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N'oubliez pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,

 

Liste des numeros de la nouvelle série,

numéro 18 (mars 2003)...


Le Courrier des Incrédules

 

Conseils de révision


 

Actualités de mars 2003


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Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:


<http://conseilsderevision.tripod.com> où les numéros sont téléchargeables en format pdf.


 

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 Ernst Zündel, l'infatigable lutteur, a été arrêté par les services américains d'immigration et sommairement expulsé des Etats-Unis où il résidait depuis trois ans. Il a été livré aux autorités canadiennes qui pourraient le revendre à l'Allemagne dont il a encore la nationalité. Inutile de dire que les droits de l'homme ou du citoyen n'existent pas, dans ce cas, et dans un nombre grandissant d'autres cas. Le gnome de Mannheim a déjà lancé un mandat d'arrêt. On peut suivre les développement de cette affaire sur:

<http:www.zundelsite.org> et <http://www.ihr.org>

 

 


 Une délégation de l'aaargh a rencontré Edward Limonov, libre, à Moscou, dans les bureaux de Limonka, en 2000. Un large échange de vue, des souvenirs et des amis communs, un même révisionnisme, un même esprit de fronde, ont resserré les liens entre les deux groupes.

Deckert, Rami, Töben, Walendy, Lauck, Leuchter sont sortis de prison. Porter, Rudolf, Graf ont choisi l'exil. Avec Limonov en prison, Zündel en prison, Amaudruz en prison, Plantin devant la porte de la prison, nous redisons notre solidarité avec nos amis entaulés et nous réclamons leur élargissement avec excuses.

 

 

 



 




L'ABSOLUTISME AU POUVOIR

Dans une circulaire citée plus loin, on trouve, sous la plume de Jean-Paul de Gaudemar, Directeur de l'enseignement scolaire au ministère, la stupéfiante phrase suivante:

«Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n'est pas compatible avec les valeurs de la République

Le mal absolu existe: Gaudemar et Deubeliou Bush en tombent d'accord. Nous sommes donc embarqués, sans le savoir, dans le fondamentalisme des sectes protestantes nord-américaines. Et c'est le directeur de l'enseignement scolaire en France qui nous lâche cette colossale ânerie, comme on lâche un pet foireux. Ce n'est pas tout. Les Valeurs de la République s'en mêlent. Les valeurs de la république ont le droit de décider de tout, car tout ce qu'elles rejettent, n'appartenant pas auxdites valeurs, est à considérer comme non-républicain, ou même anti-républicain, ce qui justifie une destruction immédiate, une annihilation entière. C'est comme Saddam cachant ses lance-pierres. On peut avoir recours à la force pour éradiquer les choses incompatibles avec les valeurs républicaines, puisque notre régime politique tire ses plus anciennes racines de la république, justement. Or que nous dit l'interprète des valeurs de la république: que le "relativisme" est "incompatible". Le Littré ne connaît pas ce terme mais le Robert en dit ceci:

 

 

 

D'abord, il faut brûler Kant en vitesse. On ne va quand même pas admettre des auteurs relativistes dans les bibliothèques publiques de la république. Ensuite, il va falloir épurer les esprits et les éventuels propos relativistes qui pourraient maculer les valeurs de la république. Tout individu pris en flagrant délit de comparaison, par exemple, devrait être immédiatement amené au poste. Le ministère de l'éducation nationale pourrait par exemple organiser la remise de diplômes d'absolutisme, qu'il faudrait nécessairement produire pour postuler un emploi dans la fonction publique. On n'exclut pas qu'il faille rouvrir des camps, à Pithiviers ou à Drancy, pour mettre hors d'état de nuire tous ceux qui s'obstineraient dans l'usage de critères relativistes dans des activités où s'imposent les valeurs de la république. Il est bien évident que dans une période où l'insécurité et le terrorisme s'attaquent aux fondements mêmes des valeurs républicaines, l'incompatibilité des relativistes doit amener à leur isolement et puisque Guantanamo est déjà pris, on pourrait peut-être réaménager l'île du Diable.

Nous félicitons Luc Ferry et sa brillante cohorte de défenseurs des valeurs de la république. Il a bien mérité de la Patrie !


NOTRE AMI LIMONOV

 

La première phase du procès de Limonov (examen des chefs d'accusation et plaidoiries des avocats), qui se déroule devant le tribunal de Saratov sur la Volga depuis le 8 juillet 2002, s'est achevée le 10 janvier 2003. Limonov, détenu depuis avril 2001, est accusé, ainsi que cinq autres personnes, de constitution de groupe armé, détention illégale d'armes à feu et préparation d'actes terroristes; Limonov et Sergej Aksionov, directeur du journal Limonka, sont accusés en outre d'incitation publique à la révolution (art. 280 du code pénal: deux à cinq ans de prison); ils encourent au total des peines allant de douze à vingt-trois ans de prison. La défense espère faire abandonner notamment la préparation d'actes terroristes et l'incitation à la révolution, et obtenir des peines de dix ans de prison au plus. Elle affirme que l'accusation n'a pas de preuves.

Pour sa part, Limonov a plaidé non-coupable, affirmant que ses écrits étaient de la littérature et non de la propagande politique et qu'il n'était pas l'auteur d'un article incriminé appelant à la révolution.

Le procès a été marqué par le revirement d'un des co-inculpés, Dmitrij Korjagin, qui a affirmé avoir été témoin de deux négociations de fusils mitrailleurs menées par Sergeij Aksionov, au vu et au su de Limonov. Il affirme, quant à lui, que c'est Korjagin qui a tout fait et que c'est lui aussi qui voulait prendre le pouvoir par la révolution.

Deux cent cinquante personnes sont venues témoigner contre Limonov qui affirme que toutes sont des collaborateurs du FSB (ex-KGB); vingt personnes ont affirmé l'innocence de Limonov.

Le procès reprendra au début de février avec les plaidoiries de l'accusation; le verdict devrait être rendu avant le 17 mars, date à laquelle expire la détention provisoire des accusés.


Gazeta.ru, 10 janvier 2003, 16h50.

<http://www.gazeta.ru/2003/01/10/limonovasdal.shtml>


A Saratov le procureur requiert quatorze ans de prison contre l'écrivain de nationalité française Edouard Limonov. Que fait notre gouvernement ?

 
Une peine de 14 ans de détention a été requise vendredi 31 janvier, contre l'écrivain de nationalité française Edouard Limonov (par ailleurs principal dirigeant du Parti National-Bolchévique Russe), qui comparaissait sous l'accusation de " terrorisme ", " d'appel à coup d'Etat, de tentative de formation de groupes armés illégaux, de préparation au terrorisme, ainsi que de complicité de recel d'armes et d'explosifs ".
Treize ans de prison ont par ailleurs été requis pour le délit "d'appel au coup d'Etat" contre Serge Axionov, le directeur de l'hebdomadaire du PNB Limonka. Des peines de 6 à 7 ans de prison ont été en outre demandées pour "recel d'armes" contre quatre activistes du Parti National-bolchévique jugés avec MM. Limonov et Axionov. Alors que la défense d'Edouard Limonov a prouvé que les accusations étaient sans fondement et avaient été montées de toutes pièces par la police politique russe on peut se demander pourquoi un tel acharnement contre l'écrivain, Mark Ames, un journaliste anglo-saxon vivant à Moscou en donne la raison dans la conclusion d'un récent papier sur ce procès: "Des fascistes parodiques comme Barkashov peuvent lever des milices armées, ils n'en représentent pas pour cela un danger car ce ne sont que des chefs scouts sans la moindre idée politique. Des gens comme Limonov, et les artistes et intellectuels qui le suivent, ne posent pas, eux, un danger en terme de police de la rue, mais en terme de police de la pensée. Eux sont dangereux pour le régime car ils sèment des idées qui peuvent germer et prendre racine. C'est pour cette raison que Limonov est le seul chef extrémiste poursuivi et qu'il risque de passer le restant de sa vie en prison."
Pour défendre Edouard Limonov et pour influer, éventuellement, sur la conclusion de son procès le Réseau Radical [structure qui regroupe les NR, les solidaristes et les radicaux français] invite ses adhérents et sympathisants à intervenir à la fois auprès de l'Ambassade de Russie et du Ministère des affaires étrangères français (compétent en l'espèce puisque Limonov est un ressortissant français).

Adresses utiles :
Ambassade de Russie, 40-50 boulevard Lannes, 75116 Paris.
Tel 01.45.04.05.50. fax 01.45.04.17.65.
e-mail du Ministère des affaires étrangères:
<[email protected]>

Note biographique :
Actuellement âgé de 59 ans, dissident politique à la fin des années soixante, Edouard Limonov à émigré, en 1974, aux Etats-Unis, puis en France. Edité dans de nombreux pays, il est l'auteur d'Autoportrait d'un bandit dans son adolescence, de Cognac Napoléon et de Le poète russe préfère les grands nègres. Il a été journaliste à L'Humanité Dimanche, à L'Idiot International et au Choc du Mois. Il est rentré en Russie après la chute de l'URSS en 1991 et a alors participé au mouvement "rouge-brun" et aux courants les plus radicaux de celui-ci. Il a combattu aux côtés des Serbes bosniaques lors de la guerre en ex-Yougoslavie. Un comité de soutien créé en France a réuni les signatures de nombreuses personnalités, dont celles des écrivains Stéphane Denis, Eric Neuhoff, Françoise Xenakis, Gabriel Matzneff, Alain de Benoist, Bernard Frank, Gilles Perrault, Denis Tillinac etc. Il s'est adressé, en vain, au président russe Vladimir Poutine pour obtenir sa libération.

Service de presse du Réseau Radical, 28-01-03.


LETTRE OUVERTE À LA MAJORITÉ PARLEMENTAIRE


 

 


La majorité parlementaire se doit d'abroger la Loi Gayssot


 
 
Le deux mai 1990 est adoptée la proposition de loi présentée par le député communiste J.-C.Gayssot :
Il est inséré, après l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881, sur la liberté de la presse un article 24 bis ainsi rédigé : "Seront punis (.) ceux qui auront contesté (.) l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité tels qu'ils sont définis par l'article 6 du statut du tribunal militaire international (de Nuremberg) annexé à l'accord de Londres du 8 août 1945".

 

 


Cette proposition de loi est définitivement adoptée le 30 juin 1990 par 308 députés communistes et socialistes contre 265 députés de droite ; Cette loi Gayssot, orgueil du PCF, témoigne de l'incroyable mansuétude de l'opinion envers un parti, qui dans le passé, a toujours fait de la surenchère sur les pires crimes du communisme.
Lors du vote de cette loi, la droite s'était opposée à ce texte avec des arguments qui nous paraissent toujours valables.
Certains, même à gauche, n'avaient pas hésité à qualifier cette loi de liberticide.
Aujourd'hui vous disposez d'une large majorité à l'Assemblée Nationale. Nous vous demandons donc d'abroger cette loi qui bafoue les lois de la démocratie, et qui, selon Jacques Toubon, était un pas vers le délit d'opinion.

M E I -- Pour le Mouvement Ecologiste Rhône Alpes :
Michel Bouguin
Jean Brière
Daniel Martin
Yves Morel
Lundi 13 Janvier 2003


LE PARTAGE DES EAUX

Le 22 janvier dernier, à Lyon, l'éditeur Jean Plantin a été condamné à six mois de prison ferme à l'instigation d'un juge d'application des peines, Christophe Trillou. Son crime, avoir continué à exercer sa profession alors que la justice le lui avait interdit.
Qu'avait-il fait pour mériter une telle sanction (qui avait par ailleurs été accompagnée d'amendes, de dommages-intérêts et de frais de justice) que l'université lyonnaise avait jugée utile de doubler de l'annulation de ses diplômes (maîtrise et Dea) ?
Bien peu de chose à nos yeux. Il avait publié dans une revue dont il avait la responsabilité un article contestant la vérité révélée en matière historique...
Il n'y a pas là de quoi fouetter un chat pensez-vous. Ce serait mal connaître la police de la pensée qui le fit alors condamner puisque «le mensonge historique ne saurait constituer l'expression d'une simple opinion ordinaire», entre autre, à une interdiction professionnelle.
Comme il estimait celle-ci infondée Jean Plantin continua de publier des livres comme si de rien n'était. Les ligues de vertu veillaient, le JAP aussi. La sanction vient de tomber.
Un éditeur sera donc emprisonné. On peut s'imaginer le scandale que cela ferait si Jean Plantin avait été «de gauche» et s'il avait donné dans le politiquement correct.
Or Jean Plantin a choisi le mauvais camp et sa condamnation ne soulève aucun scandale. Bruno Gollnish s'est ému dans un communiqué, le FN -- dans son quotidien en ligne -- a fait de même, le Réseau Radical a assuré, lui aussi dans un communiqué, Jean Plantin de sa solidarité, Serge de Beketch et Rivarol ont apporté leur soutien et c'est tout !
On peut comprendre aisément que la gauche et les libéraux se taisent, mais dans la mouvance nationale le silence n'est rien moins qu'assourdissant !
On attend encore la réaction d'un écrivain national connu qui n'était pas avare d'appels au soutien quand lui-même était poursuivi puis condamné; on attend encore la réaction du MNR dont le chef s'inquiétait, il y a peu, avec une étonnante célérité de la santé d'un rabbin et qui voulait peu de temps après nous mobiliser pour soutenir son épouse injustement poursuivie et condamnée; on attend encore la réaction d'identitaires qui se sentaient obligés, cet été, d'apporter, contre toute logique et contre toute prudence, leur soutien à un schizophrène en phase délirante; on attend encore la réaction de ceux de la plus longue mémoire; on attend encore et on attendra bien longtemps ces témoignages de solidarité, ces communiqués, ses actes d'amitié qui ne viendront pas.
Ils ne viendront pas car le partage des eaux s'est fait, car trop de lectures de Del Valle ou de Faye ont abouti à la situation recherchée...
L'ennemi, le seul, c'est le musulman, c'est lui seul qui nous menace !
Alors oublions tout le reste et faisons ami/ami avec l'ennemi d'hier, ainsi sera-t-on sans doute épargné par ses ligues de vertu, ainsi aura-t-on enfin l'impression d'être (pour une fois ...) du bon côté... celui de Sharon, de Fallaci, de SOS-Racaille, etc.
Alors malheur aux vaincus, malheur à Jean Plantin, malheur à ceux qui osent penser que l'ennemi véritable est toujours le même.
Comment puis-je conclure autrement qu'en citant Châteaubriand: «Il faut être économe de son mépris, il y a tant de nécessiteux».
Oui, il y a réellement « tant de nécessiteux »...

Christian Bouchet, 26 janvier 2003.
 
<http://www.voxnr.com/cogit_content/alaune/Lepartagedeseaux.shtml>



DES NAINS ET DES NIEURS

Très rigolo

3. Nazism and Holocaust Denial

What is Holocaust Denial? Why is it Anti-Semitic?

 
One specific conspiracy theory which receives much play in the contemporary Arab press deserves special mention: Holocaust denial. Here, facts that are universally 10 acknowledged throughout the rest of the world are questioned in the Arab world, and hinge on conspiracies of frightening scope. Holocaust denial -- the claim that approximately six million Jews were not methodically killed, many by poison gas, by the Nazis during World War II -- now regularly occurs throughout the Middle East, in speeches and pronouncements by public figures, in articles and columns by journalists, and in the resolutions of professional organizations. While some voices oppose this denial or deliberate distortion of the historical record, the main tenet of Holocaust denial -- that Jews invented the Holocaust story in an attempt to advance their own interests -- appears to be an increasingly accepted belief for large numbers of people in Arab and Muslim states. Even as many Western countries have enacted legislation identifying Holocaust denial as a form of hate crime, the Middle East is one of the few regions in the world today where governments do not condemn, and sometimes even sponsor, such anti-Semitic propaganda. Though some try to portray the deniers as "revisionists" conducting legitimate inquiry into the historical record, scratching the surface of their theories will demonstrate the anti-Semitic conspiracy theory they are really espousing. To make their claims credible, Holocaust deniers are forced to reject enormous volumes of historical evidence from World War II. In so doing they resort to fantastic conspiracy theories about Jews. Records from the period, including thousands of pages of evidence used immediately after the war in the Nuremberg trials, are dismissed as forged by a secret committee; survivors are rejected as greedy charlatans; American GI's who saw the death apparatus in the camps are told that they were duped by the American military itself, which was corrupted by Jewish concerns and also complicit in the conspiracy. As for a motive (for why would Jews claim that millions of their brethren were killed in WWII?): deniers claim that the Jews wanted to defraud the West of billions of dollars in reparations and other payments; to "purchase" world support for the creation of the state of Israel; to demoralize "Aryans" and the West so that the Jews could more easily take over the world.

Holocaust Denial Takes Root in the Middle East
In the Middle East, in some cases, Holocaust denial is actively sponsored by national governments -- by Iran, for example, which has become a sanctuary for Western Holocaust deniers fleeing legal entanglements in their home countries, and whose leader, Ayatollah Ali Khamenei, suggested in 2001 that the statistics of Jewish deaths during the Holocaust had been exaggerated. The numerous expressions of Holocaust denial that have appeared in Teshreen, Syria's main daily newspaper, which is owned and operated by the ruling Baath party, suggests that the Syrian government also condones the propaganda. The same holds true for the Palestinian Authority, whose newspaper, Al- Hayat Al-Jadeeda, and television station have frequently denied basic facts of the Holocaust in their reporting. In other Middle Eastern countries, however, denying or minimizing the extent of the killing of Jews during World War II has been adopted by opposition parties and dissident factions that oppose attempts at normalizing relations -- legal, diplomatic, economic -- with Israel or the United States. For these factions, Holocaust denial is a tool to discredit their government rivals, who have allegedly been "taken in" by Israeli Holocaust propaganda, and to increase popular hatred of Israel. This is true in Jordan, for example, where anti-normalization organizations sought to hold Holocaust-denial conferences in 2001 but were opposed by the Jordanian government. (Despite government opposition, the strongly anti-Zionist Jordanian Writers' Association was able to hold a conference; see below.) The Lebanese government also opposed the attempts of several foreign organizations to hold a Holocaust-denial conference in Beirut in 2001.

Early Examples
In 1983, in an early public example of denial from an indigenous Middle Eastern source, a Palestinian named Mahmoud Abbas (also known as Abu Mazen) wrote The Other Side: The Secret Relationship between Nazism and the Zionist Movement. In the book, Abbas suggested that the six million figure was "peddled" by the Jews but that in fact "the Jewish victims may number six million or be far fewer, even fewer than one million." In 1995, reports of the book's existence reached the Western press, largely because of the public prominence that Abbas had attained as the chief PLO architect of the Oslo peace accords and cosigner of the 1993 Declaration of Principles in Washington. The California-based Simon Wiesenthal Center publicly called for Abbas to clarify his position on the Holocaust, but no clear statement was forthcoming. In an interview with the Israeli newspaper Ma'ariv, Abbas tried to frame the issue in terms of realpolitik. "When I wrote The Other Side...we were at war with Israel," Abbas said. "Today I would not have made such remarks...Today there is peace and what I write from now on must help advance the peace process." Less equivocally, in the late 1980s a former Moroccan army officer, Ahmed Rami, began publicly to deny the Holocaust and to disseminate anti-Israel propaganda in Sweden. Rami had fled north after being sentenced to death in Morocco for his role in a 1972 coup attempt against King Hassan II. There he eventually founded "Radio Islam," an anti- Semitic program that also featured attacks on accepted Holocaust history. In October 1990, Swedish courts ruled that Rami and "Radio Islam" were guilty of incitement against Jews; Rami received six months in prison and Radio Islam was shut down. Two years later, Rami was a featured speaker at the annual conference of the Institute for Historical Review, the leading Holocaust-denying organization in the United States. He eventually reestablished Radio Islam as an Internet site, but was again prosecuted in Swedish courts on charges of inciting racial hatred, and was convicted and fined in October 2000. Radio Islam continues to maintain its Web presence from servers in the United States; though it no longer makes audio broadcasts, its site features an extensive collection of Holocaust-denial and other anti-Semitic documents. Other attempts to undercut or minimize the history of the Holocaust date back to the early 1990s. According to David Bar-Illan ("The PLO Has Not Softened its Propaganda," The Jerusalem Report, May 31, 1996), for example, the PLO-affiliated Palestinian Red Crescent published an article in the July 1990 issue of its magazine, Balsam, which advanced the now de rigueur claim that Jews concocted "the lie concerning the gas chambers" to gain support for the establishment of Israel. The article also suggested that 12 the Nuremberg trials of Nazi war criminals were set up by "Jews and their friends" for the purpose of establishing the Holocaust as historical fact. Bar-Illan claims that similar articles appeared in the Cyprus-based PLO journal, El Istiqlal.

In Recent Years, a Sharp Increase
Since the mid-1990s, English-language reporting on the Arab-Israeli conflict and peace process has increased dramatically. Several independent organizations [Not independent, but Zionist-financed ] have begun to monitor peace-related developments throughout the region, including the statements, policies, and attitudes of regional governments, politicians and media. The close coverage provided by the Middle East monitoring organizations shows that Holocaust denial is popular in Arab media throughout the Middle East and the Palestinian Authority. This is true even in Egypt and Jordan, the two Arab countries that have taken steps to normalize relations with Israel. Among the newspapers that have consistently featured Holocaust denial are the Jordanian daily, Al Arab Al-Yom, the Syrian daily, Teshreen, the Englishlanguage Iranian Tehran Times, and the Palestinian Authority's Al-Hayat Al-Jadeeda. Several noted religious leaders in the region have also rejected the facts of the Holocaust, including Sheikh Mohammad Mehdi Shamseddin of Lebanon, Sheik Ikrima Sabri of Jerusalem and Iranian religious leader Ayatollah Ali Khamenei. On July 4, 1998, for example, the establishment Jordanian newspaper Al-Arab Al-Yom told its readers that "most research prepared by objective researchers" has "proven in a manner beyond the shadow of a doubt" that the Holocaust is "a great lie and a myth that the Zionist mind spread in order to lead the world astray." Earlier that year (April 27, 1998), the same newspaper had published an article claiming that "there is no proof" that the Holocaust occurred, except for "the conflicting testimonies of a few Jewish 'survivors.'" On July 14, 1998, the Egyptian newspaper, Al-Akbar, stated that regarding the crematoria remaining at Buchenwald and Auschwitz, "even if these crematoria operated day and night, it would take dozens of years to burn six million people and not merely three years." A Lebanese politician, Dr. Issam Naaman wrote in a London-Arab newspaper on April 22, 1998, that "Israel prospers and exists by right of the Holocaust lie and the Israeli government's policy of intentional exaggeration."

