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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
27 (26 juillet 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
d'août 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
A trop vouloir taxer d'antisémite
tout écrit ou toute parole, on risque de perdre une crédibilité
durement retrouvée. Et, à terme, si un événement
gravissime devait survenir, il serait traité comme cela:
"encore ces juifs qui râlent et crient pour un rien
!". Bernard Musicant, "président de Connec'sion"
<[email protected]>
- Strasbourg (Reuters)
- La Cour européenne des droits de l'homme a déclaré
irrecevable la requête introduite par le philosophe et
écrivain français Roger Garaudy, qui contestait
sa condamnation, en 1998, pour contestation de crimes contre
l'humanité et provocation à la haine raciale.
- La juridiction du Conseil
de l'Europe confirme, dans sa décision, le caractère
"négationniste" des Mythes fondateurs de
la politique israélienne, ouvrage qui a valu à
l'ancien dirigeant du Parti communiste, converti à l'islam,
sa condamnation à six mois de prison avec sursis et 25.900
euros d'amende.
- Cet ouvrage, selon la
Cour, "va à l'encontre des valeurs fondamentales
de la Convention (européenne des droits de l'homme), à
savoir la justice et la paix".
- Elle rappelle l'article
17 de la Convention européenne des droits de l'homme,
qui indique qu'aucune de ses dispositions ne peut être
interprétée comme donnant le droit de commettre
des actes qui entreraient en contradiction avec l'un ou l'autre
de ses principes.
- "Le requérant
a fait siennes les thèses négationnistes et a remis
en cause systématiquement les crimes contre l'humanité
commis par les nazis envers la communauté juive",
considèrent les juges européens.
- "Il ne fait aucun
doute que contester la réalité de faits historiques
clairement établis, tels que l'Holocauste, ne relève
pas d'un travail de recherche historique s'apparentant à
une quête de la vérité", poursuivent-ils.
- Ils relèvent
également que les propos de Roger Garaudy sur l'Etat d'Israël
ont un "objectif raciste avéré". [Ça
c'est le sommet du grotesque. ]
- De ce fait, Roger Garaudy
"tente de détourner l'article 10 de la Convention
(européenne des droits de l'homme, qui garantit la liberté
d'expression) de sa vocation en utilisant son droit à
la liberté d'expression à des fins contraires à
la Convention", poursuivent les juges. [Voilà
le fin du fin: un droit n'est un droit que si les maîtres
du jour veulent bien vous le concéder... ]
- Ils estiment par ailleurs
que le procès de l'écrivain, aujourd'hui âgé
de 90 ans, était "équitable".
- <http://fr.news.yahoo.com/030707/85/3an6s.html
8 juillet 2003>
- <http://www.echr.coe.int/fr/Press/2003/juillet/DÈcisionGaraudycFrance.htm>
UN CHEF D'OEUVRE
DE JÉSUITISME
- Communiqué
du Greffier
373
- 7.7.2003
- Décision
d'irrecevabilité dans l'affaire Garaudy c. France
-
- Une chambre de la Cour
européenne des Droits de l'Homme a déclaré
irrecevable la requête dans l'affaire Garaudy c. France
(no 65831/01). (La décision n'existe qu'en français.)
- Le requérant
- Le requérant,
Roger Garaudy, est un ressortissant français, né
en 1913 et résidant à Chennevières-sur-Marne
(Val de Marne). Philosophe, écrivain, il fut aussi homme
politique.
- Résumé
des faits
- M. Garaudy est l'auteur
d'un ouvrage intitulé Les mythes fondateurs de la politique
israélienne, qui fut publié et distribué
hors commerce en 1995, et qu'il fit ensuite éditer à
compte d'auteur en 1996 sous la forme de Samiszdat Roger Garaudy.
Plusieurs plaintes avec constitution de partie civile pour contestation
de crimes contre l'humanité, diffamation publique raciale
et provocation à la haine raciale furent déposées
contre lui par des associations de résistants, de déportés
et des organisations de défense des droits de l'homme.
Ces plaintes, portant sur des passages différents des
deux éditions de cet ouvrage, donnèrent lieu à
l'ouverture de cinq informations judiciaires contre le requérant.
- Cinq procédures
pénales distinctes furent engagées sur le fondement
de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse;
le requérant demanda en vain que ces procédures
soient jointes. Par cinq arrêts en date du 16 décembre
1998, la cour d'appel de Paris déclara M. Garaudy coupable
des délits de contestation de crime contre l'humanité,
de diffamation publique envers un groupe de personnes, en l'espèce
la communauté juive, et de provocation à la discrimination
et à la haine raciales. La cour d'appel releva que les
propos de M. Garaudy étaient de nature négationniste,
et elle le condamna à des peines d'emprisonnement avec
sursis allant jusqu'à six mois ainsi qu'à des amendes
pénales. La Cour de cassation confirma ces condamnations
par cinq arrêts du 12 septembre 2000. Les peines d'emprisonnement
prononcées contre le requérant furent confondues,
tandis que les amendes s'additionnèrent atteignant un
montant de plus de 25.900 euros (EUR). Le montant des indemnités
allouées aux parties civiles s'éleva à plus
de 33.500 EUR.
- Alors que les cinq affaires
étaient pendantes devant la Cour de cassation, le requérant
engagea une procédure en inscription de faux concernant
un passage d'un des arrêts rendus par la cour d'appel;
elle donna lieu au rejet de sa demande par le premier président
de la Cour de cassation au motif que le faux allégué
n'avait pas eu d'influence sur le fond de l'affaire.
- Griefs
- Invoquant l'article
10 (liberté d'expression) de la Convention européenne
des Droits de l'Homme, le requérant dénonçait
l'atteinte portée à son droit à la liberté
d'expression. Il soutenait notamment que l'ouvrage contesté
était une oeuvre politique, destinée à combattre
le sionisme et à critiquer la politique d'Israël,
et ne comportait aucun élément raciste ou antisémite.
Le requérant estimait donc que, ne pouvant être
considéré comme négationniste, il aurait
dû bénéficier sans restriction de la liberté
d'expression. Par ailleurs, il se plaignait de l'iniquité
des procédures devant les juridictions nationales et dénonçait
la violation de l'article 6 (droit à un procès
équitable) invoqué seul ainsi que conjointement
à l'article 4 du Protocole n· 7 (droit de ne pas
être jugé ou puni deux fois). Enfin, il alléguait
la violation des articles 9 (liberté de pensée,
de conscience et de religion) et 14 (interdiction de la discrimination).
- Procédure
- La requête a été
introduite devant la Cour le 23 octobre 2000.
- Décision de la
Cour
- Article 10 de la Convention
- Quant aux condamnations
de M. Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité,
la Cour se réfère à l'article 17 (interdiction
de l'abus de droit), qui a pour but d'empêcher les individus
de tirer de la Convention un droit leur permettant de se livrer
à une activité ou d'accomplir un acte visant à
la destruction des droits et libertés reconnus dans la
Convention. Ainsi, personne ne peut se prévaloir de la
Convention pour se livrer à des actes contraires à
ses dispositions. Après avoir analysé l'ouvrage
litigieux, la Cour considère, comme les juridictions nationales
l'ont démontré, que le requérant a fait
siennes les thèses négationnistes et a remis
en cause systématiquement les crimes contre l'humanité
commis par les nazis envers la communauté juive. Or, selon
la Cour, il ne fait aucun doute que contester la réalité
de faits historiques clairement établis, tels que
l'Holocauste, ne relève pas d'un travail de recherche
historique s'apparentant à une quête de la vérité.
Une telle démarche a en fait pour objectif de réhabiliter
le régime national-socialiste, et, par voie de conséquence,
d'accuser de falsification de l'histoire les victimes elles-mêmes.
La contestation de crimes contre l'humanité apparaît
donc comme l'une des formes les plus aiguës de diffamation
raciale envers les juifs et d'incitation à la haine
à leur égard. [Ce sont les décisions
de ce genre prises par les tribunaux pleins de fiel et de partialité
qui ont manifestement pour effet d'engendrer la peur, la méfiance
et finalement le rejet des juifs. ] La négation
ou la révision de faits historiques de ce type remettent
en cause les valeurs qui fondent la lutte contre le racisme et
l'antisémitisme et sont de nature à troubler gravement
l'ordre public. De tels actes sont incompatibles avec la démocratie
et les droits de l'homme, et leurs auteurs visent incontestablement
des objectifs du type de ceux prohibés par l'article 17
de la Convention. La Cour considère que l'ouvrage du requérant
ayant, dans son ensemble, un caractère négationniste
marqué, il va à l'encontre des valeurs fondamentales
de la Convention, à savoir la justice et la paix. Elle
conclut que le requérant tente de détourner l'article
10 de la Convention de sa vocation en utilisant son droit à
la liberté d'expression à des fins contraires à
la Convention. Par conséquent, la Cour estime que le requérant
ne peut se prévaloir des dispositions de l'article 10,
et déclare son grief incompatible avec la Convention.
- Quant aux condamnations
de M. Garaudy pour diffamation raciale et provocation à
la haine raciale, la Cour relève qu'elles peuvent s'analyser
comme des ingérences dans le droit du requérant
à la liberté d'expression. Ces ingérences
étaient prévues par la loi du 29 juillet 1881 et
avaient au moins deux buts légitimes: « la défense
de l'ordre et la prévention du crime» et «la
protection de la réputation ou des droits d'autrui».
Toutefois, la Cour a éprouvé de sérieux
doutes sur le point de savoir si, pour les mêmes raisons
que celles indiquées précédemment, et compte
tenu de la tonalité globalement négationniste de
l'ouvrage, les propos ayant fondé cette condamnation pouvaient
être protégés par l'article 10. En effet,
si une critique de la politique de l'Etat d'Israël, ou de
tout autre Etat, relèverait sans conteste de cet article,
la Cour constate que le requérant ne se limite pas à
une telle critique, mais que ses propos ont un objectif raciste
avéré. La Cour n'estime pas nécessaire de
se prononcer sur ce point, car elle considère que la motivation
des juridictions nationales ayant condamné le requérant
était pertinente et suffisante, et les ingérences
dans le droit au respect de la liberté d'expression de
l'intéressé étaient «nécessaires
dans une société démocratique» conformément
à l'article 10 § 2 de la Convention. Dès lors,
la Cour déclare ce grief mal fondé.
- Article 6 de la Convention
- Quant au grief tiré
de la violation de l'article 6 conjointement avec l'article 4
du Protocole n· 7, la Cour relève que les procédures
mises en cause en l'espèce étaient concomitantes
et portaient sur des infractions distinctes. Dès lors,
elle estime que l'article 4 du Protocole n· 7 ne trouve
pas à s'appliquer en l'espèce. Examinant l'allégation
portant sur le refus de jonction des procédures sous l'angle
de l'article 6 uniquement, elle estime que la complexité
de l'affaire et la nature des infractions pouvaient raisonnablement
paraître imposer une «évolution en parallèle»
des dossiers. Le refus de jonction était motivé
par des considérations liées au bon fonctionnement
de la justice et le comportement des juridictions nationales
était compatible avec le juste équilibre à
ménager entre les divers aspects de cette exigence. Par
ailleurs, aucun élément ne permet d'établir
que le requérant n'a pas bénéficié
d'un procès équitable. Par conséquent,
la Cour considère que cette partie du grief est mal fondée.
- Quant à l'allégation
de manque d'impartialité des juridictions nationales notamment
du fait du rejet de sa demande d'inscription de faux, la Cour
relève que l'article 6 § 1 de la Convention est inapplicable
à ce type de procédure, celle-ci étant un
élément accessoire de la procédure pénale
principale dont le requérant se plaint. En ce qui concerne
le défaut général d'impartialité
des juridictions allégué par le requérant,
aucun élément ne permet de remettre en cause l'impartialité
subjective des magistrats ayant siégé dans
ces affaires. Par ailleurs, la Cour estime que les craintes du
requérant quant à leur impartialité objective
ne peuvent passer pour être légitimement justifiées.
Par conséquent, la Cour déclare ce grief mal fondé.
- En ce qui concerne l'allégation
du requérant selon laquelle il aurait fait l'objet d'une
campagne de dénigrement et de lynchage médiatique,
la Cour note que l'ouvrage de M. Garaudy a fait l'objet d'une
controverse dès sa parution et que l'on pouvait s'attendre
à ce que le procès se déroule dans un climat
polémique. Selon la Cour, le requérant n'a pas
démontré qu'une campagne médiatique virulente
dirigée contre lui aurait influencé l'opinion des
magistrats et l'issue des débats ou aurait été
susceptible d'avoir une telle influence. Par conséquent,
la Cour considère que ce grief est mal fondé.
- Quant aux autres griefs
du requérant tirés de la violation de l'article
6 § 3 de la Convention, la Cour les rejette. Selon elle,
le requérant a été dûment informé
de la nature et la cause des allégations portées
contre lui. Par ailleurs, elle considère que, tout en
respectant les droits de la défense, les juridictions
nationales ont pu estimer que les auditions de témoins
supplémentaires sollicitées par M. Garaudy s'avéraient
peu utiles.
- La Cour déclare
les griefs tirés de la violation des articles 9 et 14
irrecevables pour non-épuisement des voies de recours
internes.
- Cette décision
est disponible sur le site Internet de la Cour (http://www.echr.coe.int).
EN
ALLEMAGNE
J'ai demandé
à un avocat allemand de vérifier si ce qu'on m'avait
dit hier était vrai et -- oui, c'est vrai! Le combat contre
les imposteurs holocaustiques a pris une nouvelle tournure --
et en Allemagne au moins le Lobby paraît sur la défensive,
au moins sur le plan judiciaire.
- Voici ce qui s'est produit:
Quatre Allemands ont décidé de s'accuser eux-mêmes
de "négationnisme", mettant ainsi les tribunaux
au défi de les poursuive, et quatre tribunaux différents
ont refusé de relever le gant qui avait été
jeté dans le ring -- au prétexte qu'il n'existait
pas suffisamment de preuves ! Que se passerait-il si, disons,
des centaines sinon des milliers d'Allemands s'auto-accusaient
de douter de l'histoire officielle de l'Holocauste et inondaient
les tribunaux d'un pareil défi ? N'en viendrait-on pas
à organiser une campagne d'information pour exposer les
faits au grand jour et imposer un débat légitime?
Ne mettrait-on pas ainsi un terme aux persécutions et
aux poursuites des révisionnistes, une bonne fois pour
toutes ?
- Ingrid Zündel Rimland,
Zgram, 6 juillet 2003.
ZÜNDEL
- The Other Side
of H Denial
- Henry Makow
-
- Although I am the grandson
of Holocaust victims, I am embarrassed by some Jewish organizations
that want to make the Jewish Holocaust the defining event of
World War Two. This is seen in the boom in Holocaust Studies
Programs, Holocaust Museums and Hollywood movies like "The
Pianist." Canadian Media mogul Izzy Asper is behind a new
200 million dollars "Holocaust and Human Rights Museum"
in Winnipeg. The name equates Jewish persecution with all "human
rights."
- The Second World War
was a human calamity. Over 55 million people died. Why focus
on the Jewish experience? This is the cause of anti Semitism
in the first place. Jewish power brokers are perpetuating a vicious
cycle.
- I am also troubled by
the attempt to classify people like Ernst Zundel as a "hate
criminal." Zundel's website claims only one million Jews
were murdered, there were no gas chambers, and Hitler didn't
intend genocide. Zundel's claims are repugnant, but he has a
right to be wrong. Society needs people to dispute the historical
record. One may be right. If spreading false information is a
crime, shouldn't we also lock up Tom Brokaw?
- Canada has locked up
Ernst Zundel. According to his wife, he is being mistreated in
prison. He risks deportation as a "security risk."
Bernie Farber of the Canadian Jewish Congress concedes Zundel
doesn't "actually wield the stick" but "provides
oxygen" to extremists. That definition would curb everyone's
freedom of speech. When questioning the truth becomes "hate",
we have entered Orwell's "1984" era of thought crime.
Don't kid yourself. This is the slippery slope to tyranny and
Jewish organizations are partly to blame. We must stand up in
defiance.
- The charge of hate is
used selectively to disarm legitimate opposition. The definition
of "hatred" is very selective. For example lesbians
spew hatred of men but they are never arrested. Feminists teach
impressionable girls that all males are potentially violent sexual
predators. That's OK. The Talmud is full of hatred against Christ
and Christians, but that doesn't count either.
- Canadian MP Svend Robinson
wants to make "gay bashing" a hate crime. He isn't
talking about violence against gays, which is a genuine crime.
He would prevent society from defending itself from activists
who teach children that heterosexual roles are not natural but
homosexuality is.
- "Hate" is
a bogus charge anyway.
Many so-called "Anti Semites" have written me and most
are not hateful or racist in the least. They are trying to defend
their legitimate interests from a real and insidious attack.
The arch anti-Semite Henry Ford, author of The International
Jew employed thousands of Jews in his factories. He worked
closely with a Jew, Mme. Rosika Schwimmer on his Peace Ship crusade.
Ford's Jewish architect Albert Kahn designed hundreds of buildings
for him.
- Jewish powerbrokers use
anti Semitism to disarm opposition to their political agenda.
The promotion of the Jewish Holocaust maintains the Jews' status
as the world's premier "victims." This gives them immunity
from criticism. It makes people feel more favourable to them
and more willing to accede to their direction and influence.
(The same strategy is used with homosexuals and feminists, the
other out-groups used by the elite to subvert society.)
- The Holocaust is also
a defining event for Jews. Jewish power brokers use victim status
to manipulate Jews and extract their donations. Victimhood turns
Jews into moral zombies. For most of my life I didn't give two
cents for the right of Palestinians to their homes. "We
suffered, we deserve a homeland," the logic went.
