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DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE DES PERSONNES

MENTIONNEES SUR LE SITE DE L'AAARGH

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Fania Fénelon, auteur d'un livre sur Auschwitz, dans lequel elle rapporte, notamment, l'existence, dans le camp des femmes, d'un orchestre de détenues qui jouait le dimanche: Sursis pour l'orchestre, Stock, 1976, 403 p. Elle tient, par ailleurs, des propos incohérents sur les Sonderkommandos, ainsi dans un entretien avecLes Nouvelles littéraires du 15 janvier 1981, mentionné par La Guerre sociale.

"Fils et filles des déportés juifs de France", association créée le 17 janvier 1979 par la bande Klarsfeld; selon les termes du jugement du tribunal de grande instance de Paris du 1' juillet 1981, elle "fonde son action, de façon exclusive, sur les textes publiés par M. Faurisson entre le 16 novembre 1978 et le 16 janvier 1979"; c'est d'ailleurs pour cette raison qe son action dans cette affaire, antérieure à sa création, a été jugée irrecevable. Depuis, elle s'est bien rattrapée.

Fosses à cadavres: les Allemands y auraient fait brûler des milliers de cadavres. Abondamment et précisément décrites par Filip Muller (Trois ans dans une chambre à gaz) elles constituent une absurdité physique mais n'en sont pas moins chères aussi bien à Mueller qu'à Wiesel ou Wellers. R. Faurisson leur adresse une première critique. L'AAARGH mettra bientôt à disposition le texte de C.Mattogno, Les fours crématoires, qui démonte mot à mot la description de Muller.

Saül Friedländer, juif tchèque installé en Israël, professeur d'histoire à l'université de Tel-Aviv et à l'Institut d'études européennes de Genève, "spécialiste" de la seconde guerre mondiale. Outre son ouvrage fondé sur la psychologie des foules et expliquant le nazisme par la folie collective, il a publié deux livres dans un concert publicitaire tonitruant, le premier, Pie XII et le IIIe Reich, Le Seuil 1964, 238 pages et le second, une hagiographie fondée sur une croyance aveugle à la légende Gerstein, Kurt Gerstein ou l'ambiguté du bien, Casterman, Tournai 1967, 205 pages. Le premier accuse Pie XII de complicité de crime contre l'humanité, sans la moindre preuve, en se fondant sur la pièce de Hochhut, Le Vicaire. Toute cette opération de construction d'un faux historique a été démontée en son temps par Rassinier dans L'Opération vicaire. Le rôle de Pie XII devant l'Histoire, (texte intégral sur le site de l'AAARGH; il faut absolummnet lire la critique en règle que Rassinier fait de son livre, particulièrement le § V du chapitre premier, Saül Friedländer) et c'est certainement la crainte de la critique de Rassinier qui fit reporter à 1967 la publication de sa hagiographie de Gerstein. Le témoignage de ce SS a été ridiculisé à plusieurs reprises par Rassinier, et définitivement dans L'Opération vicaire. Le rôle de Pie XII devant l'Histoire, complété par le travail de Mattogno et celui de Roques, après la découverte de nouveaux documents. Roques rapporte également le désaveu du "témoin" Gerstein par Friedländer, en mai 1986. En 1982, au colloque de la Sorbonne, il prononça une communication intitulée "Le débat historiographique sur l'antisémitisme nazi et l'extermination des juifs", qui s'achève par la constatation que "la question de la date à laquelle fut décidée l'extermination physique totale des Juifs, tout comme le problème de l'élaboration du plan de la "solution finale", restent irrésolus".(ce que Kubovy, directeur du Centre de documentation juive de Tel-Aviv, sous la pression des travaux de Rassinier, avait déjà dit en 1960) C.Mattogno, dans son bilan du sort historiographique de l'objet "extermination physique des juifs", analyse les positions de Friedländer.

François Furet, 1928-1997, historien de la période moderne et contemporaine, ancien stalinien devenu démocratiste; spécialiste de la Révolution française, auteur d'un essai inoubliable par sa présomption nommé Penser la Révolution française. Sa présomption ne se limite pas à ce domaine. Porte souvent une chemise ouverte et un petit foulard délicieux; se fait photographier ainsi. Elu à l'Académie francaise le 20 mars 1997. Signataire de la "déclaration des historiens en 1979 puis co-organisateur, avec Aron, du colloque de 1982 "Le National-socialisme et les Juifs", à l'issue duquel il a déclaré en public qu'il n'existait pas de preuves de l'existence des chambres à gaz, non plus que d'ordre d'Hitler pour l'extermination des juifs. Voir les extraits jurés de ces déclarations, cités par R. Faurisson comme pièce dans son procès en appel de décembre 1982-janvier 1983.

Max Gallo, écriveur de romans historiques, il prétend au statut d'historien. A son actif, outre son appartenance au parti socialiste, la rédaction du faux témoignage de Martin Graywesky, publié sous le nom de Martin Grey, Au nom de tous les miens; la supercherie a été dévoilée par Gitta Sereny, exterminationniste convaincue, dans le Sunday Times; c'est seulement en 1983, alors que sortait un film tiré de ce roman, que la presse française a donné écho à l'affaire. Gallo était alors le porte-parole de l'Elysée. Voir le récit de S.Thion dans Une allumette.

Gayssot, communiste, auteur d'une loi scélérate dite Gayssot, promulguée le 12 juillet 1990 (techniquement, il s'agit d'un amendement à la loi sur la presse de 1881) et rendant passibles des tribunaux ceux qui "auront contesté l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité tels qu'ils sont définis par l'article 6 du statut du Tribunal militaire international", (voir le texte dans un tract de La Vieille Taupe de 1996) ce qui en circonscrit grandement le champ d'application. Insupportable pour les ligues, la limitation est purement et simplement ignorée par les tribunaux qui refusent systématiquement de se référer, dans les affaires qui leur sont soumises contre les révisionnistes, aux minutes du procès de Nuremberg. Pour une analyse de la situation au moment du vote de la loi et ses applications, voir les textes de R. Faurisson (1990)du mois de mai et surtout du mois d'août 1990. Voir aussi notre dossier "Police de la pensée". avec le livre essentiel d'É. Delcroix, La Police de la pensée contre le révisionnisme et plus tard, en 2002, Le Théâtre de Satan, son livre sur l'effondrement de la civilisation occidentale par la destruction subreptice de sa philosophie du droit. Pour la carrière ultérieure de l'individu, voir le texte du Temps irréparable, en juin 1997, annonçant sa nomination comme ministre dans le gouvernement socialiste et reproduisant un poulet, stalininisme pur jus, pondu par le sinistre bonhomme aidé d'un compère, en juin 1996, et publié par le quotidien du mensonge français.