Aid and Comfort for Western Deniers
Several Holocaust deniers have turned to the Arab and Islamic world for help when facing prosecution in various countries for illegal activities. Wolfgang Fröhlich, an Austrian engineer who testified on behalf of Swiss denier Jurgen Graf in 1998 about the impossibility of Zyklon-B gas being used for executing humans, sought refuge in Iran in May 2000, claiming that his arrest by Austrian police was imminent. He reportedly still resides in that country. Graf himself, who was convicted of inciting racial hatred by promulgating Holocaust denial in Switzerland in 1998, also resides in Iran, to which he fled rather than face a 15-month jail term. According to the Institute for Historical Review, Graf is presently living in Tehran "as a guest of Iranian scholars." Since his arrival in Iran, Graf has authored an online book entitled Holocaust Revisionism and its Political Consequences. The relationship between either Fröhlich or Graf and the Iranian government is not clear. The best known flare-up of Holocaust denial in the Middle East occurred in response to the trial of Roger Garaudy in France in 1998. Garaudy was charged with violating a 1990 French law that makes it illegal to deny historical events that have been designated as "crimes against humanity," and with inciting racial hatred. [This is completely wrong ] These charges stemmed from his 1995 book, The Founding Myths of Modern Israel (Les mythes fondateurs de la politique israélienne), in which he stated that there was no Nazi program of genocide during World War II, and that Jews essentially fabricated the Holocaust for their financial and political gain. Garaudy was convicted on these charges in 1998. Before, during and after the trial, he was hailed as a hero throughout the countries of the Middle East --the trial was covered by media from Saudi Arabia, Qatar, Egypt, Iran, Syria, Lebanon, Jordan and the Palestinian Authority. Formerly Roman Catholic and Communist, Garaudy had converted to Islam in 1982, and married a Jerusalem-born Palestinian woman, but this alone did not explain the outpouring of support he received; the "revisionist" message of his book -- whose Arabic translation was a best-seller in many of the region's countries -- clearly resonated across the region. The former president of Iran, Ali Akbar Hashemi Rafsanjani, announced in a sermon on Radio Tehran that his personal scholarship on the subject had convinced him that "Hitler had only killed 20,000 Jews and not six million," and added that "Garaudy's crime derives from the doubt he cast on Zionist propaganda."
The main establishment newspaper in Egypt, Al-Ahram, defended Garaudy in a March 14, 1998, article that argued that there is "no trace of the gas chambers" that are supposed to have existed in Germany, and that six million Jews could not have been killed in the Holocaust because "the Jews of Germany numbered less than two million" at the time. Numerous professional and social organizations throughout the region issued statements supporting Garaudy as well, including the Palestinian Journalists' Syndicate, the Palestinian Writers Association, the Jordanian Arab Organization for Human Rights, the Qatar Women's Youth Organization, the Federation of Egyptian Writers and the Union of Arab Artists. Support for Garaudy did not end merely with words. Seven members of the Beirut Bar Association volunteered to defend the writer in France, and Egypt's Arab Lawyers' Union also dispatched a five-man legal team to Paris in Garaudy's support. The United Arab Emirates daily, Al-Haleej, was inundated with contributions and messages of support for Garaudy after it published an appeal on his behalf. The most surprising contribution came from the wife of United Arab Emirates leader Sheikh Zayed ibn Sultan al-Nahayan, who gave the equivalent of $50,000, in cash, to cover the maximum fine that Garaudy would be required to pay if found guilty.

Extrait de: Aryeh Tuchman, (Research Analyst -- The Anti-Defamation League) Islamic Anti-Semitism in Historical Perspective, 19 p.
< http://www.adl.org/anti_semitism/arab/Arab_Anti-Semitism.pdf>


CANADA: ROYAUME DE LA CONNERIE

Un tribunal du Saskatchevan a confirmé le jugment d'une de ces monstrueuses "cours des droits de l'homme" condamnant un quidam à payer des dommages et intérêts à trois homosexuels parce qu'il avait fait paraître dans le journal local quelques extraits de la... Bible. Le tribunal a considéré qu'il s'agissait de messages "de haine". Nous vivons dans un monde qui censure déjà Shakespeare et Voltaire. Maintenant la Bible. Bientôt Mickey et Bambi.


WorldNetDaily, 18 février 2003

<http://www.worldnetdaily.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=31080>



UN RÉVIZO KASHER

At the opening ceremonies of the Holocaust Museum in Washington in 1993, Croatian President Franjo Tudjman was an honored guest. This is remarkable.
Tudjman was a Holocaust denier, a Serbophobe and an apologist for the Croatian clerical fascists known as Ustashas. During World War II, the Ustashas had set up the first Nazi death camp in Europe, called 'Jasenovac'. An Associated Press dispatch commented that Tudjman once wrote: "...the 'main characteristics' of Jews were 'selfishness, craftiness, unreliability, miserliness, underhandedness and secrecy."' The Associated Press also reported that: "...Naomi Paiss, communications director for the [Holocaust] museum, said the State Department recommended that Tudjman, as a democratically elected leader, be given an invitation." (AP, 21/4/93)
So the State Department, apparently in control, used the opening of a Museum commemorating victims of Hitler to whitewash an apologist for Hitler.
No representative of the Serbian people was permitted to take part in the opening. Pres. Clinton and Elie Wiesel both spoke, implicitly comparing the Serbs to Nazis. Clinton threatened war.

C'est ce qui entoure une sorte de publicité pour un livre, d'un certain Ilya Ivanovitch, sur un site <emperorsclothes> qui est disposé à en vendre 30 exemplaires, et qui s'intitule "Witness to Jesenovac", le camp de concentration oustachi, en Croatie, du temps de la dernière guerre mondiale. Le site, qui par ailleurs fait sournoisement la propagande du sionisme tout en défendant le nationalisme serbe et Milosevitch, n'hésite pas à dire que dans ce camp les oustachis ont tué "un million de personnes", de la crétinerie à l'état pur. Voir:

<http://emperors-clothes.com/jasenovac/witness-email.htm>


USURPATION

Il y a des petits rigolos qui s'amusent à poster des trucs pas corrects sur des listes de discussion, dites aussi "newsgroups", en particulier <fr.soc.histoire> et <fr.soc.politique>. Nous, on s'en fout, on n'a jamais rien posté dans les newsgroups, que nous considérons comme des endroits où on perd son temps et où on rencontre toujours les mêmes chiens altérés de vengeance, comme le ridicule Zinzin, qui d'ailleurs apparaît tout de suite dans la suite des messages, dite aussi, à l'anglaise, "thread", le fil. Se farcir Zinzin à tous les tournants, l'horreur. Il est toujours là à vous refiler son site comme un vieil obsédé qui fourgue des photos pornos à la sortie des écoles. On voit qu'il a rien à foutre dans son bureau de la BNF.

Mais ce qui est plus marrant, c'est qu'un type se soit donné comme nom le nôtre: Il se fait appeler A.A.argh à l'adresse

<[email protected]> Inutile de dire que nous ne connaissons pas la personne qui s'affuble de ces oripeaux et qu'elle ne nous représente pas. Mais en même temps, nous trouvons drôle qu'elle reprenne notre nom et notre raison sociale. Cela ne nous fait ni chaud ni froid. Les amateurs iront voir ces échanges qui nous semblent désespérément stériles à

<http://groups.google.com/groups?hl=en&lr=&ie=UTF-8&threadm=53e04ed4.0301281832.2b9d4fa%40posting.google.com&rnum=1&prev=/groups%3Fselm%3D53e04ed4.0301281832.2b9d4fa%2540posting.google.com>

Voir aussi le "fil" La loi Gayssot enfin mise à la question:

<http://groups.google.com/groups?dq=&hl=en&lr=&ie=UTF-8&threadm=3e359da0%240%242554%24afc38c87%40news.easynet.fr&prev=/groups%3Fdq%3D%26num%3D25%26hl%3Den%26lr%3D%26ie%3DUTF-8%26group%3Dfr.soc.histoire%26start%3D25>

Ce A.A. Argh lit de près le site de l'aaargh et se tient au courant de l'actualité. Bon travail.

 

Quelques jours, ou quelques heures après avoir fait cette constatation, on nous signale un nouvel engagement où Zinzin, toujours en embuscade en prend plein la tête. On recopie:

message <http://groups.google.com/groups?selm=53e04ed4.0301291810.5a40758e%40posting.google.com>


From: A.A. Argh ([email protected])
Subject: Re: Rapport Rudolf, Gilles Karmasyn est naif ou malhonnete
View: Complete Thread (4 articles)
Original Format
Newsgroups: fr.soc.histoire, fr.soc.politique
Date: 2003-01-29 18:10:57 PST

Gilles Karmasyn <[email protected]> wrote in message news:
<[email protected]>...

> Germar Rudolf est aujourd'hui réfugié en Espagne
Germar Rudolf vit actuellement aux USA où il a demandé l'asile politique.
> d'où il co-dirige un site web néo-nazi.
Le site dont il s'occupe, situé à http://www.vho.org n'est pas néo-nazi mais révisionniste. Ne soyez pas si obsédé.
> J'ai lu et étudié le "rapport" Rudolf.
Apparemment, si vous l'avez lu, c'était en diagonale, au minimum, comme nous allons le voir. Avant toute chose, veuillez vous reporter à la dernière édition autorisée, datée de 2003 (oui, c'est nouveau), téléchargeable librement, en texte intégral anglais avec photographies en couleurs à http://vho.org/GB/Books/trr/ Cela vous évitera de faire des remarques auxquelles Germar Rudolf a déjà répondu.
> D'un point de vue strictement scientifique, c'est une arnaque totale sur tous les points abordés
> (sauf quand il écrit que l'eau mouille).
Alors il ne devrait pas être trop difficile pour vous de montrer quelques-unes de ces arnaques. Ne négligez pas de donner les références précises des points que vous soulevez, et inutile de reservir le même éternel paquet de liens renvoyant à des articles tout faits sur votre site n'ayant aucun rapport direct avec le sujet, comme vous le faites d'habitude. Votre propagande exterminationniste est lassante, essayez d'être sérieux, pour une fois.
> Rudolf avance nombre d'affirmations pompées directement
> chez les négationnistes, affirmations par ailleurs maintes
> fois réfutées.
Veuillez être plus précis dans vos insinuations, citez donc un ou deux exemples de ces "affirmations pompées chez les révisionnistes maintes fois refutées" pour illustrer votre propos.
> Rudolf présente son rapport comme faisant partie
> d'une expertise judiciaire. Mais il oublie de préciser
> que jamais, il ne fut pas utilisé devant la cour de justice,
> pour laquelle il avait été conçu. Dans cette page, Rudolf
> insiste sur le mot et la notion n'expert. Mais il n'a jamais
> été reconnu comme tel par quiconque. Il n'en avait même
> pas les qualifications requises par un tribunal!
Vous racontez des bétises et vous le savez bien, si vous avez lu le rapport comme vous le prétendez. Les lecteurs du rapport Rudolf se reporteront aux pages 316 à 352 pour ce qui est de l'historique du rapport lui-même. De plus, contrairement à ce que vous prétendez, G. Rudolf cite l'expertise de Cracovie (pages 42 à 44) tout en citant les raisons pour lesquelles elle n'est pas scientifiquement valable. Il cite par ailleurs les autres études, dans le même chapitre. C'est à se demander combien de pages vous lisez avant de déclarer que vous avez tout lu.
> Rudolf écrit:
> « A Birkenau, les ravages faits par une épidémie de
> typhus durant l'été 1942 amenèrent la construction de
> quatre installations de crémation [...] »
> Cette affirmation n'est étayée par aucune donnée historique.
Comme G. Rudolf le précise juste avant, page 53 : "En l'absence d'une meilleure documentation, dans ce qui suit, [...] je me reposerai sur les affirmations de Jean-Claude Pressac, qui ne sont pas disputées, puisque Pressac continue d'être considéré comme _l'expert_ sur les installations d'Auschwitz" Il faudrait accorder vos violons avec votre confrêre Pressac, avant de commencer à refuter ses écrits. Vous tirez sur votre propre ambulance, comme souvent.
> Pour ce qui est de la partie "chimie" du machin, forme,
> fond et "conclusions" en ont été discridités et *réfutés*
> depuis longtemps.
Justement, vous devriez vous mettre à jour, car dans cette édition, Germar Rudolf reprend point par point les soi-disant réfutations derrière lesquelles vous vous abritez, et les démonte les unes après les autres. Dans l'ensemble, ses détracteurs sont ou malhonnêtes ou naïfs, comme vous. Les conclusions, quant à elles, ne changent pas : il est impossible qu'il y ait eu des gazages homicides dans les lieux présentés comme "chambres à gaz d'exécution" à Auschwitz.
Notez bien que c'est le seul point important pour l'auteur du rapport : établir si, oui ou non, des chambres à gaz homicides ou pu être utilisées pour une extermination de masse à Auschwitz. Il n'y a aucune "négation" là-dedans, ni le système concentrationnaire, ni la politique de persécution du régime nazi ne sont niées ou minimisées. Simplement, le peuple allemand est accusé d'un crime odieux, sur lequel aucune véritable enquête n'a eu lieu, comme le rappelle Germar Rudolf dans son introduction. L'enquête menée par les révisionnistes sur ce point montre que l'instrument supposé d'un tel crime, les chambres à gaz homicides, n'ont pas existé. Cela, aucun exterminationniste n'a pu le contredire, et c'est précisément pour cette raison que des lois interdisant la publication de recherches dont les conclusions vont à l'encontre du credo officiel ont été adoptées dans certains pays.
Maintenant, si vous avez réellement quelque chose à dire, vous ne manquerez pas d'aller au préalable prendre connaissance du document que vous prétendez avoir lu. On vous attend avec des références précises, et de préférence par sur une ancienne édition. Rappelons que vous pouvez télécharger ce rapport en version complète, non censurée et récente à http://vho.org/GB/Books/trr/
Bonne lecture.


De :A.A. Argh ([email protected])
Objet :Re: Rapport Rudolf, Gilles Karmasyn falsifie pour se donner raison
View: Complete Thread (2 articles)
Groupes de discussion :fr.soc.histoire, fr.soc.politique
Date :2003-01-30 18:45:51 PST
Gilles Karmasyn <[email protected]> wrote in message news:
<[email protected]>...

> Le sniper négationniste a supprimé tout le pedigree de
> Rudolf de mon article.
La biographie de Germar Rudolf peut être consultée à
http://codoh.com/rudolf/rudolf.html
> On notera aussi qu'il a l'air de s'accrocher à la
> « démonstration » du négationniste Rudolf alors même
> que Rudolf a lui même abandonné toute prétention de
> démonstration « scientifique » des machins négationnistes.
> En effet, notre négationniste au nom vomitif semble
> ignorer que Rudolf a déclaré:
> « La chimie n'est pas la science qui peut prouver ou
> réfuter rigoureusement quelque allégation que ce soit
> sur l'holocauste »
Vous falsifiez, comme d'habitude, en tronquant une citation. La revoici, remise dans son contexte, qui prend un tout autre sens que celui que vous aimeriez tant lui prêter :

"Quand elle était en opération, il n'y avait pas de trous dans le toit de la soi-disant chambre à gaz homicide du Crématoire II de Birkenau. Et il est fort probable qu'il n'y en ait pas eu non plus dans celui du Crématoire III. Mais sans ces trous, pas de gazages se conformant au scenario décrit par les témoins, sans de tels gazages, pas de témoins valables et pas de preuves de l'holocauste. Ou, comme le dit Robert [Faurisson] :
NO HOLES, NO "HOLOCAUST"

De plus, je suis convaincu que la chimie n'est pas la science qui peut prouver ou réfuter _rigoureusement_ [souligné par l'auteur] quelque allégation que ce soit sur l'holocauste. Nous avons quantités de preuves circonstancielles qui, ensemble avec toutes les autres preuves, nous permettent d'arriver à la conclusion que les gazages homicides de masse tels que décrits par les témoins ne peuvent avoir eu lieu. Mais sur l'argumentation chimique aucune certitude absolue ne peut être atteinte."

Cette citation apparaît dans la conclusion de l'article situé à http://www.vho.org/GB/c/GR/Green.html Ainsi, Germar Rudolf explique-t-il bien qu'il ne se repose pas uniquement sur son analyse chimique, mais aussi sur l'ensemble des autres preuves que les révisionnistes ont accumulées. Son rapport présente non seulement l'analyse chimique elle-même, mais aussi un ensemble d'autres considérations, incluant l'analyse des photos aériennes, l'analyse des plans de construction des bâtiments (G. Rudolf a eu accès récemment aux archives de Moscou), et bien d'autres, comme vous pourriez le voir si vous ne refusiez bêtement d'aller le consulter à http://vho.org/GB/Books/trr/ .
> Désolé, mais l'édition papier en Français de février 1997
> contient tout ce qu'il faut. Il y a aussi des photos couleur.
Vous voilà donc dans l'inconfortable position de recracher des critiques faites sur dossier de 1997, auxquelles le rapport de 2003 répond (dans l'intervalle, G. Rudolf a eu accès aux archives de Moscou, entre autres). Vous parlez pour ne rien dire, ou bien vous n'avez tout simplement rien à dire.
> Contexte: à Auschwitz, des êtres humains étaient assassinés
> par gazage à l'acide cyanhydrique (HCN), dégagé par
> « évaporation » du Zyklon B, une préparation imprégnée de HCN.
> L'un des piliers de la « démonstration » de Rudolf c'est que
> le dégagement de l'acide cyanhydrique serait un processus
> très lent. C'est un mensonge contraire à la réalité.
C'est au contraire la triste (pour vous) réalité, les documents techniques de l'époque le prouvent :
http://www.vho.org/VffG/1997/1/Lambrecht1.html Vous trouverez entre autres le graphe que, du haut de votre expertise en chimie dont personne ne doute, vous rejetez dans votre longue pseudo-démonstration. Référence: R. Irmscher, »Nochmals: "Die Einsatzfähigkeit der Blausäure bei tiefen Temperaturen"«, Zeitschrift für hygienische Zoologie und Schädlingsbekämpfung, 1942, 34. Jg., S. 36. Rappelons ici que le Zyklon est un désinfectant, et qu'il faut entre 2 et 4 heures pour que tout le HCN des granules s'évapore, dans des conditions moyennes. La durée totale en utilisation sur le terrain dépend de la température et du taux d'humidité relative dans l'air, et l'estimation de 10% en 10 minutes est plus que généreuse, dans le cas qui nous occupe, comme il est longuement expliqué dans le rapport.
> Rudolf connait bien la faiblesse de sa position. Aussi
> tente-t-il de renforcer la crédibilité de sa courbe en se
> référant à des données de l'époque en prétendant que selon
> les sources d'époque, 50% de l'HCN se dégage en 1/2 heure,
> chiffre dont il suggère qu'il serait en accord avec sa
> courbe. Est-ce exact?
C'est parfaitement exact, comme vous pouvez le constater sur la courbe. Vous ne tenez dans la suite de votre "démonstration" pas compte de la variabilité du taux d'évaporation en fonction de la température (la morgue censée avoir été une chambre à gaz homicide est une cave) et du taux d'humidité relatif dans l'air, qui eut été proche de 100% dans le cas de gazages homicides, et aurait fortement ralenti l'évaporation du Zyklon des granulés. On ne voit pas où vous voulez en venir. Vous semblez réchauffer la vieille critique de Green, à laquelle G. Rudolf répond dans l'édition de 2003 (cf supra et infra). Mais ce n'est pas tout :
> En effet, sa courbe « donne » un dégagement de 50% en 40
> à 45 minutes. Et il ose dire que cela « correspond à peu
> près » à 50% en 30 minutes. C'est presque comme s'il écrivait
> qu'une vitesse de 200 km/h « correspond à peu près » à une
> vitesse de 135 km/h!
Outre le fait que votre moqueuse remarque se contredit elle-même, Germar rudolf ne fait ici que _maximiser_ le taux d'évaporation, pour accroître les "chances" de la thèse exterminationniste. Mais même en mettant les choses au pire, avec le Zyklon qui s'échapperait des granules deux fois plus vite que ne le prévoit la documentation du fabricant, il ne parvient pas à donner raison aux "témoignages". Encore une fois, vous avez tiré sur votre propre ambulance, M. Karmasyn. Par la suite, vous persistez à vouloir critiquer la traduction française de l'édition de 1992, aux critiques de laquelle Rudolf répond dans l'édition de 2003, téléchargeable à http://vho.org/GB/Books/trr/ Votre stock de réfutations pré-mâchées n'est pas à jour, il faudrait penser à le recycler. Vous vous embarquez dans une accusation de fraude, démentie par les documents émanant du fabricant des granules de Zyklon, en l'étayant de calculs boîteux "oubliant" les conditions physico-chimiques qui vous gèneraient, à croire que la fraude, c'est vous qui la commettez. Inutile aussi de perdre du temps à recracher l'argumentation notoirement déficiente de Van Pelt, pendant que vous y ètes,
Germar Rudolf y a déjà répondu à
http://www.vho.org/GB/c/GR/RudolfOnVanPelt.html
Vous trouverez par ailleurs des argumentations très complètes et exhaustives, mettant en scène les exterminationnistes et les révisionnistes, sur les archives du forum du site VHO, à http://www.vho.org/: aucun des arguments des exterminationnistes ne tient la route. Fraudes, falsifications, mensonges, sont du côté du credo officiel des magiques "chambres à gaz".
> Je n'ai écrit nulle part que Rudolf ne citait pas
> « l'expertise de Cracovie ».
Vous jouez sur les mots, vous parliez de celle de Markiewicz, Gubala et Labetz, de l'institut de médecine légale de Cracovie, aussi appelée "expertise de Cracovie" par d'autres personnes que vous, ce que vous n'ignorez point, étant donné l'ampleur de la documentation révisionniste que vous possédez et prétendez avoir lue. Cette expertise a été rejetée très tôt, nous vous renvoyons au message auquel vous répondiez pour les références.
> Il a fait tellement fort que son « travail » n'a *PAS* été
> présenté par Irving au juge devant lequel il faisait appel...
Qu'Irving n'ait pas voulu utiliser le rapport Rudolf lors de son procès est son problème personnel (et a été une grossière erreur), et ne change en rien les conclusions que tout homme libre peut tirer de sa lecture intelligente et approfondie.
On lira avec profit le rapport Rudolf (édition de 2003), à http://vho.org/GB/Books/trr/
Une dernière pour la route. Vous écrivez aussi, entre deux lignes de publicité pour votre site (qui mériterait une bonne mise à jour, pour ne pas dire une révision) : > > le peuple allemand est accusé d'un crime odieux > Le régime nazi et ses complices. Pas « le peuple allemand » Non, M. Karmasyn, c'est bel est bien le peuple allemand tout entier, sur trois, et bientôt quatre générations, qui est condamné à verser des "réparations" au titre de ce crime imaginaire.