- The Holocaust also serves
their New World Order agenda. It is a constant reminder of the
pitfalls of nationalism or racial consciousness, two things the
financial elite is trying to bury, with the exception of Israel.
- "Also ran"
Holocausts
- To maintain victim priority,
it's necessary for the Jewish establishment to practise "holocaust
denial" when it comes to other people. In his book Crimes
and Mercies (1997) James Bacque describes how he confronted
New York Times reporter Drew Middleton with evidence that
after the war, the US starved to death over one million German
POWs. "What Middleton told me basically was that, yes, he
had lied in 1945 and no, it did not matter to him or the New
York Times if I exposed this." (p. 183).
- "Middleton's sense
of security, his sense of the New York Times' power, took
my breath away", Bacque writes. "But worse than that,
Middleton did not care about this atrocity... the New York
Times witnessed it, then denied that it happened. And has
gone on denying it into the 1990's." (p. 184) Bacque estimates
that, during the Allied Occupation (1946-1950) an additional
eight to twelve million Germans were deliberately starved to
death. The war did not end in 1945. For five additional years,
Germany was subjected "physical and psychic trauma unparalleled
in history." (p. 93)
- Red Army soldiers raped
up to two million German women during the last six months of
the Second World War, around 100,000 of them in Berlin. They
also raped Russian women released from German labour camps. We
live in a feminist era. Have you seen any movies about these
women?
- At Potsdam, the Allies
ratified the 1939 Soviet-Nazi Pact that gave USSR half of Poland.
Poland was compensated with the eastern quarter of Germany, in
effect another gift to the Russian empire. This required the
expulsion of about 12 million Germans, the largest forced migration
in history.
- Jews were prominent in
the Polish Communist regime. In a stunning reversal of roles,
Jewish policemen ordered Germans out of their homes and into
cattle cars. In his book, An Eye for An Eye Jewish writer
John Sack relates that about 1.5 million of these Germans died
in the removal. He quotes a German woman from Gleiwitz: "What
happened to the Jews was sad. But there was another Holocaust
too." (p. 138)
- According to Sacks, Jewish
Communists extracted another cruel revenge. They filled 1250
Nazi concentration and labour camps and brutally tortured and
murdered tens of thousands of Germans. (p. 101 ff.) Have you
seen a movie where concentration camp guards and commandants
were Jews? Since 1948, the American Jewish Committee and the
Anti Defamation League have censored all Hollywood scripts involving
Jews. Since these bodies are extensions of Jewish finance,
what other topics have they censored? (Gabler, An Empire of
the Own: How Jews Invented Hollywood 1988, p.303)
- In his book, Victims
of Yalta, Nicholai Tolstoy documents "Operation Keelhaul,"
the Allies' forced repatriation of two million Russians who were
German slave labourers, prisoners of wars, or soldiers. These
people were sent to the Gulag and liquidated. Where is the museum
dedicated to them?
- The mass media is unusually
coy when it comes to reporting Communist atrocities. Nine million
people died in the Russian Civil War (1917-1922). The Communists
targeted czarist society and Christians in particular. Stalin's
purges and famines accounted for 20 million more deaths. In China,
Mao ZeDong is blamed for 60 million. More recently, let's not
forget Tibet, Cambodia and Rwanda. see Inventory of Twentieth
Century Barbarism.
- In The Holocaust Industry
(2000) Norman Finkelstein describes how Israel helped its ally
Turkey deny the massacre of one million Armenians in 1915. "Acting
at Israel's behest, the US Holocaust Council practically eliminated
mention of the Armenians in the Washington Holocaust Memorial
Museum, and Jewish lobbyists in Congress blocked a day of remembrance
for the Armenian genocide." (p. 69)
- Conclusion
- Jewish organizations
dishonor Holocaust victims by using them for political purposes.
It is tasteless to cast Jews as the world's premier victims.
Humanity is one family and no genocide is more important than
another. To use "hate" to disarm opposition to the
Zionist agenda is also repugnant. It leads to tyranny and more
anti Semitism. For Ernst Zundel to deny or understate the Jewish
Holocaust is grotesque. But it is not a crime. In these questions,
only the truth matters. Let the truth speak for itself. Let Zundel
be judged by it.
- Let me close with an
anecdote. In 1961 when I was 11, my family was travelling in
Germany. We stopped at tavern-restaurant where some workingmen
were having a loud conversation. They looked at us (a couple
with three young children) and said, "We'd better shut up.
There may be Jews present." My family felt threatened. We
ate and quickly left. But I realise now those workmen might have
been afraid of us. Germany had just endured a gruelling occupation.
- Hate is born out of fear.
Let us expose the forces that make us fear each other for no
reason.
- Henry Makow, is the inventor
of the board game Scruples, and the author of A Long
Way to go for a Date. He received his Ph.D. in English Literature
from the University of Toronto. He welcomes your feedback and
ideas at <[email protected]>
- 19 mai2003,
- <http://www.savethemales.ca/000019.html>
CHÈVRECHOU
La vindicte de certains Zébreux
contre le "premier ministre" de l'Autorité palestinienne,
que Boubouche traite maintenant comme un copain, en disant "Sharon
? Mais ce type commence à nous emmerder !", Mahmoud
Abbas, est soupçonné derévisionnisme, on
l'a dit. Plusieurs de ses livres, dont la fameuse thèse,
ont été publiés en arabe à Amman.
Il y encore trois mois, on trouvait des "extraits" choisis
et traduits en zébreu sur le site web de l'armée
d'occupation juive (Chris McGreal, The Guardian, 19 mars
2003). D'après ces services, Abbas, dans une préface,
aurait écrit qu'il existait une politique de collaboration
entre nazis et sionistes pour s'emparer de la Palestine et la
donner aux juifs.
Finalement, c'est ce qui s'est passé.
Comme Hitler n'était pas là pour faire le coup,
ils l'ont remplacé par Staline.
- Mahmoud Abbas, premier
ministre de l'Autorité palestinienne, auteur d'une thèse
minimisant l'holocoste, a été invité à
parcourir le Musée de l'holocauste de Washington, lors
de sa visite dans cette ville cette semaine.
- Agence télégraphique
juive, 23 juillet
2003
- Palestinian Authority
Prime Minister Mahmoud Abbas, who wrote a doctoral dissertation
minimizing the Holocaust, was invited to tour the U.S. Holocaust
Memorial Museum when he is in Washington this week.
- Jewish Telegraphic
Agency, 23 juillet
2003.
INTROUVABLES
CHAMBRES À GAZ
Un certain Bay s'est lancé dans
la recherches des chambres à gaz de Treblinka. Spécialiste,
dans le civil de l'interprétation des photos aériennes,
comme Poirier et Brugioni, comme Ball, comme l'expert convoqué
par l'inénarrable avocaillon Zimmermann, il a concentré
ses efforts sur Treblinka et fournit le résultat de ses
recherche sur le site de Mazal.
Annonce:
- A new, powerful article
on Treblinka has been published on the web site of the Holocaust
History Project. The article is based on two little-known aerial
photographs found in the National Archives. One of the aerial
photographs was taken before the camp was built, the other shortly
after its destruction.
- The author Alex Bay,
a specialist in aerial photography, has spent months analyzing
the images and correlating them with ground photos captured from
the Nazis. The results are quite spectacular.
- To view this long (20,000
words) article simply visit:
- <http://www.holocaust-history.org>
- and click on the link
entitled "The Reconstruction of Treblinka."
- Harry W. Mazal OBE
Il a cherché à "reconstruire"
l'emplacement des chag mais le résultat, même à
ses yeux, est très loin d'être probant:
- Treblinka: Reconstruction
of the Death Camp
- Physical Characteristics
- The death camp, also
referred to as the 'Upper Camp' because it was several feet higher
than the rest of the installation known as the 'lower Camp',
was surprisingly small. The area encompassed by the security
fences only totaled about 22 acres [8.8 hectares]. There were
reportedly only a small number of buildings on the site: the
old and new gas chambers, the barracks housing the resident Jewish
labor force, and a watch tower that was situated somewhere in
the center of the area. There were almost no traces found of
any of these buildings on the aerial photographs. An exhaustive,
persistent and careful examination finally yielded persuasive
evidence of the large chamber's position on aerial photos taken
in September of 1944. Scarcely any signs could be found of interior
security fences. The massive earthworks, resulting from the excavation
of the huge burial pits, were not distinguishable. Neither could
traces of the pits themselves be seen. The earliest good aerial
photos taken in May of 1944 showed only a large area of light
toned and sandy soils. The pictures exposed later in September
also did not have any signs of the localized excavations. So
thorough was the churning of the soils as a result of the repeated
digging and backfilling during the camp's active life, that it
was not possible to localize, any of the burial sites on the
aerial data. However, using a combination of ground and aerial
photography and written accounts, the location of the gas chambers
was identified, and in one case, the site of a burial pit, opened
for the removal and cremation of the corpses. Much of the security
fencing was also traced through use of the same sources.
- The Gas Chambers
and the Tube
- The reconstruction was
begun with an analysis aimed at precisely positioning the gas
chambers. Figure 31 shows two frames of aerial photography in
registration. It could be assumed that the May aerial photographic
coverage would be the best for locating the gas chambers because
it was taken only six months after the buildings were razed.
A close study of this photographic coverage -- using a variety
of tonal and image sharpening enhancements -- failed to reveal
many clues. It was known that the chambers were located somewhere
in the center of the 'Totenlager', but the May imagery in that
area is in a bland, homogeneous region of mostly undifferentiated
light gray tones. One feature which is clearly visible is an
access road extending down through the woods. This road is shown
on many maps of the camp as ending at a gate just to the northwest
of the new gas chamber and to the east of the tube. The road
served to localize the search, but remnant scars or other signs
could still not be found on the May coverage. The September coverage,
on the other hand, evinces a complex of scars and vegetative
cover showing varying degrees of stress. These photographs were
taken after the Red Army overran this region of Poland in late
August and early September of 1944. See Appendix C for a chronology
of the military operations at that time. It is presumed that
most of the disturbances are attributable to the effects of the
camp's operations and subsequent sanitization and clearing. It
is also probable that most of the frantic digging by the local
peasantry seeking gold and other valuables took place after the
Red Army moved on. Thus, the September coverage, despite a lapse
of 10 months from the camp's razing, seems to hold the key to
the gas chamber's location. The time of the year allowed a maximum
visibility of stressed plant cover almost one year after the
time that the camp was razed. Several significant patterns were
discovered after close study of this photography.
Et plus loin:
- Reconstruction of
the Death Camp (Continued)
- In Figure 32, the fruits
of the close study are represented by four annotations, A through
D. A, B and C point to small light toned points aligned in linear
patterns. These patterns are interpreted to be the locations
of fence posts. Their spacing is about 7 to 8 meters (24 to 34
feet). The tonal pattern at the post's locations may be due to
digging around them to effect removal, or more likely because
they were set in concrete to anchor the fence in the sandy soil.
Of significance is that annotation A consists of two parallel
rows of these light toned dots about 5 to 6 meters apart. These
scars are believed to be the 'Schlauch' or 'hose pipe'. Arad
(Reference 1, pg 42)) describes this structure as being 4.5 to
6 meters wide. The width the linear patterns of A-B is also 5.5
to 6 meters.
- Annotation D is a large
rectangular scar, with a smaller square appendage extending to
the south. The larger area measures roughly 27 meters [88 feet]
on a side. The size as well as the orientation of this feature
initially points to this as possibly being the site of the footings
for the large gas chamber building. The pattern of this area
is one that would be expected as the result of an excavation
made to allow the demolition and removal of a building's foundations.
It cannot, however, be explained why the scars from the removal
of this building should persist so clearly, while those from
the grave pits became overgrown. In the figure, light tones are
representative of sterile soil and dark tones are indicative
of soil that supports more vigorous plant growth. It became clearer
after studying other sources, that this area could not be the
site of the gas chambers. It was concluded that it was rather
the area where the grates for burning the victim's corpses had
been.
- The key to resolving
the question concerning the location of the gas chambers was
found in Yacob Viernik's map*, previously presented in Methods
and Materials, Figure 13) Viernik worked in the 'Totenlager',
and drew the map in Warsaw shortly after his escape in 1943.
Important elements of the map are verifiable on the aerial photos
as is demonstrated in Figure 33. Most importantly, he drew the
tube with a right angle turn near the end. He shows a security
fence running roughly east-west just to the north of the tube.
The fence is visible on the September aerial coverage in the
form of a cut through the woods. It was only noticed after studying
Viernik's map. To see it clearly requires stereoscopic viewing
of the photography. It was evidently later abandoned, and the
northern boundary of the death camp moved southward, out of the
woods. This comparison served initially to establish the accuracy
of Viernik's other accounts of Treblinka and to promote confidence
in the reliability of a model he built of the camp.
- Viernik was a unique
survivor. He was present early in Treblinka's existence. He worked
on building the new, large gas chambers. By virtue of his value
as an artisan, the SS gave him access to both the 'Totenlager'
and the living camp. His description of his stint during the
building of the new, larger gas chambers gives insight to the
location of that structure. He wrote in A Year in Treblinka:
- Plus loin: Unfortunately, the aerial photography
does not contain enough information to delineate the boundaries
of the graves. The May coverage is sufficient only for crudely
identifying the places where deep disturbances in general are
probable, but the exact boundaries cannot be established.
Donc on en revient toujours au dessin
(dont l'auteur de l'étude dit qu'il est en partie faux
et qu'il n'est pas à l'échelle, testis unus et, ajoutons pour notre part, testis
nullus. Cette règle date de bien avant les camps...
Comme l'auteur le dit plus loin: "The method is not absolute,
but rather depends on a convergence of evidence." C'est-à-dire
à l'orientation que l'on donne à une convergence
que l'on suppose plus qu'elle ne s'impose. Tout ça est
bien fumeux.
<http://www.holocaust-history.org/Treblinka/deathcampinternet/>
Aller à <http://www.holocaust-history.org/>
et cliquez sur
<The Reconstruction of Treblinka (20,000
words, 67 photos) by Alex Bay >
A noter que l'initiateur du site, Harry
Mazal, qui ne manque jamais de faire suivres son nom de la mention
OBE (Order of the British Empire), chose que nous aurions tendance
à considérer comme une marque d'infamie, est un
partisan du mythe de la chambre à gaz de Dachau, à
laquelle il a consacré tous ses soins. Il a fabriqué
une grande cuve de ridicule dans laquelle il barbote allègrement.
Voir:
<http://www.holocaust-history.org/dachau-gas-chambers/>
LES
BOUCHONS DE CORK
Le site de notre ami le révisionniste
irlandais David Noone semble croître et prospérer.
Il affiche les couleurs avec cette façon directe qu'ont
les Irlandais, qui les situe aux antipodes des Anglais. Noone
est persuadé que la civilisation occidentale est en train
de foutre le camp. Les Irlandais, qui ont perdu l'essentiel de
leur civilisation gaélique en des temps fort anciens, et
qui ont été opprimés de la plus cruelle manière
par les Anglais pendant près de huit siècles, avant
de récupérer leur indépendance (encore incomplète,
à cause de la mainmise britannique sur l'Ulster) sont bien
placés pour savoir quand la civilisation s'étiole.
En descendant tout en bas de la page d'accueil
du site, on trouvera un petit texte sur la superbe ville de Cork,
qui en dit long:
- "Cork-Whose culture
is vanishing due to multiculturalism and Americanisation "
Les ivrognes disparaissent (les bouchons,
ou pubs, n'y peuvent rien). On les dépouille quand ils
sortent dans la rue. Le nord de Cork en toujours en état
d'hostilité avec le sud. Et les voyous étrangers
sèment leur confusions. Néanmoins, nous pouvons
vous dire d'aller à Cork: c'est une ville étonnante
qui vaut la visite.
<http://www.geocities.com/david_noone88>
Le lien semble avoir disparu...
Voir ce qui remplace, les choses vont
très vite, le texte sur Cork n'est plus là...
< http://members.odinsrage.com/reo/realism.html>
Il dit aussi:
"The Germans
were perfectly entitled to shoot the likes of Primo Levi under
international law, instead they sent him to work in a camp, he
survived and spent the rest of his miserable life lying about
the Germans who showed him mercy."
Encore une phrase qui va nous faire
des amis...
C'EST
DU CINEMA
- 'Hannibal
the cannibal' to star as Irving the Holocaust denier
- By Catherine
Milner and Chris Hastings
-
- The trial of David Irving,
the British historian branded a Holocaust denier by a High Court
judge, is to be turned into a £10 million drama, expected
to star Sir Anthony Hopkins. Ridley Scott, the director of Gladiator
and Alien, is to produce the film, based on the libel
trial three years ago in which Irving was called an "anti-Semite
and racist" who "distorted historical data to suit
his own political agenda".
- The declaration effectively
ended Irving's career, [affirmation ridicule ]
during which he had argued that Hitler did not plan a "Final
Solution" for Jews. His court defeat was hailed by campaigners
against Holocaust denial. The film is being scripted by Ronald
Harwood, who won an Oscar last year for the screenplay of the
Holocaust drama The Pianist. Scott is keen for the role
of Irving to be played by Hopkins, who won fame as the cannibalistic
serial killer Hannibal Lecter in The Silence of the Lambs.
- One senior executive
involved in the project said: "The film will be
- the definitive story
of the trial and its role in the Holocaust story. As far as both
Scott and Harwood are concerned, Hopkins has the first say on
the role. The part is his for the asking."
