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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
31 (20 octobre 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
de novembre 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
L'AAARGH A SEPT
ANS
L'AGE DE RAISON
BON ANNIVERSAIRE,
L'AAARGH !
NOUS NOUS RÉJOUISSONS
SURTOUT DE VOIR LA TRONCHE
DE TOUS CEUX
QUI CHERCHENT À NOUS ÉJECTER
DE L'INTERNET
ET À NOUS FAIRE TAIRE.
SEPT ANS QUE
DURE LEUR SUPPLICE.
DANS SEPT FOIS
SEPT ANS
NOUS AURONS
GAGNÉ.
Montée
de l'antisémitisme dans l'université de Chicago:
Sur une
liste de discussion du "département des humanité",
PAS
FROID
- Le Suisse
Ph. Brennenstuhl n'a pas froid aux yeux
- On se souvient que Philippe
Brennenstuhl, vice-président de l'Association Vérité
& Justice, avait été condamné à
trois mois de prison ferme pour avoir diffusé "Le
Contre-Rapport Bergier" et "Le Procès Amaudruz",
ouvrages censés avoir enfreint la loi muselière
antirévisionniste (article 261bis du Code pénal
suisse); la condamnation avait été confirmée
en deuxième instance.
- La 454e (!) livraison
du "Courrier du Continent", mensuel de l'ex-prisonnier
de 83 ans, le professeur G. A. Amaudruz, nous apprend que Philippe
Brennenstuhl a déposé, le 7 juillet 2003, un recours
de droit public auprès de la Cour plénière
du Tribunal fédéral, dans lequel nous lisons:
- La Cour plénière
du Tribunal fédéral est appelée à
constater que l'application de l'art. 261bis CP par les tribunaux
bafoue les principes d'une justice compétente, indépendante
et impartiale (...) et empêche le respect et la réalisation
des droits fondamentaux dans l'ensemble de l'ordre juridique
(...). La Cour plénière est appelée à
annuler le jugement contre Philippe Brennenstuhl et à
proposer à l'Assemblée fédérale et
au Conseil fédéral l'abolition immédiate
de l'art. 261bis CP, afin de rétablir la dignité
humaine du peuple suisse, son ordre constitutionnel et légal,
son indépendance, sa neutralité et son éthique.
-
- Lors de sa déposition
en première instance devant le tribunal de la Veveyse,
le 22 mai 2002, Philippe Brennenstuhl n'avait pas eu froid aux
yeux. Voici quelques échantillons:
- Tout ce qu'a cité
Mme le procureur ne nous intéresse pas, car ce que nous
traitons aujourd'hui c'est la liberté d'expression et
l'application totale des droits fondamentaux de notre Constitution
qui sont bafoués. Mme le procureur général,
vous faites un métier extraordinaire puisque en moins
d'un quart d'heure vous êtes devenue tout à tour
historienne, psychologue et enfin chimiste; quelle science infuse
votre profession vous donne! Cette loi prétendument antiraciste
devait empêcher des hordes de skinheads d'agresser de petites
vieilles dans la rue en leur piquant leurs sacs; eh bien, on
voit aujourd'hui que cette loi ne sert qu'à verrouiller
cette partie de l'histoire et à condamner des citoyens
suisses libres de s'exprimer sans haine et sans injures. Je réfute
entièrement les allégations de l'avocat (...) car
celui-ci affirme que, aujourd'hui, toute recherche scientifique
concernant les chambres à gaz serait devenue impossible
au vu du temps écoulé. Que dire alors des égyptologues
qui réussissent aujourd'hui à savoir ce qu'avaient
mangé les momies la veille de leur mort 5.000 ans avant
Jésus-Christ! L'histoire des camps et des chambres à
gaz n'est pas si ancienne. Alors? Nous voulons le débat
sur cette question sans être criminalisés et sans
que, pour nous faire taire, l'on nous jette l'anathème
perpétuel d'antisémitisme. La demande de peines
de prison massues à notre encontre de Mme le procureur
montre bien la volonté politique par nos autorités
d'imposer la vision sioniste de l'histoire (...)
-
- On lira avec profit
la brochure que Ph. Brennenstuhl vient de publier, "La Suisse
trahie, notre Constitution fédérale manipulée",
51 pages, bilingue, qui s'obtient auprès de l'auteur (C.P.
116, CH-1350 Orbe, Suisse).
LA
CABALE AU CANADA
- Il est rarement
fait usage de certificats autorisant la mise au secret,
- affirment des
responsables
-
- Par John Ward
- OTTAWA (CP) - Une Commission
de la Chambre des communes a fait savoir mercredi qu'en dépit
des craintes que la lutte contre le terrorisme entraîne
la multiplication des certificats préconisant la mise
au secret, cinq seulement ont été délivrés
depuis le 11 septembre 2001. Ward Elcock, qui dirige le CSIS
(Service de renseignement de la Sécurité canadienne),
agence clef de la délivrance de ces certificats [celle-là
même qui a considéré Ernst Zündel comme
une "menace pour la sécurité du Canada"
- NDT], a déclaré aux députés qu'il
en était rarement fait usage. Depuis 1991 seulement 27
certificats ont été émis.
- Ces certificats préconisant
la mise au secret permettent l'utilisation de renseignements
secrets contre des immigrés clandestins ou des nationaux
étrangers suspectés de présenter un risque
pour la sécurité du pays ou encore contre les membres
du crime organisé. Ils doivent être signés
du procureur général et du ministre de l'immigration.
Le dossier est vérifié par un tribunal fédéral
qui décide de ce qui peut être communiqué
aux suspects.
- Elcock a déclaré
qu'il s'agit d'une procédure qui coûte cher à
son agence: "C'est une pratique très onéreuse
pour nous", a-t-il dit. "Elle nécessite énormément
de ressources et peut coûter plus d'un million de dollars."
Le CSIS, a-t-il ajouté, doit faire de gros efforts pour
s'assurer que les renseignements figurant dans ces certificats
proviennent de plusieurs sources différentes et qu'il
ne s'agit pas d'une dénonciation unique. Le CSIS entreprend
ce travail lorsqu'il lui faut protéger ses sources, ses
enquêtes en cours ainsi que son système et ses méthodes
de collecte de renseignements, a-t-il dit. Ce n'est pas une décision
prise à la légère. "Ces certificats
doivent présenter un intérêt stratégique",
dit-il; "on ne va pas s'attaquer à du menu fretin".
- Si l'ensemble de la documentation
réunie demeure secret, des résumés déclassifiés
sont mis à la disposition des individus impliqués.
Ces derniers ont droit à être pleinement entendus
par un tribunal fédéral, avec avocat et contre-interrogatoire
pour se défendre. Si le tribunal décide que le
certificat en question se fonde sur des motifs valables, l'individu
doit être déporté et ne peut faire appel.
La Commission apprit ainsi que, parmi les 27 certificats émis,
3 seulement ont été rejetés par le tribunal
et, dans l'un de ces trois cas, un second certificat fut émis,
confirmé par le tribunal et l'individu déporté.
Actuellement 3 procédures de déportation sont engagées,
1 cas se trouve en cours de vérification par les services
de l'immigration et 3 autres cas sont devant les tribunaux.
- Elcock déclara
que les certificats n'ont pas pour cible un groupe particulier.
Si certains s'appliquent à des extrémistes islamistes,
on en a usé également à l'encontre de terroristes
sikhs, à l'encontre de bandits russes et à l'encontre
du négationniste Ernst Zündel.
- Canadian Press, Mercredi 24 septembre 2003, traduction.
-
AU
COURRIER
Lettre d'un lecteur
qui pérégrine dans des bibliothèques aux
Etats-Unis
- J'ai pu consulter le
livre anglais du capricieux Pressac publié en 1989 à
Washington, "Auschwitz, Technique and operation of the gas
chambers", et difficilement ou non trouvable en France.
On y trouve les documents qui ne sont qu'en notes dans le livre
publié par le CNRS en français de 1993, ainsi que
les 39 prétendues traces de preuves que Robert Faurisson
discute et démolit dans «Bricolages et Gazouillages...»
et Jean-Marie Boisdefeu dans La controverse sur l'extermination
des Juifs.
- Je suis d'accord sur
le fait que les commandes de tests à acide cyanhydrique
ne sont pas des preuves. D'ailleurs dans son livre de 1989, il
écrit que 95% du zyklon B était utilisé
pour désinfecter, et seulement 5% pour tuer. Il reconnaît
que Faurisson a fait avancer la recherche en publiant certains
documents, comme celui (NI-9912) sur les propriétés
de l'acide prussique disponible en allemand au CDJC, cote CLIX
a-21.
- J'ai recherché
la lettre du SS Bischoff où il est question de Vergasungkeller
au Krematorium II (cité dans son livre de 1993, p.69)
et traduit par "cave à gazage". Il est intéressant
de remarquer que dans la version de 1989 l'auteur n'est pas aussi
affirmatif: "Le rapport d'inspection joint à la lettre
rend possible d'établir, par un processus d'élimination,
que Bischoff utilise "Vergasungskeller" pour
désigner la "Leichenkeller 1" du Krematorium
II" ("The inspection report enclosed with the letter
makes it possible, through a process of elimination, to establish
that Bischoff uses 'Vergasungskeller' to designate 'Leichenkeller
1' of Krematorium II").
- La lettre en allemand
(p.432), traduite en français par Faurisson ou en anglais
sur
- <http://www.holocaust-history.org/auschwitz/19430129-vergasungskeller>, dit bien qu'il est question
de transformer cette salle en morgue en attendant la fin du gel
pour aménager le toit. Mais dans ce cas, les "gazages"
criminels supposés s'y dérouler n'auraient pu se
faire pour un temps d'ailleurs indéterminé. Ce
dont Bischoff parle pourrait être, comme l'écrit
Faurisson, non pas la cave II, mais la cave III ou était
déposé du matériel de désinfection,
ou comme l'ont proposé d'autres, un abri anti-armes chimiques,
ou une chambre d'épouillage, etc.
- Faurisson écrit
que le terme Vergasung est très courant, et est
traduit par l'équipe Pressac en anglais par "fumigation"
pour le document NI-9912 concernant l'utilisation du zyklon contre
les insectes, mais par "gassing" ailleurs, ce qui,
dans les deux cas, n'indique d'ailleurs pas vraiment de différence
d'utilisation, même si c'est ce que les traducteurs veulent
suggérer. Nous avons voulu vérifier et avons trouvé
significatif que le document NI-9912 concernant la desinsectisation
ne semble présent en allemand que sur votre site
- <http://vho.org/aaargh/fran/techniques/NI9912d.html> Il se trouve en effet le
terme le terme "vergasung", et l'on peut se
rendre compte sur le site <holocaust-history.org> qu'une
lettre du médecin Kremer désigne par ce mot un
gazage contre des poux en septembre 1942 ("Vergasung eines
Blocks mit Zyclon B gegen die Läuse").
- Je n'ai lu que quelques
pages de la version anglaise, mais j'estime que Faurisson fait
une critique solide de quelques unes des 39 traces. Pressac n'est
lui-même pas toujours certain, au fil des pages, si ces
traces sont des preuves définitives ou non. Parfois il
dit que certaines idées d'aménagement (ventilation
en bois, ou désaération pour le haut plutôt
que par le bas) montrent une intention criminelle, or ces projets
ne paraissent pas avoir été mis en oeuvre.
- Le résultat de
ces fastidieuses pérégrinations exterminationnistes,
après d'autres à l'aide de moteurs de recherche,
est que je me demande pourquoi l'on a présenté
l'assemblage déréglé et pétaradant
de Pressac sous un capot rutilant, alors que le travail de Faurisson
présente une finition polie et le survole de loin en vrombissant.
-
TELLES
ET LES VISIONS
- Too many
Holocaust documentaries?
- Barry Gewen
-
- New York -- The turning
point may have come in 1985 with "Shoah," Claude Lanzmann's
nine-and-a-half-hour epic of death camp survivors, Nazi officials,
Polish bystanders, righteous gentiles and meticulous historians.
It marked the moment when documentary filmmakers started giving
their full attention to Hitler's planned extermination of the
Jews.
- "When I began exploring
how films have grappled with the Holocaust in 1979, there were
merely a few dozen titles to warrant attention," Annette
Insdorf writes in her encyclopedic study Indelible Shadows:
Film and the Holocaust. But for the book's third edition,
published this year, she lists, with the fiction films, 69 documentaries
made since 1990 alone -- almost one every two months.
She also estimates that there are at least six completed Holocaust
documentaries that do not get distribution for every one that
does. And the stream has continued at flood tide into 2003.
Last month Secret Lives, Aviva Slesin's emotionally complex
film about Jewish children hidden by gentiles during the Nazi
era, opened in New York.
- Shortly after, PBS showed
Charles Guggenheim's Berga: Soldiers of Another War, about
Jewish-American soldiers captured by the Germans. Bonhoeffer,
Martin Doblmeier's intellectual, spiritually suffused account
of the anti-Nazi German theologian Dietrich Bonhoeffer, is opening
on June 27, just before A&E broadcasts Liz Garbus's Nazi
Officer's Wife, the biography of a Jewish woman who survived
by assuming an Aryan identity and marrying a Nazi party member.
- But simply listing these
new films raises a troubling question: Are too many Holocaust
documentaries now being made? Has supply outstripped demand?
It's a question that makes people uncomfortable. Who would want
to appear callous in the face of such suffering, or, worse,
anti-Semitic? Yet there are definite signs of Holocaust
fatigue. Perhaps because she is a survivor, Slesin is more
forthright than most. "I can't bear to see evil over and
over again," she says. "Even I roll my eyes when I
hear about another Holocaust documentary" -- but then she
quickly adds, "until I see what it's about."
- Stephen Feinstein, director
of the Center for Holocaust and Genocide Studies at the University
of Minnesota, has sat on a selection committee for a Jewish film
festival when more than 15 Holocaust documentaries were submitted.
Many of the films have become formulaic, using the same German
footage, the same static interviewing techniques. Raye Farr,
director of the Steven Spielberg Film and Video Archive of the
U.S. Holocaust Memorial Museum, says that filmmakers are too
often taking the easy way out, showing an "increasing inclination
to go for sentimentality." With an undertone of exasperation
in her voice, she says, "Crying is not very edifying."
- In part, filmmakers
are simply reflecting the extraordinary phenomenon that the Holocaust
has become in American life. Publishers churn out books on the
subject, state governments legislate the teaching of the Holocaust
in public schools, the Holocaust museum in Washington greets
millions of visitors each year. It would be odd if filmmakers
didn't share this general fascination. And yet many of them feel
a particular urgency about their work.
- As the documentarian
Joseph Dorman observed in an interview, anyone with a relative
who went through the Holocaust has a "natural desire"
to tell that story. Most of these films are made not for any
commercial reason, and not really with an educational intent.
They are works of moral witness.
- Melissa Hacker's mother
was a survivor of the Kindertransport, one of thousands of Jewish
children from Germany and Austria who were sent to England in
the months before the start of World War II. Hacker had grown
up with the story, but there were many things her mother wouldn't
talk about, "forbidden stuff." It was only when she
set about making a documentary, "My Knees Were Jumping:
Remembering the Kindertransports" (1995), that her mother
opened up to her. The film, Hacker says, "was a way of learning
more about my own family."
- Such personal involvement
can inspire intense dedication. Slesin took three and a half
years to complete her film. Hacker, a first-time documentarian
when she made hers, required seven. Funding is always a problem.
Sometimes, it seems that Holocaust documentaries have a lock
on all the awards: They have won five Oscars in eight years.
But their commercial prospects are generally slim, and rare is
the investor willing to back a film almost guaranteed to be
a box-office loser.
- Most movie audiences
don't want to dwell on the sealed boxcars, extermination camps
and mounds of corpses that are the staples of the Holocaust narrative.
There has been a tendency of late among documentarians to concentrate
on the more "positive" side -- gentiles who opposed
Hitler or rescued victims; Jewish resisters in the Warsaw Ghetto
and elsewhere, and of course the survivors themselves. These
individuals are often presented as inspirational (although, with
the millions of victims who are not here to go before the camera,
there is nothing inspirational about the Holocaust). Even so,
their stories don't readily win financial backing.
- Independent filmmakers
speak of "endless hours" of fund-raising, "a tremendous
amount of scrambling." Even established institutions have
trouble. Major archives exist for the express purpose of capturing
the survivors on film. Yale's Fortunoff Video Archive for Holocaust
Testimonies has a collection of more than 4,000 testimonies.
The Survivors of the Shoah Visual History Foundation, established
by Spielberg in 1994 following "Schindler's List,"
is by far the largest. It houses more than 50,000 testimonies.
Both the Fortunoff Archive and the Shoah Foundation have produced
films using their collections, but they, too, have had to struggle
to raise money. Douglas Greenberg, the president and CEO of the
Shoah Foundation, describes "banging with a tin cup"
for outside support. "Steven doesn't pay all the bills,"
Greenberg says.
- There is one grand exception
to this rule of penury. Rabbi Marvin Hier, the founder of the
Simon Wiesenthal Center in Los Angeles, speaks with the confidence
and ebullience of a man who knows he sits astride a well-oiled
machine. The center has its own movie division, Moriah Films,
and it turns out a film about once every two years (not all of
them about the Holocaust); two of them, "Genocide"
and "The Long Way Home," have won Oscars, and such
celebrities as Orson Welles, Elizabeth Taylor and Michael Douglas
have volunteered their services as narrators. Unlike everyone
else involved in making such documentaries, Hier says raising
money has been "very easy," and since 1989 Moriah Films
has collected about $15 million. The minimum gift the center
accepts is $100,000 spread over five years. The scrambling
documentarians on the East Coast can only stare across the continent
with envy at this odd coupling of Hollywood star power and the
awesome atrocity of the Holocaust.
- But rich or poor, every
Holocaust documentarian is working the same territory, and some
critics complain that the basic plot line of the Holocaust has
become too familiar by now to permit genuinely original work.
We all know it: first the arrival of the Nazis, then the
initial terror, the rounding up into ghettos, the shipment to
the camps, the gassing and death or, alternatively, the humiliation,
degradation, starvation, torture, gassing and death. At this
point, it seems, just about all that documentarians can do with
the history is to fill in the gaps. "Berga" is an example.
It tells of 350 GIs captured during the Battle of the Bulge who
were Jewish or looked Jewish, and who were shipped off to a concentration
camp to be slave laborers.
- No one is suggesting
that documentarians stop making Holocaust films. As Farr puts
it, "There'll always be more to discover and understand."
But Dorman, for one, believes it is time to pay more attention
to the perpetrators. Film, he says, has proved "an ideal
medium" for allowing the victims to tell their stories,
but where, he wonders, are the far more complex stories of the
criminals? Books have been written about them -- Christopher
Browning's Ordinary Men (1992), for example, has become
an instant classic -- yet filmmakers have exhibited a greater
reluctance than historians to examine this aspect of the Holocaust.
Perhaps they are fearful of humanizing the inhuman. Audiences,
after all, feel a natural tendency to identify with the person
on the screen.
- The Holocaust will no
doubt remain the defining atrocity of our time and a springboard
for any discussion of mass extermination. But now it co-exists
with the slaughter of the Armenians, the malignity of the Soviet
gulag, the autogenocide in Cambodia, the ethnic cleansings in
the Balkans and the sanguinary tribal wars across Africa. [He
keeps forgetting the Israeli massacres in Palestine, the mass
murders committed by the Americans in Vietnam and Iraq... A lot
of interesting subjects ] For filmmakers interested in
examining man's inhumanity to man or bringing it to public attention
or simply bearing witness, there is no shortage of material.
- The New York Times
/ The International Herald Tribune, 19 juin 2003.
- <http://www.iht.com/articles/99981.html>
ERRARE
JUDAICUM EST
- Aveuglement
collectif : Les erreurs les plus fréquentes des Israéliens
- par Gilad Atzmon
-
- Les erreurs les plus
usuelles des Israéliens sont les suivantes :
- 1. De ne pas réaliser
qu'il n'y a pas de différence essentielle entre Tel Aviv
et une colonie juive en Cisjordanie.
- 2. De croire que la
création de l'État d'Israël est un résultat
de l'Holocauste.
- 2) De croire que
la création de l'État d'Israël est un résultat
de l'Holocauste
- Voici d'abord quelques
citations révélatrices:
- "Un juif élevé
au milieu des Allemands peut adopter les coutumes allemandes,
des mots allemands. Il peut être totalement imbibé
de fluide allemand, mais le noyau de sa structure spirituelle
restera à jamais juif, parce que son sang, son corps,
son type physique racial sont juifs." (Vladimir Jabotinsky,
"Une lettre sur l'autonomie", 1904 - Jabotinsky est
le mentor idéologique de la droite israélienne).
- "Moi aussi, comme
Hitler, je crois dans le pouvoir de l'idée du sang."
(Chaïm Nachman Bialik, "L'heure présente",
1934 - Bialik est le poète national officiel d'Israël).
- "Si j'avais été
juif, j'aurais été un sioniste fanatique."
(Adolf Eichmann, 1955, publié dans Life Magazine
en 1960 - Eichmann, un officier SS en charge du "problème
juif", a fait cette remarque en référence
à sa visite en Palestine en 1937).
