AAARGH
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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
13 (octobre 2002)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
d'octobre 2002
oooOOO§§§OOOooo
«La
censure ne résout rien. Elle attise, au contraire. Elle
déclenche la curiosité". Michel Braudeau,
soupape des lettres, Le Monde, 6 septembre.
«Tous
les livres qui m'ont valu des poursuites et des condamnations
sont aujourd'hui dans la Pléïade ou en livre de poche.»
Régine
Desgorges, 16 septembre 2002.
"The
Holocaust was an obscene period in our nation's history. I mean
in this century's history. But we all lived in this century.
I didn't live in this century."
George W.
Bush, September 15, 1995
DRÔLES
DE RÉVISIONNISTES
On sait que le génie des échecs,
le plus grand joueur de notre temps, Bobby Fisher est révisionnistes
à 100%. Ce n'est pas pour rien que la presse le traite
constamment d'antisémite ! On sait moins que son "successeur"
Gary Kasparov est lui aussi révisionniste. A l'occasion,
il cite son compatriote Anatole Fomenko et sa théorie de
révision du temps historique. Comme nous le signale aimablement
un lecteur, "les ouvrages en langue française de Fomenko
sont épuisés, mais on peut trouver une bonne synthèse
sur le site
<www.univer.omsk/su/foreign/fom/fom.htm>
Les critiques de la chronologie sont des
révisionnistes d'un genre très particulier. Ils
s'inspirent des travaux de certains auteurs russes, comme N. A.
Morozov et A. T. Fomenko. Il semble qu'il existe aussi une école
allemande, que l'on trouve sur <http://geschichte.eu.cx/>
ou <www.jesus1053.com>
qui s'intitule
GESCHICHTE &
CHRONOLOGIE.
Kritik. Kürzungen.
Rekonstruktion.
Internationale
wissenschaftliche und populär-wissenschaftliche interdisziplinäre
Internet-Zeitschrift (mit Archiv & Bibliothek) für skeptische
und neue Chronologie sowie kritische Historiographie.
(Publication sur
Internet à caractère international, scientifique
et populaire-scientifique (avec archive et bibliothèque)
pour une historiographie sceptique et critique avec une nouvelle
chronologie. Ouf !)
Il semble qu'on ait là une des
perversions les plus terribles que l'on puisse trouver de l'histoire:
à savoir, l'histoire faite par des amateurs qui ne croient
pas à l'histoire telle qu'elle est écrite par des
historiens patentés, par principe et par une sorte de certitude
que le savoir accessible est par nature menteur, voile jeté
sur la réalité, obfuscation voulue par les puissants.
Par conséquent, tout devient objet de questionnement, systématique,
sans évaluation du degré de confiance qu'on peut
accorder à telle ou telle proposition. Or l'histoire, et
nous croyons avoir quelques lueurs là-dessus, est une discipline
terriblement exigeante. Et nous sommes révisionnistes parce
qu'il nous semble que les règles du métier d'historien
doivent être appliquées dans tous les cas, y compris
aux événements subis par les juifs sous le nazisme,
et que trop d'écrits proviennent d'amateurs plus ou moins
orientés par des choix politiques et idéologiques,
comme Poliakov, Reitlinger, Hilberg, Vidal-Truquet (qui est spécialiste
de l'histoire grecque) et d'autres. Aujourd'hui, les choses tendent
à changer mais on sent bien que les historiens sont corsetés
par des lois spéciales et sous la menace des ligues et
des plumitifs. C'est le slalom géant, pour survivre et
faire carrière.
Les allumés de la révision
chronologique sont des mathématiciens peut-être un
peu égarés. Ils ne maîtrisent pas les instruments
historiques qu'ils brandissent comme des massues. Ils sont certainement
sincère et l'histoire elle-même est évidemment
pleine d'incertitudes.
Nous convions nos amis lecteurs à la plus extrême prudence dans ces affaires. Nous leur conseillons, pour prendre la mesure des dommages, de prendre un exemple: Darum Auschwitz
<http://www.paf.li/auschwitz.htm>
ou celui de la recomposition de l'histoire de l'Angleterre, par
Anatoly Timofeievitch Fomenko, G.V.Nosovskij, New Hypothetical
Chronology and Concept of the English History. British Empire
as a DIrect Successor of Byzantine-Roman Empire, à partir du fait que les vieilles chroniques anglaises présenteraient la même structure que des chroniques byzantines, dont elles seraient donc des sortes de paraphrases. Voir la biographie de Fomenko à
<http://www.mathe.tu-freiberg.de/~hebisch/cafe/fomenko/fomenko.html>
Tout ça semble relever d'un doux
délire. Voir <http://www.univer.omsk.su/foreign/fom/england.txt>
Vous trouverez le texte entier original en russe translitéré (quelle horreur !) à
<http://www.ase.ee/moshkow/lat/FOMENKOAT/fomenko1.txt>
Il existe une intéressante analyse
du phénomène "fomenkiste" par un connaisseur
de la scène moscovite (en français), Fomenko
et la «nouvelle chronologie»: un curieux débat
dans l'historiographie en Russie, de Mischa Gabowitsch (Paris),
juin 2000:
<http://www.jesus1053.com/l2-wahl/l2-autoren/l3-gabowitsch/Fomenko-Misha.html>
Ensuite, il n'y a plus qu'à tirer
le rideau.
TECHNIQUES
DU BOURRAGE DE CRÂNE
L'enseignement de Zolocauste est un grave
problème en Allemagne. Des tas de directives ministérielles
pleuvent sur les enseignants (ce sont les services des Länder,
des provinces, qui organisent l'enseignement). Ces directives
sont évidemment inapplicables. Les professeurs eux-mêmes
sont soumis à toutes sortes de pressions. Ils balancent
continuellement entre un enseignement dit "événementiel",
comparable à celui qui porterait sur le climat de la zone
steppique, et un autre, dit "émotionnel", qui
a l'avantage supposé de rapprocher davantage les jeunes
élèves des conditions des déportés,
supposés presque tous juifs. Mais il faut compter aussi
les dégâts, avec les enfants qui ne supportent plus
qu'on leur parle de toutes ces choses et qui les rejettent en
bloc, quand ils ne virent pas carrément à l'hystérie.
On a une enquête faite dans deux
écoles par une patasociologue patentée, texte en
anglais, qui exprime bien tous les problèmes qui se posent
aux bourreurs et bourreuses de crânes, un métier
qui, somme toute, est encore plein d'avenir. Mais il reste beaucoup
à faire. La nouvelle religion n'a pas encore un clergé
à la hauteur de la tâche, surtout quand on voit que
de plus en plus de jeunes affichent leur j'm'en-foutisme. En fait,
une lutte à mort s'est engagée entre les prêtres
du nouveau culte et la masse grossie de jour en jour des indifférents,
déjà saturés par des films d'horreur spectaculaires
et donc complètement blindés quand on leur sert
les petites horreurs mesquines des camps.
Katharina Plück, An unteachable
Past ? Holocaust Education in Germany, 2001, 74 p. <http://www.fasena.de/service/download/gymnasium/plueck.pdf>
LE
RÉSULTAT DE LEUR CENSURE
- Emmanuel Brenner, Les
Territoires perdus de la République- paru en septembre
aux éditions Fayard-Mille et Une Nuits.
- Témoignages de
professeurs du Val-d'Oise, rassemblés par Arlette Corvarola,
proviseur: [...]
- Mlle Y., jeune professeur
d'histoire-géo, qui a d'excellents rapports avec une classe
de terminale STT (sciences et techniques du tertiaire), dans
laquelle les élèves musulmans sont nombreux: «Quand
j'ai abordé la partie du programme qui traite de la période
du nazisme et de la déportation, plusieurs d'entre eux
m'ont déclaré, en toute innocence, comme s'ils
rectifiaient, de bonne foi, des erreurs de mon cours: - Mais
non, madame, tout cela, c'est faux, vous, vous répétez
ce qu'il y a dans les livres d'histoire, mais vous vous trompez!...
Nous, on sait. Cela a été inventé par les
juifs riches après la guerre, mais on a lu d'autres livres
qui expliquent la vérité!...
- - De quels livres est-ce
que vous parlez? leur ai-je demandé, sidérée.
- - Ben, on nous les a prêtés,
des gens qui savent où on peut les trouver parce que,
justement, c'est des livres interdits que les juifs ne veulent
pas laisser vendre, vous comprenez!...»
- L'Express, 12 septembre 2002
Douze ans de loi Gayssot, et voilà
où nous en sommes ! Cette loi nous assure 10.000 lecteurs
par jour, qu'il pleuve ou qu'il vente. Merci Gayssot !
LE
RETOUR DU REFOULÉ
Voyez, dans l'article ci-dessous dû
à la plume de l'excellent traducteur qui porte le judéonyme
de Goldschmidt (orfèvre), comment la question du révisionnisme
est au coeur de la politique allemande qui est elle-même
au coeur de la politique européenne.
- Fragilités
allemandes
-
- par Georges-Arthur
Goldschmidt
- Devenue un modèle
de démocratie dans le monde, et notamment en Europe, l'Allemagne,
qui convoque prochainement ses élections législatives,
n'en a pas moins renoncé à ce qui la caractérisait
depuis longtemps, à savoir force, authenticité,
pureté.
- Issue de l'épouvante
et du désastre où le nazisme a fait sombrer l'Europe,
la démocratie allemande s'est définitivement affermie,
jusqu'à devenir, à tous points de vue, un modèle
digne d'admiration. Elle n'est cependant pas née d'elle-même,
comme ce fut le cas des autres démocraties européennes,
mais de l'armistice de 1945. Ce sont les Alliés qui ont
importé la démocratie républicaine.
- Pourtant, les anciens
thèmes de référence -- force, authenticité,
pureté -- sont restés en place. Le sens critique,
celui d'une nation contractuelle plutôt qu'ethnique, la
"laïcité", ne se sont pas encore complètement
inscrits dans l'ensemble des esprits. Ce sont des valeurs encore
trop récentes et, de plus, considérées encore,
dans le secret des âmes toujours, malgré les démentis
de l'histoire, comme importées de l'étranger.
- La séparation
bien connue entre les intellectuels et la politique ne s'est
pas réduite, malgré l'engagement d'intellectuels
tels que Günter Grass ou Jürgen Habermas. L'écrivain
ou l'intellectuel n'ont jamais tenu dans la cité la place
qu'ils tiennent en France.
- Le déséquilibre
de conceptions et presque de visions du politique qui existe
entre les deux anciennes parties de l'Allemagne aujourd'hui réunifiées
risque de remettre au jour d'anciennes tensions de moins en moins
masquées par le "politiquement correct" de l'absolu
désaveu du nazisme. La "repentance" allemande
qui fut un admirable effort moral est trop restée dans
le domaine de la culpabilité et trop peu dans celui de
la responsabilité politique, au point que le malheureux
livre de Goldhagen devint la forêt qui cachait les arbres.
- On ne dira jamais assez
à quel point le travail des historiens allemands sur la
Shoah fut courageux et déterminant. On ne dira jamais
assez non plus l'effort de la classe politique dans son ensemble.
C'est pourquoi il n'est pas étonnant d'assister à
une sorte de "normalisation" de cette thématique,
à un "défoulement" qui peu à peu,
sans même qu'on le remarque, réinstalle sous des
formes nouvelles un substrat idéologique invariable, inévitable
et pour l'instant encore inavouable. On le remarque à
un certain changement de ton d'une large partie de la presse.
- Le retour éventuel
de la droite au pouvoir, précisément parce que
la maturation ne s'est faite qu'en une génération
et que les choses ne sont peut-être pas encore vraiment
inscrites dans les habitudes mentales, risque d'être plus
qu'une simple alternance.
- Les vieux démons
ont été tant et si bien décrits et conjurés
qu'on ne peut que s'étonner de les voir resurgir sous
la forme des lourdeurs de Martin Walser ou chez quelques malheureux
du Parti libéral (FDP), incarnations assez sottes de tout
ce qui n'est plus mais qui peut risquer de retrouver un écho
parmi les plus jeunes.
- L'idée d'une
Allemagne fondée sur les mythes ravageurs de la blondeur,
de "l'authenticité", de la race pure et de l'obsession
biologiste aurait bien des occasions de se manifester du fait
d'une extrême droite qui se revendiquerait tout naturellement
d'une droite au pouvoir.
- Or l'Allemagne a rompu
à jamais avec son effroyable passé, dont elle fut
la première victime, car le nazisme fut aussi dirigé
contre elle-même, elle n'en fut jamais que le lieu. C'est
pourquoi un nouveau discours sur "l'identité nationale"
et la volonté de considérer la Shoah et le nazisme
comme révolus pour enfin passer à autre chose ne
font que nier les données historiques de l'Allemagne et
l'empêchent de parachever sa reconstruction morale et civique.
Ce serait renouer avec ce qu'il y a de plus incongru, de plus
redoutable en elle, ce serait retrouver ses anciens démons
qui ne furent jamais que la meurtrière caricature de ce
pays.
- Rejeter, amoindrir,
défaire cette mémoire comme n'ayant plus de sens,
faire table rase du passé consisterait à priver
l'Allemagne d'une responsabilité morale d'un enseignement politique
qu'elle est peut-être seule apte à donner, justement
parce qu'elle commit et vécut le pire. L'Allemagne est
détentrice d'une mémoire qui désormais fonde
son histoire et nous appartient à tous: cette mémoire,
qu'on le veuille ou non, est celle de l'Europe entière.
- Georges-Arthur Goldschmidt
est écrivain et traducteur.
- Le Monde, 15-16 septembre 2002.
Quand on nous parle de "mémoire",
c'est qu'on veut nous faire renoncer à connaître
et à comprendre l'histoire. On entre dans le temple de
la Mythologie.
PAPIER
D'IDENTITÉ
- Jewish
Identity, European Identity, and the Holocaust
-
- By Paul Grubach
- Most visitors to this
site probably readily recognize the person of Deborah Lipstadt,
the Jewish-American Holocaust historian and author of Denying
the Holocaust who was unsuccessfully sued by British historian
David Irving. (1) Over the years, she has proven herself to be
a hostile and uncompromising foe of Holocaust revisionism.
- In her book, Lipstadt
quoted the former director of the revisionist Institute for Historical
Review (IHR), Thomas Marcellus, as to why Gentiles of European
descent should be concerned about the damaging effect of the
lies and exaggerations in the Holocaust story. Lipstadt notes
the former IHR official "revealed another of the IHR's true
agenda items with his warning that acceptance of the Holocaust
myth resulted in a radical degeneration of accepted standards
of human behavior and a lowering of the 'self-image of White
people'". (2)
- Lipstadt then adds her
own "moral" judgment: "These racist tendencies,
which the IHR has increasingly kept away from the public spotlight,
are part of the extremist tradition to which it is heir."
(3) In other words, it is "racist and extremist" for
white gentiles to be the least bit concerned about the negative
effect that the Holocaust ideology has on the white European
identity.
- Enter Dr. Robert Jan van
Pelt, the Jewish historian who authored the very important anti-Holocaust
revisionist tome, The Case for Auschwitz: Evidence from the
Irving Trial. (4) He claimed that Holocaust revisionism is
an evil assault upon the Jewish self-image and Jewish identity.
In a frank and honest discussion, he admitted that when he read
Holocaust revisionist literature, he "had come face to face
with a dangerous personal abyss." His implicit conclusion
is that this is one of the main reasons why Holocaust revisionism
should be attacked and destroyed. (5)
- Professor van Pelt then
quotes Jewish writer Erika Apfelbaum as to why Holocaust revisionism
is "so evil" and why it should be attacked and refuted.
She stated: "Current Jewish history is deeply rooted in
Auschwitz as the general symbol of the destruction of the Jewish
people during the Holocaust. For someone whose past is rooted
in Auschwitz, the experience of reading through the revisionists'
tortured logic and documentation is similar to the psychologically
disorienting experience of sensory deprivation experiments or
solitary confinement in prison, where one loses touch with reality.
The insidious effect of reading this [Holocaust revisionist]
literature is to lose one's identity as a survivor and, more
generally, as a Jew. Therefore, the revisionist allegations serve
to dispossess the Jews from their history, and in doing so, in
seeking to destroy a people's history, a symbolic genocide replaces
a physical one." (6)
- Consider the overall "moral"
judgments in this whole scenario. According to Lipstadt, van
Pelt and the Holocaust lobby in general, it is "evil, racist
and extremist" for white gentiles to be the least bit concerned
about the damage that certain Holocaust lies and exaggerations
are doing to the European gentile collective identity. Indeed,
Gentile Europeans and Euro-Americans are supposed to just meekly
accept what the Jewish power elite says about the Holocaust,
no matter how damaging it is to the European collective self-identity.
Yet, it is positively demanded that Jews fight against Holocaust
revisionism, so as to protect and vindicate the Jewish self-identity.
- At the beginning of his
tome, van Pelt quotes Jewish-Zionist theologian and "moral
beacon" Elie Wiesel. He says that the alleged mass murder
of Jews at Auschwitz "signifies... the failure of two thousand
years of Christian civilization..." He is clearly referring
to all European Christendom.
- According to the "morality"
of Lipstadt, van Pelt and the Jewish-Zionist power elite that
they represent, European Christians are simply supposed to meekly
accept statements like these as "the truth," and any
attempt to debunk certain Holocaust lies and exaggerations and
their ensuing moral implications is of course "racist, evil
and extremist." Using language very similar to that of Apfelbaum,
the European Christian could say: "The insidious effect
of reading the lies and exaggerations in the Holocaust literature
is to lose one's identity as a European Christian. Therefore,
the 'gas chamber' tale and some other false Holocaust allegations
serve to dispossess European Christians from their history, and
in doing so, in seeking to destroy a people's history, a symbolic
genocide replaces a physical one." The problem is of course,
the predominate "morality" in the Western world doesn't
allow the European Christian to think this way.
- Who conditioned us to
think this way? From where does this "moral" double
standard originate?
- In his classic work on
the sociology of knowledge, Ideology and Utopia, Karl
Mannheim noted that in any society a large part of the prevailing
ideologies, world-view, and "moral" judgments reflect
the sociopolitical interests of that society's power elites and
controlling elements. (7) One of the most powerful and influential
of these elements in America and the Western democracies is the
Jewish political and cultural establishment. (8)
- Definite forms of social
consciousness derive from the fact that the Jewish-Zionist elite
possesses the power and authority to impose its values-inclusive
of double standards of "morality" that serve their
interests-upon the masses of the Western democracies. Most people
never think to question these preformed patterns of thought,
and thus, remain locked in a dogmatic slumber.
- Professor van Pelt strikes
this writer as being somewhat open-minded, and he probably can
be made aware of the hypocritical double standard at work here.
But Lipstadt appears to me as being a close-minded and intolerant
Zionist ideologue, whose intense Jewish ethnocentricism blinds
her to anything but "what is good for the Jews." She
would probably never own up to the hypocritical double standards
that plague her thinking. (9)
- Every ethnic group, race
and culture is endowed with the collective rights to self-determination
and self-preservation. A positive collective self-image is an
integral part of a people's drive for long-term survival. Just
as Jews have the right to maintain a good collective self-image,
so too with Gentiles of European descent-they too have the right
to fight against those historical lies and distortions that damage
their collective self-identity.
- The "Nazi gas
chambers" tales are historical lies whose days are truly
numbered. The Jewish
people would do well to give up the false, destructive and negative
aspects of the Holocaust ideology. They are going to have to
find something else to anchor their collective identity in.
- Footnotes
- 1./ Deborah Lipstadt,
Denying the Holocaust: The Growing Assault on Truth and Memory
(The Free Press, 1993). 2./ Ibid, p. 144. 3./ Ibid. 4./ Robert
Jan van Pelt, The Case for Auschwitz: Evidence from the Irving
Trial (Indiana University Press, 2002). 5./ Ibid,
p.70. 6./ Ibid. 7./ Ideology and Utopia (Harcourt,
Brace and World, 1936). 8./ The following list is a small sample
of the works that document the power and influence of the Jewish
political and cultural establishment. J.J. Goldberg, Jewish
Power: Inside the American Jewish Establishment, (Reading,
Mass.: Addison-Wesley, 1996); Andrew Hurley, One Nation under
Israel; Kevin MacDonald, The Culture of Critique: an Evolutionary
Analysis of Jewish Involvement in Twentieth-Century Intellectual
and Political Movements (Westport, Connecticut: Praeger,
1998); Neal Gabler, An Empire of their own: How the Jews Invented
Hollywood (New York: Crown Publishers, 1988); Paul Findley,
They Dare to Speak out: People and Institutions Confront Israel's
Lobby (Westport, Conn.: Lawrence Hill & Co., 1985); Alexander
Bloom, Prodigal Sons: The New York Intellectuals and their
World (Oxford University Press, 1986); Ernest van den Haag,
The Jewish Mystique (Stein and Day, 1969); Charles Silberman,
A Certain People: American Jews and their Lives Today
(Summit Books, 1985); Alfred Lilienthal, The Zionist Connection
II: What Price Peace? (North American, 1982); Jonathan Kaufmann,
Broken Alliance: The Turbulent Times between Blacks and Jews
in America (Charles Scribner's Sons, 1988); Wilmot Robertson,
The Dispossessed Majority (Howard Allen, 1981). 9./ For
a discussion of the hypocritical double standards that plague
Lipstadt's thinking, see my discussion of this Online:
- <http://www.codoh.org/revisionist/comment/tr08lipstadt.html>. Also, see Online: <http://www.codoh.org/revisionist/tr09israel.html>
- <http://www.davidduke.com/library/grubach/jewishidentityandtheholocaust.htm>
UN
TOURISTE
- Debord, par
Pierre Guillaume
-
- Publié
dans le No 1 de "La Vieille Taupe"
-
- Avertissement
aux lecteurs
- La version papier de
ce texte est difficile à trouver et j'ai été
la pirater sur un site révisionniste. Il est du à
la plume de Pierre Guillaume, animateur de la Vieille Taupe qui
a évolué au fil du temps et au nom du droit à
la liberté d'expression vers des thè de plus en
plus pénibles. Il s'agit en définitive d'un brillant
et fort habile exercice pour démontrer que Debord était
au fond un révisionniste qui s'était mal assumé
et s'ignorait.
