AMMAN -- After two postponements, a controversial seminar on
the Holocaust by the Jordanian Writers Association (JWA) was
finally held at the JWA's headquarters in Jabal Luweibdeh.
The 'What happened to the Revisionist Historians conference in
Beirut' seminar had been postponed twice; once in April due to
concerns that the event would embarrass His Majesty King Abdullah
during his meeting with US officials in Washington, officials
said, and again earlier this month.
The seminar drew an audience of about 200.
Hayat Atiyah, a Lebanese journalist specialised in European historical
revisionism drew parallels between Zionism and Nazism. She said:
"The new shape of Nazism is Zionism."
Atiyah explained that historical revisionism is not an ideology,
but a position, supported by facts and meticulous analyses, on
a specific historical event the Holocaust.
Among revisionists, stressed Atiyah, are Muslims, leftists, Jews
and Christians and Christian fundamentalists.
She explained that many revisionists have been fined, fired from
their jobs, socially ostracised, and even assassinated because
of their position on the Holocaust.
Atiyah clarified that in the 1980s experts carried out scientific
examinations of the gas chambers where Nazis executed Jews during
the World War II and found that it "would have been impossible
to burn six million people in the gas chambers.
Arafat Hijazi, Jordanian journalist, said Jews had exaggerated
the number of their people killed and how perished.
"[Jews] killed were not more than three million and the
number of available gas chambers could not burn more than half-a-million
bodies," said Hijazi.
Hijazi criticised 14 Arab intellectuals who signed a leaflet
asking the Lebanese government to cancel a similar conference
scheduled to take place in Beirut that was cancelled by the government
there.
These intellectuals, added Hijazi, claimed that the revisionist
research "has nothing to do with the Palestinian cause."
Among the 14 intellectuals are Palestinian nationalists poet
Mahmoud Darwish and Lebanese Salah Stetié in addition
to the Lebanese novelist Elias Khouri who is well-known for his
writing on Palestinian refugee camps.
Hijazi clarified that former Israeli Prime Minister David Ben
Gurion, one of Israel's founding fathers, had used the Holocaust
to justify the creation of the "Zionist entity."
Ibrahim Alloush, a JWA member, focused his discussions on remarks
by one of the foremost revisionist historians, Robert Faurisson.
Alloush said revisionist historians applied science to prove
that gas chambers were not used to "exterminate Jews systematically."
Crematoria, on the other hand, were used to "dispose of
the corpses of people from different nationalities [after their
deaths] to circumvent plagues."
Alloush stressed that revisionists do not deny that Jews died
in World War II.
"[Revisionists] do say, however, that hundreds of thousands
of Jews died along with the 45 million who perished in that war,"
said Alloush.
Zionists, he added, have succeeded in presenting themselves to
Western public opinion as a people who were so victimised in
the Holocaust, they practically deserved a free licence from
the West to do anything to anybody at anytime with impunity.
The "myths of the Holocaust" are extremely important
for the Zionist movement, he said, explaining that Jews' "claim"
that they were systematically exterminated in the war justified
the need for their own safe haven in Israel. This "myth"
basically provides a justification for the rape of Palestine,"
he said.
"In human history, the argument of the uniqueness of Jewish
deaths, provides a justification for Israel and the Zionist movement
to violate every ethical and legal code in the book, and to persecute
opponents, like the revisionist historians and the Arabs, without
any reprimand, even with sympathy, from the West," said
Alloush.
- Un symposium
antisioniste dénonce les "exagérations"
qui entourent l'Holocauste
Amman, 14 mai (AFP) -- Des journalistes et écrivains arabes
antisionistes ont demandé instamment aux pays islamiques
de les aider dans leur soutien aux travaux des historiens révisionnistes
qui dénoncent les "exagérations" entourant
l'Holocauste, l'extermination par les nazis des juifs européens
au cours de la seconde guerre mondiale.
"Les pays arabes et islamiques doivent avoir le courage
de soutenir dans leurs recherches les révisionnistes qui
s'efforcent de mettre en évidence les exagérations
qui entourent l'Holocauste et les massacres de juifs par les
nazis lors de la seconde guerre mondiale", a déclaré
l'historien jordanien Ibrahim Allush dimanche au cours du symposium.
Le journaliste jordanien Arafat Hijazi a déclaré
que deux rabbins israéliens auraient envoyé un
message au roi de Jordanie Abdullah II lui demandant d'empêcher
la tenue du symposium à Amman, qui a signé un traité
de paix avec Israël en 1994.
La conférence au siège de l'Association des écrivains
jordaniens avait d'abord été prévue pour
avril mais avait été reportée à deux
reprises pour des raisons "administratives", a confié
à l'AFP le vice-président de l'association Yussef
Damreh. Il n'a pas donné de détails.
De même, la journaliste libanaise Hayat Howeyek [sic] a
allégué qu'une réunion de révisionnistes
devant se tenir en mars à Beyrouth avait été
interdite par le gouvernement libanais "par suite de pressions
de la part des Etats-Unis et de l'Europe".
Le forum s'est tenu au milieu d'un fort sentiment anti-israélien
en Jordanie, où 41 pour cent sur une population de 5 millions
d'habitants sont d'origine palestinienne, en raison du soulèvement,
il y a sept mois, des Palestiniens contre l'occupation israélienne.
AL JAZIRA
Tonite, May 15, 2001, the episode of a very popular TV program
called Opposite Directions, on Al Jazeerah Satellite TV
station that reaches millions of Arab viewers from Morocco to
Bahrain, was all about historical review. Hayat Attieh, one of
the speakers in the Amman Forum on Historical Review was hosted
on that program along with Al Afif Lakhdar, the Tunisan intellectual
who lives in Paris. Lakhdar was speaking in the defense of the
fourteen Arab intellectuals who signed the petition to the Lebanese
Government. Hayat Attieh, with whom you are familiar by now,
was speaking in the opposite direction. She literally decimated
Lakhdar with her lucid argumentation and corroborating references.
Eventually, she showed photos of Palestinian victims of Zionism
and said: "This is the real holocaust. The other one is
a big fake". She also showed pictures of Dr. Faurisson after
one of the attacks on him, and showed pictures of the attack
on Pierre Guillaume's bookstore in Paris. Either way,
it was a crushing victory for historical review.
Ibrahim Alloush was allowed a few minutes on the air to explain
the importance of the Hollowcause to Arabs. Robert Faurisson
spoke extremely and impressively well when his turn came on the
air. He rebutted quite effectively to allegations by Lakhdar
that embracing historical review would make the Arabs lose western
public opinion. He practically paralyzed the opposite side when
he said: "If you want to avoid any trouble with Zionists,
surely it is better to forget about discussing the "Holocaust"".
Throughout the program, there was a vote taking place on the
website of Al Jazeerah Satellite Station which was hosting the
program. The vote was on the following: Pick one of the choices
below:
1) Do you think Zionism is worse than Nazism? 2) Do you think
Zionism is the same as Nazism? 3) Do you think Zionism is better
than Nazism (not as bad)?
At the end of the show, the results were as follows: More
than 84 percent thought Zionism was worse than Nazism More
than 11 percent thought Zionism was just the same as Nazism Only
2.7 percent thought Zionism was better than Nazism So the moderator
of the show declared a resounding victory of Zionism over Nazism
with a landslide of more than 84 percent . Ibrahim Alloush
Ce soir, 15 mai 2001, une importante émission, très
populaire, sur la chaîne de télé Al Jazira,
que reçoivent des millions d'Arabes depuis le Maroc jusqu'à
Bahrein, était entièrement consacrée au révisionnisme
historique.
Hayat Attieh, l'un des intervenants du Forum d'Amman sur le révisionnisme
historique, était invitée dans cette émission,
ainsi que Al Afif Lakhdar, intellectuel tunisien qui habite Paris.
Lakhdar était là pour prendre la défense
des 14 intellectuels arabes qui ont signé la pétition
adressée au gouvernement libanais. Hayat Attieh, dont le
nom vous est familier maintenant, lui apportait la contradiction.
Elle a littéralement démoli Lakhdar par la clarté
de ses arguments et par ses démonstrations. A la fin elle
a montré des photos de victimes palestiniennes du sionisme
et déclaré: "Le voilà, le vrai holocauste.
L'autre est un faux complet." Elle a également montré
des photos du professeur Faurisson après l'une des agressions
dont il a été victime, et a montré des photos
de l'agression contre la librairie de Pierre Guillaume à
Paris.
De toute façon, ce fut une victoire écrasante pour
la critique historique.
Irahim Alloush put s'exprimer quelques minutes pour expliquer
l'importance de l'"Holocauste" pour les Arabes.
R. Faurisson a pu intervenir par téléphone
et quand son tour est venu il a été très
clair et impressionnant. Il a su réfuter très efficacement
les allégations de Lakhdar selon lesquelles les Arabes
se mettraient à dos l'opinion publique occidentale s'ils
s'engageaient dans le révisionnisme historique. Il a quasiment
pétrifié son adversaire lorsqu'il a déclaré:
"Si vous voulez éviter des ennuis avec les sionistes,
il est certain qu'il vaut mieux ne pas parler de l''Holocauste'."
L'HOMME-RENARD
FAIT LA GUEULE
- Anti-Defamation League
-- Press Release
- ADL Comments on Holocaust Denial Conference Held
in Jordan
New York, NY,
May 15, 200l -- Abraham H. Foxman, ADL National Director,
issued the following statement:
We were surprised and greatly dismayed that a conference to
propagate the denial of the Holocaust, twice cancelled by
the Jordanian government, eventually did take place in Amman.
In recent years, many in the Arab world have become avid advocates
of Holocaust denial. We had hoped that the cancellation in
March by Lebanese Prime Minister Rafik Hariri of a similar conference
planned for Beirut, coupled with the Jordanian government's cancellation
of previously planned conferences, marked an important and concerted
effort by responsible Arab leadership to reject those who seek
to deny the Holocaust.
