AAARGH
Nous les Israéliens, jouissons d'une immunité totale: soyez certains que si notre gouvernement décide de transformer les Palestiniens en chair à pâté, le New York Times célèbrera sa valeur nutritive.
We, Israelis, enjoy full immunity, and have no doubt, if and when our government decides to turn the Palestinians into canned meat, the New York Times will celebrate its nutritional values.
Les hommes politiques acceptent des pots de vin, vendent des grâces et aident le groupe de pression israélien à voler le peuple des Etats-Unis.
[...] "The politicians take bribes, sell pardons, accept 'donations', and help the Israeli lobby to rob the people of America."
Israel SHAMIR, Vesti, 17 Feb 2001
"Ce qui se passe en ce moment est une guerre au sens plein du terme", a déclaré le commandant en chef de l'armée israélienne le 20 janvier 2001. Il sait de qsuoi il parle car il voit les drapeaux noirs de l'anarchie se lever dans tous les territoires occupés.
"What we are talking about is a war in every sense of the word,'' Israeli army chief Lt.-Gen. Shaul Mofaz said Tuesday (20 Jan 2001). He should know. He can see the black flags of anarchy being raised across the occupied areas.
LE
DRAPEAU NOIR
Voir document
associé . Il s'agit d'un article paru dans un journal
canadien, qui explique que les Palestiniens aujourd'hui n'ont
plus rien à perdre, qu'ils vivent dans un dénuement
plus grand que celui des Irakiens, qu'ils sont soumis à
des brimades constantes et traités comme des chiens par
les Israéliens et que plus la répression est lourde,
plus la révolte est forte... Pauvre M. Sharon...
Le 30 novembre 1978, Yasser Arafat eut une longue séance de discussion avec un membre du congrès américain à Damas. Pour mettre les choses au clair, on mit sur le papier les propositions que l'OLP était prête à mettre en oeuvre:
Il s'est passé vingt-deux longues années, qui ont fait des milliers de morts et des dizaines de milliers de blessés. Et l'on n'a pas avancé d'un pas. Vingt-deux ans de politique hitléro-sioniste. Si le monde levait le petit doigt, ce chancre disparaîtrait en un clin d'oeil.
Mais on voit aussi que faire des compromis avec les hitléro-sionistes ne rapporte rien. A force de trahir, la petite bourgeoise palestinienne va se faire balayer. Voyez d'ailleurs ce qui suit:
L'AMOUR
DU PROCHAIN
Nombre de blessés du 29 septembre 2000 au 8 janvier
2001:
Gaza 2538
Ramallah 2287
Bethlehem 570
Hebron 1107
Jerusalem 633
Jericho 214
Nablus 521
Qalqilya 701
Jenin 1323
Tulkarem 484
Salfit 37
Total territoires occupés 7,862
Total Gaza: 2,538
Total des deux zones 10,400
Environ 102 blessés PAR JOUR
Source: Palestinian Red Crescent
"I am
against collective punishment - but I do think that there must
be an increase in our selective offensive actions, in order to
restore our power of deterrence, and to deeply penetrate the
enemy, both in intelligence and offensively. There are no
red lines in the war against terrorism. Those who are leading
the attacks against us must not have a moment's peace without
worrying about their own personal safety".
La campagne anti-Clinton bat son plein aux Etats-Unis: les ennemis du couple infernal ne désarment et c'est sans doute le signe que les ambitions de l'ex-femme du président ne se limitent pas à New York où elle s'est fait élire sénateur sans doute pour pouvoir continuer à soutenir, comme le faisait le sinistre sénateur d'Amato, les chantages sionistes contre les pays européens tant dénoncés par Finkelstein (cf ses accusations dans son chapitre 3). Les attaques contre Clinton, qui a quitté ses fonctions à la fin du mois de janvier, sont de deux ordres: d'abord, on l'a accusé d'avoir embarqué pour deux cent mille dollars de cadeaux qui ne lui étaient pas destinés; à l'échelle du budget de l'industrie de lolocoste, ça fait ricaner. La deuxième attaque est beaucoup plus grave car elle porte sur les relations de Clinton avec les organisations sionistes américaines: le dernier jour de son mandat, le président a octroyé près de deux cents grâces ou commutations de peines dont cinq font désormais l'objet d'une enquête du procureur fédéral de New york et du parlement américain: malehureusement, il s'agit de cinq escrocs juifs dont le plus sensationnel est l'escroc Rich, qui a volé aux particuliers et au fisc américain des centaines de milliers de dollars; or la grâce de cet individu a été obtenue grâce au soutien d''une bonne partie des dirigeants juifs américains ainsi que de la classe politique israélienne; sont ainsi intervenu pour que l'escroc soit grâcié: Elie Wiesel, Greenberg (directeur du musée de l'holocauste de Washington), Barak, et une bonne centaine d'autres. Nous avons le texte d'un article du Washington Post (original anglais et traduction française) qui relate comment tout cela s'accompagne de versement de fonds de campagne à Hilary Clinton ainsi que celui d'un article du magazine juif Forward qui s'est procuré une partie de la liste des intercesseurs (original anglais et traduction française). A la suite de ces accusations, Clinton a répondu dans une tribune libre du New York Times que ce n'était pas sa faute, qu'il avait cédé aux pression des juifs américains et des dirigeants israéliens. Tollé ! Nous avons aussi deux articles qui dénoncent le rôle des juifs (pour le premier) et déplorent l'effet horrible que cela va avoir, pour le second:
Enfin, ce petit complément sur les "comptes de campagne": figurez-vous qu'il y avait 476 prisonniers pour cent mille habitants à la fin du mandat de Clint, 332 à la fin de celui de Bush et 247 à la fin de celui de Reagan (évidemment, on ne fait pas le compte des Irakiens et Palestiniens assassinés et mutilés, ça c'est juste le progrès intérieur dans la plus grande démocratie du monde):
Un groupe de philanthropes juifs américains a fondé une association ayant pour objet l'amélioration de l'image d'Israël. On sait que depuis le mois d'octobre, les associations sionistes se répandent en lamentations devant la guerre d'image qu'Israël serait en train de perdre au profit des Palestiniens, partant du principe que l'opinion publique ("l'image") est fondée sur des sentiments et non sur une réflexion. Le reportage du journaliste de France 2, montrant l'assassinat d'un enfant palestinien, forcément désarmé, par l'armée israélienne, forcément armée, a joué, d'après les sionistes, un rôle capital dans ce succès palestinien et depuis, les Israéliens cherchent par tout les moyens à combattre l'effet sentimental désastreux de cette photo: d'abord on a essayé de faire croire que c'était très mal de la part des Palestiniens d'utiliser leurs enfants comme boucliers, puis que l'enfant assassiné l'avait été, en réalité, par des Palestiniens. Le dernier épisode en date est le concours de la meilleure photo de l'année organisé par une chaîne de télévision sur son site internet: la photo de l'assassinat arrive en sixième place derrière des photos d'animaux (après tout, on nous a longtemps répété que les Palestiniens n'étaient pas des hommes) et les organisations sionistes s'affolent: elles lancent des campagnes d'intoxication destinées aux juifs recensés qui sont invités à aller voter pour une autre photo. L'adresse du concours est
<http://www.msnbc.com/modules/surveys/twip/yip_2000_readers_.asp#survey#survey>,
le nom de la photo "A Death in Gaza".
Nos "philanthropes" (qui s'occupent
des vrais hommes, pas des bêtes à deux jambes), sont
déjà victimes de calomnies horribles: on dit qu'ils
ont l'intention d'investir huit millions de dollars dans l'affaire,
tandis que le ministère des affaires étrangères
israélien se contenterait d'un million. Au nombre de ces
milliardaires sionistophiles, on compte Michael Steinhardt, vice-président
d'un journal juif américain bien connu En Avant
(Forward) qui a adressé au mois de janvier une lettre
demandant la grâce de l'escroc juif Rich [cf l'article qui
raconte l'histoire, en
anglais et en français];
il est aussi bailleur de fonds d'une association intitulée
"Birthright Israël" (droit du sang) qui a probablement
pour objet d'aider les juifs désargentés de New
York à aller reprendre dans la dignité les terres
usurpées par les milliardaires palestiniens, chrétiens
et musulmans et à raser leurs châteaux pour y installer
leurs modestes colonies dans les "territoires".
Tous ces gens-là s'engueulent: les Israéliens disent
que les Américains veulent faire leur boulot, la propagande
anti-palestinienne, les Américains disent qu'ils veulent
penser la propagande antipalestinienne pendant que les Israéliens
font le boulot, tuer les Palestiniens. En tout cas, une chose
est sûre, c'est que tout cet argent servira à tuer
des Palestiniens et non à sauver des Salvadoriens. Philanthropes,
quoi!
Voir The Jerusalem Post, 2 mars 20001,
<http://www.jpost.com/Editions/2001/03/02/News/News.22301.html>
Une conférence sur le thème "Sionisme et révisionnisme" est prévue à Beyrouth au printemps. Les sionistes amoureux comme toujours de la liberté, donnent toute leur puissante artillerie pour la fa!ire interdire. Ici cest le Congrès juif mondial, un autre jour le centre Simon Wiesenthal, enfin le 6 mars, c'est carrément le gouvernement américain: on croyait qu'avec l'évacuation forcée du Liban et l'affaire Rich, ils deviendraient un peu prudents mais non, tout est bon..
RADIO
ISLAM LE RETOUR
Voyez <http://www.abbc.com/historia/zionism/index_misc.html>
Le dossier How the Jews dominate the world, entièrement
concocté avec des dépêches israéliennes.
Certains croient qu'il s'agit du site d'Ahmed Rami. Que nenni.
Le bouillant officier marocain possède un site personnel
dont voici l'adresse: <http://www.rami.nu/>
En suivant une déjà antique tradition, le site Radio-Islam
va héberger une version miroir du site AAARGH, qui sera
donc consultable, dans les jours qui viennent, en un deuxième
lieu du Web, à l'adresse suivante: <http://www.abbc.com/aaargh>
Quel coup
de weine!
On annonce en même temps le retour du site «archive
Serge Thion» à l'adresse suivante http://www.abbc.com/totus>
Le serveur Verio, de Californie, qui hébergeait le site
de David Irving, vient de clôturer son compte sans préavis.
L'historien britannique est actuellement en train de transférer
son site sur un serveur en Angleterre mais l'opération
prendra quelques jours.
David Irving, Focal Point Publications, 81 Duke Street, London
W1K 5PE, phone 020 7491 3498, fax 020 7409 7048, email: <[email protected]>
Un texte de Roger Dommergue Polacco de Menasce publié sur
le Web en allemand:
<http://www.ety.com/berlin/domergue.htm>
Dans les nouveautés, il faut signaler que Russ Granata,
un révisionniste américain, assez nazbroke, il faut
bien le dire, d'origine sicilienne, a deux spécialités
intéressantes: une page web sur les travaux de Jürgen
GRAF et une autre sur ceux de Carlo MATTOGNO. Ces deux chercheurs
sont, à nos yeux, les plus productifs et les plus intéressants
actuellement (ils sont les seuls à faire des études
systématiques des camps, par exemple) et Granata, l'un
des premiers éditeurs de Carlos Porter, est un disséminateur
de textes comme le Web en a besoin. http://www.russgranata.com>
La "commision des droits de l'homme et de l'égalité
des chances " australienne versus Adelaide Institute
<http://www.nizkor.org/hweb/orgs/australian/adelaide-institute/hrc-00.shtml>
Crimes ou maladresses ?
Les crimes de Sharon? Non, ceux de tous les jours. Voir les
considérations de notre ami Alex Cockburn
<http://www.counterpunch.org/sharon.html>
Cette clownesque beauvoiryste de Josiane Savigneau a succédé, on le sait, à la tête du Monde des livres, à Jacqueline Piatier, qui vient de disparaître. Les révisonnistes, comme Robert Faurisson, pour la soutenance de thèse de qui elle avait écrit un brillant article, ou Serge Thion, qu'elle avait quelque fois assuré de sa discrète compréhension, et sans doute quelques autres, tiennent à rendre hommage à un esprit droit, tolérant, doté d'une culture aussi vaste que discrète, dont on mesure mieux aujourd'hui la valeur, contrastée par les obtus et les idiotes qui lui ont succédé.
On a vu le mois dernier que la LICRA est
une organisation para-étatique, grâce à des
subventions énormes. Voici maintenant que les trotzkars
de Krivine (Ligue communiste révolutionnaire) s'achètent
un siège, 800 m2 rue Taine, dans le 11e, en mettant 5 millions
de F sur la table. Est-ce qu'ils tirent ces 500 patates des deux
pelés et de trois tondus qui ont leur carte? Merci Jospin,
lambertiste mais solidaire quand même.
