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N'oubliez pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,

Liste des numeros de la nouvelle série,

numéro 27 (26 juillet 2003)...


Le Courrier des Incrédules

Conseils de révision


Actualités d'août 2003


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Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:

<http://conseilsderevision.tripod.com> où les numéros sont téléchargeables en format pdf.

 

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Strasbourg (Reuters) - La Cour européenne des droits de l'homme a déclaré irrecevable la requête introduite par le philosophe et écrivain français Roger Garaudy, qui contestait sa condamnation, en 1998, pour contestation de crimes contre l'humanité et provocation à la haine raciale.
La juridiction du Conseil de l'Europe confirme, dans sa décision, le caractère "négationniste" des Mythes fondateurs de la politique israélienne, ouvrage qui a valu à l'ancien dirigeant du Parti communiste, converti à l'islam, sa condamnation à six mois de prison avec sursis et 25.900 euros d'amende.
Cet ouvrage, selon la Cour, "va à l'encontre des valeurs fondamentales de la Convention (européenne des droits de l'homme), à savoir la justice et la paix".
Elle rappelle l'article 17 de la Convention européenne des droits de l'homme, qui indique qu'aucune de ses dispositions ne peut être interprétée comme donnant le droit de commettre des actes qui entreraient en contradiction avec l'un ou l'autre de ses principes.
"Le requérant a fait siennes les thèses négationnistes et a remis en cause systématiquement les crimes contre l'humanité commis par les nazis envers la communauté juive", considèrent les juges européens.
"Il ne fait aucun doute que contester la réalité de faits historiques clairement établis, tels que l'Holocauste, ne relève pas d'un travail de recherche historique s'apparentant à une quête de la vérité", poursuivent-ils.
Ils relèvent également que les propos de Roger Garaudy sur l'Etat d'Israël ont un "objectif raciste avéré". [Ça c'est le sommet du grotesque. ]
De ce fait, Roger Garaudy "tente de détourner l'article 10 de la Convention (européenne des droits de l'homme, qui garantit la liberté d'expression) de sa vocation en utilisant son droit à la liberté d'expression à des fins contraires à la Convention", poursuivent les juges. [Voilà le fin du fin: un droit n'est un droit que si les maîtres du jour veulent bien vous le concéder... ]
Ils estiment par ailleurs que le procès de l'écrivain, aujourd'hui âgé de 90 ans, était "équitable".

<http://fr.news.yahoo.com/030707/85/3an6s.html 8 juillet 2003>
<http://www.echr.coe.int/fr/Press/2003/juillet/DÈcisionGaraudycFrance.htm>




UN CHEF D'OEUVRE DE JÉSUITISME

Communiqué du Greffier

373
7.7.2003

Décision d'irrecevabilité dans l'affaire Garaudy c. France
 
Une chambre de la Cour européenne des Droits de l'Homme a déclaré irrecevable la requête dans l'affaire Garaudy c. France (no 65831/01). (La décision n'existe qu'en français.)
Le requérant
Le requérant, Roger Garaudy, est un ressortissant français, né en 1913 et résidant à Chennevières-sur-Marne (Val de Marne). Philosophe, écrivain, il fut aussi homme politique.
Résumé des faits
M. Garaudy est l'auteur d'un ouvrage intitulé Les mythes fondateurs de la politique israélienne, qui fut publié et distribué hors commerce en 1995, et qu'il fit ensuite éditer à compte d'auteur en 1996 sous la forme de Samiszdat Roger Garaudy. Plusieurs plaintes avec constitution de partie civile pour contestation de crimes contre l'humanité, diffamation publique raciale et provocation à la haine raciale furent déposées contre lui par des associations de résistants, de déportés et des organisations de défense des droits de l'homme. Ces plaintes, portant sur des passages différents des deux éditions de cet ouvrage, donnèrent lieu à l'ouverture de cinq informations judiciaires contre le requérant.
Cinq procédures pénales distinctes furent engagées sur le fondement de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse; le requérant demanda en vain que ces procédures soient jointes. Par cinq arrêts en date du 16 décembre 1998, la cour d'appel de Paris déclara M. Garaudy coupable des délits de contestation de crime contre l'humanité, de diffamation publique envers un groupe de personnes, en l'espèce la communauté juive, et de provocation à la discrimination et à la haine raciales. La cour d'appel releva que les propos de M. Garaudy étaient de nature négationniste, et elle le condamna à des peines d'emprisonnement avec sursis allant jusqu'à six mois ainsi qu'à des amendes pénales. La Cour de cassation confirma ces condamnations par cinq arrêts du 12 septembre 2000. Les peines d'emprisonnement prononcées contre le requérant furent confondues, tandis que les amendes s'additionnèrent atteignant un montant de plus de 25.900 euros (EUR). Le montant des indemnités allouées aux parties civiles s'éleva à plus de 33.500 EUR.
Alors que les cinq affaires étaient pendantes devant la Cour de cassation, le requérant engagea une procédure en inscription de faux concernant un passage d'un des arrêts rendus par la cour d'appel; elle donna lieu au rejet de sa demande par le premier président de la Cour de cassation au motif que le faux allégué n'avait pas eu d'influence sur le fond de l'affaire.

Griefs
Invoquant l'article 10 (liberté d'expression) de la Convention européenne des Droits de l'Homme, le requérant dénonçait l'atteinte portée à son droit à la liberté d'expression. Il soutenait notamment que l'ouvrage contesté était une oeuvre politique, destinée à combattre le sionisme et à critiquer la politique d'Israël, et ne comportait aucun élément raciste ou antisémite. Le requérant estimait donc que, ne pouvant être considéré comme négationniste, il aurait dû bénéficier sans restriction de la liberté d'expression. Par ailleurs, il se plaignait de l'iniquité des procédures devant les juridictions nationales et dénonçait la violation de l'article 6 (droit à un procès équitable) invoqué seul ainsi que conjointement à l'article 4 du Protocole n· 7 (droit de ne pas être jugé ou puni deux fois). Enfin, il alléguait la violation des articles 9 (liberté de pensée, de conscience et de religion) et 14 (interdiction de la discrimination).

Procédure
La requête a été introduite devant la Cour le 23 octobre 2000.

Décision de la Cour
Article 10 de la Convention
Quant aux condamnations de M. Garaudy pour contestation de crimes contre l'humanité, la Cour se réfère à l'article 17 (interdiction de l'abus de droit), qui a pour but d'empêcher les individus de tirer de la Convention un droit leur permettant de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés reconnus dans la Convention. Ainsi, personne ne peut se prévaloir de la Convention pour se livrer à des actes contraires à ses dispositions. Après avoir analysé l'ouvrage litigieux, la Cour considère, comme les juridictions nationales l'ont démontré, que le requérant a fait siennes les thèses négationnistes et a remis en cause systématiquement les crimes contre l'humanité commis par les nazis envers la communauté juive. Or, selon la Cour, il ne fait aucun doute que contester la réalité de faits historiques clairement établis, tels que l'Holocauste, ne relève pas d'un travail de recherche historique s'apparentant à une quête de la vérité. Une telle démarche a en fait pour objectif de réhabiliter le régime national-socialiste, et, par voie de conséquence, d'accuser de falsification de l'histoire les victimes elles-mêmes. La contestation de crimes contre l'humanité apparaît donc comme l'une des formes les plus aiguës de diffamation raciale envers les juifs et d'incitation à la haine à leur égard. [Ce sont les décisions de ce genre prises par les tribunaux pleins de fiel et de partialité qui ont manifestement pour effet d'engendrer la peur, la méfiance et finalement le rejet des juifs. ] La négation ou la révision de faits historiques de ce type remettent en cause les valeurs qui fondent la lutte contre le racisme et l'antisémitisme et sont de nature à troubler gravement l'ordre public. De tels actes sont incompatibles avec la démocratie et les droits de l'homme, et leurs auteurs visent incontestablement des objectifs du type de ceux prohibés par l'article 17 de la Convention. La Cour considère que l'ouvrage du requérant ayant, dans son ensemble, un caractère négationniste marqué, il va à l'encontre des valeurs fondamentales de la Convention, à savoir la justice et la paix. Elle conclut que le requérant tente de détourner l'article 10 de la Convention de sa vocation en utilisant son droit à la liberté d'expression à des fins contraires à la Convention. Par conséquent, la Cour estime que le requérant ne peut se prévaloir des dispositions de l'article 10, et déclare son grief incompatible avec la Convention.
Quant aux condamnations de M. Garaudy pour diffamation raciale et provocation à la haine raciale, la Cour relève qu'elles peuvent s'analyser comme des ingérences dans le droit du requérant à la liberté d'expression. Ces ingérences étaient prévues par la loi du 29 juillet 1881 et avaient au moins deux buts légitimes: « la défense de l'ordre et la prévention du crime» et «la protection de la réputation ou des droits d'autrui». Toutefois, la Cour a éprouvé de sérieux doutes sur le point de savoir si, pour les mêmes raisons que celles indiquées précédemment, et compte tenu de la tonalité globalement négationniste de l'ouvrage, les propos ayant fondé cette condamnation pouvaient être protégés par l'article 10. En effet, si une critique de la politique de l'Etat d'Israël, ou de tout autre Etat, relèverait sans conteste de cet article, la Cour constate que le requérant ne se limite pas à une telle critique, mais que ses propos ont un objectif raciste avéré. La Cour n'estime pas nécessaire de se prononcer sur ce point, car elle considère que la motivation des juridictions nationales ayant condamné le requérant était pertinente et suffisante, et les ingérences dans le droit au respect de la liberté d'expression de l'intéressé étaient «nécessaires dans une société démocratique» conformément à l'article 10 § 2 de la Convention. Dès lors, la Cour déclare ce grief mal fondé.

Article 6 de la Convention
Quant au grief tiré de la violation de l'article 6 conjointement avec l'article 4 du Protocole n· 7, la Cour relève que les procédures mises en cause en l'espèce étaient concomitantes et portaient sur des infractions distinctes. Dès lors, elle estime que l'article 4 du Protocole n· 7 ne trouve pas à s'appliquer en l'espèce. Examinant l'allégation portant sur le refus de jonction des procédures sous l'angle de l'article 6 uniquement, elle estime que la complexité de l'affaire et la nature des infractions pouvaient raisonnablement paraître imposer une «évolution en parallèle» des dossiers. Le refus de jonction était motivé par des considérations liées au bon fonctionnement de la justice et le comportement des juridictions nationales était compatible avec le juste équilibre à ménager entre les divers aspects de cette exigence. Par ailleurs, aucun élément ne permet d'établir que le requérant n'a pas bénéficié d'un procès équitable. Par conséquent, la Cour considère que cette partie du grief est mal fondée.
Quant à l'allégation de manque d'impartialité des juridictions nationales notamment du fait du rejet de sa demande d'inscription de faux, la Cour relève que l'article 6 § 1 de la Convention est inapplicable à ce type de procédure, celle-ci étant un élément accessoire de la procédure pénale principale dont le requérant se plaint. En ce qui concerne le défaut général d'impartialité des juridictions allégué par le requérant, aucun élément ne permet de remettre en cause l'impartialité subjective des magistrats ayant siégé dans ces affaires. Par ailleurs, la Cour estime que les craintes du requérant quant à leur impartialité objective ne peuvent passer pour être légitimement justifiées. Par conséquent, la Cour déclare ce grief mal fondé.
En ce qui concerne l'allégation du requérant selon laquelle il aurait fait l'objet d'une campagne de dénigrement et de lynchage médiatique, la Cour note que l'ouvrage de M. Garaudy a fait l'objet d'une controverse dès sa parution et que l'on pouvait s'attendre à ce que le procès se déroule dans un climat polémique. Selon la Cour, le requérant n'a pas démontré qu'une campagne médiatique virulente dirigée contre lui aurait influencé l'opinion des magistrats et l'issue des débats ou aurait été susceptible d'avoir une telle influence. Par conséquent, la Cour considère que ce grief est mal fondé.
Quant aux autres griefs du requérant tirés de la violation de l'article 6 § 3 de la Convention, la Cour les rejette. Selon elle, le requérant a été dûment informé de la nature et la cause des allégations portées contre lui. Par ailleurs, elle considère que, tout en respectant les droits de la défense, les juridictions nationales ont pu estimer que les auditions de témoins supplémentaires sollicitées par M. Garaudy s'avéraient peu utiles.
La Cour déclare les griefs tirés de la violation des articles 9 et 14 irrecevables pour non-épuisement des voies de recours internes.

Cette décision est disponible sur le site Internet de la Cour (http://www.echr.coe.int).

EN ALLEMAGNE


J'ai demandé à un avocat allemand de vérifier si ce qu'on m'avait dit hier était vrai et -- oui, c'est vrai! Le combat contre les imposteurs holocaustiques a pris une nouvelle tournure -- et en Allemagne au moins le Lobby paraît sur la défensive, au moins sur le plan judiciaire.
Voici ce qui s'est produit: Quatre Allemands ont décidé de s'accuser eux-mêmes de "négationnisme", mettant ainsi les tribunaux au défi de les poursuive, et quatre tribunaux différents ont refusé de relever le gant qui avait été jeté dans le ring -- au prétexte qu'il n'existait pas suffisamment de preuves ! Que se passerait-il si, disons, des centaines sinon des milliers d'Allemands s'auto-accusaient de douter de l'histoire officielle de l'Holocauste et inondaient les tribunaux d'un pareil défi ? N'en viendrait-on pas à organiser une campagne d'information pour exposer les faits au grand jour et imposer un débat légitime? Ne mettrait-on pas ainsi un terme aux persécutions et aux poursuites des révisionnistes, une bonne fois pour toutes ?

Ingrid Zündel Rimland, Zgram, 6 juillet 2003.


ZÜNDEL


The Other Side of H Denial
Henry Makow

 
Although I am the grandson of Holocaust victims, I am embarrassed by some Jewish organizations that want to make the Jewish Holocaust the defining event of World War Two. This is seen in the boom in Holocaust Studies Programs, Holocaust Museums and Hollywood movies like "The Pianist." Canadian Media mogul Izzy Asper is behind a new 200 million dollars "Holocaust and Human Rights Museum" in Winnipeg. The name equates Jewish persecution with all "human rights."
The Second World War was a human calamity. Over 55 million people died. Why focus on the Jewish experience? This is the cause of anti Semitism in the first place. Jewish power brokers are perpetuating a vicious cycle.
I am also troubled by the attempt to classify people like Ernst Zundel as a "hate criminal." Zundel's website claims only one million Jews were murdered, there were no gas chambers, and Hitler didn't intend genocide. Zundel's claims are repugnant, but he has a right to be wrong. Society needs people to dispute the historical record. One may be right. If spreading false information is a crime, shouldn't we also lock up Tom Brokaw?
Canada has locked up Ernst Zundel. According to his wife, he is being mistreated in prison. He risks deportation as a "security risk." Bernie Farber of the Canadian Jewish Congress concedes Zundel doesn't "actually wield the stick" but "provides oxygen" to extremists. That definition would curb everyone's freedom of speech. When questioning the truth becomes "hate", we have entered Orwell's "1984" era of thought crime. Don't kid yourself. This is the slippery slope to tyranny and Jewish organizations are partly to blame. We must stand up in defiance.
The charge of hate is used selectively to disarm legitimate opposition. The definition of "hatred" is very selective. For example lesbians spew hatred of men but they are never arrested. Feminists teach impressionable girls that all males are potentially violent sexual predators. That's OK. The Talmud is full of hatred against Christ and Christians, but that doesn't count either.
Canadian MP Svend Robinson wants to make "gay bashing" a hate crime. He isn't talking about violence against gays, which is a genuine crime. He would prevent society from defending itself from activists who teach children that heterosexual roles are not natural but homosexuality is.
"Hate" is a bogus charge anyway. Many so-called "Anti Semites" have written me and most are not hateful or racist in the least. They are trying to defend their legitimate interests from a real and insidious attack. The arch anti-Semite Henry Ford, author of The International Jew employed thousands of Jews in his factories. He worked closely with a Jew, Mme. Rosika Schwimmer on his Peace Ship crusade. Ford's Jewish architect Albert Kahn designed hundreds of buildings for him.
Jewish powerbrokers use anti Semitism to disarm opposition to their political agenda. The promotion of the Jewish Holocaust maintains the Jews' status as the world's premier "victims." This gives them immunity from criticism. It makes people feel more favourable to them and more willing to accede to their direction and influence. (The same strategy is used with homosexuals and feminists, the other out-groups used by the elite to subvert society.)
The Holocaust is also a defining event for Jews. Jewish power brokers use victim status to manipulate Jews and extract their donations. Victimhood turns Jews into moral zombies. For most of my life I didn't give two cents for the right of Palestinians to their homes. "We suffered, we deserve a homeland," the logic went.
The Holocaust also serves their New World Order agenda. It is a constant reminder of the pitfalls of nationalism or racial consciousness, two things the financial elite is trying to bury, with the exception of Israel.