The Jordanian Writers Association has long been active in countering
normalization efforts with Israel, including punishing members
who have interacted with Israelis. It appears that the denial
of the Holocaust is a new weapon in their efforts to delegitimize
the Jewish State and the Jordanian-Israel peace agreement.
According to The Jordan Times, the 200 conference attendees
heard a series of speeches denying or diminishing the systemic
murder of six million Jews by the Nazis. Speakers maintained
that the "myths of the Holocaust" were used to justify
the creation of the State of Israel as a haven for Jews.
<http://www.adl.org/PresRele/HolocaustDenial_83/3826_83.asp>
Résumé des affaires post-Beyrouth en allemand.
SHARON
C'EST CHARON
-
- Efraïm
Imbar, expert israélien en stratégie: «Sharon
ne peut pas faire plus»
- Par Alexandra
Schwartzbrod (pain noir)
Directeur du Centre d'études stratégiques de Jaffa
et professeur à l'université de Bar-Ilan à
Tel-Aviv, Efraïm Imbar considère qu'il n'existe aucune
solution miracle pour lutter contre le terrorisme et qu'il faudra
laisser passer beaucoup de temps avant que la tension retombe
entre Israéliens et Palestiniens.
L'attaque de Netanya ne montre-t-elle pas les limites de la
politique offensive d'Ariel Sharon?
Non, certainement pas. Il faut bien se dire qu'il n'y a aucune
formule magique pour mettre fin au terrorisme. Des attaques comme
celles de Netanya, Israël en a connu du temps de Rabin,
de Netanyahou, de Barak... Il n'y a rien de nouveau. Israël
continuera à être touché par le terrorisme
aussi longtemps qu'il y aura des Palestiniens insatisfaits. Il
y a quand même, dans les territoires, quelque 25 % de la
population qui soutiennent le Hamas!...
Le gouvernement israélien a tout de même justifié
les raids massifs de ces derniers jours par sa volonté
de mettre un terme à la violence palestinienne?
Où voyez-vous des raids massifs des Israéliens?
On est très loin de ce que les Européens ont fait
en Yougoslavie ou de ce que les Américains et les Anglais
font en Irak! A la limite, je dirais même que la réponse
de Sharon n'est pas assez forte. Mais il ne peut pas faire plus
et ce, pour deux raisons. D'abord, il sait que les Palestiniens
ne cherchent qu'une chose, c'est provoquer des représailles
monstres, qui entraîneraient une intervention internationale.
Ensuite, il a compris que la clé, dans ce type de conflit,
c'est de maintenir la cohésion sociale, c'est-à-dire
la cohésion du pays et donc celle du gouvernement. Il
a impérativement besoin que le parti travailliste reste
à ses côtés, il ne peut donc pas frapper
trop fort. Mais, de la même façon, il a besoin de
la droite radicale, il doit donc faire davantage que ce que faisait
Barak. Tant que les Israéliens seront unis, le pays sera
solide. Et pour l'instant, Ariel Sharon continue à les
unir. Regardez les sondages: ils montrent tous que, près
de quatre mois après son élection, il reste soutenu
par la grande majorité des Israéliens.
Pensez-vous que la paix avec les Palestiniens soit un objectif
accessible à court terme?
A court terme, non et peut-être même pas à
moyen terme. Les Palestiniens ne sont pas capables de nous offrir
la «paix froide» que les Egyptiens nous ont offerte.
Arafat n'est pas Ben-Gourion qui était prêt à
avoir un Etat juif sans Jérusalem... Souvenez-vous, le
plan de partage de l'Organisation des Nations Unies, en 1947,
avait prévu un statut particulier pour Jérusalem
qui serait passée sous juridiction de l'ONU...
Quelle est la solution alors?
Je ne pense pas qu'il y ait forcément une solution
à tout. Nous sommes engagés dans un processus
de partition de la terre d'Israël. Et les partitions font
toujours mal. Prenez l'exemple de l'Inde... La population israélienne
s'est radicalisée, la population palestinienne aussi.
Ariel Sharon continuera donc à faire ce qu'il fait et
les Palestiniens à faire ce qu'ils font. Cela prendra
beaucoup de temps avant que les tensions retombent. Les Israéliens
vivent depuis si longtemps avec la terreur, ils peuvent continuer
encore longtemps. Nous avons juste besoin de patience.
Libération, samedi 19 et dimanche 20 mai 2001
BONNE
ÉCOLE
A Rejoinder to Himmler'zs speech in Posen
"In wartime, you don't have to expose everything to the world,
to stand in public and reveal everything, in the name of that
hypocritical and lie-filled concept known as honesty."
-Ariel Sharon, Prime Minister of Israel
Sharon's doublethink
- by Uzi Benziman
Prime Minister Ariel Sharon keeps repeating that he has not changed,
and five days ago the familiar voice from the past echoed once
again. At a meeting with the Yesha Council of Settlements and
leaders from the Jordan Valley communities, in the presence of
media cameras and recorders, he made the following statements
in reference to Israel's methods of operation against Palestinian
terror:
"There are things we will tell the public about, there are
things we will deny and there are things that will remain hidden
forever." It is superfluous to add to what has already been
written about the political wisdom of such statements, but we
think it is worth expressing an opinion about the moral worldview
behind them.
Sharon is in effect saying that the words he utters are intended
to achieve practical results; they have no intrinsic value. Words
are a political or political -- and apparently personal as well
-- tool, but they lack the original, specific meaning that people
usually attribute to them. According to this approach, a politician
can use words any way he pleases without considering their accepted
meaning.
One can say that black is white or that big is small, because
there is an external, superior purpose to the phrases issuing
from a politician's mouth. Sharon felt no shame in declaring
from the outset that he, or his government, will not hesitate
to deceive the public, or the world ("there are things we
will deny").
This attitude comes as no surprise from someone who once said
that "in wartime, you don't have to expose everything to
the world, to stand in public and reveal everything, in the name
of that hypocritical and lie-filled concept known as honesty."
If that is how the prime minister views the role of words and
interpersonal communication, how is it possible to evaluate his
statements? If, for example, he repeats that he has a clear plan
of how to restore calm, can the public see this as a simple promise
-- i.e. that the prime minister is about to bring about an end
to the Palestinian violence -- or does he have a hidden intent
when he says such things? If he announces that he will bring
peace, and that after bringing about calm, he will offer the
Palestinians a wise, achievable diplomatic proposal - is this
declaration being made in the language of an ordinary man or
in the doublethink language of George Orwell, which Sharon sees
as being reserved for statesmen?
This clarification is particularly necessary when one reads the
way the prime minister words his official announcements.
The press announcements released by the Prime Minister's Bureau
regularly focus on the responsibility of Yasser Arafat and the
Palestinian Authority for the terror attacks and the deterioration
in security. The listener draws the conclusion that this is the
prime minister's learned perception about the terrorist organizations
and that the frequent reminders regarding the part played by
the Palestinian leadership are meant to prepare the ground for
an operation that will nip the evil in the bud.
Nevertheless, when it becomes clear that Sharon has his own private
dictionary, it raises doubts about the accepted meaning of the
accusations he pins on the Palestinian Authority. (...)
Ha'aretz, 6 may 2001
-
VILLES
FANTÔME
- (extrait)
Anxiety and depression plague parents in these settlements, and
fear and stress stalk children who have been evacuated from classrooms
at which mortars have been fired. When they leave their homes,
the settlers can never know for certain whether or not they will
return in one piece.
Brigitte Shoshan, a resident of Rafiah Yam will not send her
twin boys, aged six, to school. She had looked forward to the
day she would accompany them to grade one. Then mortar shells
fell on the school in the Habesor region and she canceled their
early registration there. Instead, she registered her sons with
the state religious school in Neveh Dekalim. A few days later
mortar shells hit the school in Neveh Dekalim. That was when
she decided not to send them to school at all. "I want my
sons alive," she says.
Alongside the settlers' distress is something else -- a gradual
trickle of settlers who are sick of this kind of life. Some of
the "emigres" are relocating permanently, others have
done so temporarily "until things blow over."
This trend is particularly noticeable in settlements of the northern
Gaza Strip. Nearly half of the 15 houses in Dugit stand empty.
A new neighborhood in Nisanit looks like a ghost town. It's the
same in Elei Sinai. The government has built more than 100 cottages
with red tiled roofs in Pe'at Sadeh -- only 15 families live
there and some of them are already planning on leaving.
Ha'aretz 15 mai 2001 -- extract.
EAU
CHAUDE
Le ministre israélien vient de lancer
un appel d'offres pour des bateaux-citernes qui pourraient contenir
50 millions de mètres cubes d'eau à aller chercher
en Turquie. Obligés de fiche le camp du Liban, les Israliens
ont vu leur ambition de monopoliser les ressources en eau de la
région reculer d'un cran. Ils craignent des pénuries
pour cet été. Ils ont besoin d'eau pour faire des
cultures sur des terres palestiniennes volées. Comme ils
préfèrent se passer de la main d'oeuvre palestinienne,
qui viendrait travailler sur ses propres terres pour un très
maigre salaire, ils embauchent des Chinois, des Thais et autres
Asiatiques qui ont l'avantage de ne pas être arabes. Accessoirement,
l'armée ferme les points de passage par où les producteurs
palestiniens tentent d'aller vendre les agrumes qu'ils font pousser
sur les terres qui leur restent et avec l'eau qu'ils doivent mendier.
Mais cette eau turque ne sent pas très bon non plus. C'est
celle que les énormes barrages sur le Tigre et l'Euphrate
permettent aux Turcs de voler aux Arabes de la Mésopotamie.
Le niveau des fleuves a visiblement baissé à Baghdad,
il suffit de regarder. La continuation de la guerre américaine
pendant dix ans a permis aux ignobles militaires turcs, qui gouvernent
ce pays depuis 1960, de mater les Kurdes par la terreur et de
monter une série de barrages pour voler l'eau qui appartient
à tous les habitants qui vivent sur les bords des fleuves
depuis des millénaires. Le récent acoquinement des
militaristes turcs avec les militaristes juifs se traduit par
des trafics dans tous les domaines.