Roger Garaudy, [aller directement à la page Garaudy][aller à l'esquisse autobiographique de L'avenir: mode d'emploi] homme étonnant, né en 1913, intellectuel français, normalien et agrégé de philosophie, professeur d'Université, résistant, déporté, théoricien et dirigeant du parti communiste français jusqu'à son exclusion en 1970, converti au christianisme puis à l'Islam; après une vie passée à fréquenter les autorités de tous les corps, constitués ou non, dans le monde entier, il est désormais chassé de partout en raison de son appartenance à l'Islam, il a, au cours des dernières décennies, publié d'innombrables ouvrages sur tous les sujets, dont quelques-uns, très critiques, sur le christianisme, l'islam et le judaïsme contemporains; le dernier, intitulé Les mythes fondateurs de la politique israélienne, a soulevé le tollé que l'on imagine quelques mois après sa sortie à l'automne 1995; l'affaire s'est corsée lorsque l'abbé Pierre, fondateur du mouvement charitable Emmaus, a soutenu publiquement son ami Garaudy. La lâcheté et l'abjection des quelques individus qui ont le droit en France de s'exprimer dans les journaux et sur les ondes se sont déchaînées unaniment. Personne n'a cherché à comprendre pourquoi un homme de la stature morale de l'abbé Pierre (ancien résistant et prêtre des pauvres) critiquait à la fois le sionisme et ses mythes fondateurs, dont l'inévitable histoire des six millions holocaustiques. L'AAARGH vous propose une page Garaudy avec plusieurs livres de Garaudy, la plupart des articles parus dans la presse à propos de l'affaire, ainsi que les textes des jugements et des comptes-rendus des procès. On trouvera aussi un dossier Garaudy dans l'archive de LaVieille Taupe, qui, toujours au travail dans l'obscurité, a publié le livre de Garaudy. R.Garaudy et P.Guillaume ont été mis en examen pour "révisionnisme"; les détails sont dans l'archive Vieille Taupe, R.Garaudy a été condamné et P.Guillaume relaxé, le 27 février 1998; l'audience de prononcé du jugement a été le siège d'une attaque sioniste. R.Garaudy a été condamné et P.Guillaume relaxé, le 27 février 1998; l'audience de prononcé du jugement a été le siège d'une attaque sioniste. Voyez notre page Garaudy.

Raymond Geouffre de la Pradelle, avocat et juriste français de stature internationale qui critiqua les fondements juridiques des procès contre les nazis, de Nuremberg à Eichmann. Il parvint, après des efforts acharnés, à faire abandonner le principe de la punition collective applicable aux nazis, comme contraires aux fondements même du droit des gens (cf Rassinier, Le Véritable Procès Eichmann, ch. 2, p. 38). Il s'éleva aussi contre le procès Eichamnn, notamment dans un article du Figaro du 9 juin 1960, et que Rassinier cite abondamment dans Le Véritable Procès Eichmann (cha. III, p. 124)

Kurt Gerstein (1905-1945) illuminé allemand, officier SS arrêté par les Français en 1945 et incarcéré à Paris où il se suicida en 1945. Quelque temps après sa mort, on "retrouva" un rapport de sa main, dans lequel il "affirme avoir pris une part active au massacre des juifs dans les chambres à gaz, qu'il était chargé de ravitailler en "acide prussique". Ce "rapport" fut refusé comme preuve par le Tribunal militaire de Nuremberg le 30 janvier 1946 mais néanmoins utilisé en justice par la suite, notamment dans le procès des médecins en novembre 1947 et, plus tard, dans le procès Eichmann à Jérusalem, en 1961. Après avoir été utilisé comme parole d'évangile par Poliakov et quelques autres à sa suite (Saül Friedländer, François Delpech, Robert Neumann, Heydecker , Martin Gilbert (cf. l'étude de R.Faurisson) et Leeb) grâce à une réécriture des textes, et parallèlement à sa quasi-canonisation par la pièce Le Vicaire , (et plus tard par le livre de Joffroy, il fut vivement critiqué par Rassinier, d'abor dans Le Drame des Juifs européens, op. cit., ch. 2, II, Kurt Gerstein, puis dans son étude de la pièce de Hochhut et la véritable attitude de Pie XII face à la guerre, L'Opération vicaire. Le rôle de Pie XII devant l'Histoire, dont l'AAARGH vous propose le texte intégral, qui n'avait jamais été réédité depuis l'édition originale de 1965. L'étude du «témoin Gerstein » (résumée de celle du Drame des juifs européens, y occupe une place importante. Il affirme sous serment, notamment, qu'il y avait déjà dix millions de morts dans "les usines" en août 1942; ou envore, il a "vu" huit cents personnes dans une "chambre à gaz" de 25m2. Parmi les exterminationnistes, O.Wormser-Migot est la première à avoir mis ce document en doute dans sa thèse, en 1968 (elle le considère comme un agent double, p. 426). La thèse que le révisionniste Roques, fit pour compléter l'étude de Rassinier, après la découverte de nouveaux documents, l'étude à peu près concomitante que lui a consacré l'historien italien Mattogno, puis le désaveu d'Hilberg (qui le citait vingt-trois fois comme source dans la première édition de The Destruction of the European Jews) au procès de Zundel en 1988, pour qu'il soit reconnu comme illuminé même chez les exterminationnistes. H. Roques lui a consacré une thèse célèbre, où l'on trouvera notamment une biographie du personnage. On peut lire aussi, en complément, ce qu'en dit R. Faurisson et finalement, le diagnoctic d'H.Roques, dans un compte rendu de l'ouvrage qu'A. Decaux consacre à Gerstein en 1998: "Le déclin irrémédiable des confessions de Gerstein".

"Ghetto-boy": enfant photographié les mains en l'air dans le ghetto de Varsovie, prétendument pendant l'"insurrection" et prodrome de son "extermination". En fait, il s'agit d'un voleur du ghetto en 1941, arrêté en flagrant délit par la police allemande. C'est lui-même qui le dit... Explications de R. Faurisson.

Martin Gilbert, historien anglais spécialiste de la prétendue extermination des juifs dans des chambres à gaz; auteur de Final Journey, The fate of the Jews in Nazi Europa, New York, Mayflower Books, 1979, Auschwitz and the Allies, Londres, Michael Joseph, 1981 etThe Holocaust, the Jewish tragedy, London, Collins, 1986 il a, à l'appui de sa thèse, falsifié le "document Gerstein" pour le rendre un peu moins invraisemblable. R. Faurisson met ces manipulations en évidence. Vidal-Naquet dit de The holocaust qu'il "marque une énorme régression"(dans un texte de 1992,0 que vous propose l'AAARGH).