"Also ran" Holocausts
To maintain victim priority, it's necessary for the Jewish establishment to practise "holocaust denial" when it comes to other people. In his book Crimes and Mercies (1997) James Bacque describes how he confronted New York Times reporter Drew Middleton with evidence that after the war, the US starved to death over one million German POWs. "What Middleton told me basically was that, yes, he had lied in 1945 and no, it did not matter to him or the New York Times if I exposed this." (p. 183).
"Middleton's sense of security, his sense of the New York Times' power, took my breath away", Bacque writes. "But worse than that, Middleton did not care about this atrocity... the New York Times witnessed it, then denied that it happened. And has gone on denying it into the 1990's." (p. 184) Bacque estimates that, during the Allied Occupation (1946-1950) an additional eight to twelve million Germans were deliberately starved to death. The war did not end in 1945. For five additional years, Germany was subjected "physical and psychic trauma unparalleled in history." (p. 93)
Red Army soldiers raped up to two million German women during the last six months of the Second World War, around 100,000 of them in Berlin. They also raped Russian women released from German labour camps. We live in a feminist era. Have you seen any movies about these women?
At Potsdam, the Allies ratified the 1939 Soviet-Nazi Pact that gave USSR half of Poland. Poland was compensated with the eastern quarter of Germany, in effect another gift to the Russian empire. This required the expulsion of about 12 million Germans, the largest forced migration in history.
Jews were prominent in the Polish Communist regime. In a stunning reversal of roles, Jewish policemen ordered Germans out of their homes and into cattle cars. In his book, An Eye for An Eye Jewish writer John Sack relates that about 1.5 million of these Germans died in the removal. He quotes a German woman from Gleiwitz: "What happened to the Jews was sad. But there was another Holocaust too." (p. 138)
According to Sacks, Jewish Communists extracted another cruel revenge. They filled 1250 Nazi concentration and labour camps and brutally tortured and murdered tens of thousands of Germans. (p. 101 ff.) Have you seen a movie where concentration camp guards and commandants were Jews? Since 1948, the American Jewish Committee and the Anti Defamation League have censored all Hollywood scripts involving Jews. Since these bodies are extensions of Jewish finance, what other topics have they censored? (Gabler, An Empire of the Own: How Jews Invented Hollywood 1988, p.303)
In his book, Victims of Yalta, Nicholai Tolstoy documents "Operation Keelhaul," the Allies' forced repatriation of two million Russians who were German slave labourers, prisoners of wars, or soldiers. These people were sent to the Gulag and liquidated. Where is the museum dedicated to them?
The mass media is unusually coy when it comes to reporting Communist atrocities. Nine million people died in the Russian Civil War (1917-1922). The Communists targeted czarist society and Christians in particular. Stalin's purges and famines accounted for 20 million more deaths. In China, Mao ZeDong is blamed for 60 million. More recently, let's not forget Tibet, Cambodia and Rwanda. see Inventory of Twentieth Century Barbarism.
In The Holocaust Industry (2000) Norman Finkelstein describes how Israel helped its ally Turkey deny the massacre of one million Armenians in 1915. "Acting at Israel's behest, the US Holocaust Council practically eliminated mention of the Armenians in the Washington Holocaust Memorial Museum, and Jewish lobbyists in Congress blocked a day of remembrance for the Armenian genocide." (p. 69)

Conclusion
Jewish organizations dishonor Holocaust victims by using them for political purposes. It is tasteless to cast Jews as the world's premier victims. Humanity is one family and no genocide is more important than another. To use "hate" to disarm opposition to the Zionist agenda is also repugnant. It leads to tyranny and more anti Semitism. For Ernst Zundel to deny or understate the Jewish Holocaust is grotesque. But it is not a crime. In these questions, only the truth matters. Let the truth speak for itself. Let Zundel be judged by it.
Let me close with an anecdote. In 1961 when I was 11, my family was travelling in Germany. We stopped at tavern-restaurant where some workingmen were having a loud conversation. They looked at us (a couple with three young children) and said, "We'd better shut up. There may be Jews present." My family felt threatened. We ate and quickly left. But I realise now those workmen might have been afraid of us. Germany had just endured a gruelling occupation.
Hate is born out of fear. Let us expose the forces that make us fear each other for no reason.

Henry Makow, is the inventor of the board game Scruples, and the author of A Long Way to go for a Date. He received his Ph.D. in English Literature from the University of Toronto. He welcomes your feedback and ideas at <[email protected]>
19 mai2003,
<http://www.savethemales.ca/000019.html>

CHÈVRECHOU

La vindicte de certains Zébreux contre le "premier ministre" de l'Autorité palestinienne, que Boubouche traite maintenant comme un copain, en disant "Sharon ? Mais ce type commence à nous emmerder !", Mahmoud Abbas, est soupçonné derévisionnisme, on l'a dit. Plusieurs de ses livres, dont la fameuse thèse, ont été publiés en arabe à Amman. Il y encore trois mois, on trouvait des "extraits" choisis et traduits en zébreu sur le site web de l'armée d'occupation juive (Chris McGreal, The Guardian, 19 mars 2003). D'après ces services, Abbas, dans une préface, aurait écrit qu'il existait une politique de collaboration entre nazis et sionistes pour s'emparer de la Palestine et la donner aux juifs.

Finalement, c'est ce qui s'est passé. Comme Hitler n'était pas là pour faire le coup, ils l'ont remplacé par Staline.

Mahmoud Abbas, premier ministre de l'Autorité palestinienne, auteur d'une thèse minimisant l'holocoste, a été invité à parcourir le Musée de l'holocauste de Washington, lors de sa visite dans cette ville cette semaine.
Agence télégraphique juive, 23 juillet 2003
Palestinian Authority Prime Minister Mahmoud Abbas, who wrote a doctoral dissertation minimizing the Holocaust, was invited to tour the U.S. Holocaust Memorial Museum when he is in Washington this week.
Jewish Telegraphic Agency, 23 juillet 2003.


INTROUVABLES CHAMBRES À GAZ

Un certain Bay s'est lancé dans la recherches des chambres à gaz de Treblinka. Spécialiste, dans le civil de l'interprétation des photos aériennes, comme Poirier et Brugioni, comme Ball, comme l'expert convoqué par l'inénarrable avocaillon Zimmermann, il a concentré ses efforts sur Treblinka et fournit le résultat de ses recherche sur le site de Mazal.


Annonce:

A new, powerful article on Treblinka has been published on the web site of the Holocaust History Project. The article is based on two little-known aerial photographs found in the National Archives. One of the aerial photographs was taken before the camp was built, the other shortly after its destruction.
The author Alex Bay, a specialist in aerial photography, has spent months analyzing the images and correlating them with ground photos captured from the Nazis. The results are quite spectacular.
To view this long (20,000 words) article simply visit:
<http://www.holocaust-history.org>
and click on the link entitled "The Reconstruction of Treblinka."
Harry W. Mazal OBE


Il a cherché à "reconstruire" l'emplacement des chag mais le résultat, même à ses yeux, est très loin d'être probant:


Treblinka: Reconstruction of the Death Camp

Physical Characteristics
The death camp, also referred to as the 'Upper Camp' because it was several feet higher than the rest of the installation known as the 'lower Camp', was surprisingly small. The area encompassed by the security fences only totaled about 22 acres [8.8 hectares]. There were reportedly only a small number of buildings on the site: the old and new gas chambers, the barracks housing the resident Jewish labor force, and a watch tower that was situated somewhere in the center of the area. There were almost no traces found of any of these buildings on the aerial photographs. An exhaustive, persistent and careful examination finally yielded persuasive evidence of the large chamber's position on aerial photos taken in September of 1944. Scarcely any signs could be found of interior security fences. The massive earthworks, resulting from the excavation of the huge burial pits, were not distinguishable. Neither could traces of the pits themselves be seen. The earliest good aerial photos taken in May of 1944 showed only a large area of light toned and sandy soils. The pictures exposed later in September also did not have any signs of the localized excavations. So thorough was the churning of the soils as a result of the repeated digging and backfilling during the camp's active life, that it was not possible to localize, any of the burial sites on the aerial data. However, using a combination of ground and aerial photography and written accounts, the location of the gas chambers was identified, and in one case, the site of a burial pit, opened for the removal and cremation of the corpses. Much of the security fencing was also traced through use of the same sources.

The Gas Chambers and the Tube
The reconstruction was begun with an analysis aimed at precisely positioning the gas chambers. Figure 31 shows two frames of aerial photography in registration. It could be assumed that the May aerial photographic coverage would be the best for locating the gas chambers because it was taken only six months after the buildings were razed. A close study of this photographic coverage -- using a variety of tonal and image sharpening enhancements -- failed to reveal many clues. It was known that the chambers were located somewhere in the center of the 'Totenlager', but the May imagery in that area is in a bland, homogeneous region of mostly undifferentiated light gray tones. One feature which is clearly visible is an access road extending down through the woods. This road is shown on many maps of the camp as ending at a gate just to the northwest of the new gas chamber and to the east of the tube. The road served to localize the search, but remnant scars or other signs could still not be found on the May coverage. The September coverage, on the other hand, evinces a complex of scars and vegetative cover showing varying degrees of stress. These photographs were taken after the Red Army overran this region of Poland in late August and early September of 1944. See Appendix C for a chronology of the military operations at that time. It is presumed that most of the disturbances are attributable to the effects of the camp's operations and subsequent sanitization and clearing. It is also probable that most of the frantic digging by the local peasantry seeking gold and other valuables took place after the Red Army moved on. Thus, the September coverage, despite a lapse of 10 months from the camp's razing, seems to hold the key to the gas chamber's location. The time of the year allowed a maximum visibility of stressed plant cover almost one year after the time that the camp was razed. Several significant patterns were discovered after close study of this photography.


Et plus loin:

Reconstruction of the Death Camp (Continued)
In Figure 32, the fruits of the close study are represented by four annotations, A through D. A, B and C point to small light toned points aligned in linear patterns. These patterns are interpreted to be the locations of fence posts. Their spacing is about 7 to 8 meters (24 to 34 feet). The tonal pattern at the post's locations may be due to digging around them to effect removal, or more likely because they were set in concrete to anchor the fence in the sandy soil. Of significance is that annotation A consists of two parallel rows of these light toned dots about 5 to 6 meters apart. These scars are believed to be the 'Schlauch' or 'hose pipe'. Arad (Reference 1, pg 42)) describes this structure as being 4.5 to 6 meters wide. The width the linear patterns of A-B is also 5.5 to 6 meters.
Annotation D is a large rectangular scar, with a smaller square appendage extending to the south. The larger area measures roughly 27 meters [88 feet] on a side. The size as well as the orientation of this feature initially points to this as possibly being the site of the footings for the large gas chamber building. The pattern of this area is one that would be expected as the result of an excavation made to allow the demolition and removal of a building's foundations. It cannot, however, be explained why the scars from the removal of this building should persist so clearly, while those from the grave pits became overgrown. In the figure, light tones are representative of sterile soil and dark tones are indicative of soil that supports more vigorous plant growth. It became clearer after studying other sources, that this area could not be the site of the gas chambers. It was concluded that it was rather the area where the grates for burning the victim's corpses had been.
The key to resolving the question concerning the location of the gas chambers was found in Yacob Viernik's map*, previously presented in Methods and Materials, Figure 13) Viernik worked in the 'Totenlager', and drew the map in Warsaw shortly after his escape in 1943. Important elements of the map are verifiable on the aerial photos as is demonstrated in Figure 33. Most importantly, he drew the tube with a right angle turn near the end. He shows a security fence running roughly east-west just to the north of the tube. The fence is visible on the September aerial coverage in the form of a cut through the woods. It was only noticed after studying Viernik's map. To see it clearly requires stereoscopic viewing of the photography. It was evidently later abandoned, and the northern boundary of the death camp moved southward, out of the woods. This comparison served initially to establish the accuracy of Viernik's other accounts of Treblinka and to promote confidence in the reliability of a model he built of the camp.
Viernik was a unique survivor. He was present early in Treblinka's existence. He worked on building the new, large gas chambers. By virtue of his value as an artisan, the SS gave him access to both the 'Totenlager' and the living camp. His description of his stint during the building of the new, larger gas chambers gives insight to the location of that structure. He wrote in A Year in Treblinka:

Plus loin: Unfortunately, the aerial photography does not contain enough information to delineate the boundaries of the graves. The May coverage is sufficient only for crudely identifying the places where deep disturbances in general are probable, but the exact boundaries cannot be established.


Donc on en revient toujours au dessin (dont l'auteur de l'étude dit qu'il est en partie faux et qu'il n'est pas à l'échelle, testis unus et, ajoutons pour notre part, testis nullus. Cette règle date de bien avant les camps... Comme l'auteur le dit plus loin: "The method is not absolute, but rather depends on a convergence of evidence." C'est-à-dire à l'orientation que l'on donne à une convergence que l'on suppose plus qu'elle ne s'impose. Tout ça est bien fumeux.

<http://www.holocaust-history.org/Treblinka/deathcampinternet/>

Aller à <http://www.holocaust-history.org/> et cliquez sur

<The Reconstruction of Treblinka (20,000 words, 67 photos) by Alex Bay >

A noter que l'initiateur du site, Harry Mazal, qui ne manque jamais de faire suivres son nom de la mention OBE (Order of the British Empire), chose que nous aurions tendance à considérer comme une marque d'infamie, est un partisan du mythe de la chambre à gaz de Dachau, à laquelle il a consacré tous ses soins. Il a fabriqué une grande cuve de ridicule dans laquelle il barbote allègrement. Voir:

<http://www.holocaust-history.org/dachau-gas-chambers/>


LES BOUCHONS DE CORK

Le site de notre ami le révisionniste irlandais David Noone semble croître et prospérer. Il affiche les couleurs avec cette façon directe qu'ont les Irlandais, qui les situe aux antipodes des Anglais. Noone est persuadé que la civilisation occidentale est en train de foutre le camp. Les Irlandais, qui ont perdu l'essentiel de leur civilisation gaélique en des temps fort anciens, et qui ont été opprimés de la plus cruelle manière par les Anglais pendant près de huit siècles, avant de récupérer leur indépendance (encore incomplète, à cause de la mainmise britannique sur l'Ulster) sont bien placés pour savoir quand la civilisation s'étiole.

En descendant tout en bas de la page d'accueil du site, on trouvera un petit texte sur la superbe ville de Cork, qui en dit long:

"Cork-Whose culture is vanishing due to multiculturalism and Americanisation "

Les ivrognes disparaissent (les bouchons, ou pubs, n'y peuvent rien). On les dépouille quand ils sortent dans la rue. Le nord de Cork en toujours en état d'hostilité avec le sud. Et les voyous étrangers sèment leur confusions. Néanmoins, nous pouvons vous dire d'aller à Cork: c'est une ville étonnante qui vaut la visite.

<http://www.geocities.com/david_noone88>

Le lien semble avoir disparu...

Voir ce qui remplace, les choses vont très vite, le texte sur Cork n'est plus là...

< http://members.odinsrage.com/reo/realism.html>

Il dit aussi: "The Germans were perfectly entitled to shoot the likes of Primo Levi under international law, instead they sent him to work in a camp, he survived and spent the rest of his miserable life lying about the Germans who showed him mercy."

Encore une phrase qui va nous faire des amis...



