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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
19 (Avril 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
d'avril 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
Un génocide
n'a pas besoin de chambres à gaz !
Shulamit Aloni, ex-ministre
de la culture du gouvernement Rabin,
titre d'un article paru dans Ha'aretz, 13 mars 2003.
Nous le savions
depuis longtemps...
AAARGH, 14 mars 2003
ENCORE L'AFFAIRE
ZÜNDEL
ZÜNDEL
À LA BASTILLE
Gardé dans un cul-de-basse fosse
au Canada, sous la lumière électrique permanente
(c'était une forme de torture dans les prisons de Staline
!), Zündel attend l'audience du 30 mars pour avoir la parole.
Il a demandé l'asile politique, ce qui a jeté une
confusion énorme dans les milieux politiques canadiens.
Pour suivre au jour le jour les développements
de l'affaire Zündel:
<http://www.zundelsite.org/zundel_persecuted/index.html>
D'une part on attrape Zündel, de
l'autre on s'attaque au site. Voici le courrier reçu par
Ingrid Rimland, propriétaire et gestionnaire du "zundelsite":
Hello Ingrid Rimland:
"Le simple fait
d'héberger votre site nous a valu bien des ennuis. Nous
n'avons cessé de recevoir des documents de la part, entre
autres, de la Commission canadienne des droits de l'homme. Nous
avons même consulté des conseillers juridiques et
avons réussi à tenir jusqu'à ce jour. Mais
nous en sommes arrivés au point où les fournisseurs
d'accès de notre entourage exigent que nous fermions votre
site pour éviter des risques de représailles sur
le réseau. Nous croyons à la liberté de
parole et d'expression et c'est l'unique raison pour laquelle
nous n'avons pas fermé votre site dès le premier
contact il y a plusieurs mois. Nous allons le transférer
sur un autre serveur d'un autre réseau, ce qui vous donnera
au moins une semaine pour décider de ce que vous voudrez
faire. Salutations: Marcus N. Barnes, Pdg."
We have been under a
lot of pressure just by simply hosting your site. We have continually
been sent documents from the Canadian Human Rights Commission
among other parties. We have even consulted legal council and
held out this long. However at this point, our top level peer
providers want us to remove it to ovoid risk of retaliation on
the network. We believe in the freedom of speech and expression
and is the only reason we didn't put the site down on the first
contact several months ago.
We are going to move
you site to another server on another network which will give
you at least another week to decide what you want to do from
here out.
Regards:
Marcus N. Barnes, CEO
& President
Il est intéressant de noter qu'au
moment où les autorités judiciaires allemandes commencent
la danse du scalp autour de Zündel, la presse allemande se
fait l'écho des menaces d'utilisation de la torture par
le chef adjoint de la police de Francfort.(article de la Frankfurter
Allgemeine en anglais) Décidément...
<http://www.faz.com/IN/INtemplates/eFAZ/docmain.asp?rub={B1311FCC-FBFB-11D2-B228-00105A9CAF88}&doc={656C2062-EB02-4F40-A12A-8858112C168A}>
RÉVÉLATIONS
Un livre récemment paru au Canada
comporte des révélations sur l'attention que les
services secrets canadiens ont toujours porté à
Ernst Zündel et donne des indications précises sur
la connaissance qu'avaient ces services des attentats au colis
piégé qui ont manqué de le tuer. On retiendra
l'ironie qu'il y a à voir ces mêmes services secrets
(CSIS), qui ont participé à une tentative de meurtre
sur la personne d'un résident étranger installé
au Canada, qui ont affirmé, au cours de séances
à huis clos d'un tribunal que ledit résident était
un "danger pour la sécurité" du Canada,
sans jamais en apporter le moindre indice ou élément
de preuve, afin de lui refuser la naturalisation canadienne, ce
que le tribunal a effectivement prononcé, être aujourd'hui
ceux qui vont dire aux autorités légales si ce même
résident, renvoyé au Canada par les services américains
à la diligence des lobbies juifs, peut être autorisé
à résider au Canada ou doit être expulsé
vers un pays, l'Allemagne où il est né, dont il
est parti il y a quarante ans, et qui l'a condamné à
une amende pour une histoire de presse dérisoire.
Voici quelques extraits du livre. On trouvera dans un message d'Ingrid
Rimland, la femme de Zündel, son analyse d'extraits plus
complets du livre en question;
Here is the pertinent information that
has only recently come to light in a book titled Covert Entry
/ Spies, Lies and Crimes: Inside Canada's Secret Service by
Andrew Mitrovica.
From the back flap we learn this about
John Farrel, the CSIS undercover agent who came out of the closet
about his, and other operatives', illegal activities.
Mitrovica addresses how CSIS dealt with
Ernst Zundel,
Extraits des pages 136-140, traduits par
nos soins:
S'occuper du courrier
de Zündel n'était pas une mince affaire. La violence
gravitait autour de ce négationniste. Une bombe artisanale
a explosé, un jour, derrière sa maison de Carlton
Street et a fait beaucoup de dégâts. Farrell n'était
jamais à l'aise quand il interceptait le courrier de Zündel.
Il savait que cet homme habitué à faire sa propagande
avait des ennemis et qu'un jour ou l'autre l'un d'eux pourrait
bien se servir du courrier pour lui envoyer à sa porte
un message violent et clair. Farrell aimait bien ses mains et
tenait à les conserver.
Lunau (le supérieur
de Farrell) lui dit de faire particulièrement attention
en manipulant le courrier adressé à Zündel
en provenance d'une boîte postale de Vancouver. Il se refusa
à expliquer pourquoi il fallait faire attention à
cette adresse de Vancouver, mais on voyait bien qu'il craignait
que du courrier en provenance de cette adresse pût être
utilisé pour cacher une bombe.
L'inquiétude de
Farrell atteignit son apogée lorsque Lunau lui intima
l'ordre de cesser provisoirement d'intercepter les colis destinés
au domicile de Zündel. "J'ai reçu un coup de
fil de Lunau qui m'a dit: 'Arrête de vérifier les
colis. Ne t'occupe que des lettres recommandées'",
raconte Farrell. Lunau ne plaisantait pas. Farrell le sentit
à l'insistance de sa voix.
En mai 1995, un colis
arriva à la porte de Zündel apparemment en provenance
d'une boîte postale de Vancouver. Zündel mit de côté
le colis sans l'ouvrir pendant près d'une semaine avant
de s'apercevoir qu'il "faisait un drôle de bruit"
quand il le secouait. Il déposa alors le colis suspect,
recouvert d'un sac de graines pour oiseaux, dans le coffre de
sa voiture, se rendit au commissariat local où des experts
en déminage s'aperçurent qu'il contenait une puissante
bombe remplie de gros clous. La police organisa un cordon autour
du commissariat (...). Un robot télécommandé
plaça avec précaution le colis dans un récipient
à l'épreuve des effets de souffle. Un peu plus
tard, sur un terrain vague voisin on fit exploser la bombe qui
creusa au sol un large cratère. Zündel déclara
que le colis, camouflé pour ressembler à un livre,
portait une adresse d'expéditeur périmée,
celle d'un de ses amis de British Columbia, Tony McAleer, militant
défenseur de la race blanche. La police déclara
que la bombe renfermait suffisamment d'explosifs pour blesser
grièvement ou tuer n'importe quelle personne dans un rayon
de 90 mètres de l'explosion.
[...]
Il est regrettable, dit
Farrell, que le service d'espionnage canadien n'ait pas tenu
compte de l'avertissement et ait ainsi mis inutilement en danger
la vie de Canadiens. En effet, quand le CSIS a recommencé
à intercepter le courrier de Zündel, il a continué
à envoyer pour inspection à Ottawa, par avions
de ligne, les colis difficiles à ouvrir, alors qu'il y
avait déjà eu un colis piégé. "Ce
qui m'inquiétait c'est qu'il pouvait toujours y avoir
une bombe dans le courrier de Zündel", dit Farrell.
"Et on envoie ça par avion à Ottawa? Ca se
faisait par Air Canada. Alors qu'est-ce qu'on imagine qui va
se passer si une bombe éclate au moment où on transporte
son courrier sur un jet commercial?"
Farrell ne cessait de
soulever la question avec Lunau. "Je m'inquiétais
pour ma propre sécurité et pour les passagers et
les équipages des avions. J'ai dit et redit à Donnie
que je pensais qu'il n'était pas sérieux d'envoyer
ces colis de Zündel par avion à Ottawa. Mais ça
ne paraissait pas le toucher. Je lui disais 'Don, note ça,
il ne faut pas qu'on fasse ça.' Lunau répondait:
"D'accord. C'est noté."
Farrell a donné
l'alerte, mais personne, au CSIS, ne s'est donné la peine
d'écouter.
Voilà ce qu'écrit Mitrovica.
Et le CSIS est ce même organisme gouvernemental canadien
qui est responsable de l'emprisonnement d'Ernst Zündel --
et qui veut le déguiser en "danger pour la sécurité
du Canada"! Imaginez à quelle sorte de "justice"
il va avoir droit.
Il existe une version en français,
que nous n'avons pas encore pu nous procurer: Crimes et mensonges
dans les services secrets canadiens. Entrée clandestine.
Editions Trait d'union. Par Andrew Mitrovica ([email protected])
ISBN : 2-89588-013-1, 432 pages. Le livre est sorti en anglais
chez Random Canada en octobre 2002. La presse française
(en France) semble l'avoir ignoré totalement. Des commentateurs
anglo-saxons le comparent à un livre fameux, d'un transfuge
de la CIA, Inside the Company, de Phlip Agee, qui nous
a beaucoup appris quand il est sorti dans les années 60.
Philip Agee vit toujours en exil, à l'heure actuelle, réfugié
à Cuba.
Prix 29.95$ (Pour acheter -- attention
dollars canadiens):
<http://www.traitdunion.net/img/serrure.gif>
La publicité dit:
- "Découvrez
les secrets les mieux gardés de l'organisation la plus
secrète (et parmi les plus puissantes) du pays. Des révélations
hautement compromettantes sur les services secrets canadiens,
un portrait alarmant de la corruption et de l'incompétence
de cette organisation, c'est ce que contient ce livre-événement
qui sera sans doute un des plus importants de l'histoire du journalisme
d'enquête au pays. La maison Random House en publie simultanément
la version anglaise. Cet ouvrage annonce-t-il un Watergate canadien?
Peut-être bien. Chose certaine, ce sera LE livre que tout
Canadien devra avoir lu. Dans une préface explosive à
l'édition de langue française, Michel Juneau Katsuya,
ex-agent et haut fonctionnaire des services secrets canadiens,
appuie sans réserve le livre d'Andrew Mitrovica, Entrée
clandestine. Crimes et mensonges dans les services secrets canadiens.
Michel Juneau dénonce le manque d'éthique qui prévaut
au SCRS et qui explique comment on a pu commettre de si nombreux
crimes."
CE
QUE LA CRITIQUE CANADIENNE EN DIT
- Actualité
- Écoute électronique,
espionnage, interception de courrier, inspection des ordures
des chefs syndicaux tout cela sans mandat! Le Service canadien
du renseignement de sécurité (SCRS) semble se moquer
des lois et des règles élémentaires qui
devraient régir son travail. C'est du moins ce que révèle
un ouvrage-choc, Entrée clandestine (éditions
Trait d'union), qui sera en librairie dans quelques jours. L'auteur,
Andrew Mitrovica, journaliste enquêteur au quotidien torontois
The Globe and Mail, y décrit avec force détails
certains dérapages de dirigeants et d'employés
du SCRS. [...] Ce que décrit Andrew Mitrovica dans son
livre laisse croire que ces promesses n'ont pas été
tenues. En s'appuyant surtout sur le témoignage d'un ancien
agent du SCRS, John Farrell -- mais aussi sur celui d'autres
ex-collaborateurs du Service --, le journaliste lève le
voile sur diverses pratiques illégales au sein de l'organisme
fédéral, sur le laxisme et le népotisme
de certains de ses gestionnaires, sur les rapports troubles entre
le SCRS et le pouvoir politique, sur ses liens avec les milieux
interlopes, etc. Il rapporte aussi que des agents de renseignements
ont installé leurs enfants dans des appartements payés
par l'État et devant servir de postes d'observation lors
d'opérations ultrasecrètes. Dans l'extrait qui
suit, l'auteur révèle un aspect peu connu du grand
public: la présence, à la Société
canadienne des postes, d'"enquêteurs-espions"
travaillant en étroite collaboration avec le SCRS. On
y raconte notamment les débuts de John Farrell comme employé
de Postes Canada, puis son travail subséquent à
l'intérieur de la société de la Couronne
à titre d'agent du SCRS. [...]
- André Cédilot,
La Presse
- Favoritisme, incompétence,
gaspillage de fonds publics, mensonges et... activités
illégales. Le Service canadien du renseignement de sécurité
-- le fameux SCRS, comme on l'appelle -- apparaît au-dessus
des lois, là où la fin justifie les moyens. Dans
Entrée clandestine, le journaliste Andrew Mitrovica,
de Toronto, lève un petit coin de voile sur le fonctionnement
et les méthodes d'enquête de cette agence fédérale
chargée de la sécurité nationale. Sa source
principale, John Farrell, 34 ans, est un ancien agent à
contrat du SCRS. Celui-ci ne dévoile pas de grands secrets,
mais révèle les dessous de quelques affaires auxquelles
il a participé durant ses 10 années avec le bureau
ontarien du principal organisme d'espionnage au Canada. À
en croire Farrell, la direction et les membres du SCRS ne sont
peut-être pas toujours aussi prudents et aussi discrets
qu'on le croit. Selon lui, c'est une organisation gigantesque
où trop souvent la cupidité et la soif de pouvoir
passent avant la saine gestion et le respect des droits des citoyens.
Homme au passé trouble, Farrell a été recruté
par le SCRS en 1990 alors qu'il travaillait comme inspecteur
des postes à la Société canadienne des postes.
Se qualifiant d'un "des meilleurs agents sur le terrain",
il ne cache pas avoir lui-même participé à
des actes illégaux pour gagner la confiance de ses patrons
et s'attirer des faveurs.
- André Cédilot,
La Presse, 20 octobre 2002
Inspection de courrier, fouilles de domiciles
et de véhicules sans mandat pour le compte du Service canadien
du renseignement de sécurité (SCRS), conflits d'intérêts
et dépenses inconsidérées sont à l'Honneur
dans le livre d'Andrew Mitrovica qui, depuis sa sortie, ne cesse
de créer des remous.
" Farrell a décidé
de dénoncer ceux qui lui ont donné la chance de
faire ses preuves et de vivre de "thrill" de sa vie
parce qu'il considère que trop de hauts dirigeants du SCRS
sont incompétents et peu intègres, cherchant davantage
à servir leurs intérêts personnels qu'à
vraiment protéger le pays". Bref, une histoire de
favoritisme, incompétence, gaspillage de fonds publics,
mensonges et...activités illégales chez les services
secrets canadiens. Entrée clandestine. Crimes et mensonges
dans les Services Secrets canadiens se mérite trois
étoiles!
ERNEST
LA PATATE CHAUDE
Les juifs canadiens veulent s'en débarrasser.
Le Centre Wiesenthal canadien propose aux Allemands d'oublier
leurs griefs et leur mandat d'arrêt en sorte qu'il n'y ait
plus de base pour une demande d'asile par Zündel, que l'on
pourrait alors expulser tranquillement, sans lui laisser aucune
occasion d'ouvrir la bouche. Il leur fout une pétoche noire.
- Lettre de Leo Adler, Director
of National Affairs, Friends of Simon Wiesenthal Center for Holocaust
Studies
- <http://www.wiesenthal.com/social/press/pet1.cfm?petid=61>
- March, 2003
- The Honourable Martin
Cauchon
- Minister of Justice and
Attorney General of Canada
- 284 Wellington Street
Ottawa, ON K1A 0H8
- The Honourable Denis Coderre,
P.C., M.P.
- Citizenship and Immigration
Canada K1A 1L1
- Dear Ministers;
- On February 20, 2003 I
sent you a letter in which I emphasized that Mr. Zundel not be
given the opportunity to cause racial discord in Canada. However,
before he could be sent out of Canada, Mr. Zundel was able to
file an application, seeking asylum from German justice. This
was most unfortunate, as we all know the legal manoeuvring which
could result in a protracted stay in Canada by Mr. Zundel.
- Even the attempt to have
him declared a security risk carries with it the possibility
of lengthy court battles.
- Each of these options;
whether it be an asylum hearing or a security enquiry, increases
the likelihood of him arguing that his "political / social"
views and freedom of expression are being stunted. Media coverage
will be intense and will give Mr. Zundel a golden opportunity
to further expound his beliefs, thereby allowing him to commit
the very effrontery that Canada and Germany are hoping to prevent.
- With that in mind, I wrote
to the German Ambassador to Canada (see attached letter), suggesting
that Germany suspend any legal action against Mr. Zundel for
his past misdeeds. The end result is that there would be no legal
basis for a refugee / asylum hearing and no necessity for a national
security court case. Indeed, he wouldn't even qualify to stay
in Canada upon humanitarian grounds.
- Mr. Zundel, being otherwise
ineligible to enter Canada, could easily then be expelled to
wherever he would be legally admitted, whether that be Germany
or elsewhere.
- After writing to the German
Ambassador, I was able to secure a meeting with a top official
in the Embassy. I was advised that our proposal had already been
sent to the proper authorities in Berlin. Furthermore, after
discussing the matter at length and explaining the reasoning
behind it, I was assured that this would be given serious consideration.
As well, it was believed that a similar request from Canada would
give this suggestion much-needed impetus.
- Mr. Ministers, the last
thing that anybody (except Mr. Zundel) wants is a protracted,
media-hyped series of court appearances which serve to publicize
Mr. Zundel. Neither Canada nor Germany ought to squander precious
resources on Mr. Zundel. I believe that the same result (the
expulsion of Mr. Zundel from Canada) can be achieved in the manner
I suggested in my letter to the German Ambassador.
- As I pointed out, the
sweetest justice would be to show Mr. Zundel a form of mercy
that leaves his future in his hands, rather than allowing him
to become a self-styled martyr for his cause.
- I look forward to hearing
from you as soon as possible. Delay only plays into Mr. Zundel's
hands.
- 26 février 2003
- Son Excellence le Dr.
Christian Pauls
- Ambassadeur de la République
fédérale d'Allemagne au Canada
- 1 Waverley Street, Ottawa,
Ontario K2P 0T8
- Monsieur l'ambassadeur,
Je ne doute pas que le nom d'Ernst Zündel vous soit bien
connu. Je ne doute pas non plus que vous sachiez que M. Zündel
prétend que le Canada devrait lui accorder le droit d'asile
en raison d'allégations (assez anciennes) retenues contre
lui en Allemagne et non prescrites. Inutile de dire que les arguments
de M. Zündel sont manifestement spécieux et nous
sommes bien certains que la preuve en serait administrée
devant n'importe quel tribunal canadien jugeant les affaires
de droit d'asile ou de réfugié. Mais c'est là,
précisément, le problème.
- M. Zündel cherche
à utiliser notre système judiciaire pour contrecarrer
le système judiciaire allemand. Le fait que (comme nous
le pensons) il finisse par échouer ne résout pas,
toutefois, ce dilemme. Le problème, tel que nous l'analysons,
est le suivant: comment faire pour empêcher M. Zündel
d'abuser de nos tribunaux, de s'en servir comme tribune pour
vomir sa philosophie et, ce faisant, d'attirer encore plus de
gens sur sa personne et sa cause? La réponse, me semble-t-il,
est du ressort de votre pays.
- Si l'Allemagne annonçait
qu'elle suspend toutes les poursuites ou charges retenues aujourd'hui
contre M. Zündel en raison de ses activités passées,
sa demande de droit d'asile se retrouverait sans fondement et
il serait obligé d'aller en Allemagne. M. l'ambassadeur,
les Amis du Centre Simon Wiesenthal pour l'étude de l'Holocauste
ainsi que tous les Canadiens ont un profond respect pour le système
judiciaire allemand. Mais nous sommes aussi convaincus que la
justice allemande est capable de faire preuve, non seulement
de justice et de compassion, mais aussi d'innovation et de
créativité. [Donc, un jour les juifs
demandent que l'Allemagne applique ses lois avec sévérité
et le lendemain ils lui demandent, parce que cela les arrange,
de s'asseoir dessus. Ils sont vraiment timbrés. Et ces
mecs-là voudraient qu'on leur reconnaisse l'aptitude à
jouir en toute liberté d'un Etat souverain, sur le sol
de la Palestine dont ils auraient tué tous les habitants!]
- C'est pourquoi, même
si la décision ainsi prise par l'Allemagne permettrait
à M. Zündel de retourner en Allemagne, nous sommes
bien tranquilles que votre pays pourra, si nécessaire,
facilement appliquer ses lois. Une fois là-bas, tant que
M. Zündel respectera la loi, il restera un homme libre.
S'il choisit d'enfreindre la loi, alors là, évidemment,
il serait, comme tout un chacun, poursuivi pour ce qu'il aurait
fait. Ainsi M. Zündel serait-il entièrement responsable
de ce qui lui arriverait à l'avenir.
- Nous vous saurions gré
de bien vouloir transmettre cette lettre à votre ministre
fédéral de la justice. En annonçant rapidement
que l'Allemagne renonce à toute poursuite contre M. Zündel
pour des délits antérieurs, le ministre réussira
à priver simultanément M. Zündel de toute
possibilité d'exploiter la situation actuelle, tout en
mettant l'accent sur l'ingéniosité et la flexibilité
du système judiciaire allemand.
- M. l'ambassadeur, je
vous appellerai sous peu pour discuter plus avant de cette affaire.
Je souhaite également pouvoir vous rencontrer afin de
vous convaincre que nos 40.000 membres sont persuadés
que la justice la plus douce consisterait à témoigner
d'une certaine clémence à l'égard de M.
Zündel en l'instituant responsable de son avenir, plutôt
que de lui permettre de se présenter en prétendu
martyr de sa cause.
- Leo Adler, Directeur
des Affaires nationales, Les Amis du Centre Simon Wiesenthal
pour l'étude de l'Holocauste
<http://www.wiesenthal.com/social/press/pet1.cfm?petid=61>
Ces lettres ne se trouvent apparemment
plus sur le site mais on peut en demander confirmation directement
à Leo Adler, Director of National Affairs, <[email protected]>
- Désaccord
sur Zündel: les dirigeants juifs se disputent à propos
de leur principal ennemi
- Par Enzo Di
Matteo
-
- Dès qu'il s'agit
de parler du négationniste Ernst Zündel, on ne maîtrise
plus les controverses. Il n'y a qu'à voir la demande de
statut de réfugié qu'il a présentée,
ici, au Canada, après sa déportation par les autorités
américaines.
- Certains espèrent
que le négationniste Zündel sera mis dans un avion
et envoyé prochainement en Allemagne.
- Les groupes juifs
ont été horrifiés de voir l'intérêt
que portaient les médias à son affaire. C'est bien la dernière
chose qu'ils voulaient.
- "Avec Zündel,
c'est toujours intéressant", dit un dirigeant de
la communauté juive, mi figue, mi-raisin.
- Les grands médias
semblent ne pas pouvoir se dégager de la fascination qu'exerce
sur eux Zündel. Le "Globe" est même allé
jusqu'à envoyer un correspondant dans sa ville natale
de Calmbach, en Allemagne, pour en faire un article paru vendredi.
Le lendemain samedi le même journal faisait un papier sur
toutes les femmes qui avaient aimé le "caméléon"
Zündel.
- Cette couverture médiatique
inquiétait depuis le début les dirigeants juifs
et a provoqué récemment un débat d'une grande
intensité chez les trois principales organisations juives
du Canada à propos de la tribune que représenterait
pour Zündel une bataille juridique traînant en longueur
et qui permettrait à cet habile propagandiste de promouvoir
son antisémitisme.
- Les Amis du Centre Simon
Wiesenthal ont suggéré récemment aux autorités
allemandes d'abandonner les poursuites contre Zündel afin
d'accélérer sa déportation du Canada (voy.
plus haut). Les accusations en question concernent une bande
vidéo distribuée par Zündel et intitulée
"Le Mensonge d'Auschwitz".
- Leo Adler, directeur
du centre des affaires nationales, avance, dans une lettre adressée
à l'ambassadeur allemand du Canada, [...]
- Mais d'autres, parmi
les dirigeants juifs, ne sont pas aussi pressés de voir
les autorités allemandes pardonner à Zündel
ses mauvaises actions. Il y en a qui préfèrent
laisser Zündel poireauter au Centre de détention
du Niagara tant que durera la procédure.
- Le B'naï B'rith
a envoyé son correspondant auprès des autorités
allemandes pour dire que "Zündel doit être déporté
en Allemagne et poursuivi au maximum de ce qu'il est possible
de faire au titre des lois antiracistes". Le groupe a répété
ces propos vendredi dernier lorsque CBC Radio avait rapporté
dans son journal que le B'naï B'rith, lui aussi, approuvait
l'initiative du Centre Wiesenthal. "Si, comme il est dit,
il s'est rendu coupable d'un délit dans un autre pays",
dit le directeur de la communication du B'naï B'rith, Joseph
Ben-Ami, "il doit être jugé pour ça".
(...) "Nous sommes bien les derniers à vouloir qu'on
abandonne des poursuites contre lui. Je veux dire, on ne va pas
faire une chose pareille. Nous estimons qu'il est de notre devoir
de le poursuivre. Nous ne laisserons certainement pas attacher
notre nom à une initiative qui consisterait à permettre
(aux Allemands) de fermer les yeux sur ce genre de délit."
(...)
- Le Congrès juif
canadien, qui a déjà exprimé son inquiétude
au sujet de l'intérêt marqué par les médias
pour l'affaire Zündel, ne soutient pas non plus l'initiative
du Centre Wiesenthal.
- Len Rudner, directeur
des relations au CJC, affirme que pour le CJC la demande de droit
d'asile de Zündel est là pour brouiller les pistes
mais elle n'a aucune chance d'aboutir légalement. L'initiative
du Centre Wiesenthal, dit L. Rudner, a pour but de "débarrasser
la table, (tandis que) pour nous le sujet n'est même pas
sur la table. C'est intéressant. Nous ne pensons pas que
le fait que le gouvernement allemand ait condamné Zündel
in-absentia pour ses actes commis là-bas puisse
être un obstacle à le virer de ce pays d'une manière
ou d'une autre". "Je suis convaincu que Zündel
se régale. Mais que voulez-vous qu'on y fasse? De toute
façon les médias feront leurs reportages, parce
que Zündel fait vendre."
- L. Adler ne s'est prêté
à aucune déclaration. (...)
- Dans un rapport de 4
pages présenté par le CSIS, agence canadienne d'espionnage,
lors de l'unique audience tenue à ce jour, il est dit
qu'il existe de sérieuses raisons de considérer
Zündel comme une menace pour la sécurité "car
il a participé, a été impliqué et
a soutenu le mouvement néo-nazi de défense de la
race blanche au Canada".
- Le document du CSIS
dit ensuite qu'"il existe de sérieuses raisons de
penser que Zündel a été et pourrait être
en mesure, par son influence, de pousser ses partisans à
commettre des actes de violence graves au Canada ou à
l'étranger".
- Mais si l'on fait un
retour en arrière, en 1992, quand la Cour suprême
du Canada a annulé la condamnation de Zündel pour
propagation de fausse nouvelle - pour avoir publié
Did Six Million Really Die? (Y a-t-il vraiment eu 6 millions
de morts) - elle a prononcé que le fait de censurer toute
expression "susceptible de causer un préjudice ou
un dommage à un intérêt public" n'est
pas justifiable et contrevient aux règles relatives à
la liberté d'expression garantie par la Charte.
- La question qu'il faut
se poser, alors, est: est-ce que les opinions de Zündel
font de lui une menace pour la sécurité, alors
que, comme le déclare lui-même le CSIS, "il
est peu probable que Zündel recoure lui-même à
la violence"?
- Ce qui complique les
choses c'est la question de savoir si Zündel a droit légalement
de reprendre le statut qui était le sien auparavant au
Canada. Les fonctionnaires du service d'immigration ne font aucun
commentaire à ce sujet. Mais René Mercier, porte-parole
du service, affirme que les immigrés ayant le statut de
résident conservent ce statut pendant trois années
après leur départ. Zündel, qui réside
au Canada depuis 1958, a quitté le pays en août
2000. (...)
- Bien que la proposition
émise par le Centre Wiesenthal ait été accueillie
avec scepticisme dans certains milieux de la communauté
juive, les autorités allemandes semblent l'envisager sérieusement.
A Ottawa, le porte-parole de l'ambassade allemande, Harry Adelt,
confirme que L. Adler a rencontré là-bas des fonctionnaires
de haut rang et que la proposition a été soumise
à Berlin.
- Pendant ce temps-là,
le site de Zündel exploite la controverse comme elle peut.
On consolide le mythe [Et il voudrait quoi le mec? Qu'Ingrid
Rimland accepte de perdre son mari pour toujours les bras croisés?
Mais le droit au rapprochement familial,c'est pas un droit de
l'homme?]
- Now (Toronto) 13 - 19 mars 2003,
Vol. 22 N·. 28.
<http://www.nowtoronto.com/issues/2003-03-13/news_story3.php>
LE
COMBLE DE L'HYPOCRISIE: AMNESTY ET ZUNDEL
The Zundel
Affair: Troubling Case, But the Principle is Clear
- The Universal Declaration
of Human Rights says it simply: everyone shall have the right
to seek asylum. Everyone. It is one of the most crucial human
rights safeguards that exists in our violent, unjust world. When
terror and fear reign at home and one's own government is the
source of the problem or refuses to be part of the solution,
individuals must be able to turn to the world community for safety.