- Il est néanmoins
un fait reconnu par Guillaume lui-méme: Debord n'a jamais
en privé exprimé que du mécontentement quant
à l'utilisation de ses thèses pour justifier les
divagations révisionnistes. ... et il n'est pas venu à
l'esprit de Guillaume que Debord a peut-être pensé
que le simple fait de les évoquer reviendrait à
leur donner une considération qu'elles ne méritent
absolument pas.
- Si je reprend ce texte,
c'est que d'une part il me semble un exemple presque parfait
de parasitisme parasitu et que d'autre part il contient des éléments
d'information intéressants sur les débuts de l'
IS.
- Pour des raisons techniques,
j'ai structuré le texte en quatre pages:
- * la première
retrace les premiers contacts entre l'IS et Guillaume; en gros,
on y apprendra que, sans Guillaume, Debord et l' IS n'auraient
pas connu le destin qui fût le leur;
- * la seconde raconte
la fin des relations entre l' IS et la librairie "La Vieille
Taupe"ainsi que la fin de cette derniè;
- * la troisième
constitue, citations de "Commentaires sur la Société
du Spectacle" à l'appui, une "démonstration"
de la convergence entre le révisionnisme et les thèses
de Debord;
- * la dernière
est un passage en revue des oeuvres de Debord, avec quelques
appréciations intéressantes, et se termine par
un plaidoyer pro domo au prétexte d'une absence de désapprobation
publique de Debord et des situationnistes "historiques".
- NB - Vu mes (non-)talents
dactylographiques, il est certain que des erreurs subsistent,
je les corrigerai au fur et à mesure que je les découvrirai
mais n' hésitez pas à les signaler à Franck
Einstein. <[email protected]>
Pour l'instant, il n'a pas encore découvert
grand'chose. Cet égotiste insignifiant et pseudoparasitu
dit des choses agréablement méchantes de l'horrible
Veuve Debord qui mâchonne le cadavre de son mari pour ne
pas aller travailler comme secrétaire. Mais il ne suffit
pas de s'appeler Einstein pour avoir un atome d'intelligence.
Comme preuve de sa bêtise, il nous fournit des clichés
de son dernier voyage à Sapa, le jardin zooethnique du
Viêt-Nam, pour touristes sexuels. Beurk !
<http://perso.respublica.fr/lnalhooq/Debord/GuillaumAvertissement.html>
OFFRE
D'EMPLOI POUR RÉVISIONNISTE
- The Robert A. and Sandra
S. Borns Jewish Studies Program at Indiana University, in conjunction
with the Department of History, invites applications for an appointment
to an endowed Chair in one or more of the following fields: the
history of the Holocaust, the history of antisemitism, and/or
the history of Zionism and modern Israel.
- We seek a senior scholar
of proven accomplishment. Candidates should be able to demonstrate
scholarly excellence in research and teaching and a willingness
and ability to participate actively in the various activities
of the Borns Jewish Studies Program. Junior scholars with a substantial
publishing record may also be considered.
- Salary will be commensurate
with experience and will be appropriate for an endowed Chair.
Applications received before November 1, 2002 will be assured
of serious consideration. This position begins fall semester
2003.
- Send application, curriculum
vitae, four letters of reference, evidence of effective teaching,
and relevant publications to the chairperson of the search committee,
Professor Alvin Rosenfeld, Borns Jewish Studies Program, Indiana
University, Goodbody Hall 308, 1011 East Third Street, Bloomington,
IN 47405-7005.
YOUGO
SE LAVE PAS
Par la diligence de Jared Israel, nous
pouvons voir l'enregistrement vidéo de la dernière
audition du procès Milosevic.
C'est là que le "Témoin-clef"
du procureur, Rade Markovic, ancien chef de la police de sûreté
serbe, détruit l'accusation. Non content de démentir
l'existence de tout projet de "nettoyage ethnique",
il explique comment il a été soumis au chantage
et aux tentatives de subornation par les collaborateurs du TPI
avant sa comparution.
Ce dernier aspect de sa déposition
a été passé sous silence par les médias.
Le TPI n'a pas ouvert de procédure -- alors que ses statuts
l'y obligeaient -- contre ceux qui ont torturé le témoin.
D'une manière générale,
il ressort, quand on observe des moments de ce procès,
que Milosevitch devrait avoir un prix Nobel de la politique et
les membres du tribunal, juges et procureurs, devraient faire
un long séjour à l'ombre. Il doit bien y avoir quelques
mines de sel pour accueillir ces misérables.
<http://hague.bard.edu/video/icty_env.20020726.ram>
Il faut disposer du logiciel gratuit
Real Video. Voir en particulier les échanges situés
à l'heure 02:03 de l'audience (La séance dure 2
h 55). Les débats se passent en serbo-croate, mais la bande
son fournit une traduction anglaise aisément compréhensible.
La procédure est anglo-saxonne, c'est-à-dire soumise
à la dictature arbitraire du juge qui décide de
ce qui peut se dire ou non, de ce qui est "pertinent"
ou non du point de vue de son "pre-jugé". Pour
les héritiers du droit romain, ce genre de procédure
est primitive et barbare, fondée sur des comportements
de meute.
BLANC
CASÉ
La sortie inattendue de M.
Bébéar sur la "race blanche"
Ce qui étonne le plus, c'est que
ce Monsieur Bébéar, ancien chef de cabinet de Beregovoy
et condamné pour avoir participé à une entourloupe
boursière, autrement dit un "délit d'initiés",
avec un banquier libanais nommé Traboulsi, semble se considérer
lui-même comme appartenant à une "race blanche".
Disons plutôt une "race qui blanchit".
Sortie dans Le Monde du 30 août
2002
COUP
DE PIED
- Era il nome
di un gas letale usato dai nazisti
-
- Il gas Zyklon è stato utilizzato nei
campi di sterminio tedeschi
- Londra (CNN) -- Hanno
avuto il pessimo gusto di chiamare un tipo di scarpe da corsa
con lo stesso nome, Zyklon, di un gas letale utilizzato
durante la Seconda Guerra Mondiale nei campi di sterminio nazisti.
E i suoi ideatori, fornitori di articoli sportivi facenti capo
alla ditta britannica Umbro, sono stati inevitabilmente attaccati
da un gruppo ebraico che lotta per la salvaguardia dei
diritti umani.
- Il dottor Shimon Samuels,
del "Centro Simon Wiesenthal", martedi ha preso carta
e penna per spedire alla Umbro una lettera di riprovazione. Nella
missiva, riferisce l'Associated Press, l'iniziativa viene definita
un "oltraggioso abuso dell'Olocausto" che è
"un insulto alle vittime e ai sopravvissuti".
- L'uso del nome Zyklon
-- sottolinea Samuels nella lettera inviata all'amministratore
delegato della Umbro, Peter McGuigan -- è "un incoraggiamento
al neonazismo e agli skinhead che terrorizzano gli spalti degli
stadi di football, oltre che un disonore per lo sport in generale".
- Il portavoce della Umbro,
Nick Crook, a Londra ha spiegato alla Ap che la compagnia desidera
"esprimere il suo sincero rammarico per la circostanza
che il nome Zyklon possa aver offeso qualcuno". Ma ha anche
aggiunto che quel nome non è stampato sulle scarpe e che
il suo uso è rientrato esclusivamente in un'operazione
di marketing a partire dal 1999.
- "Il nome del tipo
di scarpe è puramente casuale e non aveva nessun significato
sottinteso", ha concluso Crook. Il tipo di scarpa era in
vendita nei negozi e nei siti Internet di articoli sportivi.
Crook ha detto che la Umbro ha già provveduto a cambiato
il nome del tipo di scarpa in Gran Bretagna e si affretterà
a fare altrettanto nel restante mercato internazionale.
- Il Centro 'Wiesenthal',
cosi chiamato in memoria del superstite di Auschwitz divenuto
cacciatore di nazisti, [E già morto ?? ]
non si è pero accontentato e ha chiesto che si proceda
a "una investigazione e una condanna di coloro che
hanno contribuito alla strategia commerciale della Umbro".
- 29 agosto 2002
- <http://cnnitalia.it/2002/MONDO/europa/08/29/zyklon/index.html>
Ce Samuels, qui vit grassement à
Paris, est l'employeur de Knobel et de tout un tas de flics spécialisés
dans l'anti-révisionisme. Il faut maintenant qu'il régente
le nom des chaussures. Bientôt il prélèvera
l'impôt sur la pureté cachère des grolles,
des fringues, etc.
ARROSEUR
ARROSÉ
- «Au festival de
Cannes lors d'une soirée organisée par ATTAC 06,
Pierre Carles est venu présenter son dernier film Enfin
pris. Ce film, qui sortira en salle le 3 octobre 2002, analyse
la personnalité du journaliste Daniel Scheiderman, archétype
du faux impertinent et finalement complice actif des médias
dominants qui exercent une censure insidieuse sur la pensée
divergente.» (Infozone, 3 sept. 2002)
On se souvient que ce type, jouant
au faux naïf qui découvre Internet, avait consacré
de gros articles dans Le Monde
à dénigrer les révisionnistes, à
leur reprocher leur énorme travail et la rationalité
de leur démarche et à cracher sur l'AAARGH sans
même oser donner son nom. Toujours à jouer les enfants
de choeur, surtout dans une émission de télé
qui parle de la télé, ce minus vient de se faire
prendre les doigts dans la porte. Amusant.
- SPAM
- Spam: On pourrait rapprocher ton
film de celui sur Noam Chomsky: Les médias et les illusions
nécessaires....
- Pierre Carles: Oui et non. Oui dans la mesure
où, comme dans le documentaire sur Chomsky, il s'agit
d'un film qui va, me semble t-il, à l'encontre de ce que
l'on pourrait appeler le discours dominant, et qui par conséquent
lui ressemble ; non, si l'on considère que, dans La
Sociologie est un sport de combat, le montage et la réalisation
n'amènent pas le spectateur d'un point A à un point
D en passant par un point B ou C, comme c'est le cas dans le
film de Marle/Wyntonick, mais laissent au spectateur une relative
marge de manoeuvre, lui donne la possibilité de déambuler
à sa guise dans la pensée de Bourdieu. Je ne voulais
pas trop prendre le spectateur par la main, je tenais à
éviter de le manipuler. Un point commun entre Chomsky
et Bourdieu, c'est de ne guère être appréciés
des cercles dirigeants et des grands médias. Pendant longtemps,
en France, seuls de petits éditeurs comme Agone ou Sulliver
publiaient des ouvrages de Chomsky. Ce dernier avait une image
épouvantable depuis l'histoire Faurisson. C'est surtout
le journal Le Monde qui a eu un comportement scandaleux
dans cette affaire.
- Spam: Qui continue d'ailleurs
- Carles: Simplement parce qu'il a eu
le malheur de dire que tout le monde avait le droit de s'exprimer,
y compris des gens comme Faurisson. Ce n'est pas pour autant
qu'il partageait les conneries de Faurisson. Malheureusement
pour lui, un éditeur malfaisant s'est servi de ce texte
comme préface d'un bouquin de Faurisson sans lui demander
son avis. Et il a ensuite prétendu qu'il était
soutenu par Chomsky ! Ce qui était une sacrée manipulation.
Mais le pire ce sont les gens du Monde qui savaient très
bien ce qui s'était passé. Ils ne pouvaient pas
ne pas savoir que Chomsky ne souscrivait pas aux élucubrations
de Faurisson, et s'en sont néanmoins servi pour présenter
Chomsky comme négationniste ou presque. Or, une fois
qu'on te traite de négationniste c'est terminé,
tu n'existes plus, tu es considéré comme un pestiféré,
tu es mort médiatiquement parlant, on ne parle plus avec
toi. Le Monde a été vraiment crapuleux.
Libération aussi a écrit des saloperies
là-dessus.
<http://s.p.a.m.free.fr/01/itw_carles01.html>
oooOOO§§§OOOooo
LES GRANDES PANURGIES
LYONNAISES (suite)
GUNGA
DIN
Bernard Lugan, maître de conf
à Lyon III, a pris la parole pour commenter les attaques
dont il fait l'objet. Nous ne porterons pas ici de jugement sur
ses travaux, encore qu'il nous revienne une chose amusante: dans
l'un de ses premiers livres, un histoire de l'Afrique du Sud,
Lugan, qui soutenait l'idée d'une Afrique du Sud blanche,
avait copieusement plagié et renversé le travail
d'un futur révisionniste, Serge Thion, qui avait publié,
longtemps avant, un livre sur l'Afrique du Sud où il prônait
la libération du pays; il avait été le premier
à traduire et publier Nelson Mandela en France. Peut-être
le petit dieu Lug, qui préside aux destinées de
la ville de Lyon (Lug-dunum: forteresse de Lug) est-il une sorte
de Mercure, de dieu des voleurs! Bref, Lugan s'exprime dans un
entretien donné à un canard d'extrême-droite,
Réfléchir et Agir,
numéro 11, printemps 2002:
- Q. Dans quel contexte
s'inscrivent les attaques virulentes dont, depuis des mois, vous
êtes l'objet?
- R. Depuis une dizaine
d'années,les attaques contre Lyon III servent de fonds
de commerce à un certain nombre d'associations. Le coeur
du problème est que la gauche n'a jamais accepté
la création de l'université Lyon III au lendemain
de "mai 1968", car elle voyait son monopole intellectuel
brisé. Tout a donc été tenté pour
détruire cette université, mais ses premiers présidents
ont su faire face. Il a fallu attendre Michel Noir et le montage
de l'«affaire Notin» pour que les gauchistes disposent
enfin d'un moyen de casser la résistance de l'institution.
Utilisant à merveille un danger "négationniste"
qui n'avait jamais existé à Lyon III, ils ont commencé
par isoler certains professeurs avant de lancer un véritable
mouvement d'épuration. La mollesse des dirigeants successifs
de Lyon III, leur nullité face à la campagne de
presse, leur incapacité à réagir ont fait
que les gauchistes n'ont jamais rencontré la moindre résistance.
Ils ont alors naturellement pensé qu'ils pouvaient aller
encore plus loin en demandant la démission de l'actuel
président, qui est un "RPR centriste", et des
sanctions contre les derniers enseignants suspectés de
"droitisme".
- Q. Les autorités
universitaires sont donc demeurées passives ?
- R. Non: à force
d'être insultés et traînés dans la
boue, les libéraux qui dirigent cette université
ont fini par se fâcher et ils ont engagé plusieurs
actions en justice. Les premières mises en examen sont
tombées et, depuis, l'ennemi est étrangement calme.
D'autant plus que les élections étudiantes ont
permis de mettre en évidence sa représentativité,
c'est-à-dire à peine 5% des inscrits, et que les
élections des professeurs ont été une déroute
pour lui. Nous avons tenu et ils ont pris une claque. Maintenant
les condamnations pénales vont tomber et il va falloir
passer à la caisse. Les attaques ne sont pas pour
autant terminées, mais nous les attendons de pied ferme
car le contexte a changé. Jusqu'à ces derniers
mois nous étions harcelés de toutes parts et contraints
à la défensive. Aujourd'hui, la situation est totalement
renversée, d'autant plus que je viens, coup sur coup,
de faire condamner trois organes de presse lyonnais, ce qui a
eu le mérite de rendre plus prudents les autres...
- Q. Venons-en à
la campagne dont vous êtes actuellement la victime.
- R. La stratégie
révolutionnaire a, une fois de plus, fonctionné
à merveille grâce à la complicité
active, passive ou suiviste de la presse lyonnaise. Dans
un premier temps, l'ennemi a utilisé le "négationnisme"
afin de paralyser toute résistance à Lyon III,
tant la symbolique attachée à ce concept est
incapacitante. Dans un second temps, il s'en est servi pour
traquer tous ceux qui n'étaient pas dans la norme. [...]
Plus loin, il raconte comment le sieur
Bertrand Delanoë, chef de gang à la Mairie de Paris,
lui a, en novembre 2001, interdit l'accès de la Fête
du Livre du Figaro Magazine,
organisée chaque année à l'Hôtel de
Ville. Il y en a qui, à peine élus, se croient propriétaires
de leur charge, comme sous l'Ancien Régime. Il faut dire,
talons rouges et culottes de soie...
NAISSANCE
D'UNE LÉGENDE
Une incertaine Chiara Penzo, jolie
fille d'après la photo, entreprend d'expliquer le "négationnisme"
sur un site lyonnais; c'est la millième mouture, plus bête
tu meurs.
Vous pouvez aller vérifier,
cette ânerie nous fatigue trop pour qu'on la reproduise:
<http://www.lidealiste.com/faq_detail.php/id/354/printable/yes>
Mais ce qui est absolument tordant,
c'est le commentaire d'une lectrice, la conne absolue, entrée
à la fac après l'affaire Faurisson et le
départ forcé d'icelui, et qui raconte donc les choses
par ouï-dire. C'est croquignolet et nous ne résistons
au plaisir de vous offrir ce petit rôti de connerie truffée,
digne de la meilleure gastronomie lyonnaise, qui craint peu la
concurrence:
Contributions des lecteurs
- Contribution
de lorellou le 24/06/2002
- Merci de rappeler quelques
noms propres (quoique...) et communs de l'histoire de l'histoire.
- Fait intéressant,
Faurisson était bel et bien professeur de Lettres, et,
avant de s'en prendre directement aux camps, il avait soutenu
une brillante thèse intitulée: "Qui a lu Lautréamont
?" Grosso modo, il s'agissait de réduire un succès
littéraire à un complot (celui de surréalistes,
d'intellectuels suspects, etc.) en adoptant un langage hypercriticiste,
du genre: "Moi, j'appelle un chat un chat, je ne suis pas
comme Julia Kristeva etc., je ne vous la jouerai pas chora sémiotique"
-ceci alors qu'un structuralisme parfois abscons régnait
sur les études littéraires. Il réussissait
alors à gagner une petite claque d'étudiants blasés
par la "chora sémiotique" et tutti quanti. Pas
longtemps tout de même. En littérature, rien ne
trouvait grâce à ses yeux: il démystifiait
si bien et avec tellement de hargne qu'on pouvait se demander
s'il n'était pas phobique ou paranoïaque.
- Et puis, les Juifs ne
plaisaient pas trop, le sentaient, et désertaient les
rangs. Idem pour les arabes, pour les noirs, pour les arméniens,
pour les polonais, pour les innombrables personnes dont le nom
avait une vague consonance latine, étrangère ou
prétendue telle. Les filles, majoraitaires, avaient vite
compris qu'elles étaient race inférieure de toute
éternité. A la longue, il n'y avait plus de claque,
sinon celle que les étudiants ont fini par donner à
leur héroïque professeur en désertant ses
cours, et en secouant (diffficilement) les confrères "de
gauche" dudit Faurisson pour qu'il lui soit avisé
qu'il était allé trop loin en amphi pour pouvoir
de nouveau s'y risquer. Il faut dire que M. Faurisson était
entré en fac à visage couvert et s'était
syndicalisé à gauche, au SNESsup, histoire de se
couvrir un peu en cas de problèmes... Heureusement, son
syndicat l'a démasqué puis évincé
! Mais seule la désertion puis la pression des étudiants
ont amené les confrères et autorités du
brillant démystificateur à s'émouvoir quelque
peu de ses propos ouvertement xénophobes, antisémites
et mysogines pendant les cours.
- Il fut en suite à
moitié suspendu: pas de cours, ce n'était pas possible.
Mais payé à plein traîtement, il a pu avancer
beaucoup son travail sur Anne Frank (dont le Journal était
encore une mystification, un complot, un faux, avec preuves par
9).
- Plus tard, il a enseigné
à distance, au CNED, toujours comme professeur agrégé
de Lettres, mais, si j'ai bonne mémoire, chargé
d'une spécialité beaucoup plus technique (ancien
français, linguistique) qui ne lui laissait que peu d'échappatoires
en matière négationniste. Il était un peu
fiché, certes. Comme "révisionniste",
à l'époque. Mais des professeurs handicapés,
malades, déprimés, etc., ont souvent du mal à
obtenir un passge au CNED, qui leur est en principe réservé.
Beaucoup d'appelés et peu d'élus. Dans de telles
circonstances, ils ont encore plus de mal à obtenir pour
des années un plein traîtement. Sieur Faurisson,
lui, est arrivé sans peine là où beaucoup
échouent: se faire mal voir des étudiants, certes,
mais avoir des appuis et de la respectablité quand-même,
cela rapporte gros pour peu de travail, dans ce métier-ci.
- Laurence Goblot
- Ancienne étudiante
de l'Université Lumière Lyon II (entrée
peu après le départ de M. Faurisson, qui y faisait
encore parler de lui).
