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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
28 (26 août 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
d'octobre 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
Je veux des
mots et de la viande
Céline,
lettre à Clément Camus, juin 1948.
"Autour de 68 les
gauchistes lisaient Marx, Trotski ou Lénine. De nos jours
tout le monde est invité à lire Noam Chomsky. Je
croyais cet intellectuel déshonoré par sa préface
à Faurisson et par son ardente négation du génocide
cambodgien. Je me trompais. Les éditeurs les plus prestigieux
se disputent l'oeuvre politique de l'homme qui frappe d'inexistence
tout forfait ou toute infamie dont l'identité américano-sioniste
ne peut être tenue pour responsable."
Finkielkraut,
anti-marcioniste, Le Figaro, jeudi 11 septembre 2003.
AAARGH: LES NOUVEAUTÉS
DE SEPTEMBRE
Nous proposons trois livres "classiques":
la version allemande du livre pionnier de Maurice Bardèche,
Nuremberg ou la Terre promise, qui est une des premières
analyses de sang-froid des délibérations du Tribunal
de Nuremberg. Nous vivons encore sur cette parodie de justice:
Nürnberg oder das Gelobte Land. Ce livre en allemand
a été édité en 1949, à Zürich.
En Allemagne, c'était trop tôt.
Le deuxième est en anglais, ou
plutôt en "américain journalistique". Il
retrace toute l'affaire Mermelstein. Dans les années 80,
un "survivant" amateur de gloriole médiatique
a tâché, par tous les moyens de ruiner financièrement
l'Institute of Historical Review, en l'accablant de procédures
judiciaires. On voit de près comment fonctionne cette monstruosité
intellectuelle qui s'appelle, par antiphrase sans doute, la "justice
américaine". C'est plus exotique que tous les voyages
de Gulliver. Ce livre, Best Witness, est paru sous la houlette
de Willis Carto, pour qui nous n'avons aucune estime. Mais nous
ne censurons pas les livres, nous.
Le troisième est le livre pionnier
de Paul Rassinier, La mentira de Ulises, dans une version
castillane parue à Barcelone en 1961, très complète,
avec les différentes préfaces écrites par
l'auteur. Traduction de Bernardo Gil Mugarza. De nombreux lecteurs
sud-américains nous réclamaient ce livre avec insistance
et nous avons pris beaucoup de retard pour le faire. Nous demandons
le pardon ! Le livre est disponible en html et en PDF.
Voir la page d'accueil espagnole
<http://aaargh-international.org/espa/solavaya.html>
et pour l'ensemble des livres:
<http://aaargh-international.org/fran/livres/livres.html>
TERREUR
JUIVE SUR AUSCHWITZ
- Des avions
de combat israéliens survolent Auschwitz en hommage aux
victimes de l'Holocauste
- Auschwitz -- Faisant
fi des protestations du musée d'Auschwitz et d'une épaisse
couverture nuageuse, trois avions de chasse israéliens
F-15 frappés de l'étoile de David et pilotés
par des descendants de survivants de l'Holocauste ont survolé
jeudi l'ancien camp d'extermination nazi en hommage à
la mémoire des victimes.
- "C'est une manière
de protester contre l'inhumanité des nazis sur le territoire
polonais", a plaidé l'ambassadeur d'Israël en
Pologne Shevach Weiss. "C'est un hommage aux cendres de
ceux qui ont été tués ici." Deux cents
soldats israéliens observaient le survol depuis l'ancien
camp d'extermination de Birkenau, adjacent à Auschwitz.
- Le musée d'Auschwitz,
chargé de la conservation des lieux, avait protesté mercredi contre cette démonstration
militaire, jugeant qu'elle n'était pas forcément
la manière appropriée d'honorer la mémoire
des victimes. M. Weiss a répondu que ceux qui élevaient
des objections "ne comprenaient pas ce qui s'est passé
à Auschwitz". "Les officiers ne combattent pas
ici, ils pleurent ici", a-t-il ajouté. Aussi bien
l'armée israélienne que le ministère des
Affaires étrangères ont défendu le projet
de cette manifestation, invoquant la coopération entre
Israël et la Pologne pour honorer la mémoire des
victimes d'Auschwitz-Birkenau.
- AP, 4 septembre 2003
Les massacreurs juifs, qui utilisent
leurs avions pour assassiner des gens, viennent "rendre hommage"
à leurs morts, réels et imaginaires, au nom de qui
ils commettent leurs impitoyables forfaits. Ces morts n'avaient
pas demandé une telle boucherie. La boucle est bouclée:
na-zi = zio - na.
Quant aux Polonais, ils sont priés
de fermer leur gueule: "Ils n'y comprennent rien".
- Extraits: In a short
speech given from his aircraft and relayed to those on the ground,
Brigadier-General Amir Eshel vowed to do everything possible
to prevent anything similar to the Holocaust recurring. He also
bade a symbolic farewell to his grandmother who was murdered
in Auschwitz. The fly-over went ahead despite criticism by the
Polish museum located at the site and a claim by a Polish aviation
control spokeswoman that poor weather had led to the cancelation
of the tribute. [...] "The National Museum of Auschwitz-Birkenau
deplores the demonstration of Israeli military might in this
place," the museum said in a statement issued Wednesday.
"It's a cemetery, a place of silence and concentration,"
museum spokesman Jaroslaw Mensfelt said by telephone. "Flying
the [F-15s] is a demonstration of military might which is an
entirely inappropriate way to commemorate the victims."
[...] During the fly-over, organizers planned to read off the
names of victims who arrived at Auschwitz exactly 60 years ago,
on September 4, 1943. Pages of testimony on the victims are to
be carried by the pilots in their planes, Feingold said.
- Ha'aretz, 4 septembre 2003
<http://www.haaretz.com/hasen/spages/336801.html
Monsieur l'orfin aurait pu parler de
la navette spatiale...
LE
TEMPS DES RESTRICTIONS
- Coup d'arrêt
au négationnisme
- par Christian
Laporte
-
- C'est une victoire pour
les démocrates mais aussi pour l'Histoire. Le tribunal
correctionnel d'Anvers a condamné mardi [9 sep. 03] les
frères négationnistes Siegfried et Herbert Verbeke
à un an de prison avec sursis, à une amende de
2500 euros et à une déchéance de leurs droits
civiques pendant dix ans. Jusqu'au bout, Siegfried Verbeke, le
seul prévenu présent, (car son frère a disparu
dans la nature), a persisté dans ses convictions, allant
même jusqu'à se considérer comme une victime.
[eh ! Lalourde, c'est la sienne ou la tienne de liberté
d'expression qui vient d'être saquée ? ]
Depuis la fin des années 80, ces deux Anversois, proches
du Vlaams Blok, [parti qui joue à sa place dans
le "concert démocratique" de ce monstre institutionnel
qu'est devenu la Belgique ] avaient quasi impunément
diffusé de la propagande contestant la réalité
des camps d'extermination nazis. [On voit que Lalourde
fignole dans la mauvaise foi ].
- Voici dix ans, au nom
du ... libre examen [sic pour les points de suspension]
et de la liberté de recherche, ils avaient créé
le Vrij Historisch Onderzoek (la recherche historique libre),
manière de donner un vernis scientifique à leurs
thèses pour le moins contestables. [Une "thèse"
est toujours contestable, sinon elle ne serait pas une "thèse".
Ce type n'a pas fait d'études. ]
- Dans un premier temps,
les Verbeke avaient inondé les bibliothèques publiques
mais aussi les rédactions de documents et d'études
qui se voulaient marqués du sceau du sérieux
et que les vrais spécialistes comme les survivants
des camps n'eurent pas de peine à démentir.
[ Alors pourquoi ce houpla ? ] Mais ils n'en
redoublèrent pas moins d'ardeur et après avoir
pris position sur Internet, ils multiplièrent aussi les
distributions de tracts ces dernières années, notamment
à Bruxelles.
- Siegfried Verbeke avait
été condamné aux Pays-Bas pour avoir mis
en cause l'authenticité du "Journal d'Anne Frank".
Mais en Belgique, il a fallu sept ans pour boucler un dossier
qui s'était, il est vrai, épaissi au fil du temps.
A la suite d'une plainte du Centre pour l'égalité
des chances et de lutte contre le racisme pour infraction aux
lois contre le racisme et le négationnisme, une action
avait été lancée et s'était traduite
par une saisie de 20 tonnes (!) de documents. La Fondation Auschwitz
s'était jointe au Centre précité comme partie
civile et a obtenu comme ce dernier un euro symbolique de dommages
et intérêts. [ Ils doivent être déçus
de vant une aussi maigre pitance. ]
- Pour le Centre pour l'égalité
des chances, le jugement est important car le tribunal d'Anvers
a estimé que la liberté d'expression pouvait être
soumise à certaines restrictions. Le Centre se
réjouit donc de cette condamnation importante et encourageant
qui renforce la jurisprudence en la matière.
- Même écho
favorable à la Fondation Auschwitz. Pour son président
Paul Halter, il était temps que la Justice marque un
coup d'arrêt à la diffusion des thèses négationnistes.
Il est aussi très symbolique que la condamnation ait été
prononcée à Anvers, ville où l'extrême-droite
a dépassé les 30% désormais. Un seuil qui
fut celui du parti nazi lorsqu'il prit le pouvoir en 1933...
- Le Soir, 10 septembre 2003.
- Respect,
tolérance et irrepentance
-
- Un tribunal belge a
condamné mardi un révisionniste impénitent
à un an de prison avec sursis pour avoir distribué
des pamphlets minimisant le génocide des juifs par les
nazis au cours de la deuxième guerre mondiale.
- Siegfried Verbeke a
été également privé de ses droits
civiques pour une durée de 10 ans, a annoncé son
avocat Frank Scheerlinck à la radio VRT.
- Verbeke, 63 ans, Belge
d'origine allemande, a déclaré qu'il s'en tenait
"à cent pour cent" à ses convictions.
"Il y a trois siècles les gens mouraient sur le bûcher,
par conséquent un an de prison ce n'est pas si terrible",
a-t-il dit à VRT. "Je ne me repens pas...
Je m'élève contre le système judiciaire
et particulièrement contre le système judiciaire
belge", a-t-il ajouté.
- Le tribunal a estimé
que Verbeke ne manifestait aucun respect pour les victimes de
l'extermination de six millions de juifs européens par
l'Allemagne nazie.
- Un avocat du principal
centre antiraciste de Belgique qui avait lancé cette rare
affaire il y a plusieurs années dans le cadre d'une loi
interdisant le négationnisme a déclaré que
la tolérance était plus importante que le droit
à la liberté de parole. "Il y a une limite,
que j'appellerais celle de la tolérance", a déclaré
l'avocat Paul Quirijnen à VRT, ajoutant qu'on n'avait
pas le droit de nier "la vérité historique".
- Reuters, 9 septembre 2003.
Il faut donc comprendre: "Tolérance
= Intolérance" et vice versa. On se demande quel code
pénal utilise cet avocat. Celui de l'Union soviétique
des années trente n'allait pas jusque là. Le Manuel
des Inquisiteurs non plus. A quelle occasion avait-on dernièrement
utilisé le mot "totalitarisme" ?
- Voorwaardelijke
straf voor ontkennen holokaust
- Antwerpen. De revisionistische
broers Siegfried en Herbert Verbeke werden gisteren door de strafrecheter
in Antwerpen veroordeeeld tot één jaar voorwaardelijk
en een boete van 2.500 euros. Verder worden de Verbekes ook voor
tien jaar uit hun burgerrechten ontzet. Beiden stonden terecht
voor inbreuken op de racismewet en de anti-negationsismewet.
- De broers zouden literatuur
verpreit hebben die de gruwelen va WOII minimaliseert en de jodenvervolging
ontkent of rechtvaardigt. In zijn vonnis verweet de rechter beiden
dan ook een grebrek aan respectc voor oorlogsschalchtoffers en
de nabeestanden ervan. Het recht of vrije meningsuiting kan volgens
de rechtbank onderworpen worden aan bepaalde beperkingen. In
dit geval waren de broers er met hun pamfletten en negationistische
geschriften enkel op uit de schlachtoffers van oorlogsleed te
schofferen, sprak de rechter. Siegfried Verbeke zei in zijn strijd
niet geremd te worden door het vonnis van de rechtbank (ADA).
- Verbeke:
"Ik doe voort" (je persiste et signe)
- Antwerpen. Verbeke was
erg boos over het vonnis: "Dit is kromspraak, geen rechtspraak.
Ik ben een schlachtoffer, mijn voorouders waren Duitsers en het
zijn de joden die de Duitsers schofferen met hun verhalen over
de holocaust. Ik blijf de zogenaamde volkerenmoord op de joden
ontkennen, ze zullen mijn hoofd moeten afhakken om mij tegen
te houden. Zoals Amada zegde: ik ga door met de strijd".
- Het centrum-Leman was
tevreden. Mr. Quirynen: "Dit vonnis is erg goed gemotiveerd.
We zullen nu op basis van de antidiscriminatiewet de website
laten sluiten. JDW
DE
L'AMÉRIQUE BORÉALE
Ministry
of the Attorney General
Legal
Services Branch, Toronto.
September
10, 2003
-
- Dear Mr. Christie,
- Further to our recent
conversations, I have consulted with the Toronto West Detention
Centre and the Central Region Office with respect to your request
that you be permitted to send post-it notes and a chair
for Mr. Zundel. As I indicated when we spoke on the phone, the
institution does not permit inmates to be sent materials or furniture
that are not generally available to all other inmates. This is
the ministry policy for security reasons, and in order to be
consistent and fair with respect to the rights and privileges
extended to all inmates.
- As you are aware, Mr.
Zundel is currently being held in administrative segregation
as the institution considers it necessary that he be held separate
from the general inmate population for his own protection. Mr.
Zundel's placement in administrative segregation is reviewed
at least once every five days. While Mr. Zundel would be in a
cell with a built-in stool if he were among the general population
of inmates, due to those concerns for Mr. Zundel's safety, the
institution does not consider it prudent to house Mr. Zundel
among the general population. If Mr. Zundel were housed among
the general population in one of a range of cells that gives
on to a day room, he would be sharing a cell with at least one
other inmate and could come into contact with other inmates on
the range on a daily basis.
- The institution has reviewed
the options for Mr. Zundel's accommodation in light of his concern
regarding the lack of a chair or stool in his segregation
cell, and has determined that once arrangements can be made,
Mr. Zundel will be housed in a special needs intake unit while
maintaining his status in administrative segregation. The special
needs intake unit is architecturally like a standard range, as
it includes 10 cells that contain bunk beds and built-in stools,
however, each cell houses only one inmate due to the nature of
the special needs intake population. You and your client should
be aware that special needs inmates are those who require special
health care services, often psychiatric care, or who have exhibited
behaviour that may be either unacceptable or harmful to themselves
or to others such that association with the general population
may pose a risk. Mr. Zundel would need to go into the day room
on that range in order to make phone calls and have access to
a shower and fresh air, and there may be some restrictions on
when he could be in the day room as interaction with other inmates
on the special needs unit is generally avoided for safety reasons.
- If at any time the institution determines that
a special needs intake cell is not appropriate for Mr. Zundel
either due to concerns for his safety or for any other operational
reason, Mr. Zundel will be returned to a segregation cell.
- Yours truly, Jinan Kubursi,
Counsel
- Zgram du 12 septembre 2003. Les Zgrams
d'Ingrid Rimland, l'épouse d'Ernst Zündel, sont visibles
en ligne sur le site Zundel
- <zundelsite.org>
- <http://zgrams.zundelsite.org/mailman/listinfo/zgrams>
D'UNE
STEPPE À L'AUTRE
- Zavtra
Defends Zundel:
- Red-Brown
Paper Runs Zundel Advertisement
- by Justin Cowgill
-
- I'm elated to learn
that, following the advice of myself and others, Zavtra,
a Russian Red-Brown newspaper, has run a full-page advertisement
written by Ingrid Zundel in defense of Ernst Zundel (september
2003, n° 36 (511). The extremely well-written essay describes
in detail the arrest and deportation of Zundel, as well the political
ramifications of revisionism and why Zundel's vengeful enemies
want so desperately to silence him.