- Tout au long des années,
les Israéliens ont adopté une vue bizarre du récit
de leur histoire sioniste. D'une manière ou d'une autre,
ils ont décidé que leur entreprise coloniale militante
et nationaliste est en réalité un "mouvement
à la recherche de la paix" de l'après-Shoah.
Dans les premières années de l'État, cette
notion manipulatrice s'est trouvée être très
efficace en engendrant un soutien de l'Ouest grâce sans
doute au sentiment de culpabilité au sein des Occidentaux.
Depuis la guerre du Liban en 1982, l'opinion à l'Ouest
s'est déplacée. De plus en plus de personnes estiment
que ce sont les Palestiniens qui sont en réalité
les "dernières victimes de Hitler". Alors que
l'Ouest prend lentement mais sûrement conscience des crimes
inhumains et continus d'Israël, les Israéliens croient
toujours en leur image auto-fabriquée. Les Israéliens
sont convaincus que l'État d'Israël a été
crée après l'Holocauste afin de donner un havre
de sécurité aux juifs en cas de désastre
qui recommencerait. Cette fausse idée est la conséquence
directe de la lecture erronée des événements
historiques cruciaux. Israël est le fruit du sionisme, et
l'idéologie sioniste a été édifiée
bien avant la naissance de Hitler.
- De plus, il y a une
bonne raison de croire que Hitler a développé ses
arguments antisémites après avoir lu les premiers
textes sionistes. En lisant Ber Borochov, il pouvait apprendre
à quel point les juifs étaient socialement anormaux
("La structure socio-économique du peuple juif diffère
radicalement de celle des autres nations. La nôtre est
une structure anomale, anormale." Ber Borochov, 1897, publié
dans Moshe Cohen (éd.), "Nationalisme et la lutte
des classes: une approche marxiste au problème juif",
1937). Il pouvait apprendre de Jabotinsky à quel point
la pureté du sang était importante. Les citations
ci-dessus suggèrent que le sionisme et le nazisme sont
très semblable dans l'esprit (tous deux sont des mouvements
nationalistes inspirés par les concepts de la pureté
raciale). Une chose néanmoins reste claire: le sionisme
précède le nazisme.
- D'autre part, si nous
décidons d'accepter l'idée de l'aveuglement d'Israël
qui estime que l'État est un résultat de l'Holocauste,
alors nous devrions prendre en compte le fait que les sionistes
ont toujours été plus qu'enthousiastes en ce qui
concerne l'antisémitisme. Aux yeux des sionistes, c'est
l'antisémitisme qui poussera les juifs vers leur pays.
Ainsi, les sionistes ont réalisé dès le
début que l'Allemagne nazie présentait une chance
pour le sionisme. Alors qu'avant la guerre les organisations
sionistes ont collaboré avec les nazis pour transférer
les richesses des juifs allemands en Palestine pendant la guerre,
quand l'échelle du désastre était déjà
connue, les sionistes de par le monde n'ont pas fait grand-chose
pour aider leurs frères et surs en Europe. Il faut mentionner
un incident en particulier. Vers la fin de la deuxième
guerre mondiale, Adolf Eichmann (au nom d'Heinrich Himmler) a
offert à Rezso Kasztner, un dirigeant sioniste hongrois,
la possibilité de libérer près d'un million
de juifs en échange de 10.000 camions. De façon
surprenante, cette offre a été ignorée par
les organisations sionistes qui avaient réalisé
alors que l'anéantissement des juifs d'Europe aiderait
à générer suffisamment de soutien de la
part des nations en vue de la création du futur État
juif. Apparemment, l'offre nazie a été réduite
à un seul train et à juste 600 juifs sionistes
hongrois dévoués. Les sionistes n'étaient
clairement intéressés à sauver ni les juifs
assimilés ni les juifs orthodoxes.
- On doit admettre, tristement,
que du point de vue tactique, les sionistes avaient raison: la
liquidation des juifs d'Europe a en effet généré
un grand soutien pour la cause sioniste, qui a conduit finalement
à la création de l'État juif. Néanmoins,
si nous adoptons cette ligne de pensée, nous devons
considérer les dirigeants sionistes comme étant
responsables en partie de la liquidation des juifs d'Europe.
(extrait)
- Gilad Atzmon. CounterPunch
28 août 2003.
-
- Texte anglais: Collective
self-deception: The most commun mistakes of Israelis
- Gilad Atzmon est né
en Israël et a servi dans l'armée israélienne.
Il est l'auteur du nouveau roman "A Guide to the Perplexed"
(En français: Le Guide des égarés,
aux Éditions Phébus, reprise du titre d'un ouvrage
de Maimonide, l'un des principaux écrivains juifs de l'époque
pré-moderne). Atzmon est également un des saxophonistes
les plus accomplis en Europe. Son nouveau CD "Exile"
a été nominé comme étant le meilleur
CD de jazz par la BBC( Enja Records). Il vit maintenant à
Londres et peut être joint sur: <[email protected]>a
- Site web : <http://www.gilad.co.uk/>
- InfoPalestine N* 41. Traduit de l'anglais
par Ana Cleja
ANNIVERSAIRE
Cigarettes,
whisky et petites pépées
- Pour son anniversiare,
Shimon Pérès «a aussi invité quelques
copains. Tels que Bill Clinton et Mikhail Gorbatchev, Frederick
de Klerk et Joschka Fischer, les présidents de Slovénie,
d'Allemagne et de Malte, sans parler de la Côte d'Ivoire,
de quelques milliardaires, d'une brochette de ministres de différents
pays, de quelques acteurs et chanteurs et de l'"holocaustiste"
Claude Lanzmann. Diplomatie, divertissement et holocauste, une
savoureuse mixture.»
- Uri Avneri 20 septembre
2003.
BASE
BALL
Au procès des andouilles d'un site
judéo-faf < amisraelhai.org>
on a eu l'incident suivant, rapporté par un site juif respectueux:
- Comme pour illustrer
les propos sur le passage à l'acte des extrêmistes
juifs, des incidents se sont produits pendant l'audition des
témoins devant l'entrée de la salle du tribunal
où une quinzaine d'énergumènes de la Ligue
de Défense Juive et du Betar ont commencé à
insulter et provoquer Rony Brauman, Michel Warschawski et Olivia
Zémor, aux cris de "Kapo", "les camps ne
vous ont pas eus, on finira le travail !" et autres obscenités
difficilement rapportables. Au point que le président
du tribunal, apprenant les faits, a demandé une suspension
de séance, a recueilli les témoignages de ceux
qui avaient été ainsi agressés et fait
arrêter les jeunes nervis alors qu'ils quittaient le
Palais de Justice.
- <http://www.paixjusteauproche-orient.asso.fr/>
Quand les mêmes nervis viennent
casser du révisionniste, comme ils l'ont fait au procès
Garaudy et en maintes autres occasions, il ne se passe rien. Les
juifs respectueux dodelinent du chef. Les plaintes se perdent
dans les sables. Mais s'ils viennent casser du juif de gauche,
le président du tribunal se bouge le cul, qu'il a d'habitude
plutôt lesté de plomb.
TOUJOURS
PLUS
-
- Yad Vashem
expands, adding Holocaust art
- and digital
teaching center
-
- By Irit Rosenblum
-
- Next year will mark the
end of ten years of development at Yad Vashem (the Holocaust
and Heroism Remembrance Authority). The highlight of the development
plan is the construction of a new museum complex that will include
a museum of the history of the Holocaust, a museum of Holocaust
art, a pavilion for temporary exhibitions, a computerized teaching
center and the Hall of Names.
- According to Yad Vashem's
director-general, Yishai Amrami, over the last few years hundreds
of institutions dealing with the Holocaust have been set up all
over the world, among other places, in Japan, Australia and
Britain. The major one among them, the U.S. Holocaust Museum
in Washington, D.C., has a million-and-a-half to two million
visitors annually. Amrami says this indicates interest in the
Holocaust has not waned, and that many more people can visit
Yad Vashem. Yad Vashem was established in 1953 on Jerusalem's
Har Hazikaron (the mountain of remembrance) and was planned to
receive 300,000 visitors annually. In 2000, it had more than
two million visitors. "Yad Vashem had to reorganize in order
to continue functioning in the new millennium as the Jewish and
Israeli center for perpetuating the memory of the Holocaust,"
says Amrami.
- The multi-year development
plan includes construction of a central school for teaching
the Holocaust; building an archive and library and enlarging
the documentary collection and the list of victims. Also, computerizing
the data and putting the list of those killed on the Internet
and construction of a new entrance and visitors' center, which
will open in the coming weeks. According to Yad Vashem's chairman,
Avner Shalev, the entrance will serve as a bridge between visitors'
day-to-day lives and the unique atmosphere of the memorial site
and prepare them for the experience that awaits them.
- The new museum of the
history of the Holocaust, that is to open in September 2004,
has been designed as a 175-meter-long, narrow structure, most
of which will be underground. Only the entrance and exit will
protrude above ground from the slope of the mountain. The entrance
to the museum will take the visitor from the pre-War world (1900-1930)
to the world during the Holocaust era with the aid of authentic
personal items that belonged to victims and survivors, including
floor tiles and street lamps from a Polish ghetto street.
The exhibits go until the years 1944-1949 on an optimistic note
of coming back to life.
- The personal stories
of Jews living before and during the Holocaust will be told through
objects, photos, texts and computerized displays selected by
a group of curators, historians and educators from Yad Vashem.
Also on display will be work by Holocaust-era artists and the
power of their work lies in their authenticity. The Hall of Names,
shaped like a giant cone, will be moved from the existing historical
museum at Yad Vashem. It will have a repository - a nine-meter
high box - of Holocaust-era documents and testimonial pages from
relatives of those killed. On a wall in the hall, the names of
the victims will be screened continuously. The external wall
of the cone, built of squares, will be covered with 570 enlarged
photos of faces of Jews as they appeared before the war started.
"And the visitors will stand face to face opposite these
images," says Avner Shalev.
- <http://www.haaretz.com/hasen/pages/ShArt.jhtml?itemNo=326495>
Ils copient le Wiesenthal Circus de
Los Angeles. Le modèle ultime reste Dineyland.
UNE
HISTOIRE QUI CLOCHE
- Les Fusillés
du Mont-Valérien: environ 1.000 et non 4.500
-
- par Robert Faurisson
-
- En première page
du Monde, daté des 21-22 septembre 2003, Alexandre
Garcia signe un article intitulé: "Une cloche monumentale
pour honorer les martyrs du Mont-Valérien". Il écrit:
- De 1941 à 1944,
plus de 1 000 résistants et otages ont été
fusillés par les nazis dans la clairière du Mont-Valérien,
au-dessus de Suresnes (Hauts-de-Seine), à l'ouest de Paris.
Sur cette colline où le général de Gaulle
fit ériger en 1960 un Mémorial de la France combattante,
rien, aucune plaque, stèle ou monument, n'a jamais rappelé
aux visiteurs les noms de ces martyrs morts pour la France. "Ces
héros étaient devenus un long cortège d'ombres
anonymes, comme autant de soldats inconnus de la Résistance
française", s'est ému Robert Badinter, sénateur
PS des Hauts-de-Seine, à l'initiative d'une proposition
de loi déposée en 1997 pour mettre fin à
"cette extraordinaire et injustifiable omission".
-
- Il précise que
sur le nouveau monument figurent, par ordre chronologique et
alphabétique, les noms de 1.006 fusillés et qu'une
place vide symbolise les fusillés demeurés inconnus
(probablement une dizaine).
-
- A aucun moment il ne
rappelle que l'ancien monument portait le chiffre de 4.500 victimes.
On avait multiplié par plus de quatre le nombre réel
des fusillés ! L'absence de noms s'expliquait donc le
plus simplement du monde: du temps du général de
Gaulle on s'était, sur le sujet, rendu coupable d'une
si grossière exagération qu'on aurait été
bien en peine d'inscrire les noms de tant de fusillés
fictifs.
-
- Ce 18 septembre au matin,
sur les ondes de France-Inter, Robert Badinter, d'un ton fébrile
et vengeur, a dénoncé avec insistance le fait qu'on
avait pendant plus de cinquante ans caché les noms des
fusillés. Il a jugé le procédé outrageant
et inexplicable. Ni lui, ni le responsable du mémorial,
ni le journaliste Stéphane Paoli qui les interrogeait
avec gourmandise n'ont, bien sûr, rappelé aux auditeurs
l'existence du monument de grès sur lequel les résistants
avaient, en 1960, fait graver le chiffre fallacieux de "plus
de 4.500" fusillés.
-
- La tricherie d'A. Garcia
est d'autant moins pardonnable que son confrère du Monde,
Laurent Greilsamer, avait, le 30 mars 1995, publié exactement
à la même page, au même emplacement ("le
ventre") et dans la même typographie un article intitulé
"Les fusillés fantômes du mont Valérien".
Dans cet article était mentionnée l'existence de
"la plaque commémorative de grès brut"
indiquant le chiffre (à "corriger", disait L.
Greilsamer) de 4.500 morts. La tricherie d'A. Garcia a consisté
à écrire: "rien, aucune plaque, stèle
ou monument, n'a jamais rappelé aux visiteurs les noms
de ces martyrs morts pour la France". Formellement, la phrase
est exacte puisque, aussi bien, l'ancienne plaque n'indiquait
pas les noms (et pour cause !), mais la tournure choisie
par A. Garcia est telle que le lecteur est soigneusement tenu
dans l'ignorance du fait qu'il y a eu dans le passé une
plaque, une stèle ou un monument rendant hommage aux fusillés.
Simplement cette plaque, cette stèle, ce monument portait
un chiffre qu'on avait gonflé dans la pieuse intention
de rendre à ces fusillés et à la Résistance
tout entière un hommage particulièrement appuyé.
R. Badinter, A. Garcia et leurs amis veulent nous faire croire
qu'il y aurait eu "silence" et "omission"
alors qu'en réalité il n'y a eu ni silence ni omission,
mais lourde, maladroite et même malhonnête insistance
à nous vanter ces "héros de la Résistance".
-
- Cette révision
à la baisse du nombre des fusillés rappelle bien
d'autres révisions, tout aussi tardives et auxquelles
on ne s'est résolu que sous la poussée des auteurs
révisionnistes. Contentons-nous de deux exemples. La plaque
du Vélodrome d'hiver évoquait le souvenir de 30.000
internés juifs jusqu'au jour où ce nombre a été
officiellement réduit à 8.160. Quant aux plaques
d'Auschwitz, elles indiquaient, encore en 1990, le chiffre de
4.000.000 de morts ; en 1995, les nouvelles plaques remplaçaient
ce chiffre par celui de 1.500.000 morts cependant que, dans les
années qui ont suivi, les auteurs orthodoxes ont procédé
à toute une série de dévaluations, leur
dernière estimation étant, depuis l'an dernier,
de 510.000 morts (Fritjof Meyer, Osteuropa, mai 2002,
p. 631-641). Les révisionnistes, eux, proposent une autre
estimation qu'un jour peut-être les auteurs officiels adopteront
à leur tour.
-
-
-
- En plus de l'article
de L. Greilsamer et de celui d'A. Garcia, on pourra consulter
1) le communiqué de l'AFP publié dans Le Figaro du 30 mars 1995
sous le titre " Mont-Valérien : le vrai chiffre "
; 2) Robert Faurisson, " Serge Klarsfeld divise par quatre
le nombre des fusillés du Mont-Valérien ",
30 mars 1995, Ecrits révisionnistes (1974-1998),
1999, p. 1656-1657 ; 3) Georges-Paul Wagner, " Il y a donc
un bon révisionnisme ! ", Présent,
30 janvier 1999, p.2 ; 4) " Mont-Valérien : le bon
révisionnisme ", Rivarol, 5 février
1999, p. 3.
-
- Le Parti communiste
français, qui se disait autrefois le " Parti des
75.000 fusillés " (pas moins !) explique aujourd'hui
froidement que la différence entre 1006 et 4500 "
s'explique " (sic)
: " Le chiffre de 4500 correspond aux estimations de l'époque
de la Libération. Il correspond aussi au total des martyrs
sur l'ensemble de l'Ile-de-France " (L'Humanité
Hebdo, 20-21 septembre 2003, p.16).
-
- 22 septembre 2003
LA
SUBVERSION JUIVE DU CATHOLICISME
- Extrait
- Jules Isaac was a history
scholar, a Legion of Honor member, and the inspector of schools
in France. In 1943, he was 66, a despairing man living near Vichy,
when the Germans picked up his daughter and wife. From then on,
Isaac could think of little but the apathy of the Christian world
before the fate of incinerated Jews. His book Jesus and Israel
was published in 1948, and after reading it, Father Paul Dimann
in Paris searched schoolbooks and verified Isaac's sad claim
that inadvertently, if not by intent, Catholics taught contempt
for Jews. Gregory Baum, an Augustinian priest born an Orthodox
Jews, called it "a moving account of the love which Jesus
had for his people, the Jews, and of the contempt which the Christians,
later, harbored for them." Isaac's book was noticed. In
1949, Pope Pius XII received its author briefly. But 11
years went by before Isaac saw real hope. In Rome, in mid-June,
1960, the French Embassy pressed Isaac on to the Holy See.
Isaac wanted to see John XXIII. He was passed from the old Cardinal
Eugene Tisserant to the archconservative Cardinal Alfredo Ottaviani.
Ottaviani sent him on to the 83-year-old Cardinal Andrea Jullien,
who stared without seeing and stayed motionless as stone while
Isaac told how Catholic teaching led to anti- Semitism. When
he had finished, he waited for a reaction, but Jullien stayed
in stone. Isaac, who was hard of hearing, stared intently at
the prelate's lips. Time passed, neither spoke. Isaac thought
of just leaving, then decided to intrude. "But whom should
I see about this terrible thing?" he asked, finally, and
after another long pause, the old Cardinal said,"Tisserant."
The silence settled in again. The next word was, "Ottaviani."
Isaac shook that off too. When it was time for another, the word
was, "Bea." With that, Jules Isaac went to Augustin
Bea, the one German Jesuit in the College of Cardinals. "In
him, I found powerful support," Isaac said.
Article
de Look en 1966, mentionné
par Léon de Poncins dans un célèbre ouvrage
sur la façon dont les intriguants juifs du genre Isaac
ont manipulé les pères conciliaires de Vatican II.
(Le judaÏsme et le Vatican - Une tentative de subversion
spirituelle , Groupe Saint Rémi - 249 pages)
- «Voici la première
édition en français de ce livre de Léon
de Poncins qui n'existait jusqu'ici qu'en édition anglaise
(Britons, 1967) et espagnole. Le sous-titre : "Une tentative
de subversion spirituelle" indique le thème général
du livre. II sagit de la pression exercée par des personnalités
et des organisations juives pour que soit modifiée la
doctrine traditionnelle sur les rapports entre judaïsme
et catholicisme. L'un des grands mérites de Léon
de Poncins est d'avoir alerté les pères conciliaires
sur un tel danger; et le livre développe l'argumentation
utilisée à cette fin.
- La première partie
montre le rôle capital qu'a joué l'universitaire
Jules Isaac dans l'effort entrepris pour modifier la pensée
catholique sur un point fondamental. La troisième explique
comment la subversion a partiellement réussi avec l'approbation,
par les pères conciliaires du concile Vatican II, de la
Déclaration sur les relations entre l'Église et
les religions non chrétiennes (cf. la remarque de l'évêque
d'Aix-en-Provence Mgr de Provenchères : "C'est un
signe des temps qu'un laïc et qui plus est un juif ait été
à !'origine d'un décret conciliaire.")
- AL
- «Léon de
Poncins décédé en 1975, fut l'un des grands
auteurs anti-maçonnique de cette époque. Parmi
ses ouvrages signalons Christianisme et franc-maçonnerie
et la franc-maçonnerie d'après ses documents secrets.»
POURQUOI
LES JUIFS RUSSES ?
par Israel Shamir, juif russe.
- Q: Vladimir Guzinski,
the Russian media baron, was arrested in Athens and is expected
to be deported to Russia. Other fabulously rich members of Jewish
community are also prosecuted (Berezovsky, Khodorkovski) and
others continue to keep good relations with Putin and authorities
(Abramovich, Chubais). You have been born and you have worked
in Russia, you know the country and its culture. How do you explain
the unrestricted power which was gathered in Jewish hands after
1989? Do you believe that Putin is trying to put some limits
to their power or he is just rearranging the scene?
- IS: Rise of the Jews
in post-Soviet Russia is one of the most bewildering phenomena.
Six out of seven wealthiest men of Russia are Jews, and they
are influential in media, banking, in control over natural resources.
It is not easy to explain why a Jewish accountant from Tashkent,
Chernoy, with monthly salary of one hundred Rouble, became the
owner of Russian aluminium industry.
- One explanation lies
in the religious sphere. The Orthodox Christians are ashamed
of being rich. They remember the comparative size of a needle
and a camel. They understand that riches rarely come to honest
men. They are ashamed of power, for they were told: the last
ones here will be among the first there. This quality of Orthodox
Christianity was partly inherited by Communism, and that is why
Communism was successful in Russia. (It would succeed in Greece,
too, but England crushed Communists in post-war Greece).