Elle est pas chou cette lorellou ?
Lorellou, raconte-nous encore le révizou...
oooOOO§§§OOOooo
CHRONIQUE
D'UNE PERSÉCUTION
2 September 2002
-
- Court Verdict
"Remedy for Poisonous Hatred"
- Today's [Australia's]
Federal Court judgement that Olga Scully of Launceston had behaved
unlawfully by distributing anti-Jewish material "affirms
that we live in a tolerant and fair-minded society and that Australia's
laws can be used effectively to give recourse to individuals
and minority groups who have been subjected to poisonous campaigns
of racial hatred", Jeremy Jones, president of the Executive
Council of Australian Jewry, said today. Federal Court judge,
Justice Hely, found that Olga Scully had breached the laws prohibiting
racial vilification by publicly distributing a number of leaflets
containing derogatory generalisations about Jews. The leaflets
denied that millions of Jews had died in the Nazi Holocaust
and blamed the world's social and economic problems on a worldwide
Jewish conspiracy.
- Ms Scully admitted that
she had distributed similar leaflets throughout Tasmania for
more than 30 years. The Court ordered that Ms Scully "be
restrained from distributing, selling or offering to sell any
leaflet or other publication which is to the same effect as any
of [those] leaflets".
- The case was brought
against Ms Scully by Mr Jeremy Jones, President,
- Executive Council
of Australian Jewry.
[...]
- Ms Scully was ordered
to pay Mr Jones legal costs.
On peut joindre le persécuteur-en-chef,
Jeremy Jones à <[email protected]>
Notre ami révisionniste australien,
Fredrick Töben, directeur de l'Adelaide Institute, a été
condamné le 17 septembre 2002 pour discrimination raciale
pour avoir "nié l'existence de l'Holocauste et porté
atteinte au peuple juif" sur son site (http://www.adelaideinstitue.org>)
On trouvera l'intégralité
du jugement à:
<http://www.austlii.edu.au/au/cases/cth/federal_ct/2002/1150.html>>
M. Töben est condamné à
retirer de son site dans les sept jours tout matériel susceptible
d'être "blessant".
Le Toronto Globe and Mail du 17
septembre nous avertit:
- (...) "Le matériel
blessant niait la mort de millions de juifs au cours de la période
nazie et signalait que les gens qui se sentaient blessés
ou qui contestaient le négationnisme étaient
d'une intelligence limitée.
- Le juge, Mr. Branson,
a dit: «Le tribunal a reconnu que l'accusé avait
publié sur le World Wide Web du matériel qui, à
juste titre, est susceptible, en toutes circonstances, de blesser,
d'insulter, d'humilier et d'intimider les Australiens juifs».
Le tribunal, qui siégeait à
Adelaide, a également ordonné à M. Töben
de publier une lettre d'excuses au président du Conseil
exécutif de la communauté juive australienne, Jeremy
Jones, initiateur du procès, et de payer les frais de justice.
M. Töben a fait savoir sur son site
qu'il ferait appel du jugement.
Ancien enseignant, M. Töben a été
emprisonné pendant sept mois en Allemagne en 1999 pour
avoir incité à la haine raciale dans des pamphlets.
Toutefois il n'avait pas été poursuivi pour avoir
diffusé les mêmes propos sur son site Internet car
le tribunal (allemand) avait retenu que, son site étant
domicilé à l'extérieur de l'Allemagne, il
n'était pas du ressort de sa juridiction.
[...] «Cette affaire confirme que,
du moins pour ce qui concerne les sites australiens, l'Internet
est soumis aux mêmes contraintes légales que les
autres formes de communication telles que publications, télévision
et radio'», a relevé William Jonas, en charge de
la Commission contre la discrimination raciale.
Vu sur le site de l'Adelaide Institute,
fin septembre:
- During my European sojourn,
I met eminent scientist Werner Heisenberg who had refused leaving
Germany during the second world war. Likewise, I refuse to relocate
our Adelaide Institute website to the USA where the First Amendment
guarantees free speech. I shall remain in Australia and fight
this Zionist-led obscenity from within -- and accept my fate.
UN
PAUV' MALHEUREUX
- Sun, 1 Sep 2002 20:45:51
-0400
- To: [email protected]
- I am a 50 year old Jewish
male, to young to be a survivor. My deceased brother-in-law,
Steven Lewkowicz survived Auschwitz, #124171 and Buchenwald #128923.
I have gone back to school to get a Doctorate degree in Holocaust
and Genocide studies, so as to be able to teach the Holocaust
and Tolerance at University level where I live, in southern California.
I was trained to conduct survivor interviews for the Survivors
of the Shoah Visual History Foundation. I had been conducting
interviews of survivors for a project of my own, prior to this
training, and had interviewed many survivors, both Jewish and
non-Jewish. During this training, I had asked if non-Jewish survivors
of the Holocaust would be included in their interview process.
It was early on and they had just begun doing interviews, and
I was told that non-Jews were not survivors of the Holocaust,
they were survivors of World War II. I was infuriated. (Later,
non-Jews were included) The non-Jews I had interviewed had survived
Auschwitz. Gross-Rosen, Bergen-Belsen, Dachau, numerous other
concentration and death camps, or were in hiding. This comment
from the person heading their interview program, has stuck in
my mind for many years. I often wondered how a non-Jew that
suffered in these camps, were not considered Holocaust survivors.
Does cold, hunger, thirst, beatings, loss of freedom, and torture,
not feel the same for Jews and non-Jews? If Hitler had been successful
at murdering the Jews of Europe, would he have stopped, without
murdering the next category of people on the proverbial food
chain of hate? I have a very dear friend, who is a Polish Christian,
survivor of Auschwitz, Gross-Rosen, and Leitmeritz, Marian Wojciechowski.
He was involved with supplying food to five different underground
organizations, one of which was Zegota, the committee to save
Jews, established by the Polish government in exile, in London.
Should I contact Yad Vashem to nominate him as a potential candidate
for recognition as a "Righteous Among the Nations"?
The penalty for aiding Jews, was different in all countries under
Nazi occupation. In Poland it was a death sentence. Most anti-Semites
and collaborators worked out in the open. Those who hid or helped
Jews, did this in a clandestine manner. Jews rounded up in and/or
sent to Poland by the Nazi's and collaborators, saw Polish collaborators
in action. Most Poles that worked to save Jews were not anti-Semites,
although many did help for gain through extortion. Yet, hatred
of Poles, as collaborators and anti-Semites is still a major
issue in the survivor community. An example of this continued
anti-Polish sentiment can be seen in the PBS documentary, Shtetl,
where Poles are shown in a very bad light, by a survivor that
was aided and hidden, at risk of death, by Poles. Is not hatred
of Poles as a people, not the same as hatred of Jews as a people?
Should we not have learned from the Holocaust that each individual
person, regardless of ethnic background, religious belief, race,
sexual identification, or any other form of arbitrary categorization,
be judged by their individual deeds and actions rather than group
judgment? I defend the right of individuals to hate, they are
entitled to their opinion. I do not condone crimes, and feel
that criminals should be punished in a manner equivalent to the
crime they commit. The statement "Never Again", lasted
about twenty minutes, as shown by the atrocities and attempted
genocides that have occurred till the present. As a teacher of
Tolerance, I often wonder how the lessons of the Holocaust should
be taught. Should it be taught as History? Should it be taught
as Humanities? Or, are we wasting our time, trying to fix a world
filled with hate?
- Albert Ziegler, <[email protected]>
- Oral Historian and future
Professor in Holocaust and Genocide studies
DES
JOBS ZOLO
- Geography & Environmental
Management Research Unit
- Supervisor: Mr A Charlesworth
- The nature of visits to
Holocaust sites in Poland has changed dramatically since 1989,
yet very little work has charted that change or looked at the
impact of those changes on the places visited. The project would
do just this by focussing on two sites. The first is the Auschwitz
Museum, a place where half a million people visit a year
and which has had to move from state organized group visits to
mass tourism within ten years. Within that change the number
of foreigners has dramatically increased, particularly those
of Jewish background. There are even day trips from Britain
which will be one of the objects of study. The second is the
city of Krakow whose Holocaust tourism was stimulated
by the success of Spielberg's film Schindler's List. This
tourism is embedded in the revival of Jewish heritage tourism
in Kazimierz, the setting also some key scenes in the film. The
Schindler experience and the urban regeneration of this part
of Krakow will be part of the study.
- The project parallels
and draws on the synergies with the ESRC project "The Other
Auschwitz". There will be active collaboration with the
School of Sport and Leisure at the University of Gloucestershire
as well as in Poland, Institutes of Geography and Sociology at
the Jagiellonian University Krakow and the Department of Geography
and Tourism in the University of Lodz.
- The Studentship is open
to EU residents. A student stipend of £7,500 per annum
plus payment of tuition fees is available, tenable for a maximum
of three years from 1st October 2002 or as soon as possible afterwards.
- The post is suitable for
a graduate in tourism, human geography, sociology or other social
science with a first or upper second class honours degree (or
equivalent). Ability to speak Polish is not essential.
- Application forms are
available from: Ms Roberta Stevenson, Research Administration,
University of Gloucestershire, Fullwood, The Park Campus, Cheltenham,
GL50 2QF, Royaume Uni.
PETIT
GESCHEFT
On a trouvé, sur un site de vente
aux enchères, <ebay>, un superbe uniforme de prisonnier
de camp de concentration, état quasi neuf, qui était
offert, quand même, au prix de 750 $.
Les zolo ont commencé à
râler comme des poux, que c'était pas normal, que
c'était un faux, que patati patala.
Le site <ebay> s'est défilé
vite fait:
- Time left Auction has
ended.
- Started Aug-28-02 15:51:12
PDT Ends Aug-31-02 20:21:22 PDT
- Cancelled $800.00
- Explanation:Item Is
No Longer Available For sale.
En fait, personne n'a eu le temps d'enchérir,
et le petit costard est reparti vite fait.
Ben quoi, on peut bien avoir des problèmes
d'argent...
<http://cgi.ebay.com/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=2135677518>
PASSEZ
LE BASSINET
- Tiny Macedonian
Jewish community
- pleased by
new settlement on property
-
- By Ruth E. Gruber
- Rome, Sept. 3 (JTA)
-- Jewish leaders are hailing a World War II restitution
agreement announced by the Macedonian government as unprecedented
in redressing the wrongs of the Nazi and Communist eras. At a
ceremony in the capital of Skopje on Aug. 29, Finance Minister
Nikola Gruevski announced that Macedonia would either return
or provide compensation for Jewish communal properties claimed
by the Jewish community. He also announced that all heirless
Jewish property or compensation will go to a new Holocaust
Fund foundation to be jointly administered by the government
and the Jewish community. Jewish community board member Samuel
Sadikario will serve as chairman. Both decisions were based on
a property privatization law enacted in 2000.
- To provide start-up
funding for the foundation, Gruevski announced that the government
would immediately put government bonds worth nearly $500,000
into the Holocaust Fund as compensation for four heirless
properties in Skopje.
- «Basically, this
is a first "installment,"» said Macedonian Jewish
official Zdravo Sami, who will serve on the fund board. Yechiel
Bar Chaim, the American Jewish Joint Distribution Committee country
director for Macedonia, said that as far as he knew no other
post-Communist country had enacted such a sweeping law.
And, he said, nowhere else had the process of communal property
restitution "been completed with such thoroughness and at
one single moment in time, in one fell swoop."
- Macedonia was a part
of the former Yugoslavia. Of the more than 7,000 Jews who lived
in Macedonia before World War II, some 98 percent were killed
in the Holocaust.
- Only about 200 Jews
live there today, and Jewish community leaders admit to being
"overwhelmed" by the restitution decision.
- "We had all hoped
and worked toward this historic moment," Sami said. "But
I am convinced that the actual moment surprised us all, as did
the outcome itself. We will need some time to come to grips with
the new situation. We are now faced with a new and even more
responsible task -- how to proceed," he added. "We
need to reorganize and restructure ourselves." [...]
- Jewish Telegraphic Agency.
- <http://www.jta.org/story.asp?id=020903-rest>
Ils en suffoquent, les vieillards,
ils n'avaient jamais songé à en demander autant.
Mais les autorités macédoniennes, convenablement
travaillées au corps par les eurocrates et les soldats
américains, ont battu tous les records suisses de vitesse
de baisse du pantalon.
BON
USAGE
Dans un tarticle concernant l'extradition
"virtuelle" des brigadistes italiens, on lit ceci:
- «Dans un texte rédigé
au lendemain de l'incarcération de l'ancien fondateur
du groupe Autonomie ouvrière, Toni Negri, Giorgio Agamben
constatait le lien organique entre le maintien des lois spéciales
et le refus de tout projet d'amnistie. "L'incapacité
de penser dont semble aujourd'hui affligée la classe politique
italienne et, avec elle, le pays tout entier, dépend précisément
de cette conjonction maligne d'un mauvais oubli et d'une mauvaise
mémoire, grâce à quoi l'on cherche à
oublier quand on devrait se souvenir et l'on est contraint de
se souvenir quand on devrait savoir oublier." C'était
en 1997. Cinq ans plus tard, le philosophe italien pourrait utilement
reprendre la plume. Pour inviter, cette fois, la France à
réapprendre "le bon usage de la mémoire et
de l'oubli".» (Le Monde, 5 sept.)
Or cet Agamben est précisément
celui qui ne veut pas oublier Auschwitz et qui désire même
nous bassiner tous les jours avec Auschwitz. Et il s'étonne
que d'autres, comme l'Etat italien, ne veuillent pas oublier des
crimes commis il y a seulement 20 ans, par les petits copains
d'Agemben... C'est pas logique, tout ça.
SOLEIL
LEVANT
- Le
négationnisme dans les mangas
-
- Par Philippe
Pons
- Depuis une dizaine d'années
déferle sur le Japon une vague «révisionniste»,
qui rejette avec virulence la version de l'histoire nationale
mettant l'accent sur les responsabilités du pays dans
la «guerre de la Grande Asie» (1930-1945). Un expansionnisme
qui avait débuté avec l'annexion de Taïwan
en 1895 et de la Corée en 1910, puis la création
de l'Etat fantoche de Mandchoukouo en 1931. (1)º
- Bénéficiant
d'un écho dans une partie de la grande presse, le révisionnisme
cherche à s'imposer sur le marché des manuels scolaires
après être entré en force sur celui de la
bande dessinée (manga), médium de masse
s'il en est.
- Cette percée
du révisionnisme
dans la BD s'inscrit dans une offensive plus générale.
La droite japonaise a toujours contesté la vision «culpabilisante»
du passé et rejeté l'idée d'agression, niant
-- ou minimisant -- les atrocités commises par l'armée
impériale. Elle a réussi dès le milieu des
années 1950 à réintroduire un contrôle
sur le contenu des manuels scolaires par le ministère
de l'éducation afin de contrer le syndicat des enseignants
(de gauche). [Disons stalinien, ou maoïste, pour faire
simple ].
- La bataille pour le
contenu des manuels, dans laquelle s'illustra, du côté
des opposants à la «censure», le professeur
Saburo Ienaga, qui finit par obtenir partiellement gain de cause
devant la Cour suprême en 1997 -- trente-deux ans après
avoir introduit un recours en justice ! --, se poursuit. Après
une première tentative des révisionnistes de pénétrer
ce lucratif marché, la seconde a également été
repoussée: en août, à la quasi-unanimité,
les 542 comités éducatifs chargés de choisir
les livres scolaires du second cycle pour les circonscriptions
régionales dont ils ont la charge ont rejeté le
manuel révisionniste. (2)
- En revanche, le révisionnisme
a fait une entrée remarquée dans la bande dessinée
avec Yoshinori Kobayashi, dont les albums appellent à
un «nouvel orgueillisme» (shin gomanizumu) [en
français, "nouvelle fierté" ],
néologisme récurrent de ses publications qui connaissent
un immense succès.
- Kobayashi n'est pas
le seul à utiliser le manga comme support à des
messages politiques. Du manga prolétarien des années
1920 et du lendemain de la guerre consacré aux travailleurs
et aux opprimés au manga contestataire des années
1960 -- époque des grandes luttes sociales contre le traité
de sécurité nippo-américain puis des révoltes
étudiantes --, qui présentaient l'histoire nationale
en termes de lutte de classes, la BD nippone a connu ses périodes
d'«engagement».
- Le genre a périclité
avec le reflux idéologique des années 1970, mais
la BD est restée le véhicule de récits de
belles pages d'histoire -- telle que l'oeuvre, monumentale par
son volume et sa qualité, de Natsuo Sekikawa et Jiro Taniguchi,
L'Epoque de Botchan (Botchan no jidai) -- qui brossent
les portraits des grandes figures du début du siècle
comme si c'étaient des personnages familiers.
- La seconde guerre mondiale
apparaît dans la BD dans les années 1960 avec de
grands classiques pacifistes: Touché par la pluie noire
(Kuroi ame ni utarete) et Gen aux pieds nus (Hadashi no
Gen) de Keiji Nakazawa ou Journal de fuite (Hai no ki)
de Shigeru Mizuki.
- Au début des
années 1990, certains mangas ont «flirté»
avec des sujets épineux (tel que le statut des forces
d'autodéfense dans Flotte silencieuse -- Chinmoku
no kantai), de Kaiji Kawaguchi, dans laquelle un commandant japonais
de sous-marin déclare celui-ci territoire indépendant.
Mais c'est avec Yoshinori Kobayashi que le révisionnisme
prend pied, avec la publication à partir de 1995 du Manifeste
pour un nouvel orgueillisme dans le bimensuel Sapio.
- Yoshinori Kobayashi
(quarante-huit ans) était déjà connu. Il
devait sa renommée à une carrière de contestataire:
au début des années 1990, il avait dénoncé
l'Etat dans l'affaire du sang contaminé qui infecta les
hémophiles, puis la secte Aum Shinrikyo (responsable de
l'attentat au gaz sarin dans le métro de Tokyo en mars
1995). C'est au milieu des années 1990 qu'il rejoint le
courant révisionniste formé autour de l'Ecole pour
une vision libérale de l'histoire dirigée par le
professeur de pédagogie à l'université de
Tokyo, Nobukatsu Fujioka. Il est également membre de l'Association
pour le renouveau des manuels d'histoire, formée en 1997
autour de Kanji Nishio, germaniste connu pour sa xénophobie
anti-occidentale. Commentateur vedette à la télévision,
Kobayashi joue volontiers les provocateurs, défendant
ses positions avec un bagou de camelot.
- Après la guerre
du Pacifique, Kobayashi a pris Taïwan comme sujet de sa
série du «nouvel orgueillisme». Traduit en
chinois en février, son dernier album, De Taïwan
(Taiwan ron), lui valut d'être déclaré persona
non grata dans l'île pour quelques semaines. Son éloge
de la colonisation de Taïwan par le Japon (1895-1945) avait
été ressenti comme une «offense» par
les autorités de Taïpeh.
- Le succès des
BD de Kobayashi, comme celui des livres de ses amis révisionnistes,
tel Ce que ne nous apprennent pas les manuels d'histoire
(Kyokasho ga oshienai rekishi), de Nobukatsu Fujioka, s'explique
par plusieurs raisons. D'abord, un renforcement de la droite
nationaliste qui, depuis la fin de la guerre froide, n'hésite
plus à apparaître au grand jour. Comptant des hommes
politiques et des intellectuels, elle est soutenue par une partie
des milieux d'affaires et des sectes religieuses, bénéficiant
de la tribune de journaux comme le Sankei.
- En arrière-plan
d'une réhabilitation du passé destinée à
restaurer dans la jeune génération un «sens
de la Nation», qu'elle aurait perdu, par une exaltation
de la supériorité de la civilisation japonaise,
se profilent des enjeux qui dépassent les polémiques
sur l'histoire: en particulier la révision de la Constitution,
et notamment de son article 9, qui interdit au Japon le recours
à la guerre et entrave sa participation à un système
de défense régionale collective.
- Le révisionnisme
profite d'un climat d'inquiétude diffus provoqué
par une crise économique dont le coût social commence
à peine à se faire sentir. Une partie de l'opinion,
fragilisée, est réceptive à son message:
une réhabilitation du passé permettant de se replier
sur les valeurs traditionnelles d'un «beau Japon»
et de résister du même coup à la mondialisation
en affirmant une spécificité culturelle, qui fut
toujours le discours refuge du Japon depuis son ouverture sur
l'étranger au XIXe siècle.
- En bons populistes,
les révisionnistes savent répondre à l'attirance
des Japonais pour l'histoire «contée»: le
roman historique est une grande veine de la littérature
populaire, comme en témoigne l'énorme succès
de Ryutaro Shiba (décédé en 1996), talentueux
explorateur de la mémoire nationale. (3) Sans jamais atteindre
- même lointainement -- la qualité des grands romans
historiques, les BD de Kobayashi fourmillent d'anecdotes qui
ravissent le grand public.
- Ce qui fait défaut
actuellement au Japon, dont les historiens ont exploré
les pages les plus sombres du passé national, c'est une
histoire destinée au grand public, capable de faire pendant
à un négationnisme qui tend à tenir le
haut du pavé du marché médiatique.
- (1) Etat vassal créé
par le Japon en Mandchourie avec à sa tête l'ex-empereur
de Chine Pu Yi.
