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Conseils de révision


Actualités de juin 2001

| Les suites de Beyrouth |

LES JACQUES USÉS DE J'ACCUSE
Libération du 10 mai annonce la création d'une nouvelle organisation vouée à la lutte anti-machin-truc-chouette, avec, dans sa raison sociale, une petite nouveauté hyper-moderne: ces jacques vont "lutter contre le négationnisme sur Internet". Nous vla bien! Le président de cette superbe chose, qui a choisi le nom très original de "J'accuse", est le célèbre Marc Knobel, qui, après le cirque Médrano, le cirque de Gavarnie et le cirque Wiesenthal, opère maintenant dans les eaux plus calmes de la LICRA. C'est un pro qui a besoin d'un gros salaire dans la lutte anti-machin. Il s'est adjoint de brillants seconds en la personne d'Yves Ternon, haineuneux professionnel, chirurgien qui a perdu la main et depuis se fait passer pour "historien". Philippe Breton, sociologue du même nom, Antoine Peillon, journaliste (beurk) (il y a un Vincent Peillon député socialiste -- rebeurk) et deux bavards, dont les noms ne sont pas donnés. Ils vont certainement faire sisite. Ils vont répondre à toutes nos questions, nous dessiner de superbes chambres à gaz qui marchent... Du Zolocauste au Zolacauste...

GESHEFT
EBAy et Auction ne vendant plus de trucs nazebrok, un petit malin a créé son site spécialisé dans ce domaine !!! <http://www.bidnazi.com/>
D'autres sont encore plus malins: par exemple le Board of Deputies of British Jews qui est l'organe central de ces riches messieurs que l'on appelait "israélites". En 1909 cette honorable institution a acheté, dans la plus grande discrétion, le manuscrit d'un explorateur célèbre du XIXe siècle, Sir Richard Burton. Il avait écrit en 1877 un livre intitulé Human Sacrifice among the Sephardine or Eastern Jews. Ce livre relatait une affaire assez connue qui s'est passée à Damas en 1840. Un capucin a disparu assassiné et on arrêta 13 juifs du lieu que l'on accusa de "meurtre rituel". Il y eut un hourvari, les légats des grandes "puissances" s'en mêlèrent, les juifs furent acquittés et cette affaire assez embrouillée alla nourrir deux courants de pensée également fanatiques et obscurantistes, les antisémites d'un côté qui sont persuadés que les juifs pratiquent secrètement des crimes rituels et qu'ils arrivent à le cacher, et les philosémites de l'autre qui voient dans cette affaire le paradigme de l'antisémitisme, des accusations sans fondement et des persécutions injustes. Burton, qui fut un moment consul à Damas, n'a pas publié son livre mais le titre indique assez de quel côté il penche. Son épouse, Lady Isabel avait demandé qu'il soit brûlé. On apprend donc que le conseil central des juifs anglais l'avait acheté, on ne sait à quel prix, en 1909, pour qu'il ne soit pas publié. C'est un signe. Aujourd'hui, le Board se propose de le faire vendre chez Christie's le 6 juin et espère en tirer dans les £200.000, autour de de deux millions de francs. Pour un prix deux mille fois inférieur, le Board aurait pu acquérir chez les libraires spécialisés un ouvrage du général Mustapha Tlass, inamovible ministre de la défense de Syrie, imprimé à Damas, et intitulé L'Azyme de Sion, qui relate, archives à l'appui, cette ténébreuse affaire. Il est, lui aussi, persuadé de la culpabilité des juifs. Il est d'ailleurs dénoncé régulièrement par tous les thuriféraires d'Israël, et le dernier aboyeur en date est le rabbin Cooper, du centre néanwiesenthalien de Los Angeles, qui tient cet ouvrage pour un signe que les Arabes seraient des... antisémites!!! On trouvera plus bas sa diatribe sous le titre "RABBIN SPONGIFORME", dans la troisième partie.
Cette affaire de Damas - 1840, un siècle et demi après, continue donc à nous chauffer les oreilles. Mais le plus joli paradoxe, dans cette mince affaire, c'est que les moralistes à la mord-moi-le-noeud qui veulent empêcher Yahoo, Ebay et les autres sites internet de faire du commerce avec des objets qualifiés d'antisémites, sont les mêmes qui vont se faire un beurre énorme en revendant un manuscrit qu'ils ont jugé eux-mêmes tellement antisémite qui'ils l'ont mis sous clé pendant 90 ans!!! Seulement eux, ils pensent qu'ils ont tous les droits!

BOUCHON DE LIÈGE
Le mercredi 9 mai, Valérie Igounet présente et parle de son livre Histoire du négationisme en France sur la RTBF radio 1 (Radiodiffusion Télévision belge d'expression francophone), première émission d'une série de deux, diffusées de 22h00 à 23h00. Voici d'ailleurs le texte copié sur le site de la RTBF:


Mercredi 9 : Mémo : Histoire du négationnisme en France (1/2).
Le premier procès pour négationnisme vient de se tenir à Bruxelles. Mémo propose un entretien avec Valérie Igounet, auteur d'une Histoire du négationnisme en France (Ed. Seuil) qui montre bien les liens entre la négation des crimes hitlériens et l'extrême-droite. Une émission de Jacques Olivier (Centre de production de Liège)


Le présentateur a bien préparé son sujet (ou lu le livre), il pousse parfois la virago (qui a une belle voix) au c... lorsqu'elle semble vouloir souffler.
C'est la "propagandastaffel"!!! Il faut reconnaître qu'ils en ont besoin car depuis quelques années, on nous sert lolocoste à tous les repas et l'indigestion guette la population.

MA MAMMA
Voici un extrait de la brochure de propagande électorale que Mr. Berlusconi a envoyée à quelques dizaines de millions d'Italiens. Il s'agit d'un miracle opéré par la mère de Berlusconi, pendant l'occupation allemande de l'Italie du nord. D'après ce récit, elle aurait sauvé la vie d'une femme juive destinée au "camp d'extermination".


"...E con un ricordo indimenticabile. Quello di vedersi un mitra piantato sul petto e la quasi certezza di lasciarci la pelle. Accadde quando in treno impedi' ad un ufficiale SS di portar via una signora ebrea destinata al campo di sterminio. Tutti erano terrorizzati dalla paura, ma non mia madre. Afferro' per il bavero l'ufficiale tedesco e si mise a gridare: "Vai via, di' che non l'hai trovata e vattene di qui". Il tedesco incredulo le dette uno spintone facendola cadere e le punto' addosso il fucile: "Zitta tu, o ti ammazzo". Ma lei ebbe il fegato di continuare: "Guardati in giro: se mi spari, tu da questa carrozza non scendi vivo". Allora quello si guardo' in torno e vide tutte quelle facce spaventate che erano diventate minacciose, che non si sentivano di lasciare sola una donna con una grande pancia, piccola di corpo ma grande di spirito, che metteva in gioco la sua vita per salvarne un'altra. Il tedesco divento' paonazzo, strinse il dito sul grilletto, ebbe un attimo di esitazione e poi se ne ando'. Il treno riparti'; mia madre aveva vinto,..."


LES MONUMENSONGES
Les sépharades ne sont pas contents. Le monopole achkénaze sur les bienfaits de la Shoah, le pognon, la morve et les pleurnicheries, ça les énerve, eux que ces mêmes achkénazes considèrent comme des chiens et des primitifs à peine sortis de l'âge de pierre.
Alors ils veulent de la "reconnaissance", un truc à la mode en ce moment. Et leur part du gâteau zolokaustique. Ils ont donc commencé par déterminer qu'il y avait en Europe, avant la guerre, quelque chose comme 350.000 sépharades. Encore un petit coup de tourniquette et ils arrivent au chiffre de 160.000 morts dans le grand Zolo. C'est aut'chose que les rosâtres ou les manouches!!! Donc à nous la bonne soupe. Ils ont commencé à faire campagne pour qu'on ajoute une nouvelle plaque à Auschwitz dans leur sabir propre, dit ladino ou djudeizmo. Question de reconnaissance. Ils en ont rédigé le texte, que voici:


ke este lugar, ande los nazis eksterminaron un milyon i medyo de ombres, de mujeres i de kriaturas, la mas parte djudyos de varyos payizes de la evropa, sea para syempre, para la umanidad, un grito de dezespero i unas sinyales.


Voir les liens à <http://www.sefarad.org/connection/sefarad.html> On dirait de l'espingoin écrit par des illettrés, ou des espérantistes mal-voyants. Mais faut pas rire de ces choses là.

Vous le voulez en hongrois ? Ça vous manque? On s'en doutait. L'aaargh ne recule devant aucun frais. Le voici en hongrois:

Legyen ez a hely orok jajkialtas es intes az emberisegnek, a hitleristak itt gyilkoltak meg hozzavetoleg masfel milio ferfit, not es gyermeket, tobbsegeben europa orszagainakzsido polgarait.

C'est nettement plus joli. On l'a pas en patagon, ne demandez plus.
<http://www.sepharadshoah.org/>

D'autres maniaques de la stèle se sont penchés sur celle du mémorial du juif inconnu à Paris. Ils y ont lu ceci:

a) "1940 - Aux deux cent mille martyrs Français morts dans les camps de la déportation - 1945" et
b) "Pour que vivent les souvenirs des deux cent mille Français sombrés dans la nuit et le brouillard exterminés dans les camps Nazis
.

<www.metropoleparis.com/1998/303/holo303.html>


Y paraît que les Polonais, quand on les coince en train de dire des conneries, finissent par changer le monument où se trouvent ces conneries. Mais pas nous. Nous on maintient. On va quand même pas corriger. C'est pas facile de nos jours de trouver 200.000 déportés. Va falloir creuser.

D'ailleurs ces histoires de monuments, de stèles, de mémoriaux, ça finit par engendrer un gros commerce, vu que ça se propage comme la fièvre aphteuse. On en est à vouloir créer au sein du Conseil international des Musées, un (sous-)Comité des Musées Mémorieux des Crimes Contre l'Humanité!!! Cette proposition émane, on aurait dû s'en douter, des mabouls qui gèrent ces monuments à la connerie humaine dans la bonne ville de Berlin.


Re: Establishment of a Memorial Museums Committee for Public Crimes Against Humanity within the International Council of Museums (ICOM)
Dear Colleagues!
According to ICOM headquarters in Paris it is most likely that we will be able to launch our new international committee during ICOM's general conference in Barcelona in July 2001.
On April 20, 2001 we had sent our proposal for the establishment of the new committee to the Secretary General of ICOM. Following statutory conditions, the proposal was forwarded to the chairs of ICOM's international committees and affiliated associations asking for their comments.

Thomas Lutz, Topography of Terror Foundation, Budapester Str. 40, D-10787 Berlin, eMail: l[email protected]> www.topographie.de/gedenkstaettenforum

ÉGALITÉ ET JUDAITÉ
Voici ce qu'on peut tirer de la dernière livraison de Staatsbriefe:
Dans la FAZ du 3 avril il y avait un article d'un mec de la "Fakultät für Raumplanung der Universität Dortmund" (Gerd Held) qui parle d'un "bon colonialisme" et donne comme exemple Israël. ("Das ominöse Institut für neokoloniale Raumordnung, wie es eigentlich heißen müßte", dit le commentateur de Staatsbriefe). Dans le même article, l'auteur parle d'une exposition dans le musée juif de Berlin (qui va ouvrir cette année ) qui traite des 2000 ans de l'histoire de colonisation juive de l'Allemagne.
Nous, en Allemagne, nous sommes prêts à accueillir des juifs de Palestine chez nous, mais il doit être clair que nous n'acceptons pas leur domination ni qu'ils nous traitent comme des Palestiniens. C'est ce qui est à craindre. Nous demandons l'Égalité avec nos concitoyens juifs!

OUBLIEZ PAS LE GUIDE

I have just returned with my College of Saint Elizabeth students from the first international MARCH OF REMEMBRANCE AND HOPE.It was an incredible experience, studying the Holocaust with students from all over the world.
Our visit to Majdanek had a powerful affect on all of the college/university students as well as on the faculty, staff, and survivors.Those of you who have been there know what this means. However, I am concerned that many of the barracks with exhibits are closed; I want to know if anyone on the list can provide assistance in understanding the reasons (is this "temporary"?) and to see what we can do to get them open. There is still one open barracks exhibit with the shoes, but the others are closed (including the one with the childrens' shoes). I remember the impact that going through all the buildings with the shoes had on me on the previous times I visited; I wanted my students to experience this as well. The buildings with the caps and uniforms were also closed.
I did meet the curator of this site in 1991 and was very impressed with all he had done to preserve Majdanek and to make it a memorial that presented the reality of the horror as it was, simply letting the artifacts speak for themselves. His vision was reflected in the ways that artifacts were set up and captions provided. He served in his position for about 25 years and told us at that time that he was retiring to write about his experiences. I don't know what he would think about the closing of these buildings. I also thought that the one new exhibit (a modern art installation) would have been better installed at a site other than Majdanek.
Harriet Sepinwall -- College of Saint Elizabeth Holocaust Education Resource Center 2 Convent Road Morristown, NJ 07960 <[email protected]>


Un incendie s'est déclaré samedi dans un ancien camp de la mort nazi de la Pologne orientale, causant des dommages peu importants. La police pense qu'il s'agit d'un acte criminel. Treize pompiers ont éteint l'incendie qui avait été découvert par des employés du musée de l'ancien camp de Majdanek, a déclaré Robert Machaj, porte-parole de la brigade de pompiers de la ville voisine de Lublin, à 160 km à l'est de Varsovie.
Le feu a détruit deux lits et couvertures dans un baraquement qui avait été occupé par des prisonniers du camp construit par les nazis en 1941. Entre 1941 et 1944, 360.000 des 500.000 détenus, la plupart juifs, de Majdanek furent tués dans les sept chambres à gaz de ce camp où périrent à la suite de brutalités et de conditions inhumaines.

Rappelons que,
selon la lettre du Dr Martin Broszat, directeur de l'Institut d'histoire contemporaine de Munich, publiée dans Die Zeit du 19 août 1960, Majdanek ne faisait pas partie des camps possédant des chambres à gaz homicides. Pensez donc! Sept d'un coup! Comme dans Walt Disney! et des chambres avec des fenêtres! un vrai palace!

ENFIN POUVOIR BRONZER ZOLO
On organise une université d'été pour le bourrage de crânes sur l'histoire de la Shoah. On vise les professeurs de lycées et collèges, toutes disciplines confondues (on se fout pas mal de leurs disciplines) du 8 au 12 juillet 2001, à Paris, avec des "historiens (faut voir lesquels) et des spécialistes de la pédagogie" (bourrage de mou). Avec le soutien de l'APHG (Associatioon pour un Holocauste grossi) et de la Fondation Jacob-Bourreman. Renseignements et inscriptions au CDJC (Centre de la discrimination juive contemporaine): 01 42 77 44 72.

BULLE A PESTE (SUITE)
Le mois dernier, on avait vu que le Parlement hongrois refusait une gayssotine comme cheu'nous. Mais ça ne fait pas l'affaire des interdiseurs de penser.

Les juifs hongrois jurent de faire voter une loi contre la négation de l'Holocauste

par Agnes Bohm


Budapest -- Le ministre hongrois de la justice vient de repousser une demande de la communauté juive qui réclamait une loi punissant la négation de l'Holocauste. "Une telle loi serait anticonstitutionnelle" en Hongrie, a déclaré Ibolya David à une commission des lois la semaine dernière. Elle affirme avoir fondé sa décision sur "un grand nombre d'opinions de professionnels", la plupart provenant de fonctionnaires du ministère de la justice. La Fédération des communautés juives hongroises avait demandé au gouvernement, en novembre 1999, de s'atteler à la rédaction d'une telle loi.
La demande faisait suite à la parution d'un grand nombre de livres présentant l'Holocauste comme une invention juive. [Lesquels? On voudrait les voir...]
Les dirigeants juifs estiment que le nombre de magasins vendant de la littérature et des vidéos antisémites a considérablement augmenté depuis qu'ils ont déposé cette proposition de loi. Ils citent l'exemple de Aron Monus, qui habite en Hongrie du Sud et qui n'a jamais eu le moindre ennui pour son livre bien connu, La Conspiration juive mondiale.
Peter Tordai, président de la fédération, a fait savoir à l'Agence télégraphique juive qu'en dépit de la déclaration du ministre de la justice de la semaine précédente, la communauté juive avait bien l'intention de tout faire pour introduire une loi semblable à celles qui s'appliquent aux livres en Allemagne, en France et en Autriche.

Agence télégraphique juive, 9 mai <
http://www.jta.org/story.asp?story=7608>

 

Ceci n'est pas sans rappeler ce qu'en disait le fonctionnaire Martin Luther, du ministère allemand des affaires étrangères, dans un fameux mémorandum du 21 août 1942 :

"[Le ministère] n'a entrepris aucun travaux d'approche auprès du gouvenement hongrois sur la déportation des juifs parce que l'état actuel de la législation hongroise ne donne pas suffisamment l'espoir d'y parvenir."
Les lobbies devraient donc se dire:
"Les travaux d'approche entrepris auprès du gouvenement hongrois sur la déportation des révisionnistes ont échoué parce que l'état actuel de la législation hongroise ne donne pas suffisamment l'espoir d'y parvenir."

Toujours cette fichue législation hongroise !

En Russie, la Douma a rejeté pour la troisième fois, par 219 voix contre 73, une motion condamnant l'antisémitisme et le fascisme dans le pays. Il aurait fallu 226 voix pour qu'elle soit adoptée (c'est ce que le Lobby a appelé une courte défaite...). Il y a quelques semaines, plusieurs députés ont refusé de se lever et d'observer une minute de silence le jour de la Commémoration de l'Holocauste.

TOMBÉ SUR LA TÊTE

Neutralizing the New Testament's anti-Semitism


I have recently published an article in Vigiliae Christianae 54, no. 3 (2000) p. 233-47 which solves the problem of the historical Jesus, using as a source a little-known fragment of the Histories of the Roman historian Tacitus. According to this fragment the Roman army destroyed the Second Temple in the year 70 precisely because it wanted to retaliate against the ideological followers of Jesus, the Christiani.
What this means is that Jesus was most likely the founder of an anti-Roman guerrilla movement, not a Christian. Tacitus' fragment implies that the New Testament is quite misleading and totally depoliticized in its depiction of the first Christians as pacifists who were supposedly at best politically neutral towards Rome. Tacitus thus presents us with a fresh view of the New Testament that should go a long way towards neutralizing its historical value and discrediting it, together with its anti-Semitism. My article can also be accessed directly by clicking on either:
<
http://www.bham.ac.uk/theology/synoptic-l/laupot.htm> or
<
http://www.infidels.org/library/modern/eric_laupot/nazoreans.html>
My study employs a certain amount of basic probability and statistics. I have found that people confronting similar problems have sought the aid of mathematicians specializing in these areas.
Eric Laupot, P.O. Box 286510, New York, NY 10128, USA
Tel. (212) 744-9450

Et c'est nous qu'on accuse d'être fous!


LES DERNIERS SERONT LES DERNIERS
Une bonne analyse de la façon dont l'Amérique impériale traite la Yougoslavie: comme une crotte, qu'elle touche du bout de son bâton. Une économiste canadien fait le bilan.


ZOLO ET THALA VONT EN BATEAU

 

The 32nd annual scholars' conference on the holocaust
and the churches

March 2-5, 2002, Kean University - Union, New Jersey

The theme of the conference will explore the knotty, if not complicitous, relationship between literate civilization and genocidal, mass murder-how educated and cultivated individuals become implicated in methodical plunder, terror, and relentless human destruction. [Like the Americans in Vietnam, for instance] Consideration of rescuers and resisters-contemporaries who charted a different course within the dark world of educated evil-will provide contrasting shades of insight into the genocidal mind.
Major topics will include:
1. Complicity in the Holocaust & Genocide (Professors and scholars in the universities, Teachers in the schools, Doctors and nurses, Lawyers and judges, Journalists(radio & press)
2. The moral failure of religion and the Church struggle
3. Rescuers
4. Resisters
5. The Churches after Auschwitz -- "We Remember" and other Church declarations
6. Humanizing the Professions After the Holocaust
7. Developing an Early Warning System on genocides, etc.
NOTE: Send a paper or panel proposal of no more than 500 words, with
a brief vita, your email address and telephone number, before August
1st, 2001 to:Dr. Marcia Sachs Littell, Executive Director, The Annual Scholars' Conference, P.O. Box 10, Merion Station, PA 19066-0010
For more information, call 908-527-2376.
Teacher's Institute co-sponsored with Yad Vashem and the New Jersey Commission on Holocaust Education.

AU GUÉ DES BOEUFS
L'intervention de David Irving devant les étudiants d'Oxford qui devait avoir lieu aujourd'hui a été annulée hier. Plusieurs étudiants auraient demandé cette annulation pour des raisons de sécurité...


Holocaust denier is denied a chance to debate at Oxford

By Richard Allen Greene


London, May 10 (JTA) -- A student group at Oxford has canceled a debate on freedom of speech that was to feature Holocaust denier David Irving.
The Oxford Union, a debating society, decided to call off the event at the last minute after intense pressure from a range of groups including the Union of Jewish Students, the Anti-Nazi League, the Association of University Teachers and Oxford's own Student Union.
The Anti-Nazi League, which had planned protests at the debate, originally scheduled for Thursday, hailed the cancellation as "great news." "It would have been horrendous for David Irving to get to speak in Britain," league spokeswoman Debbie Jack said. The debate was to address the question of whether there should be restrictions on the freedom of speech of extremists. Irving was scheduled to argue against restrictions, while Richard Rampton, one of the lawyers who successfully defended Holocaust scholar Deborah Lipstadt from Irving's libel lawsuit last year, was to argue in favor. David Mitchell, a Jewish student at Oxford, coordinated campus opposition to the event.
After distributing leaflets and pressuring other members of the panel to pull out of the debate, he put motions to the Oxford Union condemning the Irving invitation and demanding that it be canceled. At a four-hour meeting on Tuesday, students voted 95 to 15 in favor canceling the debate, union spokesman Daniel Johnson said. (...) This is the third time in recent years that Oxford has canceled a planned Irving appearance.

<http://www.jta.org/story.asp?story=7616>


MIRAKEL

Témoignage

Rescapé de la chambre à gaz



C'est un vieil homme maintenant, même s'il ne fait pas ses 72 ans. Trois filles, sept petits-enfants, un magasin de confection qu'il a transformé en entreprise prospère... Joseph Wajsblat a réussi sa vie.
A 15 ans, en octobre 1944, déporté du ghetto polonais de Lodz, le petit Jo se trouvait dans le crématoire n· IV d'Auschwitz-Birkenau. A l'intérieur de la chambre à gaz. Impossible d'en réchapper. Et pourtant... "Soudain, j'aperçois un rai de lumière: la porte vient de se rouvrir. Plus forte que les plaintes, plus forte que les sanglots, une voix se fait entendre: "Raus!'."
L'ordre vient de Mengele, le médecin-chef du camp. Que s'est-il passé? Il ne le saura jamais. Son histoire, Wajsblat a attendu jusqu'à aujourd'hui avant de la raconter dans un livre, Le témoin imprévu (Florent Massot).
Jérôme Cordelie


Le Point, 16 mars 2001, p. 22, qui ne recule devant rien.

LA NOUVELLE RELIGION S'ORGANISE

Le 27 Nissan 5761, pour le Yom HaShoah, le Consistoire de Paris fera paraître sous l'égide du grand rabbin de Paris, David Messas, le premier "Rituel de la Shoah", diffusé gratuitement dans les synagogues, associations et écoles. Suite à un entretien avec Moïse Cohen, Président du Consistoire de Paris, Actualité Juive retrace les raisons qui ont poussé un des principaux organismes du judaïsme français à formaliser le récit de la Shoah à travers un rituel. (...)
Ce Rituel de la Shoah est composé de trois parties: une première partie que l'on peut qualifier de liturgique (...). La seconde partie est historique. (...)
La troisième partie est un segment que l'on pourrait qualifier d'illustratif ou d'édifiant au sens noble du terme puisqu'elle se compose, entre autres, comme le dit Moïse Cohen, de "citations d'anciens déportés, de grands témoins connus, d'extraits de textes d'Anne Frank, de Primo Levi, etc." (...)
Ariel Sion


Actualité juive, 19 avril 2001.
Le lecteur attentif n'aura pas été sans remarquer qu'à chaque fois que des juifs parlent d'eux-mêmes en tant que juifs, ils trouvent toujours à employer, pour se faire mousser, l'expression "au sens noble du terme". Nous connaissons des gens qui ne les appellent que "les nobles -- au sens noble du terme".

ON SE MÉFIE DES MAFIAS

Selon Jürgen Roth, "aucun politicien de la République fédérale d'Allemagne" ne s'intéresse à la criminalité de la mafia juive "aussi longtemps que les assassinats se tiennent dans certaines limites". Comme les mass media sont aux mains de juifs, la criminalité de la mafia juive restera discrète, de sorte que le monde politique allemand pourra continuer à entretenir les meilleures relations avec la plus grande association criminelle au monde.
D'ailleurs dès que cette criminalité mondiale est une fois mise en rapport avec la mafia juive, les mass media commencent immédiatement une campagne d'excitation à la haine contre la droite afin de détourner l'attention du public sur des innocents. Dans les publications officielles, il est naturellement interdit de dire que la mafia dite russe se compose exclusivement de juifs.

