AAARGH
| Accueil
général | Accueil
français |
N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues, le numéro
1 est là,
le numéro
2 et
le numéro 3
sont arrivés...
Conseils
de révision
Actualités
de décembre 2001
COUCOU
SUISSE
Le révisionniste
Gaston-Armand Amaudruz ira en prison
- Le Tribunal
fédéral rejette le pourvoi en nullité du
négationniste - Peine de trois mois de prison ferme confirmée
- Confiscation des ouvrages révisionnistes
Lausanne (AP) Le révisionniste vaudois Gaston-Armand Amaudruz
n'échappera pas à la prison. L'octogénaire
devra purger une peine de trois mois ferme pour discrimination
raciale. Dans un arrêt rendu public vendredi, le Tribunal
fédéral a en effet rejeté un pourvoi en
nullité formé par l'auteur du «Courrier du
continent». Les documents racistes incriminés seront
confisqués.
En avril 2000, le Tribunal correctionnel de Lausanne avait reconnu
Amaudruz coupable de discrimination raciale pour la publication,
dans son bulletin le «Courrier du continent», de
trois articles jugés attentatoires à la dignité
des juifs en général et à la mémoire
des victimes de l'Holocauste. Le vieux militant affirmait ne
pas croire aux chambres à gaz et qualifiait d'impossible
le chiffre de six millions de victimes juives.
Dans son arrêt de vendredi, le Tribunal fédéral
statuait sur un pourvoi en nullité formé par Amaudruz
contre l'arrêt du 20 novembre de la Cour de cassation vaudoise,
qui avait pourtant ramené dans l'intervalle sa peine d'emprisonnement
d'un an à trois mois ferme.
Pour les juges de Mon-Repos, il ne fait aucun doute que le contenu
des articles écrits et publiés par Amaudruz va
au-delà de la mise en doute du nombre de victimes de l'holocauste
et de la négation de l'existence des chambres à
gaz. L'octogénaire a bel et bien agi pour des mobiles
racistes et antisémites.
Sursis impossible
Le Tribunal fédéral a par ailleurs confirmé
que les conditions du sursis n'étaient pas réunies.
Le comportement d'Amaudruz au tribunal et ses critiques contre
la loi font en effet douter de sa volonté d'amendement.
Le fait de publier l'article «Vive le révisionnisme»
quelques jours avant son premier procès était révélateur,
selon les juges.
Amaudruz estimait également n'avoir commis aucune infraction
en mettant en vente le livre «Grundlagen zur Zeitgeschichte»,
écrit par 15 révisionnistes, dans la mesure où
aucune vente effective n'a eu lieu. Les juges ont rejeté
cet argument. L'unique fait à retenir est qu'en mettant
en vente cet ouvrage, l'octogénaire a publiquement nié,
minimisé grossièrement ou cherché à
justifier un génocide. De surcroît, il l'a fait
consciemment.
Documents confisqués
Le révisionniste contestait aussi avoir agi publiquement.
Les juges de Mon-Repos ont considéré au contraire
que le cercle des destinataires du «Courrier du Continent»
n'était pas un cercle fermé. En 1995, Amaudruz
diffusait son bulletin à environ 200 abonnés, ainsi
qu'à divers destinataires, notamment des services de presse.
Certaines personnes ont reçu un exemplaire du journal
sans même l'avoir demandé.
Enfin, le Tribunal fédéral a prononcé la
confiscation de plusieurs revues et ouvrages en possession d'Amaudruz
contenant des propos discriminatoires, révisionnistes
ou négationnistes. Dans un premier temps, le procureur
général du canton de Vaud avait aussi formé
un pourvoi en nullité contre la décision de la
Cour de cassation vaudoise, mais l'avait retiré par la
suite.
AP, Vendredi 2 novembre 2001.
<http://www.edicom.ch/news/suisse/011102122247.fr.shtml>
Le jour même de cette condamnation, un journaliste du canard
suisse Matin, Jean-A. Luque, s'est rendu au domicile de
G. A. Amaudruz pour l'interviewer. Voici l'article du Matin
paru le samedi 3 novembre 2001, p. 3:
- "Ah bon! Vous me
l'apprenez. Le Tribunal fédéral vient de confirmer
ma condamnation à 3 mois de prison ferme? Cela ne m'étonne
guère. Je n'ai pas encore reçu le jugement par
la poste. Mais j'imagine qu'on va me laisser le temps de préparer
ma valise..." Debout sur le pas de la porte de son appartement
lausannois, Gaston-Armand Amaudruz n'a pas très envie
de s'exprimer. Il accepte toutefois de livrer quelques réflexions.
Sandales aux pieds, vêtu d'une simple robe de chambre,
le vieil homme ne paie pas de mine. Mais ce n'est pas le retraité
de 81 ans, raide comme un piquet, qui a été condamné
par la justice. Non, c'est "l'intellectuel et idéologue
qui constitue un maillon indispensable dans la nébuleuse
de l'extrême droite" qui est puni. C'est l'antisémite
nazi, diffuseur de thèses révisionnistes,
qui est envoyé derrière les barreaux. Gaston-Armand
Amaudruz n'a que faire des juges helvétiques et
il le dit haut et fort: "Les tribunaux qui s'appuient sur
l'article 261bis peuvent condamner n'importe qui à ce
qu'ils veulent. Cette loi sur la discrimination raciale, c'est
absolument n'importe quoi. J'en suis la preuve. Le procureur
avait requis 15 mois d'emprisonnement contre moi. Les juges de
première instance, en novembre 2000, s'étaient
arrêtés à 12 mois. Après mon recours,
la Cour cantonale vaudoise n'en a plus retenu que trois. C'est
une véritable loterie."
- "La loi sur la
discrimination raciale est une véritable loterie"
- Une loterie qui s'appuie
toutefois sur des éléments concrets. Le Tribunal
fédéral n'a pas tenu compte des quarante ans
de révisionnisme de l'accusé. Mais il retient
à son encontre qu'il a rédigé en 1995 trois
articles manifestement racistes, et qu'il a proposé un
ouvrage révisionniste aux abonnés de son bulletin
Courrier du Continent. Quant à l'octroi du sursis,
les magistrats fédéraux sont péremptoires:
le condamné ne le mérite pas. Il s'était
permis de publier quelques jours avant son procès un article
intitulé "Vive le révisionnisme", où
il niait l'existence des chambres à gaz. Impossible
dans ces conditions de poser un pronostic favorable. "Vous
croyez vraiment que m'emprisonner va résoudre les problèmes
du gouvernement, ironise Gaston-Armand Amaudruz. Il n'y aura
pas moins de criminels en activité, ni de trafiquants
de drogue dans les rues. Et ce n'est pas comme ça qu'on
va renflouer les caisses de Swissair." "De toute manière,
poursuit le vieillard, je vais étudier les considérants
du Tribunal fédéral. Il y a de fortes chances que
je fasse recours à Strasbourg, à la Cour européenne.
C'est une question de principe. Je n'ai jamais pu faire entendre
mes témoins, notamment Robert Faurisson (n.d.l.r.: un
révisionniste français notoire). Il y a eu un déséquilibre
entre l'accusation et la défense." Cet acharnement
à repousser l'inévitable échéance
cacherait-elle une peur de la prison? "Vous n'y êtes
pas, rétorque l'octogénaire. A mon âge, il
n'y a plus grand-chose qui me fasse peur. Et je n'ai plus grand-chose
à perdre." Agacé, impatient de refermer sa
porte et de retrouver son univers de bouquins et d'idées
poussiéreuses, Gaston-Armand Amaudruz distribue encore
vite un exemplaire de son Courrier du Continent du mois
de novembre: "Tout ce que j'ai à dire est écrit
là, noir sur blanc." Et une fois de plus, le vieux
raciste persiste et signe dans ses convictions. On peut notamment
lire sous sa plume en page 11: "N'importe quel révisionniste
est condamné d'avance. Il n'a aucun moyen de se défendre,
car les chambres à gaz sont considérées
comme de notoriété publique. On ne doit pas les
mettre en doute, ni les réfuter par des preuves... Nous
y reviendrons." Dont acte.
Ce qui dit ce vieil homme est vrai:
les révisionnistes sont condamnés d'avance. Alors
pourquoi ces simagrées de procès ?
LA
BONNE VIEILLE CULTURE JUIVE
Les autobus qui desservent "l'enclave
religieuse" de Bnei Brak à partir d'Egged, en Palestine
occupée, et quelques autres lignes de bus privées
ont instauré un système ségrégationniste
pour éviter que les hommes et les femmes s'assoient sur
les mêmes sièges. Les hommes devant et les femmes
derrière. C'est la tradition orthodoxe. D'ailleurs, on
va appliquer les mêmes règles aux arrêts de
bus.
Source: Reuters, Jérusalem, 25 octobre 2001
<http://news.excite.com/news/r/011025/10/odd-israel-segregation-dc>
@@@
Lisez tous les textes de Shamir
(en français, en anglais ou en espagnol) à notre
page "Shamir".
Banquiers
et voleurs
Israël Shamir
- "L'Holocauste suisse
: un mythe", titrait le Times samedi dernier (13
octobre ), baissant ainsi le rideau sur ce qui restera dans les
annales comme un cas d'extorsion de fonds et de pure escroquerie,
tortueux et des plus détestable. Tout avait commencé
en 1995, lorsque deux personnalités notables, Edgar Bronfman,
président du Congrès juif mondial, et Abraham Burg,
étoile montante du monde politique israélien, avaient
demandé à rencontrer les dirigeants des banques
suisses, se disant chargés d'une mission humanitaire.
"Vous avez dans vos coffres, des millions de dollars déposés
par des juifs avant la seconde guerre mondiale, leur avaient-ils
dit. Nous voulons que ces dépôts soient immédiatement
restitués -- il vous reste peu de temps -- aux survivants
de l'holocauste. Faites en sorte qu'au moins ils puissent terminer
leur existence en jouissant d'un certain confort."
- Bronfman et Burg ne sont
pas n'importe qui. Ils appartiennent à la catégorie
des hommes influents auxquels banques et compagnies d'assurance,
s'extirpant de leur trompeuse mort clinique, accordent généralement
une oreille attentive...
- Edgar Bronfman est l'heureux
héritier des milliards de son père, Sam, un parrain
de la Mafia. Sam a fait fortune grâce au trafic illégal
d'alcool aux Etats-Unis: il fabriquait ses spiritueux au Canada
et les passait en contrebande par les Grands Lacs, par l'intermédiaire
de son réseau de bandits. Cela se passait à l'époque
de la célèbre Prohibition. Mais Sam Bronfman retirait
encore bien plus de profits de son activité de requin
de la finance.
- Peu avant sa mort, un
journaliste lui demandant quelle était la plus grande
invention de l'Homme, il avait répondu: "le prêt
à intérêt" (authentique).
- Des capitaux extorqués
par des moyens criminels et en pressurant des débiteurs
peuvent aussi faciliter les carrières politiques. Il en
va ainsi dans la politique juive, tant il est vrai que on n'a
pas besoin d'être élu pour devenir quelqu'un d'important.
Il suffit de louer deux pièces dans une tour et d'apposer
sur les portes une plaque quelconque, "Association des juifs
du monde", "Assemblée des Survivants" ou
"Front de libération juive", et l'affaire est
faite. Aucun droit d'auteur ne protègent ces noms. Le
Congrès juif mondial dudit Bronfman n'était rien
d'autre, au départ, qu'une associations prête-nom
au nom ronflant. Avant Bronfman, ce Congrès était
présidé par tel ou tel personnage d'allure patriarcale,
comme Nahum Goldmann, mais cela ne faisait de mal à personne.
Mais, avec Bronfman, changement de décor: le Congrès
juif mondial devient une centre de pouvoir.
- Abraham Burg (Avrum pour
les intimes), président du parlement israélien
et candidat à la présidence du parti travailliste,
est le fils d'un homme politique israélien très
connu, leader du Parti national religieux, le Dr Burg, qui a
servi tous les gouvernements d'Israël en qualité
de ministre, quarante années durant, jusqu'à sa
belle mort. Avrum a suscité un joli brouhaha, lors de
l'émission Nightline de la chaîne de télévision
américaine ABC, le 2 août dernier, lorsqu'il a dit
que les Palestiniens étaient un "des gens auxquels
on ne marierait pas sa fille ". Avrum avait besoin d'un
chaperon pour stimuler sa carrière politique, au moment
même où Bronfman avait, lui, besoin d'un partenaire
israélien fiable, pour mener à bien son plan...
- Aucune banque ni aucune
compagnie d'assurances ne sauraient se permettre de refuser de
recevoir des personnages aussi importants. Après avoir
résisté quelque temps, les nains de jardin helvétiques
cédèrent, et les grosses-têtes juives repartirent
avec leurs gros pacsons. "Ah, là... ces juifs veulent
voler nos banques et nos compagnies d'assurance sous prétexte
de leur holocauste", ont probablement fulminé les
Suisses. Bien à tort.
- Alors que cette histoire
avait commencé à la manière des Protocoles
des Sages de Sion nouvelle manière, la suite se déroule
plutôt selon le scénario du film Provocation
[?]. Six ans ont passé, mais pratiquement pas un dollar
n'est ressorti des griffes des commissions internationales créées
par Bronfman et Burg. Les survivants juifs de l'Holocauste n'ont
pratiquement rien reçu. Les picaillons avaient été
subtilisés par ceux-là même qui exigeaient
réparation pour les victimes...
- Récemment, un journal
de grande audience, le Los Angeles Times [en français et en anglais
sur ce
site] écrivait:
"Une commission internationale créée afin
de résoudre les contentieux d'assurances concernant la
période de l'Holocauste aurait versé plus de 30
millions de dollars en salaires, frais d'hôtel et encarts
publicitaires dans la presse, ne distribuant que 3 millions de
dollars aux ayant droits". Les membres de la commission
en ont fait une agence de voyage de luxe et un club de loisirs,
poursuivait le Los Angeles Times : "Les documents
montrent que, depuis 1998, la commission a tenu plus de 18 congrès,
avec jusqu'à une centaine de participants, dans des grands
hôtels de Londres, Jérusalem, Rome, Washington et
New York. En ce qui concerne, cette fois, la question du travail
forcé, le journal The Independent [en
français
et en
anglais
sur ce site] indique
que, "tandis que les victimes de l'Holocauste recevront
(peut-être) entre 2.500 et 7.500 dollars, les juristes
qui ont négocié l'arrangement (sur l'indemnisation
du travail forcé) recevront chacun des honoraires dépassant
le million de dollars".
- Et voilà que le
Times révèle maintenant que les banques
suisses ont vérifié les comptes dormants et qu'elles
ont constaté qu'ils n'appartenaient même pas à
des victimes juives de l'Holocauste... Ils appartenaient, pour
la plupart d'entre eux, à "des personnes très
aisées, non juives, qui avaient oublié leurs bas
de laine". Si les Suisses ont effectivement payé
un million et demi de dollars à Bronfman et Burg, ce n'est
certainement pas parce que les récriminations de ces deux
personnages les auraient convaincus. Ils ont déboursé
cette somme parce qu'ils n'avaient pas le choix: Bronfman (avec
son acolyte Mark Rich) était un important supporter du
Président Bill Clinton, et Clinton aurait en cas de nécessité
posé la même requête avec des moyens beaucoup
plus "appuyés", vraisemblablement juste en-deçà
d'une campagne de bombardements sur la Suisse.