Daniel Jonah Goldhagen, exterminationniste excité, professeur à l'université d'Harvard (Etats-Unis), auteur en 1996 d'un ouvrage intitulé Hitler's willing executioners, Ordinary Germans and The holocaust, Alfred A. Knopf, New York, 622 p., qui soutient la thèse de l'antisémistisme de tous les Allemands et par conséquent de leur complicité absolue dans le "génocide des juifs". Violemment critiqué par une partie de la secte exterminationniste, autour du Pr Littell, il jouit maintenant d'une auréole de sainteté parmi le petit peuple juif fanatique mené par Wiesel-le-menteur; parmi les adulateurs, l'inévitable quotidien français Le Monde. L'AAARGH vous propose la critique parue le 26 avril 1996. ainsi que des commentaires frénétiques du 5 mai. Dans un texte intitulé  « False Witness » (faux témoin), il accuse Arno Mayer de falsification, de distorsion, de révisionnisme et d'avoir « tourné en dérision la mémoire et l'histoire » (The New Republic, 17 avril 1989, p. 39-44). En 1999, il fait l'objet de vives attaques de la part de Finkelstein et Birn et Le Monde prend sa défense. Nous vous disons tout...

Nahoum Goldmann, dirigeant sioniste acharné, président du Congrès juif mondial de 1948 à 1977, il a joué un rôle essentiel dans la « création » d'Israel, bien que s'étant trouvé, en bien des occasions, en désaccord avec son complice Ben Gourion. Accompagné de Ben Gourion, chef du gouvernement d'Israel en 1948, il a obtenu du chancelier Adenauer, chef du gouvernement allemand, en 1949, des réparations qu'il a qualifiées d'astronomiques et qui ont été officialisées par Accord dit de Luxembourg du 10 septembre 1952 . Rassinier expose la querelle qui l'oppose à Ben Gourion dans l'affaire des morts d'Auschwitz : Goldmann, avec ses partisans Arendt et Hilberg, affirme qu'il n'y a eu qu'un million de morts ; Ben Gourion tient, lui, pour quatre millions. Goldmann a reconnu publiquement qu'Israel vivait du "shoah-business", ce que Rassinier avait exposé dès 1962, dans Le Véritable Procès Eichmann, puis en 1964, dans Le Drame des juifs européens. (voir notamment Le Nouvel Observateur, 25 au 29 octobre 1976, à propos de la publication de son autobiographie Le paradoxe juif, Stock, 1976) "Sans les réparations allemandes [...], Israel n'aurait pas la moitié de son infrastructure actuelle [1976]: tous les trains en Israel sont allemands, les bateaux sont allemands, ainsi que l'électricité, une grande part de l'industrie... sans même parler des pensions individuelles versées aux survivants [...]. Certaines années, les sommes d'argent qu'Israel recevait de l'Allemagne dépassaient le montant des collectes du judaisme international - les multipliant par deux ou par trois." (Le paradoxe juif, p. 152). Outre les analyses de Rassinier, ci-dessus, nous vous proposons le récit de R. Faurisson, et l'analyse de V.Monteil, qui connaît bien l'état d'Israël puisqu'il fut, en 1948, à Jérusalem, observateur des Nations unies; il s'y est "convaincu du caractère de plus en plus raciste, terroriste et de type nazi de l'Etat juif (c'est son nom officiel)". Pour le rôle de N.Goldmann dans le sionisme, voir le livre de Brenner, Zionism in the Age of Dictators, sur le site de l'AAARGH. A propos du procès Eichmann, raconte Rassinier dans Le Véritable Procès Eichmann, il a été contraint par les réactions de certaines associations juives, de prendre ses distances avec Ben Gourion et d'admettre du bout des lèvres l'illégalité de toute l'affaire. Voir aussi ce que l'AAARGH dit de la légende des six millions et du shoah-business.

Martin Gray, pseudonyme de Martin Graywesky, qui a publié sous ce nom un roman , Au nom de tous les miens, (références bibliographiques: Gray Martin, Au nom de tous les miens (récit recueilli par Max Gallo), Laffont, 1971, 40 p., rééd. « Livre de Poche ».) dans lequel il prétend avoir été interné dans un camp de concentration. Le roman a été en réalité écrit par Max Gallo, écriveur de seconde zone et socialiste larmoyant; la supercherie a été dévoilée par Gitta Sereny, exterminationniste convaincue, dans le Sunday Times; c'est seulement en 1983, alors que sortait un film tiré de ce roman, que la presse s'est fait l'écho de Mme Sereny. Voir le récit de S.Thion dans Une allumette..

Wolfgang Grosch, auteur d'un faux témoignage sur les chambres à gaz; sous ce nom il désigne en fait les morgues ou Leichenkeller. Son faux-témoignage dans un des procès de Nuremberg a été analysé avec grande précision par Rassinier dans Le Véritable Procès Eichmann. (ch. 2, p. 84 à 87).

Vassilij Semenovic Grossmann, (1905-1964), juif soviétique, romancier, auteur, avec Ilja Ehrenbourg, du Livre noir, (présentation par Le Monde) récit halluciné de l'extermination des juifs soviétiques, que Staline trouva trop mensonger pour être trop publié. Il est aussi l'auteur d'un grossier poulet sur Treblinka, L'enfer de Treblinka, présenté ici par S. Thion.

Marek Halter (né en 1936) ; il se présente partout (et notamment dans son livreLa Mémoire d'Abraham, 1983, qui serait l'oeuvre d'un nègre du nom de Jean-Noël Gurgan ) comme un survivant du ghetto de Varsovie, qu'il aurait quitté en 1941, alors qu'un article de Libération (24 janvier 1986, p.19, signé Nicolas Beau, par ailleurs très favorable à l'auteur), affirme qu'il a en réalité quitté Varsovie, avec sa mère, en octobre 1939, avant la constitution du ghetto par les Allemands.

Charles Hauter, professeur de théologie protestante à Strasbourg, déporté à Buchenwald, il a ensuite publié ses souvenirs (dans un recueil de l'université de Strasbourg intitulé De l'université au camp de concentration. Témoignages strasbourgeois.) dans lesquels il s'étend avec complaisance sur la "chambre à gaz homicide" de ce camp situé en Allemagne, où, chacun le sait, car M. Broszat de Munich le lui a appris, il n'y eut point de "chambre à gaz homicide". Vidal-Naquet a dû lui-même reconnaître qu'il existait des faux témoignages en matière de "chambre à gaz homicide". Lire le compte-rendu que fait H. Roques du recueil De l'université... en général et du témoignage d'Hauter en particulier.