- The unreconstructed
Jews and the Calvinists have no such misgivings. They seek power
for the Old Testament says, "be a master to your brothers,
and they will bow to you". They believe wealth is a sign
of being blessed. That is why they are ready to grasp all there
is. On a less religious note, I shall quote Victor Pelevin, a
modern Russian writer:
- "In tumultuous
times, an unscrupulous and cunning man manages better than an
honest one for he quickly adapts to the changes. At a certain
level of dishonesty and cunning, the man foresees the oncoming
changes well in advance, and thus he adapts even faster. The
worst rogues adapt themselves to the changes before these changes
actually occur. These worst rogues are the engine of change,
for they do not foresee the future, but they form it. These unscrupulous,
shameless, pushy rogues convince the rest that their forecast
is correct, and thus the change occurs"[i].
- In other words, 'success'
of a group at the expense of others is a sign of their lack of
scruples. But in more pragmatic way, the Russian Jews own their
success to their close relations with the American Jews. When
the US Jews entered the big game of sharing the spoils of Russia,
they needed local allies, and the Russian Jews were available
for this role. Thus, this prominence of Russian Jews is even
worse than it appears, for the prominent ones are extremely pro-American
and pro-capitalist. They support Western domination, fight the
Russian Orthodox Church, and promote 'modernity', this poisonous
mix of CNN, MTV and IMF.
- They enjoy support of
the important American Jews. Khodorkovsky is defended by such
differing and mutually hostile Jewish players as Richard Perle
and George Soros. The NY Times (July 23, 2003) reported from
Moscow: "When key Washington policy advisor Richard Perle
sat down this week for a meeting with leading Russian political
analysts, he had an unsolicited word of advice: Lay off Yukos
Oil Co., the Russian energy giant locked in a showdown with criminal
prosecutors." (Yukos is Khodorkovsky). Charles Grant, a
Soros' man, wrote: "today, in strict utilitarian terms,
Khodorkovsky is a force for good in Russia. He gives direct and
indirect support to a range of organisations and individuals
that are trying to raise the standards of Russian capitalism,
civil society and democracy. He wants to make Russia more western,
which in my view is exactly what it needs".
- When Putin moved against
Gusinsky, NY Times of Sulzberger called to 'defend freedom of
independent press', another code-word for the Jewish-owned one,
as the NY Times did not defend Zavtra and other opposition media.
But ordinary Jews, or Russians of Jewish origin - and there are
millions of such people - are a different story. I meet them,
music teachers, journalists, economists; they are normal people,
and they reject the New World Order and regret the fall of the
Soviet Union. Even oligarchs are only human: Berezovsky was received
in the Russian Orthodox Church, married a Russian woman, he supports
the national opposition, and who knows? Maybe he changed his
ways. The Manichaean approach should be rejected - reality is
more complicated than any scheme.
- Liste shamireaders,
15 septembre 2003. An Interview given to Mr Kostas Karaiskos,
editor of the Greek weekly Antifonitis on Partition, the
Rise of Jews in Russia, and the duty to resist Zionism.
CONNAIS
TON DIEU
- America:
More Money for the Holocaust Industry!
- ADL Awarded
U.S. Justice Department Grant To Expand Holocaust Training For
Law Enforcement
-
- New York, NY, September
3, 2003. The Anti-Defamation League (ADL) has been awarded a
$100,000 grant from the U.S. Department of Justice Office of
Community Oriented Policing Services (COPS) to support a joint
ADL/United States Holocaust Memorial Museum training program
for law enforcement professionals. The grant will enable ADL
to expand the initiative to three additional cities in 2004.
- Lessons of the Holocaust
brings law enforcement officers to the U.S. Holocaust Memorial
Museum in Washington, D.C., for an intensive program that challenges
them to examine their relationship with the public and to explore
issues of personal responsibility and ethical conduct. Launched
in 1998, the program has reached more than 14,000 officers in
nine Washington, D.C. regional law enforcement agencies and is
currently part of the mandatory training for all new FBI agents.
[Etonnez-vous, après ça, qu'ils soient totalement
abrutis ! ]
- "By witnessing
firsthand the horrors of the Holocaust, police officers can better
understand how their personal decisions can have life-or-death
implications," said Abraham H. Foxman, ADL National Director
and a Holocaust survivor. "Community police officers are
the frontline protectors of America's Constitution and guardians
against a repeat of the horrors of the Holocaust."
- The program was conceived
in 1998 after ADL invited Washington Police Chief Charles H.
Ramsey to visit the Holocaust Museum. Profoundly moved by the
experience, Chief Ramsey asked ADL to develop a program using
the museum as a centerpiece to help law enforcement officers
to think through issues of responsibility and administering authority
in an ethical manner. The program is run by the League's Washington
D.C. Regional Office.
- <http://www.adl.org>
HISTORIQUEMENT
CORRECT
- Histoire: existe-t-il
une vérité d'Etat? La loi Fabius-Gayssot
-
- Faurisson: Y A-T-IL ENCORE
une censure en France? La réponse est oui. C'est la loi
du 13 juillet 1990 qui réprime le révisionnisme.
C'est le propre de l'histoire d'être "révisionniste",
c'est-à-dire de "réviser", de corriger,
à partir de sources nouvelles ou réexaminées,
les connaissances existant sur un sujet du passé. Mais
aujourd'hui le terme de "révisionniste" (ou,
plus péjoratif, de "négationniste") est
réservé aux historiens et aux auteurs qui contestent
que les Allemands aient eu une politique d'extermination des
juifs et qu'il ait existé des chambres à gaz homicide.
- Les révisionnistes
- Dès l'après-guerre,
des auteurs comme Maurice Bardèche et Paul Rassinier ont
défendu ces positions. A partir de 1978, Robert Faurisson,
à l'époque professeur de littérature à
l'Université, plus tard Henri Roques, Vincent Reynouard
et Jean Plantin, pour ne citer que les historiens français
les plus connus et les plus productifs, ont oeuvré et
oeuvrent encore pour "réviser" l'histoire communément
enseignée et éditée sur la Seconde Guerre
mondiale.
- En 1988, à l'initiative
de Laurent Fabius, une première proposition de loi contre
le révisionnisme est présentée. Finalement,
en 1990, Laurent Fabius présidant l'Assemblée nationale,
c'est le groupe communiste, avec le député Jean-Claude
Gayssot en tête des signataires, qui dépose une
proposition de loi.
- Ce révisionnisme
a été très rapidement perçu par certains
comme une réhabilitation du régime national-socialiste
et comme une nouvelle forme d'antisémitisme. Aux campagnes
de presse qui se sont multipliées et aux premiers procès
s'est ajouté, à partir de 1986, à l'instigation
du grand rabbin Sirat, le souhait de voir s'instaurer en France
une loi "interdisant la mise en doute du génocide".
- La loi sera adoptée
le 13 juillet 1990. Sa dénomination officielle est: "loi
tendant à réprimer tout acte raciste, antisémite
ou xénophobe". En fait, et c'est sa nouveauté
par rapport aux lois antérieures réprimant ces
mêmes délits, en son article 9 cette loi prévoit
que doit être punie toute contestation des crimes contre
l'humanité tels que les a définis le Tribunal militaire
international de Nuremberg qui a jugé, en 1945-1946, les
dirigeants nazis.
- Cette loi, dite "loi
Fabius-Gayssot" ou "loi anti-Faurisson", a été
contestée, avant même son adoption définitive,
par des juristes et par des historiens (qui ne partagent pas
les thèses révisionnistes).
- Ils l'ont contestée,
non parce qu'ils partagent les thèses historiques des
révisionnistes, mais parce qu'ils voient dans cette loi
une atteinte à la liberté de la recherche et de
l'expression et aussi une absurde volonté de l'Etat d'imposer
une version historique officielle d'événements
passés. Parmi les critiques qui se sont élevées
alors, on citera celle de Jacques Julliard, homme de gauche et
historien, qui, dans le Nouvel Observateur du 10 mai 1990,
écrivait:
- "Imaginez ce que
l'on vient d'inventer: faire du révisionnisme un délit
puni par des amendes et des peines de prison. - Instituer une
vérité scientifique sanctionnée par l'Etat
au moment où le marxisme s'écroule, c'est un exploit
dont je ne croyais pas capable le parlement français.
Ce n'est pas parce que, pour une fois, MM. Pasqua, Lajoinie et
Rocard sont d'accord qu'on persuadera la communauté des
historiens qu'ils ont besoin de la garantie de l'Etat pour établir
la vérité historique."
- L'application de cette
loi a permis la condamnation de plusieurs auteurs, éditeurs
et libraires, y compris à des peines de prison, et a abouti
à la disparition de plusieurs revues. Des diplômes
universitaires ont été annulés, des professeurs,
de l'enseignement secondaire comme de l'enseignement supérieur,
ont été chassés de l'enseignement ou sanctionnés.
- Yves Chiron
- La Nef, n· 139 de juin 2003.
DES
HISTORIENS INFATIGUABLES
DROIT DE RÉPONSE.
Lyon Figaro, 1er février 2003 :
- Claudio Mutti nous
écrit
- Suite à la publication,
le 18 décembre dernier, d'un article consacré aux
déboires judiciaires de l'éditeur négationniste
Jean Plantin, nous avons reçu ce courrier de son homologue
italien Claudio Mutti:
- « Ce n'est qu'aujourd,hui
que j'ai pris connaissance de l'article de Fabrice Arfi, intitulé
"Jean Plantin persiste et signe", qui a été
publié dans votre édition du 18 décembre
2002. Dans celui-ci j'ai pu lire que «l'Italien Claudio
Mutti, docteur ès révisionnisme, [est l'] auteur
du best-seller négationniste Les Protocoles des sages
de Sion ».
- Je suis désolé
de devoir démentir l'information selon laquelle j'aurais
un doctorat en révisionnisme. J'ignorais, jusqu'à
aujourd'hui, qu'un tel diplôme était délivré
par une université. En conséquence, je serais infiniment
reconnaissant à monsieur Fabrice Arfi de bien vouloir
m'indiquer le nom et l'adresse de cette université, française
ou étrangère, où il est possible de faire
de telles études.
- Je dois aussi féliciter
monsieur Fabrice Arfi pour avoir compris que les Protocoles des
sages de Sion était un "best-seller négationniste",
chose que, jusqu'à présent, personne n'avait soupçonnée.
Mais surtout monsieur Fabrice Arfi a l'immense mérite
d'avoir enfin découvert ce que les historiens n'avaient
jamais pu déterminer avec certitude, à savoir qui
était le véritable auteur de ce livre: «l'Italien
Claudio Mutti» !
- Mais je dois confesser
que si je suis bien l'auteur des Protocoles des sages
de Sion, je les ai écrit fort jeune et je suis maintenant
bien vieux. En effet la première édition connue
de ce livre est de 1905. Si à l'époque j'étais
un jeune homme, j'ai maintenant largement dépassé
les cent ans ! »
- Commentaire de l'Arfi: D'abord, nous pouvons nous
féliciter d'apprendre que Lyon Figaro est lu jusque
par-delà ses frontières de diffusion, en Italie,
à Parme, plus précisément, d'où Claudio
Mutti nous écrit. Il y a bien eu, en effet, une fâcheuse
coquille qui s'est glissée dans l'article susmentionné
par Claudio Mutti, qui, s'il n'est pas l'auteur du méphitique
Protocoles des Sages de Sion -- personne n'a de fait établi
qui était réellement l'artisan de cet ouvrage antisémite
féroce, nous le savons bien --, a toutefois omis
de préciser dans sa missive qu'il en était l'éditeur
italien. Ce qui fait de Claudio Mutti l'un des principaux propagateurs
d'un ouvrage dangereux pour avoir alimenté et structuré
les pensées de dictateurs comme le néo-nazi roumain
Corneliu Codreanu et l'Ayatollah Khomeyni.
- Fabrice Arfi
- Derechef, lettre
de Claudio Mutti:
-
- A Parme, le 7 septembre
2003
- Monsieur le Directeur
de la publication,
- mis en cause dans le
numéro du 1 février 2003 de Lyon Figaro
dans un article de Fabrice Arfi que je ne découvre qu'aujourd,hui,
je vous prie donc, et au besoin vous requiers en vertu des dispositions
de l'article 13 de la loi du 29 juillet 1881, de bien vouloir
faire paraître dans les mêmes caractères,
à la même place et ce dans le numéro à
venir, le droit de réponse suivant.
- Cher Monsieur Fabrice
Arfi,
- Je prends acte de votre
réponse (Lyon Figaro du 1er février 2003)
et de votre rajustement de tir: ainsi ne serais-je plus désormais
l'auteur des fameux Protocoles des Sages de Sion mais
seulement le responsable de leur diffusion en Italie. En tout
cas, cette nouvelle version me rajeunit d'une quinzaine d'années,
étant donné que la première édition
italienne du texte remonte à 1921. Mon âge prodigieux
de cent vingt ans est donc descendu à cent quatre !
- Ceci dit, il me faut
encore vous féliciter pour vos découvertes concernant
l'histoire du XXe siècle. Grâce à vous, les
lecteurs du Lyon Figaro, en-deça et au-delà
de votre espace de diffusion, sauront que les Protocoles
ont inspiré des "dictateurs comme le néo-nazi
roumain Corneliu Codreanu et l'Ayatollah Khomeyni".
- Je n'essayerai pas de
vous persuader que l'Imam Khomeyni était autre chose qu'un
dictateur: le jargon de la démagogie politique a tellement
abusé de ce terme, en l'appliquant à droite et
à gauche selon les exigences de la propagande, que sur
ce sujet vous vous refuserez de m'écouter.
- Vous voudrez tout de
même bien m'accorder que, pour être un dictateur,
il est nécessaire de disposer du pouvoir politique. Eh
bien, je serais curieux d'apprendre de vous, qui êtes certainement
mieux informé que moi, les circonstances dans lesquelles
Corneliu Codreanu a pu s'emparer du pouvoir politique en Roumanie.
Jusqu'ici, je croyais que Codreanu n'avait jamais exercé
de fonctions gouvernementales, fussent-elles de nature dictatoriale
ou autre. Au contraire, il me semblait qu'il avait été
assassiné sur les ordres d'un roi qui, lui, par contre,
avait instauré la dictature. Evidemment, mes sources manquent
sans doute de sérieux !
- Entre autres choses,
je croyais que Corneliu Codreanu avait vécu avant la deuxième
guerre mondiale. Là aussi, je dois m'être trompé,
puisque vous avez établi que Codreanu était un
néo-nazi, c'est à dire un nazi d'après 1945.
Peut-être même était-il un skinhead. Et, qui
sait, on peut même penser qu'il est encore vivant... Une
chose est certaine: à vous en croire, il est plus jeune
que moi !
- Avec les sentiments
de ma sincère admiration pour votre infatigable et fructueuse
activité d'historien.
- Claudio Mutti
L'ARCHE
DE LA NOUVELLE RELIGION ET LES PROGRÈS DE LA SANCTIFICATION
-
Le Journal d'Anne
Frank et son double
-
-
- Il a fallu
cinq années de travail acharné à des dizaines
de spécialistes pour parvenir à un résultat
parfait. Depuis quelques semaines, la maison d'Anne Frank à
Amsterdam dispose enfin d'un fac-similé du Journal.
-
- Neuf cent mille personnes
visitent chaque année la maison d'Anne Frank à
Amsterdam. Ils viennent poser leur regard sur le célèbre
Journal de la jeune fille, qui est exposé, ouvert,
sous les combles de la maison, dans une châsse de verre.
Teresien da Silva, responsable de la collection, a le bon sens
de ne pas préciser comment la vitrine est protégée.
"D'innombrables manières", c'est tout ce qu'elle
veut bien avouer. Ce sont surtout les Américains qui ont
du mal à croire qu'ils ont bel et bien sous les yeux l'authentique
Journal, celui qu'Anne, enfermée derrière
la bibliothèque pivotante, tenait avant qu'on ne la déporte
vers l'Allemagne, où elle est morte du typhus en mars
1945, dans le camp de concentration de Bergen-Belsen. L'ouvrage
est si précieux qu'il est inenvisageable pour ses conservateurs
de le déplacer, voire d'ouvrir la vitrine blindée.
Une contrainte sévère, explique Teresien da Silva,
car, "régulièrement, des spécialistes,
des photographes et des réalisateurs de documentaires
demandent à voir le Journal. Or nous n'accordons pratiquement
jamais d'autorisation: il est bien trop vulnérable."
La solution ? Disposer d'une reproduction tellement fidèle
à l'original que la différence ne se décèlerait
qu'à la loupe. Depuis quelques semaines, la Fondation
Anne Frank dispose de ce fac-similé, dont la réalisation
a été une véritable aventure collective
de cinq longues années.
- Pour mieux comprendre
l'étendue de ce projet d'exception, il faut d'abord savoir
que les écrits d'Anne Frank se composent de six parties,
dont l'album relié d'une couverture à carreaux
rouges et blancs en tissu est de loin la plus connue. Il existe
aussi deux autres carnets, ainsi que ce que l'on a appelé
les Feuilles volantes, le Livre des belles phrases et le Livre
de contes. Yt Stoker a coordonné pour la Fondation Anne
Frank le projet de fac-similé. "Chacune des parties,
explique-t-il, possède désormais deux fac-similés.
Un exemplaire est destiné au détenteur des droits
d'auteur, le Fonds Anne Frank de Bâle, en Suisse ; quant
à l'autre, nous le conservons au musée. Les originaux
seront désormais inaccessibles, préservés
à jamais des catastrophes. C'est rassurant, car le
Journal fait partie du patrimoine culturel national."
La Fondation Anne Frank n'est d'ailleurs pas propriétaire
des journaux. Ils lui sont simplement prêtés par
l'Institut néerlandais pour la documentation de guerre
(NIOD), lui-même chargé par le véritable
propriétaire, l'Etat néerlandais, d'administrer
les écrits. Lorsque, dans la vitrine, sous les combles,
il faut tourner une page, David Barnouw, du NIOD, est toujours
présent. Seuls Yt Stoker et Teresien da Silva sont autorisés
à toucher le Journal, avec des gants.
- Sur les conseils du NIOD
et des Archives nationales de La Haye, ils se sont mis en quête
de spécialistes capables de réaliser de parfaits
fac-similés. Pau Groenendijk a été désignée
comme "maître d'oeuvre" du projet. Spécialiste
de la reliure, elle se distingue depuis des années par
les produits modernes et singuliers qu'elle conçoit, le
plus souvent pour un tirage à exemplaire unique.
- "Moderne ? Singulier
? Pas cette fois-ci ! La mission était de reproduire avec
exactitude les journaux d'Anne Frank. C'est-à-dire tels
qu'ils sont aujourd'hui, près de soixante années
après leur rédaction." Dans son grand atelier,
à Amsterdam, Pau Groenendijk présente une épreuve
après l'autre. Beaux Livres est le nom qu'elle a donné
à l'atelier qu'elle dirige avec Elisabet Nijhoff Asser,
spécialiste pour sa part de la restauration de gravures
et de livres anciens. Au total, sept femmes travaillent dans
l'atelier, qui jouit d'une belle réputation auprès
des musées, des bibliothèques et des amateurs de
livres.
- Pour les besoins du projet,
Mme Groenendijk a consulté l'élite du monde de
l'imprimerie et du papier, et elle a fini par choisir l'imprimeur
Rosheek, installé à Nuth, près de Maastricht,
qui est ainsi devenu son principal collaborateur. "Comme
relieuse, explique-t-elle, je suis toujours le dernier maillon
de la chaîne et je me retrouve à devoir corriger
les fautes des autres. Dans le cas du Journal, j'ai voulu contrôler
l'ensemble du processus. L'effet théâtral de cet
objet devait être optimal. Mon point fort est de savoir
bien regarder et comparer." Pau Groenendijk a appris à
regarder grâce à son père, un dentiste connu
de la capitale et collectionneur d'oeuvres du mouvement COBRA.
"Il m'a donné le sens du beau. On discutait toujours,
à la maison, de ce qui était beau." Le fac-similé
du Journal d'Anne Frank n'en est pas un au sens habituel du terme.
Les fac-similés sont le plus souvent reconnaissables à
leur tranche immaculée et à leur papier luxueux.
En Allemagne et en Autriche, par exemple, on trouve des éditeurs
spécialisés qui commercialisent des chefs-d'oeuvre
classiques sous forme de précieux fac-similés,
mais d'un aspect neuf.
- La méthode classique
consiste à décoller ou à découdre
l'original pour le photographier page par page. Une méthode
qu'il n'était évidemment pas question d'utiliser
pour le Journal d'Anne Frank. L'idée même que celui-ci
puisse quitter l'immeuble du Prinsengracht était inconcevable
; sans parler de la possibilité que des tiers puissent
effleurer le précieux original. Enfin, l'ensemble du projet
devait, par contrat, être réalisé dans le
plus grand secret. "Notre mission était de fabriquer
un objet ressemblant le plus possible à l'original. Encore
fallait-il - et la question s'est posée dès le
début - fabriquer un objet parfait, qui, surtout, ne fasse
pas toc. Le résultat devait pouvoir remplacer l'original
et dégager la même atmosphère. Des éléments
comme l'aspect tactile, le choix du papier et ce qui émane
des matériaux deviennent alors très importants",
explique avec passion Pau Groenendijk.