- Certains éléments
de cette histoire commencent à faire surface. C'est le
cas, notamment, dans l'ouvrage du professeur à l'Université
de New York Normam Finkelstein, un best-seller: L'industrie
de l'Holocauste, objet de moult controverses [cf.
notre traduction et notre dossier très dense sur l'affaire]. Finkelstein s'est insurgé contre les méthodes
d'extorsion de fonds pratiquées par les organisations
juives. Ces dernières l'ont accusé de mensonge
et d'antisémitisme. Aujourd'hui, un an après la
parution de son livre, de nouveaux détails, inattendus
et croustillants, sur des manoeuvres sordides, commencent à
"transpirer". Si ces renseignements sont confirmés,
nous avons affaire à la plus grande escroquerie du vingtième
siècle.
- Apparemment, le professeur
Finkelstein a commis quelques erreurs : au grand dam des pourfendeurs
de juifs, les victimes de l'escroquerie n'ont pas été
seulement les banques et les compagnies d'assurances, mais des
gens ordinaires, d'origine juive, eux. Et, n'en déplaise
aux "philo sémites", les truands étaient
bien les dirigeants juifs autoproclamés, qui prétendaient
représenter le peuple juif.
-
- II - L'homme qui est à l'origine
de cette découverte est bien différent du professeur
new-yorkais Finkelstein. Martin Stern est un homme d'affaires
britannique prospère et très engagé dans
les affaires immobilières, ainsi que dans la cause judéo-sioniste.
Il travaille à Londres et passe ses loisir dans son vaste
appartement du quartier orthodoxe de Jérusalem. Il ne
manque pas une prière à la synagogue de quartier,
pratique la charité et aime sincèrement Israël.
Une rencontre fortuite, avec un banquier suisse, à Villar,
prestigieuse station des Alpes suisses, a été l'origine
du "démontage" des revendications relatives
à l'Holocauste. Le banquier raconta à Stern une
anecdote intéressante. Sa banque, l'Union suisse (USB),
en procédant à un inventaire informatique de ses
comptes pour 1987, avait découvert qu'elle détenait
de nombreux comptes en déshérence depuis 1939.
Les dirigeants de la banque en vinrent à conclure que
ces quarante-cinq millions de francs suisses environ (équivalant
à environ 30 millions d'euros) appartenaient vraisemblablement
à des juifs disparus pendant la dernière guerreou
après.
- "Nous ne voulions
pas conserver la garde de l'argent d'autres (que nos clients),
-- lui avait expliqué l'honnête banquier suisse,
-- "c'est pourquoi nous avons demandé au Congrès
juif mondial de nous aider à trouver les héritiers
de ces fonds. Le Congrès a alors répondu : "Ce
n'est pas à l'ordre du jour". Les Suisses, vexés
de cette rebuffade, ont transféré les quarante
cinq millions de francs à la Croix Rouge.
- Cette histoire frappa
Martin Stern qui l'évoqua à la radio israélienne.
Quinze jours après, "incidemment", Bronfman
et Burg frappaient à la porte de la Corporation des banques
suisses, exigeant le grisbi. Comme nous l'avons déjà
indiqué, ils l'ont obtenu. Mais, petit détail :
ils l'ont gardé pour leurs petites dépenses personnelles.
Martin Stern, se sentant en partie responsable, s'est efforcé
de suivre les développements de l'affaire.
- La manière dont
l'"argent de l'Holocauste" était manipulé
lui causa des inquiétudes sans cesse grandissantes. Après
déduction des salaires de ses membres, la conférence
des "Réclamations" dépensa plus de quarante
millions d'euros dans des envois de colis alimentaires aux juifs
de Russie. Bronfman et Burg n'ont pas pipé mot là-dessus
lorsqu'ils sont allés demander aux banques suisses d'accélérer
le paiement aux survivants, aux ayants droit légitimes.
Leurs priorités auraient-elles changé ?
- Des circonstances familiales
ont amené Stern à prendre connaissance d'une histoire
liée au scandale des Assurances Generali. Avant la Seconde
guerre mondiale, les Generali étaient une grande compagnie
d'assurances italienne, dont les propriétaires étaient
des juifs italiens. "Avant la guerre, de nombreuses compagnies
d'assurance étaient entre les mains de juifs, et il faut
savoir qu'à cette époque-là, l'assurance
était la banque des gens modestes", explique Stern.
La Generali possédait des biens énormes en Palestine,
ainsi que dans les Balkans et, bien sûr, en Italie. En
dépit de la guerre, du fascisme italien et de l'Holocauste,
la Generali a conservé ses relations avec les juifs, ne
voulant pas suivre l'exemple des Suisses et des Allemands, et
elle a nié avoir conservé une trace quelconque
des polices d'assurances conclues avant-guerre. Stern a mené
l'enquête, à ses frais, et a réussi à
localiser les entrepôts ultra-secrets où les patrons
de Generali conservaient les polices d'avant-guerre. Il a découvert
que la Generali devait des sommes colossales aux héritiers
de ses assurés. Sa découverte a contraint la Generali
à changer d'attitude et à accepter de payer, en
manifestant le désir de liquider individuellement ses
dettes auprès de chacun de ses assurés, individuellement.
-
- III - Ainsi, dans le cas où la
personne décédée n'aurait pas été
juive, ses héritiers auraient reçu la valeur de
rachat de son assurance directement de la compagnie d'assurance
concernée, ou d'une banque. Mais, comme vous l'avez certainement
subodoré depuis le début, nous, les juifs, nous
ne sommes pas comme les autres. Nous sommes différents
des autres, parce que nous sommes plus naïfs qu'à
notre tour. C'est pourquoi nous trouvons normal de passer par
un intermédiaire -- les responsables juifs -- pour traiter
avec le vaste (et largement gentil) monde.
- Depuis 1950, les responsables
juifs ont fait fortune en s'érigeant en intermédiaires,
les compensations (financières) n'allant pas directement
aux ayants droit et aux rescapés, mais atterrissant dans
les mains collantes des responsables. Les juifs israéliens
auraient dû recevoir, en théorie, dédommagements
et pensions via des canaux financiers israéliens, tandis
que les juifs européens reçurent leur argent directement
des goyim (les non-juifs, Ndt). Et, oh, surprise: les
survivants payés par l'intermédiaire de mains juives
ont toujours reçu moins, et parfois beaucoup moins. L'Etat
juif, les banques juives et les organisations juives se sont
sucrés sur chaque transaction, et ils ont pour cela tiré
sur toutes les ficelles financières imaginables. Lorsqu'en
Israël l'inflation flambait, les pensions versées
aux survivants de l'Holocauste étaient immanquablement
indexées à un taux inférieur, tandis que
Les banques avaient toujours du retard dans leurs versements...
- Lorsque les juifs russes
arrivèrent massivement en Israël, les dirigeants
juifs signèrent un accord avec l'Allemagne afin qu'elle
abreuve les rescapés. Une part énorme des fonds
donnés par l'Allemagne resta entre les mains des organisations
juives, des intermédiaires et autres répartiteurs.
- Quiconque faisait confiance
à nos frères juifs l'avait dans le baba, puisqu'aussi bien escroquer ses
coreligionnaires est le passe-temps favori des escrocs juifs,
qu'ils soient banquiers ou dirigeants. Un cynique pourrait dire
que la notion même de peuple juif est une invention géniale
de ces escrocs. Du temps de nos grands-parents, cela ne marchait
pas du tout aussi bien, car les juifs savaient très bien
qu'un escroc juif était capable d'"avoir" un
juif aussi facilement qu'un goy, et même, vraisemblablement
plus facilement... Mais, de nos jours, nous avons oublié
cette importante notion.
-
- IV - Après que Martin Stern ait
retrouvé les polices d'assurance, la société
Generali se fit plus coopérante et accepta de payer. Mais
les hommes politiques israéliens et juifs voulaient rester
en piste. Ils négocièrent une convention d'agrément
avec la Generali, au nom des porteurs de polices d'origine juive.
C'était une idée incroyable: que les juifs soient
un groupe religieux ou un groupe ethnique, peu importe: s'ils
ont souscrit des assurances-vie, c'est certainement à
titre personnel. De plus, ils n'ont jamais mandaté un
quelconque politicard israélien pour les représenter.
Mais les hommes politiques négocièrent l'accord,
néanmoins, et reçurent à ce titre cent millions
d'euros, qu'ils baptisèrent "Fonds Generali",
dans lequel ils se mirent immédiatement à puiser
à pleines mains comme dans leurs propres économies...
oubliant de défendre les intérêts des souscripteurs
juifs clients de la Generali, à moins que -- ce qui est
fort probable -- qu'ils n'aient jamais considéré
ces intérêts que comme une clause de style.
- En juin 2001, le Fond
Generali ne liquida que 72 dossiers sur 1250... On balada les
autres souscripteurs, on les débouta sans motif ou bien
ils ne reçurent jamais de réponse. En désespoir
de cause, certains s'adressèrent aux Italiens, qui payèrent
sans barguigner. Encore une preuve, si besoin était, que
les juifs n'ont aucun besoin d'intermédiaires juifs. Pendant
ce temps-là, les gardiens du "Fonds" procédaient
à 270 "paiements gracieux, à titre humanitaire"...
- Ils envoyèrent
des colis alimentaires aux juifs russes, afin de les attirer
en Israël. Je suis sûr que les assurances Generali
auraient été très heureuses de nourrir les
juifs russes afin d'augmenter leur zèle sioniste, mais
pourquoi nos hommes politiques israéliens ne l'ont-ils
pas carrément manifesté, lorsqu'ils ont négocié
leur fameuse convention avec cette compagnie ?
- Martin Stern a découvert
que les "gérants" du Fonds Generali prenaient
de plus en plus fréquemment l'avion pour l'Italie aux
frais du Fonds, et puis un beau jour, cela ne leur suffit plus
et ils exigèrent de Generali des émoluments substantiels.
L'affaire traversa l'Atlantique, et les plaignants américains
découvrirent que leurs réclamations étaient
"réglées" par nos fameux hommes politiques.
Les organisations juives américaines prirent la défense
de leurs comparses israéliens. Lawrence Eagleburger, ex-ministre
des Affaires étrangères américain joua un
rôle clé dans le système était un
certain . Ce grand homme préside à la commission
des dirigeants juifs engagés dans les affaires de compensation
pour les avoirs des victimes juives de l'Holocauste, cela lui
vaut un salaire annuel de 350.000 dollars (± 18 patates/mois,
Ndt). Stern est d'avis que l'argent bloqué pour la convention
avec Generali suffirait amplement à défrayer les
ayant droits. C'est pourquoi il est horrifié par la facilité
avec laquelle MM. Bronfman et Burg dilapident les fonds à
des fins qu'ils jugent autrement plus importantes.
-
- V - Alors que les organisations juives
donnaient de la tablature aux banques suisses et allemandes,
elles étaient beaucoup plus timides lorsqu'elles avaient
affaire à une banque juive. La banque israélienne
Leumi a probablement (dans ses coffres) plus d'argent de juifs
disparus (dans l'Holocauste) que n'importe quelle banque suisse
ou allemande. Vous allez rire, mais les banquiers israéliens
ne sont pas particulièrement pressés de rendre
cet argent. En l'occurrence, l'argent leur colle aux mains. Avant
la seconde guerre mondiale, de nombreux juifs d'Europe déposèrent
leurs économies à la Banque Anglo-Palestinienne,
la principale banque juive de la Palestine sous mandat britannique.
Il faut savoir que "Anglo-Palestine Bank" est le nom
que portait la banque Leumi, avant 1948. Certains de ces juifs
ouvrirent des comptes, sur lesquels ils déposèrent
de l'argent, tandis que d'autres louèrent des coffres.
Les juifs n'étaient d'ailleurs pas les seuls clients de
cette banque: ses sous-sols renfermaient aussi de grandes fortunes
appartenant à des Palestiniens chrétiens et musulmans.
- Beaucoup de Palestiniens
ont perdu leurs biens lors de la grande insurrection de 1948.
Les banques israéliennes eurent recours à tous
les moyens possibles et imaginables pour bloquer leur argent
et le laisser fondre sous l'effet d'une inflation exponentielle.
Mais les juifs n'étaient pas placés à meilleure
enseigne. Apparemment, le pire endroit où un juif aurait
bien pu déposer ses économies était la banque
Leumi, la banque nationale d'Israël. La banque Leumi a catégoriquement
refusé d'ouvrir ses archives aux rescapés de l'Holocauste
et aux ayants droitspour qu'ils les controlent.
- La Banque Leumi, qui est
en cours de privatisation, appartient en partie à la compagnie
d'assurances Generali. La compagnie d'assurances Migdal, la Generali
et la banque Leumi constituent une "usine à gaz"
financière mêlant des entreprises et des hommes
d'affaires de réputation douteuse. Ce sont les mêmes
qui siègent aux multiples conseils d'administration de
ces sociétés, se partagent les primes et se refilent
les paquets d'actions...
- Martin Stern a découvert
que, dans les années cinquante, le personnel de la banque
Leumi avait ouvert, sans aucun contrôle ni aucune supervision,
et même en se dispensant de tout procès-verbal écrit,
tous les coffres en déshérence. Leurs contenus
furent fourrés dans des enveloppes de papier brun et soustraits
à la curiosité (malsaine) du public. Détail
pittoresque: on a indiqué à Stern l'existence d'un
coffre-fort, qui est resté pendant des années dans
un bureau de la banque Leumi, au grand dam des sténodactylos
qui s'y prenaient régulièrement les bas... Quand
on ouvrit enfin le coffre, on y découvrit un véritable
trésor, déposé là, apparemment par
une paroisse de l'église copte. Jusqu'à ce jour,
ce dépôt conséquent n'a pas encore été
restitué à cette institution.
- Martin Stern ne pouvait
en croire ses oreilles. Jamais il n'aurait imaginé que
des violations aussi grossières de la déontologie
bancaire fussent possibles. Dans le cadre de son combat pour
la défense des intérêts des rescapés
de l'Holocauste ou de leurs ayant droit, il demanda à
la banque Leumi de publier les noms des propriétaires
des coffres d'où elle avait "extrait" les dépôts
qui s'y trouvaient. Dans un premier temps, la directrice générale
de la banque, Galia Maor, nia que la banque ait ouvert les coffres.
Les preuves en ayant été produites, elle répondit,
avec un aplomb formidable: "Nous n'avons trouvé que
des lettres sentimentales". Je me demande si les organisations
juives auraient accepté que les Suisses leur donnent cette
réponse.
- Le sort des dépôts
monétaires ne fut pas différent de celui des coffres,
ce qui permit à la banque Leumi de gagner sur les deux
tableaux.
- Une certaine Mme Klausner
avait déposé 170 livres sterling à la banque
Leumi, avant guerre, ce qui correspond à 25.000 euros
actuels. Venue réclamer le remboursement de son dépôt,
la banque Leumi lui offrit douze nouveaux shekels, soit quatre
euros! Afin d'éviter tout embarras dans le futur, les
dirigeants de la banque ont entrepris de détruire toutes
les archives gênantes.