- While the Washington
Times heavily censored Mrs. Zundel's advertisement, Zavtra
ran it in full. For those unfamiliar with Russian politics, Zavtra
is the leading national-patriotic newspaper in Russia. It is
an opposition paper that seeks to unite the Russian Right and
Left. Its editor-in-chief is Aleksandr Prokhanov. One can purchase
a copy of Zavtra from nearly any kiosk in Moscow.
- Zavtra is read by nearly all of Russia's
political elite, which means that many Russian politicians are
now aware of the Zundel case. They are most likely now discussing
it among themselves. In Russia, it is no secret how powerful
the Zionist lobby is in the United States. The enemies of our
people have definitely taken notice of the Zavtra advertisement,
which I predict will be a much larger event than the Washington
Times advertisement. This is truly an important development!
- The Russian political
elite now know about the supposed "democracy" and "human
rights" enjoyed in America, and they will have something
to think about next time they are criticized by the cultural
elite in the West. In terms of freedom of speech and open political
debate, Russia is far ahead of the United States and Canada.
- For those readers who
can read Russian, Zavtra's website can be found at <http://www.zavtra.ru> (Rimland's article at
http://zavtra.ru/cgi//veil//data/zavtra/03/511/51.html
).
- 9 septembre 2003,
- <http://www.nationalvanguard.org/story.php?id=157>
- Canada: veut-on
assassiner Zündel?
- par Gilbert
Gendron
-
- Pendant une bonne partie
de l'été, les media canadiens ont traité
de l'affaire Zahra Kazemi, photographe de presse originaire d'Iran
qui a perdu la vie alors qu'elle était détenue
par les forces de sécurité de ce pays. Si l'on
a manifesté de l'intérêt et de l'indignation
au sujet de cette malheureuse Canado-Iranienne, il n'y en a guère
eu pour Ernst Zündel, prisonnier politique du gouvernement
d'Ottawa dont les conditions d'incarcération se détériorent
à tel point qu'il faut se poser la question suivante:
le pouvoir établi chercherait-il à avoir la peau
de Zündel? L'artiste et éditeur, figure importante
du mouvement pour la critique historique de la IIe Guerre mondiale,
croupit dans les geôles canadiennes depuis plus de six
mois. C'est derrière les barreaux qu'il a passé
son 64e anniversaire. Au cours de l'été, cet homme
s'est rendu compte qu'il avait une protubérance à
la hauteur de la cage thoracique. Or, il se trouve que Zündel
est un rescapé du cancer. A quoi servent les mauvais traitements
qu'il subit sinon à saper sa volonté de vivre?
- Privé d'un oreiller
et d'une chaise, Zündel ne peut en outre utiliser divers
articles qui lui permettraient de potasser ses dossiers juridiques:
nul stylo n'est autorisé dans sa cellule, pas plus que
les surligneurs ou les trombones. Seuls des petits bouts de crayon
noir lui sont fournis; il faut avoir vu un des courriers qu'il
a mis à la poste, comportant une adresse qui pourrait
être gommée avec facilité, pour comprendre
le pathétique de sa situation. De surcroît, ses
objets de toilette sont gardés à l'extérieur
de ses quartiers d'infortune. Il voudrait se raser tous les matins,
mais cette bonne habitude est souvent contrecarrée par
les gardes. Au visiteur qui s'étonne de sa mine négligée,
le prisonnier dira que les cerbères lui répètent,
depuis quelques jours, qu'il aura l'insigne privilège
de se raser "demain peut-être".
- Puisqu'il est question
de visiteurs, Zündel n'est autorisé à les
voir que dans une salle particulière. Et ces derniers
temps, chaque fois qu'il sort de sa cellule pour ce faire, on
lui inflige une fouille au corps aussi superflue qu'humiliante.
Cet homme inoffensif, épris de paix, qui a sacrifié
la moitié de sa vie à un débat d'idées,
a droit à moins d'égards qu'un caïd de la
mafia, un pourvoyeur de came, un tueur sadique ou un poseur de
bombes. "Ils essaient de le briser. Ils veulent qu'il demande
grâce et accepte d'être renvoyé en Allemagne",
estime un salarié de l'appareil carcéral qui s'est
confié à Paul Fromm, président de l'Association
canadienne pour la liberté d'expression. Fromm s'est efforcé
de mettre un terme à ce scandale. Qu'il s'agisse d'expédier
le persécuté dans son pays natal, où de
nouvelles tribulations l'attendraient, ou de le liquider discrètement
derrière les murs du Metro West Detention Centre, dans
la grise banlieue de Toronto, le sort que subit Zündel est
une véritable honte. Pierre Blais, le juge qui pourrait
lui accorder une mise en liberté provisoire sous caution,
a d'ailleurs reconnu, le 30 juillet dernier, que le sexagénaire
était soumis à un régime "moyenâgeux".
- Au lieu d'orchestrer
des procédures qui traînent en longueur, au cours
desquelles le Renseignement canadien prétend que Zündel
est un terroriste et une menace à la sécurité
du pays, les responsables devraient faire en sorte que l'intéressé
recouvre la liberté, ne serait-ce que pour lui faciliter
la solution de son litige avec le gouvernement états-unien.
On se rappellera que Zündel a été chassé
du Tennessee -- littéralement enlevé par le Service
de l'immigration et de la naturalisation (INS) --, puis largué
en sol canadien. Quoi qu'il advienne, ceux qui savent que le
Canada, modèle de démocratie, se conduit parfois
comme une dictature du Tiers-monde, sentiront la nécessité
de protester auprès de Robert Runciman, ministre de la
Sûreté d'Ontario.
- Rivarol du 12 septembre 2003, p. 8.
VERS
LA SAINT GLIN-GLIN
Le déroulement de la deuxième
journée du procès Zündel tel que le raconte
Paul Fromm (de l'association CAFE - Canadian Association for Free
Expression) peut se résumer ainsi:
Ernst Zündel est arrivé entouré
de 5 gardes (restés à ses côtés tout
au long du procès) et à la main deux taies d'oreiller
dans lesquelles il avait placé ses dossiers...
L'avocat du gouvernement s'est montré
plus fielleux et révoltant que jamais; cherchant à
tout prix à faire condamner Zündel, il s'est appuyé
sur les liens présumés qu'il aurait pu avoir avec
tel ou tel "suprémaciste blanc"; c'est ainsi
que, sur les 1.806 pages préparées contre Zündel
(c'est Zündel lui-même qui en avait fait le compte
dans sa cellule), 300 sont consacrées à un certain
Terry Long, ancien représentant de la Canadian Aryan Nations,
que Ernst Zündel n'a rencontré pourtant que 10 minutes
au total, il y a 15 ans! De même, ayant demandé à
Zündel s'il connaissait une certaine revue du Ku-Klux-Klan
et Zündel ayant répondu par l'affirmative, ajoutant
qu'il l'avait reçue sans l'avoir demandée, le procureur
lui a rétorqué, d'un air triomphant: "Vous
n'avez jamais demandé à ce qu'on ne vous l'envoie
pas!"
Ce procureur ayant cité une Encyclopedia
of White Power publiée par un certain Kaplan, E. Zündel
lui a dit ceci: "M. Macintosh, j'ai envoyé un ami
faire une recherche à la bibliothèque de l'Université
de Toronto pour obtenir une copie de l'ouvrage. Je ne figure même
pas dans l'index! Et pourtant, je suis censé être
le gourou de la droite raciste blanche!"
En fait, M. Zündel est coupable-par-association:
il connaît, ou a connu, toute une série de personnes
qui, à un moment ou à un autre, ont pu tenir des
propos extrêmes ou sont censés les avoir tenus. Ces
personnes sont considérées comme des terroristes;
E. Zündel les connaît, donc E. Zündel peut être
"raisonnablement" considéré comme terroriste,
même si de tels propos sont rapportés de troisième
ou de quatrième main! Ce qui compte, dit le procureur,
«ce n'est pas tant que le certificat du gouvernement (qualifiant
E. Zündel de "menace pour la sécurité
nationale") soit vrai mais qu'il soit raisonnable»!
Déclaration de l'avocat de Zündel,
Doug Christie, à la sortie du tribunal: "On se trouve
devant un procès soviétique. C'est un procès
de culpabilité-par-association. On pousse le condamné
à se dissocier de tous ses amis, à dénoncer
toutes ses associations (...). Mais il ne sera pas épargné
pour autant. Parce que le tribunal va dire que ses dénonciations
sont mensongères et sont destinées uniquement à
le tirer d'affaire. Alors le prisonnier se retrouve seul, on le
déclare coupable et on le fusille."
La prochaine audience aura bien lieu le
10 décembre et durera trois jours.
On peut écrire au prisonnier enfermé
depuis bientôt huit mois:
Monsieur Ernst Zündel, Toronto West
Detention Ctr., 111 Disco Road, Box 4950, REXDALE, ON. M9W 1M3,
Canada.
Alors que viennent de se terminer comme
on sait les deux audiences du procès canadien de Ernst
Zündel, Ingrid Zündel Rimland, sa femme, continue de
se battre aux Etats-Unis, avec ses avocats, pour que soit déclaré
illégal l'enlèvement de son mari dans leur maison
du Tennessee le 5 février dernier.
E. Zündel étant convaincu
qu'aucun espoir n'est à attendre de la magistrature mais
que seule la pression sur la presse pourra faire fléchir
les autorités, sa femme vient de réussir à
publier un placard d'une page entière dans le Washington
Times sous forme de "Lettre ouverte adressée aux
membres de la Commission des lois du Congrès dirigée
par James Sensenbrenner". Cette lettre commence ainsi:
«Cette annonce est la troisième
que je publie pour faire connaître aux dirigeants de ce
pays et au public américain en général l'arrestation
et la détention de mon mari, Ernst Zündel. La première,
une "Lettre ouverte à Vladimir Poutine" (12/6/03),
avait pour but de montrer combien les tactiques staliniennes
commencent à être appliquées en Amérique.
La seconde, une "Lettre ouverte au Sénat et au Congrès
des Etats-Unis" (7/9/03), décrivait la méthode
brutale avec laquelle cet enlèvement d'origine politique
a été exécuté. Cette fois, la campagne
que je mène pour le respect élémentaire
des droits de l'homme va plus loin: je veux libérer mon
mari mais aussi mettre en garde l'Amérique.»
C'est grâce aux dons reçus
par Ingrid que cette annonce publicitaire a pu voir le jour.
TAULE
FERME
Un néo-nazi et révisionniste
autrichien a été condamné à un an
de prison ferme et deux ans de sursis par un tribunal de Vienne.
Wolfgang Fröhlich, 52 ans, est connu pour avoir affirmé
qu'il était impossible aux nazis de tuer six millions de
juifs puisque les chambres à gaz étaient trop petites.
Le tribunal dit avoir pris en considération la "multitude
de délits" commis par l'inculpé et le nombre
d'années pendant lesquelles il les a commis. Ingénieur
de formation, Fröhlich a siégé au parlement
autrichien au sein du parti d'extrême droite de Jörg
Haider.
New Zealand Herald, 5 septembre 2003 .
MIEUX VAUT TÔLARD
QUE JAMAIS
- Neo-Nazi
on trial for denying Holocaust
- Katinka Mezei
-
- One of Austria's most
hardline revisionists, Wolfgang Fröhlich, will go
on trial on Wednesday for neo-Nazi activities and denying
that the Holocaust happened. Fröhlich (52) has in recent
years bombarded Austrian institutions with material claiming
it was impossible for the Nazis to have killed 6,000 Jews because
"the gas chambers were too small".
- He is a chemical
engineer by training and used to be a member of parliament
for Jörg Haider's far-right Freedom Party, which has in
recent years scandalised Europe with its anti-immigration politics.
- But the party expelled
Fröhlich in 1994 after he called for "an end to the
intrusion of multicultural bastards into Austrian society"
at a municipal meeting in Vienna.
- From the late 1990s,
Fröhlich cultivated contacts abroad and in 1998 he testified
in the trial of Swiss revisionist Jürgen Graf, according
to the Documentation Centre for the Austrian Resistance.
- Expert opinion on
deadly gas
- Around this time, Fröhlich
published what he called "expert opinion" that Zyklon
B, the gas the Nazis used in gas chambers, had never been used
on people and that the size of the chambers ruled out mass killing.
- In 2000, the authorities
issued a warrant for his arrest. But he went underground for
three years and continued publishing neo-Nazi propaganda until
police finally tracked him down in June this year.
- Fröhlich's most
notorious missive was a 300-page book entitled 'The Gas Chamber
Fraud', in which he argued that the Holocaust was nothing but
a mass deception of the German people.
- Its aim, he said, was
to help Jews establish a new world order.
- These writings were
distributed in 2001 and later put onto a CD. Fröhlich allegedly
sent copies of the CD to around 800 Austrian companies and organisations,
including youth groups.
- Possible 10-year
prison sentence
- If convicted, Fröhlich
could be sentenced to up to 10 years in prison but observers
say they expect a lighter penalty.
- Sentences of "no
more than two or three years" seemed to be the norm in such
cases, said Michael Lasek from the Vienna-based documentation
centre, which keeps record of both Nazi activities and efforts
to combat it.
- The last Austrian to
be tried for neo-Nazi activities and Holocaust revisionism was
Walter Ochensberger, who was jailed last year for eight
months, suspended for two years. Lasek told AFP he believed Austria
was home to "hundreds" of neo-Nazis, who included a
"hard core of about 200" revisionists.
- AFP 10 sept. 2003
<http://iafrica.com/news/worldnews/267458.htm>
- La déposition
de W. Fröhlich au procès Graf, en Suisse (juillet 1998):
- Fröhlich is an
Austrian engineer and an expert witness whose field of expertise
are process engineering and gas applications. He told the
court he has carried out numerous gassings to exterminate pests
and infectious microbes. Here is how he answers the questions
by public prosecutor Aufdenblatten:
- Aufdenblatten: "In your opinion were
mass gassings with Zyklon B possible?"
- Fröhlich: "No".
- Aufdenblatten: "Why not?"
- Fröhlich: "The pesticide Zyklon
B is hydrocyanic acid absorbed in a granular-shaped carrier substance.
It is released though contact with the air. The evaporation point
of hydrocyanic acid is 25.7 degrees (Celsius). The higher the
temperature, the more rapid is the rate of evaporation. The delousing
chambers in which Zyklon B was used in NS (German wartime) camps
and elsewhere were heated to 30 degrees and higher, so that the
hydrocyanic acid would be released rapidly from the carrier granules.
However, in the half-underground mortuaries of the Auschwitz-Birkenau
crematories, where witnesses claim that mass killings with Zyklon
B took place, the temperatures were much lower. Even if one allows
for the warming of the spaces by the body warmth of the hypothetical
prisoners, the temperature would not have been more than 15 degrees,
even in summer time. Consequently, it would have taken many hours
for the hydrocyanic acid to evaporate.
- "According to eyewitness
reports, the victims died very quickly. The witnesses mention
time frames of 'instantaneous' to '15 minutes'. To be able to
kill the gas chamber prisoners in such a short time, the Germans
would have had to use ridiculously large amounts of Zyklon --
I estimate from 40 to 50 kilograms for each gassing. This would
have made any work in the gas chamber fundamentally impossible.
The special detachment (Sonderkommando) people, whom the witnesses
say were assigned the task of clearing out (dead bodies) from
them (the gas chambers), would have collapsed immediately upon
entering the rooms, even if they were wearing gas masks. Enormous
amounts of hydrocyanic acid would have streamed out into the
open, and would have poisoned the entire camp".
- Fröhlich's statement
corroborates the investigations and declarations of such specialists
as gas chamber expert Fred Leuchter, Austrian engineer Wlater
Lüftl, American research chemist William B. Lindsay, German
chemist Germar Rudolf, and German engineer Wofgang Schuster.
<http://christianparty.net/zyklonb.htm>
R. Faurisson
fait savoir que:
Manfred Roeder est toujours en prison
à Fulda. Il a traversé une mauvaise passe. Il semble
aller mieux. Son adresse en prison : Manfred Roeder, Am Rosengarten,
D 36037 Fulda. Domicile : Haus Richberg, D-34639 Schwarzenborn/Knüll,
Allemagne.
