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Actualités
de janvier 2001
"Les Palestiniens
n'auront pas leur indépendance tant que les Américains
n'auront pas la leur".
The truth is, I fear,
that Palestinians won't get their independence until Americans
get theirs.
Charles Reese The
Orlando Sentinel, 7 décembre 2000
AVERTISSEMENT
Le site AAARGH, d'où proviennent
ces actualités, est plus virtuel que jamais. Il a été
supprimé par un acte de piraterie commerciale qui est tout
à fait légal dans une société libérale.
Il a été rétabli au bout d'un mois et demi.
Nous souhaitons une bonne année à nos lecteurs.
Nous croyons pouvoir augurer que le siècle
qui s'ouvre verra la fin de l'entreprise colonialiste qui se nomme
"Israël", ce qui libérera l'espace nécessaire
au révisionnisme. Mais le révisionnisme contribuera
aussi, le plus activement possible, à la destruction de
cette structure politique d'oppression. Nous serons libres quand
les Palestiniens seront libres. Amen.
VERUS ISRAEL
- Les Vrais Israël
- par
Mondher Sfar
-
- Les Palestiniens
vivent à nouveau les affres de la guerre, d'une guerre
coloniale avec ses crimes les plus horribles et les plus révoltants.
Ce qui vient de se produire en Palestine n'est qu'un épisode
de plus de la longue série d'épreuves et de sang
qui n'a cessé d'arroser le sol de Palestine depuis des
dizaines d'années avant la création de l'Etat colonial
d'Israël.
- Mais aujourd'hui,
s'ajoute à cette épreuve, celle de la mémoire,
celle de l'oubli de ce qu'est l'Etat d'Israël, l'oubli des
droits arabes sur la terre de Palestine et l'oubli de l'objectif
de l'abolition de l'Etat colonial israélien et le retour
de cette terre à ses occupants.
- C'est que la
lutte actuelle pour la récupération des territoires
conquis depuis la guerre de Six jours en 1967 nous a fait oublier
le vrai conflit qui en est à l'origine, à savoir
le conflit colonial qui nous oppose depuis le début du
siècle au projet sioniste de création d'un Etat
en terre et en milieu arabes dans le cadre de la soumission de
l'ensemble du monde arabe et de ses richesses pétrolières
à la domination occidentale.
- En acceptant
plus ou moins implicitement le fait accompli, l'existence au
milieu de notre région et sur nos terres d'un pouvoir
étranger hostile et structuré en Etat, nous aurons
légitimé ses agressions passées, et nous
lui aurons donné la force morale de continuer à
nous agresser dans le présent et le futur. La lutte pour
la récupération des seules terres arabes occupées
en 1967 à l'exclusion du reste de la Palestine, lui aussi
occupé au même titre en 1948, devient absurde et
vain. Ce serait suicidaire, puisque nous aurons accepté
la présence coloniale dans la région arabe, avec
ce que cela implique de domination politique, économique
et militaire sur toute la région. Oublier la libération
de toute la Palestine, c'est accepter ce rapports de forces qui
a transformé la région arabe en une zone sans souveraineté,
gouvernée par des despotes soutenus par les grandes puissances
et qui n'ont qu'une fonction: fermer la gueule au peuple arabe
et l'habituer à la soumission, au sous-développement
et à l'exploitation. Celui qui ose lever la tête
est aussitôt écrasé et exterminé comme
l'est actuellement le peuple irakien. On a oublié trop
vite que derrière la tragédie irakienne se profile
l'ombre d'Israël.
- Israël
n'a aucune autre justification que militaire et de domination
régionale. Les sionistes ont vainement cherché
à justifier cette colonisation par le statut particulier
des juifs dans le monde et leur soi-disant persécution
dans le monde, ou même par leur nostalgie des temps bibliques.
Ce sont là des prétextes fallacieux et trompeurs.
Ces arguments ne sauraient prouver la bonne foi de ces colonisateurs,
car les Arabes n'ont jamais refusé l'accueil des juifs
quand ils ont été persécutés, notamment
en Europe au XVe siècle. Mais venir s'installer en terre
arabe de façon pacifique est une chose, et venir s'y installer
par les armes, en assassinant ses habitants, en les déportant,
et en y substituant une entité étatique pour mieux
effacer le souvenir de ce peuple, c'en est une autre. Et cette
chose s'appelle un crime contre l'humanité punissable
par les juridictions internationales appropriées.
- C'est que les
juifs sont venus s'établir sur une terre qui n'est pas
la leur, pour y imposer une entité militaire et étatique
aboutissant à l'élimination physique, culturelle
et même historique de ses véritables habitants.
C'est là une des formes les plus barbares du colonialisme.
Et devant cette barbarie, les représentants du peuple
palestinien, corrompus comme leurs confrères du monde
arabe, n'ont pas hésité à commettre un crime
absolu: celui de reconnaître à l'ennemi le droit
de les... éliminer! Et cette beau geste, on l'appelle:
paix.
- Reconnaître
à Israël le droit à l'existence, c'est accorder
une légitimité à une forme des plus barbares
de la colonisation.
- Il est encore
temps de dénoncer le sionisme et de repartir sur des bases
saines, celles de notre dignité et de notre souveraineté
sur notre propre terre. Il est encore temps de redire notre revendication
essentielle et première, celle du démantèlement
de l'Etat d'Israël et le renvoi à leurs foyers des
colonisateurs venus des quatre coins du monde.
- C'est seulement
en clarifiant les principes de base et les termes du conflit,
qu'une lutte véritable et mobilisatrice de tous les hommes
et femmes de par le monde épris de justice et de respect
des autres devient possible et efficace.
- Et c'est à
ce moment, que l'on s'apercevra qu'Israël n'est qu'un leurre,
fabriqué par les grandes puissances occidentales pour
soumettre la population de toute la région à leur
loi. Clinton a été clair en précisant que
l'Amérique s'engage à préserver "la
supériorité stratégique d'Israël dans
la région". Cela veut dire aide militaire, financière
et politique en faveur d'Israël, et par conséquent
"contre" les pays arabes. Israël est un leurre,
une machine infernale coloniale servant à protéger
des intérêts stratégiques. Qu'on ne s'y trompe
pas: ce ne sont ni les juifs ni les soi-disant "Israéliens"
qui sont les vrais ennemis des Arabes, mais ce sont les intérêts
occidentaux et les Etats qui les arment, qui les financent et
les soutiennent.
- Cessons de
nous plaindre auprès de l'Amérique, de l'Europe,
comme si elles étaient des parties neutres vis-à-vis
d'Israël. Bien au contraire, cessons de nous en prendre
à cette entité leurre qu'est Israël, et désignons
les grandes puissances qui arment, financent et soutiennent cette
entité comme les vrais colonisateurs et les vrais oppresseurs.
Car toute aide, tout armement fourni à Israël est
un acte d'hostilité aux Palestiniens et aux Arabes qui
en subissent les conséquences. Occupons nous de ceux qui
arment le bras du criminel, et moins des exécutants. Ce
sont eux les vrais Israël qui nous assassinent, qui nous
oppriment et qui nous terrorisent sous couvert d'un leurre qu'ils
ont installé en terre de Palestine. Demandons aux Américains
et aux Européens des comptes sur les armes qu'ils ont
déversé et qu'ils continuent de déverser
en terre de Palestine pour mieux nous asservir. Tous les crimes
et toutes les agressions "israéliennes" ne sont
avant tout que le fait de ces grandes puissances qui agissent
derrière les rideaux israéliens. Ce sont eux les
véritables criminels. Dénonçons-les en tant
qu'ennemis qui agissent contre nous! Démasquons-les! Exigeons
d'eux qu'ils cessent toute aide et tout financement à
nos agresseurs et persécuteurs. Dénonçons
leurs liens avec nos bourreaux. Boycottons-les! Rompons nos relations
avec eux. Organisons une résistance commune contre eux,
jusqu'à l'évacuation totale des troupes étrangères
de la terre de Palestine et la libération de nos peuples
arabes d'une colonisation officielle qui dure depuis 1948.
LE
SCRIBE IGNOBLE
D'après le journal anglais The
Independent, "cÕest désormais à
l'échelle internationale qu'on essaie d'obliger la presse
à obéir aux règles israéliennes. Il
faut dire qu'Israël est assiéggié par les Palestiniens
(et non qu'il occupe la terre palestinienne)..."
On being
abused for opinions
Robert
Fisk
[Des
injures pour opinion]
'The
abuse being directed at anyone who dares to criticise Israel is
reaching McCarthyite proportions'
[Les injures contre tous ceux qui osent critiquer Israël atteignent des proportions maccarthystes]
- In the Middle
East jungle, a journalist has to expect a few sticks and stones.
A Bahrain newspaper cartoonist once depicted me as a rabid dog
(fit, of course, for extermination), and Cairo's most lickspittle
columnist called me "a crow pecking at the corpse of Egypt"
.
- But the degree
of abuse and outright threats now being directed at anyone --
academic, analyst, reporter -- who dares to criticise Israel
(or dares to tell the truth about the Palestinian uprising) is
fast reaching McCarthyite proportions. Take Edward Said, the
brilliant Palestinian academic who is a professor at Columbia
University.
- He has been
facing unprecedented abuse from the Zionist Organisation of America,
which last year demanded that he be fired from the Modern Language
Association and which now demands on an almost daily basis his
dismissal from his professorship at Columbia -- solely because
he points out, with clinical ferocity and painful accuracy, the
historical tragedy of Palestinian dispossession, the brutality
of Israel's continued occupation and the bankruptcy of the Oslo
"peace" agreement. Columbia University has issued an
unprecedented public defence of Said and "the fundamental
values of a great university", quoting John Stuart Mill
and adding that to give way to the Jewish lobby's demand would
be "a threat to us all and to academic freedom".
- Too true. Noam
Chomsky -- himself Jewish -- is one of the most profound philosophers
of our age, but his scathing reviews of the Israeli occupation
and America's blind, unquestioning support for Israel now earn
him ever more ruthless abuse. In the United States, he wrote
recently, a whole population is kept in ignorance of the facts
because "the economic and and military programmes (of Israel)
rely crucially on US support, which is domestically unpopular
and would be far more so if its purposes were known."
- Ignorance of
the Middle East is now so firmly adhered to in the US that only
a few tiny newspapers report anything other than Israel's point
of view. You won't find Chomsky in The New York Times.
It was put very well by Charlie Reese in a recent issue of the
Orlando Sentinel -- note the boondocks location -- when
he wrote that "Palestinians won't get their independence
until Americans get theirs".
- But the
attempt to force the media to obey Israel's rules is now international.
We must say that Israel is under siege by Palestinians (rather
than occupying Palestinian land), that Palestinians are responsible
for the violence (even though Palestinians are the principal
victims), that Arafat turned down a good deal at Camp David (though
he was offered just over 60 per cent of his land, not 94 per
cent), and that Palestinians indulge in child sacrifice (rather
than question why the Israeli troops have shot so many Palestinian
children).
- Israeli ambassadors
and Israel's lobbyists have never been such frequent visitors
to European newspaper offices, to complain about reports or reporters,
sometimes in a quite disgraceful manner. The Johannesburg
Star -- a sister paper of The Independent which carries
my own Middle East reports -- was confronted by one pro-Israeli
group this year which claimed that I was in some way assisting
the right-wing historian David Irving -- someone I have never
met and never wish to meet. They subsequently withdrew their
allegation.
- Then an odd
thing happened in Ireland -- at a prize-giving ceremony in memory
of a Belfast journalist. Mark Sofer, Israel's ambassador in Dublin,
had been invited to talk about reporting in conflict zones to
journalism students under the auspices of Co-operation Ireland,
a charitable movement dedicated to North-South relations. But
at one point he chose to use the opportunity to attack my own
reporting of the Middle East, to suggest that it should not be
read or believed. Mr Sofer is, of course, entitled to his views
-- but not to air his prejudices in a charitable forum without
allowing a right of reply. The charity has since announced that
it "totally dissociates itself" from the ambassador's
remarks. So it should.
- And yet it
goes on. In South Africa, in Europe, in Australia -- I still
treasure the five pages of abuse in an Australian lobby group's
magazine headlined "The Ignoble Scribe" and accusing
me of a "stupor of self-deception". Oddly, you can
now learn more from the Israeli press than the American media.
The brutality of Israeli soldiers is fully covered in Ha'aretz,
which also reports on the large number of US negotiators who
are Jewish. Four years ago, a former Israeli soldier described
in an Israeli newspaper how his men had looted a village in southern
Lebanon; when the piece was reprinted in The New York Times,
the looting episode was censored out of the text.
- So here's just
one final question. If Arab ambassadors and lobbyists behaved
like their Israeli opposite numbers, would we listen to them?
Would we respect them? Would we run for cover and print only
one side of the story? Would we tell?
- Independent (London), 13 December
2000.
UNE
SOLUTION PERD PERD
- Israël s'est lancé dans une
guerre impossible à gagner et le sait...
D'après la revue Intelligence, tous les spécialistes,
y compris les services secrets israéliens, le savent:
ni les armes nucléaires ni l'hégémonie locale
ne permettront à Israël de gagner cette guerre, née
de l'insupportable difficulté de la vie quotidienne en
Palestine. Les voisins arabes n'interviendront pas mais alimenteront
la guérilla palestinienne en armes légères.
Le Hezbollah, qui a fini par chasser les Israéliens du
Liban, apprendra aux Palestiniens à les chasser de Palestine;
le Hamas et le Fatah ont fait allinace en novembre et ils peuvent
compter sur l'opinion publique internationale quin à commencer
par l'envoyée de l'ONU, condamne unanimement l'agression
israélienne et sa cruauté. De plus, la guerre est
ruineuse pour Israël qui est désormais privé
des ressources capitales du tourisme et ne peut, de toute façon,
se passer de la Palestine.
Israel
enters a war it can't win & knows it
-
- Strangely enough,
the new Intifada in Palestine and Israel has almost all specialists
agreeing: Israel's nuclear weapons and regional military dominance
are not going to keep it from losing the war its has now let
take place. Its Arab neighbors, instead of traditional saber-rattling
and preparations for war, are just going to sit back and watch
Israel exhaust itself in a guerrilla war it can't win and quietly
resupply the Palestinians with small arms and explosives they
need for armed conflict. It's a "Win Win" situation
for Arab nations and the United States is losing its credibility
as it has to keep Israel from starting a "hot war"...
as long as Israel's neighbors don't get their armed forces directly
involved. Russia is, therefore, back on the Middle East scene
as a recognized authority and credible negotiator, a situation
the US had so far avoided.
- When we say
"almost all specialists", that includes Israeli
intelligence specialists. Listen to former Shin Bet director,
Ami Ayalon, quoted by Ma'ariv on 5 December, speaking
at a conference in memory of Finance Ministry budget division
Yom Kippur War dead: "The Palestinians learned that Israel
only understands force... The Palestinians believe that this
is the only way they can realize their political goals, the foremost
of which is to found a state... The things a Palestinian has
to endure, simply coming to work in the morning, is a long and
continuous nightmare that includes humiliation bordering on despair...
But in the last seven years he has discovered that there is another
way. They learned this from Hezbollah and from us."
- Indeed, Shin
Bet has eliminated -- often physically -- those Palestinian elements
not broken into true guerrilla warfare and Hezbollah is the only
Arab force that can claim to have defeated the Israelis and to
have driven them out of Southern Lebanon. It is quite clear to
Ayalon and other specialists that Palestinians and Hezbollah
will use the same tactics to drive Israelis out of the colonies
in the Occupied Territories. And that is a very strict minimum,
since the same tactics are already being applied inside the internationally
accepted borders of Israel itself. In early October, Hezbollah
launched a new strategy which caught the Israelis by surprise.
Three Israeli soldiers, on a routine patrol mission on the Israeli
side of the border with Lebanon, were kidnapped in a well- planned
ambush. Hezbollah was opening a "second front" against
Israel to ease the tension on the Palestinian Intifada revolt
that started in late September.
- On 4 November,
the press announced that the Islamic Resistance Movement (Hamas)
and Fatah, the main PLO faction, had agreed to coordinate Intifada
activities. Leaders from the two movements, who hold daily coordination
meetings, reportedly agreed that all their statements and leaflets
will be made under the umbrella of the "Unified Leadership
of the Intifada", made up of representatives of all Palestinian
factions. Moreover, it was agreed that the two largest movements
in Palestine hold as many joint activities as possible, including
public rallies and marches, to cement national unity.
- On 9 November,
an Israeli helicopter attacked and killed Hussein Abayat, a Palestinian
militia leader, along with two bystanders in Beit Sahur on the
West Bank. On 10 November, while visiting the Gaza Strip's main
hospital, UN Human Rights Commissioner, Mary Robinson, blasted
Israel's "excessive and disproportionate use of force"
against Palestinian protesters. Robinson's commission earlier
made similar charges, accusing Israel of "widespread, systematic
and gross violation of human rights".
- On 13 November,
the Palestinian "Death on the Roads" strategy was ushered
in by a drive-by shooting that left an 41-year-old Israeli mother
of five, two Israeli soldiers and a 26-year-old Israeli truck
driver killed in attacks in the Occupied Territories. On 15 November,
the Israeli army stated it was sealing off the areas for security
reasons after the Israelis were killed on one of the bloodiest
days of the Intifada. The same day, Israeli Ziad Abu Zyyad, a
minister in the Palestinian Authority's cabinet, told Israel
Radio that the Intifada would continue as long as Israel's occupation
of West Bank and Gaza territories.
- On 21 November,
in a show of anger at Israeli "aggression" against
Palestinians, Egyptian President, Hosni Mubarak, ordered Egypt's
ambassador to Israel to return home, a hardening of attitude
in a country that has been a main voice of moderation in the
Middle East and the first to sign a peace treaty with Israel.
The same day, Palestinian President, Yasser Arafat, called on
the United States to intervene to stop the latest Israeli attacks
on unarmed Palestinians. On 26 November, for the first time in
six months, Israeli jets bombed southern Lebanon in retaliation
against a classic roadside Hezbollah bomb that reportedly wounded
several soldiers at the Chebaa Farms inside Israel.
- On 5 December,
Palestinian official Faisal Husseini clearly warned Israel that
it might face ultimate demise if it continued to deny Palestinians
their legitimate rights and arrogate their land. "In 2045,
Israelis will probably have to elect a Palestinian Nelson Mandela
as their prime minister since Palestinians would make up the
majority of the population in the Jewish state." Husseini
pointed out that in the year 2010, the number of Palestinians
and Jews in Israel/Palestine will be equal: "There are already
right now 4 million Palestinians and 4.7 million Jews... and
within ten years we are going to be fifty-fifty".
- COMMENT --
Economically, Israel and Palestine need each other and wouldn't
be viable cut off one from the other. Also, tourism, which used
to bring in a lot of hard cash for Israel, will also be dead
as long as the Intifada is alive. Israel can also count on a
growing worldwide boycott of Israeli products if the Intifada
continues. The US will definitely want to reestablish its credibility
and "get Russia out of the Middle East" which now can
only be obtained with the declaration of the state of Palestine
and the more-or-less complete evacuation of Israeli colonies
in the Occupied Territories. The bloody Israeli reaction to the
Intifada will definitely revive memories of the Deir Yassin massacre
in 1948 and the Qana artillery massacre in Lebanon, and strongly
influence the world's attitude toward Israel. The Sabra and Shatila
Palestinian refugee camp massacres in Lebanon, for which Israel
was obliged to assume "indirect responsibility", pointed
the finger at Ariel Sharon, now the second most popular politician
in Israel after former far-right prime minister, Benjamin Netanyahu,
and well in front of the current prime minister, Ehud Barak.
- In more ways
than one, Sharon is "the man of the situation", who
splits the Israeli establishment and the Palestinian movement.
Half of the Israeli establishment sees him as the only possible
"savior", the Israeli Milosevic of a "Greater
Israel", while the other half fears exactly that, a leader
who will turn Israel into Milosevic's Serbia. The Palestinian
movement knows it will win... if it can keep Sharon -- who single-handedly
restarted the Intifada in late September -- from "rocking
the boat" and causing a major regional war. This leaves
the Palestinian movement divided between those who, under no
circumstances, will deal with a "Sharon Israel" and
those who would. But Israel is not Serbia and Sharon is not Milosevic
since the latter had at least some friends abroad... including
Russia. Sharon does not.
- Intelligence, n* 376, 11 décembre
2000, p. 1
- Editor: Olivier
Schmidt (email [email protected]; web http://www.blythe.org/Intelligence; tel/fax 33 1 40 51 85 19; ADI, 16 rue
des Ecoles, 75005 Paris, France)
- On 5 December,
Israel launched the first of a series of spy satellites designed
to take high-resolution photographs of any spot on earth. The
launch, in Siberia, came almost two years after Israel's
Ofek-4 satellite, which was widely reported to have been meant
to spy on Iran, Iraq and Syria, malfunctioned and burned up after
lift-off. Israel's Ofek-3 reconnaissance satellite has been in
space for more than four years and is reaching the end of its
life. The 250 kg, $100 million EROS-1 satellite from ImageSat
International was launched in Siberia using a Russian Topol or
SS-25 missile. It has enough fuel to stay in orbit for six years.