- Le travail a commencé
par l'album à carreaux où non seulement Anne Frank
écrivait, mais où elle collait toutes sortes d'objets
: des lettres, des dizaines de photos, des faire-part de naissance.
Les lettres sont d'une qualité de papier différente
et présentent des timbres vieux d'une soixantaine d'années.
Les timbres ont été retrouvés chez des bouquinistes,
ils ont été reproduits et imprimés avec
exactement la même couleur d'encre. Chaque petite déchirure,
chaque tache d'encre, chaque annotation ajoutée plus tard
par Otto Frank, le père d'Anne, au crayon, chaque décoloration
ou modification de l'encre (à la fin du Journal, Anne
utilise une encre enfantine presque fluorescente) ont été
reproduites ou réimprimées dans les moindres détails.
Les ajouts au crayon ont nécessité un passage au
graphite sous presse spéciale. La couverture a été
tissée avec de vieux fils, et non seulement on a dû
trouver une copie parfaite de la serrure qui fermait le carnet,
mais l'oxydation qui, au cours des ans, avait fini par l'attaquer
devait également correspondre exactement à l'original.
- "Le papier a été
fabriqué par Meerssen & Palm. Pierre Bessems, un des
experts de la société, a eu le droit de toucher
juste un instant une page blanche du Journal. Au son que produit
un papier, il sait juger de sa qualité. Un spécialiste
comme lui peut entendre s'il s'agit d'un papier à écrire
sans lignine de 90 grammes. Il s'est avéré qu'il
s'agissait d'un papier ordinaire des années 30, mais qu'on
ne pouvait plus s'en procurer nulle part. Meerssen & Palm
sont tout de même parvenus à le reproduire. Leur
usine possède des archives sur plus de cinq cents sortes
de papier blanc, que M. Bessems peut tous reconnaître et
nommer", raconte Mme Groenendijk. Chaque page, sur un total
d'environ 1 500, a été scannée à
l'aide de l'équipement le plus sophistiqué, sans
que les écrits aient dû être disloqués.
Ce sont des collaborateurs de l'imprimerie Rosbeek qui ont effectué
ce travail dans la maison d'Anne Frank. A lui tout seul, le traitement
des images numérisées a pris un an. "Ensuite,
il a fallu imprimer des centaines d'épreuves. Chaque fois,
la gamme de couleurs était modifiée. Quand le fond
changeait de couleur, la partie écrite changeait aussi.
Comment trouver l'impression idéale avec cette surface
mouvante ? J'ai fabriqué sept, huit maquettes. Rosbeek
a dû, par exemple, imprimer des décalcomanies, ces
images à décalquer que l'on s'applique sur la peau
à l'aide d'une éponge. Anne les avait appliquées
sur du papier d'emballage. Or le papier à décalquer
contient un pigment très spécial et très
fort, qui a contraint Rosbeek à effectuer sept passages
sous presse", détaille Mme Groenendijk.
- Elle-même s'est
livrée à des recherches sans fin. "Essayez
un peu de trouver du papier d'emballage des années 30.
Du papier en si mauvais état que c'est tout juste s'il
ne se décomposait pas sous mes yeux. J'ai découvert
qu'on pouvait encore en trouver en Inde, mais seulement en rouleaux
de 10 mètres. Il a fallu alors les dérouler, les
aplanir et, enfin, les découper aux dimensions exactes
de la presse." Quant aux coins-photos avec lesquels Anne
fixait les photos dans son journal, elle les a trouvés
chez des bouquinistes en Allemagne.
- "Nous pensions que
le journal à carreaux serait le plus compliqué.
En fait, plus il y a d'objets sur une page, moins on s'aperçoit
d'une légère différence. Mais imprimer une
page blanche avec des lignes bleues, un jaunissement sur les
bords, c'est en fait bien plus complexe. Avec l'original à
côté, on remarque tout de suite si quelque chose
ne va pas. Trop jaune, trop blanc, trop gris, trop bleu, il y
a de quoi devenir fou. Le plus difficile est de reproduire les
pages blanches." Bien évidemment, Mme Groenendijk
s'est chargée de la reliure. "Quand le papier est
devenu une denrée rare, Anne a rempli son journal jusque
dans les moindres recoins du papier ; parfois, on trouve même
un bout de mot sur la page suivante. Si le papier est tranché
une fraction de millimètres trop court, tout est à
recommencer."
- Puis il a fallu s'occuper
des 360 Feuilles volantes. "C'était un papier extrêmement
fin, du papier pelure à l'ancienne, soupire Mme Groenendijk.
Cela venait du bureau, un étage au-dessous de sa cachette.
Un papier qu'on trouvait autrefois dans de belles teintes comme
le vert pistache, le rose cerise ou encore le bleu ciel. En plus,
elle avait écrit au stylo des deux côtés.
Très compliqué à reproduire. Comment distinguer
le recto du verso ? Anne ne numérotait pas les pages.
C'est lorsque nous avons voulu imprimer que nous nous sommes
aperçu qu'il nous manquait une page. La 48. Oubliée
! Un cauchemar."
- Toutes les épreuves
préparées chez l'imprimeur de Nuth devaient être
comparées avec l'original à Amsterdam. Il a fallu
effectuer d'innombrables allers-retours, rouvrir les coffres,
rouvrir la vitrine, mobiliser les conservateurs. Regarder, encore
et encore, à la loupe si c'était nécessaire.
"A Nuth, nous ne pouvions pas comparer le résultat
sorti de presse avec l'original. Nous devions sans cesse nous
rendre en grande délégation à Amsterdam.
Les corrections étaient souvent si subtiles ou si compliquées
que nous avons dû effectuer d'innombrables essais. Nos
sens parviennent en fait très difficilement à se
souvenir des nuances de couleur. C'est comme si nous avions
fait le voyage à pied jusqu'à Rome, aller-retour",
remarque Pau Groenendijk. Puis elle ajoute avec un soupir : "Je
crois même que nous avons réussi à restituer
l'émotion contenue dans les pages du Journal. "
- Hub Rubben
- Dagboek van Anne Frank
minutieus gekopieerd - Voorpagina - donderdag 30 januari 2003
(181 woorden) Ici traduit du néerlandais.
- Pour voir l'article original
en batave, il faut raquer:
- Voor dit artikel moet
u betalen. Dit artikel bevat 181 woorden.
- Dit artikel bevat géén
foto's of andere afbeeldingen (zie verder onze helppagina).
- De Volkskrant - Amsterdam, 31 janvier 2003.
- <http://zoek.volkskrant.nl/artikel?text=Hub&FDOC=0&SORT=presence&PRD=1y&SEC=%2A&ADOC=5>
La sanctification continue:
- Assistance
Needed for Anne Frank Stamp Campaign.
-
- The UJC [United Jewish
Communities, USA] is asking for help with a special project
to honor Anne Frank. The goal is to persuade the Citizen's
Stamp Advisory Committee to vote in favor of issuing a stamp
commemorating Anne Frankís 75th birthday in 2004. (She
was born on June 12, 1929.) Letters must be sent to the U.S.
Postal Service's Citizen's Stamp Advisory Committee by mid November
in order for them to have time to consider the request. For more
information visit
- <www.ujc.org/advocacy> and click on the Anne Frank
link.
Un projet de résolution dans ce
sens a été déposé au Congrès
par deux membres, MM. Israel et Wolf. Plus rien ne s'oppose à
ce qu'on rebaptise le Congrès et qu'on l'appelle "Knesseth".
CE
CON DE DIEU
Le Dieu des juifs, d'après le traité
Berachoth du Talmud, passe six heures par jour à
étudier la Loi. On ne la connaît jamais assez. La
preuve. Plusieurs fois par nuit, il se met sur son séant
et se frappe le front (on espère qu'il n'est pas cornu,
comme certaines images le donnent à penser), et il s'écrie:
"Honte sur moi. J'ai laissé dévaster Ma Maison,
brûler Mon Temple et j'ai envoyé Mes Enfants en captivité
parmi les nations". Et ensuite, il joue, pendant trois heures
chaque jour, avec le Léviathan. On voit qu'il y a toutes
raisons de supposer que ce Dieu des juifs est un gros con qui
débouche une roteuse quand il gagne au PMU .
NOUS
N'AVONS PAS QUE DES AMIS
- Caros Amigos
e o anti-semitismo
- Luis Milman
(*)
-
- O artigo "Serão
os semitas humanos?" (Caros Amigos, nº 68, novembro
de 2002), do jornalista Georges Bourdoukan, é uma arenga
anti-semita que, ao leitor atento, judeu ou não, só
pode causar repulsa. O anti-semitismo do texto é auto-explicativo,
seja pelo uso pejorativo do termo "judeu" na menção
que faz a políticos israelenses, seja porque, entre outras
barbaridades racistas, afirma que os judeus sionistas foram os
maiores aliados dos nazistas e co-responsáveis pela criação
dos campos de concentração.
- Nos últimos 40
anos, o anti-semitismo tornou-se mais fácil de ser praticado
sob o nome de anti-sionismo. Basta ler os textos dos seus expoentes,
como Roger Garaudy, Robert Faurisson, Pierre Guillaume, David
Irwing, Serge Thion e Israel Shamir, para citar alguns dos mais
conhecidos anti-semitas e anti-sionistas de hoje, da direita
e da esquerda ideológica. Os anti-semitas de esquerda
e de direita praticam as mesmas distorções e se
valem do mesmo arsenal de acusações mentirosas
e depravadas. Os mais militantes, à direita e à
esquerda, tentam demonstrar a todo custo que Israel não
pode existir, porque é racista, confessional, imperialista
e por aí vai.
- À direita, temos
o gaúcho Siegfried Ellwanger e seu séquito de teutômanos.
Bourdoukan está à esquerda, como os franceses Thion
e Guillaume, que dizem repudiar o racismo e orientar-se pelo
internacionalismo antiimperalista. Chegam a reivindicar o marxismo
como fonte inspiradora. Há um manifesto que Guillaume
sobre a linha de pensamento da editora anti-semita Velha Toupeira
(Paris), que invoca a "autoridade do texto fundador de Karl
Marx, `A questão judaica'" para defender o "antijudaismo
radical sempre proclamado urbi et orbi ( ...)". (P. Guillaume,
Carta a Phillip Randa, La Vieille Taupe, 1998 [voir l'original
sur le site: lettre de P.Guillaume à P.Randa ]).
- Eliminar o judaísmo,
como propugna Guillaume, é uma coisa. Eliminar os judeus,
como os nazistas pretenderam, é outra. Os sionistas gostam
de confundir as coisas, como Guillaume esclarece. Os judeus são
pessoas como todo mundo, mas o judaísmo e o sionismo,
vade retro. Afinal, qual a razão do sofrimento dos povos,
da existência das guerras? Quem está promovendo
o genocídio palestino? A dominação judaica
(dos governos, dos bancos, da mídia, dos cartéis
de petróleo). Dúvidas? Basta prestar atenção
na grafia real do nome da besta do Apocalipse: George W. ben
Bush! A descoberta é de Bourdoukan. [...]
- <http://www.observatoriodaimprensa.com.br/artigos/fd041220021.htm>
ET
ENCORE CECI:
- TTs Stefan
Hjertén och historierevisionisten Robert Faurisson
- av Josef
Zorsky
-
- [...] Hjerténs
kapitel om Paul Rassinier är ensidig, eller så undanhåller
författaren vissa fakta medvetet. Rassinier erkände
att vissa koncentrationsläger byggdes för exterminationen
av människor, huvudsakligen judar. Andra utgåvan av
hans "Le Mensonge d´Ulysse" fick förordet
skrivet av Albert Paraz, en känd antisemit och beundrare
av Celines idéer, en man med nära kontakt med höger-anarkistiska
cirklar. Rassinier var också mycket väl mottagen i
litterära cirklar kring "La revue Celinnienne".
- Originaliteten i
Rassiniers revisionism ligger i hans bidrag till en unik syntes
av element från yttersta högern till yttersta vänstern.
Hans "ideologi" kombinerar anti-kapitalism, anti-kommunism,
anti-semitism och anti-sionism med en form av liberal pacifism
och anarkism. (Med andra ord, Faurissons mästare skapade
en ideologisk syntes av olika grupper som identifierade sig med
varken den etablerade vänstern eller högern).
- (Här kanske
den undermedvetna dragningen som historierevisionismen utövade
på Jan Myrdal, Stefan Hjertén eller t ex Åke
Sandén från Svenska Freds, ligger). [...]
- <http://www.israeler.com/html/Zorsky/
zorsky_josef_om_hjerten_och_faurisson_2002_11_27.html>
BRITICHE
- Brandon Orr:
Holocaust Denial As Leftwing Ideology
-
- Orr claims that "The
'Holocaust' fable has long been debunked."
- He also maintains that
Holocaust Denial is a leftist phenomenon, citing a claim by French-Denier
Robert Faurisson that Denier Paul Rassiner is a "leftist"
and adding the French author Serge Thion to the list. The problem
with Orr's methodology is that he can provide no indisputable
leftwing documentation to back his claims. While Chomsky referred
to Thion in the Faurisson issue as a "libertarian socialist"
Chomsky also admitted that he knew little of the full dispute.
Nor is the phrase "libertarian socialist" a uniquely
left term as shown by Orr's own such self-description.
- It does, however, benefit
fascists when those who openly post Hitler's picture on usenet
can cite Orr that prominent anti-fascists are "Nazis"
and further use it to bolster their claim that anyone who questions
Holocaust "orthodoxy" is "smeared" as an
anti-Semite or fascist.
- <http://www.anti-fascism.org/special/bv/orr-and-techiques-of-fascist-agitation-may18.html>
RUSSE
En revanche, pour ceux qui lisent le russe
dans leur ordinateur, et comme pour démentir ceux qui vont
disant qu'il ne se passe rien en Russie, sans d'ailleurs lire
le russe, on trouve une excellente page russe de présentation
du révisionnisme et des révisionnistes dans le monde.
Ils citent des affaires que nous ne connaissons même pas
!! Voir la traduction (article numéro 11) d'un texte de
Toben, curieusement renommé "Frank", par la traductrice,
Mme I. A. Stepanova. Il y a plus de 150 articles qui reflètent
aussi des préoccupations révisionnistes liées
à l'histoire russe, moins connues ici pour nous qui ne
vivons pas dans l'Hyperborée. L'auteur du site s'appelle
Nikita Vladimirovitch Salamandrov.
<http://www.revisio.msk.ru/>
SOCIÉTÉ
CHARITABLE
- To whom it
may concern.
-
- The uprising of the German
People for the truth has begun. Its course so far is described
in attachment 01. It will be continued. The next step of this
course is to be the establishing of a "Society for the Rehabilitation
of Those persecuted for Denial of the Holocaust", for the
purpose of preparing, in organised form, the resumption of the
proceedings against the victims of punitive and disciplinary
measures, and to support them, especially financially, in the
execution of this.
- The judicial foundation
for this course of action is simple: § 359 StPO [code of
criminal procedure] provides the possibility for a resumption
of the proceedings in favour of a person who was legally convicted,
in case the evidential facts have changed. Even though the case
that a previously assumed obviousness of incriminating facts
should no longer apply is not considered in law, I am certain,
that this gap can be bridged through analogous deduction.
- The reason for resumption
is given through the fact that, due to the article of the main
editor of the news magazine DER SPIEGEL, Fritjof Meyer, the obviousness
of the Holocaust is obviously no longer applicable. Please see
attachment 01 for details.
- In the constitutional
complaint for Frank Rennicke, I explained how the role of the
judiciary is to be assessed. An excerpt of this is given as attachment
02.
- Are you prepared to join
this society? The membership subscription for the affected is
Euros 3,--/month, for the non-affected Euros 10,--/month. [Donations
of any amount are welcome]. Registration of the society and charitable
benefit are not striven for. The standing rules will meet the
legal minimum requirements.
- Please direct your statement
of purpose with details of your complete name, date of birth
and address (no PO boxes) to
- RA Horst Mahler, Weidenbusch
13, 14532 Kleinmachnow, Germany
- Tel.: 0049 33203 20460
Fax: 0049 33203 21059
- e-mail: [email protected]
- website: www.horst-mahler.de
- Voir notre fichier Mahler et la traduction de son texte sur
Auschwitz .
LES
BONS COMPTES
- Aux éditions
de La Découverte, Yves Benot, président de l'association
pour l'étude de la colonisation européenne, déjà
auteur de Massacres coloniaux (1994) vient d'écrire:
La modernité de l'esclavage, essai sur la servitude
au coeur du capitalisme.
- Dans le livre, il analyse
«la spécificité» de la traite des Africains,
de leurs mise en esclavage et de leur mort par les puissances
européennes.
- Le terme de «spécificité»
a obtenu une résonance particulière depuis qu'on
analyse le nombre de survivants et des morts des camps de travail
en Allemagne durant la guerre 1940-1945.
- Il est qualifié
par certains d'unique, hors du commun et a droit
à un traitement spécial (!) pour éviter
la soit-disant banalisation. Pour ceux-là, tout décompte
normal est une banalisation.
- La déportation
de millions d'Africains, la condition de transfert, leur mise
au travail et leur mort n'a jamais fait l'objet d'une quelconque
«spécificité» par ceux-ci qui la prônent
pour une autre partie de l'humanité. Ces victimes-là
ne sont pas sacralisées et les esclavagistes ne sont pas
des bourreaux exemplaires.
- Yves Benot analyse clairement
les fonctions économiques de l'esclavage, ainsi que les
insurrections et les abolitions. Si les Etats-Unis ont été
un des pays les plus esclavagistes, c'est l'Europe qui a été
l'initiatrice à l'échelle mondiale et pendant quatre
siècles.
- Face à cette
déportation la question se pose de savoir combien de millions
d'Africains ont subi un des effets de la «civilisation
occidentale». Plusieurs chercheurs s'y sont mis depuis
vingt ans et divers chiffres ont étés avancés
sur le nombre d'Africains déportés et mis en esclavage
au cours des quatre siècles de la traite atlantique.
- En 1969, une estimation
aboutit a un peu moins de 10 millions d'esclaves débarqués
aux Amériques soit au moins onze millions embarqués.
- Une autre estimation
aboutit à quinze millions. En couverture du numéro
spécial de L'Histoire sur l'esclavage: 28 millions
d'Africains déportés. La polémique autour
de ces chiffres, car polémique il y a, se nourrit de mêmes
termes que celle que l'on connaît au sujet des juifs à
savoir: «La plus grande horreur de l'Histoire», «sans
précédent», etc. Ce travail de recherche
est effectué à Paris, Cambridge, New York, Oxford
et fait l'objet du publications officielles et de colloques très
sérieux.
- Personne n'a jamais
traité ces chercheurs de révisionnistes, de falsificateurs de l'Histoire,
de racistes, de négationnistes, etc. Ils sont à
l'abri de toute poursuite, de saisie de matériel, de procès,
de condamnation, d'amendes et de prison. Et pourtant la recherche
est la même.
- Alors pourquoi cette
différence de traitement ?
- L'ampleur de la déportation
des Africains, qui a duré quatre siècles, ses répercutions
sur le continent, son importance pour le développement
des pays européens est reconnue sereinement, trop peut-être
! C'est de «notoriété publique» et
«la preuve des faits existe». Il manque le tribunal
qui pourrait à juste titre qualifier cette déportation
et ses conséquences de Crime contre l'Humanité.
- P. S. : Le Monde
du 07/10/2003 informe que l'assemblée triennale des
évêques africains a reconnu la responsabilité
du continent dans la déportation de quelques 26 millions
d'esclaves noirs.
- La revue L'Histoire,
n* 283, octobre 2003 informe qu'environ 17 millions d'Africains
auraient été razziés et vendus par des négriers
musulmans soit 40 pour cent des 42 millions de personnes déportées
par l'ensemble des traites négrières. Il faut souligner
avec force que tous ces chiffres différents ne font l'objet
d'aucune polémique, ni de rejet absolu, ils font partie
d'une recherche d'esprit démocratique !
AU
COURRIER
- 08 Oct 2003 21:51:11
+0000
- srs.
- asoc. historiadores del
holocausto
- quiero agradecerles la
publicación del libro pionero del revisionismo, me refiero
al libro "la mentira de ulises" de paul rassinier,
hace varios años que lo andaba buscando, solamente lo
encontré en la red versión en idioma inglés
y francés, pero ahora por fin en idioma castellano, ya
forma parte de mi biblioteca personal, solamente estoy esperando
las notas del libro de Arthur Butz "la fábula del
holocausto".
- ojalá pudieran
publicar obras del autor traian romanescu.
- lo anterior es que me
gusta difundir el revisionismo.
- esperando nuevas novedades
en idioma castellano, para bajarlos de la red.
- saluda atentamente a
ustedes desde chile
- jaime pavez
- Autre courrier du Cône
Sud:
- 06 Oct 2003 21:39:12
-0300
- Ruego a Uds. quieran
tener a bien suministrarme por este medio un listado de las paginas
web disponibles sobre revisionismo.
- No quiero despedirme
sin antes transmitirles mi gratitud por el esfuerzo que dedican
a esclarecer la historia y poner su trabajo en nuestras manos,
tarea dificil de lograr tanto para los que investigan como para
los que nos interesa el tema.