The right to seek asylum is a vital means of preventing human
rights violations. It is also a right under siege around the
world as governments devise an expanding arsenal of laws and
practices meant to keep refugees out. But the devastating reality
is that keeping refugees out very often means condemning them
to face the very persecutors they are trying to flee.
- This week we have learned
that Ernst Zundel might be seeking refugee status in Canada.
His case puts this fundamental principle to a very difficult
test. The widespread reaction has been that to allow a claim
by this man, notorious for his crimes of hate, makes a
mockery of the very notion of asylum. But the principle must
hold. It does and absolutely must apply to everyone. The impartiality
of Canada's refugee system and the best chance for safety of
the thousands who turn to it for protection every year, lies
in simply letting the system do its job.
- There can be no space
for political interference, dictating whose case should be heard
and whose not. We know that the worldover, political interference
ends up in refugees being denied the protection they deserve:
nationals of a particular country denied status because of a
politician's discriminatory attitudes, claims made by women turned
down because of a government's refusal to recognize women's rights,
adherents to a certain religion or political movement rejected
because of a host country's foreign policy concerns. Interference
and selectivity puts refugees at risk. Once we allow it, where
do we draw the line?
- Maintaining the integrity
of Canada's refugee system, however, is also a crucial government
responsibility. It must be protected from abuse and manipulation.
If the system's integrity fails, real refugees will suffer in
the end. As such, officials could accelerate their consideration
of this claim, to ensure that it is dealt with expeditiously,
but fairly, and does not linger. This keeps both the sanctity
of the right and the integrity of the process intact.
- At the same time, of
course, hate crimes allegations against Mr. Zundel continue to
demand investigation and justice. Our own Canadian Human Rights
Commission has already ruled that he has spread hatred through
the internet. Strong hate crimes laws, vigorously enforced, are
a crucial human rights tool. Refugees know the devastating human
cost of hate firsthand. Amnesty International and other groups
have pressed Canada to improve its laws and practices in this
area, including with respect to Holocaust denial when it is motivated
by hate. These obligations must also be at the forefront of the
government's response to Mr. Zundel's renewed interest in Canada.
- The refugee process
and the justice system: the two should go hand in hand. Someone
may be in Canada while their claim is being assessed or perhaps
should not be deported because they face torture abroad. But
at the same time they may have committed war crimes, crimes against
humanity or hate crimes, for which they absolutely must face
criminal prosecution. Sadly governments, including Canada often
get this wrong - willing to deport, unwilling to prosecute. But
we cannot simply export the problem cases to other countries
with fingers crossed that someone else will do the right thing.
We need actively to ensure that justice will be the response
(if not abroad, then here at home). Yes, justice is sometimes
difficult, perplexing, and even costly. But it is the road we
must travel.
- Samantha Burdett
- Information Services
Coordinator, Amnesty International Canada
- <[email protected]> 613 744 7667 extn. 249
Inutile d'ajouter que Zündel n'a
simplement jamais été convaincu de "crime de
haine", une catégorie juridique extrêmement
récente, infiltrée dans certaines législations
anglo-saxonnes pour protéger les juifs qui soutiennent
les pratiques génocidaires en cours en Palestine depuis
1948. Le reste du raisonnement est, pour parler anglo, une "disgrâce"
pour Amnesty. Ils trahissent leur mandat par opportunisme politique.
Shame on them.
- Zundel knows
hate's reward
- Holocaust
denier Ernst Zundel and his wife speak exclusively to the Sun
about his Tennessee arrest, Canadian detention and pending deportation
to his homeland, Germany
-
- By Thane Burnett
-
- Wearsvalley, Tenn. --
From up here in his chalet, where the Smoky Mountains remind
him of Germany's Black Forest, Ernst Zundel could have easily
seen his enemies coming. But, this time, he didn't.
- He was here, on the
ground floor of his home -- just off from his office, stacked
with anti-Jewish papers and Holocaust denying, mail-order books
-- framing paintings, when U.S. officials arrived last month
to arrest him for over-staying his visit.
- Now being held under
heavy security in a Thorold, Ont., detention facility, after
asking Canada for asylum from a likely jail cell waiting back
in his home country of Germany, the extremist who calls himself
"Canada's most hated man" may finally have run out
of open space and time.
- In exclusive and revealing
interviews with The Toronto Sun, Zundel and his current
wife, German-born American Ingrid Rimland [Soviet-born
in fact ], say he may not survive a five-year stay in
a German prison. Officials in his home country -- he has no status
in Canada or the United States, other than being loathed -- have
issued a warrant for his arrest, saying his Internet site incites
hatred.
- That same site now accepts
Mastercard to pay his legal bills.
- Last year, the Canadian
Human Rights Commission agreed it is an anti-Semitic hate site
and ordered Zundel -- who came to Toronto in 1958, but left for
these Tennessee hills almost three years ago -- to shut it down.
Instead, saying it was Rimland's site, he denounced Canada --
the country he now wants to protect him from the wrath of his
countrymen.
- In his holding cell,
under a 24-hour-a-day lockdown, Zundel says he's now taking blood
pressure medication. He's written a will, penned on the toilet
seat.
- He wants your sympathy.
Your understanding.
- "I am being treated
like Rudolph Hess," he says. "Since February 14, I
have not seen a newspaper or a newscast. I have felt the touch
of only three people. The guards, the other prisoners, won't
talk to me."
- A co-author of The
Hitler We Loved and Why, he believes he is one of the most
persecuted people in history, noting it's "a true miscarriage
of justice."
- Zundel's Tennessee chalet
rests on a hill; the steep grade of the driveway rushing down
to spill onto a narrow sideroad, which twists deeper into the
Smoky Mountains, and the seasonal cottages that wait there. It
is far different than his previous home on Carlton St., in Toronto,
the site of countless rallies, anti-racist protests, and media
stunts by Zundel.
- When officers led him
away from here, he was within two weeks of opening up an art
gallery on the nearby main highway -- a log-cabin style shop
that Rimland now plans to operate.
- As well as her husband's
landscape paintings, Ingrid -- who first met Zundel at a "revisionists'
conference" in California in 1994 -- will sell her own books,
which are banned in Canada.
- She walks around the
closed gallery, pointing to favourite paintings and to a note
on a door from a local sheriff, saying he's been by to check
on things. Rimland has lived in the U.S. since 1967, and has
been an American since the early '70s, but her features and tone
and manner are still classic German.
- Her voice echoes his.
So does her rage at the Jews.
- "Well, it's not
the Eskimos doing this," she answers as to why they always
damn the Jews. "What has happened to Canada? How dare Canada
snatch my husband away."
- This is a much-repeated
slur Rimland, and a small group of neighbours and American supporters
who've gathered in this chalet, repeat again and again. While
it was American authorities who took Zundel from this house,
and his own insistence that he be granted a safe haven in Canada,
which keeps him locked up now pending immigration hearings, followers
launch colourful salvos at Canada and its Jews.
- "He is only saying,
'Protect me, because worse is coming,' " Rimland says of
the waiting German jail cell.
- It can't happen soon
enough for Keith Landy, president of the Canadian Jewish Congress,
who believes Zundel sharpens the point of a spear. He may
not hold a weapon, but he can inspire others -- offer false
legitimacy -- to wield it against Jews.
- "Some might write
him off as a buffoon, but it's only 60 years ago that six million
Jews died because of people like him," Landy says. "We
would ignore him at our peril."
- Rimland believes: "The
average Canadian has no gripe with Ernst. They love him."
- That doesn't fit with
national outrage echoing over Zundel's attempts to find protection
for his beliefs, under the Maple Leaf. Beliefs which include
his sermon that Hitler's spirit "soars beyond the shores
of the white man's home in Europe. Wherever we are, he is with
us. We love you. Adolf Hitler."
- Zundel and Rimland moved
here in August, 2000.
- "I had come to
the end of the road ... it was draining my energy," he says
from jail. "I gave no interviews, no speeches. Was living
quietly, then ... this."
- Rimland describes something
close to a hate-maker's retirement, noting: "Canada had
lost its glow for Ernst."
- "(He said), 'I'm
not going to play in the Jews' sandbox anymore.' He was sick
and tired of the Holocaust."
- He didn't lose faith
in his belief the killing of six million Jews is somehow a giant
fraud -- just the preaching of it.
- Around her neck, she
wears a Statue of Liberty medallion she gave him as a gift --
an odd symbol for someone who believes in Hitler's sense of freedom.
- His office here is a
meticulous, small warehouse of pamphlets and books, which he
still sells and ships around the world. Next door is Rimland's
office, where, today, the only thing out of place are tax receipts
resting in rows on the floor.
- As well as security
cameras that watch the woods and driveway, there are computers
everywhere. However, Rimland, like Zundel, argues he barely knows
what a shift key is.
- If her husband had not
been arrested -- their marriage should have protected him, she
argues -- Rimland believes she would have likely shut down her
site within a year. But now, she vows to keep it running, saying:
"There will be no peace for Ernst' enemies. Now I will not
take it down."
- Ron Hatmaker, a 56-year-old
electronics technician from Knoxville, searched Zundel out after
9-11. Hatmaker blames the Jews for that attack. He sits and talks
about how they have conspired against Zundel -- as Hatmaker's
16-year-old son Ryan, and his wife, nod in agreement beside him.
- "Ernst Zundel looked
me square in the eye and said, 'Ron, I will not lie to you,'
" says Hatmaker.
- "He is one of the
greatest men I have ever met."
- Young Ryan has championed
Zundel in his high school free-speech class. He blames the Canadian
government -- and the Jews -- for the jail Zundel now dwells
in.
- "I know him to
be an honest man," the teenager says.
- Nations disagree. Ottawa
is opting for a rarely-used National Security Certificate to
try to deport Zundel to Germany.
- Canadian Security Intelligence
Service (CSIS) agents allege Zundel's return to Canada will bring
together his supporters who may use violence to get their views
across. CSIS agent Dave Stewart told a immigration panel Zundel
was viewed as a patriarch of the White Supremacist Movement in
Canada, testifying: "He has supported groups and individuals
who advocate and use violence. He financially and ideologically
supports militant white supremacists, neo-Nazi groups."
- Fred Spurling lives
just down the lane from the Zundel chalet. The carpenter built
it years ago. He can't read well, and has a hard time writing
his name. But he's worked hard all his life.
- The face of the 71-year-old
Smoky Mountain man is unusually smooth and white. Tobacco chew
draws black lines down the corners of his mouth, creating the
illusion of a ventriloquist mannequin. His slowness and spit
make Rimland uneasy.
- But he befriended Zundel.
He'd like to see Zundel back here. But then, they never talked
politics, and it's hard to say if the gentle man understands
the Holocaust. Or if he could read Zundel's own words on the
weak -- that under Hitler, "idiots, morons and imbeciles
(were not) possible under National Socialism, simply because
such sorry specimens were not allowed to reproduce. Hitler, the
artist and designer, designed a society for loving human beings,
not plastic dummies."
- Along the highway here,
Linda Parton waits on customers at Grandmother's Kitchen.
- "I'm a hillbilly,
but I have pride," she says, as lunch customers finish slopping
up rich gravy with their catfish biscuits. "We wouldn't
want (Zundel) back."
- But, in jail, Zundel
says: "I'm not easy to get rid of."
- From his home in Harrison,
Ark., Thomas Robb, a Baptist minister and a national Klu Klux
Klan leader, is keeping track of Zundel's fight, saying: "There
are millions of illegal aliens out there**, yet this one man,
a responsible man, is being (prosecuted). It's strange. Every
other thing is up for debate ... but not the Holocaust."
- But Rabbi Benjamin Hecht,
director of the Toronto-based, Jewish think-tank, NISHMA, said
hate doesn't come from questioning. It comes from an agenda behind
the beliefs.
- Zundel, the rabbi says,
is not out to prove a truth. He wants, instead, to say the Jewish
people have lied to the world. That their greatest sorrow is
a myth. That Jews can't be trusted, even to die the way they
say they have.
- Men like Zundel, the
rabbi continues, hope to create doubt that will last longer than
those who lived to tell. But Zundel's days of public hate may
be closing in on him now -- ending in the very country that gave
rise to his greatest fear. If he returns to Germany, he'll know
the world still rejects his hatred and, instead, still hears
the voices of victims like Rivka Yosselevska.
- "I had my daughter
in my arms and ran after the truck. There were those who fell
-- we were not allowed to help them rise. They were shot right
there, wherever they fell. When we reached the destination, the
people from the truck were already down and undressed -- all
lined up. All of my family was there. There was a kind of hillock.
At the foot of this little hill, there was a dugout. We were
ordered to stand at the top of the hillock and the four devils
shot us -- each one separately. They were SS men."
- "My child said
while we were lined up in the ghetto, 'Mother, why did you make
me wear the Shabbat dress?' We are being taken to be shot! And
when we stood near the dugout, near the grave, she said, 'Mother,
why are we waiting? Let's run!' Some of the young people tried
to run, but they were caught immediately, and they were shot
right there."
- "Finally, my turn
came. There was my younger sister -- and she wanted to leave.
She prayed with the Germans, she asked to run -- naked, she went
up to the Germans with one of her friends. They were embracing
each other. He looked into her eyes and shot the two of them.
They fell together in their embrace ..."
- "I felt that I
was choking, strangling, but I tried to save myself -- to find
some air to breathe, and then I felt that I was climbing towards
the top of the grave above the bodies. I rose and I felt bodies
pulling at me with their hands, biting at my legs, pulling me
down, down. And yet, with my last strength, I came up on top
of the grave, and when I did, I did not know the place -- so
many dead bodies were lying all over."
- "The Germans asked,
'Who do you want me to shoot first?' I did not answer. I felt
him take the child from my arms. The child cried out and was
shot immediately. And then he aimed at me. First, he held onto
my hair and turned my head around. I stayed standing. I heard
a shot, but I continued to stand and then he turned my head again
and he aimed the revolver at me and ordered me to watch and then
turned my head around and shot at me. Then I fell to the ground
into the pit amongst the bodies ... and then I thought 'maybe
I'm not alive anymore' ..."
- "They were ...
all dying, suffering; not all of them dead, but in their last
sufferings, naked; shot, but not dead. Children crying 'Mother'
and 'Father.' I could not stand on my feet. The Germans were
gone. There was nobody there. None standing up. I was naked,
covered with blood, dirty from the other bodies -- with the excrement
from other bodies which was poured on me ... I was wounded in
the head .... and yet somehow, I did come out of the grave ...
I was searching among the dead for her -- Merkele was her name
-- Merkele!"
- -- 961 testimony of
Rivka Yosselevska at the trial of Nazi Adolf Eichmann, who oversaw
the death camps. While Rivka's little girl, father, mother, siblings,
relatives, friends and villagers died that day, she survived,
in a pit of Jewish corpses.
- Rivka Yosselevska's
words helped convict Adolf Eichmann, a man who, like Zundel,
said he never used a hand in violence. He just kept the wheels
turning.
- The Toronto Sun, Sunday, March 23, 2003.
- <http://www.canoe.ca/TorontoNews/ts.ts-03-23-0050.html>
A l'époque de ces horreurs, Zündel
était petit enfant. Il n'a rien fait d'autre que commettre
une crime de pensée.
** Le Monde du 3 février
2003, indique qu'il y a sept millions d'immigrants clandestins
aux Etats-Unis (en janvier 2000) "selon un rapport publié,
vendredi 31 janvier, par le Service fédéral des
naturalisations et de l'immigration (INS)", ceux, précisément,
qui ont arrêté Zündel pour avoir "dépassé"
son visa. C'est bizarre, le seul qui ne se cachait pas et dont
ils avaient l'adresse, c'était justement Zundel...
oooOOO§§§OOOooo
EN
TAULE AUSSI
Notre ami le révisionniste Ibrahim
Alloush a été arrêté par le gouvernement
jordanien le 24 mars et se trouve actuellement en prison. Sa femme
est enceinte de six mois.
Professeur d'économie, rédacteur
en chef de la "Free Arab Voice" et coordinateur de l'Association
contre le sionisme et le racisme (AZAR), c'est lui qui avait organisé
le "Forum révisionniste d'Amman" le dimanche
13 mai 2001. Nous avons peu de détails sur l'arrestation
mais savons seulement qu'il s'est fortement opposé au survol
du territoire jordanien par les avions américains. L'opposition
au gouvernement jordanien semble d'ailleurs aller croissant.
- The Imprisonment
of Ibrahim Alloush
- Fredrick Töben
- Amman, Jordan, 27 March
2003
- On Sunday, 23 March 2003,
Dr Ibrahim Alloush, 40, economics lecturer at Petra University,
and media co-ordinator of the Association Against Zionism and
Racism (AAZR), received a call from the Jordanian Intelligence
Department at Jandaweel, which is situated near the Medical Centre
in Amman. In the past Dr Alloush had received many such calls,
and direct invitations to appear at the office were for him routine.
Sometimes he would stay there for half a day, sometimes till
late at night, but always he would return home.
- Sunday's call from the
Intelligence Department left him with a sense of finality. In
anticipation he said to his wife, Maha, who is seven months pregnant
with their first child, "I will go to them tomorrow, but
I don't know when or if I will return this time."
- The next morning, 23
March, Ibrahim Alloush headed off for Jandaweel with the sense
that perhaps he will become another Jordanian Intelligence Department
statistic, just one of the many hundreds of dissident Jordanian
voices that disappear for months on end. [...]
- Revisionist Conference
and Terrorists
- Last year Dr Ibrahim
Alloush was invited to address the 14th IHR Revisionist conference
in California. However, because he supports the Palestinians
and 'human bombs', he was disinvited owing to the prevailing
current self-censorship climate in democratic America!
- The 'terrorist' hysteria
so conveniently justified by the 11 September 2001 tragedy, had
a ripple effect that even engulfed valiant US Revisionists. Few,
however, have made the link between, and for Israel disastrous,
UN International Conference Against Racism, held at Durban during
August-September 2001. Israel's name was blackened and condemned
and shamed so thoroughly that even the USA had difficulty being
associated with it. Australia's leading Zionist, Jeremy Jones,
wished to present a paper on 'Hate on the Internet' wherein he
was going to deal with the Fredrick Töben case, that horrible
Australian Revisionist who had spent seven months in a German
prison and also faced court action in Australia for disputing
the Holocaust myth. Jones failed in his quest to whip up any
support for his nonsense claims. The victims of racism knew that
the Zionists were wrongly pulling out the victim card because
what the racist Zionist state is doing to the Palestinians speaks
for itself.
- Now after the Durban
conference ended on 7 September, Palestine loomed larger than
ever on the Middle East map. All this resurgence of hope for
Palestine came crashing down four days after the conference with
the 11 September 2001 alleged 'terrorist' attack on the WTC and
Pentagon.
- Four days after the 11
September 2001 attack, the White House declared its war for freedom
and democracy and against terrorism. The Palestinian problem
became a terrorist problem, and the suicide bombers were relegated
away from martyrdom and labelled terrorists.
- Zionist-Israel re-joined
the club of the self-declared 'righteous' and its war criminal
leader became again respectable.
- The Revisionists who
protested at the IHR's banning of Dr Alloush, crying foul censorship,
were ignored, such as Serge Thion -- whose own peregrinations
in North Africa and South East Asia made him a target of retribution
by the intolerant who tolerate no tolerance. And so the IHR management
implied through its action that it was deemed to be unwise to
bring a Semite from Jordan to a conference where the major thrust
of presentations is debunking the Holocaust myth.
- Freedom Fighters'
protest
- The move to declare the
'human bomb' phenomenon a crime against humanity gained some
ground. In western democracies Jewish-Zionist groups attempted
to water down such actions as cowardly, not at all befitting
a civilised society that should shy away from targeting innocent
civilians. Tell that to the Iraqi people who have suffered a
decade-long period of economic sanctions; tell that to the Palestinian
Freedom Fighters who are not listened to as they enter their
sixth decade of occupation by the Jewish-Zionists political entity
now known as the Zionist, apartheid, racist state of Israel.
- Dr Ibrahim Alloush is
just one of a long line of Freedom Fighters who have focused
on the essentials that make the Middle East such a volatile and
explosive region. The Holocaust myth is the foundation upon
which the Zionist/racist state of Israel rests.
- The President of AAZR,
Dr Leith Shubeikat, is also the leader of Jordan's major opposition
party. He participated in the protest meeting that I attended
on Tuesday, 25 March 2003, where I addressed the gathering, making
the following three points:
- 1. Not all Australians
are supporting our Prime Minister's choice to send Australian
troops to Iraq;
- 2. The attack on Iraq
is a racist Anglo-American-Zionist motivated attack that attempts
to deflect from the Palestinian tragedy;
- 3. The Zionist, apartheid
and racist state of Israel must be dismantled. Such a view-point
is, of course, nothing new for the Arabic-speaking peoples of
the Middle East.
- AAZR attempts to expose
Zionist imperialism, and an important aspect of Dr Alloush's
work has been to battle the Arabic-speaking intellectuals
who wish to maintain the myth of the Holocaust. That the
Holocaust myth is central to the liberation of Palestine is not
understood by many, and Dr Alloush has even to battle with the
confusion of terms that accompanies the Holocaust myth. The charge
of antisemitism is accepted as accurate by many academics who
are themselves Semites!
- Wife and Family
- Still, all this uphill
battle leaves Ibrahim Alloush with even more determination to
see it through to the end. And he is fortunate because he has
one tremendously vital pillar of support -- Maha, his wife.
- Mrs Alloush says the
current crisis in Iraq is galvanising into something that the
planners of the military invasion of Iraq perhaps did not calculate
-- the distrust of the USA and its concept of freedom and democracy.
She says that President Bush's rhetoric is way ahead of the reality
that prevails in the Middle East, and even now in the USA. It
is evident by the way the once American-worshipping world has
been turned away from credible media institutions such as BBC,
CNN and NBC. The Arabic-speaking Al Jazeera based in Qatar (literally
'The Island' but politically a rallying call for unity among
the Arabic-speaking peoples) is the major source of accurate
and objective information about what is happening in Iraq. It
must hurt the Zionist-controlled media to have to take news items
from Al Jazeera.
- Though the President
of Iraq, Saddam Hussein, is accused of possessing weapons of
mass destruction, says Mrs Alloush, the peoples of the Middle
East, know full well that it is the Anglo-American-Zionist Forces
that are using weapons of mass destruction against the Iraqi
people. The war is thus not a war of liberation from tyranny
but rather a war of occupation. The Arabic-speaking peoples know
this and resent any occupation force in the region. Like in any
family where squabbles are a natural phenomenon, the Arabic-speaking
peoples are sensing a common bond with the Iraqi peoples. Their
own score-setting is pushed aside for the greater threat facing
them: the extension of Israel -- Greater Israel!
- It is now obvious to
all Middle East peoples, says Mrs Alloush, that if Iraq falls,
then Syria and Iran will be next. Then it will be those countries
that currently have 'tame' US-friendly regimes. After all, this
planned colonisation has been openly and widely published and
so is not a secret.
ILS
VEULENT LE GRAND SILENCE
Ô Mânes d'Orwell
European Thought
Police Could Reach Into U.S.
-
- By Samuel Francis
(nationally syndicated columnist)
-
- Friday, February 28,
2003
- Great Britain and the
United States may not be quite prepared to crack down on dangerous
thinkers, but where those guardians of Anglo-Saxon liberties
fear to tread, the European Union is ready to gallop. This week
the London Daily Telegraph reported that the Union is
even now sprucing up new laws against "xenophobia and racism"
to make sure no one has any unusual thoughts at all -- and that
British subjects will be extradited to the continent if they
violate them.
- The recent Scotland
Yard investigation of journalist Taki Theodoracopulos for violating
British laws against inciting "racial hatred" seems
to have gone nowhere, but Taki, as the wealthy jetsetter journalist
is known, may still not be safe. Thought crimes that the British
won't prosecute could still be punished if the EU bureaucracy
can get its claws on the culprits through the extradition process.
Moreover, if it works for British Thought Criminals, it may also
work for those in this country.
- In an article in the
Telegraph last week, Home Affairs editor Philip Johnston
reported that the British government "has undertaken that
if such 'offences' take place in Britain the perpetrators would
not be extradited -- but it will be for the courts to decide
the location of the crime. This opens up the prospect of a judge
agreeing to extradite someone whose observations, though made
in Britain, were broadcast exclusively in a country where they
constitute a crime. Legislation now before Parliament will make
'xenophobia and racism' one of 32 crimes for which the European
arrest warrant can be issued without the existing safeguard of
dual criminality. This requires that an extraditable offence
must also be a crime in the UK. Alongside the arrest warrant,
EU ministers are negotiating a new directive to establish a common
set of offences to criminalise xenophobia and racism."
- Under current law, "Holocaust
denial," for example, is a criminal offense in some European
countries like Germany and Austria. A British citizen who committed
that "crime" in Germany and then returned to Great
Britain could not be extradited back to Germany to stand trial.
But under the proposed new laws and directives, he could be --
if British judges so ruled.
- What that means, presumably,
is not just that Britons who committed such offenses while physically
on the continent could be prosecuted. Also subject to the new
laws would be those who merely broadcast or published their criminal
thoughts, including through the Internet. "Holocaust denial"
is one offense, but new legislation against "xenophobia
and racism" could broaden state control over thought and
expression far more, even when those expressing verboten
ideas never left their own living rooms.
- The Telegraph
article quotes Lord Filkin, a minister with the Home Office,
as saying that no British citizen would be extradited to the
continent "in respect of conduct which has occurred here
and which is legal here". But, asked whether "comments
originating in Britain but carried abroad on television or through
an internet chatroom would be extraditable," he said, "It
will be for the courts to decide." In other words, neither
British law as written nor constitutional tradition will protect
the British citizen from being hauled out of his own country
to face trial in a foreign state under laws to which he never
consented and possibly jailed merely for expressing unconventional
thoughts that are legal in his own country.
- Given the broad scope
of existing European laws that punish "Holocaust denial,"
there's no telling how far the new laws could reach, but clearly
they reach well beyond merely inciting racial violence. Scientists
who study racial differences and come up with the wrong answers,
clergymen who criticize Islam and other non-Western religions,
political leaders who object to mass immigration, and journalists
who merely criticize political correctness and double standards
may all have good reason to shut up and get jobs selling cars.
- Could the laws reach
into the United States? This country recognizes the European
Union and generally extradites European criminals wanted in its
member states, as they do Americans wanted for trial in this
country. Just this month immigration authorities expelled alleged
"Holocaust denier" Ernst Zündel to Canada, giving
only the thinnest technical rationale for kicking him out. Mr.
Zündel, who broke no laws while living in this country,
may eventually wind up back in his native Germany, where he could
go to jail for what he has written about Nazi policies toward
the Jews. Mr. Zündel, of course, is not an American citizen,
but the parallel with what may well be in the works is clear
enough. Any thought, any idea, any statement that challenges
the official egalitarian ideology faces repression by the emerging
global state, and neither constitutions nor national borders
will protect those who question that ideology or the global power
it serves.
- <http://www.samfrancis.net/>
Indignation vertueuse dans ce pays où
l'on vient d'arrêter Zundel pour le déporter dans
un de ces pays horribles où il est interdit de dire du
mal des ....., on ne s'étonne pas: les mêmes aussi
sont coupables du génocide des Palestiniens depuis près
de soixante ans.
LIBERTICIDES
: LE CÔTÉ FRANçAIS
Le LEN, Loi sur l'Economie numérique
est une jospinade de la meilleur eau, appuyée par Nicole
Fontaine, la Fourtseva de Strasbourg et Ivan Pietrovitch Raffarinov,
le Béria du Poitou.
- Le projet de loi prévoit
la suppression de l'injonction judiciaire comme condition nécessaire
à la suppression d'un contenu sur Internet. Le fournisseur
d'hébergement, en général une société
commerciale, devrait en décider lui-même, dès
le moment où il aurait eu "connaissance effective"
du "caractère illicite" d'un contenu hébergé
ou "de faits et circonstances faisant apparaître ce
caractère illicite". A défaut, il pourrait
voir sa responsabilité civile ou pénale engagée.
L'intermédiaire technique déciderait ainsi de ce
qui est illégal ou non, sur la base de signalement par
des tiers agissant selon leurs intérêts particuliers.
Conséquence inéluctable, l'hébergeur agirait
en faveur de la partie la plus susceptible de lui nuire dans
le rapport de force entre le demandeur et celui qui ne serait
même plus le défendeur, puisqu'il n'y aurait plus
de droit à la défense.
- Le juge des référés
se voit en outre conférer le pouvoir de supprimer la liberté
de circulation sur le réseau, au moyen d'une injonction
de filtrage de l'accès des citoyens par les intermédiaires
techniques. En plus de la censure privée d'une expression,
le projet de loi introduit l'interdiction judiciaire de l'acte
de simple consultation d'un contenu sur Internet.
- Atteinte à la
liberté d'expression, d'information et de communication,
à la présomption d'innocence et au droit à
un procès équitable; méconnaissance de l'article
34 de la Constitution, pour la troisième fois après
deux tentatives précédentes d'introduire des dispositions
similaires dans la loi, invalidées par le Conseil constitutionnel.
[...]
- Enfin, l'obligation
de moyen faite aux hébergeurs de sites n'est pas claire,
en l'absence de disponibilité publique du texte précis
de l'amendement concerné. En effet, lorsque le rapporteur
a auditionné IRIS, il a laissé entendre à
l'association son intention d'instaurer une obligation de surveillance
par les intermédiaires techniques des contenus "manifestement
illicites" qu'ils hébergeraient. Il s'agirait ici
des images à caractère pédophile et des
contenus faisant l'apologie de crime contre l'humanité,
ou incitant au racisme et à la xénophobie. Répondant
aux objections d'IRIS, portant entre autres sur la contradiction
entre cette obligation et le texte de la Directive européenne
sur le commerce électronique, Jean Dionis du Séjour
[rapporteur de la commission des affaires économiques]
a répondu que, selon lui, le texte européen excluait
une obligation générale de surveillance, mais non
une obligation de surveillance de contenus spécifiquement
définis. [...]