Netherlands Antilles-based ImageSat said the satellite was meant
for commercial purposes, such as mapping, urban development and
fishery, but the Israeli daily, Ha'artez, reported that
the Israeli Defense Ministry would be a customer. State-owned
Israel Aircraft Industries (IAI), with 31 percent, holds a majority
stake in ImageSat. Israel Electro-Optical Industries, United
Mizrahi Bank, the Challenge Fund and Core Software Technology
also own stakes.
Même source.
BAFOUILLE
A UN BREDOUILLEUR
Elie Wiesel et le droit au retour
-
- Lettre au Pr
Elie Wiesel, Université de Boston, à Boston
- (Massachussets),
le 17 avril 2000
- Je regrette
que vous n'ayez pu assister à la Conférence sur
le droit du retour qui s'est tenue à l'université
de Boston le 8 avril [2000]. Edward Said, Noam Chomsky, Norman
Finkelstein et Ilan Pappe étaient là, ainsi que
de nombreux autres conférenciers de renom. Le soir eut
lieu une veillée aux chandelles en commémoration
du cinquante-deuxième anniversaire du massacre de Deir
Yassine où plus de cent Palestiniens, hommes, femmes et
enfants, furent massacrés par l'Irgoun et le groupe Stern.
- Bien que vous
vous soyez souvent vanté orgueilleusement de considérer
comme un honneur d'avoir travaillé pour l'Irgoun pendant
les massacres et encore longtemps après, il est temps,
au bout de cinquante-deux ans, d'admettre que les assassinats
et les pillage infligés par l'Irgoun à Deir Yassine
constituent un crime contre l'humanité. Comme vous étiez
journaliste à Zion in Kanf, ["Sion combattant"]
le bulletin de l'Irgoun, vous étiez forcément au
courant du carnage des villageois innocents de Deir Yassine.
Depuis des années, vous avez écrit des livres entiers
Contre le Silence et, cependant, vous n'avez jamais fait
état de votre connaissance de ce massacre, ni exprimé
le moindre regret qu'il ait eu lieu.
- Notre association
pense qu'au nom de la paix et de la réconciliation, la
vérité doit être reconnue en ce qui concerne
l'histoire palestinienne aussi. On voit le lieu où gisent
les villageois morts de Deir Yassin quand on est au célèbre
Mémorial de l'holocauste de Yad Vashem, mais ils
n'ont jamais reçu de sépulture décente et
il n'y a pas de mémorial pour eux. Cependant, comme la
Conférence pour le droit au retour l'a montré,
on ne les oubliera jamais.
- Nous, juifs
et non-juifs du "Souvenir de Deir Yassin" vous demandons
d'admettre publiquement le crime commis par votre patron à
Deir Yassine et de dénoncer les révisionnistes,
qui, avec Morton Klein et l'Association sioniste d'Amérique,
nient que ce massacre ait jamais eu lieu.
- Je sais que
vous viendrez en visite dans nos collèges le 16 mai. J'espère
que vous trouverez quelques minutes pour me rencontrer et j'espère
que votre conférence publique évoquera ces questions.
- Daniel A. McGowan,
Directeur du Souvenir de Deir Yassine, Geneva, NY, USA.
- Elie and the Right of Return
- by
Daniel A. McGowan
-
- To Professor
Elie Wiesel, Boston University, Boston, MA, Apr. 17, 2000.
- I regret that
you were unable to attend the Right of Return Conference held
at Boston University on April 8. Edward Said, Noam Chomsky, Norman
Finkelstein, and Ilan Pappe were there, among many other notable
presenters. In the evening we held a candlelight vigil to commemorate
the 52nd anniversary of the massacre at Deir Yassin where over
100 Palestinian men, women and children were murdered by the
Irgun and the Stern Gang.
- Although you
have written with pride at having worked for the Irgun during
the massacres and for many months thereafter, 52 years is long
enough to recognize that the murder and pillage the Irgun inflicted
at Deir Yassin was truly a crime against humanity. As a journalist
working for Zion in Kanf, the publication of the Irgun,
you learned the truth of the carnage inflicted on the innocent
villagers of Deir Yassin. Over the years you have written literally
volumes Against Silence and yet you have never divulged your
knowledge of the massacre or expressed any regret of its having
occurred.
- Our organization
believes that in the name of peace and reconciliation the truth
of the Palestinian history must also be recognized. The dead
villagers of Deir Yassin lie within sight of the most famous
Holocaust Memorial at Yad Vashem. But they were never
properly buried and there is no memorial for them. Yet, as the
Right of Return Conference clearly showed, they will never be
forgotten.
- We Jews and
non-Jews of Deir Yassin Remembered ask you to publicly recognize
the crime committed by your employer at Deir Yassin and to denounce
those revisionists, like Morton Klein and the Zionist Organization
of America, who deny there ever was such a massacre.
- I know you
will be visiting our colleges on May 16. I hope that you will
have a few minutes to meet with me and I hope that in your public
lecture you will address these concerns.
- Daniel A. McGowan,
Director, Deir Yassin Remembered, Geneva, NY
- Washington
Report on Middle East Affairs, August-September 2000
- http://www.washington-report.org/backissues/08092000/0010043.html
Ça, c'est la critique de gauche.
On y apprend que cet ignoble menteur a travaillé pour les
terroristes de l'Irgoun... Mais il y a aussi les critiques de
droite, ceux qui trouvent que le bon docteur honoris causa (200
titres) n'a pas été assez loin quand il a violemment
dénoncé Arafat comme le responsable de la nouvelle
insurrection palestinienne, dite sur place Intifada Al Aqsa. Ils
lui reprochent de ne pas l'avoir fait plus tôt. On
a l'article dans l'original
anglais et en traduction
française. Lisez ce morceau d'anthologie raciste et
haineuse, vous comprendrez pourquoi il est légitime d'assassiner
les Palestiniens.
ENCORE
UNE PARADOXE JUIF
"Je suis en train de lire Das jüdische
Paradox de Nahum Goldmann, fondateur du Jewish World Congress.
J'y trouve la phrase suivante:
"Einer meiner
Freunde ist Roger Garaudy, dessen Mut und unabhängige Meinung
ich sehr schätze". L'original
est en français. La retraduction de l'allemand en français
donne: "L'un
de mes amis est Roger Garaudy dont j'apprécie le courage
et l'indépendance d'opinion."
Le Pol Pot d'Aubervilliers va sûrement
dénoncer le Congrès juif mondial...
LÉGION
ÉTRANGÈRE
Libération
du 28 décembre décrit l'Unité 412 de l'armée
israélienne, qui est au centre névralgique de la
zone de Gaza pour tâcher de tirer les Palestiniens comme
au ball-trap. On sent bien, d'aileurs, qu'à ce jeu, les
Israéliens sont perdants. Mais l'espect intéressant
de ce petit reportage est le suivant: à part les officiers,
qui semblent ashkénazes, les hommes de troupe de cette
unité de choc sont: des Russes, des Ukrainiens, des Ethiopiens,
augmentés de "quelques pisteurs bédouins".
Tous ces jeunes gens, plus ou moins fraichement arrivés,
ne sont, dans l'ensemble, pas plus juifs que le Grand Manitou.
Ce sont des échappés de la misère à
qui on ne pose pas trop de questions quand ils demandent à
immigrer. Les riches banquiers qui soldent ces bandes de mercenaires
devraient bien relire Salammbô.
A propos des Russes et d"Israêl,
nous avons la
traduction d'un article russe de Zavtra, l'hebdomadaire du parti communiste russe, écrit
par un juif russe émigré en Israël, qui vaut
son pesant de halva. [nous
avons aussi une traduction anglaise]
FINI L'OR DE
MOSCOU
Les microcéphales qui font ce canard
que personne ne peut plus lire et qui s'appelle, on ne sait plus
bien pourquoi, L'Humanité, ont fini de ronger le
dernier kopek qui venait des trésors cachés sous
la Loubianka. Ils sont fauchés. On se dit, chouette, on
va enfin être débarrassés de cette bande de
barjots. La presse, pour ce qu'elle vaut, ne doit pas être
défendue à tout crin. Mais le plus fort c'est de
voir que la quotidien qui s'affiche mensongèrement comme
"communiste" (nous, on dirait plutôt "fasciste
rose bonbon") est grassement subventionné par les
fric de l'Etat, royalement donné à cette bande de
ploucs par Sa Majesté Jospin Ier. Il s'en fout, c'est notre
fric. Non seulement il leur donne des subventions, mais il étouffe
les dettes que ce canard monstrueux a contracté auprès
de l'Etat, probablement grâce à des impôts
non payés: abandon de créance de 13 millions de
francs. Abandon des échéances des intérêts
1999 et 2000. Doublement des subventions de 1999 à 2000.
C'est ça, l'union de la gauche, des cocos subventionnés
par le ministère; ça tire à Hue et à
dia. Comme au bon vieux temps de la presse pourrite.
LES ZÉROS SONT
FATIGUÉS
Le même numéro de ce canard
bien enchaîné enregistre avec tristesse la déliquescence
accélérée du mouvement antifasciste: "Ras
l'front: les hérauts sont fatigués", p. 11.
La génération Mitterrand veut pantoufler, ramasser
les profits de son antifascisme dans un fauteuil; elle émigre
vers des positions politiques plus rentables: Bové, Tobbin,
et autres antichambres du pouvoir rose bonbon. Elle flaire les
gamelles de la Jospinie. La LCR s'en va sur la pointe des pieds.
Bref, il n'y a plus de fromage et tous les antifas en peau de
lapin veulent éviter de couler avec le bateau. C'est dommage:
des activités aussi nobles, et aussi bien financées
par le ministère de l'intérieur, méritaient
de passer à la postérité. Elles auront une
petite vitrine dans le futur musée de la Mémoire
Socialiste, entre les pionniers au foulard rouge et les balillas
à chemise noire.
GRANDILOQUES
A Paris Première, le 6 décembre.
Une vieille dame bien sous tous rapport, nommée Francine
Christophe, raconte qu'elle a été déportée
entre l'âge de 7 ans et celui de 12 ans, de Beaune-la-Rolande
jusqu'à l'Allemagne, qu'elle n'a pas pu en parler depuis,
qu'elle a mis ça sur papier sous forme de monologue de
théâtre, et qu'il est joué sur une scène
parisienne. Elle a appelé ça "Une petite fille
privilégiée", privilégiée parce
qu'elle est revenue. Elle a l'air de croire qu'elle est la seule
enfant à être revenue. Et puis, tout à trac:
"Faut faire attention. On est très surveillé
par les négationnistes. A la moindre erreur, ils disent
que ça n'existe pas". Mais, non chère vieille
dame, personne ne vous surveille. On écrit et on dit tellement
de bêtises, il faudrait des bataillons de surveillants;
ce n'est pas notre genre. Ecrivez ce que vous voulez. On s'occupe
des menteurs professionnels, pas de gens qui ont vécu ces
horreurs et qui cherchent des mots pour le dire. On sait bien
que c'est pas facile. Il y en a qui grandiloquent un peu. Qui
tartarinent un brin. C'est pas la mort du petit cheval. Vous n'êtes
pas comme Elie Wiesel, vous ne touchez pas 25.000 dollars par
causerie. Allez en paix.
L'ANNULATION
ANNULE À SION
Cédant aux pressions politiques,
la direction de l'université de Lyon 2 vient d'annuler
le titre universitaire de Jean Plantin, associé à
la soutenance d'un mémoire de DEA en 1991. Elle vient d'annuler
son annulation pour vice de forme. Déjà, le service
juridique du ministère de l'Education nationale avait déconseillé
à Lyon 2 de se livrer à des opération d'annulation.
Ensuite, elle a ré-annulé le diplôme, annulant
ainsi l'annulation qu'elle avait faite de sa propre annulation.
La direction même de l'universtité avait tenté
de s'y opposer. L'université de Lyon 3 va délibérer
pour répondre à une demande d'annulation du mémoire
de maîtrise de Plantin, soutenu en 1990.
Dans un passé proche, Henri Roques
avait vu sa thèse soutenue à Nantes en 1985 annulée
par le ministre de la recherche, sous un vague prétexte
de vice de forme. En Allemagne, les autorités avaient annulé
en 1982 la thèse de doctorat en droit passée en
1951 à l'université de Göttingen par le juge
Stäglich, annulation obtenue par le recours à des
vieilles lois hitlériennes.
Le professeur Hayward, de l'Université
Massey (Nouvelle-Zélande) est menacé d'annulation
de son diplôme de MA en histoire obtenu en 1993 à
l'université de Canterbury (Nouvelle-Zélande) et
a déjà été amené à renier
son travail. Une campagne de presse est actuellement menée
sur le site si mal nommé <amnistia.net> contre des
diplômes régulièrement octroyés à
l'Université de Toulouse.
En France, des professeurs, des chercheurs
sont révoqués sur la simple accusation de révisionnisme.
Ces pratiques répressives sont le
signe d'une sérieuse dégradation de l'esprit de
l'université et de la nécessaire pluralité
des opinions. Elle ne semble plus en mesure de la protéger.
Un diplôme qui a été passé devant une
université ne devrait pas être pris en otage par
ceux qui désapprouvent la carrière future du diplômé.
Ces annulations ne sont que symboliques, certes, mais elles symbolisent
le renoncement à l'esprit critique, au libre choix des
idées et elles préfigurent un monde où l'enseignement
ne sera plus qu'un instrument d'abrutissement.
Nous demandons que cessent ces ridicules
manoeuvres d'annulation des diplômes. Nous appelons les
universitaires à réagir contre ces violentes atteintes
à l'esprit de tolérance. La tolérance, rappelons-le,
consiste à tolérer.
PLANTIN, SUITE: LES GRANDES
PANURGIES LYONNAISES
Voici un petit tract:
- décembre
2000
Les
fraudes de Jean Plantin
-
- Tandis que
l'Université Lyon-2 demande enfin à Jack Lang,
ministre de l'Education nationale, l'annulation du DEA qu'elle
avait accordé en 1991 au négationniste jean Plantin,
l'Université Lyon-3, à son tour, va entamer la
procédure nécessaire à l'annulation de la
maîtrise accordée en 1990 au même personnage.
- Le Recteur
de l'Académie de Lyon doit s'inspirer de ces deux exemples
de salubrité publique. En 1983, il a délivré
à Jean Plantin un diplôme de bachelier qui porte
la signature de Bernard Plantin. Ce dernier, secrétaire
général de l'Académie, est un parent de
Jean Plantin. L'attribuation du diplôme a été
frauduleuse.
- Il faut en
finir avec la vermine négationniste et avec les dérives
du corps universitaire lyonnais, académie et université
comprises.
-
- ESPRIT
DE CORPS, ESPRIT DE FRAUDE !
- Signature:
un A dans un cercle, maladroitement dessiné à la
main.
[Ce symbole est habituellement revendiqué
par les anarchistes. D'après le site américain Hatewatch, cependant, ce symbole serait revendiqué
par des groupes antisémites. On voit donc que toutes les
interprétations sont possibles, et toutes les provocations
aussi.]
Il faut comprendre que c'est maintenant la guerre de tranchées
entre anti-révisionnistes. D'un côté, les
universitaires socialo, opportunistes, mous de la tronche, qui
vendraient leur mère pour une dose de conformisme, qui
ont viré Faurisson, Notin, et d'autres. Ils ont les postes,
ils président, ils rotent dans les banquets, ils pillent
le buffet du B'nai Brith, ils s'affairent, ils stressent et s'inscrivent
en thalasso pour se refaire une énergie. De l'autre, les
cocos, inférieurs hiérarchiques, malades de jalousie
professionnelle, prêts à pousser tous les patrons
dans le Rhône pour prendre les postes, qui ont compris que
les mandarins leur offrent des cibles qui deviennent de plus en
plus grandes au fur et à mesure qu'ils reculent. Le gnôme
Gelas, plein de bonne volonté, ne voulait pas saquer le
diplôme de Plantin. Les diplômes, c'est sérieux,
c'est la seule justification de sa prébende. Les furieux,
disciples de l'ahuri des poubelles, les trotz, les goliassistes,
les Israéliens, ramasseurs de buvards et grouillots des
paillasses, ont eu vite fait de l'acculer dans un coin, le Gelas,
et lui coller une bonne dégelée, au terme de quoi
il a annulé le foutu diplôme que personne n'a
lu. Et oui, c'est du Courteline. Les mandarins de Lyon
3 n'ont qu'à numéroter leurs abatis. Les Zépurateurs
sont dans la ville, ils zaiguisent les grands couteaux, ils ont
des zalliés chez les ratabourres, ils veulent que ça
saigne. Les Mous de la Tronche, les Bernard Comte, les Bédarida,
les Vidal-Schtrouquet sont promis à l'holocauste sur les
autels du dieu Lug. Ils faut que leurs têtes ornent les
palissades du temple de la Grande Purification. Ubu sur la butte.
Blandine dans la débine. On va rigoler. Que les spectateurs
prennent place! Oyez! Oyez!
Pour tous les documents ici évoqués,
voir notre page "Affaire
Plantin" dans Police de la pensée
TRACT
En voici un autre:
- WRU
- Union
mondiale pour le révisionnisme historique à
Isabelle
Dumestre
297,
rue Garibaldi
69007
LYON France
-
- France occupée,
6 nov. 2000
- Mademoiselle,
- Vos prises
de position dans ce qu'il faut bien appeler l'affaire Plantin
(tentative d'annulation du diplôme d'un jeune chercheur
lyonnais, dont les travaux déplaisent aux autorités
d'occupation) sont assez étonnantes de votre part.
- Croyez-vous
réellement à la possibilité de mise en oeuvre
par les Allemands de meurtres de masse au moyen de "chambres
à gaz" ayant fonctionné à l'insecticide,
entre 1941 et 1945?
- Si des chercheurs
ont eu assez de courage et de compétence pour se pencher
sur la question de façon scientifique, et de publier le
résultat de leurs recherches, à savoir l'impossibilité
radicale de mise en oeuvre d'un tel processus de mise à
mort, pensez-vous qu'ils doivent être sanctionnés
pour "résultat non conforme"?
- Pensez-vous
que l'événement majeur de la fin du second millénaire,
à savoir la mise en esclavage psychologique et moral de
l'Allemagne (occupée), par imputation à ce pays
d'un crime qu'elle n'a pu commettre, soit une bonne chose sur
un plan éthique? Est-ce digne de citoyens se réclamant
volontiers des Lumières, ou bien de la charité
chrétienne?
- Comment se
fait-il qu'à Auschwitz-Birkenau, que les Soviétiques
ont investi en janvier 1945 et ont trouvé en absolu état
d'origine (y compris les archives complètes du camp),
on n'ait ni trace ni vestige de la moindre "chambre à
gaz"? Comment se fait-il que les mêmes Soviétiques
n'aient pas pris une seule photo de ces "chambres à
gaz" s'ils les ont découvertes? Alors qu'ils ont
pris des dizaines de photos de toutes les parties du camp!
- Pensez-vous
sérieusement que l'utilisation de crématoires pour
incinérer les morts dans ces mêms camps allemands
fut un crime? L'incinération des morts est-elle un crime?
- On sait maintenant,
de par les recherches les plus sérieuses (et non controversées)
d'historiens souvent ex-communistes (Stéphane Courtois,
etc ...), que le bolchevisme et le communisme, de 1917 à
la chute du Mur de Berlin en 1989, ont "fait" quelques
115 millions de morts, dont une trentaine de millions dans les
divers goulags (le reste par guerres, massacres sur le terrain,
exécutions sommaires en nombre énorme dans les
locaux du NKVD, famines organisées, déportations
dans d'effroyables conditions...). D'après vous, que devenaient
les cadavres de ces déportés morts dans les goulags?
Etaient-ils enterrés, étaient- ils brûlés,
étaient-ils renvoyés à leurs familles?
- Pensez-vous
que si des chercheurs se lancent dans une exploration sérieuse
et méthodique sur ce dernier sujet, il faille les interdire
d'Université, leur enlever leurs diplômes, les mettre
à pied?
- Que pensez-vous
de la formidable régression du droit vécue actuellement
en Occident occupé et notamment en France depuis la loi
Gayssot de 1990, où des chercheurs, des historlens, des
hommes et des femmes libres et honnêtes, se voient condamnés
à de lourdes peines d'amende et de prison, mis à
pied professionnellement, dès qu'ils ont le courage d'annoncer
les résultats de leurs recherches et de leurs analyses?
