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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
25 (JUIN 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
de juin 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
On a connu
le fascisme de Mussolini.
On a connu
le stalinisme de Staline.
On a connu
le nazisme de Hitler.
On a connu
le colonialisme de la SFIO.
On a connu
le maoïsme de Mao.
On a connu
l'impérialisme US au Viêt-Nam.
Mais on ne
connaît pas encore la domination globale de l'époque
Bush.
Et elle s'annonce
pire que tout le reste.
Amis, il
va falloir lutter très fort, d'abord pour survivre. Nous
sommes aux Thermopyles.
Serge Thion,
mai 2003.
The Holocaust
now is marketed with a capital 'H' like Aspirin or Araldite or
any other trade name. I don't buy that.
David Irving,
The Herald, Glasgow, 28 juillet 1992.
I
think revisionists have an exaggerated faith in their own beliefs
and arguments, as though if you can disprove Jewish holocaust
claims, then all the Jews will say, "Son-of-a-gun! You guys
sure caught us on that one. I guess all we can do now is march
into the sea and disappear!" Laird Wilcox.
NOUVELLES DE L'AAARGH
Mai
La meilleure étude qui ait été
écrite sur le révisionnisme d'un point de vue non-révisionniste
est incontestablement la thèse soutenue à l'université
de Canterbury, en Nouvelle-Zélande, par Joel Hayward, en
1993. Dix ans ont passé, mais elle reste l'une de seules
tentatives approfondies de comprendre, de bonne foi, ce que veulent
dire les révisionnistes. Par trois fois, cette thèse
a été mise sur le Web et par trois fois, sous pression
de forces obscures (pour ne pas dire obscurantistes) les webmestres
ont été contraints, sous différentes menaces,
de la retirer de leur site. C'est aussi ce qui est arrivé
à l'aaargh en 2000.
Mais d'autres ont pris la relève.
On peut trouver maintenant la thèse de Hayward, The
Fate of Jews in German Hands: An Historical Enquiry into the Development
and Significance of Holocaust Revisionism, aux adresses suivantes:
Version html: <http://www.resistance.com/Hayward/hay1.html>
Version PDF: <http://joelhayward.tripod.com/hay.pdf>
(Gengis Khan Publishing House, Ulaan Baator.
C'est un peu long à ouvrir.)
Profitez-en maintenant. Téléchargez
ce document: on ne sait pas combien de temps il restera disponible.
Il vaut la peine. C'est pour ça qu'ils veulent le supprimer.
Voyez aussi notre "Hayward File" en anglais, qui retrace
les péripéties de cette grossière censure.
Le dernier article de Carlo Mattogno (en
italien) est une analyse de celui de Fritjof Meyer, paru en Allemagne
l'an dernier, signalé dans Conseils de révision.
Meyer a pu écrire, sans soulever de vagues, que le nombre
de victimes du camp d'Auschwitz tournait autour de 500.000. (Le
chiffre officiel d'un million et demi a été choisi
politiquement par le président polonais, à l'époque
Lech Walesa.) Mattogno montre que Meyer s'appuie, sans trop le
dire, sur des faits établis par la recherche révisionniste
et sur des éléments tirés de Pressac, marginalisé
par les zolomanes au pouvoir, pour abandonner, grosso modo, la
thèse des gazages massifs dans des chambres à gaz,
au profit de celle de l'usage des bâtiments en bois, appelés
bunkers, et que l'histoire officielle situe avant la mise en service
des "chambres à gaz" situées dans les
crématoires. Cette thèse, Meyer ne l'appuie sur
rien. Mattogno remarque qu'Auschwitz se trouve aujourd'hui comme
sur un plan incliné. A chaque effort que font les exterminationnistes
pour expliquer ce qui s'est passé, les chiffres baissent
et les interprétations se rapprochent de celles qui ont
été, de longue date, proposées par les révisionnistes.
Avril
Nous avons suivi attentivement la Seconde
Guerre du Golfe et pratiqué le révisionnisme à
chaud, d'aussi près que possible. Comme toujours dans les
périodes de guerre, l'usine à mensonges tourne très
fort. Les journalistes sont dans l'ensemble fidèles à
leur nature moutonnière. Mais la présence d'Internet
permet de s'y retrouver beaucoup plus vite qu'autrefois. La grande
question est: comment expliquer la chute inopinée de Baghdad,
qui a surpris tout le monde, y compris les stratèges américains
et israéliens ? Quel arrangement est intervenu ? Quatre
numéros de la Gazette du Golfe et des banlieues
en quatre semaines. Voir la nouvelle page d'index de la Gazette:
http://ggb.0catch.com
Notre librairie en ligne atteint les cent
titres (en ne comptant pas ceux qui sont présents en
diverses traductions). Le centième est le fameux mémoire
de Jean Plantin sur Paul Rassinier, disponible en PDF.
Voir la page livres, et la nouvelle page
d'index pour la revue mensuelle de la scène révisionniste
mondiale, Conseils de révision qu'on lit fiévreusement
dans les couloirs de certaines officines du World Zolo Extorsion
Fund: <www.conseilsderevisoin.tripod.com>
ZÜNDEL
TOUJOURS EMBASTILLÉ
- Ottawa, 2 mai (AFP)
- Le révisionniste d'origine allemande Ernst Zundel représente
"un risque pour la sécurité nationale"
du Canada, affirme un document du gouvernement canadien qui ouvre
la voie à son expulsion vers l'Allemagne.
- Ce document a été
transmis à la Cour fédérale du Canada, qui
devra maintenant décider si son expulsion vers l'Allemagne
est justifiée, a déclaré vendredi le ministre
de l'Immigration, Denis Coderre.
- "Je ne ferai pas
d'autres commentaires maintenant que la Cour fédérale
a été saisie. Je ne discuterai pas des détails",
a déclaré à la presse le ministre, qui a
signé ce document avec le ministre de l'Intérieur,
le Solliciteur général Wayne Easter.
- Agé de 64 ans,
M. Zundel, considéré par l'association juive B'nai
Brith comme l'un des plus importants éditeurs mondiaux
de matériel antisémite et néo-nazi, est
détenu au Canada depuis le 19 février, après
avoir été refoulé des Etats-Unis. Il avait
demandé l'asile politique au Canada pour échapper
à la justice allemande qui le recherche pour incitation
à la haine contre les juifs. Avant de passer aux Etats-Unis,
Ernst Zundel vivait au Canada avec un statut d'immigrant obtenu
en 1958.
- Il avait cependant fui
ce pays en 2001 après que son site internet eut été
déclaré "illégal" par un tribunal
administratif canadien des droits de l'Homme, au motif qu'il
véhiculait de la "propagande haineuse". B'nai
Brith a salué vendredi la décision d'Ottawa et
espéré dans un communiqué que cette affaire
"ne traînera pas trop longtemps" en Cour fédérale,
de façon à ce que Ernst Zundel soit expulsé
rapidement. En mars, l'Allemagne avait fait savoir au Canada
qu'elle était prête à financer son transfert
si la justice canadienne décidait de le renvoyer dans
son pays d'origine.
DEPUIS LE ZUNDELSITE
- 2 mai 2003
- Depuis le Zundelsite
bonjour: Si je vous dis que Ernst a été arrêté
hier dans une cellule de haute sécurité de
l'Ontario, où il était déjà emprisonné
depuis bientôt trois mois, vous allez penser que je vous
raconte des histoires. C'est pourtant exactement ce qui s'est
passé:
- Hier, à
18h 25, on est venu l'arrêter -- encore! -- mais
cette fois parce qu'on avait la "garantie" qu'il était
bien une menace pour la sécurité du Canada. L'audience
d'aujourd'hui sur laquelle nous étions nombreux à
placer nos espoirs n'était plus qu'un simulacre.
- Les juifs canadiens
tels des paons poussent des cris de triomphe -- les laquais du
gouvernement ont fini par se plier à leurs ordres.
- Il y aura une
autre audience lundi, à huis clos, puis, si j'ai bien
compris, la Cour fédérale examinera l'affaire dans
la semaine.
- Ensuite, le
combat devrait se poursuivre en Allemagne. Plusieurs personnes,
depuis même le Brésil, se sont déjà
proposées pour prendre sa place en prison (...).
- Ingrid
CE QUI SE PASSE
- Au Canada,
Ernst Zündel est toujours en prison de haute sécurité
-
- Toujours en prison de
haute sécurité près de Toronto et toujours
dans l'incertitude sur le sort qu'on lui réserve, Ernst
Zündel tient à exprimer sa profonde gratitude à
l'endroit des lecteurs de Rivarol. Il a fait savoir que, dans
le flot des lettres reçues d'une bonne partie du monde,
il a été ému par l'exceptionnelle qualité
intellectuelle et morale de la correspondance envoyée
par ces lecteurs français ou francophones. Il déplore
de ne pouvoir répondre à la plupart d'entre eux
parce qu'il n'a pas leur adresse. Il faut savoir, en effet, que
le personnel de la prison a pour ordre d'arracher tout ce qui
a été collé par l'expéditeur, c'est-à-dire
non seulement l'enveloppe et les timbres mais aussi les autocollants
indiquant les adresses, et cela ... pour s'assurer que l'expéditeur
n'a pas glissé dans son envoi de poudre suspecte ou de
drogue !
- Toutes les trente minutes,
de jour comme de nuit, un responsable de la prison, accompagné
de deux gardes, pénètre dans la cellule éclairée
a giorno et, en présence du prisonnier, consigne
sur un registre ce que ce dernier a été trouvé
en train de faire. La promenade dans la cour dure dix minutes
par jour, dans l'éternelle tenue orange, menottes aux
mains, chaînes aux pieds. Aucun détenu ne peut lui
adresser la parole. Parfois, il est conduit devant un juge des
plus spéciaux qui, immanquablement, reconduit la décision
de le maintenir en détention, car E. Zündel est censé
représenter un danger pour la sécurité du
Canada. Ses accusateurs reconnaissent qu'ils n'ont pas trouvé
trace, dans toute sa vie, d'une seule violence ou d'un seul appel
à la violence; mais, sans preuve à l'appui, ils
soutiennent que ses opinions sur le sort des juifs durant la
deuxième guerre mondiale et sa façon de présenter
l'histoire du IIIe Reich peuvent susciter des actes de violence
préjudiciables à l'harmonie dans laquelle vivent
les communautés du Canada. Parfois les séances
de cet étrange tribunal pour la Sécurité
du Canada se tiennent à huis clos. En l'absence de l'intéressé
et de tout avocat, le juge entend des témoins de l'accusation
choisis par l'Intelligence Service et reçoit des documents
à charge. Même ultérieurement, l'accusé
ou ses avocats seront tenus dans l'ignorance de ce que contenaient
précisément lesdits témoignages et documents.
- Ce que veulent ses puissants
adversaires, c'est que le malheureux soit extradé vers
l'Allemagne où il serait jugé par un tribunal encore
plus spécial; selon l'usage, accusé et avocat y
seraient proprement bâillonnés. Au terme de la mascarade,
la trappe.
- Tout récemment,
deux événements sont venus redonner un peu d'espoir,
sinon au prisonnier, du moins à ceux qui aiment et admirent
ce grand caractère. Doug Christie, "the Battling
Barrister" (l'avocat de combat) qui s'était illustré
dans les procès fleuves intentés à E. Zündel
notamment en 1984-1985, puis en 1988-1992 et, enfin, de mai 1997
à janvier 2002, a enfin pu se libérer des contraintes
professionnelles qui le retenaient à son cabinet de la
région de Vancouver, soit à quatre mille kilomètres
de là. Il s'est rendu sur place à Toronto et, pour
les besoins de la cause, à Ottawa. Il ne sera pas homme
à se laisser intimider. Un autre avocat de choc vient
d'être découvert aux Etats-Unis par Ingrid Rimland,
qui est l'épouse d'E. Zündel; il est décidé
à porter le fer dans ce qui reste le scandale originel
de cette ténébreuse affaire: le kidnapping légal
d'E. Zündel dans un paisible village du Tennessee par trois
agents de police d'un service d'immigration aidés de deux
policiers locaux, kidnapping qui s'est produit ce 5 février
et qui a été suivi d'une incarcération dans
des conditions abjectes, puis d'une extradition précipitée
vers le Canada avec interdiction de revenir trouver sa femme
aux Etats-Unis pendant vingt ans. E. Zündel, né en
Allemagne le 24 avril 1939, a soixante-quatre ans.
- Aux dernières
nouvelles, le site d'Ingrid Rimland ("le site le plus assiégé
sur le Net") a été supprimé par le
géant américain des communications QWest, qui,
de guerre lasse, a cédé aux pressions de certains.
Heureusement, ce site a trouvé refuge ailleurs et il reste
consultable à <http://www.zundelsite.org>.
- On peut écrire
à Ernst Zündel, Niagara Detention Centre, P.O.B.
1050, Thorold, Ontario, L2V 4A6 (Canada). Attention ! Aucun cadeau
n'est autorisé ni aucun envoi de document ou de coupures
de presse. On peut également écrire à Ingrid
Rimland, 3152 Parkway, Suite 13, PMB 109, Pigeon Forge, Tennessee
37863 (USA); dans ce cas, des contributions au fonds de défense
sont possibles (en euros, par exemple).
LE CANADA LAVE PLUS
BLANC
On peut lire le rapport de plus de 70
pages des services "secrets" canadiens, une belle bande
de fripouilles qui ont été décrites comme
telles dans un livre récent paru au Canada. Ne cherchez
pas dans vos journaux, ils n'ont pas eu le temps de le lire.
Ce qui est le plus frappant, dans ce rapport,
est qu'il n'y a pas un mot sur ce qui fait 90% de l'activité
de Zündel depuis bientôt trente ans, à savoir
sa lutte pour faire connaître le révisionnisme dit
de l'Holocauste, au Canada et à l'étranger, par
toutes sortes de moyens, le plus lourd et le plus perforant étant
les grands procès où les partisans du Zolo ont fait
si piètre figure. Non, c'est un domaine trop brûlant
pour les espions en peau de lapin d'un Canada qui ne manque pas
de flicards de toutes sortes, y compris les fameux "mounties",
la "Police montée", sorte de gendarmerie très
corrompue qui vit sur ses souvenirs de l'ancien temps. Le rapport
se penche doctement sur "le mouvement suprématiste
blanc" qui est moitié réel, moitié fictif,
et qui, comme beaucoup de mouvements apparemment extrémistes,
est en partie inspiré, financé et relancé
par les services spéciaux. Certes, Zündel a rencontré
ou parlé avec ces gens au cours des années, y compris
des juifs de différentes obédiences.
On voit donc que ce rapport, qui est la
seule base de justification du refus de permettre à Zündel
d'entrer au Canada et de ne pas être déporté
vers l'ingrate Allemangne, est un gigantesque artifice, un puzzle
de bric et de broc qui ne recouvre aucune réalité.
C'est une construction artificielle qui est à porter au
crédit de l'imagination des espions aux ordres. On trouve
quelques paragraphes consacrés à un Allemand, Althans,
sans mentionner qu'il a été démasqué
comme infiltré dans les rangs du mouvement nationaliste
en Allmagne par les flicards allemands. Donc, on se retrouve en
famille. Ils méritent surtout des prix littéraires.
Voir:
<http://www.zundelsite.org/zundel_persecuted/legal/certificate/index.html>
L'AUDIENCE DU 16 MAI
- Zundel was
hostile to racism, court hears
- Views of
white supremacist got him kicked out of Zundel's home, witness
testifies at deportation hearing
- Marlene Habib
-
- Holocaust denier Ernst
Zundel banished the former lead singer of a rock band that extolled
"white power" from his home because of racist lyrics
in his songs, a court heard today.
- George Burdi, who said
he no longer has ties to the white supremacy movement, took the
stand at a Federal Court hearing to decide if Zundel should be
freed on bail pending a decision on his deportation.
- Under questioning from
Zundel's lawyer, Doug Christie, Burdi, now 32, said he became
head of the Toronto chapter of a white supremacist group in the
early 1990s and formed the group RaHoWa - short for "Racial
Holy War" - after meeting Zundel through his girlfriend's
father.
- The band's 1992 album,
Declaration of War, contained a song called "Third Reich,"
which featured lyrics saying "It feels right" to kill
lesbians and blacks "cause you're full of white power,"
the court heard. Zundel, "got very upset for (me) holding
these types of views and writing these types of lyrics,"
Burdi testified. "He asked me to leave his (Toronto) premises
and not come back."
- Burdi has been cited by
the Canadian Security Intelligence Service as one of many white
supremacists that Zundel "has relationships with, exerts
influence over or assists violent and/or influential members
of the white supremacist movement," according to federal
documents filed in court.
- During cross-examination,
government lawyer Murray Rodych pointed out that Burdi was arrested
in 1993 following an Ottawa concert during a clash between skinheads
and anti-racists. He was eventually convicted of assault causing
bodily harm and sentenced to a year in jail. In September 1999,
he also pleaded guilty to wilfully promoting hatred with his
music; he received a conditional sentence and served two years
on probation.
- But those days are long
gone, said Burdi, who insisted he has long since renounced the
white supremacy movement and now uses his experiences to counsel
anti-racism groups. "I came to the conclusion racism is
wrong," said the well-spoken Bundi, clad in a distinguished-looking
suit and tie. "I've learned there's good and bad in everyone
and I've met enough bad people involved in that ideology and
knew I didn't want to be one of them." [...]
- Federal lawyer Toby Hoffmann
has warned that Zundel would skip out on the hearing to review
his security-threat status because he lacks respect for human
rights bodies and tends to "flout" authorities. Testifying
in his own defence last week, Zundel tried to depict himself
as a "pacifist," a misunderstood political activist
who's being railroaded by the federal government. He was expected
to resume his testimony today.
Toronto Star,
May 16, 2003.
<http://www.thestar.com/NASApp/cs/ContentServer?pagename=thestar/Layout/Article_Type1&c=Article&cid=1052251590005&call_pageid=968332188492&col=968705899037>
TERRORISTE
- Je viens de téléphoner
au Canada à Barbara Kulaszka. Aux toutes dernières
nouvelles, Ernst Zündel est maintenant détenu dans
une prison de Toronto en qualité de "terroriste".
Il est assimilé à un poseur de bombes. Il est l'objet
d'une surveillance draconienne. Il n'a plus le droit à
un crayon et une feuille de papier. Il ne peut recevoir de courrier.
Ses avocats ne sont pas autorisés à lui rendre
visite aussi longtemps qu'une enquête sur leur personnalité
et leur passé n'est pas achevée. Toute la documentation
qu'il avait rassemblée pour sa défense a été
détruite "par une inondation". Il peut rester
en prison pendant des années sans le moindre jugement.
Dans la même prison que la sienne se trouve incarcéré,
depuis trois ans et sans jugement, un Arabe accusé de
terrorisme. Il a été autorisé à téléphoner
hier à sa femme pour une durée d'une minute (ou
de cinq minutes ?) sous la surveillance de trois gardes. Il a
eu le temps de lui dire que le traitement (inhumain) réservé
à Rudolf Hess à la prison de Spandau était
enviable par rapport à son propre sort.
- R. Faurisson, lundi
19 mai 2003, 22:40.
ZUNDEL BEING PUNISHED
FOR PROTESTING CSIS INVOLVEMENT IN ASSASSINATION ATTEMPT
- On Sunday, May
18, just back from a speaking trip to Winnipeg, I picked up two
desperate phone messages from Ingrid Rimland, Ernst Zundel's
wife. He had disappeared. She did not know where he was being
kept. He'd been moved from the Niagara Region Detention Centre.
He had not been allowed the use of a phone for 48 hours. She
had just learned he was now in the Metro West Detention Centre,
near Toronto International Airport.
- I raced up to
the Metro West Detention Centre. Ushered inside, I was eventually
met by Mr. Verrinder, the Shift Supervisor. No, I couldn't see
Mr. Zundel. I would have to be cleared by security. He was a
"special" prisoner, Mr. Verrinder informed me. I could
call security 416-675-1806, Ext.4220 to be cleared. However,
being Sunday, no one was there. The next day, Victoria Day, was
another holiday and no one answered the phone in "security."
- I asked Mr.
Verrinder whether Mr. Zundel was allowed newspapers or a pen.
"I'm not prepared to share that information with you,"
this public servant told me. I then asked to see Mr. Zundel as
a friend, rather than as a legal representative. All visitors
had to be cleared, I was told. And, of course, there was no one
available to clear me.
- This morning,
I learned that, being a special prisoner, Ernst Zundel cannot
receive visitors during normal visiting hours. I hastened to
the prison for 11:30 -- normal visiting hours start at 12:30.
After a long wait, I was advised that they had brought Mr. Zundel
to the interrview room. I talked with him by phone with a thick
glass separating us. Ernst looked pale in contrast to his bright
oranger prison jumpsuit. He had a thick white beard stubble.
I learned that he had been denied a razor since he got there
on Friday. He asked for a razor again today and was told, "maybe
tomorrow."