In article (Dans l'article)
<53e04ed4.030[email protected]>, [email protected]
(A.A. Argh) wrote (écrivait) :
[...]
Pas le temps ce matin de décortiquer la crotte quotidienne et nocture du négationniste au nom vomitif. On verra ce soir.
Je ne poste pas du Canada, moi.
Le négationniste au nom vomitif trouve un malin plaisir à insulter les gens dans le titre des articles. Pas de surprise.
En attendant et en guise d'antidote:
Documents et volonté et déclaration nazis d'extermination; Voir:
http://www.phdn.org/negation/documents/nazisdoc.html
http://www.phdn.org/negation/documents/volonte.html
http://www.phdn.org/negation/documents/
http://www.phdn.org/histgen/dictionnaire.html


LES MASQUES DE FER

Strasbourg, 28 jan (AFP) - Onze pays membres du Conseil de l'Europe ont signé mardi à Strasbourg un protocole visant à bannir le racisme et la xénophobie sur l'internet.
L'Arménie, la Belgique, l'Estonie, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, le Luxembourg, Malte, les Pays Bas et la Suède ont signé le protocole additionnel à la Convention sur la cybercriminalité, adopté le 7 novembre par le Comité des ministres du Conseil de l'Europe, a annoncé le Conseil de l'Europe dans un communiqué. Ce protocole additionnel vient compléter la Convention internationale contre la cybercriminalité, signée en novembre 2001 et qui constitue le premier instrument juridique contraignant sur l'internet.
Le protocole demande aux Etats de "criminaliser la diffusion de matériel raciste et xénophobe par le biais de systèmes informatiques, les menaces et les insultes à motivation raciste et xénophobe ainsi que la négation, la minimisation grossière, l'approbation ou la justification du génocide ou des crimes contre l'humanité".


<http://fr.news.yahoo.com/030128/1/2zmvk.html> On voit que ces gens-là n'ont jamais lu les déclarations des droits de l'homme qu'ils sont censés avoir signés et qui excluent formellement la manoeuvre évoquée ci-dessus.


L'AFRIQUE L'A-T-ELLE ÉCHAPPÉ BELLE ?

From: frank shapiro <[email protected]>

After introducing my topic regarding the salvation of masses of Jews in Northern Rhodesia, I received a number of comments, which seem to show that people did not really understand the information. Thus I would like to clarify my statement.
13 settlement plans for Jewish settlement in Northern Rhodesia (present day Zambia) were proposed between May 1938 and the outbreak of the Second World War. These plans were drawn up by the British government and the Ango-Jewish leadership and are in no way connected to so-called Nazi plans such as that proposed to transfer Jews to Madagascar. Furthermore, the other side of the Holocaust debate is that the Jews had nowhere to flee to on the eve of World War 2. I refute this claim. Further details can be found in my book Haven in Africa (Gefen Publications, Jerusalem/NY, 2002). Please also view my website:
<http://www.geocities.com/shapiro002/>


Voici ce qu'il y dit de son livre:

A historical investigation of how Northern Rhodesia almost became a safe haven for European Jewry in the 1930s. Buried deep in untouched historical archives and classified government files, lies the unknown story of Northern Rhodesia and Jewish immigration. In the years leading up to World War II, when the West had closed its doors to the Jews, sealing the fate of European Jewry, Northern Rhodesia became a possible option for Jewish refugees. This comprehensive volume explores how this unique country allowed a haven of safety to exist on the one hand, and on the other, failed to fulfil its saving potential. Placed in the context of the political machinations of the time, including the denial of the implementation of Zionism in Palestine. Haven in Africa is another crucial piece in the complex puzzle that constitutes Jewish history.


MICROFLICS

Question au mecqueton chargé de la "sécurité" chez Microchiottes-France:
Et à côté de ces obligations légales?
Nous développons aussi nos relations avec d'autres services, comme la DST et la DGSE notamment, en échangeant des informations sur l'évolution des menaces. Microsoft est sans doute l'entreprise la plus attaquée dans le monde, cela nous donne donc une expérience des dangers que nous essayons de faire partager aux autorités gouvernementales.
Bernard Ourghanlian, CTO de Microsoft France: «L'état actuel des logiciels ne permet pas une sécurisation absolue»
Par Thierry Noisette, ZDNet France, 15 janvier 2003
<http://techupdate.zdnet.fr/story/0,,t381-s2128336-p2,00.html>


EMBROUILLE A NEW YORK

Le site en langue italienne <http://www.revisionismo.com> a disparu des écrans, ce qui a fait frétiller les tifosi de <olokaustos>.

Il apparaît que ce site était géré à New York par un certain Michael (ou Michele) Santamauro, qui possède aussi le site

<http://RePortersNoteBook.com> qui parle de la Palestine. Mais il tire l'essentiel de ses revenus d'un site qui permet de trouver ce que les Français appellent des "cothurnes" et les Angliches des "roommates", quelqu'un, qu'on ne connaît pas, avec qui partager un logement et les frais du logement. Le site

<http://www.roommatefinders.com/> permet de trouver la personne idoine. Santomauro a pensé qu'il pouvait mélanger un peu les genres et a envoyé des mails révisionnistes à ses clients immobiliers. Ce qui devait ariver arriva: il a été dénoncé dans un articulet du New YorkTimes le 13 janvier (extrait)


Roommate Service Clients Report E-Mail Barrage of Holocaust Revisionism

By David F. Gallagher

 
Users of a well-known roommate-matching service in Manhattan say that after signing up with the service they began receiving e-mail messages from a Holocaust-revisionist Web site run by the service's founder.
Michael Santomauro, who started the Roommate Finders service in 1979, also runs a Web site called RePortersNoteBook.com that is critical of Jews and Israel, with headlines like "How Kosher Is the Holocaust Story?" Several users of Roommate Finders said similar material began landing in their electronic mailboxes soon after they gave their addresses to the service.
The e-mail messages were mostly articles taken from Web sites, including material from mainstream news outlets and sites that question historical accounts of the Holocaust. One message discussed the role of Jews in prostitution in the last century, while another concluded, "The Hitler 'gas chambers' never existed." At the bottom of the messages were offers of related books in exchange for a donation, along with Mr. Santomauro's name and a link to his site. Mr. Santomauro denied that he had knowingly added users' e-mail addresses to his RePortersNoteBook .com mailing list, which he said had more than 140,000 people on it.
"The bulk of my client base happens to be Jewish," he said, "and I'm sensitive to that." He said he bought addresses from mailing list brokers and sold his customers' addresses to others. "When I'm compiling or buying lists, there may be names that are overlapping," he said. The Roommate Finders Web site, at roommatefinders.com, says nothing about how the e-mail addresses will be used, only that personal information may be shared with prospective roommates.
Mr. Santomauro said he saw nothing wrong with sending such material to people who had not requested it as long as he gave them the option of removing themselves from the list. [...]
Mr. Santomauro said he was "an amateur Holocaust revisionist" who believes that the number of Jews killed by the Nazis has been overstated. [...]
<http://www.nytimes.com/2003/01/20/nyregion/20ROOM.html>

On ne s'étonnera donc pas de la fermeture du site en langue italienne (l'un des deux existants, sans compter l'aaargh) et on ignore s'il reviendra en ligne après ce coup de tabac.

Michael SantoMauro à New York <[email protected]>


PILONNAGE

Si on veut voir le pilonnage des esprits en Italie, qu'on se reporte au programe donné pour la seule journée du 27 janvier, jour de la "Mémoire", dans une seule province, celle de Varese. C'est hallucinant, et encore bien pire qu'en France:

<http://www.vareseonline.com/>


UNE FOLLE JOURNÉE

Journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité
NOR : MENE0202836N, RLR : 554-9, NOTE DE SERVICE N·2002-272 DU 10-12-2002, MEN, DESCO A9
Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie; aux inspectrices et inspecteurs d'académie, directrices et directeurs des services départementaux de l'éducation nationale.
Lors de la 20ème session, en octobre 2000, de la conférence des ministres européens de l'éducation à Cracovie, en Pologne, à la demande du secrétaire général du Conseil de l'Europe, l'engagement avait été pris de créer une "journée de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité" dans chacun des États membres à partir de 2003. Cet engagement a été concrétisé par les ministres européens de l'éducation réunis à Strasbourg le 18 octobre 2002, au Conseil de l'Europe, à l'invitation des autorités françaises dans le cadre de la présidence française du groupe d'action international pour la mémoire de la Shoah, qui ont adopté à l'unanimité la Déclaration instituant cette journée de la mémoire dans les établissements scolaires des États membres.
La France a retenu la date du 27 janvier, anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, pour cette journée de la mémoire.
Selon les termes de la conférence de Cracovie: "Cette journée n'a pas pour but de perpétuer la mémoire de l'horreur mais d'apprendre aux élèves à être vigilants, à défendre les valeurs démocratiques et à combattre l'intolérance".
Chaque année, à cette date anniversaire, les directrices et directeurs d'école ainsi que les chefs d'établissement inciteront les enseignants à engager une réflexion avec leurs élèves sur l'Holocauste et les génocides reconnus. [Les génocides non-reconnus sont priés de quitter la salle ] Celle-ci s'effectuera en liaison avec les programmes scolaires à l'école, au collège et au lycée. Dans les collèges et les lycées, l'objet de cette journée pourra donner lieu à un travail interdisciplinaire entre, par exemple, les professeurs d'histoire, de lettres, d'enseignement artistique, de philosophie.
Cette journée de la mémoire devra faire prendre conscience que le mal absolu existe et que le relativisme n'est pas compatible avec les valeurs de la République. [ Voici un TRÈS grande nouvelle. Voir notre commentaire, plus haut ] En même temps, il faut montrer que l'horreur s'inscrit dans une histoire qu'il convient d'approcher avec méthode, sans dérive ni erreur. Ainsi appartient-il à notre institution de faire réfléchir les élèves à l'Europe du XXème siècle, avec ses guerres et ses tragédies, mais aussi à ses tentatives de synthèse autour des valeurs des droits de l'homme et à sa marche vers l'unité.
 
Pour le ministre de la jeunesse, de l'éducation nationale et de la recherche et par délégation, Le directeur de l'enseignement scolaire
Jean-Paul de GAUDEMAR


<http://www.education.gouv.fr/botexte/bo021219/MENE0202836N.htm>


BONNEFEMMISME

Hello: I have a student in my Holocaust class who is interested in women and the Warsaw ghetto, and is curious as to if any women took part in the actual uprising itself. I am grateful to anyone who has a lead on information, books, etc., that I could look at for her. Wendy Maier (respond to me at [email protected] - thanks!)


RÉVISER HALABJA

Il y a longtemps que sous la plume de Serge Thion un certain révisionnisme français avait fait la critique de l'histoire, mille fois colportée par la suite, de Halabja. Dans le New York Times du 31 janvier 2003 vient de paraître un article si important de Stephen C. Pelletiere que nous ne résistons pas à la tentation de le faire circuler au travers d'une traduction expresse:


Crime de guerre ou fait de guerre?
par Stephen C. Pelletiere

 
Mechanicsburg, Pennsylvanie. -- Il n'est pas étonnant que devant l'absence de preuves tangibles concernant le programme d'armement de l'Irak le président Bush ait profité de son discours sur l'état de l'Union pour insister à nouveau sur les raisons morales d'envahir le pays: "Le dictateur, qui rassemble les armes les plus dangereuses du monde, les a déjà utilisées sur des villages entiers, provoquant la mort de milliers de ses propres concitoyens ou les laissant aveugles ou défigurés."
Accuser l'Irak d'avoir utilisé des armes chimiques contre ses propres citoyens fait partie des thèmes habituels du débat. La preuve la plus fréquemment apportée concerne le gazage de Kurdes irakiens dans la ville de Halabja en mars 1988, vers la fin de la guerre Iran-Irak qui dura huit ans. Le président Bush en personne a présenté le "gazage de ses propres habitants" par l'Irak, à Halabja justement, comme une raison de renverser Saddam Hussein.
Mais la vérité est que la seule chose dont on soit sûr c'est que des Kurdes ont été bombardés de gaz ce jour-là à Halabja. Personne ne peut dire avec certitude que ce sont des armes chimiques irakiennes qui ont tué les Kurdes. La déformation des faits concernant l'affaire Halabja ne s'arrête pas là.
Je suis bien placé pour le savoir puisque, en tant qu'analyste politique de la CIA durant la guerre Iran/Irak, et en tant que professeur de l'école de guerre de 1988 à 2000, j'avais accès à une grande partie des documents classés secrets à Washington traitant du golfe Persique. De plus, j'ai dirigé en 1991 une enquête militaire chargée d'étudier comment les Irakiens se comporteraient en cas de guerre contre les Etats-Unis; la version classée secrète de ce compte rendu fournissait d'amples détails sur l'affaire Halabja.
Tout ce que nous savons avec certitude de ces gazages d'Halabja, c'est ceci: ils se sont produits lors d'une bataille qui opposait Irakiens et Iraniens. L'Irak utilisait des armes chimiques pour essayer de tuer des Iraniens qui s'étaient emparés de la ville, qui se trouve au nord de l'Irak près de la frontière iranienne. Les civils kurdes qui sont morts ont eu la malchance de se trouver là au moment de cet échange. Mais ils n'avaient pas été visés principalement par l'Irak.
Et l'histoire devient encore plus trouble: tout de suite après la bataille, le Service de renseignement de la Défense a réalisé une enquête et établi un compte rendu, classé secret, qu'il faisait circuler au sein des services secrets lorsque cela était indispensable. Cette étude concluait que c'était du gaz iranien qui avait tué les Kurdes, et non du gaz irakien.
Le Service en question reconnaissait bien que des deux côtés les assaillants avaient fait usage de gaz au cours de la bataille d'Halabja. Toutefois, les conditions dans lesquelles se trouvaient les corps des Kurdes gazés indiquaient qu'ils avaient été tués par un gaz agissant sur le sang -- c'est-à-dire à base de cyanure - que l'on savait employé alors par l'Iran. Les Irakiens, censés avoir utilisé du gaz moutarde lors de cette bataille, ne possédaient pas à l'époque, pense-t-on, de tels gaz.
Tous ces faits sont depuis longtemps dans le domaine public mais, et c'est extraordinaire, ils sont rarement mentionnés lorsqu'on évoque l'affaire Halabja. Un article du New Yorker dont on a beaucoup entendu parler, en mars dernier, a passé sous silence ce rapport du Service de renseignement de la Défense et n'a pas même envisagé que les Iraniens aient pu être les responsables de la mort des Kurdes. Si par hasard il arrive qu'on mentionne ce rapport, on laisse entendre, sans la moindre preuve, qu'il a été trafiqué par les Américains pour favoriser les Irakiens par rapport aux Iraniens.
Je ne cherche pas à réhabiliter la personne de Saddam Hussein. Il a beaucoup à répondre en matière de violation des droits de l'homme. Mais il n'est pas juste de l'accuser d'avoir génocidé ses propres citoyens par gazage à Halabja parce que, pour autant que l'on sache, toutes les fois que du gaz a été utilisé il l'a été dans le cadre d'une bataille. Cela fait partie des drames de la guerre. Il se peut qu'il y existe de bonnes raisons pour envahir l'Irak, mais Halabja n'en est pas une.
En réalité, ceux qui estiment que le désastre de Halabja doit servir de prétexte aujourd'hui pourraient peut-être se poser une autre question: Pourquoi l'Iran tenait-il tant à s'emparer de la ville? En y regardant de plus près, on comprendra peut-être mieux la raison pour laquelle l'Amérique a tant besoin d'envahir l'Irak.
On ne cesse de nous rappeler que l'Irak possède probablement les plus grandes réserves de pétrole du monde. Mais, dans une perspective régionale et peut-être même géopolitique, il est probablement encore plus important de savoir que l'Irak possède le plus grand réseau fluvial du Moyen-Orient. Outre le Tigre et l'Euphrate, il y a, dans le nord du pays, le Grand Zab et le Petit Zab. Dès le VIe siècle l'Irak était couvert de chantiers d'irrigation et servait de grenier à blé pour toute la région.
Avant la Guerre du Golfe, l'Irak avait construit un système impressionnant de barrages et de projets de contrôle des eaux, dont le plus grand était le barrage de Darbandikhan dans la zone kurde. Et c'est de ce barrage que voulaient s'emparer les Iraniens lorsqu'ils ont pris Halabja. Dans les années 1990, on a beaucoup parlé de construire un pipeline, dit Le Pipeline de la Paix, qui amènerait les eaux du Tigre et de l'Euphrate vers le sud, dans les Etats complètement desséchés du Golfe et, par extension, vers l'Israël. Les choses n'ont pas avancé sur ce point, en grande partie en raison de l'intransigeance des Irakiens. Si l'Irak se retrouve entre les mains des Américains, évidemment tout cela pourrait changer.
L'Amérique pourrait ainsi changer la destinée du Moyen-Orient d'une manière probablement irréversible au moins pendant des dizaines d'années -- en prenant le contrôle non seulement du pétrole irakien mais de la distribution des eaux. Même si l'Amérique ne devait pas occuper le pays, une fois que le parti Baas de M. Hussein sera chassé du pouvoir un grand nombre d'opportunités s'ouvriront aux sociétés américaines.
Tout ce dont on a besoin pour s'engager dans une guerre c'est d'un motif évident pour agir, un motif qui persuaderait tout le monde. Mais les tentatives qui sont faites pour lier directement les Irakiens à Osama Ben Laden se sont révélées peu probantes. Les affirmations selon lesquelles l'Irak est une menace pour ses voisins n'ont pas emporté les suffrages; dans l'état d'affaiblissement où se trouve le pays -- grâce aux sanctions imposées par les Nations unies -- les forces conventionnelles de l'Irak ne sont une menace pour personne.
L'argument qui reste, et qui est peut-être le plus percutant pour nous amener à faire la guerre est que Saddam Hussein a commis des atrocités contraires aux droits de l'homme. Et le cas le plus spectaculaire ce sont les accusations concernant Halabja.
Avant que nous entrions en guerre à cause d'Halabja, l'administration doit au peuple américain toute la vérité sur cette affaire. Et si elle possède d'autres exemples de cas où Saddam Hussein aurait gazé des Kurdes, il faut qu'elle nous montre qu'il ne s'agissait pas de guérillas de kurdes pro-iraniens ayant trouvé la mort en se battant aux côtés des gardes révolutionnaires iraniens. Tant que Washington ne nous aura pas fourni la preuve de ces atrocités supposées de Saddam Hussein, pourquoi s'en prendre à l'Irak sous un prétexte humanitaire, surtout quand il existe tant d'autres régimes répressifs que Washington soutient?

Stephen C. Pelletiere est l'auteur de Iraq and the International Oil System: Why America Went to War in the Persian Gulf (L'Irak et le Système pétrolier international. Pourquoi l'Amérique a fait la guerre dans le golfe Persique).


GENET EN TRAVERS DE LA GORGE


Genet, antisémite halluciné ?


 
L'auteur de Pompes funèbres a décliné son soutien à la cause palestinienne avec une dialectique sur la "radicalité du mal", explique Eric Marty dans Les Temps modernes.
Publié en tête du dernier numéro des Temps modernes, précédé d'un avertissement de [cet imbécile de] Claude Lanzmann, "Jean Genet à Chatila" fera grincer bien des dents. Cette longue étude sur le sens de l'engagement politique de l'écrivain en faveur de la cause palestinienne constitue un des chapitres du livre qu'Eric Marty, universitaire, spécialiste et éditeur de Gide et de Barthes, fera paraître en avril chez Gallimard sous le titre Bref séjour à Jérusalem.
Il serait cependant injuste et dommageable de ranger d'emblée cet essai sous la rubrique simplificatrice de la polémique, même si l'argumentation de l'auteur est parfois vivement exprimée. Car, au-delà des discussions qu'il peut susciter, ce texte doit être lu avec rigueur, comme il a été manifestement écrit. C'est seulement à partir d'une telle lecture que l'on pourra valablement débattre des graves enjeux, pas seulement littéraires, que Marty met au jour.
Au départ, cette affirmation de Jean-Paul Sartre, tirée d'une note de son Saint Genet comédien et martyr, dont l'analyste va analyser en détail la validité et les implications: "Genet est un antisémite. Ou plutôt il joue à l'être." C'est sur le premier élément de l'assertion qu'il va s'arrêter, le second n'étant à ses yeux qu'une manière, pour Sartre, de "diluer" son "intuition puissante et première". Pour sa démonstration, Marty a d'abord besoin de se débarrasser de l'"enfantillage" et de l'"illusion" ordinaires qui consistent à exonérer ou à "excuser", au motif, par exemple, de son génie ou de son talent, un artiste de la responsabilité morale et politique commune.
"L'univers imaginaire de Genet est archétypal, c'est-à-dire abstrait", écrit Marty. Ce que personne ne songe à contester lorsqu'il s'agit, par exemple, de Pompes funèbres, roman écrit pendant et juste après la seconde guerre et qui déploie, avec un faste plus gênant que troublant, toute la mythologie homosexuelle du nazisme, il faut aussi l'appliquer aux prises de position, en apparence plus raisonnablement politiques, du dernier Genet, qui a pris fait et cause pour les Palestiniens. Au travers de ce que l'auteur nomme une "angoisse à l'égard du Bien", au travers aussi de la "métaphysique de Sodome" et de la figure de Caïn, qui synthétise celle du traître (centrale dans l'univers de Genet), une conception tragique et mortelle du monde se dessine. Genet n'expliquait-il pas à Sartre sa "théorie" de la "pédérastie" comme "refus de continuer le monde" ?
A la lumière d'une "perpétuelle hallucination", une "logique du raccordement" va se mettre en place à l'intérieur de cette métaphysique, qui n'est pas soumise, souligne Marty, "aux lois d'analogie, d'identification idéologique, d'association, propres aux discours de la rationalité idéologique". La figure du juif, absente de Pompes funèbres, va dès lors prendre toute sa signification, et l'antisémitisme de Genet se déployer selon ses lois propres, totalement différentes des vulgates en usage: "Ce n'est qu'avec l'engagement palestinien que l'univers juif va être thématisé dans son oeuvre et qu'alors la figure hitlérienne resurgira dans sa face spécifiquement antisémite." Le même Jean Genet qui avait exalté (dans Pompes funèbres) le "carnage d'Oradour" devient le témoin de Chatila. Involontaire peut-être, une "symétrie", selon l'auteur, s'établit entre les deux événements; dans le second, la "place du Bien" se trouve inversée.