C'EST DU CINEMA


'Hannibal the cannibal' to star as Irving the Holocaust denier
By Catherine Milner and Chris Hastings

 
The trial of David Irving, the British historian branded a Holocaust denier by a High Court judge, is to be turned into a £10 million drama, expected to star Sir Anthony Hopkins. Ridley Scott, the director of Gladiator and Alien, is to produce the film, based on the libel trial three years ago in which Irving was called an "anti-Semite and racist" who "distorted historical data to suit his own political agenda".
The declaration effectively ended Irving's career, [affirmation ridicule ] during which he had argued that Hitler did not plan a "Final Solution" for Jews. His court defeat was hailed by campaigners against Holocaust denial. The film is being scripted by Ronald Harwood, who won an Oscar last year for the screenplay of the Holocaust drama The Pianist. Scott is keen for the role of Irving to be played by Hopkins, who won fame as the cannibalistic serial killer Hannibal Lecter in The Silence of the Lambs.
One senior executive involved in the project said: "The film will be
the definitive story of the trial and its role in the Holocaust story. As far as both Scott and Harwood are concerned, Hopkins has the first say on the role. The part is his for the asking."
The drama is being produced by HBO, the American production company behind The Gathering Storm, the recent award-winning drama about Churchill starring Albert Finney, on which Scott was the executive producer. The Irving libel trial came about after the American historian Deborah Lipstadt condemned him in her 1994 book Denying the Holocaust: The Growing Assault on Truth and Memory. Irving sued, saying the description of him as a man prepared to bend historical evidence "until it conforms with his ideological leanings and political agenda" was damaging to his career.
Irving -- a heroic figure to some far-Right groups -- represented himself during the trial, in which he argued that the number of Jews killed by the Nazis had been exaggerated and that there had been no programme of "systematic extermination". However, Mr Justice Gray ruled that Irving was an anti-Semitic racist whose claims were demonstrably untrue, and ordered him to meet the £2.5 million costs of the case. An appeal by Irving was rejected and he has since been declared bankrupt.
Professor Lipstadt has discussed the script with Mr Harwood and is very enthusiastic about the film project. "I am very pleased that Ronald is involved and that the film is being done by the team behind The Gathering Storm," she said. "There is always a danger with things like this that they can end up generating publicity for people who don't deserve publicity. I don't think that will happen here: these are serious people who will bring a professional and committed approach to the story."
Irving, 63, told The Telegraph he had not been approached by anyone connected with the project, but added that he would be happy to help whoever was going to portray him. "I'm relatively relaxed about the whole thing," he said. "If it is an accurate portrayal, they'll have to reflect some of my arguments and show that I was fighting on my own against a massive team of lawyers."
He thought the American public found Holocaust dramas "a big turn-off", but added: "I think a story like this will work best as a courtroom drama. I just hope they give me a fair crack of the whip.

29 juin 2003
<http://www.fpp.co.uk/Legal/Penguin/films/Ridley_Scott/STel290603.html>




LES GRANDES PANURGIES LYONNAISES (suite)


Plantin: les universités lyonnaises vont faire appel

 

Les universités Lyon 2 et Lyon 3 vont faire appel de la décision du tribunal administratif de Lyon de revalider les diplômes de l'universitaire révisionniste Jean Plantin, annulés en 2000 et 2001 et passés dix ans auparavant, a-t-on appris mercredi auprès d'une responsable des universités lyonnaises.
"Le conseil d'administration de Lyon 2 et celui de Lyon 3 ont donné leur accord pour que leur président interjette appel de cette décision", a affirmé cette responsable. Le tribunal administratif, statuant en référé le 21 juin, avait suivi l'avis du commissaire au gouvernement, qui avait conclu lors de l'audience le 3 juin au bien-fondé de la requête de M. Plantin et recommandé que ses diplômes soient revalidés. [...]

AFP, 2 juillet 2003.

Z'ont plus peur des gauchistes juifs que du ridicule...


POLOPE


Holocaust Revisionism and Neo-Nazism:

They are Not the Same!

By Paul Grubach

 
One of the most damaging, oft-repeated and false accusations leveled against Holocaust revisionism is that it is part of an extremist neo-Nazi movement, the ultimate purpose of which is to destroy democratic political systems and reintroduce Nazi totalitarianism. Expressing this widely held sentiment, a major opponent of Holocaust revisionism, Dr. Michael Shermer, described Holocaust revisionists as a "small but vocal group of anti-Semites, neo-Nazis, and political radicals who would like to see the return of National Socialism."[1] Shermer imputes to all revisionists a covert desire to restore the Third Reich, or bring on a Fourth. A cursory review of the evidence will easily demonstrate the falsity of this claim.
Laird Wilcox, an expert on political extremism, estimated in 1989 that a minority (up to 25%) of Holocaust revisionists were Nazi apologists, which means of course that the vast majority (75%) at the time were not.[2] In the decade that followed Wilcox's estimate, revisionism has attracted a much wider audience which surely reduces this figure significantly. Holocaust revisionism's opponents like Shermer make it a point to ignore this important piece of evidence whenever they invoke the "revisionism-equals-Nazism" canard.
The father of Holocaust revisionism, Paul Rassinier, was a pacifist, former Communist and left-wing socialist who opposed the Nazis during WWII, and because of his activities in the French Resistance was interned by the Germans in Nazi concentration camps.[3] Indeed, this association of liberal and left wing intellectuals with Holocaust revisionism has continued in France to this day. The French-Jewish historian and bitter opponent of revisionism, Pierre Vidal-Naquet, has noted that at the core of revisionism in France is a left-wing, revolutionary group, La Vieille Taupe.[4]
The French revisionist scholar, Dr. Robert Faurisson, is a life-long apolitical liberal who never had any sympathies with Nazism. Another prominent, left-of-center French intellectual who is sympathetic to Holocaust revisionism is Serge Thion. The famous French political philosopher, Roger Garaudy, is a former leftist Communist theoretician who converted to Islam. He is also a noted proponent of Holocaust revisionism in France.
One of the premier spokesmen for Holocaust revisionism in America is Bradley Smith. His present wife is of Mexican descent and his ex was Jewish. For numerous years prior to his involvement with revisionism he was a liberal free speech advocate who described himself as a Libertarian. Clearly, he hardly fits the mold for a neo-Nazi. Prominent American revisionist author and activist Michael Hoffman II has expressed stringent criticism of Adolf Hitler and Nazism. He wrote:
"Hitler was a disaster for Germany. He took fully legitimate ideas about organic community and rootedness to the soil and twisted them into a modern counterfeit. In the name of fighting the Bolshevik police state, he created one of his own. In the name of military prowess, he rendered his people defenseless before the merciless devastation of RAF bombers of the British Empire. He crusaded against Communism and ended up Communizing half of Europe. Hitler is the pre-eminent failure and incompetent of this historical era."[5]

 


Regarding Nazism as a political system, Hoffman's judgment is equally harsh and accurately reflects the consensus of opinion among many revisionists who I have associated with:
"The Nazi system was suited to an ant-hill comprised of servants, lackeys and toadies automatically obeying "supreme leaders" whose vision was corrupted by the mindless adulation they commanded. How I chuckle sardonically when I stand amid howling Jewish mobs and bands of know-nothing reporters as they accuse all revisionists of trying to "revive Hitler" and having a "secret agenda" of "neo-Nazism."[6]

 


Clearly, this is hardly the talk of a "neo-Nazi."
The fact of the matter remains is that Holocaust revisionists cannot be politically stereotyped, as they represent a wide range of political opinion, leftist, liberal, libertarian, centrist, conservative, rightist. There is indeed also a visible minority of neo-Nazis that consider themselves Holocaust revisionists, but the vast majority of revisionists cannot be categorized as such. Holocaust revisionism is an historical school of thought and not a political movement.
In their Denying History: Who Says the Holocaust Never Happened and Why do They Say It?, Michael Shermer and co-author Alex Grobman write: "Some Holocaust deniers, particularly those with extremist right-wing leanings, might gain greater acceptance if the crime (of the Holocaust) attached to fascism had never actually happened. Without the Holocaust perhaps fascism would be a more acceptable alternative to democracy."[7]
Long before the Holocaust legend, a majority of people in the Western democracies rejected totalitarian fascist movements, thus showing that fascism is not an acceptable alternative to democracy in the minds of most European peoples. Stephen Roth, a former director of the Institute of Jewish Affairs (London), proceeds to explain why he believes that Holocaust revisionism is the most effective weapon in the "neo-Nazi" arsenal:
"If the crimes of the Nazis can be wiped off the record of history, if the Nazi regime can be whitewashed and made to appear as admittedly somewhat disciplinarian and tough on law and order but basically harmless and more efficient than our allegedly lax Western democracies with their growing disorder, their crimes, violence, and riots, then the neo-Nazis would have won a great victory. The system advocated by them would also look harmless and acceptable, and the ideological resistance to it, largely based on awareness of the horrors of the past, would be undermined, particularly among younger people who have no personal experience of Nazi rule."[8]

 


Should the revisionists succeed in convincing the peoples of the Western democracies that the "gas chambers" never existed, the vast majority would still harbor considerable resistance to the philosophy, political system, and policies implemented during the Third Reich. The National Socialists advocated a command state, with one-party control of society and censorship of the press. By contrast, inherent in the modern political culture of the West is acceptance of a multi-party state, independence of the press from overt political control, and a disdain for open regimentation.
Indeed, historian Francis Nicosia considers this an important factor in England's refusal to ally with National Socialist Germany during the 1930s. He points out that there was a fundamental irreconcilability between the National Socialist and English political philosophies and systems.[9]
Furthermore, the populations of the democracies, particularly America, seem fixed in the belief that a certain quota of disorder and dishonor, from riots and street crime to political and economic corruption, is an acceptable price to pay for the maintenance of the democratic society. If Holocaust revisionism is not a neo-Nazi movement, why do its opponents and critics continually label it as such?
What they are trying to accomplish, I believe, is very simple. If people end up believing that Holocaust revisionism is, in essence, a neo-Nazi movement, many will be convinced that due to this association that the principal tenets of revisionism are false and perhaps even evil. This is an ad hominem line of "reasoning" which is logically fallacious but very psychologically appealing to large segments of the population. The truth or falsity of a theory (such as Holocaust revisionism) is independent of the political leanings of its proponents. As the philosopher of science Karl Popper noted, it doesn't matter where hypotheses come from, only whether they explain the evidence they are based on, whether they are subject to disproof, and whether they can hold up to attempts to disprove them.[10]
In short, this "revisionism-equals-Nazism" accusation is simply an ideological battering ram utilized by revisionism's opponents to discredit and undermine Holocaust revisionism.

NOTES

[1] Online: www.skeptic.com/wpbwt.html See point #2.
[2] Laird Wilcox, "The Spectre Haunting Holocaust Revisionism," Revisionist Letters, Spring 1989, p. 8.
[3] See the biographical material of Paul Rassinier by various authors in Paul Rassinier, The Holocaust Story and the Lies of Ulysses: A Study of the German Concentration Camps and the Alleged Extermination of European Jewry (Institute for Historical Review, 1978). Known as Debunking the Genocide Myth.
[4] Pierre Vidal-Naqet, Assassins of Memory: Essays on Denial of the Holocaust, (Columbia University Press, 1992), pp.116-120.
[5] Michael Hoffman II, The Great Holocaust Trial, Third Commemorative Edition, (Wiswell Ruffin House, 1995), p.136.
[6] Ibid.
[7] p.16.
[8] Michael Curtiss, ed., Anti-Semitism in the Contemporary World (Westview Press, 1986), p.222.
[9] Francis Nicosia,The Third Reich and the Palestine Question (University of Texas Press, 1985), p.77.
[10] Karl Popper, Conjectures and Refutations: The Growth of Scientific Knowledge (Basic Books, 1962), passim.

<http://www.codoh.org/revisionist/tr08notnazi.html> and read the article. Paul Grubach <[email protected]>


SHOAH BUSINESS (suite)

The expression "No Business Like Shoah Business" was used by Professor Yaffa Eliach of Brooklyn College at the 1981 Annual Scholars' Conference on the Holocaust: The Impact of the Holocaust. The Conference was held at the Holiday Inn, 440 West 57th Street in New York City. Professor Eliach was responding to papers given by the late Sybil Milton and the late John Mendelsohn on "Museums."
Other presenters at this conference included Henry Friedlander, George Mosse, Raul Hilberg, Lucjan Dobroszychi, Bernard Wasserstein, Michael Ryan, Joan Ringelheim, Michael Wyschogrod, Hubert Locke, Franklin Littell and Lawrence Langer.
Submitted by: Professor Marcia Sachs Littell, Director Master of Arts Program in Holocaust & Genocide Studies, The Richard Stockton College of NJ, Pomona, NJ.


ON LES RETROUVE

Ils s'acoquinent

 

Le mois dernier, nous avons publié le texte violent d'une pseudo Luiza Toscane, éminente représentante de la fraction tunisienne de l'organisation des bolcheviks en peau de lapin, la LCR, un lieu où les yiddishophones ont toujours eu besoin de quelques idiots séfarades. Cette intéressante personne remerciait avec effusion un certain Albert Herszkowicz, que nous avons identifié comme médecin de banlieue. Nous avons beaucoup d'estime pour les médecins de banlieue, en général. Mais la bonne Luiza omettait de remercier le petit groupe de flicards qui se cachent sous le pseudo de "Didier Denainxxx". Celui-ci allait immédiatement renvoyer l'ascenseur en publiant dans son torchon confidentiel si mal nommé "les enquêtes interdites", n· 38, l'immortelle contribution dudit Dr. Albert au fameux colloque de l'histoire trouducutée dont nous avons rendu compte l'an passé: "L'antisémitisme en Europe aujourd'hui: au-delà de la négation par Albert Herszkowicz, membre de l'association Mémorial 98 -- Communication au colloque "l'Histoire trouée; négation et témoignage" de l'Association Internationale de Recherche sur les Crimes contre l'Humanité et les Génocides (AIRCRIGE), organisé pour le plus grand bien de la carrière d'une certaine Coquio.


Participations au colloque «l'histoire trouée» (100 % sioniste) en 2002:
Luiza TOSCANE (Comité pour le respect des Droits de l'Homme en Tunisie), Le statut de la victime dans les ONG: une expérience tunisienne, Jeudi 19 septembre après-midi. Amphi Descartes.
Président de séance : Jean-René Chauvin. (100% trotzkyste, frankiste puis néokriviniste, et bientôt bezancenotiste) Témoin et militant.
Albert HERSZKOWICZ. Médecin. Réflexions sur l'évolution de l'antisémitisme en Europe.

Luiza Toscane (pseudo) écrit dans Rouge et le Diplo, Un livre en 95 à l'Harmattan, L'islam, un autre nationalisme. Ouvrage très superficiel, voir le compte rendu de Roland Marchal dans Politique africaine,

<http://www.politique-africaine.com/numeros/pdf/064149.pdf>

Ne pas confondre avec la représentante du Parti des Travailleurs, mouvement trotzko-lambertiste algérien, Louisa Hanoune. Bref, toutes les nanas trotzkystes d'Afrique du Nord, s'appellent Louiza. Il suffit de le savoir.



LETTRE À L'AHURI DES POUBELLES


A l'attention de Monsieur Didier Daenincks.