Pendant ce temps-là, Lagardère, énorme marchand
d'armes, s'apprête à prendre 20% dans L'Huma.
Tordant, non?
PARUTIONS
§== Une brochure de 64 pages, datée du 11 janvier
2001 diffusée par VHO, BP 60, B-2600 Berchem 2, Belgique,
sans prix indiqué. Elle comprend trois articles: H. Verbeke,
"Pour un révisionnisme militant"; Vincent Reynouard,
"Le mythe de l'Holocauste est définitivement mort";
Vincent Reynouard, "Quand les vainqueurs tuaient pour sauver
leurs mythes de propagande". Le premier article de VR expose
brièvement ce qu'il appelle "l'expertise de Richard
Krege". On sait que cet Australien est venu promener à
Treblinka et dans d'autres camps un radar de profondeur qui signale
l'existence de remaniements du sol, même assez anciens,
qui permet aux archéologues d'identifier d'anciennes fosses.
Il est revenu une seconde fois à Treblinka avec J. Graf.
Ils ont conclu que les grandes fosses dont parlent certains témoignages
n'ont pas laissé de traces physiques de leur existence.
En outre, on sait que ces camps sont de faible étendue.
Nous ne sommes pas en mesure de nous prononcer sur la validité
de cette technique, qui nous paraît néanmoins intéressante.
§== Parution avec retard du numéro de juillet-août 2000, 19, 4, du Journal of Historical Review, (<http://www.ihr.org>) avec deux articles légèrment divergents, mais fort intéressants de Jürgen Graf et d'Arthur Butz sur la déportation des juifs hongrois vers Auschwitz en 1944. Des études sur Peenemüinde, Los Alamos et le naufrage du Cap Arcona. Richard H. Curtiss essaie d'évaluer ce que coûte l'aide à Israël au contribuable américain. Le total, de 1949 à 1997 se monte à 90 milliards de dollars, soit environ 15.000 $ par tête de pipe, beaucoup plus que ne touchent les nécessiteux en Amérique. Mais le coût est beaucoup plus grand car une grosse partie de cette aide est empruntée par le gouvernement américain qui paie donc des intérêts, et l'Egypte, dix ou quinze fois plus peuplée, reçoit automatiquement depuis 1979 les deux tiers de ce qui est donné à Israël pour payer sa participation aux accords négociés avec Israël sous l'égide américaine. A l'heure actuelle, tout compris, la dépense doit tourner autour de 5 milliards de dollars annuellement (dans les 35 milliards de Francs) Qui voudrait nous faire croire qu'Israël existe véritablement?
§== Dans les méfaits attribué à Alfred Sirven, dont la liste tend à se rallonger tous les jours, on aura noté, au milieu d'une phrase, la notation, en passant, que ledit Sirven aurait subventionné, avec l'argent d'Elf, la revue Globe, haut-lieu du judéo-mitterrandisme, chapeautée par Pierre Bergé, personnage sinistre de la mitterrandie, gargotte longtemps hantée par le faux juif Bernard-Henri Lévy (le mari d'Arielle Dombasle) et quelques autres luminaires de la même espèce, qui s'essayèrent à piéger le grand Autant-Lara. Le directeur de Globe a par la suite recueilli fidèlement les derniers borborygmes de ce vieux machiavellien en compote, ce qui montre un goût assez sûr de l'horrible et de la nécrophilie la plus verdâtre.
§== Extrait: "Lolocoste est arrivé à un certain peuple pour des raisons particulières à une époque particulière. Cela ne se reproduit pas exactement mais approximat!ivement et avec la même dimension de particularisme. C'est précisément ce qui lui donne une signification universelle. Ce qui s'est déjà produit peut se reproduire. Nous sommes tous des victimes potentielles, des acteurs potentiels, des observateurs potentiels. Au Rwanda, au Cambodge, en Yougoslavie et ailleurs, nous faisons presque tous figure d'observateurs qui n'ont tiré que peu de leçons du passé. Lolocoste est un avertissement. Il ajoute trois commandements à la tradition judéo-chrétienne: tu ne seras pas un acteur, tu ne seras pas une victime passive et tu ne seras surtout pas un observateur. Nous ne savons pas si nous pourrons propager cette doctrine mais s'il n'y avait qu'une chance sur un million, nous aurions là l'obligation morale d'essayer, dans l'esprit de la philosophie morale de Kant." "The Holocaust happened to a particular people for particular reasons at particular times. They are not repeated exactly but approximately and with the same characteristics of particularity. And that is exactly what makes them of universal significance. What happened before can happen again. We are all possible victims, possible perpetrators, possible bystanders. With Rwanda, Cambodia, former Yugoslavia, and other places, most of us are bystanders, who have so far learned very little from the past. The Holocaust is a warning. It adds three commandments to the Jewish-Christian tradition: Thou shalt not be a perpetrator; Thou shalt not be a passive victim; and Thou most certainly shalt not be a bystander. We do not know whether we will succeed in spreading this knowledge. But if there is even a chance in a million that sense should prevail, we have a moral obligation, in the spirit of Kantian moral philosophy to try."
Yehuda BAUER, Rethinking the Holocaust, Yale University Press, 2001, page 67. Attention, c'est lui le pape zolo!!! Faites gaffe. Il pourrait par exemple songer à s'adresser à son gouvernement (qui comprendra peut-être ce que ce charabia veut dire, à savoir que des obligations morales à la Kant (il veut sans doute parler d'impératif catégorique) ne s'appliquent pas à des musulmans et comme le dit si bien Israël Chamir, les Palestiniens, c'est bien connu, sont tous des musulmans, donc exclus de la grande tradition judéo-chrétienne (on vient bien où est l'apport chrétien mais pour l'autre?)
§== VHO
Info, nov. 2000, numéro 4. En néerlandais. Editeur
responsable: Herbert Verbeke. (Postbus 60, B-2600 Berchem 2) Extraits
de la presse flamingante et européenne.
Il faut surtout signaler les catalogues de VHO, en particulier
le catalogue francophone automne 2000-printemps 2001, qui est
très bien fait. On y trouve les travaux de Jean-Marie Boisdefeu,
Jürgen Graf, Robert Faurisson, Serge Thion, Germar Rudolf,
Pierre Marais, Vincent Reynouard, André Chelain, Carlos
Porter, les Annales d'histoire révisioniste (sauf
le 2 et le 5), et la Revue d'histoire révisionniste.
Les prix restent modérés. On trouve donc nombre
de textes qui sont sur l'AAARGH mais il est bon d'acheter aux
éditeurs qui impriment.
Voir aussi le catalogue allemand, Angebotsliste revisionistischer
Bücher, qui est amplement fourni et propose même
les anciens numéros de la revue de Walendy, Historische
Tatsachen pour 10 marks le numéro.
§== Revisionist History, numéro 17, jan-fév 2001 (Box 849, Coeur d'Alène, Idaho 83816, USA). Notre excellent confrère Michael A. Hoffman fait un long compte-rendu d'un livre qui semble devoir perforer pas mal d'idées reçues. Il s'appelle Snitch Culture: How Citizen are Turned Into the Eyes and Ears of the State, écrit par Jim Redden, et publié à Venice, Californie, par Feral House, en 2000, 235 p. (Le livre coûte 15 $ sans le port, chez Feral House, PO Box 13067, Los Angeles, CA 90013, USA). "Snitch", ça veut dire "mouchard, délateur". La Snitch Culture, c'est la civilisation de la dénonciation. L'auteur passe en revue la façon dont les autorités encouragent les citoyens à dénoncer leurs voisins, en alléguant on ne sait quelles vagues menaces qui pèseraient sur tout le monde. Les Américains sont de sacrés pétochards et s'ils jouissent de libertés réelles, il faut voir qu'elles sont solidement encadrées. Ce livre catalogue aussi un certain nombre d'affaires qui montrent que les organisations gouvernmentales n'hésitent à pousser certains au crime pour mieux étendre un réseau d'informateurs. Il examine le rôle de certaines agences qui se livrent à l'espionnage généralisé, comme l'Anti-Defamation League, qui s'est fait pincer à maintes reprises. Résultat, pour Hoffman: "Les gangsters qui forment le gouvernement fédéral se regroupent dans un cocon protecteur formé d'une fiction légale qui décrète qu'ils sont des fantômes et non des personne qui sont responsdables de leurs actes. [...] Ce livre rappelle aux Américains que l'antique sagesse, qui avait cours en 1776 et qui a disparu depuis, enseignait que donner du pouvoir à un monopole mercenaire, qu'on l'appelle "police", "gouvernement" ou "ligue des droits de l'homme" ne protège pas du mal et peut même en être la source principale."
§== Le livre que John C. Zimmermann annonçait sur Holocaust Denial pour janvier 2001 chez un éditeur californien sort avec retard. Personne ne semble en mesure de dire encore ce qu'il y a dedans.
§== Brochure publiée par nos amis suisses de Vérité et Liberté: La Suisse et les fonds juifs en déshérence, de René-Louis Berclaz. Dans un texte concis, l'auteur jette un rayon de lumière sur cette affaire compliquée mais dont l'espact scandaleux -- l'extortion de fonds à l'échelle internationale -- est aussi simple qu'évident. Nous avons ce document. On se demande seulement de quoi vivra Israël quand ils auront fini de ponctionner les banques et les trésors publics de l'Occident: ils rafleront le pognon du Zambèze? De la Syldavie? Du Monomotapa?
§== Le révisionnisme omnibus temporibus: Les aaarghonautes auront remarqué que nous
n'avons jamais accordé le moindre intérêt
à l'affaire Dreyfus. Des centaines, sinon des milliers
de livres lui ont été consacrés. Toutes les
thèses semblaient avoir tour à tour été
soutenues. Il nous semblait que tous les sillons avaient été
retournés. Cette affaire, pour nous, était surtout
celle de l'ennui. Et après tout, Dreyfus n'a jamais été
acquitté ni reconnu innocent par la justice puisqu'il s'en
est sorti par le recours en grâce. Qu'il reste des mystères
à fouiller, voici ce que le livre de Monique Delcroix montre
avec talent. Extrait de la quatrième de Dreyfus-Esterhazy,
réfutation de la vulgate, éditions de l'Aencre,
12 rue de la Sourdière, 75001 Paris, 463 p., 180 F.: Ce
qu'elle appelle la vulgate, la version que nous recevons tous
pour à peu près vraie,
Cette phrase est peut-être la seule naïveté du livre. Pour le reste, c'est un énorme travail, bien écrit, sur les sources qui mérite la plus attentive considération.
§== Révisionnisme impardonnable. Pierre Daix écrit ses mémoires pour
la ixième fois, sous-titrées Révisions
de ma mémoire (titre: Tout mon temps, Fayard).
Il faut bien qu'il nous fasse le coup du "nous avons trouvé
normal de vivre dans un système policier créé
par nous-mêmes." Pierre Daix, vielle canaille stalinienne,
s'est gagné, de manière radicalement définitive,
notre mépris par ce qu'il était, ce qu'il faisait,
ce qu'il écrivait. Ses palinodies polygraphiques et ses
prétentions esthétisantes sont bonnes pour Confidences
ou Charlie-Hebdo mais elles ne nous intéressent
pas. Comme tout un tas d'autres ahuris des poubelles, il reste
englué dans son stalinisme originel. La seule façon
digne d'en sortir serait de fermer sa gueule.