- Pensez-vous
que cette régression, ce retour aux procès en sorcellerie
d'antan soit une bonne chose? Des femmes étaient accusées
d'avoir eu commerce "illicite" avec le diable et étaient
brûlées vives pour cela! Avant de périr sur
le bûcher, certaines niaient toujours farouchement avoir
couché avec le diable. D'autres finissaient par avouer
avoir eu des relations sexuelles avec lui, et donnaient même
des précisions... Ces dernières finissaient, aussi,
sur le bûcher. Pensez- vous qu'on puisse dans ce dernier
cas conclure à l'existence effective du diable?
- Si les "chambres
à gaz" n'ont jamais existé, il n'y a donc
pas eu d"'holocauste", ni de "'shoah", ni
de "génocide", ni même de "tentative
de génocide". Et voici que nous autres révisionnistes,
pensons que c'est finalement une excellente nouvelle! Pourquoi
n'êtes vous pas d'accord?
- Voilà
posé, Mademoiselle, le problème des "chambres
à gaz".
- LES "CHAMBRES
A GAZ" N'ONT JAMAIS EXISTE, CAR ELLES N'ONT TOUT SIMPLEMENT
PAS PU EXISTER
- Alors pourquoi,
chère Isabelle, y croyez-vous? Pour faire une belle carrière,
au service de l'occupant?
- A bientôt,
bien sûr, nous ne vous oublierons pas.
- Avec nos salutations
- WRU/FRANCE
Tract distribué à Lyon en
novembre 2000. Signalé par Le Progrès du
24 novembre. Cette version a été envoyée
à la vice-présidente locale de l'UNEF-ID, officine
étudiante communiste. D'autres versions circulent parmi
les enseignants universitaires. Précisons que nous n'avons
pas autrement connaissance de cette "Union mondiale"...
Nous tenons les chiffres donnés par ce tract de 115 millions
de morts attribués au communisme, comme vastement exagérés.
Du besoin de révision!...
PAS
DE POT AUX ANTIPODES
La commission d'enquête établie
à la demande de l'université de Canterbury, à
Christchurch, dans la Zélande nouvelle, sur le cas de Joël
Hayward, auteur d'une thèse sur le révisionnisme
qui a fait entrer en transes les docteurs de l'aloi, vient de
rendre ses conclusions. On
sait que nous avons mis en ligne cet intéressant travail
qui date de 1993. La commission devait dire si Hayward avait
obtenu son diplôme dans des conditions anormales. Elle n'a
pas pu nier que tout s'était passé normalement mais
elle a cru devoir outrepasser ses compétences, qui n'étaient
pas bien brillantes au départ, en entrant dans le vif du
sujet. Elle a accueilli comme du bon pain le rapport Evans, produit
au procès Irving,
et avancé comme élément judicatif par les
organisations juives qui militaient pour faire annuler la thèse,
comme d'habitude. La commisson, dans la plupart des cas, s'est
contentée de mettre face à face Evans et Hayward,
qui a pu répondre, en comptant les coups. Tout en reconnaissant
qu'Evans est un chien qui aboie, la commission lui donne plus
souvent raison parce que que c'est un professeur et qu'Hayward
n'était qu'un étudiant. Elle manifeste une vaste
méconnaissance des sources. C'est franchment nul. Extrait:
- The Working
Party's consideration of the thesis required that it give considerable
attention to the report of Professor Evans, which was commissioned
by the NZJC (les groupes juifs) and tendered as part of its submission
to the inquiry. Professor Evans was a principal witness in the
court case brought by David Irving against Penguin Books and
Deborah Lipstadt, where his extensive testimony was of considerable
significance. After his report and his subsequent commentary
on the examination reports were provided to Dr Hayward, Dr Orange
and Professor Jensen, all three responded with criticism both
of his expertise and the substance of his commentary. All
three have argued that Professor Evans is not an expert on the
Holocaust. [...] At times in his report tendered to the Working
Party, Professor Evans appeared to diminish the objectivity
required of an expert witness who, in a litigation context,
has an over-riding duty to the Court and not to the party instructing
him or her. [...] The Working Party received a submission from
Professor G. F. Orchard, counsel for Dr Orange, concerning Professor
Evans' report. This submission was principally concerned with
the standpoint of Professor Evans; it suggested that he acted
not as an objective expert but as a partisan advocate.
Professor Orchard cited examples in the Evans report of exaggeration,
omission, minimisation and misrepresentation.
Le document
(report) se trouve sur un nouveau site de l'université
dédié à l'affaire Hayward:
MONSIEUR LE COMTE EST
SERVI
Un certain Bernard Comte avait publié
(voir le site Karmasyn) une sorte de récapitulation de
la répression du révisionnisme dans les universités
lyonnaises. Il semble que le journal La Croix ait émis
quelques réserves, dans un article intitulé "le
négationnisme hante les facultés de Lyon" (25
octobre 2000) sur l'activité de quelques éminences
chenues, comme Etienne Fouilloux, Pierre Vidal-Placet, François
Bédarida, ancien séminariste lyonnais, et Bernard
Comte, qualifié de "juge et partie". Il râle
dans La Croix du 12 décembre, ce qui prouve que
les vigilants calomniateurs, parfois, se font tapoter sur les
doigts, ce qui les pousse à crier au scandale. Chochottes!
COSMOBAUDRUCHE
Serge Thion avait eu l'attention attirée
par des propos librement proférés dans les colonnes
du journal Le Monde par un écrivain à succès
(qu'il ne lit apparemment pas) nommé Maurice G. Dantec,
tellement bichonné par Gallimard qu'il avait eu droit à
une page du "grand journal du soir". Dantec y avait
tenu des propos fort gaillards où il se déclarait
prêt à "lutter" pour la liberté
des révisionnistes. Soupçonnant la forfanterie gratuite,
Thion voulut le mettre au pîed du mur et lui écrivit
une lettre dont nous avons copie:
- Vous avez parlé
au journal Le Monde qui a rapporté vos propos le
1er juin 2000, page 15. Parmi les propos fort intéressants
qui parsèment cette page, j'en ai relevé un qui
pouvait sembler me concerner directement. Vous disiez que vous
étiez prêt à lutter pour que les révisionnistes,
dont je crois comprendre que vous ne partagez nullement les opinions,
aient le droit de s'exprimer.
- [...] Ma liberté
d'expression s'est brusquement trouvé frappée à
un point sensible: l'estomac. [...] Alors m'est revenue à
l'esprit la résolution dont vous avez fait part au Monde
et dont je parle plus haut. En étant bien entendu qu'un
geste de votre part ne vaudrait évidemment pas acquiescement
à quoi que ce soit de ce que j'ai écrit, je voudrais
aujourd'hui vous demander si vous pouvez me donner de l'argent
pour m'aider à passer les douze prochains mois. La liberté
d'expression, c'est du papier et un crayon, mais un peu de pain,
de légumes, d'essence et de fioul."
Réponse du plumitif:
- Montréal,
Amérique du Nord judéo-christinao-cosmopolitique
- L'An de
Grâce deux mil; A: Monsieur Serge Thion, République
Française, Zéropa-Land
- Monsieur,
- C'est avec
une réelle surprise, teinté d'un authentique déplaisir,
que j'ai pris connaissance du courrier que vous m'avez adressé,
via mon éditeur, à Paris.
- Afin de
couper court rapidement à toute possibilité de
dialogue, je vais me permettre de vous placer pour quelques instants
bien en face de mon point de vue, que mon intervieweur du Monde
aura sans doute un peu hâtivement synthétisé:
- 1) Etant
un démocrate par défaut -- version Churchill
ou de Gaulle -- je n'accepte les démocraties que lorsqu'elles
s'engagent résolument sur la voie de la loyauté
envers leurs antiques principes fondateurs. Pour le dire autrement,
et plus clairement encore, le tribunal de Nüremberg [sic],
et ses potences, fut selon moi l'unique -- et ultime (?) -- éclat
du christianisme occidental dans ce siècle enténébré
par les athéismes et les religions dégénérescentes,
dont la vôtre. [Ce
type doit être totalement cinglé. ]
- 2) Je ne
confonds certes pas les «droits» et les libertés.
Le «droit à l'expression» qui vous a été
grâcieusement accordé et dont vous me rebattez les
oreiles dans votre lettre est précisément une de
ces monstruosités onucratiques que vous prétendez
combatte (mais comment un nihilisme anarcho-révolutionnaire,
tel que celui qui vous ronge la cervelle depuis tant d'années,
pourrait-il combattre quoi que ce soit?) [Ce type emploie des mots ronflants
dont le sens doit lui apparaître comme assez vague. ]
- 4) [Il
n'y a pas de 3] Certes vous avez le «droit» de
vous exprimer, quoique vous feriez mieux selon moi de prendre
la liberté de vous taire. Rien ni personne -- en tout
cas pas moi -- ne vous en empêche, même si c'est
pour dépasser en crétinisme post-moderne les écoeurantes
déjections d'un Noam Chomsky, sauf ces lois liberticides
que d'autres négationnistes (ceux du Goulag cette fois
ci) auront fait voter par la députaille républicaine;
aussi, par pitié, ne me demandez pas en plus de vous plaindre
parceque MES impôts ne serviront plus à VOUS subventionner.
(je suis comme vous le savez peut-être un partisan de l'authentique
sélection naturelle des idées et des concepts,
en clair un suppôt de la free market economy transglobale.
[Ce type
a une énorme bouillie dans le crâne qui monte comme
du lait et qui menace sans cesse de se sauver. Il doit être
à droite de Le Pen et de W. Bush. ]
- 5) Vous
me demandez de l'argent [C'est le test. ] Vous voulez dire en bons dollars judéo-américano-mondialistes?
Ne préféreriez-vous pas plutôt une brouette
de Reichsmarks, ou un camion citerne de Zérofrancs? Ou
bien alors un train rempli de roupies yougoslaves, voire d'ossements
humains produits par la brillante industrie khmère rouge?
- 6) Il vous
manque, me dîtes-vous, de quoi payer l'électricité,
l'essence, ou le fioul, plaît-à-Dieu que vous n'ayiez
pas eu l'audace de me demander d'acquitter vos factures de gaz,
je l'aurais peut-être mal pris.
- 7) Ayez
l'intelligence de ne pas chercher à me joindre de nouveau,
mes oreilles pourraient s'échauffer pour de bon.
- 8) Tout
courrier me parvenant via mon éditeur ainsi que la réponse
qui éventuellement lui est faire sont susceptibles d'être
publiés dans mon Journal.
- A bon entendeur,
salut.
- Copie à
mon éditeur.
- Maurice
G. Dantec, le 23 novembre.
On voit la baudruche au fond. En breton
son nom veut dire Le Bidonnec. Mais pourquoi diantre Gallimard
fait-il la promotion d'un pareil bachi-bouzouk?
PAS
CHER POUR DIX FRANCS
C'était dans une de ces boutiques
"tout à dix Francs". Entre quelques roses de
plastique défraîchies, des canifs faits en l'Inde,
des masques de chauve-souris, je trouvai une pile de petits livres,
"L'Espoir maintenant" de Jean-Paul Sartre et Benny Lévy,
sous-titré "Les entretiens de 1980", paru chez
Verdier, un éditeur qui publie le Talmud et le Pol Pot
d'Aubervilliers. On se souvient que Benny Lévy est cet
étrange avorton qui a d'abord essayé de se faire
passer pour un clone de Mao, avant de sartrer à gogo, pour
enfin devenir rabbin alsacien en léchant les traces laissées
par le Rav lithuanien Lévinas. Il y a de rares moments,
intensément drôles, qui semblent écrits par
Woody Allen:
- "BL --
Mais quand tu as écrit les Réflexions sur la
question juive, tu as bien réuni de la documentation?
- JPS -- Non.
- BL -- Comment
non?
- JPS -- Jamais.
J'ai fait la Question juive sans aucune documentation,
sans lire un livre juif.
- BL -- Mais
comment as-tu fait?
- JPS -- J'ai
écrit ce que je pensais.
- BL -- Mais
à partir de quoi?
- JPS -- A
partir de rien, à partir de l'antisémitisme
que je voulais combattre."
Et puis cette considération que
l'on trouve habituellement chez les auteurs de droite:
- "JPS --
N'oublie pas qu'il y avait un nombre considérable de juifs
dans le parti communiste [russe] de 1917. En un sens, on pourrait
dire que c'est eux qui ont mené la révolution".
Donc, le judéo-bolchevisme, en un
sens...
L'ART
DÉLICAT DE LA DÉNONCIATION
- "Bonjour
a tous,
- J'ai recu plusieurs
messages de personnes qui se sont plaintes de messages racistes,
antisemites, negationistes et comparant Israel a l'Allemagne
nazie sur plusieurs forums tels AOL, Wanadoo, Yahoo (sur d'autres
aussi peut etre) -- comme par exemple le message qui suit.
- Je vous conseille
de sauvegarder ces messages et de vous plaindre a la DIRECTION
de ces sites. D'autres personnes se sont plaintes et ont eu gain
de cause.
- Je vous demanderai
de m'envoyer une copie de ces messages et de vos plaintes.
- Cher Monsieur,
- Depuis plusieurs
mois, des "agitateurs" à la solde de Radio Islam,
(site néonazi négationniste musulman interdit par
la loi française) sévissent sur le principal forum
d'AOL. Pour découvrir les messages odieux (Juifs=nazis,
sionistes complices d'Hitler etc...) qu'ils propagent, je vous
invite à vous rendre sur le forum "réagir"
d'AOL France (accessible uniquement aux abonnés AOL, malheureusement).
Vous y découvrirez une véritable campagne de désinformation,
apparemment professionnelle, compte tenu du temps que passent
ces gens sur le forum. L'un d'eux change de pseudonyme si souvent
qu'on peut le soupçonner de disposer d'un stock invraisembables
de cartes de crédit. J'ignore si une action est possible,
d'autant que le jeu favori de ces extremistes est de provoquer
pour dénoncer les réponses parfois épidermiques
qu'ils engendrent. AOL et les CGU sont très strictes sur
le comportement virtuel des internautes. Des dizaines ont donc
été exclu en tentant de rétablir la vérité.
De telle sorte que certains se demandent si des islamistes
extremistes ne se seraient pas glissés parmi les techniciens
ou surveillants d'AOL.
http://www.alliancefr.com/observatoire/forums.html
PARUTIONS
L'équipe Reynouard et VHO (BP 60,
B-2600 Berchem 2, Belgique) continuent à produire en masse.
Nous avons sélectionné pour
vous, comme on dit dans la publicité pour les foies gras,
quelques ouvrages de référence:
§== D'abord, une cassette vidéo, tournée
à Oradour-sur-Glane. V. Reynouard, auteur d'un ouvrage
qui se trouve sur le site, expose sur place, de visu, le résultat
de ses recherches. (64 mn, 120 F)
§== Une réédition de l'ouvrage collectif
paru en 1991, Commission d'enquête internationale
sur les crimes de guerre commis par les Etats-Unis lors de la
guerre du Golfe, 194 p., 108 F. Un travail très
bien documenté qu'il n'est pas sans intérêt
de relire aujourd'hui, en cette époque où l'on veut
traîner tous les responsables politiques devant les tribunaux.
Voilà une fournée de candidats. Rappelons, que la
commission de crimes contre l'humanité se pousuit en ce
moment-même: les Etats-Unis continuent à bombarder
l'Irak journellement, et à imposer un embargo inhumain
qui fait souffrir les populations civiles, crime patent au regard
des conventions de Genève.
§== Un petit livre titré: Réponse
à Valérie Igounet comprenant une
brève recension de Robert Faurisson, du 5 mai 2000, une intéressante mise au
point de Paul Durand, membre de la FANE qui est donc bien
placé pour relever toutes les erreurs commises par Igounet,
une chercheuse assez paresseuse, une "Lettre ouverte"
d'Henri Roques qui souligne non pas tant les erreurs de la donzelle,
mais ses impasses volontaires, et enfin, l'interview censurée
du professeur Faurisson, que nous avons mise en ligne il y a quelques
temps.
Cela fait un petit livre de 95 page, sans
indication de lieu ni de prix. Il paraît aux "Editions
Vincent Reynouard". Il doit se trouver chez VHO, of course.
§== Halte au révisionnisme! des enfants
de Goebbels et KGB, par Roger Holeindre, préface
de Bruno Golnisch, Ed. Godefroy de Bouillon, 3000 p. 2000. C'est
là, à notre avis, un détournement
du mot "révisionnisme". Voici en effet la notice
de l'éditeur:
- "Roger
Holeindre s'attaque dans ce livre au révisionnisme de
la classe politique, de droite comme de gauche, qui lui permet
de monopoliser le pouvoir en rejetant les Français dans
le rôle d'éternels salauds qui doivent tout accepter
aujourd'hui pour se faire pardonner. La Seconde Guerre mondiale
est constamment utilisée dans un but électoral,
ainsi que les deux guerres d'Indochine et d'Algérie où
"seule la France et son armée sont coupables".
Roger Holeindre dénonce ce révisionnisme intégral
digne des régimes totalitaires soviétiques, et
explique ses rouages et ses méthodes de désinformation
qui vont des media à l'éducation nationale."
Donc, si on comprend bien, ce seraient les
politiques qui feraient du révisionnisme, et lui, Holeindre,
il serait contre. C'est de l'attrape-couillon. Nous ne partageons
certainement aucune idée de cet Holeindre, qui nous semble
un ancien de l'OAS, mêlé à des affaires de
meurtre pour le compte de l'OAS. On comprend que s'il a gardé
le point de vue de l'OAS, tout doit lui sembler "révisionniste",
y compris les déclarations de Massu et de quelques autres
meurtriers de la même espèce. Coupable, la politique
française l'était certainement, de vouloir s'imposer
à des gens qui avaient toutes les raisons légitimes
de refuser cette domination. On demande néanmoins aux nostalgiques
de l'empire botté et casqué de laisser ce mot tranquille,
il ne leur a rien fait.
§== Une Quatrième de couverture:
- LE DESHONNEUR
DE TROIS MAGISTRATS LYONNAIS
-
- «Contre
les révisionnistes, il n'y a ni foi, ni loi, ni droit.»
Une fois de plus, la formule de Robert Faurisson s'est vérifiée
le 21 juin 2000. Ce jour-là, en effet, trois magistrats
de la cour d'appel de Lyon -- Hugues Fournier, Jean-Luc Gouverneur,
Marie-Odile Theoleyre -- ont rendu deux arrêts liberticides
à l'encontre de Jean Plantin, directeur de publication
de la revue Akribeia.
- Les deux arrêts
en question mettaient un terme provisoire à une impitoyable
chasse aux sorcières lancée contre le révisionniste
lyonnais. Deux gardes à vue de vingt-quatre heures, une
violation de domicile, une perquisition sous la surveillance
d'un commandant des Renseignements généraux, une
saisie d'ordinateurs et de disquettes informatiques, des insultes
policières, des poursuites judiciaires pour des motifs
futiles en vertu de deux lois de censure de nature totalitaire,
une campagne de presse contre les universités lyonnaises
et certains de leurs professeurs, un grave incendie criminel
ravageant la bibliothèque interuniversitaire de Lyon et
demeuré impuni, cela commence à faire beaucoup.
- Les trois magistrats
précités de la cour d'appel de Lyon ont, eux aussi,
participé à la curée antirévisionniste.
Ils l'ont fàit par des méthodes qui les déshonorent
et qui discréditent gravement la justice française.
Les deux arrêts qu'ils ont rendus en ce funeste 21 juin
2000 resteront à n'en pas douter dans les annales françaises
de la censure. C'est ce qu'entend montrer la présente
brochure par une rapide analyse de ces deux décisions
de «justice».
- Pour l'heure,
il nous paraît urgent que la classe intellectuelle française
ou ce qui en tient lieu prenne vigoureusement position contre
ces coups violents et répétés infligés
aux libertés individuelles dans notre pays. Il faut en
finir avec cette insupportable tentative de mise des esprits
sous tutelle. Il faut en finir avec ces lois de censure que sont
la loi du 16 juillet 1949 et la loi Fabius-Gayssot du 13 juillet
1990. Intellectuels, historiens, hommes politiques et juges doivent
se ressaisir et se ressaisir vite.
40F (Editions Akribeia, 45/3 route de
Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval, France)
§== Le procès Irving donne lieu à une
tripotée de livres annoncés:
- Deborah Lipstadt écrit un livre,
après sa tournée de conférences. Elle ne
sait plus quoi faire de son fric. Martin Gilbert a aussi annoncé
qu'il préparait un livre. (The Guardian, 5 février
2000.)