Sabra et Chatila
Il est impossible de détailler ici l'argumentation serrée et informée d'Eric Marty. D'une métaphysique tragique, Genet va passer à une "politique tragique" et continuer sa dialectique appuyée sur la "radicalité du mal". Dans cette perspective, ce n'est évidemment pas la revendication territoriale des Palestiniens qui le retient et en fait l'allié des "tiers-mondistes pro-palestiniens". "Eternelle, incréée", la révolte de ces derniers donne lieu à une "cérémonie sacrée et personnelle constituant donc l'envers de la situation historico-politique". Dans ce cérémonial, Israël endosse la défroque du bouc émissaire. Et l'auteur du Captif amoureux peut écrire, comme halluciné: "Si elle ne se fût battue contre le peuple qui me paraissait le plus ténébreux, celui dont l'origine se voulait à l'Origine, qui proclamait avoir été et vouloir demeurer l'Origine, le peuple qui se désignait Nuit des Temps, la révolution palestinienne m'eût-elle avec tant de force attiré ?"
Analysant enfin la place de "l'événement Sabra et Chatila", Marty montre la fortune de ce qu'il nomme la "gnose morbide" de Genet. Ce n'est pas le passage qui prêtera le moins à discussion...

Patrick Qu'est si chiant
Le Monde, 31 janvier 2003


N· 622 des Temps Modernes (décembre 2002-janvier 2003).

On voit tout de suite le jargon pesant de l'apprenti-philosophe qui en bouche un coin au vieux routier Qu'est si chiant. Mais il ne s'étendra pas du tout sur le fait que Genet était révisionniste, que les notes révisionnistes ont été expurgées par les petits salonnards-salopards palestiniens qui font à Paris la Revue d'Etudes palestiniennes où est paru d'abord le texte de Genet sur Sabra et Chatila. Avalant les coquecigrues de Sartre comme du petit lait, l'infortuné Marty se trouve pris dans les sables mouvants du sartrisme et au bout d'un moment, il disparaît corps et biens.

L'enjeu, et Lanzmann le dit bien dans son style de maquignon, c'est d'effacer le stigmate brûlant que Genet a apposé sur les responsables israéliens de Sabra et Chatila. Lanzmann est un "négationniste" de Sabra et Chatila qui n'est, à ses yeux comme aux yeux des responsables israéliens, qu'un petit massacre perpétré par des milices chrétiennes. Ils viennent d'ailleurs de faire assassiner Samir Geagea, chef de ses milices, qui avait manifesté l'intention d'ouvrir sa gueule. On verra s'ils pourront tenir cette position quand ils seront devant le tribunal de Bruxelles. Inch'Allah.


Patrick Qu'est si chiant, qu'est toujours à occuper la fonction de "nouille idolâtre" au Monde des Livres, sous la férule sado de la Savigneau. Sur la Savigneau, titulaire de la Laisse d'or, en particulier, et sur les gens du Monde en général, voir les perspicaces observations de nos confrères marseillais au titre énigmatique de Pour Lire Pas Lu,

<http://www.homme-moderne.org/plpl/l0303/index.html> C'est réjouissant en diable. Voyez ce communiqué de l'internationale sardonique, car Le Monde, attaqué, répond en laissant filtrer de sourdes accusations d'antisémitisme...

<http://www.homme-moderne.org/plpl/l0303/com0226.html>


TOTAL POLICE II


New Monitoring Law Concerns Librarians.

By David B. Caruso, Associated Press Writer, January 25, 2003.

 
Philadelphia -- A federal law aimed at catching terrorists has raised the hackles of many of the nation's librarians, who say it goes too far by allowing law enforcement agencies to watch what some people are reading.
The USA Patriot Act, passed after the Sept. 11 attacks, gave the FBI new powers to investigate terrorism, including the ability to look at library records and computer hard drives to see what books patrons have checked out, what Web pages they've visited, and where they've sent e-mails. The Department of Justice says the new powers are needed to identify terrorist cells.
But some librarians, who were meeting in Philadelphia for an American Library Association convention, worry that the FBI has returned to routinely checking on the reading habits of intellectuals, civil rights leaders and other Americans. Those tactics, common in the 1950s and 1960s, were occasionally used to brand people as Communists. [...]

<http://www.newsday.com/technology/business/wire/sns-ap-monitoring-libraries0125jan25.story>


RAFAROSPINUS BIFRONS


A qui profite le crime contre la liberté d'expression sur le Net ?

par Martin Jouanneau

 
L'histoire de la censure sur l'Internet français est longue: la condamnation puis la fermeture de l'hébergeur <Altern.org>, la "défaite de l'Internet", qui fit place à la deuxième édition de "la fête de l'Internet", les amendements Bloche et leur retrait par l'intervention avisée du conseil constitutionnel.
Jusqu'à récemment, la situation paraissait apaisée, satisfaisante à tous les acteurs. Internet restait un média comme un autre, nécessitant une décision de justice pour être légitimement "censuré". Quelque soit le motif de la "censure" (diffamation, incitation à la haine, non-respect du droit d'auteur, etc.), un juge devait se prononcer pour qu'un hébergeur soit obligé de retirer de ses serveurs le contenu "jugé" illicite. Depuis une affaire récente au sujet des contributions sur les forums (où furent condamnés les hébergeurs de forum en lieu et place des auteurs de propos diffamatoires qui y étaient tenus), on attendait du gouvernement qu'il corrige légèrement le tir législatif, en reconnaissant la qualité de "fournisseurs d'hébergement" aux personnes qui abritent des forums sur Internet. Or, c'est tout le contraire qui arrive aujourd'hui.
Comme nous l'avons déjà signalé à l'occasion du discours inaugural du plan ReSo 2007 de Jean-Pierre Raffarin devant l'European Business Group*, le texte du gouvernement, validé la semaine dernière par le conseil des ministres, remet en cause les acquis protégeant aujourd'hui les fournisseurs d'hébergement. On peut notamment lire dans le projet de loi que :

 
"Les [hébergeurs] ne peuvent voir leur responsabilité civile engagée (...) que si, dès le moment où elles ont eu la connaissance effective du caractère illicite [des informations ou activités qu'ils hébergent], ou de faits et circonstances faisant apparaître ce caractère illicite, elles n'ont pas agi avec promptitude pour retirer ces données ou rendre l'accès à celles-ci impossible."

Dans le flou entretenu par ces "faits et circonstances", on comprend, en clair, que l'intermédiaire d'un juge n'est plus nécessaire pour qu'un contenu soit censuré. Point nettement précisé par l'actuelle loi en vigueur. Il suffirait qu'un tiers porte le contenu litigieux à la connaissance de l'hébergeur pour que la responsabilité de ce dernier soit engagée. L'hébergeur aura donc plus facilement tendance à censurer lui-même, dès qu'il est "averti". Ce point litigieux est maintenant l'objet d'une mobilisation de nombreuses associations du réseau.
Regroupées au sein de la ligue Odébi, ces associations n'ont pas de mots assez forts pour montrer leur amertume: "Devant l'absence de prise en compte des voix exprimées par "l'e-France d'en bas" pour la sauvegarde de sa liberté d'expression, la Ligue des associations haut-débit a décidé de lancer une action massive contre ce texte liberticide", affirme ce groupe. Les actions concrètes n'ont pas tardé à suivre. Un formulaire est désormais disponible sur le site de l'association. Il permet d'écrire son indignation au Premier ministre et au président de la République. Par ailleurs, un nouvelle opération "0 forum" vient d'être lancée. Odebi posent notamment quelques questions qui méritent réflexion: "Pourquoi modifier une loi qui satisfait tout le monde? Quel est le groupe de pression qui a influencé Bercy alors que les acteurs du net français ont exprimé leur désaccord quant à l'avant-projet de loi qui leur a été présenté ?"

Les "ayants droits" en question
Selon Pascal Cohet, responsable de la Fédération informatique et liberté (Fil), il faut dénoncer cette "justice privée" que met en place le gouvernement. De plus, "ce texte n'est pas adapté au réseau d'aujourd'hui, du PHP, des Blog et autres forums. Il est issu d'une directive vieille de deux ans. Il est de toutes façons inapplicable par les fournisseurs d'hébergement actuels". Sans vouloir en dire plus, il dénonce: "Il n'y a aujourd'hui qu'un seul groupe d'acteurs du réseau qui a intérêt à ce que le texte change". Et de conclure: "Sur ces questions de responsabilités, la loi précédente était déjà conforme à la directive européenne." Alors pourquoi, ou plutôt pour qui la changer ?
Comme pour apporter un début de réponse, Arnaud Lucaussy, conseiller de Nicole Fontaine, prend un exemple bien révélateur dans le but de nous expliquer le texte présenté par sa ministre de l'Industrie. "Imaginez par exemple quelqu'un qui trouve sa musique sur un site Internet. Il pourra dorénavant prévenir l'hébergeur." Selon Arnaud Lucaussy, "il revient à l'hébergeur de prévenir l'auteur d'un contenu déclaré illicite, et de lui demander la preuve qu'il dispose bien des droits de diffusion".
Quand nous l'avons interrogé à la fin de l'année 2002, Jean-Christophe Le Toquin, porte-parole de l'Association des fournisseurs d'accès (Afa), reconnaissait effectivement que son lobby ne pouvait pas rivaliser avec d'autres "beaucoup mieux implantés au gouvernement et à l'assemblée", notamment celui des industries audio-visuelles. Pour lui, le texte vise expressément à satisfaire les "ayants droits". En clair, les droits d'auteurs sont une priorité par rapport à la liberté d'expression.
En quelque sorte, l'exécutif avoue là qu'en dehors des cybermarchands, sa "connaissance" du réseau se limite aux pirates, ce que ne contestera pas le législateur. Cela dit, l'Afa reste confiante. Elle considère que les fournisseurs d'accès, qui sont aussi souvent fournisseurs d'hébergements, n'auront pas à faire eux-mêmes la police. "Le Premier ministre a montré son attachement aux valeurs républicaines et c'est dans ce sens où nous sommes confiants. Nous attendrons que la Justice de la République fasse son office avant de censurer quoi que ce soit."
C'est là une interprétation courageuse mais aussi naïve de la future loi. En effet, la justice de la République, en appliquant les textes à la lettres, pourrait non seulement obliger la censure, mais également condamner les hébergeurs pour ne pas avoir "agi promptement", dès connaissance du contenu à caractère illicite.
Au Forum des droits de l'Internet (FDI), on rappelle que la directive européenne est encore plus dangereuse pour les fournisseurs d'hébergement. Lionel Thoumyre, expert juridique au FDI, se dit "satisfait de la philosophie générale du texte. Officiellement, le FDI "constate quelques zones d'ombres qu'il convient de clarifier" notamment sur les "modes d'acquisition par les hébergeurs de connaissance de faits à caractère illicite", c'est-à-dire sur les modalités de dénonciation de contenus illicites. Tel qu'il est rédigé aujourd'hui, le projet de loi ne précise pas qui pourrait demander à un hébergeur de supprimer du contenu, ni de quelle manière. Une procédure doit-elle être précisée ? Cette dénonciation doit-elle être le point de départ automatique d'une action en justice ? La notion de procédure abusive ne devrait-elle pas être précisée au plaignant ?
Toutes ces questions sans réponse font que ce texte est manifestement dangereux, en l'état. On a d'autant plus de raisons d'être inquiet si on ajoute à cela que sa conception n'a manifestement pas tiré parti des avis de tous les acteurs, mais seulement des intérêts d'un petit groupe d'industriels sans complexe. Comme cette loi doit être adoptée par le parlement d'ici la fin février, la mobilisation des internautes qui tiennent à leur liberté d'expression doit être forte et rapide.

Internet Actu 23/1/2003,
* "Le Net français raffariné"
<http://www.internetactu.com/raffarin.html>
La proposition de Loi sur l'économie numérique (LEN):
<http://www.telecom.gouv.fr/internet/index_len.htm>
Les actions de Odebi:
<http://odebi.nerim.net/0forumr12/0forumr12.html>

Et le lobby qui n'a pas de nom, ne pousse-t-il pas à la roue ? Question taboue.


Source: <http://www.internetactu.com/>


NETTOYEURS DU PASSÉ

Le remugle des poubelles est toujours à s'agiter. Ils veulent nettoyer le passé, n'en laisser dans le présent que des traces lyophilisées, aseptisées, cashérisées par leurs propres soins. Ils s'en prennent maintenant à un collège de Saint-Palais, qu'ils placent dans une géographie du futur politiquement correct (Province de Basse Navarre - Pays Basque) qui porte le nom de Léon Bérard, qui fut, entre autres, ministre de l'Instruction publique et ambassadeur du régime de Vichy au Vatican. Ils ont trouvé un autre enfonceur de porte ouverte qui leur a révélé ce que tout le monde sait depuis toujours: "Ce sont les investigations menées par Robert Garat, professeur d'histoire et de géographie au collège public de Saint-Palais, qui ont permis d'exhumer le lourd passif de l'homme politique dont on avait donné le nom à l'établissement scolaire." Ce grotesque est propres aux incultes et aux lourds autodidactes qui découvrent la lune qui hantent les couloirs d'<amnistia.net>. Ces naïfs ont donc été frapper aux portes du Conseil général (celui des Pyrénées atlantiques, non de l'inexistante Basse-Navarre...). "D'après la relation qui en a été faite par Robert Garat dans un article publié par l'hebdomadaire abertzale Ekaitza (16 janvier 2003), "Alain del Alamo a cru bon de mettre en doute l'authenticité du rapport incriminé et même son existence. Nous avons souligné que ce rapport, publié dès 1946, avait été cité et commenté par des historiens ayant travaillé sur la période des 'années noires' (Jacques Duquesne, Jean Chelini, Pierre Arette-Landresse et Henri Amouroux)." Abertzale veut dire "indépendantiste basque" et plus précisément "complice des meurtriers de l'ETA", ce qui n'étonne pas sur un site peuplé de "complices des meurtriers des Brigades Rouges". Ces gens-là veulent nettoyer le passé et pour ce faire, n'hésitent pas, quand ils ont l'occasion, à liquider ceux qui les gênent.

"En effet, souligne Robert Garat, "Nous avons aussi rappelé que notre collège est engagé dans le devoir de mémoire. De multiples circulaires nous demandent de nous y consacrer et cela nous semble normal, si nous voulons que nos jeunes connaissent le passé et que les erreurs du passé ne se reproduisent pas. Deux de nos élèves ont été récompensés l'an dernier (en 2002, NDLR) en recevant les 2e et 3e prix départementaux du Concours National de la Résistance et de la Déportation [un truc qui ressemble aux spartakiades soviétiques ] et notre collège s'est même vu attribuer un prix pour la plus forte participation des établissements, en pourcentage, à ce concours. Il y a donc là, entre ce devoir de mémoire auquel nous répondons et l'appellation déshonorante du collège qui nous est infligée, une contradiction insoutenable. Contradiction insoutenable que refuse de voir le président du Conseil général".

Ces mêmes censeurs, sicaires à l'occasion, ne diront pas un mot d'un très brillant et très connu marchand de livres, libraire, éditeur, qui vient d'avoir une pleine page du Monde (23-24 février 2003): Pierre Berès. Cet homme remarquable, extrêmement fortuné, a quelque peu trafiqué avec les Allemands pendant la guerre. On sait l'officier allemand facilement collectionneur, amateur d'art. Berès, juif connu comme tel, a fait des affaires en grand, en récupérant les collections des riches familles juives qui foutaient le camp. Même Le Monde est obligé de bredouiller quelques phrases là-dessus. En omettant de préciser que, pour faire ses affaires plus librement, M. Berès avait obtenu un diplôme d'«Aryen d'honneur», ce qui n'était pas à la portée de n'importe quel pékin. M. Berès a très bien survécu à la guerre et ses affaires ont continué à prospérer dans l'après-guerre. Il suffisait de redevenir juif et tout était oublié. C'est bien naturel, en somme. Et s'il préfère aujourd'hui n'en pas parler, il ne s'en cachait pas il y a trente ans, dans une autre époque !

Est-ce qu'il sera dénoncé par les justiciers infantiles d'<amnistia.net>. Un juif ? Sûrement pas. Nous lui tirons notre chapeau et nous lui souhaitons longue vie et prospérité.


Cet article a été publié dans Enquêtes interdites, 22 janvier 2003, n· 29.

<http://www.amnistia.net/librairi/amnistia/n29/college.htm>



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LES GRANDES PANURGIES LYONNAISES (suite)



24 janvier. Communiqué de presse de M. Bruno Gollnisch:

La condamnation à de la prison ferme de l'historien lyonnais Jean Plantin dont les écrits ne sont ni diffamatoires ni injurieux pour qui que ce soit, et relèvent évidemment de la critique historique, révèle la terrible régression de la liberté d'expression dans notre pays, à l'instigation de divers groupes de pression, dont le Parti Communiste, complice des plus terribles génocides du XXème siècle, et initiateur de la tristement fameuse loi Gayssot. Ces lois répressives sont une offense à l'intelligence, à la justice, et à la légitime recherche de la vérité. Elles n'honorent ni notre pays, ni notre système judiciaire, contraint d'imposer par force on ne sait trop quelle vérité officielle, ni la ville de Lyon, capitale de la Résistance, qui va peut-être devoir renfermer dans ses prisons le premier prisonnier d'opinion français depuis longtemps.


Quelques jours plus tard, Marine Le Pen est interrogée par des vipères lubriques, nous voulons dire les journalistes d'une espèce de cirque appelé "Grand jury RTL Le Monde LCI". Ces petits vicelards tentent leur coup:

Q Et quand Bruno Gollnisch publie un communiqué de soutien à un éditeur négationniste, qui vient d'être condamné, ce n'est pas douteux ? [Admirons l'emploi du mot "douteux" comme on disait d'un "col douteux" pour une chemise blanche qui avait beaucoup servi. Ces gens emploient un vocabulaire spécial, crypté, adapté au Sonderbehandlung qu'ils infligent au premier quidam venu. ]
R Bruno Gollnisch défend la liberté d'expression.
Q Est-ce que la contestation de l'existence des chambres à gaz relève de la critique historique ? [Remarquez le côté biaisé, hypocrite de la fausse question. Si elle répond oui, elle tombe sous la gayssotine, si elle répond non, elle approuve la gayssotine. ]
R Ecoutez, est-ce qu'on va passer un quart d'heure...
Q Vous ne voulez pas répondre ? [Sous-entendu : si vous avez peur de la gayssotine, c'est que vous êtes coupable. ]
R Ce n'est pas le problème. Nous avons toujours été contre les atteintes à la liberté d'expression. [...]

Voilà où nous en sommes, les seuls vrais et authentiques défenseurs de la liberté d'expression dans ce pays sont ceux que le monde politique, qui s'assoit dessus lourdement, appelle des "fascistes". Et bien tant pis. On s'en contentera.


Voici une lettre que le professeur Jean-Paul Allard vient d'adresser à tous ses collègues de l'Université Lyon III. Qui est le professeur Jean-Paul Allard? C'est ce professeur de Lyon qui avait accepté de présider le jury devant lequel Henri Roques a soutenu sa célèbre thèse, en 1985, sur les "confessions" du SS Gerstein, et qui lui a décerné la mention "Très Bien".

M. Allard se vante aujourd'hui d'avoir gagné un procès intenté par lui à des associations qui l'avaient traité de "négationniste".

Nous n'approuverons pas ici le fait que ce professeur puisse se glorifier ainsi d'avoir "fait de l'argent" sur le dos de ceux que la presse et l'Université persécutent et appellent les "négationnistes" (dont, notamment, ses propres collègues de la même université, Robert Faurisson et Bernard Notin, ainsi que Jean Plantin dont les diplômes ont été annulés).

On trouvera ci-après la lettre du professeur Allard suivie de commentaires de R. Faurisson:



Lettre de Jean-Paul Allard, Professeur à la Faculté des Langues à tous les collègues de l'Université Lyon III

 
Mes chers collègues,
Vous vous rappelez sans doute que, de décembre 2000 à février 2002, le collectif d'associations (UGEL-UNEF, UEJF, République et Laïcité, Hippocampe) s'est acharné contre moi en me chargeant, entre autres, de l'accusation de négationnisme dont Le Progrès se faisait complaisamment le relais, notamment dans son édition du 26 juin 2001 où il n'hésitait pas à écrire, sous la signature de Mariette Grande, "le professeur Allard, connu pour ses écrits négationnistes".
La plainte en diffamation que j'ai déposée alors contre ce journal vient d'aboutir à une condamnation claire et définitive du Progrès, en première instance le 2 juillet et en appel le 20 novembre 2002.
La Cour d'Appel de Lyon (7ème chambre A) déclare Michel Nozière, directeur de publication du Progrès, coupable du délit de diffamation publique à l'encontre d'un fonctionnaire public,
-- le condamne à une amende de 1500 euros, et à me payer, en réparation du préjudice, la somme de 5000 euros à titre de dommage-intérêts,
-- le condamne en outre à me verser la somme de 1500 euros en sus de celle de 750 euros qui m'avait été allouée en première instance pour dédommagement des frais de justice,
-- ordonne également la publication du jugement aux frais du condamné dans Le Progrès.
Sachez aussi que les mêmes associations, ayant demandé à Monsieur le Recteur de l'Académie de Lyon d'engager des poursuites disciplinaires à mon encontre et s'étant vu opposer une fin de non-recevoir, n'avaient pas hésité à citer ce dernier devant le Tribunal Administratif pour "abus de pouvoir" (sic!). Elles ont été déboutées par un arrêt du Tribunal Administratif du 18 juillet 2002 :
"Article 1er": La requête n· 0103965 de Mlle Guilène Aillard, du Syndicat UGEL-UNEF, de l'Union des Etudiants juifs de France, de l'association République & laïcité et de l'association Hippocampe est rejetée. "
Je ne doute pas, mes chers collègues, que vous soyez soucieux d'information objective. C'est pourquoi je vous adresse la présente lettre afin que vous puissiez, à la lumière des décisions prises par les tribunaux, vous faire une opinion raisonnée sur les graves épreuves qu'a traversées notre université depuis plusieurs années. Je vous prie de croire en mes sentiments les meilleurs.