La dure vie des stars. On publie en français, chez Gallimard, les Lettres de 1925 à 1975, échangées par Martin Heidegger et celle qui fut un temps sa maîtresse, Hannah Arendt, star de la pensée judéo-féministe, dont on republie en grandes giclées des essais, en livres de poche. Il paraît qu'il y aurait une trentaine de bouquins sur elle, rien qu'en français. C'est pire que la fièvre aphteuse. Comme philosophe allemande du troisème rayon, elle doit sa gloire tardive surtout au fait qu'elle a traversé l'Atlantique. Elle, Marcuse, Adorno, et toute une pléthore d'autres intellectuels formés à l'allemande impressionnèrent les bouseux américains, mal dégrossis dans leurs écoles baptistes de la Georgie du Sud ou du Milwaukee. Ce n'était pas bien difficile et nombre de Français, Derrida, Ricoeur, Todorov, Détienne et d'autres, allaient faire de même dans les années 70-80 et trouver un énorme public de gobe-la-lune. La principale contribution d'Arendt aura été cet absurde concept de "totalitarisme" qui a permis, pendant cinquante ans, de s'épargner l'analyse et la compréhension des systèmes réels de pouvoir dans l'Europe de l'Est et ailleurs en Asie. Il a été adopté par des foules d'idéologues qui l'ont porté sur eux comme le sorcier met un masque de zébulon pour danser. Un des derniers exemples est l'énorme compendium intitulé Le Totalitarisme -- Le XXe siècle en débat, de l'inénarrable exterminationniste Enzo Traverso (Seuil, 928 p.), pur morceau d'idéologie, encensé dans Le Monde (2 février 2001) par Jean Birnbaum, qui organise en même l'assaut contre le livre de Finkelstein, publié par une maison d'édition (La Fabrique) qui compte justement Traverso parmi ses auteurs... Mais la deuxième vie d'Arendt est assurée par sa qualité de femme et de juive, et même, à temps partiel, de sioniste, qui fait les délices de plusieurs puissantes tribus de bréhaignes postmodernistes, de psyképotes en fureur, de cryptobenyaministes de salon, de chiennes de garde nourries au caviar, de cosmopolitaines ringardes, de vieilles vaches folles nourries à la farine de parité, de pleureuses du yiddishland, de refondatrices postmachistes et autres habituées des célébrations anticoïtales. C'est pourquoi la publication des lettres échangée par l'icône Hannah avec l'affreux ermite hitléroïde, dénoncé par tous les pataphilosophes de la planète universitaire (on n'enseigne pratiquement plus Heidegger en France!) ne peut que provoquer des piaillements divers. Le Figaro du 15 février s'est bravement lancé à l'eau. Le Monde des livres du 2 mars 2001 fait tonner la grosse artillerie. On attend les autres. La publication en allemand date de 1998, chez Vittorio Klostermann, à Francfort. Calmann-Lévy avait déjà sorti en urgence un contre-feu, les lettres échangées par l'Hannah et son mari Blücher, celui qu'arrivait toujours trop tard. On voit sortir une bio due à Martine Lebovici (Desclee). Bref, il s'agit d'avoir à éviter de raconter au bon peuple des futurs régulateurs intellectuels les amours peu correctes d'une jeune juive allemande et d'un professeur aujourd'hui qualifié de quasiment nazebroque. C'est pas commode commode. Il va falloir contorsionner. On conseillera à ces reptateurs de l'âme de s'inspirer de l'éternel conseil donné par Céline: "Beaucoup de vaseline, encore plus de patience, Eléphant encugule fourmi".
Sortie, aux Etats-Unis, d'un film documentaire intitulé Resistance: Untold Stories of Jewish Partisans. Il retrace l'existence de plusieurs personnages juifs de la résistance polonaise. Il y avait l'occupation allemande et le cortège habituel d'atrocités qu'engendre la guerre des partisans. Le commentateur d'H-Holocaust se croit obligé de convenir: "My conclusion is that Jewish Partisans were heroes, but could not be angels." Autrement dit, héros sans doute, mais certainement pas des anges. Il y a des paquets d'horreur qui doivent être irracontables.
Among those appearing in the film are Aaron
Bielski (the last surviving Bielski brother), Miles Lerman, Shalom
Yoran, Frank Blaichman and Vitka Kovner. Ce sont ceux qui apparaissent
dans le film.
Il sera projeté le 24 mars Museum of Jewish Heritage Film
Festival. Réservations au 212 968 1800 poste 616 pour les
billets d'entrée.
Il existe, sachez-le, profanes ignares,
un "révisionnisme climatique". C'est ce qu'on
apprend avec une once de stupeur dans un article signé
de la montueuse Agnès Sinaï, dans les Tables de la
Loi du Monde Diplomatique de février 2001, p. 15.
Elle y dénonce vertueusement un M. Fred Singer, "l'un
des principaux chantres du révisionnisme climatique, qui
dispense ses messages de contestation du réchauffement
planétaire dans les colonnes du Washington Times,
quotidien qui se trouve être la propriété
de la secte du révérend Sun Myong Moon". Le
terme de chantre en dit déjà beaucoup. On
sait pourtant, ou on devrait savoir que les causes dudit "réchauffement
planétaire", faible (0,6 degré en un siècle!)
mais détectable (avec un coefficient d'erreur de 0,2 degré!)
font l'objet de toute une série d'hypothèses scientifiques
dont aucune n'a été prouvée, au sens où
la science entend la notion de preuve. Mais la tourbe éhontée
des idoéologues et des journaleux se précipite pour
échanger ensemble un consensus prématuré,
comme les chiens échangent leurs puces. Et s'il arrive,
comme on le voit, qu'un quidam se mette à dissider, on
le diabolise vite fait: la preuve, ce "chantre" écrit
chez l'abominable Moon. C'est probablement parce qu'on lui ferme
la porte de tous les autres journaux qui doivent le juger "climatiquement
incorrect". On connaît le mécanisme, on est
experts! Nous n'avons pas lu une ligne de ce qu'écrit ce
M. Singer mais puisque "révisionniste climatique"
il y a, nous lui offrons volontiers une place ici pour sa grenouille.
A dire vrai, nous avons eu absolument la même impression et nous vous en avions parlé en novembre. Et encore, le sociologue du Tenessee n'évoque pas les curieuses affirmations de Van Pelt !
CHARMING REVIZOS
et ça c'est pas mal non plus:
Un visiteur en Israël:
Les touristes en gilets pare-balle en train de visiter les souks,
cela vaut bien une photo...
La presse annonce que le producteur juif Claude Berri a confié au réalisateur (grec, ex-marxiste) Costa-Gavras le soin de réaliser un fil qui sera une adaptation de la pièce absolument mensongère de Rolf Hochhut, Le Vicaire. Ce sera, disent les journaux, "l'histoire vraie d'un officier SS qui va révéler la Shoah au pape Pie XII." Ainsi donc on va ressortir la vieille momie fripée de Gerstein pour prendre place dans la vaste offensive qui se déploie depuis quelques années pour faire craquer l'Eglise catholique et la mettre définitivement sous le contrôle idéologique et financier du Congrès juif mondial. On compte plusieurs dizaines de livres et plusieurs centaines d'articles dans la presse mondiale qui martèlent sur tous les angles l'idée totalement fabriquée que Pie XII "savait" ce qu'on nous présente cinquante ans plus tard comme la "Shoah" et qu'il aurait non seulement décidé de se taire mais consenti au massacre. De cet ignoble mensonge, les historiens sérieux ont déjà fait litière mille fois. Mais qu'importe aux ennemis du genre humain: ils recommencent sans cesse leurs calomnies, jusqu'à faire plier ceux qui en sont les victimes.
Paul Rassinier, le premier peut-être à comprendre tout la téléologie de ces manoeuvres, avait pris le dossier à bras le corps, et lui, l'athée militant, avait montré quelle était la réalité de la politique vaticane dans cette affaire. Son livre intitulé L'Opération «Vicaire» était paru à la Table ronde. Il est disponible sur ce site. Il a été traduit en espagnol et en allemand. Henri Roques a montré, plus tard, ce qu'il convenait de tirer des "confessions" de Kurt Gerstein (aussi sur ce site). Rien n'y fait. L'industrie du mensonge tourne à plein régime. L'idée d'allier un juif et un grec orthodoxe pour traiter des questions qui appartiennent entièrement aux catholiques montre assez par quels subtils moyens on veut contrôler la parole sur ces événements.
Sur cette question, voir aussi notre dossier Vatican, l'article de Chamir sur les persécutions des chrétiens par les juifs et un texte sur le refus de rapprochement des juifs de France.
On republie, en poche, un petit livre, traduit de l'italien, de Rosetta Loy, Madame della Setta aussi est juive;. Le titre italien est moins aguicheur: La parola ebreo (Le terme "juif"). Ce livre est présenté comme un trifouillage de mémoire. D'une mémoire extrêmement trafiquée puisque le coeur du livre, d'après Le Monde (des Poches) du 2 février 2001, est "l'analyse des origines profondément religieuses de l'antisémitisme". On voit tout de suite que ce petit livre insignifiant fait partie, sous des dehors romanesques, de la vaste entreprise internationale qui vise à amoindrir et à détruire l'influence qu'exerce encore, un petit peu, l'église catholique. Et, abandonnant le facile prétexte de la mémoire, l'auteur se livre à une attaque en règle contre Pie XII, entérinée, évidemment, par le compte-rendu du Monde: "C'est bien lui, Pie XII, le personnage principal de cette histoire, ce pape qui, en 1949, excommuniera les communistes et qui, informé en 1942 de l'existence des chambres à gaz et de la «solution finale», gardera le silence jusqu'à la fin de la guerre". On voit donc que l'on continue gaiment à recycler les ânerie de ce pauvre type qu'était Gerstein. Pour preuve de la grande valeur de cet opuscule, le journal nous informe que Rosetta Loy est beaucoup plus lue en Allemagne qu'en France. Ce n'est pas étonnant.
Il y a bien longtemps circulèrent quelques pages retouchées des aventures de Tintin, où l'on voyait le capitaine Haddock enfin gamahucher la Castafiore, qui poussait toujours de grands cris, Tintin à poil, et tous les autres personnages s'agiter dans une sardanapale héroïque. Milou lui-même... La presse nous apprend que la police fédérale belge, qui a tant de mal à arrêter les auteurs de crimes sur les enfants, a courageusement saisi des albums de bandes dessinées intitulés Tintin en Thaîlande, où l'on voit Tintin fréquenter les bars homos de Bangkok cependant que Tchang se fait sodomiser par le yéti et que Milou copule avec une chatte siamoise.
Plus effrayant encore, voilà qu'on publie une livre de 232 pages, signé de feu Léon Degrelle, leader du rexisme belge, copain d'Hitler, incontestable fasciste facond, et auteur, entre autres, d'un livre extraordinaire intitulé La Campagne de Russie, livre qui s'appelle fort benoîtement Tintin mon copain. Comme le dit la notice, "Degrelle entreprend ici de démontrer que Tintin c'est lui!! Preuves à l'appui, il nous raconte quand et comment est né le jeune reporter intrépide, mais aussi le contexte culturel, social et politique de l'époque: la montée de Rex, la guerre, l'épuration (qui a touché également Hergé). Les versions censurées de Tintin (après la guerre) sont ici reproduites, ainsi que les nombreux clins d'oeil de Hergé à Léon Degrelle, plus de 400 illustrations et de nombreuses révélatuions..."
Pensez donc, Hergé, l'éducateur de millions d'enfants, et Degrelle, le seul type pour qui la Belgique a fait une loi interdisant le retour des cendres... Sous Tintin perçait Degrelle ?
Pour ceux qui aiment à se tordre
de rire devant les convusions du politiquement correct, on recommande
ce livre malgré son prix (320 F = 40 de port), disponible
chez Christian David, 14 rue du Dr. Schweitzer, 57100 Thionville.
Ce Tintin, faf ou pédé? Faut-il choisir?
TOCTOCTOC
Robert Faurisson communique le 6 février
2001:
Peu après les bleus ont débarqué chez Plantin,
pour un tract. Ça devient une routine.
Un dangereux criminel est en fuite (mais non, pas Cohen-Bendit
l'amoureux des petits enfants, un vrai criminel, un révisionniste)
L'Agence télégraphique juive anonce le 2 mars que
la Suisse a lancé un mandat d'arrêt international
contre Graf.
Nous avons des résumés
avec quelques extraits des articles du Tehran Times.
IL y a un type qui ne va pas se faire bien
voir des princes zolo qui nous gouvernent. Il a entrepris de compiler
les chiffres concernant les meurtres de masse commis par des gouvernements
en place, qu'il appelle -- pourquoi pas? -- démocide.
Voir son site:
<http://www2.hawaii.edu/~rummel/MURDER.HTM>
Rudolph J. Rummel, b, 1932, BA and MA from the University of Hawaii
(1959, 1961); Ph.D. in Political Science (Northwestern University,
1963); DEMOCIDE: MURDER BY GOVERNMENT
Governments have murdered hundreds of millions of their citizens
and those under their control. The questions are, then, how is
this democide defined, is genocide included, how many have been
killed, how do we find this out, and what sources can be used?
Mais l'imprudent se lance dans un travail comparatif!!!
The Holocaust in comparative and historical perspective By R.J.
Rummel
<http://www2.hawaii.edu/~rummel/HOLO.PAPER.HTM>
Faut voir aussi http://www.gendercide.org/
L'affaire Demjanjuk n'est toujours pas classée et les Américains continuent à se disputer avec les Israéliens à ce sujet: un juge américain demandent le procès-verbal d'un interrogatoire secret avec un gardien de camp de concentration, qui pourrait contenir des indices sur l'identitié de Demjanjuk et ses activités pendant la guerre. La Gestapo américaine pense que cet interrogatoire n'a pas été entièrement révélé et que la partie secrète incrimine Demjanjuk.