LAISSEZ
SES MYTHES AU SÉMITE
- Ces mots prononcés
par le président syrien faisant ses adieux au pape Jean-Paul
II à l'aéroport de Damas:
"Il est regrettable qu'il y ait encore des gens qui ont
peur que l'on mentionne des vérités historiques
et qui nous accusent, nous sémites, d'être antisémites".
May 8 (AFP) - Syrian President Bashar al-Assad hit out Tuesday
at accusations of anti-semitism levelled against him by Israel
and Jewish organisations, saying that Arabs themselves were Semites.
"It is regrettable that there are still parties who fear
historical truths being mentioned and who accuse us Semites
of being anti-semitic," he said while seeing off Pope John
Paul II from Damascus international airport.
(Posted on Asia - News World)
FAIRE
UNE CROIX DESSUS
- Le 18 mai 2001
- Au cours d'une conférence
de presse, René Kosirnik, chef de la délégation
de la Croix-Rouge en Israël et en Palestine occupée,
a déclaré que les [colonies juives] violaient la
quatrième convention de Genève, traité dont
l'objet est la protection des civils dans les zones en guerre.
- L'installation de populations
par la puissance occupante dans un territoire occupé est
considérée comme un acte illégal. C'est
une entorse grave à la loi", a dit Kosirnik. Dans
son principe, c'est un crime de guerre."
Ce qui nous paraît étonnant,
c'est qu'occuper un territoire par la force ne soit pas un crime
de guerre!
-
- [May 18, 2001
"At a news conference, René Kosirnik, who heads the
Red Cross delegation to Israel and the Palestinian areas, said
the settlements violate the fourth Geneva Convention, the treaty
intended to protect civilians in areas of conflict.
"'The installation of a population of the occupying power
in occupied territory is considered an illegal move. It is a
grave breach (of law),' said Kostirnik. 'In principle, it is
a war crime.'"
Commentaire d'Ingrid Rimland: Now this is interesting. The International
Red Cross holds, in fact, the key to the conflict behind its locked
doors -- and could end it in one bold, courageous move. At Arolson,
a Red Cross data center that Revisionists are forbidden to enter
(Service
international de recherches d'Arolsen),
can be found the documents of what did, and did not, occur in
Third Reich concentration camps.
The Red Cross, in a firm statement, could tell the world the Holocaust
is one gigantic hoax, as Red Cross officials have known all too
well since its director, Biedermann, came testifying at the Zundel
Trial in 1988 -- and disappeared into the yonder, his tail between
his legs, when it was shown that there existed records -- exact,
detailed records of numbers of victims, causes of death, nationality,
religion, race etc. at Arolsen. If the world could see those records
and act on them, the money to the bandit state would stop!
LE SALE PETIT SECRET
par MacKenzie Paine
- Le 15 mai est "Jour
de l'Indépendance" en Israël. Drôle de
nom pour un pays qui occupe la Palestine depuis plus de cinquante
ans et qui continue encore aujourd'hui ses agressions. "Indépendance"
de qui? On peut se le demander. Au moment où l'on s'attend
à ce que le monde entier se prosterne avec respect devant
le souvenir de cette date solennelle, je me demande si Sharon
va interrompre cinq minutes ses activités criminelles
ou s'il les multipliera pour célébrer l"indépendance"
sioniste. Sharon pourra faire ce qu'il voudra, je ne crois pas
que cette année, finalement, le monde va rester là
sans rien faire, la tête baissée à réciter
avec vénération la consigne sioniste "Plus
jamais ça!" Les prétendues négociations
de paix entre l'Israël et les Palestiniens sont réduites
aujourd'hui au terrorisme et à la brutalité habituels
de Sharon, avec l'appui de notre régime vassal de Washington,
dans l'indifférence des médias et aux applaudissements
des malades du cerveau qui, en Europe et aux Etats-Unis, apportent
leur soutien au Tyran.
Mais il y a un sale petit secret qui commence à faire
des bulles à la surface du monde, celui qui pourrait crever
la panse du Tyran comme un couteau transperce le beurre mou.
Le Tyran a refusé ses droits les plus élémentaires
à toute personne au fait de ce sale petit secret. Le Tyran
s'est assuré que toute personne au courant se retrouve
en prison, que sa famille soit terrorisée, que sa maison
soit incendiée. Le Tyran lance des menaces de mort, poursuit
en justice tout en s'assurant que la vérité sera
interdite, et va jusqu'à tuer ceux qui veulent dévoiler
au monde le sale petit secret du Tyran. Mais, en dépit
de toutes les tactiques de terrorisme, en dépit des lois
de censure et en dépit de ses brutalités, même
Le Tyran ne peut pas empêcher que la vérité
ne l'emporte. Quel est ce sale petit secret, demandez-vous? Je
vais vous le dire, mais tout d'abord je tiens à vous prévenir:
ouvrez grands les yeux, ouvrez grandes les oreilles. Accrochez-vous.
Le peuple palestinien a besoin de nous pour, en quelque sorte,
découper des tranches dans ce beurre mou, afin de démolir
une fois pour toutes Le Tyran, et à nous tous nous aurons
besoin de toutes nos forces pour y arriver. Si vous avez peur
de vous brûler, si vous avez peur de voir la vérité,
vous aurez sur les mains un peu plus de sang palestinien et cette
nation d'innocents pourrait disparaître de la terre. Les
Palestiniens n'accepteront jamais l'esclavage, par conséquent
Le Tyran devra tous les tuer. Bon, alors, respirez un bon coup
et courage!
Voici le sale petit secret. La nation allemande et le gouvernement
allemand n'ont PAS eu de politique d'extermination massive des
juifs au cours de la seconde guerre mondiale. Je répète:
il n'y a jamais eu de politique d'extermination massive des juifs
au cours de la seconde guerre mondiale. De plus, il a été
prouvé, par quelques-unes des âmes les plus courageuses
sur cette terre - prouvé scientifiquement, historiquement,
démographiquement, grâce à des recherches
poussées et en dépit de persécutions brutales
du Tyran -- que les nazis n'ont PAS gazé 6.000.000 de
juifs au cours de la seconde guerre mondiale! Ils n'ont pas gazé
un million de juifs! Personne n'a été gazé.
L'histoire officielle de la seconde guerre mondiale -- version
sioniste -- qui fait des juifs le centre de cette guerre et qui
fait de leur sort un sort spécifique, est un mensonge.
C'est le mensonge du Tyran et c'est ça que Le Tyran ne
veut pas que les gens sachent.
Voilà le sale petit secret, et c'est ça qui commence
à percer. Si vous ne me croyez pas, rendez-vous dès
maintenant à votre plus proche musée de l'holocauste
ou auprès d'un professeur d'études holocaustiques
et exigez qu'on vous fournisse une preuve sérieuse que
les Allemands ont eu une politique d'extermination massive des
juifs et une arme pour appliquer cette politique. Vous savez
ce qu'on va vous montrer? Des photos de tas de chaussures et
de tas de lunettes. Ce sont les Allemands qui les ramassaient
pendant la guerre pour les recycler, mais Le Tyran vous dira
que leurs propriétaires ont été gazés.
On vous montrera des photos de tas de cheveux que les Allemands
utilisaient pendant la guerre pour l'étanchéité
de leurs sous-marins, mais Le Tyran vous dira que les cheveux
ont été coupés sur des gens qu'on s'apprêtait
à gazer. (On les désinfectait, c'est vrai, mais
c'était pour les protéger du typhus!) On vous montrera
des photos de gens en train d'attendre ou de descendre d'un train
et on vous dira que ces gens vont bientôt être gazés.
N'importe qui avec deux sous de jugeotte peut voir que ce sont
tout simplement des photos de gens qui sont en train d'attendre
ou de descendre d'un train! On vous montrera des photos abominables
de cadavres émaciés entassés et on vous
dira que ces pauvres gens ont été gazés.
Plus de QUARANTE MILLIONS de personnes ont péri pendant
la seconde guerre mondiale, alors il n'était sûrement
pas bien difficile de produire des photos de malheureuses victimes.
Qu'est-ce qui prouve que ces victimes étaient toutes juives
et qu'elles ont toutes été gazées? Faites
comme a fait notre cher et brillant professeur Faurisson pendant
des dizaines d'années. Exigez qu'on vous montre une photo
d'une chambre à gaz homicide. (La prétendue "chambre
à gaz" d'Auschwitz est une reconstruction d'après-guerre,
que l'on doit à l'Armée rouge.) Le Tyran est incapable
de vous montrer la moindre photo d'une chambre à gaz homicide
de cette guerre, alors qu'ils ont des photos de chaussures, de
lunettes et de cheveux. Vous ne devinez pas pourquoi? Le Tyran
se frappera la poitrine et poussera de grands cris en vous brandissant
les procès de Nuremberg, qui "ont prouvé"
l'"holocauste".
Jetez un coup d'oeil -- même un coup d'oeil rapide -- aux
minutes de ces "procès", et vous serez convaincu
que ce n'étaient rien que des procès-spectacles
à la soviétique, qui ont été dénoncés
à l'époque par des hommes d'Etat et des juges américains.
La seule chose que prouvent les procès de Nuremberg c'est
que Le Tyran refuse la justice et la vérité chaque
fois qu'il l'estime nécessaire. Au lieu de vous fournir
une preuve sérieuse de l'extermination massive des juifs,
Le Tyran vous obligera à écouter des témoignages
de "survivants".
Ecouter le témoignage des "survivants", c'est
comme se retrouver captif en face de gens qui n'apportent pas
la moindre preuve qu'ils ont seulement été détenus
dans un camp de concentration, qui n'apportent aucune preuve
des crimes dont ils sont censés avoir été
les témoins ou les victimes, et qui n'ont aucune référence
pour se présenter en experts en matière d'"holocauste".