DÉCÈS
Nous apprenons le décès,
pour cause de maladie, du pharmacien Jean-Claude Pressac, âgé
de 59 ans. Il semble que ce décès n'ait pas été
annoncé par la presse. Pourtant Pressac avait connu les
honneurs de ladite presse, il y a dix ans, à la sortie
de son livre sur Les Crématoires d'Auschwitz - La machinerie
du meurtre de masse. Ce livre est paru aux éditions
du CNRS, sous le parrainage du bien-heureux Bédarida et
d'autres moindres bétatitudes: Denis Peschanski, Serge
Ingerflom, Jean Stengers, etc. Les dithyrambes n'avaient pas manqué.
La presse, dans son insondable naïveté, avait cru
que Pressac fournissait la preuve, clé en main, de l'existence
des chambres à gaz. On sait que Pressac a couru après
cette preuve pendant vingt-cinq ans. Lancé dans le monde
par le célèbre professeur Vidal-Tourniquet, massé
et parfumé par le couple diabolique des Klarsfeld, il avait
pondu un énorme fatras de raisonnements bancals, de documents
rares et de suppositions héroïques au terme duquel
il avait conclu à l'existence d'indices criminels qui lui
faisait pencher vers l'affirmation de l'existence de cette arme
de cauchemar, la chambre à gaz d'Auschwitz. Il avait fréquenté
les révisionnistes, leur avait beaucoup emprunté
et nourrissait à leur égard un incoercible sentiment
d'infériorité, qui se manifestait dans des aigreurs
maladives. L'un des derniers textes où il se soit exprimé
est un long entretien qui se trouve à la fin de l'ouvrage
d'une mince péronnelle, appelée Igounet, dans un
livre fourre-tout bourré d'âneries, Histoire du
négationnisme en France.
<http://aaargh-international.org/fran/tiroirs/tiroirJCP/jcpvi0003xx.html>
Nous avons, sur ce site, dès le
début ouvert un "tiroir Jean-Claude Pressac"
pour recueillir les plaisantes bourdes de notre potard. Nous avons
aussi publié les principales critiques de ses ouvrages.
Ces dernières années, Pressac disait travailler
sur l'histoire de la maison Topf und Söhne, d'Erfurt, la
maison qui construisit les fours crématoires de plusieurs
camps allemands. Il avait récupéré en Allemagne
les archives de cette maison disparue.
Voir:
<http://aaargh-international.org/fran/tiroirs/tiroirJCP/tiroirJCP.html>
REJUDAÏSATION
- Les combats
de Bernard Lazare
-
- Un colloque
à Montpellier pour le centenaire de la mort du grand ami
de Péguy
-
- "Bernard Lazare
et son époque", tel a été le thème
du colloque international des 6 et 7 avril, sous la présidence
du professeur René-Samuel Sirat, organisé par le
Centre de recherche juif, arménien et chrétien
d'Orient de l'université Paul-Valéry-III de Montpellier
(Carol Iancu) et le Cercle culturel Adolphe-Isaac-Crémieux
de Nîmes (Jacques Lévy).
- Parmi la trentaine de
participants, Marie Brunette Spire, la fille du poète
André Spire, a situé l'époque charnière
de Bernard Lazare (1865-1903) marquée par la résurgence
de l'antisémitisme et par l'affirmation du sentiment national
juif. Si Philippe Oriol a posé la question que soulevait
"l'anti-judaïsme" de l'israélite français,
Bernard Lazare, Carole Sandrel, descendante de la famille de
l'écrivain, lui a répondu en soulignant les
tentatives des négationnistes en vue de récupérer
son ancêtre. Yves Ternon a évoqué l'attitude
de Bernard Lazare face au massacre des Arméniens. Si Carol
Iancu, professeur à l'université Paul-Valéry
et auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire des juifs de Roumanie,
a analysé les persécutions des juifs en Europe
orientale au temps de Bernard Lazare, Elie Barnavi, lui, ancien
ambassadeur d'Israël [et de Sharon] en France et professeur
à l'université de Tel-Aviv, s'est interrogé
sur ce qui reste aujourd'hui du sionisme de Bernard Lazare. [Lazare
avait rompu avec le sionisme, en voyant les "hordes de rabbins
russes" qui assistaient à un congrès sioniste].
Il clôturait ainsi les travaux consacrés au centenaire
de la mort du grand ami de Charles Péguy, Bernard Lazare,
qui fut aussi l'inspirateur des Cahiers de la quinzaine.
- Socialiste et libertaire
- Paradoxal et complexe
Bernard Lazare ! Né au sein d'une famille juive bourgeoise,
il se choisit socialiste et libertaire, révolutionnaire
et anarchiste tout en refusant l'action violente. Prosateur et
critique rigoureux d'inspiration symboliste, il fustigeait le
naturalisme et l'auteur de Germinal tout en s'affirmant "écrivain
engagé". Il se voulait "israélite de
France", assimilé, et déclarait que le sort
des juifs d'Europe orientale lui demeurait indifférent,
qu'il leur était étranger.
- Comme le démontre
Nelly Wilson, professeur à l'université de Bristol,
Lazare établit, dans son essai intitulé L'Antisémitisme,
son histoire et ses causes (1894), une distinction nette
entre les juifs et les "israélites de France"
que rien ne distingue "d'autres braves gens". Pourtant,
lorsqu'un capitaine français est accusé de haute
trahison, Bernard Lazare publie coup sur coup deux livres, Une
erreur judiciaire, la vérité sur l'affaire Dreyfus
(1896) et Comment on condamne un innocent (1898).
Davantage: c'est encore la force de conviction du jeune Lazare
qui emportera la décision d'Emile Zola, pourtant sa victime
littéraire, de faire paraître son "J'accuse".
- Le déferlement
de la haine antisémite depuis les steppes roumaines et
russes jusqu'à Paris, le spectacle désolant de
l'exode des juifs de l'Est partis à pied vers d'improbables
Amériques ainsi que la vision d'un monde plus fraternel
déterminent la métamorphose rapide de Bernard Lazare,
lettré bourgeois et "israélite" anarchisant,
en juif nationaliste fier de sa judéité. Très
vite cependant, le sionisme politique de Théodore Herzl
ne satisfait plus Bernard Lazare, qui conçoit le monde
comme une fédération fraternelle où, nécessairement,
les juifs tiendront leur place en tant que nation libre parmi
tant d'autres. L'esprit de cet écrivain, journaliste combattant,
s'accommodait mal avec la perspective d'un Etat conventionnel,
hiérarchisé et soutenu par les banques, fût-il
même d'inspiration socialiste. C'est pourquoi son amitié
pour Théodore Herzl fit long feu.
- Le 1 er novembre 1903,
après avoir visité l'Europe de l'Est et ses désolations,
l'Europe des exclusions et des pogroms, Bernard Lazare meurt
à l'âge de 38 ans sans avoir pu terminer son livre
essentiel, Le Fumier de Job.
- Edgar Reichmann
- Le Monde, 18 avril 2003.
Lui aussi est parti de Roumanie vers
d'improbables Amériques. Mais en train. Et il est descendu
à Paris, malheureusement, avant le Havre.
Les lazaristes se déchaînent.
On signale la réédition d'une bio de Lazare par
le célèbre avocat Jean-Denis Gredin, et la sortie
d'une autre, signée Bernard Oriol, chez Stock. On n'en
peut plus d'admiration. On en baye aux corneilles. L'AAARGH
a , bien sûr, les livres de Lazare.
NOUVEL
OPIUM
- The last battle
- Jürgen Graf
"Achieving
our quest for a new world order depends upon our learning the
Holocaust's lesson."
Ian Kagedan,
director of government relations for the Jewish Bnai Brith organisation,
as quoted by the Toronto Star, 26 November 1991.
-
- The transformation
of the holocaust into a religion
- The orthodox holocaust
story can not possibly be defended with rational arguments because
its absurdity is overwhelming. We are asked to believe in the
fata morgana of a vast slaughter in killing factories
which left no traces whatsoever -- no documents, no bones, no
teeth, no ashes -- nothing! We are further asked to believe that
the Allies, who had a large network of informers all over Europe
and a spy in the German leadership (Admiral Canaris, the head
of the German intelligence), did not become aware of this gigantic
genocide until the end of the war, for if they had known about
the mass murder, they would have acted to stop it. Finally, we
are asked to believe that the Jews in Poland, the epicentre of
the holocaust, did not know anything about the Auschwitz gas
chambers as late as in August 1944, otherwise the Jews from the
Lodz ghetto would not have gone to Auschwitz voluntarily -- which
is precisely what they did, as related by Raul Hilberg in his
standard work about the holocaust (Die Vernichtung der europäischen
Juden, p. 543/544).
- <http://www.ety.com/tell/books/jglife/15.htm>
- La suite dans
notre document en pdf
.
L'HOLOCAUSTOMANIE
EST-ELLE PATHOLOGIQUE ?
Il faudrait qu'un médecin psychiatre
se penche sur un cas comme celui-ci, récemment et naïvement
exposé sur la liste italienne Olokaustos:
- Comunque, il fil-rouge
che permea la mia vita e' sicuramente l'Olocausto: avevo tredici
anni quando ho cominciato ad interessarmene. E devo anche dire
che buona parte del mio modo di pensare e di affrontare la vita
oggi e' anche in funzione di quello che ho letto in questi anni
su questo argomento. E' solo una sensazione, magari generata
dopo anni di studio, ma lo percepisco come qualcosa di "familiare".
Posso quasi dire che "questo e' il mio mondo". Quando
mi capita qualcosa di triste nella vita (e purtroppo e' capitato),
non leggo la Bibbia o chissa' cos'altro, ma "Uomini ad Auschwitz".
E' pazzesco, mi sento a casa, in famiglia. Mi e' vicino.
E' strano, ma e' cosi'. Nel 95, a 23 anni, durante l'universita'
lavoravo part-time. Nell'unica settiamana di ferie mi sono organizzato
e sono andato, da solo in treno, a visitare il campo di Auschwitz:
6 giorni di viaggio e un giorno nel posto che, fino a quel giorno,
per me era solo nei libri... Dire che per me e' stato indimenticabile,
e' riduttivo. Non dovrei dirlo perche' me ne vergogno un po':
quel giorno ho "rubato" un pezzettino di muro di una
delle poche camerate rimaste in piedi. E' ancora oggi custodito
nel mio comodino, nel fazzoletto di allora. Per me e' come custodire
la fotografia di una persona cara. Non avrei duvuto farlo, ma
l'ho fatto.
- In questi ultimi anni
poi, con mia moglie, abbiamo visitato Dachau e Mauthausen. [...]
- Nicola Fiorillo, <fn[email protected]>, 31 août 2003.
Soigner des malades mentaux de cette
espèce pourrait faire l'objet d'une nouvelle discipline:
l'holocaustolâtrie. Il y a suffisamment de cas en France
pour ouvrir une bonne douzaine de services spécialisés.
Ces malheureux Zolocostaud italiens
sont perturbés par le fait que nous mettons leurs petits
travers au pilori. Faute d'avoir pu trouver qui nous informait,
ils ont décidé de transformer leur liste en petit
truc privé, avec patte blanche. Comme ça, personne
ne pourra voir ce qu'ils font, ni les salutations hébraïques
qu'ils passent leur temps à s'échanger, comme des
bonobos qui s'épouillent les uns les autres:
- A completamento di quanto
detto in precedenza (notre compte rendu du mois d'août)
lo stesso sito revisionista
- -- all'indirizzo
- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0307.html> ha pubblicato una mail comparsa
qui di Roberto D'Angelo
- -- all'indirizzo
- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0306.html>
- Una mia recensione apparsa
sempre qui in mailing list
- -- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0305.html>
- altra copiatura di una
mail qui apparsa in occasione della nostra presenza ai festeggiamenti
per l'anniversario della creazione dello stato di Israele.
- -- si veda anche
- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0304.html>
- (fatti di Carpi qui discussi)
e
- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0303.html>
- sulla chiusura del sito
revisionismo.com
- -- <http://vho.org/aaargh/fran/actu/actu03/actu0302.html> dove ci offrono l'onore delle
armi definendoci "luogo di resistenza fortificato".
- Bene :-) questi i motivi
della trasformazione della lista in senso restrittivo
che sono sicuro comprenderete.
- salutoni. Giovanni
- Caro/a Amico/a
- a causa della presenza
di persone politicamente non gradite che si sono iscritte
alla lista di Olokaustos abbiamo dovuto procedere ad una
selezione degli iscritti. Il tuo indirizzo e' stato cancellato
dalla lista perche' non risulta una tua presentazione o un tuo
post dal momento in cui ti sei iscritto.
Les petits nains retournent dans leur
spélonque. Salut les petits nains!
LAC
RURAL
- Shamir transmets: Has
anyone seen the film "Conspiracy", starring Kenneth
Branagh and Stanley Tucci as the top SS general and Adolph Eichman
respectively ? It is about the supposed meeting in 1942 near
a rural lake in Berlin where the SS and the top German elites
organized the "final solution", with explicit references
to gas chambers and Jewish "evacuation", a euphemism
for mass extermination.
- The film is supposedly
based on one of the transcripts from the meeting that fell into
Allied/US hands in 1947 from one of the attendees. I just wonder
if this is true or Hollywood version of history. Is this historical
fact? Thanks, R. Wilcox, Tokyo
- Reply: This fiction is
based on a document, called the Wannsee Protocol, whose authenticity is
generally accepted but was never proved. In particular, the document
is devoid of official marks that German "top secret"
documents usually have.
- It refers to a meeting
at this place, Wannsee, in Berlin, (you can visit it on Internet
now), where high ranking German officials discussed the "final
solution": the text is very clear: this solution is deportation
of Jews towards recently conquered Eastern (i.e. Soviet, White
Russia+Ukraine) territories. In order to suppose this means "extermination"
you have to distort very strongly the meaning of the words.
- This is usually done by
a lot of amateur historians, although several of the best Israeli
ones have said this was bullshit.
- In the so badly named
"Museum of Tolerance" of the Wiesenthalers in LA, the
last part of the visit is a diorama of the Wannsee Conference,
with an audio tape: they have invented a dialogue, which is no
where to be found in the Protocol. Wide stretch of imagination.
I suppose, I havn't seen the film, that it is the same process
of invention.
- Serge Thion
[voir le dossier Wannsee de l'AAARGH]
Signalons la sortie d'un livre en français
d'Israël Shamir, L'autre visage d'Israël, 415
p., Paris, aux éditions Balland/éditions Blanche,
2003. Un recueil d'articles dont beaucoup avaient paru dans la
Gazette du Golfe et des banlieues. Voir <ggb.0catch.com>
A
BAS ABBAS
- Right Idea,
Wrong Holocaust Museum
- By Walter Reich
U.S. officials want Palestinian Prime Minister Mahmoud Abbas
to visit a Holocaust museum. They have the right idea but the
wrong museum. The museum they have in mind is in Washington.
The one to which he should go is in Jerusalem.
- Abbas wrote a book that
distorted, denied or minimized core facts of Holocaust history.
Were he to visit a Holocaust museum, he would have the opportunity
to correct his assault on history and at least quell some of
the Holocaust denial that's rampant in the Arab world.
- But he would be able
to accomplish that with seriousness and credibility not in Washington
- where any such act would be seen as having been engineered
by the American government to enhance Abbas' image - but at Yad
Vashem in Jerusalem, where it would truly be a courageous and
galvanizing act of humanity and education.
- The central argument
of Abbas' 1984 book, The Other Face: the Secret Connection
Between the Nazis and the Zionist Movement, was that the
Zionist movement was a partner in crime with the Nazis against
the Jewish people. After the war, Abbas wrote, the Zionist movement
inflated the number of Jews killed by the Germans to 6 million
in order to arouse sympathy. The actual number, he suggested,
might have been fewer than 1 million.
- And regarding the gas
chambers - which, Abbas wrote, "were supposedly designed
for murdering Jews" - he refers his readers to "a
scientific study" by the French Holocaust denier Robert
Faurisson. Faurisson, Abbas points out, believes they were
used "only for incinerating bodies, out of concern for the
spread of disease and infection in the region."
- Last April, after Abbas
was designated as the prime minister of the Palestinian Authority,
Tom Lantos, the highest-ranking Democrat on the House International
Relations Committee and the only Holocaust survivor in Congress,
knowing of Abbas' writings on the Holocaust, offered to guide
him through the U.S. Holocaust Memorial Museum in Washington.