- (2) Voir l'article d'Arnaud
Nanta, «L'actualité du révisionnisme historique
au Japon» dans la revue Ebisu, n·26, printemps-été
2001, Maison franco-japonaise. [Recyclé par les
ânes d'Amnistia.net, qui vont bientôt retrouver la
pasta nationale dans leur gamelle.]
- (3) Seul Le Dernier
Shogun est disponible en français (Editions Philippe
Picquier, Arles).
- Le Monde diplomatique, octobre 2001.
- <http://www.monde-diplomatique.fr/2001/10/PONS/15646>
PAS
BIEN CORRECT
L'abominable homme des bois qui signe,
dans Le Monde, sous le nom d'emprunt de "Christian
Delacampagne" rend compte (30 août 2002) d'un ouvrage
auto-hagiographique (on n'est jamais mieux servi que par soi-même)
d'un cavalant coryphée, bougre d'origine, nommé
Tsszzvvschthhan Todorov. Le contenu ne nous intéresse pas,
mais Dubouseux fait la remarque suivante: "[Totorov] déclare
également ne pas voir de différence entre un massacre
d'opposants politiques et un génocide, ni entre Hitler
et Staline: du reste, ce serait en France et au milieu des années
1990 que des intellectuels (probablement d'ex-staliniens) auraient
décidé de faire de la Shoah «l'événement
principal du siècle»".
En voilà une que le peigne-cul
a du mal à avaler. Nous aussi, ça nous étonne.
Ce n'est pas exactement l'explication que nous donnerions. Ce
Todorov va se faire secouer ses puces balkaniques, on peut le
parier. Y'a des ligues pour ça.
DÉFINITION
D'UN CHOMDU
- Révisionnisme:
- Synonyme: Négationisme.
Ce dit de la thèse des "historiens" mettant
en cause la shoah (génocide commis par les nazi durant
la deuxième guerre mondiale, à l'encontre des juifs,
tziganes et autres). Pour eux, il n'y a pas eu génocide,
la mortalité des camps étant du [sic. C'est
du copié-collé ] aux diverses épidémies.
Ce serait même une invention des sionistes pour pouvoir
accaparer Israël. [En français ? Mystère
] Anti-sionistes donc, ils sont aussi (ils s'en défendent),
largement anti-sémites (plutôt anti-juifs, vu qu'il
y a des arabes, donc des sémites, négationistes).
- Ils se basent sur le procès
de Nuremberg, procès militaire et fait à la va-vite,
et dont certaines conclusions sont, par ailleurs, totalement
réfutés par l'ensemble des historiens actuels (Il
n'y a pas eu de chambres à gaz à Dachau ou dans
les camps de concentration, mais "seulement" dans les
camps d'exterminations).
- Il y a, entre autre, parmi
les révisionnistes, d'anciens "gauchistes" anti-sionistes
qui font tout pour démontrer que les sionistes n'ont rien
à faire en Palestine. En allant, donc, jusqu'à
affirmer que les chambres à gaz n'ont jamais existé.
Car, si il n'y a pas crime, il ne peut y avoir de "réparations".
Mais la connerie des uns (sionisme; Arafat comparé à
Hitler alors que ce n'est jamais qu'un dictateur en herbe...),
ne pardonne pas la connerie des autres.
- Sinon, ce sont surtout
des êtres aigris d'extrême droite, tendance paranos,
voyant des complots partout, judéo-maçonnico-communistes
de préférence.
- Une loi est sortit tout
spécialement pour eux (plutôt contre, en fait):
La loi Gayssot (du ministre (PCF) du même nom). Les opposant
à la thèse du génocide Arméniens
sont parfois taxés de révisionnisme. Mais il s'agit
surtout d'un problème de définition.
C'est de Ptit Ben, chômeur analphabète.
Internet permet tout !
<http://decrypt.politique.free.fr/lexique/revision.shtml>
EN
RASE CAMPAGNE
- "Stéphane
Khémis, directeur du magazine "L'Histoire",
condamné par la cour d'appel de Paris à une peine
d'amende et au paiement de dommages et intérêts
à l'égard de R. Faurisson pour refus de droit de
réponse (voy. notre courriel du 19 juillet 2002 et l'article
de Faurisson intitulé "Quatre nouvelles" du
6 juillet 2002), avait cru bon de se pourvoir en cassation.
- Début septembre,
la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.
- Dans le droit de réponse
que le magazine a été obligé de publier,
Faurisson citait les propos d'Eric Conan publiés dans
"L'Express" du 19-25 janvier 1995, p. 68, selon lesquels,
dans la chambre à gaz d'Auschwitz-I, celle qui est visitée
depuis 1948 par des millions de touristes, "tout y est
faux".
- Grâce à
l'arrêt de la Cour de Paris, il est donc aujourd'hui permis
à tout Français d'affirmer que dans la chambre
à gaz d'Auschwitz-I tout est faux."
TU
M'AS LU LE TALMUD ?
- Tony Hancock, imprimeur
anglais bien connu des révisionnistes pour avoir,
avec son père, édité l'ouvrage pionnier
d'Arthur Butz en 1976, vient de gagner le procès qui lui
était fait, à la demande du Conseil central des
juifs britanniques, pour avoir imprimé de la littérature
"destinée à ou susceptible d'inciter à
la haine raciale". Le juge a souligné le fait que
le ministère public n'avait pas suffisamment administré
la preuve de la diffusion de cette littérature. Le jury
a unanimement déclaré l'imprimeur "non coupable".
- David Irving compte
fournir prochainement des détails de ce procès
sur son site (<http://www.fpp.co.uk>). Il détaillera entre
autres le contre-interrogatoire qu'Adrian Davies, excellent avocat
de l'imprimeur, fit subir au juif Mike Whinge; ce dernier dut
s'agripper à la barre des témoins, les bras tremblants,
quand l'avocat lui débita tous les propos ignobles, anti-goys,
antichrétiens et pornographiques du Talmud.
- Selon Martin Webster,
de la droite nationale britannique, c'est probablement parce
que les journalistes s'attendaient à une pareille stratégie
de la part de la défense que pas un seul d'entre eux ne
s'était rendu au tribunal.
- Extrait du "journal
radical" de David Irving
<http://www.fpp.co.uk/docs/Irving/RadDi/2002/060902.html>
LIBÉREZ
LIMONOV
- Off
To Saratov
-
- By Mark Ames
([email protected])
- Last Friday, June 7th,
the Russian Supreme Court, in a closed hearing, ruled to move
the pending trial of former eXile columnist Edward Limonov from
Moscow to Saratov. The date of the trial has not been set, and
is not expected to begin for at least another two to three months.
The trial's venue has been in dispute for several months now,
having moved four times.
- Limonov, one of Russia's
most famous authors and head of the extremist National-Bolshevik
Party, is facing charges of terrorism, possession of weapons
and explosives, calling for the violent overthrow of the state
and attempting to form an illegal militia, for which he faces
a total of 20 years in prison. He has been held in remand in
Moscow's Lefortovo Prison for over 14 months. Saratov
was proposed by the prosectution as the venue because an illegal
purchase of machine guns, which the FSB blames on Limonov, took
place there early last year.
- At first, the FSB, which
is conducting the investigation of Limonov, fought to have the
trial to be held in a village in the distant Altai Republic,
where he was arrested in April of last year during a raid by
masked counter-intelligence operatives. Sergei Belyak, Limonov's
lawyer, fought to have the trial held in Moscow, in order allow
for better access to witnesses and attorneys. In April of this
year, it was announced that the trial would take place in Saratov.
Belyak appealed the decision, as did the Saratov Oblast court,
sending the trial venue back to Moscow.
- An appeal by Vladimir
Ustinov, the General Prosecutor of Russia, to the Supreme Court
led to the decision last Friday to re-send Limonov's trial venue
back to Saratov. «It's clear why the FSB fought to move
the trial outside of Moscow: they want to keep the trial away
from the press and to control the outcome.» Belyak has
said that he will no longer appeal this decision, although he
is now fighting to keep the trial from being closed to the press
and public, which the FSB is demanding.
- «They claim that
the trial must be closed to the public because it deals with
terrorism, yet all of their terrorism charges come from articles
published by Limonov in his newspaper Limonka,»
said Belyak. «Everyone can read the evidence, there's nothing
to hide.»
- PEN International has
written an open letter to Ustinov calling for Limonov's release
pending trial, expressing concern about the conduct of the authorities
and the political nature of the trial. Most of PEN's 97 clubs
around the world, including PEN Russia, Israel, France and others,
have joined in expressing support for Limonov. A group of publishers,
writers and intellectuals in France, where Limonov holds dual
citizenship, has also petitioned for his release.
- Until last week, Belyak
was barred from visiting Limonov for two months.
- While in detention, Limonov
has been actively writing. He has published one autobiography,
My Political Biography and a novel, The Book of Water.
Two more books are pending publication this summer, including
one from Ad Marginum Press, whose publisher, Alexander Ivanov,
is also the co-owner of Shakespeare Books in Moscow. In all,
Limonov has written six books since his imprisonment.
- <http://exile.ru/143/143030001.html>
Nous réclamons instamment la
libération pure et simple de notre ami Limonov, qui entre
mille tares, possède celle d'être révisionniste.
De tous les gens que l'on pouvait rencontrer à Moscou il
y a deux ans, il était le seul à ne pas croire que
le régime était différent des anciens régimes
staliniens et qu'il se souciait de la liberté d'expression,
par ailleurs bien réelle, comme d'une guigne. Le Kremlin
s'est empressé de le justifier.
FORCE
MAJEURE
- "La difficulté
voire l'impossibilité d'évoquer la Shoah
dans certains lycées à forte présence de
jeunes originaires du Maghreb, leurs remarques et leurs insultes
à l'égard d'enseignants ou d'adolescents juifs
témoignent d'un comportement fortement antisémite
par rejet d'Israël".
- Henri Hajdenberg, avocat,
ancien président du CRIF et du Congrès juif européen
(Le Monde, 17 mai 2002)
Cette réflexion nostalgique,
sur l'impossibilité de manipuler la Shoah, amuse, venant
d'un artisan du soutien inconditionnel à l'entreprise de
génocide et de colonisation de la Palestine par l'entité
sioniste dont il est totalement solidaire.
LA
FRAÎCHE
On s'avise, par l'intermédiaire
d'un film passé à la télévision allemande,
L'argent de Hitler, de Ingo Helm, que Tonton Adolf en avait
mis à gauche. (Le Monde, 30 août 2002). C'est
bien possible, n'entrons pas ici dans le détail, c'est
un sujet mal connu.
Mais on remarque que ce sujet ne rencontre
l'actualité qu'un bon demi-siècle après les
faits, et surtout le décès de l'éventuel
fripon. On peut en conclure qu'il nous faudra encore une bonne
quarantaine d'années de patience avant que les chercheurs
se penchent enfin sur la fortune amassée par Tonton, le
nôtre, le François Mitterrand, avec son palais à
Venise, ses comptes en Suisse, et tout ce que protègent
les cerbères de l'Association des amis de M. Ce qui nous
caractérise, justement, c'est la patience.
PETITS
MEURTRES ENTRE INTELLECTUELS
- "En
France, il y a deux façons de tuer quelqu'un, le traiter
de négationniste ou le traiter de pédophile. Si
on joint les deux, vous êtes mort et enterré."
- Pierre Assouline,
France Inter, 6 septembre 2002, 18 h 50, à propos
de l'affaire "Rose bonbon".
CANOSSA
Le pauvre Bruno Mégret, qui n'a
pas eu de réussite depuis longtemps, a appelé, d'après
les journaux, à un rassemblement, "mais sans le fascisme,
sans le ringardisme, sans l'extrémisme, sans les outrages
et les dérapages, sans racisme ni antisémitisme".
Il n'a même pas dit "sans le révisionnisme"
tant cela allait de soi. On se demande ce qui va lui rester. Et
ce qui l'empêche de retourner à sa niche chiraquienne
où la pâtée est servie.
ZIGNARES
DU ZOLO
- The following article
in the German daily taz notes that a study done in 2000
reveals that 86 percent of high school students and 43 percent
of those who pass the 'Abitur' (baccalaureat) do not know anything
about the extermination of Jews [during the Hitler regime]. So
much for 'poor' German youngters being unfairly weighed down
by guilt!
- "...Trotz der von
Martin Walser beklagten "Dauerpräsentation unserer
Schande" offenbart eine Studie von 2000, dass 86 Prozent
der Haupt- und Realschüler und 43 Prozent der Abiturienten
nichts von der Judenvernichtung wissen. Anfang Oktober
erscheint die erste Episode der dreiteiligen Gesamtproduktion.
"
Les croustillants détails dans:
<http://www.taz.de/pt/2002/09/05/a0264.nf/text>
UN
PORC QUI DOUTE
[email protected]
- Daniel Mermet
à nouveau attaqué devant les tribunaux
- Si l'on s'en tient à
l'analyse du Monde,
- <http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3236--289933-,00.html>
- Mermet est attaqué
par la LICRA pour avoir rediffusé son émission
sur Hans Münch "Un si gentil nazi". Emission qui
serait une "provocation à la haine raciale".
On atteindrait là vraiment le fond du terrorisme intellectuel.
A nouveau une grande cause, ici celle de la lutte contre
le racisme et l'antisémitisme est l'occasion de dérives
grossières.
- On ne dira jamais assez
que la vraie impertinence est de s'attaquer aux excès
de cet "indignation-business", les nouveaux beaufs.
On en détecte régulièrement. Il n'y a pourtant
pas bcp de de grandes voix courageuses sur ce créneau.
Que font les guignols ?
- Richard Wild
C'est le même Wild qui, l'an
passé, avait fait tout un cirque contre le révisionnisme
sur son gros site destiné au monde médical et il
avait fait fort dans le terrorisme intellectuel, en se mettant
inconditionnellement à la remorque de Karma-zinzin, vendeur
d'orviétan et professionnel du dénigrement antirévizo.
Et maintenant, il vient nous pleurer dans le gilet parce que ses
congénères des ligues veulent faire plier ce clown
de Mermet, qui n'a qu'un seul tort, dans la vie, mais c'est un
tort énorme, définitif, irrémédiable:
il n'est pas juif et il se mêle de ce qui ne le regarde
pas. Quant à Münch, il était gâteux au
moment de l'interview et Mermet le cache soigneusement.
"Mais la pédagogie contre
le négationnisme ne passe pas par la libre disposition
des textes négationnistes." Gilles Zinzin sur le Site
Médito, géré par le même Richard Wild,
De vrais démocrates.
<http://www.0plus0.com/article91.html>
AVENTURES
- Le secret
et la cavale
- David Irving parlant à
Cincinnatti, fin août 2002:
- [...] C'était le
bon temps. Je ne veux pas dire par là que je regrette
le temps où les participants à mes causeries mouraient
en route. Non bien sûr. En revanche, c'était un
temps où en Allemagne j'avais encore le droit de parler
au public. C'était un temps où la police protégeait
la liberté d'expression. Progressivement, j'ai vu une
évolution se produire. La police n'hésitait pas
au début à protéger les endroits où
je parlais à mes lecteurs. Puis, avec le temps, les complications
se sont produites, principalement après l'affaire Fred
Leuchter. Je vous rappelle que Fred Leuchter est un homme
dont l'étrange métier est de faire passer de vie
à trépas son prochain de la manière la plus
rapide, la plus efficace et, si possible, la moins douloureuse
possible. A la demande d'Ernst Zündel, il s'est rendu à
Auschwitz pour expertiser les caves à cadavres des Krema
II et III afin de savoir si ces lieux étaient propices
à des gazages homicides. Il a conclu que ces deux caves
à cadavres n'ont jamais été adaptées
à des actes homicides.
- Ce témoignage a
eu un impact très important non seulement sur le procès
Zündel mais aussi pour moi. J'ai commencé à
en parler en Allemagne. Le public était très désireux
de connaître ces développements qui contestaient
radicalement la version des faits à la mode en Allemagne
depuis la victoire alliée. Il va sans dire que les autorités
politiques mises en place par ces mêmes forces alliées
d'occupation n'aimaient pas ce témoignage qui sapait leur
légitimité. J'ai finalement vu arriver au début
de mes conférences des inspecteurs de la police politique
qui me remettaient gravement un document dans lequel ils énuméraient
les points qu'il m'était interdit d'aborder. Pour les
faire bisquer, je commençais ma causerie par la lecture
intégrale du document policier, ce qui mettait en joie
mon public et ce qui enrageait les policiers qui se sentaient
ridiculisés. La lecture des points qu'il m'était
interdit de parler à lui seul informait mon public de
ce que le gouvernement allemand voulait à tout prix cacher.
Par la suite, ils m'ont imposé le secret en me remettant
des documents où il était marqué en grand
Geheim (secret). Puis, le simple fait que je puisse m'adresser
librement au public leur était insupportable. Ils ont
commencé par ne plus assurer ma sécurité.
J'ai démontré à une journaliste française
Annette Lévy-Villard ce que cela voulait dire. A Hambourg,
le chef de la police est venu me dire devant une foule de plusieurs
centaines de personnes qu'il n'assurerait pas ma sécurité
! Il laisserait les manifestants me mettre en pièces sans
intervenir, mais si je faisais le moindre geste pour me défendre,
il se ferait une joie de m'arrêter. Sans me démonter,
j'ai proposé à la journaliste de me filmer alors
que j'allais m'adresser quatre minutes aux manifestants dans
la rue.
- -- Pourquoi seulement
quatre minutes ? me demanda Annette Lévy-Villard.
- -- Parce que si je reste
plus longtemps, je ne serai plus en mesure pour longtemps de
répondre à vos questions.
- Je me suis approché
et j'ai commencé à m'adresser aux manifestants.
Ceux-ci étaient étonnés et m'écoutaient
car ils ne savaient pas toujours très bien pour quelles
raisons ils étaient là. Nous avons su bien après
que ces manifestations avaient été fomentées
et financées par des fonds fournis par la Stasi. Une autre
raison pour les quatre minutes était que c'était
le temps que mettaient en moyenne les meneurs pour rejoindre
le point où je me trouvais pour remobiliser leurs troupes
contre moi. Quand j'ai vu les mines patibulaires des ennemis
de la liberté d'expression jouant des coudes pour s'approcher,
j'ai décidé un repli stratégique avec sur
mes talons la journaliste française.
- -- Où allons-nous
M. Irving ?
- -- Je vous le dirai si
vous m'emmenez dans votre voiture.
- Elle n'avait pas d'autre
choix que de m'embarquer dans sa belle Renault. Dans des situations
un peu «chaudes» je prévoyais parfois jusqu'à
six lieux de secours. La journaliste apprit à ses dépens
ce que voulait dire la liberté d'expression car sa voiture
avait été repérée par les manifestants
et elle fut renversée et entièrement démolie.
- Un soir, deux inspecteurs
se sont présentés à moi avant ma causerie
en me remettant un document m'interdisant de prendre la parole.
L'inspecteur le plus âgé s'est alors tourné
vers sa collaboratrice:
- -- Avez-vous le second
document destiné à M. Irving ?
- -- Non, je l'ai laissé
dans la voiture. Je vais le chercher.
- J'en ai profité
pour leur dire que j'allais chercher dans mes affaires le numéro
de téléphone de mon avocat.
- -- Vous revenez, n'est-ce
pas ?
- -- Bien sûr, le
numéro est dans ma serviette à côté.
- Il va sans dire que j'ai
pris mes jambes à mon cou, j'ai sauté dans un taxi
pour l'aéroport le plus proche d'où j'ai pris le
premier avion quittant ce paradis de la liberté qu'est
l'Allemagne d'aujourd'hui. Dès le lendemain les journaux
titraient que j'avais réussi à m'échapper
avant que la police ne puisse m'arrêter pour des crimes
contre la version de l'histoire en vigueur dans ce merveilleux
pays.
- (Notes prises par un assistant)
DES
NAZIS PARTOUT
- La calomnie
classique
- In der Dimitroffstr.219
HH befindet sich der Verlag der Freunde. Er besteht seit 1993/94
als Vertrieb von hardcore Nazi-Schriften, Videos und Platten.
Die besonders im Bereich des Revisionismus angesiedelt sind und
ansonsten nur unter dem Ladentisch oder im Ausland zu haben sind.
So verkloppen sie Waren des bekanntesten Auschwitz-Leugners Ernst
Zündel. Seit 1995 bringt der Verlag das Zweimonatsblatt
"Sleipnir" heraus. Ein Sammelbecken völlig durchgeknallter
Neonazis die glauben mit der "Auschwitzlüge" unter
Linken Anhänger zu finden. Sie verfechten in ihren Artikeln
besonders die Positionen von Fred Leuchter und Robert Faurison,
deren Schriften sie auch vertreiben. Neben den beiden Herausgebern
Andreas Röhler und Peter Töpfer wurden auch von bekannten
deutschen Nazis wie Deckert, Boldt, Worch oder Hupka, sowie internationalen
"Größen" wie Serge Thion, Alexander Ruzkoi
teilweise ohne ihr Einverständnis Artikel in Sleipnir veröffentlicht.
- Außerdem haben
sie ihre inhaltlichen Schwerpunkte in der nationalen Solidarität
mit Nordkorea. [...]
<members.partisan.net/agip/Texte/Nazis/
Bestandsaufnahmen/SITUAT99.RTF>
Vive Kim il Sung et les pommes de terre
frites !