Helsinki (conférence) et Fédération internationale des droits de l'homme: en 1975, alors que la contestation aux Etats-Unis était à son apogée et que la situation des Etats-Unis dans le monde, alors qu'ils venaient de perdre la guerre du Viêt-Nam, symbole à la fois de leur faiblesse et de leur impérialisme arrogant, fait réunir à Helsinki, en Finlande, une conférence sur les droits de l'homme. trente-cinq pays des deux blocs participent à la conférence sur la sécxurité et la coopération en Europe. Ces états comprennent toute l'Europe, y compris l'Union soviétique plus le Canada et les Etats-Unis. L'acte final de la conférence est le traité d'Helsinki, qui, pour la première fois, associait la volonté de paix et de sécurité au respect des droits de l'homme. Les signataires ont pérennisé leur réunion en créant une organisation internationale, l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. C'est le coup d'envoi de la conquête idéologique du monde par les pays capitalistes; le président Jiminy Cricket-Carter se fait l'ardent prédicateur de ces droits de l'homme dans le monde (sont exclus a priori: les Noirs américains, les Amérindiens rescapés du génocide, les Noirs d'Afrique du Sud, les Palestiniens, les Irakiens, les Américains du Sud, etc) le dernier avatar de cette idéologie est "le devoir d'ingérence" que la France sionisto-socialiste a fait adopter. L'imposition de la croyance à l'extermination programmée des juifs par les nazis à la totalité des sujets pensants n'est que la part la plus ignoble de cette idéologie.

Heydrich, chef de la police de sûreté et du service de sécurité du troisième Reich jusqu'au début de 1943, il aurait convoqué la "conférence de Wannsee" en janvier 1942. Il y aurait annoncé avoir été nommé par Goering "responsable chargé de la préparation de la solution finale de la question juive en Europe". L'examen des documents montre que les preuves de ce rôle de Heydrich, comme toute la théorie de la "solution finale" sont totalement fabriquées. Voir l'article magistral de C.Mattogno, "Le mythe de l'extermination des juifs, AHR, 1, 1987.

Raoul Hilberg, « homme par excellence des idées reçues et des dogmes », auteur de l'ouvrage La destruction des juifs d'Europe; bible exterminationniste, il a été immédiatement examiné étroitement par Rassinier qui en a montré les incohérences, les absurdités et les sollicitations (Le Drame des juifs européens, ch. I; 2e éd., p. 14 à 32) ; Hilberg affirme qu'il y a eu 5, millions de victimes juives, mais n'en atttribue qu'un million à Auschwitz, suivant en cela les ordres de son maître Goldmann. Rassinier, avec une grande lucidité, attribuait à Hilberg un rôle important dans l'extorsion de fonds de l'état d'Israël à l'Allemagne. Dès 1977, dans une lettre à D. Irving qui lui demandait s'il connaissait des documents incriminant directement Hitler, il "reconnaissait qu'il était arrivé, lui aussi, à la conclusion que Hitler n'était peut-être pas au courant". ([Hilberg ] who honourably conceded that he too has come to the view that Hitler may not have known." (cité par D. Irving dans une lettre publiée par le Daily Telegraph en 1977 et dans ses conclusions au procès Lipstadt de janvier-mars 2000.),Témoin de l'accusation au premier procès Zundel, à Toronto, en 1985, il confirma cette position qui fut considérée comme une défaite extraordinaire par les commentateurs du procès Zündel, qui ne lisent peut-être pas Irving, pourtant témoin, lui-même, à ce procès. Probablement le moins menteur des exterminationnistes (il a été le premier à affirmer que le "savon juif" était une rumeur), c'est le seul qui reconnaisse qu'il y a un travail à faire sur la question des "chambres à gaz" et du "génocide". Ainsi, dans un article du Nouvel Observateur, (30 sept.- 6 oct. 1993), il affirme à l'occasion de la sortie du livre de Pressac, Les crématoires d'Auschwitz, que "d'importantes recherches sont encore nécessaires", qu'il "faut étudier davantage les sources allemandes", qu'il y a encore "du pain sur la planche". Il a néanmoins utilisé les "confessions" de Gerstein comme source (il le cite vingt-trois fois comme source mais en les résumant au lieu de les réécrire comme Poliakov et ses comparses). Néanmoins, sa mauvaise foi éclate dans les propos qu'il tient en 1983 (après le colloque de la Sorbonne): "Mais ce qui commença en 1941 fut un processus de destruction sans plan préétabli, sans organisation centrale d'aucune agence. Il n'y eut pas de projet et il n'y eut pas de budget pour des mesures de destruction. [Ces mesures] furent prises étape par étape, une étape à chaque fois. C'est ainsi qu'apparut moins un plan mené à bien qu'une incroyable rencontre des esprits, une consensuelle transmission de pensée au sein d'une vaste bureaucratie (an incredible meeting of minds, a consensus-mind reading by a far-flung bureaucracy)(déclaration à George DeWan, "The Holocaust in Perspective", Newsday (Long Island, NY), 23 février 1983, p. 2/3).(Né à Vienne, en Autriche, en 1926, émigra aux Etats-Unis en 1939, sans sa famille. En 1944, service militaire dans l'armée américaine, dans les services de renseignements. Après la guerre, doctorat de droit public de l'université de Columbia; doctorat en 1955. Occupe depuis un poste d'enseignant à l'Université du Vermont (enseigna le droit international, la politique étrangère américaine et l'Holocauste). Commença son étude du "génocide nazi des juifs" en 1948.)

Hirt, professeur à l'Institut d'anatomie de la faculté de médecine de Strasbourg, accusé d'avoir commandé à Josef Kramer des cadavres exécutés au gaz pour ses recherches.