- According to the congressman,
Abbas accepted the offer. But in a letter to Lantos written just
before his visit to Washington in July, the Palestinian prime
minister said that his schedule would be too tight for a museum
visit, adding that he looked forward to seeing it on his next
trip to Washington.
- Lantos should breathe
a sigh of relief that Abbas didn't go through with the museum
visit in Washington, which would have been hijacked in the service
of political agendas. He should try, instead, to convince Abbas
to drive a few miles from his home to Jerusalem's Yad Vashem.
- The unsuitability of
the U.S. Holocaust Memorial Museum for this kind of visit was
made evident in 1998, while I was its director, when the State
Department initiated an invitation for a visit by Yasser Arafat
- a visit I opposed.
- At the time, the State
Department was encountering bumps in the path of the Oslo peace
effort. The hope was that prominent press coverage of Arafat
surveying exhibits on the Holocaust would induce American Jews
- many of whom opposed the administration's policy of pressuring
Israel for concessions because they distrusted Arafat - to see
the Palestinian leader as a man who could feel their pain and
therefore could be entrusted to protect the security of the Jewish
state.
- On the day of the planned
visit, Arafat himself demonstrated its political essence. He
called it off as soon as he learned there would be no press coverage.
The Monica Lewinsky story had just broken, and the Washington
press corps had decamped to the White House to cover it.
- And now the administration
is again focused on Israeli-Palestinian peacemaking and wants
to convince skeptical Jews, in both the United States and Israel,
that Abbas is not Arafat.
- Were Abbas to visit
the Holocaust museum in Washington, many Jews would see the visit
as a diplomatic gimmick set up by the administration to manipulate
their opinions and as an exploitation of the memory of their
dead for political purposes. And Arabs would see it as a humiliating
concession extorted from a weak Palestinian leader by a powerful
America. The visit's potential to advance Holocaust education
would be smothered by the reality and appearance of politics.
- On the other hand, a
visit by Abbas to Israel's own Holocaust museum would separate
the gesture from diplomatic maneuverings by Washington. In the
Arab world it would raise doubts about Holocaust denial;
in Israel it would be seen as a genuine acknowledgment of the
history and fears of Israelis.
- Like Anwar Sadat's breakthrough
trip to Jerusalem, such a visit would be a great act of statesmanship,
courage and imagination. It would be a journey to the heart of
the darkness that is central to Israel's nightmares. It would
establish Abbas as a leader independent of Palestinian politics
and taboos and independent of Arafat, and it would reveal the
bravery of a man willing to risk attack at home and to do what
few of us are ever willing to do: acknowledge that he was wrong.
Most important, it could galvanize and reset the dynamics of
the Israeli-Palestinian confrontation.
- Walter Reich, a professor
of international affairs, ethics and human behavior at George
Washington University, was director of the U.S. Holocaust Memorial
Museum from 1995 to 1998.
- Abbas has safely relinquished
his meaningless premier post.
- Los Angeles Times, 18 août 2003.
"Were Abbas to visit the Holocaust museum in Washington,
many Jews would see the visit as a diplomatic gimmick set
up by the administration to manipulate their opinions and
as an exploitation of the memory of their dead for political
purposes..."
On peut donc dire, en élargissant
un peu le propos, que la visite du Musée de l'Holocauste
à Washington est un truc (gimmick) fabriqué par
l'Etat (l'administration) pour manipuler l'opinion de n'importe
quel visiteur (et pas seulement celle des juifs) et exploiter
la mémoire des morts à des fins politiques. C'est
ce que dit explicitement l'ancien directeur dudit musée
!!! Qui souhaite voir les Palestiniens se prosterner devant les
nouvelles idoles juives exposées dans le Nouveau Temple
de Yad Vashem ! On ne peut pas être plus clair. En outre
Abbas a vite perdu son poste.
DECRYPTAGE
De temps en temps, il faut décrypter. Il n'y a pas que
dans la publicité qu'on fourre du subliminal. Le façonnement
des cerveaux se fait aussi par des méthodes invisibles,
des allusions invérifiables, des sous-entendus silencieux.
On nous dit des choses pour nous en faire croire d'autres. Bref,
il y a, partout, dans les écrits qui nous passent sous
les yeux, des doses variables d'explicite et d'implicite. Ce dernier
est le plus fuyant. Prenons un exemple.
Dans Le Monde du 29 août
2003, dans la partie littéraire, on trouve la page VII,
"essais" avec un grand article sur "Neuf penseurs
par qui résiste l'espérance", parlant d'un
livre consacré à "neuf penseurs majeurs du
XXe siècle", tous des juifs. Là nous sommes
dans l'explicite. Il s'agit de nous faire croire qu'il existe
une "pensée juive" et qu'elle domine le siècle.
Incroyants, profanes, pauvres cons de tous les bords, prosternez-vous.
Roger-Pol Droit, qui veut garder sa place, se fait le sanctificateur,
et bientôt le sacrificateur: sur la plus haute marche de
la pyramide judéo-maçonnique, il arrachera le coeur
des incroyants, comme le prêtre aztèque le faisait
à Tenochtitlan, avec son couteau d'obsidienne.
En bas de la page, on trouve un article
intitulé "Esclavage et diaspora", de Nicole Lapierre,
rendant compte d'un livre d'un auteur qui enseigne à Yale,
Paul Gilroy, "Anglais originaire de la Caraïbe",
dit-on à la fin de l'article, intitulé L'Atlantique
noir. Modernité et double conscience. Nous ne dirons
rien du livre lui-même mais c'est la recension qui nous
arrête. D'abord, elle est signée Nicole Lapierre,
une universitaire sans relief particulier mais qui se trouve être
la compagne du tsar trotzko-breton qui règne sur la rédaction
du Monde, Edwy Plenel. [Note: Confidence de Nicolas Domenach
à Pierre Péan et Philippe Cohen, La Face cachée
du Monde, p. 64: [En 1980] "on avait un fonctionnement
en miroir. Moi j'étais avec Michèle Fitoussi, lui
avec Nicole Lapierre, deux goys avec des femmes juives
d'expérience. On portait la Shoah sur notre dos.
Il disait qu'il était juif par sa femme. Il était
fasciné par ses récits sur sa famille polonaise.
Et elle le maternait..."] Cette "La pierre" a fait
tout un livre, il y a quelques années, pour se plaindre
de porter un nom qui n'est pas le sien puisque ses parents, juifs
d'Europe centrale, qui devaient s'appeler Stein-quelque chose,
ont cru bon de changer d'état-civil à une époque
où c'était une mesure de bon sens. Elle en faisait
tout un ramdam qui avait surtout pour fonction de faire savoir
haut et fort, à qui voulait bien l'entendre qu'elle n'était
pas la première goyesse venue et qu'en vertu de ses origines
bien contrôlées, il s'agissait de faire carrière
fissa. Ce qui bien sûr arriva. (Changer de nom, Stock,
1995, et une kyrielle d'articles sur le même sujet). Voir
<http://www.ehess.fr/centres/cetsah/publication/lapierre.html
Ce point étant solidement établi, on se reportera
au contexte universitaire américain, qui a été
secoué depuis une vingtaine d'années, par l'irruption
du point de vue des Noirs américains, conséquence
directe du fait qu'on les a laissés entrer dans l'enseignement
supérieur à la suite de la grande suée qu'ont
provoquée les militants noirs des Black Panthers et autres
groupes militants radicaux. Ils dénonçaient "Babylone"
et les policiers qualifiés de "porcs". Ces porcs
les ont assassinés un par un, preuve que les mots portent.
Jean Genet était leur pote.
Ne croyez pas que le seul humanisme ait
été à l'origine de ce subit libéralisme.
La classe dirigeante américaine, indépendamment
de ses positions religieuses ou philosophiques, a compris qu'il
était temps d'ouvrir les portes de la bourgeoisie à
un certain nombre de Noirs, faute de quoi on aurait une guerre
de classe sur les bras, comme à Watts et ailleurs. On a
tué les Black Panthers mais on a compris le message.
Et donc on a laissé entrer des
étudiants noirs et on a recruté des enseignants
noirs dans les universités, dans les années 60-70.
Comme on ne savait pas toujours trop quoi en faire, on les a parqués
dans de nouveaux départements, où les uns enseignaient
aux autres, des programmes qui avaient à voir avec leur
condition, en circuit fermé: on a appelé ça
les "Black Studies". Ainsi promus mais livrés
à eux-mêmes, ces intellectuels noirs ont développé
une vision historique et politique du destin noir an Amérique.
Ils ont revendiqué l'esclavage et les origines africaines,
ils ont porté à l'incandescence la valorisation
de l'Afrique, mère des civilisations, en développant
les idées d'un chercheur et écrivain sénégalais
qui avait écrit à Paris dans les années 50,
Cheikh Anta Diop, un homme remarquable et un grand esprit. Ceux
qui ont fréquenté Présence Africaine
à cette époque-là en témoigneront.
C'est ce qu'on a appelé l'afrocentrisme. Comme en même
temps, ces intellectuels, plus ou moins marxisants, découvraient
le rôle des marchands juifs dans la traite des Noirs et
la mainmise des gauchistes juifs sur le mouvement d'émancipation
des Noirs, il est devenu clair qu'ils revendiquaient un statut
de victime qui se situait à cent coudées au-dessus
de celui des juifs. Ils avaient dès lors franchi la ligne
rouge et furent en butte à une hostilité des universitaires
juifs qui n'acceptaient pas de se voir supplanté dans le
martyrologe étatsunien.
Un livre surtout allait faire hurler,
publié en 1991 par le "département de la recherche
historique" du puissant parti Nation of Islam, dirigé
par l'extraordinaire personnalité de Louis Farrakhan. (<www.noi.org/): The Secret Relationship
Between Blacks and Jews, vol. 1 Ce travail, encore embryonnaire,
montrait que les négociants juifs avaient joué un
grand rôle dans la traite et que le paternalisme des juifs
prétendant organiser eux-mêmes l'émancipation
des Noirs avait fait son temps. Nous avons lu ce livre et lui
avons vainement cherché un éditeur français,
en dépit de ses imperfections. Après tout, les Noirs
en France pourraient bien, au lieu de faire les guignols et les
"gazelles noires" dans des stades pleins de Blancs fatigués
et avachis, aussi s'intéresser à l'histoire de l'esclavage
et à ses conséquences, qui durent encore.
Nicole Lapierre donc commence par féliciter
ce Paul Gilroy (dont on ne sait pas, avant la dernière
phrase, qu'il "vient de la Caraïbe", caraïbe
désignant à l'origine un peuple amérindien
exterminé par les Espagnols et remplacé par les
esclaves) de "rompre avec l'afrocentrisme". Un Noir
qui rompt avec l'afrocentrisme est forcément un bon Noir,
puisqu'il ne s'aventure plus à concurrencer les juifs.
Ça, c'est l'implicite (voir plus haut). Elle mentionne
ensuite en passant l'esclavage et l'"engendrement d'une culture
(noire) dissonante, diasporique et transocéanique"
qui se manifeste, en particulier, par la musique. Passons. Gilroy
"revisite" (un terme qui montre que Stein-la-pierre
est familière des campus américains où l'on
"revisite" tout et n'importe quoi) les oeuvres et les
parcours de quelques écrivains et intellectuels (noirs)
notoires, "abusivement confisqués par le nationalisme
noir"... Le culot de Lapierraille est ici à
son comble: Ainsi, les grands intellectuels issus du monde harassé
des anciens esclaves reconvertis en travailleurs industriels,
et qui ont pensé la condition des Noirs dans un pays où
régnait -- peut-être faut-il le rappeler ici -- une
ségrégation raciale institutionnelle, doublée
d'une incroyable violence civile et policière, et qui s'en
sont émancipés, parfois au prix de l'exil (elle
cite Richard Wright, mais il y en a beaucoup d'autres), ceux-là
seraient "abusivement confisqués" par leurs propres
disciples et descendants. On sent la dose de haine raciste que
cette bonne femme injecte dans son compte rendu. Il faut qu'elle
épouse étroitement la cause des juifs américains
pour en arriver à refuser aux intellectuels noirs (américains)
la filiation avec les penseurs et les artistes qui les ont précédés.
Ce n'est pas tout. Ce Gilroy, qui doit
savoir sur quel côté de la tartine on met le beurre
de cacahouète, évoque la "mémoire"
de cet Atlantique noir "et la met en parallèle avec
la mémoire juive. Refusant la concurrence des victimes,
cette «dispute absurde et parfaitement immorale pour savoir
quel peuple a subi la forme de dégradation la plus inexprimable»,
il affirme, contre les réticences et les préjugés
qui s'élèvent des deux côtés, que
l'on peut, à la fois, reconnaître le caractère
unique du judéocide et commencer un dialogue... blabla..
sur les fondements du racisme moderne bla bla". Un bon nègre
est un nègre qui reconnaît le caractère unique
du judéocide. Point. Il doit oublier ce que les chercheurs
noirs ont trouvé et prouvé: à savoir que
les juifs ont participé à la traite des Noirs et
que cette conclusion règle la question de la "concurrence
des victimes". Quand des victimes ont été
victimes d'autres victimes, on détermine ceux qui sont
en bas du système d'oppression et on distingue entre les
opprimés et les oppresseurs. Lapierre félicite Gilroy,
qui enseigne à Yale, rappelons-le, de ne pas faire cette
simple analyse et de confondre ce qu'elle veut qu'il confonde.
Son livre, ajoute-t-elle, témoigne
du nouvel intérêt porté aux "pensées
métisses", aux "temporalités disjointes"
et autres fumisteries post-modernes et post-coïtales, "qui
se développent depuis quelques années dans les départements
d'anthropologie, en Angleterre et aux Etats-Unis, en réaction
à l'évolution des cultural studies [Black,
Hispanic, et autres] devenues ethnicistes." Tout
ce shmilblic pour dire que les groupes d'opprimés, victimes
de l'effroyable racisme qui règne encore aux Etats-Unis,
même s'il n'est plus institutionnel, qui arrivent à
se trouver quelques petites niches dans les universités
pour développer une pensée de l'histoire de leur
oppression, ne devraient plus le faire parce qu'ils gênent
la primauté juive et sa revendication exclusiviste du statut
de victime, qui permet toutes les impunités, en particulier
le détournement du budget américain pour le soutien
au génocide qui se passe en Palestine. Lapierre apporte
son caillou à cet édifice, elle soutient comme elle
peut ce génocide que ses congénères ne peuvent
pratiquer que s'ils restent couverts par cette vaste impunité,
justifiée par leur statut de seul victime de la méchanceté
humaine. Les autres victimes doivent d'une façon ou d'une
autre se jeter dans les poubelles de l'histoire.
Et après ils nous reprochent le
"négationnisme".
La note finale n'est pas mal non plus.
"Peu connu et peu développé en France [ça
viendra], ce nouveau courant des diasporic studies, est
souvent et hâtivement soupçonné de refléter
l'idéologie des élites mondialisées."
Qui appartient, par fonction, à ces élites mondialisées
? Le lecteur qui pourra mettre un nom sur elles sera aussitôt
qualifié d'antisémite. C'est pourquoi Mme von Stein-Lapierre-Plénel
ne dit pas le mot.
IRE
EN EIRE
Commniqué des brillants antifa:
- Fascist Loser
Hounded in Cork
-
- Brian Wallace is a lone
obsessive Holocaust Revisionist who runs his own website and
also posts on fascist sites about what he calls 'monkey-culturalism'.
He visits Universities around the country distributing semi-literate
rants about the Holocaust culled from foreign Fascist websites.
Another favourite activity is spamming the e-mail accounts of
history lecturers with his fictional rubbish. The above picture
of Wallace was taken on a previous sortie into UCD, when he was
chased off campus by anti-racists.
- Recently Wallace (who
also calls himself David Noone) attempted to hold a 'street meeting'
in Cork. No supporters turned up, but some opponents did. Here
are links two two reports (and the ensuing debates) on indymedia.ie.