Rédaction de: amnistia.net

Un article signé Adel Kastel, publié dans Al Quds al arabi du 27/06/02 et relayé par Tunisnews le lendemain, m'a révélé ( excusez mon impardonnable ignorance) votre existence et celle de votre site. Quelle fut ma surprise de découvrir, en le consultant, que c'est votre journal daté du 25/02/2000 qui a alimenté l'article d'Al Quds, présenté pourtant comme une information d'une brûlante actualité.
J'ai bien compris, à la lecture des premières lignes de votre journal, que vous en voulez à mort à Gilles Perrault et que c'est à sa préface à mon livre que je dois ce rarissime privilège d'être épinglé par la "conscience universelle" que vous prétendez être.
Vous en voulez à mort à Gilles Perrault, disais-je. Vous avez sûrement vos raisons et je ne veux pas les connaître. Sachez néanmoins que, pour ma part, j'éprouve pour lui une profonde reconnaissance pour tout ce qu'il a fait et continue à faire pour la liberté et la démocratie dans nos pays. Je voue aussi une réelle admiration pour l'éminent homme de lettres que j'ai découvert bien longtemps avant Notre ami le Roi et ses préfaces et, ne pouvant rien vous cacher, j'ai pour lui une indéfectible amitié pour des raisons que seul le coeur en a le secret. Je compte bientôt vous lire et je ne manquerai pas de vous exprimer mon admiration si, comme je l'espère, votre littérature m'apportera le plaisir que je n'ai pas trouvé dans vos investigations journalistiques. Le passé politique de Gilles Perrault, qui vous fait perdre le sens de la mesure et même l'esprit, m'importe peu, convaincu que seuls les idiots ne changent pas.
Venons-en maintenant à Abdelhamid Bdioui. Il fut mon premier colistier en 1989 comme je l'ai écrit et comme vous l'avez rapporté dans votre journal. Mais il s'était illustré, seize mois auparavant, par sa candidature à une élection partielle dans la même circonscription. C'était là, la principale raison de notre rencontre. Je l'avais bien écrit pourtant mais votre mauvaise foi vous a empêché de le signaler à vos lecteurs.
Et d'ailleurs, croyez-vous que les alliances politiques hors d'Europe occidentale, au Cambodge ou en Tunisie par exemple, se font et se défont en fonction des opinions des uns et des autres sur les événements de la seconde guerre mondiale ? Aurais-je dû, avant de m'allier à Bdioui, sonder ses opinions, son conscient et son subconscient, sur les génocides des Juifs, des Tziganes et des homos, perpétrés durant la 2è guerre mondiale ? Et pourquoi pas sur celui des Arméniens au début du 20è siècle, l'inquisition ou la traite des Noirs quelques siècles auparavant ?
Vous êtes, monsieur, ou trop naïf, ou, et c'est ce je crois, trop prétentieux.
Je vais vous dire à ce propos le fond de ma pensée.
Pour moi et pour une bonne partie de l'humanité, la deuxième guerre mondiale (tout comme la première d'ailleurs) était à l'origine un événement strictement européen. Elle n'a concerné le reste du monde que par ce que ses peuples étaient sous domination des principaux belligérants et vous devez vous souvenir que sa jeunesse avait servi de chair à canon, dans une guerre qui n'était pas la leur. Ses dérives et notamment les génocides, intéressent tout particulièrement l'histoire européenne et n'engagent que la conscience des Européens. C'est essentiellement pour cela que, quoique compatissant avec toutes les victimes, je ne me suis jamais senti concerné, à quelque niveau que ce soit, par ses faits et méfaits.
Vous voulez lui donner un caractère universel et en faire assumer la responsabilité morale à la conscience humaine? Soit! Personnellement, j'en serai ravi et je rêve du jour où les peuples et, les hommes et les femmes qui les composent se reconnaissent mutuellement les torts et se décident à sortir de leurs ghettos culturels, ethniques, religieux et autres, pour assumer entièrement leur humanité.
Mais alors, dans ces conditions, il faudrait reconnaître, aujourd'hui moralement et, demain, au plan du droit international, tous les génocides et tous les crimes contre l'humanité, à commencer par les croisades et en passant par les génocides des Amérindiens et des peuples primitifs d'Océanie, la traite des Noirs, la colonisation, les génocides Cambodgien et Rwandais... et celui qui est perpétré aujourd'hui contre le Peuple Palestinien.
Il faudrait aussi cesser de croire qu'il y a un peuple élu et, que les autres, blancs, noirs ou métis, constituent tout juste une infra humanité, corvéable à merci. C'est à ce prix que tous les hommes, sans distinction d'aucune sorte, peuvent assumer le douloureux passé de leur condition humaine, y compris la Shoah et espérer construire un jour un monde fraternel. C'est là le humble avis de celui que vous qualifiez arbitrairement d'ami des négationnistes.
Mais revenons un peu à votre texte, repris avec une incroyable inconscience par le journaliste d'Al Quds. Contrairement à ce que vous avancez et quoique les offres ne m'ont pas manqué, je n'ai jamais assumé de hautes responsabilités, ni sous Bourguiba, ni sous Ben Ali. Mais là où vous dérivez complètement, c'est quand vous écrivez que " le mouvement fondé par Ahmed Manaï" a apporté son soutien à Roger Garaudy. Mensonge gratuit puisque je n'ai jamais constitué de mouvement politique et je vous mets au défi d'apporter la moindre preuve à vos allégations.
Un dernier mot concernant votre supplicié Abdel Hamid Bdioui. Je ne sais, treize ans après notre rencontre, ce qu'il pense vraiment des thèses que vous lui attribuez. Mais quelque soit ses convictions à ce sujet et, quoique je ne l'ai connu que le temps d'une campagne et que je n'ai aucune nouvelle de lui, depuis treize ans, je fais de cet allié de circonstance un ami. Je défendrai son honneur (et sa mémoire s'il est décédé) contre toute forme de terrorisme intellectuel, conscient qu'il lui revient en propre d'assumer ses propres choix et qu'il est moralement indécent d'en faire porter la responsabilité à ses proches, ses amis, des alliés politiques de circonstance ou encore à ... Gilles Perrault pour sa préface d'un livre où figure le nom de Bdioui.
J'espère que vous aurez le courage de publier ma réplique. [Non, évidemment. ne demandez pas ce courage à cette larve. ]
Salutations.
Ahmed MANAÏ


L'ahuri élucubrait sur

<http://www.amnistia.net/news/enquetes/prefaces/prefaces.htm>


DEBIT DE TABASSAGE


A Nice, cité des Moulins, le 1er octobre 2001, Daniel-Hedi Milan, Français de 54 ans était tabassé et torturé par des policiers de la cité. Séances de coups de poing et de pied, de coups de cutter et de strangulation à son domicile, sur le trajet, et à l'intérieur du commissariat. (Faits attestés par des certificats médicaux, des photos et des témoignages). A la suite d'une lettre de cachet adressée au parquet de Nice, par une officine fasciste raciste sioniste de Paris. Pour un commentaire de l'actualité, bulle dessinée stigmatisant le racisme sioniste. Il demeure très choqué ! Ses tortionnaires n'ont toujours pas été inculpés !

Ils lui ont cogné la tête contre les murs, ont pris son ordinateur, l'ont laissé 48 heures en garde à vue sans soin et sans nourriture.

Qu'en est-il des libertés ? Et de la sécurité des personnes ?

La justice et les flics s'endorment sur les dossiers.

Contact / Soutien: 06 21 54 32 25.


ENCORE LES ANTISEMITES JUIFS


Is Chomsky an antisemite?
 
This claim has been made by others and I have always dismissed it as too simplistic. I have known some genuine Jewish antisemites, Michael Bradley being the one whose work I debated on MIT radio. Strange, yes. But they do exist, Jews whose life's work is to prove that Jews are a, if not the, primary cause of evil in the world. No one is more antisemitic than a friend of mine when he goes off the deep end, a friend whom I also consider a personal hero and who is half Jewish (by ancestry, not upbringing; his father had converted to Christianity).
But I never was sure about Chomsky. I never saw it in those of his writings that I had studied. Those writings always struck me as well reasoned and meticulously researched. But then I came across the book, Partners in Hate, by Werner Cohn which can be found at
[nizkor.org] [Nous fûmes les premiers à mettre en ligne cette brochure pathologique:
< /aaargh/engl/opponents/cohn/cohn.html> (Apparently listed there by date the section of the book was posted, the bibliography is listed first and the preface last. First published in 1988, the preface to a new addition was written in 1995 and Cohn claims that the evidence for his thesis grew stronger during that time.) Cohn's thesis is that
(1) Chomsky -- hiding behind a cloak of libertarian protector of free speech -- is actually an antisemite as documented by his active collaboration with antisemitic holocaust deniers and those who wish to see the total dissolution of the State of Israel [a dissolution that would surely mean the death of most of the Jews living there]. Cohn documents a collaboration with antisemites that goes far beyond standing up for their freedom of speech.
(2) Chomsky knows what he is doing and attempts to hide his connections and active aid to neo-Nazis from his English-speaking audience.
(3) At least in some cases, and Cohn claims in many, Chomsky is guilty of scholarly dishonesty of the type I discovered when I wrote a critique of the antisemitic pseudo-science of Kevin MacDonald; whenever I checked the actual sources, I found profound misrepresentation and selective quoting that changed the meanings. (Cohn documents specific examples of this in part 07 of his book)
And,
(4) Chomsky's support has been crucial to the survival and growth of some quite hideous antisemitic groups.

 

Dan Kriegman, 9 Jul 2003 23:22:11 -0500,<[email protected]> Encore un qui est né de la dernière pluie. Remarquez comment il n'essaie même pas de vérifier les assertions délirantes de W. Cohn. Voyez tout cela en détail à notre page Chomsky.

 


GAY PRIDE OU STATUE FIÈRE


America unveils gay holocaust memorial

 
The first ever memorial to gay men and lesbians who were murdered by the Nazis was unveiled yesterday in San Francisco.
The memorial, Pink Triangle Park and Memorial, can be found in the city's gay Castro district and is comprised of 15 triangular granite pylons, each marked with a pink triangle, to commemorate the tens of thousands of gays and lesbians who perished under the Nazi's murderous regime.
Although most were not sent to the extermination camps, many were subjected to hard labour, which in itself was a death sentence. It is estimated that approximately 200,000 died as a result of being executed or worked to death. The Nazi 'doctors' were particularly keen on experimenting on gays, to see if they could discover, then eradicate whatever made them gay.
The persecution didn't end with the liberation of Europe however, as paragraph 175 of the German penal code, which band gay relationships, remained on the Statute Book in West Germany until the early 70s. The gay victims of the Third Reich are largely forgotten to admit that that it was wrong to eradicate an entire group of people because of their sexuality leads to having to admit that gays should be treated exactly the same as straights, and not all politicians want to do that. Funds raised by the Eureka Valley Promotion Association paid for the memorial in San Francisco and was dedicated by Mayor Willie Brown. Gustavo Serina, president of the Association reminded everyone that the memorial has been erected so that these sorts of crimes never happen again.
"People must realise that if you marginalize one group or one individual based on inherent characteristics, you run the risk of marginalizing everyone," he said. Perhaps right-wing Jews should really think about what they're doing by torching gay pride flags in Jerusalem. A competition was held to find a suitable design for the memorial.

Gay.com UK, Tuesday 24 June, 2003
<http://64.4.14.250:80/cgi-bin/linkrd?_lang=EN&lah=e2fa1f9b37cabb895428a1ccbeeb2529&lat=1057901452&hm___action=http%3a%2f%2fuk%2egay%2ecom%2fheadlines%2f4555>


PETITE REVISION ENTRE AMIS

Have you ever seen the statement, attributed to Theodor Adorno, that "Auschwitz begins wherever someone looks at a slaughterhouse and thinks: they're only animals"? I thought that this message taken from the Philos-L list might be of interest to listmembers:
1) It offers a fascinating example of how an alleged "quote" can gain a life of it's own (just paste the words "Auschwitz begins wherever someone looks at a" into google and see how many items it calls up !)
2) Apparently, the quote "starred" in a recent controversy in which animal rights activists compared modern meat production with the Holocaust.

From: "Frederik van Gelder" July 10, 2003 8:16 PM
Subject: Adorno quote
I can say with certainty that there is no such quote in Adorno. Not in the Gesammelte Schriften, not in the Nachlassbände, not in the 'Adorno-Blätter'. What you've got here is simply apocryphal. Perhaps you're thinking of the oft (mis)quoted passage about poetry after Auschwitz.
Dr. Frederik van Gelder, Institut für Sozialforschung, J.W.-Goethe-Universität, <[email protected]>
H antisem 11 juillet 2003


PETITE REVISION:

LE LIBERIA A ÉTÉ FONDÉ POUR SE DÉBARRASSER DES NOIRS


Was Liberia Founded By Freed U.S. Slaves?
 
By Mary Kay Ricks

 
In Tuesday's Washington Post, an
<http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/articles/A55771-2003Jul1.html> editorial urging President Bush to send peacekeepers to civil war-wracked Liberia noted that the country was "founded by freed U.S. slaves." Is that true ?
Not quite. Although some freed American slaves did settle there, Liberia was actually founded by the American Colonization Society, a group of white Americans ­-including some slaveholders-- that had what certainly can be described as mixed motives. In 1817, in Washington, D.C., the ACS established the new colony (on a tract of land in West Africa purchased from local tribes) in hopes that slaves, once emancipated, would move there. The society preferred this option to the alternative: a growing number of free black Americans demanding rights, jobs, and resources at home.
Notable supporters of transporting freed blacks to Liberia included Henry Clay, Francis Scott Key, Bushrod Washington, and the architect of the U.S. Capitol, William Thornton -- all slave owners. These "moderates" thought slavery was unsustainable and should eventually end but did not consider integrating slaves into society a viable option. So, the ACS encouraged slaveholders to offer freedom on the condition that those accepting it would move to Liberia at the society's expense. A number of slave owners did just that.
When the first settlers were relocated to Liberia in 1822, the plan drew immediate criticism on several fronts. Many leaders in the black community publicly attacked it, asking why free blacks should have to emigrate from the country where they, their parents, and even their grandparents were born. Meanwhile, slave owners in the South vigorously denounced the plan as an assault on their slave economy.
Abolitionist resistance to colonization grew steadily. In 1832, as the ACS began to send agents to England to raise funds for what they touted as a benevolent plan, William Lloyd Garrison revved up the opposition with a 236-page book on the evils of colonization and sent abolitionists to England to track down and counter ACS supporters.
But the scheme had some fans. Slave states like Maryland and Virginia were already home to a significant number of free blacks, and whites there --still reeling from Nat Turner's 1831 rebellion, which emancipated slaves had a hand informed local colonization societies. Thus encouraged, Maryland legislators passed a law in 1832 that required any slave freed after that date to leave the state and specifically offered passage to a part of Liberia administered by the Maryland State Colonization Society. However, enforcement provisions lacked teeth, and many Marylanders forgot their antipathy to free blacks when they needed extra hands at harvest time. There is no evidence that any freed African-American was forcibly sent to Liberia from Maryland or anywhere else.
By the 1840s, the American Colonization Society was largely bankrupt, and the transported Liberians were demoralized by hostile local tribes, bad management, and deadly diseases. The U.S. government would not claim sovereignty over the colony, so in 1846 the ACS demanded that Liberians declare their independence. In the end, around 13,000 emigrants had sailed to Liberia. Today, vestiges of the emigration can be seen in Liberia's Maryland County, in the American-sounding names we read in the papers, and, as reported on National Public Radio, in one Liberian restaurant's offer of Maryland-style fried chicken.