- Les manoeuvres de la banque
Leumi ont attiré l'attention de la presse israélienne
et de la Knesset. Une commission parlementaire d'enquête
a été souhaitée. Il a fallu plus de six
mois de discussions intenses pour la mettre sur pied, mais dans
son ordre de mission, il y a une petite erreur qui tombe à
pic. Les rescapés demandaient que les responsables de
la dissimulation de leurs économies durant plus d'un demi-siècle
soient poursuivis. Cette exigence n'a pas été retenue
dans l'ordre de mission de la commission ad hoc...
- Pire, cette commission
compte parmi ses membres des responsables de l'état de
choses actuel: Zvi Barak faisait partie de la direction de la
banque Leumi, il est encore membre du conseil d'administration
du Fonds Generali, il a été envoyé dans
les banques suisses pour y enquêter, et voilà que
maintenant, il est chargé par le parlement de débusquer
les coupables dans sa propre banque...
- Michael Kleiner est député
de la tendance droitiste du parti Herout. Il a écrit à
la commission d'enquête parlementaire: "La banque
(Leumi) a détruit des archives dans deux de ses départements.
Aujourd'hui, elle se livre à la même opération
en ce qui concerne les dépôts de victimes de l'Holocauste,
en particulier les enveloppes de papier kraft dans lesquelles
on a mis le contenu des coffres-forts vidés."
- Récemment, la banque
Leumi a tenu la vedette de l'actualité pour son blanchiment
d'argent sale à grande échelle, lorsque les fortunes
volées par Vladimir Montesinos et son patron Alberto Fujimori,
ex-président du Pérou, ont été retrouvées
dans les coffres d'une de ses succursales suisses... Personne
ne peut comprendre que l'on parle de "blanchiment"
à propos de cette banque: si elle nettoie du linge, il
en sort sale.
-
- VI - Le plus éclatant succès
des dirigeants juifs a été enregistré en
Allemagne, en 1991, lorsque l'Allemagne de l'Est fusionna avec
la République fédérale. Après 1945,
la république socialiste d'Allemagne de l'Est (RDA) n'a
dédommagé aucun détenteur de capitaux d'avant
la guerre, pas plus les gentils que les juifs. Leur logique était
la bonne. Les Allemands de l'Est ne reconnaissaient pas la notion
de "peuple juif". Ils traitaient sur un pied d'égalité
tous les ressortissants allemands, juifs ou non. Ils pensaient
que l'idée nazie de statut séparé pour les
juifs avait disparu depuis 1945. Ils se trompaient du tout au
tout. L'Allemagne de l'Ouest admit le concept féodal de
juiverie en 1950, en décidant de payer des compensations
pour les avoirs juifs -- non pas aux rescapés ou aux ayants
droit, mais à l'Etat d'Israël et aux dirigeants juifs
hors d'Israël. Les Allemands de l'Ouest refirent le coup
en 1991.
- Prenons un exemple. Peter
et Moses, deux Allemands, sont morts du fait de la guerre, laissant
quelques biens en Allemagne de l'Est.
- Les biens de Peter le
Gentil restèrent aux mains du gouvernement allemand, jusqu'à
ce qu'on trouve ses héritiers. Au cas où il n'en
aurait aucun, ses biens resteraient propriété du
peuple allemand. Mais les biens de Moses le juif seraient remis
à MM. Bronfman & Burg, en leur qualité de dirigeants
et représentants du Peuple juif, membres de la Conférence
sur les Réclamations. Les Allemands transférèrent
les biens appartenant à leurs concitoyens juifs sur le
territoire de l'(ex) Allemagne de l'Est à la Conférence.
- La Conférence ?
Il ne s'agissait en fait, que d'un groupe de quarante-quatre
personnes qui ne représentaient absolument personne. Certains
étaient délégués par une "association
anglo-juive", au titre pompeux, qui n'a qu'une cinquantaine
de membres. Deux personnes -- deux! -- se targuent de représenter
plusieurs millions de juifs israéliens. Ladite conférence
était censée retrouver les héritiers légitimes
du Moses de notre exemple, ainsi que d'autres Allemands d'origine
juive.
- Toutefois, les dirigeants
juifs avaient une meilleure idée. Ils savaient que de
nombreux propriétaires ne viendraient jamais réclamer
leurs maisons, quoi qu'il en soit, et que ces propriétés
leur échoiraient. Mais ce n'était pas encore assez,
pour ces saloperies avides. Ils fixèrent une date butoir
après laquelle ils ne prendraient plus en considération
les réclamations d'éventuels héritiers.
C'était là un coup à la hauteur du génie
juif: ainsi, quelque trente millions de dollars tombaient dans
leur escarcelle, le plus "légalement" du monde.
Depuis lors, ils purent en user à leur guise avec les
réclamations des héritiers légitimes. Et
les millions de dollars de rente pouvaient s'accumuler sur leurs
comptes. Les organisations américaines de survivants juifs
de l'Holocauste entreprirent leur combat contre les dirigeants
juifs. Elles exigent que la Conférence (pour les Réclamations)
rende publics les listings complets de leurs avoirs, trouve les
héritiers légitimes et débloque les fonds.
Ils envisagent de poursuivre l'Allemagne, l'Italie et d'autres
pays et organisations qui, pour quelque raison mystérieuse,
ont avalisé la notion moyenâgeuse de "propriété
juive". Elles disent qu'une propriété peut
être éventuellement celle d'une personne juive,
mais jamais une quelconque "propriété juive".
Comme le montre cette affaire, des idées de cette nature
sont tout bénéfice pour les soi-disant dirigeants
juifs auxquels elles permettent de mener le grand train auquel
ils sont accoutumés. Mais pour les gens ordinaires, d'origine
juive, il est grand temps d'abandonner les illusions coûteuses
d'une illusoire solidarité juive.
-
- Traduit de l'anglais par
Marcel Charbonnier
- Point d'information Palestine
> N·174 du 31/10/2001, <[email protected]>
PRÉPARER
LES RACKETTEURS DU FUTUR
New group for child survivors
of Shoah has European focus
by Magnus Bennett
Prague, Nov. 11 (JTA) - A new
pan-European organization will reach out to Jewish child survivors
of the Holocaust who are not yet represented by other groups.
The European Association of Jewish Child
Survivors of the Holocaust, formed in Prague, will represent the
interests of European child survivors in dealing with institutions
such as the Claims Conference, and will encourage and coordinate
events of mutual interest at a European level ....
Jewish telegraphic Agency. Entire article
available at:
<http://www.jta.org/page_view_story.asp?intarticleid=10510&intcategoryid=2>
Des retardataires pour la Grande Soupe.
Voir l'article de Shamir, plus haut.
BOURRER
LES CRANES, MAIS JEUNES
- Students to
Compete for Scholarships and Prizes
-
-
- Through Holocaust
Remembrance Project
-
- Tampa, Fla.--Oct. 25,
2001--High school students across the United States are invited
to enter the 2002 Holocaust Remembrance Project, a writing contest
offering cash prizes, all-expenses- paid trips to Washington,
D.C., and scholarships up to $5,000. The project, established
in 1995 as an educational program of the Holland & Knight
Charitable Foundation, Inc. and Holland & Knight LLP, is
designed to promote and encourage the study of the Holocaust.
[...] To enter the writing contest, students must submit a documented
essay of 1,000 words or less addressing this year's contest theme.
High school students throughout the United States will compete
for 100 first, second, third, and fourth place prizes. Winners
will receive the following cash prizes: first place will receive
$500; second place $300; third place $100; and fourth place $25.
The entry deadline for this year's contest is April 30, 2002.
In July, 2002, the fifteen first place winners, along with teachers
and Holocaust survivors, will participate in an all-expenses-paid
trip to Washington, D.C., to visit the United States Holocaust
Memorial Museum and other historic sites. Note: Additional information
about Holland & Knight LLP is available on the firm Web site
- <http://www.hklaw.com>
RÉVISIONNISME
On a assisté à une manière
de polémique sur la liste H-Holocaust autour de la question
de savoir si, comme beaucoup le croient, par exemple Robert Faurisson,
dans l'un de ses derniers textes, que ce qu'on appelle aujourd'hui
(de façon absurde) l'Holocauste a joué un rôle
déterminant dans la décision de créer l'Etat
d'Israël en 1947 (époque des résolutions de
l'ONU qui ont été appliquées en 1948). Nous
pensons ici que ce rôle a été minime, que
les affaires de Palestine bouillonnaient depuis les années
30 et que les Britanniques étaient contraints de décrocher
un peu partout. Mais la question reste ouverte et mérite
certainement d'être posée. Voici un élément
de la controverse sur H-zolo (elle doit être archivée):
- Date: Fri, 2 Nov 2001
14:55:20 -0600
- From: Philip Rosen <[email protected]>
- When the war was over
the Jews languished in DP camps [camps de "personnes déplacées"]
under bad conditions. In 1948. the so called civilized world
believed the Arabs would knock out Israel. Britain aided the
Jordanians. The US placed a weapons embargo. There might have
been another Holocaust except for a Maccabean kind of Yishuv
resistance which statrted everyone.The vote in the UN on November
29 was based on imperial Soviet interests.
- Philip Rosen West Chest
University, PA
TRES
RIGOLO
Compte-rendu par un sioniste acharné,
australien, persécuteur des révisionnistes,
de la grande claque dans la gueule qu'ils ont prise à Durban.
Durban et les Tours jumelles font partie d'une seule et même
histoire, c'est l'évidence même. Ces gens-là
ne peuvent pas comprendre ce qui leur arrive et qui est pourtant
très clair pour le plus ahuri des bédouins.
When antisemitism
becomes "anti-racism"
-
- By Jeremy Jones
-
- Face-off: Jewish activists
besieged by anti-Israel protesters
- The week Big Brother made
its debut on South African television, an event with far more
Orwellian overtones took place in the Indian Ocean port city
of Durban. The UN World Conference Against Racism, Racial Discrimination,
Xenophobia and Related Intolerance (WCAR), preceded by an international
conference of Non-Government Organisations (NGOs) on the same
theme, provided eye-openers, not only on racism but on the moral
bankruptcy of many so-called human rights organisations and the
cynicism which dictates the course of so much of international
relations. [...]
- The situation had deteriorated
to such a degree that a workshop that comprised a formal part
of the program, on the subject of Holocaust Denial, had to be
cancelled on security advice.
- Ils n'ont pas eu le
temps de nous casser du sucre sur le dos!!!! Ils avaient le trouille
de se faire écharper!!!! Nous n'y étions pour rien!!!
C'est la vox populi qui les a fait rentrer dans leur trou.
- The following is his reflection on the Durban UN conference against racism, to be found at <http://www.aijac.org.au>
KNOBEL
DANS LE CACA
Les FAI ne seront pas obligés
de filtrer
'J'accuse' a perdu. L'association antiraciste qui réclamait
la censure, et surtout l'interdiction d'accès au site américain
Front14, incontestablement faf, ne pourra pas obliger les fournisseurs
d'accès à filtrer. Le juge a cependant invité
les FAI (Fournisseurs d'accès à Internet) à
prendre les mesures nécessaires pour empêcher l'accès
aux sites de contenus illicites au regard de la loi française.
[Ça, c'est de nous qu'ils causent...] Une obligation morale
mais aucunement technique. Ce n'est pas la première fois
que des groupes juifs se présentent comme des censeurs
d'une liberté d'expression qui les chagrine beaucoup quand
elle sert à autre chose qu'à se faire l'écho
de leurs mensonges. Mais ce n'est sûrement pas la dernière
fois non plus. Cs gens-là ne s'arrêtent jamais.
LES
CENSEURS SANS SENS
Pan dans la gueule
du juge français
-
- Le Tribunal de grande
instance de Paris avait ordonné le 20 novembre 2000 à
la société Yahoo! Inc. de rendre impossible toute
consultation des sites constituant une apologie du nazisme. Un
an plus tard, le juge américain prend le contre-pied de
cette décision en lui déniant toute autorité
sur le territoire des Etats-Unis. L'ordonnance avait été
rendue sur la base d'un rapport portant sur les possibilités
techniques de filtrer l'accès au contenu litigieux pour
le public français. Rédigé par trois experts
techniques, François Wallon, Vinton Cerf et Ben Laurie,
ce document évoquait plusieurs mesures d'identification
de la nationalité des visiteurs dont le taux d'efficacité
pouvait varier entre 70 et 90%. Saisi par Yahoo! Inc. le 21 décembre
2000, le juge Jeremy Fogel de la Cour de District de San José
(Californie) avait accepté d'étudier cet épineux
problème tout en rappelant qu'une décision étrangère
ne pourrait avoir pour effet d'empêcher un résident
américain de jouir de ses droits constitutionnels. Le
ton était donné et le jugement rendu le 7 novembre
2001 lui fait écho.
- > L'ordonnance du TGI
Paris du 20 novembre 2000 (avec un dossier complet sur l'affaire)
:
- <http://www.juriscom.net/txt/jurisfr/cti/tgiparis20001120.htm>
- Décision du juge
américain du 7 novembre 2001 :
- <http://news.findlaw.com/ap_stories/high_tech/1700/11-8-2001/20011108015254210.html>
On vous l'avait bien dit, pauvres nouilles!
Voir aussi la reculade du juge français
qui voulait croquer les fournisseurs d'accès tout crus:
l'ordonnance du 30 octobre (extraits):
<http://www.foruminternet.org/documents/jurisprudence/>
Pour vous mettre Internet dans la fouille,
il faudra se lever de très bonne heure.
PRÉSIDENT
OU ROI DES DEC...?
Marc Knobel, toujours lui, qui, d'après
ses photos, paraît atteint de la vache folle, même
regard torve, même mufle baveux, fait suivre son nom, dans
les journaux de la carte de visite suivante: "attaché
de recherches au Centre Simon-Wiesenthal, président de
J'accuse, vice-président de la Licra". Pas moinss.
Cet ennuyeux godelureau pond un article dans les rebonds de Libé,
le 12 novembre, intitulé, on l'aurait parié: "Trop
de silence face à la flambée antisémite".
Faut le faire. Le surtitre donne la motivation: "Les pouvoirs
publics font preuve de mollesse devant les agressions antijuives
qui se multiplient depuis un an". Et oui! C'est toujours
ce fameux antisémitisme qui recrudesce depuis un an, tous
les ans, en fait, depuis quatre-vingts ans ou plus. Comme il n'a
jamais baissé, on comprend que la situation des juifs,
après quatre-vingts ans d'augmentation constante, soit
absolument dramatique. Ils ne peuvent plus sortir de chez eux.
Leurs gosses ne peuvent plus aller à l'école. Les
gendarmes viennent les chercher pour les déporter vers
la Basse-Californie. Bref, c'est un cauchemar épouvantable
et les pouvoir publics, eux-mêmes rongés par le cancer
antisémite, se refusent absolument à mettre une
patrouille de police équipée au service, jour et
nuit, de chaque famille juive et kippée.
Knobel, mercenaire du philosémitisme,
a le front de terminer son insipide papier par la phrase suivante:
"Nous devons tous apprendre les uns des autres, vivre les
uns avec les autres, bénéficier des mêmes
droits et devoirs et respecter la dignité de tout un chacun."