- Voir l'analyse de notre
amie Myriem Marzouki à
- <http://www.iris.sgdg.org/actions/len/point-len0203.html>
Communiqué
de presse d'IRIS - 2 mars 2003
-
- Insécurité
juridique pour tout le monde ! Voilà ce que la majorité de l'Assemblée
nationale a décidé le 26 février 2003, en
adoptant en première lecture le projet de loi sur l'économie
numérique (LEN). Si les dispositions concernant la responsabilité
des intermédiaires techniques devaient être adoptées
définitivement, l'égalité devant la loi
serait en fait le seul principe constitutionnel respecté
par la LEN.
- Insécurité
pour l'éditeur de site web. Il serait à la merci du premier mécontent
du contenu de son site, qui n'aurait qu'à notifier l'hébergeur
en arguant de l'illicéité de l'information pour
voir ce contenu supprimé.
- Insécurité
pour l'hébergeur.
Il aurait dorénavant non seulement une obligation de surveillance
a priori de certains contenus parmi tous ceux qu'il héberge,
mais de plus se trouverait contraint d'obtempérer aux
demandes de suppression de contenus qui lui seraient notifiés
comme illicites, sous peine d'en être considéré
comme lui-même responsable.
- Insécurité
pour l'auteur d'une notification. Il risquerait des poursuites pour "caractérisation
abusive de l'apparence d'illicéité d'un contenu",
avec une peine encourue d'un an de prison et 15.000 euros d'amende,
là où sa plainte n'aurait seulement pas eu de suite,
ou là où une décision de justice l'aurait
simplement débouté.
- Internet échapperait
au droit commun:
plus besoin de juge, l'hébergeur en tiendrait lieu; plus
besoin de plainte ou d'assignation, la notification au prestataire
technique suffirait ; plus besoin d'avocat de la défense,
il n'y aurait plus de défense ; plus besoin de loi pour
déterminer ce qui est illégal, la morale de certains
déciderait de l'illicite.
Voilà le résultat édifiant
du vote des députés de la majorité, entérinant
les souhaits du gouvernement d'instaurer une justice privée
sur Internet, comme dénoncent les plus de 75 associations,
syndicats, partis politiques et autres collectifs signataires
de la pétition pour qu'Internet ne devienne pas une zone
de non-droit.
CÉLINE
L'A ÉCHAPPÉ BELLE
Rappelons, en liminaire, que le prodigieux
Léon Bloy appelait à l'extermination miséricordieuse
des Danois, incurablement protestants. Il avait vécu au
Danemark et épousé une Danoise.
Documentary
Forces Danes to Confront Past
By Andrew Osborn
- Stirring tales of wartime
resistance have been common currency in Denmark for 50 years,
but an explosive new documentary has illuminated a darker side
to the period and is outraging a generation.
- Only a German does not
pull any punches, claiming that the Danish authorities were
responsible for the deaths of 7,000 German children under
the age of five between 1945 and 1949 and describing how Danish
doctors denied food and medical aid to a quarter of a
million German refugees seeking sanctuary in Denmark. Produced
by the Danish Broadcasting Corporation, the programme has provoked
a storm of controversy. The producer has been called a traitor
and a propagandist, surviving members of the Danish resistance
movement have called it a lie and an affront to the past, and
many elderly people claim it tells a story best forgotten. After
living under Nazi occupation from April 1940 until May 1945,
Danes were anxious not to be labelled as collaborators when the
smoke finally cleared. In fact they were so eager to show their
anti-Nazi credentials, it is argued, that they treated Germans
who sought refuge there from the advancing Soviets like animals.
- Mostly women, children
and the elderly, the refugees were put in internment camps, forbidden
from fraternising with Danes and refused both medical care and
sufficient food. As a result, some 13,500 refugees died in
1945 alone - 7,000 children. Dr Kirsten Lylloff, an ateur
historian who became curious about the number of graves of German
babies and children near her home, says they all died of 'perfectly
curable' diseases.
- Soeren Lindbjerg, producer
of the documentary, said the children were treated abominably.
'They died from malnutrition and ordinary diseases such as measles
and scarlet fever,' he told The Observer. 'These were
contagious diseases, but they were kept in overcrowded camps
with scarce food and they died like flies. They were in
Danish care behind barbed wire and totally dependent on Denmark.
This part of our history has been whitewashed.' Refugees
from other countries were separated and provided with more food
and basic medical care, adds Lindbjerg. But not everyone agrees.
Former resistance fighter Leif Larsen, founder of Denmark's Documentation
Centre against Historical Falsification, claims the Germans had
only themselves to blame. 'This thing that has been called
a dark chapter in Danish history wasn't dark at all. The fact
of the matter is that the Germans themselves rejected the
help of Danish doctors.
- 'A lot of people have
called me a traitor and said I am smearing our country's reputation
and should not have told this story, but nobody has been able
to reject my documents. There's a feeling that what the Germans
did to us was far worse, so we shouldn't tell the story.' Helge
Kvam, of the Danish Red Cross, said his organisation couldn't
help because of Danish hostility towards Germans. 'The atmosphere
at the time was very anti-German. Girls who had slept with German
soldiers had their heads shaven and were driven around and spat
at. We would have been considered collaborators if we had
helped.' Lindbjerg said: 'The heroic efforts of Danish resistance
fighters and the rescue of Jews are all we hear about, and they're
true. At school this chapter of history is never talked about.
But every country has to face its past.'
The Observer (UK) -- February 9, 2003
<http://www.observer.co.uk/international/story/0,6903,891930,00.html>
CEPENDANT
LE DROIT AU MENSONGE EST ENFIN RECONNU
- On February 14, [2003]
a Florida Appeals court ruled there is absolutely nothing
illegal about lying, concealing or distorting information by
a major press organization. The court reversed the $425,000
jury verdict in favor of journalist Jane Akre who charged she
was pressured by Fox Television management and lawyers to air
what she knew and documented to be false information. The ruling
basically declares it is technically not against any law, rule,
or regulation to deliberately lie or distort the news on a television
broadcast.
- On August 18, 2000,
a six-person jury was unanimous in its conclusion that Akre was
indeed fired for threatening to report the station's pressure
to broadcast what jurors decided was "a false, distorted,
or slanted" story about the widespread use of growth hormone
in dairy cows. The court did not dispute the heart of Akre's
claim, that Fox pressured her to broadcast a false story to protect
the broadcaster from having to defend the truth in court, as
well as suffer the ire of irate advertisers.
- Fox argued from the
first, and failed on three separate occasions, in front of three
different judges, to have the case tossed out on the grounds
there is no hard, fast, and written rule against deliberate distortion
of the news. The attorneys for Fox, owned by media baron Rupert
Murdock, argued the First Amendment gives broadcasters the
right to lie or deliberately distort news reports on the
public airwaves.
- Mike Gaddy. The Sierra
Times, An Internet publication for Real Americans.
<http://www.sierratimes.com/03/02/28/arpubmg022803.htm>
oooOOO§§§OOOooo
DÉBAT
À OK CORRAL
Il y a d'abord eu un article de Claude
Courouve, docteur en philosophie, auteur-éditeur, paru
dans Le Libre Journal, n·
285 du 8 février 2003, p. 16-18.
- A propos
de l'Affaire Plantin
- Hélas
non !" "Tout le monde" n'en parle pas
-
- [L'article est précédé
de l'encart suivant:
- La condamnation de
l'éditeur révisionniste Jean Plantin à six
mois de prison ferme est un événement d'une telle
gravité pour la liberté de la recherche, de la
réflexion, de l'expression en France; le silence assourdissant
des médias et des politiques face à cette décision
est un signe si inquiétant de l'installation, dans notre
pays, d'une dictature de la pensée de plus en plus enférocée,
que nous avons décidé de revenir, cette décade
encore, sur le sujet.
- C'est l'auteur-éditeur
Claude Courouve, docteur en philosophie, qui examine ici les
conséquences judiciaires, médiatiques et politiques
de cette application toujours plus large et sévère
de la loi Fabius-Gayssot.
- Si le Libre Journal
n'ambitionne pas de se substituer aux revues spécialisées
qui ont le courage de tenir la seule attitude qui vaille dans
le domaine de la recherche historique: le révisionnisme
systématique, c'est-à-dire l'incessante confrontation
des faits tenus pour acquis avec les découvertes de la
science historique, il reste ainsi dans le droit fil de sa ligne
éditoriale de défense de la tradition catholique
et de la résistance française à toutes les
formes de l'oppression.
- Y compris à
la police de la pensée et à ses sicaires dont les
menaces ont fait d'une presse qui fut jadis la plus libre du
monde, une domesticité caquetante, asservie et corrompue.
- S. de B.]
- La question révisionniste
méritait un examen attentif que ce genre d'émission,
Tout le monde en parle (France 2, 18 janvier 2003), ne
permet malheureusement pas. Les arguments kantiens de Robert
Ménard en faveur de l'abrogation de la loi Gayssot, soit
l'état de minorité dans lequel cette loi maintient
les citoyens, et le refus politique de cet état, sont
très pertinents mais incomplets, car le président
de Reporters sans frontières n'a considéré
que l'aspect politique et journalistique de la chose, qui est
secondaire, et ignoré l'aspect épistémologique,
qui est fondamental car constituant un déterminant culturel
de tout le reste, et concernant les philosophes, les historiens
et les juristes. L'expérience des pays en voie de sous-développement
a en effet largement montré, s'il le fallait encore, que
ce n'est ni la politique ni l'économie qui fait avancer
une société, mais sa culture.
- Sur le seul plan politique,
un philosophe du droit, l'Américain Ronald Dworkin, ajouta
sa voix à celle de nombreux défenseurs de la liberté
d'expression, en jugeant " antidémocratique "
cet article 24 bis et en caractérisant avec une parfaite
cohérence la démocratie véritable, non comme
" un système dans lequel la majorité pourrait
imposer sa volonté aux autres sans se soucier de ce qu'ils
pensent ", mais sous la forme d'un "partenariat,
dont nul ne doit être exclu sous prétexte que ses
opinions sont stupides ou haïssables" ; c'est d'ailleurs
précisément, et on n'y pense pas assez, ce point
de vue systématiquement tolérant qui rend possible
dans la France laïque l'exercice de la liberté philosophique
et religieuse, ainsi que celui des pratiques cultuelles.
- Robert Ménard
a, certes, eu parfaitement raison de dire que, dans une situation
inversée, la négation du goulag par les communistes
n'avait pas entraîné de répression judiciaire
; on peut ajouter que le PCF (à l'origine de cette loi
Gayssot) avait même tenté, sans succès, de
faire condamner les dénonciateurs de ce goulag, et ceci
sans que ses agissements lui soient beaucoup reprochés
(Jospin avait même décerné au PCF un brevet
d'honorabilité en prétendant que celui-ci n'avait
jamais attenté aux libertés).
- Lorsque Robert Ménard
dit que les idées de Robert Faurisson sont "monstrueuses,
choquantes, blessantes", il n'argumentait pas; sur ce point,
c'est Arno Klarsfeld qui est efficace, car l'accusation d'escroquerie
portée contre les seuls juifs est en effet infamante,
et sort inconsidérément du registre historique;
Faurisson a d'ailleurs été condamné pour
cela bien avant l'existence de la loi Gayssot (TGI Paris, 1e
chambre civile, 1er juillet 1981). Encore faudrait-il savoir
de quoi on parle quand on parle des juifs. S'agit-il d'un peuple,
d'une nation, d'une religion, d'une race, d'une ethnie, d'une
caste, ou encore d'autre chose ? Quoi qu'il en soit, les chrétiens
(pour l'origine et la systématisation de l'antisémitisme)
et les communistes (pour l'instrumentalisation bientôt
séculaire de l'antinazisme) me semblent au moins aussi
impliqués que les organisations parlant au nom de la communauté
juive dans cette affaire.
- Il est donc nécessaire
de dissocier l'accusation politique d'escroquerie de l'affirmation
épistémologique de non-existence des chambres à
gaz homicides. Le simple doute sur les gazages homicides, tel
que René Rémond, Jean-Gabriel Cohn-Bendit et Marc
Sautet (fondateur des cafés-philo) avaient pu le formuler,
ne saurait être assimilé à une accusation
d'escroquerie portée contre la catégorie des juifs,
et contre eux seuls. Mais il ne saurait non plus être assimilé
à une exonération du nazisme pour ses crimes. En
admettant que les victimes des camps de concentration soient
dues pour l'essentiel au typhus, il reste que s'il n'y avait
pas eu de déportation, il n'y aurait pas eu d'épidémies
de typhus dans les camps. Le crime, de guerre ou contre l'humanité,
subsiste. Lorsque l'on avance qu'Hitler ou Staline ont traité
les juifs ou les koulaks, familles comprises, en ennemis déclarés,
c'est une explication, voire une observation, ce n'est pas une
excuse.
- Que "tout le monde
en parle " n'est pas exact. La police de la pensée
trouvera, hélas, bien moins d'opposants que la police
des moeurs; le pluralisme de la pensée, et la pensée
tout court, sont encore loin d'être des valeurs dominantes.
Mais beaucoup de ceux qui ont regardé l'émission
le 18 janvier, ou son résumé le 25, auront trouvé
la "crétinerie " d'Arno Karsfeld contre-productive
(lancer un verre d'eau sur Robert Ménard).
- Il aurait été
fort utile, à mon sens, de recourir dans cette émission
à un exposé chronologique de la problématique
de la loi Gayssot, exposé que je tente ici :
- 1) Il y a eu jusqu'en
1945 des rumeurs dont les éléments sont aujourd'hui
reconnus faux: homicides par gaz de chlore (Thomas Mann, dans
Appels aux Allemands), par électrocution (Pravda
du 2 février 1945) ; attribution du massacre des officiers
polonais à Katyn aux nazis.
- 2) Il y a eu après
la guerre des témoignages aujourd'hui reconnus faux: gazages
prétendus à Dachau (Fernand Grenier, ministre communiste
du gouvernement provisoire d'Alger), lieu où l'on fait
visiter un local désigné comme "chambre à
gaz [qui] ne fut jamais utilisée" ; gazages prétendus
à Buchenwald (témoignages des prêtres français
Jean-Paul Renard et Georges Hénocque); aussi des oeuvres
de fiction fort contestables (film Nuit et Brouillard
d'Alain Resnais en 1955 ; roman d'Elie Wiesel La Nuit,
1960).
- 3) Il y a eu après
la guerre des doutes exprimés par des personnes non suspectes
de sympathie pour les nazis ou pour l'extrême droite :
Orwell, revue Les Temps modernes (Jean Pouillon), Paul
Rassinier, le philosophe Jean Beaufret (ancien résistant).
- 4) La présence
et l'usage du Zyclon B en tant qu'insecticide ne sont contestés
par personne; c'est le détournement de cet usage à
des fins homicides qui est discuté. Une photo d'un bidon
de Zyclon B ne peut donc servir de preuve des gazages homicides.
- 5) De l'aveu même
de Pierre Vidal-Naquet, "il y a eu des chambres à
gaz imaginaires". Par ailleurs, les adversaires de Faurisson
se trouvent divisés en deux groupes, ceux qui pensent
que les preuves des chambres à gaz ont été
détruites, et ceux qui pensent qu'il subsiste une abondance
de preuves; seul un de ces deux groupes peut avoir raison.
- Ces deux éléments,
joints aux quatre points précédents, justifient
amplement la demande de réexamen de la question, réexamen
souhaité par Edgar Morin dès 1981.
- 6) Dans Le Monde
du 8 mars 1979, François Delpech écrivait: "Les
archives des camps ont été en grande partie détruites."
- Dans Le Monde
du 24-25 septembre 1989, une dépêche AFP annonce
que l'URSS va autoriser le CICR à microfilmer 46 volumes
d'archives allemandes d'Auschwitz.
- Dans Le Monde
du 23-24 juin 1991, une dépêche AFP annonce que
l'URSS vient de remettre à la Pologne quatre des quarante-six
volumes d'archives d'Auschwitz emportés en 1945.
- Que contiennent ces
volumes d'archives ? Nous ne sommes pas encore autorisés
à le savoir
- 7) En 1990, le ministre
polonais de la culture a fait déposer les plaques du monument
de Birkenau qui portaient le chiffre d'origine soviétique
de quatre millions de victimes à Auschwitz. En France,
cette information n'a été diffusée qu'après
le vote de la loi Gayssot
- 8) Le réexamen
de la réalité des chambres à gaz est bloqué
par la loi Gayssot, ce qui aboutit au paradoxe que le catalogue
informatisé de la BnF, interrogé en décembre
2002 sur le sujet "chambres à gaz", donne accès
à 17 références consultables, dont 7 adoptant
la thèse officielle, et 10 la thèse révisionniste.
Ce score 10 à 7 est un effet direct de la loi Gayssot.
Mais avant même cette loi, la déclaration de 34
historiens selon laquelle "il ne peut y avoir de débat
sur l'existence des chambres à gaz" (Le Monde,
21 février 1979) n'était pas faite pour encourager
les vocations. En 1987, Annette Wieviorka constatait: "Aucun
normalien agrégé d'histoire ne s'est penché
sur l'histoire contemporaine des juifs de France ou d'ailleurs."
Aussi Arno Klarsfeld se contredisait-il lorsqu'il affirmait que
le révisionnisme "se combat par les travaux universitaires"
(Tout le monde en parle, France 2, 18 janvier 2003).
- 9) En 1992, Annette
Wieviorka publie Déportation et Génocide
chez Plon; ce livre donna 5 pages sur 506 à la "question
(sic) des chambres à gaz"; ces cinq pages
relèvent d'une partie intitulée "Diversité
des situations dans les camps"; leur contenu n'apporte aucun
élément nouveau mais se borne à reconnaître
la fausseté d'un certain nombre d'affirmations et de témoignages
(abbé Hénocque, Rovan, Tillion, entre autres).
- 10) De nombreuses personnalités
françaises se prononcèrent, au fil du temps, contre
cette disposition (art. 24 bis de la loi sur la presse): les
anciens ministres de la justice Jacques Toubon et Simone Veil;
Jacques Toubon, alors député, précisait:
"Je suis contre le délit de révisionnisme,
parce que je suis pour le droit et pour l'histoire, et que le
délit de révisionnisme fait reculer le droit et
affaiblit l'histoire" (AN, 3e séance du 21 juin 1991);
Jacques Julliard, Annie Kriegel (décédée),
Alfred Grosser (Le Monde, 13 septembre 1990), Michel Tournier
(prix Goncourt), Jean Foyer (ancien ministre); les anciens sénateurs
Paul Masson, Jacques Thyraud, Jean Marie Girault et le sénateur
René-Georges Laurin; l'historien de la littérature
russe Georges Nivat (ENS-Ulm), qui déclarait: "Je
n'approuve pas la loi qui institue un délit de contre-vérité
historique" (communication personnelle); Dominique Jamet;
le député Jacques Limouzy (RPR), Me Jacques Vergès,
Me Patrick Simon; l'historien Maxime Rodinson; l'éditeur
Jean-Jacques Pauvert; "la grande majorité des historiens",
selon les termes de Pierre Vidal-Naquet (Le Monde, 4 mai
1996), dont François Furet; loi "unanimement contestée
par les historiens, les juristes et les politiques" (l'hebdomadaire
EDJ du 27 juin-3 juillet 1996); Alain Peyrefitte, ancien
ministre de la justice; l'Académie des sciences morales
et politiques (octobre 1996); Jacques Caritey (Revue administrative);
le philosophe Paul Ricoeur; Michel Houellebecq et Alain Robbe-Grillet;
Robert Ménard (Reporters sans frontières); Ivan
Rioufol (Le Figaro). Selon un sondage Sofres/UEJF de janvier-février
2002, 51 % (contre 48 %) des jeunes de 15 à 24 ans estimeraient
que "chacun peut penser comme il veut".
- 11) Enfin, cette loi
Gayssot aboutit à des situations ubuesques: demande de
huis-clos pour juger les auteurs d'écrits révisionnistes,
mise en cause de publications pour la seule mention de l'existence
du révisionnisme (Quid 2002 et Quid 2003).
Le statut du révisionnisme tend à rejoindre celui
de la sodomie au Moyen Age, péché dont il ne fallait
pas prononcer le nom. Ceci montre que les dispositions antirévisionnistes
sont de caractère très archaïque.
- 12) En ce qui concerne
le Quid 2003, je déplore le retrait injustifié
(et inefficace), sous la pression, de l'estimation du nombre
des victimes par Robert Faurisson pour Auschwitz-Birkenau : "150
000 en tout (dont environ 100 000 Juifs, la plupart morts du
typhus)"; cette estimation fermait une fourchette qui s'ouvrait
avec l'estimation haute de 9 000 000 (film Nuit et Brouillard,
1955), le Quid proposant pour sa part le chiffre de 1.200.000.
L'argument ne peut en être la caution d'" historien
sérieux" par là accordée à Faurisson
puisque les auteurs de la vingtaine d'autres estimations ne sont
pas tous des historiens patentés de la seconde guerre
mondiale, loin de là, et que l'estimation de Pressac (630.000
à 710.000 victimes) est elle aussi contestée par
des publications juives. D'autre part, ce retrait supprime l'intérêt
de tout le passage introduit par la mention "D'autres chiffres
ont circulé" (page 703c). Mieux vaudrait, pour la
cohérence du texte, supprimer tous ces chiffres et s'en
tenir à l'estimation du Quid, 1.200.000 morts.
Mais c'est alors toute la cohérence du projet encyclopédique,
"Tout sur tout", qui serait perdue. Sans parler de
la confiance des lecteurs qui voient les éditions Robert
Laffont céder à une orthodoxie communautariste.
Aux vingt chiffres cités pour le nombre de victimes à
Auschwitz, page 703c, on pourrait d'ailleurs ajouter :
- 5.000.000 (L'Humanité,
24 avril 1945)
- 7.000.000 de juifs (abbé
Hénocque, 1947)
- plus de 4.000.000 (Encyclopédie
Castermann, 1977)
- au moins 1.000.000 (Encyclopaedia
Universalis, 1989)
- 1.100.000 à 1.500.000
(F. Piper, 1990)
- 775.000 à 800.000
(Pressac, 1993).
- 13) Plutôt que
d'aller vers l'abrogation, le député UDF François
Rochebloine propose de renforcer la loi Gayssot en interdisant
la contestation de tous les crimes contre l'humanité (Prop.
de loi n· 479), et reproche, dans l'exposé des
motifs, à la propagande négationniste de contester
la déportation; or les révisionnistes n'ont jamais
contesté la déportation, ni d'ailleurs l'existence
des camps de concentration (comme l'affirmait Franz-Olivier Giesbert
il y a peu). On peut reprocher bien des choses aux révisionnistes,
notamment leur alliance avec les islamiques contre Israël,
mais pas cela.
- 14) La condamnation
à six mois de prison de l'éditeur Jean Plantin
(révocation du sursis d'une condamnation antérieure),
venant après l'annulation rétroactive de ses diplômes,
donne raison à Emmanuelle Duverger et Robert Ménard
lorsqu'ils écrivent : "Les révisionnistes
[...] font l'objet d'une véritable chasse aux sorcières"
(La Censure des bien-pensants, Albin Michel, 2003).
Cet article allait provoquer la mise
au point suivante de Robert Faurisson:
-
Militant athée et, surtout, militant
homosexuel, Claude Courouve (La Ciotat) a signé dans Le
Libre Journal (Danièle et Serge de Beketch) un article
où, défendant la liberté de recherche et
la liberté d'expression des révisionnistes, il s'est
livré contre moi à des accusations et à des
insinuations qui m'ont paru dénuées de fondement
sinon diffamatoires. Dans ce même article (n· 285,
du 8 février 2003, p.16-18), C. Courouve m'a semblé
commettre bien des erreurs factuelles.
C'est ce que je me suis efforcé
de montrer dans le texte ci-joint, que S. de Beketch a eu l'amabilité
de reproduire avec de minimes changements, qui ont reçu
mon approbation (n· 286, du 20 février 2003, p.19).
- Réponse
à Claude Courouve
- Depuis des années,
Claude Courouve défend la liberté de recherche
et la liberté d'expression des révisionnistes.
Je lui en sais gré. Malheureusement, le texte qu'il vient
de signer dans Le Libre Journal est décevant. L'exposé,
plutôt confus, manque de substance et les erreurs abondent.
- C. Courouve se dit d'accord
avec Arno Klarsfeld qui me reproche d'avoir porté contre
les juifs l'accusation, infamante, d'escroquerie. Il écrit:
"L'accusation d'escroquerie portée [par Faurisson]
contre les seuls juifs est en effet infamante, et sort inconsidérément
du registre historique; Faurisson a d'ailleurs été
condamné pour cela bien avant l'existence de la loi Gayssot
(TGI, Paris, 1e chambre civile, 1er juillet 1981)". Je relève
là cinq erreurs:
- 1· Quand un jugement
de tribunal (président Drai) a été, comme
c'est ici le cas, suivi d'un arrêt de cour d'appel (président
Grégoire), c'est l'arrêt qu'il faut prendre en considération
et il se trouve que ledit arrêt, en date du 26 avril 1983,
a sensiblement réformé ce jugement;
- 2· C. Courouve
a confondu ce procès, où il n'a pas été
question de ce qu'il dit, avec un autre procès (en appel,
président Hennion), qui m'a été intenté
pour une phrase de soixante mots résumant la thèse
révisionniste;
- 3· Dans cette
phrase, je parlais d'un "mensonge historique" qui avait
ouvert la voie non à une escroquerie des juifs mais,
précisément, à une "escroquerie
politico-financière" qui avait permis principalement
aux sionistes d'obtenir des Nations unies la création
d'un Etat, malgré l'opposition de bien des juifs, et qui
avait aussi permis ce que même des juifs dénoncent
aujourd'hui sous les termes de "Shoah-Business "
ou d'"Industrie de l'Holocauste ".
- 4· Ce faisant,
je ne sortais pas du champ de la recherche historique puisque,
si un auteur pense avoir mis au jour un mensonge historique,
il lui faut nécessairement préciser quels en ont
été, à son avis, les principaux bénéficiaires
(ce qui ne veut pas dire: les responsables) et les principales
victimes dudit mensonge; c'est ce que j'ai fait sans mettre en
cause "les seuls juifs". Ce mot de juifs, je l'emploie
au sens où C. Courouve parle de "la communauté
juive" ou d'"une orthodoxie communautariste".
Pour moi, est "juive" ou "israélite"
toute organisation ou personnalité qui se présente
comme telle;
- 5· C. Courouve
n'aurait pas dû exciper d'une décision judiciaire
prise à l'encontre d'un révisionniste; en effet,
avant la loi Fabius-Gayssot, des magistrats décidés
à noyer un chien révisionniste l'accusaient forcément
de la rage; ils affectaient de poursuivre ou de condamner ce
révisionniste non pas pour son opinion (ils s'en défendaient
même !) mais pour sa méchanceté supposée,
pour le dommage qu'il causait à certains, pour diffamation
raciale, pour provocation à la haine, pour propagation
de fausses nouvelles, etc.
- C. Courouve insinue
que je vise "à une exonération du nazisme
pour ses crimes" et que je cherche à Hitler une "excuse".
Il ne le prouve pas.
- Il tente ce qu'il nomme
"un exposé chronologique de la problématique
de la loi Gayssot", loi prise le 13 juillet 1990 contre
les révisionnistes et qu'il conviendrait, en fait, d'appeler
"loi Fabius-Gayssot". Dans cet exposé disparate,
on relève erreurs et lacunes. Par exemple, ce que dit
C. Courouve au sujet des quarante-six volumes des archives d'Auschwitz,
volumes que, selon lui, on nous cacherait, ne semble puisé
qu'aux seules sources journalistiques. En 1995, un ouvrage de
1651 pages publié, en plusieurs langues, sous l'égide
du Musée national d'Auschwitz par un ensemble de huit
chercheurs a révélé avec force chiffres
et détails le contenu des cinquante et un, et non quarante-six,
volumes des seuls registres mortuaires du camp. Comme je l'ai
noté dans mes écrits, ces chiffres apportent une
éclatante confirmation de la justesse des estimations
révisionnistes quant au nombre total des morts d'Auschwitz.
A ce propos, C. Courouve croit fournir avec les chiffres proposés
autrefois par J.-C. Pressac l'estimation la plus basse. Or une
estimation encore plus basse a été proposée
en mai 2002 par Fritjof Meyer, auteur orthodoxe s'il en fut.
C. Courouve semble l'ignorer.
- C. Courouve dresse une
liste de personnalités qui ont eu le courage, à
un moment, de dénoncer la loi antirévisionniste.
Implicitement sa liste se présente comme complète.
Elle ne l'est pas du tout et certaines absences surprennent.
Mais surtout elle est trompeuse. C. Courouve y nomme, par exemple,
Jacques Toubon, dont il cite une belle envolée, et Pierre
Vidal-Naquet. Or le premier s'est par la suite déjugé
au point que, dans sa nouvelle fonction de ministre de la Justice,
il est allé jusqu'à préconiser une loi antirévisionniste
encore plus draconienne que la loi Fabius-Gayssot dont il avait
pourtant, quelques années auparavant, condamné
le caractère totalitaire et stalinien. Le second, pour
éviter de perdre définitivement un procès
que lui intentait le révisionniste Henri Roques et qu'il
avait perdu en première instance, a décidé,
en seconde instance, d'en appeler à la loi Fabius-Gayssot,
ce qui lui a permis de gagner miraculeusement en cause d'appel.