- The drama is being produced
by HBO, the American production company behind The Gathering
Storm, the recent award-winning drama about Churchill starring
Albert Finney, on which Scott was the executive producer. The
Irving libel trial came about after the American historian Deborah
Lipstadt condemned him in her 1994 book Denying the Holocaust: The Growing Assault
on Truth and Memory. Irving sued, saying the description
of him as a man prepared to bend historical evidence "until
it conforms with his ideological leanings and political agenda"
was damaging to his career.
- Irving -- a heroic figure
to some far-Right groups -- represented himself during the trial,
in which he argued that the number of Jews killed by the Nazis
had been exaggerated and that there had been no programme of
"systematic extermination". However, Mr Justice Gray
ruled that Irving was an anti-Semitic racist whose claims were
demonstrably untrue, and ordered him to meet the £2.5 million
costs of the case. An appeal by Irving was rejected and he has
since been declared bankrupt.
- Professor Lipstadt
has discussed the script
with Mr Harwood and is very enthusiastic about the film
project. "I am very pleased that Ronald is involved and
that the film is being done by the team behind The Gathering
Storm," she said. "There is always a danger with things
like this that they can end up generating publicity for people
who don't deserve publicity. I don't think that will happen here:
these are serious people who will bring a professional and committed
approach to the story."
- Irving, 63, told The
Telegraph he had not been approached by anyone connected
with the project, but added that he would be happy to help whoever
was going to portray him. "I'm relatively relaxed about
the whole thing," he said. "If it is an accurate portrayal,
they'll have to reflect some of my arguments and show that I
was fighting on my own against a massive team of lawyers."
- He thought the American
public found Holocaust dramas "a big turn-off", but
added: "I think a story like this will work best as a courtroom
drama. I just hope they give me a fair crack of the whip.
- 29 juin 2003
- <http://www.fpp.co.uk/Legal/Penguin/films/Ridley_Scott/STel290603.html>
LES
GRANDES PANURGIES LYONNAISES (suite)
Plantin: les universités
lyonnaises vont faire appel
- Les universités
Lyon 2 et Lyon 3 vont faire appel de la décision du tribunal
administratif de Lyon de revalider les diplômes de l'universitaire
révisionniste Jean Plantin, annulés en 2000 et
2001 et passés dix ans auparavant, a-t-on appris mercredi
auprès d'une responsable des universités lyonnaises.
- "Le conseil d'administration
de Lyon 2 et celui de Lyon 3 ont donné leur accord pour
que leur président interjette appel de cette décision",
a affirmé cette responsable. Le tribunal administratif,
statuant en référé le 21 juin, avait suivi
l'avis du commissaire au gouvernement, qui avait conclu lors
de l'audience le 3 juin au bien-fondé de la requête
de M. Plantin et recommandé que ses diplômes soient
revalidés. [...]
- AFP, 2 juillet 2003.
Z'ont plus peur des gauchistes juifs
que du ridicule...
POLOPE
Holocaust Revisionism
and Neo-Nazism:
They are Not the
Same!
- By Paul Grubach
-
- One of the most damaging,
oft-repeated and false accusations leveled against Holocaust
revisionism is that it is part of an extremist neo-Nazi movement,
the ultimate purpose of which is to destroy democratic political
systems and reintroduce Nazi totalitarianism. Expressing this
widely held sentiment, a major opponent of Holocaust revisionism,
Dr. Michael Shermer, described Holocaust revisionists as a "small
but vocal group of anti-Semites, neo-Nazis, and political radicals
who would like to see the return of National Socialism."[1]
Shermer imputes to all revisionists a covert desire to restore
the Third Reich, or bring on a Fourth. A cursory review of the
evidence will easily demonstrate the falsity of this claim.
- Laird Wilcox, an expert
on political extremism, estimated in 1989 that a minority (up
to 25%) of Holocaust revisionists were Nazi apologists, which
means of course that the vast majority (75%) at the time were
not.[2] In the decade that followed Wilcox's estimate, revisionism
has attracted a much wider audience which surely reduces this
figure significantly. Holocaust revisionism's opponents like
Shermer make it a point to ignore this important piece of evidence
whenever they invoke the "revisionism-equals-Nazism"
canard.
- The father of Holocaust
revisionism, Paul Rassinier, was a pacifist, former Communist
and left-wing socialist who opposed the Nazis during WWII, and
because of his activities in the French Resistance was interned
by the Germans in Nazi concentration camps.[3] Indeed, this association
of liberal and left wing intellectuals with Holocaust revisionism
has continued in France to this day. The French-Jewish historian
and bitter opponent of revisionism, Pierre Vidal-Naquet, has
noted that at the core of revisionism in France is a left-wing,
revolutionary group, La Vieille Taupe.[4]
- The French revisionist
scholar, Dr. Robert Faurisson, is a life-long apolitical liberal
who never had any sympathies with Nazism. Another prominent,
left-of-center French intellectual who is sympathetic to Holocaust
revisionism is Serge Thion. The famous French political philosopher,
Roger Garaudy, is a former leftist Communist theoretician who
converted to Islam. He is also a noted proponent of Holocaust
revisionism in France.
- One of the premier spokesmen
for Holocaust revisionism in America is Bradley Smith. His present
wife is of Mexican descent and his ex was Jewish. For numerous
years prior to his involvement with revisionism he was a liberal
free speech advocate who described himself as a Libertarian.
Clearly, he hardly fits the mold for a neo-Nazi. Prominent American
revisionist author and activist Michael Hoffman II has expressed
stringent criticism of Adolf Hitler and Nazism. He wrote:
- "Hitler was a disaster
for Germany. He took fully legitimate ideas about organic community
and rootedness to the soil and twisted them into a modern counterfeit.
In the name of fighting the Bolshevik police state, he created
one of his own. In the name of military prowess, he rendered
his people defenseless before the merciless devastation of RAF
bombers of the British Empire. He crusaded against Communism
and ended up Communizing half of Europe. Hitler is the pre-eminent
failure and incompetent of this historical era."[5]
- Regarding Nazism as a
political system, Hoffman's judgment is equally harsh and accurately
reflects the consensus of opinion among many revisionists who
I have associated with:
- "The Nazi system
was suited to an ant-hill comprised of servants, lackeys and
toadies automatically obeying "supreme leaders" whose
vision was corrupted by the mindless adulation they commanded.
How I chuckle sardonically when I stand amid howling Jewish mobs
and bands of know-nothing reporters as they accuse all revisionists
of trying to "revive Hitler" and having a "secret
agenda" of "neo-Nazism."[6]
- Clearly, this is hardly
the talk of a "neo-Nazi."
- The fact of the matter
remains is that Holocaust revisionists cannot be politically
stereotyped, as they represent a wide range of political opinion,
leftist, liberal, libertarian, centrist, conservative, rightist.
There is indeed also a visible minority of neo-Nazis that consider
themselves Holocaust revisionists, but the vast majority of revisionists
cannot be categorized as such. Holocaust revisionism is an
historical school of thought and not a political movement.
- In their Denying History:
Who Says the Holocaust Never Happened and Why do They Say It?,
Michael Shermer and co-author Alex Grobman write: "Some
Holocaust deniers, particularly those with extremist right-wing
leanings, might gain greater acceptance if the crime (of the
Holocaust) attached to fascism had never actually happened. Without
the Holocaust perhaps fascism would be a more acceptable alternative
to democracy."[7]
- Long before the Holocaust
legend, a majority of people in the Western democracies rejected
totalitarian fascist movements, thus showing that fascism is
not an acceptable alternative to democracy in the minds of most
European peoples. Stephen Roth, a former director of the Institute
of Jewish Affairs (London), proceeds to explain why he believes
that Holocaust revisionism is the most effective weapon in the
"neo-Nazi" arsenal:
- "If the crimes of
the Nazis can be wiped off the record of history, if the Nazi
regime can be whitewashed and made to appear as admittedly somewhat
disciplinarian and tough on law and order but basically harmless
and more efficient than our allegedly lax Western democracies
with their growing disorder, their crimes, violence, and riots,
then the neo-Nazis would have won a great victory. The system
advocated by them would also look harmless and acceptable, and
the ideological resistance to it, largely based on awareness
of the horrors of the past, would be undermined, particularly
among younger people who have no personal experience of Nazi
rule."[8]
- Should the revisionists
succeed in convincing the peoples of the Western democracies
that the "gas chambers" never existed, the vast majority
would still harbor considerable resistance to the philosophy,
political system, and policies implemented during the Third Reich.
The National Socialists advocated a command state, with one-party
control of society and censorship of the press. By contrast,
inherent in the modern political culture of the West is acceptance
of a multi-party state, independence of the press from overt
political control, and a disdain for open regimentation.
- Indeed, historian Francis
Nicosia considers this an important factor in England's refusal
to ally with National Socialist Germany during the 1930s. He
points out that there was a fundamental irreconcilability between
the National Socialist and English political philosophies and
systems.[9]
- Furthermore, the populations
of the democracies, particularly America, seem fixed in the belief
that a certain quota of disorder and dishonor, from riots and
street crime to political and economic corruption, is an acceptable
price to pay for the maintenance of the democratic society. If
Holocaust revisionism is not a neo-Nazi movement, why do its
opponents and critics continually label it as such?
- What they are trying
to accomplish, I believe, is very simple. If people end up believing
that Holocaust revisionism is, in essence, a neo-Nazi movement,
many will be convinced that due to this association that the
principal tenets of revisionism are false and perhaps even evil.
This is an ad hominem line of "reasoning" which is
logically fallacious but very psychologically appealing to large
segments of the population. The truth or falsity of a theory
(such as Holocaust revisionism) is independent of the political
leanings of its proponents. As the philosopher of science Karl
Popper noted, it doesn't matter where hypotheses come from, only
whether they explain the evidence they are based on, whether
they are subject to disproof, and whether they can hold up to
attempts to disprove them.[10]
- In short, this "revisionism-equals-Nazism"
accusation is simply an ideological battering ram utilized by
revisionism's opponents to discredit and undermine Holocaust
revisionism.
- NOTES
- [1] Online: www.skeptic.com/wpbwt.html
See point #2.
- [2] Laird Wilcox, "The
Spectre Haunting Holocaust Revisionism," Revisionist Letters,
Spring 1989, p. 8.
- [3] See the biographical
material of Paul Rassinier by various authors in Paul Rassinier,
The Holocaust Story and the Lies of Ulysses: A Study of the
German Concentration Camps and the Alleged Extermination of European
Jewry (Institute for Historical Review, 1978). Known as Debunking
the Genocide Myth.
- [4] Pierre Vidal-Naqet,
Assassins of Memory: Essays on Denial of the Holocaust,
(Columbia University Press, 1992), pp.116-120.
- [5] Michael Hoffman II,
The Great Holocaust Trial, Third Commemorative Edition,
(Wiswell Ruffin House, 1995), p.136.
- [6] Ibid.
- [7] p.16.
- [8] Michael Curtiss,
ed., Anti-Semitism in the Contemporary World (Westview
Press, 1986), p.222.
- [9] Francis Nicosia,The
Third Reich and the Palestine Question (University of Texas
Press, 1985), p.77.
- [10] Karl Popper, Conjectures
and Refutations: The Growth of Scientific Knowledge (Basic
Books, 1962), passim.
- <http://www.codoh.org/revisionist/tr08notnazi.html> and read the article. Paul
Grubach <[email protected]>
SHOAH
BUSINESS (suite)
- The expression "No
Business Like Shoah Business" was used by Professor Yaffa
Eliach of Brooklyn College at the 1981 Annual Scholars' Conference
on the Holocaust: The Impact of the Holocaust. The Conference
was held at the Holiday Inn, 440 West 57th Street in New York
City. Professor Eliach was responding to papers given by the
late Sybil Milton and the late John Mendelsohn on "Museums."
- Other presenters at this
conference included Henry Friedlander, George Mosse, Raul Hilberg,
Lucjan Dobroszychi, Bernard Wasserstein, Michael Ryan, Joan Ringelheim,
Michael Wyschogrod, Hubert Locke, Franklin Littell and Lawrence
Langer.
- Submitted by: Professor
Marcia Sachs Littell, Director Master of Arts Program in Holocaust
& Genocide Studies, The Richard Stockton College of NJ, Pomona,
NJ.
ON
LES RETROUVE
Ils s'acoquinent
Le mois dernier, nous avons publié
le texte violent d'une pseudo Luiza Toscane, éminente représentante
de la fraction tunisienne de l'organisation des bolcheviks en
peau de lapin, la LCR, un lieu où les yiddishophones ont
toujours eu besoin de quelques idiots séfarades. Cette
intéressante personne remerciait avec effusion un certain
Albert Herszkowicz, que nous avons identifié comme médecin
de banlieue. Nous avons beaucoup d'estime pour les médecins
de banlieue, en général. Mais la bonne Luiza
omettait de remercier le petit groupe de flicards qui se cachent
sous le pseudo de "Didier Denainxxx". Celui-ci allait
immédiatement renvoyer l'ascenseur en publiant dans son
torchon confidentiel si mal nommé "les enquêtes
interdites", n· 38, l'immortelle contribution dudit
Dr. Albert au fameux colloque de l'histoire trouducutée
dont nous avons rendu compte l'an passé: "L'antisémitisme
en Europe aujourd'hui: au-delà de la négation par
Albert Herszkowicz, membre de l'association Mémorial 98
-- Communication au colloque "l'Histoire trouée; négation
et témoignage" de l'Association Internationale de
Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides
(AIRCRIGE), organisé pour le plus grand bien de la carrière
d'une certaine Coquio.
- Participations au colloque
«l'histoire trouée» (100 % sioniste) en 2002:
- Luiza TOSCANE (Comité
pour le respect des Droits de l'Homme en Tunisie), Le statut
de la victime dans les ONG: une expérience tunisienne,
Jeudi 19 septembre après-midi. Amphi Descartes.
- Président de
séance : Jean-René Chauvin. (100% trotzkyste, frankiste
puis néokriviniste, et bientôt bezancenotiste) Témoin
et militant.
- Albert HERSZKOWICZ.
Médecin. Réflexions sur l'évolution de l'antisémitisme
en Europe.
Luiza Toscane (pseudo) écrit dans
Rouge et le Diplo, Un livre en 95 à l'Harmattan,
L'islam, un autre nationalisme. Ouvrage très superficiel,
voir le compte rendu de Roland Marchal dans Politique africaine,
<http://www.politique-africaine.com/numeros/pdf/064149.pdf>
Ne pas confondre avec la représentante
du Parti des Travailleurs, mouvement trotzko-lambertiste algérien,
Louisa Hanoune. Bref, toutes les nanas trotzkystes d'Afrique du
Nord, s'appellent Louiza. Il suffit de le savoir.
LETTRE
À L'AHURI DES POUBELLES
A l'attention
de Monsieur Didier Daenincks.
- Rédaction de:
amnistia.net
- Un article signé
Adel Kastel, publié dans Al Quds al arabi du 27/06/02
et relayé par Tunisnews le lendemain, m'a révélé
( excusez mon impardonnable ignorance) votre existence et celle
de votre site. Quelle fut ma surprise de découvrir, en
le consultant, que c'est votre journal daté du 25/02/2000
qui a alimenté l'article d'Al Quds, présenté
pourtant comme une information d'une brûlante actualité.
- J'ai bien compris, à
la lecture des premières lignes de votre journal, que
vous en voulez à mort à Gilles Perrault et que
c'est à sa préface à mon livre que je dois
ce rarissime privilège d'être épinglé
par la "conscience universelle" que vous prétendez
être.
- Vous en voulez à
mort à Gilles Perrault, disais-je. Vous avez sûrement
vos raisons et je ne veux pas les connaître. Sachez néanmoins
que, pour ma part, j'éprouve pour lui une profonde reconnaissance
pour tout ce qu'il a fait et continue à faire pour la
liberté et la démocratie dans nos pays. Je voue
aussi une réelle admiration pour l'éminent homme
de lettres que j'ai découvert bien longtemps avant Notre
ami le Roi et ses préfaces et, ne pouvant rien vous
cacher, j'ai pour lui une indéfectible amitié pour
des raisons que seul le coeur en a le secret. Je compte bientôt
vous lire et je ne manquerai pas de vous exprimer mon admiration
si, comme je l'espère, votre littérature m'apportera
le plaisir que je n'ai pas trouvé dans vos investigations
journalistiques. Le passé politique de Gilles Perrault,
qui vous fait perdre le sens de la mesure et même l'esprit,
m'importe peu, convaincu que seuls les idiots ne changent pas.
- Venons-en maintenant
à Abdelhamid Bdioui. Il fut mon premier colistier en 1989
comme je l'ai écrit et comme vous l'avez rapporté
dans votre journal. Mais il s'était illustré, seize
mois auparavant, par sa candidature à une élection
partielle dans la même circonscription. C'était
là, la principale raison de notre rencontre. Je l'avais
bien écrit pourtant mais votre mauvaise foi vous a empêché
de le signaler à vos lecteurs.
- Et d'ailleurs, croyez-vous
que les alliances politiques hors d'Europe occidentale, au Cambodge
ou en Tunisie par exemple, se font et se défont en fonction
des opinions des uns et des autres sur les événements
de la seconde guerre mondiale ? Aurais-je dû, avant de
m'allier à Bdioui, sonder ses opinions, son conscient
et son subconscient, sur les génocides des Juifs, des
Tziganes et des homos, perpétrés durant la 2è
guerre mondiale ? Et pourquoi pas sur celui des Arméniens
au début du 20è siècle, l'inquisition ou
la traite des Noirs quelques siècles auparavant ?
- Vous êtes, monsieur,
ou trop naïf, ou, et c'est ce je crois, trop prétentieux.
- Je vais vous dire à
ce propos le fond de ma pensée.
- Pour moi et pour une
bonne partie de l'humanité, la deuxième guerre
mondiale (tout comme la première d'ailleurs) était
à l'origine un événement strictement européen.