- Ernst was his
usual brave self, but is clearly taken aback by the mindless
callousness of a system intended to break its "special"
prisoners. Most of his few possessions are kept outside his cell
in the hall. When he goes to the toilet (inside) his cell, for
instance, he must call for a guard to hand him his soap and a
towel. The guard may or may not come. "Surely," Mr.
Zundel says, with practical German peasant common sense, "this
sort of delay is unsanitary, when people are worried about SARS
and other diseases." He's not allowed soap or a towel in
his cell. Toilet paper is rice-paper thin squares about 2' x
3'. If you get diarrhoea, you're out of luck. To clean your hands,
you must summon a guard and let all the other prisoners know
your humiliation.
- When he wants
to brush his teeth, he must ask a guard to hand him his toothbrush,
which sits outside his cell. For the rest of the time, his toothbrush
sits in the hall with the dust. "This cannot be sanitary,"
Mr. Zundel remarks. Any movement outside his cell requires the
"special" treatment. "Security has never been
tighter," he says. "I always have an officer and two
guards when I leave my cell for a shower or to make a phone call,"
he reports.
- He has almost
no privileges and has still not been informed of prisoner's rights.
I asked Mr. Verrinder for a statement of those rights on Sunday.
I was told that Ernst would have to request them. He's received
nothing. This morning, he asked to make a phone call. "I
was told, 'Maybe tomorrow,'" he said.
- When I arrived
at the prison, I looked up Security Director Mike Richard in
order to arrange for Mr. Zundel to have the five volumes of support
documents on which the CSIS reports in his detention case are
based. Richard said they'd be kept outside his cell and that
he'd have to ask for them one by one. I had asked Richard about
pens, papers and other supplies. Richard said Ernst could get
them from the canteen. However, canteen orders go in on Sunday
to be delivered later in the week. Mr. Zundel had been told nothing
about his right to order things.
- Mr. Zundel has
asked for his Inmate Classification. This is the institution's
assessment of him -- dangerous, model, whatever. This assessment
can be appealed. It's his right to have access to this document,
according to the Solicitor-General. Thus far, he's received no
response to his request. His legal documents are all in a box
out in the hall outside his cell. "In Niagara, I had access
to phone calls, almost at will. Here, I'm very much impeded with
little phone access." Most guards are brusque and unhelpful,
he reports.
- Compared to
the Niagara Regional Detention Centre, the food is scarce and
poor. Sometimes there's no butter. In Niagara, there was always
a cup of coffee and sweets at night. In Metro West, there's nothing.
"It's one third the rations and poorer quality than the
food in Thorold," Mr. Zundel told me. The administration
keeps up a campaign of isolation and harassment. Communication
with the higher prison authorities must be in writing on prescribed
"request forms." Mr. Zundel has asked for such forms
since Saturday but has still not been provided with any.
- Last week, Mr.
Zundel filed a complaint with the Security Intelligence Review
Committee (SIRC), the body that oversees CSIS, asking that they
investigate the shocking information in John Mitrovica's book
COVERT ENTRY, which shjows that CSIS knew that the pipebomb was
coming to Zundel and did nothing to prevent it or to warn or
protect him.
- Last week, there
was a flurry of activity among the administration in the Niagara
Region Detention Centre. Within a day, Mr. Zundel was transferred.
The transfer and the severe restrictions "are punishment
and retribution," Mr. Zundel says. However, Ernst Zundel
is not discouraged. We discussed several daring legal plans.
Canada has not heard the last of Ernst Zundel. As the great English
poet John Milton wrote: "Iron bars do no a prison make."
Friends of free thought, Ernst Zundel really needs your help.
1. If you live abroad, write to the Canadian Embassy in your
country and demand Zundel's release and humane treatment.
- 2. If you live
in southern Ontario and wish to visit, call ahead to Security:
416-675-1806 Ext. 4220. You must be on Zundel's approved list.
He didn't know he was supposed to submit a list of visitors he'd
like to see. You can also get directions, when you call.
- 3. No matter
where you live, why not send a card or letter to encourage Ernst
Zundel. Write Prisoner Ernst Zundel, c/o Metro West Detention
Centre, 111 Disco Road, Rexdale, ON., M9W 1M3.
- 4. We also need
your financial support for Mr. Zundel's defence.
- Mail your donation
today to CAFE Box 332, Rexdale, ON., M9W5L3, Canada or e-mail
us your VISA number and expiry date. On your cheque or an accompanying
piece of paper, note: "For Zundel Defence Fund."
CANADA
TROP MOU ?
- U.S. says
Canada cares too much about liberties
- Terrorism
report also says too little spent on police
- Jim Bronskill
-
- The United States says
the lack of funding for police and restrictive privacy legislation
in Canada are frustrating probes of political extremists. The
comments in an annual report on international terrorism were
the latest critical remarks from the U.S. apparently aimed at
prodding Canada to bring its security measures in line.
- The State Department
report on global terrorism for 2002 suggests that while Canada
has been helpful in the fight against terrorism, it doesn't spend
enough on policing and places too much emphasis on civil liberties.
[...]
- With files from Janice
Tibbetts, The Ottawa Citizen, Thursday, May 01, 2003:
<http://canada.com/national/story.asp?id=78A2260B-4770-4682-BE60-E6FE1D3B8144>
AUSCHWITZ:
LE MUSÉE D'AVANT LE MUSÉE
- New York (AFP) - Il y
avait un musée, des ateliers de peinture et de dessin
à Auschwitz: le Brooklyn Museum of Art présente
jusqu'au 15 juin "La dernière expression", première
exposition jamais rassemblée d'oeuvres réalisées
par les déportés. En octobre 1941 le directeur
du camp de concentration, Rudolf Höss, confie à quelques
déportés, peintres et dessinateurs professionnels
ou amateurs, un local pour constituer un "musée".
- Ils l'emplissent d'abord
d'objets confisqués sur les prisonniers lors de la première
fouille: rouleaux de la Torah, insignes, documents divers. Mais
très vite, les déportés s'y installent un
atelier pour dessiner et peindre, parfois clandestinement, parfois
exécutant des commandes des SS. "Pour les artistes,
le musée était un paradis où même
les plus affamés pouvaient trouver refuge" écrira,
des années plus tard l'un d'eux, Jan Komski. "Le
musée a sauvé des vies".
- Pour les SS, les prisonniers
réalisent des paysages de Bavière, des portraits
de muses blondes en tresses ou de martiales figures à
cheval. On leur fournit parfois de vraies toiles et de la peinture
à l'huile, des couleurs pour aquarelle. Mais quand ils
dessinent ou peignent pour eux, bravant les interdictions et
au péril de leur vie, sur des morceaux de carton, d'emballages
ou des pages de cahiers, les déportés illustrent
leur réalité: scènes de bastonnades, officiers
SS écrasant du pied dans la boue la tête de malheureux,
corvées de transport de cadavres, alignements dans les
cours pour l'appel, corps entassés. Les détenus,
parmi lesquels de nombreux professeurs de dessin, polonais notamment,
réalisent des portraits les uns des autres: visages graves,
sombres, émaciés, ravagés. "L'idée
de peindre et de dessiner, c'était pour tenter de laisser
une trace de soi" témoigne Joseph Szajna, qui survivra
et vit toujours en Pologne.
- Zofia Stepien-Bator, elle
aussi toujours vivante en Pologne, s'est spécialisée
dans les portraits de femmes. "Je les montrais sous un jour
favorable, parce que je tentais d'embellir la réalité.
Tout était si affreux, gris et sale. Et moi je voulais
montrer de jolies choses dans mes dessins. Dans mes portraits,
les femmes sont plus jolies, plus vivantes, elles ont davantage
de cheveux et j'ai gommé l'expression tragique de leurs
yeux. Maintenant je le regrette".
- Leur talent de dessinateur
ou de peintre a sauvé la vie de certains: l'un échangeait
à un cuisinier des miniatures au fusain contre des bols
de soupe, un autre bénéficiait de la protection
d'un SS qui lui avait commandé un paysage alpestre. "Pour
ceux qui travaillaient en secret, ces images constituaient des
actes de résistance" commente Marilyn Kushner, qui
a participé pendant cinq ans à la réalisation
de l'exposition. "Un moyen de survie, à la fois pour
le corps et l'esprit".
- La plupart des quelque
200 oeuvres ont été prêtées par des
musées polonais ou israéliens, certaines par des
musées américains.
NOTRE
AMI CERESOLE
Nous apprenons que notre ami Norberto
Ceresole, qui a contribué à l'AAARGH, est mort d'une
crise cardiaque. Il avait 60 ans. Nous saluons cet homme courageux,
qui combattait sur tous les fronts. Ses amis espagnols ont publié
le communiqué ci-dessous:
- Ha
muerto Norberto Ceresole
- Lamentablemente,
se ha confirmado la noticia de la muerte por un fallo cardíaco
del polítólogo argentino y auténtico revolucionario
contra el Orden Mundial yanquisionista, Norberto Ceresole.
- Todos los militantes,
afiliados y simpatizantes del Movimiento Social Republicano sentimos
tan irreparable pérdida y queremos hacer llegar nuestra
solidaridad a su mujer y toda su familia, así como a todos
los camaradas y compañeros argentinos con los que ahora
Norberto estaba trabajando duro.
- Norberto Ceresole
comenzó a colaborar con el MSR practicamente desde su
fundación. De hecho, fue el protagonista del primer acto
público del MSR, con una charla-conferencia en Toledo,
pocos días después de nuestro primer Congreso.
- Valiente, brillante,
agudo analista, siempre dispuesto a cambiar de ciudad y de país
buscando una posibilidad para la libertad frente a los enemigos
de los pueblos. Hombre de Honor y servicio, de pensamiento y
acción, nos dejó para iniciar su última
aventura el pasado día 5 de mayo saludando a la Cruz del
Sur.
- Breve reseña
biográfica
- Norberto Rafael
Ceresole nació en Buenos Aires en agosto de 1943. Estudió
en Alemania, Francia e Italia. Era sociólogo, politólogo
y autor de 30 libros en temas de su especialidad: estrategia,
geopolítica y sociología militar. Fue un destacado
dirigente de la guerrilla peronista argentina en los años
70. Era el mas importante referente intelectual del peronismo
argentino resistente. Sobre el peronismo escribió un análisis
en tres volúmenes entre los años 1969 y 1970. Ejerce
una significativa influencia sobre numerosos oficiales de las
fuerzas armadas en la Argentina y otros países de la América
del Sur.
- Entre 1969 y
1971 fue asesor del general Juan Velasco Alvarado, en el Perú.
En años sucesivos fue interlocutor de Juan Domingo Perón,
de Salvador Allende, y del ex jefe de la Inteligencia cubana
comandante Piñeiro, entre otros.
- Fue miembro
de la Academia de Ciencias de la Unión Soviética
y profesor en la Escuela Superior de Guerra de la URSS. Muchos
de sus libros anteriores, como Ejército y política
nacionalista (1968), Crisis militar argentina (1986),
Política de producción para la defensa (1988),
y Tecnología militar y estrategia nacional (1991),
fueron traducidos al idioma ruso. La Universidad de Colorado
(EUA) tradujo al inglés su trabajo The South Atlantic:
War Hypothesis, en Geopolitics of the Southern Cone and
Antarctica (1988).
- En 1984, en
colaboración con el Ministerio de Defensa de España
(DRISDE) editó, en cinco volúmenes, el Estudio
preliminar para el desarrollo de un proyecto de cooperación
industrial entre España y la Argentina en el área
de la defensa. En 1986 ese trabajo, ampliado, se reeditó
en la Argentina en siete volúmenes, bajo el título:
Materiales sobre economía de la defensa y política
de la defensa (Buenos Aires, ILCTRI).
- Mantenía
estrechas relaciones con gobiernos y movimientos árabes
y musulmanes. Sus más recientes obras editadas en España
son: Terrorismo fundamentalista judío, nuevos escenarios
de conflictos (Libertarias, Madrid, 1996); El Nacional
judaísmo: un mesianismo possionista, con prólogo
de Roger Garaudy (Libertarias, Madrid, 1997); España
y los judíos, Expulsión, Inquisición, Holocausto,
1492-1997 (Amanecer, Madrid, 1997). Sus libros: La
Falsificación de la Realidad
(Libertarias,
Madrid-Buenos Aires, 1998) y La Conquista del Imperio
Americano (Al-Andalus, Madrid-Buenos
Aires, 1998) fueron asimismo editados en lengua árabe,
para todo el mundo árabe, en Beirut, Líbano; y
en lengua farsí, en Teherán, Irán, para
el Asia Central, nuevo pivote geopolítico del mundo.
- Posteriormente,
publicó Caudillo,
Ejército, Pueblo, la Venezuela del
- Comandante Chávez (2000). Al año siguiente, con
Ediciones Nueva República y Al Andalus, Caracas, Buenos
Aires, Jerusalem. Tres ensayos geopolíticos (2001).
El pasado año, se editó su última obra:
La cuestión judía en la América del Sur
(2003).
- Militó
en la fracción ERP-22 de Montoneros, por lo que debió
exiliarse en Madrid durante los años '70. A poco de producirse
la rebelión militar de Semana Santa, se constituyó
en asesor del grupo de Oficiales liderados por Aldo Rico.
- Fue cofundador,
conjuntamente con el Prefecto Raúl de Sagastizabal (Albatros),
del Centro de Estudios Argentina en el Mundo, y asesoró
al Comandante Chávez de Venezuela durante los años
1994-1995. Se distanció del "Vasco" de Sagastizabal
y emigró a Venezuela cuando asumió la Presidencia
Hugo Chávez. Fue detenido el 15 de junio de 1995 por la
DISIP venezolana (Dirección General Sectorial de los Servicios
de Inteligencia y Prevención), en aquellos momentos bajo
fuerte influencia del Mossad israelí, y expulsado de Venezuela,
luego de una intensa campaña de prensa en su contra, en
la que se lo acusó de: ser amigo del comandante Chávez,
de Montonero, Carapintada, y "capo" terrorista internacional.
- Ceresole además,
fue defensor de la causa Palestina, critico de Israel y de su
política, causa por la que se ganó demasiados enemigos.
Particularmente por sus teorías sobre los atentados ocurridos
en Argentina, y por el revisionismo del Holocausto Judío.
Amigo de Robert Faurisson, E. Nolte, Serge Thion y otros conocidos historiadores revisionistas.
LA
MARCHE AU PAS
- Ronit Tirosh
participera à la "marche des vivants"
- La directrice générale
du ministère de l'Education [israélien], Ronit
Tirosh, se joindra cette année aux groupes [de lycéens
israéliens] qui se rendront en Pologne pour le Yom Hashoah,
la Journée de la commémoration de la Shoah.
- Près de 1200
élèves venant de tout le pays et 2000 jeunes juifs
du monde entier participent à ce voyage dont l'événement
le plus marquant est sans aucun doute la "marche des vivants"
entre les deux camps de la mort nazis d'Auschwitz et de Birkenau.
- Ronit Tirosh a déclaré:
"Je pars pour la première fois en Pologne et je suis
extrêmement émue. Je considère que cette
visite revêt une grande importance pour les lycéens
israéliens. Ces jeunes vivront ainsi le souvenir des
disparus et s'identifieront à tous ces juifs qui ont été
massacrés. Chacun pourra établir un lien avec
son patrimoine merveilleux qui s'est développé
en Pologne pendant un millénaire".
- Arutz 7, 27 avril 2003.
Le mieux serait qu'ils retournent s'installer
en Pologne, avec ce patrimoine merveilleux. Les Polonais seraient
très contents de les voir revenir, tous ces gens merveilleux...
CÉLÉBRATION
JUIVE DE L'HOLOCAUSTE
- Vous avez dit commémoration
de l'Holocauste ? Quid des enfants Palestiniens jetés
par les fenêtres ?
- Il y a 3 nuits a peine,
à la veille des deux jours consacrés dans tout
le pays à la commémoration de l'Holocauste (sirènes,
discours, prières, cérémonies diverses,
pages entières dans les journaux, .), Jeff Halper de l'ICAHD
(Comite israélien contre les démolitions de maisons)
a été réveillé vers une heure du
matin par un membre du Consulat général de France
de Jérusalem: une quarantaine de colons (tous très
jeunes et très musclés) appartenant à un
mouvement "Sephardim quelque chose" étaient
en train de tenter d'expulser des Palestiniens de leurs maisons
situées dans le quartier de Sheikh Jarash (Jerusalem Est
- à quelque 300 mètres de [l'hôtel] l'American
Colony et de la Maison de l'Orient -- pour ceux qui connaissent).
Je suis allée rendre visite à ces familles hier
matin. Pour rendre l'histoire courte, car elle est compliquée:
elles sont sur un terrain appartenant à des familles palestiniennes
depuis des générations, certains ont des titres
de propriété relevant de la période ottomane,
et l'UNWRA y a construit ce bloc de maisons en 1958. Elles sont
actuellement louées à d'autres familles palestiniennes
par leurs propriétaires palestiniens. Depuis quelque 30
ans, un "procès a tiroirs", ou "procès-fleuve"
oppose ces familles au mouvement "Sephardim" qui prétend
avoir des titres de propriété depuis 1881 sans
pourtant en avoir apporté la preuve à ce jour.
Les colons s'y sont "modestement" installés
(une chambre), tout à côté du tombeau d'un
important rabbin, d'où le passage incessant de nombreux
orthodoxes à papillotes etc Des drapeaux israéliens
flottent à différents endroits, parmi ce groupe
de maisons arabes, joliment entourées d'arbres et de fleurs.
- L'important, dans cette
affaire, est que, cette nuit-là, à la veille de
la célébration de l'Holocauste par le pays entier:
trois enfants Palestiniens ont été littéralement
arrachés de leur lit, deux d'entre eux ( 8 et 3 ans) ont
été littéralement jetés à
travers une vitre et ont atterri deux mètres plus bas
sur le rebord d'un auvent, tandis qu'un troisième enfant,
de 2 ans, a été littéralement jeté
à travers la porte d'entrée de sa maison, en direction
de la rue. Plusieurs Palestiniens, en tentant de défendre
leurs biens et leurs familles, ou leurs voisins, ont été
blessés par les colons. Le Ministre du Tourisme en exercice,
et en digne successeur du célèbre A. Zeevi, était
là pour appuyer et défendre les colons dans une
opération pourtant totalement illégale sur le plan
juridique et totalement condamnable sur le plan humain. De rares
membres de la Knesset ont demandé sa démission
immédiate La police est rapidement intervenue: elle a
séparé les "belligérants", a renvoyé
les colons dans leurs foyers sans qu'aucune arrestation ni relevé
d'identité ne soient effectués, et a procédé
à la mise sous scellés (en réalité
des cadenas fournis par les colons) sur les portes des maisons,
de toute façon dévastées. Le Jerusalem
Post et le Haaretz ont traité du sujet: déformation
totale des faits et des circonstances, aucune mention des blessures
infligées aux Palestiniens, et bien entendu aucune mention
quelconque de la passation d'enfants à travers les fenêtres
et les portes. En ce jour de la célébration de
l'Holocauste, cela n'était pas politiquement correct,
pas plus qu'aujourd'hui d'ailleurs. La Justice ( ? ! ) tranchera
sur la suite de cette affaire Tout le monde (colons comme Palestiniens)
ayant déposé plainte
- De la part de Claire
Paque / Afps et Capjpo de Jérusalem, le 1er mai 03,
Informations Palestine n·72.
L'Holocauste, ça sert aussi
à ça: Les juifs ont le droit de voler les logements
des Arabes et de jeter des enfants par les fenêtres. Toujours
ce merveilleux humanisme juif...
SI
C'EST ROND, C'EST PAS CARRÉ
- Retour sur
le Pro Flacco et la description des juifs par Cicéron
- (Réplique
à Gilles Karmasyn)
- par Robert Faurisson
-
- Dans l'introduction
d'un ouvrage de plus de deux mille pages, Ecrits révisionnistes (1974-1998),
publié en 1999, je consacrais un simple alinéa
à la figure de l'aristocrate romain Lucius Flaccus, que
Cicéron avait eu à défendre, en 59 avant
notre ère, dans un procès pour concussion; parmi
les accusateurs de L. Flaccus figurait en particulier la communauté
juive de Rome. A ce propos, je notais:
-
- La description que fait
l'illustre orateur de l'influence, de la puissance et des procédés
des juifs de Rome dans le prétoire me donne à penser
que, s'il revenait sur terre, au XX e siècle, pour y défendre
un révisionniste, il n'aurait pour ainsi dire pas un mot
à changer sur ce point dans sa plaidoirie du Pro Flacco
(p. XLVII).
- L'année suivante,
un certain Gilles Karmasyn me prenait à partie dans un
texte intitulé: "Faurisson, un antisémite
/ Faurisson se compare au politicien pourri Lucius Flaccus"
- (http://www.phdn.org/negation/faurisson).
Le 5 août de la même année, je publiais une
analyse du factum où, avant de conclure à la faiblesse
de l'ensemble, je signalais à son auteur, en plus de quatre
types d'erreurs vénielles, les quatre erreurs capitales
qui réduisaient à néant sa tentative de
démonstration.