Voir l'acte d'accusation israélien contre Demjanjuk à
<http://www.ukar.org/indict01.shtml>
Résumé israélien officiel des conclusions
de l'affaire à
<http://www.nizkor.org/hweb/people/d/demjanjuk-john/israeli-data/>
Voici ce qu'a déclaré le principal témoin
des "gazages":
Une bande de rigolos, on vous l'a dit.
<http://www.nizkor.org/hweb/people/h/horn-otto/horn-005.html>
COMMENT JOSPIN VEUT NOUS FLIQUER TOUS
Commentaire récupéré tel quel sur le Net au sujet de l'avant-projt de loi sur la règlementation des communications électroniques:
<http://www.transfert.net/fr/cyber_societe/article.cfm?idx_rub=87&idx_art=3958>
Nous ne sommes pas les seuls à le dire: "Socialiste=flic"
VOLE-TERRE
Le rezo Voltaire a des fiches sur tout le monde: En voici la preuve.. Il existe des Bretons qui voudraient revivifier l'idée d'une Bretagne réunie et consciente de son identité. Pourquoi pas? Si on l'admet des Sioux Oglala, des Lacandons ou des Eskimos du Nunutland au Canada, sans parler des Corses, on peut bien l'admettre des Bretons. Puis l'avantage, c'est ue ça facilite le travail des artisans de la mondialisation: plus les peuples sont atomisées, plus la lutte est impossible, plus le triomphe du grand capital est garanti.
Extrait:
Là où les réalités
se dévoilent, c'est quand le réseau Voltaire fournit
des notes biographiques très orientées sur chacun
des signataires -- ils sont fort nombreux -- révélant
ainsi l'existence d'un réseau d'espionnage généralisé
en France. On a beaucoup fait de choux gras sur le dos de la Cagoule.
Mais n'a-t-on pas là l'indice de l'existence d'une Cagoule
rose (dans tous les sens du terme)?
Voir Lettre confidentielle bimensuelle d'intelligence politique,
édition du 15 février 2001, numéro 226.
<http://www.reseauvoltaire.net>
L'image pire que la réalité
?
Est-il criminel de posséder une image numérique
modifiée mettant en scène des enfants en pleine
activite sexuelle? C'est le débat qu'abordera la Cour Suprême
des Etats-Unis en octobre prochain...
<http://www.juriscom.net/actu/achv/200102.htm#0208>
FAUX
JUIFS ET USAGE DE FAUX JUIFS
Klarsfeld, ancien volontaire dans l'armée israélienne,
celle qui achève les prisonniers et mutile les enfants,
a obtenu un chiffon de papier lui donnant une sorte de citoyenneté
israélienne. Il a obtnu la même chose pour sa femme,
son fils Arno, patineur à roulettes, et sa fille, qui ne
sont pas juifs mais cherchent à se faire passer pour tels
parce que c'est la mode et que ça peut rapporter gros.
Ce fils de Roumain qui prétend s'être caché
dans un placard quand les Allemands sont venus chercher son père,
a déclaré qu'ils allait se retirer en Israël
après la conclusion du procès Aloïs Brunner,
qui a eu lieu le 2 mars.Ce procès était évidemment
une pure bouffonnerie, puique Brunner a déjà été
condamné à mort à deux reprises en 1954.
On a déterré un détail pour nous refaire
le coup de l'imprescriptibilité, une forfaiture à
répétition dans la vie des tribunaux français.Contumax
sans doute mort, l'accusé n'avait rien à dire. C'était
donc un monologue grotesque, une justice virtuelle, comme tout
ce que touche Klarsfeld. Il cherche des documents et les réinterprête
à sa façon. On lui souhaite une bonne retraite dans
les colonies. Bien que, voir ci-dessus,
certains pensent qu'Israël est l'endroit le plus dangereux
qui soit pour un juif.
LE DOCILE TROUPEAU DES VIGILANTS
Dernière minute: l'association sans frontières a porté plainte contre Finkelstein et son éditeur français, qui porte plainte à son tour pour dénonciation calomnieuse; tout est dans notre dossier.
Nous avions bien raison. Lorsqu'au cours
de l'été 2000, nous avons enfin mis la main sur
le livre de Finkelstein, L'Industrie de l'Holocauste, nous
savions qu'il venait de percer un petit trou à la base
du barrage qui retient l'indignation publique devant les agissements
monstrueux du lobby sioniste. Nous savions que tous le tas d'hypocrites,
de feignants et de pipeurs qui gouvernent la République
des Lettres allaient faire en sorte d'ignorer la chose, ou de
mettre le doigt dans le trou en se donnant l'air de ne pas le
faire exprès. Il nous a donc paru essentiel de les empêcher
d'enterrer le livre de Finkelstein, un garçon fort proche
de nos idées, dans tous les cas, et nous nous y sommes
employés. Nous avons traduit le livre, nous l'avons mis
en ligne et nos amis de La Vieille Taupe en ont fait leur
numéro "12 et dernier". La conspiration du silence
qui entroure nos petites activités n'allait pas manquer
de répandre le bruit de l'existence du livre et sa capacité
de déflagration. Il a donc fallu que le lobby s'y mette,
dans la consternation et la réticence, mais pour tâcher
de contrôler les effets dépresseur de la bombe Finkelstein,
ils ont dû se résoudre à publier eux-mêmes,
par le conduit d'une boîte quasi inconnue, aux mains d'un
certain Hazan (hazan veut dire kantor en yiddish;
ici on traduit dans tous les idiômes...) Pour mieux apprécier
la valse-hésitattion très trouducutante de toutes
ces moules à moitié décrochées de
leur rocher nourricier, il faut déguster à petites
lampées l'éditorial du Monde, du 16 février,
jour où ce journal a fait deux pages sur un livre, celui
de Finkelstein, pour conseiller à ses lecteurs de ne pas
le lire, parce qu'il allait "tromper, hélas, une partie
du public". Jamais les posttrotzkars bretons ou corses n'avaient
été à pareille débandade. Vidal-Crachet,
"compétence d'historien et autorité morale"
leur conseillait bien de ne rien dire, de la boucler sérieusement,
parce qu'il savait, avec 20 ans d'expérience, que dés
qu'il ouvrait son petit sifflet de pion, le public se précipitait
pour lire et commander encore plus de livres révisionnistes.
Avec le temps, il se réduit a quia. Mais les autres bougres
sont saisis par le prurit de faire les malins, de parler de ce
qu'ils ne connaissent pas, et ils vont donc faire un énorme
succès à Finkelstein: et pour commencer, ils prennent
Le Monde, dont Vidal-Naquet est l'autorité morale,
en flagrant délit de mensonge. Vous verrez tout cela
dans notre dossier.
Nous avons réalisé une introduction historique
au problème soulevé par le livre de Finkelstein,
à quoi s'adjoint un choix d'articles les plus significatifs
qui entrourent la parution de ce petit livre en France ainsi que
des articles et entretiens parus dans la presse anglaise et israélo-américaine
(nous avons traduit les plus intéressants). Ce dossier
représente une somme sur la question (que nous compléterons
bientôt par une analyse de l'affaire en France.) qu'il faut
absolument consulter car nous avons réuni là des
éléments indispensables à la compréhension
du sujet et presque impossible à trouver ailleurs.
Une bonne partie des commentaires de presse en anglais et en allemand,
dont le flot monte chaque jour, se trouve sur le site de l'auteur,
"réalisé par sa famille et ses amis":
<http://www.normanfinkelstein.com>
Mais les commentaires révisionnistes ne s'y trouvent évidemment
pas. Signalons celui de Germar Rudolf, à paraître
dans le numéro sous presse de ses Cahiers trimestriels...
Nous avons ce texte.
Signalons aussi la parution en Allemagne du premier livre entièrement
fait de commentaires sur celui de Norman F.: Gibt es wirklich
eine Holocaust-Industrie? Zur Auseinanderstezung um Norman Finkelstein,
édité par Ernst Piper et Usha Swamy, édition
Pendo, Zurich et Munich, 211 p. ("Existe-t-il réellement
une idustrie de l'Holocauste? Vers une discussion autour de Norman
F.") Ce petit livre, très hostile, est réalisé
par Ernst Piper, historien, petit-fils du fondateur de la maison
qui accueille le livre de Norman F.; ça le rend malade.
Auparavant la maison Piper publiait du bon côté,
y compris l'Encyclopédie de l'Holocauste. Mais la
famille Piper a vendu. Les nouveaux acheteurs n'ont plus les mêmes
inféodations. Ils ont préféré publier
ce qu'il appelle le "trio infernal", Nolte, Horst Möller
et maintenant Norman F. Que l'on accuse, entre autres maux, d'être
intéressé: Son livre manquerait de "substance"
mais regorgerait de "provocation". D'où le slogan:
La caisse avant la classe (Kasse statt Klasse). Le mot
est bon, si l'intention est ignoble.
Il se prépare deux autres livres
de commentaires; ils sont annoncés comme étant sous
presse par <Amazon.de>. Ce petit livre fera plus de dégâts
que la grosse Bertha.
SYMBIOTIQUEMENT VÔTRE
Fergal Keane, journaliste à The
Independent demande à Finkelstein, à la veille
de partir en Allemagne pour la sortie de son livre:
--"Est-ce qu'en qualifiant les leader juifs d'"arnaqueurs" et de "voleurs" vous ne reproduisez pas le stéréotype antisémite du juif avide qui prend tout? Et n'êtes-vous pas ennuyé par le fait que votre position renforce celle des négateurs de l'Holocauste?
-- Les négateurs de l'Holocauste et l'industrie de l'holocauste ont un relation symbiotique, répond sagement Norman G. Finkelstein. L'industrie de l'holocauste a besoin des négateurs pour pouvoir prétendre que la planète est submergée par les négateurs de l'Holocauste et qu'ils ont donc besoin de toujours plus de musées, plus de conférences, plus de livres pour justifier ce qu'ils appellent l'éducation à l'Holocauste. Les négateurs, de leur côté, adorent l'industrie de l'Holocauste car elle leur fournit toutes les munitions dont ils ont besoin pour appuyer leurs arguments."
C'est le vieil adage du Moyen-Age, Opportet haereses esse,
il fait qu'il y ait des hérésies; c'est en luttant
contre elles que le dogme se fortifie. Ce n'est qu'un petit sophisme
d'escholier.
Rony Braumann est un de ces multiples médecins
qui n'est devenu docteur que pour complaire à une yiddishe
mama et pour se faire du fric. La médecine et les malades
les emmerdent. Très tôt, il a pensé que la
politique était plus saignante. Il s'est donc propulsé
à la tête de Médecins sans frontière,
une organisation idéologico-médicale qui tire le
plus gros de ses ressources -- il ne faut pas le dire -- du gouvernement
français et de l'Europe. Là, il s'est signalé
par quelques hauts faits et il a pris, par exemple, la responsabilité
criminelle de faire quitter à son organisation l'Ethiopie
en pleine crise de la famine, parce qu'il ne parvenait pas à
faire plier le gouvernement éthiopien à ses prétentions
de péteux arrogant.
Ensuite, il n'avait à vendre qu'un bagoût infernal
et la capacité à parler pendant des heures sans
faiblir, ce qui l'a aussitôt qualifié comme "professeur"
à Paris XXVI. Parlant de l'action humanitaire, il s'est
vite propulsé comme expert de tout et de rien, intervenant
sans rime ni raison devant toutes les caméras, une sorte
de koucheneroïde utilisé dorénavant à
toutes les sauces. Il a vaguement contribué à un
film colorisé sur le procès Eichmann, ce qui en
fait un incontestable expert ès-souffrances juives. Devant
le refus de Vipal-Toquet de faire une PREface, Brauman se dévoua
pour faire une POSTface au livre de Norman G. sur L'industrie
de l'Holocauste. Nous avons
ce texte.
Il mérite quelques remarques en passant. Après être
rentré très poliment dans le chou d'Elie Wiesel,
que nous considérons pour notre part comme un imposteur
et un escroc pur et simple (comme le disent beaucoup de juifs,
cf notre page Wiesel,
avec notamment les récents articles très virulents
de Chamir et Hitchens contre Wiesel -en anglais et dans notre
traduction française), il dénonce des "tartufferies"
(p. 149): "Critiquer
la politique d'annexion d'Israël, c'est alors critiquer les
Juifs [avec une majuscule, on sait pas pourquoi]
et déclencher le soupçon, affirmé ou suggéré,
d'antisémitisme. Que celui-ci puisse se cacher sous le
masque de l'anti-sionisme, c'est ce que Garaudy et ses épigones négationnistes
nous rappelleraient, si nous l'avions oublié. Mais que
le soutien aux Palestiniens dans leurs droits suffise à
exposer à cette accusation infamante, voilà ce que
l'on appelle du chantage intellectuel."