- Cork neo-nazi met by
anti-nazi activists today as he attempted to hold a 'public meeting'
- <http://www.indymedia.ie/newswire.php?story_id=60632
- Cork fascist thwarted
from paper selling / recruitment
- <http://www.indymedia.ie/newswire.php?story_id=60656
- Cork neo-nazi met by
anti-nazi activists today as he attempted to hold a 'public meeting'
by Nazi-watch Thursday, Jul 31 2003, 7:22pm
- Cork neo-nazi Brian
Wallace advertised a public meeting to be held at 3pm in Patrick
Street in Cork today. In the event, he was the only neo-nazi
to show up, but he was soon joined by about 16 or 17 anti-nazi
protesters who effectively shooed him off the street -
he eventually hid in a bookies office in Coburg Street. Below
is his own view of this event, taken from U.S. neo-nazi site
Stormfront.org
- Text from neo-nazi web-site:
- "A peaceful
public revisionist meeting was interupted today by leftwing
subhumans with banners and a megaphone.
- They followed me up
the road and weren't interested in debating.
- Two of them initially
pretended to be interested members of the public and were given
leaflets and a book.
- One of them was dr finton
lane of cork anti-war.
- Its strange that these
people think they are anti-war but support george bush and his
zionist masters with their actions.
- I urge people to have
public meetings in other cities and to fight the evil of left
wing totalitarianism of which multiculturalism is just the latest
expression."
PLUS
DURE SERA LA CHUTE
- Restitution
Leader Disbarred by Court after Investigation of Job Misconduct
-
- The former top American
professional of an international Holocaust restitution commission
has been disbarred.
- The move comes one year
after the official, Neal Sher, former chief of staff in
the Washington office of the International Commission on Holocaust
Era Insurance Claims, was investigated by the commission for
allegedly misappropriating funds for personal use. The investigation
was launched after Sher admitted "unauthorized reimbursements
of his ICHEIC travel expenses," according to sources and
an internal document written by the commission's chairman, former
secretary of state Lawrence Eagleburger.
- On August 28, 2003, the
District of Columbia Court of Appeals ordered Sher "disbarred
by consent effective forthwith" from the Bar Association
of the District of Columbia. The order does not specify the reasons
for his disbarment, but Sher signed an affidavit consenting to
it. A consent affidavit is submitted when an attorney is the
subject of an "investigation or a pending proceeding based
on allegations of misconduct," according to a rule of the
D.C. bar association that was cited in the court order. [...]
- As director of the Office
of Special Investigations of the United States Department of
Justice, Sher handled the denaturalization and deportation of
dozens of onetime Nazi war criminals. He headed an investigation
into the Nazi past of Austrian president Kurt Waldheim and is
credited for Waldheim's placement on the watch list of persons
ineligible to enter the United States. In 1994 Sher became the
top executive of the American Israel Public Affairs Committee,
which he led for two years.
- Steinberg praised Sher's
work at the Justice Department:
- "Neal Sher has literally,
not figuratively, laid down his life for the Jewish people on
many occasions. I know of several death threats against him when
he was hunting Nazi war criminals."
- But Sher's work at the
commission was not as widely admired. Both during and after his
tenure, the commission came under attack from some survivor groups
and congressmen for spending more money on administrative expenses
than on payouts to survivors. The controversy was reported in
the Forward, and in The Baltimore Sun and Los
Angeles Times.
- The insurance commission
was formed in 1998 by survivor organizations, state insurance
commissioners, representatives of Jewish groups, the Israeli
government and European insurance companies including Germany's
Allianz, France's Axa, Italy's Generali and Switzerland's Winterthur
and Zurich. Funded by the companies, the commission seeks to
resolve and pay claims by survivors and heirs of Nazi victims
who contend companies refused to pay their families' life insurance
policies.
- Recently, however, German
insurers released a list of some 400,000 names of policyholders.
These lists have been instrumental for those who have no proof
or knowledge of their unpaid policies. Survivors' advocates have
pledged to pressure companies to disclose more names.
- The Baltimore Sun, in an article on the commission's
administrative costs published on July 7, 2002, reported on Sher's
air-travel expenses. The newspaper claimed that commission financial
records showed that in 1999 Sher spent $136,563 in travel expenses,
mostly for travel to Europe. "Sher's first-class or business-class
airfare to Rome, Berlin and other cities often totaled $5,000
or more per trip," the article stated. [Pris sur l'argent
dû à ces malheureux survivants égrotants...
Le cynisme est parfait. ]
- Sources close to the commission
told the Forward that Sher had allegedly carried out a
misappropriation by improperly claiming reimbursement for his
air-travel.
- David Irving comments:
- YES, the wheels of Justice
grind slowly, aber trefflich fein, as the Germans have
it. Neal Sher was one of the most sleazy lawyers to have emerged
from the whole Holocaust industry. He persecuted innocent men
mercilessly, and was finally caught out by his own thieving and
greed.
- In 1999, when he accused
the CIA of anti-Semitism, I wrote: "For those with short
memories: attorney Neal Sher is not just any former head of the
Office of Special Investigations; it was his office which master-minded
the railroading of innocent American citizen John Demjanjuk into
Israel's custody, by arranging the concealment and destruction
of information which totally exonerated the victim.
- "Demjanjuk was stripped
of his citizenship, deported to Israel, sentenced to hang --
and then acquitted of all charges through the efforts of a brave
Jewish attorney and even braver judges of the Israeli Supreme
Court; their findings, and the scathing words about Sher's office
pronounced by the US District Court judge who ordered Demjanjuk's
citizenship restored, ought still to ring in newspapermen's ears.
- "In a later incarnation,
Sher pursued much the the same role in Canada, until angry Canadians
secured his ouster.[...]
- Forward, New York, Friday, September 5,
2003
- <http://www.fpp.co.uk/online/03/09/Neal_Sher_disbarred.html>
Ce type est la parfaite crapule qui
joue sur tous les registres judiciaires pour avantager les juifs
et s'avantager lui-même. Demjannjuk, Finkelstein, nous et
beaucoup d'autres attendions de voir sa tête rouler dans
la poussière. C'est chose faite, hamdulillah.
DEMANDE
D'INCULPATION
- De Michel Dakar,
EDE, à : M. le procureur de la République près
le Tribunal de grande instance de Paris, Yves Bot
-
- Paris, le 4 septembre
2003
- A M. Le procureur de la
République Yves Bot, Paris
- Objet: demande de poursuites
pour contestation publique d'un crime contre l'humanité.
- Monsieur,
- J'ai l'honneur de vous
demander d'engager des poursuites à mon encontre pour
ma contestation publique d'un crime contre l'humanité,
selon l'article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881.
- Le crime contre l'humanité
que je conteste est celui du génocide nazi des juifs.
- Je réfute la réalité
officielle du génocide nazi des juifs, crime qui répond
à la définition qu'en donne l'article 6 du statut
du tribunal militaire international de Nuremberg, et que ce tribunal
a authentifié et jugé, d'octobre 1945 à
octobre 1946. Ce tribunal comprenait un juge des Etats-Unis,
de la Grande-Bretagne, de l'Union Soviétique et de la
France.
- Un tribunal militaire
ne peut être considéré comme une cour de
justice, car tout ce qui est militaire est comparable à
une mécanique programmée pour obéir, qui
n'a aucun libre arbitre. On ne peut prétendre que ce tribunal
était indépendant, or, l'indépendance est
la capacité nécessaire pour juger ; des êtres
humains et une réalité historique.
- Ce tribunal était
composé des représentants des pays vainqueurs du
totalitarisme nazi. Ces pays étaient sous l'emprise des
régimes communiste et capitaliste.
- Le capitalisme est le
régime qui a vaincu les régimes nazis puis communiste.
Ces régimes sont présentés comme totalitaires,
contrairement au capitalisme.
- Or, nous constatons maintenant
que le capitalisme est le régime unique présent
sur le monde, ce qui est la définition même du totalitarisme,
et il est de fait le plus violent et donc le plus criminel de
tous, puisqu'il a éliminé les autres.
- Il est maintenant évident
que le totalitarisme capitaliste est le pire des régimes
apparus dans l'histoire, car il est le seul à avoir asservi
la totalité du monde.
- Le régime capitaliste
est le premier véritable totalitarisme de l'histoire.
- Il est maintenant visible
par tous qu'il détruit à une cadence effrénée,
toute culture humaine, toute conscience, toute société,
toute vie, tout ce qui est sur la Terre.
- La loi du 13 juillet 1990,
dite loi Fabius-Gayssot; un siono-capitaliste couplé à
un archéo-communo-capitaliste, crée le délit
de contestation publique de crime contre l'humanité, dans
le but exclusif de réprimer ceux qui osent douter de la
réalité officielle du génocide nazi des
juifs. Cette loi est à la naissance de la police de la
pensée.
- Cette loi fut votée
au sein du régime totalitaire capitaliste français.
Cette loi ne peut donc pas être destinée à
émanciper l'être humain, mais plus sûrement
à le maintenir dans la servitude, car elle ne peut d'évidence
avoir pour but la recherche de la vérité, puisque
la connaissance de la vérité amène l'abolition
de l'oppression, et la chute d'un tel régime. Le mensonge
et l'ignorance sont en effet parmi les principaux piliers d'un
régime oppressif.
- La réalité
officielle d'un régime en passe d'anéantir l'évolution
de plusieurs milliards d'années des formes de la vie sur
la Terre, est suspecte.
- La loi française
du 13 juillet 1990 permet de criminaliser par l'amalgame, les
résistants au capitalisme, ceux à la conquête
sioniste de la Palestine et au génocide de sa population,
les révisionnistes, les négationnistes et les antisémites
- je rappelle que le sionisme, a été assimilé
par l'Assemblée générale des Nations Unies,
du 10 novembre 1975, prise avant l'effondrement du camp communiste,
lequel était un contrepoids au camp capitaliste, à
" une forme de racisme et d'apartheid ".
- Ceux qui s'auto-discriminent
de l'humanité comme juifs, en tant qu'élevés
au-dessus d'elle par l'entité fictive de propagande politico-religieuse
nommée " dieu ", sont pour la plupart sionistes.
Ils apparaissent maintenant visiblement prépondérants,
dans les centres de décision du capitalisme mondial.
- J'affirme que le sionisme
est la version moderne du judaïsme.
- La réalité
officielle du génocide nazi des juifs, est utilisée
pour interdire la conscience de la nature véridique du
capitalisme ; qui est un totalitarisme, pour interdire la conscience
du génocide des Palestiniens par des juifs, génocide
qui éclaire sur la nature véridique du judaïsme
; qui est un fanatisme sectaire, pour interdire la conscience
du rôle crucial des juifs dans le pillage et la destruction
du monde opéré par le capitalisme, et le financement
forcé par tous, dans le monde entier, de l'Etat-secte
d'Israël.
- Cette réalité
officielle sert au maintien d'un ordre totalitaire, destructeur
et criminel. Cela la rend d'autant plus suspecte.
- Ceux qui osent voir et
dire ces vérités, sont condamnés à
la nouvelle forme de la mort civile comme antisémites,
par les nouveaux inquisiteurs de la police de la pensée,
rejoignant les révisionnistes et les négationnistes,
sur les bûchers de la pensée totalitaire.
- Nous sommes en présence
d'une symbiose fatale entre un totalitarisme extrême, et
un fanatisme sectaire, terrorisant le monde entier.
- Les victimes juives du
nazisme, le sont encore doublement, par leur enrôlement
post mortem en les mettant systématiquement en avant,
pour occulter les victimes innombrables des crimes du sionisme
et du capitalisme, collaborant à leur perpétration,
et par le mépris que ceux qui défendent leur mémoire
ainsi leur manifestent.
- La réalité
officielle du génocide nazi des juifs est donc défendue
par ceux qui méprisent la vie humaine, tant des juifs
que des non-juifs. Cela la rend définitivement suspecte.
- Je vous informe que j'exprime
publiquement que je réfute la réalité officielle
du génocide nazi des juifs, par la présente lettre,
aussi traduite en anglais, diffusée sur le site Internet
dont je suis le responsable, site intitulé equidence.org,
ainsi que par la voie postale, et par tout autre moyen.
- Il se trouvera toujours
des êtres à la conscience restée libre, pour
se dresser face à cette volonté de maîtrise
des corps par le bris de l'esprit, et indifférents aux
coups et aux insultes des sbires de la morte pensée.
- Nous ne faisons que débuter
l'exploration de ce puits de l'abjection, qui nous relie à
la cause primitive de la haine de la conscience, de la fuite
du réel, et de ce désastre généralisé
que tous, nous ne pouvons plus faire mine de ne pas voir.
- Il faut inventer une formule
pour évoquer le crime inédit du siono-capitalisme,
appellation selon moi adéquate pour le sectaro-totalitarisme,
dans lequel nous tentons de survivre. Ce crime porte atteinte,
au-delà de l'humanité, à tout ce qui est
sur la planète.
- Je propose " crime
contre l'existant ".
- Le siono-capitalisme est
le régime le plus mortifère que l'humanité
ait connu. Etendre la mort est même son caractère
primordial. Le sionisme ou judaïsme modernisé, et
le capitalisme, sont d'essence commune. Le premier a donné
naissance au second, qui lui s'est développé comme
un cancer, tout en restant logé comme un kyste dans ce
cancer.
- Il n'y a d'autres alternatives
pour l'humanité, que de mourir ou de se soigner, et pour
ce faire, d'oser se remettre en question au plus profond, d'affronter
de face le problème existentiel, sans plus le fuir dans
la recherche de pouvoir, de puissance, d'accaparement, d'appropriation
et de perpétuation, et dans l'illusion religieuse. Il
faut comprendre.
- Veuillez recevoir, Monsieur
le procureur de la République, l'expression de mon profond
respect pour les notions de vérité, d'indépendance,
de vie et de justice.
- Copie communiquée
au C.R.I.F., 39 rue de Broca, 75005 Paris.
- <http://equidence.org/negation.htm>
POUR
UN MASSACRE À BON MARCHÉ
- « Car, prenons-y
garde, la protestation mille fois entendue (et juste dans son
principe), «Il ne faut pas traiter d'antisémite
quiconque critique l'État d'Israël», a été
entièrement retournée. Ce qu'on entend par là,
en réalité, c'est: «L'antisémitisme
ne doit pas être dénoncé s'il est associé
à une critique de l'État d'Israël».
La tolérance dont ont bénéficié un
négationniste chevronné comme Mondher Sfar,
ou un antisémite professionnel comme Israël Shamir,
l'impunité assurée à Raymonda Tawill, malgré
ses imprécations contre le «lobby juif», l'absence
de réaction aux propos antijuifs qui s'expriment régulièrement
sur Radio Méditerranée, la sympathie dont
jouissent les dénonciations du «Shoah-business»
par Norman Finkelstein, l'indifférence aux écrits
d'Alain Soral sur le communautarisme juif et l'exploitation
juive de la Shoah: tout cela serait inimaginable si les auteurs
n'avaient veillé à se faire d'abord enregistrer
comme étant des critiques d'Israël et du sionisme.
Les gens qui -- à tort ou à raison -- ont pris
la défense de Daniel Mermet, lors du procès qui
lui a été intenté pour avoir diffusé
sur France Inter certains propos «antisionistes»
d'auditeurs, auraient été parmi les premiers à
s'indigner s'ils avaient entendus ces mêmes propos sur
Radio Courtoisie.»
- Weintrater, sorte de
porte-parole de l'ambassade des génocidaires, complice
extrêmement volontaires des massacreurs juifs, dans L'Arche,
organe des mêmes, de septembre 2003
<http://www.upjf.org/documents/showthread.php?threadid=5046>
PERTE
D'UN MONOPOLE
- La France
va indemniser les orphelins des victimes politiques des nazis,
après les victimes juives
-
- Le gouvernement a annoncé
samedi qu'il allait accorder aux orphelins des victimes politiques
de la barbarie nazie, notamment les enfants de résistants,
une indemnisation identique à celle dont bénéficient
déjà les orphelins dont les parents ont été
victimes de persécutions antisémites.
- Dans un communiqué,
l'Hôtel Matignon explique que "cette décision
répond à l'attente exprimée notamment par
les orphelins des déportés résistants qui
avaient demandé, dès le mois de publication du
précédent décret (juillet 2000, NDLR), l'extension
de son champ d'application".
- Le gouvernement précise
qu'elle fait suite à la remise du rapport demandé
en septembre 2002 à l'ancien ministre Philippe Dechartre.
D'après celui-ci, "il en ressortait que, dans un
souci de justice et d'équité, le dispositif
de réparation institué par le décret du
13 juillet 2000 devait être étendu aux orphelins
des déportés politiques et résistants".
[Remarquons que les gouvernements socialistes n'avaient
en la matière aucun souci de justice et d'équité.