La mafia russe a disparu

Par Jürgen Roth


"Les années sauvages, c'est terminé", expliqua un homme d'affaire russe de bonne humeur à un employé plein de compréhension du BKA à Berlin [Bundeskriminalamt, autorité chargée de lutter contre le crime organisé]. Les "années sauvages" étaient pour lui de 1989 à 1996, lorsque la mafia russe était occupé à marquer son territoire et ses activités portant sur le commerce d'êtres humains, de la drogue, d'armes, le chantage à la protection, la prostitution, entre les organisations criminelles anciennes et nouvelles de l 'ex-URSS.
Selon des informations dont dispose l'office criminel de Berlin, il y a tout de même eu trois meurtres et quatre tentatives de meurtres contre des citoyens de l'ex-URSS en 1999 ayant tous un rapport avec le crime organisé à Berlin.
Cependant la lutte de la soi-disant mafia russe pour ses domaines d'influence est aujourd'hui terminée. Les anciens criminels sont devenus des hommes d'affaires tout ce qu'il y a de plus convenable, ou ont quitté Berlin, ou ont été assassinés.
Aujourd'hui, croit-on savoir avec certitude, la "mafia russe" traditionnelle n'existe plus. Et pour ce qui est de nouvelles organisations criminelles, les autorités n'en savent pas grand-chose, pour ne pas dire rien du tout, ce qui serait plus juste.
Ceci est effrayant, car la capitale fédérale est restée un lieu de rendez-vous de grands criminels venus de l'ex-URSS. Un grand nombre d'entre eux ont acquis la nationalité allemande à l'aide de faux documents, notamment de faux extraits de naissance. La vente de faux documents est d'ailleurs une affaire florissante pour certaines organisations mafieuses.
Quelquefois il arrive, mais c'est exceptionnel, que la police entrevoie quelque chose sur ces activités criminelles. Mais seulement lorsqu'il y a meurtre. Comme par exemple en août 1996, lorsque, dans un garage souterrain à Berlin-Wilmersdorf, le chef d'entreprise Sharko Kakatschia, d'origine georgienne, âgé de 55 ans, fut assassiné dans sa Mercedes flambant neuve.
Lors de son enquête, les fonctionnaires de police découvrirent que la plupart des chefs d'entreprises originaires de l'ex-URSS étaient raketés par Sharko Kakatschia qui les "protégeait".
Les "contributions" commençaient à 150 DM. Y étaient soumis les fleuristes, les médecins, les propriétaires de société d'import-export. Le chiffre d'affaires mensuel de Sharko Kakatschia à Berlin dépassait les 100.000 deutschmark. Il est fort probable que la mort de Sharko Kakatschia n'aura rien changé à la situation. Que l'homme d'affaire géorgien était un parrain craint de la mafia ne fut découvert qu'après sa mort. Mais on sait maintenant qu'il y a d'autres parrains de ce genre vivant et agissant tranquillement à Berlin.
Le fait est cependant que toutes les grandes organisations criminelles de l'ex-URSS ont leurs représentants à Berlin. Un autre parrain, le chef de la "brigade lithuanienne", a quitté Berlin pour aller se réfugier en Espagne. C'est sa main droite, Boris G., originaire de St-Petersbourg, qui le représente à Berlin. Une nouvelle organisation est apparue en octobre 1998, "la bande de la Luganskaia". Sa spécialité est le commerce d'êtres humains venant de l'ex-Union soviétique. Les illégaux passés dans la région de Berlin sont transmis aux employeurs les plus divers.
Leurs petits salaires sont versés directement au syndicat du crime. Après déduction de tous les frais de passage, d'hébergement et d'alimentation, il reste aux illégaux à peine de quoi vivre. Cela rend plus facile leur utilisation pour des crimes et des délits. Il semble, selon le Landeskriminalamt [office régional de lutte contre le crime organisé], que des parrains importants vivent là tranquillement et entretiennent, en plus, les meilleures relations avec des milieux politiques à Berlin, tout comme à Moscou. Dans un document du LKA de Berlin, on peut lire: "Les parrains vivant à Berlin y sont très bien installés et jouissent en plus d'une grande considération sociale. On les rencontre quelquefois à ces réceptions luxueuses où sont aussi invités des dirigeants politiques ne montrant aucune crainte.
Pour le LKA de Berlin, ces autorités criminelles "exercent leurs activités à partir de Berlin, avec des mouvements de fonds très élevés, incontrôlables, des moyens techniques les plus modernes, des relations politiques et économiques".
Ce qui est surprenant est que, bien que tout cela soit connu, rien n'a été entrepris contre eux. Cela peut s'expliquer par le fait qu'ils savent parfaitement bien se protéger. Ils n'utilisent, par exemple, des téléphones portables qu'avec des puces venant de Hongrie, d'Italie, de Russie, sachant bien que la police n'était pas en mesure d'écouter ces téléphones. Lorsque ces autorités criminelles se font conduire à leurs lieux de réunion, ils sont accompagnés de véhicules transportant des gardes-du-corps. Des fonctionnaires de police de Berlin ont constaté qu'avec des véhicules d'accompagnement, ils forment des barrages filtrants et qu'avec des portables ils sont informés sur les mouvements des véhicules de police qui les suivent." Dans un autre cas, la police s'était mise en observation près d'un point de rencontre très apprécié des criminels russes près du Kurfürstendamm. La police avait installé un chantier avec des toilettes mobiles. Leur intention était de photographier les participants. Les gangsters l'ayant remarqué, subitement des gardes-du-corps se précipitèrent vers l'observatoire et collèrent du papier sur toutes les ouvertures. "L'observatoire avait été installé longtemps à l'avance et rien ne permettait de penser que les suspects pouvaient le soupçonner", se plaignirent les policiers déçus.
C'est ainsi que cela se passe avec toute la police. Lorsqu'elle croit savoir quelque chose, l'autre côté est déjà au courant et ne peut que rire des vains efforts de la police d'apprendre quelque chose. Et aussi longtemps que les assassinats se maintiennent à un niveau raisonnable, aucun homme politique ne s'intéressera au bétonnage d'organisations criminelles de l'ex-URSS à Berlin.

Die Welt, le 4 mai 2001, page 10 (traduit de l'allemand)


LA CHARGE DE LA PREUVE

par Ingrid A. Rimland

May 11, 2001; -- A few days ago a Revisionist who is rather new to the struggle wrote to the Zundelsite for information about what to do with a new "documentary" a woman named "Gould" had seen on TV about some new "evidence" connected to Eichmann - which proved in her mind that "Holocaust Deniers" were on the wrong track. (...) We absolutely must resist being sucked into every new lie, every wild and unsubstantiated claim, every new "document" and "documentary" these people will dream up to keep us hopping and spinning. It will never ever end -- we have to resist that tactic. It is a tactic to keep us busy and on the defensive.
The basic facts around Eichmann are these:
Eichmann was forcibly kidnapped, held for years in solitary confinement, the Israelis had total control over what he got to read, what documents he was given, what he ate, drank and what medicines he took. Israeli behavior toward ordinary Palestinian demonstrators is awful - imagine the "special treatment" they would mete out to a guy like Eichmann whom they call the "architect of the final solution"?
Whatever he may have said or written under these prison conditions is worthless - he simply was no longer a credible historical source, much less a believable witness.
Secondly, there was recently the London Trial of David Irving where, toward the end, the so-called "Eichmann Diaries" surfaced. Had there been the slightest evidence of this newest claim, it would have been trumpeted to the sky. There was nothing incriminating or even of interest in those diaries.
It is not our job to answer every new Jewish claim with exhaustive, time-consuming and expensive research. The basic work has been done. We are way, way past this stage. We are willing to debate the Holocaust claims openly and fairly on an international, neutral forum, but to answer every silly individual claim of every kook just drains our energy and our resources. We have done that for years, and now it is time to move on and to instrumentalize what Revisionist research has found - to stop the brutalities that are inflicted on the claim of a false genocide story.
Revisionist research has proven that Germany had no government policy to exterminate Jews or anybody else on racial, cultural or religious criteria
[Note de l'AAARGH: revisionist research did nothing of the kind. The fact was acknowledged by the director of Yazd Vashem in December, 1960 and Rassinier immediately pointed to it, lest it should be later "forgotten". See the 1960 declaration in La Terre retrouvée with the complete report.]. Leuchter, Rudolf, Lüftl all independently examined the so-called gas chambers. They are fakes. No gassings took place. So there is no policy, no murder weapon, no evidence of remains, existing crematory capacity could not have handled that many corpses.
Some time ago a so-called "German documentary film maker" was arrested who was quite popular with mainstream media. He admitted that he staged and faked these documentaries. He is merely one of many.
We have the historical, forensic, logistical answers to the Holocaust Lobby's false, mendacious claims. We have done the "archeolical digs" - there is no need to excavate the same site over and over and over again. If they come up with a new lie - and they are exceedingly good at that - we just walk around them. We don't do them the favor of replying to something that has been settled once and for all.
I think an answer to the Gould letter would be to urge her to help us get a debate in an open forum going if she has any doubts.
Frankly, this letter is a thinly veiled attempt to frighten you off from investigating the tabu. If they had nothing to fear, they would encourage you to continue your research to find them innocent.

ZGram - 5/11/2001 - "It's time to stop begin reactive", by Ingrid A. Rimland (extract) From: <[email protected]>


LOURDE
La sanction disciplinaire de la révocation est prononcée à l'encontre de M. Jean-Louis Berger, professeur certifié de lettres classiques (l'arrêt porte "professeur certifié d'histoire-géographie", l'administration n'est pas à ça près) affecté au collège La Paraison à Lemberg (Moselle). Voir chapitres précédents.

KORREKTURE (du mois dernier Y'EN À IENA)
Nous avions écrit: Voyez les photos. Voyez la bannière des "anarchistes nationaux: "Solidarité avec la Palestine pour un monde de peuples libres"
Nos kamarades disent:

Ça, c'était pas notre bannière! C'est le vieux truc national-révolutionaire (bien que valable). Nous ne sommes pas des NRs!! Nous somme nA! (national-anarchistes) Notre bannière était: "Nous antisémites? Vous COMPLICES! Canaille de froussards!!" Notre tract, le voici:

nA zur Pali-Demo am 14. April 01 in Jena:

Israel muß weg! Wir Antisemiten?


Wenn Juden Eingeborene mit brutaler Gewalt & Mord aus ihrer Heimat verjagen und den verbliebenen Rest aufgrund der Rasse diskriminieren, dann sind diese Juden Scheiß-Faschisten, genau so, wie Deutsche oder Franzosen oder Katholiken oder Träger apfelgrüner Krawatten SCHEISS-FASCHISTEN sind, die gleiches tun.
Und da könnt Ihr ,antifaschistisches" (in Wahrheit pro-zionfaschistisches) Gesindel TAUSEND MAL behaupten, wir seien ,Antisemiten". Ihr seid nur zu FEIGE, diese einfache Wahrheit zu denken und auszusprechen. Ihr laßt Oich mit der ,Antisemitismus"-Koile KORRUMPIEREN & ERPRESSEN: Jetzt dünkt Ihr Oich WAS BESSERES und seid GUTE MENSCHEN und merkt gar nicht, wie Ihr Oich an der Nase herumführen laßt und dabei SCHLECHTES geschieht.
Ihr überlaßt die Palästinenser dem mordenden Fascho-Mob und KLATSCHT BEIFALL, wenn Juden böse ,antisemitische" arabische Kinder massakrieren, wagt keinerlei Kritik, weil Ihr ja sonst ,Antisemiten" seid, Ihr armen Kerle.
Es gibt Menschen, die dürfen einfach ALLES und sind UNANTASTBAR, nur weil sie die neuen Heiligen sind: die Juden.
Uns eint mit den palästinensischen Befreiungskämpfern, daß auch wir von jüdischen Bonzen und ihren philosemitischen Arschkriechern unterdrückt werden, die sich ANMASSEN & ERDREISTEN, uns Tag für Tag mit ihrem Scheiß zu BELÄSTIGEN, uns die Ohren vollzunölen und die freie Rede zu verhindern.
Wir lassen uns keinen Gedanken, kein Gefühl und kein Wort verbieten, heute nicht und auch in Zukunft nicht, wenn wir Juden gegen Oich in Schutz nehmen werden, wenn Oier Philosemitismus in (wirklichen!) Antisemitismus umschlagen wird, denn positive hat negative Diskriminierung zur Folge.
Israel ist ein faschistischer Staat und muß & wird verschwinden!

Die Araber werden NIE Ruhe geben. Und warum auch sollten sie sich VERNICHTEN lassen? Die Juden hatten genug Zeit, sich mit den Arabern von gleich zu gleich zu verständigen. Aber von ihrer Führung kam nur HOCHMUT, VERACHTUNG & TERROR! Die israelische Friedensbewegung war zu schwach; die meisten Juden gefielen sich als HERREN & BESSERE MENSCHEN oder haben die anderen NICHT WAHRHABEN WOLLEN.
Jetzt ist es soweit: die Juden haben die Wahl: Dorthin zurück, wo sie hergekommen sind, am besten nach USA, wo die meisten Hardcore-Talmudisten ja auch herkommen. Oder sie geben das Rassisten-Regime auf und leben in Palästina nicht unter und nicht über anderen Menschen. Das ist die Perspektive einer friedlichen Lösung des Konfliktes.

Für ein freies, nicht-rassistisches Palästina!

Sofortige Auflösung der Flüchtlings-Lager und Rückkehr aller Vertriebenen!

Rückgabe des Eigentums an die Bestohlenen!

Nieder mit dem Zion-Faschismus wie jedem anderen Faschismus!

,Antisemitismus"? : ARSCH LECKEN!


POIGNANT POGNON

30 millions de dollars dépensés par la Commission des réclamations de lolocoste pour ses "frais"
 
Les dépenses de la commission des réclamations de lolocoste sont critiquées.


Une commission internationale créée pour résoudre les conflits concernant les assurances de l'époque de lolocoste a dépensé dix fois plus en frais de gestion comme des salaires, des notes d'hôtels et des encarts publicitaires, que les assureurs n'ont payé aux rescapés des camps de la mort, d'après les documents internes de cette commission. Ces documents établissent que la Commission internationale pour les réclamations aux assurances de l'époque de lolocoste a dépensé plus de trente millions de dollars depuis sa constitution en octobre 1998, alors que les cinq sociétés qui constituent l'association ont reversé seulement trois millions aux plaignants. De plus, les rescapés ont repoussé la moitié au moins des propositions faites par les assureurs, affirmant que les sommes proposées (parfois 500 dollars) sont absolument insuffisantes.
La disparité éclatante entre les paiements effectués à ce jour et les frais de gestion préoccupe les membres de la commission eux-mêmes; elle est présidée par un ancien ministre des affaires étrangères américain, Lawrence Eagleburger. Une note interne rédigée en janvier [2001] par Geoffrey Fitchew, vice-président de la commission, admet que "la commission risque d'encourir des critiques de plus en plus nombreuse, essentiellement parce le nombre d'offres faites aux plaignants est très bas [...] et à cause du fossé entre le montant des frais de gestion de la commission et celui des offres."
Ces critiques sont devenues publiques mercredi [16 mai 2001] au cours d'un procès fait par une femme de Los Angeles à la compagnie d'assurances italienne Assicurazioni Generali devant le tribunal du comté de Los Angeles. Eagleburger a reconnu la disparité au cours d'une conversation téléphonique avec le siège de la commission à Washington. "Je suis le premier à admettre qu'au regard de ce que nous avons déjà dépensé, dit Eagleburger. le résultat n'est pas à la hauteur des espérances.Il a fallu beaucoup plus longtemps pour que la commission mette au point les méthodes de paiement des réclamations et leur évaluation." Eagleburger est payé trois cent cinquante mille dollars par an pour diriger la commission qui est une association privée qui échappe au contrôle de l'Etat et dépense les fonds librement.
Eagbleburger a dit que Assicurazioni Generali avait accepté à la fin de l'année dernière de payer cent millions de dollars de dommages intérêts pour lolocoste par l'intermédiaire de la commission et d'une association israélienne chargées de distribuer l'argent. A ce jour, la compagnie d'assurances a versé plus de cinq millions mais Eagleburger dit qu'on ne sait pas bien si l'argent sera distribué et à qui. La plupart des rescapés de lolocoste ont maintenant plus de soixante-dix ans et il en meurt dix par mois.

Los Angeles Times
17 mai 2001
<
http://www.usajewish.com/scripts/usaj/paper/Article.asp?ArticleID=1176>


Boston, Thursday, May 17, 2001
 

Holocaust panel spends $30 million to award $3 million



Los Angeles (Associated Press -- An international commission created to resolve Holocaust-era insurance disputes has reportedly spent more than $30 million on salaries, hotel bills and newspaper ads while distributing only $3 million to claimants.
Internal documents obtained by the Los Angeles Times show that the International Commission on Holocaust Era Insurance Claims realizes it is coming under fire. "ICHEIC is at risk of facing increasing criticism, focusing on the low proportion of our claimants who have received offers ..." commission vice chairman Geoffrey E. Fitchew wrote in an internal memorandum in January. Commission President Lawrence S. Eagleburger acknowledged those concerns in an interview with the newspaper.
I will be the first to admit that given the amount we have spent so far, the result in claims paid out is by no means as high as it should be," said Eagleburger, a former U.S. secretary of state who draws a $350,000 annual salary as commission president.
The documents show that since 1998 the commission has held at least 18 meetings with up to 100 participants at hotels in London, Jerusalem, Rome, Washington and New York. The commission is a private organization created in 1998 by U.S. and European insurance regulators, Jewish organizations and European insurers flooded by a lawsuits for allegedly failing to pay valid claims lodged by Holocaust survivors or their heirs.
In a related development, the House of Representatives on Wednesday approved an amendment to the State Department budget providing the department will review the commission's claims. "ICHEIC is not doing the job Congress expected it to do and I intend to ensure that is has fair procedures and is accountable to Holocaust survivors," said Rep. Henry Waxman, D-Calif. The commission is not regulated by any governmental agency and makes independent spending decisions. Nearly all the commission's funding is provided by its five European insurance company members.
Norman F vous l'avait bien dit. Ils ne peuvent plus cacher la monstrueuse gabegie.
<
http://www.boston.com/dailynews/137/nation/Report_Holocaust_panel_spends_:.shtml>

VIE PARISIENNE

On apprenait, dans le Carnet du Monde, la tenue d'une conférence. L'invitation était ainsi formulée: "Les Forums du Champ Lacanien invitent Nadine Fresco pour une conférence intitulée: «Du mouton cloné à la brebis galeuse: vertiges de la science et tourments de la morale», le jeudi 10 mai 2001, à 21 h 15, au 118 rue d'Assas, Paris-6e. Tél.: 01-56-24-22-56"
Alors, nous dira-t-on, qu'est-ce qui attire dans cette pâture la sinistre autrice d'un livre tout entier voué
à l'exécration de Paul Rassinier, sur 800 longues pages? Le rôle de brebis galeuse ? C'est le produit subtil des règles de la vie parisienne. Dans les années 80, comme les sinécures procurées par les patitos se faisaient rares, Fresco n'a pu entrer comme "chercheuse" qu'à l'INSERM, l'organisme plutôt bas-de-gamme qui gère la recherche en matière médicale. Mais les compétences de la Fresco en matière médicale sont strictement égales à zéro. Il a donc fallu se replier sur des baratins quelconques et les histoires de morale médicale offraient un champ infini à des élucubrations gratuites. Sous cette couverture elle allait pouvoir passer son temps à préparer sa charge contre Rassinier, qui n'avait aucune justification possible aux yeux des directeurs de l'INSERM, même avec les complicités que l'on imagine. Maintenant que, grâce au détournement du temps de travail payé par l'INSERM elle a pu entrer au CNRS en se faisant passer pour une "historienne", et comme elle n'a aucun travail historique dans son cabas, elle doit remplir quelques vieux contrats avec ceux qui croient, avec retard, qu'elle est une "spécialiste" des questions de morale médicale, très agitées en ce moment avec les possibilités de la technique du clonage. Donc elle va parler aux Lacaniens. Pourquoi les lacaniens? Parce qu'un autre ancien sigisbée lui a fait visiter la maison Lacan, où, comme chacun sait, la maison où les non-dupes errent a beaucoup de chambres. Encore une façon de rouler les gobeurs dans la farine. Comme on le voit, la gestion d'une masse d'anciens céladons devient intellectuellement acrobatique. Et comme la rumeur publique dit qu'elle a largué le philosophe de pacotillle Droit parce qu'elle le trouvait un peu tordu, il faut s'attendre à des suites désopilantes.


CONFU-SIONISME 2

Subject: Holocaust revisionist conference
A. M.asked "What do the holocaust deniers have against the Nazis? Can anyone point me to any material from any of the deniers that explains what, if not the holocaust, the Nazis have done that warrants their being equated with Zionists?"
The answers to these questions rests with the false information that led to them. Holocaust Denial is a broad category for contemporary fascist propaganda and one must not expect the normal logic of scientific or academic discourse to hold true. The equation of the bad Nazis with the bad Zionists is a fascist troll, a form of misdirection used by contemporary fascist agitators to create a sense of misdirection. (...)
As one consequence, one can find people who favorably post pictures of Hitler to the net and then shortly after present themselves as anti-fascists calling for the need to fight "Nazi Israel."
In short, the question Miller asked is based on information rooted in fascist advertising jingles, not historical analysis. It is not due to some misunderstanding of history anymore than the Nazi charges against Polish aggression were based on a Nazi misunderstanding of geography.
Miller also asked "Have the deniers actually suggested, as is claimed in the article, that the gas chambers could not have burned more than a half-million people? Have they also claimed that no one was gassed in the ovens?"
The answer to these questions is made meaningful only when we note that Holocaust Denial is not rooted in an honestly mistaken sense of history but in a consciously false sense of an ongoing campaign of Nazi-Apolgetics.
Those people with a mistaken view of history tend to put forward single theories, which, while wrong, have an internal consistency.
The fascist agitator need not worry about consistency. The purpose is not truth but useful advertising jingles that are presented, dropped when disputed, and then represented again and again.
To answer Miller, the Deniers routinely claim that: (1) there were no gas chambers; (2) the gas chambers existed but only to fumigate clothing; (3) the gas chambers were used only to kill a tiny number of people by Nazis that were not representing Nazi policy.
I believe Miller meant to ask about Denier claims of people cremated, not gassed, in the ovens.
Here, Denier claims run from (1) nobody was cremated to (2) the ovens cremated corpses exactly as the "Holohoaxers" claim, but the corpses died from starvation and typhus after Allied planes bombed the railroad tracks to prevent food and medicine from getting to the camps.
To summarize, in closing, there *is* a logic to Holocaust Denial, but it is not the logic of history; it is the logic of fascist propaganda.
-- tallpaul (Paul Kneisel) <[email protected]>
Editor: The Internet Anti-Fascist. taken from H-Antisemitism, Date: Thu, 17 May 2001.


MICHEL SERVET À RIEN

Genève accorde à des groupes antiracistes le droit de poursuivre les négationnistes

par Roy Probert

C'est à la suite de la distribution en Suisse du livre de Garaudy, Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, que le canton de Genève a réclamé et obtenu la possibilité pour les survivants du génocide et pour les associations antiracistes de poursuivre les négateurs de l'Holocauste. Ce canton est le premier, en Suisse, à posséder une telle législation. "C'est un pas important", dit Philippe Grumbach, de la LICRA suisse, car les survivants commencent à disparaître.
Ph. Grumbach a déclaré à swissinfo: "(...) le Code pénal suisse possède un excellent texte sur le négationnisme mais il est impossible à appliquer", car l'article du Code pénal fédéral peut être interprété de toutes sortes de manières. "Ce n'est qu'un premier pas. La Suisse est encore très en retard par rapport à d'autres pays. J'espère que d'autres cantons suivront l'exemple de Genève", a dit Ph. Grumbach.

Traduit de l'anglais. Original anglais:
<
http://www.swissinfo.org/sen/Swissinfo.html?siteSect=111&sid=689869>

ITALIA FARA DA SE

Saluons l'arrivée sur le net d'un collègue italien ,un site révisionniste tout en italien. Il en existait un qui s'était figé il y a longtemps (<http:/ /www.members.tripod.com/~revisionismo/>. Ce lui-ci, qui a une adresse simplissime, <http://www.revisionismo.com> semble plein de dynanisme et nous lui souhaitons bona fortuna... Ce site reprend nos documents italiens et c'est la meilleur chose qui puisse nous arriver: être repris et développé par d'autres. Bellissimo
Ce site présente des petits bouts de vidéo, que nous n'avons pas pu voir avec notre connection faiblarde. Surtout, il reprend des articles des journaux italiens qui sont aussi paillasse et pantalon que les nôtres. Mais nous avons trouvé dans l'un d'eux la lettre d'un professeur qui a été l'objet d'une grande dénonciation des pantouflards vénitiens de l'antifascisme (une maladie d'origine italienne. N'oubliez pas l'avertissement de Malaparte: "Le plus terrible legs du fascisme, c'est l'antifascisme " ). Nous avions cité en décembre 2000 un article ignoble et calomniateur du site <aministia.net>, animé par des criminels politiques italiens réfugiés en France. Ce professeur a pris dignement la plume et a écrit à ceux qui le traînaient dans la boue.


La verità e le mistificazioni sull'Olocausto

17-09-2000

Egregio direttore,
apprendo solo ora che il quotidiano da lei diretto ha pubblicato circa un mese fa un articolo sul sottoscritto intitolato: "Un professore neonazista nega in classe l'Olocausto". Non ho ancora potuto leggere l'articolo, ma rifiuto la definizione di neonazista che ritengo ingiuriosa. Sono cattolico del tipo che voi definite 'integralista' e considero il nazismo espressione di una filosofia gnostico-esoterica con radici neopagane, del tutto incompatibile col cattolicesimo. Quello che l'autore dell'articolo evidentemente ignora è che il revisionismo olocaustico, fondato dal socialista deportato a Buchenwald
Paul Rassinier e pubblicato in Francia e in Italia anche da case editrici di estrema sinistra, non ha nulla a che vedere col neonazismo, che anzi considera il suo avversario più pericoloso perché riduce i frutti di lunghi e accurati studi a slogan buoni per gli orecchianti. Esso ha come unico scopo l'accertamento della verità storica al di là della propaganda. Insegnando Storia, non posso dunque nascondere ai miei studenti l'esistenza di una corrente cosiddetta 'revisionista' che, sulla base di argomentazioni prettamente tecniche, contesta la versione ufficiale dell''Olocausto' e anzi la sua stessa esistenza nei termini solitamente indicati. Avendo una conoscenza di massima di tale corrente ed essendomi convinto che le sue argomentazioni siano valide o comunque interessanti (in realtà anche gli autori revisionisti sono diversi tra loro e di diverso valore), ho ritenuto doveroso farla conoscere ai miei studenti, che saranno forse tra i pochi in Italia e in Europa (viste le leggi esistenti in Francia, Germania e Svizzera) ad avere il privilegio di conoscerne l'esistenza, il che ritengo sia per loro un arricchimento culturale che li induca quanto meno a pensare. L'ispezione ministeriale già svoltasi ha accertato la perfetta regolarità del mio operato, regolarmente registrato nel giornale di classe e nel documento d'esame, con tanto di bibliografia completa. Constato che in Italia si scrivono gli articoli senza nemmeno conoscere i fatti (chi infatti ha letto il tema 'incriminato', chi conosce la sua autrice ó che si è sempre dichiarata entusiasta del lavoro svolto, solo esprimendo turbamento per il contrasto tra ciò che sentiva e ciò che le era stato sempre insegnato ó chi sa che cosa ha letto in classe il sottoscritto? I testi sono in commercio e stampati con tutti i crismi di legge, anche se ahimé di difficilissima reperibilità). L'altro motivo di amarezza è che la libertà di insegnamento e di ricerca sia considerata una pura petizione di principio, regolarmente conculcata ogniqualvolta qualcuno si permette di dire cose 'sgradite'. Penso che il vero nazismo sia questo.

Franco Damiani
Il Giornale.
<http://www.revisionismo.com>


IL FAUT LIMOGER À LIMOGES

Mercredi 16 mai 2001, quatre perquisitions ont eu lieu en Belgique (trois à Anvers et une à Bruxelles), à la demande d'un juge de Limoges; les policiers étaient à la recherche du livre et de la vidéo de Vincent Reynouard sur Oradour. C'est surtout elle qui les excite. Tout a été confisqué chez Vincent Reynouard: son ordinateur et tout son stock de livres, emportés dans une soixantaine de caisses. Ils ont fait le nettoyage par le vide. Ils ont même emporté les papiers d'identité. Le tout en son absence, et en présence de sa femme et de ses trois jeunes enfants qui ont ainsi pris une excellente leçon de civisme. Chez Siegfried Verbeke, directeur de VHO, l'éditeur, seuls des livres ont été saisis, principalement le livre sur Oradour, qui ne fait pourtant l'objet d'aucune interdiction en Belgique.
Il faudrait peut-être que les juges de Limoges apprennent qu'ils doivent appliquer des lois françaises, que la loi française dans sa version gayssotisée prévoit de punir la contestation de crimes qui ont fait l'objet d'une condamnation devant un tribunal international et que -- malheureusement -- le drame d'Oradour a été jugé par cette inoubliable institution française qu'on nommait un "tribunal militaire", (maintenant supprimée) qui n'avait rien d'international et qui siégeait à Bordeaux, en 1952. Par conséquent, on est libre, dans le cadre des lois de la république, de contester les crimes condamnés par ces immondes saloperies qu'étaient les tribunaux militaires, qui se sont couverts de sang du temps où ils coupaient les têtes des nationalistes algériens à la volée. Certains Français y passèrent aussi, d'ailleurs. Et le trafic qui consiste à exploiter Oradour, dans tous les cas, nous débecte.