On tient ici la preuve que Brauman est un hilote de la pensée.
Porter des accusations infamantes contre Garaudy et les "négationnistes",
c'est très bien. Porter les mêmes, avec les mêmes
raisons, contre Brauman et consorts, c'est très mal. Ce
pauvre hère ne comprend pas que s'il laisse entamer notre
liberté, c'est la sienne qui va se retrouver rabotée
de partout. Et ça ne va pas tarder (voir plus bas, notre
"dernière minute). Ce logomaniaque joue au naïf:
en France, il n'y aurait pas d'extorsion menée par des
groupes juifs, comme en Amérique. Il ne doit pas lire les
journaux. il y apprendrait, par exemple, que la "Fondation
de la mémoire de la Shoah", présidée
par Simone Veil, sera dotée de 2,578 milliards de francs.
Décision jospinique. Si c'est pas de l'extorsion, c'est
quoi?
Toujours jouant l'imbécile, il conteste
-- en tant qu'ex "humanitaire" -- le chiffre de 1 million
de morts dûs au blocus de l'Irak depuis 10 ans. "Repris
par quelques mouvements politiques et organisations humanitaires,
ce chiffre ne repose sur aucune observation, un tel cataclysme
ne pouvant passer inaperçu". Volià bien l'ignoble
arrogance de MSF! Ces gens-là ne vont pas sur place parce
qu'ils ne veulent pas donner dans le politquement incorrect, donc
il ne peut rien s'y passer puisqu'ils ne sont pas là à
observer. En réalité, ce chiffre d'un million, qui
est certainement là pour donner un ordre de grandeur, repose
sur tout un tas d'observations effectuées par les gens
les plus divers. Rony nie. Nier comme il le fait c'est réclamer
les bombardements américains, ce que fait justement Israël,
à cor et à cri.
Endin, on ne relèvera qu'un aveu involontaire: d'après
lui, "l'histoire vraie de l'expulsion des Palestiniens"
s'écrit "d'après les archives israéliennes".
Brauman, aux mines de sel, schnell.
Dernières minutes: 1/La bande de loqueteux qui renaude
dans les couloirs du Palais et qu'on à vu se pointer comme
des affamés dans quelques affaires récentes de persécution
ordinaire, "Avocats sans frontières" a porté
plainte, le 27 février, contre Finkelstein et son éditeur
français. On croyait pas qu'ils seraient si cons. Ben si!
Encore quelques pintes de rigolade en perspective. Et Brauman
qui va se retrouver sur le banc des accusés pour lèse-Wiesel...
2/ Norman G répond à ses détracteurs parisiens dans un texte au Monde, "Contre la dévaluation de la mémoire", publié le 2 mars 2001. Il y dit: "C'est fondamentalement la tactique brutale et aventureuse de l'industrie de l'holocauste qui crée de l'antisémitisme. Blâmer mon livre, c'est blâmer le messager qui apporte de mauvaises nouvelles." Si on se souvient comment a été accueilli celui qui apportait de bonnes nouvelles, R. Faurisson, on comprend qu'ils veuillent couper la tête à celui qui en apporte de mauvaises.
San Francisco (9 février 2001) (AFP)
Deux organisations françaises de lutte contre le racisme
ont fait appel à un cabinet international d'avocats, Coudert
Brothers, pour les défendre contre le site Yahoo!, qui
les poursuit en justice aux États-Unis, a annoncé
hier ce cabinet.
La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme
<http://www.licra.com/>
(LICRA) et l'Union des étudiants juifs de France <http://www.uejf.org/> (UEJF)
avaient obtenu à la fin de l'année dernière
de la justice française qu'elle oblige Yahoo! Inc., une
société américaine, à instaurer un
filtrage des internautes français sur ses enchères
d'objets nazis (voir notre dossier <http://www.mmedium.com/cgi-bin/nouvelles.cgi?Id=4628>
).
Yahoo! s'était ensuite résigné à interdire à partir du 10 janvier l'accès à la vente des objets nazis sur son portail américain (voir la dépêche de l'AFP <http://www.mmedium.com/cgi-bin/nouvelles.cgi?Id=4833> ).
Le même mois, Yahoo Inc. s'est pourvu devant un tribunal de San Jose (Californie), où se trouve le siège de la firme, contre la décision de la justice française et contre les deux organisations, arguant que les juges français n'étaient pas habilités à empêcher la vente de ces objets par une compagnie qui n'est pas française [...]
ILS
NOUS PRENNENT POUR DES CONS
Des scientifiques ont mis au moins un
procédé pour déchiffrer des manuscrits corrompus,
jusqu'à présent inutilisables, ce qui permet de
découvrir des victimes ignorées de la persécution
des juifs par les nazis. Pour Ravensbruck, on a ainsi pu lire
les registres concernant les noms, la date d'arrivée et
la date de décès de plus de dix mille victimes.
Le projet est financé par le Sénat de Berlin. Rappelons
que le camp de Ravensbruck ne fait pas partie des camps d'extermination
énumérés par Broszat en 1960 et qu'il existe
depuis une polémique à son sujet en France, parce
Germaine Tilion a juré, croix de bois, croix de fer, qu'elle
en avait vu une<. Voir
sur le site son article sur Ravensbruck. et l'article Tillion du
dictionnaire biographique.
Autrement dit, il n'y a pas de secret. Il suffit de se mettre au travail et de lire des documents. Pourquoi ne l'ont-ils pas fait jusqu'à aujourd'hui? Ben, on vous l'a dit dans le dernier numéro des actu (somme du musée d'Auschwitz, février 2001): c'est parce que les Allemands ont détruit des millions de documents avant de fuir avec précipitation (contradiction flagrante?).
ZOLIE
ZENZURE ZOLO (JUSTE POUR LA HAUTE VIENNE)
Limoges, 9 fév (AFP) - Le préfet de Haute-Vienne, Pierre Mutz, a pris un arrêté interdisant "la mise en vente, la distribution et la circulation" dans le département d'une cassette vidéo révisionniste intitulée "Oradour, 50 ans de mensonge", a-t-on appris vendredi à Limoges auprès de la préfecture. M. Mutz, qui a également demandé au ministère de l'Intérieur la même interdiction pour tout le territoire national, a par ailleurs saisi le procureur de la République de Limoges, afin qu'une action judiciaire pour négation de crimes de guerre soit engagée "dans les meilleurs délais" à l'encontre de l'auteur de la cassette, Vincent Reynouard. Récemment, le Centre de la mémoire du village martyr d'Oradour-sur-Glane a reçu, en provenance d'Anvers (Belgique), une offre de vente de la cassette. La même publicité a été expédiée de Rilhac-Rancon (Haute-Vienne) au président de l'Association nationale des familles des martyrs, ainsi qu'à deux rescapés, et au maire de la commune. Vincent Reynouard, l'auteur de la cassette, a publié en 1977 Le massacre d'Oradour, un demi-siècle de mise en scène, interdit de diffusion par le ministère de l'Intérieur le 2 septembre 1997, rappelle dans son communiqué la préfecture de Haute-Vienne.
Autre zenzure: un groupe d'associations juives allemandes annonce
qu'il prépare une action judiciaire contre les fournisseurs
d'accès internet qui abritent des sites "néo-nazis
et d'extrême-droite". Le but avoué de ces gens-là
est d'inciter le gouvernement [à sévir, sévir,
sévir contre la liberté].
Une vaste oprération de déstabilisation
d'un grande firme nommée IBM a abouti dans tous vos journaux.
Un bouqin sur le prétendu rôle des machines IBM dans
la nébuleuse zolo est sorti simulatnément dans une
dizaine de pays, en six ou sept langues. Imaginez la logistique
nécessaire. Ce bouquin, IBM et l'Holocauste (Robert
Laffont) a provoqué un rejet immédiat de l'ensemble
des historiens car, s'il relève l'existence dans certains
coins du Troisième Reich de machines à perforer
d'une sous-marque d'IBM, l'auteur, Edwin Black, est dans l'incapacité
complète de démontrer que ces machines ont été
utilisées précisémment à des tâches
liées à un projet quelconque d'extermination d'une
population quelconque. Il accumule suppositions, présomptions
et hypothèse dans une sorte de gratte-ciel aux pieds d'argile.
Dans les colonnes du Monde, notre lugubre légionnaire,
Wievorka, a dit que ce bouquin était de la merde et nous
partageons entièrement son avis. (13 février 2001)
Le Black se rebelle dans tous les journaux et accuse tous ses
critiques de ne pas l'avoir lu. Il essaie en plus de faire croire
qu'il n'est pour rien dans le fait qu'aussitôt quelques
rapides cupides ont porté plainte contre IBM et demandent
un petit pactole pour leurs menus frais. (Le Monde, 14
février 2001)
Le meilleur commentaire vient d'Amérique: c'est un type
qui plaide coupable. Oui, dit-il, mes ancêtres ont inventé
la roue et c'est grâce à ces mêmes roues qu'on
a transporté les juifs vers le destin horrible qui les
attendait. C'est pourquoi il faut me taxer sévèrement,
je suis un complice à roulettes.
En fait, on se retrouve encore une fois, mais vu d'un autre angle, dans le Grand Phantasme sur les nazis: ils auraient inventé une méthode industrielle pour tuer les gens en masse, méthode mystérieuse puisqu'on ne peut pas, encore aujourd'hui, la décrire véritablement, mais elle doit être radicalement différente de toutes les méthodes artisanales qui l'ont précédée, moralement condamnable parce qu'elle détourne le progrès technique de sa fonction ontologique, le progrès de l'humanité (vous savez, Platon était plus con que vous parce qu'il ne connaissait pas la chasse d'eau.) Il y a beaucoup de gens pour croire cette connerie; elle arrange tout le monde. Elle explique surtout pourquoi les Alliés ont eu tant de mal à vaincre l'Allemagne.
La vogue de l'informatique entraîne
normalement une rétroaction sur les ancêtres des
ordinateurs, les machines à perforer et à trier
les cartes, qui ont permis d'industrialiser de nombreuses tâches
de tris et de sélection dans tous les domaines. Déjà,
depuis des années, dans le Temple de l'Anerie zolo, à
Washington, on montre, à la fin du parcours obligé,
une machine IBM. On laisse entendre que les nazis se servaient,
en fait, de techniques américaines pour exterminer les
gens, ce qui permet de culpabiliser les visiteurs à bon
marché. Surtout si l'on sait que ces machines ont été
inventées vers 1880 par Hollerith pour traiter les données
du recensement américain. Les cartes perforées,
elles, datent du XVIIIe siècle dans les métiers
à tisser (Jacquard 1804). Tout cela remonte à Blaise
Pascal qui a commis un crime contre l'humanité, sans aucun
doute, en inventant les premières machines à calculer,
dont les nazis allaient se servir avec l'application que l'on
sait.
Quand on mélange l'inculture à l'américaine,
l'idéologie revancharde et l'hystérie publicitaire,
on obtient, après avoir secoué le shaker,
ce genre de bouquin stupide. Nous ne croyons pas nécessaire
d'en parler davantage.
TRABOULES MABOULES
Article de la Grande Mariette, dans Le Progrès (dans la connerie - vous savez, la chasse d'eau et Platon) du 27 janvier, p. 3, auquel nous ne changeons rien, et surtout pas le titre très rigolo:
Et fragiles, avec ça, les pôv' gnafs.
LES OCCUPANTS
A GERBÉ
Effectivement, on entendait, dans les reportages radio le Chant
des partisans. A l'idée que cette bande de petits bourges,
gavés de hamburgers, chaussés de Nike, n'ayant jamais
vu un fusil ou un cadavre ailleurs qu'à la télé,
persuadés que Jospin est un socialiste, bailleurs aux corneilles,
avaleurs de tous les mythes en recyclage, se mettraient à
chantonner le chant des partisans, on a de quoi se boyauter pour
une semaine. Une des associations s'appelle L'Hippocampe, pour
évoquer cette petite partie du cervau du régirait
la mémoire. A vrai dire, c'est tout juste ce que leur a
laissé la grande machine à décerveler qui
fonctionne à plein régime dans ce pays d'abrutis.
Vive l'hippocampe et la bavette d'aloyau!!!