Jean-Paul Allard.


Commentaire de Robert Faurisson:

Question: Les révisionnistes peuvent-ils, à la demande de Jean-Paul Allard, se faire l'écho de cette victoire judiciaire ?

J.-P. Allard avait fait valoir que les épithètes de "révisionniste" ou de "négationniste" étaient diffamatoires en ce qu'elles portaient atteinte à sa considération et à son honneur.
Ainsi que l'attestent cinq ou six procès gagnés par son collègue Bernard Lugan qui avait, de son côté, porté plainte pour le même motif, J.-P. Allard ne pouvait que gagner, lui aussi, son propre procès (pour la préparation duquel son avocat s'était, d'ailleurs, mis en rapport avec B. Lugan).
Le tribunal ou la cour étaient obligés de conclure que ces épithètes sont infamantes. Imagine-t-on des magistrats qui auraient eu l'audace de déclarer le contraire ?
J.-P. Allard n'a donc fait preuve, en la circonstance, d'aucun courage et il ne courait aucun risque. Au contraire, il a joint sa voix à celle de la meute et il a pris une "assurance-nougat".

RF


GROS MAMOURS


Le négationnisme l'éthique et la loi

 
Image classique: un amphi universitaire plein d'étudiants attentifs. Situation moins académique, les jeunes n'écoutent pas un professeur, mais deux orateurs. Détail encore plus inattendu, épinglé derrière les deux intervenants, un immense portrait de Jean Moulin avec en légende "Savoir désobéir".
Ce décor était celui de l'association Hippocampe accueillant, mercredi à Lyon 3, dans sa lutte contre le négationnisme, Mgr Philippe Barbarin archevêque de Lyon et Alain Jakubowicz, [surnommé l'Eddie Constantine de Fourvière ], président du CRIF Rhône-Alpes.
Un duo confronté à une problématique a priori simple: le négationnisme, l'éthique et la loi. La loi Gayssot, son champ d'application et ses limites, un programme sur lequel l'avocat lyonnais n'a aucune difficulté. Plus délicate était la question d'éthique [Pour Eddie, c'est "des tocs" ] posée à l'archevêque: il l'a abordée sous l'angle des enjeux de la transmission et du poids de la mémoire. [Les thalas et leur caté sont orfèvres en la matière... ] Mais plus encore que le contenu, c'est la forme qui a séduit les étudiants. [Ils étaient encore là ? ] Un dialogue en complémentarité où chacun, de l'avocat et de l'évêque, venait épauler l'autre, un pas de deux relativement inattendu. Manifestement le duo, parce qu'il n'a pas été un duel, s'attachant à apporter des lumières complémentaires a plu. Au point qu'ils devraient en redemander un jour ou l'autre.
J. P.
Le Progrès, 26 novembre 2002.


Ceux qui "savent désobéir", et qui savent ce que cela coûte, sont plutôt de notre côté. Jean Moulin, lui, l'a payé de sa vie. Les perroquets de salon du genre Jakubovicz et Barbarin, eux, ne risquent rien, savent obéir et savent en faire payer le prix aux autres.


SERMENT D'UN JARDINIER


« Nous ne tolérerons aucun négationnisme »


Le président de l'université Jean Moulin Lyon 3, Guy Lavorel, annonce son intention de lutter contre toute dérive négationniste. Sans retirer les plaintes déposées par le conseil d'administration, il cherche l'apaisement.

 
Guy Lavorel, président de Lyon 3, espère pouvoir tirer un trait sur les dossiers du négationnisme et de l'extrême droite qui entachent l'image de l'université Jean Moulin depuis des années. [Ne pas oublier que ce type-là a passé son Capes en juin 1968... ]
Un trait définitif. Sur le passé et sur d'éventuelles affaires à venir. "S'il y avait une nouvelle affaire, nous sommes prêts à condamner. On ne tolérera pas" explique le président de Lyon 3 qui accompagne d'un geste de la main sans promesse d'une réaction sans ambiguïté. "Qu'il s'agisse d'un négationnisme ou d'un autre. Il n'y a pas que le négationnisme, il y a aussi toutes les formes de racisme", précise-t-il.
"Mes collègues sont exaspérés de se faire traiter de nazis, de fascistes" rappelle Guy Lavorel. La lutte contre les négationnismes en tous genres, justifie même peut-être selon lui, une réflexion au niveau de toutes les universités. "L'installation d'idéologies, c'est la mort de l'université". [On voit que ce débile n'a pas la moindre idée de l'histoire de l'université ]
Reste à solder le passé, en particulier les rapports devenus délicats avec la municipalité de Lyon depuis la parution d'un rapport du Conseil lyonnais pour le respect des droits, commandé par le maire de Lyon, pour lequel le président de Lyon 3 n'a pas été auditionné. [Voir nos éditions précédentes où nous avons épinglé ce rapport totalement bidon, pompé à droit et à gauche ] Le rapport a été réalisé sans que des enseignants soient sollicités. Il a été révélé par l'hebdomadaire Lyon Capitale, confirmé par des associations anti-négationnistes, puis consultable sur Internet. "C'est sur Internet que l'Université a pris connaissance d'un document qui la mettait en cause", explique Guy Lavorel.
Gérard Collomb, maire de Lyon a ensuite demandé, par voie de presse, au président de Lyon 3 de retirer des plaintes déposées par l'Université à l'encontre d'associations et surtout d'adjoints. La démarche a été vécue comme une pression sur une université indépendante. Le président de Lyon 3 et son conseil ont estimé qu'étant donnée la gravité des attaques, les plaintes déposées n'avaient pas à être retirées. "Les plaintes ont été déposées après délibération unanime du conseil". Guy Lavorel imagine mal le conseil demander le retrait des plaintes et ne peut prendre seul la décision. [Sinon, il aurait vite fait de baisser son froc ] Reste la voie de l'apaisement. Le président agira pour demander à tel ou tel enseignant de calmer le jeu.
Dans les prochains mois, plusieurs événements restent attendus. Le rapport commandé par Jack Lang à la commission présidée par l'historien Henri Rousso, est attendu pour faire un point supplémentaire non pas sur le négationnisme à Lyon 3, mais plus globalement sur l'extrême droite. [On voit que ce journaliste est très mal renseigné. Il ne lit pas les journaux. ]
Après une présentation de sa démarche par la Commission, les contacts sont devenus presque inexistants. Guy Lavorel dans une perspective d'amélioration des relations avec la mairie de Lyon, annonce plusieurs initiatives: une journée commémorative à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Jean Moulin [C'est ça qui va lui faire une belle jambe ], la poste d'un buste du grand résistant près de la fontaine déjà érigée à sa mémoire, à la Manufacture. [Oua ! Trépignons de joie ] Le président de Lyon 3 évoque trois formules de René Char, grand résistant, s'il en fut. "Je souhaite de «loyaux adversaires» [C'est pas le genre des Lyonnais ] «des alliés substantiels» et des «compagnons dans le jardin»", disait le poète [surtout quand il y recevait Heidegger ] "L'université doit être un jardin où il faut savoir enlever de mauvaises herbes", ajoute Guy Lavorel.

Michel Deprost, Le Progrès, 26 novembre 2002.

<[email protected]> Plus pleutre que ce Lavorel, on ne trouve pas.

Sur le rapport fabriqué par la municipalité, il dit encore ceci à Lyon Mag' de novembre 2002:

"Ce rapport a été réalisé par un conseil dont les membres ont été désignés par la municipalité. C'est ce qui explique pourquoi cette étude n'est pas du tout objective. C'est en fait une synthèse d'éléments tronqués, orientés." On dirait que ce Lavorel est un lecteur de l'aaargh....


LYONNAISES


La Marche des femmes et SOS Racisme célèbrent un faux mariage mixte devant une église traditionaliste de Lyon

 
Lyon (AP) - La Marche des femmes, partie début février de la région parisienne, et l'organisation SOS Racisme ont célébré lundi midi un faux mariage mixte sur le parvis de l'église traditionaliste Saint-Georges à Lyon. Sabiha Ahmine, adjointe aux droits et aux citoyens à la ville de Lyon, a participé symboliquement à la cérémonie.
Deux jeunes militants bâillonnés jouaient le rôle des "mariés" dont les familles s'opposent à leur union pour des motifs religieux.
"J'ai connu des situations comme celle-ci où les familles ne veulent pas de mariages entre catholiques et musulmans, c'est pour cela que je voulais participer à ce faux mariage mixte", a expliqué Bruno Julliard-Landau, militant de SOS Racisme qui jouait le rôle du jeune marié.[...] Le maire de Lyon Gérard Collomb a reçu les personnes participant à la marche à la mi-journée.

Ce sont les mêmes qui attentent gravement à la liberté d'expression...



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EPURATEURS TARDIFS

Un déshonneur lavé par Armand Ajzenberg (*)


Paris va, très prochainement, perdre une plaque de rue qui jusqu'ici la déshonorait : celle d'Alexis Carrel. Elle portera désormais le nom de Jean-Pierre Bloch. Cette "débaptisation" a une histoire. En 1993, des personnalités lançaient une pétition: "L'offense à la mémoire des martyrs juifs du Vél' d'hiv qu'est la rue Alexis-Carrel dans le 15e arrondissement, à deux pas de la place qui les honore, doit cesser."
Soutenue notamment par la LICRA, le MRAP, SOS-Racisme, la LDH, l'ensemble des syndicats enseignants, relayée dans l'enceinte de l'Hôtel de Ville de Paris par les porte-parole des partis de gauche, cette pétition reçut toujours la même réponse des maires de droite d'alors -- Jacques Chirac et Jean Tiberi: non !
Pour eux, il fallait disculper Alexis Carrel de ses propos eugénistes, racistes et antisémites, voire passer sur sa participation au régime collaborationniste de Vichy, au prétexte du "contexte historique" de l'époque et de son apport scientifique. A ce compte-là, il faudrait aussi absoudre Pétain de ses crimes, puisque vainqueur de Verdun, et lui rendre toutes "ses" rues. Derrière le voile pudique du "contexte" et de la "science", l'amnésie et l'amnistie pour des thèses peu recommandables ?
Toujours est-il qu'Alexis Carrel va perdre sa rue la plus emblématique, et que les pétitions vont être accueillies aux Archives regroupant la mémoire de la Ville de Paris. La capitale rejoint ainsi un mouvement de "débaptisation" qui s'est étendu à des dizaines de villes en France ayant eu elles aussi une rue Alexis-Carrel. Il en reste quelques-unes et le combat continue. Par exemple, à Compiègne, où la municipalité de droite, reprenant les arguments des anciens maires de Paris, refuse de se séparer de "sa" rue scandaleuse. D'autant plus qu'elle va mener à un "mémorial de la déportation" qui sera érigé à l'emplacement de l'ancien camp, antichambre, entre autres, de ceux de la mort.
Ainsi la cérémonie de "débaptisation" de la rue Alexis-Carrel à Paris, à laquelle n'assisteront pas quelques signataires prestigieux de la pétition - Pierre Bourdieu, Claude Bourdet, Paul Milliez -, sera-t-elle aussi une manifestation pour la "débaptisation" de celle de Compiègne.

(*) Ecrivain parfaitement inconnu, vice-président des Editions Syllepse. Quel type !

L'Huma mitée, 29 Janvier 2003


TOUJOURS PLUS D'EAU DANS LE GAZ


On sait que la question des "gaz", substances mystérieuses, invisibles et impalpables, excite les imaginations. Voir le texte de Serge Thion Le monde comme magique chambre à gaz.. Ce gros niais de Powell s'est encore laissé aller à d'étonnants fantasmes:


Kurds know nothing of "terrorist poison factory" cited by Powell

WSWS, By Kate Randall, 8 February 2003

 
Secretary of State Colin Powell devoted a considerable part of his speech to the United Nations on Wednesday arguing that the Iraqi regime has direct ties to the Al Qaeda terrorists, and that these connections pose an imminent threat to world peace and the safety of the American public.
One of Powell's key arguments was the alleged existence of a poison and explosives training center camp located in northeastern Iraq, where he claimed the Ansar al-Islam terrorist network operating under Abu Musaab al-Zarqawi, a close associate of Osama bin Laden, "is teaching its operatives how to produce **ricin and other poisons." As Powell spoke, a large monitor displayed a photograph with the caption: "Terrorist Poison and Explosives Factory, Khurmal."
An article appearing in the New York Times the day after the secretary of state's speech, headlined "Kurds Puzzled by Report of Terror Camp," completely undercuts Powell's allegation. The Times quotes a senior Kurdish official identified as a member of the Patriotic Union of Kurdistan, familiar with intelligence on Ansar al-Islam, who commented, "I don't know anything about this compound."
The Times continues, "Kurds also questioned whether Mr. Powell was mistaken, or had mislabeled the photograph. Khurmal, the village named on the photo, is controlled not by Ansar al-Islam but by Komala Islami Kurdistan, a more moderate Islamic group."
What is particularly curious is the fact that the Patriotic Union of Kurdistan -- which is allied with an American intelligence team in northern Iraq -- maintains relations with Komala Islami Kurdistan. Furthermore, according to the Times, the Patriotic Union has been paying $200,000 to $300,000 a month in aid to Komala.
There are two possible explanations for this astonishing report. First, if Secretary Powell is to be taken at his word that the camp in Khurmal is manufacturing poisons, then the US and the de facto Kurdish government in northern Iraq are directly implicated in the production of these poisonous agents.
The second -- and more likely -- explanation is that the entire story of the terrorist camp is a lie. In either event, it demonstrates that no credibility can be given to the entire shoddy edifice of allegations and lies that constitutes Powell's brief for war against Iraq.
At a Senate Foreign Relations Committee hearing on Thursday, senators were given little information when they pressed Secretary Powell for answers about the alleged poison-producing camp. Senator Joseph Biden, Jr. (D-Del.) asked, "Why have we not taken it out? Why have we let it sit there if it's such a dangerous plant producing these toxins?"
Powell said he was not at liberty to discuss the matter in open session. It is obvious, however, that if the Bush administration considered the Khurmal plant a terrorist threat, it would have had ample opportunity to strike it, with US intelligence agents operating among the Kurdish population nearby and US and British war planes patrolling much of northern Iraq in the adjacent "no-fly" zone. In light of the charge that the plant is producing lethal poisons, Powell and other Bush administration officials have given no credible explanation for their behavior.
A State Department press officer contacted by the WSWS claimed to have no knowledge of the New York Times article or the evident contradiction between the information in Colin Powell's presentation on the Khurmal camp and statements by Kurdish officials in northern Iraq.
Not surprisingly, the next-day refutation of one of Powell's principal claims has received virtually no coverage in the US media, which has unanimously signed on in support of Bush's war drive.

Voir l'articles du New York Times
<http://www.nytimes.com/2003/02/06/international/middleeast/06ANSA..html>

<http://www.wsws.org/articles/2003/feb2003/khur-f08_prn.shtml>


** Quelques mots sur ce genre d'affirmation qui montre comment on nous prend pour des imbéciles complets. On a vu soudain la police britannique entrer en effervescence après un raid sur une mosquée. Elle supposait que des islamistes cagoulés préparaient clandestinement une arme à partir de "ricin", donné comme un poison violent. Cette grosse andouille de Powell parle, lui aussi, de "ricin". En fouillant dans les encyclopédies, on trouve ceci: le ricin est une plante, (on ne "fabrique" donc pas le ricin), "une euphorbiacée, à grandes feuilles palmées, dont le fruit est une capsule renfermant des graines oléagineuses". On presse les graines et on obtient cette chose dégueulasse qu'on faisait boire aux enfants, il y a très longtemps, et qu'on appelait de "l'huile de ricin". Comme toutes les plantes, à certaines doses, elle devient toxique. Presser une tonne de graines de ricin, le moût sera plus ou moins toxique. De là, des vicelards payés par l'armée américaine se sont dit qu'on pourrait distiller ce moût et le mélanger à un dispersant pour le répandre dans l'atmosphère. Les gens tomberaient malades. Personne n'avait jamais pensé à ça avant, et personne n'a jamais essayé de monter une combine aussi foireuse. Ces monstruosités ne peuvent venir qu'à l'esprit de savants fous payés sur les budgets militaires de Washington, Moscou, Tel-Aviv et autres du même genre. Ils en ont plein d'autres, et bien pires, dans leurs cartons. L'anthrax qui a fait quelques morts aux Etats-Unis à la fin 2001 en sort directement. Mais, tout d'un coup, nos journaux sont envahis par cette nouvelle arme foudroyante, dont nous n'avions jamais entendu parler avant, le ..."ricin". Pourquoi pas l'huile de foie de morue ? C'est comme Al Qaida, c'est totalement bidon, jamais personne n'a fait une chose pareille, ce ne sont que des spéculations oiseuses, comme les services de propagande doivent en trouver de temps en temps pour renouveler le stock de frayeurs, qui perd toujours de sa force avec le temps. Penser que les Irakiens ne peuvent fabriquer et utiliser que le gaz moutarde, celui-là même qu'on a utilisé d'abord en 1915, ne procure pas de frissons communicatifs. La vente de masques à gaz et de ruban adhésif ne décolle pas. Les pétochards-nés que sont les Américains ne paniquent pas assez. Alors on leur sort des trucs: les mycotoxines, du temps de l'après Viêt-Nam, le botulisme, de temps à autre, et maintenant, dernière nouveauté, le "ricin". Le prochain sera peut-être la "blédine". Si vous mettez dix tonnes de blédine dans votre four à micro-ondes... vous tournez avec une cuillère en bois, vous tripatouillez, à la fin, vous verrez le résultat, un truc noirâtre, vous pourrez l'essayer sur le chien du voisin, celui qui aboie tout le temps, et couic. Vous serez prévenus par les journaux: "La blédine est un poison violent et une arme de destruction massive", "L'Irak refuse de communiquer l'emplacement de ses stocks de blédine", "Hans Blix réclame la destruction du four à blédine"...


EN GERMANIE L'HYSTERIE CONTINUE


Les sites <http://www.nationale-anarchie.de> & <http://www.volksheil.de> sont fermés par force !

 
Sur la base d'une dénonciation absurde et ridicule de la procureuse Christa Parker contre le webmestre du site <www.nationale-anarchie.de> Peter Töpfer pour avoir mis le symbole de Falun Dafa sur une page de liens, un procès contre Töpfer aurait dû avoir lieu le 10 avril 2002. Le procès a échoué de manière lamentable sans même que l'audience ait lieu. Mais deux jours après -- par pure coïncidence --, le site <www.nationale-anarchie.de> et également le site <www.volksheil.de> étaient fermés complètement par le provider Strato AG. Dix jours plus tard le provider Strato a informé le webmestre qu'il dénonçait le contrat sans préavis. "Justification": contenus illégaux, extrémistes, érotiques etc.(?!), nom de domaine illégal (!?) et d'autres bêtises. Le site <http://www.chez.com/nationalanarchisten> n'est pas encore concerné.

Procès contre Peter Töpfer à Berlin

Parce qu'il a mis sur son site <www.nationale-anarchie.de> un renvoi sur le site de la communauté religieuse persécutée Falun Gong en utilisant le symbole de la communauté, [une croix gammée à l'envers, vieux symbole bouddhiste, présent dans tout l'Asie] Peter Töpfer devait payer une ordonnance pénale de 900 euros. Töpfer a refusé de payer et doit maintenant paraître devant le juge.
Deux question, pourtant facile de répondre, se posent:
1. L'Etat allemand, peut-il contraindre une personne à dire ce qu'elle pense ou de justifier son opinion ?
2. L'Allemagne, peut-elle réclamer la propreté de symboles qui sont vieux comme le monde et qui appartiennent à presque toutes les cultures de l'humanité ?
Si ces questions nécessitent vraiment une discussion, elle doit avoir lieu sans contrainte d'un discutant en dehors d'un auditoire.