Il parle pour lui. Nous, nous ne voudrions pas vivre avec des
gens comme lui, mais quand il adressera, avec la même insistance,
les mêmes bons conseils aux "pouvoirs publics"
en Israël, on le regardera d'un autre oeil.
TROISIÈME
EN PIRE
Un excellent lecteur nous a envoyé
cette note de lecture, il y a fort longtemps. Elle est restée
coincée dans un tiroir... La voici (de VL, de Suisse, datée
03 Apr 1999 17:47:42 +0200)
- Messsieurs,
- Je me suis livré
à quelques recherches dans certains bouquins consacrés
au Troisième Empire Allemand et suis tombé sur
quelques perles dont je vous conseille la lecture, si vous ne
les connaissez pas encore. Dans le genre "gore", jettez
d'abord un oeil au merveilleux Les SS Techniciens de la mort,
d'un gougnafier nommé Jules Bogastvo, et "adapté"
(?) par André Bernard. Non seulement c'est aussi fendard
et raffiné que Bad Taste mais en outre aucune de ces anecdotes
sanguinolantes n'est soutenu par un quelconque document. Je ne
sais pas si vous êtes comme ça, mais un livre d'histoire
sans notes, ni sources d'aucune sorte, ça m'agace un peu.
Malgré cela, de très bons Dans un tout autre registre,
j'aimerais attirer votre attention sur le citoyen André
Brissaud, qui a également écrit une monumentale
histoire de Staline dont le lecture est hautement recommandable
-- bien que là aussi, peu de docus. Les extraits que je
vous soumets sont tirés de André Brissaud, Hitler
et l'Ordre Noir, note 10, 11 & 16, page 457 (c'est moi
qui souligne) et sont empreints d'une prudence est d'un esprit
critique auxquels l'histoire "officielle" ne nous a
pas habitué, même si tout cela reste très
soft. Vous en ferez ce que bon vous semble.
- La note 10 se rapporte
à la phrase: L'extermination par les gaz, qui ne fut
appliquée que sur les territoires polonais et soviétiques...
page 302:
- «Une exception:
au camp de Natzweiler, près de Shrimeck, en France, il
y eut une petite chambre à gaz qui fonctionna de manière
irrégulière pendant l'hiver 1943-1944 et le printemps
de 1944. Affirmer, comme on le fait, que dans tous les camps
de concentration il y avait des chambre à gaz est un mensonge.
Celle de Dachau, par exemple, que l'on peut visiter, était
en construction lors de la libération du camp par les
Alliés. Ce sont les Américains qui la firent terminer
par des prisonniers de guerre allemands pendant l'été
de 1945. Soulignons que cette affirmation a été
entretenue par une confusion entre les chambre à gaz,
où l'on tuait, et les fours crématoires, où
l'on brûlait les corps de morts pour éviter les
épidémies.»
- La note 11, concernant
le même sujet, se rapporte à la phrase: Nous
ne reprendrons pas le problème qui est loin d'être
clair, page 302:
- « Le témoignage
du SS Kurt Gerstein,
dont certains voudraient faire «un saint» aujourd'hui,
est pour le moins suspect, comme sont très étranges
les circonstances qui entourèrent son «suicide»
et la «découverte» de son Journal... Le témoignage
de Rüdolph Höss, commandant du camp d'Auschwitz,
sur les chambres à gaz de son camp, est bourré
de contradictions et d'affirmations mensongères (en particulier
sur les dimensions de ces chambres à gaz et leur fonctionnement)
qui paraissent avoir été imposées par ses
geôliers soviétiques d'après guerre. Les
témoignages des survivants des camps de Treblinka, Auschwitz,
Lublin, Kulmhof, Belzec ou Sobibor sont contradictoires ou très
vagues. Malgré leur bonne volonté et leurs efforts
pour se souvenir, ceux qui répondent à mes questions
ne m'apportent aucun éclaircissement sur cet atroce et
mystérieux problème. »
- La note 16 concerne le
Protocole
de Wannsee, page
308 et le passage suivant: Les traductions de ce document curieux
furent aussi fantaisistes en français qu' en anglais et
en russe. On traduisit par «l'extermination des juifs dans
l'espace vital du peuple allemand» la phrase: «Die
Zurückdrängung der Juden aus dem Lebensraum des deutschen
Volkes» qui signifie «le refoulement des juifs hors
de l'espace vital du peuple allemand.» Répétons-le:
on ne possède aucun document allemand prouvant que «solution
finale du problème juif» signifiait « liquidation
physique totale des juifs. »
- -- note de bas de page,
toujours sur le protocole: «Ce document, classé
N.G.-2586-G, est assez bizarre si j'en juge par la photocopie
que j'ai consultée: pas de cachet, pas de date, pas de
signature, des caractères normaux de machine à
écrire sur un étrange papier de format réduit,
des chiffres manifestement faux concernant le nombre de juifs
vivant à cette date en Europe, etc. Sa valeur historique
me paraît suspecte.
L'aaargh ajoute:
Toutes ces découvertes, quarante ans après que Rassinier
les ait faites... Tous ces pateaugeages... Lisez Rassinier, ça
guérit de beaucoup de choses... il
est là, sur le site, juste le temps de charger.
LES
LIBERTICIDES SONT A L'OEUVRE
C'est peut-êtrre le moment de republier
l'article suivant, paru dans Libération, le 7 avril
2000:
- La France doit
supprimer les articles de la loi de 1881 qui prévoient
des peines de prison pour délits de presse.
-
-
Le mauvais exemple
-
-
- Par Noël
COPIN
-
- (Noël Copin est président
de Reporters sans frontières).
- Serait-il possible que
des régimes autoritaires continuent à faire emprisonner
des journalistes en prétextant s'inspirer de la législation
française ? Si scandaleux que cela puisse paraître,
la réponse est «oui» et les pouvoirs publics
français portent une lourde part de responsabilité.
A moins qu'ils ne prennent enfin conscience, bien tardivement,
de la gravité d'une situation qu'ils sont en train de
maintenir.
- Reprenons les textes et
les faits.
- La loi de 1881, considérée
comme une charte de la liberté d'expression, comporte
une série d'articles limitant cette liberté et
prévoyant des peines de prison ferme pour une série
de délits : offense au président de la République,
offense aux chefs d'Etat étrangers, diffusion de fausses
nouvelles, diffamation envers les ministres, les parlementaires,
les fonctionnaires, etc. [Ce mauvais copain néglige
l'article 21 bis sur le révisionnisme qui prévoit
trois ans de cabane. ]
- Aucune peine de prison
n'a été prononcée contre des journalistes,
en France, depuis plus d'un demi-siècle. Mais en Afrique
notamment, des journalistes sont condamnés lourdement
(deux ans de prison ferme, par exemple, pour la publication d'un
article consacré au malaise d'un chef d'Etat lors d'un
match de football). Aux protestations qui leur sont adressées,
les dirigeants des pays concernés répliquent en
substance: la justice a appliqué la loi, et celle-ci a
été copiée sur la loi française.
- Pour que de tels arguments
ne puissent plus être employés, Reporters sans frontières
entreprenait en octobre dernier des démarches auprès
des pouvoirs publics en vue de la suppression, dans la loi
de 1881, des peines de prison pour délits de presse.
- Le 2 mars 2000, la Commission
nationale consultative des droits de l'homme adoptait à
l'unanimité un avis demandant cette suppression, sauf
dans les cas de discrimination et de négationnisme.
[Merci à cette bienheureuse Commission qui met si
bien en valeur les "Droits de l'homme", très
distincts, on le voit des droits du révisionniste, qui
se bornent à aller en taule. ]
- Le 22 mars la commission
des lois du Sénat, examinant le projet de loi sur la présomption
d'innocence, adoptait un article additionnel allant dans le même
sens.
- Mais le gouvernement présentait
lui-même un texte restrictif n'envisageant la suppression
des peines de prison que pour les délits de diffamation
envers les particuliers, et d'outrage envers les agents diplomatiques
étrangers. Il affirmait que les autres modifications nécessitaient
«l'accord de la présidence de la République»,
rejetant ainsi la responsabilité sur l'Elysée.
- Le Sénat a suivi
le gouvernement. Ainsi se trouvent de fait confirmées
-- pour l'instant -- par le pouvoir exécutif et le pouvoir
législatif, les peines de prison pour les délits
le plus souvent invoqués par les tribunaux des pays répressifs.
- Si la commission mixte
paritaire (députés et sénateurs) ne revient
pas sur ce vote regrettable, la France se trouverait en contradiction
avec le Comité des droits de l'homme de l'ONU et avec
le rapporteur spécial de l'ONU pour la liberté
d'opinion, qui demandent l'un et l'autre la suppression des
peines de prison pour délits de presse dans tous les
pays. [Ceux-là ont l'air moins bégueules
que la bienheuresue commission citée plus haut. ]
- Reporters sans frontières
demande solennellement aux plus hautes autorités de l'Etat
et aux parlementaires de mettre fin à une situation telle
que les lois de la République servent de prétexte
à des pratiques liberticides.
- Faut-il laisser les victimes
de la répression méditer derrière leurs
barreaux sur l'exemple donné à leur pays par la
France ? La France qui se dit la patrie des droits de l'homme
et qui est légitimement fière de la déclaration
de 1789, proclamant la liberté d'expression «un
des droits les plus précieux de l'homme»
Et alors maintenant????
RAPPORT
D'ÉTUDE
- Nom : Judaica.net / Thème
: Judaïsme /Type : Annuaire /Localisation : France
- Boîte de requête
: Oui / Recherche avancée ou paramétrage : Non
- Chargement page d'accueil
: Rapide / Descriptif du site (meta description) : Judaica.net,
le premier annuaire de la communauté juivefrancophone.
Faites connaitre gratuitement et gérez l'actualité
de votre communauté ou de votre association on line. /Mots
clés (meta keywords) : Juifs, judaismes, juives, israel,
francophones, judaica, communauté, thora, torah, machiah,
messie, paracha, synagogues, bible, sidra, alliance, annuaire,
recherche, adresse, internet, rabins, associations, france, centre
communautaire
- Rapport du Chasseur :
Vous pourrez remarquer en consultant les metas que le sérieux
est de rigueur. Une bonne chose.
- Côté interrogation
la pertinence est bonne et les résultats bien présentés.
Rien à dire sur le contenu qui me paraît très
bien filtré. En tapant "sexe"... 0 réponse(s).
Ce qui n'est pas étonnant.
- Le sérieux d'ailleurs
n'empêche pas l'humour. Une des catégories nommée
'XXX' vous aménera sur une page où un rabbin vous
proposera de visiter plutôt "Walt Disney". Blague
!
- <http://www.judaica.net> Mail: <[email protected]>
JUGEMENT
SUR UN "COURRIER DE LECTEUR"
Sachlichkeit als
Straftat?
-
- Weil ich als Herausgeber
der Zeitschrift Sleipnir einen Leserbrief ins Netz stellte, in
welchem der Schreiber einen Beitrag unseres Autors Serge Thion
zum Völkermord in Kambodscha kritisierte, soll ich jetzt
eine Geldstrafe über 1800,- DM bezahlen, bzw. für 90
Tage ins Gefängnis. Der Leserbriefschreiber wirft dort unserem
Autor die Verwendung des Begriffes "Genozid" vor. Der
<http://www.freespeech.org/Sachlich.html> Strafbefehl rügt
eine "versachlichende und herabspielende Wortwahl"
des Kritikers.
- Versteht jemand, was hier
vorgeht? Soll von nun an nicht nur die Kritik an BRD-Autoritäten,
sondern sogar die an der eigenen Arbeit strafbar sein?
- Ich habe dem Strafbefehl
widersprochen und bitte für die Deckung der Anwaltskosten
in dem zu erwartenden Verfahren um Ihre Unterstützung.
- Lesen Sie hier den <http://www.freespeech.org/Sachlich.html> Strafbefehl.
- Berlin, den 17. Juni 2000
- Zeitschrift für Kultur,
Geschichte und Politik, Sleipnir im Verlag der Freunde,
Andreas Röhler (V.i.S.d.P.) Postfach 350264, 10211 Berlin,
eMail: [email protected]
- Tel./Fax: (0/30)-42857835
und: T./F.: (0/30)-6927863 <http://www.freespeech.org/sleipnir/>
LES
NI ET LES NI NI DU DÉNI
Une absurde amère loque, dont l'un
des noms est Clancy, qui a tenté, il y a plusieurs années
de s'inflitrer chez les révizos, qui l'ont flairée
de loin, a produit une bibliographie consacrée au "déni"
(denial) comme ils disent dans leur sabir romano-gothique,
dit parfois, bien à tort, anglo-saxon. Voici la partie
qui concerne les livres:
- Books Entirely
About Holocaust Denial
-
- Bercuson, David Jay, A Trust Betrayed:
The Keegstra Affair, Doubleday; New York; 1985 Doubleday Canada;
Toronto; 1985
- Braham, Randolf L., Romanian Nationalism
and the Holocaust: the Political Exploitation of Unfounded Rescue
Accounts distributed by Columbia University Press; New York;
1998 published by Rosenthal Institute for Holocaust Studies,
Graduate School of the City College of New York, 289 pages,
- Finkielkraut, Alain, The Future of a Negation:
Reflections on the Question of Genocide, University of Nebraska
Press; Lincoln; 1998, 146 pages, translated by Mary Byrd Kelly.
With an Introduction by Richard J. Golan Published in French
as L'Avenir d'une Négation.
- Francq, Henry G., Hitler's Holocaust:
A Fact of History, Vancouver, B.C.: New Star Books, 1986.
255 pages.
- Fresco, Nadine, Fabrication d'un antisémite,
La Librairie du XXe siècle, ed. Maurice Olender. Paris:
Editions du Seuil, 1999. 797 pp.
- Gutman, Yisrael, Denying the Holocaust,
Shazar Library, Institute for Contempory Jewry Vidal Sassoon
International Center for the Study of Antisemitism Hebrew University
of Jerusalem; 1985.
- Jones, Mitchell, The Leuchter Report:
A Dissection, Cedar Park, TX: 21st Century Logic, 1992. 86
p.
- Knoller, Rivkah (Editor) Denial of
the Holocaust: A Bibliography of Literature Denying or Distorting
the Holocaust, and Literature About this Phenomenon, Faculty
of Jewish Studies, Bar-Ilan University; Ramat Gan, Israel; 1992.
- Kuttner, Paul, The Holocaust, Hoax
or History? The Book of Answers to Those Who Would Deny the Holocaust,
New York: Dawnwood Press, 1996. xi, 276 p.
- Lipstadt, Deborah E., Denying the Holocaust:
the Growing Assault on Truth and Memory, Free Press; New
York; 1993 Maxwell Macmillan Canada; Toronto; 1993.
- Rembiszewski, Sarah, The Final Lie: Holocaust
Denial in Germany: A Second-Generation Denier as a Test Case,
Tel-Aviv: Tel-Aviv University, Project for the Study of Anti-Semitism,
1996. v, 96 p.
- Roth, Stephen J., Denial of the
Holocaust: An Issue of Law, Institute of Jewish Affairs;
London; 1994.
- Seidel, Gill, The Holocaust Denial:
Antisemitism, Racism, and the New Right, distributed by Turnaround
Distributors; London published by Beyond the Pale Collective;
Leeds, England; 1986.