Voici l'AFP qui rend compte de l'expédition belge: 18/05/2001 16h41


Massacre d'Oradour: la justice belge saisit des ouvrages révisionnistes


Bruxelles, 18 mai (AFP) - Un magistrat belge a mené mercredi des perquisitions à Bruxelles et à Anvers (nord) pour "retrouver de la littérature révisionniste concernant le massacre d'Oradour, dans le cadre d'une commission rogatoire demandée par la justice française", a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Bruxelles. Pas moins de 64 cartons de livres auraient été emmenés, dont 300 exemplaires de l'ouvrage
Le massacre d'Oradour, un demi-siècle de mise en scène, attribué à Vincent Reynouard, et 175 exemplaires de sa version allemande, Die Warheit über Oradour, a rapporté l'agence Belga. Vincent Reynouard conteste dans ce livre les événements qui se sont déroulés le 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane (sud-ouest), où 642 personnes ont été tuées par les SS au cours d'une opération de représailles. En 1997, le Conseil général de la Haute-Vienne avait demandé la saisie de l'ouvrage et réclamé que des poursuites soient engagées contre son auteur. Les élus dénonçaient "la provocation et l'insulte à la mémoire des victimes et de leurs familles que constitue un tel écrit." Vincent Reynouard a été exclu en 1997 de l'Education nationale française pour avoir notamment stocké des documents niant l'holocauste du peuple juif sur l'ordinateur d'un lycée professionnel de Honfleur (ouest) où il enseignait les mathématiques.


Le 19, commentaire de S. Verbeke:

-- On n'a pas saisi l'édition allemande du livre chez moi.
-- La perquisition à Anvers a été effectué par une cellule anti-terroriste de la police judiciaire, avec pistolet dans le ceinturon (bien visible aux yeux de la clientèle universitaire de S.Verbeke) qui en outre s'est moquée de la saisie.
-- Les agents ont visiblement emmené des dossiers qui n'avaient rien à faire avec le livre ou l'auteur français.
-- Les saisies ont été effectuées pendant l'absence de S. Verbeke, qui se trouvait à ce moment en un domicile inconnu de la police.
-- Il y a 3 ans et demi, la police avait saisi le magasin complet de S.Verbeke, contenant environ 40.000 ouvrages. Ces livres sont toujours en possession de la police. S. Verbeke n'a été pas mis en accusation, bien qu'il ait insisté régulièrement pour être entendu par la cour, afin qu'on lui rende ses propriétés.
C'est comme cela que fonctionne la justice dans une démocratie occidentale à l'égard des révisionnistes.
- Aucun média n'a réagi en faveur de S. Verbeke et de la liberté de presse et d'opinion.Il en aurait été autrement si S. Verbeke avait édité le livre d'un dissident iranien. Est-ce que la police belge aurait procédé de la même façon si l'Iran avait demandé la saisie des livres d'un dissident iranien vivant en Belgique et édités par un imprimeur belge?


Un cruel Belge envoie en même temps ce péan à la gloire de la maréchaussée belge:

Savez-vous comment un Belge se suicide ?
Il contacte les enquêteurs de l'affaire Dutroux pour dire qu'il a des révélations importantes à faire.
Il peut alors choisir entre:
-- être battu, étranglé puis jeté dans la Meuse (comme Anna Konjevoda),
-- être abattu sur un parking (comme Michel Piro),
-- être "suicidé" (comme Brigitte Jenart),
-- être "laissé s'échapper de prison" puis assassiné (comme Christian Coenraedts),
-- avoir le système respiratoire paralysé au Rohypnol (comme José Steppe),
-- être "suicidé" avec son arme de service (comme le gendarme Guy Geubels),
-- être empoisonné (comme Bruno Tagliaferro),
-- demander la protection de la police puis être carbonisé au méthanol (comme Fabienne Jaupart, la veuve de Bruno Tagliaferro),
-- disparaître, sauf un pied, repêché dans le canal (comme Jean-Paul Taminiau),
-- avoir un accident de la route (comme Gina Pardaens),
-- prendre quatre balles à bout portant (comme l'inspec
teur Simon Poncelet),
-- être écrasé par un train (comme François Reyskens)


ou perquisitionné comme Reynouard et Verbeke...

Le 27 avril, en France, les enquêteurs de la brigade des affaires sanitaires et des libertés publiques, la bien-nommée, ont effectué une perquisition chez Serge Thion, suite à une dénonciation de son ancienne directrice générale au CNRS, Mme Bréchignac. Une grande première dans les annales de la recherche française! Ils était cinq, dont deux totors de la brigade informatique (BEFTI, quelque chose comme Brigade d'enquête sur les fraudes dans la technologie informatique...). Ils avaient une liste de documents politiquement incorrects placés sur Internet en 1997. Ils n'ont apparemment pas trouvé ce qu'ils cherchaient. La prescription, oui, ils avaient entendu parler, mais ce n'était pas leur affaire, dirent-ils, mais celle du tribunal, qui, comme on dit toujours, appréciera. Ce n'est pas bon pour Bréchignac...

GUEUSE

Le ministre flamand de la culture, Mr. Bert Anciaux, a annoncé le 16 mai une épuration des bibliothèques flamandes. Il a donné l'ordre aux bibliothécaires d'éloigner tous les livres révisionnistes (ou proches du révisionnisme). Le ministre installera une cellule "Centre Flamand pour les Bibliothèques Publiques" qui distribuera aux bibliothèques la liste des publications révisionnistes qui doivent être cachées aux regards. Cette ordonnance fait suite à l'interpellation d'un délégué écologiste qui avait constaté la présence d'ouvrages révisionnistes dans des bibliothèques. [C'est ce qu'on peut appeler une "mouche verte".]
Mr. Marc Storms, directeur de l'Association des Bibliothèques Flamandes a réagi négativement, constatant qu'aucune cour belge n'avait interdit l'un de ces livres, et par conséquent qu'ils devaient être conservés dans les bibliothèques. Il a déclaré que la liberté de la presse devait être maintenue et que les bibliothèques ont un devoir déontologique et pluraliste et le devoir de fournir au public toute information nécessaire.


VOYEURS ET DÉNONCIATEURS

Un gars nommé Aziz, viré du spectacle jeuniste appelé Loft Story:

"J'ai entendu dire que le Mrap avait signalé au CSA un dérapage de la part de Delphine, parce qu'elle m'a traité de "sale Arabe" en déconnant. Du calme, arrêtons le délire! Il y en a qui ne comprennent rien..."
Le Journal du Dimanche, 14 mai 2001.


ÉCHAPPEMENT LIBRE

Si vous n'avez pas le temps, cet été, d'aller bronzer dans une des multiples conférences sur le Zolocauste qui se préparent un peu partout dans des endroits plus idylliques les uns que les autres, si vous ne bénéficiez pas des invitations luxueuses des récupérateurs du fric des assurances pour les victimes zolo, nous vous suggérons, une belle balade à travers les fictions de notre époque. C'est Sara, notre lectrice chilienne (<[email protected]>), qui nous le signale. C'est un livre et un site. Il s'appelle L'échappée de Hitler d'un certain Patrick S. Burnside, dont nous ne garantissons pas l'identité. Le site se trouve à <www.hitlers-escape.com> C'est l'histoire de Hitler, qui n'est pas du tout mort à Berlin, comme un vain peuple le croit, mais qui s'est carapaté par les souterrains. A la suite de certaines péripéties, il arrive en Patagonie. Evidemment tous le services secrets sont au courant mais ils préfèrent garder Hitler au chaud juste pour le cas où il y aurait une troisième guerre mondiale, car c'est un expert de ces questions. Enfin, voyez vous-mêmes, il y a une enquête, des documents, des photos, et plein de découvertes à faire. Buon viaje!


Subjet: Hitler no se suicidó en Berl'n, murió en la Argentina Hola!, mi nombre es Sara Levi, estoy utilizando este medio junto a unos amigos periodistas freelance en todo el mundo para difundir una investigación sumamente importante de un colega. En s'ntesis la tesis de Patrick Burnside es que Hitler sobrevivió a la Segunda Guerra Mundial, se evadió de Berl'n en un avión jet y desde Noruega se embarcó con sus seguidores en un convoy de U-Boote viajando hasta la costa patagónica de la Argentina, donde, en la falda de los Andes, vivió tranquilo por casi 15 años. Esto fue posible gracias a un plan desarrollado por el jefe de la Inteligencia alemana, el Almirante Canaris, entre el 1942 y el 1943 y el rol de una de sus agentes que en la Argentina resultó indispensable Eva Mar'a Duarte. Evita, utilizando a Domingo Perón, logró ejecutar exitosamente parte del plan de Canaris, quien también tuvo conexiones interesantes en Chile y en Uruguay. Hay pruebas documentales que varios servicios de Inteligencia americanos sab'an, ya desde 1944, cuanto se hab'a proyectado y que, desde 1945, dejaron tranquilo a Hitler en caso de necesitarlo ante la perspectiva de una Tercer Guerra Mundial considerando una eventual invasión soviética a través de Alemania Oriental. Los documentos que avalan la investigación fueron desclasificados hace poco tiempo por el FBI y pese a este hecho el tema y la investigación relativa es sistemáticamente ignorado por la prensa. Se eligió este medio incorruptible por que sólo es nuestro deseo que sean de total dominio público los elementos documentales y testimoniales de lo que ocurrió. Por eso si le interesa el tema o conoce a alguien que le pueda interesar puede ingresar libremente al sitio www.hitlerescape.com donde hay una s'ntesis de la investigación nacida como complemento a la misma, donde se pueden visualizar 600 fotos y documentos muy comprometedores para la pareja Perón y los Servicios de Inteligencia estadounidenses OSS-FBI-CIA. Tiene que saberse la compleja verdad y no el dogma simplón que conocemos desde más de medio siglo, es el m'nimo que se debe a las decenas de millones de muertos de la Segunda Guerra Mundial desencadenada por Hitler. Paz Para un siglo mejor y sin mentiras Sara Levi [email protected] para engresar al sitio www.hitlerescape.com utilice como nombre usuario: sara y como password: levi


LA LIE DU SIONISME


Israeli Extremists and Christian Fundamentalists: The Alliance

By Grace Halsell


At the time I began my research for my book Prophecy and Politics, I discovered the average American I met in Washington, DC, and New York was not interested in TV evangelists and their link to Israel. Neither were book editors. I went to 25 top editors in New York with my book idea on religion and politics. Michael Korda of Simon and Schuster was typical. "Jerry Falwell? Pat Robertson? Who is interested in those crazies?"
By the time my book came out those "crazies" were on the front page of every American newspaper and on every news channel. (...) But almost everyone ignored the biggest scandal of all: the peculiar mixture of prophecy and politics professed by these and other Christian Zionists.

The Christian Zionists Message
What is the message of the Christian Zionist? Simply stated it is this: Every act taken by Israel is orchestrated by God, and should be condoned, supported, and even praised by the rest of us.
"Never mind what Israel does," say the Christian Zionists. "God wants this to happen." This includes the invasion of Lebanon, which killed or injured an estimated 100,000 Lebanese and Palestinians, most of them civilians; the bombing of sovereign nations such as Iraq; the deliberate, methodical brutalizing of the Palestinians-breaking bones, shooting children, and demolishing homes; and the expulsion of Palestinian Christians and Muslims from a land they have occupied for over 2,000 years.
My premise in Prophecy and Politics is that Christian Zionism is a dangerous and growing segment of Christianity, which was popularized by the 19th-century American Cyrus Scofield when he wrote into a Bible his interpretation of events in history. These events all centered around Israel -- past, present, and future. His Scofield Bible is today the most popular of the reference Bibles.
Scofield said that Christ cannot return to earth until certain events occur: The Jews must return to Palestine, gain control of Jerusalem and rebuild a temple, and then we all must engage in the final, great battle called Armageddon. Estimates vary, but most students of Armageddon theology agree that as a result of these relatively recent interpretations of Biblical scripture, 10 to 40 million Americans believe Palestine is God's chosen land for the Jews.

Has the power of the Christian Zionists diminished?
I do not think so. Rather, we are seeing how the Christian Zionists, motivated by religious beliefs, are working hand in glove with politically motivated, militant Jewish Zionists around the world. It is the Christian support of Zionism that emboldens Zionists to believe they can dictate to relatively weak and dependent countries such as Austria, whom they may choose as their president.
It is the Christian support of Zionism that allows Manuel Noriega to remain the strongman in Panama, misusing his power, regardless of what harm he causes to the United States, his neighbors, and his people.
It is the Christian support of Zionism that enables the militant Israelis to take over Palestinian homes surrounding the Al-Aqsa mosque in pursuit of their well-documented plan to destroy Jerusalem's most holy Islamic site, sacred to a billion Muslims around the world-one-fifth of humanity.

Christian Zionists and the Iran-Contra Scandal
Remarkably,it was this Christian cult of Israel that brought us the Iran contra scandal, perhaps the most self-destructive act in the history of the United States. Marine Col. Oliver North, the perpetrator of this misguided series of actions, is a Christian Zionist. A born-again charismatic figure, he endeared himself to the militant Israeli Zionists who plotted Iran-contra. "He is more Israeli," said one Jewish general, "than we Israelis." This is often the case. In his zealotry, the Christian Zionist can become more Zionist, more militant, than the Jewish Zionist.
In the Iran-contra hearings, Sen. James McClure (R-ID) explained to North that the US had a stated policy of neutrality in the Iran-Iraq war. That policy differed radically from Israel's policy of selling arms to Iran. Yes, agreed North, the two policies were not the same. The question, to which McClure's efforts yielded no response, then becomes: Why would the US forego its American policy to pursue Israeli policy?
The answer, unfortunately, lies in the belief system of Christian Zionists: They believe that what Israel wants is what God wants. Therefore, it is perfectly acceptable to give the green light to whatever it is Israel wants and then conceal this from the American people. Anything, including lies, theft, even murder, is justified as long as Israel wants it.
Another perfect example of a Christian Zionist is Sen. Daniel Inouye (Démocrate de Hawaii d'origine japonaise). Throughout the hearings on the Iran-contra scandal, the Hawaiian kept the focus on the contras and steered determinedly clear of any criticism of Israel. If, in answer to questions, witnesses sought to explain the seminal and continuing role of Israel, Inouye abruptly broke off the line of questioning that had led the hearings to this unwanted destination.
Despite the political problems created by its lay practitioners and the scandals that rocked some of its TV ministries, this belief system -- this cult of Israel --has not been diminished.
Indeed, I hold that Christian Zionism threatens not just the lives of Palestinians and other Arabs, but the very existence of the United States. Because of the cult of Israel, we have become a nation that does not have its own Middle East policy, but the policy the government of Israel tells us to have.
Despite the terrifying aspects of the alliance of militant Christians with militant Jewish Zionists, I find some encouraging developments. In my visits to colleges, clubs, and churches around the country, I have found strong support for the message and warning in Prophecy and Politics. It has come not only from liberal congregations, but from across the whole spectrum of Christianity, including those Christians who call themselves fundamentalists. These supporters see Christ as the bearer to humanity of God's message of peace, brotherhood, love, and reconciliation. These Christians do not endorse either the cult of Israel or its killIngs and beatings of Palestinians.
I have found many such Christians in my frequent visits to my home state of Texas. There and all over this slowly-awakening land of ours, I have found a small but increasing number of ministers and lay people who are deeply alarmed by the cult of Israel and willing to stand up and speak out about it.

Grace Halsell is a Washington, DC-based writer and author of Journey to Jerusalem and Prophecy and Politics .
<[email protected]> Wed, 16 May 2001.


GONDOLANTES GONDOLES

Distribuer de la lessive et des petits pois ne leur suffit pas. Il faut qu'il en rajoutent dans l'idéologie du conservatisme à tous crins. Voilà que le site des supermarchés d'origine suisse MIGROS s'en prend aux révisionnistes. On hallucine franchement:

Pour combattre le révisionnisme


Toujours plus de documents traitent de la Shoah. Reste à s'en servir avec discernement pour faire passer le message à nos enfants
Aujourd'hui, révisionnistes et négationnistes jouent les araignées opportunistes. Ils profitent des libertés de mouvement qu'offre la toile Internet pour distiller leurs théories fallacieuses à travers le monde. Ces cyniques nient l'existence des camps de concentration et la réalité de la solution finale. Ils font front commun avec leurs amis aux crânes rasés qui, eux, usent de ce moyen de communication pour faire de la propagande et enrôler de nouveaux membres.
Philosophes et historiens s'insurgent contre cet état de fait et demandent que ces «nazillons» soient exclus du web. Il y a en effet lieu de résister, mais la partie risque de s'avérer difficile «On peut les accabler de notre mépris et essayer de les empêcher de nuire, remarque Mih'al Gans. La vraie réponse au négationnisme cependant, c'est de former une nouvelle génération, de lui donner des outils de qualité pour juger et se faire une opinion.»
Chargée des relations internationales de Yad Layeled (une association juive implantée en Israël, aux Etats-Unis et en France qui soutient les activités du Musée mémorial des enfants de la Shoah, situé en Galilée), cette femme a présenté récemment à la presse française un site Internet en phase d'élaboration (www.yadlayeled.fr), ainsi qu'une mallette pédagogique destinée aux 10-12 ans. Précision des concepteurs dudit document: «Ce travail sur la mémoire se veut une école de tolérance, de lutte contre les racismes, de vigilance.»
En Suisse, où l'histoire du XXe siècle n'est généralement enseignée qu'en dernière année de scolarité obligatoire, à raison de deux périodes hebdomadaires de quarante-cinq minutes, on s'inquiète également de la résurgence des thèses révisionnistes. «L'Holocauste est un chapitre de l'histoire qui doit absolument être abordé. Ça doit rester une éducation permanente parce que le monstre peut renaître de ses cendres», martèle Pierre-Philippe Bugnard, professeur en histoire de l'éducation et en didactique de l'histoire aux universités de Fribourg et Neuchâtel.
Mis à part le «Chevallaz», qui occulte en partie certains épisodes gênants de la Deuxième Guerre mondiale, génocide compris (édité jusqu'en 1995 et mis depuis au rancart par la plupart des enseignants, ce livre y consacre un alinéa), le matériel scolaire et parascolaire traitant de ce sujet existe et est souvent de qualité. «Il y a des moyens, mais on ne sait pas comment ils sont utilisés, relève Pierre-Philippe Bugnard. Ce que l'on constate, c'est une très grande différence d'une classe à l'autre.» Autrement dit, ce boulot de prévention dépend du bon vouloir du prof concerné.
Et aussi de la capacité de ce dernier à faire passer le message de cet enseignement. «Pour modifier les représentations tournant autour du racisme en général et de l'Holocauste en particulier, il ne suffit pas de disposer d'un bon manuel à apprendre pour l'examen, note le docteur en histoire. Seul un travail en profondeur permet de tordre le cou à celles-ci
Alain Portner
Construire
41, 10 octobre 2000. Site de MIGROS.ch

Autrement dit, si on comprend bien, tous les jeunes Suisses sont naturellement révisionnistes et il faut travailler d'arrache pied pour en convaincre quelques-uns du contraire. Cette histoire, c'est du vrai fendant !


LE CHEWING GUM NE FAIT PAS LA BEGUM

Récemment, le New York Times a révélé qu'Hilary Clinton avait dû, conformément à la loi, rendre des bijoux pour une valeur de sept mille dollars, que lui avait offert Yasser Arafat et, d'après le même informateur au gouvernement américain, Madeleine Albright, ministre des affaires étrangères pendant le second mandat de Clinton, a reçu pour dix-sept mille dollars de bijoux du même donateur (Edward Said, Al Ahram Weekly)
A short time ago it was revealed in the New York press that Hilary Clinton had been compelled by federal law to return $7,000 worth of jewelry given to her by Yasser Arafat; and, according to the same official US government source, Madeleine Albright, Secretary of State during the second Clinton presidency, had received $17,000 worth of jewelry from the same generous donor. (Edward Said, dans al Ahram Weekly. en anglais)


CHRONIQUE DE L'AHURI DES POUBELLES


Le 10 mai, l'ahuri des poubelles était attrait devant la XVIIe chambre par les éditions de l'Harmattan qui se jugeaient diffamées par les âneries répandues par l'ahuri sur les écrans du site <aministia.net>. Il s'est lancé dans des tirades mégalo comme quoi l'affaire Garaudy c'était lui, que Wiesel était son pote, que les négationnistes c'était très grave, et patin et couffin. La procureuse l'a sabré en plein élan et lui faisant savoir qu'elle était là pour faire respecter les lois sur la presse (qui répriment la calomnie) et non pour complaire aux excités. Son avocate s'est ridiculisée parce que deux des trois personnes qu'elle faisait comparaître étaient complètement en dehors du coup, ils avaient amené un témoin encore plus foireux qui se bornait à supputer que l'Harmattan était forcément financé par une officine d'extrême droite parce qu'on avait refusé de publier le témoignage d'une amie d'une employée de l'Harmattan, qui était pourtant une pauvre juive victime de discriminations etc. Denis Pryen, patron éternel de l'Harmattan regardait tout ça impavide , comme une algue qu'on écrase sur la plage et qui fait un bruit de pet. La procureuse n'a vu aucune diffamation raciale dans le texte de Salah El Hamdani, reproduit ci-dessous. "Policier israélien" lui semble une expression tout à fait autorisée. A nous aussi. Jugement le 14 juin.



LES NAINS N'ENGENDRENT PAS DES GÉANTS

Lettre à Didier des nains ks

Monsieur,
Le 23 septembre dernier, j'ai reçu deux torchons intitulés "Sciences inhumaines à l'Harmattan" publiés par vous dans la revue Amnistia sur Internet, que je considère comme un ghetto de névrosés. Vous êtes malhonnête et surtout frustré de n'être ni un bon écrivain ni un poète.
Des pensées maléfiques vous prennent certainement très tard la nuit et vous voulez salir gratuitement des poètes pourchassés par des régimes dictatoriaux fascistes comme celui de Saddam Hussein.
[...] Dans la liberté pour l'individu de parler et d'écrire, l'humanité trouvera son salut.
Ce n'est pas avec un policier arabe, un policier français, ni un policier israélien comme vous que le monde trouvera la paix un jour. [...]
Salah al Hamdani


Nous avons la lettre entière. On comprend que l'ahuri ait quitté le Palais la queue basse.


CASSEURS

On apprend que la Cour de cassation a rejeté, le 13 mars 2001, un pourvoi en cassation formé par Jean Plantin, directeur de la revue révisionniste Akribeia (45/3, route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval), contre une décision de la cour d'appel de Lyon en date du 21 juin 2000 qui l'avait condamné à six mois de prison avec sursis, à 10.000 francs d'amende et à 54.000 francs de dommages-intérêts à trois associations (Licra, B'nai B'rith, Sos-Racisme) pour avoir mentionné dans sa revue le titre de plusieurs revues interdites de vente aux mineurs.Le même jour, la Cour a rejeté son second pourvoi . Il avait été condamné le 21 juin 2000 par la cour d'appel de Lyon à six mois de prison avec sursis et à 30.000 francs d'amende et à 45.000 francs de dommages-intérêts à deux associations (Licra, Sos-Racisme). Interdiction lui avait également été faite, pour une durée de trois ans, d'exercer le métier d'éditeur. La Cour de cassation entérine donc toutes les décisions liberticides de la cour d'appel de Lyon. Rappelons que, dans cette affaire, Plantin avait été poursuivi, en vertu de la loi Gayssot, pour avoir notamment contesté l'existence de chambres à gaz à Buchenwald et à Bergen-Belsen, là où aucun historien ne prétend qu'il y en ait jamais eu, mais les juges de Lyon ont la science infuse. Au total, Plantin devra donc verser la somme minimum de 140.000 F. Les deux ordinateurs de J. Plantin qui avaient saisis en 1999 lors d'une perquisition sont définitivement confisqués par la justice française.