Elle n'a concerné le reste du monde que par ce que ses
peuples étaient sous domination des principaux belligérants
et vous devez vous souvenir que sa jeunesse avait servi de chair
à canon, dans une guerre qui n'était pas la leur.
Ses dérives et notamment les génocides, intéressent
tout particulièrement l'histoire européenne et
n'engagent que la conscience des Européens. C'est essentiellement
pour cela que, quoique compatissant avec toutes les victimes,
je ne me suis jamais senti concerné, à quelque
niveau que ce soit, par ses faits et méfaits.
- Vous voulez lui donner
un caractère universel et en faire assumer la responsabilité
morale à la conscience humaine? Soit! Personnellement,
j'en serai ravi et je rêve du jour où les peuples
et, les hommes et les femmes qui les composent se reconnaissent
mutuellement les torts et se décident à sortir
de leurs ghettos culturels, ethniques, religieux et autres, pour
assumer entièrement leur humanité.
- Mais alors, dans ces
conditions, il faudrait reconnaître, aujourd'hui moralement
et, demain, au plan du droit international, tous les génocides
et tous les crimes contre l'humanité, à commencer
par les croisades et en passant par les génocides des
Amérindiens et des peuples primitifs d'Océanie,
la traite des Noirs, la colonisation, les génocides Cambodgien
et Rwandais... et celui qui est perpétré aujourd'hui
contre le Peuple Palestinien.
- Il faudrait aussi cesser
de croire qu'il y a un peuple élu et, que les autres,
blancs, noirs ou métis, constituent tout juste une infra
humanité, corvéable à merci. C'est à
ce prix que tous les hommes, sans distinction d'aucune sorte,
peuvent assumer le douloureux passé de leur condition
humaine, y compris la Shoah et espérer construire un jour
un monde fraternel. C'est là le humble avis de celui
que vous qualifiez arbitrairement d'ami des négationnistes.
- Mais revenons un peu
à votre texte, repris avec une incroyable inconscience
par le journaliste d'Al Quds. Contrairement à ce
que vous avancez et quoique les offres ne m'ont pas manqué,
je n'ai jamais assumé de hautes responsabilités,
ni sous Bourguiba, ni sous Ben Ali. Mais là où
vous dérivez complètement, c'est quand vous écrivez
que " le mouvement fondé par Ahmed Manaï"
a apporté son soutien à Roger Garaudy. Mensonge
gratuit puisque je n'ai jamais constitué de mouvement
politique et je vous mets au défi d'apporter la
moindre preuve à vos allégations.
- Un dernier mot concernant
votre supplicié Abdel Hamid Bdioui. Je ne sais, treize
ans après notre rencontre, ce qu'il pense vraiment des
thèses que vous lui attribuez. Mais quelque soit ses convictions
à ce sujet et, quoique je ne l'ai connu que le temps d'une
campagne et que je n'ai aucune nouvelle de lui, depuis treize
ans, je fais de cet allié de circonstance un ami. Je défendrai
son honneur (et sa mémoire s'il est décédé)
contre toute forme de terrorisme intellectuel, conscient qu'il
lui revient en propre d'assumer ses propres choix et qu'il est
moralement indécent d'en faire porter la responsabilité
à ses proches, ses amis, des alliés politiques
de circonstance ou encore à ... Gilles Perrault pour sa
préface d'un livre où figure le nom de Bdioui.
- J'espère que
vous aurez le courage de publier ma réplique. [Non,
évidemment. ne demandez pas ce courage à cette
larve. ]
- Salutations.
- Ahmed MANAÏ
L'ahuri élucubrait sur
<http://www.amnistia.net/news/enquetes/prefaces/prefaces.htm>
DEBIT
DE TABASSAGE
A Nice, cité des Moulins, le 1er
octobre 2001, Daniel-Hedi Milan, Français de 54
ans était tabassé et torturé par des policiers
de la cité. Séances de coups de poing et de pied,
de coups de cutter et de strangulation à son domicile,
sur le trajet, et à l'intérieur du commissariat.
(Faits attestés par des certificats médicaux, des
photos et des témoignages). A la suite d'une lettre de
cachet adressée au parquet de Nice, par une officine
fasciste raciste sioniste de Paris. Pour un commentaire
de l'actualité, bulle dessinée stigmatisant
le racisme sioniste. Il demeure très choqué !
Ses tortionnaires n'ont toujours pas été inculpés
!
Ils lui ont cogné la tête
contre les murs, ont pris son ordinateur, l'ont laissé
48 heures en garde à vue sans soin et sans nourriture.
Qu'en est-il des libertés ? Et
de la sécurité des personnes ?
La justice et les flics s'endorment sur
les dossiers.
Contact / Soutien: 06 21 54 32 25.
ENCORE
LES ANTISEMITES JUIFS
- Is Chomsky
an antisemite?
-
- This claim has been
made by others and I have always dismissed it as too simplistic.
I have known some genuine Jewish antisemites, Michael Bradley
being the one whose work I debated on MIT radio. Strange, yes.
But they do exist, Jews whose life's work is to prove that Jews
are a, if not the, primary cause of evil in the world. No one
is more antisemitic than a friend of mine when he goes off the
deep end, a friend whom I also consider a personal hero and who
is half Jewish (by ancestry, not upbringing; his father had converted
to Christianity).
- But I never was sure
about Chomsky. I never saw it in those of his writings
that I had studied. Those writings always struck me as well reasoned
and meticulously researched. But then I came across the book,
Partners in Hate, by Werner Cohn which can be found at
- [nizkor.org] [Nous
fûmes les premiers à mettre en ligne cette brochure
pathologique:
- < /aaargh/engl/opponents/cohn/cohn.html> (Apparently listed there by date the section
of the book was posted, the bibliography is listed first and
the preface last. First published in 1988, the preface to a new
addition was written in 1995 and Cohn claims that the evidence
for his thesis grew stronger during that time.) Cohn's thesis
is that
- (1) Chomsky -- hiding
behind a cloak of libertarian protector of free speech --
is actually an antisemite as documented by his active
collaboration with antisemitic holocaust deniers and those
who wish to see the total dissolution of the State of Israel
[a dissolution that would surely mean the death of most of the
Jews living there]. Cohn documents a collaboration with antisemites
that goes far beyond standing up for their freedom of speech.
- (2) Chomsky knows what
he is doing and attempts to hide his connections and active aid
to neo-Nazis from his English-speaking audience.
- (3) At least in some
cases, and Cohn claims in many, Chomsky is guilty of scholarly
dishonesty of the type I discovered when I wrote a critique of
the antisemitic pseudo-science of Kevin MacDonald; whenever I
checked the actual sources, I found profound misrepresentation
and selective quoting that changed the meanings. (Cohn documents
specific examples of this in part 07 of his book)
- And,
- (4) Chomsky's support
has been crucial to the survival and growth of some quite
hideous antisemitic groups.
Dan Kriegman, 9 Jul 2003 23:22:11 -0500,<[email protected]>
Encore un qui est né de la dernière pluie. Remarquez
comment il n'essaie même pas de vérifier les assertions
délirantes de W. Cohn. Voyez
tout cela en détail à notre page Chomsky.
GAY
PRIDE OU STATUE FIÈRE
America unveils
gay holocaust memorial
-
- The first ever memorial
to gay men and lesbians who were murdered by the Nazis was unveiled
yesterday in San Francisco.
- The memorial, Pink Triangle
Park and Memorial, can be found in the city's gay Castro district
and is comprised of 15 triangular granite pylons, each marked
with a pink triangle, to commemorate the tens of thousands of
gays and lesbians who perished under the Nazi's murderous regime.
- Although most were not
sent to the extermination camps, many were subjected to hard
labour, which in itself was a death sentence. It is estimated
that approximately 200,000 died as a result of being executed
or worked to death. The Nazi 'doctors' were particularly keen
on experimenting on gays, to see if they could discover, then
eradicate whatever made them gay.
- The persecution didn't
end with the liberation of Europe however, as paragraph 175 of
the German penal code, which band gay relationships, remained
on the Statute Book in West Germany until the early 70s. The
gay victims of the Third Reich are largely forgotten to admit
that that it was wrong to eradicate an entire group of people
because of their sexuality leads to having to admit that gays
should be treated exactly the same as straights, and not all
politicians want to do that. Funds raised by the Eureka Valley
Promotion Association paid for the memorial in San Francisco
and was dedicated by Mayor Willie Brown. Gustavo Serina, president
of the Association reminded everyone that the memorial has been
erected so that these sorts of crimes never happen again.
- "People must realise
that if you marginalize one group or one individual based on
inherent characteristics, you run the risk of marginalizing everyone,"
he said. Perhaps right-wing Jews should really think about what
they're doing by torching gay pride flags in Jerusalem.
A competition was held to find a suitable design for the memorial.
- Gay.com UK, Tuesday 24 June, 2003
- <http://64.4.14.250:80/cgi-bin/linkrd?_lang=EN&lah=e2fa1f9b37cabb895428a1ccbeeb2529&lat=1057901452&hm___action=http%3a%2f%2fuk%2egay%2ecom%2fheadlines%2f4555>
PETITE
REVISION ENTRE AMIS
- Have you ever seen the
statement, attributed to Theodor Adorno, that "Auschwitz
begins wherever someone looks at a slaughterhouse and thinks:
they're only animals"? I thought that this message taken
from the Philos-L list might be of interest to listmembers:
- 1) It offers a fascinating
example of how an alleged "quote" can gain a life of
it's own (just paste the words "Auschwitz begins wherever
someone looks at a" into google and see how many items
it calls up !)
- 2) Apparently, the quote
"starred" in a recent controversy in which animal rights
activists compared modern meat production with the Holocaust.
- From: "Frederik
van Gelder" July 10, 2003 8:16 PM
- Subject: Adorno quote
- I can say with certainty
that there is no such quote in Adorno. Not in the Gesammelte
Schriften, not in the Nachlassbände, not in the
'Adorno-Blätter'. What you've got here is simply
apocryphal. Perhaps you're thinking of the oft (mis)quoted
passage about poetry after Auschwitz.
- Dr. Frederik van Gelder,
Institut für Sozialforschung, J.W.-Goethe-Universität,
<[email protected]>
- H antisem 11 juillet
2003
PETITE REVISION:
LE LIBERIA A ÉTÉ FONDÉ
POUR SE DÉBARRASSER DES NOIRS
- Was Liberia
Founded By Freed U.S. Slaves?
-
- By Mary Kay Ricks
-
- In Tuesday's Washington
Post, an
- <http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/articles/A55771-2003Jul1.html> editorial urging President
Bush to send peacekeepers to civil war-wracked Liberia noted
that the country was "founded by freed U.S. slaves."
Is that true ?
- Not quite. Although some freed American
slaves did settle there, Liberia was actually founded by the
American Colonization Society, a group of white Americans -including
some slaveholders-- that had what certainly can be described
as mixed motives. In 1817, in Washington, D.C., the ACS established
the new colony (on a tract of land in West Africa purchased from
local tribes) in hopes that slaves, once emancipated, would move
there. The society preferred this option to the alternative:
a growing number of free black Americans demanding rights, jobs,
and resources at home.
- Notable supporters of
transporting freed blacks to Liberia included Henry Clay, Francis
Scott Key, Bushrod Washington, and the architect of the U.S.
Capitol, William Thornton -- all slave owners. These "moderates"
thought slavery was unsustainable and should eventually end but
did not consider integrating slaves into society a viable option.
So, the ACS encouraged slaveholders to offer freedom on the condition
that those accepting it would move to Liberia at the society's
expense. A number of slave owners did just that.
- When the first settlers
were relocated to Liberia in 1822, the plan drew immediate criticism
on several fronts. Many leaders in the black community publicly
attacked it, asking why free blacks should have to emigrate from
the country where they, their parents, and even their grandparents
were born. Meanwhile, slave owners in the South vigorously denounced
the plan as an assault on their slave economy.
- Abolitionist resistance
to colonization grew steadily. In 1832, as the ACS began to send
agents to England to raise funds for what they touted as a benevolent
plan, William Lloyd Garrison revved up the opposition with a
236-page book on the evils of colonization and sent abolitionists
to England to track down and counter ACS supporters.
- But the scheme had some
fans. Slave states like Maryland and Virginia were already home
to a significant number of free blacks, and whites there --still
reeling from Nat Turner's 1831 rebellion, which emancipated slaves
had a hand informed local colonization societies. Thus encouraged,
Maryland legislators passed a law in 1832 that required any slave
freed after that date to leave the state and specifically offered
passage to a part of Liberia administered by the Maryland State
Colonization Society. However, enforcement provisions lacked
teeth, and many Marylanders forgot their antipathy to free blacks
when they needed extra hands at harvest time. There is no evidence
that any freed African-American was forcibly sent to Liberia
from Maryland or anywhere else.
- By the 1840s, the American
Colonization Society was largely bankrupt, and the transported
Liberians were demoralized by hostile local tribes, bad management,
and deadly diseases. The U.S. government would not claim sovereignty
over the colony, so in 1846 the ACS demanded that Liberians declare
their independence. In the end, around 13,000 emigrants had sailed
to Liberia. Today, vestiges of the emigration can be seen in
Liberia's Maryland County, in the American-sounding names we
read in the papers, and, as reported on National Public Radio,
in one Liberian restaurant's offer of Maryland-style fried chicken.
- Slate, 5 juillet 2003,
<http://www.informationclearinghouse.info/article4006.htm>
DEFINITIONS
- Révisionnisme
- Un article de Wikipédia,
l'encyclopédie libre.
- Le révisionnisme
est la tendance à revoir les opinions historiques. Il
est basé sur l'utilisation de nouvelles acquisitions,
et donne une nouvelle interprétation (une ré-écriture)
de l'histoire. Le révisionnisme est une attitude classique
et inévitable, que cela soit pour l'historien ou pour
le scientifique.
- Le révisionnisme
le plus connu concerne l'holocauste et tente d'attribuer à
Hitler des responsabilités limitées. L'une des
méthodes souvent utilisées par les révisionnistes
de l'holocauste est la comparaison des crimes nazis avec ceux
de l'URSS stalinienne et la relativisation sous-jacente qui en
découle.
- Voir aussi : Négationnisme
- <http://fr.wikipedia.org/wiki/R%E9visionnisme>
- Négationnisme
- Un article de Wikipédia,
l'encyclopédie libre.
- Le négationnisme
est une doctrine consistant à nier l'existence même
de faits historiques. Il ne prend pas en compte les règles
historiographiques.
- Les négationnistes
les plus connus sont positionnés sur l'Holocauste. Les
plus radicaux d'entre eux nient l'existence des chambres à
gaz, l'extermination des Juifs, Tziganes, malades mentaux et
de façon plus générale tous les individus
appartenant aux peuples considérés inférieurs.
Selon cette doctrine, le génocide pratiqué par
l'Allemagne nazie n'a jamais eu lieu, et relève du mythe.
- Voir aussi : Révisionnisme
- <http://fr.wikipedia.org/wiki/N%E9gationnisme>
- Le révisionnisme
(ou négationnisme
).
- Idéologie de
ceux qui cherchent à minimiser, ou à nier, les
crimes des nazis, en particulier le génocide des juifs
d'Europe.
- Le révisionnisme,
qui repose toujours sur l'antisémitisme, trouve aussi
ses sources sinon dans une sympathie à l'égard
du nazisme, tout au moins dans un antidémocratisme
virulent; ainsi, l'évolution de Roger Garaudy, d'abord
catholique et communiste avant de devenir révisionniste,
s'explique-t-elle par sa haine du système démocratique,
qu'atteste sa collaboration active, dans les années 1980
et 1990, avec de nombreux groupes de droite et d'extrême
droite opposés à la démocratie parlementaire.
Mais, quelle que soit la tendance idéologique dont sont
issus les révisionnistes, tous se retrouvent dans leur
antisémitisme -- y compris Garaudy -- et dans la défense
d'idéologies racistes. [Quels rigolos !
]
- La question des chambres
à gaz
- En particulier, les
révisionnistes font preuve d'une frénésie
tenace à nier l'exitsence des chambres à gaz. En
France, Maurice Bardèche (le beau-frère de Robert
Brasillach), Paul Rassinier [beau-frère de Ducon
la Joie, sans doute ], Robert Faurisson, Henri Roques,
Pierre Guillaume [également beaux-frères
de quelqu'un ] et Garaudy, en Allemagne Wilhelm Stäglich
et Arthur Butz ont par là cherché à nier
l'existence d'une politique d'extermination nazie, ou à
en diminuer l'ampleur ; les années 1970 et 1980 virent
ainsi se développer une intense polémique sur le
nombre de juifs assassinés par les nazis. La découverte
des archives de la compagnie de chemins de fer allemande, la
Reichsbahn, qui attestent du nombre de juifs déportés,
a non seulement contribué à infirmer définitivement
le discours révisionniste, mais cette découverte
a permis de mettre en lumière l'intention profonde des
nazis d'exterminer les juifs: alors qu'en pleine guerre les trains
auraient pu être réservés aux seuls transports
militaires, ceux-ci furent en effet consacrés à
déporter des juifs vers des campas d'extermination.
- Une autre polémique,
parallèle, qui se développa surtout en Allemagne
à partir de 1986 et de la «querelle des historiens»,
visa à comparer l'extermination des juifs au système
du goulag stalinien, pour tenter par là de nier la spécificité
du crime nazi -- thèse défendue par Ernst Nolte
et combattue, entre autres, par Jürgen Habermas.
- Les tentatives de
dissimuler la Shoah
- Les témoignages
des rescapés des camps de la mort, et surtout la disparition
de près de six millions de juifs d'Europe entre 1940 et
1945 constituent une réfutation totale du révisionnisme.