- Sin otro particular agradesco
desde ya vuestra deferencia sumando mi reconocimiento a la encomiable
tarea que vienen realizando.
- H. Dionny
YGGDRASIL
- ** MADNESS OF
CROWDS **
-
- Ok. I confess. I did
a naughty thing.
- I ordered a copy of
Rassinier's "Holocaust Story" from that naughty place
in California that nice people are not supposed to know about.
I read the thing.
- Once past the story
of his own internment at Buchenwald and Dora, I could have sworn
that I was reading a chapter from Mackay's "Extraordinary
Popular Delusions and the Madness of Crowds".
- The charm of understatement.
- Here we have victorious
allies who must reestablish government in Germany. They have
to impose a constitution upon Germany and have it accepted as
legitimate. No small task!
- The allies have to kill
or imprison Himmler and the rest, or they would run for election
in the new government, win, and start the thing all over again.
- Solution? Stage a bunch
of trials and convict them as war criminals. A bit inconvenient
for Anglo-saxon victors who cherish trial by jury for themselves
(No ordinary German folk on any juries here!) and prohibit application
of ex-post-facto laws to themselves (Vide the views of the late
Justice Black).
- So the "crimes"
have to be pretty outrageous to allow them to apply not their
own law to the Germans, but a version especially created "pro
haec vice".
- Enter the crowd.
- First, we have the survivors.
Many were prison trustees, who stole food rations, set the labor
pools, operated the crematoria, and (if any existed) ran the
gas chambers as well.
- They must inflate the
German atrocities to deflect attention from themselves.
- You have the lesser
inmates who, naturally, resent their treatment, exaggerate, and
repeat camp rumors.
- You have the German
POWs, hoping for lenient treatment, anxious to please the allied
authorities with "good stories" about the camps.
- You have virulent German
haters among the Anglo-saxon and Gallic victors who will say
and do anything to persecute the vanquished. (Rassinier says
little about them. But I bumped into them often in Sunday School
in the 50s and even as late as 1971, in Berlin, when I had to
stop a fight between two aging U.S. Master Sergeants and some
Berlin border guards in an NCO club. The invective was unbelievable,
a minor jolt to international relations!)
- You have U.S politicians
who need to give the American people a moral reason for entry
into the war. The balance of power in Europe is a tad abstract.
- Finally, you have a
New German government that will view any dispute about the truth
of the war crimes verdicts at Nuremberg as a threat to its own
legitimacy.
- All the ingredients
are present for the happy marriage of myth creators and myth
preservers.
- Jews really didn't have
much of a role in concocting this mess!
- But they went along
for the ride, and now that the creators have basically lost interest,
they are stuck defending it.
- Fess up, boys! If you
had been in charge, there would not have been so many loose ends,
now, would there! (Soap, lampshades, and reports of gas chambers
where there clearly weren't any!)
- A particular passion
on this newsgroup is "documentation".
- Among you holocaust
defenders, if something is documented, it is assumed to be true.
Let me suggest that in the goy world that is largely responsible
for the shape and content of the holocaust story, documentation
means only that the proponent of an idea has resources and time.
It does not necessarily mean that the documented proposition
is true.
- I would refer you to
the text of the search warrant written by BATF agents and signed
by a judge in 1993 (modern times!), preparatory to the invasion
of the Branch Davidian compound in Waco Texas. (talk.politics.guns)
- Carefully "documented"
in that warrant is the possession of anti-tank rockets and a
belt-fed 50 calibre machine gun on the premises. Also carefully
"documented" is a bunch of hearsay and salacious gossip
of disgruntled neighbors and liberal social workers alarmed at
Koresh's polygamy.
- The problem is, that
after the fire, no trace of a 50 cal. machine gun or any anti-tank
rockets could be found. That which was documented was false!
- Illegally altered small
arms were found, but nothing with the military significance of
an anti-tank rocket or a "50". The really big stuff
in the story was a crock!
- Even today, prosecutors
and police routinely pad their claims. It is their job to gather
and carefully "document" every possible rumor and statement,
no matter how low its probative value. They introduce all they
can get into evidence and hope the jury buys it. Of course, at
the Nuremburg trials, the verdicts were pre-ordained by political
necessity.
- Don't make the mistake
of assuming that affidavits, statements, confessions etc. extracted
by police and prosecutors at the end of WW-2 were true. They
were not intending to write books of the Talmud.
- Don't defend the indefensible.
Anyone who has read Machiavelli's Prince is going to understand
the powerful motives for exaggeration behind the holocaust story.
1.5 million dead ain't a bad story. Accept it and go in peace.
- 1996 Yggdrasil. All
rights reserved. Distribute Freely.
- <http://home.ddc.net/ygg/rj/rj-02.htm>
POUR
LUTTER CONTRE LA CENSURE
Il se développe un système
pour échapper, sur l'internet, aux tentatives de prises
de contrôle qui font baver tous les gouvernments et toutes
les polices de la pensée. C'est un truc encore expérimental
qui s'appelle freenet.
Voici quelques lignes tirées de
la "philosophie" du projet:
- « 6. Isn't censorship
sometimes necessary?
- Of course no issue is
black and white, and there are many who feel that censorship
is a good thing in some circumstances. For example, in some European
countries propagating information deemed to be racist is illegal.
Governments seek to prevent people from advocating ideas which
are deemed damaging to society. There are two answers to this
however. The first is that you can't allow those in power to
impose "good" censorship, without also enabling them
to impose "bad" censorship. To impose any form of censorship
a government must have the ability to monitor and thus restrict
communication. There are already criticisms that the anti-racism
censorship in many European countries is hampering legitimate
historical analysis of events such as the second world war.
- The second argument
is that this "good" censorship is counter-productive
even when it does not leak into other areas. For example, it
is generally more effective when trying to persuade someone of
something to present them with the arguments against it, and
then answer those arguments. Unfortunately, preventing people
from being aware of the often sophisticated arguments used by
racists, makes them vulnerable to those arguments when they do
eventually encounter them.
- Of course the first
argument is the stronger one, and would still hold-true even
if you didn't accept the second. Basically, you either have censorship,
or you don't. There is no middle-ground.»
Et ceci que peu de gens ont le courage
de regarder en face:
- 8. And what of copyright?
- Of course much of Freenet's
publicity has centered around the issue of copyright, and thus
I will speak to it briefly. The core problem with copyright is
that enforcement of it requires monitoring of communications,
and you cannot be guaranteed free speech if someone is monitoring
everything you say. This is important, most people fail to see
or address this point when debating the issue of copyright, so
let me make it clear:
- You cannot guarantee
freedom of speech and enforce copyright law
- It is for this reason
that Freenet, a system designed to protect Freedom of Speech,
must prevent enforcement of copyright. »
Tout n'est pas clair, la technique
a l'air rébarbative, mais c'est une affaire à suivre,
et pour l'instant ça ne marche pas sur Mac: Mais on va
en avoir besoin, voir plus bas.
<http://freenet.sourceforge.net>
L'EUROPE
COMME PRISON
- Progrès
de la censure
-
- Protocole
additionnel à la Convention sur la cybercriminalité,
relatif à l'incrimination d'acte de nature raciste et
xénophobe commis par le biais de systèmes informatiques
-
-
- Strasbourg,
30.I.2003
-
-
- Article 6 Négation,
minimisation grossière, approbation ou justification du
génocide ou des crimes contre l'humanité
- 1 Chaque Partie adopte
les mesures législatives qui se révèlent
nécessaires pour ériger en infractions pénales,
dans son droit interne, lorsqu'ils sont commis intentionnellement
et sans droit, les comportements suivants :
- la diffusion ou les
autres formes de mise à disposition du public, par le
biais d'un système informatique, de matériel qui
nie, minimise de manière grossière, approuve ou
justifie des actes constitutifs de génocide ou de crimes
contre l'humanité, tels que définis par le droit
international et reconnus comme tels par une décision
finale et définitive du Tribunal militaire international,
établi par l'accord de Londres du 8 août 1945, ou
par tout autre tribunal international établi par des instruments
internationaux pertinents et dont la juridiction a été
reconnue par cette Partie.
- 2 Une Partie peut :
- a soit prévoir
que la négation ou la minimisation grossière, prévues
au paragraphe 1 du présent article, soient commises avec
l'intention d'inciter à la haine, à la discrimination
ou à la violence contre une personne ou un groupe de personnes,
en raison de la race, de la couleur, de l'ascendance ou de l'origine
nationale ou ethnique, ou de la religion, dans la mesure où
cette dernière sert de prétexte à l'un ou
l'autre de ces éléments ;
- b soit se réserver
le droit de ne pas appliquer, en tout ou en partie, le paragraphe
1 du présent article.
- Article 7 Aide et complicité
- Chaque Partie adopte
les mesures législatives et autres qui se révèlent
nécessaires pour ériger en infraction pénale,
en vertu de son droit interne, lorsqu'il est commis intentionnellement
et sans droit, le fait d'aider à perpétrer une
infraction telle que définie dans ce Protocole, ou d'en
être complice, avec l'intention qu'une telle infraction
soit commise.
- <http://www.inach.net/content/cctreatyaddfr.html>
On trouve ce joyau sur
le site d'un nouveau réseau juif, dissimulé sour
le nom de International Network Against Cyber Hate, qui
regroupe, paraît-il, des organisation qui prennent en charge
les plaintes pour discrimnation sur l'internet et qui s'auto-financent.
-
- La Suisse
signe un protocole contre le racisme sur Internet
-
- Berne/Sofia (AP) Le
directeur de l'Office fédéral de la justice Heinrich
Koller a signé jeudi à Sofia le protocole additionnel
à la Convention du Conseil de l'Europe sur la cybercriminalité.
Les Etats signataires doivent ériger en infraction pénale
les actes obéissant à des motivations racistes
commis au moyen de systèmes informatiques, a communiqué
le Département fédéral de justice et police
(DFJP).
- Le protocole additionnel
vise notamment la diffusion de matériel raciste, les insultes
à caractère raciste et la négation ou
la minimisation du crime de génocide. Son adoption
ne nécessite pas la modification de l'article 261 bis
(»discrimination raciale») du Code pénal suisse.
- AP , 9 octobre 2003
COULEUR MODE
- La librairie
islamiste Arrissala expose également Alexis Carel et des
livres de militants d'extrême droite
-
-
- Par Jean-Yves
Camus <[email protected]>
-
-
- (vrai connard,
authentique policier devenu faux-juif, c'est un cas.)
-
-
- Une situation
constatée qui ne permet certes pas de conclure à
une alliance des extrêmes, mais qui témoigne d'une
convergence d'objectifs clairement assumée: celle d'antisémites
musulmans et d'antisémites européens
-
- A Paris, le musulman en
quête d'ouvrages d'édification spirituelle dispose,
à la Goutte d'Or et à Belleville, d'une vingtaine
de librairies religieuses, toutes de stricte orthodoxie sunnite.
Les auteurs de référence sont la famille Ramadan
( Said ; Hani et Tariq), le sheikh Youssef al Qaradawi, prédicateur
de la chaîne de télévision " Al-Jazeera
", les oulémas salafistes saoudiens, le Sud-Africain
Ahmed Deedat, spécialiste de la réfutation du christianisme.
Et, depuis peu, le très prolifique auteur turc, Harun
Yahya (pseudonyme de Adnan Oktar), qui se définit lui-même
comme écrivant "des ouvrages sur la franc-maçonnerie
et le sionisme et leurs influences négatives sur l'histoire
et la politique du monde" -- ce qui est le leitmotiv de
la théorie du complot dans sa version d'extrême-
droite.
- La politique n'est pas
absente des rayons où figurent la plupart des livres récemment
parus sur la question palestinienne, la situation en Algérie,
en Tunisie et au Moyen-Orient en général, pour
peu qu'ils ne soient pas trop favorables à Israël.
C'est ainsi qu'un des sujets favoris de discussion, sur les forum
des sites islamistes français, en ce début septembre,
est de savoir où acheter le dernier livre de Roger Garaudy,
Le Totalitarisme occidental, publié en Algérie
voici très peu de temps.
- Il existe un cas à
Paris qui prouve la convergence de l'antisémitisme
occidental, dans sa variante fascisante, et l'antisémitisme
musulman. Il s'agit de la librairie Arrissala, rue Jean-Pierre
Timbaud (Paris XIème), également maison d'édition
dont le slogan est: "Lire c'est grandir". Rien d'inhabituel
au catalogue: rien qu'un roman de Najib al Kilani intitulé
Omar réapparaît à Jérusalem,
dont le thème est "que trouverait le calife Omar
s'il réapparaissait (...) : Une terre occupée,
un peuple massacrée (sic) et des musulmans divisés
".
- Scotchée sur la
porte, une affiche du "Comité de Bienfaisance et
de Soutien aux Palestiniens". Un 7 septembre, deux semaines
après le gel des avoirs du CBSP par les autorités
américaines, c'est un signe de défiance. Mais c'est
de la vitrine que vient le choc: parmi les classiques de littérature
religieuse exposés, un livre particulièrement happe
l'attention: L'Homme, cet inconnu, par Alexis Carrel.
Autrement dit, un ouvrage qui fait l'apologie de l'eugénisme,
totalement étranger à l'islam, et dont la présence
ne peut s'expliquer que par l'antisémitisme et le racisme
de son auteur, grand savant dévoyé dans la collaboration
avec les nazis. A côté, le livre de Roger Garaudy,
Les Mythes fondateurs de la politique israélienne,
qui a valu à son auteur condamnation par les tribunaux
français. Et un petit opuscule intitulé Le Manifeste
judéo-nazi d'Ariel Sharon, falsification commise entre
autres par l'opposant tunisien négationniste Mondher Sfar
et l'association "La Pierre et l'Olivier". [Bien
évidemment, Camus et ses complices savent très
bien que ce texte n'est pas un faux. C'est un vrai. ]
- Mais la liste n'est pas
close. Par exemple, la présence des Croisés
de l'Oncle Sam : une Réponse à Guillaume Faye et
aux Islamophobes, de Tahir de la Nive, publié en 2003.
Français vivant en Grande-Bretagne, Tahir de la Nive est
un ancien militant d'extrême-droite ayant appartenu au
mouvement Occident avant de se convertir à l'islam. Il
a ensuite combattu en Afghanistan aux côtes d'Hekmatyar,
puis a opté pour le soutien à l'Iran chiite. [On
voit tout le soin apporté à l'entretien des fiches
de police. Pas un mot sur le contenu du livre. ]
- Que ce livre soit vendu
par une librairie islamiste pose deux problèmes, l'un
pratique, l'autre idéologique. Côté pratique:
il s'agit d'un ouvrage confidentiel, publié par Avatar
éditions, une maison tenue par des Français d'extrême-droite
mais domiciliée en Irlande. Il faut donc en avoir connaissance.
Côté idéologique: il faut assumer de vendre
un livre qui s'ouvre sur une galerie de photos représentant
l'entrevue entre Hitler et le Grand Mufti de Jérusalem,
ou encore les soldats de la division bosniaque "Handschar"
de la Waffen SS, le tout orné de cette phrase: "Durant
le Seconde guerre mondiale, des musulmans en lutte pour l'empire
européen". Orientation politique d'autant plus évidente
que le préfacier du livre, Claudio Mutti, est le traducteur
des " Protocoles des Sages de Sion " en italien, [Voir plus haut la réponse
de Mutti aux conneries de ce genre, qui sont inscrites sur les fiches de police que
se passent ces gens-là ] et que la postface est de Christian Bouchet,
ex-dirigeant du groupe Unité Radicale. [Signalons
à Camus et aux services spécialisés que
ces photographies de la division SS Handschar figurent dans Le
Croissant et la croix gammée : les secrets de l'alliance
entre l'Islam et le nazisme d'Hitler à nos jours, un
livre parfaitement kasher, écrit par deux imbéciles
qui ont accès aux fichiers des services de renseignement
français, Roger Faligot et Rémi Kauffer, parus
chez Albin Michel en 1990. On ne se souvient pas que le Camus
("camus" veut dire "sale gueule") ait fait
la leçon à Albin Michel... ]
- Enfin, la librairie Arrissala
vend un grand classique des milieux de droite pro-islamistes:
Le Soleil d'Allah brille sur l'Occident, de Sigrid Hunke
( 1913-99). Cette spécialiste allemande de l'histoire
des religions a commencé sa carrière en 1940 en
écrivant dans la revue nazie Germanien, et soutenu
en 1941 sa thèse à l'université de Berlin
sous la direction du spécialiste de la "psychologie
des races", Ludwig Ferdinand Clauss. Devenue après
1945 la dirigeante de la secte païenne des "unitariens"
(Bund Deutscher Unitarier), Sigrid Hunke a été
une des influences intellectuelles majeures de la "nouvelle
droite" allemande. [Et le "nouvelle droite allemande",
c'est forcément caca. ]
- 15 septembre
- <http://www.proche-orient.info/xjournal_racism_som.php3>
Nous ne connaissons pas cette Hunke mais
ce connard nous la rendrait sympathique. Voir sa bio policière,
pompée par le minable Camus:
<http://www.idgr.de/lexikon/bio/h/hunke-sigrid/hunke.html>
SIONISME=RACISME
-
- Les dangers
du négationnisme arabe
-
- Par Jonathan
Eric Lewis
-
- "Orwellien":
le mot est bien galvaudé aujourd'hui, mais c'est le seul
mot qui convienne aux déclarations insupportables faites
par les dictateurs arabes depuis le 11-Septembre.
- On vient de voir que
l'homme fort de la Libye, Muammar Kadhafi, a décerné
à Roger Garaudy le Prix international Kadhafi des Droits
de l'homme. Qu'un "prix des droits de l'homme" soit
décerné au nom d'un dictateur brutal à un
Français, ex-communiste converti à l'islam et négationniste
notoire, voilà qui aurait largement donné matière
à George Orwell.
- Le plus déconcertant
c'est peut-être que la plupart des organisations internationales
des droits de l'homme n'ont guère condamné le fait.
(...) Une des rares voix à s'être élevée
est venue du rabbin Abraham Cooper du Centre Simon Wiesenthal
qui a déclaré: "Kadhafi et Roger Garaudy font
partie d'une confrérie de haine qui diffuse sciemment
le mensonge du négationnisme afin de diaboliser le peuple
juif."
- Dans des myriades de
dictatures arabes les médias, qui dépendent de
l'Etat, se complaisent, hélas, dans les formes les
plus vulgaires du négationnisme, affirmant à
la fois que l'Holocauste est un mythe sioniste et que les Israéliens
sont pires que les Nazis. Si beaucoup d'observateurs attribuent
à juste titre ce comportement à de l'antisionisme
et de l'antisémitisme, on peut y voir également
une tendance bien plus profonde -- et d'autant plus dangereuse
-- propre à la vie politique arabo-islamique, qui consiste
à perdre la notion de la réalité historique
et de la responsabilité sociétale et à se
réfugier dans une politique de l'irrationnel, c'est-à-dire
fondamentalement antidémocratique. Le négationnisme
arabe est, sans nul doute, profondément antisémite,
mais c'est cet aspect irrationnel qui mérite d'être
développé.
- [Suit un paragraphe
sur l'absence d'esprit rationnel chez les Arabes.]
- (...) Cela dit, on peut
se demander pourquoi tant d'intellectuels arabes, au lieu de
concentrer leurs efforts sur les problèmes économiques
et sociaux du monde arabe, pour ne pas parler des problèmes
politiques, choisissent de minimiser l'Holocauste et de se moquer
de la souffrance du peuple juif.
- (...)
- Pour prendre la mesure
du danger de la situation, il faut savoir que le Centre Zayed,
de la Ligue Arabe, a donné son nom, en août 2002,
à une conférence négationniste qui s'est
tenue à Abu Dhabi. Au lieu de se pencher sur des problèmes
importants comme la surpopulation, l'illettrisme, la stagnation
de l'économie, les penseur de la Ligue Arabe ont estimé
le négationnisme digne de servir de thème à
une conférence internationale. On n'a guère entendu
de voix pour critiquer ce forum. Le Centre Zayed, heureusement,
va bientôt fermer: une petite victoire [sioniste
] dans la guerre des idées entre la liberté
[des sionistes de massacrer à loisir ] et
le totalitarisme [des massacrés qui n'ont qu'à
crever en silence ] .
- La presse arabe, de
même, est remplie de négationnisme. (...)
- Même si l'Amérique
est engagée militairement dans le monde arabe pour plusieurs
années, elle ne peut pas compter seulement sur la force
pour réformer la région. Je ne veux pas dire par
là que notre présence en Irak ne soit pas justifiée.
Pour assurer la stabilité de la région et du monde,
l'Amérique doit entreprendre une campagne d'information
délibérée, organisée et soutenue
pour neutraliser cette rhétorique politique irrationnelle
si typique du monde arabo-islamique, le négationnisme
en étant l'exemple par excellence.
- Il faut que le Congrès
fasse pression sur les dirigeants arabes amis de Washington pour
que ces derniers mettent un terme à la publication de
matériel négationniste dans leurs médias.
Ce ne sera pas une tâche facile mais c'est une chose indispensable
pour protéger la jeunesse arabe de demain d'un
endoctrinement politique qui n'apporte ni espoir ni avenir. Pour
paraphraser Shimon Peres, les sociétés arabes qui
veulent prendre part au monde moderne technologique ne peuvent
pas se construire sur des fondements mensongers. (...)