GROSSE RAQUETTE

 

Un communiste "scandalisé"
[Serge Klarsfeld] sera-t-il entendu de l'Élysée comme il l'a été du Conseil d'État, lequel a déclaré valide le décret très discriminatoire accordant le paiement d'une indemnité de 180.000 francs ou d'une rente à vie aux orphelins (aujourd'hui sexagénaires) des seuls déportés "pour motifs raciaux" ?
Cet arrêt du Conseil d'État entérinant une dérogation au droit commun a, on le sait, déclenché la fureur des autres orphelins de parents morts en déportation, au point que, le 8 mai, Maurice Choquet, président départemental de la fédération nationale des déportés résistants politiques dans le Rhône, déclarait: "L'holocauste n'a pas touché que le peuple juif mais il ne se passe pas une émission, un journal télé qui parle des déportations sans faire le lien avec le seul peuple juif. L'indemnisation leur est réservée et c'est scandaleux. Combien de milliards ont déjà été versés à Israël sans que personne ne puisse se prononcer sans passer pour un révisionniste ? Les trois quarts de la population juive ont survécu protégés par des citoyens, pour un quart de déportés. Au Pays-Bas, à la même époque, les statistiques sont inversées. Le peuple de France n'a pas été déporté." Une contestation de la vulgate (publiée dans Le Progrès du 15 mai 2001) qui prend tout son sel quand l'on sait que le camarade Choquet fut adjoint communiste au maire de Poligny et qu'il se targue de n'avoir "jamais roulé avec une voiture chleuh depuis 50 ans".
Les nouveaux diktats de Serge Klarsfeld
Sans doute son exaspération serait-elle plus grande encore s'il savait comment la décision du Conseil d'État a été obtenue par Serge Klarsfeld, dans son éditorial, signé S. K., du n· 74 du Bulletin de liaison des Fils et Filles des déportés juifs de France-Militants de la mémoire, bulletin qu'une aimable "taupe" nous a fait parvenir: "par notre plus récent courrier, nous vous avions demandé de manifester à nos côtés le 23 mars devant le Conseil d'État pour exprimer notre opposition à la menace d'annulation du décret du 13 juillet 2000... Nous vous avions annoncé notre manifestation qui mettait en cause le comportement du Conseil d'État envers les Juifs de 40 à 44 en souhaitant qu'il ne récidivât pas. L'effet a été salutaire... Nous avons agi comme nous devions le faire, avec énergie et détermination." Des photos de la manifestation place du Palais-Royal sont parlantes. On y voit notamment des déportés (ou plutôt leurs fils) en pyjama rayé brandissant une immense banderole : "Le Conseil d'État s'est trop mal conduit de 1940 à 1944 pour récidiver".
Dans le même édito, Me Klarsfeld annonçait un nouveau lobbying, cette fois pour l'extension du décret d'indemnisation aux "orphelins Juifs morts en France avant d'être déportés, fusillés ou exécutés sommairement", et même à "ceux dont les parents ont été abattus en tentant de franchir la frontière suisse ou espagnole" ou, mieux encore, "sont morts à leur libération du camp de Drancy en novembre 1941 des suites de la famine endurée dans le camp". Et, the last but not the last, doivent être également réparés les torts faits à "ceux dont le père n'a pu les reconnaître car interné dès 1939 comme ressortissant ennemi (c'est-à-dire en tant qu'Allemand présumé favorable au Reich!), etc." Et le papa d'Arno de conclure: "Ceux d'entre vous qui sont dans ces cas savent qu'ils peuvent compter sur nous pour défendre leurs droits légitimes: c'est ce que nous faisons."
Les orphelins de juifs décédés avant la guerre en glissant dans l'escalier ou d'une indigestion devront-ils également être rentés à vie ? Nous est avis qu'informés de ces nouvelles revendications (légitimes, notez bien?), pas mal de déportés ou de descendants vont s'en indigner à l'instar de M. Choquet au risque de "passer pour révisionnistes".
Claude Lorne
Rivarol, 25 juin 2001.(Extrait)


2

- INTERNET ET LA FLICAILLE



LES PIONS ET LES ESPIONS

La surveillance et de contrôle d'Internet sont en augmentation croissante, tant dans leur diversité que dans leur puissance.
Tous les pays dits "démocratiques" ont en effet mis au point des structures permettant d'espionner tout ce qui circule sur Internet. Le projet "Echelon", mise en commun des ressources techniques et quadrillage systématique d'Internet par les pays les plus industrialisés, n'en est que l'un des exemples. Et bien entendu, dans les pays "non démocratiques", les mesures de contrôle, si elles ne sont pas connues, n'en existent pas moins.
La NSA (National Security Agency) américaine peut intercepter tout fichier circulant sur Internet. Et donc bien entendu en particulier les emails. Plus généralement, même si c'est avec des moyens plus limités, sachez que tout ce que vous pouvez écrire et lire sur Internet peut être lu par des tierces personnes.
Vous êtes à votre bureau, ou chez vous. En admettant que votre ordinateur soit "sûr", sans aucun virus ou Cheval de Troie, sachez bien que toute information entrant ou sortant de votre ordinateur par le biais du modem, peut être interceptée.
Le plus évident est déjà votre fournisseur d'accès. Il peut d'un regard savoir quels sites vous avez visité, durant combien de temps, et si vous y avez effectué des achats par exemple. Vos emails ? C'est encore plus facile! Savez-vous que les emails que vous "effacez" après lecture, ne sont en aucun cas effacés des disques durs de votre fournisseur d'accès (FAI)? Ils y seront archivés durant... "un certain temps"! Durant ce temps, tout un chacun ayant accès aux serveurs de votre FAI, peut les y consulter. Et bien entendu, cela est aussi possible avant que même vous ne les ayez lus!
Vous envoyez un email. Avant d'arriver chez votre correspondant, il va transiter par plusieurs ordinateurs. A chacun de ces niveaux, il peut être lu, ou/et copié et archivé. Même sans être James Bond en mission secrète, on peut très bien avoir des choses que l'on ne désire pas divulguer! Avec les emails, inutile d'y penser !
A moins de se protéger des éventuelles indiscrétions...
Un email peut être crypté, pour que son contenu ne puisse pas être connu par toute personne autre que son destinataire.
Plus fort encore, vous pouvez cacher l'adresse email de votre destinataire. Tout "espion" verra que vous écrivez à un remailer, et ne saura donc pas à qui vous écrivez. Vous pouvez également recevoir du courrier sans que la personne qui vous écrit ne sache qui vous êtes, et sans que personne ne puisse savoir que cette personne vous écrit.
Vous pouvez également cacher les adresses des services auxquels vous vous connectez. La aussi, en faisant appel à des "rerouteurs", les Proxies. Ils offrent une bonne sécurite pour que les services auxquels vous vous connectez ne sachent pas qui vous êtes, mais sont très faibles si vous voulez que personne ne puisse tracer vos connexions, et donc voir sur quels services vous vous connectez. Pour ceci, si vous êtes réellement paranoiaque et si vous voulez 99% de secret, utilisez un tunnel.
Nous ne rentrerons pas sur ce site dans les explications techniques complexes, mais donnerons des exemples pratiques d'utilisation des logiciels les plus performants à ce jour. Vous trouverez les liens pour vous les procurer dans la section Logiciels. Ils sont généralement gratuits, développés pour l'ensemble de la Communauté. Ces logiciels sont pour la plupart en anglais, mais nous avons préparé à votre intention des explications en français !
(...), Cameleon International Ltd.
http://cameleon.org/koi.html

Le "top" pour que même votre FAI ne sache pas ce que vous faites sur le Net: Le tunnel, qui allie les avantages des proxies et du cryptage. Un Tunnel est une liaison cryptée entre votre ordinateur et un service distant, que vous utiliserez comme Proxy. A quoi ca sert ?
Vous avez vu que toutes les informations entrant ou sortant de votre ordinateur peuvent être interceptées par des tierces personnes. Si l'on ne peut empêcher cette interception (par exemple par votre fournisseur de service), on peut faire en sorte que les données interceptées ne puissent pas être lues. Il faut donc les crypter.
La solution est donc de systématiquement tout crypter ce qui sortira et entrera dans votre ordinateur, de les envoyer à un service Proxy qui les décryptera, et les traitera, c'est à dire les enverra à leur destinataire. De la même manière, les informations qui vous seront envoyées en retour transiteront par ce Proxy, qui les cryptera et vous les enverra.
Ceci peut concerner des emails bien sur, des articles de forum, mais aussi des adresses de services web, des adresses ftp, etc etc...
Tout "curieux" interceptant vos données ne verra donc que deux choses :
1- Toutes les données sont envoyées à UN seul service, ou proviennent d'un seul service (le Proxy).
2- Toutes ces données sont cryptées et donc illisibles.
Bien entendu, les opérations de cryptage et décryptage se font en temps réel, et automatiquement.
Comment faire, pratiquement ? Ceci demande un peu plus de "matériel", ou plutot de logiciel, et surtout demande un Proxy qui accepte de crypter et décrypter vos données. Ces services sont bien entendu payants. Consultez notre Liste. Il vous faut également un logiciel qui traitera (cryptera et décryptera) vos données. Ce logiciel doit être le même que celui du Proxy. La aussi, consultez notre Liste. Une fois le logiciel installé, vous aurez à le paramétrer, en indiquant le Proxy choisi (nom ou adresse IP), et en lui indiquant quelles données vous désirez qu'il traite : Emails, http, newsgroups. L'installation est quelque peu technique, mais nous sommes à votre disposition pour vous y aider. Bien entendu, vos logiciels devront être paramétrés également. Si par exemple vous désirez surfer sur le Web en utilisant votre tunnel, vous devrez dire à votre navigateur d'y envoyer toutes les requêtes. De même pour les articles de newsgroups et les emails.
Lors de la première connexion au Proxy, celui-ci vous enverra une paire de clés permettant cryptage et décryptage. Ces clés vous sont personnelles, et sont changées automatiquement à intervalles reguliers.
L'emploi d'un tunnel crypté demande donc un logiciel spécifique, et un paramétrage de vos logiciels. En contrepartie, toutes les données transitant par votre ordinateur seront cryptées. Et bien entendu, les adresses IP indiquées comme étant "les vôtres" seront en fait celles du Proxy.
Adresse IP : C'est un numéro de type aaa.bbb.ccc.ddd, qui identifie le FAI par qui vous êtes connecté sur Internet. Si vous avez une liaison permanente, l'IP est toujours la même. Si vous vous connectez par modem sur une ligne téléphonique normale, votre IP est "dynamique", seule la zone "ddd" change à chacune de vos connexions.

Il existe très peu de services de tunnels cryptés accessibles "au public". Nous vous présentons ici la solution que nous avons selectionnée, qui offre toutes garanties de sérieux, fiabilité, et d'un prix très accessible.
Logiciel nécessaire : Secure CRT de VanDyke Technologies
(Restrictions Export : Utilisez un Proxy situé aux USA !)
Version d'essai valable 30 jours. Ensuite, deux solutions : Vous payez $ à VanDyke, ou vous nous contactez...
Les Abonnés à notre "Red Alert" pourront avoir une documentation en français sur le paramétrage de Secure CRT.

Tunnel : Anonymizer, de Anonymizer, Inc.
Tarif : $ 29.99 pour 3 mois, vous donnant droit à une utilisation illimitée du tunnel, un email POP/SMTP, et un espace pour héberger vos pages. Aucune identité ne vous est demandée, même pas un email !
Remise de 10% sur les tarifs d'Anonymizer, offerte par Cameleon :-)
Abonnés à notre "Red Alert", nous pouvons payer à votre place à Anonymizer, vous resterez donc anonymes. Et vous aurez non pas 10, mais 15% de remise.
Pour recevoir par email une documentation en français sur le paramétrage de vos logiciels de navigation, email ou newsgroup, écrivez-nous
Cameleon International Ltd.
tunnel.html

On savait que la Chine, les Emirats Arabes Unis, la Corée du Nord, étaient à la pointe du combat POUR la censure sur Internet. Eh bien la France les dépasse, en censurant même les emails, ce qu'AUCUN autre pays n'a encore osé faire !
Non, vous ne rêvez pas, la France censure bel et bien Internet, que ce soit dans les messages publics sur les forums de discussion. ou dans les correspondances privées (les emails). Cette situation, exposée sur les forums "non-français" a provoqué la stupeur, et la France est une fois encore la risée du monde, concernant Internet.
Situation: Les Faits
Si vous êtes abonné à un serveur géré par Proxxx (Par exemple frxxx.fr), vos emails sont contrôlés avant de vous être distribués !
Tout email en provenance de Supernews, Altopia et Cyberpass, 3 serveurs américains regroupant environ 30% des internautes de ce pays, est détruit sans vous être distribué.
Pourquoi ? De vagues accusations d'abus provenant de ces serveurs ! Il n'en faut pas plus pour que les Zorros français décident de détruire des milliers d'emails, sans bien entendu en informer leurs abonnés. Vol, détournement et destruction de correspondance!
Meme les pays réputés les plus durs au niveau de la censure sur Internet (Emirats Arabes Unis par exemple) ne filtrent pas le courrier personnel!

Newsgroups

Encore menés tambour battant par Proxxx , les grands démocrates qui régissent les newsgroups francophones (fr.) ont décidé de censurer tout message en provenance de Corp.Supernews, Cyberpass, Usenet.com, et Altopia.net. De plus, tous les messages postés par des "passerelles anonymes" (mail2news par exemple) sont eux aussi détruits automatiquement. La encore, le prétexte est "des abus ont été commis" !
Mais la, pour les newsgroups, tous les FAI francais jouent le jeu et censurent a tour de bras !
Notons que bizarrement, tous les serveurs censurés sont ceux qui autorisent l'anonymat des posteurs. On ne censure bien entendu pas le nid de spammeurs qu'est AxL !!!
Notons également que contrairement aux usages des newsgroups, les messages censurés ne font l'objet d'aucun message dans le groupe "control.cancel". Ces messages donc n'ont jamais existé ! Pratique... Dans certains pays, ce sont les gens qui "pensent mal" qui disparaissent sans laisser de traces, eh bien la France est sur la bonne voie

Que faire?
Très nombreux sont ceux ayant posé des questions aux administrateurs des FAI. Ceux-ci ne savent que répondre "Il y a des abus, et nous décidons de fermer tel ou tel accès". Imaginez votre facteur qui détruit votre courrier "parce que des lettres anonymes injurieuses ont été postées".
Il semble en fait que les FAI français ne supportent pas le fait que certaines personnes puissent utiliser d'autres services que les leurs, qui fichent leurs utilisateurs dans tous les sens.
Nous proposons des moyens techniques pour contourner cette censure, par l'utilisation de proxies, remailers, et serveurs de news "ouverts".
Soyons clairs, nous n'approuvons pas les spams, usurpations d'identité ou autres actes délictueux. Si de tels abus sont commis, que l'on en poursuive pénalement les responsables. Mais il est inadmissible que de tels abus, commis par un nombre tout a fait limité de personnes, provoquent la censure de milliers d'autres. Par ailleurs, des quantités énormes de messages à caractère ouvertement raciste, usurpant des identités, ont été postés sur les groupes fr.soc.politique, depuis.... depuis Frxxx.fr ! Or Frxxx.fr n'est pas censuré...
On est alors en droit de se demander si certains FAI français, soucieux de garder un controle total sur les forums "fr.", ne créent pas eux-même de l'agitation pour justifier leurs mesures de censure...
Vous pouvez consulter les forums "alt.privacy" et "alt.privacy.anon-server", deux forums heureusement non-censurés par les français, pour suivre l'évolution des choses. Nous avons par ailleurs été informés que d'autres actions sont en cours, soutenues par de nombreux internautes hors de France. Vous pouvez consulter les pages suivantes, faites par des mouvements totalement indépendants de Cameleon, qui ne saurait être tenu responsable de leur contenu.
- Très légaliste: "Non à la censure", Ministère Français de l'Injustice
- Projet Emeraude: Voyez comment la France veut imposer aux FAI le controle des mails .
Cameleon International Ltd
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Echelon, vous connaissez. Mais Emeraude ? Surement pas ! Et pourtant... Voyez comment la France met en place le controle de "son" Internet... et des "ses" internautes !

La crypto en France
Jusqu'en 1999, l'usage de la crypto "forte" était interdit en France, étant du ressort du Ministère de la Défense. Pourquoi ? Selon l'administration francaise, la crypto permettrait aux terroristes et gangsters de tout poil, de berner les services chargés de lutter contre eux. Toujours le même épouvantail pour brider la liberté d'expression ! Ceci n'empêchait d'ailleurs pas que le logiciel PGP, interdit en France, y soit largement utilisé.
Puis, se rendant compte sans doute du ridicule de cette position, l'usage de la crypto "forte" a été autorisé sans mesure de controle. Et on assiste depuis quelques mois à une importante augmentation du nombre de personnes l'utilisant en France. L'utilisation principale en est le cryptage des emails.
Ceci "inquiète" pas mal de gens en France, qui sont persuadés que ces moyens de cryptage sont un avantage donné aux malfaiteurs, puisque la police sera dans l'impossibilité de décrypter tout fichier protégé.
Les plans français de controle d'Internet
Ceci contrarie également les "plans" du gouvernement visant au contrôle total d'Internet. On parle beaucoup actuellement d'Echelon, système d'espionnage électronique installé par les américains, mais bizarrement on omet de signaler que, actuellement, l'Angleterre met en place un système de contrôle d'Internet, comme l'Allemagne, et comme..la France !
En effet, le Royaume Uni, l'Angleterre, et la France, mettent en place chacun de leurs cotés un "centre d'écoutes" vers lequel tous les Fournisseurs de Service devront être prêts, sur injonction, à dérouter tout ou partie du trafic. Ceci existe déjà en Russie, sous le nom de "Sorm-2".
Le projet Francais a pour doux nom "Emeraude". Ce nom a t-il été choisi en relation avec Rubis et Saphir, les 2 systèmes de transmissions et de bases de données de la gendarmerie française ? Nous ne le savons pas. D'ailleurs, qui a déjà entendu parler d'Emeraude ?
Emeraude, ou l'espionnage des citoyens français par le gouvernement français
Le projet Emeraude consiste à installer les moyens d'interception de tout trafic, incluant bien entendu les emails, ayant pour origine ou destination un internaute situé sur le territoire français, utilisant donc en principe les services d'un fournisseur de service français. C'est techniquement très facile, comme en quelque sorte d'installer une "bretelle" sur une ligne téléphonique.
Le but de ce projet ? Selon une note en date du 3 février 2000 du cabinet du Premier Ministre français, "permettre aux services de lutte contre le terrorisme et contre le banditisme organisé, d'intercepter tout échange de données et d'informations susceptibles de porter atteinte à l'ordre public ou à la sécurité du territoire."
Louable intention. Le problème est que la France a depuis plusieurs années mis en place des lois restreignant la liberté d'expression (Loi Pleven, loi Gayssot en particulier). On est donc en droit de se demander si un tel outil d'interception des communications sera employé uniquement dans les buts pour lesquels il a été conçu.
Juridiquement, les choses sont simples: Tout magistrat peut ordonner l'interception des communications de toute personne soupconnée de quoi que ce soit, par "commission rogatoire". Ce sont les écoutes "judiciaires". De plus, dans les cas d'atteintes à la sûreté de l'Etat, le Premier Ministre peut ordonner des écoutes "administratives", comme celles ordonnées par exemple par François Mitterrand contre Carole Bouquet ! Le cadre juridique existe donc.
Comment Emeraude "résoud le problème PGP"
Avec le développement de la crypto "à la portée de tous", le projet Emeraude a un gros problème ! En effet, intercepter les emails c'est bien, mais si ceux-ci sont cryptés, ça ne sert pas à grand-chose. Et pas question pour le gouvernement de revenir en arrière et interdire la crypto "forte". Mais une solution a été trouvée !
Des constats simples ont été faits:
PGP est quasiment le seul logiciel de cryptage utilisé par le "grand public" (et donc les terroristes et gansgsters !) Tout message crypté par PGP commence par les mêmes séquences.
Il a donc été décidé, très simplement, deux choses:
1.Repérer les suspects potentiels, c'est à dire tous ceux qui cryptent leur courrier. Dans le lot, il se trouvera bien quelques terroristes et gangsters.
2.Par ailleurs, "en cas de doute", puisque on ne peut pas décrypter les données, on les détruit. En espérant qu'elles seront alors renvoyées non cryptées !
Et comme les "services" ne veulent pas passer leur temps à contrôler le courrier, le boulot sera imposé aux fournisseurs de service ! C'est d'ailleurs en quelque sorte ce qu'il se passe concernant les écoutes téléphoniques, qui sont maintenant effectuées par des agents des télécoms, qui transmettent ensuite les bandes aux services demandeurs (Sauf en cas d'écoutes "administratives", alors gérées directement par le Ministère de la Défense).
Ainsi, les 3 plus grands fournisseurs de service francais ont été priés, au mois de mars 2000, de préparer un système de contrôle des mails, directement sur leurs serveurs. Concrètement donc, si vous cryptez votre courrier, vous serez inscrit sur une liste particulière qui sera transmise au ministère de l'intérieur. N'oubliez pas que votre Fournisseur sait qui vous êtes, puisqu'il connait le numéro de téléphone par lequel vous vous connectez.
Et si l'administration a un "doute" vous concernant, ordre sera donné au FAI de détruire le courrier crypté, espérant que vous le ré-expédierez non-crypté.
Selon nos informations, sur les trois Fournisseurs de service concernés, les trois sont fin prêts à collaborer! Et donc à espionner vos emails.
Les autorités françaises ont prouvé leur goût prononcé pour la censure en rétablissant le "délit d'opinion" (lois Pleven et Gayssot). Il devient donc urgent de se protéger de cette nouvelle violation permanente de la vie privée, instaurée sous le louable prétexte de lutter contre la criminalité.
Comment se défendre
Un moyen de contrer cet espionnage consiste à utiliser un autre logiciel que PGP. Facile pour les "professionnels" de l'informatique, beaucoup moins pour les "amateurs".
Un autre moyen est d'employer des procédés de stéganographie, consistants à dissimuler au sein de fichiers "anodins" (images, pages html, etc) d'autres fichiers. Cette solution est de loin la plus "sure", car vos fichiers confidentiels peuvent alors être encryptés par PGP, puis cachés au sein par exemple d'une photo de vacances. Le "filtre PGP" ne détectera strictement rien.
Consultez notre section "Stéganographie".
Cameleon International Ltd.


JOSPIN FAIT LE PÉTAIN

 

Communiqué de presse d'IRIS - 21 mai 2001 (extraits)

Dans un rapport de 30 pages publié aujourd'hui, l'association IRIS (Imaginons un réseau Internet solidaire) présente dans une première partie une analyse d'ensemble de l'avant-projet de loi sur «la société de l'information». La seconde partie du rapport traite dans le détail chacun des 61 articles du texte, et présente les modifications qui paraissent nécessaires à l'association.
Pour une loi sur la liberté de communication en ligne
Le texte de l'avant-projet est loin des grandes ambitions affichées par le gouvernement sur la «société de l'information», note d'emblée le rapport: on y trouve pêle-mêle «diverses mesures d'ordre électronique», visant à modifier sept lois et autant de codes, ainsi que d'innombrables décrets. Un tiers des articles renvoient eux-mêmes à des décrets administratifs, y compris pour des questions capitales du point de vue des libertés constitutionnelles.
Liberté et responsabilités dans la communication en ligne : Régression sur la responsabilité des intermédiaires techniques, appel à la délation pour les fournisseurs, force de loi donnée à la jurisprudence contestable dans l'affaire Yahoo!, extension des droits des auteurs aux titulaires de droits voisins en matière de saisie-contrefaçon, établissement implicite que la publication en ligne est une publication continue... IRIS analyse en détail ces dispositions qui font des intermédiaires techniques des auxiliaires de police, et des éditeurs de contenus des citoyens de seconde zone.
-- Protection de la confidentialité et des données personnelles : Après une clause de style pour l'effacement des données dès la fin d'une communication, l'article 17 rend finalement systématique la conservation des données pendant une année. Tout en se félicitant que ces données excluent les données de consultation de sites web, IRIS relève que l'identité des personnes impliquées dans une communication, même privée, pourra être connue et conservée.
-- Lutte contre la cybercriminalité, «écoutes électroniques», cryptographie et déchiffrement des données : Le texte assimile les chercheurs et spécialistes de sécurité informatique à des pirates, alors que même le Conseil de l'Europe a reculé sur ce point du projet de convention sur la cybercriminalité. Par ailleurs, on note une régression certaine sur les garanties de la défense et la présomption d'innocence. IRIS demande donc qu'un certain nombre de procédures soient soumises à une décision du juge des libertés et de la détention, qui peut statuer dans le cadre d'un débat contradictoire. IRIS relève également qu'en introduisant des circonstances aggravantes pour l'utilisation d'un moyen de cryptographie dans la commission d'infraction, la cryptographie est assimilée à une arme, et ceux qui l'utilisent sont des suspects en puissance. Enfin, le texte autorise l'auto-incrimination, ainsi que l'incrimination par les proches, et risque en outre de porter atteinte au secret professionnel des avocats.


Le rapport intitulé «Avant-projet de loi sur la "société de l'information": analyse et recommandations d'IRIS » est disponible sur le site de l'association : <http://www.iris.sgdg.org/documents/rapport-lsi-apl/>.
Le dossier d'IRIS sur la LSI est mis à jour avec d'autres avis et réactions : <http://www.iris.sgdg.org/actions/lsi>. C e communiqué sur le web :
<http://www.iris.sgdg.org/info-debat/comm-lsi-apl0501.html >


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Les suites de Beyrouth


Sous les cailloux, la Palestine



PAS BONNE

 
Dire la vérité sur Israël

Robert Fisk


Que se passerait-il si nous avions défendu le régime d'apartheid dirigée contre la population noire majoritaire d'Afrique du Sud? Si nous avions encensé le gouvernement blanc de ce pays en le qualifiant de "guerriers de grande valeur" au lieu de racistes? Si nous avions justifié la fusillade de cinquante-six manifestants noirs à Sharpeville en n'y voyant qu'une bavure compréhensible de la police d'Afrique du Sud, assurant la sécurité? Et traité les enfants noirs abattus par la police comme des cas "d'enfants sacrifiés" par leurs parents? Si, enfin, nous avions exigé que les dirigeants "terroristes" de l'ANC "contrôlent leur peuple"?
C'est pourtant ainsi que nous traitons la guerre palestino-israélienne pratiquement tous les jours. Quel que soit le nombre de jeunes gens abattus par les Israéliens, le nombre de meurtres (des deux côtés) et la réputation d'assassin du premier ministre israélien, nous parlons de cette guerre terrible exactement comme si nous avions soutenus les Blancs d'Afrique du Sud contre les Noirs. Non, l'état d'Israël n'est pas l'Afrique du Sud (bien qu'il ait soutenu allègrement l'apartheid) et non, les Palestiniens ne sont pas les Noirs des bidonvilles. Mais il n'y a pas beaucoup de différence entre Gaza et les taudis noirs de Johannesburg ni entre la tactique de l'armée israélienne dans les territoires occupés et celle de la police sud-africaine. L'apartheid avait ses escadrons de la mort, exactement comme Israël aujourd'hui. Mais eux, au moins, n'avaient pas d'hélicoptères de combats ni de missiles.