Demandez-leur de témoigner sous serment et de se soumettre
à un contre-interrogatoire, et on vous fuira en vous traitant
de "négationniste antisémite". Ce sont
des diffamateurs professionnels du peuple allemand, à
qui il est rarement demandé de justifier les accusations
déplorables, sans preuves et malveillantes qu'ils propagent.
Les juifs ont souffert au cours de la seconde guerre mondiale.
Beaucoup, beaucoup de juifs sont morts. Mais des millions de
combattants aussi sont morts pour leur patrie. Et des millions
de civils, aussi, sont morts, de maladie, de faim et par suite
des attaques brutales des puissances alliées et des puissances
de l'Axe contre les populations. Le sort des juifs durant la
seconde guerre mondiale na PAS été spécifique.
Le Tyran est incapable de fournir une once de preuve, scientifique,
historique ou démographique, pour étayer sa version
de l'histoire. Il n'est capable que de froncer les sourcils,
de menacer, jeter en prison et tuer, opprimer et supprimer. Mais
la vérité commence à voir le jour. Si vous
cherchez des souffrances spécifiques, pas besoin d'aller
plus loin que la Palestine.
Pendant plus d'un demi-siècle, Le Tyran a tiré
dans les têtes des bébés, a fusillé
de petits garçons qui jetaient des pierres, a tué
des femmes et des enfants, a abattu des hommes qui se rendaient
à leur travail, a fait sauter des maisons tandis que leurs
occupants dormaient, a creusé des tranchées autour
des villages pour les couper du reste du monde, a bombardé
des maisons, assassiné des activistes et a réduit
au silence toute éventuelle critique. Il est temps de
dénoncer les mensonges du Tyran de toutes nos forces,
tous ensemble. En tant qu'hommes, nous n'avons pas le droit de
rester inactifs devant une telle terreur et une telle injustice.
Armez-vous de la vérité. Le Tyran ne peut plus
nous faire taire plus longtemps. Il y a des millions de gens
qui connaissent le sale petit secret. Il nous revient, à
nous, de le révéler au grand jour, de percer la
panse du Tyran à l'aide de la Vérité. Le
15 mai est Jour d'Occupation israélienne. Diffusez la
vérité et nous libérerons les Palestiniens.
Ce n'est qu'alors que nous serons fidèles à la
maxime: Plus jamais ça!
14 mai 2001. Traduit de l'américain.
Ernst Zündel, le révisionniste
bien connu, a résumé quelques souvenirs sur ses
tentatives de se faire entendre au Proche Orient. Nous
avons ce texte en anglais.
COMMENT
ILS FONT
- Protestations contre
CNN
- Une manifestation de
protestation contre le parti-pris de la couverture de la guerre
palestino-israélienne par CNN a eu lieu à Jérusalem
aujourd'hui et une autre est prév ue à New York
demain. Des dizaines de personnes se sont rassemblées
devant les bureaux de CNN à Jérusalem et onr présenté
une "liste de doléances et de demandes" au chef
de l'agence de Jérusalem, qui a accepté de rencontrer
les représentants des manifestations dans un cadre plus
formel. Une manifestation aura lieu aussi cet après-midi
au siège de CNN à Atlanta. [...]
- Protests against
CNN
A protest demonstration against CNN's biased coverage of the
Israeli-Palestinian conflict was held in Jerusalem today, and
another one is scheduled for New York tomorrow. Several dozen
people gathered outside the Jerusalem studios of CNN this afternoon,
and presented a list of "grievances and demands" to
Jerusalem bureau chief Mike Hanna. Hanna agreed to meet with
the protestors' representatives in a more formal setting. A similar
protest will be held this afternoon in CNN's world headquarters
in Atlanta. Tomorrow, at W. 125th St. between 7th and 8th Avenues
in New York City at 9:30 A.M., yet another protest will be held
outside the annual CNN shareholders meeting. Organized by AFSI,
the protestors plan to ask, "How did the respected news
network become Arafat's propaganda tool?"
Le culot, le mensonge, l'organisation
et le fric qui reste caché. Voilà comment ils font
pour prendre le contôle des médias qui ne leur sont
pas favorables à 110%. Et si ça ne marche pas aujourd'hui,
ils recommenceront demain. La vérité, pour ces gens-là,
vaut moins qu'une crotte de chien.
On peut voir par exemple comment l'Arche, revue de la communauté,
essaie de faire du chantage à Témoignage chrétien
qui ne voit pas les Palestiniens comme les massacreurs sionistes.
Nous avons cet article, qui
pourrait figurer dans une anthologie de l'hypocrisie.
JOURS
ORDINAIRES EN PALESTINE OCCUPÉE
- Following yesterday's
murder of Idit Mizrachi, two similar attempts were made today
on the roads of Binyamin. A Talmon resident was shot upon as
he drove along the N'vei Tzuf-Ateret road; bullets hit his car,
but he was unhurt. Similarly, an army vehicle was fired at near
Bitouniya; soldiers returned fire.
A bomb exploded in Jerusalem this afternoon -- the second such
incident there in a week. Today's explosive, near Damascus Gate,
caused no injuries. Despite its location in an area frequented
almost exclusively by Arabs, police suspect that the device was
constructed by the same terrorist elements who built the bomb
that exploded on Friday near Jaffa Gate -- injuring two tourists
-- and that both were designed to harm Jews.
Three Palestinians were arrested today after they threw a grenade
at a building in Mishor Adumim, south of Jericho. Three policemen
were injured during the arrest; they found additional grenades
in the suspects' car. An explosive placed on the train tracks
between Haifa and Tel Aviv was detonated safely, but train service
there has been halted.
Jerusalem Magistrates Court Judge Noam Solberg was the target
of four rounds of gunfire last night as he traveled south of
the Tunnels Highway to his home in Gush Etzion. He was unhurt,
but reported to the local security officials that the bullets
missed his car by only "a few centimeters."
The town of Bat Hefer, just northwest of the PA city of Tul Karem
and east of Netanya, was again the target of shooting last night,
and no less than six houses were damaged. The residents ask that
the wall separating them from Tul Karem be lengthened, and some
have threatened to return fire towards the terrorists if the
army does not put a stop to the shooting. Bat Hefer's Mayor Nachum
Itzkovitch told Arutz-7 today that the firing went on last night
for over a half-hour: "It was much worse than previous attacks
that we have experienced. The IDF (l'armée) returned fire
only after a half-hour, which gives us a very uncomfortable feeling.
Their explanation was that they had forces in the field, whom
they had to ensure would not be caught in crossfire. I accept
this, but still I feel that the army should have responded at
once with strong retaliatory fire."
Itzkovitch said that his town of some 5,200 people is "a
fine place to live, but people are going through very hard times
with these attacks -- anxieties among the children, and the like..."
(Another resident was much more vehement on this point: "Our
children haven't slept for months!" he told Israel Radio.)
When asked what he would like the army to do, Itzkovitch said,
"We propose a plan, with no political implications, that
will separate us from a security standpoint from the Arab areas.
We suffer not only from these attacks, but also from Arabs sneaking
in and stealing. For instance, a few weeks ago some Palestinians
came in, stole a tractor from nearby Kibbutz Bachan, and beat
up some of our workers. There should be a permanent army force
between them and us. This won't solve everything, but it will
provide at least a partial solution..."
Toujours dans le même ordre d'idée, nous reproduisons
le premier bilan très provisoire, arrêté au
1er mai, de l'usage des gaz par l'armée israélienne
pour tenter de contrôler l'Intifada al Aqsa. Il serait temps
que tous ces beaux messieurs de la LICRA-MRAP et autres pantins
des droits de l'homme et de la chambre à gaze réunis
commencent à se bouger un peu la graisse et interviennent
pour dire NON AUX GAZ. Voir ce document.
BOBOS PAS BEAUX
- Le Monde, qui s'est doté d'un
"médiateur", finira-t-il par publier un jour
le droit de réponse que lui a adressé le 2 avril
Mark Weber, directeur de l'Institute for Historical Review (ihr.org)
que le "quotidien de référence" avait
qualifié d'"organisation néo-nazie" dans
un article du 16 mars 2001 sur l'appel de quatorze intellectuels
arabes contre la "conférence révisionniste"
qui devait avoir lieu à Beyrouth? Dans ce droit de réponse,
M. Weber rappelle que son institut, qui existe depuis plus de
vingt ans, "s'oppose à la discrimination, à
la censure et à la répression" et que le fisc
américain lui-même a dû reconnaître,
malgré les protestations des milieux sionistes, que "l'IHR
est un établissement à vocation éducative".
De plus, lors de la troisième conférence de l'institut,
en mai 2000, l'un des principaux orateurs était "John
Sack qui se trouve être juif". Ce journaliste a, du
reste, relaté ces trois journées dans un article
paru dans Esquire (février 2001), soulignant que
"l'IHR et les révisionnistes n'étaient nullement
animés par la 'haine' ou le 'racisme' mais étaient
des gens 'affables, intelligents, intellectuels dotés
d'un esprit ouvert'." Et que "beaucoup d'arguments
et de résultats établis par eux sont vrais".
Mais peut-être les "Bo-bos" lecteurs du Monde
ne sont-ils pas prêts de lire ce qui paraît tout
naturel aux "Bo-bos" new-yorkais abonnés à
Esquire. En matière de pluralisme au moins, nous
avons beaucoup à apprendre des Américains, même
si aux "States" aussi, l'espace de liberté tend
à se restreindre.
Rivarol, 18 mai 2001.
JOURS
ORDINAIRES DANS LE PARLEMENT DE LA "DÉMOCRATIE ISRAÉLIENNE"
Les députés juifs se déchaînent
contre les députés arabes au parlement israélien...