- Ce dernier vient de
diffuser une réplique, qui porte pour titre: "Faurisson
un antisémite. A-t-on lu Cicéron ? Quand Faurisson
falsifie Cicéron et invente un complot juif vieux de deux
mille ans". Ce nouveau texte est fort long mais la substance
en est indigente. G. Karmasyn y répète à
satiété sa double conviction que Flaccus était
un voleur de l'argent des juifs et que Faurisson est inspiré
par l'antisémitisme. Il ne fournit cependant aucune preuve
à l'appui de ces allégations. Dans son premier
texte, il avait caché au lecteur que Flaccus avait été
acquitté par le tribunal. Je lui en avais fait la remarque.
Piqué au vif, il me rétorque aujourd'hui qu'un
tel acquittement ne signifie pas que L. Flaccus était
innocent. Peut-être! Mais ce n'était pas une raison
pour passer sous silence le fait de l'acquittement. Il
nous dit qu'André Boulanger lui-même, qui a établi
et traduit le De Flacco pour "Les Belles Lettres",
a la "conviction" que Cicéron avait défendu
une crapule. C'est inexact. A. Boulanger exprime des doutes
sur l'honnêteté de L. Flaccus mais, comme d'autres
auteurs, en particulier juifs, il ne révèle pas
les motifs de ces doutes et n'apporte pas de preuve, en tout
cas, d'une culpabilité quelconque. En outre, à
la différence de G. Karmasyn, il mentionne "l'issue
favorable de l'affaire de Flaccus" (p. 57) et répète
que "Flaccus fut certainement acquitté" (p.
67). A l'appui de ses doutes, A. Boulanger invoque l'autorité
de Macrobe qui a parlé des "crimes manifestes"
de L. Flaccus. Il n'en faut pas plus à G. Karmasyn pour
brandir cette affirmation de Macrobe comme si elle provenait
d'un contemporain de l'accusé. Il écrit: "Flaccus
était coupable. Boulanger rappelle qu'un contemporain
a lui-même souligné cet état de fait [sic]".
Mais G. Karmasyn s'égare: Macrobe n'était pas un
contemporain de Flaccus: il a vécu cinq siècles
après lui ! Cherchant à reproduire une phrase de
Macrobe en latin, il l'orne d'un barbarisme. Citant un bref passage
du De Oratore de Cicéron, il l'enrichit d'un autre
barbarisme. Me reprochant de traduire par "tourbe"
le latin "turba", mot appliqué deux fois par
Cicéron à la foule des juifs excités qui
ont envahi le prétoire, il voit là une preuve de
mon antisémitisme et il ajoute: "Nous remarquons
d'ailleurs que le vieux Gaffiot que nous avons sous les yeux
(F. Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette,
1934) se garde de traduire "turba" (page[s]
1612-1613) par "tourbe" et donne les significations
suivantes: trouble d'une foule en désordre, mêlée,
foule, confusion". Il est à croire que G. Karmasyn
a des yeux pour ne pas voir: le "vieux Gaffiot" propose
bel et bien le mot de "tourbe" et précisément
au bas de la page 1612; le "nouveau Gaffiot" note également
ce sens (Le Grand Gaffiot , nouvelle édition
revue et augmentée sous la direction de Pierre Flobert,
Hachette-Livre, 2000). G. Karmasyn erre sur le sens de certains
mots français; par exemple, il tend à confondre
"tribut" (forcé) avec "contribution"
(volontaire). Quand je rappelle que le procès de L. Flaccus
s'est tenu non loin d'un quartier juif et que les juifs sont
en nombre dans le prétoire, il me traite à nouveau
d'antisémite et s'engage dans une digression sur l'emplacement
du quartier juif dans la ville de Rome. Il ne semble pas voir
que c'est Cicéron en personne qui donne ces indications
sur la proximité d'un quartier juif et sur la multitude,
dans la salle du tribunal, de juifs excités. Malgré
mes explications sur le fait que Flaccus était, dans sa
province d'Asie, propréteur et non préteur, il
invoque sur ce point l'autorité d'A. Boulanger sans paraître
voir que ce dernier a clairement écrit: "Après
sa préture, en 62 [avant notre ère], Flaccus avait
été chargé du gouvernement de la province
d'Asie comme propréteur" (p. 59). Un propréteur
était un ancien préteur comme un proconsul était
un ancien consul et c'est par le fait d'une licence d'usage qu'on
pouvait continuer d'appeler "consul" ou "préteur"
un homme devenu en fait proconsul ou propréteur pour une
courte période de temps. La propension qu'on note chez
G. Karmasyn à prendre le Pirée pour un homme, sa
disposition à imiter le cordonnier qui "juge au-dessus
de la chaussure" et sa tendance à s'inspirer de Garo
qui "en remontre à son curé" font de
la lecture de ses écrits une épreuve pour le correcteur:
on dirait le pensum d'un potache à la fois irascible et
outrecuidant.
- On passera sur sa manie
de prêter à l'adversaire des propos que ce dernier
n'a en fait jamais tenus. Il utilise pour cela le procédé
qui consiste à placer entre guillemets des mots comme
"machination", "machination juive", "agent
des Juifs" de telle sorte qu'on risque de croire que Faurisson
en personne a utilisé ces mots dans l'un de ses écrits.
- G. Karmasyn s'exprime
avec difficulté et ne semble pas toujours comprendre ce
qu'il lit. Il n'a manifestement pas saisi le sens ou la portée
de certains extraits de Bernard Lazare, de Paul Rassinier ou,
c'est un comble, d'un article du Bulletin quotidien
de l'Agence télégraphique juive à propos
du grand rabbin Sirat; ce dernier, dès 1986, avait bel
et bien décidé de se prononcer publiquement et
ès qualités en faveur de la création d'une
loi spécifique, à l'israélienne, contre
la libre expression du révisionnisme historique. Surtout
G. Karmasyn se répète jusqu'à l'étourdissement.
Il pratique alors une sorte d'incantation qui le conduit à
s'échauffer de plus en plus: ses mots se bousculent, sa
vue se brouille et il donne l'impression de perdre la tête.
- Enfin, lorsqu'un sujet
l'embarrasse, il l'esquive par une pirouette. J'avais terminé
mon commentaire de son premier article en lui disant: "Vous
avancez que je suis antisémite. Puis-je vous demander
si vous êtes juif ?". Sa réponse avait été:
"Qui est obsédé ?". Voilà qui
m'oblige de lui poser à nouveau la même question.
La parole à Bernard Lazare et à Cicéron
- Comme trop souvent dans
les controverses, le sujet même de la dispute risque d'être
perdu de vue. Dans le cas du Pro Flacco, ce serait particulièrement
regrettable. Les quelques pages où Cicéron décrit
les juifs sont d'une grande importance historique. Elles réduisent
à néant la thèse, aujourd'hui si répandue,
selon laquelle l'antisémitisme serait essentiellement
une invention des chrétiens. Dans le Pro Flacco,
on voit le plus grand des orateurs romains, dès avant
l'ère chrétienne, dénoncer le comportement
des juifs dans les termes mêmes où le feront, siècle
après siècle, des auteurs prestigieux, que ceux-ci
se trouvent être chrétiens, agnostiques ou athées,
de gauche ou de droite et en quelque pays que ce puisse être
où vit une communauté juive. Cicéron a,
si l'on ose dire, fixé les traits du juif à la
manière qui, plus tard, sera celle des "antisémites"
les plus connus, qu'ils s'appellent Shakespeare, Voltaire, Dostoïevski,
Drumont ou Céline. Les juifs, si prompts à se moquer
de l'idée d'un "complot juif", sont eux-mêmes
fortement enclins à dénoncer partout un "complot
contre les juifs". Il faut convenir que l'idée, en
ces cas, de complot ou de conjuration (voyez le faux intitulé
Les Protocoles des sages de Sion) est en elle-même
totalement inadéquate. Il y a en fait non pas un "complot
juif" mais un pouvoir juif, riche, comme tout pouvoir,
de contradictions et de conflits; ce pouvoir, cette puissance
suscite obligatoirement des réactions d'une grande diversité
et, parmi ces réactions, une possible hostilité.
Le plus raisonnable est d'en conclure, comme l'a fait Bernard
Lazare à la première page de son célèbre
ouvrage sur L'Antisémitisme, son histoire et ses causes,
publié en 1894:
-
- Si cette hostilité,
cette répugnance même ne s'étaient exercées
vis-à-vis des Juifs qu'en un temps et en un pays, il serait
facile de démêler les causes restreintes de ces
colères [contre les Juifs] ; mais cette race a été,
au contraire, en butte à la haine de tous les peuples
au milieu desquels elle s'est établie. Il faut donc, puisque
les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses,
qu'ils vivaient dans des contrées fort éloignées
les unes des autres, qu'ils étaient régis par des
lois différentes, gouvernés par des principes opposés,
qu'ils n'avaient ni les mêmes moeurs, ni les mêmes
coutumes, qu'ils étaient animés d'esprits dissemblables
ne leur permettant pas de juger également de toutes choses,
il faut donc que les causes générales de l'antisémitisme
aient toujours résidé en Israël même
et non chez ceux qui le combattirent.
- Pour Cicéron,
dans le Pro Flacco, le mot de "juif" et celui
d'"or" se conjuguent d'emblée: "auri
Judaici", l'or judaïque. Puis, vient l'idée
que les juifs s'entendent à la manigance et à l'intimidation.
Ils savent s'unir pour peser d'un grand poids dans toutes les
assemblées. Ils s'y déchaînent. Ils s'entendent
à exciter la haine. Ils calomnient. Ils sont violents.
Ils fraudent. Ils tournent les lois du pays. Ils n'ont d'attachement
véritable que pour ce que Cicéron appelle leur
"superstition", c'est-à-dire leur culte de l'or.
Accessoirement, Cicéron constate que, pour ce procès
où ils ont eu l'aplomb de prétendre que Flaccus
leur avait pris leur or, les juifs sont venus en grand nombre
dans ce prétoire où ils se conduisent avec l'arrogance
de la tourbe. Ils ont obtenu avec d'autres qu'une formidable
enquête fût entreprise contre Flaccus dans la province
d'Asie et, pourtant, dit Cicéron, on a retrouvé
dans le trésor public tout l'or prétendument volé
aux juifs. Simplement, Flaccus avait, dans sa province, confisqué
au profit du trésor public l'or que les juifs avaient
pris l'habitude d'exporter vers Jérusalem pour leur propre
compte. Ils le faisaient aussi bien à partir de Rome et
de toute l'Italie qu'à partir des provinces. A de multiples
reprises ces exportations avaient été déclarées
illégales mais les juifs s'étaient moqués
de la loi. Flaccus, lui, avait pris l'initiative de faire appliquer
la loi. Du coup, les juifs avaient crié au vol et avaient
porté plainte contre le propréteur, dont la fonction
principale était pourtant de faire appliquer les lois
de Rome.
- Sur les privilèges
exorbitants arrachés par les juifs aux autorités
romaines du temps de Cicéron et de César, on lira
de Jules Isaac, qui passe bien trop rapidement sur le Pro
Flacco, le chapitre intitulé: "La question juive
à Rome" dans son célèbre ouvrage, Genèse
de l'antisémitisme (Calmann-Lévy, 1985 [1956],
p.94-98).
- Un siècle plus
tard, de tels privilèges allaient être suivis, comme
on le sait, d'une catastrophe pour les juifs: en l'an 70 de notre
ère, Titus prenait la ville de Jérusalem et en
détruisait le Temple.
- Dans bien des procès
intentés par des organisations juives, en France et à
l'étranger, j'ai personnellement constaté chez
trop de juifs, jusque dans l'enceinte des palais de justice,
cet aplomb, cette excitation, cette violence que Cicéron,
un siècle avant notre ère, décrivait déjà.
La tourbe n'a pas changé. Seul son pouvoir s'est accru.
Elle ne devrait pas s'étonner des conséquences
possibles d'un tel comportement. Il n'y a ni préjugé
hostile, ni complot, ni conjuration à protester, à
la fin des fins, contre ces manières. Aujourd'hui comme
hier, aussi bien en notre temps qu'en celui de Cicéron,
il est humain de se défendre contre toute tyrannie, même
et surtout quand, comme c'est ici le cas, on voit cette dernière
prendre dès l'abord le masque de la victime gémissante.
Elle feint d'être en butte à la haine et à
des agressions non provoquées, elle se couvre la tête
de cendre, pousse des cris déchirants, alerte le monde
entier, lance à grands frais campagnes et croisades. Puis,
elle frappe sans pitié et sans répit. Ainsi qu'en
toute guerre, elle ment à proportion.
- Assurément, s'il
revenait sur terre, l'illustre orateur romain n'aurait, pour
ainsi dire, pas un mot à changer dans son bref discours
sur les juifs, sur leur comportement et sur le destin qu'ils
se forgent.
- 19 mars 2003
Remarque de l'aaargh: Dans une traduction française du chapitre
29 de L'Accumulation du capital, parue en 1952 dans un
numéro spécial de Présence africaine,
sur le Travail, le traducteur fait dire à la bonne Rosa:
"...absence d'une police capable de serrer la bride à
la tourbe éhontée des chevaliers d'industrie"...
Zinzin ne sait pas bien le français, il écrit "réthorique"
(!), c'est pourquoi il a fait de l'informatique... Il devrait
arrêter de se rendre ridicule.
Sa note 18 éclaire tout:
- La connotation péjorative
de « tourbe » a été récemment
relevée par Pierre André-Taguieff, dans les discours
racistes du XIXe siècle. Évoquant les multiples
usages péjoratifs de variations du mot « sémite
» chez Gobineau, Pierre André-Taguieff cite par
exemple l'expression suivante chez Gobineau : « la tourbe
plus qu'à demi-sémitique » (Pierre André-Taguieff,
La couleur et le sang, Mile [sic] et une nuits,
2002, p. 47, note 82). Taguieff écrit: « Chez Gobineau,
la démocratie est notamment approchée et stigmatisée
à travers la métaphore du "marécage",
ce dans quoi les races nobles s'embourbent, l'élément
par lequel, plus fatalement qu'àprès [sic]
les conquêtes guerrières, les races supérieures
s'enlisent dans "la boue" des races impures. L'éradication
de l'élément ethniquement supérieur s'opère
par son embourbement dans l'élémént [sic]
inférieur : immersion dans la tourbe humaine, submersion
par la marée de boue infra-humaine. » (Ibid, p.
50). On le voit, les réflexes lexicaux de Faurisson viennent
de loin...
Cet imbécile va prendre des leçons
de français chez l'autre analphabète de Taguieff,
qui compense sa nullité en fabriquant des néologismes
à tour de bras. Ces deux cancres confondent "tourbe"
(charbon de terre) et "tourbe" (foule). Le premier est
un mot germanique, qui se dit "turf" en anglais contemporain,
d'où la connexion avec l'idée de boue, etc. La tourbe,
quand on l'extrait, est une sorte de terre humide qu'on met à
sécher. Et le mot "tourbe" qui est une francisation
du latin "turba", qui désigne une foule, plus
ou moins agitée. Comme ils ont l'habitude de tout mélanger,
les deux monomaniaques Zinzin et Taguieff se retrouvent et font
une salade russe de tout ce qu'ils touchent. C'est le drame de
tant d'autodidactes qui ont accumulé des bribes de savoir
mais qui n'ont pas l'instrument, la culture, pour les ordonner
et leur donner du sens.
La confusion mentale rend difficile la
lecture de Zinzin, qui répète vingt fois, sans la
moindre preuve, que Flaccus était coupable (personne ne
le sait, et l'avis des historiens cités est un avis "de
chic", sans élément de preuve.) Voir:
< http://www.phdn.org/negation/faurisson/atonluciceron.html>
ZOLO
CONTRE P.A.
- Protesters gathered
in front of Yad VaShem Holocaust Museum this afternoon -- Holocaust
Memorial Day -- to convey their anger with Prime Minister Sharon
and the other MKs who have met with Abu Mazen. The protesters
noted that Abu Mazen is a Holocaust denier, pointing to his
doctorial thesis claiming the Holocaust was a Jewish invention.
The protesters exhibited placards stating that negotiations with
Abu Mazen are hurtful to the memory of Holocaust victims, along
with other signs calling upon Sharon not to give legitimacy
to Holocaust deniers.
- Hundreds of posters
were anonymously posted in Jerusalem last night stating, "The
Road Map is a path to Auschwitz." The radical left-wing
group Peace Now filed a police complaint against those who hung
the posters, charging that it was an act of incitement to violence.
The police originally refused to accept the complaint, according
to a Peace Now spokesperson, but did accept it afterwards.
- Arutz 7, 29 avril 2003.
UN RÉVISIONISTE
BIEN LAVÉ
- Extrait: Dans une interview
exclusive à Arutz Sheva (radio d'extrême-droite
israélienne, ndt), Aryeh Eldad (du parti de l'Union nationale),
député à la Knesset et ancien chef de l'infirmerie
militaire, a déclaré que dans les jours précédant
l'annonce des accords d'Oslo, le ministère israélien
des Affaires étrangères et le Département
d'Etat américain avaient demandé au Centre Simon
Wiesenthal de Californie de supprimer une traduction d'écrits
de la plume d'Abou Mazen prouvant qu'il est un révisionniste
de l'Holocauste. Plusieurs années après, des informations
au sujet de ces écrits hautement incendiaires étant
parvenue à la presse, grâce à la popularité
récemment acquise d'Abou Mazen en sa qualité d'architecte
des accords d'Oslo pour l'OLP, le Centre Wiesenthal a invité
publiquement Abbas à clarifier sa position sur l'Holocauste.
- "Le blanchiment
d'Abou Mazen: un révisionniste, un théoricien du
complot, un promoteur du terrorisme" par Nissan Ratzlav-Katz,
in The National Review Magazine (mensuel américain)
du mercredi 19 mars 2003, traduit de l'anglais par Marcel Charbonnier.
- Point d'info
Palestine 219 du 11 mai 2003.
AD HOC
- Knesset votes
to pursue Holocaust deniers,
- including
new Palestinian prime minister
-
- An almost empty Israeli
Knesset (parliament), voted Tuesday to "pursue" all
Holocaust deniers, in a motion which singled out the new Palestinian
prime minister Mahmud Abbas. The late-night motion, brought by
the far-right National Union party, was passed by 13 votes to
five in the 120-seat Knesset, president of the parliamentary
law commission Michael Eytan said on public television. He stressed
that the vote has no binding effect in law.
- Abbas once wrote a doctoral
thesis at the university of Moscow on the theme of "the
secret ties between Nazism and Zionism" in which he denied
that the Nazi Holocaust had cost the lives of six million Jews,
talking instead of "less than a million".
- Agence France Presse
-- May 21, 2003 -- From Jerusalem.
HOLOCAUST DAY ENDS
- Following the sounding
of a two-minute siren at 10 AM today in memory of the more
than six million Jews who perished in the Holocaust, memorial
ceremonies were held today throughout Israel and in former death
camps in Europe. Knesset Members and public figures read aloud
names of some of the victims in what is known as "Every
Person Has a Name."
- Some 3,000 youths from
Israel and elsewhere took part in the traditional March of the
Living between Auschwitz and Birkenau today. The march was led
by President Moshe Katzav, Polish President Alexander
Kwasniewski, and March of the Living founder Likud MK Avraham
Hirschson. The participants held a special ceremony in the Jewish
section of Krakow, Poland, last night, featuring a cantata by
students of the religious girls' school HaRoeh in Ramat Gan.
The policy is that only groups that also arrive in Israel
may take part in the March of the Living in Poland.
- Today's Holocaust Day
commemorations are themed, "Jewish Resistance During the
Holocaust -- Sixty Years Since the Warsaw Ghetto Uprising."
One thousand youths took part in a ceremony at Yad Vashem this
afternoon, and Holocaust Day commemorations will conclude, as
always, at Kibbutz Lochamei HaGetaot (Ghetto Fighters), with
the participation of IDF Chief of Staff Lt.-Gen. Moshe Yaalon.
- Six survivors, all of
whom took part in resistance efforts, lit six torches during
last night's official ceremony, symbolizing the more than
six million Jews who were lost in the Holocaust. The stories
of the heroic six can be read at
- <http://www.israelnationalnews.com/news.php3?id=42567>
More than 6, ça fait combien
? 7 ? 8? 25 ?
Ô BAAL, NOUS MASSACRERONS
TOUJOURS PLUS
- Yom HaShoa,
la mémoire au rendez-vous
- Les événements
commémoratifs du Jour de la Shoa ont débuté
lundi soir avec la cérémonie d'ouverture au musée
de Yad Vashem, à Jérusalem. Cette année,
la journée était centrée autour de la Résistance
juive pendant la Shoa à l'occasion des 60 ans de la révolte
du ghetto de Varsovie. Le Premier Ministre, le Président,
ministres et députés étaient présents
pour célébrer le souvenir des six millions de Juifs
assassinés pendant la deuxième Guerre Mondiale.
Ariel Sharon a déclaré que le peuple juif a tiré
les leçons de la Shoa: "Pas question de demeurer
sans défense. Jamais nous ne laisserons notre sécurité
à des mains étrangères". Il a ajouté:
"Nous n'obtiendrons pas la paix dans la faiblesse, mais
en faisant preuve de fermeté et en défendant notre
avenir avec courage".