- Shapiro, Shelly (editor), Truth Prevails:
Demolishing Holocaust Denial: The End of the Leuchter Report,
Holocaust Survivors and Friends in Pursuit of Justice; Latham,
New York, 1990 Beate Klarsfeld Foundation; 1990.
- Smith, Tom W., Holocaust Denial:
What the Survey Data Reveal, New York: American Jewish Committee,
1995. 64 p.
- Stern, Kenneth S., Holocaust Denial,
American Jewish Committee; New York; 1993 193 p., with extensive
bibliography of the denial literature.
- Vidal-Naquet, Pierre, Assassins of Memory:
Essays on the Denial of the Holocaust, Columbia University
Press; New York; 1992 Contains the following essays: "A
Paper Eichmann (1980) "On Faurisson and Chomsky"(1981)
"On the Side of the Persecuted"(1981) "Thesis
on Revisionism"(1985) "Assassins of Memory"(1987)
Translated and Forward by Jeffrey Mehlman (Originally published
as Les Assassins de la Mémoire; Paris: La Découverte,
1987)
- Weimann, Gabriel; Winn, Conrad,
Hate on Trial: The Zündel Affair, the Media, Public
Opinion in Canada, Mosaic Press; Oakville, Ontario 1986,
201 p.
- Yagil, Limor, Holocaust Denial in
France: Analysis of a Unique Phenomenon, Tel Aviv: Tel Aviv
University, Project for the Study of Antisemitism, 1994. 79 p.
Ce qui est curieux, c'est que tous les
auteurs sont juifs. Imaginez que les commentaires concernant les
questions relatives aux mauvais traitement infligés par
les puissances coloniales aux Eskimos soient rédigés
exclusivement par des Eskimos; ça paraîtrait bizarre
et pour le moins attentatoire à l'un des principes généraux
du droit, qui veut que "l'on ne peut être juge et partie".
Elle a ajouté des liens "contre"
les révisionnistes. Les voici:
- Links Against
Holocaust denial
-
- ADL's New Holocaust Denial
Online Guide
- <http://www.adl.org/frames/front_holocaust_denial.html>
- ADL 1997 Press Release
on Brad Smith
- <http://www.adl.org/presrele/HolNa_52/3079-52.html>
- ADL's 1998-99 Update on
Brad Smith
- <http://www.adl.org/issue_holocaust/smith_campaign_98_99.htm>
- Ben Austin's Denial and
Deniers Page
- <http://www.mtsu.edu/%7Ebaustin/denial.htm>
- Benseon Apple's Analysis
of Denian in the J.E.T. Webpage (Australian)
- <http://www.geocities.com/CapitolHill/1442/hol_den.htm>
- Canadian Jewish Congress
Press Release, Ottawa, November 26, 1998 on new laws to combat
Holocaust denial
- <http://www.cjc.ca/Press-Releases/pr981126.htm>
- Deborah Butler's Holocaust
Denial in England (Law)
- <http://webjcli.ncl.ac.uk/1997/issue4/butler4.html>
- The Einsatzgruppen's "How
to be a Revisionist Scholar"
- <http://www.netbistro.com/electriczen/revisionism.html>
- The Einsatzgruppen's "Holocaust
Denial & the Big Lie"
- <http://www.netbistro.com/electriczen/denial/biglie.htm>
- Forgive but Never Forget's
section on denial
- <http://www.geocities.com/CapitolHill/Lobby/4430/deny_web.htm>
- Frank Miele's Giving the
Devil His Due (Skeptics)
- <http://www.skeptic.com/02.4.miele-holocaust.html>
- Film: Holocaust Denial
vs Freedom of Speech (about Faurisson in France)
- <http://www.nfb.ca/FMT/E/MSN/33/33856.html>
- Hilary Ostrov's "Litter
on the Highway"
- <http://www.netbistro.com/electriczen/denial/hohd.html>
- The Holocaust History
Project (THHP)
- <http://www.holocaust-history.org>
- Jewish Student Online
Resource Center on Denial
- <http://www.us-israel.org/jsource/Holocaust/denial.html>
- Lin Collette's Encountering
Holocaust Denial Essay
- <http://www.publiceye.org/pra/magazine/holodeni.html>
- Michel Fingerhut's Anti-Revisionism
pages (France)
- <http://www.anti-rev.org/>
- One Man's Mind on denial
- <http://www.geocities.com/Athens/4747/HRStart.html>
- McCarthy, Ostrov, and
Zündel
- <http://www.cyber24.com/htm2/4_217.htm>
- The Nizkor Site
- <http://www.nizkor.org>
- Richard Green's Homepage
- <http://world.std.com/~rjg/>
- William Samelson's Essay
- <http://www.mazal.org/archive/samelson/refuting.htm>
- Skeptic's Dictionary:
Hol. Denial and nazism
- <http://www.dcn.davis.ca.us/~btcarrol/skeptic/nazism.html>
- Skeptic's "Why People
Believe Weird Things"
- <http://www.dcn.davis.ca.us/go/btcarrol/skeptic/refuge/weird.html>
- Simon Wiesenthal Center's
Responses to Revisionist Arguments
- <http://www.wiesenthal.com/resource/revision.htm>
- Queer Resources Directory
on Revisionism
- <http://mother.qrd.org/qrd/www/RRR/revision.html>
- Holocaust Denial Individuals
and Organizations
- <http://www.geocities.com/Athens/Rhodes/5338/psa/info-on-denial.html>
On a eu beau lui donner quelques leçons
de logique, elle a rien appris la pauvrette.
PETITS
CADEAUX ENTRE ENNEMIS
Si vous avez des ennemis particuliers,
un chef de service qui vous emmerde, un collègue qui vous
chie dans les bottes, un rival (ou une rivale) qui vous obsède,
une concierge qui ne fait pas les escaliers, un boulanger qui
fait du mauvais pain, souriez, la vengeance est à portée
de main. C'est la saison des fêtes. Offrez-lui ou offrez-leur
le coffret de 4 DVD de Lanzmann, disponibles dans toutes les Fnac,
Shoah. Vous êtes sûr de les plonger dans un
ennui sans fond, de les rendre affreusement coupables d'on ne
sait quoi, de leur faire perdre un temps incroyable qu'ils pourraient
passer de manière bien plus utile, bref, vous les accablerez
d'un malheur sans fin, pour un prix somme toute très raisonnable,
et ils ne pourront pas vous le reprocher!!!! Merci, les
révizos! Voir <http://www.whynotproductions.fr>
LA
FERME
- Fri, 31 Aug 2001 12:55:40
-0700
- To: [email protected]
- From: Lubomyr Prytulak
<[email protected]>
- Subject: 'The hijacking
in Durban'
- To the Editor:
- The Globe and Mail editorial
of 31-Aug-2001, "The hijacking in Durban," contains
the statement: "Belittling the extermination of six million
Jews in the Holocaust is a typical example of modern anti-Semitism."
However, looking at one piece of the evidence concerning the
Jewish holocaust -- one very big piece, the evidence concerning
the death camp Treblinka -- suggests that this evidence is capable
of eliciting holocaust belittlement even in the absence of the
psychiatric malady of anti-Semitism.
- The standard story is
that 870,000 victims were killed at Treblinka, mainly Jews along
with a small number of Gypsies. Most of the bodies were buried
in vast pits, and later dug up. All were burned in open-air fires.
- The most authoritative
evidence that I have seen concerning Treblinka is that presented
by prosecution expert witness Yitzhak Arad at the Jerusalem trial
of John Demjanjuk in 1987. At the time of his testimony, Arad
had been head of Israel's Yad Vashem for the previous fifteen
years, and had just finished writing his book "Belzec, Sobibor,
Treblinka." The Demjanjuk trial was the most prominent war
crimes trial since Adolf Eichmann's, and the prosecution was
backed by the full resources of the Israeli, the American, and
the Soviet governments. Yitzhak Arad, then, was the world's
leading expert on Treblinka, and testifying under oath at
one of the 20th century's most closely-watched trials, and with
vast resources at his command. What -- according to the Yitzhak
Arad -- was the evidence supporting Treblinka?
- According to Yitzhak Arad,
when the Germans retreated and the Soviet Army arrived at Treblinka,
it did not find there what one might expect -- which is the camp
buildings and watch towers, rows of corpses, mass graves whether
full or empty, piles of ashes from the primitive cremation process,
emaciated prisoners behind barbed wire waiting to be liberated
and to tell their stories. No, what the Soviet Army found was
a tranquil farm, indistinguishable from any other farm in the
area, and arousing no suspicion or investigative activity. The
Germans had accomplished at Treblinka what they for some reason
did not go to the trouble to accomplish at any of the camps that
were liberated by the Western Allies -- which is a complete dismantling
of the camp, and its convincing replacement by a working farm.
Therefore, not a single one of the 870,000 Treblinka bodies was
ever discovered. Not a single bone, not a single bone fragment,
not a single tooth, not a single clump of hair. No mass graves.
Not the smallest pile of ash from the burning of 870,000 bodies.
Not the smallest collection of eyeglasses or shoes or suitcases.
In other words, not the slightest physical or forensic or photographic
or documentary evidence that anybody had ever been killed at
Treblinka.
- Yitzhak Arad's testimony
became even more unreal than that. He went on to say that
not a single photograph exists of the Treblinka death camp.
Not one taken from the ground. Not one taken from the air by
British or American or Soviet reconnaissance planes or bombers.
Not a single photograph of any building at Treblinka. No blueprint
of any building at Treblinka, nor any map of Treblinka. No one
has gone to the trouble to examine the Treblinka terrain and
find there evidence of the former existence of buildings or roads
or utility poles or sewers or latrine ditches or mass graves.
In other words, not the slightest physical or forensic or
photographic or documentary evidence that the Treblinka death
camp being described by the prosecution existed.
- According to Yitzhak Arad,
the only evidence supporting the Treblinka story is eyewitness
testimony. However, as the claim that John Demjanjuk had ever
set foot at Treblinka has today been abandoned, the five eyewitnesses
who testified to having been at Treblinka, and there knowing
John Demjanjuk intimately for over a year, must be doubted.
- The trial transcript containing
Yitzhak Arad's testimony concerning Treblinka is a public document.
Anyone who reads it will find himself questioning the conventional
account of Treblinka. He will find himself questioning it even
if he is not afflicted by the psychiatric malady of anti-Semitism.
He will find himself troubled further by Arad's testimony that
the death camps Belzec and Sobibor share with Treblinka the astonishing
characteristic of the victims having vanished into thin air,
and the camps themselves having left behind nothing more than
tranquil farms.
- Lubomyr Prytulak, Ph.D.
(Stanford, 1969), Vancouver, BC, Canada.
<[email protected]>
Lettre du 31 août 2001 au Globe and Mail, le torchon
de Toronto. Notre ami Lubomyr anime un intéressant site
appelé "Ukrainian Archives" où il y a
beaucoup à apprendre.
<http://www.ukar.org>
LADRONE
Un petit malin qui cherche à faire
carrière au Centre de documentation juive de Milan, un
certain Marcello Pezzetti, a trouvé un filon intéressant.
Il a fait racheter une baraque de paysans polonais, proche du
camp de Birkenau, en affirmant que là se trouvait une certaine
"maison rouge", une baraque forestière dont la
Sainte Légende affirme qu'elle aurait été
le théâtre des premiers gazages, avant la construction
de cet objet bizarre qui a pris place dans la nomenclature pataphysique
sous le nom de "Krema I". Vous trouverez ça partout,
dans la littérature spécialisée. Ce Pezzetti
doit être un baratineur hors pair: il affirme d'abord que
c'est lui qui a fait cette découverte importante; il a
ensuite trouvé un pigeon, sous les espèce d'un cardiologue
parisien, qui, d'après le Corriere della Sera du
20 novembre 2001, s'appelle Richard Prasquier et se présente
comme rescapé du ghetto de Varsovie. Ils ont dû arroser
les autorités locales (huit ans de négociations...)
et faire construire une maison pour les actuels habitants du lieu,
démolir l'ancienne, qui date de l'après-guerre,
pour retrouver les "fondations" du "bunker numéro
1", qui était en fait, une sorte de grange. Le jardin
qui entoure la maison est donc désormais celui où
l'on a enterré les cendres d'un nombre infini de juifs,
au premier rang desquels il faut compter ceux du Vel d'Hiv. Le
terrain sera adjoint au camp et fera partie du circuit touristique,
nouvelle station du chemin de croix, qui s'appellera désormais
"Lieu des premiers gazages". Il faut une origine à
tout. C'est une belle opération qui a dû mettre le
cardiologue sur la paille mais renflouer le brave Marcello. Ceux
qui rigolent le plus, ce sont les paysans polonais du coin. Ils
ont tous une vieille baraque à négocier. Les prix
montent.
Le Monde, toujours
à judolâtrer, s'empare illico de cette superbe affaire.
Les télégrammes de félicitations s'amoncellent
sur les bureaux du Corriere qui en remet une louche le
lendemain. Les grands pontes ont peur, nous dit-on, que la croissance
urbaine rapide de la région ne finissent pas "englober"
le camp. Le président des communautés juives italiennes
(c'est son titre), le professeur Amos Luzratto a dit que les travaux
merveilleux du Marcel Petitpoids, comme le CD-rom du CDEC (éd.
Proedi), allaient permettre "di contestare in partenza qualunque discorso negazionista
o revisionista e di mantenere aperto il problema..." Jusque là, on croyait que si le problème
restait "ouvert", c'était grâce à
nous... Et ben, non, c'est le contraire...
Voir
l'article italien
Le Monde
du même jour (ce qui montre qu'il y a une opération
médiatique combinée et efficace) publie un articulet
sur cette affaire, en première page, du dénommé
Henri Tincq, un homme qui est en train de se coller des hernies
à force de vouloir lécher la plante des pieds de
tous les rabbins qui passent. On y apprend que le bon docteur
Prasquier est natif de Dantzig appelée Gdansk dans l'article,
et qu'il est arrivé "de Pologne" à l'âge
d'un an. Il a 56 ans. Ce qui le fait naître en 1945 et arriver
en France en 1946, un peu difficile pour être un "survivant"
du ghetto de Varsovie et de sa liquidation en avril-mai 1943,
comme le laisse entendre le journal italien. Le bon docteur est
président du comité français pour Yad Vashem,
ce qui en fait un professionnel du bourrage de crâne. La
plus joyeuse bêtise de Tincq est d'attribuer au "miracle"
la rencontre, en 1995, de Marcello avec les frères Dragon,
vieux routiers recrus du témoignage professionnel, cités
partout, connus comme le loup blanc. Tincq insiste plus que son
confrère italien sur le rôle joué par des
catholiques pour faire les intermédiaires entre ce qui
est, si on soulève les voiles, en définitive, l'Etat
juif, et l'administration polonaise, qui tourne comme une girouette
folle à tous les vents qui soufflent dans la vaste plaine,
depuis tantôt vingt ans. La mise en scène stalinienne
restaurée et bichonnée par le judéo-capitalisme
et le ratichonnisme vaticanesque réunis, c'est un vrai
poème.