Rolf Hochhut, dramaturge allemand, auteur de la pièce de théatre Le Vicaire (Der Stellvertreter,1963, traduite en plusieurs langues) dans laquelle il attribue à Gerstein, présenté comme un saint, un rôle important et l'utilise pour attaquer l'attitude qu'il prête, sans aucune preuve, au pape Pie XII pendant la guerre; c'est cette pièce qui répandu partout l'opinion que l'Eglise catholique est restée impassible devant le "massacre" des juifs. Rassinier a consacré un livre à détruire le mythe en train de se constituer autour de Pie XII, L'Opération vicaire. Le rôle de Pie XII devant l'Histoire, que nous reproduisons intégralement. Il faut aussi, pour compléter, voir quelques passages dans la thèse de Roques (et aussi passim 1 et 2, pour la resituer dans la chronologie de l'affaire Gerstein) l'effet de cette pièce, analysé déjà par J.Nobécourt, dans Le Vicaire et l'histoire, Paris, 1963. On doit noter, néanmoins, au bout de près de cinquante ans, que l'affaire se solde par un échec: le 20 décembre 2009, après des années de tripatouillages et postures immondes, les juifs ont subi un échec retentissant: le pape Benoît XVI a en effet annoncé, le même jour, que Jean-Paul II (l'ami des juifs) et Pie XII (devenu leur ennemi une fois que, mort, il ne pouvait plus se défendre: on reconnaît là un courage typique des tueurs en série à l'œuvre en Palestine et ailleurs depuis deux mille ans) étaient proclamés vénérables, dernière étape avant la "béatification", elle-même prélude à la canonisation" (qui n'est pas automatrique) (voir l'opinion de La Vieille Taupe)

Rudolf Hoess (ou Hoss), commandant d'Auschwitz de mai 1940 au 1er décembre 1943; condamné à mort et pendu en 1947. Il a été "interrogé" et torturé après la guerre par les Anglais et par les Polonais et a rédigé, sous la surveillance étroite du juge d'instruction polonais Jan Sehn, une "confession" dans laquelle il déclare avoir tué par le gaz 6.000 personnes par jour. Publié sous le titre de Kommandant in Auschwitz.Autobiographische Aufzeichnungen von Rudolf Hoess, Eingeleitet und Kommentiert von Martin Broszat, 1958, Verlagsanstalt Stuttgart (Le Commandant d'Auschwitz parle..., traduit de l'allemand par Constantin de Grunwald, Paris, Julliard, 1959). Exécuté en 1946. Un écrivain français spécialisé dans le roman historique a fait de tout ce fatras un roman, La Mort est mon métier, dont un compte-rendu a été donné par Pierre Marais. Dès la publication de l'ouvrage, Rassinier a mis en évidence ses invraisemblances et les conditions dans lesquelles ce prétendu témoignage a été obtenu. Exemple d'absurdité : Hoess, qui a quitté ses fonctions le 1er décembre 1943, a "reconnu" la mise à mort à cette date de 3 millions de déportés. Il a également cité un camp d'extermination du nom de Wolzek qui n'a jamais existé; il ne peut s'agir de Belzec qu'il mentionne ailleurs comme camp d'extermination. Rassinier met également en évidence les contradictions entre les prétendues confessions et la déposition de Nuremberg. Personne ne lui a répondu directement, comme d'habitude, mais Broszat, au cours du procès des gardiens d'Auschwitz, a déclaré à la barre, le 26 février 1964 : « on ne peut pas faire confiance aux déclarations de Rudolf Höss », Frankfurter Allgemeine Zeitung, 27 février 1964.Voir P. Rassinier qui a exposé de quelle nature était ces « confessions » dès leur parution, repris par Faurisson, après les aveux du bourreau de Hoess (pour les conditions de la torture d'Hoess avouée par son bourreau, pour le texte et la nature de la "confession" et surtout le texte de 1987, Annales d'histoire révisionniste, n.1.)

Wilhelm Hoettl, officier SS à la solde des Anglais (ce qui fut révélé par un magazine anglais au moment du procès Eichmann, voir le récit dans Rassinier, Le Véritable Procès Eichmann chapitre III, texte intégral ici même), ami d'Eichmann. En 1945, il déclara aux Américains qu'Eichmann lui avait dit, en août 1944 que, "dans les différents camps d'extermination, environ quatre millions de juifs auraient été tués, cependant que deux autres millions auraient trouvé la mort d'une autre façon". Cette déclaration fonde la croyance fanatique aux "Six millions" alors qu'elle implique qu'il y eut beaucoup plus de victimes juives en tout, puisque l'"extermination" des juifs aurait duré au moins jusqu'à l'automne de 1944. Hoettl, bien que détenu à Nuremberg, ne fut pas convoqué par le tribunal qui retint pourtant ce chiffre comme émanant d'Eichmann. En 1987, Hoettl a avoué à un journaliste qu'il avait enivré Eichmann et recueilli ses propos avinés (Welt am Sonntag, 8 mars 1987, p. 2).

imbécile français; catégorie générique désignant des individus souvent agrégés, souvent de philosophie. C'est une variété dangereuse qui fabrique consciemment de l'idéologie au fur et à mesure qu'elle est nécessaire à la défense des intérêts particuliers qu'elle prône et qui financent ses petits plaisirs. Prête à tout pour passer à la télé et gagner du fric. Le terme d'imbécile français résume, exemplairement, de leur propre aveu, la nature de ces êtres: l'un d'eux, en effet, déclarait un jour dans Le monde (le centre à partir duquel ils exercent leur industrie) du 31 juillet 1983:"Lorsqu'on écrit, on est hanté par la peur d'être bête". Désolé, ce n'est pas le souci de l'AAARGH, qui pourtant écrit toute la journée. Aveuglement?

David Irving, historien anglais, spécialiste de l'Allemagne au XXe siècle. En 1977, il publie, directement en allemand, une biographie de Hitler dans laquelle il déclare qu'il n'existe aucun ordre d'extermination des juifs émanant de Hitler et que l'ordre a dû venir d'ailleurs. Le texte effectivement publié par l'éditeur allemand Ullstein Verlag à Berlin est amputé de tout ce passage. Irving fait retirer le livre et publie la version intégrale en anglais sous le titreHitler's War, New-York, The Viking Press, xxiii-926 p., 1977. Depuis, il est en butte à une persécution constante. Davantage de précisions sur lui dans la Revue d'histoire révisionniste, 1, 1990. Ainsi, en 1996-1997, une campagne a-t-elle abouti à lui faire interdire l'entrée de l'Australie. Après les accusations portées contre lui par la pauvre Debbie Lipstadt, maîtresse de conférences d'une université de province américaine, il lui fait un procès qui va occuper plusieurs mois en 2000. Nous suivons l'affaire de près à notre page Irving, qui résume le site d'Irving lui-même qui tient un compte précis de tout ce qui se produit depuis des années et donne également ses livres en texte intégral. Puis il est arrêté et condamné en Autriche à trois ans de prison, en novembre 2005, pour des déclarations faites vingt ans pplus tôt, dans une réunion privée. Il est finalement libéré un an plus tard, en décembre 2006.