SINISTÈRE DE LE RECHERCHE
Et puis, ce ministère, plouf, on n'en entend plus parler.
Est-ce que Lang de bois croit pouvoir se débarrasser de
ces parasites lyonnais de cette façon? A suivre.
Après les caillasses amplement méritées
( février
2000), Jospin a pris un abonnement
chez Kevlar. Comme il allait soutenir sa poupoule Guigou à
Avignon, "la promenade ... a rapidement tourné au
fiasco. Le visage crispé, le premier ministre a parcouru
les rues de la Cité des papes sous les quolibets, les sifflets
et les lancers de boulettes de papier, tandis que les CRS, très
présents, très voyants malgré les consignes,
donnaient une drôle d'image du «citoyen Jospin»".
(Le Monde) Ces boulettes de papier étaient là
pour évoquer les fameuses caillasses, que l'on attend pour
bientôt. On est passé au stade intermédiaire,
au Salon de l'agriculture, avec les jets d'oeufs. Aussitôt,
les gorilles ont déplié les écrans en kevlar
qu'ils promènent habituellement, pliés comme un
attaché-case, au bout de leurs longs bras simiesques. A
partir de là, le premier sinistre a été saisi
par la pétoche; il a prévenu la Voynet qu'il n'irait
pas lui tenir le coude car les ploucs du coin attendaient ce beau
couple avec quelques cageots. Il a renoncé ensuite aux
lumières de Saint-Etienne.
Mais le kevlar ne peut pas tout. Il va bientôt falloir louer
une papamobile pour pouvoir continuer à exhiber sans risque
cette superbe tronche d'exophtalmique. Peut-être que le
char Leclerc, qui a justement des problèmes de marketing,
serait mieux adapté, surmonté d'une belle coupole
en plexiglas?
L'association culturelle des juifs du Pape, à laquelle appartient certainement Vidal-Rochet, organise une conférence de Paul Fenton sur "Maïmonide et les Sages de Provence, le 26 février à la Maison des polytechniciens. Rappelons que cet auguste penseur, marqué par Aristote et rejeté par les milieux mystico-cabalistes, qui est sans doute le seul juif à avoir eu une petite influence intellectuelle au cours de la période qui sépare Jésus de Karl Marx, a écrit le Guide des Egarés. Ce livre reste aujourd'hui fort nécessaire à ses malheureux coreligionnaires, et pas seulement les juifs du pape.
Les Annales du Midi publiée par les éditions Privat de Toulouse publient un numéro consacré au Midi en guerre, celle de 14-18. Cette excellente livraison s'orrne de la contribution d'un historien américain, Leonard Smith, "auteur d'un livre essentiel sur les soldats de la Grande Guerre" qui traite ici de "l'expérience combattante et du témoignage au prisme de l'oeuvre critique de Jean-Norton Cru".
Les connaisseurs savent que Jean-Norton Cru était le modèle que Rassinier aurait voulu pouvoir émuler pour les événements de la seconde guerre mondiale, et que son impitoyable objectivité en fait ainsi, en droite ligne, l'ancêtre du révisionnisme moderne. C'est seulement à cause de notre coupable paresse et de notre désastreuse incurie que les pages essentielles de Jean-Norton Cru ne se trouvent pas encore sur notre site, telles qu'elles avaient été rassemblées dans un petit volume essentiel, paru en 1930, Du témoignage, fort utilement réédité en 1967 par l'abominable Pauvert. Paru en 1929, "en 2000 beaux exemplaires", Témoins est un livre prodigieux qui établit et applique les règles de la critique des témoignages contemporains: non pas ceux d'Hérodote ou de Suétone, mais ceux des milliers d'articles et des centaines de livres qui nous racontent un événement contemporain. C'est en pratique ce que nous sommes bien obligés de faire, jour après jour, en lisant les journaux ou les livres, en regardant les images télévisées, concernant tantôt la guerre de Bosnie, les événements de Timor ou le goulag chinois. Nous avons besoin, ou nous croyons avoir besoin de connaître, par tous les sens et tous les moyens de l'intellections, les événements marquants qui nous entourent à chaque instant. Et bien, Cru est celui qui a explicité et appliqué la meilleure méthode à ce que nous faisons trop brièvement, trop confusément et trop inégalement jour après jour. C'est en cela, et par la rigueur à laquelle il s'y est tenu, que l'ouvrage de Cru mérite le qualificatif de "prodigieux".
Il a été republié en 1993 par les Presses universitaires de Nancy, dans une collection -- rions un peu -- subventionnée par le Secrétariat d'Etat chargé des anciens combattants et victimes de guerre, une officine dont nous savons qu'elle a longtemps contribué à offusquer certains aspects, très politiques, de la deuxième guerre mondiale.
Cette réédition à l'identique, maintenant épuisée, devrait un jour laisser la place à une réédition qui prendrait en compte les corrigenda, addenda et autres modifications apportées par l'auteur à un projet de réédition, qui n'a pas été achevé, et qui dort dans la masse considérable des papiers de Cru, déposés par sa famille à la Faculté des lettres et des sciences humaines d'Aix-en-Provence, une faculté par où sont passées plusieurs des plus bornées et des plus absurdes romancières de l'antirévisionnisme, qui ont préféré négliger ou oublier les leçons de Jean-Norton Cru pour travestir l'histoire et se faire des carrières pas chères sur le dos des Rassinier et autres laborieux, héritiers des exigences d'un Jean-Norton Cru, qui pouvait écrire: "En un sujet aussi neuf et délicat, je ne pouvais manquer de heurter bien des opinions et même blesser des amours-propres. Je ne l'ai fait ni par malice ni par esprit de parti. Je n'ai donc pas à m'en excuser car la recherche scientifique ne doit tenir aucun compte de l'opinion publique." Voici une phrase qui vous renvoie déjà pas mal de Brayards, de Frescos et d'Igounettes aux oubliettes.
Le grand rabbin de Strasbourg s'apprête,
nous dit Le Monde du 13 février 2001, p. 13, à
publier un document interne du judaïsme français sur
le christianisme. Elaboré à la suite de la semi-capitulation
du catholicisme représenté par les trois sessions
de Vatican II, il devait présenter le point de vue de la
synagogue, après des siècles d'exécration
sournoise et cachée. Il s'agissait d'engager le rabbinat
et on désigna une commission pourvue de deux rédacteurs,
dont le rabbin raté Lévinas. Ce texte commençait
par une affirmation: "le rejet du christianisme aurait pu
être évitée". Ce
qui est intéressant dans ce document, ce n'est pas
l'élément de dialogue qu'il contenant, mais justement
le fait que ce dialogue a été refusé par
les rabbins. La haine anti-chrétienne, sur laquelle il
n'est pas convenable d'épiloguer, bouillonne encore en
Israël. Le Vatican, dans une récente dénonciation
des persécutions dont sont victimes les chrétiens
dans de nombreuses contrées, a malencontreusement oublié
de mentionner Israël où, pourtant les persécutions
sont monnaie courante. (Voici ce qu'écrit Israël Shamir
dans son dernier article, remarquable comme toujours, consacré
cette fois-ci à l'antichristianisme agressif et virulent
des juifs, particulièremnet israéliens; que nous
vous proposons en
anglais et en français):
"L'année dernière, le plus gros journal
à scandale israélien, Yedioth Aharonoth,
a réédité le Toledoth Eshu, un évangile
apocryphe juif, qui est une compilation
médiévale.C'est la troisième fois qu'on le
réédite ces temps-ci, dont une fois dans la presse.
Alors que l'Evangile est le livre de l'amour, Toledoth est le
livre de la haine du Christ. Le héros du livre est Judas,
qui fait Jésus prisonnier en détruisant sa pureté;
d'après Toledoth , Jésus a été conçu
dans le péché, ses miracles sont de la sorcellerie
et sa résurrection un tour de prestidigitation." ["Last
year, the biggest Israeli tabloid Yedioth Aharonoth reprinted
in its library the Jewish anti-Gospel,
Toledoth Eshu, compiled in the Middle Ages.It is the third
recent reprint, including one in a newspaper. If the Gospel is
the book of love, Toledoth is the book of hate for Christ.
The hero of the book is Judas. He captures Jesus by polluting
his purity. According to Toledoth, the conception of Christ
was in sin, the miracles of Jesus were witchcraft, his resurrection
but a trick."]) De ce côté-ci de la Méditerrannée,
on interdit les Protocoles des Sages de Sion. De l'autre
côté, on en publie l'équivalent juif, dans
les grands journaux. Ça ne fait hurler personne. Et tout
ça, voyez-vous, comme le disait Gavroche, "C'est la
faute à Voltaire": s'il n'avait pas donné sa
caution intellectuelle aussi bien que militante à l'anticléricalisme
et à une forme de blasphème qui, à son époque,
avait un sens politique réel, en serions-nous aujourd'hui
à subir l'action idéologique de cette arme politique?
BOMBES
CONTRE AVIONS
Deux avions explosés en vol. L'un, celui de Lockerbie, a vu aboutir une procédure bizarre à la Haye, avec un verdict mi-figue mi-raison. Un accusé jugé coupable, l'autre acquitté. Nous n'y croyons pas du tout. Il y a longtemps que les éléments donnent à croire que les responsables ne sont pas les Libyens. Il y a quelques années un film documentaire avait montré que la thèse libyenne était montée par la CIA. Nous avons une analyse détaillée de ce film, L'imposture maltaise, sorti à la fin de 1994 et qui, curieusement, semble oublié aujourd'hui. Pierre Péan avait étudié la question dans un livre, Vol UT772, paru en 1992 chez Stock. Il reprend l'enquête dans Manipulation africaines, Plon, 290 p. et rejette, preuves à l'appui, la "piste libyenne". Nous avons une très bonne analyse de fond parue chez CovertAction. Il faut ajouter à cela un autre livre, accablant pour la manipulation américaine, qui s'appelle Pan Am 103 The Lockerbie Cover Up, de William C. Chasey, paru en 1995 chez Bridger House Publishers, PO BOx 2208, Carson City, NV 89702, qui relate comment un lobbyiste patenté de Washington a été amené à se pencher sur ce problème, ce qu'il a trouvé, et surtout la persécution aussi sournoise que terrible qui l'a poursuivi ensuite et qui l'a ruiné. C'est dans ces choses là que l'aveu des services américains est le plus patent.
Dans le cas de l'avion civil iranien abattu en juillet 1988 par la marine américaine au dessus du Golfe persique, l'identité du coupable ne fait pas de doute. mais derrière la version officielle, il y a matière à enquête. C'est ce que fait Jacques Borde dans Un crime de guerre américain -- Le vol 655 Iran Air, paru ces jours-ci aux Editions Dualpha (Centre MBE 302, 69 boulevard St Marcel, 75013). Beaucoup de renseignements puisés à diverses sources.
Il importe de comprendre que cette planète est gouvernée par une bande de salopards répugnants, cyniques, dont le portrait fait dans les films américains n'est pas excessif. Hitler, à côté, c'était de la petite bière. Nous ne donnons pas ici dans la manie du complot, on s'en sera rendu compte. Mais Washington est bien pire que tous ce que les Machiavel d'autrefois ont pu décrire.
Marcel-Francis Kahn est un trotzkar qui
croit tout savoir. Médecin, il a participé à
différentes opérations de soutien médical
aux Palestiniens, ce dont il faut le féliciter. Mais tout
trotz arrogant qu'il soit, il doit croire en son for intérieur
qu'Israël a raison d'exister, ce qui fait de lui, malgré
ses palinodies, un complice de l'énorme crime contre l'humanité
que constitue la seule existence de l'entité israélienne.
Cet âne bâté s'épanche dans Charlie-Hebdo
du 14 février 2001 dans la rubrique "Israël:
démocratique à l'intérieur, pas dans ses
colonies". On voit l'arnaque. Il ajoute: "J'ai eu une
réflexion du même genre lorsque j'ai voulu, sans
doute bêtement, débattre avec le révisionniste
Serge Thion. Je lui ai dit que ses écrits étaient
antisémites. Il s'en est défendu contre toute évidence.
En tant que Juif, j'ai un bon entraînement pour reconnaître
un discours antisémite".