Slate, 5 juillet 2003,

<http://www.informationclearinghouse.info/article4006.htm>


DEFINITIONS


Révisionnisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le révisionnisme est la tendance à revoir les opinions historiques. Il est basé sur l'utilisation de nouvelles acquisitions, et donne une nouvelle interprétation (une ré-écriture) de l'histoire. Le révisionnisme est une attitude classique et inévitable, que cela soit pour l'historien ou pour le scientifique.
Le révisionnisme le plus connu concerne l'holocauste et tente d'attribuer à Hitler des responsabilités limitées. L'une des méthodes souvent utilisées par les révisionnistes de l'holocauste est la comparaison des crimes nazis avec ceux de l'URSS stalinienne et la relativisation sous-jacente qui en découle.
Voir aussi : Négationnisme
<http://fr.wikipedia.org/wiki/R%E9visionnisme>
Négationnisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le négationnisme est une doctrine consistant à nier l'existence même de faits historiques. Il ne prend pas en compte les règles historiographiques.
Les négationnistes les plus connus sont positionnés sur l'Holocauste. Les plus radicaux d'entre eux nient l'existence des chambres à gaz, l'extermination des Juifs, Tziganes, malades mentaux et de façon plus générale tous les individus appartenant aux peuples considérés inférieurs. Selon cette doctrine, le génocide pratiqué par l'Allemagne nazie n'a jamais eu lieu, et relève du mythe.
Voir aussi : Révisionnisme
<http://fr.wikipedia.org/wiki/N%E9gationnisme>


Le révisionnisme (ou négationnisme ).
Idéologie de ceux qui cherchent à minimiser, ou à nier, les crimes des nazis, en particulier le génocide des juifs d'Europe.
Le révisionnisme, qui repose toujours sur l'antisémitisme, trouve aussi ses sources sinon dans une sympathie à l'égard du nazisme, tout au moins dans un antidémocratisme virulent; ainsi, l'évolution de Roger Garaudy, d'abord catholique et communiste avant de devenir révisionniste, s'explique-t-elle par sa haine du système démocratique, qu'atteste sa collaboration active, dans les années 1980 et 1990, avec de nombreux groupes de droite et d'extrême droite opposés à la démocratie parlementaire. Mais, quelle que soit la tendance idéologique dont sont issus les révisionnistes, tous se retrouvent dans leur antisémitisme -- y compris Garaudy -- et dans la défense d'idéologies racistes. [Quels rigolos ! ]
La question des chambres à gaz
En particulier, les révisionnistes font preuve d'une frénésie tenace à nier l'exitsence des chambres à gaz. En France, Maurice Bardèche (le beau-frère de Robert Brasillach), Paul Rassinier [beau-frère de Ducon la Joie, sans doute ], Robert Faurisson, Henri Roques, Pierre Guillaume [également beaux-frères de quelqu'un ] et Garaudy, en Allemagne Wilhelm Stäglich et Arthur Butz ont par là cherché à nier l'existence d'une politique d'extermination nazie, ou à en diminuer l'ampleur ; les années 1970 et 1980 virent ainsi se développer une intense polémique sur le nombre de juifs assassinés par les nazis. La découverte des archives de la compagnie de chemins de fer allemande, la Reichsbahn, qui attestent du nombre de juifs déportés, a non seulement contribué à infirmer définitivement le discours révisionniste, mais cette découverte a permis de mettre en lumière l'intention profonde des nazis d'exterminer les juifs: alors qu'en pleine guerre les trains auraient pu être réservés aux seuls transports militaires, ceux-ci furent en effet consacrés à déporter des juifs vers des campas d'extermination.
Une autre polémique, parallèle, qui se développa surtout en Allemagne à partir de 1986 et de la «querelle des historiens», visa à comparer l'extermination des juifs au système du goulag stalinien, pour tenter par là de nier la spécificité du crime nazi -- thèse défendue par Ernst Nolte et combattue, entre autres, par Jürgen Habermas.
Les tentatives de dissimuler la Shoah
Les témoignages des rescapés des camps de la mort, et surtout la disparition de près de six millions de juifs d'Europe entre 1940 et 1945 constituent une réfutation totale du révisionnisme. Celui-ci ne peut dès lors que reposer sur la quasi-absence de documents officiels nazis sur la politique d'extermination; cependant, sont notamment parvenus jusqu'à nous des directives de juin 1941 concernant l'extermination systématique des commissaires bolcheviques et le compte rendu final de la conférence de Wannsee. Les nazis, et spécialement les SS, tentèrent de faire disparaître toute trace de leurs crimes. En juin 1942, Himmler créa le kommando secret «1005»; placé sous le commandemant du colonel SS Blobel (responsable des massacres de Babi Yar) avec pour tâche de faire disparaître toute trace des tueries de 1941-1942, de faire rouvrir les fosses communes, d'en faire brûler les cadavres et d'en disperser les cendres. Les déportés eux-mêmes, furent contraints, avant d'être massacrés, de détruire les camps d'extermination de Belzec, de Sobibor (1942) et de Treblinka (1943). A Auschwitz même, avant la construction des fours crématoires (été 1942), les corps des victimes étaient brûlées à l'air libre: «() Lorsque le feu avait vraiment pris, on y jetait les autres cadavres. La graisse qui se déposait dans le fond de la fosse était récupérée avec des seaux que l'on versait sur le feu pour accélérer la combustion. [En cuisine, ça s'appelle une lèchefrite.] Par vent d'ouest, la puanteur des corps parvenait jusqu'au camp.» (Rudolf Höss, commandant du camp d'Auschwitz, dans : W. Dressen, E. Klee, V. Riess, Pour eux «c'était le bon temps». La vie ordinaire des bourreaux nazis, Paris, 1990). Dès le mois de juillet 1944, devant l'avancée des troupes soviétiques, la destruction des documents relatifs à la «solution finale» et à sa mise en oeuvre avaient commencé. A Auschwitz, les crématoires II et III sont démantelés en décembre1944-janvier 1945. Le crématoire V est détruit à l'explosif le 22 janvier. Le dernier crématoire saute le 27 janvier, quelques heures seulement avant que les premières unités de l'Armée rouge entrent dans le camp.
Par ailleurs, il semble que même chez les dignitaires nazis les plus endurcis, «le refoulement de l'horreur obligeait à travestir le vocabulaire» (G. Besoussan, Histoire de la Shoah, Paris, 1996). Les documents internes ne désignaient l'assassinat de masse qu'à mots couverts: le gazage était appelé «traitement spécial», les chambres à gaz «installations spéciales» (Spezialeinrichtungen),etc.
La difficulté du témoignage
Les rescapés des camps nazis ont mené une réflexion extrêmement pénible sur ce qui a pu rendre possible un tel crime, et sur la difficulté de ceux qui ont vécu ce crime à en rendre compte. Ainsi, Charlotte Delbo, qui fut déportée en 1943 à Auschwitz, écrivit à son retour: «Aujourd'hui, je ne suis pas sûre que ce que j'ai écrit soit vrai. Je suis sûre que c'est véridique» (Auschwitz et après, 1970).
Le révisionnisme, à l'inverse, utilise la réflexion sur la quasi-impossibilité de communiquer un témoignage sur l'extermination pour conclure à son mensonge, à utiliser le caractère insupportable des crimes pour favoriser leur refoulement collectif.
Les crimes jugés à Nuremberg ne mettaient pas fin à une époque, ils l'ouvraient. Ainsi, le révisionnisme, en cherchant à nier la Shoah sous prétexte que ses exécutants ont pu, pour la plupart, rester inconnus, constitue un encouragement à dissimuler tous les crimes d'Etat; de la même manière, il a fallu attendre le milieu des années 1980 pour que les militaires argentins, dénoncés par les mères des disparus -- que l'on qualifia d'abord de « folles» --, reconnaissent avoir assassiné plus de trente mille personnes dans les années 1970, et s'ils ont fini par publier la liste des victimes, les noms des assassins sont toujours inconnus. De la même manière, au Rwanda, au Kossovo, etc. devant un «passé qui ne passe pas», un révisionnisme sournois consiste, sinon à nier totalement les crimes de masse -- ce qui n'est pas toujours possible --, du moins à entretenir un soupçon généralisé sur le témoignage des survivants, à ergoter sur le nombre exact des victimes, à brouiller les pistes, à effacer les traces

Données encyclopédiques, 2001 Hachette Multimédia Yahoo Encyclopédie
<http://fr.encyclopedia.yahoo.com/articles/ne/ne_0440_p0.html>


LA NEGACIÓN DEL HOLOCAUSTO


Es indiscutible que la historia siempre es interpretada en forma retrospectiva por las generaciones posteriores como un intento por comprender los procesos, sus causas y sus efectos. En el caso particular del Holocausto los esfuerzos sistemáticos por "revisarlo" son parte integral de una iniciativa que pretende incorporar la ideología nazi a la sociedad contemporánea. Quienes niegan el exterminio judío utilizan para sus fines los estereotipos antisemitas tradicionales y se manifiestan abiertamente en contra del Estado de Israel. A través de distorsiones, verdades a medias y mentiras, recrean un mundo en el que los nazis son las víctimas y los judíos son los villanos.
Este movimiento se remonta a 1944, cuando algunos jefes nazis y guardias de las SS que formaban parte del engranaje de la maquinaria asesina comprendieron que la guerra estaba perdida y abandonaron Alemania. Encontraron refugio en Francia, Suecia, los Estados árabes y en diversos países de América del Sur, desde donde iniciaron una campaña para evitar que el nazismo fuese desacreditado. Pronto se convencieron de que para implementar el "Cuarto Reich" era necesario desvincular al nazismo de las atrocidades cometidas durante el Holocausto.
En un principio intentaron minimizar sustancialmente la cifra de judíos exterminados, libraron al alto mando alemán -- principalmente a Hitler -- de la responsabilidad para más tarde afirmar que todo era una invención y que, incluso, los mismos judíos eran los autores de esa masacre.
Paulatinamente extremistas franceses, americanos y británicos se fueron sumando a esta corriente. Con su libro "Desenmascarando el Mito del Holocausto". Paul Rassinier, quien había sido preso político en Buchenwald, fue de los primeros en intentar refutar sistemáticamente los datos y socavar las pruebas. Para finales de los sesenta, casas editoriales de prestigio publicaban ya diversos libros que intentaban rebatir el asesinato de seis millones de judíos orquestado por los nazis.
En 1976 el Dr. Arthur R. Butz, norteamericano, profesor de la Northewstern University escribió "El Mito del Siglo XX" en el cual admitía la persecución de judíos pero desmentía su exterminio. La negación del Holocausto adquirió mayor fuerza a partir de 1977 con la fundación del "Instituto de Revisionismo Histórico", que bajo una fachada intelectual distribuye material antisemita. La negación del Holocausto se convirtió en una mezcla de extremismo, racismo y nacionalismo y sus adherentes adquirieron una legitimidad aparente en círculos intelectuales. Sin embargo ecos revisionistas también se escucharon entre individuos no asociados a grupos abiertamente antisemitas. En la década de los 90 somos testigos del fortalecimiento a nivel mundial de este movimiento que intenta rehabilitar el nazismo y crear un nuevo orden basado en la "supremacía aria".

Sus argumentos
A simple vista y eliminando el componente antijudío, los argumentos que utilizan estos "seudo-intelectuales" parecen lógicos, internamente consistentes y razonables. Intentan ocultar su ideología fascista y antisemita al afirmar que su objetivo es simplemente poner al descubierto cualquier falsedad histórica. Parte de su estrategia consiste en reinterpretar la segunda guerra mundial sin centrarse exclusivamente en el exterminio de los judíos. Al referirse al Holocausto afirman que ningún judío murió gaseado. Tal es el caso de Robert Faurisson, profesor de literatura contemporánea de la Universidad de Lyon, quien afirma que "todo es una mentira y que las cámaras de gas no existieron". Muchos otros establecen que el Tercer Reich planeaba solucionar el problema judío a través de la emigración y no de la aniquilación. Aceptan que existieron campos de concentración, pero niegan que hubiese campos de exterminio. Las instalaciones de Auschwitz -agregan eran utilizadas para cremar los cuerpos de los prisioneros que morían por diversas causas" incluyendo el "bombardeo genocida" de los aliados. Reconocen que murieron "muchos" judíos durante la guerra, pero que se debió a las condiciones generales que imperaban en la contienda.
David Irving -- el más conocido exponente de esta corriente -- en su libro "La Guerra de Hitler" concluye que el Fuhrer fue un líder débil que desconocía la Solución Final. Irving niega que las cámaras de gas de Auschwitz hayan sido utilizadas para exterminar judíos y afirma que los millones que desaparecieron viven en Medio Oriente escondidos bajo falsas identidades.
Diversos países cuentan con una legislación que contrarresta el influjo negativo de quienes niegan el Holocausto. En Alemania, Austria, Italia y Canadá, por ejemplo, la literatura de Irving está prohibida. Así mismo Ernst Zundel y James Keegstra, defensores de Hitler, fueron juzgados de acuerdo con el Código Criminal de Canadá y consignados por publicar material que "puede ocasionar daño al entramado social y promover la intolerancia".
En los últimos 20 años corrientes antisionistas han utilizado dichas consignas. Comparan perversamente a los israelíes con los nazis y equiparan a los palestinos con los judíos de los campos de concentración al afirmar que "las víctimas se han convertido en victimarios". Dicha tesis carece de fundamento, ya que a diferencia del régimen fascista del Tercer Reich, en ningún momento el gobierno ni el ejército israelíes han implementado una política de exterminio contra la población palestina de la zona.

La corriente alemana
Existe, a la vez, una corriente de historiadores que intenta estimular el desarrollo de una identidad nacional germana que reivindique a los alemanes, eximiéndoles de su responsabilidad histórica. El Holocausto, afirman, es un hecho reprochable pero "natural" dentro de la evolución de la humanidad. Como tal, los alemanes no deben sentirse más culpables que los demás.
La derecha germana, representada -- entre otros -- por historiadores como Ernst Nolte, aduce que los alemanes no fueron los primeros en cometer un genocidio ya que fueron precedidos por Stalin quien fue el creador de los campos de concentración. "Sería un error" -establece Nolte- "tomar en consideración sólo de uno de los asesinatos en masa, cuando existe la posibilidad de un nexo casual entre ambos". Nolte justifica que Hitler considerara a los judíos como enemigos afirmando que en 1939 Jaim Weizmann, líder del movimiento sionista, declaró que los judíos apoyarían a los adversarios de Alemania. A pesar de las evidencias sobre el proceso que llevó a la "Solución Final", el historiador considera las políticas antijudías como un producto de la guerra y no como un programa previamente elaborado.
A su vez, Arno J. Mayer, profesor de historia europea en la Universidad de Princeton, sostiene que el exterminio judío fue una reacción ante la inminente victoria de los aliados. Los judíos eran los creadores del bolchevismo y como tales, debían desaparecer. Esta versión contradice la línea de argumentación utilizada consistentemente por los nazis de que los judíos fueron asesinados por ser racialmente impuros. Por su parte la izquierda radical, con Lenni Brenner a la cabeza, mantiene que los sionistas colaboraron con los nazis para fomentar el antisemitismo en Europa y lograr así la creación de un Estado judío.

<http://club.telepolis.com/jescudero2/jescudero2/1e1999/1eproyecto1/la_negacion.htm>


RÉVISONS LA GUERRE FROIDE

Frances Stonor Saunders Who Paid the Piper?