Falun Dafa (Falun Gong) anticonstitutionelle?
L'Allemagne veut-elle régner sur le monde?
Protestation contre la perquisition et la saisie de l'ordinateur dans l'appartement de Peter Töpfer le 7 décembre 2000 à Berlin.
Le Juge Schmidt du tribunal de première instance de Berlin-Tiergarten avait donné comme justification de la fouille chez Töpfer la recherche des preuves de la responsabilité de Peter Töpfer pour le site <www.nationale-anarchie.de> et pour le fait qu'il y a mis un lien vers la communauté spirituelle Falun Dafa
(<http://www.falundafa.org>).
Pour trouver des preuves pour cela, il n'aurait pas fallu fouiller son appartement, car il est nommé sur le site et la police aurait pu, grâce à la loi de télécommunication, demander et constater chez le provider (Strato AG) que Peter Töpfer est responsable. Le provider est en possession des logfiles et des bulletins de déclaration; il peut donc donner des renseignements sur l'identité et sur la publication des contenus du site. La perquisition était dès le début inutile, démesurée et irrecevable. Après l'irruption de la police dans son appartement, Peter Töpfer s'est tout de suite déclaré comme responsable du site; cette déclaration ne figure pas sur le procès-verbal. Et malgré la déclaration et la protestation de Peter Töpfer, la police a continué la fouille bien que, d'après la loi de presse et le code de procédure pénale, seul un procureur est admis à instrumenter dans une affaire de presse; finalement, la police a saisi même l'ordinateur de Peter Töpfer -- probablement le vrai but de l'action.
Il ne s'agissait donc pas pour la police de chercher un éclaircissement au sujet d'un prétendu acte criminel, mais d'un empêchement du travail de publiciste et de journaliste de Peter Töpfer et de son intimidation. C'est une infraction à la loi sur la presse, au code de procédure pénale, à la garantie donnée par la loi fondamentale (constitution) ainsi qu'aux lois nationales et internationales sur la liberté de communication comme élément essentiel de la dignité humaine.
Les policiers ont fouillé toutes les pièces tandis que Peter Töpfer était retenu et qu'il ne lui était pas permis d'être présent, ce qui est irrecevable. La cave a été fouillée sans qu'il soit présent.
Pendant la perquisition, des livres ont été sortis de la bibliothèque et étalé et positionné pour qu'ils soient visibles sur les photos faites par la police. La police n'avait manifestement pas l'intention d'enquêter mais de faire courir un image préconçue et fallacieuse pour tromper le tribunal. Le «témoin» emmené par la police, M. Maronde, de la mairie de Berlin Prenzlauer Berg, observait tout cela mais ne protestait pas. La question se pose de savoir si M. Maronde est un témoin professionnel qui méprise les droits d'un accusé contre rémunération.
Pour soutenir le combat judiciaire, un compte est ouvert chez l'avocat Me Carsten Schrank: N· 0370223616, Dresdner Bank Berlin (BLZ 100 800 00), mot de repère «Solidarité Töpfer Falun». Bank account in the USA (Holder: Eugene Polonsky) Number: 0324804648, Bank of Amerika, Sunset Odgen Branch/Hollywood, ABA# : 122000661, same code name.
Posez vos question et adresser vos protestations à: Pressestelle des Amtsgerichts Berlin-Tiergarten, D-10548 Berlin, fax: +49/30/9014-2010. Numéro du dossier: 353 Gs 5446/00. Merci de copier et propager cette information. Avant que ce soit votre ordinateur qu'on emporte
Contact: Komitee Töpfer Falun, c/o VdF, Pf. 350264, D-10211 Berlin, fax: 0180/505255454419. Courrier électronique: <[email protected]>

<http://www.chez.com/nationalanarchisten/Auto6/Beschlag/Anarchie_Nationale/anarchie_nationale.html>


COMMENT FABRIQUER DES ANTISÉMITES


Les écoliers autrichiens étudient la Shoah

 
Les écoliers autrichiens participeront prochainement à un programme élaboré par le ministère de l'Education nationale de leur pays.
Les élèves devront écrire des lettres aux victimes juives massacrées par les nazis pendant la Shoah.
L'agence de presse Itim indique que ce projet, qui bénéficie de l'appui du président autrichien Thomas Klestil, sera adopté dans tous les établissements scolaires du pays et s'intitulera "lettre aux étoiles". Il s'adressera aux adolescents âgés de 13 à 19 ans qui choisiront un nom parmi les 65.000 Juifs assassinés en Autriche pendant la Seconde guerre mondiale. Ils obtiendront alors des renseignements sur la vie de leur "correspondant" et relateront, dans leur lettre, les actions de ce dernier et évoqueront des traits de sa personnalité.
Ce projet s'inscrit dans le programme d'enseignement de la Shoah dispensé à la jeune génération autrichienne. Il s'achèvera le 5 mai prochain, date fixée par le gouvernement autrichien pour rappeler le souvenir des victimes de la Shoah. Cette journée est également consacrée à la lutte contre la violence et contre le racisme. Les promoteurs de ce projet prévoient alors un grand rassemblement qui se tiendra à Vienne en présence du président de l'Etat, Thomas Klestil, et auquel seront conviés Simon Wiesenthal et le cinéaste juif américain Steven Spielberg. [Quel bol ! ] Les messages des enfants seront attachés à des ballons qui seront lâchés dans le ciel, en mémoire des Juifs disparus dans la tourmente.
Arutz-7, 11 février 2003


LES PLAIDEURS DANS LE CACA


Paris (AP) - Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé mardi la société américaine Yahoo Inc. et son ancien président, Timothy Koogle, 51 ans, qui étaient poursuivis pour "apologie de crimes contre l'humanité" par deux associations de défense des droits de l'Homme. Le 7 janvier dernier, le substitut du procureur de la République avait requis la condamnation des deux prévenus, demandant cependant à ce qu'ils soient dispensés de peine puisque la situation contestée, à savoir la vente aux enchères d'objets nazis sur le site Yahoo.com, "est totalement régularisée". Yahoo Inc. avait en effet annoncé en janvier 2001 que la vente d'objets nazis sur son site d'enchères sur Internet était désormais terminée. Toutefois, la société continue d'autoriser le négoce de pièces de monnaies, de timbres-poste ou de billets de banque du IIIe Reich.

<http://fr.news.yahoo.com/030211/5/31mce.html>


PEAUX DE VACHE

La loi Lellouche, n· 2003-88 du 3 février 2003 est parue au JO n· 29 du 4 Février 2003. Ça va très vite. C'est la république banano-licraïste. On est frais!!!

Texte: <http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnTexteDeJorf?numjo=JUSX0206165L>


HISTOIRE DE FAUX


Les démocrates en conflit avec la vérité


 
L'histoire pourrait être l'une des sciences humaines les plus complètes qui existe. Elle permet, avec le concours d'autres sciences, de toujours renouveler les connaissances. Depuis les découverts d'archéologues au Proche-Orient, il ne reste pas grand-chose de l'Ancien Testament comme livre d'histoire. Un faux qui a cependant tenu environ 25 siècles. Et après les découvertes des archéologues, il faudra bien un siècle au moins pour que les théologiens chrétiens mettent leur enseignement à jour.
Malheureusement les démocraties, surtout depuis le début du 20e siècle, on commis tant de mensonges qu'il est pratiquement impossible de pratiquer l'histoire de manière scientifique. Du moins pour les historiens professionnels.
En Alsace nous avons un exemple qui pourrait devenir célèbre, celui de Marc Bloch, qualifié, par certains de grands historien. Par prudence, ce grand historien a porté son attention sur le moyen âge, alors qu'entre les deux guerres le monde aurait eu un besoin immense de vrais historiens montrant comment avait commencé la guerre de 14-18, comment elle s'est terminée, et comment elle avait préparé la suivante. Et surtout sur le bolchevisme.
Or voilà que dans son livre L'étrange défaite, écrit dans la clandestinité, après 1940, notre grand historien ne dit pas un mot sur ces grandes questions, et à propos des faiblesses de la France d'avant 1940, il écrit qu'il savait naturellement des choses mais que ces choses se murmuraient entre amis. Ajoutant tout de suite que ce qu'il écrivait maintenant ne pourrait sans doute être diffusé après la guerre que sous le manteau. Ce "grand historien", à défaut d'être un historien utile à la France et à l'Europe, savait comment organiser sa carrière universitaire.
L'histoire, comme science, est donc quasi impossible. Aussi les meilleures recherche en histoire sur notre époque ont-elles été faites par des non historiens. A leur risques et périls. Parmi ces risques et ces périls, on trouve le fameux Berufsverbot infligé par Hitler et Vichy aux juifs - pour Marc Bloch cependant, ce Berufsverbot - interdiction d'exercer un métier - avait été levé à titre exceptionnel, ce qui ne l'empêcha pas d'entrer dans la résistance clandestine (après avoir échoué dans son départ pour les Etats-Unis, parce qu'il avait demandé un trop grand nombre de visa). Outre le Berufsverbot, il y a des amendes et dommages et intérêts - auxquels échappent les ministres et hommes politiques corrompus, et même la prison. Il y a en Allemagne, en Suisse et en France des personnes en prison pour avoir voulu connaître la vérité en histoire, leur propre histoire et celle de leurs parents.
L'un de ces cas est celui de Vincent Reynouard. Ingénieur chimiste, il avait opté pour l'enseignement. Mais il eut le tort de s'intéresser aussi à ce qui s'était passé à Oradour. On aurait pu penser qu'après les travaux sur Oradour du journaliste allemand Herbert Taege, ancien officier de la Wehrmacht, tout avait été dit sur Oradour.
Mais en histoire s'applique tout particulièrement la sage parole de Clément Marot: "Tout vient à point à qui sait attendre". Dans l'affaire d'Oradour, Vincent Reynouard a encore trouvé des témoins et des faits ignorés jusqu'ici qui confirment la thèse de H. Taege, à savoir que les résistants avaient stocké des munitions dans le clocher de l'église-forteresse d'Oradour; et que c'est l'explosion de ces munitions pour des raisons non encore connues qui a tué les femmes et enfants enfermés dans l'église pendant la fouille des maisons. C'est l'explosion seule qui explique pourquoi des poutres de la charpente furent projetés à plusieurs centaines de mètres, que deux cloches fondirent ensemble, et qu'un confessionnal et un autel en bois ne furent pas détruits. Tous faits naturellement gênants pour la version officielle de l'incendie de l'église avec des fagots apportés par les soldats allemands.
Pour cette recherche, Vincent Reynouard fut expulsé de l'Education nationale et son livre interdit par une décision du démocrate Chevènement, ministre de l'Inérieur. La France envoya même des inspecteurs opérer des saisies en Belgique où se trouvait le réfugié politique Reynouard. Mais voici que, ô surprise, la décision du ministre a été invalidée par un arrêt du Conseil d'Etat. Le livre sera sans doute disponible ce samedi soir à l'hôtel Pax (à Strasbourg, où Reynouard devait donner un conférence).
Un exemple semblable est celui de Udo Walendy en Allemagne. Après la parution de son livre "Wahrheit für Deutschland", il fut condamné et passa plus de trente mois en prison. La cour européenne de Strasbourg avait rejeté sa demande sans explication. Et là aussi c'est la justice allemande qui a de nouveau permis la diffusion du livre sans aucun changement. Il est maintenant disponible en français***.

On pourrait encore rappeler à cet égard, un propos de l'apôtre Paul: "Il n'y a rien à faire contre la vérité". Un propos qui avait fort impressionné Albert Schweitzer et qui l'avait probablement encouragé à dire sur son temps, et le nôtre, ce que peu d'universitaires d'aujourd'hui ont le courage de dire, à savoir que nous nous trouvons à une époque de la stupidité unique dans l'histoire humaine.

Manfred-C. Stricker, 6 février.

* * *Vérité pour l'Allemagne, d'Udo Walendy
Verlag für Volkstum und Zeitgeschichtsforschung, Postfach 1643 -- D 32590 Vlotho/Weser, Allemagne. 30_ franco domicile (Disponible en français, mais aussi en allemand et en anglais.)


NOUVELLES DU FRONT


The unsavoury tales of Hoffman

Jenni Frazer and Stefan Bialoguski

 
A. N. Wilson this week outraged many readers of his column in the London Evening Standard with a piece on Israel which, as Jenni Frazer and Stefan Bialoguski reveal, leaned heavily on an unlikely source.
This week's Evening Standard column by the writer A. N. Wilson draws heavily on the previously published work of Holocaust-denier Michael A. Hoffman II, and an armed forces veteran Brigadier General James J. David. Hoffman, in particular, is familiar to American organisations that deal with white supremacists and Holocaust-deniers.
Wilson concluded his piece, headlined "Israel's record speaks for itself," by advising readers to read "The Israeli Holocaust Against The Palestinians" by M. Hoffman and Professor Moshe Lieberman, giving an address from which this could be obtained.
M. Hoffman is Michael Hoffman, 51, based in Coeur d'Alene, Idaho, an isolated part of American Midwest that is also a centre for supporters of the white-supremacist organisation Aryan Nations. His website shows a picture of him with Louis Beam, former Aryan Nations ambassador-at-large.
Married, with eight children, Hoffman is a former news reporter. His website, The Campaign for Radical Truth in History, is almost wholly devoted to anti-Israel and anti-Jewish polemic.
Lawyer Norm Gissel, whose successful $6-million civil suit two years ago forced the breakup of the Aryan Nations' compound in Coeur d'Alene, said this week that he was "amazed that a journalist would take this flake and raise him to a respectable status."
One of Mr Hoffman's most recent columns was on this month's Columbia shuttle disaster, in which seven astronauts, including Israeli Ilan Ramon, were killed.
Hoffman notes: "What burnishes Ramon's image more than any other of his dazzling accomplishments, is his hallowed niche in the pantheon of Holocaustianity, the West's state religion... And thus a legend is born, Ilan Ramon, patron saint of astronauts and that lofty class of congenital sufferers, the Children of Holocaust Survivors. To this pious category must be added another in the taxonomy of victimhood, the Survivors of Dead Zionist Astronauts... when this writer learned that an Israeli was in orbit on NASA's shuttle, the first image that came to my mind was of all the dead and dying in Palestine, and of how America had lost all sense of shame."
Hoffman often writes of "Holocaustianity," and has no qualms in taunting Jewish people with his views. In 1994 he sent an anti-Semitic cartoon pouring scorn on the Holocaust to the editor of Skeptic magazine, Michael Shermer, who had criticised Hoffman's articles. On the back he wrote: "To Shermer the schleptic beast [sic] wishes."
Hoffman told the JC: "I stand by that cartoon... To me Shermer is like a particularly pompous inquisitor. I don't have any reverence for these 'holy icons.' There's not a whole lot of reverence for the resurrection and the virgin birth in the British media."
Hoffman says he met the British National Party chairman Nick Griffin in London in the late 1990s. "I've been over to Old Blighty since then," he told the JC this week, "but not to Golders Green... Is the eruv up? I would get a kick out of seeing that. The mentality that wants to ghettoise itself after escaping the ghetto is intriguing to me."
He said that he was now working on expanding his book Judaism's Strange Gods, because America's right wing had focused too much on Communism and not enough on the extremes of capitalism. That work would entail a return to England, "assuming the Jewish Board of Deputies would not use their influence to keep me out."
Searchlight, the anti-Fascist magazine, says: "Hoffman has spent his career flitting from Holocaust-denial circles in California, to Aryan Nations meetings, to a Klan rally in Tennessee. He was Ernst Zündel's publicist during the Canadian's first trial, related to Holocaust-denial." Zündel is a leading proponent of the notion that Auschwitz's gas chambers were a hoax.
In 1983, Hoffman was hired by Willis Carto, one of the founders of the pro-denial Institute for Historical Review, and he is understood to have reported for Carto when he first covered Zündel's trial in Canada.
Hoffman later went on to write a book about Zündel, called The Great Holocaust Lie, which was subsequently banned in Canada.
In 1989, Hoffman also produced a comic book called Tales of the Holo-hoax, with drawings by A. W. Mann.
Hoffman told the JC that he had incorporated into his latest article on Israel a question-and-answer style piece written by the Marietta, Georgia-based polemicist James J. David, 59.
Brigadier General David's articles, in a strongly anti-Israel vein, can be found on several right-wing websites -- including the revisionist sites <RePortersNotebook.com> and Zündel's <zundelsite.org>
The Atlanta-based director of the southern region of the Anti-Defamation League, Deborah Lauter, told the JC: "We have been watching David's letters to editors for years. He has been virulently anti-Israel. The fact that his articles are appearing on extremist and Holocaust-denial websites is of concern. That he should be regurgitated in a mainstream paper is problematic."
The third member of the trio in the background of A. N. Wilson's Standard column, Brooklyn-born Moshe Lieberman, is described on the inside cover of "The Israeli Holocaust Against the Palestinians" as a one-time researcher for the late anti-Zionist Hebrew University chemistry professor, Israel Shahak, and as an expert on the philosopher Baruch Spinoza. The press release for the book says Lieberman was also formerly a "Hebrew University researcher."
However, Israel's leading Spinoza academic, Professor Yirmiyahu Yovel, said this week he had never heard of Lieberman, and the Hebrew University said it had no record of him.
Mr Hoffman, for his part, said that Lieberman "lives in New York. But I can't give you his number as he's concerned for his personal security."

Jewish Chronicle, 14-Feb-2003
<http://thejc.com/News.asp?Page=93&Type=4>

Voir le site de notre ami Michael Hoffman:

< http://www.hoffman-info.com/>


AVANT PÂQUES


Revisionism In UCD

by antrophe - socialist alternative


 
UCD = University College of Dublin

....tear up fascism before it takes root.
In UCD last tuesday, A4 sized text heavy posters appeared all over campus, issued by the Revisionist Education Organisation <http://www.geocities.com/david_noone88>
email address <[email protected]>, a thinly described fascist group.
With a heading of 'The media has brainwashed you with propaganda your entire life. Our society is sick. Revisionism is the cure' the leaflet goes on to make a series of arguments against the holocaust ever happening, which apparently merely serves as a 'pretext for the present system of tyranny.'
Undoubtedly, the appearance of these leaflets on campus are linked to the recent vox pop in the University Observer, which posed the question 'which ethnic minority do you hate the most?' causing scandal on and off campus. The incident resulted in UCD SU condemning and calling for the resignation of the papers editor. The issue was revisited in the Times on Sunday, and it is this coverage i think which gave the distributors of the leaflet the idea to target the campus, after the Observer had contributed to and almost legitimised a racist climate in UCD.
Apparently, a number of the sabatical officers in the Union were emailed and asked about the possibility of holding a Revisionist meeting on campus. The result of trying to humourise racism through Vox Pops like that in the observer, has now to be better understand as simply an incitment to racial hatred and an encouragment to the development of fascism and the far right.

Thu, Feb 13 2003, 11:24am.
<http://indymedia.ie/cgi-bin/newswire.cgi?id=28708&start=0>


Le site révisionniste du jeune Iralandais témoigne de l'enthousiasme du néophyte, mais il n'est pas dépourvu d'intérêt. Il témoigne en tout cas du fait, que nous percevons tous plus ou moins, qu'une nouvelle génération se saisit du révisionnisme, sous l'aiguillon des Mystères de New York, de la guerre tous azimuths lancé par l'aveugle colosse américain. Il y a trop de mensonges et de questions sans réponse pour que des esprits curieux ne viennent pas visiter l'héritage laissé par Barnes et Rassinier, cultivé et accru par les Butz et les Faurisson et démultiplié par l'inattendu surgissement de l'Internet.

Mais si la vaillance n'attend point le nombre des années, il va falloir apprendre vite les sournoiseries et les chinoiseries de la répression. Les tracts distribués sur le campus de Dublin, dont parle le venimeux article ci-dessus, ont été effacés par Yahoo, sans crier gare. A la place Yahoo affiche sa turpitude ainsi:

 

Your page may have been suspended for violation of our Terms of Service, if any of the following statements are true:
* Pulling files from your GeoCities account to a location outside of Yahoo! GeoCities, such as auction sites, message boards, and other web sites.
* Using GeoCities for the sole purpose of storing files.
* Nudity/pornography.
* Registering for multiple accounts.
* Using GeoCities for commercial purposes.
* Using GeoCities for hate/defamatory purposes.
[...]


Certaines pages, affichées ailleurs que sur sur "geocities" filiale de Yahoo sont néanmoins accessibles, comme celle où l'on pose la question des rapports qu'il y a entre le révisionnisme et la guerre faite à l'Irak:


What has Revisionism got to do with the war on Iraq?


Well Revisionism exposes the mass media as a lie machine and the establishment as a fraud. The war against Iraq is for the sake of two allied ideologies: Zionism and Globalism. It is not about oil. It is not about weapons of mass destruction as Bush and Blair claim. Both Bush and Blair are merely puppets, the real power lies with the media bosses and people like Richard Perle, Jack Straw, Wolfowitz and others.
The left wing anti-war types are failing to mention Israel and it's role in this war. If you really want to help the Palestinians you should educate yourself about Revisionism and help destroy belief in the holocaust myth.
Revisionism has proved that the holocaust did not happen. The 6 million figure was invented out of thin air by the likes of Rabbi Wise.
Revisionists have won the intellectual arguments but cannot win the ideological war without your help because the mass media and universities are controlled by the enemies of truth. If you want proof that the media is lying <http://www.ussliberty.org> is proof. Have you ever heard of the murder of these American sailors on your television? Of course not! The public might then suspect Mossad involvement in Sep.11 also. Israel has attacked Americans many times in order to try to get it involved more closely in their wars. Have you heard of the Lavon affair either? Victor Ostrovsky?
Marco Polo magazine was closed in Japan by a boycott organised by such organisations as the Simon Wiesenthal centre after it printed the truth that there were no gas chambers and that the Nazis gassed nobody. Revisionists are imprisoned and persecuted all over the world. In Ireland David Irving was prevented from speaking in UCC by many of the people who are now "Anti-war". Read one revisionist book The Hoax of the 20th Century by Prof. Arthur Butz (It is online at http://www.ihr.org) and you will see that we are right. If people were not so stupid and easily led there would be no possibility for war with Iraq. You will be ashamed you were ever gullible enough to believe in absurd science fiction like the gas chamber myth and other holocaust lies. http://www.codoh.com. Recently an 82 year-old-man was jailed in Switzerland for not believing in Gas chambers. Those in possession of the truth don't need to imprison old men.


LA FAMILLE TAPDUR

Evidemment, Sarkozy n'est pas Hitler. Dans le domaine de la répression et de la suppression des libertés, il y a toujours eu compétition entre la droite parlementaire et la gauche parlementaire. Jamais le nombre de détenus dans les prisons françaises n'a augmenté autant, et parallèlement au nombre des argousins, que sous le règne du sauteur de haies François Mitterrand. Jospin avait aussi des projets hautement répressifs et s'il ne les a pas tous mis en application, c'est qu'il n'a jamais trouvé la pédale d'embrayage.

Mais enfin à voir ce qui se passe, on se dit qu'on entre dans une ère où l'on pourrait regretter le fascisme et ses pompes grotesques. "Dans la nouvelle architecture, dit Le Monde, du 24 janvier 2003, le parquet pourrait conduire l'essentiel des enquêtes, assisté des policiers. Ces enquêteurs seraient autorisés, avec l'accord du juge des libertés et de la détention, à effectuer des perquisitions de nuit, des placements sur écoute ou des sonorisations de lieux privés et publics. Le régime dérogatoire de la garde à vue, qui permet de retenir une personne 96 heures au maximum dans les locaux policiers, serait étendu au grand nombre..." On entre donc dans un système en vigueur en Allemagne et aux Etats-Unis, où l'instruction est faite, à charge, par les procureurs. Ce sont des pays qu'on peut parfaitement qualifier de fascistes en ce qui concerne les libertés publiques. L'arbitraire des juges pourris de haine et de ressentiment s'y donne libre cours. Il faut être très riche et pourvu de bonnes relations pour échapper aux vengeances de groupes qui jouent de la justice comme d'autres jouent de la guitare. Dans la grande majorité des cas, d'ailleurs, les affaires se terminent par des compromis boiteux car être innocent dans de tels systèmes vous relègue presque toujours au trou pour des dizaines d'années, s'il y a eu crime quelque part. La flopée des Irlandais incarcérés en Angleterre par erreur pendant des dizaines d'années nous le rappelle. Les couloirs de la mort sont la honte de l'Amérique et les prisons allemandes, avec leurs systèmes d'isolement sensoriel, sont aussi une honte pour l'Europe.