- State Attorney Edna
Arbel has asked for a recording of the harsh words by MK (membre
de la Knesseth) Ahmed Tibi (un député arabe) yesterday
against IDF (armée) Chief of Staff Lt.-Gen. Sha'ul Mofaz
(un juif persan). Tibi called him a "fascist, cold-blooded
child murderer." It appears, however, that his parliamentary
immunity will exempt him from standing trial for the crime of
incitement. Legislation submitted today by Likud MK Yisrael Katz
would disqualify from running for Knesset anyone who has expressed
solidarity with a terrorist movement in the previous five years.
The proposal passed its preliminary reading in the Knesset, and
will now be readied for its first reading. MK Katz, speaking
from the Knesset podium, had particularly harsh words for Tibi
and the other Arab MKs: "We have a political Tanzim in the
Knesset, and Tibi is its temporary commander... MK Tibi and his
friends are like leeches living off the veins of the Israeli
democracy, drawing strength from its blood, and we have to peel
them off."
President Moshe Katzav called on Tibi to apologize. "There
is a limit to the advantage that can be taken of democracy,"
he said. Tibi said he does not plan to apologize.
MK Yitzchak Gagula (du parti Shas) said that he would demand
that Arab MKs not be allowed to enter the Knesset building without
being bodily checked. "We have reached a point where the
Arab MKs are bringing the intifada into the Knesset," he
said yesterday. "They can't be allowed in without a body
check. During the debate yesterday, they almost jumped on me
for no reason... I am afraid of what will happen if we don't
do that." Tibi was supplied with two bodyguards yesterday
after he said he had received threats on his life.
The government also does not accept the construction freeze in
any event. Foreign Minister Shimon Peres said that he would attempt
to find a formula regarding the settlements that will be acceptable
to the Mitchell Committee. "The dictionary is full of words,"
he said.
IRAN
DE DEDANS
- "There are documents
showing close collaboration of the Zionists with the Nazi Germany,
and exaggerated numbers relating to the Jewish holocaust were
fabricated to solicit sympathy of the world public opinion, lay
the ground for the occupation of Palestine and to justify the
atrocities of the Zionists. There is even evidence on hand that
a large number of non-Jewish hooligans and thugs of Eastern Europe
were forced to migrate to Palestine as Jews. The purpose was
to install in the heart of the Islamic world an anti-Islamic
state under the guise of supporting the victims of racism and
to create a rift between the East and the West of the Islamic
world after 1400 years of unity between those two parts. In the
beginning the Moslems were caught by surprise, since they were
not aware of the depth of the scheme designed by the Zionists
and their Western supporters. The Ottoman Empire was defeated
and the Sykes-Picot Treaty [1916] was secretly concluded to divide
the Islamic territories among the victors of war. The League
of Nations placed Palestine under the trusteeship of the British.
It promised to support the Zionists and brought Jews to Palestine
at the expense of displacing and forcing out Moslems from their
motherland. In this long war, on one side of which are the West
and the Zionists, and on the other side, the newly established
Arab states, the enemies of Islam have made use of complicated
instruments, including the power of international media and forums.
On one hand they invited Moslems to show patience, tolerance
and engage in peace talks, and on the other hand continued to
arm Israel. Their strategic goal in these unequal and discriminatory
interactions between Moslem countries and Israel has been to
preserve the military superiority of Israel over Islamic countries.
Text of Speech of the Eminent Leader of Islamic Republic of
Iran, Ayatollah Seyyed Ali Khamenei at the Opening Ceremony of
the International Conference on the Support of Palestinian Intifada,
Tehran April 24, 2001 --extract).
FASCISME
ET GRAND CAPITAL (en hommage à Daniel Guérin)
- Pendant le massacre,
le commerce continue...
Le Jerusalem Post rapporte qu'un contrat d'armement d'une
valeur de 50 millions de $ aurait été signé
par le gouvernement français et Israël; ce contrat
porterait notamment sur la production conjointe par le consortium
EADS et Israel Aircraft Industry (IAI) de l'"Eagle 1",
un drone (petit avion de reconnaissance, sans pilote, télécommandé)
d'un rayon d'action de 1.000 kilomètres, et d'une autonomie
de 30 heures. C'est pour préparer les bombardements...
Extraits des propos tenus le lundi 14 mai 2001 par l'Ambassadeur
de France en Israël, M. Jacques Huntzinger, copain des socialistes,
au cours d'un déjeuner organisé à Tel-Aviv
par la Chambre de Commerce Israël/France.
Le texte complet peut être consulté sur le site
de l'ambassade:
http://www.ambafrance-il.org/accueil/article.php?id=26.
"La France, comme vous le savez, est au 7e rang des fournisseurs
d'Israël. Bien sûr, nous pouvons nous réjouir
de l'accroissement sensible du niveau des échanges entre
la France et Israël. On sait qu'ils ont doublé en
l'espace de 10 ans. Mais cette statistique n'est pas complètement
satisfaisante. (...) Bien des secteurs demeurent où notre
présence devrait être plus grande, voire incontournable:
l'agro-alimentaire par exemple, le secteur des biens d'équipement,
et de façon plus large, celui des échanges entre
petites et moyennes entreprises. (...)
Dans d'autres secteurs, la France a fait des efforts qu'il faut
signaler. C'est celui de l'investissement français, de
l'investissement direct en Israël. Dans le secteur bancaire,
je rappellerai la place acquise par BNP-Paribas, le CIC, la compagnie
Edmond de Rotschild, Crédit Agricole-Indosuez, et récemment,
la banque franco-belge DEXIA qui est venue acquérir la
majorité de la banque israélienne Otsar Hashilton
Hamekomi, pour venir s'installer, pour la première fois,
sur le marché du financement des collectivités
locales en Israël. Dans le secteur du tourisme, le Club
Méditerranée est présent au travers de ses
villages. Air France assure des liaisons aériennes avec
Israël depuis 1947. Le groupe Accor, qui augmente encore
sa présence malgré la crise avec l'ouverture d'un
hôtel 5 étoiles sur la Mer morte. Dans le secteur
industriel, pour ne citer que ces compagnies, Vivendi a acquis
dans la gestion des déchets; Alcatel, qui a racheté
la société israélienne Tadiran; Schneider,
qui a repris plusieurs sociétés d'électricité
israéliennes; et France Télécom qui est
aujourd'hui actionnaire de la compagnie de télécommunication
Barak. Là c'est un secteur qui avance, qui marche.
De nouvelles opportunités de coopération bilatérale
vont s'ouvrir dans le domaine des grands projets d'infrastructures
où, traditionnellement, la France est très compétitive
(Alsthom, Gaz de France, Vivendi, RATP, Suez...). Signalons le
projet de tramway de Jérusalem, dans lequel un conglomérat
français fait partie des préqualifiés; le
futur projet de tramway/métro à Tel-Aviv, le développement
de nouvelles lignes ferroviaires dans le réseau de chemin
de fer israélien, les projets de dessalement de l'eau
de mer, avec les projets d'Ashkelon, d'Ashdod et de Hadera, de
même que les projets de centrales électriques et
de réseaux gaziers. (...)
Des investissements se profilent dans le domaine de la haute
technologie, au travers de nouveaux incubateurs et d'expertises
techniques. De nombreux accords de partenariat devraient émerger,
dans les prochains mois, suite à l'accord intervenu récemment,
à l'initiative de cette ambassade entre l'Anvar (l'Agence
nationale pour la Valorisation de la Recherche) et l'Office of
the Chief Scientist israélien. Je concluerais en indiquant
qu'en dépit d'une relative frilosité des petites
et moyennes entreprises françaises, de nombreux secteurs
ont été marqués ces dernières années
par un nouveau dynamisme franco-israélien. Cette tendance
va se poursuivre et s'amplifier, j'en suis personnellement convaincu.
J'entends, en toute hypothèse, en tant qu'Ambassadeur
de France, tout faire à cette fin."
Ambassade de France en Israël, 112, Promenade Herbert Samuel,
BP 3480, 63572 TEL-AVIV -- E-mail: <[email protected]>
Site internet :<http://www.ambafrance-il.org/>
Infos tirée de solidarité-palestine
<http://www.solidarite-palestine.org/>
4
PARUTIONS
§==Nonsense
On ne visite pas assez le site personnel
de Greg Raven, qui est, par ailleurs, comme on sait, un des piliers
de l'Institute of Historical Review. Il a mis en place le site
web de l'Institut mais il a aussi monté un site personnel
où il a rassemblé des documents intéressants,
<http://www.corax.org/revisionism/index.html>
Il faut en particulier inviter nos lecteurs à consulter
une petite archive des absurdités (nonsense)
qui ont eu cours dans les années d'après-guerre
et dont un certain nombre ont disparu depuis (mais pas toutes...).
Toutes les citations, elles , sont authentiques. Un vrai délire!
Killed with sand at Belzec
Electrocutions at Belzec
An early claim about making soap
The Case of the Obvious Autopsies
Pedal-Actuated Brain-Bashing Machine at Sachsenhausen
Portable Bone-Grinding Machines
Shooting Orchestra Members
More Bone Grinders
Magically Efficient Crematorymobiles
Mass Electrocutions
Extermination by Pruning
The killing of Jews using atomic devices
Geysers of blood at Babi Yar
Bears and eagles guilty of genocide, too
"Instantaneous" gassings that could take up to two days
More details about making soap from humans
The river that runs red with the ashes of Jews
A Jew who survived six gassings
"Academic misconduct" from the director of the US Holocaust
Memorial Museum
A bar of human soap for sale
Fall-out from the sale of the bar of human soap
An exhibit for those who can't afford (or make) their own human
soap
Who is a "Holocaust survivor"?
A man who personally saw millions gassed
Ron Rosenbaum imagines he is personally related to all Jewish
Holocaust victims
Holocaust revisionists have tremendous sums of money
Millions of Auschwitz victims could have been avoided by putting
Nazi names on a list
The importance of excepting Holocaust revisionism from freedom
of speech
Jewish kids burned alive at Auschwitz
"Ashes from Auschwitz" wandering around Germany
Another example of fictional "survivor testimony"
The growing Revisionist International
Superman didn't help the Jews
Tearing babies in half (and more)
Award-winning Jewish memories (from a non-Jew, who wasn't even
there)
Living on worms and grass for three years; more from Leon Bass
The world's worst forger plays cello for Dr. Mengele
Miraculous missing ashes turn up in Israel
A Jewish mass murderer becomes a successful artist, selling images
of his victims
Buchenwald was used for mass executions
'You could smell the bodies burning ...'