Tincq affirme que les protagonistes de
cette nouvelle fable n'ignorent pas "que le camp «pourrit»
la vie des habitants actuels d'Oswiecim. Mais ils refusent que
ce lieu du plus grand crime de l'histoire ne fasse pas l'objet
d'un élémentaire respect." Cette double négation
trahit la faiblesse du raisonnement. Les jours d'Auschwitz sont
comptés. Toute cette singerie mémorielle va se noyer
dans le tourisme connardique. Seuls les experts de Disneyland
peuvent encore sauver la situation, sous l'angle du rapport.
Il est grand temps que les pauvres morts d'Auschwitz fassent enfin
du fric pour le bénéfice de ceux qui les représentent,
la larme à l'oeil et la sébille à la main.
On a vu ça dans toutes les religions. Pensez à Céline
et aux momies.
RUSSIFICATION
- Les émigrants
juifs en provenance de l'ex-Union soviétique
- Une publication du Bureau
central de la statistique de cette semaine [septembre 2001] Les
émigrants juifs de l'ex-Union soviétique, affirme
que huit cent cinquante mille personnes ont exercé le
droit de retour à partir de lÕUnion soviétique
[Note de l'AAARGH:
traduire: ont envahi la Palestine et volé les terres et
les maisons des Palestiniens]
entre 1990 et 2000. Le plus grand nombre s'est installé
à Haïfa (cinquante-huit mille) puis à Achod
(cinquante-cinq mille) et Bercheva (quarante-sept mille). Les
émigrés de l'ex-Union soviétique constituent
maintenant treize pour cent de la population israélienne.
Un tiers est originaire de' Russie, un autre tiers d'Ukraine.
Près de soixante pour cent d'entre eux ont fait des études
supérieures, alors que seuls quarante pour cent de l'ensemble
de la population juive d'Israël est dans ce cas. Cinquante-huit
pour cen des émigrés arrivés en 1999 sont
des universitaires, des techniciens et d'autres spécialistes,
soit près du double du pourcentage de la population générale
d'Israël.
- Global Jewish Agenda
- The Jewish Agency, 30
août 2001.
-
- Data of Olim
from the former Soviet Union
-
-
- (Olim veut dire
"émigrant juif" en juif)
-
- A new publication by the
Central Bureau of Statistics that appeared this week -- "Olim
from the FSU -- stated that 850,000 people made aliyah from the
FSU (traduction: ont émigré de Russie vers Israël)
during the 1990's. Haifa absorbed more olim than any other city
-- 58,000, followed by Ashdod -- 55,000, and Beersheva -- 47,000.
Olim from the FSU now account for 13% of Israel's population.
A third came from Russia and a third from the Ukraine. Almost
60% have higher education, compared with 40% of the general Jewish
population in Israel. Of the olim who arrived in 1999, 58% were
academics, technical and other professionals -- almost double
the percentage among the general Jewish population in Israel.
- 30 August 2001, Global
Jewish Agenda - The Jewish Agency
- <http://www.kokhavivpublications.com./2001/israel/sept/02/0109012345.html>
SANCTION
IMMEDIATE
Une journaliste excitée, genre
baroudeuse en Prada, entre en Afghanistan au lendemain de la "chute"
de Djalalabad. On pourrait expliquer le terme de "chute"
mais ce serait trop long ici. Le lendemain, avec un collègue
espagnol, elle prend une jeep et se rend dans un village en ruine,
désert, à une trentaine de kilomètres de
la ville, dans des montagnes désertiques. Autrement dit,
il est absolument impossible que la donzelle et l'hidalgo se soient
rendus là par hasard. Ils y ont été emmenés
par les gens qui ont "pris" Djalalabad, tous venus de
Peshawar, la veille ou l'avant-veille, dans un grand convoi de
4x4. Et là, en farfouillant, la donzelle et l'hidalgo tombent
sur une boîte en carton, écrite en russe,
qui annonce tranquillement "gaz sarin". Dedans, quelques
ampoules contenant un liquide. Sautant sur son téléphone
"satelitaire", la donzelle, Maria Grazia Cutuli, appelle
Milan et dicte un papier intitulé "Un dépôt
de gaz nerveux dans une base d'Ossama", l'arme secrète
d'Al Quaeda... et autres billevesées. (Corriere della
Sera, 19 novembre 2001) La pauvre andouille est dans l'incapacité
de se demander comment elle est arrivée là, et surtout
comment les "talibans", opportunément absents,
se fourniraient chez les Russes... Bref, l'ânerie totale,
le Timisoara pour bizuthe, de quoi se faire foutre à la
porte si les journaux étaient dirigés par des non-crétins
(concept à développer, par les temps qui courent).
Le plus drôle est que le lendemain, sentant que l'atmosphère
à Djalalabad tourne au vinaigre, que les "libérateurs"
n'ont peut-être pas des sympathies très marquées
pour les Occidentaux qui viennent bombarder et faire la loi, les
journalistes décident de foutre le camp aussi vite que
possible et de partir, en convoi, vers Kaboul. La donzelle et
l'hidalgo caracolent en tête et se font descendre à
la première embuscade. Les autres font demi-tour sans demander
leur reste (ou les restes de leurs collègues, légèrement
lapidés...) Le journaliste-flic Paoli, sur France Inter
s'étonne que la route Djalalabad-Kaboul ne "soit
pas sécurisée..." On le voit bien, sur la route,
en agent de police, sifflet et bâton blanc, quelle promotion!
Pour une fois, la sanction de la saloperie des journaliste a été
immédiate. On attend la suite. Il y en a quelques autres
qu'on aimerait voir sur les routes de l'Afghanistan... il y en
a déjà sept au tapis, comme les petits nains...
Les articles de cette idiote soit archivées
sur <http://www.corriere.it>
PUB
- Subject: the new Revisionist
News -- a request
- Some Revisionists are
proclaiming the end of holocaust Revisionism in the wake of the
attacks on Sept. 11. Germar Rudolf and myself feel this is incorrect,
AND a mistake. We feel there is a need to keep Revisionism moving
forward in these strange days.
Nous pensons la même chose. Le révisionnisme continue. Le 11
septembre n'est qu'un épisode mineur.
- The new 'Revisionist News'
could be very helpful in doing just that. As a result, it seems
to us that it would be helpful to promote this link:
- <http://vho.org/mlm/#revnews>
- Here the reader can easily
subscribe to a convenient source of Revisionist information and
research.
- Perhaps AAARGH could put
up a prominent note and the above link to 'Revisionist News'
on their website. We believe it will be a useful tool for Revisionists.
And, since AAARGH is a contributor to this news source, it will
serve the interest of the AAARGH readers as well.
- Let's not forget the progress
we've made, while realizing there's more to be done. We appreciate
your consideration and help, we look forward to your valued contributions.
- Thanks, v. Hannover
- <[email protected]> 8 Nov 2001
Nous prions donc bien volontiers
nos lecteurs de se tenir au courant de l'actualité révisionniste
en allant visiter le site indiqué plus haut. Son existence
nous paraît une excellente chose.
SOINS
PALLIATIFS
- The U.S. Justice Department
began proceedings yesterday to revoke the citizenship of a 77-year-old
Chicago man. He is accused of having served as a guard in Nazi
camps. Jozef Guzoleitis hid from the immigration authorities
the fact that he guarded in the Maidanek and Hernsbruck concentration
camps. He also was one of the guards during the Death March from
Hernsbruck to Dachau in 1945. Two Holocaust survivors identified
him on a Munich street in the fall of 1945, and he was arrested
and detained until March 1947. He immigrated to the United States
in 1951.
LES
GRANDES PANURGIES LYONNAISES (suite)
- "Une fois de plus
les élus de la gauche poubelle se servent des forces répressives
plutôt que d'appliquer les lois de la République
qu'ils sont sensés représenter.D'une part ils n'appliquent
pas les textes sur l'affichage d'opinion et associatif et d'autre
part ils ne suppriment pas les affichages publicitaires illégaux
qui polluent nos paysages et nos cerveaux.
- "Je ne connais pas
le nombre d'habitants du premier arrondissement; à supposer
qu'il y ait 50000 hab., c'est 32m" de surface d'affichage
d'opinion et associatif que le maire BURNA aurait du mettre en
place dans les pentes(16 panneaux de 2m", modalités
de calculs ci-dessous) ; où sont-ils ?
- D'après les textes
de lois ci-dessous et que nos élus ne peuvent ignorer,
si la surface d'affichage totale prévue n'est pas respectée
par le maire aucune sanction ne peut être prise.
- Ecrire au maire en lui
demandant la copie de l'arrêté pris pour l'affichage
d'opinion (surface et emplacement) (¨ D. no 82-220, 25 févr.
- 1982 : JO, 4 mars 1982).
- A défaut de réalisation
par le maire, le préfet détermine le ou les emplacements
nécessaires (¨ L. no 79-1150, 29 déc. 1979,
art. 12 : JO, 30
- déc. 1979)
- De : "Samuel Morin"
<[email protected]>
- Envoyé : samedi
10 novembre 2001 20:24
-
Communiqué
de Presse
- A l'appel d'une trentaine
d'associations politiques, syndicales ou culturelles, une manifestation
"Affichage Libre = Liberté d'expression" s'est
déroulée cette après midi à 16h30
sur les pentes de la Croix-Rousse. Plus d'une centaine de
personnes a répondu [en français, on dirait
plutôt "ont répondu"] à l'appel
du collectif et a collé dans le calme des affiches politiques
ou culturelles sur les murs nouvellement nettoyés.
- Vers 17 h alors que la
manifestation se trouvait à l'angle de la rue Imbert Colomès
- Montée de la Grande Côte, une charge de CRS appuyée
par des policiers de la BAC ont violemment pris à partie
le cortège, sans sommation. Le charge s'est poursuivie
jusqu'à la place des Terreaux montrant une détermination
policière à infliger des violence sur les manifestants.
Une dizaine de personnes a été blessé et
cinq ont été interpellés. Nous demandons
que les personnes arrêtées soient immédiatement
relâchées, ainsi que l'abandon de toute poursuite.
- Nous réaffirmons
que la liberté d'expression doit exister aussi bien sur
les murs que dans les rues.
- Les manifestants, réunies
en assemblée générale le 10/11/2001 à
18h30
- <[email protected]>
Les Lyonnais nous feront toujours marrer.
Voici la liste des signataires de ce texte historique:
- AC! rhône, A Gauche
autrement, Arfi, Atelier de création libertaire, Bastringue,
Bistanclaque, Casseurs de pub, Les coccinelles voix rouge, Collectif
Vaudais des privés d'emplois et précaires, Collectif
Après Gênes, Collectif Haiku Dan, Collectif solidaire
des sans papiers, Fédération Anarchiste (UL), Festival
Ecoutez Voir, Gay pneu, Gnap, Groupe des 10, Horlieu, Imprimerie
Mab, Jcr, LCR, La Gryffe, Maison de l'écologie, Non à
Big brother, Observatoire Internationale des prisons (Groupe
de Lyon), Papiers froissés, Radio Canut, Sud Education,
CNT Rhône, et de nombreux et nombreuses individues....
Par ailleurs, les journaux de fin novembre
annoncent la formation d'une commission pour enfin épurer
Lyon III, citadelle duy révisionnisme. Les détails
manquent encore. Nous en rirons plus tard.
L'APRÈS-MIDI
D'UN APHONE
Nous avons déjà eu maintes
fois l'occasion de dauber le malheureux valet de chambre de la
Bête du Gévaudan, Redeker quand il fait les courses
à Claude Lanzmann qui doit garder la chambre à cause
de ses incontinences bien connues. Ce malheureux est vagument
prof de philo, ce qui l'autorise à parler de ce qu'il ne
connaît pas. Il se répand donc en "conférences"
contre le révisionnisme; ça doit payer quelques
faux frais. Il vient de rendre compte de l'une d'entre elle et
nous l'avons trouvé, toujours avec son sabir pingouinant
(on ne peut pas lui imputer à crime ses fautes de grammaire
élémentaire, c'est sûrement la faute des instituteurs),
comme d'habitude désopilant:
De New-York à
Gaillac : trajet d'une épidémie logotoxique.
-
-
- Robert Redeker
11 octobre 2001
-
- Commençons par
la narration d'un incident qui en dit long sur le développement
d'une judéophobie de gauche s'accompagnant de pratiques
de censure.
- J'ai, dans le cadre du
dernier salon du livre de Gaillac, à l'invitation de la
médiathèque municipale, prononcé, une
conférence sur le négationnisme titrée
"L'Invisibilisation d'Auschwitz". [Ça
devait être jojo... ] Le public était composé
de gens de gauche, en particulier de militants d'Attac. A la
fin de mon intervention, un des militants -- déclarant
par ailleurs appartenir au Cercle Marc Bloch dont l'épicentre
siège à Lyon -- s'est levé pour affirmer
d'une part qu'il était "antisioniste" et d'autre
part qu'il ne pouvait être question de laisser Israël,
Etat raciste, justifier son existence et son "colonialisme"
par l'usage de la mémoire de la Shoah. J'ai répondu
que j'aimerais savoir ce que signifiait réellement "antisioniste"
demandant si à la racine il ne constituait pas le déni
du droit à l'existence pour Israël. C'est bien dis-je,
le seul Etat du monde dont vous demandez la disparition, et vous
trouveriez épouvantable et absolument raciste autant que
potentiellement criminogène, que quelqu'un se déclarât
radicalement anti-allemand ou anti-espagnol, ou même anti-chilien.
- J'ai doublé cette
demande d'une autre sur le sens du mot "colonialiste"
dans la mesure où, si on s'en tient à une déontologie
lexicale indispensable entre intellectuels, Israël n'est
stricto sensu ni un Etat colonial ni un Etat colonialiste. La
salle (une centaine de personnes) est alors devenue tumultueuse,
secoué d'un vent d'haineuse haleine; brandir le nom d'Israël
étant agiter le chiffon rouge qui affole un certain public,
notamment celui qui se pare des prestiges de l'antimondialisme.
Certains se sont levés en hurlant: "c'est un scandale
de faire l'éloge d'Israël à cette tribune"
(car elle était consacrée à la question
du négatonnisme). D'autres ont dit, d'après
ce qui m'a été rapporté: "on va lui
casser la gueule". D'autres encore, dont Jean-Marie Brohm
[Trotskyste sportif, ou demeuré tel] et
Monique-Lise Cohen, ont manifesté leur complète
solidarité avec mes propos. J'ai répondu en précisant
qu'il eût été en effet scandaleux de se livrer
à la justification d'un régime criminel -- par
exemple l'Allemagne nazie -- ou totalitaire, mais qu'Israël
n'était ni un Etat criminel [Tuer les gens pour
prendre leur place chez eux, chez qui c'est pas un crime? ]
ni (à la différence des ex-idoles de tous les des
ex-fans du Kremlin reconvertis dans l'antimondialisation et l'antisionisme)
un Etat totalitaire.