L'abandon de ce qui a formé, pour le meilleur et pour le pire, l'ossature du droit romain et de la justice en France, est une forfaiture plus grave que toutes les autres. Il serait moins grave pour l'avenir de changer le nom de la "république française", pour l'appeler, par exemple, "Etat du Bananistan" que de changer l'Esprit des Lois, sans notre aveu, et sans notre consentement. Chirac et sa droite montrent encore une fois qu'ils n'ont rien dans le ciboulot. Des hydrocéphales, voilà tout, mal élus mais élus.


FASCINATION DU VOYOU

Le dénommé Schneidermann, qui, il y a deux ou trois ans, nous avait abondamment chié dans les bottes parce qu'il avait découvert le site de l'aaargh, dans les colonnes du Monde, s'est pris d'amour pour "un trop beau voyou". La presse a en effet rappelé qu'un certain Marc Rich [cf notre dossier très complet sur cet individu, Rich, mars 2001*suite de l'affaire Rich, avril 2001], était mêlé de près et de loin aux aventures pétrolières du Prestige et aux aventures métallurgiques de Metaleurop. Ce n'est pas très étonnant puisque la spécialité de cet escroc international est de se glisser dans les affaires foireuses, de les racheter à bas prix et de faire du commerce illicite avec des produits d'origine douteuse. Quand Clinton, la veille de quitter la Maison Blanche, l'a amnistié avec tout un paquet d'escrocs foireux, on s'est vite rendu compte qu'il avait touché du fric. Rich, qui vit en exil depuis longtemps, ne s'est d'ailleurs pas hasardé à tester la valeur sur place de cette amnistie bidon. Ce bon Schneiderman vient au secours des bandits de grand chemin, qu'il trouve mis en cause injustement, et vient paresseusement compisser ses collègues de la télévision qui ont été moins cauteleux que lui. (1er février 2003) Il voudrait se faire engager chez les Frères de la Côte qu'il ne s'y prendrait pas autrement. Mais ont-ils besoin d'un plumitif pleutre et pleurnichard ?


UN AMÉRICAIN PAS TRANQUILLE


The Conflict between Thinkers and Stinkers

By Paul Krupp

 
Anyone following the daily news will get the feeling that "something smells rotten in Denmark". America, the "Home of the "Brave and Free" suddenly indulges in brutal persecutions of people, the likes one only knows from the "Bolshevik-era". On February 5, 2003 a German national, Ernst Zündel, was arrested for a minor infraction which came about because of a bureaucratic mix-up at the INS (Immigration Bureau). Mr. Zündel did not appear at a hearing scheduled for him in May 2001 because his immigration lawyer asked for a postponement. A perfectly correct process in such cases. The INS gave no new date for the next hearing and waited until February 5, 2003 to arrest Ernst at his home in Tennessee. Since then he is held in jail with only one visit, so far, granted to his wife. Why was Ernst Zündel arrested on such a minor infraction caused by the INS? Somehow, somewhere, probably within the INS, somebody "manufactured" this "infraction" to have Ernst arrested at the behest of those who are the enemies of holocaust investigations and scholars. It is very simple, my friends, Ernst has questioned the holocaust. He did not believe all the stories and numbers. He did his own research and found out, that most of the holocaust-stories were incorrect, modified, exaggerated or outright lies. As a free man in Canada, he gathered his findings and made them public.
That was a terrible mistake. Thinking, one has freedom of speech in a democracy, even when it comes to Jewish problems, can have serious consequences. The Jewish community in Canada sued him with all kinds of charges like "inciting racial hatred", "besmirching the memories of the dead", "anti-Semitism", "denying the holocaust" and so on. There is a whole list of charges that can be laid against people who feel that the accounts of the holocaust are not quite true or correct, or simply lies. How any democracy could ever pass laws such as these, is beyond human comprehension. These laws oppress people and emancipate Judaism. Ernst Zündel was tried several times for the same "crime" in Canada, but the courts could not send him to jail. However, after that, his life was made miserable by free-roaming "terrorists" in Canada. Foreign interest forces prepared for another trial, again, this time with the proviso "truth is not a defense". Did I hear right? Truth is no defense in Canada? Needless to say, it will also be no defense in ANY democratic system. He decided to leave Canada to marry a naturalized citizen of the US, his wife Ingrid Rimland, and applied for a Green-Card. If Ernst gets deported from the US, that means that truth is no defense here either. Where do we live? In some bolshevik territory?
When was America defeated? How did that happen? Who is occupying our homeland? Criminals straight out of the "Three-penny opera"? If one wants to criticize the Europeans, no court would file criminal charges against such a person. Most of all if the defamed ethnic group is German. One can have a regular field-day besmirching the memories of the German dead. Questioning the figure of "6-million holocaust-victims" is a crime in all "western-style-democracies". Questioning the 500 000 victims in Dresden in one night of anglo/american bombing is not a crime. To deny the holocaust, is a crime. To deny God is not a crime. To ridicule or criticize God, like so many "artists" have done, is not a crime. To ridicule or criticize Jews is anti-Semitism, therefore a crime, punishable by racist laws. It is incredible that democracy could be so misused by our elected officials, who live in constant "fear of the Jews" (Book of Esther, 8,17 & 9,3) Folks, that elevates, in our godless democracy, the Jews above God! That makes the Jews more powerful than God himself. The words of Jews carry more weight than the word of God. Jews are not "God's chosen People", he is the "chosen God of the Jews" destroying those who wish not to obey Jewish demands. There is something seriously wrong in our "free societies"! While America is going around the world, "safe-guarding" democracy, the roof is caving in on the US. Criminals, con-artists, murderers, illegals, corrupt officials, gangster of all colors, drug dealers and gang-bangers, drive-by-shooters, sexual predators ad infinitum are roaming our streets and government offices, making it almost the most unsafe place on earth. Bring our military home and take care of our crime-problems here. Bomb our criminals and illegal invaders from around the world, instead of arresting men like Ernst Zündel, who is a taxpayer, a law-abiding member of our society who never stole, robbed, murdered, cheated anybody. WE NEED HELP! Free Ernst Zündel, before he is deported to Canada, from where he will be deported to "US-liberated" Germany, from where all these oppressive holocaust-laws have spawned like viruses for the "free world's" biological weapons of mass-destruction.



SHOW DOWN UNDER

Le procès Töben contre les Directeurs de la pensée juive en Australie doit commencer. le 25 février, à Sydney, Federal Court of Australia, NSW District Registry, Law Courts Building, Queens Square, à 10 heures et quart, le matin

Voici comment Töben voit les enjeux:


22 January 2003
 
This is it, the test-case that pits Common Law principles against Talmudic dialectics, where truth is no defence, the principle of natural justice ceases to exist and the concept of balance becomes irrelevant.
The foregoing make up parts of the legal structure that guarantees us free speech, as opposed to dogmatic and life-denying principles that enslave our minds and souls.
If the appeal is not allowed, then the skeptics are possibly correct in claiming that the Australian Legal Culture has been successfully Talmudicised, and where our cultural values of Truth, Honour and Justice have been enslaved to oppressive and immoral dialectic legalese.
Common Law demands of us that we, as mature citizens, perform our moral, social and legal duties. This we cannot do if we fear to speak the truth, if we are silenced and legally persecuted for telling the truth.
It is our moral duty to speak out and oppose those who tell lies. We need to oppose those individuals who tell lies about what happened during World War Two, for example, at the concentration camp at Auschwitz, in particular about the alleged homicidal gassings. It is our moral duty to inform society how the alleged murder weapon functioned - or question its very existence.
Anyone who claims that the Germans gassed Jews at Auschwitz is levelling a terrible allegation at the Germans. Such an allegation needs to be empirically tested, and not be legally protected from open scrutiny. Such assertions cannot remain unchallenged and legally excised from open debate. If they are, then truth will be suppressed - and that cannot be good for our moral wellbeing.
Truth-telling is a moral virtue; telling lies is an immoral act. A Judge who imposes a gag order on an individual for telling the truth about historical events, is behaving immorally.
Further, a judge who uses the following shut-up words on individuals who wish to initiate an open debate on any contentious historical matter, isbeing oppressive and unjust: hater, Holocaust denier, antisemite, racist, neo-Nazi, xenophobic, etc.
It is morally and intellectually dishonest to label dissenters with the current shut-up words with the aim of stifling open debate: hater, Holocaust denier, antisemite, racist, neo-Nazi, xenophobic, etc.
An individual who has conducted research at the former concentration camp at Auschwitz, then concludes that there were no homicidal gassings because there is no evidence of a murder weapon ever having existed, has a right to state the results of such empirical testing of evidence.
Punishing and silencing individuals who speak out about such matters is antithetical to what an open and democratic society is all about.
A legal system should not impose a legally state-sanctioned historical dogma on society. If it does, then this is a renewal of the state of affairs that prevailed in the former communist countries where courts labelled individuals revisionists and declared them to be a threat to state security, then banished such dissenters to the Gulags - the Gulags where Talmudic justice ruled.
Such state of affairs is a regression to the witch-hunt mentality that swept Europe and other parts of the world some time ago.
Do we in Australia want a Gulag Australiana Talmudistan to which our dissenting thinkers are sent all because they dare to disagree with prevailing politically correct views and opinions? A vigorous democracy demands that dissenting views be expressed freely in open forum.
If freedom of speech is taken from us on some spurious ground that someone feels hurt, then surely the subject matter ought to be discussed in open court.
To date this has not been done because the subject has been deemed to be beyond open debate.
The so-called 'Holocaust' has been declared to be beyond open debate while at the same time it is being discussed and offered as a dogma within an MA course at, for example Sydney University.
If the Appeal is not allowed, then free speech and free and open enquiry ceases to exist within our universities, and our democratic right to dissent and to be wrong about things is at an end. Talmudic law will shroud our society's fabric, dividing it into Jews and Goyim-cattle.
Still, fear not, the battle of the wills should prove to be interesting and colourful. A common expression within legal circles is: win some, lose some!
And so, whichever way the matter is decided, our legal team is the best we could have had!
 
Fredrick Toben


NOIR C'EST NOIR

Au cours du dernier sommet franco-africain, à Paris, un petit groupe de manifestants liés à Reporters sans Frontières avait hissé sur des voitures de grands portraits de 23 chefs d'Etat africains coupables de manquements graves à la liberté de la presse. Ils avaient juste oublié Chirac. Saisis d'une juste indignation, les trois mille policiers présents ont tenté de s'emparer de ces outrageantes trombines, sans succès. Question militaire, les poulets veulent bien se donner des grades ronflants, mais question manoeuvres de siège, il ne sont pas au point. Ils ont piteusement échoué. Alors un gradé a eu une idée lumineuse. Puisqu'on ne pouvait pas s'emparer des images, on pouvait les peindre, à distance. "En quelle couleur, chef ?" a demandé l'adjudant Dugland. "Z'êtes un âne, Dugland, lui a crié son chef. En Afrique, de quelle couleur qu'ils sont les gens ? Hein, Dugland ?" -- "Noirs, chef, ils sont noirs, j'ai pigé ! Bravo, chef. Ça, c'est très fort, chef." -- "Alors exécution, Dugland !" Les portraits ont été peints en noir. (Le Monde, 22 février 2003, p. 4)



oooOOO§§§OOOooo


 


LES AVENTURES DU MOT "RÉVISIONNISME" - V


 

21/ La dernière chance ?

... Western civilisation is in a precarious state today and revisionism may be its last chance, while Cultural Marxism is taught in every western university ...

Le texte est censuré par Indynet...

Ireland Independent Media Center, Ireland - 14 Feb 2003


22/ Un irrédentisme ?

Inseparable from internal repression is Ankara's external expansionism as a means of lessening political tensions and military threats in pursuit of territorial revisionism. In January of 1996, Ankara disputed Greek sovereignty over the Greek islet of Imia. Six months later Turkey claimed the Greek Island of Gavdos near Crete - 240 miles from the Turkish shore.

<http://frontpagemag.com/articles/ReadArticle.asp?ID=6096>


23/ La pédophilie ?

Dodici milioni di foto di bambini stuprati; mezzo milione di filmini con oltre due milioni di bambini coinvolti, di età compresa tra 0 e 12 anni. Sono queste alcune cifre di quello che può essere considerato, per le atrocità commesse sulle piccole vittime, l'olocausto del ventunesimo secolo: la pedofilia. Di questo olocausto don Fortunato Di Noto, fondatore e presidente di Telefono Arcobaleno, un'associazione che dal 1996 combatte la pedofilia in Internet, analizza i mille volti. [...]
La pedofilia. I mille volti di un olocausto silenzioso,1ª ed.

<http://www.ita-bol.com/bol/main.jsp?action=bolscheda&ean=978883152280>


24 / Un "gouvernement anarchiste" ?

Anarquismo libertario e revisionismo autoritario, Errico Malatesta, Ed. Index, 34 pgs. R$ 3,00

Resposta de Malatesta ao grupo revisionista, que pregava a idéia de um "governo anárquico". Originalmente publicado em 1932.

<http://www.indexeditora.hpg.ig.com.br/cultura_e_curiosidades/89/index_int_2.html>


25 / Un écrivain que les juifs veulent abattre ?

"Les questions à se poser face à cet évènement sont simples : Pourquoi le Figaro publie t il un tel torchon ? [Un article de Gabriel Matzneff] Pourquoi un homme qui fait ouvertement du révisionnisme et du négationnisme n'est pas inquiété juridiquement ? Pourquoi les pouvoirs publics ne prennent pas les mesures nécessaires alors qu'ils sont copieusement et honteusement insultés ?

<http://www.antisemitisme.info/cja/matzneff.htm>


Quand on donne le terme "révisionnisme" à l'instrument de recherche "Google, on obtient 7000 références, sur "Alltheweb", on en obtient plus de 20.000 ... La marée monte.



PUBLICATIONS


Livres sortant aux us en février

Expanding Historical Counsciousness: The Development of the Holocaust Educational Foundation, by Anita Weiner, February 2003

The Jewish Victims of the Holocaust (Holocaust in History), by Linda Jacobs Altman

Contested Memories: Poles and Jews During the Holocaust and Its Aftermath, by Joshua D. Zimmerman (Editor)

Death on the Black Sea: Destruction of the Jewish Refugee Ship Struma: The Untold Story, by Douglas Frantz, Catherine Collins

Act and Idea in the Nazi Genocide (Religion, Theology, and the Holocaust), by Berel Lang

A new issue of Holocaust and Genocide Studies, Winter 2002; Vol. 16, No. 3; le thème pricinpal est l'Italie.

<http://www3.oup.co.uk/holgen/hdb/Volume_16/Issue_03/>

Signalons seulement "New Sources on the Holocaust in Italy", by Richard Breitman, pp. 402-414

A noter l'absence complète de tout chercheur italien. Ils doivent sentir le parmesan. Mais un compte rendu d'un vieux livre du grand Renzo De Felice: The Jews in Fascist Italy: A History. Reviewed by Frederick M. Schweitzer, pp. 433-435. La première édition italienne remonte à 1961, chez Einaudi.


§== Pillage:

Nous (Faits et Documents) avons découvert que, sans notre accord, semble-t-il un des abonnés à la formule par internet a mis en ligne toutes les lettres deFaits et Documents depuis leur lancement, c'est-à-dire à la date d'aujourd'hui 107 numéros, sur un nouveau site, <http://www.f-d-in-mal.com>. La présentation en est nettement différente (les lettres sont parfois tronçonnées en plusieurs parties), ne faisant pas référence à nous et ne permettant pas de cliquer directement sur les liens. Nous n'avons absolument pas le temps d'aller vérifier, n· par n·, s'il y a eu des caviardages ou des manipulations. Il nous est impossible de nous opposer à de telles pratiques, n'ayant évidemment pas les moyens de nous lancer dans un éventuel procès international. Nous ne saurions donc être rendu responsable en aucune manière de ce site, ni des problèmes éventuels de copyright. Nos lettres sont strictement privées, adressées uniquement à des destinataires qui en font eux-mêmes la demande. C'est la raison pour laquelle nous ne les mettons pas à disposition en les archivant. Ratier

Internet, le Web, c'est aussi ça, l'hommage que le vice rend à la vertu...


§== A qui veut entendre. 14 questions et surtout 14 réponses du professeur Faurisson; Vous pouvez ENTENDRE. L'exposé sonore est en anglais. Très intéressant. Et bien, dans tout ceci la seule chose vraiment incroyable, c'est que cet homme soit à moitié britannique.


§== Diable. Une conférence d'Eric Delcroix aura (eu) lieu le jeudi 13 février 2003 à 20h30. Le thème évoqué sera "La diabolisation politique par la décadence du droit". A cette occasion, il dédicacera son livre Le Théâtre de Satan. Nous en concluons que le livre est sorti....


§== Poupoux. Laurent Joly, Darquier de Pellepoix, chez Berg, parle abondamment de R. Faurisson et des révisionnistes.


§== Tire-lire. Pour réclamer du fric à Hitler, ou à ses descendants, et si vous êtes italien:

<www.schiavidihitler.it>


§== Croissant chaud. Stefano Fabei, Il fascio la svastica e la mezzaluna (Le faisceau, la croix gammée et le croissant. Sur les rapports des pays fascistes avec le monde musulman), Gruppo Ugo Mursia Editore S.p.A. - Milano 2002 - pp.407, _ 26.00; rappelons qu'on peut commander des livres italiens sur Internet à

<http://www.internetbookshop.it/hme/hmepge.asp>

C'est l'équivalent d'Amazon.

Sur le site <http://www.aljazira.it/biblio/libro_fabei.htm> qui donne la table des matières du livre, on peut charger une bibliographie (en pdf) sur le sujet traité par le bouquin. C'est d'une autre qualité que les petits travaux policiers de la bande à Faligot.


§== Bund. Daniel Blatman, Notre liberté et la vôtre. Le mouvement ouvrier juif Bund en Pologne 1939-1949, Editions du Cerf, 314 pp., 38 euro.


§== Encyclopéjuive. La Jewish Encoclopedia de 1901-1906 (12 volumes) vient d'être mise au Net:

The only free Jewish encyclopedia on the Internet. This website contains the complete contents of the 12-volume Jewish Encyclopedia, which was originally published between 1901-1906. The Jewish Encyclopedia, which recently became part of the public domain, contains over 15,000 articles and illustrations.
This online version contains the unedited contents of the original encyclopedia. Since the original work was completed almost 100 years ago, it does not cover a significant portion of modern Jewish History (e.g., the creation of Israel, the Holocaust, etc.). However, it does contain an incredible amount of information that is remarkably relevant today. By putting this important work on the Internet, we hope to improve the quality of Jewish information available online -- and stimulate new discussion. Therefore, we have sections "Discussion Forums" and "Internet Links" which allow our visitors to converse and identify related websites.

<http://www.jewishencyclopedia.com/index.jsp>

C'est une documentation fantastique sur cette peuplade barbare, restée à beaucoup d'égards imbue de sa culture médiévale, et qui fourmille d'esprits pleins d'acrimonie qui ne rêvent que de détruire leur voisin. Ça a donné Israël.


§== Ciné.

Holocaust tales strike a chord with filmmakers and audiences, by Stephen Schaefer, The Boston Herald, Wednesday, February 5, 2003
Though World War II ended nearly 60 years ago, the Holocaust remains a pertinent and popular subject for filmmakers. In fact, judging from the string of new movies set against this horrific tragedy, its connection to today's world remains stronger than ever. Currently in movie theaters is "The Pianist," Roman Polanski's harrowing re-creation of a Polish pianist's struggle to remain alive in the Warsaw ghetto, and "Shanghai Ghetto," which documents how some Jews fled to China's port city of Shanghai to find a safe haven from Hitler's genocidal wrath. Soon to be released is "Nowhere in Africa," about a Jewish family's flight from Nazi Germany to Kenya. Also "Max," "Amen"' and "Blind Spot: Hitler's Secretary'" will deal with the same historical period.
Film critic Andrew Sarris cites a contemporary reason for this cycle of Holocaust movies. These cinematic reconsiderations of the Holocaust, Sarris writes in the New York Observer, are spawned by the plague of virulent anti-Semitism afflicting not only Germany, but all of Europe and all of Christianity.

Un truc aussi répadu ne peut pas être entièrement faux...

§==Toujours en retard. Un livre sorti en 2001 !!!

Deniers of the Holocaust: Who They Are, What They Do, Why They Do It, by Ted Gottfried, Stephen Alcorn (Illustrator), 112 pages, Twenty First Century Books, September 2001, ISBN: 0761319506, 29,90 $
Un David Thomson de Houston, Texas en dit ceci sur Amazon:
"There are two sides to every argument. However, the two sides are not always equal in truth, motive, or goodwill," declares Ted Gottfried. The author's succinctly written work admirably serves as an introduction to the bizarre phenomenon of holocaust denial. The art work of Stephen Alcorn beautifully compliments Gottfried's efforts to explain why many persist to believe the Nazi holocaust never occurred. Regardless of the overwhelming evidence, these anti-Semites rationalize away their disbelief by offering excuses that border on madness. No implausible conspiracy theory is avoided if it assists in maligning Jews and others deemed a threat to the Aryan majority. Some like the highly credentialled historian David Irving should know better. He is a well educated man who should laugh at the assertions of the deniers. Nonetheless, this self described "moderate fascist" goes so far as to reject all holocaust survivor testimony as instances of psychiatric illness. Irving's particular circumstances compel a democratic culture to distinguish between the freedom to publish, and the right to be taken seriously. A free society may have to permit Irving's weird ideas to enter the public debate, but he has no right to demand respect for such inept scholarship.
The holocaust deniers believe that the Jews deserve punishment for their alleged betrayal of their respective homelands. They ironically argue that while the holocaust never happened, the Jews still deserved to be punished for their misdeeds. Ludicrous myths about the supposed duplicity and back stabbing behavior of the Jews contributed greatly to the beginnings of the Nazi "final solution." Moral relativists attempt to minimize the horror of the Nazi holocaust by comparing it other atrocities. Gottfried right fires back pointing out that two wrongs don't make a right. The author alerts us to the relatively new phenomenon of numerous Internet sites devoted to hate. Also, major prominent politicians such as Austrian Jorg Haider praise many former Third Reich policies. The book's only glaring weakness is its ignoring of the negative impact of holocaust denial theories on the Islamic militants. This is especially frightening after the attacks of 9/11. I'm sure that Ted Gottfried will make up for this oversight in a future work. "Deniers of the Holocaust" is a worthy addition to the area of your library devoted to holocaust studies.