Running out of poison gas at the Nazi gas chambers!
Too old to be gassed
§==Whose flat
earth?
Don
Guttenplan in New York City
by Jim Russell
D. D. Guttenplan, the diminutive, bespectacled and bow-tied author
of The Holocaust on Trial conceded Thursday [May 17, 2001]
in New York City that he was a bit apprehensive at his first
book-signing / discussion event. Despite being on friendly turf,
his apprehension became warranted when J&E participants [a
pro-Kevin MacDonald grouping] challenged his remarks at the Lincoln
Center Barnes & Noble Bookstore.
Guttenplan shocked many in the audience with his concessions
that no Jews were gassed at Dachau, that the soap and lamp-shade
sagas were false, that the tale of the King of Denmark wearing
a Star of David originated in the fertile imagination of Leon
Uris, and that all of the internment facilities where lethal
gassing supposedly occurred were coincidentally located in territories
occupied by the Soviet Union at the conclusion of the war.
Speculating on why there had been so little prior coverage of
David Irving's suit which had been filed in 1996, Guttenplan
suggested that some journalists were "afraid that Irving
was right" and didn't want to be the ones to break such
ominous news. Guttenplan admits that he himself wondered for
a while "if this is a hoax."
Guttenplan related that he became convinced of the authenticity
of the extermination allegation by an emotional response to Irving's
alleged implication that after the war, "capitalist Jews
fled to the US, while Communist Jews fled to the USSR."
This view, [wrongly] attributed by Guttenplan to Irving, convinced
Guttenplan that Irving felt that "Jews are not human beings."
However, Guttenplan was quick to affirm that he did not rely
merely upon emotional intuition to arrive at his conclusion.
There was "abundant evidence" to prove the extermination
allegation. "Survivor" testimony was not included in
the trial, apparently due to Irving's objections to its reliability
and the defense's noble assertion that the survivors had
"suffered enough." Guttenplan bases his belief on some
documents "discovered" by Soviet troops in an Auschwitz
construction office for evidence and concedes that those who
don't trust the Soviets may not accept the authenticity of these
documents.
Guttenplan, as did defendant Deborah Lipstadt, alleged that Irving
had willfully distorted documents. A J&E participant reminded
Guttenplan that Irving was renowned for his careful analysis
of primary documents that had been overlooked by other historians.
Guttenplan backtracked and acknowledged Irving's recognition
by scholars such as Sir John Keegan.
A member of the audience asked Guttenplan precisely what information
Irving had been found to have distorted. At first Guttenplan
replied that it would take too long to answer this question and
that he would talk to the person after the discussion. Then Guttenplan
said that Irving had added an additional "0" to a report
of 20,000 deaths in the bombing of Dresden, bringing the total
to 200,000. (How many extra "0's" are there in the
6,000,000 figure?)
Another member of the audience wanted to know whether Guttenplan
considered Irving to be an "anti-Semite." After some
hesitation, Guttenplan replied, "Yes, yes, of course."
He qualified this judgment by noting that having lived in Tennessee
and having known white racists who would cringe at the thought
of contact with a Black, Irving was quite cordial toward Guttenplan
and even allowed his young daughter to sit on Guttenplan's lap
without objection.
I thought that Guttenplan would not solicit my question, but
after the Barnes & Noble hostess announced there could
be just one more question, he pointed in my direction. Since
the bookstore is a huge four-story structure, I stated: "This
is a very large bookstore. There must be over 50,000 volumes
for sale and over a hundred volumes on the so-called "Holocaust"
in the section behind us. Yet I challenge you to find even one
original work that is critical of the extermination allegation.
Unless one visits Internet sites such as ihr.org, one cannot
find this information.
Throughout Europe and even in Canada people are jailed for daring
to question the so-called "Holocaust." At this point
Guttenplan asked me if I had a question. I answered "Yes,"
and proceeded, "In such a climate of suppression coordinated
by international Jewish organizations, how can any objective
historical research be accomplished?"
Guttenplan said that he was opposed to laws which provide criminal
penalties for challenging the "Holocaust" but "understood"
why countries with "special histories" like France
and Germany might wish to maintain such laws. As for the
suppression of revisionist literature, Guttenplan briefly responded
that "If you go to the physics section of the library you
will not find books which assert that the earth is flat."
I responded that his analogy was inappropriate, but Guttenplan
ended the discussion at this point. I would have reminded him
of his own documented doubt about the extermination allegation,
which would seem to place its discussion in a far more legitimate
context than the assertion of a flat earth. It is actually the
antiquated exterminationist position that is more akin to the
notion of a flat earth.
Site Irving <http://www.fpp.co.uk>
21 mai 2001.
On a plusieurs comptes rendus parallèles
des bouquins de Evans et Guttenplan sur le
procès Irving. Par exemple celui de Geoffrey Wheatcroft
paru dans le New York Times Book Review du 13 mai 2001.
Nous aurions pu donner le très intéressant compte
rendu de Christopher Hitchens dans le Los Angeles Times du
20 mai et nous le ferons si on nous le demande. Nous avons sélectionné celui qui est
paru dans le magazine en ligne Salon.
<http://www.salon.com/books/feature/2001/05/23/irving/index.html>
§==cinéma
I've only just joined this list
so it's a bit late mentioning this, but the novembre "Cahiers
du Cinema" was a special issue on Le Siècle du Cinema,
with a section related to the holocaust on film - "Premières
images des camps." An essay "Quel cinéma après
Auschwitz?" traces how the images of the camps began to emerge
in the newsreels in France, discusses the overwhelming focus on
the 'heroic archetype of the deported resistant' and the absence
of any mention of the Jews (a rather uncomfortable subject considering
the extent of French collaboration in the Final Solution). There
is also a re-print of Jacques Rivette's "De l'abjection"
(a 1961 review of Gillo Pontecorvo's film "Kapo")and
there is a long interview with Alain Resnais, the director of
"Nuit et Brouillard". by the way I was glad some people
did mention maybe they do not at least one of them doesn't show
up in the English subtitles. I saw several months ago a version
of the Red Army's Auschwitz liberation film with German narration,
and was interested to note that it mentions over and over again
that the people are from all the countries of Europe, emphasizing
the universality of it, introduces intellectual and political
prisoners from various places...but somehow it forgets to mention
that the great majority of people sent to this camp were Jews.
From: Cheri Pugh <[email protected]>
§==There is
an excellent analysis of "How Far Will Sharon Go?" in the current New York Review of Books
(dated May 17, 2001) by Avishai Margalit, professor of philosophy
at the Hebrew University, which is totally unlike American analyses
of the situation in that: a) it minces no words about Israeli
collective punishment against Palestinians; and, b) it doesn't
attempt to dress up the situation with any fancy language about
Israeli security, an appalling habit of intellectuals who feel
the need to talk as if they are generals in order to take themselves
seriously. My only criticism of Margalit is that he doesn't come
straight out and call for the end of military occupation and for
an Israeli acknowledgement of injustices done against the Palestinian
people. That's what intellectuals are supposed to do, rather than
go on about politics from the point of view of politicians. Be
that as it may, what is very important about Margalit's writing
here is that it demystifies Israel's aura which has been slowly
built up and carefully structured over the years so as to eliminate
Palestinians from the picture altogether.
(Extract -- Edward Said, in Al Ahram weekly, 532,
3-9 may)
Nous
avons l'article de Margalit
§== la télé.
Regardez bien comment on FABRIQUE du mythe, sous vos yeux:
- TV film details Nazis' calculations as they planned
the 'Final Solution'
- By Tom Tugend
Los Angeles, May 10 (JTA) - Fifteen high officials of
the Nazi regime gathered on Jan. 20, 1942, at a formerly Jewish-owned
villa on the outskirts of Berlin for a meeting that lasted --
including three breaks for refreshments -- less than two hours.
At the conclusion of the meeting in Wannsee, the SS and civilian officials had laid out the blueprint
for the "Final Solution." A "dramatic reconstruction"
of the fateful Wannsee conference by HBO Films will air Saturday,
May 19 at 9 p.m.
The meeting was chaired and dominated by Reinhard Heydrich (portrayed by Kenneth Branagh),
known as "The Hangman" throughout occupied Europe and
second only to Himmler in the SS hierarchy, and was coordinated
by his deputy, Adolf Eichmann (Stanley Tucci).
Eichmann prepared 30 top-secret and heavily edited copies of
the meeting's minutes, or protocols, of which only one survived
the war.
The minutes form the basis of "Conspiracy" -- and,
like most such documents, make for dry reading. More than half
the participants were lawyers, among them top bureaucrats of
the Foreign and Justice ministries, and the Nazi penchant for
euphemisms further obscured the real purpose of the meeting.
For instance, the words "extermination" or "killing"
are never mentioned, with "evacuation" serving as a
stand-in.
Scriptwriter Loring Mandel and director Frank Pierson thus had
their work cut out in recreating the characters and infusing
life into the discussion, without straying too far
from historical accuracy.
Even more difficult is the task of creating a sense of tension
or conflict in what was essentially an assembly of yes men. Branagh
plays Heydrich, who even by Nazi standards was a singularly cold-blooded
killer, with proper authority and a certain sardonic wit.
We know more about Eichmann than any of the other participants,
and Tucci accurately catches the nervous officiousness of the
middle-level bureaucrat, a role Eichmann perfected at his 1961
trial in Jerusalem.
The most complex character in the film is Dr. Friedrich Wilhelm
Kritzinger, state secretary of the Reich chancellery (well acted
by David Threlfall), who seemed to be the sole participant to
have a sense of the enormity of the mass murder being
contemplated. But even he caves in when Heydrich exerts some
judicious pressure.