Cet âne bâté, dont le dialogue avec Thion est
reproduit dans Une
Allumette sur la banquise , nous révèle
ainsi comment on reconnaît un discours antisémite:
il suffit d'être Juif (avec une majuscule). Si Marcel-Francis
possède cette faculté de discernement que ne possèdent
pas les autres, c'est à sa nature de juif qu'il
la doit. Mais s'il a une nature de juif, alors l'antisémitisme
est parfaitement fondé puisque cette nature mettrait
les porteurs de ce caractère à part du reste de
l'humanité qui n'en serait pas dotée (c'est une
croyance assez répandue chez les disciples de Wiesel, l'auteur
de plusieurs déclarations touchantes sur la supériorité
des juifs sur le reste de l'humanité. Cf
à la page Wiesel comment beaucoup de juifs dénoncent
son arrogance et sa veulerie, entre autres Finkelstein et Chamir).
Il est heureux pour Kahn et Cie que nous ne partagions pas de
pareilles fadaises. Les "antisémites", ce sont
eux.
On annonce la tenue sur les épaissimes moquettes du Sénat d'un colloque, organisé par le MRAP, sur "Internet et droits de l'homme", le 31 mars, où il sera question des abominables dérives réviso-négationnistes perceptibles sur la Toile. Puisqu'il semble difficile d'interdire Internet, on en sera réduit à supprimer les droits de l'homme pour endiguer cette curieuse dérive. Au MRAP, une officine créée par les services de propagande du PCF, on sait comment faire.
Pendant que les étudiants des organisations démocratiques pro-PC (UNEF-ID) et pro-Sharon (UEJF) organisent l'occupation de Lyon 3, pour arracher aux autorités universitaires d'illégales sanctions contre Jean-Pierre Allard, qui a présidé, dans les règles, une soutenance de thèse à Nantes en 1985, la presse rappelle que les assassinats commis par un chauffeur routier sur la personnes de plusieurs jeunes filles pensionnaires d'institutions, remontent à plus de dix ans et sont donc prescrits par le droit français. Cette soutenance aurait d'ailleurs eu lieu devant un "jury de complaisance" d'après les calomnies bien renseignées d'un pion belge, Henri Deleersnyde, dans L'Affaire du Point de Détail, récemment publié par les Editions de l'Université de Liège. Cette andouille, probablement échappée d'un horrible waterzooi local, voudrait nous faire croire que les jurys de thèse ne seraient pas "de complaisance". Il veut occulter pour ses lecteurs niais le fait connu de tous les universitaires que les jurys sont choisis par les impétrants eux-mêmes, en accord avec leur directeur et qu'ils sont donc "de complaisance" par pure nécessité. Voilà bien la mauvaise foi des anciens sujets du prince-évèque...
En même temps paraissait devant le tribunal de Marseille un partisan de l'UNEF-ID et de l'UEJF, un gauchiste nommé Yves Peirat qui s'était fait une innocente spécialité en posant des bombes dans des permanences du Front national, douze attentats commis entre 1991 et 1998. Le six premies, commis avant 1996, sont prescrits. Le moment le plus amusant du procès aurait dû être le témoignage de Jacques Jurquet, ancien FTP, solidaire du chekiste Peirat. Jurquet a parlé du bon vieux temps où il posait, lui aussi, des bombes (prescrites) avec les FTP, mais il semble avoir négligé de raconter au tribunal la visite que'n tant que chef d'un groupuscule maoïste il a faite à Pol Pot du temps où ce dernier règnait à Phnom Penh. Il aurait pu préciser le genre de conseils qu'un vieux de la vieille comme lui pouvait donner au "Frère numéro Un" pour faire marcher le pays. Ce Peirat, pour faire bonne mesure, s'était infiltré dans le Front national. Le parquet n'a réclamé que cinq ans. On attend le jugement.
Enfin, le clou de l'affaire est probablement les démêlés de Daniel Cohn-Bendit, ex-excité soixante-huitard, qui à l'époque militait pour la mixité des chambres dans les cités universitaires. Voici qu'on s'aperçoit que dans un livree de 1975, racontant son expérience "d'éducateur "dans une crèche de l'université de Francfort, il a décrit comment il avait été obligé de céder aux désirs des enfants (de moins de six ans) qui se jetaient en grappe... sur sa braguette, l'ouvraient de force et se livraient à des chatouilles qu'il était obligé de supporter malgré sa gêne; il devait ensuite participer aux ébats que lui imposaient ces charmants bambins. Le Monde et Libération ont crié au scandale lorsque L'Express, à la suite d'un journal anglais, a rapporté les faits. Pour sauver leur héros, ils ont dit: premièrement, qu'à l'époque tout le gratin faisait la même chose et que Sartre avait signé une pétition pour faire relaxer des violeurs d'enfants, qsu'eux-mêmes avaient publié des articles répugnants et que, de plus, les parents et les enfants violeurs de Cohn-Bendit avaient écrit une lettre pour dire que leur victime était vraiment géniale et qu'ils se souvenaient avec attendrissement de ses bons traitements.
Alors voilà, à l'époque, la quasi-totalité des révolutionnaires sexuels (par exemple l'auteur de ces lignes) n'ont jamais rendu ce genre de services à des enfants, pour la bonne raison qu'aucun enfant de cette époque, comme de la nôtre, ne se jetait sur les braguettes des adultes. Et que si par hasard, un enfant avait voulu imiter ainsi ce comportement que l'on rencontre couramment chez les chiots, on lui aurait expliqué gentiment mais très fermement que c'est comme manger de la merde ou tuer ses ennemis: c'est défendu par le droit des gens et par les lois de tous les pays d'Europe; un enfant de cinq ans ne peut pas avoir de maturité sexuelle, il n'a que des pulsions, par conséquent tout acte sexuel commis en sa compagnie peut être qualifié viol, c'est-à-dire acte commis sans le consentement de la victime. Il y a une énorme différence entre ce qu'on fait à des enfants de cinq ans et ce qu'on fait avec des adolescents de seize ou dix-sept ans: là, la discussion est en effet possible puisqu'il peut très bien y avoir désir assumé et consentement raisonné; un adolescent capable de passer son bac doit être capable de décider s'il va coucher et avec qui; un enfant de cinq ans, en aucun cas.
Cette histoire est écoeurante et nous écoeure: elle jette le discrédit sur tous les mouvements révolutionnaires dont Daniel Cohn-Bendit fait aujourd'hui figure, par un adroit tour de passe-passe, de représentant officiel, accrédité et usurpateur; elle propage l'idée absurde qu'en ce temps-là, on ne savait pas ce qu'on sait aujourd'hui (je vous demande un peu) et que toutes ces révolutions, c'était rien que des errements d'une époque de ténèbres (on a parlé plus haut de Platon, qu'était plus con que vous parce qu'il ne connaissait pas la chasse d'eau); là, c'est votre père qui est d'une époque où on croyait que les enfants étaient mûrs sexuellement à la naissance.)
Et surtout, ça excuse tous les sales mecs qui violent les enfants qu'ils ont sous leur garde et qui prétendent toujours, au tribunal, après leurs aveux circonstanciés, qu'ils ont été provoqués par ces affreuses petites singesses de huit ans qui relèvent leurs jupes toute la journée et qui supplient leurs pères de les tripoter. Sans parler des petits Thaïlandais. Nous avons une chronique du Monde qui prend la défense du répugnant Cohn-Bendit ; on trouve sur le site du Monde et sur celui de Libération tous les articles offusqués que ces répugnants canards ont publié pour cette même défense.
Toute cette affaire nous indique bien ce
qu'a représenté l'adoption par une partie du mouvement
révolutionnaire français du principe révisionniste:
une épreuve qui a permis de faire le partage entre les
vrais révolutionnaires, ceux qui sont allés jusqu'à
refuser le sionisme, comme ultime manifestation d'un impérialisme
et d'un colonialisme d'un cynisme absolu, et les autres: aujourd'hui,
on vient nous expliquer avec l'affaire Cohn-Bendit, qui éclate
exactement en même temps que l'affaire Finkelstein, que
le crime abominable est la critique de l'état terroriste
d'Israël et de ses crimes contre l'humanité palestinienne:
tout le reste est pardonnable, y compris l'aveu
par un homme politique de pratiques pédophiles sur des
enfants en bas âge, alors même que la pédophilie
nous est présentée depuis des années comme
le risque majeur, avec le révisionnisme, que présente
internet. Aujourd'hui, on le s ait, la pédophilie n'est
là que pour servir de couverture et faire croire aux braves
gens que la censure n'est pas dirigée contre les adversaires
du pouvoir en place et qu'au contraire, elle n'est là que
pour protéger la morale la plus sophistiquée, la
plus civilisée et donc la plus incontestable. Le masque
est tombé définitivement le 1er mars: l'association
avocats sans frontières a porté plainte contre Finkelstein,
qui dénonce les crimes sionistes, mais personne n'a
porté plainte ou constitué d'association contre
la prescription qui protège Cohn-Bendit (comme c'est le
cas, par exemple, dans l'affaire Emile Louis, l'assassin des jeunes
filles handicapées dans l'Yonne).
NIHIL
OBSTAT
Amos Oz, écrivain israélien,
de gauche, très apprécié à la Closerie
des Lilas, a fait un article dans Le Monde du 9 janvier,
qui s'intitulait:
Il n'a sans doute pas pris garde
que cette proposition, qui se place dans un futur éventuel,
peut se retourner en celle-ci, valable depuis 53 ans:
En outre, il y a beaucoup plus de juifs dans le monde qui ont
le droit au retour que de Palestiniens en exil , qui ne sont que
quatre millions.
Un certain Alain Salles s'est récemment
avisé, dans les colonnes du Monde (23 février
2001) que l'on pouvait acheter des livres. Des livres révisionnistes.
Pas tellement dans des librairies. Mais dans des libraries en
ligne comme Amazon.fr, fnac.com,chapitre.com, bol.fr. Evidemment,
le journaliste en képi téléphone aussitôt
pour réclamer que l'on cesse de vendre des livres qui ne
lui plaisent pas. Le préposé d'Amazon-france indique
que le ministère de la justice français, sollicité,
n'a pas été en mesure de fournir une liste des livres
interdits. Forcément, c'est le boulot du ministère
de l'intérieur. Le flic Salles n'est même pas au
courant. D'ailleurs cette liste est introuvable. (Au Canada, on
peut avoir une liste des livres interdits d'entrée qui
fait plus de 300 pages...) Il y a une raison qui dépasse
tout à fait l'entendement très moyen du flic de
la pensée: c'est que les livres qu'il cite ne sont nullemnet
interdits. Pour interdire un livre français, il faut une
décision de justice, à l'issue d'un procès
contradictoire. Ou alors il faut qu'un élément quelconque
du livre puisse être réputé étranger
pour que le ministère de l'intérieur (ou, en son
nom, le "directeur des libertés publiques") prononce
une interdiction partielle ou totale. Il peut aussi invoquer les
hilarantes lois de "protection de la jeunesse". Voir,
sur ces points, les numéros 5 (1999) et 6 (2000) de la
revue Akribeia qui fournit un dossier étoffé.
Le plumitif affirme qu'on trouve les livres qui lui déplaisent
"sous le manteau". Ce n'est pas vrai. Ils sont en vente
tout à fait normalement. Les libraires ont parfaitement
le droit de les vendre. Le Monde montre ainsi sa nature
encore plus répressive que les lois, les tribunaux et les
ministères chargés de la répression. Cela
confirme ce que nous disons depuis longtemps: la pointe la plus
avancée de la police idéologique se fait dans un
journal qui mérite son surnom, auprès de beaucoup
de lecteurs: L'Immonde.
Nous avons l'article de Salles.
PETITS
RENSEIGNEMENTS
Un siècle de congrès sionistes
(en français) par l'Agence Juive elle-même:
<http://www.jajz-ed.org.il/100/french/concepts/F31CS.html>
avec des biographies, par exemple celle de
JABOTINSKY Vladimir Zeev (1880 - 1940): Né à Odessa en 1880. Contrairement à tant d'autres, il n'a pas grandi dans une atmosphère juive, traditionnelle mais néanmoins dans l'amour de la langue hébraïque. Odessa en effet, était alors avec Vilna et Varsovie, un des centres d'épanouissement de la littérature hébraïque moderne. Et pourtant ses études, il les fit déjà en russe. En 1898, il est à Rome et l'Italie nouvelle, née des guerres de Garibaldi, fut pour lui une révélation : il lit avec avidité Mazzini, Leopardi, Giusti, d'Annunzio. Rentré à Odessa, il se signale dans les revues littéraires russes par son talen@t élégant. Il signe de son pseudonyme "Altalena". En 1903, c'est la nouvelle vague de pogromes dont celui de Kishinev [Note de l'AAARGH:: quarante-cinq morts dit Israël Chamir.]. Le jeune Vladimir n'hésite plus, il se lance dans l'action sioniste au grand regret de Maxime Gorki, le grand écrivain russe, qui admirait le talent du jeune homme. II rejoint la rédaction du bulletin sioniste de langue russe Razsviet, et ses articles d'alors sont une révélation en raison de l'éloquence vibrante et le sens polémique qui les animent.