- Les juifs n'ont pas
à se sentir coupables de construire au Moyen-Orient une
démocratie dynamique. D'un autre côté, le
monde arabe doit prendre conscience de ses défauts afin
de ne pas faire porter la faute de ses échecs sur la réussite
des juifs. Le danger que représente la politique irrationnelle
du négationnisme est si grand qu'il ne convient plus de
le considérer seulement comme une question d'antisémitisme
ou un défi lancé uniquement à des groupes
juifs, mais plutôt comme une menace pour le libéralisme
et la démocratie qui s'installent dans le monde arabo-islamique.
- (...)
- 19 septembre 2003
- Original anglais:
Midstream, A Monthly Jewish Review, 49, 3, Avril 2003. Canard
sioniste publié à New York par la Theodor Herzl
Press.
- <http://www.midstreamthf.com/200304/issue.html>
NOUVELLES
DES OGRES
- From: Cheri Pugh
- I would like to comment
on the reference to "Mengele's demented experimentations".
Josef Mengele's experiments have often been portrayed as being
completely demented and unscientific. In a way this vision of
him as a lone "mad scientist" outside the realm of
regular scientific research is less disturbing than the truth
which is that he was very much working in collaboration with
well-known, prize winning scientists and the German scientific
establishment; specifically the Kaiser Wilhelm Institute for
Anthropology, Eugenics and Genetics, headed by his mentor, Dr.
Otmar Freiherr von Verschuer, a specialist in twin research.
It was von Verschuer who suggested to his protégé
Mengele that he should volunteer for duty in a concentration
camp because of the opportunity to find great numbers of experimental
subjects to whom anything could be done. Mengele regularly sent
reports and specimens back to the KWI in Berlin-Dahlem. (By the
way Verschuer himself was interrogated after the war but later
'rehabilitated' and regained his academic stature in Germany.)
[Ça ne devait pas être aussi grave que ça....
]
- While some of Mengele's
horrific experiments that have been reported by witnesses seem
like nothing but plain sadism [or false witness delusions
], much of his research at Auschwitz was "real science"
but without any moral scruples.
- But some things cited
as evidence of his madness have turned out to be distorted
interpretations, and the experiments have since been revealed
to have been scientific though no less evil. For example it was
known Mengele was researching eye color, it was observed he was
injecting some substance into children's eyes, so a famous rumor
developed that he "injected methylene blue dye into childrens'
eyes in an attempt to turn their eyes blue" which would
indeed have been stupid as well as cruel. However this was
not the case. In this particular experiment he was collaborating
with the scientist Dr. Karin Magnussen from the KWI who was researching
(to put it very simply) why people's eye color changes from what
it is at birth. She had already performed experiments in which
she injected hormones into the eyes of rabbits. With Mengele's
access to victims she was able to extend the research to human
subjects.
- For a discussion of
Mengele's connection with the KWI, see report by Benoit Massin
and Carole Sachse, "Biowissenschaftliche Forschung an Kaiser-Wilhelm-Instituten
und die Verbrechen des NS-Regimes", chapter 3 on the connection
of the KWI-A to Auschwitz and Mengele's research.
- <http://www.mpiwg-berlin.mpg.de/KWG/Ergebnisse/Ergebnisse3.pdf>
- Mengele also worked
in connection with German pharmaceutical companies such as Bayer
who collaborated in order to test drugs. [Des palanquées
d'autres médecins aussi, allemands, français, et
moldovalaques...ont fait et font la même
chose. Peut-être faut-il les pendre...]
- From: Cheri Pugh <[email protected]>
Liste H-Holocaust, 8 octobre 2003.
Voici le résumé (en anglais)
du travail cité plus haut, qui lui est en allemand:
- "Biomedical research
in institutes of the Kaiser Wilhelm Society (KWS) during the
,Third Reich" is widely discussed in the media. Repeatedly
the involvements of scientists and research institutes of the
KWS in the racist and anti- Semitic murderous politics of the
Nazi regime were stressed. The report summarises the present
state of mostly published historical knowledge concerning the
connections between four biomedical research institutes of the
KWS and Nazi racial and medical crimes. These are the KWI for
Anthropology, Human Genetics and Eugenics, the KWI for Psychiatric
Research, the KWI for Brain Research, and the KWI for Biochemistry.
Four main issues are presented: (1) The influence of scientists
like Ernst Rüdin and Otmar von Verschuer, as experts and
producers of a dominant scientific discourse, on Nazi eugenics
and racial policies, (2) the connection between research carried
out at Kaiser-Wilhelm- Institutes and Dr. Mengele's lethal experiments
and supply of "human materials" from Auschwitz, (3)
the collaboration of scientists like Julius Hallervorden, Hugo
Spatz und Willibald Scholz with the Nazi "Euthanasia"
program which allowed for the provision of more than thousand
"interesting brains" from victims of "euthanasia"
supplied to their research institutes, (4) the connection between
the KWI for Biochemistry under the direction of Adolf Butenandt
and human experiments at Auschwitz, and its involvement in medical
experiments on children from the "Children's Euthanasia
Clinic" of Brandenburg-Görden. The possibility of other
unethical research at these four institutes and at other Kaiser
Wilhelm institutes involved in biomedical research is not excluded,
but requires deeper investigation."
L'ESPRIT
D'AUSCHWITZ
- Un Prix Nobel
s'en prend violemment aux juifs
-
- Le lauréat du
Prix Nobel Jose Saramago a déclaré que le peuple
juif ne méritait plus qu'on éprouve pour lui "de
la compassion pour la souffrance qu'il a endurée pendant
l'Holocauste". Saramago, qui a obtenu le Prix Nobel
de littérature en 1998, a déclaré lundi
au Brésil que "le fait de vivre à l'ombre
de Holocauste et de vouloir qu'on leur pardonne tout ce qu'ils
font en raison de ce qu'ils ont eux-mêmes souffert me semble
exagéré. Ils n'ont tiré aucune leçon
de la souffrance de leurs parents et de leurs grands-parents."
Critique assidu de l'Israël, le romancier portugais a également
comparé la ville de Ramallah, en Cisjordanie, au camp
de concentration d'Auschwitz. "L'esprit d'Auschwitz
est tellement présent dans Ramallah aujourd'hui",
dit-il, que les Israéliens "construisent des murs
qui nous rappellent ceux des ghettos."
- JTA (Jewish Telegraph Agency) du
14 octobre 2003.
UN
ENSEIGNANT SAIGNANT
On nous signale la parution d'un article
du Spiegel consacré, à la une, à l'affaire
Karl-Heinz Schmick.
Résumons brièvement cette
affaire:
Un enseignant de Berlin, Karl-Heinz Schmick,
se débat depuis trois ans comme un diable.
L'affaire remonterait, en fait, à
1989, à une époque où l'enseignant s'était
opposé à ce que l'on débaptise une école
supérieure "Tannenberg" pour l'appeler "Willie
Graf". Tannenberg est un nom de bataille qui s'est illustré
durant la première guerre mondiale tandis que Willie Graf
est le nom d'un "résistant" appartenant au mouvement
des "Roses blanches" et qui fut exécuté
comme traître à sa patrie, pour avoir comploté
contre Hitler. Schmick avait fini par être muté à
une autre école, le lycée Steglitz.
Ses élèves le respectaient:
peut-être faisait-il partie du CDU (parti chrétien),
mais, en tout cas, ce n'était pas un néo-nazi.
Mais les ennuis de Schmick ne s'arrêtèrent
pas là.
Passons sur le fait qu'il ait, un jour,
traité une jeune Coréenne de "produit d'importation
coréen", ce qui avait simplement amusé les
élèves qui respectaient l'indépendance d'esprit
de leur maître, et venons-en à l'enseignement de
l'Holocauste.
Dans les manuels scolaires allemands il
est écrit que "La Wehrmacht était un club de
criminels venus en aide à Hitler".
Schmick refusait d'enseigner de tels mensonges
à ses élèves et leur expliquait que les atrocités
faisaient partie de toute guerre et que jamais un Allemand n'avait
tué un innocent.
Là où il était dit
que "tous les juifs ont été gazés dans
ce camp", Schick apprenait à ses élèves
qu'un grand nombre de camps étaient des "camps de
travail" et qu'un enseignant n'avait pas le droit d'inculquer
des idées fausses à ses élèves.
Le professeur Schmick n'est pas "négationniste"
ni révisionniste. Tous les élèves consultés
ont témoigné que Schmick parlait bien du meurtre
des juifs et de l'Holocauste; une poignée d'entre eux seulement
ont fini par reconnaître qu'il était "nazi".
Les Antifas (=schistes) déclarèrent
la guerre à Schmick et des affiches l'accusant de "relativiser
l'Holocauste" et de "mépriser l'humanité"
ne tardèrent pas à apparaître.
Le principal du lycée exigea de
Schmick qu'il présente des excuses, mais il refusa. En
juin 2000, de parents demandèrent le renvoi du "néo-nazi".
Plusieurs parents prétendirent que leurs enfants étaient
rentrés de l'école un jour en disant que Staline
avait tué plus de personnes que les nazis. Certains parents
décidèrent de former un comité contre lui.
Mais l'enseignant n'abandonnait toujours
pas. Il était tellement soutenu dans son combat qu'il fallut
qu'un célèbre animateur de télévision,
Günther Jauch, raconte que Schmick faisait subir à
sa fille, elle aussi son élève, un réel lavage
de cerveau. L'histoire fit le tour de l'Allemagne et une pétition
fut organisée pour demander le renvoi définitif
de Schmick. Le "superintendent" lui-même, à
Berlin, reçut des lettres disant qu'il n'était plus
possible de tolérer une minute de plus qu'un "néo-nazi"
enseigne l'histoire dans une école. [En Allemagne,
l'enseignement dépend des provinces, les "Länder".
La ministresse des sous-affaires européenne, Noëlle
Lenoir, croit que le singulier de "Länder" est
"un Länder". Elle devrait lire les journals.
]
La photo de Schmick s'étala dans
tous les journaux et le ministère de l'éducation
mit l'homme en congé pour une durée indéterminée.
Les manifestations en faveur de cet enseignant de Berlin furent
si importantes qu'il devenait de plus en plus difficile de le
mettre en prison.
En mai 2001 une instruction fut entamée
contre lui pour 37 infractions, dont:
- minimisation des crimes des "nazis";
- propos dégradants à l'égard
d'un immigré;
- comportement en public non digne d'un
enseignant; etc.
22 personnes déposèrent
plainte contre lui, dont 8 juifs, plus le célèbre
architecte juif Max Dudler, et l'animateur de télévision
Günther Jauch.
Le 9 novembre, le tribunal ajoutait un
chef d'inculpation supplémentaire: L'accusé avait
tenu des propos d'extrême droite.
Si des parents, soigneusement sélectionnés,
ont constitué un groupe qu'ils ont appelé "Humanisme
et Tolérance", groupe qui travaille en accord avec
la police de Berlin, de son côté Schmick, avec l'aide
de l'académie de Berlin, a fondé un comité
qu'il a appelé "Comité de recherche d'histoire
militaire", dont il a pris la direction et qui lui permet
de constituer les éléments de sa défense.
Ce comité a publié un rapport sur l'histoire de
l'Allemagne qui a valu à Schmick les remerciements du plus
important historien allemand Arnulf Baring avec ces mots rendus
publics: "Vous m'avez fait très plaisir car tout
ce qui corrige les perspectives historiques de l'histoire de l'Allemagne
est bienvenu."
L'instruction commença le 17 mai.
Le dossier avait beau atteindre 2000 pages, rien ne fut trouvé
qui justifiât un procès.
Avec l'aide du responsable de la justice
de Berlin les juifs constituèrent un dossier visant à
déclarer Schmick "fou". On y lisait les termes
de "psychopathe" et de "fou" et une demande
était formulée pour qu'il se soumette à un
examen psychiatrique.
Schmick refusa et, au lieu de cela, saisit
le Tribunal administratif.
Il gagna ce procès et, en septembre
2002, la chambre du tribunal de Berlin déclara que toutes
les accusations portées contre lui étaient sans
fondement et devaient être retirées de tous les journaux
nationaux. Schmick obtint également 6.000 euros de dommages-intérêts.
Evidemment les appels n'ont pas fini de
pleuvoir et l'affaire est loin d'être terminée.
Voir les articles du Spiegel du
13 octobre 2003
<http://www.spiegel.de/spiegel/0,1518,269576,00.html>
REMUGLES
- L'ex-chercheur
du CNRS Serge Thion condamné pour contrefaçon
-
-
- par Dédé,
qui ne signe pas
-
- .
- Il y a quelques mois,
la cour d'appel du tribunal correctionnel de Paris condamnait
le propagandiste négationniste Serge Thion pour
diffamation à l'encontre d'un journaliste de notre rédaction
(voir notre article Le négationniste Serge Thion condamné
pour diffamation). Cette fois, cette même cour d'appel
vient de confirmer une nouvelle décision qui met à
jour certaines méthodes de travail de celui qui fût
chercheur au CNRS pendant une vingtaine d'années: la contrefaçon.
- Une des méthodes
favorites des négationnistes, dans leurs publications
ou sur leurs sites, consiste à se saisir de textes protégés
par les lois sur le droit d'auteur, de les publier sans autorisation
et de les farcir de commentaires, d'injures, et cela toutes les
trois lignes. Le site raciste de Serge Thion annonce ainsi chaque
mois les noms de tous les intervenants "volontaires ou involontaires".
Par dix fois, les articles d'amnistia.net ont été
pillés, détournés, tronqués. Et Thion,
aujourd'hui compagnon de route et de manif du Parti des Musulmans
de France, ne manque jamais de rappeler qu'on ne peut rien contre
lui, puisqu'il se place sous la protection des lois américaines
concernant la liberté d'expression. Pour échapper
aux lois françaises, il a également fait le choix
de demander "l'asile internet" aux USA, émettant
depuis le territoire de la puissance qu'il ne cesse de prétendre
critiquer.
- Son éviction
du CNRS, après la révélation par notre rédaction
de ses multiples implications dans les activités de la
secte négationniste, a conduit Serge Thion à multiplier
les interventions, et à publier ses diatribes sur un site
français dont nous avons pu établir qu'il en était
le responsable.
- Cette fois, la protection
américaine ne fonctionnait plus.
- Quatre articles d'amnistia.net
figuraient au sommaire, truffés d'ineptes tentatives
de réfutation. Le tribunal, en première instance
puis en appel, a jugé que Serge Thion avait "contrefait
par reproduction" et "contrefait par diffusion"
des oeuvres de l'esprit et cela au mépris des droits d'auteur
et l'a condamné à une forte amende.
- Pour toute défense,
l'ex-chercheur au CNRS a prétendu qu'il ne faisait que
se livrer à un exercice de "revue de presse".
Le tribunal lu a rappelé [sic] qu'une revue de presse
excluait la reproduction d'un article "in extenso",
avant que Serge Thion avance qu'il ignorait que cette pratique,
celle de la contrefaçon, était illicite! [Pure
invention]
-
- Tout le dossier "Négationnistes:
les Eichmann de papier"
-
-
- Si vous n'êtes
pas abonné, vous pouvez accéder à certains
de nos articles grâce au système AlloPass, qui vous
débitera de 0,56 à 1,68 euros sur votre facture
téléphonique. C'est simple comme un coup de fil,
et immédiat.
Ainsi la dénonciation est devenue
ouvertement un fond de commerce. Si vous voulez savoir qui est
dénoncé, il faut maintenant payer !!!! La délation
elle-même est entraînée dans le grand mouvement
du libéralisme économique. La poubelle se privatise
!
Mais quand ils perdent leurs procès,
comme ce fut le cas dans la diffamation des Editions de l'Harmattan,
le site amnistia le cache soigneusement à ses rares lecteurs...
17 septembre 2003.
<http://www.amnistia.net/news/articles/negdoss/thiocon2/thiocon2.htm>
Les textes incriminés peuvent être
vus à
<http://abbc.com/cnrs/totus/index.html>
LE
MOT NU MENT
- For me, the power of
Belzec was in the abscence of a built landscape. I agree that
the memorial should have been re-constructed to better symbolize
the meaning of Belzec. However, digging the place up and placing
a huge edifice and museum there just speaks wrongly to me. When
I arrived at Belzec for the second visit, the perimeter of the
camp was fenced off. In the background, there was a very large
crane and many workmen working within the camp grounds. We were
told by a Polish security guard that we were not allowed anywhere
near the premises and indeed, that we shouldn't take pictures
of the construction. This was disturbing to me, a guy from Ohio
who had no real connection with Belzec the place, other than
having read about it.
- We did eventually get
to walk around the perimeter of the former camp and see some
of the construction. I was not impressed.
- I fear that within Poland,
the Holocaust industry is taking root. One can buy books,
ice cream, post cards and posters at Auschwitz. In Kazimierz,
the former Jewish area of Krakow, bookstores selling books about
"Jewish Krakow" also arrange tours of "Jewish
Kazimierz Retracing 'Schindler's List' and Trips to Birkenau."
Down the square, a "kosher style" restaurant sells
fau kosher food while Klezmer music plays in the background.
Still further down the square, street vendors hawk wooden carvings
of Jews, with devil horns and cloven feet.
- There is a danger of
over memorialization of Holocaust sites. I am not recommending
that they be let to dissappear into the earth, as no doubt, the
Germans would have liked to see them do. There should be a concern
however, that over memorialization might lead to apathy
in the memory of the horrible event.
- Jamie L. Wraight, H-Holocaust,
17 octobre 2003.
- Call it overdose,
Jamie.
-
-
PARUTIONS
§== Un chemin
de Damas. Pierre
Hebey, Les Disparus de Damas. Deux histoires de meurtre rituel
[2003] , 384 pages, Hors série Littérature, Gallimard,
ISBN 2070761401. 26,50 _
- Résumé
- Le 21 février
1840, le père Thomas, religieux d'origine sarde résidant
depuis de nombreuses années à Damas, ainsi que
son serviteur, disparaissent. Aussitôt les chrétiens
de la ville accusent les juifs d'avoir "immolé"
le religieux afin de recueillir son sang. Ce drame se produit
moins de quatre mois après l'arrivée du premier
consul de France en Syrie, le comte Ulysse de Ratti-Menton. Or
un traité franco-turc de 1740 reconnaît aux diplomates
français un droit de protection sur les catholiques de
l'Empire ottoman. Le nouvel arrivé en profite pour mener
l'enquête concernant ces disparitions. Sa conviction, dès
les premières heures, est établie: les coupables
sont les membres d'une famille juive de notables. Avec la police
du pacha, il va s'attacher à le démontrer. Le consul,
que les méthodes d'interrogatoire orientales ne rebutent
pas, bouclera son instruction en quelques semaines. Ses conclusions
devront forcément déboucher sur des exécutions.
- Les communautés
juives de France et d'Angleterre -- alors que leurs pays sont
au bord du conflit -- décideront d'envoyer deux hommes
pour sauver de prétendus coupables dont l'innocence paraît
évidente.
- Henri Heine, en poste
à Paris pour La Gazette d'Augsbourg, consacrera
plusieurs articles à l'Affaire de Damas. Dès le
7 mai 1840, révolté par ce qu'il a pu apprendre,
il écrit: "... tandis que nous rions et oublions...
le bourreau exerce la torture et, martyrisé sur le chevalet
de la question, le juif de Damas avoue..." Pour bien des
historiens, cette affaire marquera une date importante. [résumé
de Gallimard]
On remarquera que les envoyés
des communautés d'Europe auprès du souverain de
l'Egypte sont Moses Montefiore, "philanthrope", homme
qui joua un grand rôle, et Crémieux, l'homme qui
d'un trait de plume allait faire françaises les tribus
de juifs arabes qui peuplaient l'Algérie, et qui dominent
aujourd'hui la scène sur Seine.
Par ailleurs ce Pierre Hebey est un
touche-à-tout, un tâcheron du monde des lettres qui
ne dispose d'aucune compétence particulière pour
parler de ces sujets.
§== Crimes rituels:
livre en hébreu signalé par I. Shamir et que Univ.
of Calif Press semble avoit du mal à publier en traduction
anglaise.
(Signalons au passage que "crime
rituel" se traduit bizarrement en anglais par "Blood
Libel".)
- Der Redner zum ersten
"Arye Maimon-Vortrag", Prof. Dr. Israel Yuval, gehört
zu den besten Kennern der deutsch-jüdischen Geschichte im
Mittelalter, wobei er sich besonders durch die Kenntnis sowohl
der hebräischen als auch der lateinischen und deutschen
Quellen auszeichnet. Seine neueren Forschungen zum christlich-jüdischen
Verhältnis im Mittelalter haben in der israelischen Öffentlichkeit
eine große, zum Teil kontroverse Resonanz gefunden,
so daß man ihn zu den Wegbereitern einer "postzionistischen"
Geschichtswissenschaft zählt.
- PRESSEMITTEILUNG - UNIVERSITÄT
TRIER
- Herausgegeben von der
Pressestelle, 28. Oktober 1998
-
- Jacob Yuval, Two
Nations in Thy Womb, or Perceptions of Jews and Christians
[Deux Nations en ton sein, ou Perceptions des juifs et des chrétiens],
Tel Aviv, Am Oved 2000.