- Richard J. Evans, le plus bidon de tous
les faux experts, annonce un livre qui doit être une resucée
de son "témoignage": Telling Lies About Hitler,
320 pages, sortie en janvier. D.D. Guttenplan, The Holocaust
on Trial, 320 pages, sans doute moins stupide, annoncé
chez Granta en mars. Eva Menasse, l'une des plus vicieuses dans
la meute des chiens de garde (correspondants de press)e, a déjà
sorti en septembre Der Holocaust vor Gericht. Der Prozess
um David Irving, 191 p., chez Siedler à Munich. C'est
le reportage du style Royal Canin.
Ajoutons que l'on vient de refuser à
Irving le droit de faire appel:
"On December
18, 2000, Lord Justice Sedley refused David Irving permission
to appeal the verdict against him in the Lipstadt-Penguin case." On trouvera le blabla de Sedley sur le site d'Irving:
<http://www.fpp.co.uk/Legal/Penguin/Appeal/refusal.html>
§== On annonce pour le 1 er janvier Holocaust
Denial, de John C. Zimmerman, 424 pages, University Press
of America; ISBN: 0761818227. Nous avons publié un texte
de cet auteur sur les crématoires et la réponse
de Mattogno. Voici un nouveau Totor dans l'arène: il n'est
pas technicien, il ne parle pas l'allemand, il ne met pas les
pîeds en Europe. Voir la page "Techniques".
§== Dans l'arène aussi, un "révisionniste
qui croit à l'extermination", comme le qualifie Zündel:
Charles D. Provan, No Holes? No Holocaust? A Study of the
Holes in the Roof of Leichenkeller 1 of Krematorium 2 at Birkenau
-- One Chapter of the Book entitled Revising Revisionism,
31 pages + 10 p. d'illustrations. On peut contacter l'auteur à
l'adresse suivante: <[email protected]>
§== On annonce le décès de Jacques Laurent,
de l'Académie française, écrivain, romancier
à carrières multiples, essayiste, pamphlétaire,
hommes d'idées et de revues, très proche de Vichy
et de l'Algérie française, pas du tout fasciste
ou nazebroque. C'était un ironiste. Et on doit certainement
le classer parmi les ancêtres du révisionnisme, pour
lequel il avait toutes les sympathies. Il faudrait exhumer son
étude riche de nombreux documents, Année 40
Londres - De Gaulle - Vichy, écrit et publié
avec Gabriel Jeantet, une personnalité de Vichy, dans une
collection intitulée "L'histoire contemporaine revue
et corrigée" à La Table Ronde, en décembre
1965. La mythologie gaullienne en ressort passablement dégonflée.
Jacques Laurent a fréquenté beaucoup de cénacles,
en particulier, avec beaucoup d'assiduités, la XVIIe chambre
à Paris. Cet homme là était très éloigné
de nous quant à ses idées, et très proche
par son souci inquiet de la vérité. A l'époque,
dans les années 60, il y avait des intellectuels de gauche
pour prendre partie et soutenir la liberté d'expression
d'un écrivain de droite. Aujourd'hui, les intellectuels
"de gauche" ne soutiennent même pas le droit à
la liberté d'expression d'un écrivain de gauche...
Ils ont la tête dans le sac...
§== Le film d'Errol Morris sur Fred Leuchter, Mr.
Death, va passer à la télévision américaine CBC le 21 janvier 2001. L'argumentaire révizo s'insinue partout. En France, ça va venir; on peut compter sur les télés françaises: il leur faut toujours du saignant. Entretien avec le réalisateur.
§== In the daily Syria Times, Sept. 6,
the well-known author Mohammad Daoud wrote: "History has not witnessed a people who have
mastered lying, dodgery and mythmaking such as the Israelis,"
and "Their most famous myth is that of the so-called
Holocaust." [Il n'y a jamais eu
dans l'histoire de peuple plus habile au mensonge, à la
fabrication de mythes et aux échappatoires qu'Israël'
et "Leur mythe le plus fameux est le prétendu holocauste."]
§==Parution du numéro 16 de L'Autre Histoire,
qui comprend, pour ce qui nous intéresse directement, le
commentaire d'Henri
Roques sur le livre de Nadine Fresco consacré à
Rassinier (ce n'est pas le même texte que dans Réponse
à Valérie Igounet, la brochure citée
plus haut), la lettre ouverte que Serge Thion a adressée
à ses collègues chercheurs (voir http://perso.wanadoo.fr/cnrsvsst),
un compte-rendu détaillé de l'interview donnée
par Norman Finkelstein
à Salon, par André Chelain, rédacteur
en chef de la publication; et un compte rendu de la conférence
de Cincinnati, organisée par Irving, du même Chelain.
On y remarque la prestation d'un Anglais, Alan Heath, qui vit
en Pologne depuis dix ans et qui a parlé avec les paysans
des villages proches des camps dits d'extermination. Il est persuadé
qu'elle a eu lieu.
§== Signalons aussi Robert Faurisson, E autentico
il diario di Anna Frank? Traduzione italiana su testo riveduto
dall'autore e arrichito da una sua nuova prefazione a cura di
Cesare Saletta, paru chez Graphos, à Gênes
(Campetro 4, I-16123-Geneva, Italie). C'est le texte bien connu,
dont on a déjà des versions néerlandaise
et anglaise, avec une préface originale qui fait quelques
commentaires sur les récentes publications du fameux Journal
par les vestales bataveuses qui exploitent le fromage néo-frankiste.
Que les anciens frankistes, les vrais, nous pardonnent. A rapprocher
de l'histoire suivante:
ABSENCE
DE SENSATION
- BBC
halts Anne Frank satire after complaints
- Helen
Jacobus
-
- A BBC radio
satirical show by Irish comedians has withdrawn a running sketch
about Anne Frank's family and friends in hiding from the Nazis
following complaints from listeners. Aired late on Thursdays
on Radio 4's "The O'Show", the segment begins with
fairground music and the words: "Another typical day in
the Anne Frank household."
- Each week ,
someone accidentally gives away the group's hiding-place to the
Nazis -- and is cursed by the others for their foolishness. "Anne's"
catchphrase at the end of the sketch is: "Right, this is
definitely going to go in the diary."
- Last Thursday's
show sparked a number of protests, after one character in the
sketch let in the Gestapo in the mistaken belief it was a man
to read the gas meter. Another member of the household brought
home her new boyfriend, a Nazi stormtrooper. A Radio 4 spokesman
told the JC: "The Anne Frank sketches on 'The O'Show' have
offended a number of listeners and we are sorry. While none of
the team had any racist or malicious intent, it was insensitive.
We will not be including the sketches in future editions."
Anne Frank à la trappe. Pas beau,
ça?
The Jewish Chronicle, 1er décembre 2000, p. 8.
AUSCHWITZ
IST EIN WITZ
Auschwitz.
Une bande dessinée de Pascal Croci. Editions du masque
/ Hachette livre, 2000, 76 p. 85 FF. Correction graphique Robert
Achoury.
Quatrième de couverture :
"Quelque part en ex-Yougoslavie...
Le vieux Kazik et sa femme se souviennent d'Auschwitz... Quand
en mars 1944, ils découvrent que la barbarie revêt
une forme humaine: celle du bourreau nazi. Première
bande dessinée réaliste sur la Shoah, ce récit
bouleversant, directement inspiré des témoignages
des survivants du camp d'Auschwitz-Birkenau, raconte le quotidien
du camp d'extermination. L'auteur ne cherche pas à résumer
la Solution finale ni à développer de thèse
historique, mais souhaite sensibiliser les nouvelles
générations au devoir de mémoire,
pour ne jamais oublier les millions de victimes du nazisme.
Pascal Croci est né en 1961 et vit
actuellement dans l'Aveyron. Après dix ans de bandes dessinées
historiques publiées dans divers magazines, il se lance
sur un projet personnel : un document-fiction se déroulant
à Auschwitz. [C'est une vraie mine d'or, ce truc
là] Les recherches minutieuses, l'interview des
témoins et la réalisation graphique de cet album
lui ont demandé cinq ans."
A la fin de l'album se trouve "le dossier
de l'album" de 9 pages présenté comme suit:
"Parler de la Shoah à travers le prisme d'une fiction...
Le sujet a longtemps paru impensable. Mais depuis la série
télévisée Holocauste, puis La liste
de Schindler, les fictions n'hésitent plus à
revenir sur ce passé douloureux, pour en donner des visions
qui sont celles de créateurs, forcément différentes
des études des historiens. C'est le cas des films de
Roberto Benigni et d'Emmanuel Finkiel, La vie est belle
et Voyages. En bande dessinée, il existait un précédent:
le Maus de l'Américain Art Spiegelman. L'auteur,
originaire de Pologne, y raconte la vie de ses parents déportés
à Auschwitz en imaginant les Juifs en souris et les nazis
en chats. En choisissant un traitement réaliste, Pascal
Croci représente Auschwitz de manière moins symbolique.
Pour comprendre les raisons qui ont poussé l'auteur à
réaliser cette histoire bouleversante, il n'y a
pas de clé, mais plusieurs pièces d'un puzzle. Ce
dossier vous invite à découvrir celles-ci sous la
forme d'un entretien qui retrace la genèse du projet; c'est
également l'occasion d'expliquer certains passages du scénario
qui ont pu paraître difficiles, et de révéler
la complicité qui a lié l'auteur aux divers
témoins rencontrés pendant l'élaboration
de cet ouvrage."
Ce dossier contient une rubrique "sources"
contenant les références ci-après:
"Les récits et témoignages
rapportés dans les livres de Christian Bernadac comme Les
Mannequins nus. L'Album d'Auschwitz découvert
par Lili Meier, survivante du camp de concentration. Les desseins
et peintures de David Olère... Shoah, film documentaire
de Claude Lanzmann, 1985, quatre cassettes vidéo chez René
Chateau vidéo. De Nuremberg à Nuremberg,
film documentaire de Frédéric Rossif et Philippe
Meyer, 1989, édition, Montparnasse vidéo. La
liste de Schindler, film de Steven Spielberg, 1993.
Numéro hors-série du magazine
L'Histoire: Auschwitz, la Solution finale, octobre
1998. Le C.D.J.C. ( le Centre de Documentation Juive Contemporaine),
17, rue Geoffroy-l'Asnier, 75004 Paris.
A l'issue du dossier: "L'auteur tient
à rendre hommage, pour leur aide précieuse, aux
témoins, dont certains sont membres de l'Amicale d'Auschwitz:
Kazimierz KAC, Charles et Micheline BARON, Maurice MINKOWSKI,
Renée ESKENAZI, Henri WOLF, Henri BORLANT, Maryvonne LEGRET-GARET
(mon premier contact pour le projet), Maria CISZEWSKI, Rosy et
Yourek CISZEWSKI, Maryvonne BRAUNSCHWEIG."
PAS
D'HISTOIRE
Chevènement, mollusque fossile longtemps
incrusté dans la roche de Solutré, a écrit
un livre pompeusement intitulé France-Allemagne, parlons
franc. Il écrit p. 96, cette phrase stupéfiante,
si l'on se souvient que ce percuté au curare a été,
parmi beaucoup d'autres inutiles, ministre de l'Education nationale:
"L'Histoire, en France, ne s'enseigne pas. Elle est dissimulée.
A défaut d'être un enseignement, elle est toujours
une recherche".
Nous sommes bien placés, nous, ici,
pour gloser sur ce qu'il y a de réel dans ce mot de "recherche".
Bédarida? Rousso? Jivaro?
Mais surtout, on se pose la question, et
on voudrait la poser au "citoyen Chevènement"
qui doit avoir des lueurs: qu'enseigne-t-on à nos chers
bambins pendant les cours d'histoire? Si ce n'est pas l'histoire,
puisqu'elle est dissimulée (par qui? par quoi?), alors
c'est du bourrage de crâne? de l'eau de vaisselle? de la
connerie en barre? de l'essence de gloubiboulga?
SOPHISME
BLÉSOIS
Un lecteur avait écrit à Jack
Lang, autre ectoplasme qui fait ministre de l'éducation
pour la dixième fois, car il s'étonnait. Il en a
reçu une réponse que voici:
- Ministère
de l'éducation nationale
- Le Ministre
- Paris, le 17
novembre 2000
- Monsieur, J'ai
bien reçu votre lettre du 26 octobre me faisant part de
votre étonnement devant le fait qu'aucun "révisionniste"
n'ait été invité au "Rendez-vous
de l'histoire" de Blois.
- Je tiens à
vous préciser que cette manifestation est, comme son nom
l'indique, destinée à des historiens. Les falsificateurs
de l'histoire, qu'il convient de qualifier de "négationnistes"
et non de "révisionnistes" comme vous le faites,
ne peuvent prétendre au titre d'historiens.
- Ils nient la
matérialité de l'extermination des juifs, en contradiction
totale avec la réalité qu'attestent de très
nombreux documents, des traces matérielles incontestables
et des témoignages concordants. Il y a une objectivité
du passé humain que l'on ne peut travestir sans perdre
la qualité d'historiens.
- Ils n'ont donc
pas leur place dans la communauté universitaire et enseignante.
- En tant que
ministre de l'éducation nationale, il est tout particulièrement
de mon devoir d'y veiller. Croyez bien que je le fais et que
continuerai [SIC] à le faire avec détermination.
- Jack Lang
JETEUR
DE DOUTE
Puisque nous sommes dans les archives du
ministère de l'Education nationale, extrayons-en cet arrêté
du 21 avril 1998, signé pour le ministre par Marie-France
Moraux et Brigitte Cosson-Ladet, pour révoquer Michel Adam,
professeur au collège René-Guy Cadou de Montoir-de-Bretagne:
- "Considérant
que les faits reprochés à l'intéressé:
-- expression, au travers de son enseignement de ses convictions
négationnistes et révisionnistes, [on notera
que les deux s'additionnent, ce qui montre bien que le révisionnisme
existe tout seul] quels que soient les différents
niveaux de classe qui lui ont été confiés
et quels que soient les programmes; -- perturbation d'une rencontre
organisée à l'Office culturel municipal
de Montoir-de-Bretagne le 12 juin 1995 de 11 heures à
12 heures par une enseignante d'histoire et géographie
du collège René-Guy Cadou de Montoir-de-Bretagne,
entre des élèves de 3e et de 4e de l'établissement
et une ancienne déportée de Ravensbrück,
et perturbation d'une autre rencontre organisée le 16
mai 1997 dans l'établissement, à laquelle participait
cette même personne, l'intéressé ayant, en
effet, dans le cadre de ces réunions, jeté le
doute sur la crédibilité des témoignages
des déportés, alors que ces séances
avaient pour but de sensibiliser les élèves
au problème de la déportation pendant la seconde
guerre mondiale, constituent des fautes graves, incompatibles
avec son maintien dans des fonctions de professeur."
Ainsi donc n'importe quelle tordue, qui
a vécu la déportation il y a cinquante ans, peut,
du moment qu'elle est cautionnée par le racket des anciens
déportés principalement communistes, règner
sur les établissement scolaires, raconter n'importe quoi
aux gosses parce que c'est son bon plaisir, et les profs n'ont
qu'à se prosterner. C'est une idolatrie ignoble. On s'étonne
qu'il y ait si peu de professeurs pour dire leur fait à
ces imposteurs et menteurs professionnels qui passent leur temps
à précipiter les élèves sous leurs
machines à décerveler. Aux Etats-Unis, on commence
à les déchouquer. Ubu, ô grand roi, tu avais
tout prévu !...
NOYADE
DE NANTES
Encore un professeur qu'on a forcé
à parler des camps de concentration. Encore un professeur
qui a ajouté quelques commentaires au manuel en vigueur.
Encore un professeur qui a dit "je ne vais pas contredire
votre livre, mais..." S'il s'était agi des massacres
des guerres napoléoniennes, ou de la prise de Constantinople
par les Croisés, les élèves du lycée
Les Bourdonnières de Nantes, une bande de crétins
ignorants et satisfaits, n'auraient pas cessé de somnoler.
Mais il s'agissait des juifs. Alors, là, les vocations
de commissaire-kontrolleur de la pensée se sont éveillées.
Ils ont quitté la classe, ils se sont concertés,
entre élèves commissaires et ils ont cafeté.
Il ne s'est rien passé. A quelques temps de là,
l'enseignant "se livre à des commentaires ambigus"
à propos de la guerre d'Algérie. Toujours belettes,
les élèves, ou peut-être seulement l'un d'entre
eux parvient à "alerter" un "des responsables
de la communauté juive de Nantes" qui, illico, alertent
la LICRA qui s'insinue aussitôt dans le bureau du proviseur.
Le proviseur, saisi d'une diarrhée soudaine, a aussitôt
appelé au secours la rectrice. Toujours ces histoires de
rectum. Laquelle a immédiatement suspendu le prof pour
4 mois (Ouest-France, des 7 et 8 décembre, Presse-Océan
du 7, 8 et 9 décembre 2000, Libération du
7). Le temps de faire une enquête, qui a été
confiée à un inspecteur d'académie appelé,
c'est pas de notre faute, M. Ringard. Lequel a reçu le
prof. Ce n'est pas comme au CNRS, où l'existence des commissions
d'enquête n'est pas révélée à
ceux qui en font l'objet. Les commissaires adjoints de la LICRA
ont sauté sur l'occasion. Y a un peu de blé à
se faire. Ils ont appelé à la rescousse un perruqué
de notre connaissance, M. Raphaël Nisand, avocat de Strasbourg,
ancien Grand Maître du Droit Humain, cravaté ces
jours-ci commandeur par l'exophtalmique Jospin, qui s'est signalé
par ses ruminations spongiformes lors du récent procès
de M. Berger, autre professeur condamné pour déviation
de pensée.
Etrangement, les journaux ne donnent pas
le nom du professeur.
Ce qui, dans cette affaire, mérite
surtout d'être noté, c'est le rôle des élèves.
Voilà une bande de petits lapins frisés qui savent
tout sans avoir jamais rien appris. Ils se donnent le droit de
juger leur professeur, un homme qui a vingt ou trente ans d'expérience
de l'enseignement; ils recoivent aussitôt l'appui des autorités
académiques. C'est le résultat de vingt ans de destruction
de l'école par les abrutis qui se sont succédé
rue de Grenelle, Jospin en tête, avec son vieux poteau Allègre,
les Attilas socialistes qui avaient comme but la massification
et l'équarrissage des cervelles. Ils ont créé
la machine à décerveler pour toute une génération.
C'est le père Ubu
Qui l'avait prévu.
Dans une note à la fin de son article
(Ouest-France du 8 déc.), la candide Vanessa Ripoche
donne une précision sémantique qui nous paraît
ravissante: "Le rectorat évoquait mercredi des propos
"révisionnistes". Un terme passé
dans le langage courant pour désigner le négationnisme."
Ainsi donc, la boucle se boucle. Dans la Loire anciennement inférieure,
négationnisme se dit, dans la langage courant, "révisionniste."
Les détourneurs de mots en sont pour leurs frais.
GAZ
A TOUS LES ETAGES
Il y a trois ans, un professeur du secondaire
était saqué pour révisionnisme. Il recevait,
datée du 2 novembre 1997, une lettre d'un hors concours
du gaz cyanhydrique, un homme quil a en a fabriqué des
milliers de tonnes. Qui pourrait le surpasser? Voici la lettre,
qui émane de M. Gérard Roubeix, ingénieur
de l'Ecole Centrale des Arts et Manufactures de Paris (promotion
45), qui habite Nantes. Mais, d'abord, un petit préliminaire:
On se souvient qu'il y a quelques années, une historienne
du PCF, Mme Riz-Lacroix, avait "découvert" que
des industries françaises, pendant la guerre, avaient produit
de l'acide cyanhydrique. Elle en avait aussitôt conclu que
les industriels français avaient fourni le "Zyklon
B" à Auschwitz. Cette ânerie avait été
gobée tout rond par les incultes de L'Huma et les
cryptos du site amnistia.
Voici ce que dit M. Roubeix en novembre
1997:
- "J'ai
passé vingt ans de ma carrière d'ingénieur
dans l'industrie de l'acide cyanhydrique, au sein des groupes
Péchiney-Ugine-Kuhlmann et Charbonnages de France. J'ai
été notamment directeur de l'usine de Saint Avold
qui, avec sa prodution de 40 tonnes/jour d'ion cyanure était
en 1970 la plus importante du monde; cette production
aurait permis théoriquement d'intoxiquer mortellement
500 millions d'être humains en une seule journée.
C'est dire que je connais les problèmes concernant la
manipulation de l'HCN. Et bien j'affirme que tous
les "témoignages" que j'ai lus ou entendus concernant
ces chambres à gaz dans lesquelles on enfournait 2 à
3000 personnes relèvent de la plus totale fantaisie."
Voilà qui va peiner Jack Lang, qui
croit qu'il existe des "témoignages concordants".