Au 6e Congrès Sioniste, avec Ussishkin et Borokhov, c'est le front des anti-ougandistes: l'Etat juif ne peut se réaliser qu'en Terre d'Israël et non pas dans un territoire d'Afrique. Son article sur ce sujet est devenu un classique.
En 1914-1918, il entrevoit la défaite turque. Avec Yossef Trumpeldor et Pinhas Rutenberg, il essaie de créer la Légion Juive qui finit par être constituée et où il s'enrôle comme simple soldat, ce qui ne l'empêche pas d'être vite nommé lieutenant. II se distingue dans la conquête d'Es-Salt en Transjordanie (1917). Il entre néanmoins en conflit avec les autorités militaires britanniques qui veulent démobiliser la légion parce qu'ils la trouvent trop encombrante. En 1920, il est à la tête de l'auto-défense à Jérusalem, lors des troubles entre Arabes et Juifs. Les Anglais considèrent que son action outrepasse ce qui est admissible à leurs yeux et ils le condamnent à 15 ans de forteresse à Acco, ce qui soulève l'indignation de tous. Aussi est-il libéré le 8 Juillet de la même année.
Il participe alors à la direction sioniste comme allié de Weizmann, mais en 1923, il s'écarte, indigné par le fait que les Britanniques ont cédé, en 1922, la Transjordanie à l'émir Abdallah Ibn Hussein, le grand père du roi Hussein d'aujourd'hui. II s'insurge contre le fait que la direction sioniste s'est inclinée devant cette décision britannique. Il crée, en 1925, le Parti Révisionniste et entre en lutte ouverte contre le mouvement ouvrier. Depuis lors, c'est une opposition déclarée. Aimant l'apparat nationaliste du genre italien, [=mussolinien] Jabotinsky est traité de fasciste, et certains de ses adeptes se considèrent comme tel ouvertement, mais il ne faut pas oublier que c'était au temps où le régime fasciste de Mussolini n'avait pas encore opté pour l'antisémitisme. [Donc, c'était bon ]
L'assassinat toujours resté mystérieux du dirigeant sioniste socialiste Haïm Arlozoroff en 1933, que beaucoup considèrent comme un attentat politique révisionniste, crée une atmosphère insoutenable au sein du Mouvement sioniste.
En 1936-1939, ce sont les troubles qui ensanglantent la Palestine britannique. La Hagana résiste et protège, mais Jabotinsky exige "une opposition active et agressive contre les groupes armés arabes". II crée alors l'Irgoun Tzevai Leoumi ("Organisation Militaire Nationale") qui se détache entièrement de la Hagana. La guerre de 1939-1945 le prend au dépourvu. Il ne peut plus aller voir les masses juives de Pologne occupée aussitôt par les nazis. Il voudrait créer une armée juive, mais il meurt subitement à New York en 1940. En 1964, sa dépouille mortelle est amenée d'Amérique à Jérusalem et il est inhumé au Mont Herzl.
Contrairement à ce qu'on en a dit,
Jabotinsky n'avait envers les Arabes ni haine, ni mépris.
Il comprenait avec la plus grande lucidité qu'un sentiment
national puisse les animer, mais pensait qu'il fallait les amener
à accepter notre présence dans la région
comme un fait inéluctable et c'est pourquoi il exigeait
le recours à la force. Le parti Hérouth (au
sein du Likoud) et ses chefs considèrent Jabotinsky comme
leur maître spirituel.
Son oeuvre littéraire : Elle s'étend aux langues
hébraïque, russe, yiddish, anglaise, française,
italienne; articles polémiques, discours et proclamations,
poèmes et traductions en hébreu d'Edgar Poe, Verlaine,
Dante, traduction de Bialik en russe, romans (Samson, Eux cinq),
drames (Vivre à l'étranger, Religion, etc.), autobiographie.
De plus, Jabotinsky s'est employé à trouver un système
de transcription de l'hébreu en caractères latins.
L'image de Jabotinsky qui reste, c'est celle du chef incontesté
du sionisme nationaliste intransigeant. On peut accepter sa voie,
on peut l'épouser avec enthousiasme, on peut la contester,
ce qui reste c'est le titan, artiste jusqu'au bout des ongles,
qui a su vivre sa conception du monde sans compromission, l'homme
d'état sans État et sans mandat pour le créer,
le héros malheureux grandiose qui nous a éclairé
sur bien des réalités concernent auquel même
ses adversaires rendent un hommage ému.
Source : Voir Israël, vivre Israël, Eliahou Eilon,
Département Jeunesse et Hehaloutz, 1984. Site de l'Agence
juive.
Vous trouverez sur le site de l'aaargh la seule édition disponible aujourd'hui du livre de Lenni Brenner, Zionisme in the Age of the Dictators, qui décrit très finement la collaboration du mouvement sioniste, et particulièrement de J., avec les dictateurs de l'entre-deux guerres.
TEUTONIX INTOX
La famille Bush a des traditions. Chez les Bush on aime à bombarder l'Irak. C'est leur truc, à eux. Tel père, tel fils. Mais aux dernières nouvelles, les bombardements n'amusent plus personne. De plus en plus de gens, de milieux, de pays sont contre. Donc, pour relancer le jeu, il faut un peu d'intoxe.
On ressort le truc éculé qui consiste à nous faire croire que Baghdad s'apprêterait à reconstituer une arsenal effrayant. Selon une vieille technique, les informations provenant de la CIA doivent d'abord être "plantées" dans un autre pays, pour leur donner de la crédibilité. On peut compter sur les cons de journalistes qui vont ensuite répercuter. Ce coup n'a pas manqué: ce sont les services allemands qui ont servi à appâter: "Les Irakiens reconstituent". Les malheureux, avec quel blé? Ensuite, on dissémine. On voit apparaître opportunément un "rapport secret" de la commission de contrôle de l'ONU, commission qui végète dans les caves. L'arsenal irakien se composerait de deux vieux Scud et de 700 obus au gaz moutarde, une technique qui était déjà au point en 1915, sur le front d'Ypres. C'est comme si on nous disait que l'armée de Saddam est équipée de 2 CV blindées...
On devrait nous dire la vérité: les Bush ont un petit problème héréditaire de déficience hormonale qui leur fait chercher des compensations héroïques à leurs petites faiblesses du samedi soir. On en a vu d'autres.
Une université néo-zélandaise crée une chaire de "négation de l'olocoste"... Nous v'là discipline universitaire, super!
Waikato Jewish Studies Seminar
DISSIDENCE
SUR LE SIDA : UN DÉBAT NÉCESSAIRE
Voir notre document associé.
Le goret mou qui occupe l'enviable fonction
de "premier flic de France" a l'intention, paraît-il,
de relancer l'activité quelque peu assoupie de l'organisme
de "surveillance de l'antisémitisme", installée
il y a onze ans auprès de la direction des "libertés
publiques" du ministère, et dirigé alors par
un dentiste sadique, un certain Gaubert, ou plutôt Go[lden]berg.
Les pontes prétendent qu'il redoute les effets des affrontements
entre Palestiniens et Israéliens. Mais qui nous dira quels
sont les "sémites" dans ces affrontements? Ce
Vaillant se méfie du Pif
BERGER
A BERGÈRE
Tous les observateurs sont d'accord: l'arrivée
d'un bateau rempli d'un millier de Kurdes sur les plages de la
Côte d'Azur est un coup de services turcs, en réponse
à la reconnaissance du "génocide" arménien.
Des candidats à ce genre de voyage, ils peuvent en trouver
chaque jour un millier.
ZUNDEL
EMIGRE AUX STATES
PENTE SAVONNEUSE
On nous annonce à grands sons de
trompe que "Sciences-Po s'ouvre aux élèves
défavorisés en les dispensant de concours".
Ce "temple de l'élitisme républicain",
comme on dit, va donc ouvrir une nouvelle voie d'entrée
en première année. On va choisir sept lycées
de banlieue: là, la direction choisira des candidats en
terminale et Sciences-Po fera sa sélection après
des "entretiens de motivation et de ritualisation".
Autrement dit, on fera entrer des gens qui sont incapable de passer
le misérable petit concours qui faisait entrer, traditionnellement,
les cancres de la bourgeoisie, ceux qui n'étaient pas assez
bons pour faire de vraies études ou entrer dans une grande
école.
Il suffit d'avoir un jour demandé à la bibliothèque
de Sciences-Po le mémoire de sortie rédigé
par d'anciens élèves, par exemple celui d'un certain
Chirac Jacques, sur le port de la Nouvelle-Orléans, où
il a fait le garçon de café pendant quelques semaines,
pour se convaincre de la constante et affligeante médiocrité
de cette future "élite" de feignants branchés,
superficiels et coqueteurs. L'idée de mélanger ces
zozos en costard de flanelle avec des échappés de
la banlieue, en nike et en casquette de base-ball, est extrêmement
réjouissante. La rue Saint Guillaume va enfin connaître
le viol en réunion et les coincées du XVIe vont
avoir des révélations (attention, toutes les scienpotardes
du XVIe ne sont pas coincées, loin de là). La cultutre
loubardesque des banlieues, après tout, n'est pas moins
respectable que celle de l'avenue Henri-Martin. On va enfin avoir
des élites réellement bilingues, français
et verlan.
Mais là où se posent des question, c'est dans l'entretien
d'embauche qui porte le terme de "ritualisation". L'anthropologue
qui sommeille en chacun de nous se perd en conjectures. Demandera-t-on
à ces sauvages des banlieues de passer une nuit accroché
à un arbre au dessus d'un feu de bois? Ou de danser sur
des braises avec des plumes au cul? Ou de réciter une nuit
durant du Paul-Loup Sulitzer? Où se vêtir d'un linceul
sans couture avant de monter à l'assaut de Notre-Dame?
Bref, quel rituel? Celui du Val Fourré ou des Minguettes?
De Dakar ou de Mossoul? Ou, pire encore, faudra-t-il se déguiser
en étudiant de Sciences-Po et montrer qu'on sait tenir
une tasse de thé?
On sait que les Sciences-Po se sont créé des territoires
qui ressemblent homothétiquement à ceux de l'université.
Le résultat est frappant: si vous êtes incapable
de soutenir une thèse d'histoire à l'université,
vous pouvez facilement le faire en "histoire" à
Sciences-Po. Prenez l'exemple de Valérie Igounet, venue
des banlieues d'Aix. Vous compilez bêtement une grosse masse
de "faits" bien sélectionnés, vous collez
une reliure dessus et, pof, vous avez un doctorat. Vous mettez
ça sur votre carte de visite. Personne n'ira vérifier
où vous l'avez passé. C'est le camembert danois:
c'est bien du camembert puisque c'est écrit dessus.
MON
GÉNOCIDE EST PLUS GROS QUE LE TIEN (SUITE)
On peut trouver sur le Net les sommaires de la revue Holocaust and Genocide Studies, chapeautée par le US Holocaust Memorial Museum (celui qui demande la grâce de Marc Rich) sur un site d'Oxford University Press, <www3.oup.co.uk/holgen/>. Les articles ne sont pas affichés, mais on y trouve parfois des résumés qui valent leur pesant de hannetons. Nous avons sélectionné pour vous quelques fleurons de cette production de luxe:
Nous réclamons, bien sûr, contre tous ceux qui veulent étrangler la liberté en général et la nôtre en particulier, la protection de l'article 11 de la nouvelle Charte européenne:
ARTICLE 11-1: Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.
(Charte des droit fondamentaux de l'Union européenne. 2000/C 364/01. Nice, 7 décembre 2000) Il est clair que la loi Gayssot est annulée par cette Charte. Nous attendons que les autorités françaises, allemandes et autres, en tirent les conséquences concrêtes qui s'imposent.
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Juin 1998 | Juillet
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Mars 1999 | Avril
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2000 | Juin 1999 | Juillet 2000 | | Août
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2000 | Décembre 2000
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2001 |
Ce texte a été
affiché sur Internet à des fins purement éducatives,
pour encourager la recherche, sur une base non-commerciale et
pour une utilisation mesurée par le Secrétariat
international de l'Association des Anciens Amateurs de Récits
de Guerres et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique
du Secrétariat est <[email protected]>.
L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
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la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19
<Tout individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être
inquiété pour ses opinions et celui de chercher,
de recevoir et de répandre, sans considération de
frontière, les informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit>
Déclaration internationale des droits de l'homme,
adoptée par l'Assemblée générale de
l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.