Comment l'Ouest fut conquis


 
Voilà un travail magnifique, un travail de scholar anglo-saxonne (Saunders est anglaise), précis, référencé. Ce travail nous offre une image surprenante et même stupéfiante, et exceptionnellement enrichissante pour notre réflexion, de l'action clandestine d'influence des Etats-Unis (principalement de la CIA) en Europe occidentale. Nous disons bien, car c'est tout l'intérêt du livre : en Europe occidentale, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne fédérale, etc., et cela principalement dans les années 1945-47 jusqu'en 1960.
Saunders décrit une vaste opération américaine de subversion générale, mais avec des aspects généraux très contrastés et extrêmement spécifiques, qui ressortent plus de l'influence pure, y compris et surtout l'influence culturelle, que de la "guerre de l'ombre" stricto sensu. (Certes, tout cela nous est présenté comme quelque chose qui a quasi-exclusivement à voir avec la guerre de l'ombre, la guerre anti-communiste, mieux, le combat anti-communiste et pour la Liberté. Nous voulons y voir autre chose, de prodigieusement plus intéressant.)
D'une part, sans doute, le sens du combat est clairement présenté : la lutte contre la subversion communiste. Le combat est celui de la Liberté et, au-delà, de la civilisation occidentale. A cette époque et compte tenu du climat, de ce qu'on en savait et de ce qu'on croyait (les débuts de la Guerre froide, les premières terreurs d'une guerre nucléaire ajoutées à la pesanteur extraordinaire du fait stalinien, même finissant), ces affirmations ne peuvent être écartées comme simples slogans. Il y avait, dans l'esprit des gens impliqués, une pensée de cette sorte, aussi forte, aussi pesante, aussi mobilisatrice, il y avait même une foi et l'on avait affaire à des croisades.
Ce "programme" que nous détaille Saunders était un programme de la CIA mais il s'appuyait intensément sur la dimension culturelle, avec des hommes de culture engagés de façon très intensive dans cette bataille. On rencontre des noms connus, qui peuvent surprendre, -- l'Américain Arthur Schlesinger, Jr., principal correspondant de l'opération aux USA, en Europe le Suisse Bertrand de Jouvenel, le Français Raymond Aron, Arthur Koestler ce rescapé du communisme dont on a presque oublié la nationalité entre toutes ses aventures de communiste et de proscrit du communisme. Les outils de bataille du programme se nomment Congress for Culturel Freedom, la revue Encounter, le Boston Philarmonic Orchestra lorsqu'il fait sa tournée européenne de 1952, etc. On est loin des dirty tricks de la CIA. Au reste, à cette époque encore, la CIA portait l'héritage des habitudes et des tendances des services de renseignement américain de la guerre, le fameux OSS (Office of Strategic Services) du colonel Donovan, qui se targuait d'intellectualisme, d'une certaine liberté de fonctionnement et même d'indépendance d'esprit. (En guise d'exemple du même style, Saunders rapporte que l'OSS comptait comme collaborateurs occasionnels mais néanmoins répertoriés, durant la guerre, des gens comme Ernest Hemingway et Antoine de Saint-Exupéry.) Au coeur de l'opération, on trouve également l'étonnant James Jesus Angleton, chef du service contre-espionnage de la CIA, à la fois mégalomane des complots soviétiques et ami des poètes, sinon poète lui-même (dans tous les cas, collectionneur émérite d'orchidées). Melvin Jonah Lasky, l'une des têtes pensantes de cette offensive de la CIA et d'ailleurs original lui-même, juif cosmopolite new-yorkais parfaitement à son aise en Europe, agissant en extérieur à la CIA, qualifiait cette bataille de « Cultural Cold War ». Aucun doute là-dessus, c'est parfaitement de cela qu'il s'agit.
A côté de la croisade anti-communiste, la formidable architecture du National Security State se met en place
Maintenant, passons à la réalité, c'est-à-dire à la confrontation entre les ambitions, les interprétations, les appréciations intellectuelles d'une part et, d'autre part, les réalités politiques de ces temps à la fois glacés et fiévreux. Si l'on considère le rapport des forces et les positions extrêmes des protagonistes, si l'on prend en compte la puissance américaine et le délabrement extraordinaire de l'Europe, cette guerre culturelle ne pouvait déboucher sur autre chose qu'une intense américanisation de la bataille. Seule l'Amérique représentait un pôle de stabilité et de puissance. Par ailleurs, on connaît ses ambitions à propos de la pénétration et de l'influence mondiales, qui existent dès l'origine du pays, qui sont consubstantielles au pays et s'insèrent par conséquent parfaitement dans l'entreprise que nous décrit Saunders. C'est-à-dire que la guerre culturelle anti-communiste fut aussi bien une entreprise d'américanisation des élites européennes au nom de la défense contre le communisme.
Nul ne s'en cache. Il y a, à cette époque, un sentiment intense de solidarité occidentale. (Les anti-américains, les adversaires de l'Amérique, s'ils sont nombreux en Europe, sont à part, la plupart étant communistes ou proches du communisme; c'est-à-dire qu'ils rejettent aussi bien l'Europe non-communiste que l'Amérique, ils rejettent un ensemble de valeurs ou ce qu'ils jugent être un ensemble de valeurs. Rien à voir avec l'anti-américanisme d'aujourd'hui.) La question des rapports transatlantiques ne se manifeste pas vraiment comme on la connaît aujourd'hui, posée de façon lancinante. L'Atlantique est simplement un pont entre les deux parties d'un même corps qui est celui de l'Occident à la fois chrétien et libéral (inventeur de la liberté), héritier tout autant des traditions chrétiennes et du siècle des Lumières. Tout cela est amalgamé en un seul bloc qui subit l'attaque du Barbare venu de l'est, du chaos asiatique, de la subversion marxiste-léniniste. Mais ce n'est qu'un aspect de la situation.
A côté, il y a aussi une formidable machine en marche, qui est celle de la bureaucratie la plus puissante du monde, c'est-à-dire la plus riche, la mieux organisée, la mieux servie par des relais industriels et universitaires, et c'est de la bureaucratie américaine dont on parle. Elle est née pendant la guerre dans sa forme moderne et elle s'est formatée (comme on dirait aujourd'hui) dans un moule à la fois contraignant et plein de puissance, qui se nomme le National Security State. Saunders ne manque pas de nous détailler tous les aspects de cette machinerie, et il y en a un nombre surprenant, avec de nombreuses découvertes ; la CIA dans toutes ses activités inconnues dans leur dimension culturelle, bien sûr, «acting as America's Ministry of Culture -- an unofficial minister for propaganda with almost unlimited powers».
Voilà que se pose donc la question, -- entre les deux, qui l'emporte ? Qui est le plus fort ? Entre la croisade occidentale contre le communisme et la formidable machine bureaucratique du National Security State ? Saunders nous répond en arrêtant son travail au début des années 1960. C'est l'époque où la croisade s'essouffle. Bientôt, Khrouchtchev et Kennedy, après un affrontement à Cuba, se trouveront côte à côté devant ce qu'ils désignent comme l'ennemi commun, qui est le danger de l'holocauste nucléaire. Tous deux prestement éliminés, on sait comment, en 1963 et en 1964, leur nouvelle posture leur survivra. C'est la "détente", face souriante de l'équilibre de la terreur, qui sanctionne cette nouvelle époque. Lorsque débutera la "seconde Guerre froide", en 1975-76, les temps auront changé. Devant l'URSS finissante, corrompue jusqu'à l'os, qu'on chargera des ambitions grotesques de la conquête du monde, se dressera la bureaucratie militaro-industrielle américaine qui l'emportera, qui a survécu à tout depuis, pour venir jusqu'à nous, qu'on voit à l'oeuvre aujourd'hui. Fin de la bataille, et l'on comprend que le National Security State l'a emporté, la croisade anti-communiste de l'Occident chrétien et libéral n'est plus qu'un souvenir.
Ce livre est une invitation à réapprécier, à réévaluer ce que fut vraiment la Guerre froide
Saunders nous invite à détailler cette période qu'elle décrit à partir de tant de documents inédits, et alors nous conseillons au lecteur d'avoir à l'esprit ce qui a suivi et de ne pas oublier ce qui se passe aujourd'hui. A cette condition, la lecture de Who Paid the Piper ? est, en plus d'être instructive, prodigieusement enrichissante. Dans ce cas, tout honnête homme de notre temps, s'il en reste, se doit de l'avoir dans sa besace.
Quant au reste ... Le problème est de savoir jusqu'où tout cela peut conduire, cette croisade des années 1947-48 jusqu'aux années 1960; jusqu'où peut-on aller trop loin avant de se perdre dans des chemins de traverse les plus douteux. Voilà le cas d'un Raymond Aron; encensé par l'intelligentsia parisienne courante (l'actuelle, celle d'aujourd'hui qui a largué le marxisme-léninisme) comme le prototype de l'intellectuel modéré, un homme de sagesse souvent opposé à un Sartre qui a failli en soutenant aveuglément le communisme et ses turpitudes staliniennes. Aron avait des agissements qu'on peut comprendre dans les années 1940 et 1950, dès cette époque directement subventionné par la CIA, comme le signale Saunders. Mais que dire de cette mésaventure que rapporte le général Gallois dans ses mémoires, Le sablier du siècle ? (L'Age d'Homme, Lausanne, 1999.) Gallois détaille les variations d'Aron, dans les années 1958-64, à l'égard de la force nucléaire française en développement, tantôt approbateur, tantôt critique; puis Gallois observe que ces variations correspondent bien souvent, et même systématiquement, à des variations de la politique de Washington vis-à-vis de cette force nucléaire. Quelle explication ? Gallois, encore, nous rapporte cet entretien d'un jour de 1963, avec un ami américain du temps de l'OTAN, le colonel Kintner; Kintner l'invite dans sa chambre de l'hôtel Castiglione pour lui parler d'un projet de centre d'analyse transatlantique franco-US pour expliquer la stratégie américaine, projet auquel il voudrait intéresser Gallois; Kintner qui se heurte aux réticences de ce dernier, Gallois jugeant la proposition bien maladroite par sa propagande, si maladroite que, dit-il, «Raymond Aron et ses amis, qui s'efforcent d'expliquer la stratégie américaine à l'opinion», la jugeraient également de cette façon ; et Kindner, dépité, qui grogne: «Raymond Aron sera bien obligé d'être d'accord. C'est moi qui lui apporte, pour ses publications, l'argent de la CIA.» La remarque est malheureusement lumineuse et nous rend un peu moins sympathique le parcours d'après-guerre de cette sorte d'intellectuels. C'est-à-dire qu'on mesure ici, avec une chaîne d'arpenteur et au son aigrelet du joueur de flûte de la fable, ce que signifie exactement ces engagements d'intellectuel. En d'autres termes, s'il y a longtemps que Sartre a été basculé de son piédestal, constatons qu'un tel livre et la documentation éparse qui nous est disponible aujourd'hui ne donnent désormais pas plus le droit à Raymond Aron de demeurer sur le sien.
Saunders nous invite, à partir du matériel qu'elle nous fournit, à réapprécier ce que fut la Guerre froide du côté américain et occidental. Elle nous donne une clef de plus pour explorer le phénomène américain pendant la période, et, ainsi armé d'une vision nouvelle, mieux considérer ce qu'est l'Amérique aujourd'hui et ce que valent les rapports entre l'Europe et l'Amérique. A celui qui sait y voir, Saunders donne un sacré coup de main.
 
Who Paid the Piper ?, 509 pages, Granta Books, Londres, 1999

Ci-dessous, voici un texte de réflexion sur cette question de la "conquête" des âmes en Europe occidentale, par les Etats-Unis, telle qu'elle est décrite par Saunders. Ce texte doit, à notre sens, compléter utilement la lecture du livre de Saunders; il est extrait d'un projet d'ouvrage d'analyse historique sur le pan-expansionnisme américaniste et le virtualisme en préparation.


La subversion vertueuse des âmes en guise de politique étrangère
 
Nous devons explorer la politique étrangère des Etats-Unis durant la Guerre froide avec ce regard différent qu'implique notre démarche générale, et avec les facilités que nous procurent les circonstances. Des éléments jusqu'alors tenus secrets, apparus depuis 1989, mais surtout un ton nouveau, qui serait comme une façon de se délier d'une parole implicite, d'un serment solennel, permettent de faire un peu mieux que ce qu'on a fait jusqu'ici. Il est possible de penser sur un refrain différent, sans souci des normes, sans craindre l'accusation d'être partisan, qui apparaît, lorsqu'elle est dite, assez dérisoire pour nous donner du coeur au ventre plutôt que de nous décourager. Une attitude psychologique nouvelle a dissipé l'admiration dévote qui accompagnait l'étude respectueuse de l'Amérique, à peine dérangée par des diatribes anti-impérialistes trop idéologiques pour toucher à l'essentiel, qui fut le plat de résistance de l'appréciation historique de l'Amérique par les Européens durant la Guerre froide. Nous avons, moins que durant le demi-siècle passé (le siècle, même), le regard obscurci par les larmes d'émotion dévote qui nous envahissaient au seul mot d'Amérique, comme les dévotes bourgeoises au seul mot de vertu. Nous avons l'esprit un peu plus audacieux. Il en résulte que les circonstances diverses depuis 1989 qui concernent ce domaine, et, par-dessus tout, qui concourent à l'essentiel qui est l'évolution de la psychologie, permettent d'envisager une situation où l'analyse de la période ne serait plus nécessairement ligotée au postulat que tout ce que fait l'Amérique, elle le fait au nom du "Monde libre", qu'elle est censée représenter de bout en bout par décret divin ou tout comme. Cette évolution de la psychologie et, dedans elle, du sentiment, est une révolution qui a sa place dans la nouveauté de la démarche suivie ici, et précisément ce que nous-même percevons expressément comme une nouveauté.
Il y a quelque chose comme une libération, à nouveau ce phénomène de l'esprit déjà rencontré. Il s'agit encore, dans ce cas de l'évaluation de la politique étrangère américaine durant la période de la Guerre froide, d'un déchaînement de l'esprit. Le jugement évolue désormais dans un domaine où il n'est plus tenu. Notre hypothèse devient plus audacieuse, sur laquelle nous allons développer une réflexion sur la politique étrangère des Etats-Unis pendant la guerre froide. Cette hypothèse est que cette politique étrangère fut d'abord constituée de toutes les sortes possibles d'actions illégales et clandestines, d'action directe et d'influence, etc, bien plus que de diplomatie et de stratégie, et que la diplomatie et la stratégie vinrent en complément, pour sanctifier ou habiller le résultat des activités clandestines.
(Disons aussitôt, pour éviter toute sorte de procès inutiles et épuisants que, là encore comme dans les autres occasions, cela ne fait pas des Soviétiques, soudainement, d'inattendus prix de vertu. L'explication là-dessus est évidente, pour faire bien comprendre la réalité des choses et la répartition des culpabilités. Dans ce cas également, suivons le conseil judicieux de laisser de côté la pensée binaire. Nous savons qu'en matière d'activités illégales et clandestines, les Soviétiques ne laissent leur place à personne. Ce qui nous importe, avec la découverte des activités américaines, est de découvrir combien celles-ci sont différentes des activités soviétiques, dans l'ambition et dans l'efficacité, et combien elles perdurent au-delà de la Guerre froide.)
Encore, pour progresser plus avant dans notre hypothèse et retrouver la continuité d'un argument développé lorsqu'on s'intéresse par exemple à l'évolution décisive d'un Franklin Delano Roosevelt vers les questions de politique extérieure [voir sur ce site, la recension du livre The New Dealer's War], voici une remarque essentielle: tout se passe, à des degrés divers d'intensité, comme si la soi-disant politique extérieure américaine était en réalité une extension au monde de la politique intérieure américaine, plus brutale ici où les populations sont moins évoluées, plus subtile voire complice là où les populations ont un air de famille. Nous en déduisons aussitôt que la "politique extérieure" américaine dont nous parlons pour la période n'est pas principalement, loin s'en faut, la politique soviétique des Etats-Unis, ni même la "politique communiste" (politique extérieure vis-à-vis du monde communiste) des Etats-Unis. Celle-là, au fond, Le May [le général Curtiss Le May, commandant en chef du Strategic Air Commande de 1948 à 1956] s'en chargeait avec une stratégie de provocation bien au point (voir sur ce site la recension du livre Spy Flights in the Cold War). Cette "politique extérieure" des USA durant la Guerre froide, il s'agit d'abord, et même principalement pour le cas qui nous occupe, de la politique américaine vis-à-vis du "Monde libre", lequel serait étendu à ce qu'on nommera plus tard le Tiers-Monde, qui représente selon ce point de vue rien de moins que les colonies émancipées de l'Europe occidentale.
(Plus tard encore, après la chute du Mur, dans les années 1990, cette fausse "politique extérieure" américaine serait étendue à l'Ennemi lui-même avec la tentative d'une puissance colossale d'américanisation de la Russie, qui manqua pulvériser ce pays.)
La géographie, ou même la géopolitique de cette politique étrangère américaine est aisément explicable. Puisque cette politique étrangère n'est qu'une extension de la politique intérieure américaine, il est logique qu'elle s'arrête d'abord et se fixe principalement au plus proche, par la géographie autant que par la psychologie. Le projet est bien de faire de ces alliés du monde libre une extension de l'Amérique au-delà des frontières de l'Amérique, car cette américanisation de l'extérieur constitue effectivement le seul but évident de la "politique extérieure" américaine. L'américanisation n'est pas une proposition culturelle, pressante certes mais qui semble ménager un choix, qui permettrait la résistance ; c'est la fatalité d'une transmutation ontologique inévitable. (Et si la matière ne cède pas, la crise s'installe.) Voilà le principal aspect de la politique extérieure américaine en général, et durant la Guerre froide plus particulièrement.
Parmi les travaux qui ont mis à jour cet énorme travail de l'Amérique, il y a le livre récent Who Paid the Piper?, de Frances Stone Saunders. On y retrouve les habituelles qualités du travail de recherche historique des Anglo-Saxons, avec la masse de référence, les recherches personnelles, les rencontres de témoins, etc.; mais le livre est précieux parce qu'il y ajoute, -- et il n'est pas sûr que l'auteur l'ait voulu, ni même ne l'ait réalisé, -- une atmosphère si particulière, une fièvre, une pression, avec quelque chose d'une dimension un peu mystique. Il s'agit effectivement, au sein de ces phalanges de la CIA qui se lancent dans la bataille culturelle pour retenir leurs compagnons d'Europe sur le point de se laisser fasciner par l'hydre communiste, d'une bataille de l'esprit et, même, au-delà, d'une sorte de conflit de l'âme. Ces hommes-là de la CIA ne sont pas des salopards aux mains sanglantes, ni ces analystes à la tête froide et au coeur sec qu'on rencontrera plus tard, qui commettent avec une tranquille assurance et une arrogance ingénue les pires erreurs qu'on puisse imaginer, et, en passant, des crimes qui valent bien ceux que dénonce notre catéchisme hystérique et bien-pensant. On trouve parmi eux des hommes cultivés, des esthètes, à l'image de l'incroyable James Jesus Angleton, ami de Ezra Pound et de T.S. Eliot dans sa jeunesse, devenu chef des contre-espions àl'intérieur de la CIA, qui échafaude d'incroyables complots soviétiques et qui, à côté, vient en aide à des poètes et à des écrivains, sur fonds secrets. « Il était l'image parfaite de l'espion-poète, l'inspirateur de tant de mythes romantiques à propos de la CIA perçue comme une extension de la tradition littéraire libérale américaine. » (Saunders.)
Il y a quelque chose de profondément élevé et, par conséquent, de profondément sincère dans ce travail de subversion des esprits de la CIA, qui conduit à la croyance si exaltante que ce n'est pas tout à fait de la subversion et que ce serait plutôt un rassemblement des esprits face au complot ultime contre la liberté. Et pourquoi pas ? Devant l'écroulement de l'Europe, écroulement intellectuel de l'entre-deux-guerres né de la boucherie de 14-18 et écroulement de la guerre, l'Amérique intellectuelle se percevait elle-même comme l'ultime rempart de la civilisation face à ce qu'on percevait en général de la barbarie stalinienne. Nombre d'intellectuels américains découvraient qu'ils se trouvaient après tout en accord avec l'action de leur gouvernement, pour cette même cause de sauvegarde de la civilisation. Le but de l'action culturelle de la CIA devenait naturellement l'américanisation des âmes, à commencer par celles des intellectuels européens. Cette américanisation des âmes était perçue comme une entreprise pressante de sauvegarde de la civilisation. Ce fut, pour certains, une période heureuse où l'on put croire que le pan-américanisme était la formule de la culture universelle, avec cet incroyable mélange des genres, des intellectuels au chef des contre-espions James Jesus Angleton. Nous pourrions voir dans ces circonstances, dans l'atmosphère crépusculaire et tragiques de la fin des années 1940 en Europe, comme la confirmation, pour ceux qui y croyaient, de ce mouvement pan-américaniste au niveau qui importe vraiment, qui est celui de la haute culture. La puissance de ce phénomène, sa hauteur, en font à notre sens le père spirituel sans hésiter de ce qu'il y a de plus fondamental et de plus noble dans ce qu'il est coutume de désigner comme la politique extérieure américaine, à côté du sous-sol où l'on trouve les manigances provocatrices d'un LeMay et les dirty tricks de l'"autre" CIA. Mais en faisant la description de ce phénomène sans aucun doute exceptionnel, qui toucha toutes les élites intellectuelles occidentales, qui rendit sans aucun doute la pénétration de l'américanisme bien plus profonde et durable que l'investissement adverse par le marxisme-léninisme, on en trace les limites. Le but suppose résolues quelques conditions d'une importance considérable. Il suppose acquis le fait que les autres cultures n'existent plus vraiment, quoiqu'en pensent les intellectuels embarqués dans cette galère. Si l'idée peut avoir quelque fondement dans les années 1940, elle n'est qu'un semblant lorsqu'on la transcrit dans la réalité ; elle ne cesse de s'affaiblir dans les décennies suivantes, quand les cultures européennes renaissent; enfin, elle se subvertit d'elle-même puisque, pour se poursuivre, elle doit dissimuler toujours plus le fait de cette renaissance pour continuer à affirmer la légitimité de l'américanisation du monde libre. Cette idée élevée s'avère une illusion et son côté sombre, définitivement condamnable, fatalement auto destructeur, est qu'elle sert de masque à une dynamique expansionniste et prédatrice.
L'ambition n'était pas basse pendant son âge d'or mais elle était grosse de sa contradiction mortelle. L'issue de l'aventure ne pouvait être qu'une crise. A côté des diverses définitions qu'on en a données, nous proposons celle de la crise de la tentative d'américanisation du monde (du Monde libre d'abord) que portait évidemment la dynamique du pan-américanisme, et dont la politique extérieure américaine était le véhicule. Cette crise éclata dans les années 1960 et, en réalité, malgré les remarques assidues des avocats d'origine européenne qui font mission de relations publiques du "transatlantisme" présenté comme la seule formule acceptable de la vertu moderniste, la crise n'a jamais cessé et elle n'a pas été résolue. Aujourd'hui, malgré les jérémiades communes (et même communautaires) autour du terrorisme et des menaces contre la civilisation, elle est prête à gronder comme elle ne l'a jamais été auparavant.