Enfin, C. Courouve omet de dire que lesdites déclarations
n'ont été qu'un déjeuner de soleil: leurs
auteurs se sont ensuite murés dans le silence quand cette
loi s'est trouvée effectivement appliquée à
tel ou tel révisionniste. Il convenait d'en faire la remarque
car le phénomène en dit long sur la peur qu'inspire
en France "l'orthodoxie communautariste". Encore récemment,
quand Jean Plantin, "auteur-éditeur" et donc
confrère de C. Courouve, a été condamné
à six mois de prison ferme, Robert Ménard mis à
part, personne, dans la liste présentée, n'a eu
le courage de protester.
- C. Courouve accuse le
Parti communiste et lui seul d'être "à l'origine"
de la "loi Gayssot". C'est méconnaître
l'histoire de cette loi liberticide. C'est ignorer les faits
que mentionne Eric Delcroix dans La Police de la pensée
contre le révisionnisme historique, ouvrage publié en 1994.
Les initiateurs de la loi antirévisionniste ont été,
dès le mois de mai 1986, des personnalités principalement
juives réunies autour du grand rabbin Sirat. Puis, en
1987-1988, le Parti socialiste a pris l'affaire en main avec,
en particulier, les initiatives de Georges Sarre, de Michel Sapin
et surtout de Laurent Fabius, président de l'Assemblée
nationale. Le 23 mai 1989, lors d'une réunion organisée
par l'Union des étudiants juifs de France et l'Association
Klarsfeld des Enfants de la Mémoire, L. Fabius a déclaré:
"J'ai personnellement proposé une loi contre
les négateurs". Il a prévenu que le Parlement
devait agir au rebours de ce qu'avait ordonné Henri IV
lorsque ce dernier, désireux d'apaiser les querelles civiles,
avait proclamé par l'édit de Nantes qu'il ne devait
plus en être question dans le royaume. "Le Parlement
devra se faire mémoire", a lancé L. Fabius.
La salle, debout, lui a fait une ovation. A son origine, la proposition
Gayssot ne visait, elle, qu'à renforcer la répression
du racisme. Encore au début de mai 1990, elle n'était,
a-t-on dit, qu'"une coquille vide" (Hervé Algalarrondo,
"Racisme, histoire d'un ratage", Le Nouvel Observateur,
10 mai 1990, p.77). L. Fabius et ses amis socialistes ont rempli
cette coquille avec une disposition antirévisionniste,
appelée par Jacques Julliard "l'amendement anti-Faurisson",
et ils ont gracieusement permis aux communistes de présenter
cette loi. Sans l'exploitation par L. Fabius et Pierre Joxe de
la violation de sépultures juives dans le cimetière
de Carpentras, il est probable que cette loi aurait fait l'objet
d'un recours devant le conseil constitutionnel.
- En somme, pour être
exact et plus efficace, l'article de C. Courouve aurait besoin
d'un travail de révision.
- Robert Faurisson, 13
février 2003.
oooOOO§§§OOOooo
LA
CENSURE PAR L'ÉVANOUISSEMENT DES LIVRES
Censorship: The
Bush Junta Raids The Library
- By Glen Yeadon
-
- From the streets of Little
Beirut. Most Americans despise censorship. It is alien to our
very nature and is an assault on our freedoms and liberty. Yet
more and more Americans are now turning to foreign news sites
on the internet for the truth about today's world events especially
concerning war with Iraq. We no longer trust the current regime,
network news or major papers to deliver the truth. We know that
the media are nothing more than the mouthpiece of the Bush regime.
In short, Americans in increasing numbers are taking notice,
that the media are censored and are propagandizing the
news. A good example comes from the presidential inauguration
---err---better make that the appointment of George Bush as führer
in January 2001. I was struck with how frequently Dan Rather
used the terms "peaceful transition of power" during
the broadcast. Everyone recognized the lie; it was not
a peaceful transition of power it was a velvet coup; the election
had been stolen.
- Since then, despite looking
like buffoons, the media still cite the non-existing evidence
of this regime's claims of Iraqi weapons of mass destruction.
They fail to report that truth; they fail to report that this
administration tore out over a thousand pages of the UN report.
Those missing pages implicated American corporations that had
supplied Iraq with equipment to produce weapons of mass destruction.
Included in that list was Halliburton, which supplied millions
of dollars of equipment under the direction of former CEO Dick
Cheney. Now, thanks to the foreign press, we know that the defense
minister Rummy was a board member of ABB when it approved sales
of nukes to North Korea.
- CIA censorship and media-propagandizing
was supposed to have stopped in the mid- 1970s after the Church
Committee investigated the CIA's Project Mockingbird. At the
time, every major media outlet was infected with Mockingbird.
Coexisting with Project Mockingbird was a FBI operation named
COINTELPRO. COINTELPRO was successful in destroying not only
leftist groups but also more importantly the press of the left.
Ramparts was a major target eliminated by COINTELPRO.
In one short decade, the alternative press had been wiped out.
- In any other country,
such operations as the Great Red Scare of 1919, McCarthyism and
COINTELPRO would be considered purges. One of the factors that
brought Hitler to power was the repressive purging of leftist
groups in Germany during the 1920s. The same factor is responsible
for the presence of the current regime in the White House. COINTELPRO
eliminated any voices on the left. Things have progressed to
such a sad state of affairs in the media that in response to
a question by a French reporter, the propaganda minister of this
regime was laughed out of the briefing room. However, that is
all the American media did: it laughed; it failed to report the
truth or the web of lies Ari was trying to spin.
- Since America's Reichstag's
Fire of 9/11, this administration has passed the extremely repressive
Patriotic Act. It is now trying to pass an even more repressive
act. Both acts allow the government unrestricted spying on its
citizens. Your records at the library and the local bookstore
are open to federal investigators, no search warrants needed.
Furthermore, the library and bookstore are prohibited from
informing you that your records were checked. In fact, yesterday's
news carried an article of a public defender in New Mexico, who
was arrested in a library for remarks he made about this current
regime in an online chat room.
- This brings us to the
topic of this article and a second hidden form of censorship.
Four and half years ago I started writing a book about fascism
in America. For much of the background information, I relied
on already published works. Most of the works were out of print
but easily obtained in the used-book market. About two years
ago I started having problems obtaining certain books: they were
either prohibitively expensive or simply not available at any
price. Since that time, I have encountered over twenty books
that are no longer available. At least one independent bookstore
owner is on record stating that many of these books are being
bought up by the hundreds and shipped to Langley. [Siège
de la CIA]
- This second form of censorship
is taking place unnoticed by the public, only a few researchers
are aware of it. What follows is a short list of some of the
books that are now disappearing and the results of searching
the Advanced Book Exchange. For those, not familiar with Advanced
Book Exchange it is a site for all independent bookstores worldwide
to list their stock.
- The Plot to Seize
the White House,
Archer, 1972---2 copies available - $100 and $175
- Martin Bormann: Nazi
In Exile, Manning,
1981---3 copies available $175 to $388
- Secret Agenda, Hunt, 1991---2 copies---$100
to $150.
- Trial of the Octopus, Goddard, 1993---$87 to $750
- The History of Standard
Oil Company, Tarbell,
1966(last printing)--$135 to $950
- The Secret Society, Anthony Cave Brown--none available
- All Honorable Men, Martin---none available
- Secret Man, Dux, 1996--9 available $70 to
$125
- A Century of War, Engdahl--none available
- Tragedy and Hope, Quigley---both printings---14
available $50 to $250
- The Third Option, Shackley, 1981--none available
- This writer has a copy
of Secret Agenda that he purchased about four years ago
for less than $20. When I first started writing my book, both
Bormann and All Honorable Men were widely available
for less than thirty dollars. Tragedy and Hope was for
a long time unavailable for less than $300. The printer broke
the plates to prevent further distribution. However, it has since
undergone a second printing, but only after a lawsuit by the
author. The Secret Society has been to the printer for
seven times, only to have the printing run canceled. It is the
third part of the author's study of Bill Donovan's life and his
role in the OSS. The reader should note that many of these books
were printed in the 1990s. All of the books above are regarded
as classics by experts in the field and were widely circulated
and sold.
- The list above is only
a partial list of books that this writer has found to be unavailable.
What was a trickle four and half years ago when I first started
writing my book is fast turning into a torrent. Books dealing
with the darker side of the CIA and America's right wing association
with fascism are disappearing at an alarming rate from the
shelves of libraries. This form of censorship is going unnoticed
by the public. This Orwellian nightmare is occurring today. If
allowed to continue in a few short years the library shelves
will be barren of factual works that took dedicated writers years
to research while incriminating files from the government archives
can be burned.
- There is no question
of the Bush family's allegiance to Nazism. George Jr's grandpappy,
Prescott had three companies seized from him for trading with
the enemy during the war. He served as Hitler's US banker. George,
Jr's daddy was the man responsible for setting up the pro-Nazi
ethnic heritage groups in the Republican Party. George Jr. indicated
early on that his regime would not support a hard line for settlement
with the Jews that perished under the Third Reich.
- We had an early glimpse
of what George Jr's views were on our freedoms when during the
election campaign he said there ought to be limits on them. He
was referring to a web site that reported the facts. We
have another glimpse as to how ruthless Jr. and the junta behind
him are when they stopped the publication of a book that was
less than kind to him, Jim Hatfield's Fortunate Son. The
Bush propaganda machine worked overtime to destroy the author
until St Martins dropped publishing the book. Hatfield himself
was driven to suicide by an unrelenting and ruthless attack on
his character after a small secondary publisher agreed to publish
the book. In short, an example was made of Hatfield for all that
may follow.
- As for myself, I will
continue with my book as research dictates. I will continue to
make available the unedited version of The Nazi Hydra
on my web site until I am forced by this regime to do otherwise.
The information is too important to quibble about any lost of
future sales once I can publish it.
- I urge the reader to
check the availability of the titles above in their local library
and inform themselves. Don't allow this ruthless regime to rewrite
history as happened in Orwell's 1984.
<http://www.spiritone.com/~gdy52150/books.html>
On peut lire une version presque achevée
de The Nazi Hydra à la même adresse:
<http://www.spiritone.com/~gdy52150/noon.html>
LES
AHURIS PRÈS DE LA CONVERSION
Comme ils n'ont rien à mettre sur
leur site de gangsters politiques, surtout parce qu'ils craignent
les expulsions vers l'Italie, les loups se font moutons. Les voilà
rendus à baiser la bas des soutanes. Ils pompent, comme
ils en ont l'habitude, un papier dan la presse italienne et ils
viennent s'en excuser tout sucre tout miel:
- "Nous remercions
les journalistes de Famiglia Cristana qui nous ont permis,
en nous offrant l'accès à leur énorme documentation,
d'informer nos lecteurs sur ce trafic immonde. Nous espérons
que bientôt leur livre sera disponible en France. Il s'agit
d'une enquête d'une rigueur obstinée. Un travail
rare.
- Visitez le site de l'hebdomadaire
Famiglia Cristiana."
Il faut rappeler au lecteur qui ne fréquente
pas les caves du Vatican que cet hebdo, bien fait, exprime l'opinion
de la droite catholique proche du Saint Siège. Voir les
anciens brigadistes, assassins condamnés, venir picorer
là leur provende, a de quoi faire rire tous ceux qui les
ont connus, pérorant le flingue à la main.
Ils mentionnent une lettre écrite
aux journalistes italiens par un escroc condamné à
14 ans de prison. C'est justement à quoi est condamné
l'auteur du détournement d'article, Enrico Porsia: 14 ans,
pour complicité de crime de sang.
Cet opportunisme abject ne les sauvera
pas. Avanti dentro la galera !
<http://www.amnistia.net/librairi/amnistia/n31/dechets.htm>
RÉPONSE
- Correcting
the Misunderstanding and Ignorance Sown by the Jewish Chronicle
and Evening Standard newspapers in Britain
-
- by Michael A.
Hoffman II
-
- A. N. Wilson is one of
Britain's most important and influential journalists and the
author of several popular books. On Feb. 10, 2003, London's "Evening
Standard" newspaper published a column by Mr. Wilson which
consisted of a summation of Israeli atrocities, followed by publicity
for the book which this writer co-authored with Moshe Lieberman,
"The Israeli Holocaust Against the Palestinians."
- A few days days later
the "Evening Standard" made a sycophantic act of contrition
for have printed the article by its own columnist. The article
was also pulled from the newspaper's website.
- In the wake of Wilson's
column, various media representatives attempted to contact this
writer and Moshe. As a result I am attacked in two articles printed
Feb. 14 on the front page of the website of the London-based
"Jewish Chronicle," (I have not yet seen the newspaper
in hardcopy), a publication of enormous clout in the Zionist
world. The purpose of the "Jewish Chronicle" report
is to smear Wilson through guilt-by-association, by calling me
the usual hideous, dehumanizing names reserved for those fiends
who refuse to worship at the altar of Holocaustianity.
- As my punishment, I am
consigned to the fever swamps of the "white supremacists."
The "Jewish Chronicle" even accompanied its reports
with a color photograph of a skinhead displaying a Nazi flag,
suggesting that the silly spectacle had something to do with
me because the flag was waved in Coeur d'Alene, Idaho, near where
I make my home. In fact, the only time I displayed a swastika
symbol in Idaho was during a demonstration for Palestine in which
I equated the Nazi flag with the Israeli "Star of David"
(see photo at http://www.hoffman-info.com/palestine33.html>; a photo the commissars at
the "Jewish Chronicle" dare not print).
- The Zionist newspaper's
contemptuous Nazi-baiting tactics are supposed to make Wilson
and his editors run for cover. His editors have done so, but
Wilson has stood his ground, at least in so far as the "appalling
record" of Sharon's atrocities is concerned.
- Neither the "Jewish
Chronicle" nor my critics at the "Evening Standard'
have disputed one fact in the book, "The Israeli Holocaust
Against the Palestinians." They content themselves with
smearing a writer accused of various heresies against Judaism
and Zionism, even as the brains of eight year old Palestinian
children ooze onto the jackboots of Israeli troops, and millions
of Palestinian civilians suffer Nazi-like collective punishment.
Not to worry; the greater indignation is reserved for the exposure
of Israeli war crimes and the fact that a high-profile journalist
publicizied it.
- Here is a brief list
of the lies and inaccuracies in the "Jewish Chronicle"
articles, "The unsavoury tales of Hoffman" and "Standard
apologizes for Holocaust-denier boost"
- * "Married with
eight children." I do not have that number of children.
- * "Hoffman later
went on to write a book about Zundel, called "The Great
Holocaust Lie." Wrong. The title is: "The Great Holocaust
Trial: The Landmark Battle for Freedom of Speech." "The
press release for the book ('Israeli Holocaust Against the Palestinians')
says (Moshe) Lieberman was also formerly a 'Hebrew University
researcher." Wrong. We said Moshe had been a researcher
"for Israel Shahak of Hebrew University."
- * "Mr. Hoffman...said
that Lieberman 'lives in NY, but I can't give you his number
because he's concerned for his personal security." Hey,
they got one right! Moshe has been labeled a "rodef"
(pursuer) by his Judaic detractors who hail from such hotbeds
of violent religious fanaticism as Bar Ilan and Yeshiva univeristies.
The late Yitzhak Rabin was labeled a rodef and then shot in the
back by Yigal Amir, who told the media the Talmud made him do
it. Information concerning the rabbinic blessing for the murder
of a person labeled a "rodef" was excluded from the
"Jewish Chronicle" article.
- I was not given an opportunity
by the "Jewish Chronicle" to confront allegations by
various Stalinist "watch-dog" groups in the U.S. concerning
the ludicrous, pro-forma claim that I am a "white supremacist."
I did however make reference to the damage done by "Jewish
supremacy" in my conversation with the "Jewish Chronicle"
and I do protest Master Race doctrine, whether embodied in the
pages of "Mein Kampf" or the Talmud.
- * "The Great Holocaust
Lie,' Mr. Hoffman's 1998 biography of Holocaust-denier Ernst
Zundel, was banned in Canada." Wrong. For the correct title,
see above. They even got the date wrong. The book was not published
in 1998. The first and second printings were published in 1985
by the Institute for Historical Review; an expanded edition appeared
in 1995 from Wiswell Ruffin House. No biography of Mr. Zundel
was written or published in 1998.
- I am described as a "purveyor
of repulsive propaganda," yet not one fact from any of my
six books was challenged or shown to be in error.
- The dean of Wonderland,
Rabbi Abraham Cooper of the Simon Wiesenthal Center hallucinated
thus: "Hoffman...makes no pretense of being other than viciously
anti-Israel and anti-Semitic." In other words, Hoffman is
a self-confessed "anti-Semite." Where have I ever made
any such confession? I have always and everywhere scorned the
term "anti-Semite" and its stigmatizing function as
a thought cop mechanism.
- In spite of the latest
"negative publicity" intended to have inquiring, independent
minds like A. N. Wilson toe the party line on Sharon and the
rabbinic doctrine that supports Israeli crimes, I believe the
effort will backfire. It is becoming increasingly apparent that
both Wilson's bosses at the "Evening Standard" and
the editors of the "Jewish Chronicle" attempt to fit
'blasphemous,' Voltaire-like modern rebels into a shopworn box
whose dimensions consist of "white supremacy" or some
other instantly dicrediting, hateful element. But the Jewish
supremacy that enforces this mendacious stereotype is never a
subject of investigation or soul-searching.
- Any honest person who
reads "The Israeli Holocaust Against the Palestinians"
will observe that it is a profoundly anti-racist work. It is
a signpost of these mad times that while America and Britain
languish in the grip of the lethal Master Race conceits of Judaism
and Zionism, the media contort themselves into paroxysms of hysteria
and disinformation whenever a serious challenge to these conceits
is mounted.
- A. N. Wilson's credibility
can only increase. He has had the courage to air facts that carry
with them the dangerous stigma which tyrants have forever attached
to forbidden truth, and upon which all true progress and enlightenment
depend.
- The Hoffman Wire. In
Defense of Progress and Enlightenment and Against Mendacious
Stereotypes by Jewish Supremacists and their Lapdogs, Coeur d'Alene,
Idaho, February 14, 2003.
- <http://www.hoffman-info.com/>
LETTRE
DE ROBERT FAURISSON
- 28 février 2003
- Aux cinq magistrats
lyonnais que je tiens pour responsables de ce qui arrive à
Jean Plantin, j'ai envoyé hier la lettre suivante :
- Messieurs, Madame,
- Vous encourez tous,
à des degrés divers, une part de responsabilité
dans la condamnation prononcée, ce 22 janvier, à
l'encontre de Jean Plantin.
- Vous voudrez bien, en
conséquence, trouver ci-jointes [sic] , pour votre
gouverne, les quelques pièces suivantes : [Suivent sept
titres dont "Jean Plantin"].
- Je suis à votre
disposition (mise en examen, procès et emprisonnement
compris) pour tout renseignement complémentaire sur le
sujet.
- Bien à vous.
APRÈS
LA GUERRE, C'EST LA GUERRE
Dans un article récent, Christian
Bouchet signale qu'il a
«été
tout à fait surpris de découvrir qu'un universitaire
américain, Perry Biddiscombe, avait publié, dans
la revue historique d'une université du nord des USA,
un article de plus de cinquante pages sur "les maquis blancs
et leur impact dans la France libérée, 1944-1945".
Perry Biddiscombe a eu
accès aux archives militaires américaines, aux
comptes-rendus des correspondants de guerre yankees et il a aussi
dépouillé beaucoup de dossiers français
de l'époque.
Ce qu'il nous fait découvrir
est étonnant: une résistance véritable,
présente sur toute la France, avec ses réseaux,
ses combattants, parfois son appareil politique ...»
C'est un universitaire canadien. Une brève
recherche donne ces références:
Werwolf!: The History of the National
Socialist Guerrilla Movement, 1944-1946,
by Alexander Perry Biddiscombe, Perry Biddiscombe, 464 pages ,
Univ of Toronto Press, February 1998.
The Last Nazis,
by Perry Biddiscombe, 192 pages, Tempus Pub Ltd., November 2000.
Compte rendu de Werwolf :
- Kapitulieren?
Nein!, September 25, 1998
- As WW2 came to a close,
the Third Reich established the "Werwolf" guerilla
movement for defense against the Allied invasion of Germany.
This book discusses the establishment of the Werwolf, and covers
a long series of their exploits: sabotage, sniping at allied
troops, and leaving behind poisoned liquor for the Russians.
A young HJ member's valiant retaliation against a Russian officer
who accosted his sister is discussed, along with the further
crimes the Red Army perpetrated in response. The famous last-ditch
Alpine Redoubt is covered in detail. This book also discusses
the significant differences in attitude toward the Allied invasion
in different districts of Germany. The fate of ethnic Germans
living in Alsace, Malmedy, Poland, and the Sudetenland receives
a considerable amount of attention.
- The book can become
rather depressing at times, because of the utter hopelessness
of the war at this point, and the atrocities commited against
German civilians and POWs by the Allies. However, it remains
a very compelling tale none the less. I highly recommend the
book.
KASHER CASHIER
Le gouverneur de l'Etat de New-York a
des ennuis. Un tribunal a dit que les lois qui obligent les producteurs
d'alimentation à suivre les règles de la Kasherout
(le rituel juif) sont abusives. Il a en outre déterminé
que ces règles étaient tirées d'un traité
de loi juive datant du XVIe siècle ! (Affaire Yarmeisch).
Ce jugement a porté un coup dur au rabbinat orthodoxe qui
amasse des fortunes pour estampiller les produits vendus à
New-York. Ils ont donc fait pression sur le gouverneur qui s'est
empressé de passer une loi de substitution, dite
"Emergency Kosher
Law Protection Act of 2003."
"In keeping with
dietary laws and political tradition, there will be two sets
of bills. Assembly Speaker Sheldon Silver and Attorney General
Eliot Spitzer promise another.
After New Jersey lost
a similar case, it stopped enforcing kosher laws, and just requires
establishments to disclose their supervising rabbis and which
kosher practices they follow. Inspectors make sure they are doing
what they say."
<http://www.nytimes.com/2003/03/02/nyregion/02TOWN.html>
LE
GRAND COLLIGEMENT
- My name is Martin Fredriksson
and I am working for The Task Force for International Cooperation
on Holocaust Education, Remembrance and Research. This is
an association of representatives of governments as well as governmental
and non-governmental organizations initiated by Swedish Prime
Minister Gøran Persson in 1998 to encourage, facilitate
and coordinate activities on Holocaust education, remembrance
and research. For additional information on The Task Force for
International Cooperation on Holocaust Education, Remembrance
and Research please visit our website: <http://taskforce.ushmm.gov/>
- As a part of our mission
to stimulate Holocaust research and encourage international exchange
between scholars within this field of interest I am compiling
a international overview of ongoing research relating to the
Holocaust or to national socialism. This project was initiated
by Professor Yehuda Bauer, who is the head of the Task
Force's Academic Working Group, and we hope that it will eventually
provide a valuable resource for all academics who are conducting
research on the Holocaust. The overview is intended to include
all PhD candidates and recently approved PhD's in The United
States and sixteen other countrys in Europe and South America
that are members of the Task Force and it will be presented during
spring or summer 2003.
- At the moment I am seeking
contact with all academics who are working on a PhD- or Post
Doc-Thesis that in some way deals with the Holocaust.
In doing this I am in great need of your assistance.If you are
working on a PhD- or Post Doc-Thesis on the Holocaust or national
socialism, or relatÌng to those questions, I would be
very happy if you would like to participate in this overview.
If you oblige to this please e-mail me following information:
- *Your name and title
- *The name of the University
where you are working
- *The name of your tutor
(if you are a PhD Candidate)
- *The title of your Thesis
- *If your research is
a part of a larger project
- *When you are planning
to publish ypur research
- *A very brief abstract
of your thesis
- If there are any other
scholars active within this field of research working at, or
associated with, your department I kindly beg you to pass this
message on to those persons. In order not to crowd the list I
suggest that you respond to my personal adress: <[email protected]>. If you have any questions
or other remarks, please feel free to contact me.
- Martin Fredriksson
- The Uppsala Programme
for Holocaust and Genocide Studies, Uppsala University, Box 514,
751 20 Uppsala, Sweden,
- +46 73 - 780 42 34
LE
MONDE DE L'AUTOSATISFACTION
Le quotidien Le Monde est l'objet
d'un livre de critique. La rédaction rejette évidemment
les critiques. Les expériences passées montrent
qu'imbue de son magistère, la rédaction du Monde
ne consent pas à reconnaître à d'humbles mortels
de droit d'émettre des critiques. On se souvient du livre
de Michel Legris, ancien de la rédaction. Pourtant, depuis
15 ans, ce journal ne cesse de baisser, de se vider de tout contenu,
et de tâcher de se faire valet à toutes mains des
Américian, jusqu'à publier des traductions du minable
canard new-yorkais, le NY Times, le maxime cloaque de Manhattan.
Or pour rendre compte du livre de Pierre Péan et Philippe
Cohen, La Face cachée du "Monde", la rédaction
n'a trouvé personne d'autre que l'un des principaux accusés,
le trotzkyste breton Edwy Plenel soi-même, qui se contente
de paraphraser quelques passages du livre, sans bien entendu se
charger de les réfuter; ça ferait trop peuple. La
sacro-sainte déontologie, qui aurait voulu qu'on demande
à une personne neutre de faire le compte rendu, on s'en
torche. On n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Plenel mis en cause monte au créneau et que fait-il, une
fois au créneau ? Il sifflote Au clair de la lune.
Et ensuite, pour défendre le quotidien qui n'est plus rue
des Italiens, mais on ne sait où dans des quartiers mal
famés, la rédaction a trouvé comme défenseur
Alain Bauer, sans doute l'homme le plus véreux de la place
de Paris, devenu "grand-maître" (ils ne se mouchent
pas du pied pour les titres ronflants) du Grand Orient de France
(est-ce qu'on s'est jamais avisé du ridicule des
francs-macs, avec leur tablier de boucher et leur compas comme
une plume dans le cul ?), ce qui ne serait rien si cet intrigant,
ancien de la MNEF et de l'ID de l'époque rocardienne, n'étant
en même temps une sorte de gros flic privé, qui vend
de la "sécurité" et écrit des livres
sur l'art et la manière de nous espionner et de nous matraquer.
Voilà l'horrible jojo que le Monde met en avant,
un type à qui personne ne souhaite serrer la main, trop
sûr qu'il s'arrangerait pour relever les empreintes...
BITER
LE BÉTAR
Beaucoup de gens se demandent ce que veut
dire le mot Bétar. Est-ce le rassemblement des bitards
? Des bêtas ? Des bêtes en retard ? Des bêtes
têtards ? Des bêlants moutards ? Des tas de bâtards
? On ne sait pas.
En fait, quand il s'est agi de donner
un nom à son organisation de jeunesse, le mussolinien Jabotinsky
est allé chercher le nom d'un congénère né
en Russie, militaire culotte de cuir dans l'armée du Tsar,
qui portait le nom de Trumpeldor, qu'on croirait issu d'un cirque
ou d'un album de Babar. "Trumpledor est jardinier et arrose
les plantes avec sa trompe..." Ce pauvre con avait trouvé
moyen d'aller en Palestine se faire flinguer par des Arabes à
qui les braves sionistes essayaient de voler les terres, en 1920.
Jabo a donc appelé son groupe de petits fascistes Brit
Yosef Trumpeldor, l'Alliance de Joseph Trumpeldor, B - T -R, Bétar.
C'était une organisation copiée sur l'armée,
sans aucune procédure démocratique. (Voir ses débuts
dans Yehuda Benari and Joseph Schechtman, The History of the
Revisionist Movement, vol.I, p. 41. Tel Aviv, Hadar, 1970.
Seul le premier volume est paru (1925-1930). Le second auteur
est mort à ce moment-là.)
Voici une héroïsation de ce
soudard par les sionistes:
- "Trumpeldor naquit
en Russie, le 4 décembre 1880, et trouva une fin tragique
dans le combat de Tel Haï, le 29 février 1920. Il
était la personnification de l'esprit pionnier et de l'héroïsme
juif. Trumpeldor était issu d'une famille assimilée.
Il choisit la carrière militaire et quand éclata
la guerre russo-japonaise, en 1904, il fut promu officier, une
distinction très rare pour un Juif sous le régime
des Tsars. Il perdit son bras gauche au siège de Port-Arthur,
mais continua à servir dans l'actif quelque temps encore.
- C'est à cette
époque que Trumpeldor entra en relation avec les milieux
sionistes et il s'identifia aussitôt, et avec enthousiasme,
à la cause nationale juive. A la Conférence de
Romni, en 1911, il fut l'orateur principal et y soumit un projet
de fondation d'implantations collectivistes. En 1912, après
avoir achevé ses études universitaires, Trumpeldor
vint en Palestine pour mettre en pratique ses idées.
- Durant la première
guerre mondiale, il conçut l'idée d'une Unité
de combat juive pour lutter aux côtés des Alliés
et il contribua activement à la formation du "Corps
des Muletiers de Sion", dans lequel il combattit à
Gallipoli en tant qu'officier.
- A la fin de la guerre,
Trumpeldor rentra en Russie et se consacra à l'organisation
de l'émigration de la jeunesse juive en Palestine. C'est
dans ce but qu'il fonda le Mouvement pionnier Hehaloutz. Trumpeldor
revint en Palestine en 1919, et contribua à l'unification
des deux Mouvements ouvriers juifs parallèles. Dans les
premières années qui suivirent la guerre de 1914-1918,
les troubles étaient fréquents dans la Palestine
septentrionale; la frontière avec la Syrie n'était
pas encore fixée entre les Anglais et les Français.