Extrait de
- La Médina et
le monde yiddiche d'I shamir:
- Le monde chrétien
enseigne que le Messie est venu et qu'il reviendra tandis que
le judaïsme considère que le Messie n'est pas encore
advenu. C'est là ce qui distingue l'enseignement juif
de l'enseignement chrétien. Or la réalité
est toute différente : le Christ est venu pour sauver
alors que le Messie viendra pour se venger. J'en veux pour preuve
les propos du brillant universitaire israélien, le Pr
Israel Jacob Yuval de l'Université hébraïque,
figurant dans son dernier ouvrage, Two Nations In Your Womb
[1: Editeur
: Alma/Am Oved, Tel-Aviv, 2000, ISBN 965-13-1428-1]. Le " salut vengeur "
comme le nomme Yuval a été repris par les juifs
européens à partir des anciens textes pharisiens
et est devenu la doctrine première de la Synagogue.
- Lorsqu'Israel Yuval
a publié son livre, riche d'enseignements sur la théologie
de la vengeance dans le judaïsme, l'ouvrage a été
accueilli avec grand enthousiasme par ses collègues israéliens,
mais les savants juifs américains l'ont repoussé
avec horreur. Le Dr Ezra Fleischer a rédigé une
critique véhémente qu'il conclut en ces termes
: "Il vaudrait mieux que ce livre n'ait pas été
publié mais puisqu'il l'a été, il devrait
être condamné à l'oubli".
- Le professeur Yuval
cite un grand nombre de textes de l'Antiquité juive pour
justifier son propos. "A la fin du monde (lors de l'avènement
du Messie), Dieu détruira, tuera et exterminera toutes
les nations hormis les fils d'Israël" peut-on lire
dans le Sefer Nitzahon Yashan, écrit par un juif
allemand au XIIIe siècle. Un poète liturgique du
nom de Klonimus b. Judah a eu une vision "des mains de Dieu
pleines de cadavres de goys". Des rêves d'effusion
de sang et de destruction encore plus effroyables précèdent
les premières attaques contre les juifs à la fin
du XIe siècle. Cent ans avant que les croisés n'assaillent
les juifs, le rabbin Simon b. Yitzhak en appelait à Dieu
pour "qu'il tire son épée du fourreau et extermine
les Gentils". Pour hâter la destruction des Gentils,
les sages [juifs] d'Europe ont prononcé des malédictions
à l'encontre des chrétiens et du Christ et les
ont intégrées dans la liturgie de Pâque,
du Jour du Jugement dernier et même dans la prière
quotidienne.
Autre commentaire:
- Die "neuen Historiker"
machen auch vor einem Kernstück staatskultisch instrumentalisierter
Spiritualität des Judentums nicht halt: dem kiddush ha shem,
der "Heiligung Seines Namens". Gemeint ist der Selbstmord
von Juden (einschließlich des Mordes an ihren Kindern),
um sich dadurch drohender Ermordung oder Zwangstaufe zu entziehen.
Ein berühmtes Beispiel ist der kiddush ha shem von 1096
in vielen Städten des Rheinlandes zu Beginn des 1. Kreuzzeugs.
Der "neue Historiker" Israel Yuval zeigt nun, dass
das Motiv dieses angeblich so "reinen" Martyriums in
Wirklichkeit der Wunsch nach "Erlösung durch Rache"
war: Gott sollte durch das selbst vergossene Blut seines Volkes
zur apokalyptischen Rache an den Christen gezwungen werden. Seit
Jahrhunderten sei speziell das aschkenasische Judentum von diesem
Motiv der "Erlösung durch Rache" bestimmt gewesen.
Das antisemitische Stereotyp der Ritualmord-Legende sei in seinem
Ursprung nichts anderes als die verzerrte Wahrnehmung dieser
Ereignisse von 1096 durch die fassungslosen Christen. Es entspringe
also keineswegs nur der antisemitischen Bosheit notorischer Judenfeinde.
- (Amnon Raz-Krakotzkin,
Historisches Bewusstsein und historische Verantwortung, in: Historikerstreit
in Israel. Die "neuen" Historiker zwischen Wissenschaft
und Öffentlichkeit, hrsg.v. B. Schäfer, Frankfurt
2000)
- < http://www.ahlen.de/kultur/bruederlichkeit/muskeljude/historiker.shtml>
§== Esthétique
du révisionnisme.
- Salon: A Journal
of Aesthetics
#22
- Holocaust revisionism
is the name given to a cluster of theories contending that what
is generally assumed to be the truth about the Holocaust is wrong.
A tiny number of revisionists say that the Holocaust didn't happen
at all, but most of them say that, yes, some terrible things
did happen, but the number of deaths has been grossly exaggerated.
Pat Hartman, editor of Salon [see the main review in the Grab
Bag chapter] became intrigued by Holocaust revisionism when she
learned that she was not supposed to be intrigued by it. "The
Holocaust is the sacred cow with which even the hardiest iconoclasts
don't want to have an eyeball to eyeball confrontation. The reverential
hands-off attitude has made the issue, in the words of Michael
R. Marrus, 'held not subject to the wide-ranging investigation,
discussion, and debate carried on with other aspects of the recent
past,' and 'unapproachable for ordinary analysts of the human
record.'"
- Hartman spent the better
part of a year immersing herself in material about the Holocaust,
written from both orthodox and revisionist viewpoints. The vast
majority of the 148 pages of this issue of Salon are devoted
to what she found, making this a veritable book on the subject.
She approached it with a curious mind not guided by any ideology,
determined to hear what everyone has to say. Her essays provide
a thoughtful overview of all aspects of Holocaust revisionism.
- As far as I could glean
from this sizable amount of material, Hartman's end analysis
is still that the Holocaust did happen, although she concedes
that the revisionists may be write about "some details"
(although she doesn't specifically name them). She believes that
the revisionists are mostly hate mongers, but opines that there
probably are some true seekers among them. Overall, Hartman notes,
"Holocaust revisionism attracts anti-Semites the way shit
attracts flies." However, she is not afraid to point out
inconsistencies and arrogance among the Holocaust orthodoxy.
- Right after World War
II, it was claimed that 22 concentration camps had gas chambers.
Mainstream, "establishment" historians now concur that
only six camps had chambers. Yet this is not considered revisionism.
"Right after the war, signs were put up at Dachau claiming
that 238,000 people had been gassed and cremated there. Some
time later the signs were removed, and today the official, mainstream
version of history is that 32,000 died there over a 13-year span.
Does that make the director of the Dachau camp museum a 'revisionist?'"
- Hartman is upset over
the forces that are out to quash revisionism by whatever means
necessary. In France, Austria, Germany, and Israel it's outright
illegal to question Holocaust orthodoxy. Many other countries--including
Canada and Australia--have severe restrictions on this line of
thought. Even in the US, revisionists are constantly threatened,
harassed, and assaulted.
- Other topics Hartman
covers include who the revisionists are, what's in it for the
revisionists, evidence of the Holocaust, the most "inventive"
revisionist arguments, trying to determine statistics, the gas
chambers debate, Anne Frank's diary, Holocaust eyewitnesses and
survivors, the wildly divergent groups who don't like the Holocaust
Museum, Nazi apologists, and much, much more. Several contributors--including
a Jewish revisionist--also give their input.
- For anyone who would
like to get a large, sweeping view of Holocaust revisionism and
what its various proponents and opponents believe should get
this issue of Salon.
- Pat Hartman/305 W Magnolia,
Ste 386/Fort Collins CO 80521
- Single issue: $5
- <http://www.mindpollen.com/book/nocom2.htm>
§== La droite
et les juifs.
- Almirante,
Israele e il sionismo che covava sotto la storia della destra
-
- Marina Valensise
-
- Si prendano un po' di
tempo per leggere l'ultimo libro di Gianni Scipione Rossi ("La
destra e gli ebrei", Rubbettino, 302 pagine, 16 euro) coloro
che storcono il naso davanti al "nuovo" corso della
politica proisraeliana di An, giudicano Gianfranco Fini un opportunista.
Questo libro offre un inventario di tutte le posizioni assunte
in seno alla destra sugli ebrei, la persecuzione, il sionismo
e lo Stato d'Israele negli ultimi sessant'anni. E' un lavoro
di scavo, che senza perdersi nei concetti si limita a riesumare
fatti, documenti, riviste introvabili, dichiarazioni e giudizi
sul passato regime e i suoi orrori. Dimostra, fra l'altro, come
il pregiudizio antisemita nella destra neofascista sia più
l'effetto di una sovrapposizione ex-post, compiuta da pensatori
radicali come Julius Evola o dai figli dei reduci di Salò,
come Adriano Romualdi, nella loro ricerca di valori solenni come
il coraggio, la ge-rarchia, coi quali combattere la mediocrità
dei tempi, che non un'eredità politica indiscussa. Intendiamoci,
Rossi non ha intenti apologetici. Muove sul filo dell'accertamento
filologico e per questo il suo racconto risulta ancora più
imbarazzante. Ma ha il merito di dare un nome a fatti, idee e
circostanze, e ricostruire così nelle sue varie forme,
ambigue o incerte, generose o reticenti, la rielaborazione dell'antisemitismo
fascista e della persecuzione antiebraica nella destra italiana.
Ricorda, per esempio, la rimozione del dopoguerra, quando i gerarchi
di Salò come Piero Pisenti, il ministro dell'Educazione
Biggini, o l'ultimo federale di Milano Vincenzo Costa, si misero
a sottolineare di aver mitigato gli effetti delle leggi razziali
al mito del buon fascista, "antisemita sì, ma senza
convinzione". Ma ricorda anche i tanti italiani ebrei che
in nome dello Stato risorgimentale e dell'emancipazione aderirono
al fascismo e ne caddero vittima: Aldo Finzi, che era uno dei
nove deputati fascisti del 1921, membro del Gran Consiglio, espulso
dal partito nel 1942, fucilato alle Fosse Ardeatine, l'editore
Formiggini, suicida nel 1938, il generale Guido Liuzzi, Emilio
Foà che diceva ai figli di restare fascisti, ma nel 1938
si suicida, Tullio Terni accademico ai Lincei, epurato sia nel
1938 sia nel 1945 in quanto fascista, e morto suicida nel primo
anniversario della Liberazione. La riflessione sulla campagna
razziale precedette la nascita del Movimento sociale italiano,
e iniziò nell'agosto 1946 sul primo numero di Rataplan,
il settimana-le di Nino Tripodi, dove se ne poteva trovare un'interpretazione
geostrategica: "Non fu per supina acquiescenza a ordini
tedeschi, bensì per la speranza, meglio, per il calcolo
politico sui vantaggi ottenibili in Medio Oriente in caso di
guerra. Un calcolo che in pratica si rivelò sbagliato,
e comunque meno infame di una brutale ubbidienza a ordini di
Hitler, ma pur sempre un'azione ridicola in fatto di premessa
scientifica razziale, e maledetta e cattiva, quando arrivò
a colpire i bambini espulsi dalle pubbliche scuole, alti funzionari,
ineccepibili ufficiali e il sacramento del matrimonio".
E Rossi sottolinea pure come, malgrado la rimozione, l'ambiguità
e la ricerca di attenuanti, la destra missina non aspettò
la meta-morfosi di Alleanza nazionale per ripudiare l'antisemitismo
fascista: filoisraeliana sin dal 1948, prosionista in nome dei
valori dello Stato e del socialismo, con Giano Accame inviato
del Borghese a Gerusalemme all'inizio degli anni Sessanta, si
schiera con Israele nella guerra dei Sei giorni del 1967, che
segna la svolta nella politica dei due blocchi, con la rottura
di-plomatica tra Mosca e Gerusalemme, e nella guerra del Kippur
del 1973. Quanto al retaggio del passato, il nuovo corso di Fini
non è una novità. Trent'anni prima di lui fu Giorgio
Almirante, nel 1972 a riconoscere in televisione "i valori
di libertà della Resistenza", e condannare le leggi
razziali. Il che gli valse la violenta reazione di Julius Evola
di fronte al "non simpatico cedimento", e una difesa
del razzismo a sfondo antisemita che oggi firmerebbe soltanto
un intellettuale di sinistra come Alberto Asor Rosa: "Le
deprecabili persecuzioni subite dall'ebreo non autorizzano a
farne un essere sacrosanto, a cui ci si debba avvicinare solo
con venerazione".
- <http://www.rubettino.it/rubbettino/public/RNoteSup.jsp?ID=1001321>
C'est justement le moment où le
petit stronzo de Gianfranco Fini, chef de l'Alleanza Nazionale,
ayant reçu finalement, et après maints attouchements
inavouables, et d'innombrables reptations trombidiennes, l'onction
des zébreux romains, peut se rendre en Israël, ce
qui lui est compté par la presse internationale comme un
permis de devenir un homme d'Etat respectable, et même premier
ministre, si Pantalon Berluska se casse la binette.
§== Objets nazis ou trafiqués
par les nazis, dans les musées américains (on ne
parle pas des objets et oeuvres d'art pillés par les forces
américaines qui ont immédiatement, dès leur
arrivée sur le continent, battu tous les records de pillage
établis par les nazbroques, ou des objets d'art nazis séquestrés
et que nous n'avons toujours pas le droit de voir, comme les sculptures
du génial Arno Breker.)
- INCEPTION OF THE PROJECT
- As publicly accountable
institutions, U.S. museums are working openly to resolve the
status of objects in their custody. Through its professional
associations, the American Association of Museums (AAM) and the
Association of Art Museum Directors (AAMD), the U.S. museum community
has adopted a set of Recommended Procedures for investigating
Nazi-era cultural assets. These procedures call for research
into the provenance, or ownership history, of all art objects
in U.S. museum collections that changed hands in Continental
Europe from 1933 to 1945. They also call on museums to make the
resulting information available to the public.
- Stakeholders involved
this issue quickly identified the need for a searchable central
registry of Nazi-era cultural property held by U.S. museums,
beginning with European paintings and Judaica. AAM accepted the
responsibility of developing this Internet-accessible, searchable
registry. The result is the Nazi-Era Provenance Internet Portal.
<http://www.nepip.org/>
§== Deuxième
volume. Deux siècles
ensemble. Juifs et Russes pendant la période soviétique
(1917-1972), par Alexande Soljénitsine, Fayard, 568
p.
Dans Le Monde, le compte rendu
du premier volume avait été fait par Vernet, gros-tas
et ancien du service international. Le second volume a été
confié aux mains expertes de Nicolas Weill, judéocrate
(19 septembre). Il n'approuve pas le projet de Soljénitsine
de raconter les relations entres juifs et Russes en se fondant
sur des sources juives. Weill rappelle que l'auteur est "devenu
nationaliste russe assumé", un curieuse formule. Il
s'agit d'apprécier le rôle que les, ou des juifs,
ont joué dans l'établissement et le maintien du
régime soviétique, sujet sur lequel, comme le rappelle
Weill, courent des opinions sans nuance, ce qui n'est pas le cas
de Soljénitsine. Pour ce dernier, "les bouleversements
révolutionnaires de 1917 ont eu pour conséquence
de faire affluer les juifs dans les villes, après la disparition
de la zone de résidence où ils étaient cantonnés
par le régime du tsar. [voir vol. I] Les bolcheviks auraient
puisé chez ces nouveaux venus un personnel administratif
de substitution à l'ancien, russe, réservé
ou hostile. [...] Qu'on cesse donc de considérer les juifs
communistes comme des marginaux ou de simples «renégats»,
plaide Soljénitsine. La réalité d'une histoire
collective implique de reconnaître une culpabilité
partagée. Tel [en français: telle] est, en tout
cas, la conviction -- contestable -- qui sous-tend l'essai".
Le judéocrate tranche: il conteste. Il conteste que l'on
puisse envisager une "culpabilité partagée",
que l'on puisse en quelque sorte considérer que les horreurs
du bolchevisme (au moins pour ceux qui jugent que le bolchevisme
a commis des horreurs) soient en partie imputable à
des juifs. Est-ce qu'un juif pourrait être coupable de quoi
que ce soit puisqu'il est, par définition, une victime
? Weill explique: "Encore aurait-il fallu que S. ne donne
pas l'impression de chercher à déplacer le fardeau
de la culpabilité d'une histoire atroce sur les juifs,
dont on ne dit jamais dans quelle mesure ils se sentaient tels
en servant le régime communiste, afin d'en soulager les
Russes. Ni de sombrer dans une argumentation quelque
peu perverse, en prenant pour exemple la "gestion du
passé" à l'allemande." La perversité
allemande ? Suivez mon regard ! Cette perversité, dans
le cas de S., consiste à ne pas blanchir tout-à-fait
les juifs de Russie des innombrables crimes commis au nom de la
révolution. Pour Weill et ses semblables, c'est simple,
vous pouvez le noter dans vos tablettes et le graver dans vos
cervelles: il n'y a pas de coupables juifs. Un point, c'est tout.
§== Prolifération.
L'ouvrage de Butz, dans sa traduction française, est disponible
sur un site, de nous inconnu:
<madchat.org/esprit/ebooks/Butz%20Arthur%20R/
La%20mystification%20du%20XX%E8me%20si%E8cle.pdf> On
trouve d'autres choses sur ce site:
Un ensemble de textes de notre archange
foudroyeur préféré, Léon Bloy:
<http://www.madchat.org/esprit/ebooks/Bloy%20L%e9on/>
§== Choses à
savoir. surtout
quand les lois changent plus vite que les saisons.
- EXTRAITS DU CODE DE LA
PROPRIETE INTELLECTUELLE
- Chapitre III : Durée
de la protection
- Article L123-1
- (Loi n· 97-283
du 27 mars 1997 art. 5 Journal Officiel du 28 mars 1997 en vigueur
le 1er juillet 1995)
- L'auteur jouit, sa vie
durant, du droit exclusif d'exploiter son oeuvre sous quelque
forme que ce soit et d'en tirer un profit pécuniaire.
Au décès de l'auteur, ce droit persiste au bénéfice
de ses ayants droit pendant l'année civile en cours et
les soixante-dix années qui suivent.
- Article L123-8
- Les droits accordés
par la loi du 14 juillet 1866 sur les droits des héritiers
et des ayants cause des auteurs aux héritiers et autres
ayants cause des auteurs, compositeurs ou artistes sont prorogés
d'un temps égal à celui qui s'est écoulé
entre le 2 août 1914 et la fin de l'année suivant
le jour de la signature du traité de paix pour toutes
les oeuvres publiées avant cette dernière date
et non tombées dans le domaine public le 3 février
1919.
- Article L123-9
- Les droits accordés
par la loi du 14 juillet 1866 précitée et l'article
L. 123-8 aux héritiers et ayants cause des auteurs, compositeurs
ou artistes sont prorogés d'un temps égal à
celui qui s'est écoulé entre le 3 septembre
1939 et le 1er janvier 1948, pour toutes les oeuvres publiées
avant cette date et non tombées dans le domaine public
à la date du 13 août 1941.
- Article L123-10
- Les droits mentionnés
à l'article précédent sont prorogés,
en outre, d'une durée de trente ans lorsque l'auteur,
le compositeur ou l'artiste est mort pour la France, ainsi
qu'il résulte de l'acte de décès. Au cas
où l'acte de décès ne doit être ni
dressé ni transcrit en France, un arrêté
du ministre chargé de la culture peut étendre aux
héritiers ou autres ayants cause du défunt le bénéfice
de la prorogation supplémentaire de trente ans; cet arrêté,
pris après avis des autorités visées à
l'article 1er de l'ordonnance n· 45-2717 du 2 novembre
1945, ne pourra intervenir que dans les cas où la mention
"mort pour la France" aurait dû figurer sur l'acte
de décès si celui-ci avait été dressé
en France.
Grotesque ! Ce texte est en outre porteur
d'une révélation historique de taille: la deuxième
guerre mondiale, qui a débuté le 3 septembre 1939
s'est terminée le 1er janvier 1948. Voilà qui est
bouleversant. Pendant qu'on croyait la guerre finie, vers le 15
août 1945, avec la signature de la reddition japonaise sur
le croiseur américain Missouri, la guerre allait se continuer
secrètement pendant PRESQUE DEUX ANS ET DEMI.
Ces juristes fous sont beaucoup plus
révisionnistes que nous. Il ressemblent, toutes proportions
gardées, à ces soldats japonais cachés dans
les brumes des jungles asiatiques qui ne savaient pas, dix ou
vingt ans après, que la guerre était finie.
§== Grandes zoreilles. Toussenel, connu
comme l'auteur d'un grand livre antisémite de gauche du
XIXe siècle est aussi l'auteur d'un livre sur les animaux.
- «Toussenel, qui
a trouvé souvent de si fines et de si ingénieuses
analogies entre l'homme et l'animal, qui a découvert dans
sa Zoologie passionnelle de si mystérieuses affinités
entre l'être humain et la créature inférieure,
n'a pas été indulgent pour l'Ane. Pour lui l'Ane
est la personnification de l'Auvergnat, rude au travail, mais
grossier et étranger à tout sentiment du Beau.
Il reproche au pauvre Aliboron d'être un rural, conservateur
égoïste, routinier, cupide et sec, borné d'apparence
et malin en dessous.