Celui-ci ne peut dès lors que reposer sur la quasi-absence
de documents officiels nazis sur la politique d'extermination;
cependant, sont notamment parvenus jusqu'à nous des directives
de juin 1941 concernant l'extermination systématique des
commissaires bolcheviques et le compte rendu final de la conférence
de Wannsee. Les nazis, et spécialement les SS, tentèrent
de faire disparaître toute trace de leurs crimes. En juin
1942, Himmler créa le kommando secret «1005»;
placé sous le commandemant du colonel SS Blobel (responsable
des massacres de Babi Yar) avec pour tâche de faire
disparaître toute trace des tueries de 1941-1942, de
faire rouvrir les fosses communes, d'en faire brûler les
cadavres et d'en disperser les cendres. Les déportés
eux-mêmes, furent contraints, avant d'être massacrés,
de détruire les camps d'extermination de Belzec, de Sobibor
(1942) et de Treblinka (1943). A Auschwitz même, avant
la construction des fours crématoires (été
1942), les corps des victimes étaient brûlées
à l'air libre: «() Lorsque le feu avait vraiment
pris, on y jetait les autres cadavres. La graisse qui se déposait
dans le fond de la fosse était récupérée
avec des seaux que l'on versait sur le feu pour accélérer
la combustion. [En cuisine, ça s'appelle une
lèchefrite.] Par vent d'ouest, la puanteur des
corps parvenait jusqu'au camp.» (Rudolf Höss, commandant
du camp d'Auschwitz, dans : W. Dressen, E. Klee, V. Riess, Pour
eux «c'était le bon temps». La vie ordinaire
des bourreaux nazis, Paris, 1990). Dès le mois de
juillet 1944, devant l'avancée des troupes soviétiques,
la destruction des documents relatifs à la «solution
finale» et à sa mise en oeuvre avaient commencé.
A Auschwitz, les crématoires II et III sont démantelés
en décembre1944-janvier 1945. Le crématoire V est
détruit à l'explosif le 22 janvier. Le dernier
crématoire saute le 27 janvier, quelques heures seulement
avant que les premières unités de l'Armée
rouge entrent dans le camp.
- Par ailleurs, il semble
que même chez les dignitaires nazis les plus endurcis,
«le refoulement de l'horreur obligeait à travestir
le vocabulaire» (G. Besoussan, Histoire de la Shoah,
Paris, 1996). Les documents internes ne désignaient l'assassinat
de masse qu'à mots couverts: le gazage était appelé
«traitement spécial», les chambres à
gaz «installations spéciales» (Spezialeinrichtungen),etc.
- La difficulté
du témoignage
- Les rescapés
des camps nazis ont mené une réflexion extrêmement
pénible sur ce qui a pu rendre possible un tel crime,
et sur la difficulté de ceux qui ont vécu ce crime
à en rendre compte. Ainsi, Charlotte Delbo, qui fut déportée
en 1943 à Auschwitz, écrivit à son retour:
«Aujourd'hui, je ne suis pas sûre que ce que j'ai
écrit soit vrai. Je suis sûre que c'est véridique»
(Auschwitz et après, 1970).
- Le révisionnisme,
à l'inverse, utilise la réflexion sur la quasi-impossibilité
de communiquer un témoignage sur l'extermination pour
conclure à son mensonge, à utiliser le caractère
insupportable des crimes pour favoriser leur refoulement collectif.
- Les crimes jugés
à Nuremberg ne mettaient pas fin à une époque,
ils l'ouvraient. Ainsi, le révisionnisme, en cherchant
à nier la Shoah sous prétexte que ses exécutants
ont pu, pour la plupart, rester inconnus, constitue un encouragement
à dissimuler tous les crimes d'Etat; de la même
manière, il a fallu attendre le milieu des années
1980 pour que les militaires argentins, dénoncés
par les mères des disparus -- que l'on qualifia d'abord
de « folles» --, reconnaissent avoir assassiné
plus de trente mille personnes dans les années 1970, et
s'ils ont fini par publier la liste des victimes, les noms des
assassins sont toujours inconnus. De la même manière,
au Rwanda, au Kossovo, etc. devant un «passé qui
ne passe pas», un révisionnisme sournois
consiste, sinon à nier totalement les crimes de masse
-- ce qui n'est pas toujours possible --, du moins à entretenir
un soupçon généralisé sur le témoignage
des survivants, à ergoter sur le nombre exact des victimes,
à brouiller les pistes, à effacer les traces
- Données encyclopédiques,
2001 Hachette Multimédia Yahoo Encyclopédie
- <http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/ne/ne_0440_p0.html>
LA
NEGACIÓN DEL HOLOCAUSTO
- Es indiscutible que
la historia siempre es interpretada en forma retrospectiva por
las generaciones posteriores como un intento por comprender los
procesos, sus causas y sus efectos. En el caso particular del
Holocausto los esfuerzos sistemáticos por "revisarlo"
son parte integral de una iniciativa que pretende incorporar
la ideología nazi a la sociedad contemporánea.
Quienes niegan el exterminio judío utilizan para sus fines
los estereotipos antisemitas tradicionales y se manifiestan abiertamente
en contra del Estado de Israel. A través de distorsiones,
verdades a medias y mentiras, recrean un mundo en el que los
nazis son las víctimas y los judíos son los villanos.
- Este movimiento se remonta
a 1944, cuando algunos jefes nazis y guardias de las SS que formaban
parte del engranaje de la maquinaria asesina comprendieron que
la guerra estaba perdida y abandonaron Alemania. Encontraron
refugio en Francia, Suecia, los Estados árabes y en diversos
países de América del Sur, desde donde iniciaron
una campaña para evitar que el nazismo fuese desacreditado.
Pronto se convencieron de que para implementar el "Cuarto
Reich" era necesario desvincular al nazismo de las atrocidades
cometidas durante el Holocausto.
- En un principio intentaron
minimizar sustancialmente la cifra de judíos exterminados,
libraron al alto mando alemán -- principalmente a Hitler
-- de la responsabilidad para más tarde afirmar que todo
era una invención y que, incluso, los mismos judíos
eran los autores de esa masacre.
- Paulatinamente extremistas
franceses, americanos y británicos se fueron sumando a
esta corriente. Con su libro "Desenmascarando el Mito del
Holocausto". Paul Rassinier, quien había sido preso
político en Buchenwald, fue de los primeros en intentar
refutar sistemáticamente los datos y socavar las pruebas.
Para finales de los sesenta, casas editoriales de prestigio publicaban
ya diversos libros que intentaban rebatir el asesinato de seis
millones de judíos orquestado por los nazis.
- En 1976 el Dr. Arthur
R. Butz, norteamericano, profesor de la Northewstern University
escribió "El Mito del Siglo XX" en el cual admitía
la persecución de judíos pero desmentía
su exterminio. La negación del Holocausto adquirió
mayor fuerza a partir de 1977 con la fundación del "Instituto
de Revisionismo Histórico", que bajo una fachada
intelectual distribuye material antisemita. La negación
del Holocausto se convirtió en una mezcla de extremismo,
racismo y nacionalismo y sus adherentes adquirieron una legitimidad
aparente en círculos intelectuales. Sin embargo ecos revisionistas
también se escucharon entre individuos no asociados a
grupos abiertamente antisemitas. En la década de los 90
somos testigos del fortalecimiento a nivel mundial de este movimiento
que intenta rehabilitar el nazismo y crear un nuevo orden basado
en la "supremacía aria".
- Sus argumentos
- A simple vista y eliminando
el componente antijudío, los argumentos que utilizan estos
"seudo-intelectuales" parecen lógicos, internamente
consistentes y razonables. Intentan ocultar su ideología
fascista y antisemita al afirmar que su objetivo es simplemente
poner al descubierto cualquier falsedad histórica. Parte
de su estrategia consiste en reinterpretar la segunda guerra
mundial sin centrarse exclusivamente en el exterminio de los
judíos. Al referirse al Holocausto afirman que ningún
judío murió gaseado. Tal es el caso de Robert Faurisson,
profesor de literatura contemporánea de la Universidad
de Lyon, quien afirma que "todo es una mentira y que las
cámaras de gas no existieron". Muchos otros establecen
que el Tercer Reich planeaba solucionar el problema judío
a través de la emigración y no de la aniquilación.
Aceptan que existieron campos de concentración, pero niegan
que hubiese campos de exterminio. Las instalaciones de Auschwitz
-agregan eran utilizadas para cremar los cuerpos de los prisioneros
que morían por diversas causas" incluyendo el "bombardeo
genocida" de los aliados. Reconocen que murieron "muchos"
judíos durante la guerra, pero que se debió a las
condiciones generales que imperaban en la contienda.
- David Irving -- el más
conocido exponente de esta corriente -- en su libro "La
Guerra de Hitler" concluye que el Fuhrer fue un líder
débil que desconocía la Solución Final.
Irving niega que las cámaras de gas de Auschwitz hayan
sido utilizadas para exterminar judíos y afirma que los
millones que desaparecieron viven en Medio Oriente escondidos
bajo falsas identidades.
- Diversos países
cuentan con una legislación que contrarresta el influjo
negativo de quienes niegan el Holocausto. En Alemania, Austria,
Italia y Canadá, por ejemplo, la literatura de Irving
está prohibida. Así mismo Ernst Zundel y James
Keegstra, defensores de Hitler, fueron juzgados de acuerdo con
el Código Criminal de Canadá y consignados por
publicar material que "puede ocasionar daño al entramado
social y promover la intolerancia".
- En los últimos
20 años corrientes antisionistas han utilizado dichas
consignas. Comparan perversamente a los israelíes con
los nazis y equiparan a los palestinos con los judíos
de los campos de concentración al afirmar que "las
víctimas se han convertido en victimarios". Dicha
tesis carece de fundamento, ya que a diferencia del régimen
fascista del Tercer Reich, en ningún momento el gobierno
ni el ejército israelíes han implementado una política
de exterminio contra la población palestina de la zona.
- La corriente alemana
- Existe, a la vez, una
corriente de historiadores que intenta estimular el desarrollo
de una identidad nacional germana que reivindique a los alemanes,
eximiéndoles de su responsabilidad histórica. El
Holocausto, afirman, es un hecho reprochable pero "natural"
dentro de la evolución de la humanidad. Como tal, los
alemanes no deben sentirse más culpables que los demás.
- La derecha germana,
representada -- entre otros -- por historiadores como Ernst Nolte,
aduce que los alemanes no fueron los primeros en cometer un genocidio
ya que fueron precedidos por Stalin quien fue el creador de los
campos de concentración. "Sería un error"
-establece Nolte- "tomar en consideración sólo
de uno de los asesinatos en masa, cuando existe la posibilidad
de un nexo casual entre ambos". Nolte justifica que Hitler
considerara a los judíos como enemigos afirmando que en
1939 Jaim Weizmann, líder del movimiento sionista, declaró
que los judíos apoyarían a los adversarios de Alemania.
A pesar de las evidencias sobre el proceso que llevó a
la "Solución Final", el historiador considera
las políticas antijudías como un producto de la
guerra y no como un programa previamente elaborado.
- A su vez, Arno J. Mayer,
profesor de historia europea en la Universidad de Princeton,
sostiene que el exterminio judío fue una reacción
ante la inminente victoria de los aliados. Los judíos
eran los creadores del bolchevismo y como tales, debían
desaparecer. Esta versión contradice la línea de
argumentación utilizada consistentemente por los nazis
de que los judíos fueron asesinados por ser racialmente
impuros. Por su parte la izquierda radical, con Lenni Brenner
a la cabeza, mantiene que los sionistas colaboraron con los nazis
para fomentar el antisemitismo en Europa y lograr así
la creación de un Estado judío.
- <http://club.telepolis.com/jescudero2/jescudero2/1e1999/1eproyecto1/la_negacion.htm>
RÉVISONS
LA GUERRE FROIDE
Frances Stonor Saunders Who Paid the
Piper?
Comment l'Ouest
fut conquis
-
- Voilà un travail
magnifique, un travail de scholar anglo-saxonne (Saunders
est anglaise), précis, référencé.
Ce travail nous offre une image surprenante et même stupéfiante,
et exceptionnellement enrichissante pour notre réflexion,
de l'action clandestine d'influence des Etats-Unis (principalement
de la CIA) en Europe occidentale. Nous disons bien, car c'est
tout l'intérêt du livre : en Europe occidentale,
au Royaume-Uni, en France, en Allemagne fédérale,
etc., et cela principalement dans les années 1945-47 jusqu'en
1960.
- Saunders décrit
une vaste opération américaine de subversion générale,
mais avec des aspects généraux très contrastés
et extrêmement spécifiques, qui ressortent plus
de l'influence pure, y compris et surtout l'influence culturelle,
que de la "guerre de l'ombre" stricto sensu.
(Certes, tout cela nous est présenté comme quelque
chose qui a quasi-exclusivement à voir avec la guerre
de l'ombre, la guerre anti-communiste, mieux, le combat anti-communiste
et pour la Liberté. Nous voulons y voir autre chose, de
prodigieusement plus intéressant.)
- D'une part, sans doute,
le sens du combat est clairement présenté : la
lutte contre la subversion communiste. Le combat est celui de
la Liberté et, au-delà, de la civilisation occidentale.
A cette époque et compte tenu du climat, de ce qu'on en
savait et de ce qu'on croyait (les débuts de la Guerre
froide, les premières terreurs d'une guerre nucléaire
ajoutées à la pesanteur extraordinaire du fait
stalinien, même finissant), ces affirmations ne peuvent
être écartées comme simples slogans. Il y
avait, dans l'esprit des gens impliqués, une pensée
de cette sorte, aussi forte, aussi pesante, aussi mobilisatrice,
il y avait même une foi et l'on avait affaire à
des croisades.
- Ce "programme"
que nous détaille Saunders était un programme de
la CIA mais il s'appuyait intensément sur la dimension
culturelle, avec des hommes de culture engagés de façon
très intensive dans cette bataille. On rencontre des noms
connus, qui peuvent surprendre, -- l'Américain Arthur
Schlesinger, Jr., principal correspondant de l'opération
aux USA, en Europe le Suisse Bertrand de Jouvenel, le Français
Raymond Aron, Arthur Koestler ce rescapé du communisme
dont on a presque oublié la nationalité entre toutes
ses aventures de communiste et de proscrit du communisme. Les
outils de bataille du programme se nomment Congress for Culturel
Freedom, la revue Encounter, le Boston Philarmonic
Orchestra lorsqu'il fait sa tournée européenne
de 1952, etc. On est loin des dirty tricks de la CIA.
Au reste, à cette époque encore, la CIA portait
l'héritage des habitudes et des tendances des services
de renseignement américain de la guerre, le fameux OSS
(Office of Strategic Services) du colonel Donovan, qui
se targuait d'intellectualisme, d'une certaine liberté
de fonctionnement et même d'indépendance d'esprit.
(En guise d'exemple du même style, Saunders rapporte que
l'OSS comptait comme collaborateurs occasionnels mais néanmoins
répertoriés, durant la guerre, des gens comme Ernest
Hemingway et Antoine de Saint-Exupéry.) Au coeur de l'opération,
on trouve également l'étonnant James Jesus Angleton,
chef du service contre-espionnage de la CIA, à la fois
mégalomane des complots soviétiques et ami des
poètes, sinon poète lui-même (dans tous les
cas, collectionneur émérite d'orchidées).
Melvin Jonah Lasky, l'une des têtes pensantes de cette
offensive de la CIA et d'ailleurs original lui-même, juif
cosmopolite new-yorkais parfaitement à son aise en Europe,
agissant en extérieur à la CIA, qualifiait cette
bataille de « Cultural Cold War ». Aucun doute
là-dessus, c'est parfaitement de cela qu'il s'agit.
- A côté de
la croisade anti-communiste, la formidable architecture du National
Security State se met en place
- Maintenant, passons à
la réalité, c'est-à-dire à la confrontation
entre les ambitions, les interprétations, les appréciations
intellectuelles d'une part et, d'autre part, les réalités
politiques de ces temps à la fois glacés et fiévreux.
Si l'on considère le rapport des forces et les positions
extrêmes des protagonistes, si l'on prend en compte la
puissance américaine et le délabrement extraordinaire
de l'Europe, cette guerre culturelle ne pouvait déboucher
sur autre chose qu'une intense américanisation de la bataille.
Seule l'Amérique représentait un pôle de
stabilité et de puissance. Par ailleurs, on connaît
ses ambitions à propos de la pénétration
et de l'influence mondiales, qui existent dès l'origine
du pays, qui sont consubstantielles au pays et s'insèrent
par conséquent parfaitement dans l'entreprise que nous
décrit Saunders. C'est-à-dire que la guerre culturelle
anti-communiste fut aussi bien une entreprise d'américanisation
des élites européennes au nom de la défense
contre le communisme.
- Nul ne s'en cache. Il
y a, à cette époque, un sentiment intense de solidarité
occidentale. (Les anti-américains, les adversaires de
l'Amérique, s'ils sont nombreux en Europe, sont à
part, la plupart étant communistes ou proches du communisme;
c'est-à-dire qu'ils rejettent aussi bien l'Europe non-communiste
que l'Amérique, ils rejettent un ensemble de valeurs ou
ce qu'ils jugent être un ensemble de valeurs. Rien à
voir avec l'anti-américanisme d'aujourd'hui.) La question
des rapports transatlantiques ne se manifeste pas vraiment comme
on la connaît aujourd'hui, posée de façon
lancinante. L'Atlantique est simplement un pont entre les deux
parties d'un même corps qui est celui de l'Occident à
la fois chrétien et libéral (inventeur de la liberté),
héritier tout autant des traditions chrétiennes
et du siècle des Lumières. Tout cela est amalgamé
en un seul bloc qui subit l'attaque du Barbare venu de l'est,
du chaos asiatique, de la subversion marxiste-léniniste.