Des bandes de Bédouins armés maraudaient dans cette
zone litigieuse, où se trouvaient deux implantations collectivistes
nouvellement fondées, Kfar Guiladi et Tel-Haï. Trumpeldor
assuma l'organisation de leur défense et c'est à
Tel-Haï qu'il trouva la mort, à côté
de cinq camarades, dont deux femmes. Certains disent que ses
derniers mots furent : "Il est bon de mourir pour notre
pays".
Source: Les constructeurs de la patrie,
Publications du Département de la Jeunesse de l'Organisation
Sioniste. Sa tête d'abruti a été philatélisée:
<http://henar.free.fr/pays/asie/israel-400.htm>
Par la suite, certains se sont avisés
qu'on pouvait faire un jeu de mot avec le nom de la forteresse
juive de Bar Kochba, le Charogne de la deuxième guerre
juive de 135 après J.-C. Il s'est fait écraser et
a, par ses actions, mis un terme à la présence juive
en Palestine pour de nombreux siècles. C'est exactement
ce que Charogne et ses semblables finiront par faire arriver.
LES
MAINS DÉGUEULASSES
Un nouveau héros est né.
Un héraut devrait-on dire. Un "penseur profond".
(Voir CR du mois dernier: "Genet en travers de la gorge").
Voici comme il est présenté par la revue une publication
intensément philosophique, la "revue de (l'association)
France-Israël", d'octobre-décembre 2002:
- "Nos lecteurs connaissent
la profondeur de la pensée du professeur Eric Marty dont
nous avons publié un article dans notre numéro
de janvier-mars 2002 sous le titre [effectivement bouleversant
d'originalité] Un nouvel antisémitisme
? [...] tout le document est d'une portée morale,
philosophique et historique telle qu'Eric Marty comptera au petit
nombre des grands esprits de notre temps. [...] Dorénavant,
à tous ceux qui se permettront encore d'associer les mots
«Chatila» et «Israël», il faudra
répliquer: «avez-vous lu le texte d'Eric Marty
? »
Ces nuls croient qu'ils s'en sortiront
comme ça.
FAIRE-PART
Porté sur les fonts baptismaux
par le judéolâtre Nicolas Weil, nous sommes heureux
d'annoncer la naissance d'un nouveau terme, le «dénégationnisme»,
survenue dans les pages de la revue Le Débat, par
l'entremise de Michèle Attar, du Conseil économique
et social et de Didier Peyrat, magistrat. Ils ont trouvé
qu'il était temps de découpler pauvreté et
délinquance, ce qui est une découverte merveilleuse,
et de «rompre avec "le dénégationnisme
et l'angélisme"». La mère et l'enfant
se portent bien. Le nouveau-né a devant lui un avenir brillant.
(Le Monde, 6 mars 2003).
REMOTE
CONTROL
Le papa et la maman de Mel Gibson
ne sont pas des gens très fréquentables.
Le père, Hutton Gibson, 84 ans, catholique traditionaliste,
dit les choses simplement.
- Hutton Gibson, told The
New York Times he flatly rejected that the terrorist group
led by Usama bin Laden had any role in the attacks on the World
Trade Center and the Pentagon Sept. 11.
- "Anybody can put
out a passenger list," the elder Gibson told The New
York Times.
- "So what happened?
They were crashed by remote control."
- He and the actor's mother,
Joye Gibson, also told The New York Times that the Holocaust
was a fabrication manufactured to hide an arrangement between
Adolf Hitler and "financiers" to move Jews out of Germany
to the Middle East to fight Arabs.
- "Go and ask an undertaker
or the guy who operates the crematorium what it takes to get
rid of a dead body," Hutton Gibson told The New York
Times. "It takes one liter of petrol and 20 minutes.
Now six million?"
- Said Joye Gibson: "That
weren't even that many Jews in all of Europe."
- <http://www.nytimes.com/2003/03/09/magazine/09GIBSON.html>
En France, il serait déjà
en cabane.
oooOOO§§§OOOooo
ACTUALITÉS
ITALIENNES
TANTE
MARIONETTE
Shoah: qualche
considerazione
-
- Premetto che io penso
che le due guerre mondiali sono state due "guerre civili"
combattute tra Europei a beneficio di altri. Premetto che io
sono convinto che la seconda guerra mondiale è stata particolarmente
feroce e crudele nei confronti delle popolazioni civili, coinvolte,
loro malgrado, nelle vicende belliche. Premetto che io, pur avendo
una particolare stima per i Tedeschi, penso che gli stessi avrebbero
avuto migliori successi se avessero avuto la "mano meno
pesante" sulle popolazioni civili dei territori occupati.
- Fatte queste mie premesse,
frutto di molte letture e di qualche riflessione, devo confessare
che sono rimasto perplesso e stomacato dal tono celebrativo che
è stato dato alle "celebrazioni della memoria",
allo "Olocausto", oppure, se preferite, alla "Shoah".
Con tante marionette che si agitavano senza pudore e senza ritegno.
- Sia chiaro: sono più
che convinto che tutti i popoli europei, coinvolti nella seconda
guerra mondiale, ne siano usciti con ferite meritevoli di essere
rammentate. E che un qualche "memento" possa essere
utile e necessario per evitare che simili tragedie abbiano a
ripetersi. Ma detto ed affermato questo concetto, mi chiedo:
perché le commemorazioni si sono limitate alle sofferenze
dei soli Ebrei? Perché giocare sulle cifre (RAI2 ha parlato
di "25 milioni di Ebrei uccisi nei campi di concentramento")?
Perché non dirimere la verità storica dalle tante
fole propagandistiche dopo 57 anni dalla fine della guerra?
- NO, non mi scandalizzo
se, finita la guerra, in tanti abbiano teso la mano per "chiedere
un indennizzo". E' umano, troppo umano. Ma che, dopo 57
anni, non si possa e non si voglia sceverare la "verità"
dalla "menzogna". Che ci si ponga a "maestri di
moralità", sbandierando cifre che si sanno interessatamente
esagerate, a me pare offendere le vittime. Speculare sui morti:
una torbida speculazione che offende i morti e non educa affatto
i vivi.
- Ribadisco: io sono convinto
che ci furono delle crudeltà e delle efferatezze. E tutti
quanti dovremmo riflettere di quali abiezioni sia capace la "belva
umana". Ma chi si mette a "giuocare sui numeri"
non porta certo dei contributi né alla "verità
storica" né al "momento di riflessione"
che tutti dovremmo recepire e fare nostro. Ma il tutto viene
percepito come una cinica operazione di propaganda politica.
A danno di quei valori dei quali ci si autoproclama alfieri.
- Avvalorano questa mia
ipotesi, i fatti di Palestina. Ammesso dunque che i nazisti (tutti
belve) abbiano ucciso e sterminato 6 milioni di Ebrei (tutti
morti gassati, nessuno che sia morto di tifo oppure di polmonite).
Ammessa la ipotesi della "soluzione finale", voluta
da Hitler, da tutti i nazisti e da tutti i Tedeschi (salvo ovviamente
i pochi antinazisti). Ammesso tutto questo, cosa fanno gli Ebrei
che vanno in Palestina? Si prendono la terra dei Palestinesi,
li cacciano dalle loro case e villaggi con la forza delle armi,
li uccidono, li mortificano, li avviliscono e cercano di ridurli
a un "popolo senza anima". A delle "larve umane".
- Ecco: mi chiedo e chiedo.
Ma solo noi Europei dovremmo riflettere sulle nefandezze dei
nazisti avvenute tra il 1943 e il 1945? E mentre noi riflettiamo
sui crimini dei nazisti, oggi, gli Israeliani continuano nel
sistematico genocidio del popolo palestinese? Ditemi, o maestri
di morale che dai palchi di tutta Italia, avete dato un senso
unilaterale alla "celebrazione della memoria": esiste
forse una doppia morale? Perché noi dovremmo ricordare
ed aborrire i crimini nazisti di ieri se voi non condannate,
con altrettanta fermezza, i crimini che commettono oggi gli Israeliani
a danno dei Palestinesi? Non è forse il vostro un "razzismo"
mascherato da "antirazzismo"?
- Antonino Amato, 28 gennaio
2002
- <http://members.xoom.virgilio.it/mse/Ultime.htm>
MACÉRATIONS
Il était une fois un parti fasciste.
Italien. C'est classique. Ce parti ayant décidé
de "monter au pouvoir" s'est donné une allure
respectable. L'Alliance nationale est dirigée par un opportuniste
notoire, une vraie lope, Gianfranco Fini. De ce parti dépend
un mouvement de jeunesse, Azione Giovani. Voilà-t'il pas
que le canard communiste L'Unità dénonce, sous le
titre toujours élégant "Achtung à la
majorité", du 10 mars, qu'il y avait, sur un site
web, tenu par la section jeune de la ville de Macerata, un compte
rendu d'un livre. Horreur et putréfaction. Il s'agit du
livre de Mario Spataro intitulé Olocausto, dal dramma
al business ? consacré en grande partie aux travaux
de Norman Finkelstein. Cet ouvrage est donné à lire
sur la partie italienne de l'aaargh (Olocausto, dal dramma al business
?). Ce compte rendu a été
rédigé par un traditionaliste de Bari, Gianvito
Armenise.
Aussitôt, Fini répond au
coup de sifflet des communistes et saute en piste. Il dénonce
"le site antisémite" et donne impérialement
l'ordre de "suspendre les jeunes de Macerata". Leur
site
<http://www.azionegiovani.macerata.it> disparaît des écrans. Toute
la presse fait du schprounz et Fini fait de grands moulinets en
jouant au pourfendeur des "antisémites". On sait
qu'il lèche consciencieusement tous les pieds "hébreux"
qu'il rencontre et qu'il attend désespérément
son visa pour Israël, seul certificat de bons et loyaux service,
pense-t-on en Italie, qui lui manque encore pour prendre éventuellement
la relève de l'actuel premier ministre, le grotesque Berluska.
Evidemment, dans tout ce cirque, personne n'a lu le livre de Spataro,
ou, du moins, personne n'en parle. C'est pourtant un petit livre
excellent.
D'après Il Messaggero, 12
marzio 2003.
Voici ce qu'on peut trouver dans le cache
de Google:
- Contraffazioni a
fini politici dell'olocausto
- di Gianvito Armenise
"Responsabile Gruppo Controvento
- Il libro di Mario Spataro
(Olocausto:
dal dramma al business?
- Riflessione sugli scritti di Norman G. Finkelstein, Edizioni Settimo Sigillo -
Roma, 2000) non può non aver sollevato un polverone in
merito a quello che da oltre cinquant'anni anni è ingiustamente
definito un "dogma".
Ensuite, ceci sur le site clorofilla,
- An imbavaglia
i suoi pargoli
- di Anna Boccaccio
-
- Macerata - Il circolo
"Azioni giovani" di Macerata è stato sospeso
da Alleanza Nazionale. La sezione locale del movimento del partito,
ha infatti pubblicato ieri sera nel sito azionegiovani.macerata.it
la recensione di Gianvito Armenise sul libro Olocausto, dal
dramma al business di Mario Spataro, un'opera che nega l'esistenza
dei campi di sterminio e definisce un falso il "Diario di
Anna Frank".
- L'episodio ha inevitabilmente
scatenato la polemica. Nel centro del mirino non solo la Destra
giovanile ma l'intero partito di An, che ha voluto perentoriamente
prendere le distanze dall'accaduto sospendendo tutti gli aderenti
al circolo maceratese, fra cui alcuni tesserati anche di Forza
nuova.
- Francesco Grillo, uno
dei quattro commissari nominati da Fini per la guida di Destra
giovanile ha commentato: «Apprendo con sdegno e stupore
dell'esistenza di un sito Internet dai contenuti antisemiti,
curato dal circolo di Azione Giovane di Macerata. Nella Destra
giovanile -- continua Grillo -- non c'è posto per cretini
che con il loro agire si prestano a strumentalizzazioni tali
da mettere in difficoltà il nostro stesso partito».
- E il responsabile del
circolo, Andrea Blarasin si difende: «So che l'olocausto
c'è stato e che ha provocato sei milioni di morti. Pensa
che lo possa negare? Ma non siamo in una dittatura e c'è
la libertà d'espressione». 12/03/2003.
- <http://www.clorofilla.it/articolo.asp?articolo=2841>
LA
TRONCHE DE L'AUTRE
Il se passe des choses monstrueuses dans
cette péninsule qui fut adorée des dieux. Les Italiens
possèdent un unique camp de concentration, à Fossoli,
sur la commune de Carpi, près de Modène, dans la
plaine du Pô. Il a servi surtout de camp de transit pour
la déportation des opposants politiques et des quelques
milliers de juifs qui furent déportés vers l'Allemagne.
Il est resté à l'abandon et à l'état
de ruine jusqu'à une date très récente. La
commune de Carpi a entrepris de le "restaurer"; elle
possède un petit "musée-monument au Déporté
politique et racial", dont les meilleurs guides nous disent
seulement qu'il contient seize stèles en ciment portant
les noms des "camps d'extermination nazis". (Emilia-Romagna,
du Touring Club Italiano, éd. 1998) On serait curieux de
savoir où les Italiens en ont trouvé seize ! Voir
<http://www.fondazionefossoli.org/museo.html>
La direction du musée a monté
une exposition, inspirée, semble-t-il par l'un des plus
facétieux fumistes que notre époque ait produit,
le pseudo-philosophe Lévinas, qui a abandonné la
philosophie, qui rapportait peu, pour le commentaire talmudique,
qui est nettement plus profitable. L'un de ces rêvasseries
lévinassiennes porte sur "le visage de l'autre",
où Lévinas décalque une pensée tout
à fait chrétienne en la faisant passer, par une
sorte de contrebande dont le droit lui était reconnu sur
la place de Paris, pour une vaticination talmudique. Inutile de
dire que ces choses-là ne se trouvent pas dans le Talmud
réel des yeshiva, et que Lévinas ne fait impression
qu'aux gogos parisiens, du genre Finkelkraut, qui ignorent tout
la vraie culture juive du yiddishland, en l'occurrence celle de
Vilnius d'où venait Lévinas, et qui est marquée
au coin de l'irrationalisme, de la magie et de la mystique des
hassidim et autres élucubrateurs restés au Moyen-Age.
Donc, des naïfs saisis par le désir
culpabilisé de faire montre d'un vernis pseudo-juif, garanti
par le pseudo-rabbin Lévinas, entreprennent de faire, dans
ce musée de Carpi, une exposition sur "le visage de
l'autre". Cette exposition sera dédiée à
Giorgio Perlasca, un gentil qui a sauvé des juifs pendant
la guerre et qui s'est fait décerner le label inoxydable
de "juste parmi les justes". Ils demandent à
quinze jeunes artistes du coin de bien vouloir faire des oeuvres
accrochables près des stèles de ciment, "sur
la base d'un topos récurrent dans l'oeuvre du grand
philosophe ebreo Emmanuel Levinas, récemment disparu"...
Une jeune photographe de Carpi produit une image de jeunes femmes
à moitié voilées qui doivent évoquer
la femme arabe. L'exposition est inaugurée le 27 janvier
par le président de la Chambre, Casini. Le Président
de la république italienne, spécialiste des discours
d'exaltation de la Résistance, Carlo Azeglio Ciampi vient
visiter les lieux le 11 mars. Jusque-là tout va bien.
Mais quelques malades sionistes, en particulier
Franco, le fils du Giorgio Perlasca héroïsé,
sont venus à passer par là. Le processus de sanctification
d'Israël s'est aussitôt mis en marche: sacrilège
! Une tête d'Arabe sur un mur consacré à la
douleur juive, une sorte de redux du Mur des Lamentations. Personne
ne s'est avisé que les modèles qui avaient posé
n'étaient nullement arabes et que les in fortunées
modèles ne savent pas comment mettre un voile ! Mais la
machine s'est mise en route, inexorable. Des photos des photos
ont été faites et aussitôt affichées
pour attirer la réprobation. Elles y sont encore:
<http://www.amicidisraele.org/images/museocarpi01.jpg>
<http://www.amicidisraele.org/images/museocarpi02.jpg>
Le scandale était là: on
avait tenté de comparer L'Allemagne nazie, ici dûment
condamnée, et Israël: la tête de la femme arabe
devenant l'équivalent de la déportée, assignait
à Israël le rôle du bourreau tortionnaire. Et
c'est ça que les sionistes ne supportent pas. On ignore
si cela se trouvait dans les intentions des organisateurs de l'exposition,
qui offrent toutes les garanties de judéité adéquates,
et les politiciens qui sont venus se dorer l'auréole n'ont
rien remarqué de suspect. Mettre une Arabe pour figurer
"la tête d'autrui" semblait assez normal.
Alertés, les finis limiers du site
<olokaustos> se sont étranglés d'indignation:
L'Associazione Olokaustos
dopo aver preso visione delle fotografie esposte all'interno
del Museo del Deportato di Carpi che ritraevano donne abbigliate
in abiti arabi sopra le testimonianze delle deportate dal campo
di Fossoli ha giudicato l'operazione "culturale" una
intollerabile operazione di banalizzazione della Shoah.
Ils ont commencé par bombarder
les responsables du Musée de Carpi d'e-mails incendiaires
et comme les Carpiens ont cru bon de se justifier, les Olokaustiques
les ont dénoncés aux autorités supérieures.
Et qui sont, je vous le demande, les autorités supérieures,
ceux qui ont l'autorité canonique et exercent en la matière
leur droit immémorial de haute et basse justice: les gros
tarés du Centre Simon Wienthal à Paris. C'est comme
l'archevêché de la religion nouvelle. Aussitôt,
le gros Samuels, préposé au chantage, s'est fendu
d'une lettre au Musée de Carpio, qui vaut son pesant de
halva, surtout si l'on garde à l'esprit que ces gens sont
des "gardiens de la mémoire" professionnels,
holocaustiqués de partout, résistants jusqu'à
l'ongle du petit orteil, et trempés longuement dans la
lessive levinasseuse !
- CENTRE SIMON WIESENTHAL
- SIMON WIESENTHAL CENTRE
-
- 64, avenue Marceau -
75008 Paris - Tél.: 33 (0) 1 47 23 76 37 - Fax: 33 (0)1
47 20 84 01
-
- FOR IMMEDIATE RELEASE
-
- Wiesenthal Centre to
Prime Minister Berlusconi: "Italy's Moral Responsibility
to its Jewish Deportees Demands Immediate Action against Abusers
of Holocaust Exhibit which Encourages Incitement to Jew Hatred"
-
- Paris, 18 March 2003
-
- The Simon Wiesenthal
Centre, in cooperation with the Italian research organisation
"Olokaustos", has protested the abuse of a Holocaust
exhibit, ostensibly honouring the Righteous Gentile, Giorgio
Perlasca, for its "outrageous display of banalization and
antisemitic revisionism." [Le mot est lâché.
Il leur faut toujours un marteau-pilon pour écraser une
mouche...]
-
- In a letter to Prime
Minister, Silvio Berlusconi, the Centre's International Liaison
Director, Dr. Shimon Samuels, noted that: "Above pictures
of Holocaust victims, this State-supported museum has placed
photos of 'veiled Palestinian women,' thereby deliberately endorsing
the most extreme elements of Islamic Jew-hatred and neo-Nazi
Holocaust denial."
[Tout est clair: ce visage de femme arabe
devient, dans un premier temps, "une femme palestinienne
voilée". Celle-ci incarne donc aussitôt "la
haine du juif" propre, c'est connu, aux musulmans ("Islamic")
et, pour faire bonne mesure, puisqu'on est en Europe, cette musulmane
supposée devient une "néo-nazie" et l'on
sait que les néo-nazis passent le plus clair de leur temps
à faire du déni de l'Holocauste". Si cette
lettre avait été écrite quelques jours plus
tard, la femme aurait même pu devenir une Irakienne terroriste
résistant illégalement aux bons Américains
venus la libérer. Franchement, tout à fait entre
nous, y a-t-il plus con que ces sionistes-là ?]
Samuels added: "The
only logical nexus between Nazi persecution of the Jews and contemporary
Middle East violence would have displayed photos of current Jewish
victims of suicide bombing and other atrocities." The Centre
urged the Prime Minister "to acknowledge Italy's moral responsibility
to its own Jewish deportees by removing the offending photos
forthwith, condemning the municipal authorities of Carpi and
seeing that immediate legal measures are taken against the Carpi
Museum director on grounds of apologia for genocide."
Pour faire bonne mesure, il faut donc
mettre le directeur du Musée au trou. C'est la justice
juive.
Les crétinissimes du site <Olokaustos>
se sont abondamment réjouis du résultat de leur
dénonciation:
Esprimiamo soddisfazione
per l'intervento e auspichiamo l'immediata rimozione delle fotografie
in oggetto.
On voit bien que ces gens-là sont
totalement dépourvus du sens de l'humanité commune
à tous les hommes. En supposant qu'il s'agisse bien d'une
représentation d'une Palestinienne, ce désir brutal
de la retrancher de la communauté de ceux qui souffrent
ou qui ont souffert de l'oppression est au fondement du racisme.
Séparer les juifs des autres hommes, que ce soit positivement
ou négativement, est le point de départ obligé
de l'antisémitisme. Comment des gens qui refusent de voir
que les Palestiniens sont victimes d'une oppression raciste, permanente,
violente, agressive, depuis un demi-siècle, que le système
de dépouillement, de terreur, de torture généralisée
est, de facto, pire que celui des nazis en Europe, comment
ces gens-là, dis-je, pourraient-ils avoir la moindre crédibilité
? Ils manifestent seulement leur solidarité ethnique, aveugle,
inhumaine et ne méritent que le mépris universel
réservé à ceux qui oublient ou ignorent que
l'homme d'en face est un homme aussi. Ils refusent de comparer
l'oppression nazie et l'oppression sioniste. On les comprend:
le sionisme est bien pire que le nazisme. Ceux qui revendiquent
aujourd'hui leur solidarité avec cette horreur seront passibles
des tribunaux de l'avenir, comme on pourchasse aujourd'hui des
gens qui ont manifesté leur dévotion pour le nazisme.
La roue tourne, Messieurs dames.
A notre connaissance, les photos n'ont
pas été enlevées et l'exposition a duré
jusqu'à la fin prévue le 31 mars. Diverses personnalités
ont accordé leur appui au Musée. Les exécuteurs
du Centre Simon Néanderthal se sont comportés de
façon prévisible.
Il se pourrait qu'on soit en face d'une
manoeuvre concoctée par une extrême droite italienne
qui participe au pouvoir et qui donne dans un philosémitisme
aussi forcené qu'artificiel, pour se poser en défenseur
de la chose juive, en attaquant par surprise une gauche elle aussi
philosémite mais avec des tendances plus tiers-mondiste.
L'effarante discussion qui s'est installée dans certains
milieux pro-sionistes montre que la gangrène est déjà
profonde. Il a fallu l'intervention de Mario Pirani, dans La
Reppublica, du 24 mars pour jeter un peu d'eau froide sur
les excités de la zolomanie ("Il percorso della destra
e la memoria storica"). Tous ces éléments se
retrouveront dans notre page italienne, sous peu.
De Franco Perlasca:
- Campo dei deportati
di Fossoli il giorno 11 marzo in occasione della visita del Presidente
della Repubblica Ciampi. All'interno del Museo il 27 di gennaio
e' stata aperta una mostra su Giorgio Perlasca, inaugurata dal
Presidente della Camera on. Casini. Mostra che terminerà
il 31 marzo. L'11 marzo il cerimoniale della Presidenza della
Repubblica mi ha contattato per essere a Carpi onde poter far
fare da guida al Presidente Ciampi alla mostra su Giorgio Perlasca.
Cosa che ho fatto. Nelle sale precedenti la mostra, sui muri
sono scolpite frasi dei condannati a morte e degli ebrei che
passarono in quel campo, destinazione i campi di sterminio.
- Il Comune ha inserito,
come scelta ideologica, sopra ogni frase, o meglio sopra ogni
riferimento femminile della frase, la foto di una donna araba
con il velo. Il significato è devastante; la shoah viene
equiparata alla situazione in Israele di oggi, gli ebrei di allora
sono i palestinesi, i carnefici di oggi sono gli ebrei. Gli ebrei
sono i nuovi nazisti. Siamo all'antisemitismo portato avanti
da una istituzione ufficiale, ben più grave e piena di
significati di qualche scritta sui muri di qualche "idiota".
Si costruiscono le coscienze dei ragazzi che vanno a visitare
il museo ed ove la guida spiega il parallellismo tra la shoah
e la situazione dei palestinesi di oggi. Trovare parole per esprimere
il disgusto per tale situazione, è difficile.
- Spero che queste foto
possano uscire sui giornali e venga chiesto conto al comune di
Carpi di questo comportamento che offende le coscienze di tutti.
- CARPI (Modena) - Franco
Perlasca, figlio di Giorgio -- Giusto di Israele -- accusa di
"antisemitismo" il Comune di Carpi, per avere illustrato
il Museo del deportato con foto di "donne arabe con il velo".
Secondo Perlasca, "la Shoah viene equiparata alla situazione
di Israele di oggi, gli ebrei di allora sono i palestinesi. I
carnefici di oggi sono gli ebrei. Gli ebrei sono i nuovi nazisti."
"Quelle foto...dicono esattamente il contrario. Che le donne...
sono in subordinazione", ha detto l'assessore alla Cultura
di Carpi, Brunetto Salvarani. Aggiungendo che non ha trovato
nulla da dire "lo stesso presidente Ciampi, nella sua visita
di lunedì scorso".
- Corriere della Sera, 15 marzo 2003.
GEOVA
Gros site italien sur le sort des Témoins
de Jéhovah dans les camps nazis, les "triangles violets":
<http://triangoloviola/virtualave.net>
oooOOO§§§OOOooo
EMBEDDED
- The French intellectual
Guy Sorman visited at the metropolitan Cathedral, the only memorial
in the world dedicated to the victims of the Holocaust erected
within a Christian temple.
- The initiative was in
charge of the International Raoul Wallenberg Foundation, whose
authorities Natalio Wengrower, Malkiel Tenembaum and Nicholas
Tozer explained the visitor the meaning of that unprecedented
piece of art in the history of Jewish Christian relations, the
commemorative mural remembering the millions of people murdered
in the Holocaust and those killed by the bombings of the Embassy
of Israel - 1992 - and the AMIA 1994- in Buenos Aires.
- 'Not even when France
suffered one of the worst anti-Semite attacks in its history,
the arson of one of the most important synagogues in Paris, which
took the lives of several people, a Bishop had the courage of
thinking of tribute of these characteristics. What Cardinal Quarracino
and the Wallenberg Foundation did is worth of admiration and
worldwide promotion. The symbolic strength of this memorial within
the main Christian temple is of a hard to explain magnitude.
Now I understand the reason why Cardinal Quarracino asked to
be buried next to this memorial', pointed out Sorman, who was
clearly overcome with emotion.
- <http://www.casa-argentina.org/historia-muraling-6.php>
LE
BOUT DU TABOU
Germans Revisit
War's Agony, Ending a Taboo
-
- By Richard Bernstein
-
- Dresden, Germany, March
10 - The photograph, a precious possession, shows gracious, dignified
Holbein Street in Dresden before World War II, where the childhood
friends Nora Lang, now 72, and Vanila John, 71, lived in apartments
across from each other.
- "It's nice that
Dresden is being restored," Ms. John said, speaking of the
many monuments in this once ruined city that are still being
rebuilt, stone by stone. "But the old Dresden is gone forever
-- the houses, the homes and also the people whom I knew, who
are gone, too." Ms. John, who witnessed the nighttime firebombing
of Dresden by the Royal Air Force on Feb. 13, 1945 -- an attack
that killed about 35,000 people and destroyed one of the most
beautiful cities in Europe -- was doing what many Germans have
been doing lately: talking about their own suffering in World
War II.
- For the last few months
in fact, television has been showing endless documentaries and
discussions of the air war waged by Britain and the United States
against Germany in World War II. While this is not exactly a
new subject in Germany, there are at least two ways in which
the discussion is different from the past.
- First, the emphasis in
today's articles and discussions is on what Jörg Friedrich,
author of a best-selling book on the Allied bombing campaign,
calls "Leideform," the form of suffering inflicted
on the German civilian population. In other words, a taboo, by
which Germans have remained guiltily silent, at least in public,
about their experience of the horrors of war, has been suddenly
and rather mysteriously broken.
- Second, the new awareness
of the Allied bombings and the devastation they wrought has become
an important element in German opposition to the expected American
war on Iraq. What people like Ms. Lang and Ms. John, both antiwar
activists in Dresden, have been saying is something like this:
We have direct knowledge of the gruesome effects of war and we
don't want anybody else to experience what we have experienced.
- In Germany, where all
consideration of World War II bears a special weight, this new
national attention to German suffering has generated plenty of
commentary of its own. Much of it focuses on the wildly successful
book by Mr. Friedrich, which is titled "Der Brand,"
or "The Fire," a work that describes in stark, unrelenting
and very literary detail what happened in city after city as
the Allies dropped 80 million incendiary bombs on Germany.
- "Der Brand"
is about mass deaths by fire and suffocation, the fearsome technology
of incendiary bombing and the obliteration of architectural and
cultural monuments. But it describes as well the effects on the
spirit, what Mr. Friedrich in a recent interview in Berlin called
"the slow destruction of psychic endurance, the living day
and night in fear of death."
- It is not that Mr. Friedrich
is the first to write on this. There have long been books and
photographic collections on many of the cities destroyed in the
bombing, including an authoritative one on Dresden by Götz
Bergander, a 76-year-old survivor of the firebombing. Five years
ago, the novelist W. G. Sebald, who has since died, aroused considerable
emotion here with a book, "On the Natural History of Destruction,"
whose main point was that German wartime suffering had been strangely
absent from postwar German literature.
- But the reaction to Mr.