The Independent , 17 avril 2001. Traduit de l'anglais



LE RABBIN SPONGIFORME

L'Evangile haineux de l'Occident plante ses racines au Moyen-Orient


par le rabbin Abraham Cooper


Le 7 avril, tandis que partout dans le monde les juifs se rassemblaient pour célébrer la première nuit de la Pâque, un groupe d'intellectuels arabes, avec en tête l'Association des Ecrivains de Jordanie, mettait la dernière main à un "forum sur les historiens révisionnistes".
Le but du forum d'Amman était d'apporter son soutien aux négateurs de l'Institute for Historical Review dont la Conférence internationale de Beyrouth, intitulée "Révisionnisme et Sionisme" et annoncée à sons de trompe, avait été courageusement annulée par le gouvernement libanais. Pour l'instant, la grande fête de la haine voulue par l'IHR se retrouve sans domicile, au grand dam de l'organisateur de l'événement, Jürgen Graf, fanatique professionnel qui a fui la Suisse après avoir été condamné à la prison pour avoir diffamé la mémoire des victimes d'Hitler, et qui avait trouvé refuge à Téhéran. Alors, il ne savait plus où réunir la galerie-vedette de gredins internationaux de l'IHR, qui comprenait le dirigeant d'extrême droite allemand Horst Mahler et le président de National Alliance et en même temps auteur des "Cahiers Turner", William L. Pierce, dont le livre raciste a inspiré à Timothy McVeigh le plastiquage de la ville d'Oklahoma.
Mais Graf et l'IHR ne sont pas restés longtemps le bec dans l'eau. Voilà Ibrahim Alloush qui est arrivé pour rallier à leur cause "des foules d'écrivains et d'intellectuels à travers la Jordanie, la Syrie et le Liban prêts à défendre la liberté d'expression dans le monde arabe et à rétablir la vérité sur les Historiens révisionnistes". Le forum d'Amman, selon Alloush, "n'est que le commencement d'une série d'opérations qui, espérons-le, aboutiront à une conférence des historiens révisionnistes dans un pays arabe". Les mondes arabe et musulman, nous dit-il, doivent conna"tre un certain nombre de "vérités" scientifiquement prouvées comme le fait que "les prétendues chambres à gaz n'ont pas été utilisées pour exterminer systématiquement les juifs mais pour brûler les cadavres de personnes de différentes nationalités (après leur mort) afin de pallier les épidémies". Parmi les "prétendues victimes": Anne Frank. En dépit de ces projets, la conférence d'Amman a été annulée - en tout cas pour l'instant. Des fonctionnaires jordaniens s'étaient inquiétés auprès des organisateurs à l'idée que l'événement pourrait gêner le jeune roi de Jordanie Abdullah au moment où il s'apprêtait à rencontrer pour la première fois le président George W. Bush à la Maison Blanche.
Des annulations de ce genre ne sont pas évidentes à Damas. Là, un assaut de haine a été lancé en parallèle par le président Bachir Assad, qui a fait ses études en Occident: à deux reprises il a dit des Israéliens qu'ils étaient "pires que les nazis". Sur une toile de fond pareille, la décision prise par le premier ministre libanais Rafiq Hariri de virer la Convention de l'IHR n'en était que plus courageuse. Comme il l'a déclaré, "le Liban a mieux à faire que de tenir des conférences qui portent tort à son image internationale et qui salissent son nom".
Mais hélas, en dépit de l'initiative prise par Hariri, bien trop de gens, dans le monde arabe et le monde musulman , enseignent le contraire à leurs enfants: à savoir que l'Holocauste n'a pas existé. Pour eux, gommer les leçons historiques et morales de la Shoah sert à nier la légitimité d'Israël et à diaboliser tous les juifs. Et ce qui est particulièrement alarmant, c'est que cette campagne gagne du terrain au moment précis où le premier ministre israélien, Ehud Barak, faisait publiquement une proposition de paix sans précédent aux Palestiniens dans laquelle aurait même figuré le Mont du Temple.
De Téhéran à Baghdad, à Damas, à Gaza, au Caire, l'idéologie négationniste est propagée, accompagnée d'un évangile de "guerre sainte", par ceux qui se consacrent à délégitimer le peuple juif et à détruire l'Etat d'Israël. En mai 2000, l'ambasssade d'Iran à Vienne a accordé asile au négationniste autrichien Wolfgang Fröhlich qui avait témoigné en tant qu'"expert" en matière de Zyklon B et de chambres à gaz au procès de Jürgen Graf en Suisse. Et, en février 2001, le Dr Younes Geranmayeh a, dans le Tehran Times, tourné en dérision la "Conspiration d'Auschwitz" perpétrée par "une poignée de mystificateurs juifs" qui "se présentent en témoins des chambres à gaz". Plus près d'Israël, Abdallah Horani a déclaré à ses camarades palestiniens que, "au lieu de parler du prétendu Holocauste, (nous) ferions mieux de nous intéresser aux doutes (à son sujet) qui gagnent du terrain au sein de l'arène internationale et dans les milieux des principaux intellectuels européens". Le cheik Nafez Azzam, du mouvement de la "Djihad palestinienne" à Gaza, maintient que toute "intention d'enseigner l'Holocauste dans les écoles palestiniennes vient en contradiction avec l'ordre naturel de l'univers". Et le chroniqueur Anis Mansour, qui écrit dans le journal officiel égyptien Al-Ahram, dit qu'il devrait "devenir évident aux yeux du monde que ce qui est arrivé aux juifs d'Allemagne, de Pologne et de Russie était justifié".
Il ne faut pas s'étonner si l'institut américain IHR rêve de participer et d'être à la tête d'une vague de haine au Moyen-Orient qui lui gagnerait une notoriété et une influence internationales sans précédent. (...)
Pendant ce temps-là, aux Etats-Unis, les négationnistes professionnels recrutent de nouveaux défenseurs. Récemment, le magazine Esquire (a eu l'audace de présenter les révisionnistes comme des gens normaux) (...).
Mais la propagande de haine que diffusent les négationnistes n'est pas un sujet de plaisanterie. [Un certain Furrow a tué un facteur, blessé cinq juifs dont trois jeunes enfants et voulait attaquer le Musée de la Tolérance du Centre Wiesenthal, à Los Angeles, parce qu'il était adepte du négationnisme. trad.]
Les violences de Furrow en 1999 nous rappellent fort à propos que, même en Amérique, la campagne du Grand Mensonge visant à nier le plus grand crime de l'histoire peut être à l'origine de violents délits raciaux chez les fanatiques. Mais la menace d'un cataclysme de violence provoqué par la haine est encore plus grande dans la poudrière du Moyen-Orient quand des présidents embrassent pour politique la même haine.
Il est temps maintenant que les responsables politiques américains et les Européens qui se voudraient Moyen-Orientaux fassent savoir aux Assads, aux Arafats, aux Khameinis, que l'adoption du Grand Mensonge ne peut servir de politique au sein des nations du monde civilisé. Car, si l'on n'y met un terme, on verra se réaliser la prophétie terrible de Santayana: "Ceux qui oublient l'histoire sont condamnés à la recommencer."

The Miami Herald.
Original English:

Western Gospel of Hate puts Down Roots in the Middle East

by the Rabbi Abraham Cooper


On April 7th, as Jews the world over gathered at their seder tables to celebrate the first night of Passover, a group of Arab intellectuals, headed by the Jordanian Writers Association, was putting the final touches for a "Forum on Revisionist Historians"
The purpose of the Amman Forum was to rally support for the Holocaust-Denying Institute for Historical Review (IHR) which just had its much-hyped Beirut International Conference, entitled "Revisionism and Zionism" courageously cancelled by the Lebanese government. At the moment, the IHR's global hatefest is without a home, much to the chagrin of the event's coordinator, Jürgen Graf, a professional bigot who fled Switzerland to Tehran after being sentenced to jail for defaming the memory of Hitler's victims. Now, he had nowhere to convene the IHR's all-star, international rogues gallery of violent haters including German Far Right leader Horst Mahler and National Alliance head and Turner Diary author, William L. Pierce, whose racist tract served as blueprint for Oklahoma City bomber Timothy McVeigh.
Not for long, however, were Graf and the IHR left in the lurch. Ibrahim Alloush stepped in to rally on their behalf "scores of writers and intellectuals across Jordan, Syria, and Lebanon moved to defend freedom of expression in the Arab World and to set the record straight on Revisionist Historians." The Amman Forum, according to Alloush, "is just the beginning of a series of activities that will hopefully culminate in a conference for revisionist historians in some Arab country." The Arab and Muslim worlds, he informs us, need to learn such scientifically-proven "truths" as that "the so-called gas chambers were not used to exterminate Jews systematically, but to burn the corpses of people from different nationalities (after their deaths) to circumvent plagues. Among the "so-called victims": Anne Frank. Despite these plans, the Amman conference has been shut down -- at least for now. Concerned Jordanian officials told the organizers that the event would embarrass Jordan's young King Abdullah, as he prepared to meet President George W. Bush for the first time at the White House.
No such hangups are evident in Damascus. There, a parallel hateful assault has been launched by the Western-trained President Bashir Assad, who recently twice labeled Israelis "worse than Nazis." Against the backdrop of such rhetoric, Lebanese Prime Minister Rafiq Hariri's decision to pull the plug on the IHR Convention was even more courageous. In his words, "Lebanon has more important things to do than holding conferences that hurt its international standing and smear its name."
Yet tragically, despite Hariri's initiative, too many in the mainstream Arab and Muslim worlds teach their children just the opposite: that there was no Holocaust. They see the erasing of the historic and moral lessons of the Shoah, as a key component to deny Israel's legitimacy and demonize all Jews. And what is particularly alarming is that this campaign gained momentum at the very time that then Israeli Prime Minister Ehud Barak was publicly offering the Palestinians an unprecedented peace deal which would have even included the Temple Mount.
From Tehran to Baghdad to Damascus to Gaza to Cairo, the Holocaust-denial ideology is being fused with a "holy war" gospel by those dedicated to delegitimatizing the Jewish people and destroying the state of Israel. In May 2000, the Iranian embassy in Vienna granted refuge to Austrian Holocaust denier Wolfgang Fröhlich who testified as a defense "expert witness" on Zyklon B and the gas chambers at Jürgen Graf's trial in Switzerland. And in February 2001, Dr. Younes Geranmayeh in the Tehran Times ridiculed "the Auschwitz Conspiracy" perpetrated by "a handful of Jewish swindlers" who "present themselves as gas chamber witnesses." Closer to Israel, Abdallah Horani told his fellow Palestinians that, "instead of talking about the so-called Holocaust, (we) should have followed the doubts (about it) that are gaining momentum in the international arena and among leading European intellectuals." Sheik Nafez Azzam of the "Palestinian Jihad" movement in Gaza insists that any "intention to teach the Holocaust in the Palestinian schools contradicts the natural order of the universe." And columnist Anis Mansour, writing in Egypt's official Al-Ahram newspaper, says it should "become clear to the world that what happened to the Jews of Germany, Poland and Russia was justified."
No wonder that the U.S.-based IHR dreams of contributing to and riding the crest of a tidal wave of hate in the Middle East which would garner for itself an unprecedented level of international prominence and influence.
Perhaps all this would give some context to this outrageous news from one of Beirut's Big Brothers, the Syrian Defense Minister Field Marshal Mustafa Tlass. He confirmed that he has signed a contract with Egyptian producer, Munir Radhi, to make a film based on Tlass' 1983 book, The Matzah of Zion. That book, whose full-color cover is adorned with hook-nosed Hasids draining the blood of an innocent gentile, endorses as historical fact the notorious Damascus Blood Libel of 1840, when Syrian Jews were persecuted for allegedly conspiring to murder Muslims and Christians. The movie based on it, which is supposed to be an answer to Schindler's List, may be titled Harari's List. David Harari was the head of the Jewish community in Damascus in 1840 who was accused of masterminding the murder plot.
Meanwhile back in the U.S.A., professional Holocaust Deniers are recruiting new apologists. Recently, Esquire magazine decided to play Holocaust Denial for laughs by running veteran war reporter John Sack's "Inside the Bunker" account not of Hitler's last days but of today's deniers that the Nazis ever intended to annihilate the Jews. Sack presents a sympathetic "insider's view" of IHR stalwarts as "the most middling of middle Americans," while accusing their Jewish critics like Deborah Lipstadt of "bias, rumors, exaggerations, and other preposterous matters." Sack gave a speech at the latest IHR Convention recycling the thesis of his own discredited 1993 book, An Eye for an Eye, that Jewish Survivors of Hitler perpetrated "a little Holocaust" on Poland's post-World War II German minority. And he even embraced the IHR's man in Tehran and Beirut, Jürgen Graf
[Note de l'AAARGH: cf. le récit de J. Sack sur ce site, Inside the bunker].
But the hate propaganda of the Holocaust Deniers is no laughing matter. Just ask the grieving relatives of murdered postman Joseph Ileto. Though not a Jew, he was "an Asian American who worked for the government." This was enough to make him a target for Neo-Nazi and White Supremacist Buford O. Furrow, Jr., recently sentenced to five life sentences for wounding five people, including three small children, at the Jewish Community Center in the San Fernando Valley and then shooting Ileto. Furow who originally planned to attack the Wiesenthal Center's Museum of Tolerance in Los Angeles was indoctrinated as a Holocaust Denier at the Hayden Lake, Idaho, compound of Christian Identity preacher Richard Butler.
Furrow's 1999 rampage is a stark reminder that, even in America, the Big Lie campaign denying history's greatest crime can inspire violent hate crimes by "lone wolf" fanatics. But the threat of hate-inspired cataclysmic violence is much greater in the tinderbox of the Middle East when presidents embrace the same hate as policy.
Now is the time for U.S. policy makers and European Middle East wanabees to signal the Assads, the Arafats, the Khameinis that the embrace of the Big Lie cannot pass for policy among the civilized nations of the world. For left unchallenged, it will surely fulfill Santayana's chilling prophecy: "Those who forget history are condemned to repeat it".
The Miami Herald

http://www.wiesenthal.com/social/press/pr_item.cfm?ItemID=1147>

COBRA

Réponse du Dr Ibrahim Alloush

Responsable médiatique de l'Association contre le Sionisme et le Racisme

Chers lecteurs, Vous trouverez ci-après un échantillon du venin que les sionistes lancent contre l'Association des Etudiants de Jordanie et un groupe d'intellectuels arabes, ainsi que contre le président syrien Bashar Al Assad et l'Iran. Le cobra qui crache ce venin n'est autre que le rabbin Abraham Cooper, du Centre Simon Wiesenthal. Parmi ses dernières récriminations, le rabbin Cooper tente de jeter l'opprobre sur le journaliste Abdallah Hourani, le cheik Nafez Azam de Gaza, le chroniqueur égyptien Anis Mansour, le ministre de la défense syrien Mustafa Tlass, le révisionniste suisse Jürgen Graf, l'Institute for Historical Review des Etats-Unis, et Ibrahim Alloush. Tous, selon le cobra Cooper, sont "coupables" d'émettre des soupçons sur la version officielle de l'"Holocauste" et de diffuser "la haine". Mais tandis que vous lirez entre les lignes l'article ci-dessus, qui a été publié en éditorial dans le "Miami Herald" ainsi que sur le site du Centre Simon Wiesenthal, ne perdez pas de vue ceci:
1) que les sionistes sont prêts à tout pour étouffer les enquêtes scientifiques ou critiques du prétendu "Holocauste", en particulier le mythe des chambres à gaz où des millions de juifs sont censés avoir trouvé la mort au cours de la seconde guerre mondiale. C'est bien la preuve, entre autres, que l'affirmation incessante de l'"Holocauste" est comme une forteresse morale qui protège l'occupation de la Palestine par les sionistes. C'est la raison pour laquelle la question de l'"Holocauste" doit rester un tabou sacro-saint (au siècle de la science et de la technologie), et que ceux qui osent y toucher doivent être impitoyablement persécutés;
2) que l'accusation de "négationnisme" n'est qu'un moyen de brouiller les pistes utilisé par des criminels qui cherchent à couvrir leurs crimes inqualifiables en inventant des problèmes totalement imaginaires afin de dissimuler les preuves de leur criminalité. C'est ainsi que l'"Holocauste" s'est transformé en dogme politique néfaste, aux tentacules étouffantes. A l'origine la question touchait les juifs morts pendant la seconde guerre mondiale, mais on se trouve aujourd'hui devant une mentalité digne du Moyen Age, avec des pratiques faisant appel au terrorisme moral, politique et parfois physique contre des intellectuels et contre ceux qui osent exercer leur réflexion. C'est comme cela que l'on répand le fanatisme, l'ignorance et la haine. L'"Holocauste" est devenu une une chose opaque destinée à couvrir les crimes du sionisme, et le "négationnisme" est devenu l'accusation que l'on porte à l'encontre de ceux qui refusent d'être dupes;
3) que les historiens révisionnistes, que l'on soit d'accord ou non sur les conclusions de leurs recherches, se battent simplement pour la liberté de la recherche scientifique, mais que les Palestiniens ont un enjeu bien plus important: un pays, un peuple, une identité, et une libération. Alors, si le rabbin Cobra et ses camarades sionistes s'imaginent que les tactiques qu'ils emploient contre les historiens révisionnistes en Europe et en Amérique du Nord pour leur faire peur entameront le moins du monde notre solide détermination à dénoncer les mensonges sionistes, nous leur conseillons d'y réfléchir à deux fois: Vous n'avez pas affaire ici à un individu isolé ou même à un petit groupe d'individus. Vous avez en face de vous un peuple entier qui a été témoin du mal que vous avez perpétré contre les Palestiniens, contre les Arabes et contre les musulmans depuis la fin du XIXe siècle. Vos mensonges ne passeront pas! Vous ne nous soumettrez pas au terrorisme de l'"Holocauste", mensonge utilisé constamment pour justifier les massacres contre les Palestiniens et mensonge qui, à force d'être matraqué, ne pourra que générer encore d'autres massacres;
4) que l'une des tactiques employées par le rabbin Cooper dans son article pour instiller la peur consiste à faire l'amalgame indirectement entre les historiens révisionnistes et le terrorisme ou les délits raciaux. La pratique qui consiste à accuser les Palestiniens de terrorisme n'est pas nouvelle, évidemment. Mais, dans le contexte actuel, le fait de chercher à faire l'amalgame entre le révisionnisme historique et les Arabes d'une part, et le terrorisme et les délits raciaux d'autre part, a pour but de faire fuir leurs partisans tout autant que d'exciter les Américains et le reste du monde contre les historiens révisionnistes. Veillez à ne pas perdre de vue ce venin au cours de votre lecture;
5) qu'à la fin de son article le rabbin Cooper laisse percer sa crainte morbide de voir le révisionnisme historique prendre racine dans le monde arabe (qu'il appelle à tort le Moyen-Orient). Pensez-y. Pourquoi une telle peur chez les sionistes? En fait, tout à fait à la fin le rabbin Cooper exige du gouvernement américain et des "Européens qui se voudraient Moyen-Orientaux" -- comme il qualifie les Etats européens cherchant à jouer un rôle dans la région arabe -- qu'ils fassent pression sur les gens du pays afin qu'ils adoptent la version officielle de l'"Holocauste". N'oubliez pas cela non plus. Pourquoi les sionistes se font-ils un tel souci à ce propos? Et puis, pensez au rôle que jouent certains intellectuels arabes quand ils imposent la version sioniste de l'"Holocauste"... Si vous n'êtes pas sûr des réponses, reportez-vous au paragraphe 1) ci-dessus.
Ibrahim Alloush

Response to Rabbi Cooper's New Attack on Arab Intellectuals, Syria, and Iran

Dear Readers, above you shall find another sample of Zionist venom directed at the Jordanian Writers Association and a group of Arab intellectuals, as well as Syrian president Bashar Al Asad and Iran. The cobra spewing out this venom is none other than Rabbi Abraham Cooper of the Simon Wiesenthal Center. In his most recent recriminations, Rabbi Cooper attempts to vilify Palestinian journalist Abdallah Hourani, Sheik Nafez Azam of Gaza, Egyptian columnist Anis Mansour, Syrian Defense Minister Mustafa Tlass, Swiss revisionist Jurgen Graf, the Institute of Historical Review in the U.S., and Ibrahim Alloush. All the above, according to Cobra Cooper, are 'guilty' of suspecting the received version of the Hollowcause and of spreading 'hatred'. But as you read between the lines of his piece below, which appeared as an editorial in the Miami Herald and again on the website of the Simon Wiesenthal Center, please mark the following:
1) that the Zionists would not stop at anything to suffocate the scientific or critical investigation of the alleged "Holocaust", especially the myth of the gas chambers where millions of Jews supposedly perished in WWII. This indicates, among other things, that THE INCESSANT ASSERTION OF THE 'HOLOCAUST' IS ONE OF THE MORAL BULWARKS OF THE ZIONIST OCCUPATION OF PALESTINE. That's why the topic of the "Holocaust" must remain sacrosanct taboo (in the age of science and technology), and those who dare to broach it must be viciously persecuted.
2) that the accusation of 'Holocaust denial' is merely a red herring thrown into the discourse by criminals trying to cover up their unquatifiable crimes by raising other totally fabricated issues, in order to drown out the evidence of their criminality. Thus, the "Holocaust" has turned into a malevolent political dogma with oppressive tentacles. It has ceased to be about the Jews who died in WWII to become a medieval mentality that practices moral, political, and sometimes physical terrorism against intellectuals and those who dare to think for themselves. Therein lies the real spreading of fanaticism, ignorance and hatred. The "Holocaust" has become a charade to cover up for the crimes of Zionism, and "Holocaust denial" has become a charge directed at those who refuse to be duped by that charade.
3) Revisionist historians, whether you agree or disagree with the results of their findings, are simply fighting for the freedom of scientific research, but Palestinians have much more at stake: a land, a people, an identity, and a liberation. So if Rabbi Cobra and his fellow Zionists think that scare tactics such as the ones used on revisionist historians in Europe and North America will make any dent whatsoever in our resolve to expose Zionist lies, we advise them to think again. You are not dealing with one individual here or even a small group of individuals. You are up against a whole people who have witnessed the evil you have been perpetrating against Palestinians, Arabs, and Muslims since the end of the nineteenth century. YOUR LIES WILL NOT PASS. You will not subjugate us to the terrorism of the "Holocaust"; a lie which keeps on being used to justify massacres against Palestinians, and a lie whose continued imposition is guaranteed to generate more massacres still.
4) that one of the scare tactics employed by Rabbi Cooper in the article below, consists of tying revisionist historians indirectly to terrorism and hate crimes. The practice of accusing Palestinians of terrorism is not new of course. But in this context, the attempt to tie historical revisionism and Arabs to terrorism and hate crimes is meant to scare off supporters as much as it is meant to galvanize Americans and the rest of the world against revisionist historians. Please remain aware of this venom as you read along.
5) that at the end of the article Rabbi Cooper unveils the Zionist morbid fear of having historical revisionism take root in the Arab World (erroneously called the Middle East). Think about that. Why would Zionists have such a fear? In fact, towards the very end, Rabbi Cooper demands that the U.S. Government and "European Middle East wanabees", as he calls European states seeking a role in the Arab region, pressure the locals to adopt the official version of the "Holocaust". Think about that too. Why should this be such an important concern for Zionists? Then, please think about the role that some Arab intellectuals play in enforcing the Zionist version of the "Holocaust"... If in doubt of the answers, please go back to item one above.
Ibrahim Alloush <
[email protected]>, 8 mai 2001
Media Coordinator of the Association against Zionism and Racism
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Read an interview on revisionist historians and Jordan at:
<
http://www.middleeastwire.com/commentary/stories/20010507_meno.shtml>
To read more about revisionist historians and the Arab World, please go
to <
http://www.fav.net>


LA MANNE ET LE BATON


Jordan: The Story of the Forum that WILL Happen

"Today he [Edward Walker, U.S. Assistant Secretary of State] travels to Jordan, where intellectuals are planning to hold a holocaust denial conference on Sunday." (The Independent, April 20, 2001)

Amman, Jordan, April 21, 2001
Part I: The Jordanian Government forced today another `postponement' for a forum titled `Revisionist Historians and the Cancelled Conference in Beirut' that was supposed to take place April 8 the first time, and April 22 the second time.
The Minister of Culture, Mr. Mahmoud Al Kayed, called most of the members of the board of the Jordanian Writers Association (JWA) repeatedly today, and exerted extreme pressure. Some of those called were reportedly told that `it's better for the JWA to postpone the Forum on its own, than to have it postponed by force', and that `trying to hold the Forum anyway will result in measures that will guarantee its complete cancellation forever'.
On the other hand, a few pseudo-leftists and defeatists in the JWA volunteered themselves to voice the government's line for the postponement of the Forum. Eventually, a majority of the members of the board of the JWA obliged with the government's demand to postpone, according to JWA president Fakhri Qawar. Thus, the Forum on Revisionist Historians that was scheduled for tomorrow evening, Sunday, April 22, 2001, in the offices of the JWA, will not take place in that particular time and place.
Part II: But, this is not the end of the story. In fact, Zionists may have our hands shackled in the chains of the Arab regimes, but it is only when you give up in your heart and mind, that Zionists win, and we are just warming up still.
This is what happened today. The oppressive measures of the Jordanian Government moved the whole battlefield into the domain of braver generals. Thus, upon receiving [until that point] unconfirmed news of the forced postponement of the Forum of the JWA yet again, Laith Shubeilat, the eye of the tiger, announced after consulting with members of the board of the Association against Zionism and Racism (AZAR) which he heads, that AZAR will be proud to host the twice-postponed JWA Forum on Revisionist Historians at a date to be agreed upon by AZAR's board when the forced postponement is ascertained.
Laith Shubeilat of course is the distinguished Jordanian Arab opposition leader who has risen to the occasion more than once before where others faltered. This time he was speaking to a packed hall at the offices of the Association against Zionism and Racism (AZAR) on the occasion of Prisoners Day. AZAR was hosting an event to honor Jordanian prisoner Ahmad Daqamseh. Members of his family were honored on his behalf. One of the wounded of the Intifada, currently receiving medical treatment in Amman, was also honored. He gave a speech from the heart in which he condemned all Arab regimes (with the exception of Iraq), and in which he urged the Arab masses to move. It was at the end of that event that Laith Shubeilat rose up to make his timely announcement about the willingness of AZAR to host the forum of the Jordanian Writers Association should the news about its postponement turn out to be true.
Now, the board of AZAR will meet to set the new date for the Forum, and we will keep you posted, as usual. And neither Laith Shubeilat nor the members of the AZAR are the kind to bow under pressure over the phone!
The forces of Zionist evil will NOT win. The Forum will take place sooner or later, somewhere, whether Zionists and their supporters like or not.
Again, we urge all those who support the suffocation of free speech rights for revisionist historians and dissident Arab intellectuals to reconsider their positions. Plus, if historical revisionism were not so dangerous to Zionism, why all this hassle over a local forum discussing it in Amman?! At any rate, if you don't want to stand by your natural allies, at least don't stand against their right to practice free
speech..
Ibrahim Alloush
Media Coordinator and elected member of the board of AZAR


LOUCHE ALLOUSH

 

Interview exclusive du Dr Ibrahim Alloush
accordée à Middle East News Online

Recueillie par Edna Yaghi, correspondant en Jordanie de Middle East News Online

7 mai 2001 - 10:10:45 AM EDT (traduit en français)

On a beaucoup parlé ces derniers temps des historiens révisionnistes. Mais, contrairement à ce que croient beaucoup de gens, les révisionnistes ne nient pas que des juifs soient morts pendant la seconde guerre mondiale. Ces historiens pensent que des centaines de milliers de juifs sont réellement morts, mais qu'ils n'ont pas été les seuls. Ils sont morts tout comme sont mortes 45 millions d'autres personnes au cours de la guerre.
Il y a d'autres points sur lesquels les historiens ne sont pas non plus d'accord. Outre la question du nombre des juifs morts pendant la guerre, ils contestent la manière dont ces juifs sont morts et également le caractère prétendument unique de cette mort dans l'histoire de l'humanité.
Le Dr Ibrahim Alloush, champion des droits de l'homme en Jordanie et avocat déterminé de la liberté d'expression et de presse, nous éclaire ici sur le forum qui doit avoir lieu le 15 mai et qui concernera un certain nombre des questions étudiées par les historiens révisionnistes. Le Dr Alloush a passé son bac et sa licence à l'Université de l'Ohio et son doctorat à l'Université de l'Oklahoma. Il enseigne l'économie, les mathématiques et les statistiques dans une université privée d'Amman, en Jordanie. C'est aussi un écrivain prolifique très cultivé et très compétent. Le Dr Alloush est chroniqueur régulier dans l'hebdomadaire As Sabil. Cette semaine, il a bien voulu répondre à Middle East News Service:

MENO: A quels sujets vous intéressez-vous?
Dr Alloush: Tous.
MENO: Quels sont les droits de l'homme que vous voulez défendre?
Dr Alloush: Le droit à la libre expression, la suppression des interdictions de manifestation ou de défilé, la libération de manifestants arrêtés au cours de ou après des manifestations pro-Intifada en Jordanie, etc.
MENO: Qu'est-ce qui vous a amené à vous intéresser aux historiens révisionnistes?
Dr Alloush: C'est d'abord le livre de Roger Garaudy qui m'a ouvert les yeux sur la manière dont l'opinion publique occidentale était manipulée; puis, au cours des derniers mois, l'Internet m'a permis de me rendre compte combien Garaudy ne faisait qu'effleurer la surface du problème. Il y a tellement plus que je ne pouvais même imaginer! Si vous lisez les travaux de Faurisson, par exemple, là vous buvez à la fontaine même à laquelle s'est abreuvé Garaudy sur cette question.
MENO:Alors quel est le thème du forum qui doit avoir lieu?
Dr. Alloush: Notre forum a pour titre: "Qu'est-il arrivé à la conférence de Beyrouth sur le Révisionnisme et le Sionisme?"
MENO: Le forum a déjà été reporté deux fois. Avez-vous des éléments qui vous font penser qu'il sera à nouveau reporté?
Dr. Alloush: Non. Il y a eu des pressions, bien sûr, mais rien ne laisse penser pour l'instant qu'il sera reporté.
MENO: Qui sponsorise le forum?
Dr Alloush: C'est l'Association des Ecrivains de Jordanie (AEJ).
MENO: Pensez-vous que le gouvernement cédera aux pressions exercées sur lui par différents groupes sionistes pour qu'il empêche ce forum?
Dr Alloush: Le gouvernement, s'il représente sincèrement les intérêts du peuple jordanien, devrait résister à ces pressions extérieures qui empiètent sur la souveraineté de la Jordanie, et il devrait être à l'écoute de son peuple.
MENO: Puisque ces différents groupes, y compris le Grand Rabbin Lau, savent que ce n'est pas un forum international mais un forum local et que ceux qui vont assister feront partie de la communauté jordanienne, comment expliquez-vous qu'ils soient à ce point hostiles à la tenue de ce forum?
Dr Alloush: C'est qu'ils veulent empêcher que ne soient dévalorisés les mythes de l'Holocauste, car ces mythes sont une source, tellement lucrative, de soutien financier, politique et moral en faveur d' "Israël" et du mouvement sioniste.
MENO: Qu'attendez-vous de ce forum?
Dr Alloush: 1) Qu'il condamne l'infraction à la liberté d'expression dont sont responsables ceux qui ont annulé ou ont demandé l'annulation de la Conférence de Beyrouth sur le Sionisme et le Révisionnisme historique, et 2) qu'il fasse conna"tre au public les travaux des historiens révisionnistes.
MENO: Qui, selon vous, assistera à ce forum?
Dr Alloush: C'est évidemment une activité de l'AEJ, par conséquent il s'agira principalement de membres de l'AEJ et de leurs amis.
MENO: A part vous, quels seront les principaux intervenants?
Dr Alloush: Il y aura Hayat Atiyeh et Arafat Hijjazi, journalistes tous les deux. Le présentateur sera le Dr Hisham Ghassib.
MENO: Pourquoi certains intellectuels arabes sont-ils hostiles aux historiens révisionnistes?
Dr Alloush: Parce qu'on leur a fait croire que pour obtenir le soutien en faveur de la Palestine il leur fallait se mettre à la remorque de l'Occident. Pourtant, c'est en se mettant ainsi à la remorque qu'ils sabotent ce soutien à la cause palestinienne, puisque l'Holocauste a pour but de:
1) justifier le vol de la Palestine au prétexte que les juifs ont besoin d'un havre de paix dans un Etat à eux;
2) justifier les violations de la loi internationale par les sionistes, au prétexte qu 'ils ont tellement souffert pendant la seconde guerre mondiale qu'ils ont le droit de prendre quelques libertés avec la loi, et
3) justifier les extorsions financières, politiques et morales pratiquées auprès de l'opinion publique occidentale parce que l'Holocauste doit servir à susciter un sentiment de culpabilité collective parmi les Occidentaux qui se transforme en soutien tangible en faveur d' "Israël". D'autre part, une certain nombre d'intellectuels arabes ont choisi, hélas, de vendre la Palestine en échange d'avantages personnels. Chacun sait ce qu'il en coûte aux intellectuels qui ne sont pas dans la ligne du courant dominant.
Eh bien, CERTAINS des intellectuels arabes qui ont signé la pétition demandant l'interdiction de la Conférence de Beyrouth ont trahi leur rôle d'intellectuels en réclamant d'un régime arabe qu'il interdise une activité intellectuelle. Il n'y a pas à s'en étonner puisque l'un des disciples de Jésus l'a vendu pour trente pièces d'argent.
MENO: Pourquoi la tenue de ce forum contrarierait-elle le gouvernement, comme l'a prétendu Laura Kam Issacharoff, porte-parole de l'Anti-Defamation League à Jérusalem?
Dr Alloush: Ça, c'est pour faire pression sur le gouvernement jordanien, lui rappeler le contrôle des sionistes sur le gouvernement américain et signifier à la Jordanie qu'elle est sous leur contrôle, pour le cas où elle ferait quelque chose qui déplairait aux sionistes. Il appartient au gouvernement américain de prendre dans cette affaire position en faveur de la liberté d'expression conformément au Premier Amendement de la constitution américaine.
MENO: Quelle raison pousse les agences internationales de presse à répéter que le forum est sponsorisé à la fois par l'Institute for Historical Review basé aux Etats-Unis et par l'association suisse Vérité et Justice?
Dr Alloush: Pour qu'il ait l'air d'être une opération étrangère se déroulant sur le sol jordanien et ainsi entraîner l'intervention directe du roi. En réalité, le forum est une opération jordanienne locale, avec des intervenants locaux.
MENO: Pouvez-vous nous dire quelle est votre propre interprétation ou définition du mot Antisémite, et pensez-vous que les Arabes en général soient réellement antisémites?
Dr Alloush: C'est une idiotie de qualifier les Arabes d'antisémites puisque les Arabes sont des Sémites par définition. D'autre part, il y a des juifs occidentaux, les Ashkénazes, qui n'ont pas l'ombre d'une goutte de sang sémite dans les veines et qui ont une origine turco-finlandaise. Reportez-vous à cet égard au livre d'Arthur Koestler, "La Treizième Tribu".
MENO: Quel sera selon vous l'aboutissement du forum?
Dr Alloush: Prendre position en faveur de la liberté d'expression et de la liberté de la recherche scientifique.


<http://www.middleeastwire.com/commentary/stories/20010507_meno.shtml> pour le texte anglais.


POWWOW

Amman, 13 mai 2001. Le Forum d'Amman sur les Historiens révisionnistes a été un grand succès ce soir. Des éléments de la police et des services secrets étaient dans l'assistance mais ne sont pas intervenus. Les gens débordaient jusque dans la rue. Des stations satellites avaient placé là des caméras et tout a été enregistré sur vidéo. Les gens en général ont manifesté beaucoup de sympathie pour notre cause. Les personnes présentes ont voté une résolution condamnant les 14 intellectuels arabes qui avaient signé la lettre demandant au gouvernement libanais d'annuler la conférence révisionniste de Beyrouth. Il a été également proposé d'établir un Comité arabe sur le révisionnisme historique. Des tracts sur le sujet seront publiés. Au cours du temps qui m'a été imparti, j'ai présenté l'intervention que le Dr Faurisson avait prévu de présenter à la Conférence de Beyrouth. Aussi bien Hayat Atiyeh que moi-même nous avons insisté pour montrer que, si Garaudy avait contribué de manière importante à faire connaître le révisionnisme dans le monde arabe et le monde musulman, ses contributions s'étaient arrêtées là. Nous avons présenté Ahmed Rami à l'assistance, pour ceux qui désiraient connaître une figure arabe musulmane du révisionnisme, ainsi qu'un certain nombre des principales figures du révisionnisme historique.
De bout en bout la soirée de ce soir a été un grand succès, un pas dans la bonne direction, qui, espérons-le, sera suivi d'autres pas du même genre.
Ibrahim Alloush


COUVERTURE MERDIATIQUE

Tuesday 15 May Jordan Times

JWA pulls off revisionist historian conference

By Hada Sarhan


AMMAN -- After two postponements, a controversial seminar on the Holocaust by the Jordanian Writers Association (JWA) was finally held at the JWA's headquarters in Jabal Luweibdeh.
The 'What happened to the Revisionist Historians conference in Beirut' seminar had been postponed twice; once in April due to concerns that the event would embarrass His Majesty King Abdullah during his meeting with US officials in Washington, officials said, and again earlier this month.
The seminar drew an audience of about 200.
Hayat Atiyah, a Lebanese journalist specialised in European historical revisionism drew parallels between Zionism and Nazism. She said: "The new shape of Nazism is Zionism."
Atiyah explained that historical revisionism is not an ideology, but a position, supported by facts and meticulous analyses, on a specific historical event the Holocaust.
Among revisionists, stressed Atiyah, are Muslims, leftists, Jews and Christians and Christian fundamentalists.
She explained that many revisionists have been fined, fired from their jobs, socially ostracised, and even assassinated because of their position on the Holocaust.
Atiyah clarified that in the 1980s experts carried out scientific examinations of the gas chambers where Nazis executed Jews during the World War II and found that it "would have been impossible to burn six million people in the gas chambers.
Arafat Hijazi, Jordanian journalist, said Jews had exaggerated the number of their people killed and how perished.
"[Jews] killed were not more than three million and the number of available gas chambers could not burn more than half-a-million bodies," said Hijazi.
Hijazi criticised 14 Arab intellectuals who signed a leaflet asking the Lebanese government to cancel a similar conference scheduled to take place in Beirut that was cancelled by the government there.
These intellectuals, added Hijazi, claimed that the revisionist research "has nothing to do with the Palestinian cause."
Among the 14 intellectuals are Palestinian nationalists poet Mahmoud Darwish and Lebanese Salah Stetié in addition to the Lebanese novelist Elias Khouri who is well-known for his writing on Palestinian refugee camps.
Hijazi clarified that former Israeli Prime Minister David Ben Gurion, one of Israel's founding fathers, had used the Holocaust to justify the creation of the "Zionist entity."
Ibrahim Alloush, a JWA member, focused his discussions on remarks by one of the foremost revisionist historians, Robert Faurisson.
Alloush said revisionist historians applied science to prove that gas chambers were not used to "exterminate Jews systematically." Crematoria, on the other hand, were used to "dispose of the corpses of people from different nationalities [after their deaths] to circumvent plagues."
Alloush stressed that revisionists do not deny that Jews died in World War II.
"[Revisionists] do say, however, that hundreds of thousands of Jews died along with the 45 million who perished in that war," said Alloush.
Zionists, he added, have succeeded in presenting themselves to Western public opinion as a people who were so victimised in the Holocaust, they practically deserved a free licence from the West to do anything to anybody at anytime with impunity.
The "myths of the Holocaust" are extremely important for the Zionist movement, he said, explaining that Jews' "claim" that they were systematically exterminated in the war justified the need for their own safe haven in Israel. This "myth" basically provides a justification for the rape of Palestine," he said.
"In human history, the argument of the uniqueness of Jewish deaths, provides a justification for Israel and the Zionist movement to violate every ethical and legal code in the book, and to persecute opponents, like the revisionist historians and the Arabs, without any reprimand, even with sympathy, from the West," said Alloush.

Un symposium antisioniste dénonce les "exagérations" qui entourent l'Holocauste

Amman, 14 mai (AFP) -- Des journalistes et écrivains arabes antisionistes ont demandé instamment aux pays islamiques de les aider dans leur soutien aux travaux des historiens révisionnistes qui dénoncent les "exagérations" entourant l'Holocauste, l'extermination par les nazis des juifs européens au cours de la seconde guerre mondiale.
"Les pays arabes et islamiques doivent avoir le courage de soutenir dans leurs recherches les révisionnistes qui s'efforcent de mettre en évidence les exagérations qui entourent l'Holocauste et les massacres de juifs par les nazis lors de la seconde guerre mondiale", a déclaré l'historien jordanien Ibrahim Allush dimanche au cours du symposium.
Le journaliste jordanien Arafat Hijazi a déclaré que deux rabbins israéliens auraient envoyé un message au roi de Jordanie Abdullah II lui demandant d'empêcher la tenue du symposium à Amman, qui a signé un traité de paix avec Israël en 1994.
La conférence au siège de l'Association des écrivains jordaniens avait d'abord été prévue pour avril mais avait été reportée à deux reprises pour des raisons "administratives", a confié à l'AFP le vice-président de l'association Yussef Damreh. Il n'a pas donné de détails.
De même, la journaliste libanaise Hayat Howeyek [sic] a allégué qu'une réunion de révisionnistes devant se tenir en mars à Beyrouth avait été interdite par le gouvernement libanais "par suite de pressions de la part des Etats-Unis et de l'Europe".
Le forum s'est tenu au milieu d'un fort sentiment anti-israélien en Jordanie, où 41 pour cent sur une population de 5 millions d'habitants sont d'origine palestinienne, en raison du soulèvement, il y a sept mois, des Palestiniens contre l'occupation israélienne.

AL JAZIRA
Tonite, May 15, 2001, the episode of a very popular TV program called Opposite Directions, on Al Jazeerah Satellite TV station that reaches millions of Arab viewers from Morocco to Bahrain, was all about historical review. Hayat Attieh, one of the speakers in the Amman Forum on Historical Review was hosted on that program along with Al Afif Lakhdar, the Tunisan intellectual who lives in Paris. Lakhdar was speaking in the defense of the fourteen Arab intellectuals who signed the petition to the Lebanese Government. Hayat Attieh, with whom you are familiar by now, was speaking in the opposite direction. She literally decimated Lakhdar with her lucid argumentation and corroborating references. Eventually, she showed photos of Palestinian victims of Zionism and said: "This is the real holocaust. The other one is a big fake". She also showed pictures of Dr. Faurisson after one of the attacks on him, and showed pictures of the attack on Pierre Guillaume's bookstore in Paris. Either way, it was a crushing victory for historical review.
Ibrahim Alloush was allowed a few minutes on the air to explain the importance of the Hollowcause to Arabs. Robert Faurisson spoke extremely and impressively well when his turn came on the air. He rebutted quite effectively to allegations by Lakhdar that embracing historical review would make the Arabs lose western public opinion. He practically paralyzed the opposite side when he said: "If you want to avoid any trouble with Zionists, surely it is better to forget about discussing the "Holocaust"".
Throughout the program, there was a vote taking place on the website of Al Jazeerah Satellite Station which was hosting the program. The vote was on the following: Pick one of the choices below:
1) Do you think Zionism is worse than Nazism? 2) Do you think Zionism is the same as Nazism? 3) Do you think Zionism is better than Nazism (not as bad)?
At the end of the show, the results were as follows: More than 84 percent thought Zionism was worse than Nazism More than 11 percent thought Zionism was just the same as Nazism Only 2.7 percent thought Zionism was better than Nazism So the moderator of the show declared a resounding victory of Zionism over Nazism with a landslide of more than 84 percent . Ibrahim Alloush


Ce soir, 15 mai 2001, une importante émission, très populaire, sur la chaîne de télé Al Jazira, que reçoivent des millions d'Arabes depuis le Maroc jusqu'à Bahrein, était entièrement consacrée au révisionnisme historique.
Hayat Attieh, l'un des intervenants du Forum d'Amman sur le révisionnisme historique, était invitée dans cette émission, ainsi que Al Afif Lakhdar, intellectuel tunisien qui habite Paris. Lakhdar était là pour prendre la défense des 14 intellectuels arabes qui ont signé la pétition adressée au gouvernement libanais. Hayat Attieh, dont le nom vous est familier maintenant, lui apportait la contradiction. Elle a littéralement démoli Lakhdar par la clarté de ses arguments et par ses démonstrations. A la fin elle a montré des photos de victimes palestiniennes du sionisme et déclaré: "Le voilà, le vrai holocauste. L'autre est un faux complet." Elle a également montré des photos du professeur Faurisson après l'une des agressions dont il a été victime, et a montré des photos de l'agression contre la librairie de Pierre Guillaume à Paris.
De toute façon, ce fut une victoire écrasante pour la critique historique.
Irahim Alloush put s'exprimer quelques minutes pour expliquer l'importance de l'"Holocauste" pour les Arabes.
R. Faurisson a pu intervenir par téléphone et quand son tour est venu il a été très clair et impressionnant. Il a su réfuter très efficacement les allégations de Lakhdar selon lesquelles les Arabes se mettraient à dos l'opinion publique occidentale s'ils s'engageaient dans le révisionnisme historique. Il a quasiment pétrifié son adversaire lorsqu'il a déclaré: "Si vous voulez éviter des ennuis avec les sionistes, il est certain qu'il vaut mieux ne pas parler de l''Holocauste'."

L'HOMME-RENARD FAIT LA GUEULE

Anti-Defamation League -- Press Release

ADL Comments on Holocaust Denial Conference Held in Jordan

New York, NY, May 15, 200l -- Abraham H. Foxman, ADL National Director, issued the following statement:
We were surprised and greatly dismayed that a conference to propagate the denial of the Holocaust, twice cancelled by the Jordanian government, eventually did take place in Amman. In recent years, many in the Arab world have become avid advocates of Holocaust denial. We had hoped that the cancellation in March by Lebanese Prime Minister Rafik Hariri of a similar conference planned for Beirut, coupled with the Jordanian government's cancellation of previously planned conferences, marked an important and concerted effort by responsible Arab leadership to reject those who seek to deny the Holocaust.
The Jordanian Writers Association has long been active in countering normalization efforts with Israel, including punishing members who have interacted with Israelis. It appears that the denial of the Holocaust is a new weapon in their efforts to delegitimize the Jewish State and the Jordanian-Israel peace agreement.
According to The Jordan Times, the 200 conference attendees heard a series of speeches denying or diminishing the systemic murder of six million Jews by the Nazis. Speakers maintained that the "myths of the Holocaust" were used to justify the creation of the State of Israel as a haven for Jews.

<
http://www.adl.org/PresRele/HolocaustDenial_83/3826_83.asp>
Résumé des affaires
post-Beyrouth en allemand.


SHARON C'EST CHARON

 
Efraïm Imbar, expert israélien en stratégie: «Sharon ne peut pas faire plus»

Par Alexandra Schwartzbrod (pain noir)


Directeur du Centre d'études stratégiques de Jaffa et professeur à l'université de Bar-Ilan à Tel-Aviv, Efraïm Imbar considère qu'il n'existe aucune solution miracle pour lutter contre le terrorisme et qu'il faudra laisser passer beaucoup de temps avant que la tension retombe entre Israéliens et Palestiniens.
L'attaque de Netanya ne montre-t-elle pas les limites de la politique offensive d'Ariel Sharon?
Non, certainement pas. Il faut bien se dire qu'il n'y a aucune formule magique pour mettre fin au terrorisme. Des attaques comme celles de Netanya, Israël en a connu du temps de Rabin, de Netanyahou, de Barak... Il n'y a rien de nouveau. Israël continuera à être touché par le terrorisme aussi longtemps qu'il y aura des Palestiniens insatisfaits. Il y a quand même, dans les territoires, quelque 25 % de la population qui soutiennent le Hamas!...
Le gouvernement israélien a tout de même justifié les raids massifs de ces derniers jours par sa volonté de mettre un terme à la violence palestinienne?
Où voyez-vous des raids massifs des Israéliens? On est très loin de ce que les Européens ont fait en Yougoslavie ou de ce que les Américains et les Anglais font en Irak! A la limite, je dirais même que la réponse de Sharon n'est pas assez forte. Mais il ne peut pas faire plus et ce, pour deux raisons. D'abord, il sait que les Palestiniens ne cherchent qu'une chose, c'est provoquer des représailles monstres, qui entraîneraient une intervention internationale. Ensuite, il a compris que la clé, dans ce type de conflit, c'est de maintenir la cohésion sociale, c'est-à-dire la cohésion du pays et donc celle du gouvernement. Il a impérativement besoin que le parti travailliste reste à ses côtés, il ne peut donc pas frapper trop fort. Mais, de la même façon, il a besoin de la droite radicale, il doit donc faire davantage que ce que faisait Barak. Tant que les Israéliens seront unis, le pays sera solide. Et pour l'instant, Ariel Sharon continue à les unir. Regardez les sondages: ils montrent tous que, près de quatre mois après son élection, il reste soutenu par la grande majorité des Israéliens.
Pensez-vous que la paix avec les Palestiniens soit un objectif accessible à court terme?
A court terme, non et peut-être même pas à moyen terme. Les Palestiniens ne sont pas capables de nous offrir la «paix froide» que les Egyptiens nous ont offerte. Arafat n'est pas Ben-Gourion qui était prêt à avoir un Etat juif sans Jérusalem... Souvenez-vous, le plan de partage de l'Organisation des Nations Unies, en 1947, avait prévu un statut particulier pour Jérusalem qui serait passée sous juridiction de l'ONU...
Quelle est la solution alors?
Je ne pense pas qu'il y ait forcément une solution à tout. Nous sommes engagés dans un processus de partition de la terre d'Israël. Et les partitions font toujours mal. Prenez l'exemple de l'Inde... La population israélienne s'est radicalisée, la population palestinienne aussi. Ariel Sharon continuera donc à faire ce qu'il fait et les Palestiniens à faire ce qu'ils font. Cela prendra beaucoup de temps avant que les tensions retombent. Les Israéliens vivent depuis si longtemps avec la terreur, ils peuvent continuer encore longtemps. Nous avons juste besoin de patience.

Libération, samedi 19 et dimanche 20 mai 2001

BONNE ÉCOLE

A Rejoinder to Himmler'zs speech in Posen
"In wartime, you don't have to expose everything to the world, to stand in public and reveal everything, in the name of that hypocritical and lie-filled concept known as honesty."
-Ariel Sharon, Prime Minister of Israel


Sharon's doublethink


by Uzi Benziman


Prime Minister Ariel Sharon keeps repeating that he has not changed, and five days ago the familiar voice from the past echoed once again. At a meeting with the Yesha Council of Settlements and leaders from the Jordan Valley communities, in the presence of media cameras and recorders, he made the following statements in reference to Israel's methods of operation against Palestinian terror:
"There are things we will tell the public about, there are things we will deny and there are things that will remain hidden forever." It is superfluous to add to what has already been written about the political wisdom of such statements, but we think it is worth expressing an opinion about the moral worldview behind them.
Sharon is in effect saying that the words he utters are intended to achieve practical results; they have no intrinsic value. Words are a political or political -- and apparently personal as well -- tool, but they lack the original, specific meaning that people usually attribute to them. According to this approach, a politician can use words any way he pleases without considering their accepted meaning.
One can say that black is white or that big is small, because there is an external, superior purpose to the phrases issuing from a politician's mouth. Sharon felt no shame in declaring from the outset that he, or his government, will not hesitate to deceive the public, or the world ("there are things we will deny").
This attitude comes as no surprise from someone who once said that "in wartime, you don't have to expose everything to the world, to stand in public and reveal everything, in the name of that hypocritical and lie-filled concept known as honesty."
If that is how the prime minister views the role of words and interpersonal communication, how is it possible to evaluate his statements? If, for example, he repeats that he has a clear plan of how to restore calm, can the public see this as a simple promise -- i.e. that the prime minister is about to bring about an end to the Palestinian violence -- or does he have a hidden intent when he says such things? If he announces that he will bring peace, and that after bringing about calm, he will offer the Palestinians a wise, achievable diplomatic proposal - is this declaration being made in the language of an ordinary man or in the doublethink language of George Orwell, which Sharon sees as being reserved for statesmen?
This clarification is particularly necessary when one reads the way the prime minister words his official announcements.
The press announcements released by the Prime Minister's Bureau regularly focus on the responsibility of Yasser Arafat and the Palestinian Authority for the terror attacks and the deterioration in security. The listener draws the conclusion that this is the prime minister's learned perception about the terrorist organizations and that the frequent reminders regarding the part played by the Palestinian leadership are meant to prepare the ground for an operation that will nip the evil in the bud.
Nevertheless, when it becomes clear that Sharon has his own private dictionary, it raises doubts about the accepted meaning of the accusations he pins on the Palestinian Authority. (...)

Ha'aretz, 6 may 2001
 


VILLES FANTÔME

(extrait) Anxiety and depression plague parents in these settlements, and fear and stress stalk children who have been evacuated from classrooms at which mortars have been fired. When they leave their homes, the settlers can never know for certain whether or not they will return in one piece.
Brigitte Shoshan, a resident of Rafiah Yam will not send her twin boys, aged six, to school. She had looked forward to the day she would accompany them to grade one. Then mortar shells fell on the school in the Habesor region and she canceled their early registration there. Instead, she registered her sons with the state religious school in Neveh Dekalim. A few days later mortar shells hit the school in Neveh Dekalim. That was when she decided not to send them to school at all. "I want my sons alive," she says.
Alongside the settlers' distress is something else -- a gradual trickle of settlers who are sick of this kind of life. Some of the "emigres" are relocating permanently, others have done so temporarily "until things blow over."
This trend is particularly noticeable in settlements of the northern Gaza Strip. Nearly half of the 15 houses in Dugit stand empty. A new neighborhood in Nisanit looks like a ghost town. It's the same in Elei Sinai. The government has built more than 100 cottages with red tiled roofs in Pe'at Sadeh -- only 15 families live there and some of them are already planning on leaving.

Ha'aretz 15 mai 2001 -- extract.


EAU CHAUDE

Le ministre israélien vient de lancer un appel d'offres pour des bateaux-citernes qui pourraient contenir 50 millions de mètres cubes d'eau à aller chercher en Turquie. Obligés de fiche le camp du Liban, les Israliens ont vu leur ambition de monopoliser les ressources en eau de la région reculer d'un cran. Ils craignent des pénuries pour cet été. Ils ont besoin d'eau pour faire des cultures sur des terres palestiniennes volées. Comme ils préfèrent se passer de la main d'oeuvre palestinienne, qui viendrait travailler sur ses propres terres pour un très maigre salaire, ils embauchent des Chinois, des Thais et autres Asiatiques qui ont l'avantage de ne pas être arabes. Accessoirement, l'armée ferme les points de passage par où les producteurs palestiniens tentent d'aller vendre les agrumes qu'ils font pousser sur les terres qui leur restent et avec l'eau qu'ils doivent mendier.
Mais cette eau turque ne sent pas très bon non plus. C'est celle que les énormes barrages sur le Tigre et l'Euphrate permettent aux Turcs de voler aux Arabes de la Mésopotamie. Le niveau des fleuves a visiblement baissé à Baghdad, il suffit de regarder. La continuation de la guerre américaine pendant dix ans a permis aux ignobles militaires turcs, qui gouvernent ce pays depuis 1960, de mater les Kurdes par la terreur et de monter une série de barrages pour voler l'eau qui appartient à tous les habitants qui vivent sur les bords des fleuves depuis des millénaires. Le récent acoquinement des militaristes turcs avec les militaristes juifs se traduit par des trafics dans tous les domaines.


LAISSEZ SES MYTHES AU SÉMITE

Ces mots prononcés par le président syrien faisant ses adieux au pape Jean-Paul II à l'aéroport de Damas:
"Il est regrettable qu'il y ait encore des gens qui ont peur que l'on mentionne des vérités historiques et qui nous accusent, nous sémites, d'être antisémites".
May 8 (AFP) - Syrian President Bashar al-Assad hit out Tuesday at accusations of anti-semitism levelled against him by Israel and Jewish organisations, saying that Arabs themselves were Semites.
"It is regrettable that there are still parties who fear historical truths being mentioned and who accuse us Semites of being anti-semitic," he said while seeing off Pope John Paul II from Damascus international airport.
(Posted on Asia - News World)


FAIRE UNE CROIX DESSUS

Le 18 mai 2001
Au cours d'une conférence de presse, René Kosirnik, chef de la délégation de la Croix-Rouge en Israël et en Palestine occupée, a déclaré que les [colonies juives] violaient la quatrième convention de Genève, traité dont l'objet est la protection des civils dans les zones en guerre.
L'installation de populations par la puissance occupante dans un territoire occupé est considérée comme un acte illégal. C'est une entorse grave à la loi", a dit Kosirnik. Dans son principe, c'est un crime de guerre."

Ce qui nous paraît étonnant, c'est qu'occuper un territoire par la force ne soit pas un crime de guerre!

 
[May 18, 2001

"At a news conference, René Kosirnik, who heads the Red Cross delegation to Israel and the Palestinian areas, said the settlements violate the fourth Geneva Convention, the treaty intended to protect civilians in areas of conflict.
"'The installation of a population of the occupying power in occupied territory is considered an illegal move. It is a grave breach (of law),' said Kostirnik. 'In principle, it is a war crime.'"