Mais ce n'est qu'un aspect de la situation.
- A côté, il
y a aussi une formidable machine en marche, qui est celle de
la bureaucratie la plus puissante du monde, c'est-à-dire
la plus riche, la mieux organisée, la mieux servie par
des relais industriels et universitaires, et c'est de la bureaucratie
américaine dont on parle. Elle est née pendant
la guerre dans sa forme moderne et elle s'est formatée
(comme on dirait aujourd'hui) dans un moule à la fois
contraignant et plein de puissance, qui se nomme le National
Security State. Saunders ne manque pas de nous détailler
tous les aspects de cette machinerie, et il y en a un nombre
surprenant, avec de nombreuses découvertes ; la CIA dans
toutes ses activités inconnues dans leur dimension culturelle,
bien sûr, «acting as America's Ministry of Culture
-- an unofficial minister for propaganda with almost unlimited
powers».
- Voilà que se pose
donc la question, -- entre les deux, qui l'emporte ? Qui est
le plus fort ? Entre la croisade occidentale contre le communisme
et la formidable machine bureaucratique du National Security
State ? Saunders nous répond en arrêtant son
travail au début des années 1960. C'est l'époque
où la croisade s'essouffle. Bientôt, Khrouchtchev
et Kennedy, après un affrontement à Cuba, se trouveront
côte à côté devant ce qu'ils désignent
comme l'ennemi commun, qui est le danger de l'holocauste nucléaire.
Tous deux prestement éliminés, on sait comment,
en 1963 et en 1964, leur nouvelle posture leur survivra. C'est
la "détente", face souriante de l'équilibre
de la terreur, qui sanctionne cette nouvelle époque. Lorsque
débutera la "seconde Guerre froide", en 1975-76,
les temps auront changé. Devant l'URSS finissante, corrompue
jusqu'à l'os, qu'on chargera des ambitions grotesques
de la conquête du monde, se dressera la bureaucratie militaro-industrielle
américaine qui l'emportera, qui a survécu à
tout depuis, pour venir jusqu'à nous, qu'on voit à
l'oeuvre aujourd'hui. Fin de la bataille, et l'on comprend que
le National Security State l'a emporté, la croisade
anti-communiste de l'Occident chrétien et libéral
n'est plus qu'un souvenir.
- Ce livre est une invitation
à réapprécier, à réévaluer
ce que fut vraiment la Guerre froide
- Saunders nous invite à
détailler cette période qu'elle décrit à
partir de tant de documents inédits, et alors nous conseillons
au lecteur d'avoir à l'esprit ce qui a suivi et de ne
pas oublier ce qui se passe aujourd'hui. A cette condition, la
lecture de Who Paid the Piper ? est, en plus d'être
instructive, prodigieusement enrichissante. Dans ce cas, tout
honnête homme de notre temps, s'il en reste, se doit de
l'avoir dans sa besace.
- Quant au reste ... Le
problème est de savoir jusqu'où tout cela peut
conduire, cette croisade des années 1947-48 jusqu'aux
années 1960; jusqu'où peut-on aller trop loin avant
de se perdre dans des chemins de traverse les plus douteux. Voilà
le cas d'un Raymond Aron; encensé par l'intelligentsia
parisienne courante (l'actuelle, celle d'aujourd'hui qui a largué
le marxisme-léninisme) comme le prototype de l'intellectuel
modéré, un homme de sagesse souvent opposé
à un Sartre qui a failli en soutenant aveuglément
le communisme et ses turpitudes staliniennes. Aron avait des
agissements qu'on peut comprendre dans les années 1940
et 1950, dès cette époque directement subventionné
par la CIA, comme le signale Saunders. Mais que dire de cette
mésaventure que rapporte le général Gallois
dans ses mémoires, Le sablier du siècle ?
(L'Age d'Homme, Lausanne, 1999.) Gallois détaille les
variations d'Aron, dans les années 1958-64, à l'égard
de la force nucléaire française en développement,
tantôt approbateur, tantôt critique; puis Gallois
observe que ces variations correspondent bien souvent, et même
systématiquement, à des variations de la politique
de Washington vis-à-vis de cette force nucléaire.
Quelle explication ? Gallois, encore, nous rapporte cet entretien
d'un jour de 1963, avec un ami américain du temps de l'OTAN,
le colonel Kintner; Kintner l'invite dans sa chambre de l'hôtel
Castiglione pour lui parler d'un projet de centre d'analyse transatlantique
franco-US pour expliquer la stratégie américaine,
projet auquel il voudrait intéresser Gallois; Kintner
qui se heurte aux réticences de ce dernier, Gallois jugeant
la proposition bien maladroite par sa propagande, si maladroite
que, dit-il, «Raymond Aron et ses amis, qui s'efforcent
d'expliquer la stratégie américaine à l'opinion»,
la jugeraient également de cette façon ; et Kindner,
dépité, qui grogne: «Raymond Aron sera bien
obligé d'être d'accord. C'est moi qui lui apporte,
pour ses publications, l'argent de la CIA.» La remarque
est malheureusement lumineuse et nous rend un peu moins sympathique
le parcours d'après-guerre de cette sorte d'intellectuels.
C'est-à-dire qu'on mesure ici, avec une chaîne d'arpenteur
et au son aigrelet du joueur de flûte de la fable, ce que
signifie exactement ces engagements d'intellectuel. En d'autres
termes, s'il y a longtemps que Sartre a été basculé
de son piédestal, constatons qu'un tel livre et la documentation
éparse qui nous est disponible aujourd'hui ne donnent
désormais pas plus le droit à Raymond Aron de demeurer
sur le sien.
- Saunders nous invite,
à partir du matériel qu'elle nous fournit, à
réapprécier ce que fut la Guerre froide du côté
américain et occidental. Elle nous donne une clef de plus
pour explorer le phénomène américain pendant
la période, et, ainsi armé d'une vision nouvelle,
mieux considérer ce qu'est l'Amérique aujourd'hui
et ce que valent les rapports entre l'Europe et l'Amérique.
A celui qui sait y voir, Saunders donne un sacré coup
de main.
-
- Who Paid the Piper
?, 509 pages, Granta
Books, Londres, 1999
Ci-dessous, voici un texte de réflexion
sur cette question de la "conquête" des âmes
en Europe occidentale, par les Etats-Unis, telle qu'elle est décrite
par Saunders. Ce texte doit, à notre sens, compléter
utilement la lecture du livre de Saunders; il est extrait d'un
projet d'ouvrage d'analyse historique sur le pan-expansionnisme
américaniste et le virtualisme en préparation.
- La subversion
vertueuse des âmes en guise de politique étrangère
-
- Nous devons explorer
la politique étrangère des Etats-Unis durant la
Guerre froide avec ce regard différent qu'implique notre
démarche générale, et avec les facilités
que nous procurent les circonstances. Des éléments
jusqu'alors tenus secrets, apparus depuis 1989, mais surtout
un ton nouveau, qui serait comme une façon de se délier
d'une parole implicite, d'un serment solennel, permettent de
faire un peu mieux que ce qu'on a fait jusqu'ici. Il est possible
de penser sur un refrain différent, sans souci des normes,
sans craindre l'accusation d'être partisan, qui apparaît,
lorsqu'elle est dite, assez dérisoire pour nous donner
du coeur au ventre plutôt que de nous décourager.
Une attitude psychologique nouvelle a dissipé l'admiration
dévote qui accompagnait l'étude respectueuse de
l'Amérique, à peine dérangée par
des diatribes anti-impérialistes trop idéologiques
pour toucher à l'essentiel, qui fut le plat de résistance
de l'appréciation historique de l'Amérique par
les Européens durant la Guerre froide. Nous avons, moins
que durant le demi-siècle passé (le siècle,
même), le regard obscurci par les larmes d'émotion
dévote qui nous envahissaient au seul mot d'Amérique,
comme les dévotes bourgeoises au seul mot de vertu. Nous
avons l'esprit un peu plus audacieux. Il en résulte que
les circonstances diverses depuis 1989 qui concernent ce domaine,
et, par-dessus tout, qui concourent à l'essentiel qui
est l'évolution de la psychologie, permettent d'envisager
une situation où l'analyse de la période ne serait
plus nécessairement ligotée au postulat que tout
ce que fait l'Amérique, elle le fait au nom du "Monde
libre", qu'elle est censée représenter de
bout en bout par décret divin ou tout comme. Cette évolution
de la psychologie et, dedans elle, du sentiment, est une révolution
qui a sa place dans la nouveauté de la démarche
suivie ici, et précisément ce que nous-même
percevons expressément comme une nouveauté.
- Il y a quelque chose
comme une libération, à nouveau ce phénomène
de l'esprit déjà rencontré. Il s'agit encore,
dans ce cas de l'évaluation de la politique étrangère
américaine durant la période de la Guerre froide,
d'un déchaînement de l'esprit. Le jugement évolue
désormais dans un domaine où il n'est plus tenu.
Notre hypothèse devient plus audacieuse, sur laquelle
nous allons développer une réflexion sur la politique
étrangère des Etats-Unis pendant la guerre froide.
Cette hypothèse est que cette politique étrangère
fut d'abord constituée de toutes les sortes possibles
d'actions illégales et clandestines, d'action directe
et d'influence, etc, bien plus que de diplomatie et de stratégie,
et que la diplomatie et la stratégie vinrent en complément,
pour sanctifier ou habiller le résultat des activités
clandestines.
- (Disons aussitôt,
pour éviter toute sorte de procès inutiles et épuisants
que, là encore comme dans les autres occasions, cela ne
fait pas des Soviétiques, soudainement, d'inattendus prix
de vertu. L'explication là-dessus est évidente,
pour faire bien comprendre la réalité des choses
et la répartition des culpabilités. Dans ce cas
également, suivons le conseil judicieux de laisser de
côté la pensée binaire. Nous savons qu'en
matière d'activités illégales et clandestines,
les Soviétiques ne laissent leur place à personne.
Ce qui nous importe, avec la découverte des activités
américaines, est de découvrir combien celles-ci
sont différentes des activités soviétiques,
dans l'ambition et dans l'efficacité, et combien elles
perdurent au-delà de la Guerre froide.)
- Encore, pour progresser
plus avant dans notre hypothèse et retrouver la continuité
d'un argument développé lorsqu'on s'intéresse
par exemple à l'évolution décisive d'un
Franklin Delano Roosevelt vers les questions de politique extérieure
[voir sur ce site, la recension du livre The New Dealer's
War], voici une remarque essentielle: tout se passe, à
des degrés divers d'intensité, comme si la soi-disant
politique extérieure américaine était en
réalité une extension au monde de la politique
intérieure américaine, plus brutale ici où
les populations sont moins évoluées, plus subtile
voire complice là où les populations ont un air
de famille. Nous en déduisons aussitôt que la "politique
extérieure" américaine dont nous parlons pour
la période n'est pas principalement, loin s'en faut, la
politique soviétique des Etats-Unis, ni même la
"politique communiste" (politique extérieure
vis-à-vis du monde communiste) des Etats-Unis. Celle-là,
au fond, Le May [le général Curtiss Le May, commandant
en chef du Strategic Air Commande de 1948 à 1956] s'en
chargeait avec une stratégie de provocation bien au point
(voir sur ce site la recension du livre Spy Flights in the
Cold War). Cette "politique extérieure"
des USA durant la Guerre froide, il s'agit d'abord, et même
principalement pour le cas qui nous occupe, de la politique américaine
vis-à-vis du "Monde libre", lequel serait étendu
à ce qu'on nommera plus tard le Tiers-Monde, qui représente
selon ce point de vue rien de moins que les colonies émancipées
de l'Europe occidentale.
- (Plus tard encore, après
la chute du Mur, dans les années 1990, cette fausse "politique
extérieure" américaine serait étendue
à l'Ennemi lui-même avec la tentative d'une puissance
colossale d'américanisation de la Russie, qui manqua pulvériser
ce pays.)
- La géographie,
ou même la géopolitique de cette politique étrangère
américaine est aisément explicable. Puisque cette
politique étrangère n'est qu'une extension de la
politique intérieure américaine, il est logique
qu'elle s'arrête d'abord et se fixe principalement au plus
proche, par la géographie autant que par la psychologie.
Le projet est bien de faire de ces alliés du monde libre
une extension de l'Amérique au-delà des frontières
de l'Amérique, car cette américanisation de l'extérieur
constitue effectivement le seul but évident de la "politique
extérieure" américaine. L'américanisation
n'est pas une proposition culturelle, pressante certes mais qui
semble ménager un choix, qui permettrait la résistance
; c'est la fatalité d'une transmutation ontologique inévitable.
(Et si la matière ne cède pas, la crise s'installe.)
Voilà le principal aspect de la politique extérieure
américaine en général, et durant la Guerre
froide plus particulièrement.
- Parmi les travaux qui
ont mis à jour cet énorme travail de l'Amérique,
il y a le livre récent Who Paid the Piper?, de
Frances Stone Saunders. On y retrouve les habituelles qualités
du travail de recherche historique des Anglo-Saxons, avec la
masse de référence, les recherches personnelles,
les rencontres de témoins, etc.; mais le livre est précieux
parce qu'il y ajoute, -- et il n'est pas sûr que l'auteur
l'ait voulu, ni même ne l'ait réalisé, --
une atmosphère si particulière, une fièvre,
une pression, avec quelque chose d'une dimension un peu mystique.
Il s'agit effectivement, au sein de ces phalanges de la CIA qui
se lancent dans la bataille culturelle pour retenir leurs compagnons
d'Europe sur le point de se laisser fasciner par l'hydre communiste,
d'une bataille de l'esprit et, même, au-delà, d'une
sorte de conflit de l'âme. Ces hommes-là de la CIA
ne sont pas des salopards aux mains sanglantes, ni ces analystes
à la tête froide et au coeur sec qu'on rencontrera
plus tard, qui commettent avec une tranquille assurance et une
arrogance ingénue les pires erreurs qu'on puisse imaginer,
et, en passant, des crimes qui valent bien ceux que dénonce
notre catéchisme hystérique et bien-pensant. On
trouve parmi eux des hommes cultivés, des esthètes,
à l'image de l'incroyable James Jesus Angleton, ami de
Ezra Pound et de T.S. Eliot dans sa jeunesse, devenu chef des
contre-espions àl'intérieur de la CIA, qui échafaude
d'incroyables complots soviétiques et qui, à côté,
vient en aide à des poètes et à des écrivains,
sur fonds secrets. « Il était l'image parfaite de
l'espion-poète, l'inspirateur de tant de mythes romantiques
à propos de la CIA perçue comme une extension de
la tradition littéraire libérale américaine.
» (Saunders.)
- Il y a quelque chose
de profondément élevé et, par conséquent,
de profondément sincère dans ce travail de subversion
des esprits de la CIA, qui conduit à la croyance si exaltante
que ce n'est pas tout à fait de la subversion et que ce
serait plutôt un rassemblement des esprits face au complot
ultime contre la liberté. Et pourquoi pas ? Devant l'écroulement
de l'Europe, écroulement intellectuel de l'entre-deux-guerres
né de la boucherie de 14-18 et écroulement de la
guerre, l'Amérique intellectuelle se percevait elle-même
comme l'ultime rempart de la civilisation face à ce qu'on
percevait en général de la barbarie stalinienne.
Nombre d'intellectuels américains découvraient
qu'ils se trouvaient après tout en accord avec l'action
de leur gouvernement, pour cette même cause de sauvegarde
de la civilisation. Le but de l'action culturelle de la CIA devenait
naturellement l'américanisation des âmes,
à commencer par celles des intellectuels européens.
Cette américanisation des âmes était perçue
comme une entreprise pressante de sauvegarde de la civilisation.
Ce fut, pour certains, une période heureuse où
l'on put croire que le pan-américanisme était la
formule de la culture universelle, avec cet incroyable mélange
des genres, des intellectuels au chef des contre-espions James
Jesus Angleton. Nous pourrions voir dans ces circonstances, dans
l'atmosphère crépusculaire et tragiques de la fin
des années 1940 en Europe, comme la confirmation, pour
ceux qui y croyaient, de ce mouvement pan-américaniste
au niveau qui importe vraiment, qui est celui de la haute culture.
La puissance de ce phénomène, sa hauteur, en font
à notre sens le père spirituel sans hésiter
de ce qu'il y a de plus fondamental et de plus noble dans ce
qu'il est coutume de désigner comme la politique extérieure
américaine, à côté du sous-sol où
l'on trouve les manigances provocatrices d'un LeMay et les dirty
tricks de l'"autre" CIA. Mais en faisant la description
de ce phénomène sans aucun doute exceptionnel,
qui toucha toutes les élites intellectuelles occidentales,
qui rendit sans aucun doute la pénétration de l'américanisme
bien plus profonde et durable que l'investissement adverse par
le marxisme-léninisme, on en trace les limites. Le but
suppose résolues quelques conditions d'une importance
considérable. Il suppose acquis le fait que les autres
cultures n'existent plus vraiment, quoiqu'en pensent les intellectuels
embarqués dans cette galère. Si l'idée peut
avoir quelque fondement dans les années 1940, elle n'est
qu'un semblant lorsqu'on la transcrit dans la réalité
; elle ne cesse de s'affaiblir dans les décennies suivantes,
quand les cultures européennes renaissent; enfin, elle
se subvertit d'elle-même puisque, pour se poursuivre, elle
doit dissimuler toujours plus le fait de cette renaissance pour
continuer à affirmer la légitimité de l'américanisation
du monde libre. Cette idée élevée s'avère
une illusion et son côté sombre, définitivement
condamnable, fatalement auto destructeur, est qu'elle sert de
masque à une dynamique expansionniste et prédatrice.