Friedrich's book is something special, more visceral and widespread,
and it brings questions to mind: Is there a danger that the Germans
will conflate their suffering with the vastly greater and more
unforgivable suffering they inflicted on millions of others,
including both the genocidal slaughter of the Jews and the bombing
raids on London, Coventry, Warsaw and Rotterdam?
- Have the Germans attached
themselves to Mr. Friedrich's book and, similarly, have they
used Mr. Friedrich's book to fuel their rejection of war with
Iraq -- because it gives them a rare and intoxicating taste
of the moral high ground?
- One element in the picture
is Mr. Friedrich himself, a respected writer and commentator
who bears not the slightest resemblance to some ultraright, neonationalist
eager to exonerate Germans of responsibility for the war. His
earlier work includes a study of German war crimes in the conquered
territory of the East. Germany, he said in the interview, "lived
in submission" to Hitler's "genocide, slavery and aggression."
- With the splash made
by Mr. Friedrich's book, some here have begun talking about Allied
war crimes against Germany. But the author makes no explicit
claims to that effect.
- "My book is pure
description," he said. "There's nothing about war crimes.
I am a historian, not a judge."
- But there is also an
edginess to Mr. Friedrich's writing and commentary, an emotional
power, a sense that what a critic in the newspaper Die Zeit
called "the emotionalized channeling of his narrative"
carries with it an accusation of tremendous wrongdoing by the
Allies. In person, Mr. Friedrich clearly believes that much of
the air war was unnecessary and atrocious.
- Moreover, in what has
stirred perhaps the greatest amount of criticism, here and there
in his book Mr. Friedrich uses language that until now has
been reserved to describing the Holocaust. [Ouillouilloulle
!! ] He refers to the deaths in bomb cellars caused by
the carbon monoxide produced by the fires raging above as "death
by gassing." He also uses the word "crematoria"
to describe the fires' incinerating effect.
- Where he describes attacks
on cities that had, in his view, no military significance, he
calls the havoc and deaths that resulted "massacres."
"I use the word 'massacre' in the case of Swinemünde,
which was attacked on March 12, 1945 by the American Eighth Air
Force," he said. "It was packed with refugees driven
West by the Red Army."
- "If the Americans
are allowed to talk of massacre in My Lai," Mr. Friedrich
said, referring to the Vietnam war atrocity committed by American
troops, "why can't I describe 23,000 dead in Swinemünde
as a massacre?" Swinemünde, which was a German naval
base, passed to Poland at the end of the war.
- In the interview, Mr.
Friedrich pointed to two photographs in a book that documents
the destruction of the industrial city of Kassel. One of the
photographs shows a tangle of burned and twisted bodies, including
those of children, women and old people, filling up an entire
square. "You cannot look at pictures like that without being
reminded that there's only one other situation where you have
seen such scenes," he said. While he did not say so, the
other situation is, of course, the death and concentration camps
where Nazi victims were slain.
- "Between genocide
and fire warfare there is no similarity," Mr. Friedrich
said, "but the similarity is drawn by mentality and consciousness."
Many in Germany and elsewhere, of course, will disagree even
with a similarity drawn by mentality and consciousness. Mr. Bergander,
interviewed in his home in Berlin, took exception to Mr. Friedrich's
use of words like "death by gassing," which, Mr. Bergander
argues, "is not a word you can use as a German."
- Mr. Bergander also believes
that some of the bombing war was criminal, including the bombing
of Dresden, his hometown, but he is nonetheless troubled by the
possibility that Germans will be swept into a mood of victimization.
"So many people feel that if Mr. Friedrich, who is a man
of the left and who works for good relations with Israel, can
say, 'We Germans are victims too,' that then they can say it
also, and they can say it more loudly and more freely."
Then there is the whole debate about the bombing itself, and
whether it was militarily necessary. Richard Overy, a
historian at King's College, London, who has written several
well-regarded books on the war, argues against the notion that
what was called "area bombing," the destruction of
whole cities, had no military purpose.
- "The bombing of
Germany was carried out under a clear military strategy, which
was to degrade the military and economic infrastructure and reduce
the war willingness of the population to the point where the
allies could enter Germany with a real prospect of victory,"
Mr. Overy said in a telephone interview.
- That is not the view
in Dresden, at least not in Ms. Lang's modest living room, which
overlooks the square where old Dresden once stood. Near the apartment
is the blackened Trinitatis Church with its permanent exhibition
of signs saying "No to war with Iraq," and for Ms.
Lang there is a clear connection between that sentiment and the
collective memories stimulated by "Der Brand."
- "We had to suffer
from Hitler and then from that bombing," Ms. Lang said.
"I was 8 when the war started and 14 in 1945, so my childhood
was all war. And I have to ask myself the question, What I have
done? The answer is nothing. That's why I think I have to do
something to prevent another war."
- The New York Times , March 15, 2003
NOUVELLES
DES PERSÉCUTEURS
Toben Case Adjourned
- By Aviva Bard
- An appeal by Holocaust
denier Dr Fredrick Toben to overturn a Federal Court decision
forcing him to remove offensive content from his Adelaide Institute
website has been adjourned until May. In a landmark decision
last September, Justice Catherine Branson found that material
on his website was "likely to offend, insult, humiliate
and intimidate Australian Jews", and ordered Toben to remove
the content within seven days. Toben's appeal was adjourned after
his lawyers argued that the interpretation of the legislation
accepted by the Federal Court until now contravenes the Australian
constitution.
- Notice of this argument
has to be given to attorneys general of all states, including
the Commonwealth attorney general to allow them the opportunity
to intervene if they wish -- the reason for the lengthy adjournment.
Supporting Toben in the courtroom was John Bennett, author of
Your Rights, a publication that promotes Holocaust denial,
anti-Zionism and anti-immigration. Toben's website remains online.
- Cette hypocrite néglige
de dire à ses lecteurs que Toben a changé complètement
son site et que les matériaux qui défrisaient les
responsables de la communauté juive ont été
retirés.
- The Australian Jewish
News, 28 February
2003.
RUPTURE
DE LIENS
En raison de son attachement à
la réflexion historique, le site évoqué plus
loin a fait l'objet de pressions des lobbies juifs spécialisés
dans le chantage et l'extorsion. C'est ce qu'on pourrait appeler
la mafia du Zolo. En voici le témoignage envoyé
à nous par le responsable de ce site le 15 mars 2003:
- Dear Friend,
- you are receiving this
eMail because until early this morning our website had a link
in the "Friends" section of our Links page to your
site, or to a site you recommended. This links section has just
been removed in its entirety.
- Our site has recently
drawn the ire of the Canadian Jewish Congress, who described
it as "verging on racism", "stretching the boundaries
of free speech", "the poor man's Zundel-site",
etc. A particular bone of contention for the CJC is the aforementioned
section of our links, which "show a direct connection to
Holocaust denial" -- quite regardless of the fact that we
do not actually deal with the Holocaust anywhere on our site.
- I'm sure we are all
sufficiently familiar with the tactics employed by those who
want to shut sites like ours down altogether, and so this development
does not need further explanation. Canada does not protect freedom
of speech under a First Amendment, and I do not at this time
have the necessary resources in time, money and personal health
to let myself and The Scriptorium in for a potential lawsuit
which those with unlimited resources at their disposal can continue
for decades if they see fit to do so.
- We are committed to
keeping <wintersonnenwende.com> on the Web as a source
of historical information not generally published elsewhere,
and if removing the aforementioned links section is a price we
have to pay towards this end, then we shall simply have to exercise
the better part of valor... I am very sorry, and I hope and trust
that you will understand that this is done out of necessity.
- Regretfully,
- Heather Clary-Smith
- Scriptorium <http://www.wintersonnenwende.com/>
Sur le site, on peut lire ceci:
We at The Scriptorium
are proud to do our part by making some of this information publicly
available via the Internet. Our online archive is intended as
a resource for honest and introspective minds who prefer to leave
the mainstream of the masses in favor of calmer waters where they
can come to their own conclusions and understanding.
Are you one of these freethinkers?
Are you tired of having the same old black-and-white view of history
shoved down your throat day in and day out by the Establishment
whose vested interests it appeals to? A prejudiced view of history
that more often than not tramples our German history into the
dirt and resorts to falsification and suppression of information
in order to defame our fathers and grandfathers as criminals -
lock, stock and barrel?
Would you too prefer to
trade the politically correct disinformation that the Establishment
and its mainstream media are spoonfeeding you, for information
that looks beyond totalitarian taboos and simplistic pre-set thought
patterns? Do you wish to exercise what should be every mature
citizen's right, namely to inform yourself of the many shades
of grey that are so generally suppressed, and to draw your own
conclusions from them?
The following
pages
offer you the
opportunity to do so!
PETIT
DÉTAIL
Tiré du "journal"
de David Irving, disponible sur son site, à la date du
mercredi 19 mars 2003:
- In the evening I settle
down to scrutinise the diary of the British Second Army Defence
Company for May 1945, covering the arrest and alleged suicide
of Heinrich Himmler. As I anticipated, there is the clearest
possible evidence that the page covering that event has been
removed and retyped on the same typewriter but by a different
typist.
- Remarkable that nobody
else has spotted that (just as none of the conformist historians
ever spotted that two of the most incriminating pages of Himmler's
famous speeches at Posen in October 1943 and in May 1944 had
been removed and retyped by another hand).
Pourtant, ce discours de Posen, il
en a fait de l'usage !!!
<http://www.fpp.co.uk/docs/Irving/RadDi/2003/230303.html>
LA
SUISSE TOUJOURS À LA POINTE DU FLICAGE
- Ils vont surveiller
vos e-mails
- Dès le
1er avril, les faits et gestes des internautes suisses seront
enregistrés par leurs fournisseurs d'accès. Une
démarche lourde à mettre en place, mais facile
à contourner pour les criminels.
-
- Par Francois
Pilet
-
- Dès le mois prochain,
votre fournisseur d'accès tiendra un fichier précis
de votre correspondance électronique. Il doit en effet,
dès le 1er avril, appliquer les exigences de la nouvelle
ordonnance fédérale entrée en vigueur le
1er janvier 2002, qui complète l'actuelle loi sur la surveillance
de la correspondance par poste et télécommunications.
- Celle-ci oblige les
opérateurs à constituer des archives recensant
les activités de leurs clients: heures et dates des connexions,
des envois de mails, destinataires et expéditeurs seront
enregistrés pendant six mois. Les autorités ne
pourront cependant les consulter que dans le cadre d'une enquête
pénale. Le contenu des e-mails n'est cependant pas archivé
par défaut. Les enquêteurs n'y auront accès
que s'ils en font la demande au préalable.
- Les opérateurs
ont pour tâche de fournir ces données au «Bureau
des tâches spéciales» à Berne. «Cette
ordonnance a le mérite de clarifier la mission du fournisseur
d'accès, explique Thomas Hansjakob, juge d'instruction
à Saint-Gall et président de la Conférence
suisse des autorités de poursuites pénales. Mais
on peut regretter que le choix de ces informations soit davantage
dicté par la technique que par les besoins des enquêteurs.
Le législateur ne voulait pas trop en demander aux fournisseurs
d'accès.»
- «Nous ne serons
pas prêts à 100% le 1er avril, avertit d'entrée
Fabian Lucchi, patron du fournisseur d'accès genevois
Infomaniak, dont 100 000 abonnés utilisent les services
e-mail. Il faut dire que le cahier des charges est extrêmement
lourd. L'installation a nécessité six mois de développement
logiciel. Nous devons être en mesure de filtrer 300 000
messages par jour au cas où l'on nous demanderait d'en
surveiller quelques-uns. L'archivage durant six mois des informations
de base sur les e-mails de nos clients représente 100
gigaoctets de données.»
- Pour lever la crainte
d'un Big Brother fédéral, Infomaniak va informer
ses clients de cette obligation légale. «On peut
rassurer les gens en leur expliquant que le stockage du contenu
des e-mails serait quasi impossible à réaliser:
la somme de tous les e-mails qui attendent d'être relevés
par leurs destinataires, avec les pièces jointes, représente
près de 200 gigaoctets. Alors, sur six mois, c'est hors
de toute proportion.»
- La loi sur les télécommunications
permet déjà la récolte d'informations sur
les activités des surfeurs et la lecture de leur courrier
électronique. A l'heure actuelle, les juges d'instruction
communiquent directement leurs demandes aux fournisseurs d'accès,
sans véritable limitation. La nouvelle loi limite fortement
les cas pour lesquels un juge pourra y recourir. La loi définit
une liste exhaustive de motifs pour lesquels une autorisation
peut être accordée (trafic de drogue, pédophilie,
etc.). «Le législateur n'a pas été
très pragmatique: ce catalogue limite beaucoup la portée
de la loi», analyse Nicolas Cruchet, juge d'instruction
dans le canton de Vaud.
- De plus, les juges doivent
défrayer les opérateurs, 750 francs, par exemple,
pour une demande de consultation de ces fameuses archives. «Dans
des affaires complexes, les frais peuvent aller jusqu'à
plusieurs dizaines de milliers de francs», souligne Nicolas
Cruchet.
- En outre, il est facile,
pour des criminels d'esquiver ces mesures. Il suffit d'ouvrir
un compte e-mail gratuit auprès de Hotmail ou Yahoo et
de contourner ainsi le serveur e-mail d'un fournisseur suisse,
pour échapper à tout contrôle. De plus, les
serveurs e-mail des entreprises ou des universités ne
sont pas concernés par ces mesures.
- Les accès à
l'internet dans les cybercafés permettent également
d'éviter toute surveillance. Ces trous béants dans
le filet tendu par la police risquent bien de rendre rapidement
inutiles les mesures d'archivage systématique imposées
aux fournisseurs d'accès.
- Largeur, 9 mars 2003.
- <http://www.largeur.com/expArt.asp?artID=1281>
DÉBUT
DE RÉVISION
- Ouverture à
Prague d'un bureau de l'Association des Allemands des Sudètes
-
- L'Association des Allemands
des Sudètes, expulsés après la Seconde Guerre
mondiale de Tchécoslovaquie, a ouvert mardi un bureau
de contact à Prague, a constaté un journaliste
de l'AFP sur place. Le bureau, situé dans le quartier
historique de Mala Strana, à proximité des sièges
de la Chambre des députés et du Sénat, doit
notamment "servir le dialogue" et faciliter les contacts
des Allemands des Sudètes avec la population, les hommes
politiques et les journalistes tchèques, selon le président
de l'association, Bernd Posselt."Les deux parties doivent
s'habituer au fait que quelqu'un peut avoir une opinion différente,
il faut créer une atmosphère de confiance",
a-t-il ajouté.M. Posselt a une nouvelle fois vivement
critiqué les décrets signés peu après
la fin de la Seconde Guerre mondiale par le président
tchécoslovaque de l'époque, Edvard Benes.Ces décrets,
aux termes desquels quelque 2,5 millions d'Allemands des Sudètes
avaient été dépossédés de
leurs biens et expulsés vers l'Allemagne et l'Autriche,
"doivent terminer à la déchetterie de l'histoire",
a estimé M. Posselt, député du Parlement
européen.Le bureau praguois s'engagera également
en faveur d'une mise en valeur de l'"héritage culturel
des Allemands qui vivaient sur le territoire tchèque",
a pour sa part indiqué son chef, Peter Barton.Plusieurs
hommes politiques tchèques, notamment du Parti démocratique
civique (ODS, opposition de droite), ont aussitôt critiqué
l'installation du bureau dans la capitale tchèque."J'espère
que cette démarche ne portera pas atteinte aux relations
germano-tchèques et n'aura pas d'impact négatif
sur notre référendum sur l'entrée dans l'Union
européenne", prévu à la mi-juin, a
déclaré le chef de l'ODS, Mirek Topolanek.Un vice-président
du Parti communiste (KSCM), Vaclav Exner, a pour sa part estimé
que les revendications des Allemands des Sudètes étaient
"inadmissibles pour la représentation politique tchèque"
et ne pouvaient "faire l'objet d'aucun débat".
- AFP | 25.03.03 | 15h09
Plusieurs livres en allemands sur la question
des Sudètes sont disponibles sur l'excellent site, évoqué
plus haut:
<http://www.wintersonnenwende.com/
AU
COURRIER
- Ca fait longtemps que
je consulte votre site, entre autres avec celui de l'IHR et des
sites de mon peuple PN
- Pour me situer : je
suis PN de 4eme génération, mon ancêtre arriva
Alger en 1842. Pour satisfaire la doctrine marxiste, gros colons
bien sur, une famille de pêcheurs. Je suis révisionniste
depuis l'âge de 11 ans ou je me suis levé en classe,
a l'école Dordor a Alger, pour dire au prof que tout ca
sur la 2e GM c'était de la propagande. Il faut dire que
mon père lui était originaire de Dubrovnik, et
qu'a la maison on y voyait des royalistes serbes, des Ustachis
croates, des communistes slaves, des NS allemands et européens,
anciens WaffenSS et autres.... Tout ca m'a donne une autre vue
de l'histoire et de la politique, et m'a rendu extrêmement
cynique. A ca ajoute la guerre d'Algérie et vous avez
le tableau complet. De plus je supporte les palestiniens, mais
surtout ne me parlez = pas du fln/aln. Je suis reste a Alger
jusqu'en fev 64 pour apprendre aux arabes a travaille sur ordinateur,
oui déjà. Quand ca tourna mal pour moi, mes copains
arabes, y compris un responsable du fln, me protégèrent
jusqu'a ce que je prenne l'avion. J'ai fait mon devoir dans l'OAS,
j'en rougis pas du tout, peut être qu'un jour on écrira
la vraie histoire de nos deux communautés, qui sait. Je
n'ai pas de haine envers les arabes en général,
les terroristes ca c'est autre chose. Je suis contre la guerre
de Bush, mais qui va les arrêter ? sûrement pas les
arabes dont tous les dirigeants sont des vendus au ploutocratisme.
- Je pense que Serge Thion
fait partie de votre site, pour autant que je le suis sur le
révisionnisme, par contre un de ses écrits sur
la guerre d'Indo m'a bien fait rigoler, car on y voyait le marxiste
qui pointait son nez. Dire que le Viet Min était des paysans
qui combattaient des soudards, enfin la vraie image d'Epinal
de l'anti colonialisme, faut quand même rester dans les
limites de la vérité.
- Je vis en Australie,
vue que depuis le blocus de Bab-el-oued, le 26 mars que j'ai
survécu, et les massacres d'Oran du 5 juillet, la France,
merci..... Un de nos meilleurs amis est kabyle, je m'entends
mieux avec lui qu'avec les pathos.
- Avec des amis PN, dont
l'un lui aussi en Australie a compile toutes les plaintes de
crimes et tortures par le fln/aln et les barbouzes, nous avons
envoyé des CDs a travers le monde, mais sans aucun succès.
Tout ca ne fait que me renforcer dans le sens ou tout dépend
qui est la victime, en tant que africain blanc, c'est pas demain
la veille qu'on aura justice, par contre les autres y font pas
dans la dentelle.Jamais si vrai depuis 45 le vieux dicton romain
:" Vae Victis".
- Toutes mes amitiés
et continuer a gueuler la vérité.
<[email protected]>
Autre courrier, plus classique:
- Espero qu vuestros padres,
vuestras madres y vuestros hermanos ardan en el infierno junto
con vosotros, y que durante toda la eternidad continuéis
vivos entre alaridos de dolor.
- Juan José Mateos
<[email protected]>
LES
BELLES HISTOIRES DE L'ONCLE JOSEPH
Auschwitz et les
Sept Nains
Les Sept Nains
d'Auschwitz et l'incroyable histoire de leur survie
par Allan Hall à
Berlin
Près de soixante
ans après les faits, une étonnante histoire vient
nous rappeler les horreurs d'Auschwitz. C'est celle d'une troupe
de musiciens ambulants juifs du nom de Ovitz, composée
de sept nains et de leurs deux soeurs de taille normale. Tous
entendirent réellement la porte de la chambre à
gaz se refermer bruyamment sur eux et sentirent l'odeur du gaz-poison
qui commençait à s'infiltrer. Mais ils eurent la
vie sauve grâce au docteur Josef Mengele, le méchant
docteur de ce camp de la mort polonais. Ce n'est pas par compassion
que ce dernier les sauva mais parce qu'il avait vu en eux l'occasion
de poursuivre ses recherches sur la création d'une race
supérieure aryenne. Les neuf musiciens servirent de cobayes
aux nazis et furent l'objet d'une série d'expériences
atroces et dégradantes.
Néanmoins, à
la fin ils survécurent - et furent la seule famille à
sortir intacte du complexe de meurtre des SS. Et aujourd'hui,
58 ans et un jour après la libération d'Auschwitz,
leur incroyable histoire est révélée dans
un livre intitulé "In Our Hearts We Were Giants -
The Survival of a Lilliput Family" (Dans nos coeurs nous
étions des géants - Comment a survécu une
famille lilliputienne). Deux auteurs juifs, Yehuda Koren et Eilat
Negev, prirent connaissance de l'histoire des Ovitz à partir
d'interviews avec la famille, dont tous les membres aujourd'hui
ont disparu. La dernière à partir, Perla, 81 ans,
leur dit: "S'il m'arrive de me demander pourquoi je suis
née naine, je dois me dire que mon handicap a été
le moyen choisi par Dieu pour me permettre de survivre."
Elle raconta comment Mengele
leur chantait une petite comptine qu'il avait composée
pour sa famille, et cela leur faisait froid dans le dos: "Par-delà
les collines et les sept montagnes, C'est là que demeurent
mes sept petits nains". Il a même fait un film sur
eux qui a été expédié à Hitler
pour le distraire dans sa retraite de montagne. [...]
Le Daily Mail de Londres, 28 janvier
2003. La date de publication semble exclure qu'il s'agisse d'un
poisson d'avril...
DIALOGUE
DE SOURDS
- Des Israéliens
juifs et arabes prochainement à Auschiwtz (sic)
-
- Mieux comprendre l'autre:
tel sera l'objectif du séjour qui sera bientôt organisé
en Pologne pour un groupe d'Arabes israéliens accompagnés
de citoyens juifs de l'Etat hébreu. [Mieux comprendre
les juifs, cela veut dire avaler leurs salades et leur baiser
les pieds. ]
- Grande première
assez étonnante en ces temps d'affrontements et de tensions
entre Juifs et Arabes dans toute la région: quelque 70
Arabes israéliens accompagneront au printemps 40 Israéliens
juifs pour effectuer une visite commune du camp d'extermination
d'Auschiwtz et quelques autres "sites" de la Shoah
en Pologne.
- Le négationnisme
a la dent dure
- La délégation
comprendra des intellectuels, des leaders religieux et des hommes
d'affaires des deux communautés, l'intention des auteurs
de ce projet étant de multiplier à l'avenir ce
genre d'initiative afin d'encourager la tolérance mutuelle.
Pour Ahmed Masaalha, l'un des organisateurs, il s'agira de faire
ressentir par chacun "la souffrance et la douleur des autres",
les Arabes israéliens pouvant, selon lui, jouer le rôle
positif de "passerelle entre Juifs et Palestiniens en vue
de la paix et d'une réconciliation entre les deux peuples".
- Une intention d'autant
plus louable que les mensonges officiels et le négationnisme
perdurent et se renforcent depuis des décennies au
sein de tout le monde arabe pour affirmer que la Shoah n'a jamais
existé, qu'elle ne serait "qu'une invention des sionistes
construite de toutes pièces afin de justifier l'usurpation
et la confiscation des terres arabes par l'occupant israélien".
- Richard Darmon
- <http://www.actuj.com/content/viewarticle.php3?idarticle=6384&typeart=3>
On se demande pourquoi on n'emmène
pas ces Arabes visiter les camps de concentration israéliens
et les prisons israéliennes où croupissent des milliers
de détenus palestiniens. Leur faire assister à une
petite séance de torture pour bien saisir ce qu'est "la
souffrance et la douleur des autres". Ils pourraient alors
comprendre complètement ce qu'est véritablement
l'esprit juif.
TARTE
- Alain Juppé
entarté à Aix-en-Provence
- Aix-en-Provence (AFP)
- Le président de l'UMP, Alain Juppé, a été
victime d'un entartage mercredi soir devant l'Institut d'études
politiques (IEP) d'Aix-en-Provence où il venait de donner
une conférence, a-t-on appris jeudi auprès d'un
témoin qui a requis l'anonymat. "M. Juppé
a été entarté dehors, devant la cathédrale.
Ca s'est passé en cinq secondes", a indiqué
ce témoin, ajoutant que le garde du corps du président
de l'UMP avait tenté en vain de rattraper l'entarteur
qui a pris la fuite.
- Le quotidien La Provence
publie une photographie du résultat de cette action,
où l'on peut voir Alain Juppé, le visage maculé
de crème, en train de s'essuyer. L'entarteur, qui attendait
le maire de Bordeaux devant son véhicule, agissait au
nom d'une organisation baptisée "AARRG" (apprentis
agitateurs réseau résistance globale), créée
en 2001, et répondait au nom de code "M. Romarin",
selon un communiqué rendu public par La Provence.
Ce "réseau de résistance globale, qui s'organise
de manière anarchique", entendait dénoncer
"les agissements d'un individu et du parti dont il est président",
poursuit le texte.
Nous félicitons nos jeunes mitrons
et nous espérons qu'il ne s'établira pas de fâcheuse
confusion entre eux et nous, fâcheuse pour eux, on l'aura
compris. L'entartage, inauguré par le doux Noël Godin,
au nom de poêle, el entartador anarquista, est manifestement
devenu un art contemporain. Notre préféré
reste BHV Lévy, avec sa gueule d'empeigne, tout enfariné,
furibard, il avait l'air très bien. Continuez, les gars.
BÉRÉZINA
DU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL
On sait que le gouvernement fédéral
allemand a subi un énorme revers politique, infligé
en rase campagne par les NPD, le parti allemand, qualifié
par une presse généreuse en épithètes
de "néo-nazis", et qui ne l'est pas du tout,
que le gouvernement avait osé chercher à interdire,
au nom évidemment des sacro-saints principes démocratiques.
Cette victoire doit beaucoup à notre ami et collègue
Horst Mahler, ancien avocat de la bande Baader-Meinhof, emprisonné
pour complicité, et devenu nationaliste allemand et homme
d'une vaste culture philosophique. On s'est rendu compte, au cours
des procédures, qu'un nombre très impressionnant
de dirigeants du parti étaient des employés de la
police. Presqu'autant que les dirigeants du PC américains
à la belle époque où la majorité de
ses dirigeants émargeaient au FBI. Evidemment, les organisations
juives qui veulent notre bien couinent beaucoup. Voir, par exemple,
la
Jewish Telegraphic Agency:
http://www.actuj.com/content/viewarticle.php3?idarticle=6384&typeart=3>
ILS
APPELLENT LE DOCTEUR
- Abou Mazen,
futur Premier Ministre de l'Autorité Palestinienne, docteur
ès-révisionnisme
-
- Le conseil général
de l'Autorité palestinienne a entériné samedi
la nomination de Mahmoud Abas (Abou Mazen) au poste de Premier
ministre. En Israël et dans le monde, nombreux sont ceux
qui pensent qu'Abou Mazen pourrait ouvrir une nouvelle page dans
les relations israélo-palestiniennes.
- Pourtant, ce même
Abou Mazen est également l'auteur d'une thèse de
doctorat révisionniste ayant pour titre Les relations
secrètes entre les nazis et les dirigeants sionistes.
Selon lui, le mouvement sioniste a collaboré avec les
nazis afin d'«augmenter le nombre des victimes juives de
la Shoa et inciter le monde à opter pour la création
d'un état juif sur la terre de Palestine».
- Ce doctorat, basé
sur des écrits de révisionnistes notoires, émet
un doute sur l'existence des chambres à gaz et évalue
à moins d'un million le nombre des victimes de la Shoa.
- Abou Mazen "explique"
que les dirigeants sionistes voulaient tellement convaincre l'opinion
mondiale de la nécessité de fournir un état
aux victimes de la Shoa, qu'ils n'ont pas hésité
à collaborer avec le nazisme: «Il existe un autre
aspect des crimes commis par les nazis. Le monde occidental préfère
fermer les yeux sur l'identité du principal complice
du mouvement nazi: le mouvement sioniste» écrivait-il.
Arutz7,
<http://www.a7fr.com/news.php?id=18283>
Pour nous Abou Mazen, tout révisionniste
qu'il ait été au temps lointain où il faisait
des études, est le type même du collabo, titre qu'il
doit au fait qu'il fut "l'architecte des Accords d'Oslo"
qui vendait (25 centimes) 78% de la Palestine aux juifs contre
une marotte et un hochet. Désigné par Arafat, il
n'a d'ailleurs aucune légitimité politique. Les
gens comme lui, qui prospèrent dans les périodes
troubles, seront piétinés par le peuple. C'est la
preuve, s'il en était besoin, qu'il y a des crapules politiques
aussi chez les révisionnistes.
SUPER-GAYSSOT
ASSEMBLÉE NATIONALE
CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958
DOUZIÈME LÉGISLATURE
Enregistré à la Présidence
de l'Assemblée nationale le 15 octobre 2002.
- PROPOSITION DE LOI
- tendant à renforcer
la lutte contre le révisionnisme et à permettre
les poursuites à l'encontre des négateurs des génocides
reconnus par la France ou une organisation internationale
dont la France est membre.
- (Renvoyée à
la commission des lois constitutionnelles, de la législation
et de l'administration générale de la République,
à défaut de constitution d'une commission spéciale
dans les délais prévus par les articles 30 et 31
du Règlement.)
- PRÉSENTÉE
par M. Roland BLUM, Député.
- Droits de l'Homme et
libertés publiques.
- EXPOSÉ DES MOTIFS
- Mesdames, Messieurs,
- Inventé par le
Professeur Lemkin en 1943, le concept de génocide étend
à des groupes entiers d'humains l'homicide d'un individu
isolé.