Commentaire d'Ingrid Rimland: Now this is interesting. The International Red Cross holds, in fact, the key to the conflict behind its locked doors -- and could end it in one bold, courageous move. At Arolson, a Red Cross data center that Revisionists are forbidden to enter (
Service international de recherches d'Arolsen), can be found the documents of what did, and did not, occur in Third Reich concentration camps.
The Red Cross, in a firm statement, could tell the world the Holocaust is one gigantic hoax, as Red Cross officials have known all too well since its director, Biedermann, came testifying at the Zundel Trial in 1988 -- and disappeared into the yonder, his tail between his legs, when it was shown that there existed records -- exact, detailed records of numbers of victims, causes of death, nationality, religion, race etc. at Arolsen. If the world could see those records and act on them, the money to the bandit state would stop!


LE SALE PETIT SECRET par MacKenzie Paine

Le 15 mai est "Jour de l'Indépendance" en Israël. Drôle de nom pour un pays qui occupe la Palestine depuis plus de cinquante ans et qui continue encore aujourd'hui ses agressions. "Indépendance" de qui? On peut se le demander. Au moment où l'on s'attend à ce que le monde entier se prosterne avec respect devant le souvenir de cette date solennelle, je me demande si Sharon va interrompre cinq minutes ses activités criminelles ou s'il les multipliera pour célébrer l"indépendance" sioniste. Sharon pourra faire ce qu'il voudra, je ne crois pas que cette année, finalement, le monde va rester là sans rien faire, la tête baissée à réciter avec vénération la consigne sioniste "Plus jamais ça!" Les prétendues négociations de paix entre l'Israël et les Palestiniens sont réduites aujourd'hui au terrorisme et à la brutalité habituels de Sharon, avec l'appui de notre régime vassal de Washington, dans l'indifférence des médias et aux applaudissements des malades du cerveau qui, en Europe et aux Etats-Unis, apportent leur soutien au Tyran.
Mais il y a un sale petit secret qui commence à faire des bulles à la surface du monde, celui qui pourrait crever la panse du Tyran comme un couteau transperce le beurre mou. Le Tyran a refusé ses droits les plus élémentaires à toute personne au fait de ce sale petit secret. Le Tyran s'est assuré que toute personne au courant se retrouve en prison, que sa famille soit terrorisée, que sa maison soit incendiée. Le Tyran lance des menaces de mort, poursuit en justice tout en s'assurant que la vérité sera interdite, et va jusqu'à tuer ceux qui veulent dévoiler au monde le sale petit secret du Tyran. Mais, en dépit de toutes les tactiques de terrorisme, en dépit des lois de censure et en dépit de ses brutalités, même Le Tyran ne peut pas empêcher que la vérité ne l'emporte. Quel est ce sale petit secret, demandez-vous? Je vais vous le dire, mais tout d'abord je tiens à vous prévenir: ouvrez grands les yeux, ouvrez grandes les oreilles. Accrochez-vous. Le peuple palestinien a besoin de nous pour, en quelque sorte, découper des tranches dans ce beurre mou, afin de démolir une fois pour toutes Le Tyran, et à nous tous nous aurons besoin de toutes nos forces pour y arriver. Si vous avez peur de vous brûler, si vous avez peur de voir la vérité, vous aurez sur les mains un peu plus de sang palestinien et cette nation d'innocents pourrait disparaître de la terre. Les Palestiniens n'accepteront jamais l'esclavage, par conséquent Le Tyran devra tous les tuer. Bon, alors, respirez un bon coup et courage!
Voici le sale petit secret. La nation allemande et le gouvernement allemand n'ont PAS eu de politique d'extermination massive des juifs au cours de la seconde guerre mondiale. Je répète: il n'y a jamais eu de politique d'extermination massive des juifs au cours de la seconde guerre mondiale. De plus, il a été prouvé, par quelques-unes des âmes les plus courageuses sur cette terre - prouvé scientifiquement, historiquement, démographiquement, grâce à des recherches poussées et en dépit de persécutions brutales du Tyran -- que les nazis n'ont PAS gazé 6.000.000 de juifs au cours de la seconde guerre mondiale! Ils n'ont pas gazé un million de juifs! Personne n'a été gazé. L'histoire officielle de la seconde guerre mondiale -- version sioniste -- qui fait des juifs le centre de cette guerre et qui fait de leur sort un sort spécifique, est un mensonge. C'est le mensonge du Tyran et c'est ça que Le Tyran ne veut pas que les gens sachent.
Voilà le sale petit secret, et c'est ça qui commence à percer. Si vous ne me croyez pas, rendez-vous dès maintenant à votre plus proche musée de l'holocauste ou auprès d'un professeur d'études holocaustiques et exigez qu'on vous fournisse une preuve sérieuse que les Allemands ont eu une politique d'extermination massive des juifs et une arme pour appliquer cette politique. Vous savez ce qu'on va vous montrer? Des photos de tas de chaussures et de tas de lunettes. Ce sont les Allemands qui les ramassaient pendant la guerre pour les recycler, mais Le Tyran vous dira que leurs propriétaires ont été gazés. On vous montrera des photos de tas de cheveux que les Allemands utilisaient pendant la guerre pour l'étanchéité de leurs sous-marins, mais Le Tyran vous dira que les cheveux ont été coupés sur des gens qu'on s'apprêtait à gazer. (On les désinfectait, c'est vrai, mais c'était pour les protéger du typhus!) On vous montrera des photos de gens en train d'attendre ou de descendre d'un train et on vous dira que ces gens vont bientôt être gazés. N'importe qui avec deux sous de jugeotte peut voir que ce sont tout simplement des photos de gens qui sont en train d'attendre ou de descendre d'un train! On vous montrera des photos abominables de cadavres émaciés entassés et on vous dira que ces pauvres gens ont été gazés.
Plus de QUARANTE MILLIONS de personnes ont péri pendant la seconde guerre mondiale, alors il n'était sûrement pas bien difficile de produire des photos de malheureuses victimes. Qu'est-ce qui prouve que ces victimes étaient toutes juives et qu'elles ont toutes été gazées? Faites comme a fait notre cher et brillant professeur Faurisson pendant des dizaines d'années. Exigez qu'on vous montre une photo d'une chambre à gaz homicide. (La prétendue "chambre à gaz" d'Auschwitz est une reconstruction d'après-guerre, que l'on doit à l'Armée rouge.) Le Tyran est incapable de vous montrer la moindre photo d'une chambre à gaz homicide de cette guerre, alors qu'ils ont des photos de chaussures, de lunettes et de cheveux. Vous ne devinez pas pourquoi? Le Tyran se frappera la poitrine et poussera de grands cris en vous brandissant les procès de Nuremberg, qui "ont prouvé" l'"holocauste".
Jetez un coup d'oeil -- même un coup d'oeil rapide -- aux minutes de ces "procès", et vous serez convaincu que ce n'étaient rien que des procès-spectacles à la soviétique, qui ont été dénoncés à l'époque par des hommes d'Etat et des juges américains. La seule chose que prouvent les procès de Nuremberg c'est que Le Tyran refuse la justice et la vérité chaque fois qu'il l'estime nécessaire. Au lieu de vous fournir une preuve sérieuse de l'extermination massive des juifs, Le Tyran vous obligera à écouter des témoignages de "survivants".
Ecouter le témoignage des "survivants", c'est comme se retrouver captif en face de gens qui n'apportent pas la moindre preuve qu'ils ont seulement été détenus dans un camp de concentration, qui n'apportent aucune preuve des crimes dont ils sont censés avoir été les témoins ou les victimes, et qui n'ont aucune référence pour se présenter en experts en matière d'"holocauste". Demandez-leur de témoigner sous serment et de se soumettre à un contre-interrogatoire, et on vous fuira en vous traitant de "négationniste antisémite". Ce sont des diffamateurs professionnels du peuple allemand, à qui il est rarement demandé de justifier les accusations déplorables, sans preuves et malveillantes qu'ils propagent.
Les juifs ont souffert au cours de la seconde guerre mondiale. Beaucoup, beaucoup de juifs sont morts. Mais des millions de combattants aussi sont morts pour leur patrie. Et des millions de civils, aussi, sont morts, de maladie, de faim et par suite des attaques brutales des puissances alliées et des puissances de l'Axe contre les populations. Le sort des juifs durant la seconde guerre mondiale na PAS été spécifique. Le Tyran est incapable de fournir une once de preuve, scientifique, historique ou démographique, pour étayer sa version de l'histoire. Il n'est capable que de froncer les sourcils, de menacer, jeter en prison et tuer, opprimer et supprimer. Mais la vérité commence à voir le jour. Si vous cherchez des souffrances spécifiques, pas besoin d'aller plus loin que la Palestine.
Pendant plus d'un demi-siècle, Le Tyran a tiré dans les têtes des bébés, a fusillé de petits garçons qui jetaient des pierres, a tué des femmes et des enfants, a abattu des hommes qui se rendaient à leur travail, a fait sauter des maisons tandis que leurs occupants dormaient, a creusé des tranchées autour des villages pour les couper du reste du monde, a bombardé des maisons, assassiné des activistes et a réduit au silence toute éventuelle critique. Il est temps de dénoncer les mensonges du Tyran de toutes nos forces, tous ensemble. En tant qu'hommes, nous n'avons pas le droit de rester inactifs devant une telle terreur et une telle injustice. Armez-vous de la vérité. Le Tyran ne peut plus nous faire taire plus longtemps. Il y a des millions de gens qui connaissent le sale petit secret. Il nous revient, à nous, de le révéler au grand jour, de percer la panse du Tyran à l'aide de la Vérité. Le 15 mai est Jour d'Occupation israélienne. Diffusez la vérité et nous libérerons les Palestiniens. Ce n'est qu'alors que nous serons fidèles à la maxime: Plus jamais ça!

14 mai 2001. Traduit de l'américain.

Ernst Zündel, le révisionniste bien connu, a résumé quelques souvenirs sur ses tentatives de se faire entendre au Proche Orient. Nous avons ce texte en anglais.

COMMENT ILS FONT

Protestations contre CNN
Une manifestation de protestation contre le parti-pris de la couverture de la guerre palestino-israélienne par CNN a eu lieu à Jérusalem aujourd'hui et une autre est prév ue à New York demain. Des dizaines de personnes se sont rassemblées devant les bureaux de CNN à Jérusalem et onr présenté une "liste de doléances et de demandes" au chef de l'agence de Jérusalem, qui a accepté de rencontrer les représentants des manifestations dans un cadre plus formel. Une manifestation aura lieu aussi cet après-midi au siège de CNN à Atlanta. [...]
Protests against CNN
A protest demonstration against CNN's biased coverage of the Israeli-Palestinian conflict was held in Jerusalem today, and another one is scheduled for New York tomorrow. Several dozen people gathered outside the Jerusalem studios of CNN this afternoon, and presented a list of "grievances and demands" to Jerusalem bureau chief Mike Hanna. Hanna agreed to meet with the protestors' representatives in a more formal setting. A similar protest will be held this afternoon in CNN's world headquarters in Atlanta. Tomorrow, at W. 125th St. between 7th and 8th Avenues in New York City at 9:30 A.M., yet another protest will be held outside the annual CNN shareholders meeting. Organized by AFSI, the protestors plan to ask, "How did the respected news network become Arafat's propaganda tool?"


Le culot, le mensonge, l'organi
sation et le fric qui reste caché. Voilà comment ils font pour prendre le contôle des médias qui ne leur sont pas favorables à 110%. Et si ça ne marche pas aujourd'hui, ils recommenceront demain. La vérité, pour ces gens-là, vaut moins qu'une crotte de chien.
On peut voir par exemple comment l'Arche, revue de la communauté, essaie de faire du chantage à
Témoignage chrétien qui ne voit pas les Palestiniens comme les massacreurs sionistes. Nous avons cet article, qui pourrait figurer dans une anthologie de l'hypocrisie.


JOURS ORDINAIRES EN PALESTINE OCCUPÉE

Following yesterday's murder of Idit Mizrachi, two similar attempts were made today on the roads of Binyamin. A Talmon resident was shot upon as he drove along the N'vei Tzuf-Ateret road; bullets hit his car, but he was unhurt. Similarly, an army vehicle was fired at near Bitouniya; soldiers returned fire.
A bomb exploded in Jerusalem this afternoon -- the second such incident there in a week. Today's explosive, near Damascus Gate, caused no injuries. Despite its location in an area frequented almost exclusively by Arabs, police suspect that the device was constructed by the same terrorist elements who built the bomb that exploded on Friday near Jaffa Gate -- injuring two tourists -- and that both were designed to harm Jews.
Three Palestinians were arrested today after they threw a grenade at a building in Mishor Adumim, south of Jericho. Three policemen were injured during the arrest; they found additional grenades in the suspects' car. An explosive placed on the train tracks between Haifa and Tel Aviv was detonated safely, but train service there has been halted.
Jerusalem Magistrates Court Judge Noam Solberg was the target of four rounds of gunfire last night as he traveled south of the Tunnels Highway to his home in Gush Etzion. He was unhurt, but reported to the local security officials that the bullets missed his car by only "a few centimeters."
The town of Bat Hefer, just northwest of the PA city of Tul Karem and east of Netanya, was again the target of shooting last night, and no less than six houses were damaged. The residents ask that the wall separating them from Tul Karem be lengthened, and some have threatened to return fire towards the terrorists if the army does not put a stop to the shooting. Bat Hefer's Mayor Nachum Itzkovitch told Arutz-7 today that the firing went on last night for over a half-hour: "It was much worse than previous attacks that we have experienced. The IDF (l'armée) returned fire only after a half-hour, which gives us a very uncomfortable feeling. Their explanation was that they had forces in the field, whom they had to ensure would not be caught in crossfire. I accept this, but still I feel that the army should have responded at once with strong retaliatory fire."
Itzkovitch said that his town of some 5,200 people is "a fine place to live, but people are going through very hard times with these attacks -- anxieties among the children, and the like..." (Another resident was much more vehement on this point: "Our children haven't slept for months!" he told Israel Radio.) When asked what he would like the army to do, Itzkovitch said, "We propose a plan, with no political implications, that will separate us from a security standpoint from the Arab areas. We suffer not only from these attacks, but also from Arabs sneaking in and stealing. For instance, a few weeks ago some Palestinians came in, stole a tractor from nearby Kibbutz Bachan, and beat up some of our workers. There should be a permanent army force between them and us. This won't solve everything, but it will provide at least a partial solution..."


Toujours dans le même ordre d'idée, nous reproduisons le premier bilan très provisoire, arrêté au 1er mai, de l'usage des gaz par l'armée israélienne pour tenter de contrôler l'Intifada al Aqsa. Il serait temps que tous ces beaux messieurs de la LICRA-MRAP et autres pantins des droits de l'homme et de la chambre à gaze réunis commencent à se bouger un peu la graisse et interviennent pour dire NON AUX GAZ. Voir ce document.


BOBOS PAS BEAUX

Le Monde, qui s'est doté d'un "médiateur", finira-t-il par publier un jour le droit de réponse que lui a adressé le 2 avril Mark Weber, directeur de l'Institute for Historical Review (ihr.org) que le "quotidien de référence" avait qualifié d'"organisation néo-nazie" dans un article du 16 mars 2001 sur l'appel de quatorze intellectuels arabes contre la "conférence révisionniste" qui devait avoir lieu à Beyrouth? Dans ce droit de réponse, M. Weber rappelle que son institut, qui existe depuis plus de vingt ans, "s'oppose à la discrimination, à la censure et à la répression" et que le fisc américain lui-même a dû reconnaître, malgré les protestations des milieux sionistes, que "l'IHR est un établissement à vocation éducative".
De plus, lors de la troisième conférence de l'institut, en mai 2000, l'un des principaux orateurs était "John Sack qui se trouve être juif". Ce journaliste a, du reste, relaté ces trois journées dans un article paru dans Esquire (février 2001), soulignant que "l'IHR et les révisionnistes n'étaient nullement animés par la 'haine' ou le 'racisme' mais étaient des gens 'affables, intelligents, intellectuels dotés d'un esprit ouvert'." Et que "beaucoup d'arguments et de résultats établis par eux sont vrais". Mais peut-être les "Bo-bos" lecteurs du Monde ne sont-ils pas prêts de lire ce qui paraît tout naturel aux "Bo-bos" new-yorkais abonnés à Esquire. En matière de pluralisme au moins, nous avons beaucoup à apprendre des Américains, même si aux "States" aussi, l'espace de liberté tend à se restreindre.

Rivarol, 18 mai 2001.


JOURS ORDINAIRES DANS LE PARLEMENT DE LA "DÉMOCRATIE ISRAÉLIENNE"

Les députés juifs se déchaînent contre les députés arabes au parlement israélien...

State Attorney Edna Arbel has asked for a recording of the harsh words by MK (membre de la Knesseth) Ahmed Tibi (un député arabe) yesterday against IDF (armée) Chief of Staff Lt.-Gen. Sha'ul Mofaz (un juif persan). Tibi called him a "fascist, cold-blooded child murderer." It appears, however, that his parliamentary immunity will exempt him from standing trial for the crime of incitement. Legislation submitted today by Likud MK Yisrael Katz would disqualify from running for Knesset anyone who has expressed solidarity with a terrorist movement in the previous five years. The proposal passed its preliminary reading in the Knesset, and will now be readied for its first reading. MK Katz, speaking from the Knesset podium, had particularly harsh words for Tibi and the other Arab MKs: "We have a political Tanzim in the Knesset, and Tibi is its temporary commander... MK Tibi and his friends are like leeches living off the veins of the Israeli democracy, drawing strength from its blood, and we have to peel them off."
President Moshe Katzav called on Tibi to apologize. "There is a limit to the advantage that can be taken of democracy," he said. Tibi said he does not plan to apologize.
MK Yitzchak Gagula (du parti Shas) said that he would demand that Arab MKs not be allowed to enter the Knesset building without being bodily checked. "We have reached a point where the Arab MKs are bringing the intifada into the Knesset," he said yesterday. "They can't be allowed in without a body check. During the debate yesterday, they almost jumped on me for no reason... I am afraid of what will happen if we don't do that." Tibi was supplied with two bodyguards yesterday after he said he had received threats on his life.

The government also does not accept the construction freeze in any event. Foreign Minister Shimon Peres said that he would attempt to find a formula regarding the settlements that will be acceptable to the Mitchell Committee. "The dictionary is full of words," he said
.


IRAN DE DEDANS

"There are documents showing close collaboration of the Zionists with the Nazi Germany, and exaggerated numbers relating to the Jewish holocaust were fabricated to solicit sympathy of the world public opinion, lay the ground for the occupation of Palestine and to justify the atrocities of the Zionists. There is even evidence on hand that a large number of non-Jewish hooligans and thugs of Eastern Europe were forced to migrate to Palestine as Jews. The purpose was to install in the heart of the Islamic world an anti-Islamic state under the guise of supporting the victims of racism and to create a rift between the East and the West of the Islamic world after 1400 years of unity between those two parts. In the beginning the Moslems were caught by surprise, since they were not aware of the depth of the scheme designed by the Zionists and their Western supporters. The Ottoman Empire was defeated and the Sykes-Picot Treaty [1916] was secretly concluded to divide the Islamic territories among the victors of war. The League of Nations placed Palestine under the trusteeship of the British. It promised to support the Zionists and brought Jews to Palestine at the expense of displacing and forcing out Moslems from their motherland. In this long war, on one side of which are the West and the Zionists, and on the other side, the newly established Arab states, the enemies of Islam have made use of complicated instruments, including the power of international media and forums. On one hand they invited Moslems to show patience, tolerance and engage in peace talks, and on the other hand continued to arm Israel. Their strategic goal in these unequal and discriminatory interactions between Moslem countries and Israel has been to preserve the military superiority of Israel over Islamic countries.

Text of Speech of the Eminent Leader of Islamic Republic of Iran, Ayatollah Seyyed Ali Khamenei at the Opening Ceremony of the International Conference on the Support of Palestinian Intifada, Tehran April 24, 2001 --extract).


FASCISME ET GRAND CAPITAL (en hommage à Daniel Guérin)

Pendant le massacre, le commerce continue...


Le Jerusalem Post rapporte qu'un contrat d'armement d'une valeur de 50 millions de $ aurait été signé par le gouvernement français et Israël; ce contrat porterait notamment sur la production conjointe par le consortium EADS et Israel Aircraft Industry (IAI) de l'"Eagle 1", un drone (petit avion de reconnaissance, sans pilote, télécommandé) d'un rayon d'action de 1.000 kilomètres, et d'une autonomie de 30 heures. C'est pour préparer les bombardements...

Extraits des propos tenus le lundi 14 mai 2001 par l'Ambassadeur de France en Israël, M. Jacques Huntzinger, copain des socialistes, au cours d'un déjeuner organisé à Tel-Aviv par la Chambre de Commerce Israël/France.
Le texte complet peut être consulté sur le site de l'ambassade:
http://www.ambafrance-il.org/accueil/article.php?id=26.

"La France, comme vous le savez, est au 7e rang des fournisseurs d'Israël. Bien sûr, nous pouvons nous réjouir de l'accroissement sensible du niveau des échanges entre la France et Israël. On sait qu'ils ont doublé en l'espace de 10 ans. Mais cette statistique n'est pas complètement satisfaisante. (...) Bien des secteurs demeurent où notre présence devrait être plus grande, voire incontournable: l'agro-alimentaire par exemple, le secteur des biens d'équipement, et de façon plus large, celui des échanges entre petites et moyennes entreprises. (...)
Dans d'autres secteurs, la France a fait des efforts qu'il faut signaler. C'est celui de l'investissement français, de l'investissement direct en Israël. Dans le secteur bancaire, je rappellerai la place acquise par BNP-Paribas, le CIC, la compagnie Edmond de Rotschild, Crédit Agricole-Indosuez, et récemment, la banque franco-belge DEXIA qui est venue acquérir la majorité de la banque israélienne Otsar Hashilton Hamekomi, pour venir s'installer, pour la première fois, sur le marché du financement des collectivités locales en Israël. Dans le secteur du tourisme, le Club Méditerranée est présent au travers de ses villages. Air France assure des liaisons aériennes avec Israël depuis 1947. Le groupe Accor, qui augmente encore sa présence malgré la crise avec l'ouverture d'un hôtel 5 étoiles sur la Mer morte. Dans le secteur industriel, pour ne citer que ces compagnies, Vivendi a acquis dans la gestion des déchets; Alcatel, qui a racheté la société israélienne Tadiran; Schneider, qui a repris plusieurs sociétés d'électricité israéliennes; et France Télécom qui est aujourd'hui actionnaire de la compagnie de télécommunication Barak. Là c'est un secteur qui avance, qui marche.
De nouvelles opportunités de coopération bilatérale vont s'ouvrir dans le domaine des grands projets d'infrastructures où, traditionnellement, la France est très compétitive (Alsthom, Gaz de France, Vivendi, RATP, Suez...). Signalons le projet de tramway de Jérusalem, dans lequel un conglomérat français fait partie des préqualifiés; le futur projet de tramway/métro à Tel-Aviv, le développement de nouvelles lignes ferroviaires dans le réseau de chemin de fer israélien, les projets de dessalement de l'eau de mer, avec les projets d'Ashkelon, d'Ashdod et de Hadera, de même que les projets de centrales électriques et de réseaux gaziers. (...)
Des investissements se profilent dans le domaine de la haute technologie, au travers de nouveaux incubateurs et d'expertises techniques. De nombreux accords de partenariat devraient émerger, dans les prochains mois, suite à l'accord intervenu récemment, à l'initiative de cette ambassade entre l'Anvar (l'Agence nationale pour la Valorisation de la Recherche) et l'Office of the Chief Scientist israélien. Je concluerais en indiquant qu'en dépit d'une relative frilosité des petites et moyennes entreprises françaises, de nombreux secteurs ont été marqués ces dernières années par un nouveau dynamisme franco-israélien. Cette tendance va se poursuivre et s'amplifier, j'en suis personnellement convaincu. J'entends, en toute hypothèse, en tant qu'Ambassadeur de France, tout faire à cette fin."
Ambassade de France en Israël, 112, Promenade Herbert Samuel, BP 3480, 63572 TEL-AVIV -- E-mail: <
[email protected]>
Site internet :<
http://www.ambafrance-il.org/>
Infos tirée de solidarité-palestine
<
http://www.solidarite-palestine.org/>

4

PARUTIONS



§==Nonsense
On ne visite pas assez le site personnel de Greg Raven, qui est, par ailleurs, comme on sait, un des piliers de l'Institute of Historical Review. Il a mis en place le site web de l'Institut mais il a aussi monté un site personnel où il a rassemblé des documents intéressants, <http://www.corax.org/revisionism/index.html>
Il faut en particulier inviter nos lecteurs à consulter une petite archive des absurdités (nonsense) qui ont eu cours dans les années d'après-guerre et dont un certain nombre ont disparu depuis (mais pas toutes...). Toutes les citations, elles , sont authentiques. Un vrai délire!
Killed with sand at Belzec
Electrocutions at Belzec
An early claim about making soap
The Case of the Obvious Autopsies
Pedal-Actuated Brain-Bashing Machine at Sachsenhausen
Portable Bone-Grinding Machines
Shooting Orchestra Members
More Bone Grinders
Magically Efficient Crematorymobiles
Mass Electrocutions
Extermination by Pruning
The killing of Jews using atomic devices
Geysers of blood at Babi Yar
Bears and eagles guilty of genocide, too
"Instantaneous" gassings that could take up to two days
More details about making soap from humans
The river that runs red with the ashes of Jews
A Jew who survived six gassings
"Academic misconduct" from the director of the US Holocaust Memorial Museum
A bar of human soap for sale
Fall-out from the sale of the bar of human soap
An exhibit for those who can't afford (or make) their own human soap
Who is a "Holocaust survivor"?
A man who personally saw millions gassed
Ron Rosenbaum imagines he is personally related to all Jewish Holocaust victims
Holocaust revisionists have tremendous sums of money
Millions of Auschwitz victims could have been avoided by putting Nazi names on a list
The importance of excepting Holocaust revisionism from freedom of speech
Jewish kids burned alive at Auschwitz
"Ashes from Auschwitz" wandering around Germany
Another example of fictional "survivor testimony"
The growing Revisionist International
Superman didn't help the Jews
Tearing babies in half (and more)
Award-winning Jewish memories (from a non-Jew, who wasn't even there)
Living on worms and grass for three years; more from Leon Bass
The world's worst forger plays cello for Dr. Mengele
Miraculous missing ashes turn up in Israel
A Jewish mass murderer becomes a successful artist, selling images of his victims
Buchenwald was used for mass executions
'You could smell the bodies burning ...'
Running out of poison gas at the Nazi gas chambers!
Too old to be gassed

§==Whose flat earth?