Two scenes, when the film hews closest to the original minutes,
puzzles the mind, even after all we have learned in the past
60 years.
One is the obsessive preoccupation of the Nazi leaders in defining
the exact percentage of Jewish blood in one-half, one-quarter
and one-eighth Jews, which in turn determined their order in
the extermination timetable.
The second is that even after German armies were stalled before
Moscow and after America had entered the war, Hitler's minions
were sure that they would dominate all of Europe.
The Wannsee Conference laid out precisely how many Jews
would have to be "evacuated" to make Europe Judenrein.
The number came to 11 million, and included not just the Nazi-occupied
countries and their allies, but the Jews of Great Britain and
those of neutral Ireland, Portugal, Sweden and Switzerland.
Not even the 200 Jews of Albania were overlooked.
("Conspiracy'' will be repeated on May 22, 27 and 31 and
June 4, 9 and 13.
Check local stations for times.)
Jewish Telegraphic Agency
<http://www.jta.org/story.asp?story=7620>
Ce n'est ni le premier ni le dernier
"Wannsee" qu'on nous sert. Le pire de tous est la fabrication
qui figure à la fin du parcours dans le musée Wiesenthal
de l'Intolérance à Los Angeles. Il suffit pourtant
d'avoir des yeux et dans la boîte cranienne une chose blanche
et molle qui s'appelle cervelle,
pour lire les minutes et comprendre
de quoi il s'agit.
§==voix
arabes. Voyez ce que nous amis ont à dire sur FREE
ARAB VOICE
The Free Arab Voice is an alternative newsletter that comes out
only in cyberspace.
For other FAV issues, please visit:
http://www.fav.net/favPrevIssues.htm
Sign a real right of return petition at:
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Check out a special slide show on Palestine at:
http://www.fav.net/RememberPalestine.htm
Read the In Response to Defeatist Thought
series at:
http://www.fav.net/InResponseToDefeatistThought0.htm
To read on Arab contributions to civilization,
click on:
http://www.fav.net/arabCivilMain.htm
For Palestinian Poems in English, go to:
http://www.fav.net/rhythmsOfTheStorm.htm
§==outil de la sagesse. Index
(partiel) en pdf des oeuvres de René Guénon (quand
même 103 pages). Un vrai travail de soufi
<http://cage.rug.ac.be/~dc/IT/index_rg.pdf>
§==camp de concentration. Le
Monde fait une page, le 9 mai 2001, sur un camp de concentration
oublié, un charmant endroit perdu dans la Camargue, où
l'Etat français a construit des maisonnettes, sans eau
et sans électricité, entourées de barbelés
et de miradors, avec des hommes armés, pour "héberger
300 personnes", entre 1942 et 1944, et en fait en entasser
700, tous Tsiganes, gens du voyage, râflés à
droite et à gauche, sans rime ni raison, juste pour se
faire bien voir des Occupants. Ils ont littéralement crevé
d'abord de faim, ensuite de froid et de maladies. C'est le camp
de Saliers. Une chose absolument ignoble. Une ignominie française.
Il n'est sur aucune carte. Un type a entrepris de rassembler documents
et souvenirs, de gens qui n'agitent pas leur mémoire comme
des kleenex sur les quais de gare, dans un livre, Un camp pour
les bohémiens, de Mathieu Pernot, Actes Sud, 128 p.
et dans une exposition, aux archives de Marseille, 64 B rue Saint
Sébastien, 13e, jusqu'au 13 juillet. Ce Pernot a fait exactement
ce qu'il faut faire: balayer devant sa porte.
§==Recettes
de cuisine. Shaping Losses: Cultural
Memory and the Holocaust, ed. Julia Epstein and Lori Lefkowitz
(Univ. of Illinois Press, 2001).
§==Chomsky,
le permanent de la révolution.
Cela arrive deux ou trois fois par an: un nouveau livre de Noam
Chomsky, qui pourfend, avec mille bonnes raisons, les méfaits
de l'impérialisme américains et de ses séides.
Donc une préface par un godillot quelconque, de l'une des
deux cents vingt huit tendances trotskystes ou pseudo-gauchardes.
Cette fois-ci c'est un certain Jean Bricmont qui s'y colle, prof
à Lovanium. Le Diplo du mois d'avril passe un abrégé
de la préface; elle est recopiée sur dix autres
semblables. Ça commence comme ça: "Le New
York Times, qui n'aime guère Noam Chomsky (c'est réciproque), admet
néanmoins qu'il compte au nombre des plus grands intellectuels
vivants. En dehors des départements de linguistique, et
des colonnes du Monde diplomatique, il reste néanmoins
ignoré en France.
Quand son nom est évoqué, c'est trop souvent pour
y associer ceux de Robert Faurisson ou de Pol Pot.
Chomsky serait l'archétype de l'intellectuel passant son
temps à minimiser ou à nier divers génocides
dont l'évocation risquerait de servir l'impérialisme
occidental. Il n'a d'ailleurs trouvé qu'un éditeur
marginal, Spartacus, pour publier en 1984 ses Réponses
inédites à mes détracteurs parisiens, compilation de lettres et d'un entretien, non publiés
ou de façon tronquée et adressés à
des journaux comme Le Monde, Le Matin de Paris, Les Nouvelles
littéraires, pour répondre, entre autres, à
des attaques de Jacques Attali et de Bernard-Henri Lévy.
D'où l'importance de la publication récente de certains
de ses textes."
Nous avons tout ce dossier, beaucoup plus complet, évidemment
dans notre page Chomsky.
En tout cas, on voit les actions de Chomsky reprendre de la cote;
il reparaît chez de petits éditeurs, malgré
les effrayants reproches de collusion avec nous dont ces besogneux
préfaciers tentent de l'exonérer en le passant à
la dégauchisseuse. Voici les dernières parutions:
De la guerre comme politique étrangère des Etats-Unis,
préface du sieur Bricmont, Agone, Marseille, 2001; Les
Dessous de la politique de l'Oncle Sam, Ecosociété-EPO-Le
Temps des cerises, Montréal-Bruxelles-Paris, 1996; Responsabilité
des intellectuels, Agone, Marseille, 1998; Le Nouvel Humanisme
militaire, Page Deux, Lausanne, 2000; La Conférence
d'Albuquerque, Allia, Paris, 2001.
§==Le
pithécanthrope et la caméra. Le filmeur du Gévaudan,
qui touche pourtant une petite retraite de France-Dimanche,
où il a longtemps fait semblant de travailler, continue
à faire fructifier son petit capital filmique constitué
par les chutes de Shoah. Il faut bien dire que plus on vieillit,
plus les petites femmes coûtent cher. On comprend donc la
nécessité de cette petite industrie du recyclage
des déchets.
- "Sobibor"
de Claude Lanzmann ou la geste héroïque d'un camp
d'extermination
Cannes, 13 mai (AFP) - A 16 heures, le 14 octobre 1943, un groupe
de juifs du camp d'extermination de Sobibor, en Pologne, se soulevait
et éliminait les officiers allemands parce qu'ils préféraient
"mourir comme des hommes, plutôt que comme des moutons".
La geste héroïque de ces hommes, la seule révolte
réussie dans un camp d'extermination nazi, relatée
par Claude Lanzmann seize ans après Shoah, était
présentée en séance spéciale dimanche
au festival de Cannes.
Le réalisateur signe là "un film de courage
et d'espoir", qui a le caractère haletant d'un thriller
à suspense, par le biais du témoignage unique de
Yehuda Lerner, recueilli en 1979 à Jérusalem pendant
le tournage de "Shoah". C'est l'histoire exemplaire
d'un David contre Goliath, "l'histoire d'un homme d'une
très grande humanité, d'un non violent qui tue,"
dit Claude Lanzmann dans une interview à l'AFP.
"Cette révolte méritait un traitement en soi.
Mais la condition était de revenir sur place. J'ai suivi
les traces de ce héros trompe-la-mort extraordinaire,
de Biélorussie jusqu'à Sobibor". Avec le sourire,
un léger tic au coin de la bouche, Yehuda, qui a une vague
ressemblance avec Richard Bohringer, raconte l'aventure extraordinaire
de l'adolescent qu'il était alors, tandis que défilent
les champs et les forêts de bouleaux de Biélorussie.
"Plutôt être pendu que mourir de faim",
dit-il en précisant qu'il s'est évadé de
sept ou huit camps et qu'il a toujours eu "une chance incroyable.
Je crois que c'était ma bonne étoile". A Minsk,
ceux qui n'étaient pas en état de travailler allaient
tout droit à la mort. Pourtant, atteint du typhus, Yehuda
est envoyé dans le camp voisin où sont prisonniers
des soldats juifs de l'Armée Rouge. Lorsqu'ils sont transférés
vers Sobibor, un employé à la gare de Chelm, en
Pologne, leur dit "enfuyez-vous car on va vous brûler".
"On aurait pu s'évader mais personne ne l'a cru",
dit Yehuda. "Et quand on a compris que personne ne sortait
vivant d'ici, il était trop tard".
Sa chance a été de se trouver avec des soldats
de l'Armée Rouge, qui avaient le sens de l'organisation
et de la discipline. Un officier juif soviétique Alexander
Petcherski a mis au point le plan exécuté en moins
de six semaines.
Yehuda raconte comment ils se sont procurés pour l'atelier
de menuiserie des haches qu'ils ont aiguisées comme des
rasoirs. Comment il a attendu dans l'atelier de confection l'officier
allemand qui devait venir à 16H00 pile essayer une pelisse.
"Ca a duré un millième de seconde. Je lui
ai coupé le crâne en deux (...) J'étais un
gosse mais je considérais comme un honneur de tuer un
Allemand. Avant, je n'aurais pas tué une mouche"...
La révolte de Sobibor a mis fin au camp où 250.000
juifs ont péri. Gare délabrée, herbes folles
sur les voies, dans ce paysage qui n'a pas beaucoup changé,
Claude Lanzmann a filmé des oies comme celles que les
nazis faisaient courir pour couvrir les hurlements des juifs.