A vrai dire, M. Roubeix avait déjà apporté
le poids de son savoir-faire, unique en France, peut-être,
dans une lettre de décembre 1988 qu'avait publié
le numéro 7 des Annales d'histoire révisionniste,
p. 212-213. A l'époque, ce témoignage n'avait pas
retenu l'attention des censeurs. Aujourd'hui, il constitue un
flagrant délit d'infraction à la loi Gayssot. M.
Roubeix, en 1997, ajoute en PS: "Vous pouvez si nécessaire
utiliser ce témoignage". On voudrait bien voir la
tête des dignes pontes de l'ASSAG
traînant l'ancien directeur de l'usine de production de
l'acide cyanhydrique devant les tribunaux!!! La trombine de Mme
Riz-Lacroix! Le privilège de M. Roubeix ne tient pas à
son grand âge, mais au fait qu'il sait de quoi il parle,
contrairement à tous les calamiteux des sites nizkor, karmazinskaia,
chapeau-du-doigt, et autres mrapeux et licraïques. Malgré
la joie sadique que ces Hector éprouvent à traîner
devant la justice des nonagénaires marasmiques, on peut
parier gros sur le fait qu'ils ne moufteront pas. De vraies lavettes.
RATITUDE
Extrait de "Des élèves
et des rats", d'Hélène Merlin-Kajman, professeur
de littérature française à l´université
Paris-III-Sorbonne nouvelle. Le Monde, 7 décembre
2000.
- "Une série
de questions doit alors être posée.
- Est-ce le rôle
de l´école que d'inculquer une révolte indistincte
aux enfants, leur volant ainsi leur droit à devenir des
adultes libres de choisir les modalités de leurs engagements
dans le monde, c´est-à-dire libres de porter sur
lui un diagnostic critique et de s´opposer aux "dominants"
si nécessaire, le moment venu?
- Est-il indispensable
que la référence fantomale au nazisme organise
toute morale à venir? Faut-il faire de cette séquence
historique une hantise telle qu´elle finisse par
devenir l´équivalent général de toute
situation d´inégalité?"
ESCROC
MAIS PAS TROP
Le célèbre Kurt Gerstein, officier SS, que nous considérons
tous ici comme un mythomane qui doit sa fortune posthume au faussaire
Léon Poliakov, avait, chez lui, ou près de chez
lui, une cache. Dans cette cache, on a trouvé, en juillet
1947, près de deux ans après son "suicide"
à la prison militaire du Cherche-Midi, un tableau. Un Matisse.
Titré: "Mur rose de l'hôpital de Calvi"
peint en 1897. Son dernier passage en salle des ventes, à
Paris, remontait à 1914. Comment était-il entré
en possession de Gerstein? Mystère et boules de gomme.
"Espion de Dieu" peut-être,
mais artiste quand même, et chouraveur discret, ce beau
coco. (Source: Encyclopédie Universalis)
Il ne reculait devant aucun baratin. Il
est longuement cité dans un article du journal Le Monde,
daté, faites attention à la date, du 18 janvier
1947. Le voici en son intégralité:
Les atrocités
nazies
Un témoignage
accablant à propos des chambres à gaz
- Nuremberg,
17 janvier. La Haute Cour américaine des crimes de guerre
a entendu jeudi un long récit des exterminations massives
de juifs au camp de Belcec, près de Lublin, en Pologne
occupée. Il s'agissait de la déposition écrite
d'un ingénieur westphalien nommé Kurt Gerstein,
qui entra, dit-il, dans les Waffen S.S. afin de pénétrer
à l'intérieur des camps de concentration afin de
crier au monde entier le résultat de ses observations.
- Vers la mi-août
1942, Gerstein put inspecter ce camp où l'on gazait 15.000
Israélites par jour. Il assista à l'arrivée
d'un train de 6.700 victimes dont 1.450 étaient déjà
mortes quand le convoi pénétra dans la gare. «Complètement
nues, femmes et jeunes filles eurent les cheveux coupés
d'un coup de ciseaux ou deux dans un vaste salon de coiffure
muni de cent fauteuils». Les malheureuses avaient préalablement
remis tous leurs objets de valeur au gardiens S.S., ce qui ne
devait pas exclure les fouilles les plus indicrètes sur
leur personne.
- Les alentours
des chambres à gaz étaient fleuris de géraniums,
poursuit Gerstein, mais il régnait une odeur pestilientielle
émanant des charniers où se décomposaient
des dizaines de milliers de cadavres.
- Les chambres
avaient une capacité d'environ 45 mètres cubes.
Une seule servit pour les survivants du train tout entier, [soit
116 personnes au mètre cube] auxquels on avait
dit: «Les hommes construiront des routes et des maisons;
les femmes ne feront rien mais les volontaires pourront vaquer
aux soins du ménage. En attendant, nous vous offrons une
bonne douche désinfectante. Tâchez de respirer profondément.»
- L'opération
dura trente-deux minutes. Telles des statues de pierre, les cadavres
restaient debout dans l'attitude où la mort les avaient
figés. Ils n'avaient pas eu la place de tomber ou simplement
de se baisser.
- Des équipes
d'Ukrainiens, menés à coups de fouet, déblayaient
ensuite la salle car d'autres juifs attendaient leur tour dehors.
Des dentistes arrachaient les dents d'or et les corps étaient
lancés pêle-mêle dans les fosses béantes
qui débordaient bientôt.
- Selon son
témoignage, le nombre de juifs et de déportés
d'Europe centrale masscrés par les nazis dans les camps
d'extermination s'élève à 25 millions.
- Hitler avait
approuvé les massacres de Lublin
- Selon le témoignage
de Gerstein, Hitler avait inspecté personnellement les
camps de concentration nazis en Pologne et a donné son
approbation aux massacres de prisonniers.
- Lorsque le
Führer visita le camp de Lublin la seule critique qu'il
en fit fut que les exécutions ne se faisent pas assez
rapidement.
- Lorsqu'une
personnalité allemande fit remarquer qu'une autre génération
pourrait avoir sur le sujet un avis différent, un S.S.
Gruppenführer nommé Globonick dit à Hitler:
«Si après notre génération il devait
y avoir une génération assez lâche et assez
pourrie pour ne pas comprendre la bonne et nécessaire
besogne que nous avons entreprise, le national-socialisme n'aurait
servi à rien. A mon avis, on devrait enterrer des plaques
de bronze sur lesquelles serait inscrit que c'est nous qui avons
eu le courage d'entreprendre ctte tâche gigantesque.»
- «Oui,
mon bon Globonick, c'est aussi mon opinion» aurait répondu
Hitler.
- Le même
Globonick avait toutefois averti Kurt Gerstein que le plan d'extermination
était «ultra-secret» et que quiconque en parlerait
serait immédiatement exécuté.
Si on veut bien analyser ce "récit"
on voit qu'il est structuré comme un conte de fées.
En tout cas, Le Monde, en 1947 comme maintenant, montrait
qu'il pouvait avaler n'importe quel canard du moment qu'il était
rangé dans la case "atrocités nazies".
TOUS CEUX QUI DISENT QU'IL N'Y A PAS EU VINGT-CINQ MILLIONS DE
MORTS DANS LES CAMPS SONT DES RÉVISIONNISTES !!!
DES
TAS DE PETITS MENGELE
Faire des expériences médicales
sur des prisonniers ou des gens qui n'en sont pas avertis semble
être un crime majeur des nazis, dont l'emblême porte
le nom de Mengele. Mais il n'est pas tout seul. Une Américaine
nommée Elleen Welsome a publié en 1999 un livre
intitulé The Plutonium Files. America's Secret Medical
Experiments in the Cold War, The Dial Press, 580 p. C'est
un enquête effectuée pendant plusieurs années
sur les expériences faites par les militaires américains
entre avril 1946 et juillet 1947. En voici quelques exemples:
@ 829 femmes enceintes ont reçu des
"cocktails" d'isotopes radioactifs à l'hôpital
de l'université Vanderbilt.
@ 74 garçons d'une école de
redressement (Farnald State School) près de Boston ont
reçu du lait additionné de fer radioactif de 1947
à 1953.
@ 131 prisonniers de l'Oregon et du Washington
ont reçu des irradiations de 600 rad sur les testicules
entre 1963 et 1971.
@ des milliers de soldats ont été
exposés aux radiations lors des essais atomiques aériens
pour persuader le Congrès et l'opinion qu'on pouvait utiliser
la bombe en cas de guerre.
Etc. Il y en a 580 pages, avec un grand
nombre de cas individuels, retrouvés par l'auteur. C'est
le travail le plus exhaustif à ce jour.
La chose a fait surface dans la presse vers
1993. Clinton a nommé une commission d'enquête qui
s'est confondue en borborygmes indistincts. Clinton a présenté
de vagues excuses. Il n'y a eu aucune poursuite. Personne n'a
été inquiété. Les victimes qui ont
râlé se sont vu donner des compensations en dehors
des tribunaux. L'ordre règne. Tout est calme. Les Mengele
yankis jouissent d'une bonne retraite en Floride. Il reste une
chose sure: les crimes contre l'humanité, ce sont les Allemands
qui les commettent, évidemment.
LA
FAUTE À VOLTAIRE
Il y a de quoi se payer une énorme
pinte de rigolade. Les muscadins hybrides (moitié flic,
moitié magisters) du Réseau Voltaire sont parmi
les plus acharnés à dénoncer le maximum de
gens qui ne sont pas dans l'orthodoxie, celle qui se dessine au
centre de gravité de leur "réseau", à
l'intersection de la franc maçonnerie, des minitels roses,
des ecclésiastiques parthéniens et de certains milieux
juifs tunisiens affairistes. Il y a certes de la concurrence dans
le petit monde des organisations de délateurs, mais aussi
des ententes tacites entre ceux qui partagent joyeusement des
fichiers, des "renseignements" qu'ils vont pêcher
dans divers marécages policiers. Le pouvoir socialiste,
comme les autres, ignore ce que fait sa main gauche. De Gaulle
avait ses barbouzes, Mitterrand et Jospin ont leurs SOS-Racismes,
leur Réseau Voltaire, aministia.net et quelques autres
officines mineures, UEJF, MRAP, etc. qui font un commerce juteux
de leurs dénonciations à la Grande Kommandantur
idéologique, chargée de serrer le kiki des citoyens
et de leur rappeler que leur liberté n'est qu'un hochet
qu'ils seraient bien avisés de ne pas cogner contre les
murs, parce que c'est très fragile.
Les rézo-voltairiens étaient
attraits en justice pour un article sur Carl Lang, éminence
du Front national, devant notre juridiction favorite, la XVIIe
chambre à Paris. Et notre ami Monfort leur a foutu une
énorme baffe dans la gueule. Il a dit, en substance: vous
voulez la répression, vous allez être servis!
Il leur a appliqué la mince jurisprudence
qu'ils avaient eux-même (surtout l'UEJF) obtenue contre
Costes, c'est à dire l'abolition de la prescription en
matière de presse, non pas seulement la "prescription
abrégée" de trois mois, mais toute prescription
en créant l'idée absolument aberrante de "publication
renouvelée à chaque instant" qui serait le
propre d'Internet. Ce raisonnement, digne du cabanon, pourrait
parfaitement s'appliquer à toute publication puisqu'un
livre ou un journal, une fois imprimés, continuent, chaque
jour, jusqu'à une éventuelle destruction physique
à la Saint Glin-Glin, de produire un effet de publication.
Monfort a évidemment parfaitement
saisi tout l'absurde de cette situation et il a su l'utiliser
pour tirer une exquise vengeance au dépens de ces calomniateurs
professionnels en la retournant contre eux. Les péteux
ont aussi sec paniqué à mort: ils ont entrepris
de balancer par dessus bord tout un tas de saloperies variées
et avariées stockées sur leur site. Chez ces gens
là, on se dit que le temps des procès est arrivé;
ils endossent le costard de Costes et s'apercoivent qu'ils souffrent
aux entournures. Et nous, nous en rions à perdre haleine.
Il faut voir leurs têtes; Meyssan,
qu'est déjà pas joli à voir, avec ses feuilles
et sa trompe d'éléphant, geint contre la "répression",
Knobel, wiesenthaloïde licraïsé, se dit "dépassé
par les événements", L'Humaniquée
qui trépigne devant "l'effondrement de la liberté
de la presse"... Toutes ces canailles sont acculées.
Le mot de la fin, c'est L'Huma du 11 décembre, p.
24, qui le mérite par sa gaité. Elle fait dire à
un webmestre: "Désormais, quand tu écris sur
Internet, tu sers les fesses."
Extrait de Internet Actu 65, jeudi
14 novembre 2000, journal édité par la société
de presse indépendante FTPress:
- Le Conseil
européen de Nice a constaté le danger d'un tel
jugement pour l'avenir des publications et des archives sur le
réseau mondial. La prochaine présidence suédoise
a laissé entendre qu'elle se pencherait sur la question.
Marylise Lebranchu, ministre française de la Justice,
a pour sa part précisé que le gouvernement pourrait
légiférer, si cette jurisprudence se confirmait.
Thierry Meyssan, président du Réseau Voltaire note
que le milieu associatif antiraciste est également
en train de changer d'attitude à ce sujet.
- [...] Pour
Thierry Meyssan, il s'agit là d'un signe fort qui devrait
inciter les politiques à passer de la parole aux actes.
http://www.reseauvoltaire.net/actu/proces/proces4.htm
http://www.internetactu.com/tv.html
Extrait du jugement verbatim:
- "SUR CE,
LE TRIBUNAL
- L'article 65
de la loi du 29 juillet 1881 dispose que l'action publique et
l'action civile résultant des infractions prévues
par cette loi se prescrivent après trois mois révolus
à compter du jour où elles ont été
commises, ou du jour du dernier acte d'instruction ou de poursuite,
s'il en a été fait.
- En matière
de presse écrite, tout délit résultant d'une
publication est réputé commis le jour où
l'écrit est porté à la connaissance du public,
et mis à sa disposition, car c'est par cette publication
que se consomme l'infraction pouvant résulter d'un tel
écrit; et il importe peu que cette infraction, instantanée,
produise des effets délictueux qui se prolongent dans
le temps par la seule force des choses (l'offre d'un livre en
librairie, le maintien d'un hebdomadaire ou d'un mensuel dans
un kiosque), dès lors que cette situation ne résulte
pas d'une manifestation renouvelée de la volonté
de son auteur.
- Au contraire,
les caractéristiques techniques spécifiques du
mode de communication par le réseau INTERNET transforment
l'acte de publication en une action inscrite dans la durée,
qui résulte alors de la volonté réitérée
de l'émetteur de placer un message sur un site, de l'y
maintenir, de le modifier ou de l'en retirer, quand bon lui semble,
et sans contraintes particulières; par voie de conséquence,
le délit que cette publication ininterrompue est susceptible
de constituer revêt le caractère d'une infraction
successive, que la doctrine définit comme celle qui se
perpétue par un renouvellement constant de la volonté
pénale de son auteur, et qu'elle assimile, au point de
vue de son régime juridique, à l'infraction continue:
le point de départ de la prescription se situe au jour
où l'activité délictueuse a cessé.
- A cet égard,
et contrairement à ce que soutient la défense dans
le cas d'espèce, il n'existe aucun argument de droit pertinent
permettant de réserver un sort particulier à la
pratique de "l'archivage électronique" ou de
la " bibliothèque électronique", consistant
à placer sur un site INTERNET un document déjà
publié antérieurement sur un autre support, et
à en permettre l'accès au public le plus large,
d'une manière simple et permanente: outre le fait que
l'insertion, sur un site INTERNET, d'un message ayant déjà
fait l'objet, sur un autre support, d'une mise à disposition
du public constitue, selon une jurisprudence établie en
matière de presse, une édition nouvelle, ou une
réimpression, qui fait courir un nouveau délai
de prescription, cette pratique a pour objet et pour résultat
d'autoriser une accessibilité immédiate et constante
à des documents qui auraient sombré graduellement
dans l'oubli, mais que ce progrès technique pérennise
dans la mémoire des hommes.
- Cette vitalité
moderne de l'archive sur INTERNET s'accompagne naturellement
d'une permanence des infractions qu'elle est susceptible de comporter,
et des dommages que celles-ci occasionnent aux victimes, et doit
donc avoir pour corollaire la possibilité de la poursuivre
à chaque instant de sa nouvelle existence."
-
ON
REDOUTE LE DOUTE
Très tôt, le révisionnisme
s'est constitué comme une attitude rationnelle qui utilise
la raison comme principe de sa démonstration. Les pleunichards
irrationnels et mémoriels ont trouvé ça insupportable.
Mais différentes entreprises révisionnistes ont
explicitement demandé que les différents se règlent
sur le terrain de la raison. C'est le seul recours, bien imparfait,
personne ne le conteste, qui nous reste, aux uns et aux autres.
Mais volà que se profile à
l'horizon une nouvelle génération de jeunes barbares,
qui ont usé leurs braies sur les bancs de nos facultés,
et qui méprisent la raison, haut et fort.
Prenons-en aujourd'hui un seul exemple chez
un quidam nommé Corcuff (c'est nous qui soulignons):
- "L'existence
des chambres à gaz et du massacre organisé de millions
de Juifs ont pour eux suffisamment de témoignages
(de victimes et de bourreaux), de documents et de preuves matérielles
(avec des différences, voire des divergences, dans la
documentation utilisée, son interprétation et le
chiffrage du nombre de tués), pour revêtir un haut
degré de certitude qui ne peut être balayé
par les seules prétentions impérialistes du
doute. On pourrait dire du génocide perpétré
par les nazis et de leur recours aux chambres à gaz, ce
que dit Wittgenstein de l'existence de la terre: «Ce que
nous appelons preuve historique indique que la terre a existé
déjà longtemps avant ma naissance; l'hypothèse
contraire n'a rien pour elle». Reste, dans la
primauté accordée au doute et au scepticisme, une
pathologie qui peut se développer à partir
d'un certain rationalisme de gauche, aggravée dans
une situation politico-intellectuelle caractérisée
notamment par des désenchantements politiques successifs
et un brouillage des repères, et qui a pris des formes
délirantes dans le discours négationniste." (Extrait de Consciences de la Shoah, de
P. Mesnard, Kimé, p. 267).
On aimerait pas se faire corcuffier.
BABA
NOËL
Lettre d'un Strasbourgeois:
"Avec le marché de Noël
de Strasbourg, les hôteliers, les politiques, les marchands
et autres voleurs à la tire venus du monde entier font
leur beurre, mais que, mon Dieu, tout se fasse dans la paix et
la tranquillité; pour cela les autorités catholiques
d'Alsace ont prié l'évêque latin de Jérusalem
de bien vouloir rester chez lui, en lui demandant en outre
de faire semblant que c'est à sa propre initiative; les
protestants, encore plus couchés que les catholiques, n'ont
tout simplement invité personne. Pour toute réaction
visible, une lettre de lecteur, anonyme, publiée à
la sauvette par les Dernières Nouvelles d'Alsace
dans la page locale de Strasbourg. Pendant ce temps les tireurs
d'élite de l'armée israélienne continuent
d'envoyer des balles en caoutchouc dans les yeux d'enfants palestiniens,
ou des balles de 10 cm de long dans les genoux, ou, pour être
plus efficaces, dans les têtes. Et pendant que les chrétiens
d'Alsace se déshonorent et déshonorent l'humanité,
des Israéliens l'honorent en livrant de la nourriture et
des médicaments dans des villages palestiniens assiégés
pendant que des conscrits font semblant de ne rien voir."
Où
EST LE BEC?
Aussi extraordinaire que cela paraisse,
il y a des gens qui ne sont pas manichéens. Ou qui sont
manichéens d'une autre façon, disons perpendiculaire.
Par exemple, ce romancier de l'extrême médiocrité
qui s'appelle Michel Houellebecq écrit un article qui s'appelle
"la privatisation du monde" (L'Atelier du roman,
n* 23, septembre 2000). Il met dans le même sac Le Pen,
Les Chiennes de garde, Danone, la LICRA et d'autres, qu'il voue,
en bloc, aux gémonies. Et il ajoute: "L'issue de ce
conflit est incertaine. Il est vraisemblable que les éditeurs
(comme, d'un autre point de vue, les producteurs de films) constitueront
le maillon faible de la chaîne: on peut difficilement leur
en vouloir, compte tenu de l'existence en France de dispositions
aussi évidemment scélérates que les lois
Evin et Gayssot, compte tenu aussi de l'état effarant de
la jurisprudence dans ce pays."
S'il employait moins d'adverbes, ce garçon
serait presque sortable.
Où LES LOUPS LOUPENT?
Experts
discuss threat of Internet antisemitism
- Gwen Ackerman
-
- JERUSALEM (December
13) - The Internet, heralded as the brightest technological breakthrough
of this generation, connects people to people and has turned
the world into a global village. What is being overlooked by
many, however, is that the World Wide Web has also become a tool
of vast influence wielded by forces of good and evil alike.