Don Guttenplan in New York City


by Jim Russell



D. D. Guttenplan, the diminutive, bespectacled and bow-tied author of The Holocaust on Trial conceded Thursday [May 17, 2001] in New York City that he was a bit apprehensive at his first book-signing / discussion event. Despite being on friendly turf, his apprehension became warranted when J&E participants [a pro-Kevin MacDonald grouping] challenged his remarks at the Lincoln Center Barnes & Noble Bookstore.
Guttenplan shocked many in the audience with his concessions that no Jews were gassed at Dachau, that the soap and lamp-shade sagas were false, that the tale of the King of Denmark wearing a Star of David originated in the fertile imagination of Leon Uris, and that all of the internment facilities where lethal gassing supposedly occurred were coincidentally located in territories occupied by the Soviet Union at the conclusion of the war.
Speculating on why there had been so little prior coverage of David Irving's suit which had been filed in 1996, Guttenplan suggested that some journalists were "afraid that Irving was right" and didn't want to be the ones to break such ominous news. Guttenplan admits that he himself wondered for a while "if this is a hoax."
Guttenplan related that he became convinced of the authenticity of the extermination allegation by an emotional response to Irving's alleged implication that after the war, "capitalist Jews fled to the US, while Communist Jews fled to the USSR." This view, [wrongly] attributed by Guttenplan to Irving, convinced Guttenplan that Irving felt that "Jews are not human beings."
However, Guttenplan was quick to affirm that he did not rely merely upon emotional intuition to arrive at his conclusion. There was "abundant evidence" to prove the extermination allegation. "Survivor" testimony was not included in the trial, apparently due to Irving's objections to its reliability and the defense's noble assertion that the survivors had "suffered enough." Guttenplan bases his belief on some documents "discovered" by Soviet troops in an Auschwitz construction office for evidence and concedes that those who don't trust the Soviets may not accept the authenticity of these documents.
Guttenplan, as did defendant Deborah Lipstadt, alleged that Irving had willfully distorted documents. A J&E participant reminded Guttenplan that Irving was renowned for his careful analysis of primary documents that had been overlooked by other historians. Guttenplan backtracked and acknowledged Irving's recognition by scholars such as Sir John Keegan.
A member of the audience asked Guttenplan precisely what information Irving had been found to have distorted. At first Guttenplan replied that it would take too long to answer this question and that he would talk to the person after the discussion. Then Guttenplan said that Irving had added an additional "0" to a report of 20,000 deaths in the bombing of Dresden, bringing the total to 200,000. (How many extra "0's" are there in the 6,000,000 figure?)
Another member of the audience wanted to know whether Guttenplan considered Irving to be an "anti-Semite." After some hesitation, Guttenplan replied, "Yes, yes, of course." He qualified this judgment by noting that having lived in Tennessee and having known white racists who would cringe at the thought of contact with a Black, Irving was quite cordial toward Guttenplan and even allowed his young daughter to sit on Guttenplan's lap without objection.
I thought that Guttenplan would not solicit my question, but after the Barnes & Noble hostess announced there could be just one more question, he pointed in my direction. Since the bookstore is a huge four-story structure, I stated: "This is a very large bookstore. There must be over 50,000 volumes for sale and over a hundred volumes on the so-called "Holocaust" in the section behind us. Yet I challenge you to find even one original work that is critical of the extermination allegation. Unless one visits Internet sites such as ihr.org, one cannot find this information.
Throughout Europe and even in Canada people are jailed for daring to question the so-called "Holocaust." At this point Guttenplan asked me if I had a question. I answered "Yes," and proceeded, "In such a climate of suppression coordinated by international Jewish organizations, how can any objective historical research be accomplished?"
Guttenplan said that he was opposed to laws which provide criminal penalties for challenging the "Holocaust" but "understood" why countries with "special histories" like France and Germany might wish to maintain such laws. As for the suppression of revisionist literature, Guttenplan briefly responded that "If you go to the physics section of the library you will not find books which assert that the earth is flat."
I responded that his analogy was inappropriate, but Guttenplan ended the discussion at this point. I would have reminded him of his own documented doubt about the extermination allegation, which would seem to place its discussion in a far more legitimate context than the assertion of a flat earth. It is actually the antiquated exterminationist position that is more akin to the notion of a flat earth.


Site Irving <http://www.fpp.co.uk> 21 mai 2001.

On a plusieurs comptes rendus parallèles des bouquins de Evans et Guttenplan sur le procès Irving. Par exemple celui de Geoffrey Wheatcroft paru dans le New York Times Book Review du 13 mai 2001. Nous aurions pu donner le très intéressant compte rendu de Christopher Hitchens dans le Los Angeles Times du 20 mai et nous le ferons si on nous le demande. Nous avons sélectionné celui qui est paru dans le magazine en ligne Salon.
<http://www.salon.com/books/feature/2001/05/23/irving/index.html>

§==cinéma
I've only just joined this list so it's a bit late mentioning this, but the novembre "Cahiers du Cinema" was a special issue on Le Siècle du Cinema, with a section related to the holocaust on film - "Premières images des camps." An essay "Quel cinéma après Auschwitz?" traces how the images of the camps began to emerge in the newsreels in France, discusses the overwhelming focus on the 'heroic archetype of the deported resistant' and the absence of any mention of the Jews (a rather uncomfortable subject considering the extent of French collaboration in the Final Solution). There is also a re-print of Jacques Rivette's "De l'abjection" (a 1961 review of Gillo Pontecorvo's film "Kapo")and there is a long interview with Alain Resnais, the director of "Nuit et Brouillard". by the way I was glad some people did mention maybe they do not at least one of them doesn't show up in the English subtitles. I saw several months ago a version of the Red Army's Auschwitz liberation film with German narration, and was interested to note that it mentions over and over again that the people are from all the countries of Europe, emphasizing the universality of it, introduces intellectual and political prisoners from various places...but somehow it forgets to mention that the great majority of people sent to this camp were Jews.
From: Cheri Pugh <[email protected]>

§==There is an excellent analysis of "How Far Will Sharon Go?" in the current New York Review of Books (dated May 17, 2001) by Avishai Margalit, professor of philosophy at the Hebrew University, which is totally unlike American analyses of the situation in that: a) it minces no words about Israeli collective punishment against Palestinians; and, b) it doesn't attempt to dress up the situation with any fancy language about Israeli security, an appalling habit of intellectuals who feel the need to talk as if they are generals in order to take themselves seriously. My only criticism of Margalit is that he doesn't come straight out and call for the end of military occupation and for an Israeli acknowledgement of injustices done against the Palestinian people. That's what intellectuals are supposed to do, rather than go on about politics from the point of view of politicians. Be that as it may, what is very important about Margalit's writing here is that it demystifies Israel's aura which has been slowly built up and carefully structured over the years so as to eliminate Palestinians from the picture altogether.
(Extract -- Edward Said, in Al Ahram weekly, 532, 3-9 may)
Nous avons l'article de Margalit

§== la télé. Regardez bien comment on FABRIQUE du mythe, sous vos yeux:

TV film details Nazis' calculations as they planned the 'Final Solution'

By Tom Tugend

Los Angeles, May 10 (JTA) - Fifteen high officials of the Nazi regime gathered on Jan. 20, 1942, at a formerly Jewish-owned villa on the outskirts of Berlin for a meeting that lasted -- including three breaks for refreshments -- less than two hours.
At the conclusion of the meeting in
Wannsee, the SS and civilian officials had laid out the blueprint for the "Final Solution." A "dramatic reconstruction" of the fateful Wannsee conference by HBO Films will air Saturday, May 19 at 9 p.m.
The meeting was chaired and dominated by Reinhard
Heydrich (portrayed by Kenneth Branagh), known as "The Hangman" throughout occupied Europe and second only to Himmler in the SS hierarchy, and was coordinated by his deputy, Adolf Eichmann (Stanley Tucci).
Eichmann prepared 30 top-secret and heavily edited copies of the meeting's minutes, or
protocols, of which only one survived the war.
The minutes form the basis of "Conspiracy" -- and, like most such documents, make for dry reading. More than half the participants were lawyers, among them top bureaucrats of the Foreign and Justice ministries, and the Nazi penchant for euphemisms further obscured the real purpose of the meeting.
For instance, the words "extermination" or "killing" are never mentioned, with "evacuation" serving as a stand-in.
Scriptwriter Loring Mandel and director Frank Pierson thus had their work cut out in recreating the characters and infusing life into the discussion, without straying too far from historical accuracy.
Even more difficult is the task of creating a sense of tension or conflict in what was essentially an assembly of yes men. Branagh plays Heydrich, who even by Nazi standards was a singularly cold-blooded killer, with proper authority and a certain sardonic wit.
We know more about Eichmann than any of the other participants, and Tucci accurately catches the nervous officiousness of the middle-level bureaucrat, a role Eichmann perfected at his 1961 trial in Jerusalem.
The most complex character in the film is Dr. Friedrich Wilhelm Kritzinger, state secretary of the Reich chancellery (well acted by David Threlfall), who seemed to be the sole participant to have a sense of the enormity of the mass murder being contemplated. But even he caves in when Heydrich exerts some judicious pressure.
Two scenes, when the film hews closest to the original minutes, puzzles the mind, even after all we have learned in the past 60 years.
One is the obsessive preoccupation of the Nazi leaders in defining the exact percentage of Jewish blood in one-half, one-quarter and one-eighth Jews, which in turn determined their order in the extermination timetable.
The second is that even after German armies were stalled before Moscow and after America had entered the war, Hitler's minions were sure that they would dominate all of Europe.
The Wannsee Conference laid out precisely how many Jews would have to be "evacuated" to make Europe Judenrein.
The number came to 11 million, and included not just the Nazi-occupied countries and their allies, but the Jews of Great Britain and those of neutral Ireland, Portugal, Sweden and Switzerland.
Not even the 200 Jews of Albania were overlooked.
("Conspiracy'' will be repeated on May 22, 27 and 31 and June 4, 9 and 13.
Check local stations for times.)

Jewish Telegraphic Agency
<
http://www.jta.org/story.asp?story=7620>

Ce n'est ni le premier ni le dernier "Wannsee" qu'on nous sert. Le pire de tous est la fabrication qui figure à la fin du parcours dans le musée Wiesenthal de l'Intolérance à Los Angeles. Il suffit pourtant d'avoir des yeux et dans la boîte cranienne une chose blanche et molle qui s'appelle cervelle, pour lire les minutes et comprendre de quoi il s'agit.

§==voix arabes. Voyez ce que nous amis ont à dire sur FREE ARAB VOICE
The Free Arab Voice is an alternative newsletter that comes out only in cyberspace.
For other FAV issues, please visit:
http://www.fav.net/favPrevIssues.htm

Sign a real right of return petition at:
http://www.fav.net/A-RealRightOfReturnPetition.htm
Check out a special slide show on Palestine at:
http://www.fav.net/RememberPalestine.htm

Read the In Response to Defeatist Thought series at:
http://www.fav.net/InResponseToDefeatistThought0.htm

To read on Arab contributions to civilization, click on:
http://www.fav.net/arabCivilMain.htm

For Palestinian Poems in English, go to:
http://www.fav.net/rhythmsOfTheStorm.htm


§==outil de la sagesse. Index (partiel) en pdf des oeuvres de René Guénon (quand même 103 pages). Un vrai travail de soufi
<http://cage.rug.ac.be/~dc/IT/index_rg.pdf>

§==camp de concentration. Le Monde fait une page, le 9 mai 2001, sur un camp de concentration oublié, un charmant endroit perdu dans la Camargue, où l'Etat français a construit des maisonnettes, sans eau et sans électricité, entourées de barbelés et de miradors, avec des hommes armés, pour "héberger 300 personnes", entre 1942 et 1944, et en fait en entasser 700, tous Tsiganes, gens du voyage, râflés à droite et à gauche, sans rime ni raison, juste pour se faire bien voir des Occupants. Ils ont littéralement crevé d'abord de faim, ensuite de froid et de maladies. C'est le camp de Saliers. Une chose absolument ignoble. Une ignominie française. Il n'est sur aucune carte. Un type a entrepris de rassembler documents et souvenirs, de gens qui n'agitent pas leur mémoire comme des kleenex sur les quais de gare, dans un livre, Un camp pour les bohémiens, de Mathieu Pernot, Actes Sud, 128 p. et dans une exposition, aux archives de Marseille, 64 B rue Saint Sébastien, 13e, jusqu'au 13 juillet. Ce Pernot a fait exactement ce qu'il faut faire: balayer devant sa porte.

§==Recettes de cuisine. Shaping Losses: Cultural Memory and the Holocaust, ed. Julia Epstein and Lori Lefkowitz (Univ. of Illinois Press, 2001).

§==Chomsky, le permanent de la révolution. Cela arrive deux ou trois fois par an: un nouveau livre de Noam Chomsky, qui pourfend, avec mille bonnes raisons, les méfaits de l'impérialisme américains et de ses séides. Donc une préface par un godillot quelconque, de l'une des deux cents vingt huit tendances trotskystes ou pseudo-gauchardes. Cette fois-ci c'est un certain Jean Bricmont qui s'y colle, prof à Lovanium. Le Diplo du mois d'avril passe un abrégé de la préface; elle est recopiée sur dix autres semblables. Ça commence comme ça: "Le New York Times, qui n'aime guère Noam Chomsky (c'est réciproque), admet néanmoins qu'il compte au nombre des plus grands intellectuels vivants. En dehors des départements de linguistique, et des colonnes du Monde diplomatique, il reste néanmoins ignoré en France.
Quand son nom est évoqué, c'est trop souvent pour y associer ceux de Robert Faurisson ou de Pol Pot. Chomsky serait l'archétype de l'intellectuel passant son temps à minimiser ou à nier divers génocides dont l'évocation risquerait de servir l'impérialisme occidental. Il n'a d'ailleurs trouvé qu'un éditeur marginal, Spartacus, pour publier en 1984 ses
Réponses inédites à mes détracteurs parisiens, compilation de lettres et d'un entretien, non publiés ou de façon tronquée et adressés à des journaux comme Le Monde, Le Matin de Paris, Les Nouvelles littéraires, pour répondre, entre autres, à des attaques de Jacques Attali et de Bernard-Henri Lévy. D'où l'importance de la publication récente de certains de ses textes."
Nous avons tout ce dossier, beaucoup plus complet, évidemment dans notre page Chomsky.
En tout cas, on voit les actions de Chomsky reprendre de la cote; il reparaît chez de petits éditeurs, malgré les effrayants reproches de collusion avec nous dont ces besogneux préfaciers tentent de l'exonérer en le passant à la dégauchisseuse. Voici les dernières parutions: De la guerre comme politique étrangère des Etats-Unis, préface du sieur Bricmont, Agone, Marseille, 2001; Les Dessous de la politique de l'Oncle Sam, Ecosociété-EPO-Le Temps des cerises, Montréal-Bruxelles-Paris, 1996; Responsabilité des intellectuels, Agone, Marseille, 1998; Le Nouvel Humanisme militaire, Page Deux, Lausanne, 2000; La Conférence d'Albuquerque, Allia, Paris, 2001.

§==Le pithécanthrope et la caméra. Le filmeur du Gévaudan, qui touche pourtant une petite retraite de France-Dimanche, où il a longtemps fait semblant de travailler, continue à faire fructifier son petit capital filmique constitué par les chutes de Shoah. Il faut bien dire que plus on vieillit, plus les petites femmes coûtent cher. On comprend donc la nécessité de cette petite industrie du recyclage des déchets.

"Sobibor" de Claude Lanzmann ou la geste héroïque d'un camp d'extermination

Cannes, 13 mai (AFP) - A 16 heures, le 14 octobre 1943, un groupe de juifs du camp d'extermination de Sobibor, en Pologne, se soulevait et éliminait les officiers allemands parce qu'ils préféraient "mourir comme des hommes, plutôt que comme des moutons".
La geste héroïque de ces hommes, la seule révolte réussie dans un camp d'extermination nazi, relatée par Claude Lanzmann seize ans après Shoah, était présentée en séance spéciale dimanche au festival de Cannes.
Le réalisateur signe là "un film de courage et d'espoir", qui a le caractère haletant d'un thriller à suspense, par le biais du témoignage unique de Yehuda Lerner, recueilli en 1979 à Jérusalem pendant le tournage de "Shoah". C'est l'histoire exemplaire d'un David contre Goliath, "l'histoire d'un homme d'une très grande humanité, d'un non violent qui tue," dit Claude Lanzmann dans une interview à l'AFP.
"Cette révolte méritait un traitement en soi. Mais la condition était de revenir sur place. J'ai suivi les traces de ce héros trompe-la-mort extraordinaire, de Biélorussie jusqu'à Sobibor". Avec le sourire, un léger tic au coin de la bouche, Yehuda, qui a une vague ressemblance avec Richard Bohringer, raconte l'aventure extraordinaire de l'adolescent qu'il était alors, tandis que défilent les champs et les forêts de bouleaux de Biélorussie.
"Plutôt être pendu que mourir de faim", dit-il en précisant qu'il s'est évadé de sept ou huit camps et qu'il a toujours eu "une chance incroyable. Je crois que c'était ma bonne étoile". A Minsk, ceux qui n'étaient pas en état de travailler allaient tout droit à la mort. Pourtant, atteint du typhus, Yehuda est envoyé dans le camp voisin où sont prisonniers des soldats juifs de l'Armée Rouge. Lorsqu'ils sont transférés vers Sobibor, un employé à la gare de Chelm, en Pologne, leur dit "enfuyez-vous car on va vous brûler". "On aurait pu s'évader mais personne ne l'a cru", dit Yehuda. "Et quand on a compris que personne ne sortait vivant d'ici, il était trop tard".
Sa chance a été de se trouver avec des soldats de l'Armée Rouge, qui avaient le sens de l'organisation et de la discipline. Un officier juif soviétique Alexander Petcherski a mis au point le plan exécuté en moins de six semaines.
Yehuda raconte comment ils se sont procurés pour l'atelier de menuiserie des haches qu'ils ont aiguisées comme des rasoirs. Comment il a attendu dans l'atelier de confection l'officier allemand qui devait venir à 16H00 pile essayer une pelisse. "Ca a duré un millième de seconde. Je lui ai coupé le crâne en deux (...) J'étais un gosse mais je considérais comme un honneur de tuer un Allemand. Avant, je n'aurais pas tué une mouche"...
La révolte de Sobibor a mis fin au camp où 250.000 juifs ont péri. Gare délabrée, herbes folles sur les voies, dans ce paysage qui n'a pas beaucoup changé, Claude Lanzmann a filmé des oies comme celles que les nazis faisaient courir pour couvrir les hurlements des juifs.
A la fin de "Sobibor" défile la liste de tous les convois arrivés là de 1942 à 1943, des colonnes de chiffres avec l'origine, Hollande, France, Russie, que lit le réalisateur.
Pour Claude Lanzmann, qui vient pour la première fois à Cannes avec un film, c'est "un vrai film de cinéma". Il récuse la notion de documentaire. "Shoah ne l'est pas, ni celui-là". D'ailleurs, il sortira en salles à la rentrée et Yehuda Lerner, absent de Cannes, viendra alors à Paris.
Yahoo, dimanche 13 mai 2001, 15h23


Même façon de se vautrer, dans L'Huma, le journal qui va bientôt enfin disparaître.


Sobibor, 14 octobre 1942, 16 heures, film français de Claude Lanzmann, 1 h 35
Hors compétition
C'est en somme comme un chapitre rapporté de Shoah que Claude Lanzmann livre aujourd'hui avec Sobibor, 14 octobre 1943, 16 heures. Il s'agit du témoignage du déporté juif Yehuda Lerner, recueilli en 1979, et qui n'avait pu prendre place dans le corpus colossal de cette oeuvre capitale pour la compréhension de notre temps. La voix de Lanzmann souligne d'emblée la portée du récit de Lerner, alors un tout jeune homme solide, épris de liberté, qui tente de s'évader à huit reprises, échappe à la mort par miracle (il reconnaît avoir bénéficié d'une bonne étoile) et qui, pour finir, prend part à une rébellion de détenus du camp de Sobibor, en Biélorussie, au cours de laquelle seize nazis furent exécutés, de mains d'hommes qu'ils considéraient comme des sous-hommes inexorablement promis à la mort. Lanzmann évoque justement l'" apprentissage salutaire de la lutte armée, par des hommes qu'une tradition millénaire d'exil et de persécution n'avait pas préparés, dans leur grande masse, à l'exercice effectif de la violence ".
Lerner livre le récit de ses actes héroïques avec le calme de celui qui a accompli son devoir. Saisi tantôt en gros plan, tantôt en plan américain, il rassemble ses souvenirs que Lanzmann s'efforce de lui faire au mieux préciser. C'est ainsi que l'on apprend qu'encadrés par des prisonniers juifs issus de l'Armée rouge, les conjurés de Sobibor avaient mis au point un plan parfaitement exécuté, dont la réussite tint à la ponctualité légendaire des Allemands. Rendez-vous avait en effet été donné aux bourreaux, dans différents baraquements de tailleurs, sous le prétexte d'essayage de vêtements à eux commandés. l'heure dite, c'est à coup de " haches affûtées comme des lames de rasoir " que les geôliers furent expédiés. Il faut voir Lerner, moderne David, suggérer, par gestes, la taille gigantesque de celui dont il fendit le crâne en un éclair. Il faut l'entendre confirmer ce que Lanzmann avait déjà appris par ailleurs ; les nazis pratiquaient l'élevage intensif des oies, à seule fin que leurs cris couvrent ceux des hommes qu'ils envoyaient au supplice. (Belle trouvaille, du Capitole au Kapital...)
Tuer fut donc, pour Lerner et ses camarades en instance de partir en fumée, la condition indispensable de l'humanité recouvrée. Terrible leçon ici infligée par l'Histoire, à mesurer de surcroît à l'aune de l'effarante comptabilité des convois, venus de toute l'Europe, qui alimentèrent la machine de mort de Sobibor. Les villes de Pologne et de Russie d'aujourd'hui, les voies ferrées d'hier qui servent encore ainsi que la vaste forêt qui entoure Sobibor sont citées par l'image à comparaître dans ce procès de la mémoire dont Lanzmann s'est fait une règle d'or. Après avoir déserté le camp sous le tir nourri des Ukrainiens à la solde des nazis, Lerner, qui jusque-là, dans le feu de l'action, avait gardé son sang-froid, avoue être tombé de sommeil sous le couvert des arbres. Plus tard, il rejoindra les partisans. Claude Lanzmann nous exhorte à écouter "la parole vive de Yehuda Lerner". Comme il a raison, surtout qu'il précise que " musées et commémorations instituent l'oubli autant que la mémoire ".
De l'un de nos envoyés spéciaux J.-P. L.
L'Humanité 14 Mai 2001. Page réalisée par Intern@tif - Lundi 14 Mai 2001



Mais, si on lui pose les bonnes questions, l'Abominable Homme du Massif Central peut en dire plus, par exemple sur l'armée israélienne:

"Ich will den Heroismus zeigen"


die tageszeitung
: Claude Lanzmann, Ihr neuer Film besteht zum Großteil aus einem bereits 1979 gefilmten Gespräch, in dem der aus Polen stammende Yoshua Lerner erzählt, wie er im Konzentrationslager Sobibór einen deutschen Offizier erschlagen hat. Eigentlich sollte das Material in Ihren Dokumentarfilm "Shoah" eingehen. Warum haben Sie es damals nicht verwendet?
Claude Lanzmann: Weil die Aufstände nicht das zentrale Thema von "Shoah" sind. Es geht um die Radikalität des Todes, die Radikalität der Auslöschung, die Unentrinnbarkeit von alledem. Zwar kommen in "Shoah" auch Aufstände vor, selbst der Aufstand von Sobibór, aber in reduzierter Form. "Shoah" endet mit der Erhebung im Warschauer Ghetto, die fehlschlug. [...]
Sie selbst haben Sobibór als "Wiederinbesitznahme der Gewalt durch die Juden" bezeichnet. In welchem Zusammenhang steht dieser Film mit "Tsahal", Ihrem Dokumentarfilm, den Sie 1994 über die israelische Armee gedreht haben?

"Tsahal" hat sehr viel damit zu tun. Die jüdische Armee ist ja nicht einfach so von selbst entstanden. Für Menschen, die mit Waffen nicht vertraut waren und keinerlei militärische Tradition hatten, musste das alles aus kleinen Teilen zusammengesetzt und sozusagen neu erfunden werden. Insofern gibt es eine wirkliche Verbindung zwischen der Gewalt, die "Sobibór" schildert, und der Armee, die in "Tsahal" beschrieben wird.
Nehmen wir einmal an, Sie würden "Tsahal", der ja sehr umstritten ist, heute noch einmal drehen. Würden Sie die israelische Armee vor dem Hintergrund der aktuellen Gewaltexzesse etwas kritischer untersuchen?
Nein, ich würde den Film genauso drehen. Trotz allem, was man erzählt, und trotz der Propaganda, die heute verbreitet wird und in der man die Israelis als Schlächter und Mörder darstellt. In "Tsahal" ging es mir darum, zu zeigen, dass diese Armee einen nicht gewalttätigen Ursprung hat. Natürlich gibt es auch in der israelischen Armee Sadisten und Typen, die gerne töten, aber ich bin davon überzeugt, dass es weniger sind als anderswo - und ich kenne diese Armee sehr gut. Was heute in Israel passiert, hat weniger mit dieser Armee als mit den Politikern zu tun. [...]
taz Nr. 6448 vom 17.5.2001, Seite 4, 204 Interview, Katja Nicodemus


Toujours la même antienne: l'armée israélienne n'est pas comme les autres, d'ailleurs l'affaire de Sobibor est comme une sorte d'origine... des gens sans armes... on "représente" les soldats israéliens comme des massacreurss et des meurtriers (ce qui veut bien dire qu'ils ne le seraient pas...). Bref, l'idole des sartreux et des zolomaniaques continue à se prosterner aux pieds des massacreurs. Et c'est ce genre de type, tueur par procuration, qu'en envoie parler aux jeunes... Shoah va sortir en DVD et sera envoyé gratos dans les écoles. Ceux qui se paient Tsahal peuvent bien se payer Lanzmann. Comme type, il vaut pas cher.

§==pédophilie
. On exploitait autrefois les momies pour en tirer des médications miraculeuses. On les passait dans un moulin pour en exprimer toutes les bonnes huiles que les antiques embaumeurs y avaient mises. Et maintenant voyez les résultats qu'on obtient en pressurant une seule fillette:

* A four-hour miniseries, following Anne's life from her happy school days through her two years in hiding in Amsterdam and to her final days in the concentration camp, airs nationally over ABC-TV on May 20 and 21.
* The 20th Century Fox studio is developing a feature movie based on "The Diary of Anne Frank."
* A new edition of the diary, including five previously unpublished pages describing her parents' difficult marriage, was released in March. (Ça peut durer longtemps...)
* The Helios Dance Theater premiered "About Anne: A Diary in Dance" in Los Angeles last month.
* An interactive CD-ROM titled "Anne Frank House: A House with a Story" was released earlier this year, offering a virtual tour of the building and the "secret annex" where the Frank family hid.
* In Boise, Idaho, ground has been broken on a $1.6 million Anne Frank Human Rights Memorial and Park.
Et le Journal, qui tourne à 25 millions d'exemplaires en 55 langues.... Shoah Business. Le nombre de gens qui se remplissent les fouilles, les momies, Robinson, toutes ces Madame Henrouille...
+++++++++++++
Informations extraites du site AAARGH, maintenant présent en quatre points du Web:
<http://aaargh-international.org>
<http://aaargh.vho.org/>
<
http://www.abbc.com/aaargh/index.html>
<http://www.reviso.org>


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ARTICLE 19 <Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.


ARTICLE 11-1: Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.
(Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. 2000/C 364/01. Nice, 7 décembre 2000)

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