Vladimir Jabotinski, juif polonais sioniste, fondateur et idéologue du courant fasciste dit révisionniste, mort en 1940 à New York; il a collaboré, en Ukraine, avec le gouvernement pogromiste de Petlioura en 1922, puis avec Mussolini; il a fondé la Légion juive et la Haganah (Défense) et prôné la constitution d'un empire juif en Palestine par la violence: "A voluntary reconciliation with the Arabs is out of the question either now or in the near future" (une réconciliation volontaire avec les Arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans un futur proche). Son plus célèbre et plus acharné disciple fut Begin. Voir le récit de Lenni Brenner, Zionism in the age of the dictators, ch. 10

Commandant Jadin. juge d'instruction militaire français qui a interrogé Josef Kramer à Celle, le 26 juillet 1945. Voir la présentation et l'édition du procès-verbal de l'interrogatoire par R. Faurisson.

Pierre Joffroy, journaliste à Paris Match, auteur d'un ouvrage intitulé L'Espion de Dieu, La passion de Kurt Gerstein (Paris, 1969), fondé sur les "confessions" de Kurt Gerstein, réécrites pour en éliminer les impossibilités et les contradictions. Voir l'analyse de cet ouvrage par H. Roques. Voir aussi son témoignage au procès Poliakov de 1981, par H. Roques. Il rapportait, en 1956, un détail de pur délire: "ces quatre barres de "savon juif" fabriquées avec des cadavres dans les camps d'extermination et qui, trouvées en Allemagne, furent revêtues d'un linceul, en 1948, et pieusement ensevelies selon les rites dans un coin du cimetière de Haïfa (Israël)"(Paris-Match n° 395 du 3 novembre 1956, p. 93 , dans un article consacré à Anne Frank); cette légende est pourtant dénoncée comme rumeur fausse par Wellers et consorts (voir l'étude de R. Faurisson sur la question). alors que l'exterminationniste Gitta Sereny, dans son livre de souvenirs, note que l'existence du "savon juif" a été infirmée par l'enquête officielle.

Bernard Jouanneau, avocat des Ligues, un des meneurs, avec l'avocat Badinter, de la traque judiciaire contre les révisionnistes à ses débuts. Membre fondateur de l'ASSAG, qui devait les confondre mais finalement disparut sans laisser de traces sauf dans la mémoire des historiens, beaucoup plus vicieuse que celle des morts; depuis cette déconfiture inavouée mais criante, il s'est retiré de l'arène antirévisionniste et allait même jusqu'à déclarer, en 1987: "Si les chambres à gaz ont existé, la barbarie nazie n'est égale à aucune autre. -- Si elles n'ont pas existé, les juifs ont menti et l'antisémitisme s'en trouverait justifié. Voilà l'enjeu du débat" (La Croix, 23 septembre 1987, p. 2). En 1988, au cours d'une plaidoirie devant la cour d'appel de Paris (22 novembre 1988,), il a rendu hommage à "la rigueur de R. Faurisson", ce qui ne l'a pas empêché, en 1990, de défendre Wellers dans un procès contre R.Faurisson, lassé de s'entendre traiter partout "d'illettré" et "d'ignorant" par ce physiologue sans diplôme. En mars 2007, il participe aux côtés de Badinter au procès fait par Faurisson à ce dernier.

Yves Jouffa, né en 1920. D'après l'Encyclopédie politique française (tome I, Faits & Documents, 1992, p. 363) d'Emmanuel Ratier, ce responsable des Jeunesses socialistes en 1939, fut interné à Drancy du 20 août 1941 - septembre 1942 puis, relâché par les autorités françaises, ne fut pas déporté, ayant rejoint l'Union générale des Israélites de France (UGIF)(organe central de la collaboration juive avec Vichy et l'Allemagne), où son père était trésorier, pour travailler dans une usine d'aviation à Belleville. Il serait président d'honneur de l'Amicale des anciens déportés et internés du camp de Drancy. De 1984 à 1991, il a présidé la Ligue des droits de l'homme. Il a plaidé dans des procès visant des auteurs révisionnistes, notamment contre R.Faurisson qui, au moment du procès Papon, pose les questions qui s'imposent à son sujet, Le glorieux journal Libération, répond le 7 novembre 1997.

Journal d'Anne Frank: roman sous forme de récit de la vie clandestine d'une famille de juifs hollandais, les Frank, jusqu'à leur déportation en 1944. Dès sa parution, ce récit, présenté comme authentique et publié en plusieurs langues, a été dénoncé comme faux par un instituteur allemand qui fut lourdement condamné en 1960, puis par Rassinier qui, tout en refusant de s'intéresser à l'oeuvre ­ qu'aucun exterminationniste à l'époqsue ne prend au sérieux, relève, avec l'infaillible perspicacité qui lui fait tant d'ennemis, la différence d'écriture entre deux pages du manuscrit et les variations entre les différentes traductions (2e éd., p. 42). Puis, en 1977, l'information est reprise par D. Irving dans son livre Hitler's War et son éditeur est condamné à une lourde amende en 1979. Le thème a été ensuite développé par R. Faurisson qui a donné une longue étude où il met en outre en évidence les absurdités du récit. La dénonciation du Journal d'Anne Frank comme un faux semble licite: dans un article du Courrier des Yvelines de février 1984, H. Le Goff, auteur d'un livre sur les trucages, explique pourquoi il range le livre parmi ceux-ci. Nous avons relevé les passages intéressants de cet article. En 1999, une bagarre oppose à Londres trois autoresses de biographies qui prétendent détenir la vérité authentique sur l'authentique vie d'Anne Frank... Sans commentaire !

journaliste: nous regroupons sous cette entrée la horde de personnages médiocres stipendiés par la clique exterminationniste et pro-israélienne pour mener le combat idéologique contre tout ce qui bouge. Ce sont les subalternes des imbéciles français.

Danuta Czech, conservateur du musée d'État d'Auschwitz, elle a établi, de façon absolument fantaisiste et sans jamais citer ses sources, un "Calendrier des événements survenus au camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau" (Kalendarium der Ereignisse im Konzentrationslager Auschwitz-Birkenau, Hefte von Auschwitz, Auschwitz Museum, 1959), qui se donne comme une main-courante de la vie à Auschwitz. En fait, il s'agit d'un ensemble hétéroclite de témoignages non critiqués et qui plus est, publiés par le régime polono-stalinien au pouvoir en 1959.

Gilles Karmazyn ne mérite pas qu'on s'attarde sur lui. Portrait de Giles Karmazyn (octobre 2009)

André Kaspi, historien français spécialiste de l'Angleterre, reconverti en spécialiste du "génocide nazi ds juifs". Depuis 1993, directeur du département des sciences humaines du CNRS. Ses travaux d'historien sont totalement inconnus.