Ce texte a été mise enligne le 30 décembre 2001.

<http://www.dedefensa.org/article.php?art_id=162>


LA TOLéRANCE, ÇA PEUT RAPPORTER GROS

For more than a decade and a half, Hier has had powerful backers among both Democratic and Republican lawmakers, from former Governor Pete Wilson and former Democratic leader Willie Brown, to President Bush and Secretary of Defense Donald Rumsfeld, who invited Hier to briefings on the war in Iraq.
That one private museum should continue to receive such disproportionate public funding is particularly troubling in an era when federal tax cuts are driving many states toward bankruptcy and the public services they provide into oblivion. Meanwhile, according to 2001's Federal 990 Forms, filed on the center and its related activities, Hier draws an annual salary of more than $400,000 (not including pension benefits) -- up from $225,000 in 1994. His wife, Marlene, serving as membership director, receives $244,000, while a son, Alan Heir, is paid $107,365 for fund-raising activities and another son, Rabbi Aron Hier, associate director, makes $76,018.

 

AU DELÀ DU MAL


Why Holocaust Deniers are Beyond Debate

Andrew Markus

 
There are two reasons why we should not engage in debates with Holocaust deniers. The first parallels the reason for not debating with those who believe that the position of the planets at the moment of our birth determines our destiny or that the earth is flat.
We do not argue with people who reject rationality -- just as we do not attempt to teach the laws of quantum physics in kindergartens.
The second reason is the one that leads us to wash in the morning, wear decent clothes and seek to pass on our values and beliefs to our children: we have self-respect. We have no need to validate our sense of self by seeking the approval of those who would destroy us, nor of their fellow travellers.
The likes of David Irving question whether there were gas chambers in the hell that went by the name of Auschwitz.
There is not one historian holding a position at a recognised university who questions the existence of gas chambers. Not in Germany, not in Poland, not in the United Kingdom, not in the United States of America, not in Australia. Not one -- for a simple reason. It is called evidence.
Hitler publicly announced in January 1939, and on many earlier occasions, his manic determination to destroy the Jewish people. Historians have the records of the Wannsee conference held in January 1942 at which details of mass extermination were discussed. They have the text of Heinrich Himmler's secret speech of October 1943 at which he justified mass murder. The commandant of Auschwitz, Rudolf Höss, left a detailed testament of his crimes.
What more evidence is required? The testimonies of Polish bystanders -- peasants, town dwellers, members of the underground and Catholic clergy? Detailed records of train movements, photographs, architectural plans, a patent application by the crematorium designers Topf and Sons, the physical remains of Auschwitz-Birkenau -- including warehouses of personal belongings?
There is one other category of evidence -- survivors. Because Auschwitz-Birkenau -- unlike Treblinka, Belzec, Sobibor and Chelmno -- served, in addition to its extermination role, as a labour camp, and because it was the last of the centres to remain operational, thousands of witnesses survived. They include Primo Levi and Elie Wiesel.
To debate with the likes of David Irving we thus have first to agree that this mass of evidence could possibly be fraudulent, perhaps the work of the Elders of Zion who secretly control the world. We have to assume that during the course of war, when the German armies were marching victorious over Europe and northern Africa, the agents of the Elders were secretly placing fraudulent documents in the archives of the Nazi Government. Or that after the war they were able to force hundreds of the innocent SS to confess to crimes that they had not committed. Or that they were hiding populations numbered in the millions. Or that they recruited and coached tens of thousands of witnesses, Jew and Gentile, to recite scripted tales of acts that never occurred -- and to continue reciting them to the present day.
Those willing to make such assumptions should debate the deniers. The leading American expert on Holocaust denial, Professor Deborah Lipstadt, never engages in such debate. She writes that "deniers want to be thought of as the 'other side'. Simply appearing with them on the same stage accords them that status."
Those concerned with ignorance of the Holocaust still in evidence in our society should engage in Holocaust education, without giving legitimacy to the assassins of memory.


David Irving comments:
It is amusing the way that Deborah Lipstadt's threadbare old arguments circle the globe, literally.
No wonder she was too scared to step into the witness box in London, and expose her case to cross examination, even by a novice in legal matters like myself. There is the "flat earth" argument -- Lipstadt added to this her own argument that we should not argue with child-molesters, something she seemed obsessed with, as though she was trying to tell us something about her own childhood.
There is the "not-one-recognized- historian" argument, nobody of merit who questions the existence of gas chambers -- not in Poland, nor in Germany, nor France, nor elsewhere. I challenged this "overwhelming consensus" argument when it was used by a young German historian, Peter Longerich, called as a witness for Lipstadt, in cross examination.
I asked him if he would tell the Court the length of the prison terms imposed on historians in Germany, Poland, France or elsewhere who did dare to question these facts, and what his "consensus" was actually worth in the light of that?
But this writer even trots out the old story that "mass extermination" was discussed at the Wannsee conference. Unless he has obtained a transcript of that conference of which other historians are unaware, then he is lying here too.
There is not a word about extermination in the Wannsee conference: it is a discussion between mid-level civil servants on the logistics of getting rid of, as in booting-out, the Jews from the Reich territory.
He relies on the Italian suicide Primo Levi, who wrote one novel about Auschwitz, and the notorious liar and fantasizer Elie Wiesel, who wrote another, though Wiesel sometimes gets confused about whether he was actually in Buchenwald or Auschwitz.
He quotes Rudolf Höss, although even Raul Hilberg says that the testimony of Höss is worthless.
More quixoticalloy, he also refers to the thousands of survivors of Auschwitz; but under my cross-examination Professor Robert Jan Van Pelt admitted that some 7,500 were in the camp when it was liberated in January 1945, and he had to agree that we never heard from them -- history only ever gets to hear from the same seven or eight professional Auschwitz survivors -- Henryk Tauber, Ada Bimko, and the rest.
The sheer paucity of the arguments offered by this opinionated Australian writer just reveals the actual lack of evidence in support of the general case he seeks to make.
No wonder he and his ilk don't want a debate, and use violence at every level in order to avoid it. Too much is at stake. Millions. And millions, and millions. And they know it.

Australian Jewishy News Internet edition.
<http://www.fpp.co.uk/online/03/07/AJN150703.html>

FACE AU TROU


Holocaust Revision Historian Faces Jail
by Jane Marshall, Paris

 
French historian Jean Plantin last week won an appeal to restore two postgraduate degrees that had been withdrawn on grounds of their Holocaust-related revisionism. But within days of the decision, he was sentenced to six months in prison for continuing his publishing activities despite a ban and criminal convictions.
In 1990, Mr Plantin was awarded a masters degree with distinction in contemporary history by the University of Lyon 2 Lumière, for a dissertation on Paul Rassinier, a founder of French revisionism. The following year, he gained a postgraduate diploma from Lyon 3 Jean-Moulin for research into typhus epidemics in German concentration camps. In 1999, Mr Plantin was given a six-month suspended sentence for denying crimes against humanity, which is a criminal offence in France, after publishing a review of banned works. He was also prohibited from publishing any more of his own writings.
Anti-racist associations succeeded in persuading the two universities to revoke Mr Plantin's qualifications in 2000 and 2001, but he appealed against the decisions. Last week, the Lyon administrative court found in Mr Plantin's favour on legal grounds and restored his degrees. Under the law, universities can annul a degree that they have awarded only within four months of its presentation. In Mr Plantin's cases, nine or ten years had elapsed.
Although Mr Plantin had handed over his publishing company to his mother and to a friend, former Lyon academic Jean [en fait: Robert] Faurisson, he continued to distribute revisionist works and promoted his theses on the internet. [This is dead wrong ]
Shortly after he was officially reinstated as a historian, the Lyon appeal court upheld a ruling made in January that sentenced Mr Plantin to six months in prison for contravening the 1999 order forbidding him from publishing books or journals. The sentence now awaits confirmation from the Court of Cassation, the highest court in the French judicial system.

The Times Higher Education Supplement July 4, 2003


KIWI QUI DIT OUI


Holocaust scholar at heart of 'book burning' row

A "book burning" scandal has erupted at Canterbury University over an article on controversial Holocaust scholar Joel Hayward. The decision to recall and destroy copies of the history department's journal History Now -- and dump editor Ian Campbell -- is dividing the academic community.
Canterbury lecturer Thomas Fudge, who wrote the offending article, has resigned in disgust and plans to leave at the end of the year. Dr Fudge said he could not remain at a university that suppressed academic freedom. "It made me a hypocrite trying to teach my students to think critically and ask the tough questions - all of the academic values that universities are about -- and here my department was saying, effectively, we're going to burn books."
The article revisits the storm that surrounded the 1993 masters thesis of former Canterbury student Joel Hayward, which questioned the validity of Holocaust history. Dr Fudge, who lectures on medieval religious dissent and witch-hunting, explored what for Dr Hayward became a career-ending controversy.
He revealed in the article that Dr Hayward had been harassed and received death threats against his children. Dr Hayward suffered an emotional breakdown and left his teaching post at Massey University in June last year. He now cannot get a job. The Fate of Joel Hayward in New Zealand Hands: From Holocaust Historian to Holocaust? played on the title of his thesis, The Fate of Jews in German Hands.
The article appeared on May 6. Next morning, Professor Campbell was asked to appear before his editorial committee and history department head Peter Hempenstall. Professor Campbell said he was effectively pushed: "The fact is that board disapproved of my editorial decision and, as a result, I couldn't continue as editor."
An embargo was slapped on the journal and 500 copies recalled. Staff were later advised that copies of the offending journal had been destroyed on the authority of Professor Hempenstall. Another May edition of History Now was printed without the Fudge article and an editorial discussing truth and martyrdom.
On May 14, Dr Fudge defended his article at a special meeting of history department academics, calling the censorship "unconscionable". Last week, he confirmed to his students that he had resigned. Professor Hempenstall declined to speak, saying the matter had now become an employment issue between the university and Dr Fudge.

The New Zealand Herald, 22 juillet 2003.
<http://www.nzherald.co.nz/storydisplay.cfm?storyID=3513941&thesection=news&thesubsection=general7-22-03>


Thomas Fudge est une sorte de pasteur pentecôtiste et pan-protestant: Son dernier livre est "révisionniste":

 

 

 

 


Nous avons le texte "scandaleux" de Thomas Fudge, qui a été republié dans le New Zealand Herald des 23 et 24 juillet. En voici la conclusion:

 


LINKLINKLINKFudge

Un dossier sur cette affaire est tenu par le New Zealand Herald:

<http://www.nzherald.co.nz>

Pour voir la thèse de Hayward, dont la version pdf a été subrepticement supprimée part LYCOS,

<aaargh/eng/hay/hayindex.html>

La page d'index de l'affaire Hayward, sur le site de David Irving, signale la publication de la thèse de Hayward sur le site aaargh, mais en donne délibérément et par deux fois une fausse adresse. Sloppy work or the art of protecting one's ass ?