- Que n'ai-je pas dit avec
cette affirmation pourtant frappée au coin du bon sens
? Un homme s'est même levé pour tonitruer que j'étais
négationniste; entendons par cet usage singulier
de ce concept, appliqué en général aux négateurs
d'Auschwitz, tels Rassinier et Faurisson: nier le colonialisme
israélien et la "barbarie sioniste", c'est être
négationniste. Une femme s' est dressée pour
hurler, à gorge déployée: "et Sabra
et Chatila ?". L' énonciation de ces deux toponymes
fonctionna soudain comme un équivalent symbolique d'Auschwitz
renversant les Juifs du statut de victime dans celui de coupable,
et ce bien qu'à Sabra et Chatila ce sont des Arabes qui
ont massacré d'autres Arabes. Je n'avais, je l'avoue,
que rarement rencontré autant de haine, surtout à
l'énoncé d'arguments tout à fait raisonnables,
dont l'aspect scandaleux n'existe qu'aux yeux de mes interlocuteurs
de ce jour-là. Une pareille après-midi permet de
se rendre compte que des pans entiers d'une certaine gauche antimondialiste
réutilise les méthodes staliniennes de censure
du débat, croyant dur comme fer à une vérité
-- la culpabilité absolue d'Israël -- qu'elle refuse
d'examiner raisonnablement. La gauche émotionnelle, celle
qui s'est discréditée par une étrange complaisance
à l'endroit des incidents, dont la coloration judéophobe
et le contenu anti-républicain ne se cachaient pourtant
aucunement, survenus à l'occasion du match de football
France-Algérie, trahit, en de pareilles occasions, qu'elle
est également une gauche obscurantiste -- qui ne veut
rien entendre d'équilibré sur Israël et la
Palestine, aux procédés d'intimidation totalitaires
(il est vrai qu'aujourd'hui comme hier la foi victimologique
figure souvent l'obstacle à tout débat argumenté)!
Quelles leçons tirer de cet incident vécu, révélateur
d'un nouveau climat intellectuel et politique ?
- De fait, depuis l'attentat
du 11 septembre dernier à New-York, les occasions d'assister
à la résurrection de la judéophobie de gauche
(une vieille connaissance de l'histoire, puisque, après
être passée par le syndicalisme révolutionnaire
et la Commune, on peut filer sa trace jusqu'à Proudhon
et au-delà jusqu'aux aux Lumières) se multiplient.
Le fantasme, politiquement localisé à gauche, d'un
complot mondial judéo-américain entre en symétrie
avec celui (aujourd'hui éteint) du judéo-bolchévisme,
qui était à la mode dans l'extrême-droite
du temps où l'URSS existait. Il s'avère de plus
en plus fréquent d'entendre l'antimondialisme laisser
remonter à sa surface le soupçon d'un judéo-américanisme
planétaire. Dans tous les cas -- balayant la totalité
du spectre de la pensée politique: de l'extrême-droite
aux anarchistes -- l'anti-américanisme et l'anti-israélisme
s'amalgament, l' Amérique et Israël étant
supposés projeter une domination capitaliste mondiale
en faveur de leurs seuls intérêts.
- La seule prononciation
du nom d'Israël fait perdre la raison à beaucoup
de monde. Ce nom déclenche une réaction dévastatrice
qui engloutit tout sur son passage; de fait, la force ravageuse de cette hostilité
anti-israëlienne demeure inexplicable sans le recours à
l'hypothèse selon laquelle elle ne serait que l'écume
d'une animosité beaucoup plus profonde, beaucoup moins
circonstancielle, qui trouve là, après avoir été
condamnée à une durable clandestinité, un
exutoire où éclater, la très vieille haine
antijuive (qui a pris la tournure, au XIXème siècle,
de l'antisémitisme). Israël : ce statonyme est le
nom interdit de prononciation sympathique sous peine de provoquer
une tempête d'exécration. Israël : ce nom d'un
Etat est devenu pour beaucoup, à gauche, le nouveau
nom du Mal. Un nom qui -- aujourd'hui que plus personne ne
croit au Diable, chacun lui cherche des substituts tout aussi
irrationnels: Israël est, dans une partie de la gauche française,
un de ces commodes substituts laïcs à Satan, placé
en opposition avec la figure angélisée du Palestinien
et du jeune de banlieue -- fonctionne à la façon
d'un détonateur sémio-pulsionnel redoutablement
efficace. [Ah que voici une jolie trouvaille : le détonateur
sémiopulsionnel.... On en prendrait bien une douzaine...
]
- Etrangement, l'immense
majorité des discours entendus et lus à la suite
des attentats du 11 septembre retournent l'accusation contre
les victimes. La désinhibition de la haine anti-israélienne
a permis tout autant de changer les victimes -- les Américains
-- en coupables que d'atténuer la responsabilité
des coupables effectifs (le terrorisme islamique fomenté
ou soutenu par un certain nombre d'Etats musulmans). Cette alchimie
de pathopolitique fait glisser l'imputation de culpabilité
du criminel vers la victime -- autrement dit, on nage en pleine
économie sacrificielle. Le coupable est tenu pour innocent
de son crime, la charge de la culpabilité est portée
par la victime : ces deux éléments sont les caractéristiques
principales de la logique du sacrifice. Du côté
des assassins, comme du côté de cette partie de
la gauche dans laquelle se réveille de son léger
sommeil la vieille judéophobie, nous rencontrons une attitude
inscriptible dans le registre religieux -- le sacrifice constituant
le coeur des religions. [C'est même une vieille histoire
juive... ]
- On doit même conclure
à une régression pré-abrahamique du religieux,
compte-tenu qu'Abraham est la figure qui dans l'histoire clôt
l'ère des sacrifices humains ; [...]
- Cet ensemble d'événements
permet de ressouder, à gauche, les couches intellectuelles
et les couches militantes, reconstruisant une unité disloquée
par l'histoire -- à ceci près que, cette fois-ci,
cette unité, au lieu de proférer comme naguère
le discours de l'émancipation du genre humain à
travers l'essence progressiste du prolétariat, tient celui
de la régression rebarbarisante portée par l'islamophilie.
Comment des esprits "de gauche", jadis progressistes,
ex-thuriféraires du mythe moderne de l' émancipation
universelle possibilisée par la classe ouvrière,
peuvent-ils s' aveugler jusqu'à trouver quelque légitimation
à l'islamisme -- que ce soit celui des Palestiniens ou
celui, violemment anti-républicain, des jeunes de banlieue,
qui se revendiquent, contre les institutions républicaines,
à la fois de Ben Laden et de l'ultracapitalisme fétichisé
dans les logos des marques Nike, Adidas etc... -- prenant pour
vertu ce que la tradition issue des Lumières, dans ce
qu'elle possède de meilleur, nous a appris à combattre?
- Tout se passe comme si
l'anti-israélisme amalgamé avec l'anti-américanisme
et le pro-palestinisme était le nouvel opium d'une
certaine gauche : opium des intellectuels (pour reprendre
une formule de Raymond Aron) et opium des militants, dans une
articulation entre militants et intellectuels qui reproduit plus
ou moins parodiquement une configuration qui avait cours dans
les années 50 du siècle passé, lors des
plus beaux jours du stalinisme. A la fin des années 70,
on s'en souvient, survint une époque de décrochage
entre le monde militant et le monde intellectuel. C'est cette
déconnection qui aujourd'hui s'est partiellement effacée
: certains milieux intellectuels et certains milieux militants
fusionnent à nouveau, sous le signe d'un nouvel opium
totalitaire dont les guises les plus fréquentes sont l'antisionisme,
l'islamophilie et le pro-palestinisme.
- L'épidémie
la plus virulente ajointée à ces attentats n'est
peut-être pas celle due à la guerre bactériologique,
mais l'épidémie idéologique, qui, si elle
poursuivait son développement, consacrerait le triomphe
des terroristes: répandre planétairement les
spores du virus judéophobe, ou bien en réveiller
les souches dormantes. De New-York à la petite bourgade
tarnaise de Gaillac, cette sinistre panspermie a déjà
disséminé son poison logotoxique, paralysant partout
où elle le peut l'usage de la raison critique.
- Respublica <[email protected]>
- Site: <http://www.gaucherepublicaine.org>
ACHARNEMENT
NON THÉRAPEUTIQUE
- Décès
du criminel de guerre présumé Konrad Kalejs
-
- SYDNEY (AP - 9 novembre
2001) -- Konrad Kalejs, suspecté de crimes de guerre pendant
la Seconde guerre mondiale, est mort à Melbourne à
l'âge de 88 ans, ont annoncé vendredi les autorités
australiennes.
- Son décès
met un terme à la longue campagne menée par les
autorités de Lettonie, son pays d'origine, pour obtenir
son extradition afin qu'il soit jugé pour sa participation
présumée aux atrocités nazies commises
durant la Seconde guerre mondiale.
- Kalejs aurait été
le premier collaborateur nazi présumé jugé
en Lettonie depuis le retour de l'indépendance en Lettonie
en 1991, à la suite de l'effondrement de l'empire soviétique,
et le premier citoyen australien extradé afin de devoir
répondre de crimes de guerre devant la justice. [C'était
donc en réalité un test du pouvoir juif dans les
anciennes possessions soviétiques. ] Il était
accusé d'avoir été l'un des gardiens du
camp de concentration de Salaspils, près de Riga, où
des juifs et des prisonniers de guerre russes ont été
exécutés, torturés ou sont morts de malnutrition.
- Des juifs et des associations de défense
des droits de l'homme affirment aussi que Kalejs appartenait
aux commandos Arajs, responsables de la mort de dizaines de milliers
de personnes sous l'occupation nazie. Des accusations que l'intéressé
a toujours fermement démenties.
- Kalejs avait émigré
en Australie en 1950 et avait obtenu la nationalité australienne.
Puis il avait été expulsé des Etats-Unis
et du Canada dans les années 90 pour avoir menti sur son
passé. Il était revenu en Australie en janvier
2000 après avoir été pourchassé en
Angleterre.
- Les autorités australiennes
avaient estimé qu'il n'y avait pas assez de preuves
contre lui pour le traduire en justice sur le sol australien
et seule la Lettonie avait lancé des poursuites judiciaires
à son encontre sous la pression internationale.
Traduisons: la pression juive. Cf. notre dossier Kalejs.
L'EUROPE
DU SILENCE
828f(2001)
L'Assemblée
demande l'interdiction des sites web racistes et de leur "hébergement
abusif"
-
- Strasbourg, 08.11.2001
-- La nouvelle Convention sur la cybercriminalité du Conseil
de l'Europe, qui a été adoptée aujourd'hui
et qui sera ouverte à la signature à la fin de
ce mois, devrait être complétée le plus rapidement
possible par un protocole visant à éliminer les
sites racistes présents sur Internet et à définir
et criminaliser les discours haineux diffusés sur les
réseaux informatiques, a estimé la Commission permanente
de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe.
- Dans une recommandation
adoptée aujourd'hui à l'unanimité, les parlementaires
encouragent les rédacteurs de ce protocole à prendre
en compte "l'hébergement abusif" -- une pratique
par laquelle des cyber-racistes situent leurs serveurs dans des
pays avec des régulations moins sévères
afin de contourner la loi. Le rapporteur Ivar Tallo (Estonie,
SOC) a dit: "Par exemple, un site raciste français,
s'adressant à un public français, mais hébergé
sur un serveur situé aux Etats-Unis, ne pourrait plus
se cacher derrière les dispositions de la législation
américaine protégeant la liberté d'expression."
- Il a ajouté: "Les
événements du 11 septembre ont montré que
le discours haineux peut donner lieu à des actions d'une
ampleur effrayante. Par conséquent, la technologie moderne
doit se doter de mesures de sauvegarde et l'une d'entre elles
est l'interdiction du discours haineux sur Internet. "L'Assemblée
a en outre déjà recommandé aux gouvernements
européens d'envisager l'introduction, dans ce protocole,
de mesures permettant de décoder les "messages terroristes".
- La Convention sur la cybercriminalité,
élaborée avec la participation de pays non européens
comme les Etats-Unis, le Canada, le Japon et l'Afrique du Sud,
deviendra le premier traité international dans ce domaine.
Le rapport de M. Tallo, Doc. 9263,
est disponible sur le site web de l'Assemblée à
l'addresse suivante :
<http://stars.coe.fr/doc/doc01/fdoc9263.htm>
et <http://press.coe.int/cp/2001/828f(2001).htm>
Voir aussi l'analyse d'IRIS: «Menaces convergentes contre la protection
des données personnelles en Europe»: <http://www.iris.sgdg.org/documents/dp-europe.html>
où on peut lire cette phrase dont on voudrait qu'elle
ne soit point prémonitoire:
- "Cela confirme bien
l'inversion des valeurs constatée en France à l'occasion
du vote de la loi sur la sécurité quotidienne:
on passe d'un régime consacrant la présomption
d'innocence à un régime posant comme principe
la présomption de culpabilité, avec comme conséquence
l'inversion de la charge de la preuve."
- France is thought to be
one of the countries that pressed hardest for action by the council
on racist content and hate speech. But one executive of an Internet
company said the protocol would have little effect, remarque
le New York Times du10 novembre.
Les Français sont les pires,
tout le monde le sait. Et le pire de tous, c'est Jospin-le-caillassé.
<http://www.nytimes.com/2001/11/10/technology/10CYBE.html?ex=1006410063&ei=1&en=36a30ff085bf8443>
Quant à Chirac, il s'est dégrouillé
de promulguer la loi répressive, dite LSQ, sans attendre
un instant et sans saisir le Conseil constitutionnel. On va se
retrouver encore avec un loi répressive non-constitutionnelle
mais parfaitement applicable. Merci Kafka.
GOULASH
ET ZOLO
Hungary rediscovers
the Holocaust
-
- Meeting with survivors
and reading a new history book are only part of the required
program of study about the Holocaust now being implemented in
high schools in Hungary.
- The article begins this
way: "For the first time, after more than 50 years, the
Holocaust is a required subject of study in high schools
in Hungary. The Hungarian parliament has also declared April
16 -- the day when expulsion to the death camps began in 1944
-- as Holocaust Remembrance Day.
- The principals of two-thirds
of the more than 900 high schools throughout Hungary recently
reported to the country's education ministry that their schools
hold events to mark Holocaust Remembrance Day, including
special lessons and the screening of documentary films. The principals
were not required to report these programs to the ministry and
its officials in Budapest regard the scope of activities as a
remarkable achievement ... more ...
- For entire article, go
to:
- <http://www.haaretzdaily.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=92831&contrassID=2&subContrassID=15&sbSubContrassID=0&listSrc=Y>
On n'aura garde d'oublier que "hongrer",
en français, veut dire "châtrer".
DES
GAZ AU PARFUM DE PÉTROLE
Dans un texte publié par Le
temps irréparable (16 juillet 1998), et
reproduit ici, Serge Thion avait évoqué ce qui
est souvent représenté comme la pièce centrale
de l'accusation contre le régime de Saddam Hussein, à
savoir l'attaque par les gaz des populations kurdes, à
Halabja, localité proche de la frontière iranienne,
en 1988. Il avait souligné que les éléments
disponibles ne confirmaient pas l'usage des gaz ce jour là
à cet endroit-là, sans qu'il soit d'ailleurs possible
de se prononcer clairement. Il s'agissait d'une échauffourée
mettant en fait aux prises soldats irakiens et soldats iraniens,
et les appareils de propagande avaient soigneusement occulté
ce fait. Il faut donc signaler, comme une sorte de mise à
jour du dossier (mais quand même incomplète) l'article de Boutros Andari, journaliste
arabe résidant en Australie, paru dans un grand journal
arabe de Londres, Al Quds al arabi (Jérusalem arabe),
le 12 novembre 2001, heureusement traduit par Marcel Charbonnier
dans le précieux bulletin hebdomadaire de l'Association
médicale franco-palestinienne. La question est loin d'être
close, comme on le verra, et nous aussi nous la suivons, comme
on le voit. Malgré quelques points très discutables
(et qui sont discutés dans le texte sous forme de commentaires
de l'éditeur), ce texte nous paraît empreint d'une
volonté de révisionnisme qui, dans le cadre de l'histoire
arabe contemporaine, mérite considération.