POUR
LES FLICS DE LA PENSÉE
- Ohé
Denainxxxx
- On nous signale un livre
où tout un tas de salopards d'extrême-droite ont
écrit avec un révisionniste notoire, montrant ainsi
leur véritable nature d'antisémites acharnés
et opérant sous la table:
- COELHO, Eduardo Prado
& alii:
- Estruturalismo --
Antologia de Textos Teóricos (Jean Pouillon, Roland Barthes, Michel Foucault,
François Châtelet, Jacques Derrida, Claude Lévi-Strauss,
Louis Althusser, Jacques Lacan, Maurice Godelier, Alain Badiou,
Jean-Paul Sartre, Serge Thion, Gerard Genette, Lucien Sebag,
Jacques-Alain Miller, Jean-Claude Milner) -- Portugalia Ed. --
Lisboa - Portugal - 417 p.
- <http://www.chicomendesbr.hpg.ig.com.br/bbmeto.htm>
Plus de la moitié d'entre eux
sont morts mais on peut toujours les déterrer; les autres,
il n'y a qu'à les faire passer devant les tribunaux populaires,
du genre RaslaCasquette, les Scalpés, Amnistia.net, J'encuse
et autres Hippocrampes.
HITLER
ÉTAIT-IL HUMAIN ?
Salon
- Was
Hitler human?
-
- John Cusack talks
about his new movie, "Max," which is sparking a firestorm
even before its opening.
-
- By David Talbot
- Sept. 9, 2002. Was Hitler
human? And if so, how did he become a monster? These are among
the questions raised by a provocative new movie that, against
all odds, is premiering Monday at the Toronto Film Festival.
The film project, which became the obsession of three men --
director/writer Menno Meyjes, actor John Cusack and producer
Andras Hamori -- scared off movie financiers throughout
the Western world. Despite having one of the most popular actors
of his generation as its star and a well-connected director and
producer (the Dutch-born Meyjes wrote the screenplays for "Indiana
Jones and the Last Crusade" and "The Color Purple"
for Steven Spielberg and the Hungarian-born Hamori produced "Sunshine"
and "The Sweet Hereafter"), the film deeply unnerved
prospective investors from the U.S. to Canada to Germany and
France.
- "Everyone turned
us down for financing, especially the Europeans," recalls
Hamori. "Some investors pretended to be somebody else, or
that they were not in their office, so they wouldn't have to
meet with us. We met with one who started the meeting by saying,
'This movie should not be made.' Nobody wanted to touch the subject."
- The film, "Max,"
breaks with cinematic precedent by depicting the young Hitler
as an emotionally poisoned man, but nonetheless human, and even
sympathetic in his longing for recognition as a struggling and
impoverished artist in the postwar Munich of 1918. While scores
of biographies and history books have presented fully dimensional
portraits of Hitler, no major movie until now has offered anything
more than a cartoon picture of the 20th century's apogee of evil:
we have seen him on the screen only as a ranting and wild-eyed
hysteric.
- "Max" traces
the transformation of Hitler (played by Australian actor Noah
Taylor) from a scruffy war veteran and frustrated painter to
a rising propagandist for German nationalism and anti-Semitism.
We see the future leader of the Third Reich through the eyes
of another scarred survivor of World War I, Max Rothman (Cusack),
a prosperous Jewish dealer in avant-garde art who believes that
only brutally honest art can restore sanity to the world. Rothman
is repelled by Hitler's political ideas, but enters into an odd
friendship with the bitter young corporal, out of a kinship born
of the First World War trenches and a desire to save his comrade
through the healing power of art. We know it will end tragically,
but "Max" pulls along the viewer by asking the haunting
question, "What if?" -- and by showing us that evil
does not simply crawl from the shadows, but emerges through circumstances
and choices.
- After 18 months of Herculean
struggle, producer Hamori and his colleagues were able to scratch
together the $10 million in financing, when the London-based
Pathé International finally invested the first chunk --
thanks in part to the unwavering commitment of Cusack, who took
no salary for his work on the film. After its debut this week
in Toronto, "Max" will open Dec. 27 in New York and
Los Angeles and then nationwide in February.
- Even before it has
been seen, the
film has set off an angry reaction among people who are offended
by the very idea of a movie presenting a figure of such profound
evil in human terms. To do so, they charge, renders the monstrous
sympathetic and reduces the enormity of his crimes. New York
Times columnist Maureen Dowd branded "Max" a cynical
exploitation, and the Jewish Defense League is campaigning
to block Lions Gate, the film's U.S. distributor, from releasing
it. On the group's Web site, JDL official Brett Stone declares
that "not only is the film in bad taste, it is also a
psychic assault on Holocaust survivors and the entire Jewish
community. There is no moral justification for making such a
movie. To glorify or humanize Hitler makes a mockery of the 12
million -- 6 million of them Jewish -- victims of Hitler's tyranny
... This is not art! This is obscenity!"
- Cusack -- the product
of a passionately liberal Irish Catholic family (the Berrigan
brothers were visitors to his Chicago home when he was growing
up, and, like them, his mother still gets arrested for her anti-militarism
and pro-human rights protests) -- is astonished that "such
a humanist and progressive movie" is eliciting such a heated
response. "And I love that this response is coming from
people who have not seen one frame of the film,"
he observes.
- On the eve of "Max's"
Toronto premiere, Cusack, Meyjes and Hamori sat down with Salon
in a nondescript Italian restaurant in Santa Monica to defend
the film against its preemptive critics. They were later joined
over the phone from Washington, D.C., by the film's associate
producer, Sidney Blumenthal, the journalist and former Clinton
White House official who helped brainstorm the project with his
old friend Meyjes while Blumenthal was weathering the storm of
the Clinton impeachment wars.
- Cusack: [...] To those
who say, "How dare you give Hitler a set of human characteristics?"
-- I say, "How dare we not?" It's easy to portray him
as a monster, it's harder and more disturbing to show his humanity
and how it became poisoned.
- Hamori: We shot the film
in Budapest, where I'm from. But while we were working there,
I couldn't tell my own mother what I was working on. Because
she lived through it all. We're Jewish, and when she was 18,
she was taken away by the Germans to a collection camp at a brick
factory outside Budapest. But my grandmother was a genius. Before
the train arrived to take her to Auschwitz, she showed up at
the factory and convinced the young Hungarian soldier standing
guard that her daughter should not spend the night there because
there were men in there, too. She told him, "She's a virgin,
she's not going to stay here overnight with these men -- so let
me take her and I'll bring her back tomorrow." The guard
said OK, and she took her away and they locked themselves up
in a neighbor's apartment.
- Q. I heard that, early on, Spielberg
was involved in the film. Why did he pull out?
- Meyjes: I had the project
with his company. I told them the idea for the movie and they
got very excited. Then I wrote the script, and suddenly there
was quite clearly a hesitation on their part. I know Steven,
so I forced the issue. And he said, "The script is great,
don't compromise on anything. But as the head of the Shoah Foundation,
I just can't do it. I can't tell these survivors that I'm
doing the movie. But you should go ahead on your own and
do it."
- [...]
- Q. You definitely see
Hitler emerging as a great stage performer in "Max."
- Meyjes: Yes, he was the
world's first performance artist. Walter Benjamin said when you
fuse aesthetics with politics, you get fascism. What Hitler did
with the Third Reich was an art movement. It was unique in history.
I mean can you imagine Tony Blair redesigning England?
"All right, then, no more red jackets, no more 'God Save
the Queen,' we're going to redesign everything, from our flag
to our uniforms to our architecture." There are four pages
on Dada in "Mein Kampf." When he used to talk to Stalin
on the phone, it would take hours because of the antiquated phone
system and the translations, and Hitler would kill time by making
these secret Cubist doodlings, which of course he never would
want anyone to see, because Cubism was decadent modernism. I
read a quote from Albert Speer in Ron Rosenbaum's book ("Explaining
Hitler"): "What you must understand is that Hitler
always thought of himself as an artist first."
- [...]
- <http://www.salon.com/ent/movies/int/2002/09/09/cusack/index.html>
VAINS
DE MOSELLE
Les petits patriotes lorrains de Basl'front
qui ont voulu jouer les grandes consciences locales en fabriquant
un site dédié au procès de Jean-Louis Berger
n'ont oublié qu'une chose: c'est que sur Internet il faut
mettre à jour. L'antifasciste de base continue à
ignorer que sa victime a gagné le procès sur toute
la ligne. Les brillantes ligues qui se sont attaquées à
cet infortuné prof sont en train de lui rembourser les
amendes pour trop-perçu. Et l'avocat Delcroix, qu'elles
tentent d'insulter avec leurs petits bras, a gagné la bataille.
Et ces guignols ne s'intéressent plus du tout à
la mise à jour. C'est le mensonge par abstention:
<http://www.chez.com/rlfnancy/noscombats/negationniste.htm>
PROPAGANDE
NOIRE
Tout le monde a reçu, ces derniers
jours, une avalanche de "nouvelles" selon lesquelles
le Centre Zyed, de la Ligue arabe, situé à Abou
Dhabi, propageait le révisionnisme. Des vertueuses indignations
provenant des grandes organisations juives américaines
en faisaient foi. Ces nouvelles ont été accueillies
avec une satisfaction compréhensible par les révisionnistes.
Le seul inconvénient est qu'il
s'agit pour l'essentiel de fausses nouvelles concoctées
par la Ligue contre la diffamation, spécialiste en la matière.
Mais d'abord la dépêche:
- Extrait de CNSNews.com
- Direction du Bureau
de Jérusalem
-
- Un séminaire
de la Ligue arabe nie la sévérité de l'Holocauste
-
- Par Julie Stahl
- 29 août 2002
- De Jérusalem
(CNSNews.com) -- Des groupes israéliens et juifs ont exprimé
leur indignation jeudi (29 août) devant la tenue, dans
les Emirats arabes unis, d'un séminaire réunissant
des chercheurs et d'autres participants venus là pour
réfuter la sévérité de l'Holocauste.
Ce séminaire d'une journée, qui s'est tenu mercredi
(28 août) à Abou Dhabi sur le "sémitisme",
était organisé par le Centre de coordination Zayed
appartenant aux 22 membres de la Ligue arabe. D'après
le site de ce Centre, le colloque avait pour but "de riposter
aux mensonges historiques et politiques propagés par l'Israël...
Israël s'est livré à la propagation de mensonges
et d'exagérations sur l'Holocauste afin de soutirer d'énormes
sommes d'argent aux pays européens en utilisant les pires
formes de chantage, et de créer des légendes afin
d'établir un foyer national pour le peuple juif en Palestine."
- "C'est absolument
scandaleux!" dit à propos du séminaire le
Dr Efraim Zuroff, directeur du Centre Simon Wiesenthal de Jérusalem.
"C'est le reflet des problèmes rencontrés
par Israël dans sa tentative de créer des relations
pacifiques avec ses voisins." Selon E. Zuroff, les Arabes,
dans le passé, ne s'étaient pas engagés
à ce point dans le négationnisme mais la situation
empire. "C'est une bien mauvaise évolution et
c'est un signe qu'ils font fausse route", a dit M. Zuroff.
- "Il est scandaleux
qu'un think-tank officiel de la Ligue arabe puisse réunir
un colloque qualifiant l'Holocauste de "fausse fable"
inventée par Israël", a affirmé Abraham
H. Foxman, directeur national de l'Anti-Defamation League. "L'usage
du négationnisme est de plus en plus commun dans le monde
arabe qui s'en sert comme d'une arme pour attaquer Israël
et le peuple juif", a-t-il affirmé au cours d'une
déclaration. "A présent, avec un think-tank
officiel de nations arabes qui fournit une tribune au négationnisme
sous prétexte de respecter la liberté de recherche,
cette forme dangereuse et insidieuse d'antisémitisme passe
de mieux en mieux", a ajouté M. Foxman. "Il
est regrettable que les dirigeants de la Ligue arabe se soient
emparés du négationnisme dans un forum officiel
pour essayer en douce, et par vengeance, de délégitimer
les juifs et l'Israël", a-t-il dit.
- M. Foxman a mis en garde
les dirigeants mondiaux contre toute tentative de participer
à l'avenir à des événements sponsorisés
par le Centre Zayed. Sont intervenus dans le passé: l'ancien
président Jimmy Carter, l'ancien vice-président
Al Gore et l'ancien secrétaire d'Etat James Baker. Le
Yad Vashem, autorité chargée à Jérusalem
de maintenir le souvenir de l'Holocauste et de ses héros,
a également condamné le colloque et s'est juré
de continuer par l'école le combat contre le phénomène
du négationnisme. [ ...]
- Il suffit de se connecter
sur le site du Centre Zayed (http://www.zccf.org.ae/) pour voir immédiatement
que le séminaire du 28 août avait un thème
bien différent, qui était celui de l'usage que
l'on fait, dans la presse, du terme "sémite"
et de son antagoniste "antisémite". L'exposé
central a été fait par le Dr. Mohammed Khalifa
Hassan, Directeur du Centre des études orientales de l'université
du Caire.
- Voici les recommandations
qui ont emporté l'adhésion des participants à
l'issue de ce séminaire:
- 1. Calling for work
to highlight the fact that Semitism includes Arab people as well
and under no circumstances can it be restricted to Jews whose
majority is not of Semitic origin. (Allusion évidente
à l'histoire des Khazars, bien connue des Arabes.)
- 2. Calling for revising
the term "Anti-Semitism" as a misnomer which is being
exploited as a means to impose stringent restrictions on researchers
and writers and journalists, depriving them the freedom of expression
and research on account of political and racial considerations
that prohibit all kinds of criticism of Israeli and international
Zionist practices. (Nous avons ce même problème
en Occident.)
- 3. Urging international
community and international organizations not to get influenced
by Israeli propaganda by giving the term anti-Semitism a meaning
that does not conform to historical facts or logic. It aims at
giving immunity to Zionism and making Israel, which violates
human rights and rejects all international resolutions absolved
of any responsibility.
- 4. Urging Arab countries
to take a joint action in coordination with friendly countries
to classify Zionism as a racial movement.
- 5. Urging European countries
and organizations to reconsider the term Anti-Semitism to include
atrocities committed against all Semites including Arabs.
- 6. Demanding Arab organization
and associations to form a front for Arab defence against all
allegations of anti-Semitism that have increased and widened
in scope recently.
- 7. Strengthening of
Arab support for the Palestinian Intifadha at official as well
public level and boosting government and people's efforts to
support the Palestinian's struggle.
- 8. Cooperating with
Human Rights groups at international level and providing them
with proof of Israel's grave violations of human rights.
On voit qu'il n'est nulle part question
de révisionnisme. Le procès fait par les organisations
juives tombe complètement à côté de
la plaque.
- Le site du Centre Zayed
donne généreusement le texte de la lettre du rabbin
Hier, le richissime cogérant du Musée de l'Intolérance
à Los Angeles, qui loue le nom de Simon Wiesenthal pour
une somme mensuelle rondelette. Notons que cette lettre est datée
du 28, soit du jour même où ce séminaire
s'est tenu.
- Dear Secretary Amre
Moussa, The Simon Wiesenthal Center is outraged that a person
of your international rank and reputation would give his stamp
of approval to the Zayed Centre's Symposium, currently under
way in Abu Dhabi.
- Will the cause of peace
truly be served by the representative of the Arab League sitting
alongside academicians who deny the authenticity of the Jewish
people, their history and their links to the Holy Land? During
today's session, Mohammed Khalifa Al Murar, Executive Director
of the Zayed Center, denied the Jewishness of over million Israeli
Jews.He alleged that Israelis aren't even real `Semites' and
informed the Jewish people that we are actually, in fact, descendants
of Khazars and can be traced back to Japheth, the son of Biblical
Noah. Such hogwash is at the cornerstone of Yasser Arafat's `big
lie' tactics designed to teach generations of Palestinian children
that their Israeli neighbors are no more that lying usurpers
of the Holly Land. The same malicious invective helped degenerate
last year's UN World Conference Against Racism, into an outrageous
hate fest.
- Meanwhile, in his presentation,
Dr. Muhammed Khalifa of Cairo University invoked the infamous
Protocols of the Elders of Zion, anti-Jewish hate tract. Instead
of using this platform to expose the debunked work for the fraudulent
warrant for genocide that the book represents, Dr.Khalifa joins
the ever-growing ranks of Arab intellectuals who embrace the
`big lie'anti-Semitic tactics of dictators and tyrants.
- Dr.Moussa, in their
press releases for today's event, the Zayed Centre called the
Nazi Holocaust a "false fable"and stated that the goal
of the symposium was to counter" ... the spread of fits
and exaggerations regarding the so-called holocaust". Does
this statement reflect the attitude of the Arab League as well?
Do such gatherings in any way further the cause of Peace and
Tolerance ? Or are they merely another ominous marker on the
slippery slope of hate, confrontation and war ?
- Rabbi Abraham Cooper
Voir la réponse de M. Moussa
<http://www.zccf.org.ae/Spl/e_splnews2_1.htm>
On comprend mieux ce qui se passe si on
se reporte au site des fachos de l'ADL qui comporte aussi un texte
daté du 28 août dénonçant de manière
virulente le séminaire qui venait à peine de clore
ses travaux de l'autre côté de la planète
à Abou Dhabi, dans le Golfe.
Voir <http://www.adl.org/Anti_semitism/zayed_center.asp>
Comment est fait ce texte? Il prend des
bribes et des morceaux, parfois des bouts de phases, tirée
de différentes causeries, au fil des mois, ou de publications
plus ou moins anciennes, sans donner trop de précisions,
afin de créer le sentiment que tout ça venait d'être
déballé à la conférence du 28 août.
C'est par la recours à ces procédés
de basse propagande qu'on voit que les organisations juives sont
déjà entrées en guerre contre le Moyen Orient,
de manière coordonnée, et dans le but de justifier
à l'avance (cf la guerre "préventive",
grande spécialité israélienne) les campagnes
militaires israéliennes qui visent à conquérir
de nouveaux fragments de l'espace vital (Lebensraum) prévu
par les premières générations sionistes,
et en particulier par le meneur "révisionniste",
le mussolinien Jabotinsky.
L'une des inventions les plus grotesques
de l'ADL et de son chef, le gangster Abraham Fox, grand spécialiste
du chantage (si l'ont veut bien appeler les choses par leur nom)
est d'avoir fait parler Lyndon La Rouche à Abou Dhabi en
juin dernier: «A June 2002 Zayed Center conference, titled
"The Middle East as a Strategic Crossroad," featured
presentations by government ministers from Middle Eastern nations
and a speech from the notorious American anti-Semite Lyndon La
Rouche. In the question-and-answer session after his speech, La
Rouche detailed his paranoid beliefs about the September 11 attacks
and the Jews he claims are controlling American foreign policy.
According to La Rouche, Osama bin Laden "could never have"
orchestrated the September 11 attacks, which he believes "could
not have happened without the connivance of something inside,
very high level, inside the United States military command."»
Le seul inconvénient est que La
Rouche n'était pas là. En revanche, le 2 juin, Madame
Helga La Rouche; l'épouse de Lyndon, l'ex-trotzkyste (comme
le bienheureux Jospin) a pris la parole. Voir
<http://www.zccf.org.ae/LECTURES/E2_lectures/e227.htm>
avec photo de cette dame, née allemande,
fondatrice du Centre Schiller.
Elle s'est surtout attachée à
critiquer Samuel Huntington, un solennel imbécile dont
on ne dit pas assez qu'il fut un des idéologues de l'intervention
américaine au Viêt-Nam.
Donc Foxman se plante complètement.
Il fait un salmigondis de tout ce qui traîne dans ses tiroirs
et le lance dans la presse, qui s'empresse de le reproduire
tel quel. Et même les révisionnistes gobent ce
paquet d'âneries. Comme quoi, on n'est jamais assez vigilant.
Ensuite les Wiesenthalers intiment à
Michel Rocard l'ordre de ne pas aller parler à Abou Dhabi
devant des gens qui disent que le Zolocauste est une "fausse
fable".
ZINZIN
PRATIQUE LE PILLAGE
On trouve cette effrante confession
du pleurnicheur Karmazinzin sur son site antirévisionniste:
Contre le pillage
- AVERTISSEMENT
- Vous êtes sur le
site PHDN, un site web de lutte contre le négationnisme.
- Les différents
textes que vous trouverez à partir de cette page sont
reproduits ici afin de lutter contre le pillage qui en est fait
par certains sites négationnistes. De tels sites
reproduisent induement, sans autorisation aucune, nombre de textes,
dans le seul but de «capturer» les internautes qui
feraient des recherches à l'aide de moteur de recherche.
Le but est d'amener le lecteur sur le site web où s'étalent
principalement les falsifications négationnistes.
- Les magazines et journaux
qui possèdent les droits de ces articles ont souvent
été avertis de l'usage abusif qui était
fait de leurs publications. Il ne semble pas qu'il se soit produit
de réaction. [Comme quoi la délation
n'est plus ce qu'elle était, Vichy, c'est loin...
] Aussi avons nous décidé de reproduire, nous aussi,
ces textes...
- Il convient de souligner
cependant qu'ils sont reproduits sans autorisation et que l'on
encourage le lecteur à se procurer les versions originales
des textes qui suivent.
- Sur le Livre Noir
- Paul Rassinier et le futur
d'une négation
- Un petit homme (Rassinier)
- Le négationnisme
et l'extrême droite
- Révision (extrait
de L'Art de Céline et son temps)
- Germaine Tillion, 1954
- Sur Paul Ricoeur
<http://www.phdn.org/contrepillage/index.html>
Il appelle ça du "contrepillage".