- La «Marche des
Vivants» à Auschwitz
- Des milliers de jeunes
Juifs venus d'Israël et d'autres pays participent à
cette procession qui est conduite par le président de
l'Etat d'Israël, Moshé Katsav [juif iranien
pas du tout zolocosté], et par le président
polonais [sous-produit de la bureaucratie communiste ].
Une cérémonie officielle pour les jeunes s'est
déroulée dans l'enceinte du mémorial de
Yad Vashem à Jérusalem. Elle a marqué notamment
le soixantième anniversaire de la révolte du ghetto
de Varsovie. Un millier de cadres de tous les mouvements de jeunesse
y ont pris part. Toutes les commémorations de la Journée
de la Shoah et de l'Héroïsme se sont terminées
par une cérémonie qui se tiendra dans le Kibboutz
Lohamei Haguetaot, en présence du chef d'état-major,
Moshé Yaalon [le chef des tueurs ].
- Arutz 7, 29 avril 2003
PROBLÈMES DU
SIONISME
Just as scared,
just as doomed
by Barry Chamish
[Barry Chamish est une journaliste
israélien d'extrême-droite, hyper-nationaliste, désespéré
et critique de l'establishment. C'est à ce titre qu'il
nous intéresse.]
- Last November, I was invited
by Atara Beck to speak at Israel's, The Judaica Centre in Toronto.
After she organized a most successful lecture, she gave me a
book written by her father M.J. Nurenberger. This wasn't the
first time I was given a book to read and rarely is the task
rewarding. After dawdling two months, I finally set about to
give the late Mr. Nurenberger a chance.
- I hope he forgives me
for ever doubting him.
- M. J. Nurenberger was
a wartime columnist for Jewish newspapers worldwide. He later
founded the Canadian Jewish News, the country's most influential
Jewish media source. The book I read by him, The Scared And
The Doomed - The Jewish Establishment vs.The Six Million,
is one of the most important works about modern Jewish history
and for me, completes the trilogy of truth about the Jewish leaders'
role in the Holocaust, which includes Perfidy by Ben Hecht
and The Transfer Agreement by Edwin Black.
- [Perfidy, qui sera
bientôt sur nos écrans, est une pièce de
théâtre, écrite par un auteur alors célèbre,
Ben Hecht, qui met en scène le procès du leader
de la communauté juive hongroise pendant la guerre, Reszo
Käsztner, un personnage qui avait attivé l'attention
méticuleuse de Paul Rassinier. Le livre de Black, (jeune
auteur juif américain très ambitieux) traite de
l'accord passé entre les nazis et les sionistes, avant
la guerre, pour permettre l'évacuation d'un certain nombre
de juifs vers la Palestine, et des compensation financières.
Il montre ce que tout le monde sait: les futurs alliés
n'étaient pas du tout favorables à l'idée
d'accueillir des réfugiés juifs allemands chez
eux. L'eussent-ils fait, les rapports entre juifs et nazis auraient
changé du tout au tout. ]
- I have previously reviewed
Perfidy and The Transfer Agreement and found both
contained nearly divine lessons about Israel's situation today.
The Scared And The Doomed confirms the demoralizing truths
found in those books because Nurenberger was an eye-witness to
the events the other authors covered.
- But his book adds so many
details. The following is a long critique. Mr. Nurenberger's
quotes will speak for themselves but I'll add commentary. I won't
dwell on events covered by Hecht and Black but will recommend
that all three books be read one after another. The effect is
a horrid indictment of world, especially, Jewish leaders, but
none moreso than the founding fathers of Labor Zionism. Once
the rotten stench of the truth wears off, readers will have learned
the lessons needed to save Israel and the Jewish nation from
still, another slaughter. [On vous avait bien dit que Barry
Chamish est un hyper-nationaliste israélien. ]
- While There Was Time
- Before the war broke out,
a group of Zionists led by Vladimir Jabotinsky foresaw the upcoming
Holocaust of the Jews. His followers were known as the Revisionists
and later founded the Irgun. They proposed practical solutions
to fight Hitler but one stands out: a Jewish army on the European
continent trained by what would be known as the Allies.
- Jabotinsky could have
recruited over a hundred thousand men and had he done so, the
Jews could have protected themselves. But the Jewish establishment
would not allow him to save Europe's Jews.
- "The war against
Jabotinsky, followed by wars against the Irgun, made a united
Jewish resistance impossible and indirectly prepared the ground
for the great tragedy of World War II. The mentality of relying
upon professional organizations and an elite leadership still
threatens the entire Jewish way of life and, indeed, our very
survival." pp 23
- "During the last
few months of Jabotinsky's life, he was under constant attack
by the Jewish establishment as an 'irresponsible' leader and
a pessimist. The campaign against him in New York was truly miserable.
- The entire Jewish press,
in the service of the establishment, did not let up in its ridicule."
pp 37
- "The project (a Jewish
army) frightened the American Zionist establishment which wanted
no part of the flamboyant Jabotinsky.
- A few days before a well-publicized
Zionist rally, four Zionist leaders -- Louis Lipsky, Rabbi Stephen
Wise, Eliezer Kaplan (then treasurer of the Jewish Agency in
Jerusalem), and Solomon Goldman -- called on Lord Lothian in
Washington and announced that, 'responsible Zionist quarters
disassociated themselves from Jabotinsky's adventurous scheme.'"
pp 48
- "This episode certainly
is relevant to what happened later and is an illustration of
how the Jewish establishment fought any serious effort to organize
world Jewry against Hitler. Their actions were dictated by the
fear that Jabotinsky would become a real challenge to Chaim Weizmann
and go on to become leader of the Jewish people. This has remained
the preoccupation of the establishment." pp 50
- "Thus the Labor Zionists
who had forged an alliance with the timid, frightened pro-British
wing of the General Zionists, gained final control of the entire
World Zionist Movement and its fundraising apparatus. There was
no opposition except from breakaway factions, a situation that
prevails to this day in the Jewish state." pp 52
- Nuremberger confirms that
there were two strands of Zionism, the moral or Revisionist brand
and the utterly demonic Labor Zionism. To stress the obvious,
very few Labor Zionist advocates were in on the secret machinations
of their leaders. Most were good people, deeply manipulated by
their leaders. Keep reading to see just how foul these machinations
were. Still we must ask, why couldn't the followers of Jewish
socialism of the 1930s and 40s see through their leaders, any
more than the well-meaning followers of the Israeli far left
can see through theirs today.
- The Slovakian Saints
- Nurenberger proves, beyond
doubt, that the Nazis viewed Jews as a commodity to be sold
to any bidder. Both Black and Hecht made the same discovery.
The criminals committing mass murder desisted when paid off to
do so. The Scared And The Doomed provides several examples
of bribes saving lives but none so heartbreaking and frustrating
as that of two Jews from Slovakia, Rabbi Michael Dov Weissmandl
and his assistant Gizi Fleishmann.
- They first sent cables
to an associate, Isaac Sternbuch, the Swiss representative of
the Vaad Hatzalah (Salvation Committee), who passed them on to
American Jewish leaders. By this route, the leaders had the earliest
proof that the Holocaust was under way. A route had been blazed
between Slovakia and Switzerland to save the nation's Jews and
all that was needed was enough money to bribe one or two German
officers.
- "Cable from Sternbuch
to Jacob Rosenheim: 'According to the last authentic and repeated
information, the German authorities recently evacuated completely
the population of the Warsaw ghetto. One hundred thousand Jews
were murdered in the most bestial manner. The mass murders still
continue. From the corpses, Germans make soap and fertilizer.'
...The matter was not given publicity because Rosenheim promised
to keep it strictly secret in exchange for the assurance that
the United States government would take some action immediately."
pp 62-63
- "There was no use
talking to any of those Jews abroad because they were criminals:
they refused to save people from killers. Instead of secretly
negotiating for the release of hostages, they made public statements
and sought publicity as 'leaders of their people.'...After the
war, when Weissmandl's memoirs of that period appeared, he understood
that most of the Orthodox rabbis in America and the Irgun delegation
there were not only foiled in their efforts to arouse the Americans
to 'buy Jews' - this was Ben Hecht's overt slogan - but were
maligned by those in the Jewish establishment who feared 'competition'
in the field of fundraising within the Jewish community."
pp 65
- "By 1943 many Nazis
had already realized that they would have to save their skins,
so Dieter von Wisliczeny, Eichmann's second-in-command, suggested
several deals to the secret committee in Bratislava of which
Weissmandl was a member. In fact, negotiations had started as
early as 1941, when the Eichmann organization still believed
that Jews overseas and Allied governments were interested in
'buying' Jewish lives...Weissmandl established contact with the
representatives of the American Joint Distribution Committee
in Switzerland...Weissmandl was not taken seriously. In one of
his acrimonious letters to American Jewish leaders, he wrote;
' You are dealing with Nazis. You are afraid to risk money to
save lives. You are insane.'" pp 66-67
- "The rabbi described
in detail the types of officials with whom he was dealing. When
Wisliczeny, the German bureaucrat in charge of exterminating
the Jews, received his first payment, he kept his word and stopped
the deportations. Weissmandl informed his friends abroad that
there was no danger that any funds would land in the German war
treasury. Those who were bribed put their money into their own
pockets; they were saving up for defeat." pp 69
- "The map that Weissmandl
sent abroad by special courier, a detailed map of Auschwitz with
a request that the crematoria be put out of order, wound up in
the wastebasket of some bureaucrat in a New York Jewish office."
pp 68
- "Gizi Fleischmann
had always been a dedicated Zionist...and remained in constant
touch with the headquarters of the World Zionist Movement in
Jerusalem. Gizi informed her superiors that the deportations
could be stopped quickly if certain conditions were met...These
Nazis declared that they would find ways to relieve the situation
of the Jews of Poland through an agency they would set up in
Berlin...They pledged themselves to completely halt the second
deportation." pp 70
- "Gizi Fleischmann
was an idealist who could not understand why all her appeals
to Jerusalem were ignored. During, 1943, the time of greatest
opportunity for rescue, the establishment leaders in America
were busy fighting every move by the Emergency Committee. It
was the leaders of the establishment there who decided what they
would or would not do about the ransom money and about saving
Jews from Nazis. It was they who believed themselves to be the
divinely appointed representatives of all Jews, including those
in Hitler's camps." pp 70
- "The New York Vaad
Hatzalah decided to pay the ransom on time, no matter how difficult
it might be to raise the funds, because such an appeal could
not be made public. They wired their committee in Switzerland
that Weissmandl should go ahead, that the money would be deposited.
The cable never reached Switzerland; it was stopped by a censor.
The censor was Moe Levitt, executive director of the American
Joint Distribution Committee. The American government had appointed
the JDC as the clearing house for all such messages...Is it
possible to deny that by this action, the Joint contributed to
the liquidation of innumerable thousands of hostages?"
pp 72
- "Those in control
of the funds of the Jewish Agency in Jerusalem and the JDC in
New York would not 'gamble' ransom money. They gambled with the
lives of fellow Jews...Gizi went to incredible lengths to impress
upon the leaders of the Jewish Agency that they must take seriously
the possibility of rescue, but to no avail. Documents prove that
these leaders tried to withhold information concerning the extermination
from the Jewish community in Palestine and from the press."
pp 73-74
- "It is evident that
had the Nazis known the Jews of Europe were a commodity, worth
something to the Allies, that many would have had second thoughts
when it came to collaborating fully in the so-called Final Solution.
But how could the Nazis have known this, when the European Jews
were seemingly worthless to their overseas bretheren?" pp.171
- Gizi Fleishmann was later
cremated alive at Auschwitz while Weissmandl saved himself by
jumping off the train to the same death camp.
- Perfidy is sold by Gefen Publishing, <[email protected]>, The Transfer Agreement
has been republished by Brookline Books,
- <[email protected]>
and The Scared And The Doomed is available by writing,
<[email protected]>.
- Hebrew readers, please
visit <http://chamish.tsedek.com>
Chamish découvre la lune. Le
groupe de Bratislava est bien connu des révisionnistes
qui ont toutes les raisons de penser que c'est là que se
sont forgés les premiers éléments du mythe
d'Auschwitz. L'échec des négociations menées
entre Weissmandl et son groupe et les hauts-fonctionnaires nazis
est évidemment un élément intéressant,
mais il faut replacer cette histoire dans le contexte général
des relations entre les sionistes, ou plutôt les différentes
composantes du mouvement sioniste, et les nazis, ou plutôt
les différents secteurs de l'administration politico-militaire
nazie. Ce travail est loin d'être fait, mais nous rassemblons
des éléments pour éclairer la question.
RÉVISIONNISME
À CHAUD
- L'histoire du soldat
Jessica, blessée en Iraq, et "sauvée"
par les valeureux GI's. Du pipeau. La veille, le médecin
irakien qui l'a sauvée l'a mise dans une ambulance pour
aller jusqu'aux avant-postes américains. Ils lui ont tiré
dessus !
- Maintenant les services
secrets israéliens prétendent qu'ils ont donné
les indications pour retrouver la jeune femme. Annoncée,
la dépêche ne se trouve pas sur le site de JTA...
Hollywood veut faire un film du "sauvetage" de l'héroïne.
Elle a l'énorme avantage de venir d'une famille de ploucs
de la Virginie occidentale, des vrais "rednecks" !
Voir The Times, du 16 avril
<http://www.timesonline.co.uk/article/0,,5944-648517,00.html>
ANNIVERSAIRE (LE VINGTIÈME)
- Il y a 20 ans (vingt
ans !), jour pour jour, la première chambre, section A,
de la cour d'appel de Paris (président: M. Grégoire;
conseillers: MM. Fouret et Le Foyer de Costil) rendait son arrêt
dans un procès intenté à Faurisson par neuf
associations et prononçait:
- (...) Considérant
(...) que les recherches de M. Faurisson ont porté sur
l'existence des chambres à gaz; qui, à en croire
de multiples témoignages, auraient été utilisées
durant la seconde guerre mondiale pour mettre à mort de
façon systématique une partie des personnes déportées
par les autorités allemandes;
- Considérant qu'à
s'en tenir provisoirement au problème historique que M.
Faurisson a voulu soulever sur ce point précis, il convient
de constater que les accusations de légèreté
formulées contre lui manquent de pertinence et ne sont
pas suffisamment établies; qu'en effet la démarche
logique de M. Faurisson consiste à tenter de démontrer,
par une argumentation (qu'il estime*) de nature scientifique,
que l'existence des chambres à gaz, telles que décrites
habituellement depuis 1945, se heurte à une impossibilité
absolue, qui suffirait à elle seule à invalider
tous les témoignages existants ou à tout le moins
à les frapper de suspicion;
- Que s'il n'appartient
pas à la cour de se prononcer sur la légitimité
d'une telle méthode ni sur la portée des arguments
exposés par M. Faurisson, il n'est pas davantage permis
d'affirmer, eu égard à la nature des études
auxquelles il s'est livré, qu'il a écarté
les témoignages par légèreté ou négligence,
ou délibérément choisi de les ignorer;
- Qu'en outre, personne
ne peut en l'état le convaincre de mensonge lorsqu'il
énumère les multiples documents qu'il affirme avoir
étudiés et les organismes auprès desquels
il aurait enquêté pendant plus de quatorze ans;
Que la valeur des conclusions défendues par M. Faurisson
relève donc de la seule appréciation des experts,
des historiens et du public; (...)
- (*) Les trois mots entre
parenthèses figurent en renvoi manuscrit dans l'original.
R. Faurisson avait néanmoins été condamné
parce que, par certains aspects, ses propos sont dangereux et
blessants et les associations ont droit à réparation...
LA TOISE QUI TUE
On en oublie toujours, tellement il y
en a. Les âneries sur les Allemands, recueillies à
Nuremberg. Comme on en trouve tous les jours dans les journaux
à propos des Irakiens et de ces fameuses armes de destruction
massive, qu'on lit tous les jours, mais qui sont oubliées
le lendemain. Bref, on retrouve cette invention purement française
dans l'édition américaine des comptes rendus de
Nuremberg (nous n'avons pas vérifié dans l'édition
française):
- Document 2285-PS, the
deposition of two French army officers, Lieutenant Jean Veith
and Lieutenant Colonel Guivante de Saint Gast, May 13, 1945.
These officers stated under oath that at Mauthausen "The
shooting took place by means of a measuring apparatus. The prisoner
being backed towards a metrical measure with an automatic contraption
releasing a bullet in his neck [as] soon as the moving plank
determining his height touched the top of his head." (IMT,
Volume XXX, p. 142).
- Voici donc d'après
nos deux officiers français, anciens internés du
camp, un appareil qui ressemble à une toise et qui tire
un coup de feu dans la nuque quand la planchette descend jusqu'à
toucher le crâne du condamné -- qui ne sait pas
qu'il l'est. C'est un appareil très sophistiqué
puisqu'il s'adapte à la taille des clients et qu'il déclenche
son tir par simple contact avec un os dur. Sans cette merveille
technique, il raterait les petits et casserait les vertèbres
des grands. On regrette de n'avoir pas de notice technique, de
photo ou d'exemplaire d'un si prodigieux outillage. La toise
qui tue et la chambre à gaz montrent bien le caractère
mauvais des Allemands.
LA VÉRITÉ
SUR LES CHAMBRES À GAZ
On va enfin savoir. Savoir la vérité
sur les chambres à gaz. En effet, The Jewish Press, qui
paraît à New York et se donne comme "le plus
grand hebdomadaire anglo-juif indépendant du monde"
a écrit dans son édition du 15 février 1991,
avec un gros titre: ""IRAQIS HAVE GAS CHAMBERS FOR ALL
JEWS".[The Jewish Press, Vol. XLI, No. 7, Week commencing
February 15, 1991, pp. 1, 4].
"Les Irakiens ont des chambres à
gaz pour tous les juifs". C'est Saddam Hussein qui avait
passé commande. Cette nouvelle renversante a été
reprise par beaucoup d'organes de presse, juifs et non-juifs.
Les choses ont même semblé se préciser. Le
Centre Simon Néanderthal a fait connaître, toujours
au début 1991, la "nouvelle choquante" selon
laquelle des firmes allemandes produisaient du Zyklon B
pour l'Iraq, ou même en Iraq, le Zyklon B ayant déjà
été utilisé par les Allemands pour tuer des
millions de juifs pendant la seconde guerre mondiale. Pour
le moment, ces chambres à gaz irakiennes, construites par
la firme Rhema Labortechnik, servaient surtout à liquider
des prisonniers iraniens. On n'avait probablement pas assez de
juifs sous la main. On avait même des témoins oculaires
capable de décrire le carrelage de ces chambres homicides.
(Voir le JHR, <http://www.ihr.org/jhr/v15/v15n4p-2_Weber.html>).
Quand même, si c'est le plus grand
hebdomadaire juif qui le dit, alors c'est forcément vrai
! Ou alors, où va-t-on ? Ou alors, si on "croit"
maintenant qu'elles n'ont pas existé, on est prié
de nous expliquer sur quel fondement on peut "ne pas croire"
à l'existence de telle ou telle chambre à gaz. Le
plus grand hebdomadaire juif est sûrement en mesure d'éclairer
notre lanterne.
Les Américains ont dépêché
sur place des unités spécialisées pour trouver
les fameuses armes de destruction massive. Les Israéliens
ont aussi mis beaucoup de petit personnel sur le terrain. Dans
ces conditions, on va sûrement trouver ces fameuses chambres
à gaz, dont on connaît jusqu'au carrelage. Les experts
néanderthaliens pourraient apporter leur inestimable contribution
à l'élucidation de ce crime, dont on ne peut malheureusement
pas dire qu'il soit sans précédent.
LES ALLEMANDS SONT-ILS
STUPIDES ?
Ils veulent une vérité officielle.
Bon. Ce qui rend la chose grotesque, c'est de refiler le soin
de fabriquer une vérité historique officielle à
des flics, les barbouzards chargé de la "protection
de la constitution". Elle est très fragile, donc il
faut la protéger. Ceux qui sont chargés de la protéger
sont des policiers d'un genre un peu spécial, qui peuvent
généralement s'affranchir du respect de la constitution
dans leurs tâches de surveillance d'icelle, ce qui montre
bien qu'elle ne sert pas à grand-chose. Comme dans le cas
du parti NPD, que ces fameux démocrates voulaient interdire,
mais il était tellement bourré d'indicateurs subventionnés
par toutes sortes de services de police qu'il a fallu abandonner
l'entreprise. On aurait mis la moitié de la police au chômage.
Ces pauvres flics égarés
veulent donc intervenir dans la discussion du révisionnisme,
puisque la triste réalité montre qu'ils n'ont pas
su empêcher qu'elle survienne. Mais quand on arrive aux
détails, il devient difficile de résister à
l'envie de se taper le cul par terre. Nous allons prendre un exemple:
l'explication pandorienne-tudesque des positions prises par Rassinier,
homme de gauche:
- Ehemaliger
französischer KZ-Häftling Paul Rassinier soll bereits
in den 50er und 60er Jahren die Massenvernichtung von Juden bestritten
haben.