- It is into
this dark side of the Internet that experts delved this week
at a conference in Jerusalem on Confronting On-Line Terrorism
and Antisemitism, co-sponsored by the International Policy
Institute for Counter-Terrorism (ICT) and the Anti-Defamation
League.
- The conference
came as the cyber battle between pro-Israeli and pro-Palestinian
hackers continues to wreak havoc on the Net and the question
of controlling the unwieldy World Wide Web is becoming more pressing.
In the hands of hate groups and terrorists, the Internet can
be seen as the "potential curse of modern technology,"
said Rabbi David Rosen, director of ADL Israel. "The Internet
has the ability to link extremist, racist, bigoted groups that
a decade ago we would have said have no consequence and now have
been given the opportunity to galvanize together to disperse
their filth," he said.
- "The lone
wolf of the past is no longer such and can link up to become
a pack with the ability to undermine society," he warned,
noting a recent upsurge in Islamic propaganda of Christian antisemitic
themes such as blood libel.
- "No one
expected to see a prevalence of such propaganda in the 21st century,"
Rosen said. The efficiency with which antisemitic messages reach
wide audiences was made quite clear in the first weeks of
the current intifada, when antisemitic attacks reached unprecedented
numbers globally.
- The violence
has since subsided, but the lesson has been learned.
- "It is
now possible to quickly ignite antisemitism around the world,"
Minister Michael Melchior told the conference. "This
is a new type of antisemitism, the Internet tool is very
approachable and makes it very easy to disperse hatred. Now,
rather than going from mail box to mail box, you can stay in
the shelter of your home."
- Most dangerous
to Israel is the attempt to turn the Mideast conflict over territory
into a religious battle where "my God is against your God,"
said Melchior, who called for inter-religious dialogue to counter
this phenomenon. The religious battle, or jihad, is promoted
in thousands of Islamic Web sites that demonize the Jew
as the spearhead of a conspiracy against the Moslem world, said
Reuven Paz, academic director at ICT.
- The hatred
of the Jew, Judaism, Israel, and Zionism is blurred together
with the religious tracts on these sites that target the young,
secular Moslem population in the West, said Paz. "Hostility
is becoming more rooted in Islam through these sites, which are
viewed by this young population as the only true interpretation
of Islam."
- This is of
particular concern, noted Paz, because the median age is dropping
in the Moslem world: "Internet influence on the next generation
of Internet users, especially in the West, will be great so that
the influence of this content is liable to become very strong."
Such hatred-spouting sites are hard to fight, given the liberal
policies and free-speech laws of the West, said Paz.
- Even if laws
are in place barring the posting of threats on the Web, terrorists
have found ways to bypass local boycotts. Saudi terrorist mastermind
Osama bin Laden, for example, has set up his virtual headquarters
in Sao Paulo and Caracas; Hamas runs its Web site from Lebanon.
- The sites are
intelligently developed, with voiceovers and photos, not just
text, so that even those who don't know how to read can be influenced,
Paz said, adding that "the jump from antisemitism to terrorism
is much easier on the Net."
- Global conventions
that will allow transnational prosecution of hate crimes on the
'Net will be hard both to draft and to enforce, said Christopher
Wolf, chairman of the ADL Internet Policy Committee and co-chairman
of the Internet Practice Group, Proskauer Rose LLP. First of
all, Wolf noted, "in the US, where the vast majority of
the information comes from, there is a First Amendment guarantee."
There are also issues of privacy to contend with, he said.
- As the global
legal culture debates whether and how to regulate hate speech
on the Web, the best way to counter the hatred is by focusing
on the Internet "to further a culture of tolerance, to educate,
and to spread truthful information," Wolf concluded.
- The Jerusalem
Post,
13 décembre 2000.
http://www.jpost.com/Editions/2000/12/13/News/News.17305.html
RÉVISION
GERMANIQUE
Il y a des types qui ont assisté
au spectacle du mystère de la Passion à Oberammergau
en Bavière, cet été. Ils ont noté
quelques surprenantes modifications dans le spectacle. D'abord,
disent-ils, Jésus et ses disciples ont vraiment l'air juif
et ne quittent pas leur châle de prière. En revanche,
le procès de Jésus et la crucifixion ne sont plus
des événements juifs mais proviennent de vagues
et indéterminés conflits d'opinion. Les Pharisiens
et les Sadducéens ne sont que des intellectuels fort divisés
entre eux. La formule célèbre sur le sang qui doit
retomber sur leurs têtes a disparu.
Bref, en Bavière, on astique, on
révise et on corrige. Qui disait que les Allemands avaient
été opportunistes sous Hitler?
LA SALIVE DES BRÉGHAIGNES
- Troisièmes
Assises de l'Internet non marchand et solidaire
- Samedi 16 décembre
2000 de 9h30 à 20h30 Centre européen La Chapelle,
69ter rue de La Chapelle, 75018 Paris.
- Soirée
: débat avec des groupes de lutte contre l'incitation
à la haine (co-organisation : MRAP)
- (http://www.assises.sgdg.org/2000/preparation-assises00/lutte-haine.html)
- Objectif :
- Comment lutter
contre l'incitation à la haine dans le respect des libertés
et droits fondamentaux sur Internet sera le thème de ce
débat, co-organisé avec le MRAP (Mouvement contre
le racisme et pour l'amitié entre les peuples). Des représentants
d'associations de lutte contre les discriminations seront
invités à identifier les pistes permettant
d'atteindre cet objectif.
- Intervenants:
- Mouloud Aounit,
MRAP ; Gérard Kerforn, MRAP; Jean Sylvestre, Ras l'front;
Alain Weber, LDH. Débat animé par Meryem Marzouki
(IRIS). Depuis 1996, plusieurs affaires judiciaires ont concerné
en France la diffusion de contenus racistes ou négationnistes
sur Internet. Dans un certain nombre d'affaires, les intermédiaires
techniques ont été assignés, parfois en
lieu et place des auteurs d'incitation à la haine raciale
ou d'apologie de crimes contre l'humanité. Ces affaires
ont mis en lumière la difficulté de concilier
la répression de ces délits avec le respect
des libertés et des droits fondamentaux, reconnus dans
les législations françaises, européennes
et internationales.
Avec le mouton survivant Mouloud, et son
contrôleur Kerforn, un représentant de Bas l'front
et un inévitable de la Ligue des droits de l'homme, on
va être servis... Le problème de ces échappés
du bocal est de concilier la répression, qu'ils estiment
fort nécessaire, avec on ne sait quoi dans le genre dépouilles
droitdelhommesques, fariboles juridiques, contorsions des consciences,
chèvrechouteries très précieuses, et ripolinage
général. Leurs problèmes de conscience, on
s'en fout énormément, on s'en tamponne trois mille
coquillards à l'heure. Que ces hypocrites crèvent
dans leur salive stérile et bréhaigneuse. La liberté
se fait contre eux.
MILLE
ET UN PROCÈS ALLEMANDS
Internet commence à nous fournir
des données sur les 900 procès de responsables nazis
qui se sont tenus dans l'Allemagne post-nazie, y compris à
l'Est. On sait qu'il en existe une édition sur papier en
beaucoup de volumes, rares et chers. Voici une annonce récupérée
ces jours-ci:
- Those of you
interested in the postwar prosecution of nazi criminals in Germany
might want to visit our recently revised website 'Justiz und
NS-Verbrechen'. Die deutschen Strafverfahren wegen nationalsozialistischer
Tötungsverbrechen 1945-1999. It contains an overview of
all postwar German trials involving capital crimes committed
in the service of the nazi regime. The database can be consulted
through entries such as 'Angeklagten', 'Gerichtsentscheidungen',
'Tatkomplex', 'Tatland', 'Tatort', 'Opfer', 'Dienststelle', and
so on.
- Currently, the
'Justiz und NS-Verbrechen' site lists the well over 900 trials
held in West Germany since 1945, as well as those held in East
Germany from 1956 onwards. A database on the East German trials
from the period 1945-1956 will be added next year. The site will
be regularly updated. If you want to be kept informed of these
updates or if you have any questions, please, use the e-mail
address listed on the site.
- Our address
is: <http://www.jur.uva.nl/junsv>
- Dick de Mildt
- Justiz und NS-Verbrechen,
Institute of Criminal Law, University of Amsterdam, P.O.Box 1030
1000 BA Amsterdam, Pays Bas.
- This website
presents a systematic survey (for now still only in German) of
1) the more than 900 Nazi trial cases conducted in West Germany
since 1945 (see: Übersicht der westdeutschen Verfahren),
as well as of 2) the 97 Nazi trial cases conducted in East Germany
during the years 1956-1990, including the so-called Rehabilitation
trials (see: Übersicht der ostdeutschen Verfahren). A survey
of the remaining East German trial cases (i.e. those from the
period 1945-1956) will be added in the beginning of 2001.
- The site contains
a brief description of the subject matter of each of these trial
cases by way of several searchable categories. The index you
find here is based on the collection of postwar trial judgments,
which are (being) published in two separate multi-volume documentation
series entitled 'Justiz und NS-Verbrechen' (the West German judgments)
and 'DDR-Justiz und NS-Verbrechen' (the East German judgments).
For more information on both series, please close this window,
return to the 'Inhaltsverzeichnis' (Table of Contents) and click
on 'Das Projekt'.
- If you want
to be kept informed on the publications related to the series
and/or the regular updates of this website, or if you have any
questions concerning either project, please let us know by way
of an e-mail message.
- Please take
note of the fact that this website is, in part at least, still
only provisional. The judgments of trial cases carrying the numbers
(Lfd.Nr.) 650 and higher have not yet passed through the final
editing process. Their corresponding data files may therefore,
on occasion, carry information which is not entirely accurate
or incomplete. Such errors will be dealt with in the regular
updates and corrections of this website. mailto: [email protected]
DE L'EUROPE COMME FERRAILLE
ET FLICAILLE
- Projet
de convention sur la cybercriminalité:
- un
texte toujours indéfendable
- (Communiqué
de presse d'IRIS - 12 décembre 2000)
- La nouvelle
version (24-2) du projet de Convention sur la cybercriminalité
du Conseil de l'Europe demeure tout aussi indéfendable
que la version précédemment publiée (22-2).
- Les organisations
de la société civile réunies au sein de
la coalition internationale GILC, qui avaient déjà
dénoncé ce texte par une lettre adressée
le 18 octobre 2000 au Conseil de l'Europe, s'adressent à
nouveau aujourd'hui au Conseil.
- Dans cette
deuxième lettre, les organisations signataires dénoncent
le fait que la Convention continue de menacer les droits de l'individu
tandis qu'elle étend les pouvoirs des autorités
de police, crée, uniformément dans les différents
pays, une protection de bas niveau des droits, et ignore de très
importants principes de protection des données.
- Malgré
quelques modifications apportées dans la nouvelle version,
le texte du projet demeure insatisfaisant sur l'essentiel. Les
signataires réaffirment leur opposition à ce texte
dans son état actuel et demandent que des limites aux
pouvoirs accordés selon ce projet soient formulées
explicitement, comme l'exigence d'un examen de constitutionnalité,
la prémunition contre l'auto-incrimination, la finalité
de la collecte des données, la proportionnalité
des moyens utilisés en toutes occasions, et le respect
des principes de protection des données, pour ne citer
que quelques exemples.
- Les signataires
persistent à penser que le processus d'élaboration
de cette Convention viole les exigences de transparence et est
en contradiction avec les processus décisionnels démocratiques.
Ils appellent les États membres du Conseil de l'Europe
à ne pas signer le traité en sa forme actuelle
et appellent également le Conseil des ministres à
rejeter la Convention dans sa forme actuelle, dans la mesure
où elle n'offre pas une égale protection aux droits
fondamentaux dans le même temps où elle cherche
à prévenir et détecter la cybercriminalité.
- L'association
IRIS, signataire de la lettre des membres de GILC, adresse cette
lettre au correspondant français pour le projet de convention
du Conseil de l'Europe, pour lui demander de clarifier la position
française sur ce texte et les intentions de l'État
quant à son éventuelle signature.
- Les organisations
non gouvernementales s'opposant à ce projet de traité
constatent en effet des désaccords importants entre les
États concernés. Par ailleurs, IRIS s'interroge
sur les contradictions entre les annonces faites par le gouvernement
aux citoyens français, comme, par exemple, la libéralisation
totale de la cryptographie, et le contenu d'un projet de traité
censé s'appliquer à tous les États membres
du Conseil de l'Europe.
- Références
:
- - Lettre précédente,
du 18 octobre 2000 :
- http://www.iris.sgdg.org/info-debat/gilc-coe-fr-1000.html
- - Dossier d'IRIS
sur le projet de traité :
- http://www.iris.sgdg.org/actions/cybercrime
- - Site de GILC
(Global Internet Liberty Campaign) :
- http://www.gilc.org
- -- Convention
Europe version 24:
- http://conventions.coe.int/treaty/FR/projets/cybercrime24.htm
Nous avons le
texte du projet de loi.
PROFITS DE MÉDAILLE
On a vu le sieur Vidal-Papet à la
télé. Edenté et tiraillé par son impetigo,
il pontifiait: "Oui, autrefois, j'aurais voulu un procès
des tortionnaires en Algérie, mais maintenant je n'en veux
plus."
Nous béons d'admiration devant les
changements d'humeur du gravosse de l'hellénisme (c'est
pas Bérard, c'est Bérurier). Mais notre officier
dans l'ordre de la Légion d'honneur a médité
d'autres horribles punitions. Il évoque le général
borgne qui a expliqué à la télé qu'il
avait exécuté de sa main 28 prisonniers algériens.
Il se dit que ça mérite bien une petite punition.
Par exemple, lui ôter sa Légion d'honneur. Vidal-Criquet,
lui, n'a tué personne, mais il aurait bien voulu. Dans
les couloirs du Palais de justice, on pouvait l'entendre en 1981
dire entre ses dents qu'il aimerait bien tuer Faurisson. Mais
il n'a pas eu le sombre courage du général borgne.
Et il a eu la Légion d'honneur. Alors si on donne le ruban
à des types qui n'ont pas eu le courage de tuer, il voudrait
qu'on la retire à ceux qui ont eu précisémment
ce courage-là. C'est logique.
Mais dans son petit ménage, cette
affaire a créé de la jalousie. Sa vieille moitié,
Arlette Vidal-Paquet est, elle aussi, apparue à la télévision.
Elle menait, elle aussi, une manifestation pour les droits de
l'homme. Elle animait le front du refus. Du refus de l'installation
d'un magasin Franprix dans sa rue. Celle du Cherche-Midi, celle
où la boulangerie de quartier s'appelle Poilâne.
L'Arlette aussi, elle veut sa Légion d'honneur. C'est la
parité chez les Vidaux-Paquets. Et en plus, elle a probablement
tué personne.
BUISSON
ARDENT
Ainsi Monsieur Buisson l'a emporté,
à la fin des fins, sur M. Sanglant. C'est lui qui va habiter
ce petit bâtiment ridicule qui s'appelle la Maison blanche.
Vu de notre fenêtre, ce dénouement est heureux. Nous
n'épiloguerons pas sur la farce désopilante qu'ils
appellent là-bas, d'un mot grec incompréhensible,
la "démocratie". Mais on a tremblé. Cet
Al Gore, quand même, il faut se le rappeler, était
un pur produit des organisations juives qui composent, aux Etats-Unis,
le lobby du même nom. Son père avait été
un employé des Hammer pendant longtemps. Il se préparait
à augmenter la proportion pourtant déjà vertigineuse
de juifs dans le petit cercle dirigeant. Sous Clinton, cela représentait
déjà à peu près la moitié.
Sous Gore, on aurait eu le gouvernement des rabbins, le Bnai Brith
contrôlant tout.
Bush est très possiblement un imbécile.
Il ne serait pas le premier à présider en Amérique.
On n'espère pas qu'il améliore quoi que ce soit.
Mais on a évité que l'Empire empire.
AFFINITÉS
ÉLECTIVES
Nous avons vu de près comment le
"peuple" est escamoté et susbtitué dans
le processus dit "démocratique" par une tourbe
d'hommes de lois, plus tordus et cyniques (c'est l'adjectif qui
correspond au mot "chien") les uns que les autres. On
aura noté comment le refus obstiné des évidences,
qui animait l'armée des Gorets, semblait relever d'en entêtement
rabbinique. Mais il nous a manqué la dimension proprement
zolocaustique de cette affaire. Elle nous est founie par un
commentaire américain qui ne manque pas de piquant.
En voici un aperçu:
The butterfly ballot is no longer with
us, of course. It has now been succeeded by the "pregnant
chad," a condition, contrary to what you might think, brought
about by the failure to achieve penetration of the ballot. Now
the issue of the absence of holes in the ballot cards has become
a matter of supreme importance, so much so that we half expect
to see Robert Jan van Pelt turning up at any moment to insist
that, while there may be no holes in the cards, "does that
mean they were never there?"
"Le bulletin papillon a disparu. Lui
a succédé maintenant le "confetti enceint"
qui résulte, à l'inverse de ce que l'on pourrait
croire, d'un manque de pénétration du bulletin.
La question de l'absence de trous dans les bulletins est devenue
si importante que l'on s'attend presque à voir débarquer
Robert-Jan van Pelt pour nous dire que s'il n'y a pas de
trous dans les bulletins, est-ce que ça veut dire qu'il
n'y en a jamais eu?"
LE PONT DES SOUPIRS
La ville de Francfort, la patrie de Goethe
et des saucisses, avait décidé de baptiser un pont
du nom d'Ignatz Bubis, qui fut un temps président du regroupement
des juifs allemands. Cet homme brutal plaisait beaucoup aux dirigeants
allemands. Pendant la cérémonie, une dizaine de
spectateurs ont sifflé et hué les officiels, qui
affirmaient que la ville de Francfort devait être fière
d'avoir un pont du nom de Bubis.
Il est vrai que Bubis avait bâti sa
fortune à Francfort. Par diverses manoeuvres, il s'était
rendu maître du quartier des maisons closes, dans les années
60. Fassbinder en avait fait un pièce de théâtre,
qui avait causé un énorme scandale. Dire qu'un juif
faisait fortune dans les boxifs était une manifestation
d'antisémitisme (il y a d'ailleurs un roman russe du début
du siècle qui raconte une histoire semblable - A. Kuprin,
Le Trou; puisqu'un Russe raconte ça, cÕest
forcément antisémite). Aujourd'hui, on peut dire
que la ville de Francfort doit être "fière"
de donner à l'un de ses ponts le nom d'un souteneur célèbre.
AFP, Berlin, December 14 2:05 AM SGT
LES
REVIZOS SONT-ILS EN TRAIN DE ROUPILLER?
- Dear Fellow
Revisionists,
- With regard
to the reporter who has tipped Germar concerning a forthcoming
"revelation" from the Auschwitz museum concerning "holes"
in the Leichenkeller roof, possibly based on the research of
Charles ("Chuck") Provan of Pennsylvania:
- Provan's career
has entailed conducting precisely the forensic experiments and
studies which revisionists have challenged exterminationists
to do. He did experiments with diesel engines and yeoman research
in the archives of the US Bureau of Mines, which has extensive
data on diesel engine toxicity in enclosed spaces. This was years
ago.
- I have for
several years been channeling Mr. Provan's research into revisionist
outlets. He was originally upset by the fact that revisionists,
who chatter ceaselessly about the need to debate, would not report
on the fact that the revisionist diesel authority Friedrich P.
("Fritz") Berg refused to debate Provan. I reported
this fact in my own newsletter. Bradley Smith sat on the information,
never exposing Berg's timidity. Provan also submitted his research,
at my suggestion, to Dr. Toben's newsletter. I respect all of
these men, but in this case Bradley did not live up to his own
platitudes and this was demoralizing to Chuck.
- Provan has
more than contempt for the exterminationists and his first inclination
was to have his research published by revisionists. Fortunately,
Mark Weber had the good sense to be the first revisionist to
spotlight Provan mainstream, with his talk on Niszli. At that
time Provan circulated to IHR attendees copies of his research
report on Birkenau and at the Leichenkeller. This represents
a portion of his magnum opus, though not the only one (there
is also the bombshell he has compiled from primary documents
on what Hitler's heinous plans were for the "worthless Slavs"
and for Russia after Nazi conquest).
- Unfortunately,
with the exception of Dr. Faurisson and Germar Rudolf, revisionists
more or less ignored Provan's report or denounced parts of it
angrily, as two did at the IHR conference. Chuck was disappointed
that the IHR invited him to return to their conference next year,
but only to speak on the Jewish religion, and not on his report
on the alleged holes in the roof.
- With his "holes"
report in revisionist limbo, Chuck was more frustrated this autumn
than I had ever seen him. We were out of touch for a few weeks
while I promoted a new book of my own, and then Provan telephoned
me about two months ago to say he had indeed sent his report
to the Auschwitz Museum. I could not fault him. The revisionists
would not publicize it or seriously consider it. The rest, as
they say, is history.