§== De profundis. Mr. Death, le film sur Fred Leuchter, qui fait si mal aux vétéro-tarnéristes, en cassette (en anglais) ou en DVD chez <Amazon.com>, 15 $.


§== Rengorgement. Il n'aura pas fallu longtemps pour que nos adversaires zitaliens se rengorgent de se voir cités dans la prestigieuse revue que vous lisez actuellement. Le 12 fév., on a pu lire:

Il sito revisionista abbc.com ci ha nuovamente citati. Pur sputandoci in un occhio ci definiscono "luogo di resistenza particolarmente fortificato" e gente in grado di poter vendere cucine cosa che per loro e' una specie di riconoscimento di abilita'. Tutto sommato una cosa e' certa: gli diamo fastidio.
Giovanni

Voici ce que nous disions: <http://www.aaargh-international.com/fran/actu/actu03/actu0302.html>:

§== Chiadé. Un site zolo italien vraiment chiadé, pensé dans les coins, présenté de façon claire. Ces gens-là pourraient vendre des cuisines ou des caves à vin. [...]

 

No, Giovanni, nullo fastidio. Ma solo la sorpresa: tant d'efforts pour remonter le rocher de Sisyphe... Le sujet du mail est: Onore delle armi. Nous acceptons ces termes. Suite, ci-dessous:


§== Visiteur du soir.

A proposito, cari tutti, sono andato a vedere abbc.com che segnalaste ultimamente. Sono rimasto inorridito, non dico altro. Ma non c'erano leggi che vietassero l'insulto alle vittime della Shoà per non dire la negazione (!) della Shoà? Tali leggi non valgono per il Web? [Réaction typique de l'intellectuel devant ce qui le dérange: vite une loi, les flics, le peloton. Il veut vivre tranquille, l'intellectuel, dans son fauteuil, ses certitudes, l'ordre, quoi ! ]
Con abbc.com ho scoperto il sito di Roger Garaudy. L'ho conosciuto bene, se non di persona, negli anni 70 quando, dal marzismo ultra militante, si convertiva al ...Protestantesimo, con esultanza di quel tipo di cristiani. Ma Garaudy, cane randagio, non si fissa in dimora! da allora si è ri-convertito, e all'Islam! E abbiamo così un Faurisson bis? Ma mi faccia il piacere... direbbe Totò!
Roberto D'Angelo, 20/2/2003


§== Principes tous temps.

Le "doute systématique" selon... Anne Morelli, historienne chargée de cours à l'Université Libre de Bruxelles, qui vient de publier Principes élémentaires de propagande de guerre, utilisables en cas de guerre froide, chaude ou tiède. Une intéressante interview de l'auteur est présentée sur le site de la "Ligue Anti Impérialiste" et Altermedia ne peut qu'encourager le lecteur à y faire un détour.
Madame Morelli surprend. Jusqu'ici, elle avait plutôt cultivé l'antiracisme qui est une preuve absolue de correction politique. Une sorte de passage obligé que Jean Cornil, sénateur "pS" coopté, avait bien négocié. Ce ne sera pas le cas de notre historienne qui doute de la sincérité des médias et de l'Histoire du temps présent qu'est l'actualité. Ses observations montrent qu'elle doute même de l'Histoire officielle. Péché capital s'il en est !
Anne Morelli rejoint la pensée de certains intellectuels de l'"ultra gauche" européenne, c'est très courageux mais quelque peu suicidaire et contradictoire. Lorsqu'elle affirme, par exemple, "Le doute n'a jamais fait de mal à personne" ou "Le doute doit servir à se construire un autre point de vue", elle oublie ces faits historiques devenus dogmatiques par la grâce de lois féroces qui excluent le doute, précisément, dès lors considéré comme une hérésie. Ce sont d'ailleurs des officines comme le MRAX (Mouvement contre le racisme, l'antisémitisme et la xénophobie), dont elle fut la Vice-présidente, qui se font les relais de ces lois.
L'avenir nous montrera les limites de la prise de conscience de Madame Morelli. (Altermedia)


<http://be.altermedia.info/index.php?p=271&more=1&c=1>


§== Septième génération. Dans Daguesh, Numéro 45, de déc. 2002, le magazine d'actualité scientifique de l'ambassade de France en Israël, qui chronique toutes les aides que la France fournit, avec notre pognon, à la machine génocidaire, où toutes sortes de juifs français congratulent toutes sortes de juifs israéliens, on trouve ces lignes:

""Michel VIDAL doctorant sur la reconnaissance visuelle d'objets par ordinateurs à l'Institut Weizmann depuis deux ans, devient Volontaire International au même endroit. Avant d'être diplômé de Supelec en 1998, Michel avait effectué sa dernière année d'école au Technion où il s'est spécialisé en Intelligence Artificielle et Vision."

Il bosse directement pour l'effort de guerre. Bravo, mon petit. Ton papa est fier de toi.


§== Effarant. Quelques vieilles barbes se souviendront peut-être du scandale soulevé dans les années 60 par la révélation que le prix Goncourt donné à André Schwartzbart pour Le Dernier des Justes (Seuil) avait récompensé une gros travail de plagiat généralisé. Depuis, le livre et l'auteur étaient tombés dans un "juste" oubli. Mais Feltrinelli, en Italie, vient de sortir cette vieille crotte rongée par les vers: L'ultimo dei giusti, 1ª ed., Feltrinelli, 2002 que vous pouvez commenader sur Bol.Italie:

<http://www.ita-bol.com/bol/includes/tornaImmagine.jsp?cdSoc=BL&ean=978880781172&tipoOggetto=MIB&cdSito=BL>

L'autre faussaire, qui a battu les estrades et attrapé les juifs, le prétendu Willkomirsky vient d'échapper au châtiment: un tribunal suisse a dit qu'il souffrait d'un léger dérangement mental et qu'il n'était pas responsable. Quand aux complices, éditeurs, critiques et autres charlatans toujours prêts à exploiter la douleur juive, ils courrent toujours.


§== Faurissonista ?

Andrea Tornielli, Pio XII. Il Papa degli Ebrei | 1ª ed., Piemme ,2002, ISBN: 8838447632
Contenuto:
Quando si è spento, il 9 ottobre 1958, il mondo lo ha pianto come un grande Papa. Oggi, da più parti, è invece accusato di essere moralmente responsabile dell'Olocausto. Ma come nascono i famosi 'silenzi' di Pio XII? Una sua plateale scomunica lanciata contro Hitler avrebbe fermato l'orribile 'soluzione finale'? Testimonianze e documenti inediti svelano una verità inattesa che fa vacillare il castello di accuse e leggende nere costruito intorno alla figura di Eugenio Pacelli. Un Pontefice che non fu mai il Papa di Hitler. Ma fu, piuttosto, il Papa degli Ebrei.

<http://www.ita-bol.com/bol/main.jsp?action=bolscheda&ean=978883844763>


§== Piqués. Les articles sur le révisionnisme japonais, affichés par les criminels en fuite et les deux nainxxx sur le site <amnistia.net> écrits par Arnaud Nanta, sont piqués à la revue Ebisu, où s'expriment les japonisants de la Maison franco-japonaise. 3-9-25, Ebisu, Shibuya-ku, Tokyo, 150-0013 Japon, Tél. +81-3-5421-7641 / Fax + 81-3-5421-7651, Email: [email protected]. Ils ne s'en vantent pas.


§== Canaille. Un historien, un "grand maître de la Sorbonne", Louis Girard, peu connu du grand public, est décédé à 91 ans. La nécro, dans Le Monde, (7 février 2003) est signée par un Antoine Prost. C'est le même personnage qui a eu le front de se présenter à un "conseil de discipline" du CNRS, le 11 juillet 2000 et de pérorer contre un chercheur dont il ne savait strictement rien. Voici le compte-rendu: "Monsieur PROST explique que les activités de Monsieur THION, dont il fait mention dans le rapport de la commission d'enquête, ne se situent pas dans le registre de l'histoire selon une démarche scientifique; à la lecture des textes, force est de constater que le niveau de langue et de discours ne sont pas de nature scientifique, Monsieur THION établissant des affirmations sans preuve alors même qu'il adresse ce type de reproche à ses adversaires ( cf lettre au premier ministre britannique et « les infortunes de la vie parisienne » )."

Ce pauvre con a pris au sérieux des textes qui ne sont qu'ironie, dérision, fables et moqueries des pesants animaux qui nous gouvernent. Plus lâche, tu meurs. Ce type est une sombre canaille qui a fait une carrière de canaille. Dites-le lui quand vous le verrez, plaqué contre les murs des couloirs de la Sorbonne... Ne soufflez pas trop fort, il tient à peine sur ses cannes.


§== Vieille pute. Renaud Camus, qui s'est illustré par quelques propos sulfureux, vient de participer à un numéro de la revue Cités, aux côtés du gratin des judéocrates, Serge Klarsfeld et Semoule Trigano. Le compte-rendu du judéocentriste Nicolas Weil dans Le Monde: dit ceci: "Surpris de se voir qualifié d'expert, [Renaud Camus] s'empresse de contester la thèse qui veut que ce scandale contre lui ait servi de masque au déchaînement de violences antijuives, et révèle qu'il s'est joint à la manifestation organisée par le CRIF le 7 avril". En voilà un qui sait enlever son pantalon juste quand il faut.


§== Basse sécurité. Les judéocrates de l'Union des étudiants juifs pleurnichent comme des veaux parce que les massacres que commettent leurs confrères en Palestine ne plaisent pas à tout le monde, et qu'il y a des gens pour le faire savoir aux partisans desdits massacres (Le Monde, 22 janvier 2003). Nous ne relèverons, dans cette palinodie, que la phrase suivante: «Quand [à Paris-X] on veut organiser une conférence sur le génocide nazi, l'administration l'annule faute de pouvoir "garantir la sécurité des intervenants"». Cela prouve au moins que tout le monde comprend pourquoi ces complices du génocide des Palestiniens veulent à toute force organiser des "conférences" sur "le génocide nazi". Ils espèrent ainsi ensevelir les crimes massifs dont ils sont solidaires, par des crimes anciens, chosifiés par la mémoire, cette machine idéologique. L'opinion estudiantine a été éduquée par les révisionnistes depuis plus de 15 ans maintenant et on peut dire que les sionistes circulent la queue entre les jambes. Qu'espéraient-ils d'autre ?


§== Les menteurs et les bonimenteurs. Une Interview en anglais original de R. Faurisson donnée à Phil Sanchez lors de la quatorzième (et dernière ?) conférence de l'Institute of Historical Review en Californie, au mois de juin 2002. Cette interview est visible dans la partie anglaise du site de l'aaargh.

On signale que l'ouvrage de Robert Faurisson, Le Révisionnisme de Pie XII, 121 p., paru récemment aux éditions Graphos de Gênes, est disponible à La Vieille Taupe, B.P. 98, 75223 Paris Cedex 05.

1 exemplaire: 15 euros: 2 exemplaires: 20 euros; 3 exemplaires: 25 euros; 4 exemplaires: 30 euros: au-delà: 7,5 euros par exemplaire.


§== Place du Manège. Notre ami Israël Adam Shamir publie un livre en russe en Russie:

"Yesterday in Moscow there was a presentation of my new book in Russian, a collection of essays called The Masters of Discourse: Israeli American Terrorism, published by a prestigious Leftist publisher, Gileya (together with the book of subcomandante Marcos). Some of the essays were written originally in Russian, others were translated from English.

Ex Libris, the Russian equivalent of NYT Review of Books, wrote:

«Israel Shamir, a Chomsky follower, a devoted anti-Zionist, is a fiery publicist; his letters shine like the letters of the sacred Torah. His enemies: American imperialism and comprador elites of Russia, his friends: Palestinian freedom fighters, his goal: communism. His arguments are compelling, as he is a Man-Style, the real Master of his Discourse.»

The Conservative, a literary weekly, also published an appreciation. Thus the book was well met by the Left and the Right, as well.

On commande directement les livres en russe à

<http://www.biblion.ru> mais ils n'ont pas le livre de Shamir. Il faut aller à la librairie Falanster, Bolchoi Kozikhinski Pereulok Dom 10, Moscou (où l'on trouve aussi Finkelstein, Chomsky et Cie).


§== Trop de conneries ? En 1998, Saül Friedländer, un thuriféraire de saint Gerstein, et un homme très répandu, avait publié un livre intitulé Nazi Germany and the Jews, The years or persecution, 1933-1939 volume I. Le Los Angeles Times disait que c'était probablement "le livre définitif". Ah! Ah! On attendait donc le volume II.

Publisher: HarperCollins;464 p. ISBN: 0060928786
Dans Commentary, son concurrent Robert Wistrich écrit: "Friedlander remains cautious to a fault about shaping his material into a cohesive whole or offering anything like an overall interpretation of the events he describes. Notwithstanding its wealth of insight and detail, reading this book is thus, at times, an oddly frustrating experience. Still, it remains a considerable achievement, an important landmark in the as yet unfinished project of grasping the nature and the meaning of the Holocaust.

L'éditeur nous bonnit la chose suivante:

"A great historian crowns a lifetime of thought and research by answering a question that has haunted us for more than 50 years: How did one of the most industrially and culturally advanced nations in the world embark on and continue along the path leading to one of the most enormous criminal enterprises in history, the extermination of Europe's Jews?"

Il y a donc des gens qui ont passé commande quand le second volume a été annoncé. Ils attendaient la suite depuis 1998. Le zolomane avait eu le temps de ranger ses papiers. Et puis voilà que l'éditeur leur fait savoir que le livre ne leur sera pas envoyé, qu'il ne sera même pas édité. Est-ce que c'est la trouille devant le vide béant de la chambre à gaz, dont il faut détourner le regard, aux dires d'Elie Wiesel, qui a fait renoncer ? Il semble que le livre ait été écrit. Mais il ne veut plus couronner sa carrrière. On se réjouit de savoir que quelques arbres auront la vie sauve plutôt que de servir de support aux élucubrations de Zozo Friedlander.


§== Rien à dire. Les animateurs de poubelles du site <amnistia.net> n'ont vraiment rien à dire. Vers le 20 février, ils mettent en ligne, à la une, un articulet minable qu'ils avaient déjà plus ou moins affiché en novembre, et publié en décembre dans leur torchon-papier. Cet articulet pose la grave question de savoir si Papy Denard ne recruterait pas des mercenaires pour faire une pétanque, et dans quel improbable pays ? L'Italie ! Pourtant depuis François Ier et les guerres d'Italie... Cette équipe est absolument incapable de se brancher sur l'actualité et n'a jamais fourni une seul papier qui ne ferait, ne serait-ce qu'une allusion, aux horreurs commises par la soldatesque israélienne. C'est à cela qu'on voit quelle est la main invisible qui les nourrit.


§== Attrape-couillons. Recherche de grasses subventions. Voir PRINCIP, Multilingual system for the analysis and detection of racist and revisionist content on the Internet.

<http://www-poleia.lip6.fr/~princip/> Nous avons déjà cité, en décembre 2002, le baratin de ces gens-là.

On voit que c'est du bidon complet. Le site affiche un logo européen qui renvoie à une page où on peut lire:

The Safer Internet Action Plan, covering the period 1999-2002 has a budget of 25 million euro, and has three main action lines;
-- bla bla
-- Developing filtering and rating systems, facilitation of international agreement on rating systems.

25 millions d'euros. En voilà une vache à lait, énorme !!!

Ensuite une page décrit les projets en cours:

<http://europa.eu.int/information_society/programmes/iap/projects/filtering/index_en.htm>

On trouve effectivement PRINCIP comme récipiendaire de la coquette somme de 1.100.000 euros ! C'est eux qui ont le plus gros paquet. C'est seulement là qu'on trouve le nom et l'adresse de l'escroc qui vient de soutirer un million:

Dr. Jean-Pierre Briot

Université Pierre et Marie Curie - Paris 6, 8 rue du Capitaine Scott Paris F- 75015, tel: +33 1 44 27 36 67, fax: +33 1 44 27 70 00, secr. (Ghislaine): +33 1 44 27 47 21, Email: <[email protected]>

C'est donc un labo du CNRS qui doit être spécialisé dans la recherche des subventions. Le Laboratoire d'informatique de Paris 6, directeur Eric Horlait, directeur adjoint Patrick Gallinari, a un site:

<http://www.lip6.fr/images/is_single_pixel_gif.gif>

On remarquera qu'il n'y a pas un mot de ces âneries dans la rapport annuel du labo, tel qu'il apparaît en ligne, non plus d'ailleurs que dans le budget. Un million d'euros qui n'apparaît pas, bonjour la Cour des Comptes:

<http://www.lip6.fr/Laboratoire/Rapport_2002/2002-07-Resumes.pdf>

On aimerait bien voir l'algorithme surlecutant qui permettra de distinguer entre une page où on parle du révisionnisme pour en dire du mal, ce qui est licite, souhaitable et très bon pour les carrières un peu flageolantes, et une autre page où, sans doute avec les mêmes mots, on en dira du bien, ce qui est abject, interdit, caca verboten.

On nous faisait croire, quand on était petit, qu'il y avait dans le ventre des locomotives tout un tas de petits Chinois qui pédalaient très fort pour faire avancer les trains. Là, pour faire marcher son algo, le Briot devra mettre dans sa machine une floppée de petits knobels, karmazinzins, chapeaux-doigts, et autres ahuriz, pour obtenir un taux de dénonciation qui soit en rapport avec les sommes versées.

On peut voir la bobine du sieur Briot, qui, je le dis pour les anciens, blanchis sous le harnais, ressemble assez à Croquignol, des immortels Pieds-Nickelés, à:

<http://www-poleia.lip6.fr/~briot/index2.html>

Voici comment il décrit ses activités:

«Currently I am interested in the issues of adaptive software for distributed cooperative applications. Adaptation can be multiple (adaptation to changes in requirements, environment...) and can be manual or automatic. This raises various issues (modeling, control, consistency...), uses various concepts and techniques (objects, actors, agents, components, software architectures, reflective architectures...) and needs various experiments, all being at the crossing of traditional fields (programming, distributed systems, artificial intelligence, artificial life...).»

Chez ces gens-là on ne parle pas français.

On ne peut pas savoir quels sont ses "projets" et quelles sont ses "publications" ("dont beaucoup en ligne") parce que les adresses sont mal écrites... Oh! Oh!

A notre tour, nous voulons poser une question, sans embêter Ghislaine: Combien de centaines de milliers d'euros faut-il donner à un chercheur du CNRS pour qu'il parvienne à la conclusion qu'il y a des éléments révisionnistes sur le site de l'aaargh ?

Bref, internautes, mes amis, vous pouvez dormir tranquilles pendant que ces rusés coquins se dorent la pilule avec le fric de l'Europe. Au moins, Bruxelles sert à quelque chose, pour les éleveurs corses et les chercheurs en informatique.

Finalement, nous proposons à ce Briot de faire part à deux. ou il nous file la moitié du flouze, ou on va le cafeter à Bruxelles...


§== Ecole de Guerre. Del Valle dit qu'il est professeur et chercheur à l'ESLCA. C'est Ecole Supérieure Libre des Sciences Commerciales Appliquées, école bidon s'il en fut, pour ratés friqués qui n'ont pas pu intégrer une véritable grande école. Parmi ses activités, on note: «La Nuit De l'Oreiller, La plus grande bataille de polochon au monde recensé dans le livre des records ! Cela ne vous dit rien ??? Et bien c'est l'ESLSCA qui prépare cet évènement annuel que tout étudiant digne de ce nom est impatient de retrouver. «Car c'est dans une ambiance bon enfant que tous les étudiants de France peuvent se retrouver pour retourner en enfance...»

Del Valle (c'est même pas son vrai nom) enseigne, dit-il, dans une lettre au Monde, à "l'Ecole de guerre économique". On voit le genre de guerre. (Le Monde, 22 juin 2002).


§== Mémoire d'un racketter. Premier chapitre du type qui a mené l'offensive de l'administration Clinton pour faire cracher aux Suisses un somme colossale pour les victimes du Grand Zolo et surtout pour les parasites qui en profitent. Ce type est bouffi d'orgueil mais il est en dit long, car grande est sa bêtise, c'est le corbeau de la fable.

Stuart Eizenstad, Imperfect Justice. Bonnes feuilles dans le New York Times du 23 février 2003:

<http://www.nytimes.com/2003/02/23/books/chapters/0223-1st-eize.html>


§== Nouvelle génération.

Top historian attacks Hollywood over Nazis Films that glamorise the Third Reich distort children's view of the past, says author
By Nicholas Pyke, 13 October 2002

"Antony Beevor, the distinguished military historian and best-selling author of Stalingrad, has warned that Hollywood war movies are so historically inaccurate they could create a new generation of Nazi sympathisers.
<http://news.independent.co.uk/europe/story.jsp?story=342021>

 

 

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Informations et commentaires tirés du site aaargh

Les versions PDF se trouvent aux adresses suivantes:

<http://conseilsderevision.tripod.com>

<http://aaargh-international/fran/livres2/cr0303.pdf >

 

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Tous les mois, la page actualité est archivée.

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Artigo 19· <Todo o indivíduo tem direito à liberdade de opinião e de expressão, o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração de fronteiras, informações e idéias por qualquer meio de expressão.> Déclaration universelle des droits de l'homme, Paris, 1948.


 

Le Onze tiret un

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Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.

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