- «"Ne nous
y trompons pas, écrit l'auteur de l'Esprit des bêtes,
l'Ane, comme l'Auvergnat, est plus rusé et plus ignorant
que sot, et l'histoire a recueilli de lui une foule de mots mémorables,
notamment celui-ci : Notre ennemi, c'est notre maître.
Ce qui prouve que la maligne bête s'exprime aussi en très
bon français quand elle veut. La sottise pivotale que
je reproche à l'Ane est de ne pas conformer son vote à
cette opinion, et de donner toujours sa voix à celui qui
le malmène le plus brutalement.»
- (Edouard Drumont)
§== Génial. Extraordinaire
site où trouver des textes de la littérature française.
Plusieurs groupes et institutions (ABU, Bibliothèque municipale
de Lisieux, etc.) font de la mise au Net. Mais ce site répertorie
ce qui existe: par exemple, les six versions présentes
sur le Net du Colonel Chabert. Vous pouvez trouver, pour
les longues soirée d'hiver, pour éviter de se faire
endormir par le télé-ronron, L'Histoire amoureuse
des Gaules, du charmant Bussy-Rabutin, ou le sévère
Cantillon, Essai sur la nature du commerce en général.
A de certains moment, l'internet, c'est
génial.
ATHENA
Archive de textes en français numérisés.
<http://un2sg4.unige.ch/athena/html/francaut.html>
D'autres sites fournissent aussi des livres
complets. Voir, par exemple
<http://www.bookenstock.com/afficher_livre.php?id=106>
Ils classent Les Chants de Maldoror
dans la catégorie: "SF-Fantastique". Et pourtant
ils n'ont probablement pas lu Faurisson.
§== Monzami.
<http://www.alaindebenoist.com/>
Ce site a été créé
à l'initiative de l'association Les Amis d'Alain de Benoist,
qui s'est créée tout récemment.
Vous y trouverez des informations en plusieurs
langues, des comptes rendus d'activités, des textes (livres
et articles) téléchargeables, des liens, des possibilités
de contact, ainsi que près d'un millier de références
bio-bibliographiques.
Les axes principaux de sa pensée
sont au nombre de quatre : 1) la critique conjointe de l'individuo-universalisme
et du nationalisme (ou de l'ethnocentrisme) en tant que catégories
relevant l'une et l'autre de la métaphysique de la subjectivité
; 2) la déconstruction systématique de la raison
marchande, de l'axiomatique de l'intérêt et des multiples
emprises de la Forme-Capital, dont le déploiement planétaire
constitue à ses yeux la menace principale qui pèse
aujourd'hui sur le monde ; 3) la lutte en faveur des autonomies
locales, liée à la défense des différences
et des identités collectives ; 4) une nette prise de position
en faveur d'un fédéralisme intégral, fondé
sur le principe de subsidiarité et la généralisation
à partir de la base des pratiques de la démocratie
participative.
Signalons la présence de nombreux
articles et entretiens, sans compter quatre livres en français
(en pdf).
§== On parle toujours
des Khazars, mais si on veut en
savoir plus il existe un site (Khazaria Info Center):
<http://www.khazaria.com/khazar-images.html>
§== Ils sont trop
nuls. Nous
ne passons pas beaucoup de temps, on nous l'accordera, à
fustiger Le Monde, parangon de la bêtise pseudo-intellectuelle,
animé depuis pas mal de temps par une bande d'incultes,
augmentée par une nouvelle générations de
foireux et de foireuses incapables d'écrire deux phrases
en français. On lit vite, du bout des doigts. En méprisant
ces hilotes branchés.
D'autres analysent tout ce caca, comme
le laborantin qui cherche Escherichia coli: <http://acrimed.samizdat.net/>
§== Ils discutent.
Dans tous les coins du Net, les discussions bruissent. Des listes
s'agitent. Des indignations explosent. Des gifles sonores retentissent.
Ils en parlent. Ils en ont parlé. On pourrait refaire le
fameux dessin de Caran d'Ache du 14 février 1899 (Le
Figaro). Ils ont parlé du révisionnisme.
<http://home.wlu.edu/~lambethj/Dreyfus/whitney/dreyfus3.htm>
Nous nous tenons à l'écart
de ces discussions. Faute de temps, certainement. Et puis quand
elles mûrissent, elles aboutissent à ceci, un exemple
parmi d'autres:
Charmant, n'est-ce pas ? Refermons doucement
la porte pour ne pas effaroucher ces tourtereaux.
§== Prédestiné
? Le président du Congrès
juif russe s'appelle Yevgeni Satanovsky. (JTA)
§== Accablanc. A propos de
Alice Kaplan, Intelligence avec l'ennemi.. Le procès
Brasillach. Galliamrd, 308 p. (traduit de l'americain).
- "Je me devais cependant
de livrer cette interprétation au lecteur, celle qui m'a
sur le coup le plus ébranlé. Quoi qu'il en soit,
une chose reste certaine : la manipulation d'un texte présente
l'avantage de simplifier les choses en lui donnant le sens qui
convient au parti pris que l'on adopte ; par contrecoup, elle
parasite son appréhension par ceux qui désirent
juger sur pièce, pour savoir ce qu'il en est vraiment.
A cet égard, la source la plus certaine de confusion est
le recours à la paraphrase, procédé particulièrement
propice à la déformation et à l'amalgame
, dont le roi des cuistres Antoine Perraud s'est chargé
de donner un remarquable exemple à l'occasion de la sortie
du livre d'Alice Kaplan :
- "On déchiffre
à quel point Brasillach fut "meilleur" nazi
que prosateur, fourguant son talent non dans des églogues
et des historiettes en vertu desquelles on prétendit le
sauver, mais plutôt dans des articles carnassiers enjoignant
de ne jamais oublier les enfants lors des rafles de Juifs et
dénonçant avec jouissance tous ceux qui risquaient
leur peau entre 1940 et 1944. "
- Les multiples manipulations
auxquelles a donné lieu cette phrase de Robert Brasillach
auront eu au moins un effet pervers, quelles que soient les intentions
(bonnes, mauvaises ou inexistantes, là n'est pas la question)
de ceux qui s'y sont livrés. Elles auront donné
l'occasion à Robert Faurisson de faire la leçon
au journal Le Monde (il est vrai grand spécialiste
en réécriture et troncature des textes d'autrui
à des fins partisanes) dans une "lettre à
M. Lesourne [alors directeur du Monde] et à Patrick Kéchichian",
ce dernier ayant signé un article intitulé "
Brasillach révisé " dans lequel il reprenait
le bout de phrase rituel. Le Monde s'est abstenu de publier
la lettre de Robert Faurisson. L'Association des Anciens Amateurs
de Récits de Guerres et d'Holocauste (AAARGH) s'est en
revanche fait un plaisir de la reproduire sur son site Internet,
en l'agrémentant de l'objet suivant: "les mensonges
du Monde (7 février 1992, p.25) " .
- Valérie Igounet,
docteur en histoire de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris,
a cité une partie de cette lettre dans son livre Histoire
du négationnisme en France, en omettant l'adresse
du site où elle était allée la piocher (sans
doute pour ne pas faire de publicité à l'AAARGH,
qu'elle se sent tout de même obligée de mentionner,
en semblant ignorer qu'une simple recherche à l'aide d'un
quelconque moteur ad hoc permet de la retrouver). Valérie
Igounet se garde de reprendre la conclusion sarcastique de Robert
Faurisson dans son adresse au Monde: " Bravo pour
vos mensonges. Merci pour ma collection." Son but est en
effet très différent. Il n'est pas de rectifier
une erreur, comme on pourrait s'y attendre dans un livre de dénonciation
du négationnisme, mais au contraire de mettre sur le compte
de négationnistes (ou de personnalités d'extrême-droite)
la rectification d'une erreur, qui n'en serait donc pas une,
puisque de la bouche de tels personnages ne peuvent bien évidemment
sortir que des contrevérités.
- La manipulation étant
ici introduite de façon un peu plus retorse que d'ordinaire,
elle mérite qu'on s'y arrête. Valérie Igounet
cite deux fois la phrase de Robert Brasillach, la première
occurrence (page 38, note 2) renvoyant à la seconde: "C'est
dans Je suis partout (25 septembre 1942) que Robert Brasillach
écrira cette phrase terrible, quelques mois après
la rafle du Vel d'Hiv': "Il faut se séparer des Juifs
en bloc et ne pas garder de petits." Pour l'interprétation
de ces propos par Robert Faurisson et Martin Peltier (alors directeur
de la rédaction de National Hebdo), cf. infra,
p. 592-593, n. 133, 134. " Or, autant Valérie Igounet
recourt ici à la coupure habituelle du texte de Robert
Brasillach afin de mieux nous convaincre qu'il s'agit d'une "phrase
terrible", autant, en pages 592-593, elle a fidèlement
recopié la phrase de Robert Brasillach telle que Robert
Faurisson la citait dans sa lettre au Monde, de manière
bien plus correcte, quoique imparfaitement (notamment parce qu'elle
comprend une erreur que nous avons déjà signalée
à propos de Jean-Marc Théolleyre: la substitution
de "tout" à "tous"). Valérie
Igounet invite ensuite le lecteur à comparer l' "interprétation
historique" que donne Robert Faurisson "de tels propos"
avec "celle de l'extrême droite française",
les deux se rejoignant "totalement". Les voici, telles
que Valérie Igounet les cite :
- - p.592-593 : "Brasillach,
tout comme Laval et les autorités religieuses juives,
catholiques, protestantes, jugeait inhumaine la dislocation des
familles. Je rappelle qu'on est allé, par la suite, jusqu'à
faire voter des adultes juifs sur le point de savoir s'ils voulaient
partir avec les enfants ou laisser ces enfants sur place en France."
- - p.593, note 134 :
" Dans National Hebdo (18-24 décembre 1997),
Martin Peltier explique les mêmes propos de Robert Brasillach
en ces termes: "Cela donne tout son poids d'humanité
à la phrase de Brasillach sur les "petits" :
contrairement à l'interprétation ignoble qu'en
ont donnée certains faussaires professionnels, il ne préconisait
pas le massacre des innocents, il demandait qu'on n'ajoute pas,
aux rigueurs de la déportation, la séparation des
familles. "
- Que désigne donc
"cela", que Valérie Igounet a jugé superflu
et qui ne renvoie donc à rien dans son livre ? Pour finir
(de manière hélas probablement provisoire, car
nul doute que la phrase fatidique n'a pas fini de servir), citons
in extenso ce qui précédait immédiatement
"cela" dans la chronique de Martin Peltier, plutôt
que de le paraphraser :
- "Au procès
Papon, on examine le cas d'une juive hongroise inscrite dans
un convoi pour faire nombre sous une fausse nationalité
- car la nationalité hongroise était alors protégée.
Voilà une information. Autre information, et capitale,
celle-là: le fils de la déportée avait 11
ans à l'époque et il raconte qu'en rentrant de
l'école, il trouva un mot griffonné par sa maman:
"Viens me rejoindre au commissariat." Elle ne lui dit
pas "Va-t-en, disparais, fuis", mais "Viens me
rejoindre". Cela clôt le débat sur ce que l'on
savait ou ne savait pas à l'époque de la "shoah":
cette déportée ne savait rien; si une mère
craint, ne serait-ce que très vaguement, qu'on l'envoie
à la mort, dit-elle à son fils de la rejoindre
? Au moment de partir vers un lieu d'internement, elle voulait
simplement être avec lui."
- Lettre d'information électronique des Amis
de Robert Brasillach n* 12, octobre 2003.
- «Le problème,
c'est qu'on a fait de Brasillach un martyr et que le négationnisme
s'en est servi.»
Alice Kaplan, fille d'un proque de Nuremberg,
ennemie acharnée des Vichystes, Envie de lire, Novembre
2001. Cette furie continue à régler ses comptes.
§== Au voleur
!
Au courrier: «Dans votre plus récent
numéro, il y a le texte promotionel de "The Jewish
Ruling Class in America". Il s'agit en fait du livre "When
Victims Rule" que Santomauro s'est approprié. Il a
changé le nom et il le vend alors que ce livre est accessible
gratuitement sur le site Jewish Tribal Review. Effectivement,
on peut lire ceci:
- ROGUE WEB
SITE (REPORTERS NOTEBOOK)
-
- STEALS JEWISH
TRIBAL REVIEW MATERIAL
-
- The Jewish Tribal Review
and its online volume 'When Victims Rule. A Critique of Jewish
Pre-eminence in America' is intended to be a public service.
We've tried to provide downloads of WVR as a free service in
pdf form, but couldn't absorb the economic cost of this. (We'll
occasionally post it at the end of months, as bandwidth limitations
allow).
- Unfortunately, there
are unethical elements in our world who have gravitated to exploitation,
profiteering, and chicanery at our expense. Our free pdf file
has been downloaded and reconfigured as a new production by thieves.
- A shyster web site called
"Reporters Notebook" has stolen the massive research
volume 'When Victims Rule', changed its name to "The Jewish
Ruling Class in America," ignored this web site as its place
of origin and authorship, and is selling a CD of the volume under
the "Reporters Notebook" logo. This is an act of subversion:
the rogue profiteering of material that is available at -- and
originates from -- this web site. It subverts the anti-exploitive
spirit of what Jewish Tribal Review seeks to accomplish.
- Reporters Notebook is
of course perpetrating fraud which impugns the entirety of the
Reporters Notebook enterprise. Its main purpose seems to be that
of a self-promotive entreprenuerial predator.
- Readers should be aware
that the Reporters Notebook rip-off of our research is completely
unauthorized and -- judging by its complete lack of scruples
in appropriating our free labor for its own profit and incessant
hustling -- should not be trusted in any realm.
- Reporters Notebook is
circulating a rewritten version of our introduction to When Victims
Rule and it must be presumed that other parts of the volume have
been likewise changed and manipulated to suit RN's chicanery.
- The source of When Victims
Rule is this web site, Jewish Tribal Review, and any other versions
this work (under any changed names) should be viewed as stolen,
unreliable, and fraudulent.
- <http://www.jewishtribalreview.org/reportersn.htm>
§== Pour la fouille.
- Archival Guide to the
Collections of the United States Holocaust Memorial Museum, Second
Edition
- This reference provides
collection-by-collection descriptions of the Museum's rich and
growing holdings and guides access to the multimillion-page archival
holdings and other textual records of the United States Holocaust
Memorial Museum. A searchable Web version, with some collections
linked to electronic finding aids, is available at
- <http://www.ushmm.org/uia-cgi/uia_form/archguide>.
- Research and educational
institutions may request a free copy by writing, on institutional
letterhead, to Academic Publications, Center for Advanced Holocaust
Studies, United States Holocaust Memorial Museum, 100 Raoul Wallenberg
Place, SW; Washington, DC 20024-2126.
§== Mise en discussion.
- Fredrick Töben's
first draft of:
-
- Australian
Democracy, History, and the `Holocaust'
-
- An attempt at an overview
with a question: Do Revisionists need Orthodox Historians?
- <http://www.adelaideinstitute.org/Dissenters/toben2.htm>
Fred demande qu'on le discute.
§== Ferrés
à glace, les
réviseurs de glaciers. On dit partout que les glaciers
reculent. Un glaciologue révisionniste, Robert Vivian,
le conteste, avec des arguments. «Ne faisons pas dire aux
glaciers ce qu'ils ne disent pas». Il n'y a pas encore
de Loi Gayssot qui mette au ban ce révisionsme-là.
Mais il ne faut pas perdre espoir.
<http://virtedit.online.fr/article3.html>
§== Faux derche.
Christopher Hitchen's «description
of a psychopath -- "incapable of conceiving an interest
other than his own and perhaps genuinely indifferent to the well-being
of others" -- comes perilously close to a self-portrait»
dixit Norman Finkelstein.
<http://www.normanfinkelstein.com/id138.htm>
Réponse du rallié de la
onzième heure à la droite américaine :
<http://users.rcn.com/peterk.enteract/>
§== Pré-Baghdad: Les bombardements
de Nantes, septembre 44, vus dans Ouest-France.
<http://www.nantes.maville.com/1943.asp>
§== N'oubliez
pas le guide. Visite
guidée. Camp du Struthof. Dialogue:
- Q : Est-ce qu'on peut
visiter ?
- R : Oui, de 10 11 h
30 et de 14 16 h, pour les billets.
- Q : Peut-on visiter
la chambre à gaz ?
- R : Seulement en période
estivale, juillet et août. Cela dépend du groupe
et si on est assez de personnel.
- Camp du Struthof 67130
Natzwiller (Alsace)
- 03 88 97 04 49
§== Précision
nécessaire.
Voici une dépêche de
l'AFP, du 14 octobre 2003:
- Suva (AFP) - Un village
fidjien va présenter le mois prochain des excuses officielles
pour avoir mangé, il y a 136 ans, un missionnaire anglais
qui avait osé toucher à la tête du chef de
la communauté.
- Le révérend
Thomas Baker, de la société des missionnaires de
Londres, avait été tué par les Navatusila
le 21 juillet 1867 après avoir ôté un peigne
de la chevelure du chef du village. Il était, et est toujours,
strictement interdit de toucher à la tête couronnée.
Le révérend a en conséquence été
cuit et mangé, devenant ainsi la première, et seule,
victime des ces îles jadis appelées "Iles Cannibales".
- Dans des récits
de l'époque, un témoin racontait: "Nous avons
tout mangé, à l'exception de ses bottes".
L'une d'elles est d'ailleurs aujourd'hui exhibée dans
le musée des Fidji.
- <http://fr.news.yahoo.com/031014/202/3fzt0.html>
L'AAARGH, qui révise sans cesse
et partout, est en mesure de préciser qu'il ne s'agit pas
d'une botte, et que ferait-on de bottes dans un climat tropical
? mais d'une sandale. On voit par là que les journalistes
ne vérifient pas leurs informations.
§== Journaux de
guerre.
- Les journaux canadiens
et la Seconde Guerre mondiale
- Au cours de la Seconde
Guerre mondiale, le personnel du journal centenaire The Hamilton
Spectator a tenu des archives monumentales sur la guerre.
Cette collection de plus de 144.000 articles de journaux, découpés
à la main, datés, puis classés par thèmes,
regroupe des articles et des éditoriaux de journaux, la
plupart canadiens, documentant tous les aspects de la guerre.
Nous vous invitons à explorer la base de données
à l'aide de la fonction de recherche de base ou de recherche
détaillée, qui inclut une fonction de recherche
par date. De brefs articles historiques sur les thèmes
importants de la période 1939-1945, ainsi que des exemples
de coupures de la collection complètent cette ressource
impressionnante de nouvelles croquées "sur le vif."
Un glossaire propose une définition aux termes techniques
et des abréviations mis en évidence en rouge dans
les articles historiques.
<http://www.warmuseum.ca/cwm/newspapers/index.html>
On peut ainsi facilement jouer au Butz,
chercher, par exemple, les premières nouvelles qui ont
parlé des camps, des chambres à gaz et d'autres
joyeusetés.
§== Putes en stock.
- Welcome to Media Whores
Online
- Media Whores Online
takes an unbiased, in-depth look at the vast myriad of whores
who call themselves "journalists." MWO casts a garish
spotlight on the relentless screaming heads of television, the
babbling paranoids of squawk radio, and the crayon scribblings
of lazy print media "journalists.
<http://www.mediawhoresonline.com/>
§== Not nice. L'actualité
de la répression et de la résistance à Nice.
<www.equidence.org/actunice.htm>
§== Il aura tout
fait. Un certain Benny Lévy vient de quitter
cette terre. On ne le regrettera pas, bien que Le Monde
et ses semblables en fasse toute une salade. Il avait sa place
dans le Guinness des records: toutes les pires âneries
de la deuxième moitié du XXe siècle, il les
aura faites: Normalien (c'est déjà un bon point),
il devient maoïste, porte-serviette d'Althusser (malade mental
et philosophe néo-stalinien) et même ensuite "chef
maoïste" (vers 68). Ensuite, il abandonne les maos et
devient porte-coton de Sartre, déjà égrotant,
qu'il convertit au judaïsme. Ensuite, il devient juif-talmudiste-rabbinet,
ce qui est bien le record de la connerie contemporaine. Il se
barrre à Jérusalem et avec le fric de la Coopération
culturelle française (votre pognon en fait), il crée
un centre d'études "lévinassiennes", du
nom d'un autre fumiste célèbre, le philosophe passé
pseudo-talmudiste Lévinas. Il avait gagné la médaille
d'or du marathon de la connerie intellectuelle. Il sera beaucoup
regretté par des individus de son espèce qui courent
moins vite, comme BHV et le reste du peloton.
Et tout cas, les Israéliens ne
l'ont jamais pris au sérieux et dans sa nécro, Ha'aretz
se fout de sa gueule, carrément. Et de Lévinas,
qui n'est pas du tout en odeur de sainteté, là bas,
chez les papillotés.
<http://www.haaretz.com/hasen/spages/351585.html>
++++++++++
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
<http://aaargh-international.org/fran/actu/actu03/actu0311.html>
(version Web)
++++++++++++++++++++
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
Les versions PDF se trouvent aux adresses
suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0311.pdf>
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actualité est archivée.
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encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
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de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
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publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
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qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
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