- I am sorry
revisionism did not do damage control in advance by preparing
a full-scale refutation. Faurisson was briefly videotaped extracting
"concessions" from Provan concerning alleged mistakes
in his work, but Provan was essentially agreeing on camera to
go back to Poland to do more work, not to any notion that the
substance of his thesis was in error. And if all the energy revisionism
can expend on Provan's "holes" investigation is to
compose a little video footage, we are fatigued indeed. Videotaped
"confession" or not, this wasn't the thorough treatment
Provan's work merited. It has been a long time since the last
IHR conference. Has there been one paper published on the Internet,
in the JHR or anywhere else taking up Provan's article? Not one,
to my knowledge. Were any even being written? Can any revisionist
honestly say we intended to publish or account for Provan's claims
about the holes in the roof?
- Now we will
scramble to do so, post-mortem. Only because the Auschwitz museum
will use Provan's research (probably without mentioning Provan),
to attack us. Revisionism gave Provan's "holes" investigation
the silent treatment, just like the Establishment gives us. How
ironic. And wait until the other shoe drops: late last summer
Esquire magazine did an all-day photo shoot at Provan's
home and office in preparation for John Sack's cover story on
revisionism and on Provan in the magazine, due at the newsstands
any day.
- I am not a
scientist or technician but it seems to me that Provan is wrong
about mass gassings at Auschwitz-Birkenau (thus far, I still
doubt them), but I admire him for taking Faurisson's "No
Holes, No Holocaust" standard so seriously that he went
to Poland and conducted his own research. Will we learn a lesson
from this case for the future and be less institutional and smug
in our response to the challenges of "marginal" researchers?
Provan is certainly a revisionist. Zundel characterized him best
as "a revisionist who believes in the (homicidal) gas chambers."
Some would erect a loyalty test for revisionism and make gassings
the litmus. For this writer, revisionism is simply a function
of being human -- always willing to revise one's beliefs based
on new evidence.
- Thankfully
the IHR did host Provan as a featured speaker, albeit on another,
far less provocative topic. But it is a matter of record that
revisionists did not consign all of Provan's work to the memory
hole, and it suggests that we do not fear him. Now let's act
on that perception. As Rassinier once said to Faurisson, "Stop
the tennis and the skiing and get to work!"
- Michael A.
Hoffman II
- www.hoffman-info.com
- PO Box 849,
Coeur d'Alene, ID 83816 USA
L'AAARGH, qui a examiné le travail
de Provan n'a pas été convaincue du tout, mais elle
publiera, dans quelques jours, le travail en question. Elle estime
que toutes les discussions sont permises.
TOTALMACHT
Un négationniste
condamné (en Allemagne)
pour
ses activités sur le net
(Extrait)
par Thomas Schnee, Transfert.net, 13 décembre
-
- ... En 1998,
[Frederick Töben] avait réuni le gratin du révisionnime
international autour d'une rencontre sur le "Mensonge d'Auschwitz".
En 1999, lors d'une "tournée européenne"
incluent la visite de quelques camps de concentration [Voir plus
bas CHAUD SHOAH-SHOW], il avait entrepris de prouver que la solution
finale n'avait pas existé. Arrêté par la
police alors qu'il se trouvait en Allemagne, il a été
condamné à dix mois de prison ferme par le tribunal
de Mannheim pour diffamation, incitation à la haine raciale
et négation de l'existence des chambres à gaz.
Le tribunal ne l'a pas condamné en raison de ses activités
sur le Net mais à cause des nombreux courriers et lettres
d'information envoyés en Allemagne par la poste. Mais
le procureur général de Mannheim a cependant fait
appel du jugement en demandant à la cour fédérale
de justice (BGH) de condamner aussi M. Toben pour ses activités
sur le Web. La question qui se posait alors à la cour
étant la suivante: est-il possible de condamner quelqu'un
selon le droit allemand pour un fait commis légalement
dans un autre pays? Jusqu'à présent, les tribunaux
allemands avaient toujours fait jouer le principe de la territorialité
et s'étaient déclarés incompétents
pour juger des responsables des nombreux sites Internet diffusant
des contenus d'extrême-droite à partir des Etats-Unis
ou d'un pays tiers.
- En condamnant
également Toben pour ses activités Internet, la
cour fédérale de justice a donc créé
un précédent important. Les juges ont en effet
estimé que si le site était légal et basé
en Australie, il était accessible depuis l'Allemagne et
permettait la diffusion de thèses jugées délictueuses
en Allemagne. M. Toben, qui a déjà accompli sa
peine et quitté l'Allemagne, ne fera probablement pas
appel. Parallèlement, les juges de Karlsruhe ont précisé
que ce jugement ne concernait pas les fournisseurs d'accès
ni les portails Internet qui ne peuvent pas forcément
contrôler les centaines de milliers de pages qu'ils diffusent.
Comprendre: le tribunal n'entend pas se prononcer sur le cas
de Yahoo! qui avait permis via son site l'accès à
des ventes d'objets nazis.
- Essentielle
sur le plan symbolique, la portée pratique de ce jugement est
limitée à court terme. Les sites d'extrême-droite
légalement installés aux Etats-Unis ou au Danemark,
entre autres, ne vont pas fermer boutique du jour au lendemain.
Néanmoins, les experts estiment que ce jugement va permettre
de renforcer la lutte contre les activités illégales
sur Internet à l'étranger quand elles sont téléguidées
depuis l'Allermagne. Enfin, cette décision pourrait
donner une impulsion aux investigations menées à
l'étranger par le BKA, la police fédérale
allemande, et notamment à la coopération déjà
amorcée avec le FBI, son homologue américain.
Bientôt à Paris aussi, on verra
les successeurs de Barbie venir faire leur shopping d'Allemands
indésirables, non-conformistes, punks et peut-être
pires encore. On trouvera bien à la Préfecture des
Bousquet pour leur filer des tuyaux et leur donner un coup de
main. C'est l'éternel retour...
<http://www.transfert.net/fr/cyber_societe/article.cfm?idx_art=2964&idxrub=87>
Foreigners
denying Holocaust on the Web face prosecution in Germany
-
- Germany's supreme
court ruled Tuesday that foreign ultra-rightists who deny the
Holocaust on the Internet are liable to prosecution in Germany
for incitement of hatred.
- The decision
overturned a lower court ruling in Mannheim against Australian
revisionist historian Fredrick Toeben in connection with a website
on which he denied that thousands of Jews were killed in Nazi
death camps.
- The lower court
had ruled that Toeben, who is of German origin, could not be
prosecuted under German law since his writings had been fed into
the Internet in Australia.
- Toeben, self-styled
director of his "Adelaide Institute" in Australia,
on his website denied the Holocaust took place, describing it
as a Jewish fabrication.
- The German
supreme court ruled that Toeben's controversial writings were
"prone to disturb the peace, especially in Germany"
since they could be called up from around the world. Therefore
his website claims had repercussions inside Germany which made
the author liable to prosecution under national jurisdiction.
- The lower court
last November sentenced Toeben to 10 months in jail for defaming
the memory of the dead and insulting Jews.
- He had spread
his revisionist remarks via the Internet and in an open letter.
- The supreme
court in response to an appeal by Toeben, however, at the same
time ordered a retrial of the case because of a procedural flaw.
- Toeben was
detained in Mannheim in April 1999 while on a tour of Europe
on charges of defaming the memory of the dead.
- Deutsche
Presse-Agentur,
12 décembre 2000.
Les auteurs du site n'iront plus canoter
sur le Rhin, avec les Gretchen, devant le rocher de la Lorelei,
avec quelques bouteilles de vins de la Moselle... Und das hat
mit ihrem Gesang die Lorelei getan... Tübingen... Les lauriers
sont coupés...
Nous avons le
jugement de la cour de Karlsruhe (en haut-germanique):
<http://www.uni-karlsruhe.de/~bgh/PressemitteilungenBGH/pressmit.htm>
SEIN
KAMPF
Mein
Kampf' Publisher Sentenced
-
- PRAGUE, Czech
Republic (AP) - The publisher of the first unabridged Czech edition
of Adolf Hitler's Mein Kampf received a three-year suspended
sentence Monday for promoting Nazism, Czech media reported. Michal
Zitko was also ordered to pay a $50,000 fine, the news agency
CTK said. It said he appealed the verdict.
- Mein Kampf was published in Czech
in 1936 and again in 1993 after the fall of communism. The 1993
edition, which was not a complete translation, included anti-Nazi
commentaries by former Czechoslovak Foreign Minister Jiri Hajek.
The edition put out by Zitko in March was the first complete
Czech-language edition of Mein Kampf' without commentaries
or disclaimers. The book -- 100,000 copies were printed -- sold
well. The publication drew immediate protests from the Czech
Jewish Community, anti-fascist associations and politicians.
- Zitko was charged
with promoting Nazism in June and police seized some 300 copies
of the book at the distributor's office the same month.
- http://dailynews.yahoo.com/h/ap/20001211/wl/czech_mein_kampf_1.html
- Monday December
11 12:17 PM ET.
- Voir aussi:
http://www.ce-review.org/00/12/culik12.html
- Mein Kampf'translation published
in Bulgaria. Bulgaria's Jewish community on 22 December protested
against the recent publishing and sale of what is being advertised
as "the first unabridged Bulgarian version" of Adolf
Hitler's Mein Kampf, AP reported. The 584-page translation
went on sale on 21 December.
Cependant, on a procédé à
une nouveau tirage en France de l'ancienne édition Sorlot
de Mein Kampf, adornée d'une préface aux
enzymes glouton. Pour une fois, la justice française n'a
pas craint de se ridiculiser en disant l'histoire; la cour d'appel
de Paris a ordonné le 11 juillet 1979, au moment où
l'affaire Faurisson était toute chaude, de faire précéder
la traduction d'un "avertissement au lecteur" qui exhale
une forte odeur de vertu bien fermentée; ça s'imprime,
et ça se vend. On l'a vu dans des librairies parisiennes
tout ce qu'il y a de chic. Ne nous demandez pas où. Notre
opinion: ce n'est pas un bon livre; c'est plutôt rasoir
et on n'en ferait certes pas son livre de chevet ou son catéchisme...
Mais c'est un document qui est, contrairement à d'autres,
de première main. Vérifiez votre traduction sur
l'original allemand; on a quelquefois des surprises.
Sur Internet, on trouve le texte en allemand
et en anglais. Les néo-nazis français doivent être
rares ou feignants: ils n'ont pas mis le texte français
en ligne. Ou ils attendent l'autorisation de la LICRA.
Petit détail: les Alliés ont
donné le copyright du livre à l'Etat de Bavière
en 1945. Lequel Etat n'autorise pas de nouvelle édition
et poursuit ceux qui en font à l'étranger, ce qui
n'est pas une saine politique patrimoniale. Aux Etats-Unis, le
copyright appartient à une compagnie, Houghton Mifflin,
qui l'a acheté dans les années 30.
HAINE
PUR JUS
- L'Arche
Le négationniste
épinglé
Serge
Thion est révoqué du CNRS
-
- Le négationniste
Serge Thion a été révoqué du Centre
national de la recherche scientifique (CNRS) où il était
employé depuis près de trente ans en tant que sociologue
spécialiste de l'Asie du Sud-Est. Epilogue d'une triste
histoire, qui est celle d'une dérive humaine.
- Thion, issu
de l'ultra-gauche, se fit remarquer dès les années
soixante-dix en tant qu'adepte d'une double négation:
celle du génocide cambodgien et celle du génocide
juif. Si la première fut l'occasion d'un compagnonnage
avec le linguiste Noam Chomsky, la seconde devint vite une passion
dévorante. Le ci-devant gauchiste s'acoquina avec les
pires fascistes, et les dépassa bientôt dans une
haine antisémite apparemment sans bornes. Son travail
de recherche, pour lequel il était payé par le
CNRS, s'étiola. Certains intellectuels sombrent dans l'alcool
ou dans la drogue. Thion sombra dans le négationnisme.
- Au début
de l'an 2000, Serge Thion se sait dans le collimateur. Malgré
de savantes manoeuvres sur le réseau Internet afin de
pratiquer la haine du Juif sans tomber sous le coup de la loi
Gayssot, il a commis quelques bévues et laissé
des traces compromettantes. Par ailleurs, la secte négationniste
est totalement déconsidérée, ses personnages
les plus agissants balançant entre le néo-nazisme
frénétique et l'exhibitionnisme grotesque. Se rend-il
compte, soudain, que son étrange obsession a ruiné
une carrière qu'on disait prometteuse? Comprend-il qu'il
s'est couvert de ridicule, qu'il a prêté sa plume
à des incultes et à des médiocres? En tout
cas, il «disjoncte». Le style ordurier, qu'il réservait
à ses textes anonymes, apparaît au grand jour.
- En février
2000, au lendemain de l'incident de Bir Zeit où des étudiants
palestiniens ont lancé des pierres au premier ministre
Lionel Jospin, il publie sur son site Internet (Association des
anciens amateurs de récits de guerre et d'holocauste:
AAARGH) un article intitulé «Des caillasses pour
sa gueule». Le ton général est celui de la
presse d"extrême-droite [le même que celui
de l'Arche], mais n'est pas François Brigneau
qui veut. Thion fait du fascisme au petit pied. Il déplore
«l'irrésistible besoin de se mettre à plat
ventre devant tout ce qui pourrait avoir l'air juif», et
s'en prend au passage à ce «crétin liberticide
de Gayssot».
- Entre-temps,
les instances du CNRS se sont réunies et ont pris connaissance
d'une dossier extrêmement détaillé sur les
activités de Serge Thion. La procédure de révocation
est en cours. Il a, dira la décision finale, «porté
atteinte à la dignité des fonctions qu'il occupe,
à la considération du corps auquel il appartient,
ainsi qu'à la réputation du CNRS». Thion
assure, toujours sur le site de l'AAARGH que c'est son texte
de février qui lui a valu les foudres du pouvoir. («La
revanche de Jospin», dira-t-il, reprenant inconsciemment
la formule de Maurras qui voyait dans sa condamnation la revanche
de Dreyfus.) C'est se donner bien de l'importance. Mégalomanie
et paranoïa font bon ménage: «J'ai frappé
Jospin et Jospin m'a frappé. Match nul. Pour l'instant.
On verra la suite.»
- Israéliens
et trotskistes
- Le 4 octobre,
donc, la directrice générale du CNRS, Genevière
Berger, signe la révocation du chargé de recherches
Serge Thion. La mesure prend effet au 1er novembre. Fin octobre,
Thion transforme son site Internet personnel, jusque là
consacré à l'archivage de ses travaux (scientifiques
et négationnistes, indiféremment), en un Fort Chabrol
dévoué à sa cause. Dans un style grandiloquent
qui pourrait être pathétique s'il ne basculait pas
si souvent dans l'odieux, il s'adresse «à [s]es
25.000 collègues du CNRS», puis «aux dizaines
de milliers de chercheurs des institutions françaises
de la recherche et des universités». Il se dit victime
d'une «campagne de haine menée dans la presse par
des éléments principalement communistes, ou trotsko-communistes».
Simultanément, il dénonce la présence d'agents
«israéliens» dans les instances qui ont ourdi
sa révocation. Seuls les francs-maçons (sauf erreur)
manquent à la liste.
- HP (Pasternak)
- L'Arche, décembre 2000,
n* 514, p. 85.
Un papier comme ça, c'est la médaille
militaire gagnée sur le front... Les révisionnistes,
comme les Palestiniens, ne sont pas des hommes: tout mouvement
de leur part sera considéré comme "particulièrement
odieux" (dommage que le mec ne nous dise pas ce qui est particulièrement
odieux...) et vaudra fusillade immédiate.
CHAUD SHOAH-SHOW
Programme d'un petit voyage
touristique de 3.200 dollars, départ des Etats-Unis vers
l'Europe, visite, hébergement et retour inclus. Des volontaires
pour le souvenir?
- Date: Wed,
13 Dec 2000 19:27:06 -0600
- The Holocaust
Educational Foundation invites applications for its Third Eastern
European Study Seminar, which will take place in July 2001. [...]
The cost is expected to be roughly $3,200, including airfare,
bus travel in Europe, hotel accommodation, and most meals. Applicants
should send a letter, outlining what they expect their participation
in this program to accomplish, and a short c.v., to the director
of the seminar:
- Professor Geoffrey
J. Giles
- Center for
Advanced Holocaust Studies
- United States
Holocaust Memorial Museum
- 100 Raoul Wallenberg
Place, SW
- Washington
DC 20024-2126 <[email protected]>
- Graduate students
should include a letter of recommendation from their doctoral
supervisor.
- Projected program:
- Th 12 -- Depart
from US
- F 13 -- Arrive
in Warsaw -- Visit Jewish Historical Institute
- Sa 14 -- Warsaw-tour
of ghetto area and other Jewish historical sites
- Su 15 -- Visit
to Treblinka (and meet with Museum Director) and drive on to
Lodz
- M 16 -- Tour
of Lodz Jewish cemetery, ghetto area and town
- T 17 -- Drive
to Lublin -- Tour of Lublin including Jewish cemetery
- W 18 -- a.m.
Majdanek (led by the Research Director) -- p.m. Drive to Sobibor
museum (and return to Lublin overnight)
- Th 19 -- Drive
to site of Belzec death camp and on to Krakow
- F 20 -- Tour
of Kazimierz and wartime ghetto of Krakow
- Sa 21 -- Free
day (Probablement strip-tease)
- Su 22 -- Tour
of Auschwitz I (Stammlager) -- Return to Krakow overnight
- M 23 -- Tour
of Auschwitz-Birkenau -- Drive on to Wroclaw
- T 24 -- Tour
of synagogue restoration, and Jewish cemetery in Wroclaw then
drive on to Prague
- W 25 -- Tour
of Jewish quarter of Prague
- Th 26 -- Tour
of Terezin (led by the Senior Historian) -- Return to Prague
for final seminar discussion
- F 27 -- Free
day in Prague
- Sa 28 -- Departure
for US.
- FIN DE LA TOURNÉE DES HORREURS
CINOCHE
MOCHE
Un institut de recherche historique de Francfort
a présenté lundi une banque de données sur
Internet consacrée exclusivement aux images filmées
de l'Holocauste. Baptisée "Cinématographie
de l'Holocauste", cette banque de données, créée
après huit ans de recherches par l'Institut Fritz-Bauer,
recense quelque 1.000 films, documentaires et documents consacrés
au thème de l'Holocauste. Pour chaque film, elle informe
par exemple sur le nom du metteur en scène, des acteurs,
des producteurs et en détaille le contenu. Des extraits
sont parfois proposés. Environ 2.000 autres films devraient
bientôt être répertoriés dans cette
banque de données, selon Ronny Loewy, le responsable du
projet, qui estime que 6.000 à 8.000 films sont au total
dédiés à ce thème. La banque de
données s'adresse, selon ses promoteurs, à la fois
aux chercheurs et aux personnes intéressées par
ce thème. La banque est accessible à l'adresse suivante:
http://www.Fritz-Bauer-Institut.de
BAS LES SLIPS
La puissante féodalité qui
s'appelle "préfecture de police de Paris", sans
équivalent nulle part, a procédé à
une réforme de ses services le 1er octobre dernier. C'est
ainsi que les affreux forfaits du révisionnisme sont dorénavant
confiés à une nouvelle brigade, officiellement appelée
"Brigade des affaires sanitaires et des libertés publiques".
On voit tout de suite ce qui, dans la pensée des ministres
socialistes qui se succèdent, permet de confondre "sanitaires"
et "libertés". Pour eux, tout ça finit
dans les mêmes chiottes. Mais ce qui nous apparaît
le plus heureux, c'est l'acronyme qui s'impose: Brigade
des Affaires Sanitaires et des LIbertés
Publiques : BASLIP, qui peut s'articuler en BAS SLIP. Ça
pourrait faire un bon titre pour une série à la
télé. Nous allons surement en entendre parler.
KÉPI QU'EST PIS
Donc, les BAS SLIP se sont mis au travail.
Ils ont reçu de Lyon et peut-être d'autres endroits
de France, des tracts séditieux. Et comme ces flics ont
du chou, ils se sont tournés vers un auxilaire, un chercheur
du CNRS qui arrondit ses fins de mois en aidant la police, un
certain Taguieff, qui fait pour eux des analyses de textes.
Le contexte, le style, tout ça, Taguieff c'est un espert,
il met les poulets au parfum. Il doit être jaloux du Pol
Pot d'Aubervillers, qui a bien réussi dans la carrière
d'auxiliaire de la polcie. Après tout, Taguieff, il travaille
dans la recherche. Un jour, il finira peut-être par
trouver.