Allez trouver la logique...
A signaler un imbécile particulièrement
toxique et prétentieux, un certain Bounan:
<http://www.phdn.org/contrepillage/index.html>
On se souvient que Zinzin faisait la quête
dans les milieux communautaires juifs pour subventionner un peu
plus grassement la lutte contre nous sur l'Internet et arrondir,
accessoirement, ses fins de mois. On ne sait pas ce qu'il a trouvé
au fond de sa casquette, mais il a gardé son petit boulot
pépère à la "BNF-François Mitterrand",
cette petite chose pharaonique sur les bords du Cloaca Maxima,
où on peut couler ses hivers au chaud. Il a tout le matériel
qu'il faut pour nous fliquer, aux frais de la princesse.
Pour voir jusqu'où va le vice,
il suffit de chercher qui est le déclarant du site <phdn>
de l'infortuné Zinzin. Et bien, c'est lui-même. Mais
il donne un fausse adresse. Il se déclare domicilié
au 28 de la rue Bermont, à Asnières. "Bermont"
est le nom du village d'origine de la famille Rassinier. C'est
un pseudonyme que Rassinier a utilisé parfois. Et Rassinier
vivait à Asnières. Voilà les misérables
jeux de mots dont se couvre, tel Peau d'Ane, l'infortuné
Zinzin. Chez ces gens-là, c'est tous les jours Carnaval.
LES
TROMPETTES DE VIDAL-COQUET
D'abord voyez comme certains se prennent
les pieds dans le Vidal-Crochet:
- « Mémoire.
Histoire. Dans un article pertinent, Pierre Vidal-Biquet se demandait
comment on passait de la mémoire individuelle à
l'histoire, celle-ci étant une mémoire sélective
et construite? Il existe une histoire qui se construit contre
la mémoire, cette dernière ne se confondant que
rarement avec la réalité. Il est par ailleurs normal
(c'est même une caractéristique de nos sociétés
pluralistes et démocratiques) qu'il apparaisse, pour reprendre
l'expression de Vidal-Baquet, une brutalité organisée
des mémoires. Il existe de multiples exemples où
se forme un lien entre la science, l'idéologie, et la
mémoire de faits réels, étroitement mêlés
à des données imaginaires. Dorénavant, la
vague belge appartient à ces affaires qui parsèment
l'histoire de l'ufologie. Peut-être même qu'avec
le temps, dans quelques années, elle constituera un sujet
aussi controversé et définitivement sans explication
que l'affaire de Roswell. Mais il y a plus grave, et le récent
«non-débat» de l'émission «L'écran
témoin» du mardi 4 mars 2002 a mis en évidence
des attitudes et des procédés dont il faut apprécier
la gravité.»
Tout ça se trouve sous le titre:
"Va-t-on vraiment vers un révisionnisme ufologique
?" de Michel Bougard. Ça défie l'imagination.
Sanglez-vous bien avant d'aller voir:
<http://www.sobeps.org/Articles/revisionnismesite1.htm#_edn1>
Pour le reste, nous déclinons toute responsabilité.
VIEILLE
BIQUE
- Cette
Shoah qui ne passe pas
-
- par Françoise
Giroud
- Même si ce vieux
brigand d'Arafat débloque en déclarant qu'il n'y
a jamais eu de temple juif à Jérusalem, la cause
palestinienne est excellente. Un Etat palestinien doit enfin
pouvoir naître et se développer dans le respect
et la paix, on ne dira jamais le contraire. [...] Mon propos
n'est pas de chercher à exonérer les Israéliens
d'un long aveuglement, d'une longue arrogance envers leurs voisins
de palier, mais d'essayer de comprendre comment ils sont devenus
aux yeux de Français, en particulier d'intellectuels qui
ont la réputation de réfléchir avant d'écrire,
des cibles exclusives pour la réprobation sinon pour la
haine (dans Le Monde du 4 juin, Danièle Sallenave,
Edgar Morin et Sami Naïr).
- Je crois que l'ensemble
des peuples chrétiens n'a jamais avalé la Shoah. Que sa révélation,
relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité
hallucinantes et avant tout le caractère d'anéantissement
systématique et gratuit d'un peuple entier ont causé
un choc beaucoup plus profond qu'on ne le croit. Non par sympathie
particulière pour les victimes mais parce que "la
solution finale" a obligé le plus étourdi
à découvrir que l'homme était peut-être
intrinsèquement mauvais, et Dieu intrinsèquement
distrait. [Des phrases creuses, comme toujours ]
- L'humanité a connu
d'autres exterminations, certes, mais non comparables. [...]
Mais jamais l'homme n'avait exterminé méthodiquement
d'autres hommes sans raison, par caprice en quelque sorte - et
par millions.
- Je crois que cette révélation
du mal vivant au coeur d'hommes européens élevés
depuis plusieurs générations dans la foi chrétienne
et se dévergondant sans entrave a été intolérable,
insupportable, suffocante. C'est à mes yeux la raison
pour laquelle ceux qu'on appelle les négationnistes
nient contre toute évidence la réalité de
la Shoah. En bonne logique, dans la mesure où ils se déclarent
ouvertement ennemis déclarés des juifs, ils auraient
dû se féliciter d'en voir disparaître autant
d'un seul coup et mettre cet acte d'hygiène à l'actif
du national-socialisme.[...] Or que se passe-t-il aujourd'hui
? L'occasion de transformer la figure du juif martyr en juif
bourreau. D'évacuer cette culpabilité récurrente
qui excède pour libérer le petit fond d'antisémitisme
que tout le monde trouve dans son berceau. [...]
- Françoise Guedj,
vieille peau dite Giroud par complaisance, fausse médaillée,
ancienne vichyste, formée par Gordon Lazareff, vingt fois
reliftée, est, comme tant de juifs nord-africains, éditorialiste
au Nouvel Observateur.
- Le Monde, 13 juin 2002.
UN
CHOU
Il est mignon, ce type, Pierre Lance,
on peut même dire qu'il est chou. Il veut expliquer, sans
doute à un de ses copains de bistrot, un peu loufe et qui
ne sait pas lire, ce que c'est que le révisionnisme. Bon,
il aurait pu choisir un autre sujet. D'abord il en trouve deux:
- «Je considère
qu'il y a deux sortes de révisionnistes: d'une part ceux
qui cherchent tout simplement à établir une vérité
historique aussi certaine que possible, et, d'autre part, ceux
qui, mus par des nostalgies politiques, voire un antisémitisme
à peine voilé, ne cherchent qu'à minimiser
les atrocités du nazisme afin de rendre celui-ci plus
«admissible».
- Contre les premiers,
il n'y a évidemment rien à dire, sauf que, pour
les raisons que je donnais plus haut, leur action est sans doute
prématurée. Au reste, à partir du moment
où l'Etat d'Israël revendique officiellement le chiffre
de 6 millions de victimes de l'holocauste, il devient très
difficile à tout historien objectif de ne pas être
honnêtement révisionniste, puisque tout indique
que ce nombre est exagéré.»
- Ensuite, il trouve qu'un
certain Ruby a trouvé le bon chiffre
- « Le chiffre de
6 millions était devenu un mythe mémorisé
et tout ce qui pouvait le remettre en question ne pouvait être
vécu que comme un sacrilège, sinon même l'ombre
d'une nouvelle menace. C'est ce qui explique que des historiens
comme Marcel Ruby, cité dans l'article de notre ami Jean
Blum-Kron, aient pu établir un chiffre plus véridique,
de l'ordre de 4 ou 4,5 millions, sans être pour cela taxés
de révisionnisme, mais sans pour autant que le chiffre
officiel soit modifié si peu que ce soit.
- Autrement dit, de nombreux
Juifs peuvent être conscients que le nombre de victimes
établi par Marcel Ruby est plus proche de la vérité,
sans que cela puisse les amener à renoncer au chiffre
«mythique», craignant s'ils le faisaient, et sans
doute à juste titre, d'ouvrir une brèche dans laquelle
s'engouffreraient tous ceux qui voudraient réduire l'holocauste
à un «détail» de la seconde guerre
mondiale.»
Il trouve la loi Gayssot "totalement
ridicule" et il explique pourquoi.
Enfin, il termine en s'étendant
longuement sur Finkelstein, qu'il lit dans la version princeps,
la nôtre, imprimée par la Vieille Taupe.
<http://assoc.wanadoo.fr/lerenouvelle/pub/R%8Evisionnistes.html>
MASSUE
On trouve, dans des bibliographies récentes
la mention suivante:
Ternisien (Xavier), "Shoah: le temps
des témoins, le temps des historiens", article paru
dans Sens, Paris, mai 2000.
Cette "revue mensuelle éditée
par l'Amitié judéo-chrétienne de France"
est fort intéressante: c'est le lieu où les sionistes,
déguisés en juifs, obtiennent des chrétiens
de continuelles soumissions, de superlatifs abandons, demandés
et obtenus par une bande de rabbins politiques. Lancée
par Jules Isaac et Edmond Fleg dans les années 50, cette
association et sa revue sont la massue idéologique qu'ils
assènent sur la tête des chrétiens (surtout
des catholiques) pour les persuader qu'ils ont une part de responsabilité
dans le Zolo et qu'ils doivent donc abandonner leurs idées
et leurs croyances pour mieux se soumettre à la domination.
Comme ces xylophages qui attaquent le bois, ces gens pénètrent
l'Eglise et la vident de sa substance au profit du sionisme. Dédiée
à la lutte contre "l'antisémitisme", cette
association ignore entièrement "l'anti-christianisme"
qui est si virulent dans les traditions juives et qui se manifeste
avec une extraordinaire brutalité en Palestine. Il va de
soi que les pseudo-spécialistes des affaires religieuses
du journal Le Monde, Henry Tincq et Xavier Ternisien, écrivent
dans cette revue entièrement vouée à l'asservissement
des chrétiens et à leur transformation, si précieuse
pour la survie d'Israël, en valets des juifs, muets et généreux,
donnant toujours leur assentiment et leur fric pour détruire
tout ce qui n'est pas juif en Palestine.
LUMIÈRE
DU NORD
- La police suédoise
fait une descente
chez le principal révisionniste suédois Ahmed Rami
- Le 7 septembre, à
16h 30, huit officiers de police se sont introduits par la fenêtre
de l'appartement d'Ahmed Rami à Stockholm et ont emporté
ses ordinateurs de Radio Islam et autres outils de travail. D'après
un journal local, le ministre de la justice, Thomas Bodstrom,
a déclaré que le gouvernement devait faire cesser
les activités d'Ahmed Rami sur Internet. M. Bodstrom s'est
dit exaspéré par Rami et exige son emprisonnement
pour quatre ans.
- Le ministère public
suédois a déclaré à un journal que
la police suédoise tenait Rami sous surveillance depuis
de nombreuses années. Vendredi 5 septembre -- la veille
de la descente de police -- le journal juif suédois Expressen
écrivait que "Ahmed Rami est un criminel parce
qu'il compare le sionisme au nazisme". Une telle déclaration,
dit le journal, est diffamatoire à l'égard du journal
juif parce que le sionisme est le nationalisme de Expressen
et qu'il est le mouvement de libération de ce journal
juif. Le 11 septembre, Ahmed Rami a déclaré à
Fredrick Töben, de l'Adelaide Institute, que le sionisme
est le nazisme d'aujourd'hui "parce que toutes les caractéristiques
reprochées par les juifs à Hitler s'appliquent
à présent aux activités des sionistes en
Palestine et dans le monde entier: racisme, expansionnisme, occupation,
loi de la jungle et arrogance". M. Rami précise que
le sionisme est une idéologie criminelle qui doit être
réprimée par la loi internationale car il est un
danger pour la paix mondiale, pour la justice et pour la loi
internationale.
- M. Rami compare la confiscation
de ses ordinateurs au comportement du président américain
Bush et du premier ministre israélien Sharon envers le
peuple irakien: résoudre tous les problèmes par
la force. "Et c'est comme ça qu'aujourd'hui tous
les musulmans sont considérés comme coupables parce
qu'ils refusent de soutenir la politique de Sharon et de Bush",
a déclaré M. Rami. "On est innocent à
partir du moment où on soutient Sharon et Bush!"
Voilà qui fait partie de l'humour juif parce que les juifs
occupent la Palestine, et le sionisme, d'après eux, libérera
le peuple juif de toute loi morale et internationale, ainsi que
du respect mutuel et de l'égalité entre les peuples.
"Aujourd'hui le ministre de la justice suédois veut
résoudre le problème par la violence en envoyant
la police rafler les ordinateurs de Radio Islam", dit M.
Rami. "Mais, comme en Palestine, toute occupation provoque
une résistance. Je ne suis qu'une partie de l'Intifada
palestinienne et, au lieu de pierres, j'utilise seulement des
mots. Les peuples musulmans ne capituleront jamais devant l'occupation
sioniste, leur loi de la jungle et leur arrogance."
- Radio Islam Update: 25
September 2002
- <http://abbc.com/islam/>
- Contact Mr Rami at <[email protected]>
- On trouvera aussi une
liste de révisionnistes suédois, grâce à
la diligence du Göteborgs-Posten, à:
- <http://www.gp.se/special/fornekarna/art8.shtml> en bas de l'article sur Rami.
PAS
CONTENT LE NABOT
- Richard Evans
a été mordu par un autre nain
- I returned from holiday
to read D D Guttenplan's review of Telling Lies about Hitler,
my book on the David Irving libel trial (Books, 22 July). Guttenplan
makes gratuitously offensive personal comments and unfounded
allegations. He says I have an 'unsympathetic personality' and
suffer from 'arrogance' and 'vanity'. Could this have something
to do with my critical review of his own book on the trial? He
revealed his feelings the last time we met: 'You f*cked me in
print'.
- Guttenplan claims that
I don't know very much about the Holocaust. He cites Raul Hilberg's
estimate of Jewish victims of Nazism as 5.1 million, but that
was made a long time ago, and discoveries in eastern Europe since
1990 have pushed the figure steadily upwards. He says, absurdly,
that I think Holocaust deniers are postmodernists; I have never
made such a ridiculous claim. He accuses me of overstating my
own originality. But I pointed out that Irving was rumbled by
Hugh Trevor-Roper, Gitta Sereny and others in the 1970s. Their
discoveries, however, related to only a very small part of his
work and Irving has written much, much more since then. It is
offensive of Guttenplan to suggest that the 18 months of hard
slog I put in with my research assistants failed to find anything
new.
- I never claimed, as Guttenplan
asserts, that his book on the trial was soft on Irving. However,
Irving has said he has no objection to it. Nor do I, as he supposes,
arrogantly look down on journalists, at least not where they
check their facts rather than dismissing those who do as 'pedants'.
- Worst of all, Guttenplan
joins the continuing campaign of personal vilification against
me launched by Granta because I had the temerity to suggest that
their last-minute decision not to publish my book might have
had something to do with Irving's repeated threats of legal action.
It was not I who was 'lacking in candour' about my doubts in
signing a four-book deal with Granta. It was Granta's managing
director, who assured me in the strongest possible terms that
the company was committed to publishing Telling Lies whether
or not I signed the other contracts. And I did not, as Guttenplan
alleges, excise criticisms of Penguin from Telling Lies after
that publisher had agreed to take a new book of mine. I had already
excised them, because I had been advised to do so by my editor
at Granta!
- What we should all be
doing is making common cause against England's iniquitous libel
laws, which allow people like Irving to restrict freedom of speech
by threatening defendants with huge and irrecoverable legal costs
even where their writ stands no chance of success.
- Richard J Evans, Professor
of modern history, University of Cambridge
- New Statesman, 2 septembre 2002.
<http://www.fpp.co.uk/Legal/Penguin/books/Evans/NewStatesman020902.html>
David Irving comments:
- AS the Battleship Auschwitz
slowly sinks beneath the surface of the sea of History, thanks
to the efforts of real men of conscience like Fritjof Meyer,
fighting, bickering, and backstabbing have broken out among its
officers.
- As expected. At present
they are fighting over the loot in its hold -- the royalties
from the books these greedy gentlemen have rushed into print.
Later, the loot will be taken from them.
- The only book worth reading
on the Lipstadt trial (funny how they all chant in unison that
it was the "Irving" trial) was the one by Don Guttenplan.
Lipstadt's own long-awaited book may of course prove to be a
masterpiece of literary endeavour eclipsing them all (but, uh,
I doubt it).
- Meanwhile, two thumbs-up
to Guttenplan's. Evans says, "Irving has said he has no
objection to it". Not so: I emphatically endorse it as being
the only one unsullied by cant and prejudice, notwithstanding
the fact that G. is Jewish, and E. is not.
<http://www.fpp.co.uk/online/std/dings/squaregrey.gif>
TERREUR
ET NÉGATION
- "This Web site
links to the most blatant Holocaust denial..."
-
- Concordia
investigates student group
-
- Web site condones
Palestinian suicide bombings
-
- Stewart Bell
- Concordia University
is investigating the Internet site of a campus student group
after a human rights group complained the Web page was a platform
for spreading hate literature and condoning Palestinian suicide
bombings.
- "We are talking
to our lawyers to see what we can and cannot do," Chris
Mota, the Montreal university's media relations co-ordinator,
said yesterday. "They are investigating it, so that is step
one."
- The Students Association
for Muslim Awareness Web site links to other sites that deny
the Holocaust and cite Islamic law to justify terrorist attacks
against Israeli civilians.
- The site also features
a library of reading materials that include The International
Jew, a discredited book by Henry Ford that warned about a
Jewish world conspiracy. The book can also be found on neo-Nazi
Web
- sites. [...] One of
the Web pages in question asks: "What proof exists that
the Nazis practised genocide or deliberately killed six million
Jews? None....There is no hard evidence whatsoever. No mounds
of ashes, no piles of clothes." [...]
- "This Web site
links to the most blatant Holocaust denial, and to the justification
of suicide bombings as a religious imperative," Frank Dimant,
B'nai Brith's executive vice-president, said yesterday. [...]
- National Post, August 24, 2002
- <http://www.nationalpost.com/national/story.html?id={D2AB46E4-2C7A-4824-BFE0-A1E2BDA87366}>
NOUVELLES DES TUEURS SIONISTES
Sur le site de la Jewish Defence League:
-
- The Truth Regarding
the Government's Case Against
- Irv Rubin and
Earl Krugel
- The U.S. government has
charged Irv Rubin and Earl Krugel with conspiring to bomb a mosque
in Culver City and Congressman Darrell Issa's office. We believe
that these charges are false and that both of these men will
be acquitted once a full and fair airing of the facts is presented
in a court of law.
- Here is the truth about
this case: Irv (age 56) and Earl (age 59) have spent their lives
fighting anti-Semitism, not committing terrorist acts. Never
before have either of these dedicated Jewish activists been tried
or convicted of any violent activity. What happened here is that
in the wake of the tragic events of September 11, the FBI used
the services of a "snitch" with an admitted violent
background to set up Irv and Earl. The snitch tried to induce
Irv and Earl to participate in these bomb plots. In fact, it
was the government snitch who delivered bomb-making material
to Earl's home just hours before the government raid that led
to the arrests. Importantly, no bombs were ever constructed and
nobody was hurt.
- If convicted of the current
charges, Irv and Earl are facing a minimum of 35 years in federal
prison with no possibility of parole. Given their ages, this
means that if they are convicted, Irv and Earl will spend the
rest of their lives in federal prison [pov'petits assassins
sionistes!].
- For obvious reasons, the
government will use the full might of its limitless resources
to convict and severely punish these good men. Unfortunately,
Irv and Earl do not have funds to pay the costs of their defense.
Please help Irv and Earl by making a contribution to each defense
fund listed below.
Earl Krugel habite une ville nommée
Tarzana, en Californie... Zinzin pourrait quitter Asnières
et aller s'y installer.
Leur procès aura lieu du 1er
octobre au 12 novembre. Rappelons que Rubin est l'incendiaire
de l'Institute of Historical Review. Mais à l'époque
il n'a pas été pris. On aimerait bien être
débarrassés de ces sombres brutes, pour 35 ans.
On verrait après.
POIGNANT
POGNON (suite)
- Mesures nominatives
-
- Premier ministre
- Décret du 10
septembre 2002 portant nomination à la commission pour
l'indemnisation des victimes de spoliations intervenues du fait
des législations antisémites en vigueur pendant
l'Occupation
- NOR : PRMX0205893D
- Par décret en
date du 10 septembre 2002 :
- Sont nommés membres
de la commission pour l'indemnisation des victimes de spoliations
intervenues du fait des législations antisémites
en vigueur pendant l'Occupation :
- M. Pierre Drai, premier
président honoraire de la Cour de cassation ;
- M. Gérard Gelineau-Larrivet,
président de chambre honoraire à la Cour de cassation
;
- M. François Bernard,
conseiller d'Etat ;
- M. Henri Toutée,
conseiller d'Etat ;
- M. Jean-Pierre Bady,
conseiller maître à la Cour des comptes ;
- Mme Claire Bazy-Malaurie,
conseiller maître à la Cour des comptes ;
- M. David Ruzié,
professeur des universités émérite ;
- Mme Anne Grynberg, professeure
à l'Institut national des langues et civilisations orientales
;
- M. Pierre Kauffmann,
secrétaire général de l'Association du mémorial
du martyr juif inconnu et du Centre de documentation juive contemporaine
;
- M. Gérard Israël,
président de la commission d'études politiques
du Conseil représentatif des institutions juives de France.