PARUTIONS
§== Ils tentent
de nous réviser. The Jewish weekly Forward (29 June) has
a review (p 12) of the recent Holocaust books of Peter Novick,
Yehuda Bauer, and Walter Laqueur. It is claimed that Ernst Nolte
responded to an invitation of "Holocaust deniers"
to attend a conference by saying that he would only attend if
Bauer also attended. Laqueur's The Holocaust Encyclopedia
is 733 pages and has a "copious entry" on gas chambers,
attempting to refute revisionists.
Cette note provient de notre ami Arthur
R. Butz, le même qui, le 4 juillet, signalait ceci:
- Last March somebody sent
me a little book that seemed, and on cursory examination still
seems, to be of little interest:
- "In Auschwitz
wurde niemand vergast." 60 rechtsradikale Lügen und
wie man sie widerlegt,
("A Auschwitz, personne n'a été gazé"
Soixante mensonges d'extrême-droite et comment les contrer)
by Markus Tiedemann, Goldmann Verlag, München, 2000 paperback
version of book copyrighted 1996.
- The answers to the Lügen
(= mensonges) are not original and Pressac, Lipstadt etc. are
cited. However the sources of the alleged Lügen are typically
not cited and they appear concocted to some degree, e.g. (p.
95): »Die Wörter "Vergasung" oder "Gaskammer"
sind in keinem Schriftstück des Dritten Reiches nachzuweisen.«
Though the book looks inconsequential, I imagine that it ought
to be in any bibliography of anti-revisionist literature.
Il n'est pas encore dans celle de Clancy...
§== Papotages
sur la plage. Plusieurs éditeurs,
dont Mondadori, ont pris l'initiative de réunir une conférence
à Rimini, plage populaire et souvent scandaleuse, sur le
thème de l'aggiornamento de l'histoire, du 22 au
24 novembre. La deuxième journée est consacrée
aux "révisionnismes", au pluriel dans le texte
(revisionismi). On connaît celui de Renzo de Felice,
avec sa gigantesque biographie de Mussolini et il doit donc
y en avoir d'autres ! On note, outre la présence de
nombreux historiens italiens connus, deux krypto-français,
Khristhophher Pomian et Enzo Enzo Traverso, un chanteur à
la voix cassée qu'aime bien publier le colonel Fingerhut
sur son site anti-rev, à l'IRCAM (http://www.anti-rev.org/index.html)
§== Cendres et
diamants en toc. Il s'agit d'un livre qui traite de la façon
dont on a martelé la tête des Polonais avec cette
histoire de Zolo:
- Delivered-To: [email protected]
-- Wed, 7 Nov 2001.
- Michael C. Steinlauf,
Bondage to the Dead: Poland and the Memory of the Holocaust.
Syracuse, NY: Syracuse University Press, 1997, pp. XIV + 190
+ 28 Illus.,
- On a un compre-rendu très
orthodoxe dans Polin, vol. 13, "Focusing on the Holocaust
and its Aftermath", edited by Antony Polonsky, The Littman
Library of Jewish Civilization, London, 2000, donné par
Tomaszewski (pp. 444-446)
- The author of this book
undertakes the difficult task of analyzing the changing attitudes
of Polish society towards the Holocaust until 1995.
- Dr. Tomaszewski is a Polish
historian, a professor at the Historical Institute, and head
of the Mordechaj Anielewicz Research Centre on the History of
Jews in Poland at Warsaw University. He is a member of the board,
and the council, of the Jewish Historical Institute in Poland.
- Dans son abondante bibliographie
on peut relever:
- "Ojczyzna nie tylko
Polakow: Mniejszosci narodowe w Polsce w latach 1918-1939"
(A Fatherland not only for Poles: National Minorities in Poland
in the years 1918-1938), Warsaw, 1985.
- "Preludium Zaglady:
wygnanie Zydow polskich z Niemiec w 1938r." (Prelude to
Shoa: Expulsion of Polish Jews from Germany in 1938), Warsaw,
1998.
- Il existe un livre plonais
en anglais sur ce thème:
- Antony Polonsky, "My
Brother's Keeper? Recent Polish Debates on the Holocaust,"
Oxford, 1990,
- Michael C. Steinlauf's
"Bondage to the Dead" has been published in Poland
as Pamiec nieprzyswojona: Polska pamiec Zaglady (Unassimilated
Memory: How Poles remember Shoa), Wydawnictwo Cyklady, Warszawa,
2001.
§== En Allemagne,
les chanceux ont déjà le Musée juif.
- From the Ashes, a Jewish
Museum, by Julia M. Klein
- Like a streak of lightning
or an unraveling Star of David, the Jewish Museum Berlin zigzags
through the city's Kreuzberg section, just steps away from graffiti-covered
storefronts and boxy, high-rise public housing. Clad in zinc,
its facade broken with irregular slashes of glass, it gleams
like a spaceship plopped down in an alien landscape.
- Thanks both to its wondrous
incongruity and its emotional impact, Daniel Libeskind's empty,
award-winning building has become one of the new German capital's
chief tourist magnets, attracting about 350,000 visitors
since its completion two years ago. One day last fall, while
a policeman watched for terrorists, I observed visitors wandering
the grounds and happily snapping photographs. The crowds were
sure to multiply when the museum opened for business. But would
they be equally enthusiastic about what they saw inside? ...
- Entire article can be
found online at:
- <http://www.prospect.org/print-friendly/print/V12/3/klein-j.html>
§== Des bouquins
(gratos) sur le Net:
***Hans Laternser: Die andere Seite
im Auschwitz-Prozeß 1963/65. Reden eines Verteidigers,
1966, 454 S.
<http://vho.org/D/dasiap/index.html>
Le seul livre qui ait écrit du
point de vue de la défense au procès dit d'Auschwitz,
à Francfort en 1965-66, procès auquel voulait assister
Paul Rassinier. Les autorités allemandes ont alors cru
nécessaire de l'en empêcher manu militari.
Il est au centre de l'étude de Stäglich, qui ne se
trouve pas encore, en français, sur ce site!!! (mais
on la trouve en allemand original
***Joseph P. Bellinger, Rudolf Hoess:
The Legal Implications of his Forced Confession.
<http://www.codoh.com/trials/trihoess.html>
***B. Uschkujnik, Paradoxie der Geschichte
-- Ursprung des Holocaust.
Les arrière-plans juifs du génocide
stalinien de 1917 à 1953. <www.vho.org/D/pdg>
*** La table des matières du numéro
4/2001 de la revue de G. Rudolf, VffG: <www.vho.org/VffG/2001/4/4_01.html>
Le contenu suivra.
On sait tout cela grâc e à
Revisionist News, a mutual information service by
the revisionist websites: http://vho.org/;
http://www.codoh.com/ ; www.ihr.org;
www.adelaideinstitute.org; www.zundelsite.org; www.aaargh.vho.org
If you want to subscribe to this Email-List,
send an email to <[email protected]>.
§== Un petit renseignement. L'antisémitisme,
qui monte, qui monte, comme la petite bête, y faudrait bien
finir par savoir ce qui se passe. D'où le truc annuel,
Annual Review Antisemitism Worldwide 2000/2001, très
prochainement trouvable sur le website:
<http://www.tau.ac.il/Anti-Semitism/annual-report.html>
et sur papier au début de l'an prochain. Made in Tel-Aviv
et imprimé au Nébraska (ils ont des prix là-bas,
sans doute). Comme ça, vous serez tenus au jus. C'est le
nec plus ultra de la surveillance mondiale.
§== Enregistrer
sur bande tous les baratineurs.
Voilà un bien beau projet. C'est ce que s'est dit un quidam,
nommé Richard Foos en sortant d'une visite à l'obscène
Musée du Zolo à Washington. Il est propriétaire
d'une boîte de disques à Los Angeles. Alors il s'est
dit qu'il y avait de la thune à se faire avec tous ces
vieux croûnis du Zolo qu'on pouvait encore faire baver dans
un micro, et qu'il allait se faire des c... en or. Quatre ans
plus tard, cornesaucul, il peut vous les montrer.
Richard Foos, Président, Rhino
Records
<http://www.rhino.com/projects/shoah/notes.html>
§==Studiare. Etudes révisionnistes, vol. 2,
480 pages, dont le sommaire est le suivant:
- Textes révisionnistes
de Robert Faurisson de 2000 et 2001 (Novembre noir pour les révisionnistes,
la conférence de Beyrouth, la chasse aux révisionnistes,
etc.); Arthur R. Butz, "A propos des déportations
des juifs hongrois en 1944. Réponse à Jürgen
Graf"; Joseph Bellinger, "La mort mystérieuse
d'Heinrich Himmler: suicide ou assassinat?"; Otward Müller,
"Le mythe d'une extermination des Tziganes"; une anthologie
de textes révisionnistes des années quarante et
cinquante pour la plupart inédits en français (textes
de Douglas Reed, d'Eric Blair, James Read, Clifford Douglas,
Austin App, John Beaty, Peter Kleist, Ludwig Paulin, Guido Heimann,
Warvick Hester, Louis Marschalko, Stephen Pinter, etc.); François
Gorphe, "Critique du témoignage"; chronologie
des affaires révisionnistes à Lyon; notes de lecture.
- On obtient ce volume en
adhérant au Cercle antitotalitaire. Pour recevoir un bulletin
d'adhésion (tarif minimum: 23 euros), écrire à:
Jean Plantin, 45/3, route de Vourles, 69230 Saint-Genis-Laval
(France).
§==Ultima novedad!
- Norberto Ceresole
-
-
- LA "CUESTIÓN
JUDIA"
-
- "El mundo actual
es "judío hasta en su núcleo más íntimo".
"El significado definitivo de la emancipación de
los judíos lo constituirá realmente la emancipación
de la humanidad del judaísmo" (Karl Marx en "La
cuestión judía").
- Casi 4.000 Organizaciones
no Gubernamentales en todo el mundo condenaron al Estado de Israel,
en septiembre de 2001, en Durbán, Suráfrica, durante
la Conferencia de las Naciones Unidas contra el Racismo. Para
estas Organizaciones "...el Estado judío es racista
y practica sistemáticamente el Apartheid, los crímenes
de guerra, los actos de genocidio, la limpieza étnica
y el terrorismo de Estado". Toda esa realidad está
tratada en profundidad en el presente libro.
-
- Del índice del
libro: El Estado de Israel es el Dios de Israel, Judaísmo
y sionismo, De Versalles a Nuremberg, El gran negocio del holocausto,
El holocausto palestino, El mito del holocausto y la conciencia
occidental, El carácter "sagrado" del mito del
holocausto, El Tribunal de Nuremberg, Las órdenes de exterminio,
El texto de Wannsee, El arma del crimen, Conversaciones con Ernst
Nolte, La construcción y la destrucción del Mito,
El mito del holocausto y la potencia militar del Estado Judío,
El revisionismo histórico, El holocausto bajo la
lupa, El único tabú, Los revisionistas,
Las dudas referentes al holocausto, La falta de documentos sobre
el holocausto y las "cámaras de gas", El Informe
Leuchter, Propaganda de guerra, Origen del mito de Auschwitz,
El guarismo de los 6 millones, Robert Faurisson sobre el holocausto,
etc., entre otros muchos capítulos. 15x21 cms., portada
plastificada, 488 págs, P.V.P.: 2.995 Ptas.
Para solicitarlo sólo tienes que
escribir dos líneas a esta dirección: <[email protected]>
No olvides ¡mencionar tu dirección
postal! para remitirte el pedido. Nous parlerons évidemment
de ce livre quand nous l'aurons reçu.
§ == Entubage
en direct. Yad
Vashem has recently posted on its website an on-line teaching
unit about Kristallnacht, as well as additional background information
on this subject. In addition of course is "This Month in
Holocaust History" which has information and visuals on Kristallnacht
and other events that occurred in November. The website is: <http://www.yadvashem.org>
§== Même
en Turquie, les ashkénazes veulent faire leur loi. Voyez le bouquin
d'Erdal Frayman, Mose Grosman et Robert Schild, Ashkenazi Jews
and a Hundred-Year-Old Synagogue in Yuksekkaldirim, 2000,
publié par la Galata Ashkenazi Cultural Association of
Istanbul, 100 pages, qui raconte l'arrivée des premiers
ashkénazes au XVIe siècle, la formation d'une petite
communauté évidemment totalement séparée
de ces chiens de séfarades, renforcée dans les années
trente par l'arrivée d'une certain nombre de réfugiés
venant d'Allemagne et d'Autriche.
§== Jacasse.doc. "C'est
une tâche colossale à laquelle deux universités
et IBM viennent de s'atteler. Ils vont mettre au point un logiciel
de reconnaissance vocale qui va servir à indexer plus de
50.000 témoignages sur l'Holocauste. Cette initiative est
menée pour le compte de la Fondation de l'histoire en
images des survivants de la Shoa, créée en 1994
par Steven Spielberg. Ce fonds documentaire contient des vidéos
récoltées dans 57 pays en plus de 32 langues. Autant
dire que le travail d'archivage pour mettre ces ressources à
disposition des chercheurs et des étudiants prend une
éternité. [Ici, on s'en fout, on a tout
le temps...] Le logiciel en développement permettrait
d'analyser ces vidéos et de les inventorier en fonction
de mots-clés prononcés dans les témoignages.
Micro Hebdo, 1 novembre 2001, No 185.
Site AAARGH, maintenant présent en
quatre points du Web:
<http://aaargh-international.org>
<http://aaargh.vho.org/>
<http://www.abbc.com/aaargh/index.html>
<http://www.reviso.org>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
| Juin
1997 | Juillet 1997
| Août 1997 | Septembre 1997 | | Octobre
1997 | Novembre 1997
| Janvier 1998 | Février
1998 | Avril 1998 |
Juin 1998 | Juillet
1998 | Septembre 1998
| Octobre 1998 | Novembre
1998 | Janvier 1999
| Février 1999 |
Mars 1999 | Avril
1999 | Mai 1999 | Juin 1999 | Juillet
1999 | Août 1999
| Septembre 1999 | Octobre
1999 | Novembre 1999
| Décembre 1999 |
Janvier 2000 I février
2000 I mars 2000 I avril 2000 I mai
2000 | Juin 1999 | Juillet 2000 | | Août
2000 | Septembre 2000
| Octobre 2000 | Novembre
2000 | Décembre 2000
| Janvier 2001 | Février
2001 | Mars 2001 | Avril
2001 | mai 2001 | juin
2001 | juillet 2001 | août
2001 | septembre 2001 | octobre
2001 | novembre 2001 |
Ce
texte a été affiché sur Internet à
des fins purement éducatives, pour encourager la recherche,
sur une base non-commerciale et pour une utilisation mesurée
par le Secrétariat international de l'Association des Anciens
Amateurs de Récits de Guerres et d'Holocaustes (AAARGH).
L'adresse électronique du Secrétariat est <[email protected]>.
L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
Afficher un texte sur le Web équivaut
à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".