A la fin de "Sobibor" défile la liste de tous
les convois arrivés là de 1942 à 1943, des
colonnes de chiffres avec l'origine, Hollande, France, Russie,
que lit le réalisateur.
Pour Claude Lanzmann, qui vient pour la première fois
à Cannes avec un film, c'est "un vrai film de cinéma".
Il récuse la notion de documentaire. "Shoah ne l'est
pas, ni celui-là". D'ailleurs, il sortira en salles
à la rentrée et Yehuda Lerner, absent de Cannes,
viendra alors à Paris.
Yahoo, dimanche 13 mai 2001, 15h23
Même façon de se vautrer,
dans L'Huma, le journal qui va bientôt enfin disparaître.
Sobibor,
14 octobre 1942,
16 heures, film français de Claude Lanzmann, 1
h 35
Hors compétition
C'est en somme comme un chapitre rapporté de Shoah que
Claude Lanzmann livre aujourd'hui avec Sobibor, 14 octobre
1943, 16 heures. Il s'agit du témoignage du déporté
juif Yehuda Lerner, recueilli en 1979, et qui n'avait pu prendre
place dans le corpus colossal de cette oeuvre capitale pour la
compréhension de notre temps. La voix de Lanzmann souligne
d'emblée la portée du récit de Lerner, alors
un tout jeune homme solide, épris de liberté, qui
tente de s'évader à huit reprises, échappe
à la mort par miracle (il reconnaît avoir bénéficié
d'une bonne étoile) et qui, pour finir, prend part à
une rébellion de détenus du camp de Sobibor, en
Biélorussie, au cours de laquelle seize nazis furent exécutés,
de mains d'hommes qu'ils considéraient comme des sous-hommes
inexorablement promis à la mort. Lanzmann évoque
justement l'" apprentissage salutaire de la lutte armée,
par des hommes qu'une tradition millénaire d'exil et de
persécution n'avait pas préparés, dans leur
grande masse, à l'exercice effectif de la violence ".
Lerner livre le récit de ses actes héroïques
avec le calme de celui qui a accompli son devoir. Saisi tantôt
en gros plan, tantôt en plan américain, il rassemble
ses souvenirs que Lanzmann s'efforce de lui faire au mieux
préciser. C'est ainsi que l'on apprend qu'encadrés
par des prisonniers juifs issus de l'Armée rouge, les
conjurés de Sobibor avaient mis au point un plan parfaitement
exécuté, dont la réussite tint à
la ponctualité légendaire des Allemands. Rendez-vous
avait en effet été donné aux bourreaux,
dans différents baraquements de tailleurs, sous le prétexte
d'essayage de vêtements à eux commandés.
l'heure dite, c'est à coup de " haches affûtées
comme des lames de rasoir " que les geôliers furent
expédiés. Il faut voir Lerner, moderne David, suggérer,
par gestes, la taille gigantesque de celui dont il fendit le
crâne en un éclair. Il faut l'entendre confirmer
ce que Lanzmann avait déjà appris par ailleurs
; les nazis pratiquaient l'élevage intensif des oies,
à seule fin que leurs cris couvrent ceux des hommes qu'ils
envoyaient au supplice. (Belle trouvaille, du Capitole au
Kapital...)
Tuer fut donc, pour Lerner et ses camarades en instance de partir
en fumée, la condition indispensable de l'humanité
recouvrée. Terrible leçon ici infligée par
l'Histoire, à mesurer de surcroît à l'aune
de l'effarante comptabilité des convois, venus de toute
l'Europe, qui alimentèrent la machine de mort de Sobibor.
Les villes de Pologne et de Russie d'aujourd'hui, les voies ferrées
d'hier qui servent encore ainsi que la vaste forêt qui
entoure Sobibor sont citées par l'image à comparaître
dans ce procès de la mémoire dont Lanzmann s'est
fait une règle d'or. Après avoir déserté
le camp sous le tir nourri des Ukrainiens à la solde des
nazis, Lerner, qui jusque-là, dans le feu de l'action,
avait gardé son sang-froid, avoue être tombé
de sommeil sous le couvert des arbres. Plus tard, il rejoindra
les partisans. Claude Lanzmann nous exhorte à écouter
"la parole vive de Yehuda Lerner". Comme il a raison,
surtout qu'il précise que " musées et commémorations
instituent l'oubli autant que la mémoire ".
De l'un de nos envoyés spéciaux J.-P. L.
L'Humanité 14 Mai 2001. Page réalisée
par Intern@tif - Lundi 14 Mai 2001
Mais, si on
lui pose les bonnes questions, l'Abominable Homme du Massif Central
peut en dire plus, par exemple sur l'armée israélienne:
- "Ich
will den Heroismus zeigen"
die tageszeitung: Claude Lanzmann, Ihr neuer Film besteht
zum Großteil aus einem bereits 1979 gefilmten Gespräch,
in dem der aus Polen stammende Yoshua Lerner erzählt, wie
er im Konzentrationslager Sobibór einen deutschen Offizier
erschlagen hat. Eigentlich sollte das Material in Ihren Dokumentarfilm
"Shoah" eingehen. Warum haben Sie es damals nicht verwendet?
Claude Lanzmann: Weil die Aufstände nicht das zentrale
Thema von "Shoah" sind. Es geht um die Radikalität
des Todes, die Radikalität der Auslöschung, die Unentrinnbarkeit
von alledem. Zwar kommen in "Shoah" auch Aufstände
vor, selbst der Aufstand von Sobibór, aber in reduzierter
Form. "Shoah" endet mit der Erhebung im Warschauer
Ghetto, die fehlschlug. [...]
Sie selbst haben Sobibór als "Wiederinbesitznahme
der Gewalt durch die Juden" bezeichnet. In welchem Zusammenhang
steht dieser Film mit "Tsahal", Ihrem Dokumentarfilm,
den Sie 1994 über die israelische Armee gedreht haben?
"Tsahal" hat sehr viel damit zu tun. Die jüdische
Armee ist ja nicht einfach so von selbst entstanden. Für
Menschen, die mit Waffen nicht vertraut waren und keinerlei militärische
Tradition hatten, musste das alles aus kleinen Teilen zusammengesetzt
und sozusagen neu erfunden werden. Insofern gibt es eine wirkliche
Verbindung zwischen der Gewalt, die "Sobibór"
schildert, und der Armee, die in "Tsahal" beschrieben
wird.
Nehmen wir einmal an, Sie würden "Tsahal",
der ja sehr umstritten ist, heute noch einmal drehen. Würden
Sie die israelische Armee vor dem Hintergrund der aktuellen Gewaltexzesse
etwas kritischer untersuchen?
Nein, ich würde den Film genauso drehen. Trotz allem, was
man erzählt, und trotz der Propaganda, die heute verbreitet
wird und in der man die Israelis als Schlächter und Mörder
darstellt. In "Tsahal" ging es mir darum, zu zeigen,
dass diese Armee einen nicht gewalttätigen Ursprung hat.
Natürlich gibt es auch in der israelischen Armee Sadisten
und Typen, die gerne töten, aber ich bin davon überzeugt,
dass es weniger sind als anderswo - und ich kenne diese Armee
sehr gut. Was heute in Israel passiert, hat weniger mit dieser
Armee als mit den Politikern zu tun. [...]
taz Nr. 6448 vom 17.5.2001, Seite 4, 204 Interview, Katja
Nicodemus
Toujours la même antienne: l'armée israélienne
n'est pas comme les autres, d'ailleurs l'affaire de Sobibor est
comme une sorte d'origine... des gens sans armes... on "représente"
les soldats israéliens comme des massacreurss et des meurtriers
(ce qui veut bien dire qu'ils ne le seraient pas...). Bref, l'idole
des sartreux et des zolomaniaques continue à se prosterner
aux pieds des massacreurs. Et c'est ce genre de type, tueur par
procuration, qu'en envoie parler aux jeunes... Shoah va
sortir en DVD et sera envoyé gratos dans les écoles.
Ceux qui se paient Tsahal peuvent bien se payer Lanzmann. Comme
type, il vaut pas cher.
§==pédophilie. On exploitait autrefois les momies pour en tirer
des médications miraculeuses. On les passait dans un moulin
pour en exprimer toutes les bonnes huiles que les antiques embaumeurs
y avaient mises. Et maintenant voyez les résultats qu'on
obtient en pressurant une seule fillette:
* A four-hour miniseries, following Anne's life from her happy
school days through her two years in hiding in Amsterdam and to
her final days in the concentration camp, airs nationally over
ABC-TV on May 20 and 21.
* The 20th Century Fox studio is developing a feature movie based
on "The Diary of Anne Frank."
* A new edition of the diary, including five previously
unpublished pages describing her parents' difficult marriage,
was released in March. (Ça peut durer longtemps...)
* The Helios Dance Theater premiered "About Anne: A Diary
in Dance" in Los Angeles last month.
* An interactive CD-ROM titled "Anne Frank House: A House
with a Story" was released earlier this year, offering a
virtual tour of the building and the "secret annex"
where the Frank family hid.
* In Boise, Idaho, ground has been broken on a $1.6 million Anne
Frank Human Rights Memorial and Park.
Et le Journal, qui tourne à 25 millions d'exemplaires
en 55 langues.... Shoah Business. Le nombre de gens qui se remplissent
les fouilles, les momies, Robinson, toutes ces Madame Henrouille...
+++++++++++++
Informations extraites du site AAARGH, maintenant présent
en quatre points du Web:
<http://aaargh-international.org>
<http://aaargh.vho.org/>
<http://www.abbc.com/aaargh/index.html>
<http://www.reviso.org>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
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nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
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Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19
<Tout individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considération de
frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.
ARTICLE 11-1: Toute personne a
droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et
sans considération de frontières.
(Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne.
2000/C 364/01. Nice, 7 décembre 2000)