- Ce crime a été
défini au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et concerne
la mise en exécution d'un programme d'extermination d'un
groupe humain par un Etat souverain.
- Ainsi avant 1945, la
qualification pénale de génocide n'existait pas,
ce qui a sans doute accru les difficultés de reconnaissance
de ce type de crime dont notamment le génocide arménien
de 1915.
- De même, le
terme de génocide ne figure pas dans l'article 6c de
la charte du Tribunal militaire international dite statut de
Nuremberg, annexé à l'accord de Londres du 8 août
1945, qui énumère les crimes contre l'humanité.
- La notion de génocide
est employée pour la première fois le 18 octobre
1945 dans l'acte d'accusation contre les grands criminels de
guerre allemands traduits devant le tribunal de Nuremberg.
- Le terme est ensuite
juridiquement repris par la convention pour la prévention
et la répression du crime de génocide, adoptée
à l'unanimité par l'assemblée générale
des Nations unies le 9 décembre 1948.
- Selon cette convention,
le génocide est un acte «commis dans l'intention
de détruire, en tout ou partie, un groupe national, ethnique,
racial ou religieux».
- Il importe peu que les
actes soient commis en temps de paix ou de guerre et l'Etat sur
le territoire duquel a été commis le génocide
doit punir ses auteurs et réparer les préjudices
qui en résultent.
- Enfin la communauté
internationale a volontairement affiché sa volonté
de réprimer ces crimes contre l'humanité et le
génocide par l'adoption le 26 novembre 1968 de la convention
sur l'imprescriptibilité des crimes de guerre et des crimes
contre l'humanité.
- Qu'en est-il en droit
positif français?
- La loi française
distingue quatre infractions : le génocide, les crimes
contre l'humanité innommés, les crimes de guerre
aggravés, l'entente en vue de commettre ces crimes.
- Selon l'article 211-1
du code pénal, le génocide est caractérisé
par l'accomplissement d'un ou plusieurs actes énumérés
par le texte : atteinte volontaire à la vie, atteinte
grave à l'intégrité physique ou psychique,
soumission à des conditions d'existence de nature à
entraîner la destruction totale ou partielle du groupe,
mesures visant à entraver les naissances, cette énumération
reprend d'ailleurs celle figurant à l'article 2 de la
convention de 1948.
- Une seconde caractéristique
propre au génocide réside dans les objectifs du
plan concerté que de tels actes exécutent.
- Enfin, la nature du groupe
victime constitue une troisième caractéristique
de l'incrimination. Il peut s'agir d'un «groupe nation,
ethnique, racial ou religieux» ou d'un groupe «déterminé
à partir de tout autre critère arbitraire».
- Ainsi, le législateur
français a eu le soin de définir le génocide
sur la base de données objectives en écartant toute
référence à l'idéologie ayant inspiré
ses auteurs. L'exigence d'un plan concerté d'extermination
établit le caractère prémédité
du crime.
- Sur la base des définitions
ci-dessus exposées, la communauté internationale
a reconnu le génocide juif perpétré durant
la Seconde Guerre mondiale.
- Malgré cela, quelques
théoriciens ont cru devoir élaborer des thèses
révisionnistes contestant la réalité
des horreurs accomplies.
- En outre, d'autres génocides,
pourtant incontestables au regard de l'histoire et des faits
accomplis, sont niés par certains historiens.
- Il en est ainsi du génocide
arménien de 1915, pourtant reconnu le 16 avril 1984 par
le tribunal permanent des peuples puis par la commission des
droits de l'Homme de l'ONU le 19 août 1985, par le Parlement
européen le 18 juin 1987, par une déclaration écrite
de l'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe le
14 avril 1998 et enfin par l'Assemblée nationale à
l'unanimité le 29 mai 1998.
- En outre, le Parlement
français a reconnu publiquement le génocide arménien
de 1915 dans un article unique «La France reconnaît
publiquement le génocide arménien de 1915»
le 18 janvier 2001. Cette loi a été promulguée
par M. le Président de la République le 29 janvier
2001, n· 2001-70.
- Mais quelle que soit
la reconnaissance d'un génocide, elle est insuffisante
à en assurer le souvenir de façon impérissable.
- En effet, l'attitude
de certains historiens doit être combattue car elle consiste
à nier l'évidence en semant le trouble dans les
esprits et à terme, c'est la mémoire même
du peuple martyr qui est menacée.
- De ce point de vue, la
loi n· 90-615 du 13 juillet 1990 constitue un incontestable
progrès dans la lutte contre les thèses révisionnistes
en permettant la poursuite de leurs auteurs devant la juridiction
pénale.
- Ainsi ceux qui contestent
publiquement et par quelque moyen que ce soit, l'existence d'un
ou plusieurs crimes contre l'humanité tels qu'ils sont
définis par l'article 6 du statut de Nuremberg, annexé
à l'accord de Londres du 8 août 1945 peuvent être
poursuivis pénalement.
- Mais à l'évidence,
cette loi a une portée trop restrictive puisqu'elle se
limite aux actes accomplis durant la Seconde Guerre mondiale.
- La démonstration
en a été faite lorsque l'historien Bernard Lewis
qualifiant le génocide arménien de 1915 de «version
arménienne de cette histoire» avait été
cité devant la juridiction pénale en même
temps que le journal Le Monde par le comité de
défense de la cause arménienne et par trois survivants
de ce génocide sur le fondement des articles 24 bis et
48-2 de la loi du 29 juillet 1881 modifiée par la loi
du 13 juillet 1990.
- Le tribunal correctionnel
de Paris dans son jugement du 14 octobre 1994 a déclaré
cette action irrecevable en raison du caractère limitatif
de l'incrimination. En effet, seule la négation du
génocide juif peut être sanctionnée.
- Cette position législative
et jurisprudentielle pose donc problème. Ce qu'il en est
aujourd'hui avec cette décision de la juridiction pénale
sur le génocide arménien, pourrait demain se reproduire
encore pour ce même génocide ou pour ceux commis
au Rwanda, en Bosnie et sans doute, demain, en Tchétchénie.
- Il ne peut y avoir
deux catégories de génocide et tous doivent être
condamnés et leur négation doit être combattue
de la même manière.
- C'est dans cet esprit
que la loi n· 90-615 du 13 juillet 1990 devra être
modifiée en complétant le nouveau dispositif qu'elle
introduisait avec l'adjonction d'un article 24 bis à la
loi du 29 juillet 1881 sur la presse.
- Il sera ainsi proposé
de compléter ce dispositif en se référant
à tout autre génocide.
- De même, il sera
proposé de permettre aux victimes et aux associations
qui les représentent d'assurer la défense de tout
génocide et cela en complétant l'article 48-2 de
la loi du 29 juillet 1991.
- La France, patrie des
droits de l'Homme, s'honorerait en renforçant sa lutte
contre le révisionnisme car la négation d'un génocide
constitue un assassinat de la mémoire des peuples martyrisés.
- PROPOSITION DE LOI
- Article 1er
- L'article 24 bis de la
loi du 29 juillet 1881 relative à la presse est complété
par un alinéa ainsi rédigé :
- «Seront punis des
mêmes peines ceux qui auront contesté, dans les
mêmes conditions, tout autre génocide au sens de
l'article 211-1 du code pénal, dès lors que celui-ci
aura été reconnu par la France ou une organisation
internationale dont la France est membre ou une décision
rendue par les tribunaux internationaux engageant la France.»
- Article 2
- L'article 48-2 de la
loi du 29 juillet 1881 est ainsi rédigé :
- «Toute association
régulièrement déclarée depuis au
moins trois ans à la date des faits qui se propose, par
ses statuts, de défendre les intérêts moraux,
la mémoire des victimes de crimes contre l'humanité,
de l'honneur de la résistance ou des déportés
ou toutes autres victimes et notamment de génocide au
sens de l'article 211-1 du code pénal, peut exercer les
droits reconnus à la partie civile en ce qui concerne
l'apologie des crimes ou délits de collaboration avec
l'ennemi et en ce qui concerne l'infraction prévue par
l'article 24 bis.»
- Proposition de loi n·
300 de M. Roland Blum sur la lutte contre le révisionnisme
- <http://www.assemblee-nationale.fr/12/propositions/pion0300.asp>
Doit-on voir un jugement de valeur dans
le fait que la proposition de M. Blum est désignée
comme "pion0300" ?
oooOOO§§§OOOooo
LES
AVENTURES DU MOT HOLOCAUSTE
1 / Le massacre des pauvres ?
- Vers l'olocauste des
pauvres
- "La paix et la justice
sont inséparables. Ou le monde entier en jouit ou elles
n'existent pour personne. L'Occidente étrangle l'économie
des pays pauvres avec l'esclavage de la dette."
- Les chrétiens se
sont rarement trouvés, dans toute l'histoire de l'humanité,
en un temps si riche d'inconnues, de défis, d'épreuves
et d'incertitudes.C'est une époque de crise, de grands
changements et de drames (guerre, terrorisme, injust(ice...)
que la mondialisation a transposés à l'échelle
planétaire, de sorte qu'aujourd'hui, plus que jamais,
ce ui arrive à des milliers de kilomètres nous
concerne toujours plus. En tant que chrétiens et en tant
que citoyens du monde. Mais c'est aussi une époque riche
de défis et de choix pour nous, chrétiens, comme
nous le rappelle sans cesse le pape.
-
- Verso l'olocausto dei
poveri
- "Pace e giustizia
sono indivisibili. O ce le ha il mondo intero o non ci sono per
nessuno. L'Occidente strangola le economie dei Paesi poveri con
la schiavitù del debito".
- Raramente nella storia
dell'umanità i cristiani si sono trovati a vivere un tempo
così ricco di incognite, di sfide, di prove e di incertezze.
È un tempo di crisi, di grandi mutamenti e di drammi (guerra,
terrorismo, ingiustizia...) che la globalizzazione ha amplificato
su scala planetaria, per cui oggi, più che mai, ciò
che accade a migliaia di chilometri ci riguarda sempre di più.
Come cristiani e come cittadini del mondo. Ma è anche
un tempo fecondo di sfide e di scelte per noi cristiani, come
ci ricorda continuamente il Papa.
<http://www.stpauls.it/fc/0309fc/0309fc08.htm>
2/ Le fait de manger des animaux?
Polémiques sur une campagne comparant
l'élevage industriel à l'Holocauste
- samedi 1 mars 2003,
2h48.
- San Diego (AP) - Une
campagne publicitaire en faveur des droits des animaux, qui compare
la souffrance des animaux d'élevage à celle des
victimes de l'Holocauste, s'est attirée les critiques
virulentes d'une importante association juive qui a dénoncé
la "banalisation" de la Shoah.
- La campagne intitulée
"L'Holocauste dans votre assiette", lancée par
l'association People for the Ethical Treatment of Animals (PETA),
a commencé cette semaine en Californie et devrait tourner
dans tous les Etats-Unis.
- Huit affiches de 3 m
sur 1,80 m montrent des photographies de victimes de l'Holocauste
-des hommes émaciés, des foules forcées
de s'entasser dans des trains, des enfants derrière des
barbelés, des amas de cadavres- juxtaposées avec
des images comparables de bétail, de cochons et de poulets.
Voir aussi le The Toronto Sun,
1er mars 2003.
<http://www.canoe.ca/Columnists/coren.html>
- Proving there are no sacred
cows for these boorish bovine-huggers, PETA dares to place death
camp images alongside photos of hen batteries and piled pig corpses.
They plan to go on tour with billboards of these horrible images
in tow, hoping to convince meat-eaters to turn vegan.
<http://www.canoe.ca/Columnists/platt.html>
3/ Une architectire postmoderne ?
- Sharing the postmodern
belief that the Holocaust's specifically modern origins require
the abandonment of the "project of modernity," Libeskind
and Eisenman in their many theoretical writings argued that the
Nazi genocide provided compelling reason to abandon traditional
architectural practice and to instead embrace an architecture
of fragmentation, de-centeredness and loss that reflected the
reality of the postmodern, post-humanist, post-Holocaust world."
-
- Ground Zero as a Laboratory
For 'Jewish Architecture', Forward, 21 Feb. 2003.
<http://www.forward.com/issues/2003/03.02.21/arts2.html>
4/ Tout simplement la vieillesse ?
Quand la vieillesse est un holocauste
privé.
D'Auschwitz à Kaligath
On a tous un petit Auschwitz en nous qui
sommeille plein de possibilités. On a tous une adresse
possible à Kaligath, un accès privé aux quais
de la destruction, un tapis rouge qui coule vers l'horreur d'être
vieux seul, de mourir seul.
La solitude est la Gestapo de l'âme,
le S.S. de la santé mentale.
<http://www.lecabinet.com/motel/2001_04_03.html>
5 / Une astuce pour tirer du fric d'IBM
et devenir rentier ?
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle
IBM a déjà versé, en juillet 2000, environ
3 millions de dollars à un fonds de 5 milliards de dollars
destiné à une indemnisation globale des victimes
du nazisme. En échange d'une participation à ce
fonds, toutes les entreprises ayant travaillé à
un titre ou à un autre avec l'Allemagne hitlérienne
étaient alors assurées de ne plus être traînées
au tribunal pour participation à l'holocauste. La nouvelle
plainte déposée contre IBM par d'anciens déportés
risque donc de remettre en cause le principe de cet accord global,
et de retarder l'indemnisation à l'ensemble des victimes
du nazisme.
<http://www.01net.com/article/137309.html>
oooOOO§§§OOOooo
PARUTIONS
§==Joyeuses banderilles dans le front
de taureau du journal Le Monde
<http://www.homme-moderne.org/plpl/l0303/index.html>
§==Nouveau site avec des documents "sur l'antisémitisme"
en langue originale, surtout en italien, par un certain Andréa
Tournoud.
<www.dsca.ch>
§== Genre nazebroque. Pagina Revisionista
Chilena. Damos a conocer la direccion de la primera pagina web
revisionista 100% chilena.
<http://www.libreopinion.com/members/holocuento>
Nous y retrouvons une partie de notre
travail. Ils ont leurs idées qui ne sont pas les nôtres.
¡Benvenidos !
Site révisionniste en magyar:
<http://www.freepress-freespeech.com/holhome/konyvek.htm>
§== Défazé. La Frankfurter
Allgemeine Zeitung, (FAZ) l'équivalent allemand du
Monde, publie un choix hedomadaire d'articles en traduction
anglaise:
<http://www.faz.com/IN/INtemplates/eFAZ/default.asp>
§== Charmant. Le 5 février,
on a pu voir sur Télé Lyon Métropole (TLM),
une émission dirigée par Franck Nicolas et intitulée:
"Faut-il emprisonner les négationnistes ?"
§==Réviser
Masada.
- " Part One is "The
Puzzle and the Background" and in this section Ben-Yehuda
demonstrates his own existential experience with discovering
the myth itself and his struggle with facing the truth of having
been deceived for so many years. He writes of his denial,
his anger, his resentment, and then his motivation
to learn the full story. In short, this professor of sociology
experienced what untold numbers of serious thinkers over the
years have experienced about all sorts of deceptions served up
by governments, organizations, religions, and individuals, but
with Ben-Yehuda, his own effort to revise the Massada Myth
away from its mythic elements and arrive at a complete picture
of how and why the myth became so widely accepted, is filled
with implications for other Israeli promoted ideas and myths.
Thus, the question must be asked: What other myths are Israelis
believing about their "history" that may require radical
revising in the future?"
Voir l'article
de Bob Countess qui rend compte du livre révisionniste
de l'historien pourtant israélien Nachman Ben-Yehuda.
§== Le postmoderne
? C'est nous.
- Postmodernism and
Holocaust Denial,
by Robert Eaglestone, $7.95, 75 pages, Totem Books, April 2001,
ISBN: 1840462345
- 'Postmodernism and Holocaust
Denial' argues that the questions postmodernism asks of history
and historians are in fact strong weapons in combating Holocaust
denial. Clearly and without jargon, Robert Eaglestone probes
the questions: What is history? And how does history establish
its claims to objectivity and impartiality? These are questions
which not only expose Irving as no historian, but also vindicate
the postmodern response to Holocaust denial.
§== Les mots du
mémo.
- Lessons and Legacies
III: Memory, Memorialization, and Denial, by Peter Hayes (Editor),
et al (Paperback - July 1999)
- The Holocaust: Hoax
or History?: The Book of Answers to Those Who Would Deny the
Holocaust, by
Paul Kuttner, Dawnwood Press, May 1997, ASIN: 0911025154
- Midwest Book Review:
- Paul Kuttner's primary
purpose in writing The Holocaust: Hoax Or History? is
the answer the growing army of Holocaust deniers with
factual proof that the Third Reich's main mission was to exterminate
Europe's Jews. Each of the book's 19 chapters consists of typical
examples of right-wing denials that the Holocaust existed, followed
immediately by a rebuttal based on documentary evidence, refuting
the denial and explaining in detail the Nazi documents amassed
and codified since 1945, as well as the locations where these
incriminating papers can be viewed today. The Holocaust: Hoax
Or History? is the only book currently available to give
those who are engaging in confronting and correcting the grievous
errors of "historical revisionists" currently attempting
to deny the existence of the Holocaust -- and thereby setting
the stage for future reenactments of one of history's most horrific
tragedies.
- A Trust Betrayed:
The Keegstra Affair, by
David J. Bercuson, Douglas Wertheimer, Doubleday of Canada, February
1986, ASIN: 0385250037
- The Revisionist:
A Novel, by Helen
Schulman, 256 pages, Crown Publisher, September 1998, ASIN: 060960208X
- Editorial Reviews /
Amazon.com
- Near the end of Helen
Schulman's The Revisionist, David Hershleder's estranged
wife, Itty, asks "Where have you been? Where have you been
all of your life?" This is the question that Hershleder
has never even known to ask until, at the age of 39, his life
begins to crumble. A neurologist who is terrified of his own
patients, a man who prefers research to real people, he has spent
a lifetime cutting himself off, even from the ones he loves the
most. When Itty, who would "rather be lonely alone ... than
lonely with [him] again," finally throws him out, he turns
to a private research project of his own in an attempt to deaden
the pain. He becomes fascinated by a French Holocaust-denier,
Jacques LeClerc, who, in the course of attempting to prove scientifically
that the Nazi exterminations never happened, comes to the completely
opposite conclusion. What happened, Hershleder wonders, "Why
did he believe these lies in the first place, and how did he
find the courage to face the truth?" Eventually his curiosity
becomes so great that he goes to Paris to seek LeClerc out and
ask him face to face.
- Identity, denial, and
the courage to face the truth are themes that Schulman works
skillfully throughout all the relationships and story lines in
The Revisionist. David Hershleder's mother was herself
a survivor of the Holocaust, a fact that shaped her son's sense
of self and relationships with others in ways not even he is
aware of. As the story of Hershleder's pursuit of LeClerc unfolds,
Schulman moves back and forth in time to reveal key events in
his relationships with his mother, his wife, his best friend,
David Kahn, and his college sweetheart Jodie, with whom he reconnects
in the aftermath of his trip to France. What David actually learns
from LeClerc is both mundane and surprising. What the hunt reveals
about his own career as a denier and revisionist, however,
is the key to Helen Schulman's deftly crafted and ultimately
satisfying exploration of how the Holocaust continues to haunt
even the present generation and what it means to be a survivor.
-- Alix Wilber
Then a scholarly Holocaust study by a
French chemist revisionist-turned-believer,..... Mais c'est bon
sang, bien sûr: c'est Pressac, devenu un héros de
roman ! Héros de roman américain, c'est la gloire.
Lui qui voulait justement écrire des romans, ce qu'il a
d'ailleurs fini par faire. Quelle salade !
§== Petit toto
totalitaire. Ron Rosenbaum, Pourquoi Hitler ? Enquête
sur l'origine du mal.
Ron Rosenbaum critique Claude Lanzmann,
le réalisateur du film Shoah, lequel prône "le
rejet viscéral de la question 'pourquoi ?'. Pour lui, dit
le journaliste, essayer d'expliquer Hitler est une obscénité
en soi". Claude Lanzmann, qui redoute qu'une "explication"
ne banalise le phénomène, a qualifié le livre
de "laborieux ramassis des ragots les plus éculés
qui courent sur Hitler depuis 50 ans".
- The book ceases to be
funny--and becomes scary--when Rosenbaum observes his subjects
mimicking their subject. Lanzmann, the director of Shoah , comes
off as a petty totalitarian. [= un totalitaire mesquin
] Rosenbaum recounts an event at Yale in 1990, at which
Lanzmann accused a 73-year-old Auschwitz survivor of participating
in revisionist propaganda. The survivor, Louis Micheels,
had taken an interest in a Dutch film that explored the ambiguous
attitudes of one Auschwitz doctor who had worked behind the scenes
to save the lives of some inmates. Micheels invited Lanzmann
to a discussion of the film. Lanzmann arrived, "forbade"
the film to be shown (his own word), called it an "obscenity"
(because it showed more Nazi baby pictures!), and implied that
Micheels wished to rehabilitate his torturers. Rosenbaum
himself approached Lanzmann, was abused over minor procedural
matters, and was told that the investigation of the Holocaust
had become superfluous because "it has been done. I did
it." (Slate, 1 er juillet 1998).
< http://slate.msn.com/id/3073/>
§== On sait enfin
où est allée Anne Frank.
Elle est passée astéroïde.
- Asteroid Annefrank.
Credit: STARDUST Team, JPL, NASA
- Explanation: NASA's interplanetary probe
STARDUST, on its way to Comet Wild 2 in January 2004, passed
asteroid 5535 Annefrank earlier this month. Annefrank, named
for a holocaust victim who kept a famous diary, is a member
of the main asteroid belt between Mars and Jupiter. Just
prior to closest approach at about 3300 km distant, the robot
spacecraft took the above picture. Although images obtained were
not detailed enough to resolve much of the asteroid's surface,
the size, reflectivity, and general shape of the asteroid were
recorded. At 6 kilometers across, asteroid Annefrank turned out
to be larger -- and darker -- than expected.
- On distingue vaguement
une sorte de pied:
- <http://antwrp.gsfc.nasa.gov/apod/ap021113.html>
§== La manche. L'ahuri des poubelles
fait la manche. Sur son site de gangsters politiques, il publie
une nouvelle. Non pas une nouvelle, mais les quelques lignes du
début d'une nouvelle qui, nous prévient-on, "fait"
2900 mots. C'est pas lerche. Mais deux mille neuf cents mots d'un
ahuri, ça se paie. Pour faire cracher au bassinet, directement
dans ses fouilles et non pas dans celle du site en question, il
a mis en place un système biscornu par lequel on fait débiter
sur sa facture de téléphone la lecture du précieux
chef d'oeuvre, un peu comme la consultation d'un site porno. Voici
le baratin:
- "Cette nouvelle
(2.900 mots, 17.000 signes) est payante. Continuez la lecture
au moyen du service téléphonique AlloPass (1,68
eur depuis la France) débité sur votre facture
de téléphone.
- <http://www.allopass.com/show_top.php4?SITE_ID=21986&DOC_ID=59740>
- Pour connaître
le tarif et le numéro téléphonique à
appeler, cliquez sur le drapeau de votre pays de résidence.
En composant le numéro, vous obtiendrez un code à
reporter ci-dessous. Il vous donnera accès à l'article
demandé. Ce code est valable une seule fois."
Ingénieux, non ? Il ne reste
qu'une question: quel est le demeuré mental qui voudrait
payer pour lire des rédactions du niveau CM 1 ?
§==Encore tout
un tas de bouquins (repérés sur Amazon.com):
- In Auschwitz wurde niemand vergast:
60 rechtsradikale Lügen und wie man sie widerlegt, by Markus Tiedemann, 183 pages, Verlag an der
Ruhr.
- A implosão da mentira do século, by S. E. Castan, 116 pages, Revisão
Editora; 1a. ed. edition, ASIN: 8572460098
- Amoklauf gegen die Wirklichkeit:
NS-Verbrechen und "revisionistische" Geschichtsschreibung, 135 pages, Das Dokumentationsarchiv; 2., überarbeitete
Aufl., ASIN: 390114207X
- The Final Lie: Holocaust denial in
Germany: a second generation denier as a test case, by Sarah Rembiszewski, 96 pages, Tel Aviv University,
ASIN: 9657033047
- Das Netz des Hasses: rassistische,
rechtsextreme und neonazistische Propaganda im Internet, 304 pages, Stiftung Dokumentationsarchiv des
Österreichischen Widerstandes; 1. Aufl., ASIN: 3216303292
§== Vrai ou faux
?
Un jeune fille de 18 ans, Liat Margalit
de Jérusalem a gagné le premier prix d'un concours
international de dissertation pour la paix et l'harmonie dans
le monde, attribué par une Fondation japonaise à
la mémoire du philosophe Mashisha Goy.
<http://www.sefarad.org/hosted/francais/tsedek/Tsedek-info037.html>
§== Le Talmud. Pour réviser
votre hébreu, une petite page du Talmud de Babylone ne
peut pas faire de mal, chaque matin, avec le petit déjeuner:
<http://e-daf.com/>
§== La Montagne
du jeu. C'est ce que veut dire
le mot "spielberg". Le cinéaste du même
nom a créé une sorte de cinémathèque
du film juif.
<http://www.spielbergfilmarchive.org.il/>
§==La longue vie
des mensonges. Le Monde
du 5 février 2003 annonce:
«Nuit et Brouillard» bientôt
disponible
- Aucun des films d'Alain
Resnais ne suscite autant d'attente que l'édition en DVD
de Nuit et Brouillard, dont Arte Vidéo annonce
la parution le 18 mars. Le film doit être accompagné
de deux éléments: un considérable ensemble
de documents sonores réunis par André Heinrich
et Nicole Vuillaume, qui avaient été diffusés
sur France-Culture en 1994, et un document de 60 pages. La qualité
intrinsèque du film de Resnais (à partir du texte
de Jean Cayrol) [l'inventeur de Philippe Sollers...]
justifie cet intérêt. Le rôle qu'il a joué
sans interruption et dans le monde entier, depuis sa sortie,
en 1955, dans la pédagogie [Traduction exact du
terme "pédagogie": bourrage de crânes
au service de la propagan résistancialiste. ]
de l'histoire de la guerre et des camps, [c'est notre raison
sociale ] et ses démêlés avec la
censure qui a cherché durant des décennies à
masquer la collaboration des forces de l'ordre françaises
à l'extermination nazie [on pourrait appeler ça
la "klarsfeldisation" de l'histoire, c'est à
dire l'obfuscation complète de ce qu'était un régime
d'Occupation exigeant une Collaboration ] accroissent
son importance. L'évolution de l'historiographie, [façon
élégante de dire que le contenu historique de ce
film ne vaut pas tripette ] le vaste travail de réflexion
sur la place et les possibilités du cinéma déployé
sous l'influence de Shoah, de Claude Lanzmann, [le
cinéma ne doit RIEN montrer, faute de quoi il dévoilerait
le pot aux roses ] les critiques dont Nuit et Brouillard
a fait l'objet depuis rendent encore plus précieuses la
possibilité de le revoir et de le diffuser largement,
dans de bonnes conditions.
C'est peut-être une bonne chose.
Revoir ce film est accablant, quand on voit l'accumulation des
détournements, des astuces de montage, des froids mensonges.
Ces choses-là passent très vite en salle. Mais chez
soi, devant l'écran, le trucage apparaîtra beaucoup
plus facilement.
§== Archive du
Net. Nous
avons déjà mentionné cette archive fabuleuse.
<www.archive.org>
- How large is the Archive?
- The Internet Archive
Wayback Machine contains over 100 terabytes of data and is currently
growing at a rate of 12 terabytes per month. This eclipses
the amount of text contained in the world's largest libraries,
including the Library of Congress. If you tried to place the
entire contents of the archive onto floppy disks (we don't recommend
this!) and laid them end to end, it would stretch from New York,
past Los Angeles, and halfway to Hawaii.
§== Série
verte. La série verte des
procès de Nuremberg, dite aussi NMT, (le procès
principal est désigné par IMT, ou TMI en fr. ) c'est-à-dire
les procès catégoriels, médecins, industriels,
etc. est mise en ligne, peu à peu, par le site de Henry
Mazal, un anti-révisionniste pur et dur:
- Nazi War Crime Trials:
Nuernberg Military Tribunal ("Green Series") Volumes I, II, III,
IV and V and VI are complete. 555 pages of Vol. VII are now available.
- "The Medical Case",
"The Milch Case", "The Justice Case", "The
Einsatzgruppen Case", "The RuSHA Case" , "The
Pohl Case" and "The Flick Case" are presently
available. 555 pages of Vol. 7, "The I. G. Farben Case"
are now available.
- Egalement ceci: We have
begun placing a collection of 30,000+ documents pertaining to
the Nuremberg Trials on line. These consist of 5,920 archives
covering almost every one of the NO-Series evidentiary
documents used in the war crime trials. This important project
will take several years to complete. 130 archives are now available
on line.
- <http://www.mazal.org/NMT-HOME.htm>
§== Un disparu
célèbre. Le site de la fondation internationale Raoul Wallenberg:
<http://www.raoul-wallenberg.org.ar/english/walldefauing.htm>
§== Les catins de Katyn. Site remarquablement riche et bien fait sur
Katyn, ouvrant sur des sources polonaises et russes, citant aussi
bien le JHR que Karmazinzin, c'est un exemple de ce qu'Internet
peut faire par des gens qui fouillent partout:
<http://www.geocities.com/Athens/Troy/1791/contacts.html>
Le site semble être fait par un
certain Louis R. Coatney qui est répertorié dans
Google comme un inventeur de jeux électroniques. Il a passé
une thèse (de MA) sur Katyn. Il a cette curieuse remarque:
Sadly it's now becoming
fashionable again in some circles, intellectual and otherwise,
to try to rehabilitate Stalinism and communism generally.