- Revisionistische
Behauptung:
Das Ausmaß der Massenvernichtung von Juden sei nicht nur
von "Rechten" bestritten worden, sondern auch von dem
französischen Sozialisten Paul Rassinier, der zum Thema
in den fünfziger und sechziger Jahren zahlreiche Bücher
veröffentlichte. Als früherer KZ-Häftling und
Widerstandskämpfer hätte er kein Interesse an der Verteidigung
des Nationalsozialismus und verdiene von daher besondere Glaubwürdigkeit.
- Historische
Wahrheit:
Dem 1906 geborenen Rassinier wurde bereits durch sein Elternhaus
und die Schule eine antisemitische Erziehung zuteil. In jungen
Jahren trat er der Kommunistischen Partei Frankreichs bei, wurde
später ausgeschlossen und wechselte in die Sozialistische
Partei über. Eine antisemitische Orientierung auch in der
"Linken" ist für die französische Entwicklung
dieses politischen Lagers keine Seltenheit, fanden sich dort
doch im Unterschied zur deutschen "Linken" bis Ende
des Zweiten Weltkriegs immer wieder antisemitische Orientierungen.
1942 -- und nicht schon 1940, wie Rassinier später behauptete
-- wandte er sich der französischen Widerstandsbewegung
gegen die deutsche Besatzung zu, wurde 1943 von der Gestapo verhaftet
und in die Konzentrationslager Buchenwald und Dora eingeliefert.
Das mit diesem Lebensweg verbundene Schicksal, die Zugehörigkeit
zur politischen "Linken" und die zeitweilige Inhaftierung
in Lagern ließen Rassinier den deutschen Rechtsextremisten
als besonders glaubwürdig, als eine Art "Kronzeuge"
erscheinen. Daher publizierten sie auch zahlreiche Bücher
von ihm wie "Was ist Wahrheit. Zum Fall Eichmann" (1963),
"Das Drama der Juden Europas" (1965), worin das Ausmaß
der Judenvernichtung abgestritten wurde.
- Wie gelangte
nun aber ein ehemaliger KZ-Häftling zu derartigen Auffassungen?
Rassinier kam, wie bereits erwähnt, im Oktober 1943 nach
Buchenwald. Dort wurde er nicht zuerst mit gewalttätigen
SS-Männern konfrontiert, sondern erhielt einen Schlag von
einem kommunistischen Mithäftling. Dieses Erlebnis muss
für ihn derart prägend gewesen sein, dass Rassinier
seine Umwelt danach nur noch selektiv wahrnahm. Nicht die SS-Leute
schienen Rassinier bedrohlich zu sein, sondern seine Mitgefangenen
-- insbesondere in der von Kommunisten dominierten Lagerselbstverwaltung.
Später erhielt Rassinier eine leichte Tätigkeit in
einem Krankenrevier und danach bei einem SS-Oberscharführer.
Diese Erfahrungen mit seinen KZ-Bewachern auf der einen und die
negativen Erfahrungen mit Häftlingen auf der anderen Seite
prägten Rassinier offenbar sehr. So verallgemeinerte er
seine subjektiven positiven Erfahrungen zu einem Gesamtbild des
Systems der Lager im Zweiten Weltkrieg zu einem völlig verzerrten
Bild von der historischen Realität. Später näherte
sich Rassinier immer mehr rechtsextremistischen Zusammenhängen
an und arbeitete mit Protagonisten dieses politischen Lagers
eng zusammen.
- Literatur:
- * Baier, Lothar:
Auschwitz und seine Weißwäscher. Robert Faurisson
& Genossen, in: Ders., Französische Zustände.
Berichte und Essays, Frankfurt/M. 1982, S. 89-97.
- * Fresco, Nadine:
Fabrication d'un antisémite, Paris 1999.
- * Lipstadt,
Deborah E.: Betrifft: Leugnen des Holocaust, Zürich
1994, S. 74-89.
- <http://www.verfassungsschutz.de/renetz/rechts1a/>
Ces pauvres types ne savent pas qu'il
existe, ou qu'il existait quelque chose qui s'appelle la politique.
Ils veulent des explications psychologiques, fondées sur
les perceptions les plus étroitement égoïstes
qu'ils attribuent aux personnages qu'ils veulent expliquer.
L'humour supplémentaire, ce sont
les références. On sait que le bouquin de la Fresco
s'arrête avant que Rassinier se mette à écrire
sur son expérience de la guerre. On connaît aussi
le sieur Lothar Baier. Quand il est venu faire son enquête
à Paris, Serge Thion lui a refilé l'adresse de la
Fresco. Ensuite, Baier et Fresco ont exploré les dimensions
cachées du rapprochement franco-allemand, ce qui a donné
par la suite une préface un peu moite de la Fresco à
la sortie d'un livre dudit Baier en France. Bref, encore une affaire
tuyau-de-poële, mais qui se trouve ainsi sanctifiée,
avec retard, par le service de protection de la constitution allermande,
dont le grand flic d'honneur s'appelle Jürgen Habermas. Fermez
le ban.
Une petite biblio est donnée sur
le site, avec fort peu de "nouveautés":
- "Literaturhinweise"
- * Bailer-Galanda,
Brigitte/Benz, Wolfgang/Neugebauer, Wolfgang (Hrsg.), Die Auschwitzleugner.
"Revisionistische " Geschichtslüge und historische
Wahrheit, Berlin 1996.
- * Bastian, Till:
Auschwitz und "Auschwitz-Lüge". Massenmord und
Geschichtsfälschung, München 1994.
- * Benz, Wolfgang:
Legenden, Lügen, Vorurteile. Ein Wörterbuch zur Zeitgeschichte,
München 1992.
- * Binder, Gerhart:
Revisionsliteratur in der Bundesrepublik, in: Geschichte in Wissenschaft
und Unterricht, 17. Jg., 1966, S. 179-200.
- * Broszat, Martin:
Zur Kritik der Publizistik des antisemitischen Rechtsextremismus,
in: Martin Broszat, Nach Hitler. Der schwierige Umgang mit unserer
Geschichte, München 1988, S. 92-101.
- * Friedmann
BEDÜRFTIG: Als Hitler die Atombombe baute, Lügen und
Irrtümer über das "Dritte Reich", München
2003
- * Graml, Hermann:
Alte und neue Apologeten Hitlers, in: Wolfgang Benz (Hrsg.),
Rechtsextremismus in Deutschland. Voraussetzungen, Zusammenhänge,
Wirkungen, Frankfurt/M. 1994, S. 30-66.
- * Pfahl-Traughber,
Armin: Rechtsextremistische Versuche zur Entlastung des Nationalsozialismus.
Zu Entwicklungen und Tendenzen des "Revisionismus"
in der Bundesrepublik Deutschland, in: Der Bundesminister des
Innern (Hrsg.), Aktuelle Aspekte des Rechtsextremismus, Bonn
1994, S. 51-81.
- * Pfahl-Traughber,
Armin: Die Apologeten der "Auschwitz-Lüge" - Bedeutung
und Entwicklung der Holocaust-Leugnung im Rechtsextremismus,
in: Uwe Backes/Eckhard Jesse (Hrsg.), Extremismus & Demokratie
8, Bonn 1996, S. 75-101.
- * Tiedemann,
Markus: "In Auschwitz wurde niemand vergast." 60 rechtsradikale
Lügen und wie man sie widerlegt, Mühlheim 1996.
LETTRE D'UN MERVEILLEUX
RABBIN HUMANISTE À ISRAEL SHAMIR
From Alex Coleman <[email protected]>
- Hitler wouldn't have
given a damn how "universalist" you claim to be, he
would have butchered you anyway! Self-preservation is a natural
element in all of G-d's creatures, all that is, except the ghettoized
exile Jew, with his self-loathing and his bootlicking attitudes
towards his non-Jewish enemies. You live in Israel? The first
action of any sane prime minister of Israel would be to round
up kapos like you and put a bullet in your heads! Go live with
the arabs, and when they're finished using you as a Juden-Rat,
they'le take the knives from their filthy teeth and put a dagger
in your worthless back! May the G-d of Israel strike you down,
May He inflict upon you the full measure of his wrath and the
horrible flame of His blazing anger! May your name be blotted
out!
- Rabbi Alex J. Coleman
EXPELTISE
- A look into
a real-life horror
- Dan Kane
At a Holocaust observance Sunday at Meredith College, historian
and architect Robert Jan van Pelt told 300 people of the surreal
experience of testifying to the mechanics of genocide.
- Van Pelt had studied
the construction and operation of Auschwitz and talked to those
who were fortunate enough to be liberated rather than being sent
to its gas chambers. But in a London court three years ago, lawyers
for a Holocaust denier disputed that the death camp exterminated
hundreds of thousands of Jews during the Nazi regime, and tried
to trip van Pelt on his research.
- There wasn't enough cyanide
on hand to kill all those people, the lawyers charged, nor could
the ventilation system clear away the poisonous gas so quickly.
And did they have enough fuel to cremate all those bodies?
- Van Pelt turned away
nearly all of their assertions cleanly and succinctly, even as
his mind reeled at the absurdity of the questions. But when a
lawyer questioned the efficiency of an industrial elevator in
moving corpses, van Pelt looked out into the gallery and realized
that, in one sense, the Holocaust deniers had already won.
The tears in one Holocaust survivor's face told van Pelt that
the man was reliving the horror that had taken his brother's
life.
- That was why van Pelt
told those who attended the N.C. Council on the Holocaust's 22nd
annual observance that it is not enough to come together to say
"never again." "It is to educate ourselves about
what happened," he said, "because there are people
out there who do not want us to do so."
- Van Pelt teaches at the
University of Waterloo in Ontario, Canada, and has written a
book about the libel suit lost by historian and Holocaust denier
David Irving. Van Pelt was the featured speaker at the Sunday
observance, held in Meredith's Jones Auditorium. The three-hour
observance included prayers for the victims living and dead,
choral selections and a panel discussion on the film industry's
take on the Holocaust. [...]
- Staff Writer, 28 April
2003, The News & Observer, Raleigh, NC. H-Holocaust,
5 mai 2003.
LE COMBLE DE L'INTOLÉRANCE
- UNESCO hosts
second conference on 'Education for tolerance: the case of resurgent
antisemitism'
-
- 30-04-2003 2:00 pm Paris
- The second international conference on "Educating for
Tolerance: the Case of Resurgent Antisemitism," organized
by the Simon Wiesenthal Centre in cooperation with UNESCO will
be held at UNESCO Headquarters from May 12 to 14. The opening
session on May 12 (7 pm) will be attended by UNESCO Director-General
Koichiro Matsuura, the UN High Commissioner for Human Rights,
Sergio Vieira de Mello, Israel's Minister for Diaspora
Affairs Natan Sharansky, French Interior Minister Nicolas
Sarkozy, Florida Governor Jeb Bush and Rabbi Marvin
Hier, Dean and founder of the Simon Wiesenthal Centre.
- [...] The afternoon of
May 13 will be divided into two sessions: "Faultlines and
Battlefronts" (2-3.30 pm) and "Models of Good Practice"
(4-6 pm). European parliamentarians Ilke Schröder and François
Zimeray, [député PS hypersioniste au parlement
européen] academic Jerrold Post, lawyer Arno Klarsfeld
[faux-juif hystérique] and Shimon Samuels
of the Wiesenthal Centre, will speak at the first session. The
second will include Liebe Geft, Director of the Museum of Tolerance,
in Los Angeles (US), Sammy Ghozlan, a French former police commissioner
and coordinator of the Bureau de Vigilance Contre l'Antisémitisme
(BVCA), and Father Christian Weber, who works with skinheads
in Germany.
- The morning session on
May 14 (9-11 am), entitled "Tolerance as an Act of Faith:
Different Paths, One Destination", will feature Lord Carey
of Clifton, emeritus Archbishop of Canterbury; the Reverend Archpriest
Vsevolod Chaplin, of the Russian Orthodox Church; Hiromasa Ikeda,
Vice-President of the Soka Gakkai International Buddhist Movement;
[secte japonaise crypto-fasciste] Rabbi Israel
Meir Lau, Chief Rabbi of Israel; Father Patrick Desbois,
Secretary of the Vatican Episcopal Committee for Relations with
Judaism; and Surin Pitsuwan, a former Thai foreign minister and
an expert on Islam. Before the conference ends, a session on
"Applying the Lessons of Tolerance" (11.15 am to 12.30
pm) will hear General Wesley Clark, former Supreme Allied Commander
in Europe, [massacreur de la Serbie et criminel de guerre
avéré ] on "The Road from Bosnia,"
and architect Frank Gehry on "The Jerusalem Centre for Human
Dignity." [Est-ce là qu'on torture les prisonniers
palestiniens ? ]
ILS REMETTENT LA SAUCE
- Antisémitisme
en Europe : "vieux démons, nouveaux débats"
-
- Lors d'un colloque intitulé
"Old demons, new debates" ("Vieux démons,
nouveaux débats"), au Centre d'histoire juive, à
New York, des chercheurs soulignent l'apparition d'un nouvel
antisémitisme, qui se dissimule derrière un antisionisme
de façade. La vague d'antisémitisme en Europe est-elle
une résurgence du passé ou un phénomène
différent ? Quels sont ses origines et ses ressorts idéologiques
et politiques ? a tenté de répondre à ces
questions, à New York, du 11 au 14 mai. Il a réuni,
au Centre d'histoire juive, une quarantaine d'universitaires,
intellectuels, écrivains et journalistes européens
et nord-américains à l'initiative du Yivo
(Institut de recherche juive).
- Cette institution a
la particularité d'être la seule d'Europe de l'Est
à avoir survécu à l'Holocauste. Elle le
doit à son transfert en 1940 de Vilnius, en Lituanie,
où elle a été fondée en 1925, à
New York. Elle possède aujourd'hui la plus importante
collection au monde de livres et de documents en yiddish.
- A l'issue de quatre
jours de débats contradictoires, souvent graves, parfois
passionnés, mais jamais agressifs, un consensus s'est
formé pour constater l'émergence d'une forme nouvelle
d'antisémitisme, même si elle se nourrit parfois
des anciens stéréotypes, préjugés
et accusations portés contre les juifs. "En se gardant
de toute dramatisation, ce renouveau de l'antisémitisme
n'en est pas moins extrêmement choquant. Nous étions
peu nombreux à imaginer, il y a encore quelques années,
avoir à se pencher sur un phénomène que
nous pensions appartenir au passé. Nous nous sommes trompés
", a expliqué Leon Wieseltier, écrivain américain,
responsable des pages littéraires du magazine The New
Republic.
-
- "La haine la plus
persistante de l'histoire", pour reprendre son expression,
a pris différentes formes au fil des siècles. L'antisémitisme
de l'Antiquité, de la chrétienté, du monde
musulman; l'antisémitisme raciste de droite et l'antisémitisme
anticapitaliste de gauche; enfin, celui qui "aujourd'hui
utilise, exploite et se dissimule derrière l'antisionisme.
On peut bien sûr parfaitement être critique d'Israël
et de son gouvernement sans être antisémite, mais
tous les antisémites s'en prennent aussi à l'Etat
juif", ajoute-t-il.
- Le journaliste du magazine
Die Zeit et écrivain allemand Josef Joffe va plus
loin. Pour lui, "l'antisémitisme classique européen
a disparu". Le feu est éteint, mais il explique:
"Si les juifs ne sont plus perçus comme une menace
pour les nations et persécutés pour cela, en revanche,
l'antisémitisme conceptuel est en pleine expansion. Il
consiste à accuser Israël et les juifs qui le soutiennent
d'incarner l'impérialisme, le colonialisme, une volonté
de domination et de perversion de l'humanité. Israël
et les juifs amalgamés portent la responsabilité,
parfois avec les Etats-Unis, des déprédations de
la modernité. Les seuls drapeaux nationaux que l'on trouve
dans les manifestations contre la mondialisation sont palestiniens.
On ne s'en prend pas d'ailleurs aux juifs collectivement, sauf
dans les pays arabes ou dans les discours islamistes. Cela reste
relativement tabou en Occident, mais il est permis de les haïr
individuellement. Les dirigeants israéliens, de droite
ou de gauche, peu importe, sont ainsi démonisés."
- "Modernisation"
- "A mon sens, l'intitulé
le plus exact de la conférence serait plutôt "Nouveaux
démons et vieux débats"", suggérait
l'écrivain français Alain Finkielkraut. Il ne croit
pas non plus à "la renaissance de la bête immonde",
mais à l'alliance "entre la gauche progressiste européenne
et l'islamisme radical, porteur d'un antisémitisme virulent.
Au nom de la lutte contre le fascisme et le racisme, au nom de
la défense de l'autre, de l'opprimé, de la victime,
l'antisémitisme musulman est toléré et accepté.
Les juifs ne sont plus attaqués en raison de leur identité,
mais comme des oppresseurs, des ennemis de l'humanité,
les nazis d'aujourd'hui". [Cet antimarcioniste
n'ose pas se demander pourquoi. Il ne veut pas voir la réalité.]
- L'historien américain
Daniel Jonah Goldhagen, spécialiste de l'Holocauste, insiste
sur "la mondialisation de l'antisémitisme":
"L'Europe a exporté son antisémitisme classique
vers les pays arabes. Ils l'ont appliqué à Israël
et aux juifs en le mêlant à la réalité
et à l'imaginaire du conflit palestinien. [Adorable,
cet "imaginaire", n'est-ce pas ? ] Les pays
arabes et les islamistes ont ensuite réintroduit la nouvelle
démonologie hybride dans le monde, en Europe et aux Nations
unies, et dans d'autres institutions internationales. Le sionisme
est devenu une entité mythique, un agent destructeur,
le coupable matériel et moral sur la scène internationale".
- Les participants au
colloque ont souligné à plusieurs reprises "le
silence et l'ambiguïté des intellectuels européens".
Alain Finkielkraut l'explique par "la difficulté
de reconnaître et nommer cet antisémitisme qui vient
de leur propre camp, celui de l'antiracisme et de l'antifascisme".
Pour Simon Schama, Anglais, professeur de l'université
Columbia, "les intellectuels européens ont paradoxalement
fait plus d'efforts pour tenter de démontrer que l'antisionisme
ne sert pas souvent de prétexte à l'antisémitisme
qu'à dénoncer la haine des juifs. Le parallèle
répété entre le comportement des soldats
israéliens et les nazis participe de cette volonté
de se laver de toute culpabilité. Si les victimes
sont les bourreaux, ils ne peuvent plus être des victimes".
[Il l'a dit, bouffi ! ]
- Pierre Birnbaum, professeur
de sciences politiques de Paris-I, et son homologue de l'université
de Chicago, Mark Lilla, ont identifié des raisons plus
structurelles et endogènes à la résurgence
de l'antisémitisme: la faiblesse de l'Etat en France pour
le premier et le renoncement à l'Etat-nation en Europe
pour le second. "La France, premier Etat-nation, a été
aussi la première à émanciper les juifs,
leur ouvrir les portes de l'administration et des grandes écoles
et universités et à leur offrir sa protection.
Ce lien vertical fort a disparu au moment de Vichy et à
nouveau aujourd'hui. L'Etat est trop faible pour protéger
les juifs, ce qui explique leur désarroi et leur sentiment
d'être trahis."
- Optimisme et pessimisme
- Mark Lilla est proche
des thèses de Robert Kagan sur la différence profonde
aujourd'hui de rapport au pouvoir entre Américains et
Européens. Il souligne que "les juifs ont été
longtemps attaqués dans le passé pour ne pas avoir
d'Etat, ils le sont aujourd'hui pour en avoir un. Israël
comme les Etats-Unis incarnent cet Etat-nation attaché
à sa souveraineté, qui évolue dans un monde
dangereux et n'hésite pas à utiliser la force armée.
Un Etat-nation que l'Europe rejette aujourd'hui violemment comme
responsable de ses maux et de ses errements passés".
"Le nationalisme juif est tout simplement intolérable.
Il ne correspond pas à la façon dont le juif est
admis, essentiellement comme victime", a ajouté le
journaliste et écrivain britannique David Pryce-Jones.
- Le colloque s'est conclu
sur une note typiquement juive new-yorkaise, résolument
optimiste et profondément pessimiste. L'espoir vient du
fait que l'existence même des juifs dans le monde n'est
pas menacée. Leon Wieseltier se félicite même
que "le destin du peuple juif ne soit plus lié à
celui de l'Europe, mais à deux Etats, Israël et les
Etats-Unis, où leur liberté et leur sécurité
sont établis par principe". Irwin Cotler, professeur
de droit à Harvard et à Yale et membre du Parlement
canadien, se montre plus inquiet: "L'antisémitisme
a souvent été le prélude aux périodes
les plus sombres de l'histoire de l'humanité. L'Holocauste
n'a pas commencé dans les chambres à gaz, mais
par des mots. Appeler ouvertement à la destruction
des juifs et d'Israël ne semble plus choquer grand monde,
c'est un signe des temps."
- Eric Leser, Le Monde,
17 mai 2003.