]
- La mesure de juillet
2000 avait concerné 12.600 personnes. Selon Pierre Mayaudon,
directeur de cabinet du secrétaire d'Etat aux Anciens
combattants Hamlaoui Mekachera, entre 5.000 et 8.000 personnes
devraient bénéficier du nouveau dispositif. Elles
auront le choix entre une somme de 27.400 euros d'un coup ou
une pension à vie de 457 euros par mois, a-t-il précisé
à l'Associated Press.
- AP 6 septembre 2003
- <http://fr.news.yahoo.com/030906/5/3du15.html>
LE
RÉVISIONNISME EST PARTOUT
- 'Bush equals
Hitler' adds up to holocaust denial
- Jonah Goldberg
-
- We may be living in
the worst period of Holocaust denial since the Nuremberg
trials. I'm not referring to the twisted morons who insist
that the Holocaust never happened the way the Monty Python guys
insisted the parrot wasn't dead. I'm referring to the legions
of Holocaust deniers in the Democratic Party, on the Web, on
college campuses, in the mainstream press and, most acutely,
in my e-mail box every morning, who reduce to the Holocaust
to a triviality.
- In America today -- never
mind Europe and the Middle East -- ostensibly sophisticated and
enlightened people see nothing particularly controversial about
comparing George Bush to Adolph Hitler and the United States
of America to Nazi Germany. The examples are everywhere.
Vanity Fair magazine asks if Richard Perle and Joseph
Goebbels were "separated at birth." Whole Web sites
are dedicated to the most astoundingly stupid and superficial
comparisons between George Bush and Hitler (they both liked dogs,
for example).
- At every event protesting
war, Bush, America, this, that and the other thing, one can find
pictures of various administration officials in SS garb or bearing
Hitler mustaches. On the Web, leftwing forums like <Democraticunderground.com>
overflow with insubstantial people bolstering their self-esteem
by pretending to "speak truth to power" to the unfolding
Nazification of America. Putatively intellectual magazines, like
the leftwing Nation and the New York Review of Books,
feature articles that are more measured in tone and more nuanced
in style than the hysteria one hears from C-Span callers or rabble-rousers
at Howard Dean events, but the upshot is still the same.
- James Traub, writing
in The New York Times last June, detailed the trendiness
of the Bush-Hitler comparison: "That's grotesque; and the
fact that is has achieved such currency among what the French
call the bien pensant is vivid proof that in much of the
left, 9/11 and its aftermath have increased the visceral loathing
not of terrorism or of Islamist fundamentalism but of President
George Bush." But no one seems willing to name this grotesquery
plainly. It is, simply, Holocaust denial (not to mention
slander against Bush and America). [Or slander against
Hitler... ]
- If your son is murdered
and I claim that it never happened, I am denying the existence
of a crime. But if your son is murdered and I compare that tragedy
to losing your car keys, that is a form of denial, too. And this
is precisely what the "Bush equals Hitler" crowd is
doing. The Nazis murdered millions of men, women and children.
[And the Americans ? How many millions ? ] Their victims
weren't "collateral damage" in a war, and they were
not executed after a long and fair trial. The Nazis sent their
victims to gas chambers and ovens in boxcars. [No, my dear,
don't be ridiculous ] Nazi scientists injected dyes into
the living eyes of small children to see if they could be made
"Aryan." [No, my dear, your are being grotesque
] They made soap out of people. [Nope, my dear, you make
a fool of yourself].
- What on earth has George
Bush done that deserves such comparisons? What could he possibly
do? [Bomb into smitherens 30.000 Iraki civilians in 6 weeks.
What about that ? ]
- If you're going to call
the man a Nazi, show me the children with tattoos on their arms.
[See Cooper Camp and Gunatanamo] Show me the stockpiles of emaciated
corpses. [Easy] Show me files cabinets full of memos detailing
how Bush and Cheney plan on disposing of millions of dead American
citizens killed with poisonous gas. [Show me files cabinets
full of memos detailing how Hitler and Göring planned on
disposing millions of dead Jews killed with poisonous gas].
- If you can't show me
any of these things - and you can't - then stop calling the man
a Nazi. Because when you say he's no different from Hitler, you
are also saying that Hitler is no different from George Bush.
[Bingo. He got it ! ] And that means that Hitler's
crimes were no worse than George Bush's "crimes." And
whatever you think of what George Bush has done or might do,
if you think any of it is the moral equivalent of the Holocaust,
you are in effect saying the Holocaust really wasn't that bad.
[It was bad, but it is over, whereas Bush's rampage is
now. ] [...]
- Jonah Goldberg is editor
of National Review Online, a TownHall.com member group.
- <http://www.townhall.com/columnists/jonahgoldberg/printjg20030905.shtml>
PANDORE
ET GUIGNOL
- L'OSCE veut
lutter contre le racisme sur Internet
-
- Vienne de notre correspondante.
La conférence de l'Organisation pour la sécurité
et la coopération en Europe (OSCE) sur le racisme, qui
s'est tenue à Vienne les 4 et 5 septembre, a permis de
définir une approche commune pour lutter contre la haine
raciale sur Internet. L'organisation s'inquiète de l'usage
de plus en plus fréquent de toile pour diffuser des messages
de haine raciale. "L'impact est énorme à cause
des forums de discussion, accessibles à tous",
a souligné le Français Gérard Kerforn, du
Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les
peuples (MRAP), qui redoute la jonction des acteurs traditionnels
de l'extrême droite et des communautés radicalisées.
[Fidèle à ses origines staliniennes, le MRAP
veut la CENSURE !!!! Et que ça saute ! ]
- Les sites racistes émigrent
souvent vers les Etats-Unis, où ils abusent de
la liberté d'expression que garantit le premier amendement
de la Constitution. [Quand on en use, on en abuse, pour
ces gens-là. ] En 2002, plus de la moitié
des quelque 4000 sites litigieux y étaient hébergés.
"Une conférence transatlantique serait très
utile, car on sait que le problème est à ce niveau",
a relevé Pascale Charhon, du Centre européen
juif d'information, basé à Bruxelles. La France,
qui s'est dotée au début de cette année
d'une réglementation pionnière, a proposé,
avec succès, de rédiger un "guide des bonnes
pratiques sur Internet". Il inciterait les Etats membres
à transmettre régulièrement les données
sur les sites litigieux au Bureau des droits de l'homme de l'OSCE,
basé à Varsovie, et à organiser un dialogue
avec les professionnels du web sur des systèmes de filtrage
des moteurs de recherche et de labellisation des sites.
- Joëlle Stolz
- Le Monde, 7 septembre 2003
LES
ZASSASSINS SONT PARMI NOUS
Fraud with Footnotes:
Revisionism as Historicide
- Neil Cameron, John Abbott College
-
- History professors who
assign their students term papers on aspects of the Second World
War, particularly with the Nazi concentration camps, sometimes
find themselves handed bibliographies that include articles from
the journal of the Institute of Historical Review. It is highly
unlikely that any of these students have found these articles
in any college or university library. They find them on the internet
and recognize no difference between them and others they
find elsewhere.
- However, despite its
innocuous title, the IHR is not a scholarly foundation, but a
crank front organization providing apologetics for Nazi Germany
and "research" denying the Holocaust. Early neo-Nazi
internet sites often boldly proclaimed their purposes, even including
swastikas. But the IHR is more discreet, reprinting articles
by obscure imitators of David Irving. The site blandly
presents itself as a gathering place for 'dissenting' scholars,
with no aim beyond a search for truth. Anything more than
a superficial look ought to reveal what it is really all about.
Unfortunately, the internet is the classic venue of the superficial
look, especially for students doing term papers.
- That the IHR boasts
of its "revisionism" is unlikely to provide them with
much warning, because many history students of recent decades
are much more likely to have been provided with plenty of
arguments about the merits of revisionism itself than they
are to have been given much of a foundation in the history that
is supposedly in need of revising. Even before the recent postmodernist
wave, history graduate faculties were already loaded with
future professors who had not so much learned history as historiography,
learning "American history," for example, mainly as
a review of the various conceptual schemes of Charles Beard,
Frederick Jackson Turner, and other such grand explainers, while
often remaining very poorly informed about anything that actually
happened in the United States between 1776 and the last quarter
of the twentieth century.
- During the 1960s, many
of these students were taught far more about what was claimed
by revisionists on the left, like William Appleman Williams and
Gabriel Kolko, than they were about what presidents from Truman
through to Reagan actually did, much less about the moves and
countermoves of the leaders of the Soviet Union. Granted, some
of their professors would also encourage them to revise these
revisionists in turn. However, while this usually amounted
to the rediscovery that the world of 1945 to 1980 was more like
what it was commonly believed to be off university campuses than
it was claimed to be on them, academia saw only a younger generation
achieving its place in the sun by another ritual devouring
of their elders.
- This permanent relativism
eventually laid the groundwork for a revisionism that would put
the most daringly wrongheaded of past years to shame. Revisionists
of the 1960s tried to select documents that would support otherwise
improbable explanations of which forces had most importantly
shaped the behaviour of past historical figures. The revisionists
of this era need few documents, new or old, since they treat
all accounts of the past as mere 'narratives' to be mangled and
dismembered on their feminist/post-colonial/anti-racist/gender-sensitive
Proc[r]ustean bed.
- Even more alarming than
the young academics who engage in this exercise are the academic
administrators who watch over this solipsist nonsense with benign
smiles. A surprising example can be found in the correspondence
columns of the 11 August 2003 National Review. An earlier
issue had reported, with understandable horror, that a Marine
captain had presented a paper at the United States Naval Academy
arguing that the Iwo Jima landing was a "racist" operation.
The NR article about it drew a response from the academic dean
and provost of the USNA. After some legitimate but irrelevant
celebration of the Naval Academy in general, the dean declared:
- The Academy's history
department conducts regular discussions of scholarly works-in-progress
by military and civilian faculty. In this crucible, ideas are
challenged, assumptions questioned, factual support assessed,
and clarity enhanced. Such was the discussion of this junior
officer's draft treatise... All present recognized the preliminary
nature of the paper, and the young officer is greatly offended
that someone not even present misused his draft research to bolster
preconceived notions.This response recalls the kind of answers
that the comic strip character "Dilbert" gets from
his nincompoop boss when he dares to point out the obvious. The
boss is not just scatterbrained; he keeps entirely missing the
point at issue. Either the academic dean and provost of the USNA
is being disingenuous, or he lives in the same fog as Dilbert's
boss. No one knowing anything of the war in the Pacific would
deny that there were elements of blanket anti-Japanese racial
prejudice mixed in with the primarily justifiable motives with
which the U. S. fought the war. But Iwo Jima was a battle, one
of many that had to be fought to defeat Imperial Japan. Centering
a paper on its "racist" aspects is comparable to studying
the destructive effects of the Battle of the Atlantic on halibut
stocks.
- This kind of research
is not instructive, but clever: a display of the student's familiarity
with fashionable preoccupations, not the historical events on
which these are brought to bear. The arrival of this subjectivism
in an officer training school is positively frightening. The
Naval Academy dean clearly needs to warm up his crucible, and
to have his own preconceived notions given a new bolstering.
What could arouse his alarm? A reinterpretation of D-Day as an
attempt to widen the market for Coca-Cola? A study of MacArthur
and Nimitz as closet queens, engaged in homoerotic rivalry? Or
would he rejoice in these exciting prospects? I think we should
be told.
- NAS, 26 août 2003.
- <http://www.nas.org/forum.html>
HABEMUS
PAPAM
- Pie XII,
révisionniste ?
- par Yves Chiron
- Citer le seul nom de
Robert Faurisson, si on ne l'accompagne pas d'épithètes
accablantes, paraît devoir disqualifier pour toujours celui
qui s'y risque. Robert Faurisson semble s'être discrédité
à jamais aux yeux, non seulement des médias mais
aussi de la communauté des historiens, par sa négation,
argumentée à travers des milliers de pages, de
l'existence de chambres à gaz homicides dans les camps
de concentration allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
- Je n'entrerai pas ici
dans cette controverse historique. En revanche, puisque Robert
Faurisson publie un ouvrage intitulé Le révisionnisme
de Pie XII (1) (121 pages, 15 ¤), je
le présente ici, en toute liberté, assuré
de n'être imité en France que par un nombre réduit
de confrères, dont le nombre se comptera sans doute sur
les doigts d'une seule main.
- Robert Faurisson part
d'un constat. Alors que la Seconde guerre mondiale venait de
se terminer en Europe, Pie XII, dans une célèbre
allocution devant le Sacré-Collège, le 2 juin 1945,
s'est montré impitoyable envers Hitler et le régime
nazi. Il a flétri " les méthodes les plus
raffinées pour torturer ou supprimer des personnes souvent
innocentes " mais, remarque Robert Faurisson, "
il n'a pas un mot pour un processus d'extermination physique
des juifs ou pour l'emploi de chambres à gaz d'exécution
". Faurisson ajoute : " Sur le sujet, il se taira jusqu'à
sa mort, en 1958. "
- Selon Robert Faurisson,
si Pie XII n'a jamais dénoncé pendant la guerre,
après la guerre et jusqu'à sa mort, les chambres
à gaz, c'est qu'il ne croyait pas à leur existence
historique. Certes, pendant la guerre, il a déploré
vivement le sort fait aux juifs, et à d'autres victimes,
mais jamais sans les nommer directement ni sans entrer dans le
détail des moyens de persécution employés
contre eux. La veille de Noël 1942, dans un radio-message,
il évoque les " centaines de milliers de personnes
qui, sans aucune faute de leur part, quelquefois seulement pour
raison de nationalité ou de race, sont vouées à
la mort ou à dépérissement progressif."
(2) Le 2 juin 1943, dans une allocution
au Sacré-Collège cette fois, le Pape déplorera
les " contraintes exterminatrices " auxquelles sont
voués " parfois " ceux qui sont " tourmentés
en raison de leur nationalité ou de leur race ".
- Robert Faurisson entend
montrer -- et il cite, à ce propos, un rapport diplomatique
américain intéressant -- que si Pie XII, pendant
la guerre, n'a pas dénoncé les chambres à
gaz homicides, ce n'est pas " parce qu'il ne savait pas
", mais parce qu'il n'y " croyait " pas. Et après-guerre,
le Pape n'aurait toujours pas été davantage persuadé
de l'emploi de ce moyen d'extermination par les Allemands et
de l'existence d'une politique génocidaire de Hitler.
- Les textes et documents
que cite Robert Faurisson éclairent bien le sujet. Quiconque
étudie l'attitude de l'Eglise pendant la Seconde Guerre
mondiale lira avec profit cette étude. Mais Robert Faurisson
ne peut produire aucun document (discours ou autre), même
les trois textes cités, où Pie XII aurait nié
ce qu'il n'a pas affirmé. La nuance est de taille. Qui
plus est, un pape n'avait sans doute pas à entrer dans
ce genre de controverse historique. Pie XII s'était-il
seulement fait une conviction sur le sujet, dans un sens ou dans
l'autre ? Peut-être pas.
- En tout cas, et Robert
Faurisson ne le nie pas, il l'affirme même, Pie XII fut
" profondément hostile à l'antisémitisme
" (p. 32) et " efficace dans son aide aux juifs "
(p. 38).
- Robert Faurisson établit
aussi un lien entre le " révisionnisme " de
Pie XII et la campagne contre son prétendu " silence
" qui ne cesse d'être relancée. Robert Faurisson
estime : " Pie XII a, jusqu'au bout, résisté
à la pression des organisations juives. Il a refusé
de cautionner aussi bien la religion naissante de l'"Holocauste"
(une imposture) que la création de l'Etat d'Israël
(une autre imposture, directement liée à la première).
Il allait payer cher son audace, mais à titre posthume.
"
- Dans l'annexe 3 de son
livre (l'annexe 2 étant mal venue dans ce volume, me semble-t-il),
Robert Faurisson souhaiterait ouvrir un autre dossier: sainte
Thérèse Bénédicte de la Croix (Edith
Stein dans le siècle) est-elle morte gazée à
Auschwitz en 1942 ? N'aurait-elle pas été victime
de l'épidémie de typhus qui ravageait alors le
camp ? Robert Faurisson, après avoir relevé différentes
imprécisions et contradictions, estime : " Des
diverses publications que j'ai consultées, il ressort
qu'en réalité on ne sait ni où, ni quand,
ni comment sont disparues E. Stein et sa soeur " (p.