T'ES ERRANT
D'après un hebdo chuiche, nommé
Dimanche.ch du 10 décembre 2000, Jürgen Graf
aurait choisi de résider pour un moment en Iran, au lieu
de la bonne prison suisse de Shönbrün (=jolifontaine)
dans le canton, assez arriéré, il faut le dire,
de Solothurn, que les Vaudois appellent Soleure. En effet, d'après
un article d'Emmanuelle Marendaz, élégamment titré
"La Suisse aux trousses d'un facho planqué en Iran",
Graf a éprouvé soudainement le besoin d'apprendre
le farsi. On sait évidemment que "farsi" est
la prononciation actuelle du vieux mot de nos études classique,
qui était "perse". Cet article nous apprend que
les autorités suisses ont alerté Ripol, le
système de recherche de la police fédérale.
Nous, ici, nous connaissons son frère, Ripou. En
fait la nouvelle a été donnée par le site
allemand National Journal, qui était diffusé
par <abbc.com>, récemment disparu. L'info
a été retransmise par les publications suisses Israelitischen
Wochenblatt et Jüdischen Rundschau qui ont ainsi
déclenché Ripol. Ils ont ajouté que Graf
avait demandé le droit d'asile, ce qui a été
démenti par Vérité & liberté.
POUBELLE
Descente
de police à Vichy...
- par
le Pol Pot d'Aubervilliers
- 21 décembre
2000
- Le 14 décembre
dernier, les policiers lyonnais chargés des diverses enquêtes
touchant au négationnisme comme l'affaire Plantin ou l'incendie
criminel de la bibliothèque interuniversitaire, se sont
déplacés à Vichy, sur commission rogatoire
délivrée par le juge d'instruction. Ils ont entendu
l'ex-chef des négationnistes français, le vichyssois
Robert Faurisson (voir notre édition du 20.03.2000), aujourd'hui
concurrencé dans l'abject par Roger Garaudy, et lui ont
posé une série de questions sur les courriers antisémites
anonymes qui se multiplient dans la capitale rhône-alpine.
- La première
série de ces envois avait touché le palais de justice,
en février 2000: les magistrats du Tribunal de Grande
Instance avaient été les destinataires de tracts
nominatifs accompagnés d'articles de Robert Faurisson
(voir notre édition du 10.08.2000). Les tracts, intitulés
"Lyon, capitale de la Résistance et du Révisionnisme",
étaient frauduleusement signés "Université
Lumière (Lyon 2), Université Jean Moulin (Lyon
3)" ce qui avait motivé un dépôt de
plainte des présidents des deux universités. Le
texte rendait hommage, indifféremment, à tous ceux
qui sont censés se battre contre "la puissance nocive
du lobby juif" et citait les noms de Pierre Zind, Jean Brière,
Jean-Paul Allard, François Robert ou Yves Lequin.
- A la rentrée,
ce sont les professeurs de la toute nouvelle Ecole Normale Supérieure,
ainsi qu'une responsable de l'Unef-id qui étaient visés
par les envois des négationnistes. Selon nos informations,
Robert Faurisson s'est déclaré étranger
à l'utilisation de ses écrits par des anonymes.
Il a d'autres soucis: après l'éviction de son ami
Serge Thion du CNRS (voir le dossier "CNRS, des taupes négationnistes
dans les labos"), les condamnations de Jean Plantin, les
demandes d'annulation des diplômes frauduleux (voir notre
édition du 06.11.2000), les dealers des sites internet
négationnistes ont enfin pris le temps de lire la prose
qu'ils hébergeaient. Ils ont coupé les robinets
des principales machines de haine comme Radio-Islam et aaargh. Ces derniers temps,
Robert Faurisson fait la manche sur un site anglais: il demande
de l'argent pour soutenir le combat de Thion, de Plantin et de
Berger, un prof de collège récemment condamné
à Sarreguemines pour des propos négationnistes
tenus en cours d'histoire.
- http://www.amnistia.net/news/articles/negdoss/polvichy/polvichy.htm
JUGE CRÉTIN
Falun
Dafa anticonstitutionelle?
L'Allemagne
veut-elle règner sur le monde?
- Protestation
contre la perquisition et la saisie de l'ordinateur dans l'appartement
de Peter Töpfer le 7 décembre 2000 à Berlin
-
- Le juge Schmidt
du tribunal de première instance de Berlin-Tiergarten
a lancé une perquisition chez Töpfer afin de trouver
des preuves de la responsabilité de Peter Töpfer
pour le site www.nationale-anarchie.de et pour le fait qu'il
y a mis un lien avec la communauté spirituelle chinoise
Falun Dafa (www.falundafa.org), souvent dite Falung
Gong dans les journaux français. Ces Chinetoques ont commis
l'acte extraordinairement criminel de mettre sur leurs sites
des svastikas, symbole solaire utilisé en Asie depuis
des millénaires, visible, encore aujourd'hui, sur de nombreux
monuments et pagodes bouddhistes, par exemple. Pour un juge berlinois,
un site qui s'appelle "anarchie nationale" (et qui
comporte des textes émanant de l'aaargh) et qui fait une
sorte bulletin qui s'appelle, en faisant un jeu de mot visuel
facile à comprendre en allemand «Auto: -chthon &
-nom», c'est-à-dire "Autochtone et autonome",
c'est déjà très dur à avaler. Si
en plus il y a des liens avec des sites à croix gammées,
alors là on tient un client dans la grande chasse à
tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à
du néo-nazzzzisme. Ces juges semblent encore plus crétins
que de vulgaires journalistes.
- La perquisition
était dès le début inutile, démesurée
et irrecevable. Il suffisait de se renseigner auprès du
provider (Strato AG). Peter Töpfer s'est tout de suite déclaré
responsable du site; cette déclaration ne figure pas sur
le procès verbal. La police en a profité pour fouiller
tout, faire des photos et confisquer l'ordinateur. Les vieilles
méthodes de la gestapo ont laissé des souvenirs.
- Pour soutenir
le combat judiciaire de Töpfer, un compte est ouvert chez
l'avocat Me Carsten Schrank: N· 0370223616, Dresdner Bank,
Berlin (BLZ 100 800 00), sous l'intitulé «Falun
Dafa Töpfer».
- Posez vos questions
et adressez vos protestations à: Pressestelle des
Amtsgerichts Berlin-Tiergarten, D-10548 Berlin. Ne dites
pas au juge Schmidt qu'il est un imbécile fieffé,
mais faites-le lui comprendre en douceur.
- Téléphone:
+49/30/9014-0. Numéro du dossier: 353 Gs 5446/00. Faites
circuler cette information avant que ce soit votre ordinateur
qu'on emmène
- Contact: Komitee
Falun Dafa Töpfer, courrier postal: c/o VdF, Pf. 350264,
D-10211 Berlin. Téléphone: +49/30/44049324 et +49/160/6811355,
fax: 0180/505255454419. Courrier éléctronique:
<[email protected]>
SISITES
Le gang des Jouanneau(x): www.memoire2000.asso.fr
Judy Cohen, editor /survivor/witness:
http://www.interlog.com/~mighty
Sujet: Les femmmmes et l'Holokkkkauste
SAMBA DES GNONS
- Siegfried Ellwanger
Castan, one of the pioneers of Holocaust Revisionism in Brazil,
was attacked and forced out of the 46th International Book Fair
in Porto Alegre. Mr. Ellwanger was an exhibitor at the event,
promoting revisionist titles released by a Brazilian publishing
house. Mr. Ellwanger was working at his booth when a group of
rowdy Antifas -- why do they always come out of the woodwork?
-- launched a verbal assault that escalated from words to spitting,
to pushing, to actual beatings. The local Police, instead of
offering protection to the victim, forced the revisionists out
of the Fair.
THE
QUIET AMERICAN
- France is dancing
on the very same slippery ice. American-based Yahoo! Inc. is
asking a U.S. federal court judge to block a French court's order
that it keep computer users in France from accessing online auctions
of Nazi paraphernalia -- and that it remove links to Revisionist
websites -- a request never publicized by the mainstream media
when writing about the Yahoo! judgment.
- One Judge Jean-Jacques
Gomez had ruled on May 22, 2000 that Yahoo! " find a way"
to prevent people in France from accessing English-language sites
that auctioned Nazi books, daggers, SS badges and uniforms.
- He reinforced
that ruling on November 6, 2000 and gave the California-based
company 90 days to install adequate filters -- or be fined 100,000
francs ($13,000) for each day it exceeded the deadline. In papers
filed in U.S. District Court in San Jose, attorneys for Yahoo!
said the French court violated the company's free speech rights
and does not have jurisdiction over content produced by
an American business.
- Yahoo! asked
the U.S. court to reassure the Internet industry that such orders
are unenforceable.
On sait que depuis, la grande défenseuse de la liberté
d'expresssion a spontanément retiré de la vente
ces fameux objets nazis...
ÇA MONTE
Antisemitism in Germany is not only increasing
but becoming more overt, according to the chairman of the
Central Council of German Jews, Paul Spiegel. Spiegel is quoted
as saying that "the lack of inhibition being shown in recent
months almost beggared (?) imagination."
"I am not speaking about anonymous
letters but of letters which are signed with complete names, about
e-mails and about open events," Spiegel said, and added "I
am being accused, not in public bars but in high society, of encouraging
antisemitism -- and the Jews are accused of opening their mouths
too wide -- because (we) are demanding memorials or -- lately
--compensation payments."
At the beginning of the year, Spiegel claimed,
about 3 per cent of his mail was abusive. But from about the summer,
that had increased to 30 per cent, he said. And speaking of reparations,
nothing and no one seems to be safe from these noxious, predatory
attacks. Now it's the government of Lichtenstein, a tiny principality,
which was forced to announce it would be setting up a panel of
historians"... to examine whether it compromised its World
War II neutrality toward the Nazis." A government statement
promised an "independent panel" would look into recent
accusations by the World Jewish Congress that it ''allegedly helped
the Nazis in the wartime and postwar period.''
C'est sûrement grâce au Lichtenstein
que l'Allemagne nazie a pu durer si longtemps...
PAS FOLLE LA GUÈPE
Israel
won't sign treaty on war crimes court
- By
Aluf Benn
-
- Israel will
not sign a treaty this month to establish an international war
crimes court, Prime Minister Ehud Barak decided yesterday.
- Barak will
bring this decision to the cabinet for approval next week. Israel
will still be able to join the court any time during the next
two years, but it will now have to ratify as well as sign the
treaty, and to amend its own laws accordingly. Until the end
of this month, countries were allowed to sign without ratifying.
- Barak has thus
adopted the position of Attorney General Elyakim Rubinstein.
Rubinstein said that while Israel attaches great moral importance
to the establishment of the court, the treaty defines the settlements
as a war crime. Therefore, if Israel were to sign the treaty,
it would effectively be accepting this formulation, when its
goal instead is to change it, Rubinstein said.
- Rubinstein,
and the defense establishment, also fear that if Israel joins
the court, Arab countries will try to have IDF officers indicted
for actions they have taken during the current Intifada. The
IDF therefore opposes signing as long as Israel is in a state
of war.
- Justice Minister
Yossi Beilin and Foreign Minister Shlomo Ben-Ami, in contrast,
both advocated signing. Beilin argued that signing without ratifying
would have no practical consequences; it would merely
express Israel's support in principle for such a court.
- Barak acknowledged
that there would be some advantages to signing from the perspective
of international relations, but warned that it would also have
moral and practical consequences.
- Furthermore,
he said, the issue is inextricably linked to the progress of
the peace process.
- Barak noted
that the United States has also refused to sign -- like Israel,
due to fear of legal persecution of its officers and soldiers.
- Ha'aretz, 25 décembre
2000
- Last minute: Israel agreed at the
last minute yesterday (31 Dec.) to sign the Rome Statute for
the establishment of an International Criminal Court. The signature
came with a qualification designed to protect Israel from world
sanctions against its towns in Judea and Samaria, including Jerusalem
neighborhoods such as Gilo and Ramat Eshkol..
YOYO LE TERRIBLE
L'avocat israélien Yoram Sheftel
nous est connu par le rôle extraordinaire qu'il a su jouer
dans l'ignoble procès Demjanjuk. Il avait réussi
à retourner le tribunal israélien comme une crêpe.
Il a fait un livre traduit en français, L'Affaire Demjanjuk
- Les secrets d'un procès spectacle, paru chez JC Lattès
en 1994, qui est un grand moment dans la littérature à
suspense. Il vient de se signaler en demandant à la Cour
suprême d'interdire au premier ministre démissionnaire
de conclure des accords avec les Palestiniens.
COCHONS
D'ARTISTES OU ARTISTES COCHONS ?
On sait que le révisionnisme est
en seconde ligne dans les grandes visées répressives,
tout de suite après la "pédophilie" ou
"pornographie enfantine" ou plus simplement "pornographie".
C'est pourquoi, sans porter de jugement sur la grande variété
de faits et de situations que ces mots recouvrent, assez mal d'ailleurs,
nous prêtons attention au discours des amateurs et des mateurs
de répression. Nous avons été envahis d'une
douce hilarité à la lecture d'un article d'une incertaine
Bédarida Catherine, probable fille du poulpe des fauteuils
académiques, bien connu de nous, dans Le Monde du
21 décembre. Elle co-écrit son billet avec une Courtois
Claudia, ce qui nous interpelle aussi quelque part (mais où
donc?). Ces deux poulpeuses évoquent une exposition bordelaise
qui se pare d'une titre politiquement correct: "Présumés
innocents", sous-titrée "L'Art contemporain et
l'enfance", rassemblant des oeuvres de quelque 80 créateurs.
Vingt-cinq de ces artistes font l'objet d'une plainte pour "images
et représentations d'enfants présentant un caractère
pornographique, violent, portant atteinte à la dignité
humaine", plainte déposée par l'association
La Mouette, d'Agen. Une Madame Gourgue, (on n'invente pas) présidente
de la Mouette, souhaite la destruction des oeuvres exposées.
A l'exposition, "de nombreux avertissements étaient
diposés avant les caisses d'entrée", signe
que les exposants n'étaient pas trop tranquilles.
Cette affaire est digne de Clochemerle,
sans doute. L'idée de voir des "kréateurs kontemporains"
venir expliquer à la barre l'aspect génial de leurs
travaux (peut-être des "installations"?) est également
fort réjouissante. Mais ce qui est beaucoup plus effrayant,
c'est l'iconoclasme montant, l'idée que la représentation
du fait doit subir la même condamnation que le fait; cette
naïve supposition que ce qui est représenté
est en quelque sorte une réalité et que les auteurs
de cette représentation doivent être jugés
comme s'ils étaient eux-mêmes les fabricateurs de
la réalité, cette bêtise-là est proprement
effrayante. Notre société devient tellement imbécile,
tellement inculte, qu'elle ne distingue plus entre la violence,
totalement condamnable, faite à tel ou telle enfant, et
l'érotisme trouble de tel tableau de Balthus. Il faudra
bientôt mettre Balthus en taule et détruire ses toiles.
Est-ce qu'on aura, ce faisant, sauvé une jeune fille, de
la méchanceté avide et de la bêtise à
cornes?
Sur cet arrière fond, on comprend
peut-être mieux l'hostilité qui entoure le révisionnisme:
il touche à des images pieuses, il propose même,
véritable sacrilège, de modifier, de retoucher ces
images de mort, de violence, dont le sexualisme n'est d'ailleurs
pas toujours bien circonscrit. Le refus de l'image a des racines
"juives" dans la mesure où le judaïsme est
la seule religion qui proscrive l'image (bien qu'il ait probablement
emprunté cette attitude au stoïcisme) et que ce virus
s'est transmis ensuite à l'islam et à certaines
parties de la chrétienté, surtout chez les orthodoxes
et les protestants, sans jamais atteindre l'aniconisme radical
que les juifs ont adopté vers le IIIe siècle ap.
J.-C. Le Saint des Saints, dans le Temple de Jérusalem,
était, comme on le sait, un cubicule vide de représentation.
Exactement comme la magique chambre à gaz, Saint des Saints
de la nouvelle religion zolo. L'existence d'une effigie, d'une
image, a l'extraordinaire inconvénient d'invalider toutes
les images imaginables, si fantastiquement, infiniment et potentiellement
nombreuses.
FUMETTE
D'après le Centre international de
lutte contre le tabac, de Genève, "en fumant on inhale
jusqu'à 4000 substances chimiques, dont ces poisons":
chlorure de vinyle, DDT, cadmium, phénol, dibenzacridine,
naphtalène, arsenic, diméthylnitrosamine, toluène,
pyrène, uréthane, méthanol, ammoniac, naphtylamine,
acétone, et pour ceux qui auraient résisté
à tous ça, acide cyanhydrique "(employé
dans les chambres à gaz)". Vite, un peu d'air!
ZOLO C'EST TROP
Encore une protestation contre le cultre
zolocostique, émanant d'un membre du centre mondial du
culte...
- Too many books
are written on the Holocaust. There are too many films and television
plays that exploit the subject... There is a fascination with
the Holocaust and with Nazism. There may, in fact, be "no
business like Shoah business." The problem is that many
of these productions, if not most, are historically inaccurate,
sentimental, romantic, exotic and hyperbolic, and so they ultimately
distort and cheapen the Holocaust.
- The popularization
and commercialization of the Holocaust is not only unhistorical
but it is antihistorical. Over time, it will inevitably subvert
the historical sense and strip it of any moral implications
it may carry.
- Dr. Michael
M. Dobkowski, Professor of Religious Studies at Hobart and William
Smith Colleges, in Martyrdom and Resistance (published
by the International Society for Yad Vashem, New York City),
Sept.-Oct. 1990, p. 4.
BOURREAUX VOLONTAIRES
Confession d'un zolomaniaque, Stanley Milgram:
- "At the
wonderful International Conference on the Holocaust,
Lessons and Legacies VI - The presence of the Holocaust,
Nov. 17-20, I attended the most fascinating, interesting, spellbinding
and very well presented lecture by James Waller, Professor of
Psychology at Whitworth College, Spokane, WA: "Perpetrators
of Genocide -- An Explanatory Model of Extraordinary Human Evil."
- The presentation
was about "mass killing and genocide," "willing
executioners" and "rank-and-file killers. ... The ordinary
men and women at the bottom of the hierarchy who personally carried
out the millions of executions. ... The goal of this presentation
is to offer a psychological explanation of how people come to
commit extraordinary evil." Waller discuss previous work
on the extraordinary origins of extraordinary evil, specially
the relevant one on obedience to authority."
Ah! les profs de psychologie... belle bande
de charlatans... Ils feraient mieux de nous expliquer comment
les braves types du Tennessee ou de l'Oregon sont allés
bombarder les villages du Viêt-Nam, comment ils ont napalmé
les femmes et les enfants, comment ils ont torturé et exécuté
les prisonniers. Il y a eu trois ou quatre millions d'amères
loques qui ont fait le voyage du Nam. Comme bourreaux volontaires,
ils auraient beaucoup à dire. Avant de raconter des salades
sur les Allemands, qui n'étaient pas des saints, ils feraient
mieux de balayer devant leur porte, comme les Français
pourraient bien, aussi, balayer devant la leur. La presse française
découvre soudain que "350.000" anciens soldats
d'Algérie souffriraient de troubles psychologiques dus
à leur comportement pendant la guerre, qui ne s'appelait
pas la guerre. D'où vient de chiffre aussi prodigieux qu'insensé?
D'une extrapolation faite à partir des études de
stress des psy américains sur les GIs envoyés au
Viêt-Nam et recollée sur la situation française.
Autrement dit, un vrai tissu de conneries. Le seul truc qui reste
à faire, et qui semble à nos "dirigeants"
aussi difficile que la digestion d'une enclume, même bien
cuite, c'est de dire la vérité.
COUP
DE SAVON
Il y a à Bucarest un musée
juif. On sait que le bas-Danube a fourni quelques uns des plus
toxiques de tous les activistes juifs de toute l'Europe, Wiesel,
Klarsfeld, et beaucoup d'autres. Ce musée offrait à
la contemplation des foules des barres de "savon juif"
jusqu'à l'été dernier. Et puis, le révisionnisme
faisant les ravages que l'on sait, jusque sur les bords du beau
Danube bleu, les autorités du musée ont discrètement
retirés les savons. On les a retirés à cause
des "doutes sur leur authenticité" a dit Sorin
Iulian, le secrétaire général de la fédération
des communautés juives (environ 12.000 personnes). Le 28
décembre, deux hommes sont entrés dans le musée
en demandant à voir les savons. Ils ont insisté
et, soupçonnant peut-être le musée de sombrer
dans le révisionnisme; ils ont entrepris de tout casser
et de dérouiller les gardiens. La police est arrivé
trop tard pour les appréhender.
Pourtant, c'est pas dur de montrer un bout
de savon...
Jewish Telegraphic Agency, 29 décembre 2000
http://www.virtualjerusalem.com/articles/719001.htm
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