UNE MINE
Un de nos correspondants, parmi les plus
actifs, nous signale une véritable mine. Une énorme
mine. Une mine de connerie. Une mine où l'on trouve les
plus extraordinaires pépites: des conneries inimaginables,
des choses dont personne n'aurait pu soupçonner qu'il soit
possible de les mettre noir sur blanc. Le Potosi de la bêtise,
la Ruhr de la stupidité, le Donets de la fausse science...
Merci, cher correspondant, nous n'avons pas toujours l'occasion
de rire. Nos préoccupations sont plutôt de nature
lugubre, les camps, les crématoires, toutes ces choses
absolument sinistres. Et puis soudain ce rayon de soleil !
Il s'agit d'étudiants, d'étudiants
a-mé-ri-cains, et caines. Ils sont à l'université
de Californie, branche de San Francisco. Ce n'est pas la pire.
Ils étudient l'histoire. En seconde année, ils ont
comme prof un certain Eliot Neaman qui enseigne "les méthodes
de l'histoire" avec une très nette spécialisation
sur les "Holocaust deniers", les "dénieurs"
du Zolo. Il enseigne un cours de niveau 201. Dans ce pays de gens
simples, le premier niveau, pour les ignorants, s'appelle toujours
101. Ensuite, on monte. mais déjà, à ce niveau
2, ils doivent rendre des "papers" appelés aussi
"essays". Dans chaque cours. En général,
vu le niveau, les "papers" ne restent pas dans les mémoires.
Si on cherchait un équivalent, on dirait qu'un "paper"
de deuxième année d'une université américaine
courante équivaut à une dissertation faite en classe
de troisième, ou même de quatrième. Certains,
par la qualité de leur langage ou la profondeur de leurs
vues, font plutôt penser à une rédaction de
sixième. A les lire, on découvre une autre langue,
celle qui sera parlée par cette nouvelle génération,
dotée d'une grammaire succincte et d'un vocabulaire simplifié.
Les légions panonniennes du Bas-Empire qu'on démobilisait
en Bretagne ou en Phrygie devaient parler un patois latin de ce
genre. Evidemment, ils ne connaissent aucune langue étrangère.
Parler d'un auteur français ou italien sans connaître
un mot de français ou d'italien ne les gêne pas.
Ils se contenteront de quelques brèves traductions anglaises.
Par une étrange aberration de l'esprit,
ce Neaman a fait afficher sur le Net le résultat des efforts
de ces malheureux turlupins. Ils étalent leur ignardise
sur l'océan de leur sottise. Prenez-en un au hasard et
faites l'essai. Boyautage garanti.
- Student
Essays on Holocaust Denial
- Fall Semester 1995
- * Nazi Medical Experiments,
by Ernest Franic
- * The Gas Chambers
at Auschwitz, by Michael J. Williamson
- Spring Semester
1996
- * Confronting Holocaust
"Revisionists:" Nuremberg War Crime Trials, by Alma
Galapon
- * Zu Offnen die Tur
des Richtigs, by Elizabeth A. Gates
- * The Holocaust and
the Zionist Conspiracy Behind it, by Dena Kram
- * Witness to the Holocaust:
The Denial of First-person Testimony, by Miriam Rainbird
- * Nuremberg and the
Deniers, by Monica Skikos
- * Combating Rationalization:
Refuting Deniers' Claims Concerning the Einsatzgruppen, by Martin
Woessner
- Fall Semester 1996
- * The Auschwitz Gas
Chambers and Holocaust Deniers, by Greg Barger
- * The Nuremberg Trials,
by Ryan Doyle
- Spring Semester
1997
- * German Antisemitism
Perpetuating the Final Solution, by Dan Alipio
- * The Denial of Nuremberg
Testimony, by Reem Azzghayer
- * A Study of the Diary
of Anne Frank, by Yvonne Gutierrez
- * Response to The
Myth of the Six Million, by Alejandro J. Hernandez
- Fall Semester 1997
- * The Controversy
of Anne Frank, by Megan K. Andres
- * Ernst Zundel, Douglas
Christie, and thge Conspiracy of Holocaust Denial in Canada,
by Gregory Paul Michael Hartnell
- * Legitimizing the
Deniers: the Role of Ordinary Historians in Holocaust Denial,
by Michael Joyce
- * The Technical Existence
of the Extermination Gas Chambers at Auschwitz and Birkenau,
by Diana A. Lauretta
- * Hitler's Questionable
Leadership, by John Opulencia Jr.
- * The Auschwitz Gas
Chambers and the Leuchter Report, by Anna Ortiz
- * Harry Elmer Barnes,
by Dominique Pagliuso
- * A Look at Holocaust
Denial Through the Works of a Propagandist, Ernst Zundel, by
Shanti Pappas
- * The Unraveling of
the Leuchter Report, by Erin Warnke
- Spring Sememester
1998
- * The Misplaced Affections
of Joseph Hallow and the Dachau War Crimes Trials, by Christopher
A. Bess
- * Medical Experimentation
on Human Subjects by Nazi Germany and Japan, by Ashley C. Davis
- * The Liberty Lobby
and Holocaust Denial, by Amber Herron
- * Mattogno's Attack
on Pressac and Auschwitz, by John Lilienthal
- * David Irving, by
Aaron Scolari
- * The Extermination
of the Jews and Adolf Hitler, by Frederica Bullard
- * The Final Solution,
by Jorge Rojas
- * David Irving, Exposed,
by Kevin Moss
- * Paul Rassinier:
Credible, or Merely in Denial?, by Mark Summerhays
- * Harry Elmer Barnes
and the Blackout of History, by Peter Scott
- * The Trials of Ernst
Zündel, by Sebastian A. Nelson
- * The Conspiracy Behind
it allZionism, by Vivian Varbedian
- * The Trap of Deception,
by Yolanda M. Miranda
- Fall Sememester
1998
- * The Eichmann Trial,
by David Sheridan
- * Farrakhan and Holocaust
Denial, by Renzo Hrvatin
- * David Irving's Hitler,
by D. Fritzmaurice
- * Wasn't Auschwitz
a Death Camp? by Monica Soto
- Spring Semester
1999
- * Lies of Ulysses,
by Caitlin Young
- Fall Semester 2000
- * Ceresole: La Falsificación
de la Realidad, by Morgan Harris
- * Montogno, by Jackie
White
- * Rassinier, by Lynette
Otlang
- * The Distortions
of Austin App, by Tony Luini
- * Irving's Nuremberg,
by Keith Long
- * The National Alliance,
by Mike Hood
- * Richard Harwood,
by Scott Goldstein
- Spring Semester
2001
- * The Leuchter Report,
by Adam Holroyde
- * Fred Leuchter's
Problem, by Ashley Olsen
- * Richard Harwood's
Politics, by Karen Brennan
- * Francis Parker Yockey,
by Elizabeth Forster
- * Bradley R. Smith;
The Real Hoax, by Alicia Augsburger
- * Rassinier's Attack
on Hilberg and Arendt, by Kristen Espinosa
- * Did Six Million
Really Die? by Clarissa Minchew
- * Ditlieb Felderer,
Denial of Truth and Memory, by Gianna Benson
- * Benzion Netanyahu
and the Spanish Converso Question, by Sarah Gleason
- * Martin Luther's
Antisemitism, by James Arguello
- * Faurrison and the
Zyklon B Question, by Vanessa Asay
- Spring Semester
2002
- * William Pierce and
the National Alliance: Something to be feared, by Emily Furman
<http://www.usfca.edu/history/pages/neaman/history210/essays.html>
Voir aussi la "homepage" du
professeur, qui étale sa médiocrité, sa fille,
ses chats, avec une benoîte satisfaction:
<http://www.usfca.edu/history/pages/neaman/neamanhome.html>
Dans le même registre, nous avons
noté l'existence d'une thèse de l'accorte Mimi,
en vrai Mimi Marguerite McKay, qui a soutenu en 1996 une immortelle
thèse (de MA) à l'université du Texas à
Austin, sur "La politique et la presse estudiantine: le Daily
Texan et la négation de l'Holocauste". Pour dire
la vérité, on l'a pas lue. et il est peu probable
qu'on la lise...
MÉMOIRE EN SOLDE
- Mémoire
cacophonique
-
- La Mémoire saturée
de Régine
Robin. Stock, " Un ordre d'idées ", 524 p.,
23,80 _.
- La mémoire, ses
méandres et ses rythmes, hante depuis les années
1970 l'oeuvre inclassable de Régine Robin, son travail
d'historienne autant que sa réflexion sur le yiddish ou
sa pratique de l'autofiction. C'est dire qu'après Berlin
Chantiers (Stock, 2001), un "essai sur les passés
fragiles", La Mémoire saturée ne relève
en rien de ces réquisitoires de circonstance contre les
"abus" supposés d'une mémoire tenue pour
envahissante, dont il s'agirait de désengorger l'espace
public en prêchant un oubli plus ou moins programmé.
- Pourtant, c'est un fait:
nos sociétés sont comme jamais obsédées
par leur passé -- des passés sans cesse recomposés,
commémorés, mythifiés, toujours âprement
disputés. Bref, "un nouvel âge de la mémoire
apparaît partout", constate-t-elle, moins pour le
déplorer ou s'en réjouir que pour tenter, en sociologue,
de comprendre enfin ce qui se joue dans cette "immense cacophonie".
- "Le grand nivellement"
- Sur son versant le plus
descriptif, ce livre à l'écriture métis,
[sic ] mêlant analyses savantes, pérégrinations
personnelles, mais aussi références à l'art,
à la littérature et aux nouvelles technologies,
nous convie ainsi à un véritable tour du monde
des usages du passé et des controverses acerbes auxquelles
ils donnent lieu. Même si, souligne-t-elle, la façon
dont le passé nous habite n'est jamais que simple manipulation.
On la suit aux Etats-Unis, où se fait toujours attendre
une exposition décente sur Hiroshima; en Israël,
en Allemagne, au Japon, et jusque dans une France encore réticente
à affronter son histoire coloniale. En chemin, on butera
inévitablement sur la Shoah, qui reste en Europe la
"pierre d'achoppement de tous les problèmes mémoriels".
- Pas question, donc, de
se décharger de ce fardeau-là. Ni de prôner
une illusoire "juste mémoire" chère à
Paul Ricoeur, car qui l'édicterait? La vraie question,
pour l'historienne, est de savoir comment se situer dans "une
éthique de la responsabilité", nous rendant
capable d'affronter les pages les plus sombres de notre histoire,
sans tomber dans les pièges d'une mémoire incantatoire
et routinisée.
- De là, les deux
autres grands axes de cet essai. Versant polémique : une
courageuse critique du "nouvel air du temps". Rien
moins qu'un "retournement de conjoncture", un "Zeitgeist
révisionniste", n'hésite-t-elle pas à
affirmer, qui s'illustre notamment par la mise en avant des crimes
du communisme pour mieux minimiser ceux du nazisme et du fascisme.
Et de montrer, ici, la façon dont ce discours déjà
hégémonique, sinon très "sortable",
a puisé depuis 1989 une part de son inspiration en Europe
de l'Est, où les sociétés inclinent à
se poser en pures victimes de régimes dont elles étaient
pourtant, "à des degrés divers, des parties
prenantes". Ce "grand nivellement" dont, à
ses yeux, participent en France un Stéphane Courtois,
un Jean-François Revel ou un Tzvetan Todorov, "pourrait
bien être notre horizon mémoriel. Si l'on n'y prend
garde". A la saturation par hystérisation du rapport
au passé ou par le fantasme du "tout conserver"
s'ajoute ainsi la saturation par l'absence de tri, de hiérarchie
des maux.
- Comment sortir de ces
impasses ? On retiendra -- versant constructif --, le beau plaidoyer
de l'auteur pour une "mémoire critique". [Va-t-elle
parler du scandale de ce qui se passe en Palestine ? de la mémoire
de Deir Yassin, Sabra et Chatila, Djénine ? Non, bien
sûr. Les pleurnichards toujours soutiennent les massacreurs.
] Celle-ci impliquerait cependant une révolution: qu'on
rompe avec les habitudes d'une mémoire muséifiée
pour s'acheminer vers des installations plus interactives, telles
que le visiteur ne puisse plus se vivre comme un simple "consommateur
de la mémoire" consolé par des édifices
"preuves-qu'on-n'oublie-pas".
- Alexandra Laignel-Lavastine,
Le Monde, 9 mai 2003.
L'infortunée Alexandra est une
petite ambitieuse qui croit qu'elle fera carrière par une
judéolâtrie plus virulente que celle des autres.
Elle s'est même spécialisée dans l'adoration
des juifs roumains qui sont pourtant les plus universellement
méprisés de l'ancien yiddishland. Peut-être
tient-elle sa virulence du fait qu'elle est la nièce d'un
esprit remarquable, Philippe Lavastine, qui a traversé
tout le XXe siècle, en participant à ses grandes
aventures intellectuelles. Philippe Lavastine, récemment
disparu, qui était un révisionniste convaincu, était
notre ami. Quant à la nièce, qu'il tenait pour une
petite fiote, elle a fait une thèse de philosophie sur
Constantin Noica, un philosophe roumain, et s'est fait une spécialité
de dénoncer tous ceux qui, sur les bords du Danube, n'ont
pas été toujours prosternés devant le moloch
juif. Inutile de dire qu'elle est détestée de tous
les Roumains.
CANNES
On sait que notre ami Lavastine a passé
douze ans en Inde, à étudier le sanscrit. On a le
récit d'une rencontre, en 1958, de Philippe Lavastine et
d'un collègue anglais avec un maître hindou, Sri
Jagadguru Sankaracharya, où l'on trouve ce passage étonnant:
- "The Frenchman said
that he wanted to study Sanskrit in the traditional Indian way,
directly from a teacher, without the aid of books. His Holiness
expressed his appreciation of this wish and remarked: "Even
in India, that tradition has all but disappeared. The old way
was not to confuse the ability to read and write with scholarship.
Even the greater scholars did not know how to read and write".
Here, one of the visitors cited the instance of Sri Ramakrishna
Paramahamsa who could not even sign his name properly in Bengali.
His Holiness continued, "I am referring to even secular
scholars. Writing was the special art of a small class of people
called kanakkars. They were good calligraphers. But the
rest of the people, for the most part, were not literate. Eminent
mathematicians, astronomers, physicians, Vedic scholars -- these
could not read and write. Learning was imparted orally and was
imbibed by rote. The method has its own excellence, and could
be revived with profit, within certain limits".
Kanakkar, on y retrouve le mot "canne",
qui désigne en sanscrit la canne à sucre et en général
le roseau, y compris le roseau taillé qui sert à
écrire. Ceux qui écrivent sont donc des subalternes,
des commis aux écritures. Ceux qui savaient et qui pensaient
ne s'abaissaient pas à ces choses vulgaires. C'était
un autre monde.
<http://www.kamakoti.org/souv/5-33.html>
GANGSTERS À LA
PUISSANCE DEUX
Shrill minority.
"La minorité stridente". C'est le nom que les
résistants américains donnent aux supplétifs
de l'intolérable police juive de la pensée qui accablent
l'univers de leurs lamentations, de leurs vociférations
et de leurs revendications. Cette minorité stridente vient
de trouver auprès de deux sénateurs américains,
Santorum et Brownback, une oreille complaisante et ils ont annoncé
leur intention de déposer un projet de loi visant à
interdire toute critique d'Israël sur les campus universitaires
américains.
Cette loi, que les sénateurs appellent
"Loi de diversité idéologique", prévoit
de supprimer toute subvention aux universités quand un
professeur, un élève ou une organisation estudiantine
aura ouvertement critiqué l'Israël, toute critique
étant de facto considérée comme de
l'antisémitisme. La nouvelle du projet, qui a été
baptisé du nom de ses deux inspirateurs, a été
publiée dans la livraison du 15 avril du New York Sun,
quotidien néo-conservateur (neo-con en anglosax) fanatiquement
pro-israélien de Manhattan.
Santorum, leader adjoint de la majorité
au Sénat, est connu comme l'un des plus acharnés
défenseurs des intérêts israéliens
aux Etats Unis. Il est l'un des co-responsables de la "Loi
sur la responsabilité syrienne" qui reporte sur la
Syrie les accusations qui ont préparé l'opinion
américaine à l'invasion de l'Irak et qui exige que
la Syrie se retire du Liban. Damas entretiendrait le terrorisme
et développerait des armes de destruction massive. Il est
également l'un des signataires d'un projet d'amendement
visant à réformer la loi américaine qui interdit
tout financement avec les fonds publics d'un parti politique étranger
et plaide pour le déblocage d'un milliard de dollars en
faveur des gangs mafieux cubains qui justifient leurs activités
criminelles par une prétendue opposition au régime
castriste dont ils sont en réalité les meilleurs
alliés dans le contournement du blocus. Brownback, de son
côté, a été l'un des bénéficiaires
du scandale Enron et l'animateur d'une campagne d'intimidation
en vue d'interdire à la compagnie pétrolière
Total de poursuivre ses négociations avec l'Iran.
Curieusement (?) l'initiative de ces deux
gangsters politiques coïncide avec l'"Appel pour une
paix républicaine" lancé à Paris le
8 avril dernier par le président de la Licra et les têtes
de mort du Grand Orient et signé, sur l'heure, par Raffarin,
Juppé, Aillagon, Borloo, ministre de la Ville occupée,
Hollande, Badinter, Delanoë, Lang, etc. Cet appel vise à
assimiler au racisme «toutes les idéologies qui lui
servent de masque, y compris l'antisionisme». L'antisémitisme
étant un crime, toute critique à l'égard
de la politique israélienne étant assimilée
à de l'antisionisme, qui devient lui-même le masque
de l'antisémitisme, la boucle et bouclée: dire que
l'Israël n'est pas le parangon des démocraties modernes
devient un délit passible des tribunaux.
CRIMES DE LAINE
- Grande Europe
et terrorisme intellectuel
-
- par Tomislav
Sunic
-
- C'est le 16 avril, après
le oui triomphal (83,8 %) des Hongrois à l'Union, qu'a
été "couronnée" à Athènes
l'Europe de 25, sanctionnée par un traité de 5
000 pages qu'ont signé pour la France Jean-Pierre Raffarin
et Dominique de Villepin avec la bénédiction de
Kofi Annan, secrétaire général de l'ONU,
sous l'égide de laquelle s'inscrit donc la "Nouvelle
Europe". Un parrainage assez inquiétant, notamment
en ce qui concerne la liberté d'expression.
- La police de la pensée
est difficile à repérer car elle se cache souvent
sous les concepts rassurants de "démocratie"
et "droits de l'homme." Si les Quinze exhibent volontiers
les beautés de leurs paragraphes constitutionnels, ils
admettent rarement les ambiguïtés de leur Code pénal.
Et c'est dans une grande discrétion que l'an dernier,
la Commission européenne avait tenu à Bruxelles,
et à Strasbourg des réunions d'une importance historique
sur l'avenir de la libre parole.
- Sujet de discussion?
La promulgation de la nouvelle législation européenne
instituant le "crime de haine" et appelée à
se substituer aux législations nationales pour devenir
automatiquement la loi dans tous les Etats européens,
de la Grèce à la Belgique, du Danemark au Portugal.
Si bien que toute personne poursuivie pour "crime de haine"
dans tel pays de l'Union pourra être jugée et condamnée
dans tel autre.
- Rétrospectivement,
cette loi supranationale apparaît inspirée du code
criminel communiste de la défunte Union soviétique
ou de l'ex- Yougoslavie communiste, lequel a recouru pendant
des décennies à un méta-langage irréel,
surtout dans les paragraphes portant sur "la propagande
hostile" (Code criminel, Article 133). Une telle abstraction
sémantique pouvait s'appliquer à tout dissident
-- qu'il se soit livré à des violences physiques
contre l'Etat yougoslave ou qu'il ait simplement proféré
quelque blague.
- Pour l'instant, le Royaume-Uni
témoigne du degré le plus élevé des
libertés civiles en Europe, l'Allemagne le plus bas. Le
Parlement britannique a récemment rejeté le principe
"de crime de haine", proposé par divers groupes
de pression -- ce qui n'empêche pas qu'outre-Manche, des
allogènes poursuivis par des "de souche" aient
bénéficié d'un non-lieu, les juges hésitant
à prononcer des peines sévères de crainte
d'être accusés eux-mêmes de cultiver un «préjugé
racial». Ainsi, indépendamment du manque de censure
en Grande-Bretagne, un certain degré d'autocensure existe,
que la loi proposée par l'UE entérinera donc.
- Depuis 1994, l'Allemagne,
le Canada et l'Australie ont renforcé leur législation
contre les déviants, révisionnistes et nationalistes
en particulier. Plusieurs centaines de citoyens allemands, y
compris un certain nombre d'intellectuels, ont été
accusés d'incitation à la haine raciale ou de «négation
de l'Holocauste»,
cela sur la base d'un néologisme bizarre et néo-totalitaire
relevant de l'article 130 ("Volkshetzung" :
incitation aux ressentiments populaires).