- MM. Pierre Drai et François
Bernard sont nommés respectivement président et
vice-président de la commission pour l'indemnisation des
victimes de spoliations intervenues du fait des législations
antisémites en vigueur pendant l'Occupation.
- J.O. Numéro 214 du 13 Septembre
2002 page 15153
<http://www.legifrance.gouv.fr/citoyen/images/jo2.gif>
Ils vont pouvoir bâfrer.
NANARS
PAS FRAIS
En Dehors anarchiste
-
- Les libertaires
face au négationnisme
- Lu dans Le Monde
libertaire -- Organe de la Fédération anarchiste:
"Depuis quelques années, le mouvement libertaire
se trouve curieusement embarqué sans très bien
comprendre ce qui lui arrive dans des débats qui tournent
autour du négationnisme.
- <http://www.resistances.be/images/ramka_04.jpg> Les médias publient
avec délectation des articles sur «les libertaires
et l'ultra-gauche», les deux courants étant amalgamés
dans leur prétendue adhésion aux thèses
révisionnistes. Certains ex-staliniens reconvertis dans
l'antifascisme pur sucre partent en croisade contre les alliances
des «rouges-bruns» en n'oubliant pas d'y inclure
le mouvement anarchiste en s'appuyant sur quelques cas bien particuliers.
Les éditions Reflex publient une brochure, intitulée
«Libertaires et "ultra-gauche" contre le négationnisme»,
dans laquelle finalement aucun libertaire ne figure au sommaire.Dernièrement,
c'est le cinéaste Jacques Tarnero, dans son film Autopsie
d'un mensonge: le négationnisme (sortie prévue
le 17 janvier [Un énorme succès, qui a été
vu par 612 personnes...] qui donne la parole à
un certain Georges Fontenis, militant marxiste-libertaire, pour
laisser planer le doute sur la Fédération anarchiste.
- Le négationnisme
- Le négationnisme
consiste à nier tout simplement la réalité
du génocide perpétré contre les juifs pendant
la Seconde guerre mondiale ou tout au moins à nier l'intentionnalité
de celui-ci. Les juifs seraient morts des mauvaises conditions
de leur détention, de maladie, de malnutrition, etc.,
dans ce qui n'était que des camps de travail, mais pas
d'une intention délibérée des nazis de les
exterminer. Ainsi, les chambres à gaz n'auraient tout
simplement jamais existé et seraient le résultat
d'une machination organisée après la guerre par
un prétendu «complot juif international».
De même, l'un de leurs arguments consiste à affirmer
qu'il n'y avait pas de documents prouvant la livraison de gaz
vers les camps, ou que les murs des chambres à gaz ne
recèlent plus, cinquante ans après, de traces de
gaz. Ils affirment également que l'expression «solution
finale» du problème juif ne se rapportait pas à
leur extermination mais à leur transfert vers l'Est.
- On sait pourtant que
la solution finale a été décrétée
le 20 janvier 1942 à Wansee pour les juifs et pendant
le printemps de la même année pour les Tziganes.
- Le cas Rassinier
- Après la guerre,
c'est, curieusement, un ancien déporté, Paul Rassinier,
qui reprend à son compte l'entreprise de désinformation
commencée par ses propres bourreaux nazis. Membre du parti
communiste en 1922, il se rallie vite à l'opposition de
gauche. Exclu en 1932, il fonde avec d'autres la Fédération
communiste indépendante de l'Est qui fusionne avec le
Cercle communiste démocratique de Boris Souvarine. En
1934 il adhère à la SFIO. Après l'occupation,
il participe à la création du mouvement de résistance
Libération Nord. Il est arrêté en 1943 par
la Gestapo et torturé, puis déporté à
Buchenwald puis à Dora, qui étaient des camps où
les détenus communistes avaient une grande influence.
- Après sa libération
il développera une haine féroce contre la direction
clandestine de ces camps, essentiellement composée de
communistes. Il publie en 1948 un premier livre autobiographique
sur les camps, dans lequel il dénonce les violences des
kapos qui étaient, selon lui, le plus souvent membres
du Parti communiste et qu'il accuse d'avoir été
pires que les SS. En 1950, Rassinier écrit Le mensonge
d'Ulysse et critique systématiquement les autres témoignages
sur la déportation, les considérant comme inexacts.
On y lit notamment: «Mon opinion sur les chambres à
gaz ? Il y en eut: pas tant qu'on croit. Des exterminations par
ce moyen, il y en eut aussi: pas tant qu'on l'a dit.» En
fait Rassinier n'a objectivement aucune compétence pour
juger de la question; plus précisément son expérience
personnelle de la captivité ne lui donne aucune compétence
en la matière, puisqu'il était dans un camp où
il n'y avait effectivement pas de chambre à gaz.
- Rassinier et les
libertaires
- L'adhésion de
Rassinier au mouvement libertaire a été parfaitement
opportuniste. Il cherchait désespérément
un auditoire et le moyen de se faire publier. Il a effectivement
dupé, abusé beaucoup de gens, et on pourrait faire
l'histoire de ses manipulations. Lorsque, en 1950, David Rousset
évoque l'existence de camps staliniens, Rassinier envoie
au Libertaire deux articles sur "Le problème
concentrationnaire" qui paraissent le 10 et le 17 février
1950. Dans ces articles, il se limite à montrer que le
phénomène concentrationnaire dépasse largement
le cadre de l'Allemagne hitlérienne et il dénonce
les tentatives de défense de l'URSS orchestrées
par Sartre et Merleau-Ponty. Lorsque paraît Le Mensonge
d'Ulysse, en octobre 1950, une vigoureuse réaction
contre cet ouvrage se manifeste dans Le Libertaire, le
3 novembre et le 15 décembre.
- Exclu de la SFIO en
1951, Rassinier adhère à la nouvelle Fédération
anarchiste, issue de la scission de 1953. Parallèlement,
des articles soutenant les thèses de Rassinier et dont
la signature utilise le nom de son lieu de naissance, paraissent
dans Rivarol, journal d'extrême droite. A l'initiative
de Maurice Laizant, une enquête est menée. Rassinier,
démasqué, est alors exclu de la Fédération
anarchiste. On peut lire en novembre 1964 dans le Monde libertaire
No 106: "Nous tenons à rappeler que depuis 1961 il
[Paul Rassinier] n'appartient plus à notre organisation,
son attitude nous étant apparue plus que suspecte, et
depuis plus longtemps encore il ne collabore plus à notre
journal. En conséquence, nous affirmons catégoriquement
que nous n'avons rien à voir avec ce personnage qui nous
est totalement étranger."
- Ce ne sont pas les thèses
révisionnistes de Rassinier qui recevaient un bon accueil
dans le mouvement libertaire de l'époque. On oublie qu'il
a fait pendant un moment des conférences communes avec
David Rousset [à l'époque, trotskyste].
Les choses à l'époque n'étaient pas aussi
claires qu'elles le sont devenues a posteriori. Avant que Rassinier
ne soit démasqué par des militants de la Fédération
anarchiste, la presse libertaire, -- le Monde libertaire,
Contre-courant -- informait les lecteurs de ses conférences,
mais celles-ci traitaient surtout d'économie et avaient
un caractère anticapitaliste. C'est ce que les militants
de l'époque retenaient de ses écrits. Ses idées
négationnistes n'étaient pas connues, et encore
moins publiées par le mouvement libertaire, et c'est parce
que certains militants, dont Maurice Laizant, soupçonnaient
qu'il développait de telles idées, sous un autre
nom, qu'une enquête a été faite. S'il avait
développé de telles idées ouvertement, il
n'aurait jamais pu faire partie de la «mouvance»
anarchiste. On peut dire que le mouvement libertaire a été
abusé, on ne peut pas dire, comme veulent le laisser penser
certains, qu'il a été irresponsable ou complice.
On peut certes faire reproche aux libertaires de leur manque
de clairvoyance, cela n'en fait pas pour autant des partisans
du négationnisme. C'est précisément le soupçon
de ses sympathies pour l'extrême droite qui a permis à
Maurice Laizant de le démasquer.
- En 1967, Rassinier change
les bourreaux en victimes dans son livre «Les responsables
de la Seconde guerre mondiale», où il accuse les
juifs d'avoir déclaré la guerre à Hitler
! thème qui est repris notamment par Garaudy dans son
livre «Les mythes fondateurs de la politique israélienne».
Les principaux ouvrages de Rassinier seront réédités
entre 1979 et 1983 par Pierre Guillaume, issu du groupe «Socialisme
ou barbarie» et directeur de la «Vieille taupe»,
groupe qui n'a strictement rien à voir avec l'anarchisme.
Après la mort de Rassinier en 1967, les négationnistes
se succèdent, principalement en Allemagne et aux États-Unis,
mais aussi en France avec Faurisson ou Henri Roques pour les
plus connus où du moins les plus «médiatisés».
- Des négationnistes
anarchistes ?
- S'il est logique que
des fascistes, des pétainistes défendent les thèses
négationnistes, on comprend mal pourquoi des gens qui
viennent de l'extrême gauche, voire de l'ultra-gauche,
ou beaucoup plus marginalement du mouvement libertaire défendent
de telles thèses.
- Dans l'ensemble, les
révisionnistes se situent clairement dans l'extrême
droite et sont financés par les nazis nord-américains
du Liberty Lobby de Willy Carno, ainsi que par certains intégristes
islamiques alliés contre leur ennemi commun, les juifs.
Le négationnisme reste avant tout une trouvaille de l'extrême
droite visant à exonérer le nazisme de la culpabilité
du génocide, en relativisant ou en niant celui-ci. L'idée
du «complot juif international» ou du «complot
sioniste» constitue la toile de fond de toute l'argumentation
de ce mouvement, qui se pare d'un antisionisme de façade.
L'extrême droite, qui ne se prive pas de développer
une haine ouverte contre les Arabes qui vivent en France, se
découvre ainsi une curieuse tendresse (encombrante pour
ceux qui en font l'objet) pour la cause palestinienne. On devine
aisément que l'intérêt pour cette cause ne
vient que du prétexte qu'elle fournit à l'antisémitisme.
- Mais alors que partout
dans le monde le négationnisme est une affaire exclusive
de l'extrême droite, la France présente cette particularité
qu'une partie des négationnistes est issue de l'extrême
gauche. Il convient de faire une distinction entre l'ultra-gauche
en tant que courant politique et certains transfuges de ce courant
qui ont épousé les thèses négationnistes.
Nombre d'opposants au négationnisme ont vite fait de faire
l'amalgame. Et ce sont ces mêmes opposants qui tentent
aussi d'y amalgamer les anarchistes en instrumentalisant des
cas très spécifiques, qui se comptent sur les doigts
d'une main, comme celui de Rassinier. Le fait que le communiste
Doriot soit devenu fasciste ne saurait être imputé
de façon simpliste au communisme en tant que tel. Le fait
que quelques juifs défendent les thèses négationnistes
ne saurait être imputé à la communauté
juive dans son ensemble. Le fait que quelques révolutionnaires
soient passés au négationnisme de même. Ce
ne sont que de rares exceptions, produit d'un moment donné
et d'une histoire particulière et en aucun cas représentatives
du mouvement anarchistes et de son idéologie. Laisser
penser que l'anarchisme est perméable au négationnisme
est une insulte à son histoire et à ses militant-e-s.
- Ces remarques n'excluent
certes pas la réflexion sur les causes qui produisent
de tels phénomènes de transfuges et sur les mécanismes
qui font que, à partir d'une théorie que rien ne
prédispose au négationnisme, quelques individus
y sombrent. Elles n'excluent pas non plus une autre question:
pourquoi nombre d'antinégationnistes, qui ne sont pas
plus bêtes que d'autres et sont parfaitement capables de
faire la distinction entre quelques transfuges et les mouvements
dont il ont fait momentanément partie, font-ils délibérément
l'amalgame ?
- Félix Bula
- <http://joueb.com/anarchie/news/607.shtml>
- (Déclarant du
site "joueb": Stéphane Gigandet, Sunnyvale,
Californie...)
REMUGLES
DANS LE PANIER DE CRABES
Lu sur IndyMedia Center - webcast news:
- "Le Scalp/Reflex
Paris et Indymédia entretenaient jusqu'alors des rapports
plutôt cordiaux. Nous partagions certains objectifs politiques
et le développement d'espace de contre-pouvoir, notamment
au travers des médias alternatifs nous paraissaient à
tout deux essentiels. Certains dérapages récents
d'Indymédia France concernant la situation au Proche-Orient
nous obligent à parler au passé. Si le Scalp/Reflex
soutient le peuple palestinien et condamne fermement la politique
menée par l'Etat d'Israël, il ne peut pas accepter
certains propos, même au nom d'une prétendue liberté
d'expression. La frontière qui marque le passage d'une
opinion politique à un point de vue antisémite
a été franchie dans des écrits ou des illustrations
qui figurent sur votre site. Phrases tendancieuses, raccourcis
historiques, pages ouvertes à des révisionnistes
et surtout absence de condamnation par les administrateurs
nous poussent à rompre toutes relations avec France Indymédia.
Nous vous demandons de retirer les liens avec notre site, nous
ferons de même avec le votre.Nous espérons malgré
tout que ces délires relèvent plus d'un manque
de culture politique et/ou d'une absence de vigilance que d'une
adhésion idéologique. Bien à vous .Le Scalp/Reflex
Paris ".
- Vendredi 21 Juin 2002.
<http://joueb.com/anarchie/news/331.shtml>
C'est vrai, la culture politique de
Scalp, ça impressionne énormément, surtout
dans les squats de paumzingues.
DU
MOU DANS LE CORDAGE
- Allemagne:
des prestataires internet se rebiffent contre le blocage de sites
nazis
-
- Par Estelle Dumout
- A Düsseldorf, les
autorités exigent que les fournisseurs d'accès
empêchent leurs abonnés de consulter des sites prônant
la haine raciale et le révisionnisme. Les prestataires
sont prêts à contester cette mesure devant la plus
haute juridiction du pays.
- La polémique s'envenime
entre le gouvernement local de Düsseldorf et les fournisseurs
d'accès internet (FAI) basés dans la région
de Rhénanie du Nord Westphalie. Le premier exige l'application
immédiate de l'une de ses ordonnances, réclamant
que les FAI bloquent l'accès à deux sites nazis
établis aux États-Unis.
- Le texte date du mois
de février, mais plusieurs prestataires s'étaient
tournés vers les tribunaux, arguant qu'une telle injonction
ne servait à rien, puisque techniquement très facile
à contourner. Ils s'indignaient également de ce
qu'ils considéraient comme une politique de censure de
la part des autorités de Düsseldorf. Grâce
à ces plaintes, à caractère suspensif, aucun
des FAI n'avait eu à obéir à ces ordres.
- L'administration locale
vient de réagir en réclamant l'application immédiate
de l'ordonnance, court-circuitant ainsi les procédures
juridiques en cours et levant leur effet suspensif. Seule solution
pour les FAI: déposer un nouveau recours devant les tribunaux
contre cette nouvelle injonction. C'est ce qu'ils ont l'intention
de faire, bien décidés à ne pas laisser
le gouvernement régional régir unilatéralement
leur activité.
- «Nous irons s'il
le faut jusqu'à la Cour constitutionnelle» (l'équivalent
du Conseil d'État en France, Ndlr), a déclaré
Harald Summa, président d'une association de promotion
des activités en ligne, l'Electronic Commerce Forum. Il
s'exprimait le 16 septembre dans le cadre d'une conférence
sur la liberté d'information, le contrôle des contenus
et la censure sur l'internet, organisée par le club d'activistes
allemand Chaos Computer Club (CCC). Andy Müller-Maguhn,
porte-parole du collectif, s'est déclaré entièrement
solidaire des FAI. «Au lieu de fermer les yeux des utilisateurs
avec des filtres et des blocages, il vaudrait mieux éduquer
la population sur l'utilisation et l'interprétation des
médias», a-t-il plaidé.
- ZDNet France, 18 septembre 2002.
<http://news.zdnet.fr/story/0,,t118-s2122469,00.html>
MACHINE
À LAVER LES CERVEAUX
- Nouvelles
lois en Californie
- Voici les nouvelles
lois concernant l'Holocauste, signées par le gouverneur
de Californie, Gray Davis, le 19 septembre, qui doivent maintenant
être appliquées:
- Loi AB2003: L'Holocauste
à l'école. L'enseignement de l'Holocauste sera
obligatoire dans les écoles californiennes. Des professeurs
seront formés pour enseigner l'Holocauste, l'esclavage,
le génocide et autres violations des droits de l'homme.
Au moment de signer ce projet de loi le gouverneur Gray Davis
a dit: "Il est de notre responsabilité sacrée
de nous assurer que la vérité soit connue des générations
à venir."
- Loi AB1758: Permet de
repousser à 2010 la date de prescription pour les poursuites
diligentées par les survivants de l'Holocauste ou leurs
héritiers afin de récupérer auprès
des musées ou des galeries les objets d'art volés
à l'époque de l'Holocauste.
- Loi AB989: Exonérera
les survivants de l'Holocauste et leurs héritiers de l'impôt
sur les indemnités reçues en dédommagement
de l'Holocauste. De plus, cette loi exonérera de l'impôt
sur le revenu les individus qui bénéficient d'une
aide médicale ou publique, de pensions d'invalidité
et de bourses d'études. Au moment de signer ce projet
de loi, le gouverneur Gray Davis a dit: "On ne pourra jamais
entièrement rendre justice aux nombreux millions de victimes
de la persécution nazie, mais j'ose espérer qu'avec
ces nouvelles lois, et d'autres tentatives similaires en cours,
nous contribuerons à apporter dignité et soulagement
à ceux qui ont subi des pertes indicibles."
Pas un mot sur les pertes indicibles subis
par les populations viêtnamiennes, cambodgiennes, laotiennes,
panaméennes, grenadiennes, cubaines, somaliennes, irakiennes,
françaises, allemandes, italiennes et autres, du fait des
agissements des forces armées américaines.
L'AMÉRIQUE
SUIT LA LOI JUIVE.
L'indépendance des Etats-Unis n'est
pas non plus à l'ordre du jour sur le côte orientale
du pays:
- Majority
of US Food Ingredients Now Kosher, Study Shows
- Anaheim, CA. Nearly
two-thirds of the nation's $500 billion in food ingredients is
certified kosher, an IMC study showed. The study was released
in advance of the IFT Show, the nation's largest food ingredient
and technology show now taking place here. The nation's four
largest kashrus agencies have booths at this huge show as does
IMC, promoting its Kosher Food Ingredient Show, which is part
of Kosherfest (November 5-6, 2002). Shaule Wassertheil, who is
representing IMC here, said that "no food ingredient
manufacturer can hope to sell to the large food manufactures
if their products are not kosher certified."
-
- New York
Continues Kosher Law Enforcement After Stay
- Albany, N.Y. (www.koshertoday.com)With
New York State's century-plus kosher food laws headed for a possible
day in the United States Supreme Court, the State was granted
a stay by the US of Court of Appeals, Governor George E. Pataki
announced earlier this month. The stay obtained by the Governor
allows the State to continue to enforce the kosher food laws,
which were ruled unconstitutional by the Court of Appeals. Said
the Governor: "These laws are vitally important to New Yorkers,
and I remain committed to protecting consumers who purchase products
labeled as kosher." Meanwhile, Rabbi Luzer Weiss, who heads
the Kosher Law Enforcement Division of the State's Department
of Agriculture told Kosher Today that his inspectors
are "finding more abuses than ever, misleading the growing
number of kosher consumers in the State."
- <www.koshertoday.com>
PARUTIONS
§== Une bonne
affaire.
L'Institute for Historical Review (PO Box 2730, Newport Beach,
CA 92659, USA) pour la somme ridicule de 6 dollars (+port) le
volume de textes consacrés au père du révisionnisme
américain, l'historien réputé et auteur de
nombreuses études fort intéressantes, Harry Elmer
Barnes, Harry Elmer Barnes: Learned Crusader, qui fait
947 pages. Beaucoup de révisionnistes connaissent peu ou
très peu l'ampleur intellectuelle des travaux de Barnes
qui fut un révisionniste de l'histoire de la Première
Guerre mondiale avant de devenir un révisionniste de la
Seconde Guerre mondiale. Et il le fut avant, pendant et après
cet inutile et sanglant conflit. Il a fait du "révisionnisme
à chaud" et il a subi aussitôt l'ostracisme
que nous connaissons bien. Mais les activités et les écrits
de Barnes dépassent de beaucoup ce champ pourtant large.
Il fut celui qui fit traduire Rassinier aux Etats-Unis. Il a su
faire le lien avec les révisionnistes européens
qui partaient de points de vue politiques et intellectuels tout
autres. Un livre aux vues larges
§== Sortie du dernier numéro du Journal of Historical
Review (vol. 21, numéro 2, mars-avril 2002). Il comporte
un texte de R. Faurisson (sa conférence de mai 2000, intitulée
"My revisionist Method"), une interview du Croate Tom
Sunic, un article sur les avatars de la psychologie entre Darwin,
Boas et Margaret Mead, et divers autres articulets.