In my opinion the term
"fellow-traveller" still has the old meaning when one
is considering the positions taken by those who write about Russia
these terms today. Walter Duranty, D N Pritt, Hewlett Johnson,
etc, etc, would be proud of them.
I think it is very sad
that we still have people who deny the extensive evidence of
the terrible slaughter and suffering of the Stalin period of
Russian history.
For me there is little
difference between the old fellow-traveller and the new, except
that now some of them are called "historical revisionists".
I expect the pattern
of Holocaust denial and writings by Holocaust revisionists to be replicated by the Stalinists
in regard to the Soviet era in Russia.
Il donne ensuite des liens vers Vidal-Jiminy,
Israel Charny, dit l'Acharné, le jugement contre Irving
et un texte de R. Conquest sur les "compagnons de route".
Ce texte raconte comment Conquest a fait partie d'une petite unité
qui s'occupait, au lendemain de la guerre de faire circuler discrètement
de l'information anti-communiste. George Orwell semble y avoir
été favorable.
§== Lâchez les os. Traduction de la quatrième de couverture
du livre de Bradley Smith, Break his bones, qui vient de
sortir:
- "Voici le livre
qui confère aux révisionnistes, et au révisionnisme,
un 'visage humain'. Voici l'antidote aux calomnies et aux fausses
accusations que l'Industrie de l'Holocauste porte contre le révisionnisme
et les révisionnistes. Voici l'histoire qui révèle
l'exploitation de la répression, de la censure et du tabou
telle que programmée par l'Industrie pour restreindre
la liberté intellectuelle dans le domaine de l'Holocauste.
C'est ici que vous découvrirez pourquoi une organisation
comme l'ADL (Anti-Defamation League, analogue à notre
LICRA - NDT) est amenée à porter contre l'auteur
de ce livre une accusation ridicule: il serait l'un des "Dix
plus grands extrémistes" d'Amérique.
- B. Smith demeure un incorrigible
romantique. Il croit qu'une presse libre et qu'un débat
public sont préférables au tabou et à la
censure. En dépit d'une foule de preuves contraires, il
continue à croire qu'il existe une petite chance de réussir
à trouver un moyen de convaincre nos élites intellectuelles
- y compris une classe professorale apparemment incorrigible
- que favoriser la liberté intellectuelle est une bonne
chose, non un mal, même quand il s'agit de l'Holocauste."
Bradley R. Smith, <http://www.breakhisbones.com>
<http://www.codoh.com>
US$19.00
§== Dans l'enfer
des Sudètes. Livre de Ingomar Pust: Sudeten German Inferno.
The hushed-up tragedy of the ethnic Germans in Czechoslovakia.
Original edition: Schreie aus der Hölle ungehört.
Das totgeschwiegene Drama der Sudetendeutschen. Sersheim:
Hartmann-Verlag, 1998. Translated by Victor Diodon. En 20 fichiers:
<http://www.wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/sginferno/sgi00.html>
§== Ils se payèrent
sur la bête immonde.
- The Great Patents
Heist. John Nugent.
One of the greatest ripoffs of all time was the theft of German
patents after World War II. From saccharin and aspirin to
refrigeration, radio and space flight technology, the victorious
Allies ensured their post-War scientific lead and prosperity
by simply stealing German inventions -- literally thousands
of tons of patents. As one gloating Washington bureaucrat put
it, it was "the first orderly exploitation of an entire
country's brain power." [93Kb / 1 page]
- Article from the The
Barnes Review, March/April 1999, pp. 27-33.
- <http://www.wintersonnenwende.com/scriptorium/english/archives/articles/patents.html>
§= Tchèque
ou Slovaque. Le
site Holocaust World Resources Center, qui fait pauvre et qui
n'a pas grand chose à proposer:
<http://www.hwrc.org/>
Un site dédié au rabbin
Dov Weissmandl et à son groupe, qui sont probablement les
premiers créateurs et metteurs en scène de la légende
d'Auschwitz:
<http://www.weissmandl.org>
qui semble inaccessible. On peut en retrouver des morceaux dans
"Archive.org" cité plus haut. Le site semble
avoir disparu depuis juin 2002. Il existe plusieurs livres qui
parlent du groupe de Bratislava, en premier lieu un livre de mémoires,
compilé après le décès du rabbin en
1957, Min HaMeitzar. Il ne semble pas qu'il ait été
traduit. C'est un second couteau qui raconte l'histoire, dans
Qarati Ve'Ein One, qui a été traduit en anglais,
en 1983, sous le titre The Unheeded Cry, aux éditions
Mesorah.(4401 2nd Ave, Brooklyn, NY,11232). Le livre a éré
réédité et est encore trouvable.
§== Tartine beurrée
des deux côtés.
- The Myth of Rescue by William Rubenstein, 288 pages.
- Rubinstein states that
no Jew who perished in the Holocaust could have been saved by
any action of the Western Allies. Rubinstein, who once believed
that the democracies did nothing to save the Jews, has uncovered
evidence that the opposite is true and explores the topic with
a true historian's skill.
Il s'est fait du fric avec un bouquin
disant que les Alliés auraient dû "sauver les
juifs" et maintenant il va se faire du fric avec un livre
disant que ça n'était pas possible. Ramollo du bulbe,
à ne pas lire.
§== Slovagues.
- Poznanie Knowledge Campaign:
This Web site examines the controversy around a Slovak history
text book, The History of Slovakia and the Slovaks, by
Milan Durica, which was published with financing from the European
Union; the book disclaims the persecution of Slovakian Jews
during World II and has come under heavy criticism from Jewish
groups and historians.
- Dear friends, This web
project was established sometimes around June 1997 and was dedicated
to the book -- The History of Slovakia and the Slovaks
by Milan S.Durica -- historian and Catholic priest who has the
strong sympathy with clero-fascist Slovak State(1939-45) This
publication was accidentally published with financial support
from the European Union "Phare" and has come under
heavy criticism from Jewish Community in Slovakia, Jews around
the world and many historians. The History of Slovakia and
Slovaks has been distributed as a handbook for history lessons
in slovak schools. The book contains many factual errors and
mistakes and has all the typical signs of xenophobia aimed against
the Czechs, Hungarians and of course Jews. The government of
the prime minister Meciar ignored the requests from EU to withdraw
Durica's publication from slovak schools even they promised to
do so.
- It's December 1998.
However, this publication is still in school libraries as the
instruction book for history teachers. We hope that a new slovak
government does consider the book as historically incorrect.
- <http://hb.lycos.com/header?VID=6105&LHIG=1>
EU-funded Slovak
book prompts Jewish protest, Jun 25, 1997
- By Jan Krcmar
-
- Bratislava, June 25
(Reuter) - [...] Last week the book was praised by Vladimir Hagara,
spokesman of Prime Minister Vladimir Meciar's ruling Movement
for a Democratic Slovakia (HZDS). But the Slovak Union of Jewish
Religious Communities (UZ ZNO) says the work is aimed at "rehabilitating...Slovak
fascism."
- "The UZ ZNO notes
with deep embitterment and concern a change of attitude towards
(the war) period by the strongest Slovak political subject,"
a Jewish community statement said. "It should be recalled
that Durica's book was negatively received by many reviewers
and was unequivocally rejected by the...Slovak Academy of Science,'"
the statement added. EU sources in Bratislava confirmed the book
had been financed from the EU PHARE programme in good faith and
accused the Slovak government of breaking this trust. "When
the book came out, we were not satisfied and we are having it
reviewed by independent experts," an EU official said. "If
their verdict is negative we shall ask for the money back."
- Tracing Slovak history
from the First Century AD to modern times, the book denies any
persecution of Slovakia's 70,000-strong Jewish community under
the clero-fascist Slovak State, a Nazi German puppet set up in
March 1939.
- "(The Slovak government)
under (President) Dr Jozef Tiso decided to solve the Jewish question
in conformity with Christian moral principles," the book
says, adding that conditions in Jewish labour camps were "close
to the normal living conditions of the Slovak population."
- "The book contains
many myths which have been long proved false and factual mistakes,"
Dusan Kovac, head of the SAV Historical Institute told Reuters.
"The fact that it is being distributed in schools is the
most serious ethical problem surrounding this publication as
it has all the signs of xenophobia aimed against Czechs, Hungarians
and grossly distorts the Slovak state's treatment of its Jewish
community," he added.
- Fewer than 10,000 Slovak
Jews survived the Holocaust and Slovakia's Jewish community now
numbers around 4,000. EU officials said the book had been financed
within the framework of a larger PHARE work programme for the
Slovak government. "A few days before the programme was
signed the ministry of education asked for financing of three
school books and produced expert recommendations from authors
in the U.S. and Canada," an official said. Kovac said one
of the reviewers was Stanislav Kirschbaum, son of a former leader
of the puppet state's ruling People's Party (HSLS) who emigrated
to Canada at the end of the war.
- <http://www.angelfire.com/hi/xcampaign/news1.html>
Slovakia withdraws
controversial book from schools, Jul 02, 1997
- By Peter Javurek
-
- Bratislava, July 2 (Reuter)
- Slovak nationalist politicians accused the government on Wednesday
of bowing to outside pressure in deciding to withdraw a controversial
history book from the country's schools.
- The Ministry of Education
issued a terse announcement late on Tuesday saying it had ordered
the immediate withdrawal of the book The History of Slovakia
and the Slovaks by Milan Durica as a school textbook.
- The book, published
by the ministry with financing from the European Union, came
under heavy criticism from Jewish groups and historians for denying
Slovak Jews were persecuted by the Slovak state during World
War Two. "I don't see any pragmatic reason for this move,
it is only a result of European Union pressure," Rafael
Rafaj spokesman of the ultra-right Slovak National Party (SNS)
told Reuters. The SNS, part of the three-party coalition, holds
the education ministry. "We have no reason to change our
(positive) opinion of this book," Rafaj added, referring
to a previous SNS statement praising the book as "a precious
and objective summary of the history of Slovakia." Ministry
officials were not available for comment. [...]
§== Le Zolo des
sourdingues. Study the Holocaust
Through Deaf Eyes.
- Published in association
with the United States Holocaust Memorial Museum, Deaf People
in Hitler's Europe, edited by Donna F. Ryan and John S. Schuchman,
is a collection of essays that were inspired by the Deaf People
in Hitler's Europe, 1933-1945, conference staged at Gallaudet
University in 1998. "The conference included formal academic
presentations as well as witness panels, a screening of the 1932
film Verkannte Menschen (Misjudged People), an opportunity
for deaf Europeans to formally join the Survivors' Registry at
the museum, and a moving ecumenical memorial service for deaf
Holocaust victims conducted by Fred Friedman, a deaf rabbi, in
the [museum's] Hall of Witness.
- Divided into three parts,
Racial Hygiene, The German Experience, and The Jewish Deaf
Experience, this volume presents papers on such topics as
the role of medical professionals in deciding who should be sterilized,
forbidden to marry, or murdered; the expense of educating deaf
students when they could not be soldiers or bear "healthy"
children; and the plight of deaf Jews in Hungary. You can read
more about this important facet of the Holocaust in an excerpt
from Part III: The Jewish Deaf Experience, and order this vital
study at 20% off the regular price.
- Deaf People in Hitler's
Europe is the third publication on the topic of the Holocaust
and deaf experiences. Other titles include Surviving in Silence:
A Deaf Boy in the Holocaust, The Harry I. Dunai Story
by Eleanor C. Dunai and Horst Biesold's Crying Hands: Eugenics
and Deaf People in Nazi Germany.
Gallaudet est une université
pour les sourds, à Washington. Tout le monde a droit à
son Holocauste catégoriel. Nous attendons toujours la dénonciation
du génocide des porteurs de cravate vert pomme.
<http://gupress.gallaudet.edu/spclwhatsnew-DPHE.html>
§== Une campagne
anglaise.
- Welcome to the Holocaust
Centre, Beth Shalom.
- In September 1995, Beth
Shalom (House of Peace), Britain's first dedicated Holocaust
Memorial and Education Centre, was opened [Stones Memorial
- Beth Shalom] on the edge of Sherwood Forest in North Nottinghamshire.
- Although famed for other
reasons, the countryside provides a peaceful setting, where visitors
from around the country and further afield come to learn, to
remember and to reflect.
- Beth Shalom is set in
two acres of beautiful gardens, and provides a range of facilities
for people of all backgrounds and persuasions to explore the
history and implications of the Holocaust.
- [Library - The Holocaust
Centre Beth Shalom] The main features of the Centre are its red
brick memorial building, permanent exhibition on the Nazi period,
and memorial gardens.
- There are also conference,
library, seminar and research facilities used by students, teachers
and lay people of all ages and at all levels.
<http://www.holocaustcentre.net/>
Il ne manque que les clients...
§== Séquestre. L'avocat italien
Edoardo Longo fait savoir que le séquestre qui avait frappé
son ouvrage Il Coltello di Shylock (Le couteau de Shylock)
en raison de son "incitation à la haine antisémite"
vient d'être levé et que le livre peut désormais
circuler librement, en dépit des pressions de la communauté
juive de Venise. On trouvera plus de détails sur cette
affaire dans les revues Sentinella d'Italia et Courrier
du Continent de Gaston Amaudruz (Caseville 2428, CH-1004 Lausanne,
Suisse), qui va sortir de prison dans les jours qui viennent.
Grand bien lui fasse!
§== Holocauste
encore potentiel. L'affrontement entre Hindous et musulmans sur
le site de la "mosquée de Babour" à Ayodhya.
On y fait "le coup du négationnisme" et
"le coup de l'Holocauste":
<http://perso.wanadoo.fr/miscel/inde/contro.htm>
Par exemple, the book, The Ayodhya
Dispute written by N. S. Rajaram.
Preface - History Vs. Negationism.
Voir:
<http://perso.wanadoo.fr/miscel/inde/controverses/Sword%20of%20Truth%20Archives%20--%20The%20Ayodhya%20Dispute%20-%20Fact%20and%20fiction%20in%20the%20temple-mosque%20controversy%20
(Part%201).htm>
§== Le stupéfiant
statufié. Bernard-Henri Lévy entre au musée
Grévin.
AFP, le 26-02-2003 -- Le [pseudo]-philosophe
Bernard-Henri Lévy a inauguré, mardi soir, au Musée
Grévin, son personnage de cire qui trône à
deux pas de celui de Jean-Paul Sartre. "J'ai été
très flatté et très perplexe quand j'ai appris
qu'on allait me faire une petite place dans ce lieu car je n'aime
pas les académies et les statues me font peur", a
confié BHL qui n'a pas manqué de livrer aussi ses
réflexions philosophiques sur l'événemement.
§== Encore Gross
Pognon. L'histoire
d'un rackett.
- The victim's fortune by John Authers and Richard
Wolffe. Just when you thought you knew it all, a new book goes
deep inside the epic battle over the debts of the Holocaust.
What it reveals will shock you. Jewsweek has your exclusive
book excerpt. /
- Jewsweek.com, March 12, 2003. Editor's note:
In April 1996 a billionaire businessman pulled aside Hillary
Rodham Clinton at a political fund-raiser in his Manhattan apartment.
Handing Mrs. Clinton a magazine article on the secretive Swiss
banks, Edgar Bronfman launched an emotional fight for the forgotten
fortunes of the Nazis' victims. The First Lady took the bait,
and with a simple call to her husband, set in motion a whirlwind
of events that rewrote history and offered a last glimmer of
hope to a dwindling number of elderly war survivors.
- Backed by the White
House, a small group of Americans embarked on an epic journey
to pursue the debts owed to Holocaust victims for more than a
half century. For five years they traveled from country to country
and company to company, confronting those who profited from the
war -- the bankers, insurers, and industrial executives who never
fully acknowledged their companies' complicity in the Nazi crimes.
Armed with class-action lawsuits and threats of economic sanctions,
the disparate band of American lawyers, politicians, and Jewish
groups fought fire with fire against some of the world's most
powerful corporations and governments.
- But what began as a
moral crusade quickly degenerated into a bare-knuckled global
battle that opened up painful debates about justice and how to
achieve it. The demands for billions of dollars in restitution
triggered bitter disputes over who should pay the survivors and
who should receive the cash. Many Europeans dismissed the demands
as blackmail. The Victim's Fortune tells the remarkable
tale of the Americans who cajoled, bullied, and squabbled their
way across the world. It also reveals how Europeans first stonewalled,
then nickel-and-dimed their way toward peace with the past.
- John Authers and Richard
Wolffe offer a spellbinding investigative account of this momentous
international struggle, which has blazed a trail for future reparations
settlements of every kind. It is a riveting political drama that
captures the outsize personalities, ruthless tactics, and moral
dilemmas surrounding the light over compensation, all unfolding
against the backdrop of one of the darkest moments in human history.
- John Authers is a former
New York correspondent for the Financial Times and is
now its Mexico City bureau chief. Richard Wolffe is U.S. diplomatic
correspondent for the Financial Times and deputy bureau
chief in Washington, D.C.
<http://www.jewsweek.com/bin/en.jsp?enPage=BlankPage&enDisplay=view&enDispWhat=object&enDispWho=Article%5El154&enZone=Articles&enVersion=0&#>
Ne manquez pas l'interview des auteurs:
<http://www.jewsweek.com/bin/en.jsp?enPage=BlankPage&enDisplay=view&enDispWhat=object&enDispWho=Article%5El155&enZone=Articles&enVersion=0&>
§==Petit Zolo
et Gros Zolo sont en bateau. Petit
Zolo est déjà tombé à l'eau, en 45.
Voir la pub pour un livre qui fait mal:
- Could the Nazi holocaust
have happened without anyone knowing about it? The American holocaust
has.
- For the detailed story
-- a look at the Empire without clothes -- read:
- Killing Hope: U.S.
Military and CIA -- Interventions Since World War II, by William Blum
<http://members.aol.com/bblum6/American_holocaust.htm>
§== Inexistence. "Vous visitez un site qui n'existe pas.
En effet, ceux qui conçoivent ce site ne soutiennent aucun
camp. Or, la société humaine actuelle n'est composée
que de camps, antagonistes les uns des autres. Ceux qui ne se
rattachent à aucun camp, et qui ne veulent pas constituer
eux-mêmes un camp, ne peuvent se situer que dans un non
lieu, et donc ne pas être. Ceux qui visitent ce site inexistant
n'existent pas eux-mêmes, le temps d'une visite qui n'a
pas lieu."
<http://equidence.org>
§== Virus tartignolle.
L'un de nos proches, un révisionniste connu, reçoit
de temps à autres, des virus, à partir de l'adresse
suivante:
<from anelka(AFontenayssB-104-2-1-75.abo.wanadoo.fr
[217.128.102.75])>
§== Garaudy frappe
à nouveau. Le 25 mars 2003, Roger Garaudy a présenté
son ouvrage Le terrorisme occidental au stand de l'Algérie,
au coeur du Salon du Livre de Paris. Le Monde avait sournoisement
annoncé que ce stand allait créer une sensation.
Publié aux éditions Dar el Ouma, c'est un livre
de 420 pages, se composant des chapitres suivants: L'Occident
est un accident, La grande rupture: Jésus, Le Christ de
Paul n'est pas Jésus, la Renaissance, Naissance des fauves,
On peut vivre autrement, Géopolitique du XX· siècle,
Vers une géopolitique du XXI· siècle, La
grande inversion, Questions avant-dernières et "docte
ignorance". On peut lire dans la préface: "Il
convient de rompre tout lien avec les institutions internationales
qui sont les instruments de la domination américaine, l'OTAN,
le FMI, Europol, Eurojust, etc, où se décident 70%
des lois françaises [...] C'est dans l'éclatement
des contradictions internes de l'Occident capitaliste et colonisateur,
en quête de méthodes capables d'assurer sa survie,
qu'il faut chercher le sens profond du 11 septembre 2001."
Comme à l'habitude, nombreux ont été les
admirateurs de l'auteur à lui exprimer leur reconnaissance
pour l'ensemble des combats qu'il a dynamisés par son vigoureux
talent.
§== Les dernières
nouvelles du rackett. The American Jewish Committee has published a
monograph by Marilyn Henry on the restitution of Jewish property
in Central and Eastern Europe. Requests for a copy of the report
should be directed to: American Jewish Committee Research Department,
165 East 56th Street, New York, NY 10022-2746, USA. Tél:
212-751-4000.
§== Demande de
révision. Des judéolâtres
ont demandé à Vaslav Havel, avant qu'il quitte son
excellent fauteuil, la révision du procès qui avait
condamné, en 1899, (mille huit cent...) un juif dénommé
Léopold Hilsner (1876-1928), de Polná, en pays tchéque,
qui avait été condamné pour meurtre rituel,
jusqu'en haute cour à Vienne. Condamné à
mort, il n'avait pas été exécuté,
"sur pression de Paris et Berlin". Il ne semble pas
que Havel se soit, lui, exécuté.
<http://sicsa.huji.ac.il/hilsner.html>
§== Antipro. La crème
des anti-antisémites du Vidal-Sassoon a publié une
bibliographie sur le "déni" du grand Zolo qui
offre l'énorme avantage de ne citer aucun des travaux des
révisionnistes. C'est donc une bibbliographie de l'anti-révisionnisme.
En tant que tel, ça peut servir. Elle est en ligne:
<http://sicsa.huji.ac.il/denial.html>
§== Pasteurisé. Aimé Bonifas,
Détenu 20801. Dans les bagnes nazis, Fndirp-Graphein,
200 p. Cinquième édition (la première remonte
à 1946) du récit de la déportation à
Buchenwald du pasteur Bonifas, enrichie de deux postfaces, l'une
sur l'attitude des chrétiens dans les camps, l'autre sur
le mouvement négationniste.
On l'a pas lu mais vu l'éditeur,
la fédération coco, on voit tout de suite le genre.
Il fait même partie du comité d'honneur, avec Roland
Dumas ! Ce pasteur, déporté, certes, mais passé
témoin professionnel, joue au spécialiste de quoi
? de nous. Qu'il reste chez les cocos et qu'il y crève.
Bonsoir.
§== Special Point. On sait que Robert
Fisk, qui écrit dans The Independent est l'un des
meilleurs journalistes parmi ceux qui écrivent sur le Moyen
Orient, qu'il parcourt sans relâche depuis 23 ans. Sur le
site web qui lui est consacré nous avons relevé
ce passage, qui prouve une nouvelle fois la loi de Peter sur la
progression des gens compétents jusqu'à leur niveau
d'incompétence; texto:
"Fisk visited Madison,
Wisconsin, in April to give two lectures on the Israeli-Palestinian
crisis. He brought with him film footage of the Qana shelling,
as well as footage of an Israeli bombing of a Lebanese ambulance
carrying fourteen people. He showed a film he made about Palestinians
who had lost their homes when Israel became a state. He also
showed interviews with Jews who lost family members in Nazi concentration
camps, and he went to Auschwitz to show where the Holocaust took
place. In one of his lectures, he made a special point of
taking on those who deny the truth of the Holocaust."
Robert, parle-nous de Beyrouth ou de Kaboul.
Laisse tomber le tourisme en Pologne. C'est bon pour les gogos.
<http://www.robert-fisk.com/>
Choisir "Introduction".
§== Cinéma:
imaginer la terreur. How to dramatize
the evils of the Holocaust without diminishing them challenged
British playwright Ronald Harwood ("The Dresser") in
adapting "The Pianist" from the memoirs of Wladyslaw
Szpilman, a Polish-Jewish piano virtuoso who escaped deportation
to Nazi labor camps. "I take a huge breath," says Harwood,
who is currently developing a script for Ridley Scott about the
1992 trial of David Irving, who was convicted in a German court
for demeaning human suffering in his writings denying the Holocaust.
"I hold my breath and [hope] I don't corrupt or distort.
Also, [director] Roman Polanski and I didn't want to try and encompass
the whole Holocaust. You can't do that. By concentrating on this
one man, it embraces all the elements of terror that one can
imagine.
Newsday,
NY, 23 mars 2003.
<http://www.fpp.co.uk/Legal/Penguin/films/Ridley_Scott/Newsday0303.html>
§== Escrocs à
papillottes.
- Safed [en Palestine],
la ville du Zohar et de la Kabbala , est une ville sainte et
mystérieuse qui recèle des trésors. Certains
des plus grands sages au monde sont enterrés à
Safed et dans la Galilée environnante: le Ari Hakadosh,
Rabbi Yossef Caro, Rabbi Shimon Bar Yochai, Rabbi Yonathan Ben
Uziel et beaucoup d'autres. Le site Internet «Just trust
G-d» a été établi en coopération
avec le Conseil religieux et le Rabbinat en chef de la ville
de Safed. Il a pour but de permettre aux juifs de l'étranger
de bénéficier des bénédictions des
grands rabbins sans quitter leur maison. La majorité
des bénéfices du site sont immédiatement
reversés au nécessiteux. [Le singulier
est peut-être accidentel, ou révélateur ?
]
- * Pour une Lecture gratuite
des psaumes en votre nom - cliquez ici
- * Pour une vie longue
et prospère - cliquez ici
- * Pour trouver l'âme
soeur dans l'année - cliquez ici
- Pour la santé,
la réussite, le succès d'une opération,
la fertilité, un accouchement facile et plus - cliquez
ici.
- Just trust G-d
- Vous désirez
vous marier? Envoyez une prière sur la tombe de Rabbi
Jonathan Ben Uziel et vous serez marié dans l'année.
- Le tombeau de Rabbi
Jonathan Ben Uziel se trouve à Amouka, près de
Safed. Des dizaines de milliers de juifs partout dans le monde,
chaque année viennent prier là afin de trouver
l'âme soeur. Selon la tradition, celui qui prie sur la
tombe de ce "Tzadik" sera marié dans l'année.
- Rabbi Ben Uziel était
le plus grand étudiant de Hillel Hazaken. Il est mort
trés jeune et ne s'est jamais marié. Avant sa mort,
il a promis que celui qui prierait sur son tombeau pour se marier
serait exaucé dans l'année.
- Il y a une prière
spéciale qu'on peut réciter sur l'emplacement .
Si vous ne pouvez pas venir sur l'emplacement de sa sépulture
vous-même, nous pouvons prier en votre nom et l'âme
du Tzadik recevra la prière et vous amenera votre futur
compagnon.
- Nous ne garentissons
pas de résultat à 100%, toutefois nous espérons
que par la prière du Tsadik, vous trouverez l'âme
soeur au plus vite.
- Prière pour le
mariage (pour vous-même ou pour un membre de votre famille)
$20 -
- La lecture d'un chapitre
des psaumes en votre nom est GRATUITE
- Lecture d'un chapitre
des psaumes en votre nom sur le tombeau d'un Tzadik - $40
- Lecture des psaumes
journaliers pour une semaine - $180
- Lecture des psaumes
journaliers pour un mois - $480
- Lecture des psaumes
journaliers pour une année - $2800
- La lecture des psaumes
comprend la lecture de 20 chapitres et l'inclusion de votre nom
et demande personnelle.
<http://www.jtg.fr.st/>
§== Judéo-faschisme. Le site des kahanistes:
Ligue de défense juive qui trouve
le Bétar trop mou:
<http://www.liguededefensejuive.com/>
Propriétaire du site:
LIBERTE DEMOCRATIE JUDAISME (YSITLSQJTO)
2 Bis rue Dupont de l'Eure, Paris 20e
. Métro: Pelleport.
06 21 58 38 70 <[email protected]>
§== De mal en
Py On
voit arriver sur le web un site intitulé Mémoire-info
-- Webzine Mémoire locale et Seconde Guerre Mondiale
concoctée par une certaine Evelyne Py. C'est à l'évidence
une zinzinette: à la moindre difficulté historiographique,
elle renvoie aux excellents articles du site tenu par l'incroyable
Karmazinzin. Elle ajoute cette note qui nous laisse rêveurs:
Elles ne sont ni définitives,
ni exhaustives et sont donc à retenir avec la prudence
nécessaire à toute démarche de construction
collective de la connaissance.
-
en application de l'article
16 de la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique,
aux fichiers et aux libertés
Aller se déclarer à la CNIL,
en vertu d'une loi bien antérieure à Internet (enfin,
au Web): faut être maboule. Bientôt, on aura une étiquette
clipée dans l'oreille, comme les vaches. La traçabilité
des sites web et des webmestres, le rêve des cognes... Cette
pauvre Py est prof dans un collège du Rhône et fait
participer les gniards au "Concours de la Résistance":
Résistance et de la Déportation:
<http://www.memoire-net.org>
Collège Pierre de Ronsard - Mornant
69440 :
<http://www2.ac-lyon.fr/etab/colleges/col-69/ronsard/index.html>
Le malheureux Ronsard et ses exquis chefs
d'oeuvres n'y sont évidemment pour rien. Il vous prie de
l'excuser de ce détournement.
§== Le vrai Lincoln.
- Friends:
- The war crimes of the
"Allies" began long before Vietnam. Finally, we are
starting to see a new look at American and British behavior during
the so-called "good war" of WWII. For those interested,
I strongly urge you to read the book The Real Lincoln
by Thomas J. DiLorenzo. This was a tremendous eye-opener ...
The utter criminality of the Union Army, its total war against
the South and its civilians is shocking. Burning entire cities
and towns, killing civilians, destroying all crops and animals
they found. During the Civil War, many governments in Europe
were very nervous about the Union Army if it won the war as it
was the largest standing army in the world at the time. Many
Europeans felt that eventually this force would become imperialistic.
They were right.
++++++++++++++++++++
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
Les versions PDF se trouvent aux adresses
suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres2/cr0304.pdf
>
++++++++++++++++++++++
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
Ce texte a été affiché
sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
une utilisation mesurée par le Secrétariat international
de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
est <[email protected]>.
L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
Afficher un texte sur le Web équivaut
à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
[email protected]