- Vu le caractère
alambiqué des articles, il devient facile de mettre n'importe
quel journaliste ou professeur en mauvaise posture s'il ose s'éloigner
du credo sur l'histoire contemporaine ou critiquer le nombre
élevé d'immigrés extra-européens.
En Allemagne, par exemple, contrairement à l'Angleterre
et à l'Amérique, il y a une longue tradition légale
d'après laquelle ce qui n'est pas explicitement permis
est interdit. En Amérique et en Angleterre, la pratique
légale présuppose que ce qui n'est pas spécifiquement
interdit est permis. C'est la raison pour laquelle l'Allemagne
a adopté des lois rigoureuses contre le «négationnisme».
En 2002, lors de sa visite en Allemagne, l'historien américain
d'origine juive, Norman Finkelstein a suggéré à
la classe politique allemande de cesser d'être la «victime
délibérée» des groupes de pression
"de l'industrie de l'holocauste" ( titre de
son essai tant controversé). Il a également fait
remarquer que l'attitude servile des Allemands pourrait être
totalement contre-productive en favorisant un antisémitisme
aujourd'hui bien caché. Mais personne n'a su réagir
positivement aux avertissements de Finkelstein, de peur d'être
dénoncé comme antisémite. A l'inverse, le
gouvernement allemand a accepté pour la énième
fois de verser 5 milliards d'euros supplémentaires aux
800.000 survivants de la Shoah.
- Quand on interdit la
discussion de matières taboues, le climat de lâcheté
intellectuelle s'alourdit. Une nation empêchant la libre
parole et l'expression libre de vues politiques diverses -- même
si ces vues peuvent paraître aberrantes -- peut-elle être
encore appelée démocratique ? Bien que les Etats-Unis
se targuent de leur «First Amendement »,
le discours libre dans les médias et dans les universités
y est pratiquement impossible. L'autocensure didactique l'emporte.
Souvent les professeurs américains évitent les
expressions ou avis politiquement incorrects, redoutant de compromettre
leur carrière. Une pratique croissante en Amérique
veut que les professeurs donnent de bonnes notes à des
médiocres étudiants de souche non européenne,
afin d'éviter des ennuis judiciaires, ou pis, de perdre
leur travail.
- En France, depuis
la loi Fabius-Gayssot,
proposée par un député communiste et adoptée
en juillet 1990 (puis aggravée à l'initiative du
député chiraquien Pierre Lellouche en décembre
2002), toute personne exprimant en public un doute au sujet de
l'historiographie contemporaine risque de sérieuses amendes
et même l'emprisonnement. Un certain nombre d'auteurs
et de journalistes français, allemands et autrichiens
sont persécutés, pourchassés, emprisonnés,
d'autres ont demandé l'asile politique en Syrie, en Suède
ou en Amérique. Quelques-uns se sont même installés
dans les pays de l'Est. Des mesures répressives semblables
ont été récemment décrétées
en Australie, au Canada et en Belgique multiculturelle. Plusieurs
dirigeants nationalistes est-européens, en particulier
croates, souhaitant rendre visite à leurs compatriotes
expatriés au Canada ou en Australie n'ont pas obtenu le
visa pour ces pays en raison de leurs prétendues vues
«extrémistes».
- Pour l'instant la Russie
et d'autres pays ex-post-communistes ne pratiquent pas la même
répression de la pensée libre et l'on voit dans
les libraires croates des traductions d'ouvrages français
ou allemands impubliables en France ou en Allemagne. Mais
en raison de la pression croissante de Bruxelles et de Washington,
cela va changer. L'adhésion à l'Union européenne
des anciens satellites requiert de ces derniers un alignement
sur la pensée unique et l'apprentissage d'une nouvelle
langue de bois aussi redoutable que celle de l'époque
communiste.
- Croire que la terreur
d'Etat, c'est-à-dire le totalitarisme, ne peut qu'être
le produit d'une idéologie violente véhiculée
par une poignée de bandits, est fort répandu et
l'on a beaucoup entendu cet argument récemment à
propos de l'Irak . Mais cette idée est fausse. La démocratie
triomphante aussi, qui pousse à l'abdication intellectuelle
dans le grand consensus mou, constitue une tentation totalitaire.
Le terrorisme intellectuel grandit et se propage grâce
à la croyance généralisée que, d'une
façon ou d'une autre, les choses finiront par s'améliorer
toutes seules. Or, l'apathie sociale croissante et l'autocensure
galopante parmi un nombre croissant d'intellectuels européens
apportent de l'eau au moulin de la police de la pensée.
Au fond, comme l'écrit Claude Polin, l'esprit totalitaire
est l'absence de tout esprit.
- <www.watermark.hu/doctorsunic>
- Article paru dans Rivarol.
LA DESTRUCTION DE L'AMÉRIQUE:
LE CRÉPUSCULE DU PREMIER AMENDEMENT
- Tracking
Hate Groups Aids Terrorism Fight
- Federal Agents
Turn to Domestic Front
- By Maria Glod
and Jerry Markon
-
- Armed federal agents
slipped silently into place around Byron Calvert Cecchini's Leesburg
home. They pounded on the door, rousing the self-described white
supremacist from bed. For several hours, the agents scoured the
house, loading his computer, Rolodex and files into a Ryder truck.
The FBI began investigating Cecchini because of his ties to one
of the largest neo-Nazi groups in the United States. In an affidavit
seeking a warrant for the pre-dawn raid this year, an agent wrote
that Cecchini had a "violent criminal history" and
probably owned weapons.
- Agents found no weapons,
but they found something they were looking for -- T-shirts with
a Nike swoosh logo that substitutes the word "Nazi"
for Nike. Cecchini is facing possible charges of trademark violations,
said law enforcement sources, who spoke on the condition that
they not be named. "You prosecute what you can prosecute,"
one law enforcement source said.
- It is a tactic being
used with increasing success nationwide as authorities step up
efforts to curb domestic hate and terror groups: prosecute any
illegal activity by known extremists and, at the same time, work
to infiltrate potentially dangerous groups to guard against future
attacks. Even as dismantling al Qaeda remains the clear priority
of terrorism task forces, agents have been ordered to be vigilant
about domestic groups. "The focus on international terrorism
is obvious, but September 11th has made us examine all security
issues," a law enforcement official said. "You can't
make the number one goal preventing attacks against the U.S.
and not look at a danger that could be posed here at home."
- The terrorism task forces
are homing in on all groups, including militia movements and
even environmental and animal rights organizations. But the efforts
have had the greatest impact on neo-Nazi and white supremacist
groups. In recent months, prominent white supremacists have been
indicted in several states, including Pennsylvania, Georgia and
Washington, and news of their arrests has resulted in a frenzy
of anti-government exchanges on neo-Nazi and other racist Web
sites.
- In Pennsylvania, an
Aryan Nation member who expressed anti-Semitic beliefs on the
Internet in an open letter of support to Saddam Hussein was indicted
on weapons charges in March. And a leader of the White Knights
of Pennsylvania is accused of plotting to bomb abortion clinics.
- "The government's
efforts in investigating domestic terrorism have stepped up since
September 11th," said Mary Beth Buchanan, the U.S. attorney
in Pittsburgh who chairs Attorney General John D. Ashcroft's
advisory committee of U.S. attorneys. "We are taking every
incident much more seriously, and we are analyzing it more closely."
Weapons charges also were filed against a Washington state man
with ties to the white supremacist group Christian Identity and
a Wisconsin man who came to the attention of authorities when
he e-mailed photos of himself holding an AK-47 while standing
in front of a flag with a swastika.
- "The radical right
from coast to coast is in near-hysteria over the arrests,"
said Mark Potok, who tracks extremist groups for the Southern
Poverty Law Center. The White Revolution group postponed a February
meeting, explaining on its Web site that leaders believed the
government was "eager to use any pretext against white nationalists
to arrest or raid or detain us."
- On another Internet
site, Edgar J. Steele, a lawyer who has represented the Aryan
Nation, wrote: "There is a roundup taking place... how long
before they get to you?" On his Web site, www.tightrope.cc,
Cecchini talks about the "persecution" of those who
share his views. "If any government thinks it can stop an
idea whose time has come with pre-dawn raids and lengthy prison
sentences, they have miscalculated," he wrote.
- Cecchini, a former National
Alliance member who broke with the group and created Tightrope,
acknowledged that his views are offensive to many. He said, however,
that he is not a danger to anyone and is "absolutely not
involved in anything illegal." "I don't mind being
called a racist or a Nazi," Cecchini said in an interview.
"I'm not offended if people don't like what I think."
Tightrope's Web site, which is rife with anti-Semitic and racist
language, includes a "lynching section" with graphic
photos. In "healthier times," Cecchini wrote on the
site, rapists and killers were "almost sure to face the
ruthless wrath of a mob of enraged Aryan men both willing and
able to inflict a horrible death."
- On the Tightrope site,
Cecchini compares nonwhites to the snakehead, a predatory fish
found in a Crofton pond last summer that threatened to wipe out
native species. "It's still legal to be a member of a group
and associate with whoever you want to associate with and have
views that may be unpopular," Cecchini said in the interview.
"This is still America."
- David Trainor, an attorney
for Chester Doles, a Georgia National Alliance member facing
trial on weapons charges, said he's concerned that his client
was investigated because of his affiliation with white supremacist
groups. According to court records, Doles, who has a prior conviction
that bars him from owning firearms, was arrested after an informant
reported seeing him with weapons. "Is he partly being prosecuted
because of his membership in the National Alliance? The answer
is yes," Trainor said. "I think that the basis for
going after him is his words."
- Law enforcement officials
say that they are not trampling on free speech rights but that
they must keep close watch over groups or individuals who advocate
violence. "We make sure that we don't unnecessarily curb
an individual's right to exercise their free speech, but you
have to listen to what they say and watch what they do to see
if they stepped over the line into criminal activity," Buchanan
said. Federal law enforcement officials say fighting domestic
terrorism has always been a priority, if somewhat less visible
in recent years amid the highly publicized war against al Qaeda
and other international terrorist groups.
- In response to the Sept.
11, 2001, attacks, the number of FBI-led joint terrorism task
forces rose from 44 to 66. The Justice Department's 93 anti-terrorism
task forces, run out of every U.S. attorney's office, coordinate
the effort and keep in touch with officials at Justice headquarters
in Washington. The result is a much larger number of people investigating
terrorism. More agents on the street means more domestic terrorism
suspects are scooped up, along with those suspected of aiding
al Qaeda or other international groups.
- "Even as we fight
the war on international terrorism and work to prevent another
attack like September 11th," said Bryan Sierra, a Justice
Department spokesman, "the Department of Justice is also
making every effort to shut down hate groups and homegrown terrorists
before they, too, can act violently on their hatred."
- In a February 2002 statement
to a U.S. Senate committee, Dale L. Watson, then the FBI's chief
of counterterrorism and counterintelligence, named the National
Alliance, World Church of the Creator and Aryan Nation, among
others, as groups that present a "continuing terrorist threat."
Although federal agents use such tactics as electronic surveillance
and wiretapping to fight all forms of terrorism, there are differences
in how they confront the homegrown variety. Finding informants
is easier, they say, because there are no language and cultural
barriers, such as those that have hurt the government's efforts
to infiltrate al Qaeda. According to court records, FBI agents
from Philadelphia recruited a confidential informant who provided
the details that led to the March indictment of David Wayne Hull.
Pennsylvania authorities said Hull is a member of White Knights
of Pennsylvania and has ties to the Ku Klux Klan. According to
court documents, an informant said Hull, who is charged with
firearms violations, wanted to buy grenades and spoke of a plan
to bomb abortion clinics.
- Daniel Levitas, who
wrote "The Terrorist Next Door," a book about Timothy
McVeigh, said right-wing extremist groups have a record of carrying
out violent acts. But in most cases, he said, their "rhetoric
is wildly disproportional" to any real violence. Cecchini
said he has committed no crimes and thinks the authorities were
"intelligence gathering." "I guess I'm out of
step with the current age, but all through history, a lot of
the views I hold were mainstream. . . . Now we're the wackos
and the criminals," Cecchini said.
- Metro researcher Bobbye
Pratt contributed to this report.
- The Washington Post, 19 mai 2003, page B01.
<washingtonpost.com>
PUBLICATIONS
§== Le renard
a la grosse tête. Le pauvre Foxman, Abe pour Abraham, le grand chef
de l'Anti-Defamation League, est tombé sur la tête;
elle a enflé au point qu'il a fait rédiger une hagiographie
qu'il veut maintenant, comme un Staline ou un Maurice Thorez (Fils
du Peuple) distribuer dans les écoles:
The project, Survival
to Service: Examining the Life of Abraham H. Foxman, Hidden Child
of the Holocaust, is divided into three distinct parts: Why
it is important that we remember the Holocaust; a detailed look
at Mr. Foxman's life story; and a classroom activity/lesson plan
based on that story. All of these resources are designed to increase
students' recognition and commitment to moral decision-making
and to the role of the individual in combating bias and hate.
The Web address for this project is:
Crétinerie garantie. Le Zolo
rend mégalo.
§== La roue tourne. Denis Berger a longtemps fait partie d'un petit
groupe qui avait une honorable histoire de dissidence et qui s'appelait
La Voie communiste, ou "Voico", qui, dans les
années 60, rayonnait assez loin. Ce groupe et ce canard
bénéficiaient, on peut le dire, de la présence
en son sein de Félix Guattari, plus connu comme psy, qui
avait plein de pognon. Ces gens entretenaient des rapports souvent
cordiaux avec d'autres éléments de l'ultra-gauche
ou de l'extrême-gauche. Echanges de références,
d'articles, de coups de main, de bons procédés en
somme. Une certaine évasion de militantes anticolonialistes
proches du FLN devait beaucoup à ces collaborations informelles.
Le temps a passé, 68 est arrivé, et Denis Berger
s'est retrouvé dans les chausses d'un universitaire, sommé
de faire des cours et de faire passer des examens, dans cette
énorme pétaudière que fut Vincennes, translatée
ensuite à Saint Denis.
Alors là, évidemment, la
radicalité du discours s'est heurtée à la
nécessité de protéger une carrière,
si mince fût-elle. Berger est passé chez les trotzkystes
de la Ligue Communiste Révolutionnaire, qui a le double
avantage de n'être ni communiste ni révolutionnaire,
mais un ramassis de carriéristes qui se sont employés
comme auxiliaires de la gauche, sur le mode: je bouffe votre caviar
mais vous assurez mes fins de mois. La corruption de ces trotzkystes
est merveilleuse: elle se fait pour la bonne cause de l'unité
de la gauche plurielle. Certains sont devenus sénateur.
Berger, passé du statut de militant à celui, plus
ronflant, de "politologue" a toujours trouvé,
finalement, le chemin du confort. Il peut maintenant écrire
dans L'Humanité ("Ce n'est qu'un début",
15 avril 2003) sur des sujets qu'il ne connaît pas,
comme l'Iraq. Quelle leçon de tout ça ? Tous ces
gens qui ont fréquenté les révisionnistes
de l'ultragauche et qui ont voulu ensuite s'en démarquer
à cause du stigma facilement accolé aux révizos,
ont fait pénardement leur petit chemin vers les positions
de la droite bourgeoise et maintenant pantouflent pépères
pendant que nous sommes au charbon. Ce sont ces révisionnistes-là
qui n'ont pas changé d'opinion et de position et leur apparente
stabilité montre les trajectoires de ceux avec qui ils
ont eu, un certain temps, des possibilités d'entente, qui
se sont perdues dans les petites combinaisons quotidiennes.
§==Ne pas confondre: AAARGH et VAAAG. Ce dernier est le "Village
alternatif, anticapitaliste et anti-guerre" qui doit s'ériger
à Evian pour faire capoter le G8, spectacle bien inutile
que les maîtres de la planète se donnent pour se
divertir à nos dépens pendant qu'ils nous réduisent
à l'état d'abrutis consommateurs.
C'est un rejeton du réseau Voltaire.
<http://www.vaaag.org/>
§== Libre. Le 25 avril,
Toni Negri en a fini avec la justice et les prisons italiennes.
Il est à nouveau totalement libre. Il avait été
condamné à 17 ans et 4 mois de réclusion
pour association subversive, responsabilité morale dans
les désordres sociaux et politiques des années 70,
bris de vitrines et autres manifestations. Mais les petits condamnés
d'Amnistia.net et de quelques autres officines plus ou moins louches
n'ont pas encore commencé à purger leur peine. Porsia
en a pris pour 14 ans. L'exemple de Negri devrait leur montrer
que tout finit par s'arranger, si on y met du sien. Les révisionnistes
ne peuvent pas en dire autant. Pour les mettre au trou, il n'y
a pas de limite. Et parmi les dénonciateurs de bas étage,
on trouve, au premier rang, les capons d'amnistia.net.
§==Horreur et
damnation. On
ouvre Le Monde des livres (25 avril 2003, p. VII), et on
voit, en bas de la page, une figure d'axolotl, blafarde, avec
un grand aérodrome pour les mouches, encadré de
cheveux crasseux, les yeux de travers, une tête mal plantée
sur des épaules inégales, on se dit qu'on a déjà
vu ce monstre blême quelque part, on cherche, on pense inexorablement
à ce petit Jean-Baptiste, qui donnait toutes les apparences
du ténia dans L'Agité du bocal, on regarde
au-dessus de ce crobard inachevé, mais oui, mais c'est
bien sûr, c'est lui, l'ahuri des poubelles, en personne,
venu d'Aubervilliers, qui fait sa petite réclame, et en
dessous, la marque <nrf> presque effacée, la honte
peut-être, mais rattrapée par un <Gallimard>
écrit en gros, en blanc sur fond noir, comme un deuil,
Gallimardeux, comme disait Louis-Ferdinand, du temps de Gaston,
un qui savait éditer des livres et trouver de vrais auteurs,
tandis que maintenant, les petits-fils ont relâché
la ceinture, se laissent travailler par des nourritures avariées,
du genre de l'ahuri ou de l'autre idiot du technofutur, Maurice,
J'ai-les-dentèques-du-fond-qui-baignent, alors forcément
la tripe gonfle, la ceinture serre, des remugles incontrôlables
créent des poches de gaz, il faut se précipiter,
les gallimardeux n'en peuvent plus, ils nous expulsent des livres
encore dégoulinants de glaires inconnues, c'est ça
qu'ils publient maintenant, il paraît. On regrette le bon
vieux temps où les livres étaient écrits
par des écrivains. Maintenant que les écoles produisent
des êtres aussi singuliers, aussi translucides que cet axolotl
analphabète, plus bête qu'anal, on ne doit pas s'étonner
de voir que la librairie vend des rouleaux de papier Q imprimé,
mais pas encore molletonné.
Il faudrait ajouter cette notule au célèbre
chapitre des torche-cul qu'on trouve chez Rabelais.
§== Confession
d'un para-révisionniste:
- «Gibson (as far
as I understand and support him) denies Cosmic Centrality of
the Holocaust, that came to replace the Passion of Christ in
the American mind. We are 'deniers' in Jungian sense of the
word :-) like Jews are deniers of the Passion. Facts are
not important -- only their interpretation is important!»
- Israel Shamir
§== Un Nuremberg
raté.
- Michele Bettini, Peccati
di memoria. La mancata Norimberga italiana, Laterza 2003
- Piccolo, si legge di
un fiato: "si racconta la storia del grande processo istruito
dagli Alleati contro l'intero comando militare dell'apparato
nazista in Italia operativo dal 1943 al 1945, processo che, accuratamente
preparato sulla base giuridica e tecnica di quello di Norimberga,
non fu però mai celebrato. Celebrarlo, infatti,
avrebbe comportato da un lato il pericolo di mettere in crisi
il reinserimento della Germania federale nella comunità
europea, dall'altro avrebbe significato, per la classe politica
del nostro paese, l'imbarazzante rischio di vedere perseguiti
anche i crimini di guerra italiani. Il risultato fu che
al suo posto vennero celebrati pochi e marginali dibattimenti
e la questione fu ridotta alla imensione di alcune responsabilità
individuali. "
- Ve lo consiglio vivamente
- Giovanni (du site Olokaustos)
§== Le retour. L'excellente
thèse de Joel Hayward, que nous avons été
contraints de retirer de notre site sous le menace d'un avocaillon
de Las Vegas qui voulait s'en prendre aux compagnies de serveurs,
<http://abbc.com/aaargh/engl/hay/hayindex.html>
a été reprise telle quelle
par un site intitulé <resistance.com> qui appartient
à un certain C. Evans, de Hillsboro, dans ce trou perdu
qui s'appelle la Virginie occidentale. Des types qui sont pour
la "révolution blanche", genre craignos. Ils
vendent des CD de "musique blanche" avec des nanas en
couverture.
Voir <http://www.resistance.com/Hayward/hay1.html>
C'est amusant le Web, non ? L'horrible
Zimmerman ne s'est pas manifesté.
§== Des négations
? Non,
elle ne s'appelle pas Dene Gation, mais Dene Bebbington. Elle
vient de rebutter R. Faurisson sur sa diarrhée d'Anne Frank.