- L'ambition n'était
pas basse pendant son âge d'or mais elle était grosse
de sa contradiction mortelle. L'issue de l'aventure ne pouvait
être qu'une crise. A côté des diverses définitions
qu'on en a données, nous proposons celle de la crise de
la tentative d'américanisation du monde (du Monde libre
d'abord) que portait évidemment la dynamique du pan-américanisme,
et dont la politique extérieure américaine était
le véhicule. Cette crise éclata dans les années
1960 et, en réalité, malgré les remarques
assidues des avocats d'origine européenne qui font mission
de relations publiques du "transatlantisme" présenté
comme la seule formule acceptable de la vertu moderniste, la
crise n'a jamais cessé et elle n'a pas été
résolue. Aujourd'hui, malgré les jérémiades
communes (et même communautaires) autour du terrorisme
et des menaces contre la civilisation, elle est prête à
gronder comme elle ne l'a jamais été auparavant.
- Ce texte a été
mise enligne le 30 décembre 2001.
<http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=162>
LA
TOLéRANCE, ÇA PEUT RAPPORTER GROS
- For more than a decade
and a half, Hier has had powerful backers among both Democratic
and Republican lawmakers, from former Governor Pete Wilson and
former Democratic leader Willie Brown, to President Bush and
Secretary of Defense Donald Rumsfeld, who invited Hier to briefings
on the war in Iraq.
- That one private museum
should continue to receive such disproportionate public funding
is particularly troubling in an era when federal tax cuts are
driving many states toward bankruptcy and the public services
they provide into oblivion. Meanwhile, according to 2001's Federal
990 Forms, filed on the center and its related activities, Hier
draws an annual salary of more than $400,000 (not including pension
benefits) -- up from $225,000 in 1994. His wife, Marlene, serving
as membership director, receives $244,000, while a son, Alan
Heir, is paid $107,365 for fund-raising activities and another
son, Rabbi Aron Hier, associate director, makes $76,018.
AU
DELÀ DU MAL
Why Holocaust
Deniers are Beyond Debate
- Andrew Markus
-
- There are two reasons
why we should not engage in debates with Holocaust deniers.
The first parallels the reason for not debating with those who
believe that the position of the planets at the moment of our
birth determines our destiny or that the earth is flat.
- We do not argue with
people who reject rationality -- just as we do not attempt to
teach the laws of quantum physics in kindergartens.
- The second reason is
the one that leads us to wash in the morning, wear decent clothes
and seek to pass on our values and beliefs to our children: we
have self-respect. We have no need to validate our sense of self
by seeking the approval of those who would destroy us, nor of
their fellow travellers.
- The likes of David Irving
question whether there were gas chambers in the hell that went
by the name of Auschwitz.
- There is not one historian
holding a position at a recognised university who questions the
existence of gas chambers. Not in Germany, not in Poland, not
in the United Kingdom, not in the United States of America, not
in Australia. Not one -- for a simple reason. It is called evidence.
- Hitler publicly announced
in January 1939, and on many earlier occasions, his manic determination
to destroy the Jewish people. Historians have the records of
the Wannsee conference held in January 1942 at which details
of mass extermination were discussed. They have the text of Heinrich
Himmler's secret speech of October 1943 at which he justified
mass murder. The commandant of Auschwitz, Rudolf Höss, left
a detailed testament of his crimes.
- What more evidence is
required? The testimonies of Polish bystanders -- peasants, town
dwellers, members of the underground and Catholic clergy? Detailed
records of train movements, photographs, architectural plans,
a patent application by the crematorium designers Topf and Sons,
the physical remains of Auschwitz-Birkenau -- including warehouses
of personal belongings?
- There is one other category
of evidence -- survivors. Because Auschwitz-Birkenau -- unlike
Treblinka, Belzec, Sobibor and Chelmno -- served, in addition
to its extermination role, as a labour camp, and because it was
the last of the centres to remain operational, thousands of witnesses
survived. They include Primo Levi and Elie Wiesel.
- To debate with the likes
of David Irving we thus have first to agree that this mass of
evidence could possibly be fraudulent, perhaps the work of the
Elders of Zion who secretly control the world. We have to assume
that during the course of war, when the German armies were marching
victorious over Europe and northern Africa, the agents of the
Elders were secretly placing fraudulent documents in the archives
of the Nazi Government. Or that after the war they were able
to force hundreds of the innocent SS to confess to crimes that
they had not committed. Or that they were hiding populations
numbered in the millions. Or that they recruited and coached
tens of thousands of witnesses, Jew and Gentile, to recite scripted
tales of acts that never occurred -- and to continue reciting
them to the present day.
- Those willing to make
such assumptions should debate the deniers. The leading American
expert on Holocaust denial, Professor Deborah Lipstadt, never
engages in such debate. She writes that "deniers want to
be thought of as the 'other side'. Simply appearing with them
on the same stage accords them that status."
- Those concerned with
ignorance of the Holocaust still in evidence in our society should
engage in Holocaust education, without giving legitimacy to the
assassins of memory.
- David Irving comments:
- It is amusing the way
that Deborah Lipstadt's threadbare old arguments circle the globe,
literally.
- No wonder she was too
scared to step into the witness box in London, and expose her
case to cross examination, even by a novice in legal matters
like myself. There is the "flat earth" argument --
Lipstadt added to this her own argument that we should not argue
with child-molesters, something she seemed obsessed with, as
though she was trying to tell us something about her own childhood.
- There is the "not-one-recognized-
historian" argument, nobody of merit who questions the existence
of gas chambers -- not in Poland, nor in Germany, nor France,
nor elsewhere. I challenged this "overwhelming consensus"
argument when it was used by a young German historian, Peter
Longerich, called as a witness for Lipstadt, in cross examination.
- I asked him if he would
tell the Court the length of the prison terms imposed on historians
in Germany, Poland, France or elsewhere who did dare to question
these facts, and what his "consensus" was actually
worth in the light of that?
- But this writer even
trots out the old story that "mass extermination" was
discussed at the Wannsee conference. Unless he has obtained a
transcript of that conference of which other historians are unaware,
then he is lying here too.
- There is not a word
about extermination in the Wannsee conference: it is a discussion
between mid-level civil servants on the logistics of getting
rid of, as in booting-out, the Jews from the Reich territory.
- He relies on the Italian
suicide Primo Levi, who wrote one novel about Auschwitz, and
the notorious liar and fantasizer Elie Wiesel, who wrote another,
though Wiesel sometimes gets confused about whether he was actually
in Buchenwald or Auschwitz.
- He quotes Rudolf Höss,
although even Raul Hilberg says that the testimony of Höss
is worthless.
- More quixoticalloy,
he also refers to the thousands of survivors of Auschwitz; but
under my cross-examination Professor Robert Jan Van Pelt admitted
that some 7,500 were in the camp when it was liberated in January
1945, and he had to agree that we never heard from them -- history
only ever gets to hear from the same seven or eight professional
Auschwitz survivors -- Henryk Tauber, Ada Bimko, and the rest.
- The sheer paucity of
the arguments offered by this opinionated Australian writer just
reveals the actual lack of evidence in support of the general
case he seeks to make.
- No wonder he and his
ilk don't want a debate, and use violence at every level in order
to avoid it. Too much is at stake. Millions. And millions, and
millions. And they know it.
- Australian Jewishy
News Internet edition.
- <http://www.fpp.co.uk/online/03/07/AJN150703.html>
FACE
AU TROU
- Holocaust
Revision Historian Faces Jail
- by Jane Marshall,
Paris
-
- French historian Jean
Plantin last week won an appeal to restore two postgraduate degrees
that had been withdrawn on grounds of their Holocaust-related
revisionism. But within days of the decision, he was sentenced
to six months in prison for continuing his publishing activities
despite a ban and criminal convictions.
- In 1990, Mr Plantin
was awarded a masters degree with distinction in contemporary
history by the University of Lyon 2 Lumière, for a dissertation
on Paul Rassinier, a founder of French revisionism. The following
year, he gained a postgraduate diploma from Lyon 3 Jean-Moulin
for research into typhus epidemics in German concentration camps.
In 1999, Mr Plantin was given a six-month suspended sentence
for denying crimes against humanity, which is a criminal offence
in France, after publishing a review of banned works. He was
also prohibited from publishing any more of his own writings.
- Anti-racist associations
succeeded in persuading the two universities to revoke Mr Plantin's
qualifications in 2000 and 2001, but he appealed against the
decisions. Last week, the Lyon administrative court found in
Mr Plantin's favour on legal grounds and restored his degrees.
Under the law, universities can annul a degree that they have
awarded only within four months of its presentation. In Mr Plantin's
cases, nine or ten years had elapsed.
- Although Mr Plantin
had handed over his publishing company to his mother and to a
friend, former Lyon academic Jean [en fait: Robert]
Faurisson, he continued to distribute revisionist works and promoted
his theses on the internet. [This is dead wrong
]
- Shortly after he was
officially reinstated as a historian, the Lyon appeal court upheld
a ruling made in January that sentenced Mr Plantin to six months
in prison for contravening the 1999 order forbidding him from
publishing books or journals. The sentence now awaits confirmation
from the Court of Cassation, the highest court in the French
judicial system.
- The Times Higher
Education Supplement July
4, 2003
KIWI
QUI DIT OUI
- Holocaust
scholar at heart of 'book burning' row
- A "book burning"
scandal has erupted at Canterbury University over an article
on controversial Holocaust scholar Joel Hayward. The decision
to recall and destroy copies of the history department's journal
History Now -- and dump editor Ian Campbell -- is dividing
the academic community.
- Canterbury lecturer
Thomas Fudge, who wrote the offending article, has resigned in
disgust and plans to leave at the end of the year. Dr Fudge said
he could not remain at a university that suppressed academic
freedom. "It made me a hypocrite trying to teach my students
to think critically and ask the tough questions - all of the
academic values that universities are about -- and here my department
was saying, effectively, we're going to burn books."
- The article revisits
the storm that surrounded the 1993 masters thesis of former Canterbury
student Joel Hayward, which questioned the validity of Holocaust
history. Dr Fudge, who lectures on medieval religious dissent
and witch-hunting, explored what for Dr Hayward became a career-ending
controversy.
- He revealed in the article
that Dr Hayward had been harassed and received death threats
against his children. Dr Hayward suffered an emotional breakdown
and left his teaching post at Massey University in June last
year. He now cannot get a job. The Fate of Joel Hayward in
New Zealand Hands: From Holocaust Historian to Holocaust?
played on the title of his thesis, The Fate of Jews in German
Hands.
- The article appeared
on May 6. Next morning, Professor Campbell was asked to appear
before his editorial committee and history department head Peter
Hempenstall. Professor Campbell said he was effectively pushed:
"The fact is that board disapproved of my editorial decision
and, as a result, I couldn't continue as editor."
- An embargo was slapped
on the journal and 500 copies recalled. Staff were later advised
that copies of the offending journal had been destroyed on the
authority of Professor Hempenstall. Another May edition of History
Now was printed without the Fudge article and an editorial
discussing truth and martyrdom.
- On May 14, Dr Fudge
defended his article at a special meeting of history department
academics, calling the censorship "unconscionable".
Last week, he confirmed to his students that he had resigned.
Professor Hempenstall declined to speak, saying the matter had
now become an employment issue between the university and Dr
Fudge.
- The New Zealand Herald, 22 juillet 2003.
- <http://www.nzherald.co.nz/storydisplay.cfm?storyID=3513941&thesection=news&thesubsection=general7-22-03>
Thomas Fudge est une sorte de pasteur
pentecôtiste et pan-protestant: Son dernier livre est "révisionniste":
This book is based on broad
and deep research into the history and development of the United
Pentecostal Church. Unique among other related studies, this
book recovers the other side of Oneness Pentecostal history and
theology. In explicating the doctrine of salvation, this book
brings particular attention to the Pentecostal Church, Incorporated
(one of the partners of the 1945 merger which formed the UPC),
the Pacific Northwest, Tennessee and New Brunswick, and important
(but often neglected) ministers such as Howard A. Goss, A.D.
Gurley, W.M. Greer, C. Haskell Yadon, Earl Jacques, Wynn T. Stairs,
E.P. Wickens, John Paterson, John Dearing and others.
Grounded in primary source
research, this boldly revisionist book examines the doctrine
of salvation in Oneness Pentecostalism (United Pentecostal Church)
from its origins through its several developmental stages. The
gradual rise of a literal interpretation of Acts 2:38 eliminated
a tradition of doctrinal diversity within Oneness thought which
regarded salvation as occurring at repentance prior to water
and Spirit baptism. With this development a main link to the
wider stream of evangelical Christianity was severed. The "water
and Spirit" theology resulted in a form of Christianity
which does not necessarily require the cross in any meaningful
sense for salvation. This study recovers the lost theological
tradition associated with a wide sector of the Pentecostal Church,
Incorporated. Combining traditional historical methodology and
theological research with the principles of a broadly based oral
history, this study argues for theological diversity within the
history of Oneness Pentecostalism and in so doing bridges an
important gap in the history and theology of the United Pentecostal
Church.
Nous avons
le texte "scandaleux" de Thomas Fudge, qui a été republié dans
le New Zealand Herald des 23 et 24 juillet. En voici la
conclusion:
Why won't the Hayward
affair come to an end? Apologies have availed nothing. Resignation
has been for naught. Passivity has been unproductive.
Do the alleged (but contested)
deficiencies of the thesis justify the chain of events, from
the unauthorised copying of a thesis, to a highly publicised
but not public inquiry, to nationwide ridicule and humiliation,
personal threats, isolation and termination of a career?
What good was it thought
was being served? Relatively early in the story, some senior
academics wanted to know why the issue was pursued, and called
for an inquiry into the motives for such activities.
On the most recent publicity,
one opinion was blunt: There seems to be a determination both
to break Joel's career and to silence inquiry into the facts
of the Holocaust.
On the latter, the implications
are precipitous. Dogmatic emphasis on the Holocaust only reinforces
and legitimises closed-mindedness, unrealistic foreign policies
and barbaric behaviour.
What specifically constitutes
denial of the Holocaust? Is it as simple as questioning whether
fewer than 6 million Jews died? Questioning testimonies of survivors?
Alleging that countries other than Germany committed war crimes?
Denying that Jewish suffering during World War II was somehow
unique?
Is it anti-Semitic to
try to remove the element of sacred myth from 1940s Jewish history?
Is it really so intolerable to deny that the Holocaust transcends
history; that it is the ultimate event or the ultimate mystery?
Is it truly obligatory
to acquiesce in the view that any survivor has more to say than
all the historians combined about what happened?
The shackles of a new
orthodoxy suggest universities cannot allow certain assumptions
to bear the weight of inquiry.
There is nothing redemptive
about the Holocaust and arguably less redemptive value in the
pursuit of Joel Hayward along a journey from Holocaust historian
to the fate of personal holocaust.
LINKLINKLINKFudge
Un dossier sur cette affaire est tenu
par le New Zealand Herald:
<http://www.nzherald.co.nz>
Pour voir la thèse de Hayward,
dont la version pdf a été subrepticement supprimée
part LYCOS,
<aaargh/eng/hay/hayindex.html>
La page d'index de l'affaire Hayward,
sur le site de David Irving, signale la publication de la thèse
de Hayward sur le site aaargh, mais en donne délibérément
et par deux fois une fausse adresse. Sloppy work or the art of
protecting one's ass ?
<http://www.fpp.co.uk/BoD/origins/Hayward/index.html>
DE
LA LÈCHEFRITE AU LÈCHE-CUL
- Dopo qualche giorno
di assenza rieccomi reduce dalla Conferenza dell'Unesco sul risorgere
dell'antisemitismo. La Conferenza e' stata molto interessante
e appena saro' riuscito a tradurre del materiale lo postero'
in lista. Solo per anticipare qualcosa posso riferirvi che la
situazione in Francia e' piuttosto grave con 290 atti di antisemitismo
censiti nella sola Parigi.
- Ho presentato l'Associazione
alla direttrice del Museo della Tolleranza di Los Angeles e ci
siamo ripromessi di esplorare la possibilità di uno scambio
diretto tra loro e noi. Il Museo e' disponibile a fornirci gratuitamente
i loro kit per gli studenti (che sono molto belli). Ho presentato
ufficialmente la nostra attività ai vertici del Centro
Simon Wiesenthal che mi hanno dato la loro disponibilità
[anche probabilmente il denaro...] alla organizzazione
di due convegni uno piu' piccolo (luogo indicativo Genova), che
dovra' preparare un convegno piu' ampio a Venezia. Sto preparando
a questo proposito una scaletta di punti per le due iniziative.
- Ho anche ottenuto la
possibilità di vendere attraverso il sito i CD Rom del
Centro riguardanti l'antisemitismo e l'odio razziale su Internet.
Gli impegni che attendono l'Associazione in futuro sono duenque
molteplici e speriamo che le nostre magre forze possano farvi
fronte. Per quanto riguarda ulteriori iniziative, mi e' arrivata
stamane la notizia che la nostra richiesta di essere associati
alla Società Italiana per lo Studio della Storia Contemporanea
(SISSCO) e' stata accolta. La cosa e' particolarmente importante
poiche' la SISSCO riunisce quasi tutto il mondo accademico e
i ricercatori italiani di Storia Contemporanea. [...]
- Qualora aveste bisogno
di ulteriori informazioni potete sempre contattarmi privatamente
al solito indirizzo: [email protected]
- cari saluti
- Giovanni Di Martis,
16 mai 2003. "Olokausto"
On y trouve tous les aveux possible
sur la servilité de lécheurs italiens. Le "rabbin"
Hier peut se les payer facilement, ils ne coûtent pas cher.