<http://www.fpp.co.uk/BoD/origins/Hayward/index.html>


DE LA LÈCHEFRITE AU LÈCHE-CUL

 

Dopo qualche giorno di assenza rieccomi reduce dalla Conferenza dell'Unesco sul risorgere dell'antisemitismo. La Conferenza e' stata molto interessante e appena saro' riuscito a tradurre del materiale lo postero' in lista. Solo per anticipare qualcosa posso riferirvi che la situazione in Francia e' piuttosto grave con 290 atti di antisemitismo censiti nella sola Parigi.
Ho presentato l'Associazione alla direttrice del Museo della Tolleranza di Los Angeles e ci siamo ripromessi di esplorare la possibilità di uno scambio diretto tra loro e noi. Il Museo e' disponibile a fornirci gratuitamente i loro kit per gli studenti (che sono molto belli). Ho presentato ufficialmente la nostra attività ai vertici del Centro Simon Wiesenthal che mi hanno dato la loro disponibilità [anche probabilmente il denaro...] alla organizzazione di due convegni uno piu' piccolo (luogo indicativo Genova), che dovra' preparare un convegno piu' ampio a Venezia. Sto preparando a questo proposito una scaletta di punti per le due iniziative.
Ho anche ottenuto la possibilità di vendere attraverso il sito i CD Rom del Centro riguardanti l'antisemitismo e l'odio razziale su Internet. Gli impegni che attendono l'Associazione in futuro sono duenque molteplici e speriamo che le nostre magre forze possano farvi fronte. Per quanto riguarda ulteriori iniziative, mi e' arrivata stamane la notizia che la nostra richiesta di essere associati alla Società Italiana per lo Studio della Storia Contemporanea (SISSCO) e' stata accolta. La cosa e' particolarmente importante poiche' la SISSCO riunisce quasi tutto il mondo accademico e i ricercatori italiani di Storia Contemporanea. [...]
Qualora aveste bisogno di ulteriori informazioni potete sempre contattarmi privatamente al solito indirizzo: [email protected]
cari saluti
Giovanni Di Martis, 16 mai 2003. "Olokausto"

On y trouve tous les aveux possible sur la servilité de lécheurs italiens. Le "rabbin" Hier peut se les payer facilement, ils ne coûtent pas cher. Remarquons que les gangsters américains ont souvent préféré recruter des hommes de main pas chers en Italie.


POLICE POSTALE À L'ITALIENNE


Il y a un an, de vigilants flics de la pensée italiens, d'autres, Saverio Ferrari, Ketty Carraffa et Walter Boscarello, provenant, ceux-là, de "l'Osservatorio Democratico", publiaient une liste de sites qu'ils dénonçaient comme hautement incorrects. On trouvait leur prose sur un site néo-communiste, dit de "refondation":

<http://www.rifondazione.it/bergamo/gioco/>

Ces joyeux pieds-nickelés de la pensée correcte avaient aussi l'intention de déposer leurs conclusions auprès le "police postale" (en Italie, il y a des polices pour tout) afin de faire fermer ces sites, sur la base de la loi Mancino, qui réprime les appels à la haine, raciale, religieuse et tutti quanti. La page italienne de l'aaargh venait avantageusement en troisième position parmi les cibles de ces vertueux bersagliere.

En deuxième place on trouvait "la page de Fabio Galante" qu'ils décrivent ainsi:

 

 

 

La page indiquée n'existe plus. D'après celle de certains auteurs de la région de Carbina, la page de Galante, un incontestable nazebroque, a été censurée à maintes reprises:

 


Et finalement, il donnent l'adresse actuelle de la page:

<http://fgalante.tripod.com/enter.htm>

On y trouve une page sur Nuremberg (texte de Carlos Porter, bien connu de nous) et une page sur la Shoah qui est essentiellement faite d'extraits de Graf, (L'Hol au scanner), tels qu'ils ont été publiés en Italie dans L'Uomo libero, et qu'on peut les lire sur notre page italienne, <...aaarg/ital/Grafi.html>

<http://fgalante.tripod.com/auschwitz.htm>

Mais le plus remarquable, peut-être, est le prolifération des panneaux mis à l'ouverture des pages par ce Fabio Galante, pour avertir le lecteur qu'il s'enfonce sur un chemin menant droit à l'enfer:


AU COURRIER

Messieurs, Je veux Vous remercie pour Votre courageuse bataille pour la verité historique. Je Vous signale que sur le web <www.feldgrau.net> j'ai lancé un defi a propos de la pretendue partecipation des Waffen-SS à l'Holocauste. C'est nullement question de chambres à gaz ou de nier l'existence de l'Holocasute, parce que j'ai peur d'etre censuré.Mais, peut-etre, Vous pourriez trouver des interessants questions. Je ne suis pas neonazi, mais je crois que l'Holocauste c'est un mythe.
Alors, vous allez sur <www.feldgrau.net>, section SS/Waffen-SS, subsection Ouradour-Tulle à partir de page 5.
Voulez recevoir, Messieurs, mes salutations le plus distinguées.
S.B. (allias GvB17SS)

[adresse exacte de la page:
http://www.feldgrau.net/phpBB2/viewtopic.php?t=3519&postdays=0&postorder=asc&start=60]

BIDE DANS LA PAMPA


The Simon Wiesenthal Center loses a key case in Argentina
 
Dear friends,
A good friend of mine, Héctor Buela, living in San Luis, Argentina, runs a video shop selling historical tapes, many of which are from the thirties and forties and render a revisionist view on many aspects of modern history. A few years ago, this attracted the ires and "fire and brimstone" from the local Simon Wiesenthal Center who conspired with a local televisión program to frame Mr. Buela and his wife, and had them arrested and indicted.
The local judge, however, felt very differently about the matter and has now had the case thrown out. This could very well serve as a precedent for other cases where "crimes of opinion" are punished.
If you could relay this to friends and colleagues, that would no doubt serve a good cause.
Kind regards to all,
Adrian Salbuchi (Buenos Aires, Argentina)






PARUTIONS



§== Miam. "Révisionnisme ou négationnisme cannibale?"

Reprise d'une discussion qui a déjà eu lieu entre S. Thion et Vidal-Foutriquet, il y a quelques siècles.

<http://www.medito.com/article121.html>


§== On recrute des cerveaux à laver.

Greetings from Germany!
We are looking for young people (minimum age is 16) from around the world to come to Dachau this summer and participate in the 21st Annual International Youth Meeting. Participants will meet Holocaust survivors, (Waw ! Quel pied !) former resistance fighters, do some maintenance work in the former camp and make day trips to the Alps, Munich, etc. Please see website below:
This is a wonderful opportunity to meet survivors, see what life is like in Germany today and learn about the Holocaust.

<http://www.youthmeeting-dachau.de/englisch/about_project.php>


§== L'habituel baratinage.

Le Courage d'espérer, par Paul Chytelman.
Aujourd'hui âgé de quatre-vingts ans, Paul Chytelman est une mémoire vivante de l'Holocauste: face à l'horreur, face à la barbarie à visage humain, il témoigne de sa déportation à Auschwitz avec un souffle sans cesse porteur d'espoir. Comme l'expriment si bien Beate et Serge Klarsfeld dans leur préface: la lecture de ce livre est hallucinante ! Nous accompagnons Paul à chaque étape de son calvaire qu'il franchit avec la rage de vivre: son arrestation dans un village de France où il a rencontré l'amour, son bref passage à Drancy, le transport vers le camp d'Auschwitz, ses kapos, la dégradation des internés et les gestes de dévouement héroïque, la lutte pour la vie, le travail inhumain, le jeune homme qui se suicide pour échapper aux ordres du kapo inverti, la faim, les maladies, les pendaisons, janvier 1945 et la longue marche de l'évacuation d'Auschwitz, en plein hiver, quand s'arrêter de marcher jour et nuit dans la neige signifiait l'exécution immédiate. Puis la débâcle allemande, et enfin la libération.
Préface de Beate et Serge Klarsfeld. Editions du Relié, Gordes.

Et rien sur les chambres à gaz ? On ne le croit pas.


§== Pour les amateurs sérieux de révision: Kunz J. L., "The Problem of Revision in International Law.' American Journal of International Law. 1939, 33 [1], p. 33-55.


§== Kangoo. Le jugement (24 juin 2003) qui déboute Toben en appel de sa condamnation aux mainx du judéocrate Jeremy Jones, dans le pays des lapins fous:

<http://www.austlii.edu.au/au/cases/cth/FCAFC/2003/137.html>


§== Poor Old Debbie II: le Retour.

All are welcome to attend the following events. Unless otherwise noted, all programs are free and held at the United States Holocaust Memorial Museum, 100 Raoul Wallenberg Place, SW, Washington, DC 20024-2126.
September 10, 7-8:30 p.m.
The ninth Monna and Otto Weinmann annual lecture:
Denial on Trial: Defending the History of the Holocaust in a British Courtroom
DEBORAH E. LIPSTADT is Dorot Professor of Modern Jewish and Holocaust Studies and Director, Institute for Jewish Studies, Emory University, Atlanta; member, United States Holocaust Memorial Council; and chair of the Council's Academic Committee. She received her B.A. from City College of New York and her M.A. and Ph.D. in modern Jewish studies from Brandeis University. Before her appointment as Dorot Professor, she taught at the University of California, Los Angeles, and Occidental College in Los Angeles. Her book Beyond Belief: The American Press and the Coming of the Holocaust (1986, 1993) was a finalist for the National Jewish Book Award. Her Denying the Holocaust: The Growing Assault on Truth and Memory (1993) was the first comprehensive study of attempts to deny the Holocaust. From 1996 through 1999, she served as a member of the U.S. State Department's Advisory Committee on Religious Freedom Abroad.


§== Des noms.

Database of Inmates who Died in Auschwitz Accessible on the Internet
The Auschwiz Museum posted the roughly 68,000 names of persons registered in the Auschwitzer Death Books (Sterbebücher) with Name, Date of Birth and Death, Place of Birth, and Place of Last Residence as well as religious affiliation on the Internet.
To retrieve information, one has to enter a person's name, and the search result is restricted to 40 records. No information about the cause of death is given. The search option is currently in Polish only.
<http://www.auschwitz.org.pl/szukaj/>


§== Librairie. On peut commander des livres sur le serveur de la "librarie des radicalités" qui vend toutes sortes d'ouvrages, avec une forte tendance au rouge-brun, ce qui semble être la couleur dont la mode va bientôt s'emparer:

Par exemple: Tabou Vol 4 - 2003

Au sommaire: Mark Weber: Le "protocole Hossbach" (encore un faux devant le tribunal de Nuremberg); Mark Weber: Gestapo Chief (à propos du faussaire Gregory Douglas); James Lubinskas: Les meurtres de Zebra (assassinats de Blancs par des Noirs aux Etats-Unis); Cletus Nelson: Une nation sous haute surveillance (les groupes du pseudo-antiracisme aux Etats-Unis et leurs méthodes très controversées); Laird Wilcox: Les faux incidents racistes et antisémites aux Etats-Unis; Bradley R. Smith: La vie privée d'un révisionniste.

<http://www.librad.com>


§== Blanchisseurs en tous genres. Massacres de l'Ordre du Temple Solaire: les chemins du blanchiment passeraient-ils par Axa-Assurances Luxembourg ?

Où l'on découvre des liens surprenants entre quelques grandes opérations de blanchiment (commissions politiques sur fond de trafic de produits nucléaires), realisées par Axa-Assurances Luxembourg et les morts de l'Ordre du Temple Solaire... A ce jour, près de 30 personnes -- essentiellement des cadres dirigeants du groupe Axa-Assurances, dont ses plus hauts responsables -- sont témoins assistés ou mis en examen dans une procédure judiciaire déjà longue de plusieurs années et où apparaît le nom de Di Mambro (le principal dirigeant de l'OTS, mort en Suisse en 94) dans des opérations de retraits de fonds quelques jours avant les massacres en Suisse des adeptes de l'OTS, en octobre 94... Une procédure en cours de règlement judiciaire et des découvertes qui pourraient bien modifier radicalement le déroulement du procès en appel de Michel Tabachnik en septembre prochain à Grenoble...
 
Merci de nous aider dans notre travail en commandant des maintenant votre ou vos exemplaires de Mafia ou Démocratie, Christian Cotten et Alejandro Jodorowsky, Louise Courteau Editrice. Pour recevoir par la poste votre commande dès l'arrivée des livres en France, merci de nous envoyer un chèque de 29 Euros (prix du livre : 25 Euros, plus 4 Euros de frais de port; pour tout pays hors France: 32 Euros, frais de port inclus), avec vos coordonnées postales, à l'ordre de : Christian Cotten, 112, rue de Silly - 92100 Boulogne-Billancourt - France.

<[email protected]>

Les sites des auteurs

http://www.politiquedevie.net

http://www.strategique.fr

http://jodorow.free.fr/jodorowsky


§== generalitat de los flicats

Last 8 of July, the Spanish editorial 'Ediciones Nueva Republica' (New Republic Editions) linked with the political party Movimiento Social Republicano (Social Republican Movement) has been raided by the police. Also the Library Kalki (Kalki bookstore) located in Barcelona has been raided by the police. Two comrades have been arrested, the owner of the editorial, that is also one of the leaders of the MSR party; and the owner of the bookstore. They are accused of 'apology of genocide' and a 'offense against the fundamental rights and the public liberties guaranteed in the Spanish Constitution.' Apart form other charges appeared in the press is of 'inciting to the violence'. 10.000 books has been confiscated, as well as flags, posters, magazines, stickers, videos, Cd's and even personal objects of this comrades.
They could be condemned to a sentence between 4 and 6 years of prison. This is a very difficult situation for them, because the owner of the bookstore is married and has 2 little girls.
So we ask for your help to let know the situation that this comrades are living in Spain, that is very similar to what happened to the Libreria Europa (Europe Bookstore) also from Barcelona, whose owner was sentenced to 5 years of prison under the same charges, although is still waiting for a revision of the Supreme court. Please send forward these e-mail to your contacts, publish the text in websites, magazines, fanzines etc. Anyone interested in giving economical support could write to:

<[email protected]>

Sites de la librairie et éditorial:

<http://www.libreria-kalki.com> <http://www.edicionesnuevarepublica.com>

Site de la flicailla catalane

< http://www.gencat.es/mossos/>


§== L'obscurantisme juif militant:

Could ancient Jewish writings have hinted to major contemporary events -- including the atrocities of 9/11? A new book by H. M. Davidson, available via this link, may both inspire you and shake your world view to the core. You may never view the Bible the same way again!
<http://www.neatoffer.com/obc/>

(signalé par Arutz 7, le 23 juillet 2003.


§== L'O'schwitz italien.

La Risiera di San Sabba (Risiera:rizerie)
Sommario
1. Il contesto storico.
2. La risiera, da impianto industriale a fabbrica degli orrori.
3. Cosa si intende per olocausto.
4. Un processo tardivo che ha incrinato la coltre di silenzio sul lager di San Sabba.
5. La risiera diventa monumento nazionale.
6. Informazioni utili
Si ringrazia per la collaborazione la direzione dei Civici Musei di Trieste ed il dott. Enrico Folisi dell'Università di Udine per la consulenza storica
<http://www.windcloak.it/cultura/risiera/risom.htm>


§== Anglicamps.

Dear Colleague,

I inform you that there is an interesting article about the Anglican Church in Great Britain and its attitude about the Holocaust in the last issue of the review Twentieth Century British History:

Tom Lawson, "The Anglican Understanding of Nazism 1933-1945: Placing the Church of England's Response to the Holocaust in Context ", Twentieth Century British History, Volume 14, Issue 2, June 2003: pp. 112-137. The author argue that the Anglican community consistently understood Nazism as primarily an anti-Christian force, which in turn prevented the church from understanding the import of Nazi anti-semitism.

<[email protected]>

Ça révise dur, de partout. Ensuite, il faudra réviser ces révisions judéocentriques, once again.


§== Costume croisé. Un article de HE Barnes as a crusader, par Rothbard: Harry Elmer Barnes as Revisionist of the Cold War, by Murray N. Rothbard. This article first appeared in Arthur Goddard, ed., Harry Elmer Barnes: Learned Crusader (Colorado Springs: Ralph Myles, Publisher, Inc., 1968).

<http://www.lewrockwell.com/rothbard/rothbard27.html>


§== Censure.

I have rejected your post to soc.history.war.world-war-ii for the following reason: Historical revisionism.
Stephen Graham, <[email protected]>


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Informations et commentaires tirés du site aaargh
<http://aaargh-international.org/fran/actu/actu03/actu0308.html> (version Web)
La version PDF se trouve aux adresses suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>

 

 

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Informations et commentaires tirés du site aaargh

Les versions PDF se trouvent aux adresses suivantes:

<http://conseilsderevision.tripod.com>

<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0308.pdf>


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ARTICLE 19 <Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>

Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.

Artigo 19· <Todo o indivíduo tem direito à liberdade de opinião e de expressão, o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração de fronteiras, informações e idéias por qualquer meio de expressão.> Déclaration universelle des droits de l'homme, Paris, 1948.


Le Onze tiret un

Article 11 - 1. «Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.»

Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.

"Congress shall make no law respecting an establishment of religion, or prohibiting the free exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the press; or the right of the people peaceably to assemble, and to petition the government for a redress of grievances." -- The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First Ten Amendments to the Constitution of the United States of America), connu sous le nom de "premier amendement".

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