103, souligné dans le texte).
- Robert Faurisson cite
six ouvrages ou articles consacrés à Edith Stein.
Je lui conseillerais de s'adresser au Postulateur général
de l'Ordre des carmes déchaux, le P. Simeone della Sacra
Famiglia, et de consulter les nombreux volumes de la cause de
canonisation, notamment la " Positio super Virtutibus
et super Martyrio " présentée devant la
Congrégation pour la Cause des saints le 2 avril 1986.
Peut-être y trouvera-t-il réponse à ses questions
?
1. En
français mais auprès d'un éditeur italien:
Graphos, Campetto, 4; I 16123 Genova, Italie
2.
Le passage est souligné par R. Faurisson qui cite le texte
original italien, "pprogressivo deperimento",
souvent traduit par "progressive".
-
- Yves Chiron, Aletheia,
IVe année - n· 45, 8 septembre 2003, 16 rue Berry,
f 36250 Nimerne. Reçu par mail.
- Yves Chiron est un auteur
aussi catholique que prolifique et parmi ses ouvrages on peut
signaler un très utile La véritable histoire
de sainte Rita. L'avocate des causes perdues, (2001, 239
p.). Les révisionnistes devraient avoir une vénération
particulière pour Sainte Rita. Chiron a publié
une brochure de 25 p. en 2000: Le Vatican et la question juive
en 1941. On peut se procurer ses ouvrages à SA DPF,
BP 1, 86190 Chiré-en-Montreuil.
BRUN-ROUGE
OU ROUGE-BRUN ?
- Dépêche
du Collectif antinazi du PCN
- Résistance européenne/EuropaÏsche
Widerstand
- 12 Septembre 2003
Belgique, France
: Les dérives rouge-brunes d'une certaine extreme-gauche.
-
- 1ère
Partie de notre enquête :
-
- Quand le
PTB et certains «communistes» pactisent avec les
neo-nazis de l'ex-Unite radicale !
-
- Le phénomène
devient préoccupant. Et certaines alliances sulfureuses
ne relèvent plus du hasard. Certains milieux gauchistes,
le PTB en Belgique, ou encore des intellectuels proches du PCF
en France, ont délibérément choisi d'opérer
des convergences et de mener des actions communes avec un
réseau barbouzard franco-belge, celui de l'Ex-«Unité
radicale» (UR), le mouvement néonazi dissous en
2002 après qu'un de ses militants ait tenté d'assassiner
Jacques Chirac.
- Divers visages pour
un même réseau néo-nazi
- Un réseau qui
agit aujourd'hui sous divers noms, dans un partage des tâches
opéré visiblement pour contourner la Loi française
sur la reconstitution de ligues dissoutes: «les identitaires»
(pour les «ultras de la guerre ethnique», comme les
appelle Le Point), le «Réseau radical»
avec son site «Voxnr», sa librairie en ligne «Librad.com»
et son fanzine photocopié Résistance, le
même titre que l'ex organe d'UR (pour les pseudo intellos).
Leur correspondant belge, qui leur est étroitement lié,
est le groupe néonazi «L'Assaut» (condamné
à plusieurs reprises pour agressions racistes).
- Ce réseau agit
sous le couvert de divers structures fantômes, sans action
réelle, et destinée à diverses provocations
bien ciblées: «Intifada européenne»,
«Comité Europe Palestine Irak», «Association
d'Amitié Europe Syrie», «Comité Nationalistes
contre l'OTAN» et autres «Résistance Verte».
- Le «Réseau
Radical» est un des groupuscules directement issus du groupe
néo-nazi «Unité Radicale» dissous l'été
dernier. Au mépris des lois visant la reconstitution de
ligue dissoute. A noter que le «Réseau radical»
continue de publier le journal d'«Unité radicale»,
sous le même titre. Le site Internet «Voxnr»,
et la librairie en ligne qui lui est associée, vendent
des ouvrages sulfureux, comme ceux d'Alfred Rosenberg,
théoricien et dirigeant nazi, auteur du Mythe du XXe
siècle (la seconde bible du nazisme après Mein
Kampf), condamné à mort et exécuté
à Nuremberg pour sa barbarie contre les peuples slaves.
- Des liens avec une
certaine extrême-gauche
- Tout cela ne serait
guère inquiétant, tant la manoeuvre est grossière,
si ce réseau n'avait trouvé des relais au sein
d'une certaine extrême-gauche belge et française.
- Il s'agit de liens tissés
depuis plusieurs années et qui apparaissent aujourd'hui
au grand jour. Le lien commun est à chercher notamment
dans un antisémitisme dissimulé sous un antisionisme
de façade.
- Et qui sert bien les
milieux sionistes, ce qui explique les relais dont dispose parfois
ce réseau dans les media.
- Quand le PTB entretient
des contacts avec des néo-nazis
- Le PTB, organisation
anarcho-maoïste qui a survécu à la débâcle
du gauchisme européen, ne manque jamais une occasion de
traiter ses adversaires et concurrents - trotskistes ou nationaux-communistes
- de «fascistes».
- Le PTB ne s'en est pas
moins engagé résolument dans des convergences étroites
avec le «réseau radical», directement issu
de l'ex-«Unité Radicale» néo-nazie.
- Lorsque l'on sait que
le correspondant des néonazis français en Belgique
est le groupuscule «L'Assaut», responsable d'une
attaque sanglante contre un stand du PTB à Liège
en 1992 (affaire qui sera jugée en 1996 malgré
la protection du Parquet de Liège, suite notamment à
l'action suivie de notre collectif), on mesure à quel
degré d'égarement en sont arrivés les dirigeants
du PTB !
- Quelques faits en sont
révélateurs :
- Candidat sur la liste
du PTB au Sénat (Collège francophone) lors des
législatives belges de mai 2002, Michel Collon est journaliste,
poisson-pilote du PTB dans divers milieux, notamment pro-Milosevic
(alors qu'il critiquait radicalement celui-ci dans son livre
Poker Menteur) ou pro-irakiens. Voilà pour le bon
docteur Michel. Mais il y a aussi un Mister Collon. Avec des
amitiés plus troubles, voire carrément brunes.
- On peut déjà
s'étonner de trouver parmi les correspondants de la mailiste
personnelle de Collon Jacques Marlaud, dirigeant du GRECE et
professeur à l'Université de Lyon III, qui défraie
depuis deux décennies la chronique comme bastion universitaire
de l'extrême-droite et du négationnisme.
- Mais là n'est
pas le plus grave. Car Collon s'affiche publiquement sur le site
«Voxnr» du «Réseau radical», où
il publie une tribune libre accompagnée de son email privé.
- (<http://www.voxnr.com/cogit_content/tribune_libre/Test-mdiassurlalibrationde.shtml)
- Le tout étant
également annoncé dans Résistance
(l'ex-organe officiel d'UR), «la lettre mel du Réseau
radical» (Vol 02 No 36, 13 avril 2003). Parmi les autres
articles publiés en même temps que celui de Collon
figure notamment «Le monde vu de ma cellule» de Michel
Lajoye, militant néonazi français emprisonné
pour des attentats racistes et barbouzards contre des foyers
d'immigrés !
- Collon n'est pas le
seul cadre du PTB a se faire publier sur «Voxnr».
On y retrouve aussi dans une page «Moyen-Orient»,
en compagnie d'auteur néofascistes, un article de David
Pestiau, responsable de Solidaire , l'organe du PTB.
- (<http://www.voxnr.com/cogit_content/etranger/Lesnouvellesforcesdersista.shtml)
- Pour l'anecdote, le
site d' «Unité Radicale» comportait lui un
lien direct vers le site du PTB.
- Troisième exemple
de dérive rouge-brune: Roger Romain, conseiller communal
«communiste» de Courcelles, lié au PTB, publie
une liste sur le Net liée à un site personnel.
On y faisait il y a quelques mois circuler ouvertement une pétition
lancée par le «Réseau radical» pour
la libération d'un néonazi russe emprisonné.
Malgré les protestations nombreuses, Romain a persisté.
- Quand les éditions
EPO diffusent leurs livres via une librairie néo-nazie
- Errements de militants
imprudents, bonne foi surprise, nous direz-vous ? L'ennui c'est
que le PTB, via sa maison d'édition EPO vient de se lier
commercialement au «Réseau radical» pour la
diffusion des livres de son catalogue sur la librairie en ligne
des néonazis «Librad.com». «Désormais
vous pouvez commander sur <librad.com les livres édités
par les éditions EPO», annonçait «
librad.com infos » (Vol 01 No 21, 11 septembre 2003).
- Des livres communistes
(1) qui côtoieront de nombreux ouvrages néonazis
(2) et négationnistes, notamment ceux d'Akribeia,
la maison d'édition du négationniste Plantin (3),
à commencer par ceux faisant l'apologie d'Alfred Rosenberg,
théoricien raciste nazi du Sang et du sol, condamné
et pendu à Nuremberg pour ses crimes en Europe de l'Est.
- Un coup d'oeil sur les
livres vendus par « Librad.com » est édifiant
(<http://www.librad.com): notamment les rubriques (qui
se passent de commentaires : Fascisme International, Fascisme
et NR Italien, Maurras et Monarchisme, Mouvement National (lire
Front National et MNR), National-Socialisme, Histoire Non-conformiste
(lire Négationnisme), Esotérisme, Evola
et Tradition (Evola dirigeait la revue La race, liée
à la SS, dans l'Italie de 1940-43), Sociétés
Secrètes, Héraldique et Symboles (intéressant
ouvrages sur la Croix gammée .), Littérature.
- «Librad.com»
diffuse aussi des revues néonazies comme Résistance
(organe du Réseau radical), Jusqu'à Nouvel Ordre
(GUD), Tabou . [...]
- De « l'Humanité
» au réseau neo-nazi
- La Belgique n'est pas
la seule touchée. En France, le poisson-pilote des convergences
rouge-brunes est Jean-Louis Izambert, auteur prolixe, ex-journaliste
à L'Humanité et proche du PCF et du PTB.
- Que ses nouveaux amis
de « Voxnr » présentent comme suit : «
ce journaliste ne cache pas ses sympathies communistes... Et
pas n'importe lesquelles, pas des sympathies pour Hue ou pour
Buffet qu'il considère comme des modérés,
voire des sociaux-démocrates. Lui, son communisme, il
est « rouge vif » et il s'incarne dans des petits
groupes d'opposants au sein du PCF, voire dans le très
radical et stalinien PTB de Belgique ».
- Izambert est à
la fois lié au groupuscule néonazi et raciste «
Les Identitaires » (ex UR) - auquel il donne des interviews
- et au « Réseau radical ».
- (<http://www.les-identitaires.com/aff_doc.php?id=313=6>)
- Il participait ainsi
aux dernières « Assises de la Radicalité
» à Livry-Gargan (Seine Saint-Denis). Sous ce nom
pompeux se cachait une réunion de travail confidentielle
(une dizaine de participants) entre néonazis et négationnistes.
Une réunion bien perturbée par l'action de notre
Collectif, qui fera interdire la réunion dans une
salle louée - au nom d'ATTAC !, dont on a usurpé
le nom ! (Le tout constituant au regard du code pénal
les délits de faux, usage de faux et abus de confiance)
- à la Mairie.
- Si le nombre de participants
- une grosse dizaine - mériterait de traiter cette réunion
par un juste mépris, la personnalité de certains
invités est révélatrice : les négationnistes
Serge Thion, Ahmed Rami et Pierre Guillaume, ou encore le gourou
de la secte OTO en France (secte sataniste, liée notamment
aux profanations de cimetières de l'été
1996 et impliquée dans le scandale des « dossiers
disparus » du Parquet de Nice), Jean-Loup Izambert, ou
encore un cadre local en partance du MRC Chevènementiste,
ancien colistier sur la liste unitaire de la gauche municipale
de la ville de Livry-Gargan en Seine Saint-Denis.
- Au moment où
on va vendre les ouvrages d'EPO et d'Izambert à la Fête
de l'Huma, il est temps que ces dérives rouge-brunes,
au détestable relent d'antisémitisme, soient condamnée.
Pas de liberté d'expression pour les provocateurs
!
- A suivre : La deuxième
partie de notre enquête traitera des liens entre néonazis,
islamistes, négationnistes et extrême-gauche.
- Résistance Européenne/Europaïsche
Widerstand (ces nouilles ne savent toujours pas où mettre
l'umlaut...)
- 39 rue des Vierges (ça
ne s'invente pas) B/1000 Bruxelles
D'après nos renseignements, ces
gens-là appartiennent à l'extrême-droite et
sont de petits jaloux qui débinent leurs collègues,
en faisant discrètement du pied aux flicards de gauche.
Ils travaillent manifestement pour les polices qui pourraient
leur acheter leur salade russe (du vrai, du faux, bien mélangé).
C'est pas bien joli, tout ça...
MAMAMOUCHI
Amos Luzzatto, réélu en
2002 grand mamamouchi de l'Unione delle Comunità Ebraiche
Italiane (UCEI) des juifs italiens:
«[...] si sviluppa
soprattutto in Europa, una ripresa dell'antisemitismo che si
esprime ricorrendo a vecchi arsenali di pregiudizi, purtroppo
anche a minacce di violenza, ad atti aggressivi, soprattutto
in Francia, in Germania, in alcuni Paesi dell'Est, ma che cominciano
ad affacciarsi anche in Italia. La novità di questo nuovo
antisemitismo consiste nella utilizzazione del conflitto medio-orientale,
e nel modo troppo spesso scorretto con il quale esso viene registrato
dai mass-media, come occasione per saldare assieme tutto ciò
che vi può essere di antiebraico, giustificando il
negazionismo, il revisionismo storico, alimentando nostalgie
e giustificazioni del nazismo, cancellando il ricordo della Shoà
e gli stessi moniti che ne derivano per il mondo civile e per
le società democratiche. [...]
<http://www.ragionamentidistoria.it/n5-n6/ucei.htm>
HAILI
HAILO PIÉTINONS GAIMENT
- Giant Swastika
Trampled Into Cornfield
-
- Berlin -- German police
discovered a giant swastika trampled into a cornfield near Berlin
but have not been able to figure out how the banned Nazi emblem
got there, a spokeswoman said Monday. A police team discovered
the 230-foot (80 m.) Nazi cross on a routine helicopter flight
earlier this month and alerted their colleagues on the
ground. "Once the police on the ground recognized the shape
from video footage they consulted the farmer and trampled
around the swastika until it was unrecognizable," said
a police spokeswoman in Koenigs Wusterhausen, in the eastern
state of Brandenburg.
- Reuters, 15 septembre 2003.
UNE
CHIALEUSE
- Le président
de la Knesset Reouven Rivlin, qui effectue actuellement une visite
officielle en Lettonie, a prononcé jeudi un discours devant
les membres du parlement de Riga.
- Il a notamment déclaré:
«Ceux qui ferment les yeux devant le terrorisme encouragent
ce microbe qui menace l'humanité toute entière.
Encore aujourd'hui, l'Europe continue, avec naïveté,
à croire qu'il est possible de nouer le dialogue avec
le terrorisme et d'accepter des compromis avec la dictature».
- Rivlin a tenu à
souligner que la Lettonie, qui venait de se libérer du
joug du totalitarisme et allait rejoindre prochainement l'Union
européenne, devait admettre que l'Europe, en faisant preuve
d'indulgence envers les régimes totalitaires, protégeait
inconsciemment le terrorisme qui mettait en danger le monde libre
sans distinction.
- Au cours de la cérémonie
en souvenir des membres de la communauté juive lettone
assassinés pendant la Shoah, Rivline a déclaré:
«Ceux qui pardonnent aux pires des meurtriers salissent
la mémoire des victimes». La présidente du
parlement letton, profondément émue par les propos
de Rivline, a éclaté en sanglots. Prenant
la parole après son hôte, elle a déclaré
que son pays s'engageait à se souvenir des crimes
odieux perpétrés pendant la seconde guerre mondiale
et à lutter pour qu'ils ne se reproduisent jamais. Elle
a ajouté que la Lettonie continuerait à enquêter
sur son passé pour désigner les vrais coupables.