Remarquons que les gangsters américains ont souvent préféré
recruter des hommes de main pas chers en Italie.
POLICE
POSTALE À L'ITALIENNE
Il y a un an, de vigilants flics de la
pensée italiens, d'autres, Saverio Ferrari, Ketty Carraffa
et Walter Boscarello, provenant, ceux-là, de "l'Osservatorio
Democratico", publiaient une liste de sites qu'ils dénonçaient
comme hautement incorrects. On trouvait leur prose sur un site
néo-communiste, dit de "refondation":
<http://www.rifondazione.it/bergamo/gioco/>
Ces joyeux pieds-nickelés de la
pensée correcte avaient aussi l'intention de déposer
leurs conclusions auprès le "police postale"
(en Italie, il y a des polices pour tout) afin de faire fermer
ces sites, sur la base de la loi Mancino, qui réprime les
appels à la haine, raciale, religieuse et tutti quanti.
La page italienne de l'aaargh venait avantageusement en troisième
position parmi les cibles de ces vertueux bersagliere.
En deuxième place on trouvait "la
page de Fabio Galante" qu'ils décrivent ainsi:
è dedicata invece
in gran parte alla divulgazione di testi negazionisti
dell'"Olocausto". Si fa pubblicità ad un pamphlet
in difesa dei criminali nazisti processati a Norimberga (Non
colpevole a Norimberga di Carlos Whitelock Porter ) e si
presenta il popolo ebreo accostando ai loro tradizionali simboli
( il candelabro a sette braccia ) immagini di vampiri. Questo
sito si collega a "holywar", pur precisando di non
poter garantire della "veridicità" riguardo
il lungo elenco dei "crimini perpetrati dagli ebrei"
che lì vi compare. Nella "home page" spunta
in sottofondo l'immagine di Hitler e sopra di essa l'icona di
"sito consigliato da Virgilio" (!).
La page indiquée
n'existe plus. D'après celle de certains auteurs de la
région de Carbina, la page de Galante, un incontestable
nazebroque, a été censurée à maintes
reprises:
"Ma ora il sito
di Fabio Galante è "desaparecido"... scomparso.
E' stato censurato per l'ennesima volta. Anche noi, autori di
Carbina, abbiamo il potere di censurare tutto quello che qualcuno
lascia sul nostro sito, negli spazi pubblici. Ma da quello che
avrete letto negli svariati messaggi del forum di Carbina, avrete
anche intuito che riteniamo più costruttivo lasciare
a chiunque la libertà di esprimere la propria opinione,
l'importante è che si assuma le responsabilità
di quel che afferma.
Et finalement, il donnent l'adresse actuelle
de la page:
<http://fgalante.tripod.com/enter.htm>
On y trouve une page sur Nuremberg (texte
de Carlos Porter, bien connu de nous) et une page sur la Shoah
qui est essentiellement faite d'extraits de Graf, (L'Hol au
scanner), tels qu'ils ont été publiés
en Italie dans L'Uomo libero, et qu'on peut les lire sur
notre page italienne, <...aaarg/ital/Grafi.html>
<http://fgalante.tripod.com/auschwitz.htm>
Mais le plus remarquable, peut-être,
est le prolifération des panneaux mis à l'ouverture
des pages par ce Fabio Galante, pour avertir le lecteur qu'il
s'enfonce sur un chemin menant droit à l'enfer:
"ATTENZIONE: Questo
sito Web è monitorato dal Centro Informatico par la Ricerca
sui Crimini Telematici (CIRCT) Il numero du TCP/IP dal quale
provieni è stato automaticamente registrato e decodificato,
ed un sistema remoto controllato dai servizi segreti israeliani
è risalito al tuo nominativo che è stato istantaneamente
inserito nel database dei neonazisti potenziali. Un funzionario
della Pollizia Postale potrà, da questo momento in poi,
entrare in contatto con te per ulteriori accertamenti in merito
alla legittimità delle tue scelte politiche. In virtù
della legge sulla Privacy hai tuttavia ogni garanzia che la tua
scheda personale non verrà mai pubblicata su Internet,
né sui convenzionali organi di stampa e di radiotelevisione,
a meno che nuovi provvedimenti legislativi in tal senso non lo
rendano inevitabile. Paura, eh ? Per questa volta puoi tirare
un sospiro di sollievo. Nessuno verrà a prelevarti a cas
tua alle 3 di notte per permetterli all gogna, almeno per ora.
Adesso potete visionare questa pagine
AU
COURRIER
- Messieurs, Je veux Vous
remercie pour Votre courageuse bataille pour la verité
historique. Je Vous signale que sur le web <www.feldgrau.net> j'ai lancé un defi
a propos de la pretendue partecipation des Waffen-SS à
l'Holocauste. C'est nullement question de chambres à gaz
ou de nier l'existence de l'Holocasute, parce que j'ai peur d'etre
censuré.Mais, peut-etre, Vous pourriez trouver des interessants
questions. Je ne suis pas neonazi, mais je crois que l'Holocauste
c'est un mythe.
- Alors, vous allez sur
<www.feldgrau.net>, section SS/Waffen-SS, subsection
Ouradour-Tulle à partir de page 5.
- Voulez recevoir, Messieurs,
mes salutations le plus distinguées.
- S.B. (allias GvB17SS)
[adresse exacte de la page:
http://www.feldgrau.net/phpBB2/viewtopic.php?t=3519&postdays=0&postorder=asc&start=60]
BIDE
DANS LA PAMPA
- The Simon
Wiesenthal Center loses a key case in Argentina
-
- Dear friends,
- A good friend of mine,
Héctor Buela, living in San Luis, Argentina, runs a video
shop selling historical tapes, many of which are from the thirties
and forties and render a revisionist view on many aspects
of modern history. A few years ago, this attracted the ires and
"fire and brimstone" from the local Simon Wiesenthal
Center who conspired with a local televisión program
to frame Mr. Buela and his wife, and had them arrested and indicted.
- The local judge, however,
felt very differently about the matter and has now had the case
thrown out. This could very well serve as a precedent for other
cases where "crimes of opinion" are punished.
- If you could relay this
to friends and colleagues, that would no doubt serve a good cause.
- Kind regards to all,
- Adrian Salbuchi (Buenos
Aires, Argentina)
PARUTIONS
§== Miam. "Révisionnisme
ou négationnisme cannibale?"
Reprise d'une discussion qui a déjà
eu lieu entre S. Thion et Vidal-Foutriquet, il y a quelques siècles.
<http://www.medito.com/article121.html>
§== On recrute
des cerveaux à laver.
- Greetings from Germany!
- We are looking for young
people (minimum age is 16) from around the world to come to
Dachau this summer and participate in the 21st Annual International
Youth Meeting. Participants will meet Holocaust survivors,
(Waw ! Quel pied !) former resistance fighters,
do some maintenance work in the former camp and make day trips
to the Alps, Munich, etc. Please see website below:
- This is a wonderful
opportunity to meet survivors, see what life is like in Germany
today and learn about the Holocaust.
<http://www.youthmeeting-dachau.de/englisch/about_project.php>
§== L'habituel
baratinage.
- Le Courage d'espérer, par Paul Chytelman.
- Aujourd'hui âgé
de quatre-vingts ans, Paul Chytelman est une mémoire
vivante de l'Holocauste: face à l'horreur, face à
la barbarie à visage humain, il témoigne de sa
déportation à Auschwitz avec un souffle sans cesse
porteur d'espoir. Comme l'expriment si bien Beate et Serge
Klarsfeld dans leur préface: la lecture de ce livre
est hallucinante ! Nous accompagnons Paul à chaque
étape de son calvaire qu'il franchit avec la rage de vivre:
son arrestation dans un village de France où il a rencontré
l'amour, son bref passage à Drancy, le transport vers
le camp d'Auschwitz, ses kapos, la dégradation des internés
et les gestes de dévouement héroïque, la lutte
pour la vie, le travail inhumain, le jeune homme qui se suicide
pour échapper aux ordres du kapo inverti, la faim,
les maladies, les pendaisons, janvier 1945 et la longue marche
de l'évacuation d'Auschwitz, en plein hiver, quand s'arrêter
de marcher jour et nuit dans la neige signifiait l'exécution
immédiate. Puis la débâcle allemande, et
enfin la libération.
- Préface de Beate
et Serge Klarsfeld. Editions du Relié, Gordes.
Et rien sur les chambres à gaz
? On ne le croit pas.
§== Pour les
amateurs sérieux de révision:
Kunz J. L., "The Problem
of Revision in International Law.' American Journal of International
Law. 1939, 33 [1], p. 33-55.
§== Kangoo. Le jugement (24 juin 2003) qui déboute
Toben en appel de sa condamnation aux mainx du judéocrate
Jeremy Jones, dans le pays des lapins fous:
<http://www.austlii.edu.au/au/cases/cth/FCAFC/2003/137.html>
§== Poor Old
Debbie II: le Retour.
- All are welcome to attend
the following events. Unless otherwise noted, all programs are
free and held at the United States Holocaust Memorial Museum,
100 Raoul Wallenberg Place, SW, Washington, DC 20024-2126.
- September 10, 7-8:30
p.m.
- The ninth Monna and
Otto Weinmann annual lecture:
- Denial on Trial:
Defending the History of the Holocaust in a British Courtroom
- DEBORAH E. LIPSTADT
is Dorot Professor of Modern Jewish and Holocaust Studies and
Director, Institute for Jewish Studies, Emory University, Atlanta;
member, United States Holocaust Memorial Council; and chair of
the Council's Academic Committee. She received her B.A. from
City College of New York and her M.A. and Ph.D. in modern Jewish
studies from Brandeis University. Before her appointment as Dorot
Professor, she taught at the University of California, Los Angeles,
and Occidental College in Los Angeles. Her book Beyond Belief:
The American Press and the Coming of the Holocaust (1986,
1993) was a finalist for the National Jewish Book Award. Her
Denying the Holocaust: The Growing Assault on Truth and Memory
(1993) was the first comprehensive study of attempts to deny
the Holocaust. From 1996 through 1999, she served as a member
of the U.S. State Department's Advisory Committee on Religious
Freedom Abroad.
§== Des noms.
- Database of Inmates who
Died in Auschwitz Accessible on the Internet
- The Auschwiz Museum posted
the roughly 68,000 names of persons registered in the Auschwitzer
Death Books (Sterbebücher) with Name, Date of Birth and
Death, Place of Birth, and Place of Last Residence as well as
religious affiliation on the Internet.
- To retrieve information,
one has to enter a person's name, and the search result is restricted
to 40 records. No information about the cause of death is given.
The search option is currently in Polish only.
- <http://www.auschwitz.org.pl/szukaj/>
§== Librairie. On peut commander
des livres sur le serveur de la "librarie des radicalités"
qui vend toutes sortes d'ouvrages, avec une forte tendance au
rouge-brun, ce qui semble être la couleur dont la mode va
bientôt s'emparer:
Par exemple: Tabou Vol 4 - 2003
Au sommaire: Mark Weber: Le "protocole
Hossbach" (encore un faux devant le tribunal de Nuremberg);
Mark Weber: Gestapo Chief (à propos du faussaire
Gregory Douglas); James Lubinskas: Les meurtres de Zebra
(assassinats de Blancs par des Noirs aux Etats-Unis); Cletus Nelson:
Une nation sous haute surveillance (les groupes du pseudo-antiracisme
aux Etats-Unis et leurs méthodes très controversées);
Laird Wilcox: Les faux incidents racistes et antisémites
aux Etats-Unis; Bradley R. Smith: La vie privée
d'un révisionniste.
<http://www.librad.com>
§== Blanchisseurs
en tous genres. Massacres
de l'Ordre du Temple Solaire: les chemins du blanchiment passeraient-ils
par Axa-Assurances Luxembourg ?
- Où l'on découvre
des liens surprenants entre quelques grandes opérations
de blanchiment (commissions politiques sur fond de trafic de
produits nucléaires), realisées par Axa-Assurances
Luxembourg et les morts de l'Ordre du Temple Solaire... A ce
jour, près de 30 personnes -- essentiellement des cadres
dirigeants du groupe Axa-Assurances, dont ses plus hauts responsables
-- sont témoins assistés ou mis en examen dans
une procédure judiciaire déjà longue de
plusieurs années et où apparaît le nom de
Di Mambro (le principal dirigeant de l'OTS, mort en Suisse en
94) dans des opérations de retraits de fonds quelques
jours avant les massacres en Suisse des adeptes de l'OTS, en
octobre 94... Une procédure en cours de règlement
judiciaire et des découvertes qui pourraient bien modifier
radicalement le déroulement du procès en appel
de Michel Tabachnik en septembre prochain à Grenoble...
-
- Merci de nous aider
dans notre travail en commandant des maintenant votre ou vos
exemplaires de Mafia ou Démocratie, Christian Cotten
et Alejandro Jodorowsky, Louise Courteau Editrice. Pour recevoir
par la poste votre commande dès l'arrivée des livres
en France, merci de nous envoyer un chèque de 29 Euros
(prix du livre : 25 Euros, plus 4 Euros de frais de port; pour
tout pays hors France: 32 Euros, frais de port inclus), avec
vos coordonnées postales, à l'ordre de : Christian
Cotten, 112, rue de Silly - 92100 Boulogne-Billancourt - France.
<[email protected]>
Les sites des auteurs
http://www.politiquedevie.net
http://www.strategique.fr
http://jodorow.free.fr/jodorowsky
§== generalitat
de los flicats
- Last 8 of July, the
Spanish editorial 'Ediciones Nueva Republica' (New Republic Editions)
linked with the political party Movimiento Social Republicano
(Social Republican Movement) has been raided by the police. Also
the Library Kalki (Kalki bookstore) located in Barcelona
has been raided by the police. Two comrades have been arrested,
the owner of the editorial, that is also one of the leaders of
the MSR party; and the owner of the bookstore. They are accused
of 'apology of genocide' and a 'offense against the fundamental
rights and the public liberties guaranteed in the Spanish Constitution.'
Apart form other charges appeared in the press is of 'inciting
to the violence'. 10.000 books has been confiscated, as well
as flags, posters, magazines, stickers, videos, Cd's and even
personal objects of this comrades.
- They could be condemned
to a sentence between 4 and 6 years of prison. This is a very
difficult situation for them, because the owner of the bookstore
is married and has 2 little girls.
- So we ask for your help
to let know the situation that this comrades are living in Spain,
that is very similar to what happened to the Libreria Europa
(Europe Bookstore) also from Barcelona, whose owner was sentenced
to 5 years of prison under the same charges, although is still
waiting for a revision of the Supreme court. Please send
forward these e-mail to your contacts, publish the text in websites,
magazines, fanzines etc. Anyone interested in giving economical
support could write to:
<[email protected]>
Sites de la librairie et éditorial:
<http://www.libreria-kalki.com>
<http://www.edicionesnuevarepublica.com>
Site de la flicailla catalane
< http://www.gencat.es/mossos/>
§== L'obscurantisme
juif militant:
- Could ancient Jewish
writings have hinted to major contemporary events -- including
the atrocities of 9/11? A new book by H. M. Davidson, available
via this link, may both inspire you and shake your world view
to the core. You may never view the Bible the same way again!
- <http://www.neatoffer.com/obc/>
(signalé par Arutz 7, le 23 juillet
2003.
§== L'O'schwitz
italien.
- La Risiera di San Sabba
(Risiera:rizerie)
- Sommario
- 1. Il contesto storico.
- 2. La risiera, da impianto
industriale a fabbrica degli orrori.
- 3. Cosa si intende
per olocausto.
- 4. Un processo tardivo
che ha incrinato la coltre di silenzio sul lager di San Sabba.
- 5. La risiera diventa
monumento nazionale.
- 6. Informazioni utili
- Si ringrazia per la
collaborazione la direzione dei Civici Musei di Trieste ed il
dott. Enrico Folisi dell'Università di Udine per la consulenza
storica
- <http://www.windcloak.it/cultura/risiera/risom.htm>
§== Anglicamps.
Dear Colleague,
I inform you that there is an interesting
article about the Anglican Church in Great Britain and its attitude
about the Holocaust in the last issue of the review Twentieth
Century British History:
Tom Lawson, "The Anglican Understanding
of Nazism 1933-1945: Placing the Church of England's Response
to the Holocaust in Context ", Twentieth Century British
History, Volume 14, Issue 2, June 2003: pp. 112-137. The author
argue that the Anglican community consistently understood Nazism
as primarily an anti-Christian force, which in turn prevented
the church from understanding the import of Nazi anti-semitism.
<[email protected]>
Ça révise dur, de partout.
Ensuite, il faudra réviser ces révisions judéocentriques, once again.
§== Costume croisé. Un article de
HE Barnes as a crusader, par Rothbard: Harry Elmer Barnes
as Revisionist of the Cold War, by Murray N. Rothbard. This article
first appeared in Arthur Goddard, ed., Harry Elmer Barnes:
Learned Crusader (Colorado Springs: Ralph Myles, Publisher,
Inc., 1968).
<http://www.lewrockwell.com/rothbard/rothbard27.html>
§== Censure.
- I have rejected your
post to soc.history.war.world-war-ii for the following
reason: Historical revisionism.
- Stephen Graham, <[email protected]>
++++++++++
Informations et commentaires tirés du site aaargh
<http://aaargh-international.org/fran/actu/actu03/actu0308.html>
(version Web)
La version PDF se trouve aux adresses suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
++++++++++++++++++++
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
Les versions PDF se trouvent aux adresses
suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0308.pdf>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
Ce texte a été affiché
sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
une utilisation mesurée par le Secrétariat international
de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
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à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
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nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
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des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
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