Dr Ernst Kaltenbrunner, chef du RSHA (organe chargé de la sécurité du Reich, dépendant de la SS et coiffant la Gestapo, la SD et la police criminelle); succède à ce poste à Heydrich au début de 1943. Condamné et exécuté à Nuremberg., notamment sur la base du "témoignage" de Marsalek, qui l'accusait d'avoir visité Mauthausen et d'y avoir assisté à des gazages. Rassinier parle de son interrogatoire par Amen à Nuremberg et aux accusations imbéciles portées par ce dernier ; cf aussi le récit de R.Faurisson.

Dr Rezso Kasztner, président du Comité pour le salut des juifs de Budapest de 1942 à 1945), auteur d'un Rapport qui raconte dans ses moindres détails la déportation des juifs hongrois (1944) en accablant Eichmann. Installé en Israël,il devint membre influent du parti de Ben Gourion mais fut accusé par un autre Israélien d'origine hongroise d'avoir en fait collaboré avec les nazis. Un procès eut lieu et le dénonciateur de Kazstner eut gain de cause, ce provoqua une crise très grave pour Ben Gourion; un second procès allait avoir lieu en 1961; Ben Gourion ne pouvant courir le risque d'une seconde condamnation de Kasztner en pleain procès Eichmann, Kasztner fut assassiné. Rassinier raconte l'affaire dans Le Véritable Procès Eichmann, annexe 3, p. 229.

Theodor N. Kaufman, juif américain auteur d'un livre au titre éloquent: Germany must perish, 1941. Il prône la stérilisation de tous les Allemands, hommes et femmes, ce qui permettrait en quelques dizaines d'années la disparition définitive de ce peuple. Rassinier met ce pamphlet en perspective dans Le Véritable Procès Eichmann (ch. 2, p. 107). et cite plusieurs pages en fac-similé (édition américaine originale et édition française). Nous y avons joint la notice de l'ouvrage au catalogue de l'université de New York (le 25 mai 1999), où il figure avec le sujet « World War, 1939-1945 ». Hitler fit lire ce livre à la radio.

Serge Klarsfeld, avocat francais, et sa femme Beate, d'origine allemande, exterminationnistes terroristes, ont publié en 1978 le Mémorial de la déportation des juifs de France, (analysé par R. Faurisson) qui prétend être une liste des victimes françaises du "génocide des juifs" mais est en réalité une liste, établie par les Allemands de 1942 à 1944, de toutes les personnes déplacées vers toutes les destinations (et non pas seulement les camps de concentration), entre mars 1942 et août-septembre 1944. Quelques erreurs trop évidentes sont rectifiées par rapport à l'édition du Kalendarium: parmi elles se trouvent la ministresse Simone Veil et le syndicaliste Krasucki, donnés l'un et l'autre pour gazés... Klarsfeld a dû publier, deux ans plus tard, un Additif au Mémorial, où il rectifie les erreurs trop criantes, sans changer le principe de son étude (affirmer n'importe quoi sans vérifier). C'est sans doute en récompense de son incompétence (ou de sa fausseté?) qu'il a reçu le titre de docteur en histoire de l'université de Lyon vers 1990, ce qui lui permet désormais de se prétendre "historien". Il préside l'Association des fils et filles de déportés juifs de France qu'il a fondée pour pouvoir se porter partie civile contre les révisionnistes.

Marc Klein, professeur à la faculté de médecine de Strasbourg, déporté à Auschwitz en juin 1944; il a publié son témoignage en 1946, après le début des procès de Nuremberg, dans la revue Études germaniques. Ce témoignage est important parce que l'auteur, distingue très clairement ce qu'il a vu de ce qu'il a cru, deviné, entendu dire... Et curieusement, tout ce qu'il a vu c'est un camp extrêmement propre, où l'hygiène et la surveillance sanitaire ferait pâlir bien des prisons françaises, doté d'un hôpital pour les détenus à la pointe de la modernité, d'un orchestre, d'équipements de loisirs pour les détenus. Quant à ce qu'il croit, cela fait d'Auschwitz un lieu "paradoxal", "démentiel", "schizophrénique" : mais ce n'est qu'une croyance... Ce témoignage est bien connu mais à notre connaissance il n'est disponible nulle part (1999). Voici une lacune comblée. Pour la petite histoire on le trouve aujourd'hui (2008) sur le site du dénommé Karmasyn (?) qui, après avoir prétendu partout, en 2001, que les révisionnistes se gardaient bien de citer ce texte, a affiché sur son site la version de… l'AAARGH, avec ses fautes, notamment une succulente note renvoyant aux Écrits révisionnistes de Faurisson, sous la forme lapidaire "cf. RFII, 755-777. On voit bien ledit Karmachin se référant ainsi à RF!

Eugen Kogon, mort en 1987, journaliste autrichien, de type chrétien social ou chrétien progressiste, arrêté en conséquence de l'Anchluss, déporté à Buchenwald où il était secrétaire du médecin SS Ding-Schuller, auteur d'ouvrages sur le système concentrationnaire. Dans Le mensonge d'Ulysse, Rassinier expose les mensonges du livre L'Enfer organisé, Paris, La jeune Parque, 1947. Ce témoignage de Kogon est capital car c'est lui qui établit que les camps de concentration (et en particulier Auschwitz, celui qu'il a lui-même connu, étaient administrés suivant le principe de l'autogestion (on disait self-government à l'époque) et que par conséquent ce sont les détenus eux-mêmes, sous le nom de kapos, qui étaient responsables de ce qui s'y passait et des conditions atroces qu'ils y créaient, à l'insu des Allemands (L'Enfer organisé, p. 275). La plupart d'entre eux étaient juifs et communistes. Au procès des gardiens d'Auschwitz, dit aussi procès de Francfort (1964), sur les vingt-deux accusés il n'y avait qu'un seul kapo et, comme par hasard, il n'était pas juif (voir le récit de Rassinier dans les annexes d'Ulysse trahi par les siens. ). Kogon a aussi infirmé de facto les témoignages sur les chambres à gaz en déclarant dans L'Enfer organisé : « [les chambres à gaz] dans les rares camps où il y en eut...» Kogon a écrit Der SS Staat, [L'Etat SS], réédité par Le Seuil dans une version falsifiée, il est aussi le co-auteur, avec Rueckerl et Langbein, du pamphlet NS-Massent...tungen durch Giftgas [Les chambres à gaz, secret d'État] (1983 en allemand, 1984 en français) qui se donnait pour but d'anéantir le révisionnisme. Le premier "témoin" de l"ordre de Hitler" Eugen Kogon affirme notamment l'existence de l'"ordre" supérieur pour la "solution finale" en citant des "documents" que personne n'a jamais vus. (voir l'analyse que fait Rassinier, dans Le Mensonge d'Ulysse, de cette affirmation de Kogon et de l'ensemble de son témoignage); il y eut un échange de lettres entre Kogon et Rassinier; la lettre de Kogon a disparu mais celle de Rassinier a été publié par P. Guillaume dans son édition d'Ulysse trahi par les siens (Lettre de Rassinier à Kogon (5 mai 1960).voir aussi le compte rendu du Mensonge d'Ulysse, de Jean Vita. D'après un article du New York Times du 26 décembre 1987, Kogon est suspect de crimes contre l'humanité. Voir les commentaires d'H.Roques.