Je veux dire: réfuté (rebuttal) RF sur le
Journal (Diary) de la petite Anne. Ça se trouve
chez Mazaltov et ça vient de sortir. C'est tiède
et ça ne coule pas loin. Mais enfin, ça montre que
nous avons des lecteurs, même si certains sont inattendus:
<http://www.holocaust-history.org/anne-frank/>
§== L'homme qui
fait trembler la Russie.
- L'Affaire Limonov - dossier présenté
par Patrick Gofman
- Un livre exceptionnel
qui regroupe tous les soutiens et les articles consacrés
à ce qui s'avère déjà être
«l'affaire Dreyfus» de la nouvelle Russie de Vladimir
Poutine.
- «Bouc émissaire»,
écrit Associated Press. Le 7 avril 2001, cent «ninjas»
du FSB (ex-KGB) s'abattent sur une isba solitaire, dans la taïga
de l'Altaï. Ils y capturent, la plume à la main,
Edouard Limonov, écrivain franco-russe «ultra-nationaliste»
(AFP). Limonov subit 2 ans de prison du type stalinien. Puis
un tribunal lui promet «14 ans de camp à régime
sévère», pour «projet de coup d'Etat,
tentative de formation de groupes armés illégaux,
terrorisme, ainsi que de recel d'armes et d'explosifs».
Des intentions. Que l'écrivain nie.[Note de l'AAARGH:
en fait Limonov a été condamné à
quatre ans de réclusion, dont deux déjà
accomplis, cf
notre dossier Limonov.]
- Abandonné par
le Quai d'Orsay, Limonov trouve le soutien de confrères
en Russie, en France (les écrivains Patrick Besson, Eric
Neuhoff, Stéphane Denis, Bernard Frank, Frédéric
Beigbeder, Thierry Séchan, Denis Tillinac, ADG, Dominique
Venner, etc. et les éditeurs Le Rocher, L'Age d'Homme,
Albin Michel, Grasset & Fasquelle, Le Dilettante, Jean Picollec,
etc. -- et dans le monde entier, par la voix de PEN International.
Sans compter l'AAARGH évidemment, que ces beaux messieurs
affectent d'ignorer.
- "L'Affaire Limonov"
présente une suite chronologique de documents, sans commentaires.
Dépêches, lettres, fax, articles de presse Rien
de plus. Mais rien de moins.
- 160 pages ( ISBN: 2-912476-80-1)
19 euros, Frais de port gratuit, commande à Dualpha
Diffusion, BP 58, 77522 Coulommiers cedex.
- <[email protected]>
§== acidulée. Une lettre de
Limonov, décrivant sa journée à Lefortovo,
une des prisons de Moscou. Elle date de l'an dernier, mais notre
ami est toujours en taule:
<http://www.rapace.org/menus/menu1.html>
§== On en apprend
tous les jours. Sur le Web, on
découvre l'existence, signalée par le site d'Irving,
d'un "Revisionist Forum", un endroit où discuter
du Grand Zolocauste pour savoir s'il a existé ou non. Situé
à GMT-7, il doit se trouver sur la côte est des Satans-Unis,
pour employer l'excellent formule de Zacarias Moussaoui. Le "nom
de domaine" a été créé le 17
avril dernier par un certtain Karl Svensson de Malmoë, Suède,
mais le forum fonctionne depuis le 20 novembre 2002. A la date
du 10 mai, il comportait 1629 messages. Disons tout de suite qu'il
y en de fort intéressants et il y a manifestement des gens
sérieux qui disucutent de sujets pointus sur lesquels ils
maîtrisent une vaste documentation. Le ton est serein, sans
doute parce que les excités du genre Zinzin n'y sont pas
admis.
Que lit-on dans leur FAQ ? "The topic
of this forum is the subject generally referred to as 'The Holocaust'.
Debating it's credibility, or lack of, is the reason that The
Revisionist Forum exists".
L'AAARGH ne croit pas beaucoup à
l'utilité de discussions qui ont pour but l'écrasement
ou l'élimination de l'adversaire. Les conditions dans lesquelles
une discussion est utile sont assez étroites. C'est pourquoi
nous n'avons pas créé de structure de discussion
sur notre site. Les lecteurs se font leur opinion par eux-mêmes
et il en font ce qu'ils veulent. Nous apportons des éléments
et notre rôle se borne là. C'est pourquoi nous signalons,
quand le cas se présente, les lieux de discussion mais
on ne s'étonnera pas de constater que nous n'y participons
pas.
The Revisionist Forum <http://www.yourforum.org/revforum/>
§== Les râteliers
de la Volga. Un
article extrêment correct financé par les bons financeurs:
- Stella Rock, "Russian
revisionism: Holocaust denial and the new nationalist historiography"
- ABSTRACT: Holocaust
denial has appeared in Russia only recently and has attracted
almost no attention in the academic sphere, and relatively little
from monitoring organizations. The research for this article
-- examining the place of Holocaust denial in contemporary Russia
-- was conducted over three months in Russia and on the Internet.
The results indicate that the phenomenon remains of marginal
significance and that the majority of material is of western
origin. While there are several factors that make the development
of Holocaust denial probable -- the comparatively high level
of antisemitism in Russia, post-Soviet suspicion of historiography
and lack of education about the Holocaust -- the Soviet war experience
and associated anti-Nazi feeling arguably act as restraints on
those who would propagate it. Rock concludes that Holocaust-denial
material is of less importance than other antisemitic revisions
of Russian history that have entered the mainstream of contemporary
Russian society.
- Patterns of Prejudice, publié par l'Institute
for Jewish Policy Research, (Londres) vol. 35, no. 4, 2001. Nous avons
ce texte en PDF.
Cet article est écrit du point
de vue exclusif des juifs américains et des juifs russes
qu'ils subventionnent. Ce que cette Stella Rock ramène
dans ses filets est assez maigre. Mais elle termine sur une note
un peu étonnante: faisant le tour de certains facteurs
à l'oeuvre dans l'historiographie russe contemporaine,
elle dit que l'antisémitisme va s'installer comme facteur
culturel dominant. A notre avis, le futur est de trop: les Russes
sont persuadés que le bolchevisme ne s'explique que par
les juifs et le fond d'incrédulité envers les versions
juives de l'histoire semble solide comme un roc. Les Russes sont
au-delà du révisionnisme. La pression juive, énorme,
n'y change rien.
§== Deux en un.
Vidal Sassoon (vieille famille juive de Baghdad, au fait) est
connue pour son slogan: "deux en un". Elle finance un
improbable institut qui "étudie", non pas les
cheveux sales, mais l'antisémitisme. L'actualité
du deux en un est la suivante: un faux-juif (richissime)
et un médiocre écrivaillon font une
star merdiatique: Bernard-Henri Lévy, l'impresario de la
sublime diva qui casse les verres le soir au fond du bistrot:
Arielle, la bêlante barbie mexicaine.
BHV, comme il est de coutume de l'appeler
vient d'enquêter sur l'espion juif qui s'est fait pincer
au Pakistan. Quel meilleur endroit pour présenter d'abord
son livre que Vidal Sassoon ? L'invitation est co-signée
par un autre zozo qui vaut la visite: Benny Lévy, ancien
chef maoïste reconverti dans la lèchecuterie sartreuse
puis reconverti encore en yeshivo-talmudo-crypto-rabbin adepte
du faiseur typique des faux talmudistes produits dans les factoreries
lithuaniennes, Lévinas. Pour preuve, voici l'invitation
que nous avons reçue:
- The Vidal Sassoon International
Center for the Study of Antisemitism and Institut d'Edtudes Levinassiennes
(sicsicisic ) invite you to the lecture by Bernard Henri
Levy who will discuss his new book : Who Killed Daniel Pearl?
- Participants: Prof.
Robert Wistrich, Head of the Vidal Sassoon Center, Benny Levy,
Director of the Levinnas Institute.
- Sunday 18th May, 2003
at 7.00 pm, Atzmaut- Mexico Auditorium, Mount Scopus Campus,
The Hebrew University of Jerusalem
- The lecture will be
given in French with simultaneous translation into English and
Hebrew. Live broadcast at our website: <http://sicsa.huji.ac.il>Tel: 02-5882494 or 02-5671586.
With the assistance of the French Embassy.
A condition d'être doté du
logiciel espion que Microsoft est en passe d'imposer partout,
Window MediaPlayer, on peut entendre le divin BHV qui cause dans
le poste, en français, ou dans une langue qui ressemble.
<http://sicsa.huji.ac.il/index-fre.htm>
Donc, chers contribuables, c'est votre
pognon qui sert à payer ces réjouissances.
§== Père
Ben oui-oui. D'après la
rumeur, le paltoquet qui garde les sots, Dominique Perben voudrait
devenir maire de Lyon à la place du maire de Lyon. Nous,
on serait plutôt pour déplacer Lyon et la mettre
quelque part dans le désert libyque. Pour se faire élire
comme digne successeur du pitre Michel Noir ou de l'hibernator
Raymond Barre, il faut avoir fait quelque chose qui prédispose
en votre faveur les estimables et merveilleux membres de la vénérée
communauté juive de Lyon, qui vit sous la sévère
férule de l'avocat Jakubiowicz. Perben s'est gratté
sous la toque. Il a enfin trouvé une idée géniale:
faire une exception à la loi sur la presse et allonger
le délai de prescription, qui est normalement de trois
mois, à un an pour les faits de "négationnisme".
En voilà une idée qu'elle est bonne ! A notre humble
avis, ce n'est peut-être pas suffisant pour se faire élire
vizir à la place du vizir. Une prescription de 10 ou 30
ans vous aurait l'air autrement sérieux. Ce sont là
les dures nécessités d'une démocratie bien
conçue.
§== Une centrale
policière contre le négationnisme.
En Belgique. Les amateurs de la
farfouille iront chercher qui se planque derrière ce site
voué à la dénonciation hystérique
de ce qu'ils labelisent "extrême-droite" avec
un sous-chapitre où l'on dénonce le "négationnisme"
qui sévi(rai)t de l'autre côté du Quiévrain.
Voir donc: <http://www.resistances.be/negat0.html>.
En voici le sommaire (sommaire étant un mot qui vient naturellement
à l'esprit quand on considère les écrits
de cette officine):
Dans l'actualité
- La guerre des
mots, le retour des nazis NOUVEAU
- Conflit israélo-palestinien.
Une analyse publiée dans le mensuel de réflexion
«La Revue Nouvelle» par un membre de notre rédaction.
- Une « succursale
» francophone et bruxelloise du cercle anversois VHO vient
d'être créée. Comme sa «maison mère»,
son objet est de nier le génocide des Juifs commis
par la dictature nazie.
- Sommaire de
cette rubrique (*)
- Pour l'Histoire - Retour
sur le génocide juif
- Négationnisme
? - Des définitions pour comprendre
- Le négationnisme
en six questions
- Chronologie du négationnisme
en Belgique
- Négationnisme
et partis d'extrême droite belge
- Vlaams Blok : un sanctuaire
négationniste ?
- Négateurs d'ultra-"gauche"
: le cas de Ligne rouge
- La cavale du négationniste
suisse Jürgen Graf en Iran
- Des Belges liés
au hors-la-loi négationniste Jürgen Graf ? ( Une
petite enquête de RésistanceS qui pourrait peut-être
intéresser la justice suisse et Interpol.) [Ils
ne cachent pas leur rôle de flic. ]
- Que faire contre
le négationnisme ?
- Résistances arabes
au négationnisme et à l'antisémitisme
- Conférence négationniste
de Beyrouth annulée
- Encore une plainte contre
VHO, un fan-club du régime nazi
- Premier procès
en Belgique : première condamnation
- La loi belge antinégationniste
du 23 mars 1995
- Agir - Comment porter
plainte contre le négationnisme ?
- Le devoir de mémoire
par la lecture
- Visitez les sites antinégationnistes
- (*) Cette rubrique du
site « RésistanceS » a été inaugurée
le 7 octobre 2000 après la première condamnation
sur base de la loi antinégationniste belge.
Nous avons vu pour vous:
- Les négateurs
de l'ultra-"gauche"
- Le cas de Ligne
rouge
-
- "Voyage" dans
les rangs des anciens ultra-gauchistes convertis au négationnisme.
Membres actifs de la secte des négateurs, ils sont les
nouveaux collabos de l'extrême droite. Etude du cas de
"Ligne rouge", groupuscule de propagande pour la "guérilla
urbaine" européenne et "vitrine légale"
des ex-Cellules "communistes" combattantes. De 1983
à 1985.
- La négation
des chambres à gaz homicides nazies est une entreprise
politique de nature essentiellement néonazie. Cependant, des négationnistes
et des antisémites provenant des rangs de l'ultra-gauche
sont également actifs dans ce domaine, depuis les
années cinquante et soixante. Ils sont minoritaires et
totalement marginalisés au sein de la gauche radicale.
De gauche, ils ne le sont d'ailleurs plus, depuis leur alliance
avec l'extrême droite, formelle, tactique ou "littéraire".
- En Italie et en France,
plusieurs cas existent. En Belgique, à notre connaissance,
il y en a que deux: Ligne rouge et le groupe Entretiens &
Conférences. Ces deux groupuscules furent présents
sur le terrain dans les années quatre-vingt. Depuis lors,
ils ont disparu de la circulation. Nous nous attarderons ici
à l'étude du premier.
- Un cas particulier:
Ligne rouge
- Cofondé par Pierre
Carette (le futur dirigeant du CCC) en personne, ce collectif
politique voit le jour à Bruxelles, au mois de septembre
1983. Un an plus tard, il deviendra la couverture légale
des Cellules communistes combattantes (CCC). Auparavant, Ligne
rouge servit à préparer le terrain de la "lutte
armée" qui allait être menée pendant
près de deux ans par les CCC. Ce collectif était
lui-même issu de "Subversion", une revue fondée
par Pierre Carette et Frédéric Oriach (leader de
la tendance radicale d'Action directe). C'est ce dernier qui
impulsa l'idée de créer LR afin de propager au
grand jour les "vertus" de la "guérilla
urbaine".
- Cette organisation d'agit-prop
(agitation et propagande) publia ponctuellement un organe d'information
du même nom, de 1983 à 1985. Dans son premier numéro,
"Auschwitz ou le grand alibi", un document italien
servant de texte-fondateur au courant négationniste d'ultra-gauche,
rien de moins, y fut publié. Il faut savoir que dans cette
nébuleuse, l'antisionisme politique rime souvent avec
un antisémitisme des plus classique. Il faut dire que
pour ces partisans de la "guérilla urbaine",
le tableau de la situation politico-économique du monde
était bien simple: "Le Juif", c'était
aussi le capitaliste, donc l'"ennemi numéro un"
du prolétariat !
- Selon Jos Vander Velpen,
l'auteur du livre Les CCC. L'Etat et le terrorisme, avant
de poser ses premières bombes, Pierre Carette ne réussit
qu'a regrouper au sein de LR qu'une petite poignée de
sympathisants. Notamment, un groupuscule d'autonomes, dont la
spécialité consistait à noyauter les manifestations
progressistes pour y provoquer des affrontements avec les forces
de l'ordre. On y retrouvait également un militant -- connu
sous le sobriquet de "Joe Dalton" -- qui, quelques
années auparavant, avait été exclu de la
Ligue révolutionnaire des travailleurs (l'ancêtre
de l'actuel Parti ouvrier socialiste). Cette ligue le soupçonnait
d'être un agent provocateur à la solde de services
policiers. Le doute concernant "Joe Dalton" était
partagé par toute l'extrême gauche belge. Mais,
apparemment, pas par l'aile "pro-militariste" de l'ultragauche.
- Dès le début,
le futur noyau dur des CCC faisait partie du collectif Ligne
rouge. En octobre 1984, après une absence de plusieurs
mois, la publication du mensuel qu'il éditait reprit au
lendemain du premier attentat commis par les CCC. Il publiera
les communiqués revendiquant les attentats de cette organisation
armée. Après l'arrestation de l'unique cellule
combattante de la "Bande à Carette", en décembre
1985, le journal "Ligne rouge" cessa de paraître.
Ce n'est qu'en prison, que Pierre Carette dénoncera la
"dégénérescence totale" de cette
structure. Il écrira à son propos : "le collectif
LR n'est plus qu'une compilation anarchique et familiale d'individus
louches, d'aventuriers, de petit-bourgeois en mal d'exotisme
mais aussi certainement quelques jeunes militant(e)s qu'il est
plus que grand temps de dégager de cette triste saga"
(1).
- Manuel Abramowicz, RésistanceS,
31 mars 2001.
- (1) Extrait d'une lettre
de Pierre Carette cité dans le livre Les CCC. L'Etat
et le terrorisme, de Jos Vander Velpen, éditions EPO,
1988, p. 32.
Que fait la police ? Témoin
de faits de négationnisme, vous souhaitez agir ? Contactez-nous
! Le Centre pour l'égalité
des chances et la lutte contre le racisme
Par téléphone: Ligne verte
(gratuite) 0800/14912
Par fax: 02.233.07.04. Par courrier électronique:
<[email protected]>
Centre pour l'égalité des chances et la lutte contre
le racisme, Résidence Palace, 155 rue de la Loi 1040 Bruxelles.
§== Le Castor
pollue.
After Genocide: Trauma, Memory
& Forgiving
Annual Congress of the Social Sciences
and Humanities 2-4th June 2003 in Halifax, Nova Scotia, Canada
The impact of genocide may manifest itself
in the expression of personal or national experience and trauma
as well as in literature and art long after the tragic events.
Although we usually focus on individual or collective memory of
the victim group, perpetrators and perpetrator nations often try
to deal with genocide too. This may take the form of expressions
of recognition, contrition, ways to ask for forgiveness, or simply
reconstituting memory. This 3-part panel deals with these post-genocide
topics.
Session Organizers: Dr. Sima Aprahamian
du Simone de Beauvoir Institute & Sociology-Anthropology,
Concordia University, Montreal QC, Canada), Dr. Karin Doerr (Concordia
University (Simone de Beauvoir Institute & Classics, Modern
Languages & Linguistics, Montreal QC, Canada), et d'autres.
On se demande ce que ces gens ont fait au ciel pour se retrouver
dans de telles abysses...
§== La censure
néanderthalienne.
- SWC to Russian state
public prosecutor: "Stop sale of racist material"
- In a letter to State
Public Prosecutor, Vladimir Ustinov, the Neanderthal Centre's
Director for International Liaison, Dr. Shimon Samuels, informed
him that "the bookstore of the Russian State Duma (the Parliament)
is currently selling antisemitic books from the extremist
series, 'The Library of Social Thought'."
- Samuels noted that the
publications available include "the notorious Selected Works
on Racist Science by the hatemonger, Hans Guenther (published
by Belye L'vy of Moscow, 2002), who, in his introduction, unabashedly
praises racism, Nazism and Fascism."
- He added that, "Not
only is this an insult to the 25 million Russian martyrs to Nazism
in World War Two, but a violation of the Constitution of the
Russian Federation and its legislative provisions against incitement
-- outrageously flaunted at the very seat of Russia's legislature."
- The Centre called on
the Prosecutor "to condemn and suspend such sales at the
Russian Duma, and to take measures against such further dissemination
of hate in its vicinity."
§== La grand Zolotour.
- We still have a few
places available on our Stockton College Lest We Forget®
Study Tour: Memories of the Holocaust in Eastern Europe. This
is part two. For information about part one visit our web site
www.Stockton.edu/lestweforget
- The Study Tour of a
Lifetime: Sunday, July 13th - July 24, 2003
- 3 Countries: Lithuania,
Poland and Hungary. 6 Major cities: Vilnius, Kovno, Bialystok,
Lublin, Krakow, Budapest. Numerous European Towns and Villages:
Concentration, Death and Labor Camps Will be Visited.
[Miam miam ] Kovno Ghetto, 9th Fort, Paneriai Forrest,
Sobibor, Majdanek, Belzec, Plaszow, Auschwitz, Birkenau
- Trip leaders include:
- Dr. Marcia Sachs Littell,
Professor Holocaust & Genocide Studies
- Rev. Dr. Franklin Littell,
Professor Holocaust & Genocide Studies [Quel
charmant couple ! Quelles belles histoires à se raconter
le soir au lit ! ]
- Rabbi Dr. Murray Kohn,
Professor Holocaust Studies, Auschwitz survivor
- Gail Herring Stanger,
MA, Director Education, Annual Scholars' Conference on the Holocaust
& the Churches.
- Additionally, at each
site we will meet with local experts. [ Anciens
bourreaux ? Anciens gardiens ? ]
§== L'Intelligence
ne rend pas service.
- Title: Conference on
the Holocaust and Intelligence.
- New York: Secrets
from the Holocaust -- A Special Conference on the Holocaust and
Intelligence June 2-4, 2003 What Did Intelligence Agencies
Know About World War II ? What Did They Know About the Holocaust
? What Did They Do ? Specialists and Researchers from Leading
Academic Institutions and Government.
- Contact: <[email protected]>
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
Les versions PDF se trouvent aux adresses
suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres2/cr0306.pdf
>
++++++++++++++++++++++
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
Ce texte a été affiché
sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
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de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
est <[email protected]>.
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Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
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a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
[email protected]