§==Un cafteur. Un certain Manuel
Abramowicz dénonce dans un tarticle de 1995, revu et corrigé
en 2002 une liste de gens, dans Négationnisme et partis
d'extrême droite -- Au sein des formations politiques non
démocratiques, les négationnistes ou leurs dévots
sont nombreux. Quelques exemples [belges]. Il est curieux
qu'on ne voie jamais "négationnisme et mouvements
d'extrême gauche". Pourtant, y'aurait du monde. Quand
est-ce que ces pauvres malades obsédés comprendront
que le nazisme, on s'en fout comme de notre première culotte
! Qu'on en veut beaucoup à Hitler d'avoir propulsé
les groupes juifs aux sommets de la politique. Qu'il était
vraiment nul et qu'il ne comprenait rien à rien ! Voyez
le résultat !
<http://www.resistances.be/negat19.html>
§== Un tas de
bouquins, dont plusieurs viennent de chez nous, mais nous
sommes très contents de les voir circuler, avec
beaucoup d'autres, presque tous fort intéressants: Shakespeare,
Flaubert, Clausewitz, Baudelaire,et plein d'autres. Voyez
<http://www.reichdamour.ca.tc/>
Merci à celui ou ceux ou celles
qui font des sites comme ça.
§== Mocou-pas-taire. Info révisionnistes
en russe, parle de la conférence qui a eu lieu à
Moscou en 2002, de I. A. Stepanovoi:
<http://www.rusk.ru/News/02/1/new27_01l.htm>
§== Le chant de
la sirène. A new book in Danish about Holocaust denial has
been published. It is authored by head of the Danish Jewish community
Jacques Blum and ph.d Eva Bøggild. The book chronichles
the emergence of Holocaust denial internationally and in Denmark
in particular.
Jacques Blum and Eva Bøggild interviewed
about their new book:
A realaudio interview (in Danish) with
Jacques Blum and Eva Bøggild can is available from the
website of the radio program 'Herreværelset'. The interview
deals with their new book about Holocaust denial, and other related
topics.
Voir <http://www.holocaust-info.dk/>
§== Un an chez
les rabbins. Le
bouffon van Pelt possède un site web pour faire l'article
et vendre ses bouquins. Il se croit malin et nous donne les étapes
de sa remarquable carrière dans l'enseignement du baratin
sur ... l'architecture. Et puis en bas on voit ceci:
<Leo Baeck College [rabbinical school
], London, England, 1983.>
Ce cher van Pelt est un pur produit des
rabbins anglais. A vrai dire, on ne s'en étonnera pas.
<http://www.fes.uwaterloo.ca/architecture/frameset/staff-vanpelt.html>
Vous pouvez lire le premier chapitre (65
pages) du livre sorti du rapport d'expertise (???) présenté
au procès Irving-Lipstadt. The Case for Auschwitz.
Et en prime une photo de cet ahuri.
On trouve ailleurs le texte du rapport
Van Pelt, sans indication d'origine:
<http://www.holocaustdenialontrial.com/evidence/vanintro.asp>
Mais nous l'avons en PDF.
§== Examens.
- Université du Québec
à Montréal
- Département de
science politique
- Pensée politique:
les idéologies autoritaires
- Session hiver 2002
- Prof.: Jean-Guy Prévost
<pré[email protected]>
- 3 avril: Les enjeux
politiques de l'histoire: révisionnisme et négationnisme
- 3.4.Les enjeux politiques
de l'histoire : révisionnisme et négationnisme.
(3 avril) Textes à lire :
- 1.Textes d'Ernst Nolte
et Jürgen Habermas, in Devant l'histoire. Les documents
de la controverse sur la singularité de l'extermination
des Juifs sous le régime nazi, Paris, Cerf, 1988,
353 p. (ISBN: 2-204-02901-7). Extraits: p. 7-23, 29-35, 47-60.
- 2.Interview de Robert
Faurisson à Storia Illustrata, août 1979,
15 p. (Document web : http:/www.abbc.com/aaargh/fran/archFaur/1974-1979/RF7908xx2.html)
- 3.Chomsky, Noam. «Quelques
commentaires élémentaires sur le droit à
la liberté d'expression», 4 p. (Document web:
- http:/www.abbc.com/aaargh/fran/chomsky/NCprefacefr.html)
- Références
supplémentaires :
- Igounet, Valérie.
Histoire du négationnisme en France, Paris, Seuil,
2001.
- Fresco, Nadine. Fabrication
d'un antisémite, Paris, Seuil, 1999.
- Furet, François
et Ernst Nolte. Fascisme et communisme, Paris, Plon, 1998.
- Hilberg, Raoul. La
destruction des Juifs d'Europe, Paris, Gallimard, 1999.
- Marrus, Michael. La
solution finale dans l'histoire, Paris, Flammarion, 1994.
- Nolte, Ernst. La guerre
civile européenne, 1917-1945. National-socialisme et bolchevisme,
Paris, Editions des Syrtes, 2000.
17 avril: examens. Faudra faire gaffe
!!!!!!!!!!!!!!!!!
§== Toujours contre
nous ! Ça tire de partout.
Les officines juives du Brésil se sont mises en mouvement.
Elles viennent d'aboutir au livre suivant:
Neonazismo, Negacionismo e Extremismo
Político
Coord. Luis Milman & Paulo Fagundes
Vizentini, Universidade Federal do Rio Grande do Sul.
Le livre, qui date de 2000, est mis en
ligne par une équipe "Nizkor" et se trouve à
<http://www.derechos.org/nizkor/brazil/libros/neonazis/>
En voici le sommaire:
- Introdução
- * Neonazismo e revisionismo:
Um desafio político.
- * Além dos hooligans
e das eleições na Áustria.
- * Introdução.
- Parte l: Fascismo, Neonazismo
e Extremismo Político
- * 1. O ressurgimento
da extrema-direita e do neonazismo: a dimensão histórica
e internacional.
- * 2. Fascismo e neofascismo
na América Latina.
- * 3. A Extrema-direita
no poder: o caso da Áustria.
- * 4. O Brasil nos anos
30 e o germanismo: um estudo de caso
- Parte 2: Nazismo e Racismo,
Negacionismo e Memória
- * l. A negação
dos assassinatos em massa do nacional-socialismo: desafios para
a ciência e para a educação política
- * 2. Negacionismo: génese
e desenvolvimento do genocídio conceitual.
- * 3. O nazismo como
colonização da sociedade.
- * 4. A política
da morte do nazismo.
- * 5. As formas de lembrar
e o estudo do Holocausto
- * 6. Direitos Humanos
e a luta contra o anti-semitismo: relato de uma militância.
Chacun de ces chapitres est accessible
sur le site cité plus haut.
Il n 'est pas fait mystère que
l'entreprise est financée par "la fédération
israélite" du cru: " Presente livro, uma iniciativa
originária do Instituto Latino-Americano de Estudos Avançados
da Universidade Federal do Rio Grande do Sul. A ideia foi apoiada
pelo Movimento de Justiça e Direitos Humanos, Federação
Israelita/RS, Programas de Pós-Graduação
em Comunicação e em História da UFRGS e pelo
Governo do Estado do Rio Grande do Sul."
Le chapitre central, (2e partie, 1er chap.)
est dû à une plume allemande traduite en brésilien:
Díetfrid Krause-Vilmar(*), Universidade de Kassel, Alemanha.
La plupart des auteurs sont juifs et écrivent
dans la revue Shalom, la principale revue brésilienne
sur le "judaísmo contemporâne". Voici le
ton: "Em dezembro de 1941, a Alemanha nazista decidiu a Solução
Final do problema judaico, cujo objetivo era destruir 11 milhões
de judeus na Europa." Sans mollir. Décidément,
on préfère la samba.
§== Vous causez
viking ? Graf
et son "Holocauste au scanner" en suédois, direct
en ligne, faites attention aux voyelles:
<http://www.den-svenske.com/revisionism/forintelsen_skarskadad/forintelsen_skarskadad.htm>
D'ailleurs, sur <http://www.den-svenske.com/revisionism/>
on trouve toutes de sortes de bonnes choses, en plus des harengs
de la Baltique...
Le même Graf en varègue:
<http://probib.by.ru/grafy000/index.htm>
En danois, on trouve maintenant la préface
de Faurisson à ses Ecrits révisionnistes:
<http://www.patriot.dk/faurisson.pdf>
37 p.
§== Précurseur.
Un document en portugais sur le Net nous dit que les révisionnistes
ont un précurseur lusitanien: Não quereria esquecer
o Prof. António José de Brito, académico,
filósofo e escritor profícuo, precursor do revisionismo
em Portugal com a "A lenda negra antinazista", apêndice
IV da obra "Destino do Nacionalismo Português",
editada em 1962. (La quatrième annexe du livre Destin
du nationalisme portugais, paru en 1962, s'intitulait: "La
légende noire antinazie". Nous souhaitons lire cette
annexe.)
<http://www.terravista.pt/mussulo/5747/publico.htm>
Voir aussi une présentation de
Paul Rassinier dans la langue de Camoëns (dans laquelle il
n'est pas encore traduit...):
<http://www.terravista.pt/mussulo/5747/inc.htm>
A vrai dire, nous aurions dû être
plus attentifs. Il y a encore un an, il était difficile
de trouver des textes révisionnistes en portugais sur le
Net. Mais les choses changent vite et au moins deux sites sont
en cours de construction.
Voir <http://revision5.b3.nu/>
qui provient d'un environnement fortement antisémite et
dont les lierns ne semblent pas fonctionner,
et <http://www.revision.com.br/links.asp>
du groupe brésilien RevisaÕ Editora e Livraria Ltda,
qui est connu depuis longtemps pour ses publications, livres et
brochures. Ils nous ont fait quelques petits emprunts et nous
les encourageons à en faire davantage. Benvenidos !
§== Coucou. Du philosophe
allemand Horst Lummert, qui écrit souvent dans Sleipnir,
un volume (171 p) de considérations tournant autour
du révisionnisme:
Revisionismus- Kritik exklusiv 1, édité par Alexander Becker et Baraq
Kokhaviv,aux éditions Kokhaviv. Ce sont des textes, dont
certains inédits, écrits entre 1973 et 2000, certains
ont été publiés dans kuckuck.
<http://www.kokhavivpublications.com/free/Bd9_oe.pdf>
§==Nippon. L'ouvrage de S. Thion, Vérité...,
se trouve évoqué sur un site japonais qui renvoie
vers l'aaargh pour le texte complet. Ce site s'appelle "clinamen",
ce qui nous paraît un délicat hommage à Lucrèce,
un fait assez rare, par les temps qui courent, pour être
signalé. (On voit déjà le pauvre denain de
jardin suer sur son dictionnaire pour trouver ce fichu clinamen.
Mais, non, pauvre pomme, c'est pas Lucrèce Borgia...)
<clinamen.ff.tku.ac.jp/Holocaust/Points/%E3%83%95%E3%82%99%E3%83%AD%E3%83%BC%E3%82%B7%E3%83%A3%E3%83%88>
§== Vieux-Croyants. Il y a encore
des croyants. Attention, des vrais croyants, genre credo quia
absurdum. Qui croient en Gerstein. En Saint Gerstein qui a
fait un témoignage "authentique". Mieux que le
Padre Pio. Bon, on va pas vous infliger le pensum, mais les amateurs
(que nous sommes) pourront agrémenter une longue soirée
d'hiver par cette consultation très-ébahissante:
à voir pour le croire:
Nicolas Bernard, Gerstein et les négationnistes.
<http://histoforum.free.fr/sgm/aff.php3?1831>
L'article de Mark Weber sur Wilhelm Höttl
paraît sur un site australien des "bible believers"
<http://www.biblebelievers.org.au/wilhelmh.htm>
Affabulateurs, charlatans, frères-prêcheurs,
commissaires, baratineurs, bonisseurs, le monde est crédule
et l'avenir est à vous !
§== Tous les jours il y a des petits cons pour s'exciter sur le
fait que -- il y a vingt ans -- Chomsky a rédigé
un texte qui est paru en préface du Mémoire en
défense de R. Faurisson. Tous les jours. Pas
seulement Daeninckxxx, qui arrive avec vingt ans de retard. Une
preuve ? Regardez le site du médusant David Horowitz, In
your face, un plumitif très connu à New York
qui était à gauche et est passé à
droite, c'est assez typique. Il reproche à Chomsky de "haïr"
l'Amérique. C'est une avalanche de bêtises continue
!
<http://letters.frontpagemag.com/cgi-bin/inyourface.pl?article=1735>
§== Supersuperficiel. Une étude
sur "Holocaust Denial on Internet" (La négations
du Zolo sur le Net), très brève, très au
dessus des vagues par une évaporée au nom férocement
romantique, Taetia Zysshe, une sorte de chose pour un vague diplôme;
ça ne casse pas trois pattes à un canard. Les éléments
de pointe de Tsahal en France font beaucoup mieux.
<http://users.chariot.net.au/~taetia/study/hdenial.html>
§== Livres gratos.
Download these classic David Irving books --
free; nous avions donné cette adresse,
qui semble ne plus fonctionner: <http://www.fpp.co.uk/online/std/dings/weebook.gif>
Essayez voir:
<http://www.fpp.co.uk/books/index.html>
§==Résurrection
de la chag:
- Holocaust and Genocide
Studies, Volume
16, Issue 2, Fall 2002: pp. 189-216: "The Devil in the Details:
The Gas Chambers of Birkenau, October 1941", par Michael
Thad Allen, du Georgia Institute of Technology.
- Résumé:
What were the models for the gas chambers, and when were they
first implemented? Examining technical details of the ventilation
systems of the Birkenau morgues, this article argues that from
the beginning of October 1941 the SS planned Morgue 1 of Crematoria
II and III as a gas chamber for the extermination of human beings.
The precedents were Zyklon-B chambers for delousing clothing,
a technology widely known throughout a network of specialized
firms. Far from pursuing the halting and somewhat inconscient
development of gas chambers in Birkenau heretofore presented
in the historical literature, the SS first took an interest in
Zyklon-B chambers in the summer of 1941, and by early October
the Central Building Directorate of Auschwitz intentionally and
systematically had adapted such equipment to the gassing of human
beings.
Publié par United States Holocaust
Memorial Museum chez Oxford University Press
§==Paillasses
trouées. Le
supplément littéraire du Monde (13 septembre
2002, p. VIII) annonce la tenue d'un colloque antirévisionniste
du lundi 16 au jeudi 19 septembre à la Sorbonne, 17, rue
de la Sorbonne, 75005 PARIS.
Intitulé "L'histoire trouée:
négation et témoignage", il est organisé,
sous l'égide de l'université Paris-IV-Sorbonne,
par le "Centre littérature et savoirs" avec Annette
Wieviorka, Enzo Traverso, Pierre Pachet et Julia Kristeva.
On doit tourner autour de la centaine
de "colloques antirévisionnistes". Les premiers
nous ont amusés, Raymond Aron, ce petit bonhomme, était
hilarant, mais avec le temps, on se lasse. Ces colloques ne servent
strictement à rien, ils ne les publient même plus.
Ils n'osent pas mettre leurs immortelles contributions sur le
net, ce qui nous prive de rigolades après tout bien méritées.
Ce sont des colloques intimes, où on se dit les choses
entre quatre murs. Le vrai sens, la vraie utilité de ces
colloques -- nous pouvons bien cracher le morceau -- c'est pour
figurer sur le CV. Comment faire carrière, comment briguer
une promotion dans l'université si on n'a pas tenu ou organisé
un petit colloque sur le négationnisme? Tous ceux qui n'en
n'ont pas encore organisé se dépêchent car
ils ont la trouille de voir les promotions ou les nominations
leur filer sous le nez. C'est pourquoi on trouve toujours là
des personnes de statut indécis, porteurs d'aptitudes indéfinies,
de fonction secondaire, d'avenir incertain. C'est un monde impitoyable.
Dénoncer les révisionnistes ne suffit plus, il faut
carrément colloquer.
Quant aux gens qui veulent savoir ce que
c'est que le "révisionnisme" ou le "négationnisme",
ils feront la seule chose sensée de nos jours: ils demanderont
aux outils de recherche sur Internet et ils viendront voir chez
nous, directement, ce qui se passe.
Personne n'a jamais pu lire jusqu'au bout
un texte d'Enzo Traverso; ça suinte l'ennui et l'animal
triste. S'il parle, tout le monde roupille. Et la Luguwre ? La
Kristeva, logorrhéique, intarissable pseudofreudienne,
quelle horreur ! C'est des coups à retourner aux camps.
§== Faux et usage
de faux. Un
nouveau site antirévisionniste a pris la curieuse adresse
de <http://www.williscarto.com/>
Il ne semble pas que ce soit un nouveau tour de l'affreux Willis.
Probalement un sioniste qui essaie de s'infiltrer. Pas de quoi
fouetter un chat. D'ailleurs pourquoi fouetterait-on un chat?
On peut lui dire "crotte" à <[email protected]>
Le responsable est: Anthony Long, P.O.Box 327, Rundle Mall, Adelaide,
S.A. 5000, Australie. Il est connu sur place comme un has been
avant d'avoir été.
On se demande s'il n'y a pas une mode
en formation. C'est ainsi qu'on trouve un site <www.david-irving.de>
en Allemagne qui vise à débiner l'historien anglais.
Le propriétaire est un certain Albrecht Kolthoff, Adlerstr.
38, 44137 Dortmund, Allemagne.
§== Tout savoir
? Qui
est le propriétaire de tel ou tel site sur le Net ? Réponse
en un clin d'oeil avec
<http://whois.perl-gratuit.com/>
§==L'Arche des
noeunoeuds. Il
est fort possible que nous n'ayons pas signalé les élucubrations
forcenées de l'Arche, "le mensuel du judaïsme"
à propos du livre de Finkelstein"; ça vaut
son pesant de harissa:
<http://www.col.fr/arche/517art2.htm>
§==Télé. Le Channel 4, télé grande-bretonne,
explique le "Holocaust denial" à ses lecteurs.
On ne peut pas dire qu'ils se cassent la tête.
<http://www.channel4.com/history/microsites/H/holocaust/denial1.htm>
Butz y est représenté par une photo de Zündel.
Tout est à l'avenant.
§==Grands Suisses. Sortie du numéro 17 de Vérité
& Justice, organe national de la résistance antitotalitaire,
case postale 355, CH-1618 Châtel-Saint-Denis, en Suisse.
Sur sa bannière est inscrit: "Quand la vérité
n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie". Ce numéro
expose les projets de "singeries" qui devait tenir la
vedette de l'Expo.02 qui s'est tenue à Bienne et que des
"patriotes" ont singulièrement dégonflés.
Egalement, un long compte rendu du livre de l'avocat italien Edoardo
Longo, déjà signalé ici.
Les publications de Vérité
& Justice se trouvent maintenant sur Internet. Le bulletin
est affiché jusqu'au numéro 15 (avril 2002) et les
autres numéros vont suivre. On trouve aussi des études
comme celle de Jürgen Graf sur le Rapport Bergier ("Le
rapport Bergier, commandité par le Conseil fédéral
en date du 19 décembre 1996, fut publié en décembre
1999 sous le titre La Suisse et les réfugiés
à l'époque du national-socialisme 1."),
sous le titre, "Anatomie d'une falsification de l'histoire".
Voilà du vrai fendant.
<http://abbc.com/suisse>
§== Coup de main. I would appreciate anyone with the time and inclination
who would be willing to read my Holocaust play, THE PRESENCE,
and comment on it. The play will be produced in its present form
at UMASS Dartmouth on November 7, 8, 9. But I am seeking a grant
to produce it in a larger venue and need some directions for rewriting
the script. The play runs 7300 words and is based almost exclusively
on the actual words of the victims, bystanders, Nazis, and Allies,
plus some anti-Jewish writings centuries earlier, plus Biblical
lamentations.<[email protected]>
§== Le bon Oncle
Jo. Stalin's
Secret Pogrom: The Postwar Inquisition of the Jewish Anti-Fascist
Committee, ed. par Joshua Rubenstein
and Vladimir P. Naumov, Yale University Press.
§==Protocoles. On sait que la plupart des historiens qui se
sont penchés sur la question de l'origine des Protocoles
des Sages de Sion la trouvent généralement dans
un opuscule d'un certain Joly, Dialogue aux enfers entre Machiavel
et Montesquieu, publié à Bruxelles en 1864.
Dans un dossier qui cherche à montrer que le Dialogue
et les Protocoles remontent tous deux à un ancêtre
aussi commun que putatif, l'infatigable polygraphe australien
Myers vient de mettre sur le Net une version, partielle et anglaise,
du livre de Joly:
<http://users.cyberone.com.au/myers/joly.zip>
Il donne aussi les opinions des spécialistes
Norman Cohn et Herman Bernstein.
<http://users.cyberone.com.au/myers/cohn.html>
Enfin, il donne ses propres arguments
<http://users.cyberone.com.au/myers/toolkit.html>
Il ignore complètement le nouveau
rallié à la cause sioniste, l'affreux Taguieff,
qui a pondu, entre autres myriades de volumes, un copieux pensum
sur les Protocoles.
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
<http://aaargh-international.org>
<[email protected]>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
| Juin
1997 | Juillet 1997
| Août 1997 | Septembre 1997| | Octobre
1997 | Novembre 1997
| Janvier 1998 | Février
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1999 | Novembre 1999
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2000 I mars 2000 I avril 2000 I mai
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2000 | Septembre 2000
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sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
une utilisation mesurée par le Secrétariat international
de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
est <[email protected]>.
L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
Afficher un texte sur le Web équivaut
à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
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