Richard Korherr, statisticien de la SS, utilisa le mot 'traitement spécial', et déclara à plusieurs reprises que ce terme voulait dire "tuer". En 1977, il a rétracté cette affirmation. Il est l'auteur d'un rapport que Rassinier a longuement analysé dans la deuxième partie de son livre, Le Drame des juifs européens (texte intégral sur le site).

Kramer, officier (avril 1941) puis commandant (octobre 1942) du camp du Struthoff-Natzweiler, en Alsace, puis de Bergen-Belsen (actuelle Basse-Saxe). En avril 1944, il est nommé à Auschwitz, puis, en décembre 1944, à Bergen-Belsen où il est arrêté par les Britanniques. Il est interrogé à deux 'eprises par la justice militaire française et trois "confessions" figurent dans ses archives. R. Faurisson édite et commente ce texte, "témoignage" sur les "chambres à gaz" particulièrement prisé des exterminationnistes.

Henoch (dit Henri) Krasucki, né le 2 septembre 1924 à Wolonin (banlieue de Varsovie), a fait partie d'un convoi de Drancy le 23 juin 1943 et arrivé à Auschwitz le 26 juin. Jusqu'en 1977, selon la vérité officielle, établie par les soins des autorités communistes du musée d'Etat à Oswiecim en collaboration avec les responsables scientifiques du CDJC, le convoi tout entier avait été gazé (Hefte von Auschwitz, 4, 1961, p. 110). Henri Krasucki est connu aujourd'hui comme ancien dirigeant de la CGT et sa mère, comptée comme morte ou gazée dans l'édition du Mémorial de 1978, reviendra en quelque sorte à la vie dans l'Additif au mémorial de 1980

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Henri Krausnik, historien de l'Institut d'histoire contemporaine de Munich, auteur de l'ouvrage Documentation sur l'extermination par les gaz, dans lequel il utilise (en l'améliorant) le «récit» de Gerstein. Rassinier a exposé ses fraudes dans Le Véritable Procès Eichmann, p. 224, annexe 2. En 1964, Krausnick témoigne au procès des gardiens d'Auschwitz à Francofrt et affirme que quelques centaines de milliers de personnes ont été tuées à Auschwitz et Rassinier, bien sûr, ne laisse pas passer l'information (bien qu'il l'attribue à Broszat). Nous avons le compte rendu paru dans l'Allgemeine Frankfurter Zeitung du 18 février 1964.

Johann Paul Kremer, professeur de médecine allemand, mobilisé pendant quelque temps comme médecin à Auschwitz. Une confession lui fut arrachée par le juge d'instruction polonais Jan Sehn en 1947 et lui valut dix ans de prison mais il l'a récusée, dès sa libération en 1957, au motif qu'elle lui avait été arrachée. Son Journal est l'un des principaux "témoignages" des chambres à gaz. R. Faurisson a montré qu'il s'agissait, en fait, de tout autre chose. Accusé d'avoir tronqué son témoignage et innocenté par les tribunaux, R. Faurisson expose l'affaire Kremer. Il a édité avec des commentaires dans Mémoire en défense. J.G.Cohn-Bendit propose une analyse grammaticale du texte qui diffère de celle de R. Faurisson.

Annie Kriegel, intellectuelle stalinienne française convertie aux bienfaits du libéralisme dans les années 1970. Collaboratrice du Figaro, elle y a condamné: "une obsessionnelle chasse aux sorcières qui présente les mêmes excès que n'importe quelle chasse de cette nature, en s'abritant derrière des institutions juives inquiètes pour légitimer une insupportable police juive de la pensée ­ par exemple dans un cas navrant récent, où on a suspendu un professeur d'université coupable d'avoir laissé s'exprimer un jeune collègue qui exposait des énormités (comme si l'université, depuis vingt ans, n'avait entendu que des propos équilibrés et raisonnables)." A. Kriegel, « Le leurre de l'antisémitisme », Le Figaro, 3 avril 1990, p. 2. Elle est morte vers 1995.

Kubovy, directeur du Centre mondial de documentation juive contemporaine de Tel-Aviv a déclaré en 1960, à la suite du procès Eichmann que, contrairement aux propos prêtés à Eichmann par Wisceliny, il n'existait pas d'ordre d'Hitler d'exterminer les juifs: "on n'a jamais trouvé trace d'un tel ordre ni de quoi que ce fût qui impliquerait l'existence d'un tel ordre. » ( La Terre Retrouvée (Paris) du 15 décembre 1960). Voir le récit de Rassinier dans Le Véritable procès Eichmann (ch.2, p. 83). Nous avons le passage de la "brève" de La Terre retrouvée qui rapporte cette déclaration. Rassinier en fait une des clés de son argumentation contre Hilberg, qui affirmait le contraire (sans la moindre peuve, comme d'habitude) dans The Destruction of the European Jews, en 1961. En 1975, dans une lettre à Irving, Hilberg reconnnaissait d'ailleurs "qu'il avait dû admettre que Hitler n'était peut-être pas au courant." (publié par Irving dans une lettre au Sunday Telegraph, 26 juin 1977). On songe à Broszat qui, lui aussi, dut un jour admettre qu'il n'y avait pas eu de chambres à gaz sur le territoire allemand stricto sensu.

Barbara Kulaszka, avocate canadienne révisionniste; a édité un résumé très complet des minutes du procès Zundel de Toronto, sous le titre de Did six million really die?

Kulmhof (Chmelno), camp de concentration de Pologne, réputé camp d'extermination par le gaz. Hilberg en dit ceci: [pour Kulmhof] "c'étaient des camions. Ils en avaient amené deux ou trois" (Destruction of European Jews. page 72, colonne A): il mentionne, sans les citer "une masse de documents allemands".


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