- Arutz 7, 18 septembre 2003
UN CENTENAIRE
- The Protocols
of the Elders of Zion
- An International
Conference at Tel Aviv University
Between 1903 and 1907 the first editions of The Protocols
of the Elders of Zion were published in Russia. Since then
The Protocols, claiming a Jewish world conspiracy, has
become the most widespread antisemitic tool, having been translated
into numerous languages and published throughout the world.
- To mark 100 years of the
appearance of The Protocols, the Stephen Roth Institute
for the Study of Contemporary Antisemitism and Racism at Tel
Aviv University, in cooperation with the Zentrum für Antisemitismusforschung,
Technische Universität Berlin is planning to hold an international
conference, entitled "The Protocols of the Elders of Zion
100 years".
- The conference, which
will take place on the university campus on October 24 27, 2004,
will address the following topics:
- 1. The origins of the
notion of a Jewish conspiracy in the medieval Christian world
and its impact on Jewish-Christian relations.
- 2. The genesis of The
Protocols in response to Jewish integration in Europe.
- 3. The Protocols in the
service of Nazi Germany.
- 4. The notion of a Jewish
conspiracy and the dissemination of The Protocols in the US.
- 5. The notion of a Jewish
conspiracy as a political tool in communist countries.
- 6. The Protocols in South
America.
- 7. The Protocols in the
Arab world.
- 8. Legislation and legal
cases against dissemination of The Protocols, verdicts and enforcement.
- 9. Holocaust denial
as a variant of The Protocols.
- The proposed title of
your paper should relate to one of the topics above. Please e-mail
an abstract, together with a short curriculum vitae, to Dr. Roni
Stauber: <[email protected]>. The deadline for submission
of abstracts is 1.1.04
Nous voudrions suggérer le thèse
de réflexion suivant: est-ce que ce qui s'est passé
dans le monde depuis cent ans peut se comprendre à la lumière
des Protocoles ?
CENSURE
SENSÉE SÛRE
- Un manuel
d'histoire des religions retiré de la vente
- L'analyse
du judaïsme qu'il propose
- est c o n
t r o v e r s é e.
-
- par Daniel Licht
-
- «La mort dans
les camps d'extermination permet d'offrir une image christologique
du destin du peuple juif, qui n'a que des rapports fort éloignés
et politiquement très suspects avec le judaïsme véritable.»
Ce qui précède n'est pas l'extrait d'un éditorial
judéophobe, mais d'un manuel à l'attention des
enseignants, Enseigner le fait religieux, un défi pour
la laïcité, publié pour l'Education nationale.
Ses plus hauts responsables ont donc choisi d'étouffer
l'affaire avant qu'une polémique n'entache toute l'institution.
Pour la première fois, le ministère accepte le
retrait de l'une de ses propres éditions. L'affaire tombe
mal, alors que la commission Stasi poursuit ses travaux sur la
laïcité, que des violences antisémites se
produisent dans des collèges, que la controverse autour
du voile à l'école grandit.
- «L'enseignement
du fait religieux doit faire l'objet d'une approche transversale
et pluridisciplinaire. Dans le cadre de la laïcité,
le religieux est un fait culturel, un outil de lumière
qui permet de comprendre la société. Or ce livre
est tout sauf un ouvrage de pédagogie ouverte»,
déplore Jacqueline Costa-Lascoux, ex-présidente
de la Ligue de l'enseignement et membre de la commission Stasi.
- «Poison». Principal objet de la controverse
autour du livre de René Nouailhat (1), le traitement du
judaïsme. Publié chez Nathan, associé au Centre
régional de documentation pédagogique de Franche-Comté,
l'ouvrage est préfacé par le philosophe Régis
Debray, auteur en 2002 du rapport officiel définissant
l'enseignement du fait religieux. «Dans le contexte actuel,
c'est un poison dans lequel l'incompétence le dispute
à la bêtise. La laïcité a-t-elle perdu
la raison ?», s'inquiète un universitaire.
- Le verdict est tombé
jeudi lors d'une réunion extraordinaire du Centre
national de documentation pédagogique (CNDP), un organisme
public éditeur officiel de l'Education nationale. Son
président, Claude Mollard, ex-conseiller de Jack Lang,
estime qu'il est «nécessaire de retirer le livre
de la vente». Ajoutant : «Il faut que le sujet des
religions soit traité avec plus de rigueur. Pourquoi mettre
l'accent sur la Shoah et rien sur l'islamisme palestinien ? Il
n'y a rien sur l'Inquisition non plus. Nous allons constituer
une autre équipe et ensuite nous remettre au travail.
Rédiger un ouvrage sur le fait religieux est difficile
mais nous pouvons y arriver avec du temps.»
- Sa décision prise,
Claude Mollard a informé le cabinet de Luc Ferry, «pour
bien signifier qu'il ne s'agit pas de censure, mais pour montrer
ce qui ne va pas». De son côté, Régis
Debray -- qui reconnaît avoir préfacé l'ouvrage
sans l'avoir lu, au nom de sa confiance pour l'auteur -- admet
: «Le livre n'est pas bon, c'est un fait.»
- «Parti pris». Nombre de passages sont en fait
d'ostensibles entorses à la déontologie universitaire.
La Shoah y est décrite comme une catastrophe ayant
suscité «chez les juifs comme chez les non-juifs,
des comportements très particuliers, rendant les uns et
les autres fort sensibles à toute recrudescence possible
de l'antisémitisme. Tendance quasi paranoïaque
chez les uns, culpabilisation souvent maladive chez les autres».
Le professeur René Nouailhat ne nie pas un «certain
parti pris»: «Il est clair que le collaborateur [Daniel
Faivre, enseignant à Dijon et auteur du chapitre sur le
judaïsme, ndlr] émet des réserves sur une
certaine politique expansionniste d'Israël... Mais là
encore, il y a matière à débat, pas à
polémique. Nous nous sommes efforcés de traiter
le religieux avec une méthodologie scientifique.»
[...]
- (1) Historien spécialiste
du protochristiannisme, enseignant au centre universitaire catholique
de Dijon et responsable de mission au Secrétariat général
de l'enseignement catholique.
- Libération, vendredi 26 septembre 2003
<http://www.liberation.fr/page.php?Article=144918>
AU
COURRIER
- D'abord, merci beaucoup
pour votre courage, votre dévouement et vos efforts à
nous apporter toutes ces précieuses informations. Dans
cette ambiance d'étouffement intellectuel imposée
par la toute puissance des médias manipulateurs (de quoi
se poser sérieusement des questions sur la réalité
même des régimes "démocratiques"!),
vous contribuez à apporter de véritables bouffées
d'oxigène au cerveau.
- J'ai été
amené à visiter votre site après avoir fréquenté
quelques sites anti-révisionnistes où j'ai été
surtout surpris par la virulence, la haine aveugle même
qu'ils manifestent contres les "négationnistes"
et ceux qui "incitent à la haine". J'ai donc
voulu en avoir le coeur net et au bout du compte, après
des mois de lecture et de reflexion, j'ai dû admettre que
vos arguments sont les plus convaincants. Et je comprend aussi
maintenant la haine de vos adversaires, étant donné
l'enjeu et ce qu'ils ont tous à y perdre.
- Car il me paraît
aussi clair maintenant que la reconnaissance de la véracité
des thèses révisionnistes aboutira à une
remise en cause de tous les fondements de la société
et de l'ordre mondial établi depuis 45, non seulement
sur le plan intellectuel mais aussi politique, et par la suite
économique. En fait, ce sera une véritable révolution,
aux conséquences sans doute plus dramatiques encore que
celles apportées par l'arrivée et la chute du communisme.
Mais cette fois-ci, ce sera l'impérialisme occidental
qui en fera les frais. Pour les gens originaires du "tiers
monde", cela promet enfin de véritables espoirs...
- Alors tenez bon! Vos
efforts finiront par porter leur fruit. A vaincre sans péril,
on triomphe sans gloire. Et ce que votre combat promet d'apporter
est tel qu'il est un peu "normal" que l'on vous fasse
des misères avant de le permettre de triompher. Car je
ne vois pas comment "ils" pourront indéfiniment
empêcher l'éclatement de la vérité
sur ces affaires. Déjà, ils en sont donc réduits
à "argumenter" par flics et tribunaux interposés...
Ce sera juste une question de temps et d'opportunité.
Et d'autant plus que désormais, de plus en plus de gens
ont intérêt à ce que les choses aillent dans
ce sens.
-
- A. (le nom a une consonnance
peut-être malgache) 21 sept.03
PARUTIONS
§== Auschwitz
1940-1945. Weztowe zagadnienia z dziejw obozu.
- Five volumes of the
history of the camp published by the Auschwitz-Birkenau State
Museum entitled Auschwitz 1940-1945. Authors include:
Franciszek Piper, Tadeusz Iwaszko, Irena Strzelecka, Andrzej
Strzelecka, Danuta Czech, Stanislaw Klodzinski, Alexander Lasik,
Henryk Swiebocki et al. translation by William Brand. Published
by PMA-B 2000, ISBN 83-85047-87-5.
- I. The establishment
and organization of the camp
- II. The prisoners -
their life and work
- III. Mass murder
- IV. The resistance movement
- V. Epilogue
§== On a toujours
tort de
ne pas rendre régulièrement visite au site de notre
ami Michael A. Hoffman II, qui est un révisionniste conséquent
et un chercheur infatiguable, doublé d'une plume superbe.
<http://www.hoffman-info.com/news.html>
Sommaire des derniers numéros de
sa Revisionist History Newsletter :
- No. 28: Liar, Liar
- Saddam's "Weapons
of Mass Destruction," Those "Cheering Iraqis."
It Was all a Hoax. Hoffman exposes the Liars' Culture that Permeates
America. From resumes to phone calls, it's now permissible for
us to tell "little white lies" and "fibs."
Why it is never right to lie (with one extraordinary exception).
How widespread lying in our culture is rotting the moral fabric
of America. Also: Patriots for Profit -- Inside the Corporate
Machine that Rules the White House. Plus: Nicky Blackburn on
the horrors of life as a gentile living inside "Israel."
And: Top Tacoma Cop was D.C. Sniper Conspirator. Back page: The
Mysterious Death of Dr. Diesel, and the debut of the world's
first (and only) revisionist Crossword puzzle. $7.00
- Revisionist History
No. 27: They
Need the Terror: Tracing Ariel Sharon's Role in Suicide Bombings
of Israelis.
- Also: Donald Rumsfeld's
Secret Relationship with Saddam Hussein; Sifting the Space Shuttle
for the Hand of God; Hoffman Makes Front Page Headlines in England;
Patriot II Legislation. Admiral Poindexter, DARPA and the Pentagon
Pyramid. $7.50
- Revisionist History
Newsletter No. 26:
- Decoding the D.C. Sniper
Hoffman's in-depth analysis of the latest Frederal government
operation -- assassination of Federal agent, use of Pentagrams
and Tarot cards; "Total Recall," hypnotic cues, the
Manchurian candidate, episodic state terrorism. PLUS: Is America
the Antichrist? Deliberate bombing and persecution of Christians,
the Mark of "Kanne," Biblical identification of Bush
as the new Pharaoh confirmed by new Department of Defense logo.
Induction of Civic Insanity--it's all documented here! Newsletter
No. 26:Decoding the D.C. Sniper. $7.50
- Voir
- <http://www.hoffman-info.com/cgi-bin/store/commerce.cgi?product=news&cart_id=>
§== Fins dernières. From: Steven Berkowitz
- Shalom: I will be teaching
an Eschatology course commencing Sept. and wondered if anyone
knew of websites that approach the issues from a strictly
Hebraic view, without the church influences creeping in?
(H-antisemitism)
§== Sort des presses.
A new issue of Holocaust
and Genocide Studies has been made available, Fall 2003; Vol.
17, No. 2
- URL: http://www3.oup.co.uk/holgen/hdb/Volume_17/Issue_02/
- Includes: Review Essay,
"Auschwitz, Capital of the Holocaust", Peter Hayes,
pp. 330-350; et surtout ça:
- Books Received. "Recently
Published Works in Holocaust and Genocide Studies", pp.
385-407.
- Douze pages de titres
de publications récentes sur le Zolo des Zolos ! Rien
que douze pages. N'en jetez plus, la cour est pleine !
§== En russe. Jürgen GRAF, Mythe ou Holocauste ?
<http://www.ovsya.com.ua/Books/Graf-mif.htm>
brochure publiée à Moscou
par Russkij Vestnik, 1996, 128 pages.
§= Allumés
du Talmud.
Carol Valentine s'était distinguée, il y a plusieurs
années, en créant sur le Web un site dédié
à l'affaire de Waco, (Texas) la prise d'assaut meurtrière,
en avril 1993, des forces de l'ordre, contre un groupe de doux
illuminés, les "Branch Davidians", qui n'avaient
qu'un seul tort: se retrancher dans leur ferme et refuser de se
rendre. Les flics ont tué 80 personnes avec des moyens
militaires, y compris tanks et lance-flammes. Un joli massacre,
tout à fait dans la tradition des flics américains:
on tire d'abord et on pose des questions ensuite. On peut y voir
l'acte inaugural d'une nouvelle période de l'histoire des
Etats-Unis, marquée par le recours aux massacres de civils,
avec Oklahoma City, Nairobi, New York et les tours jumelles, l'Afghanistan,
l'Iraq et la suite. La suite, c'est nous, sachons-le.
C'est le Waco Holocaust Electronic Museum,
qui se trouve à
<http://www.public-action.com/SkyWriter/WacoMuseum>
Visite recommandée, sauf aux âmes sensibles. Le site
a cessé d'évoluer en 2001 mais reste accessible.
Carol Valentine est passée à
un autre sujet.
Elle crée un "forum éducatif
pour l'examen des vérités religieuses et de la tolérance
religieuse", appelé Come and Hear, Venez et
Entendez.
On le trouve sur <come-and-hear.com>
Il s'agit du Talmud. S'appuyant sur tout
un tas de rabbins tous plus respectés les uns que les autres,
et en insistant sur le fait que la tolérance ne peut venir
que d'une connaissance mutuelle, notre "hôtesse"
remarque benoîtement que le Talmud est extrêmement
mal connu des non-juifs, (pour ne rien dire des juifs eux-mêmes)
que c'est bien dommage, et qu'il existe une traduction (dite)
complète, dite édition Soncino, parue en Angleterre
entre 1935 et 1948, sous la direction du rabbin Isidore Epstein,
rééditée en 18 volumes en 1961. Le but, dit-elle,
est d'augmenter la compréhension inter-culturelle entre
les juifs et les non-juifs. On ne voit pas que la générosité
d'un tel projet puisse être suspectée.
- «There are about
12,800 printed pages in the Soncino Talmud, not counting introductions,
indexes, glossaries, etc. Of these, Come and Hear has put about
8050 pages on line, comprising about 1460 files about 63% of
the Soncino Talmud. However, this should in no way be considered
a substitute for the printed edition, with the complete text,
fully cross-referenced footnotes, a master index, an index for
each tractate, scriptural index, rabbinical index, and so on.
The sole purpose for the presentation of this text is to provide
full context for the many things that are said and heard about
the Talmud, and to invite further study.»
Voici ce qu'en dit, par ailleurs, un argumentaire
de vente pour un début de traduction française:
« Cette oeuvre (plus
de 5000 in-quarto pour le seul Talmud de Babylone) est le lieu
des débats entre ces géants de l'esprit passionnés
par le raisonnement logique, les anciens maîtres des zougot,
puis des tanaïm, auteurs de la Michna et des baraïtot.
Ces premiers énoncés de la Tora orale (-200 à
+220) seront passés au crible des souvenirs, des traditions,
des controverses, de la cohérence intellectuelle et historique
dans les yéchivot de Babylonie et d'Erets-Israël.
Là dominaient les amoraïm, auteurs de la Guemara,
experts en raisonnements, ivres de morale, de piété
et d'espérance qui, jusqu'au Ve siècle en Babylonie
(le Talmud de Jérusalem sera achevé plus tôt
et à la hâte en raison des circonstances historiques),
vont fixer les grands principes et les détails des lois.
Le Talmud reste, par excellence,
l'ouvrage de référence du judaïsme rabbinique
dont les pages ne cessent d'être lues, scrutées,
commentées, en des milliers de centres d'études
à travers le monde.
Si la Bible est la clef
de voûte du judaïsme, le Talmud en est le pilier
central. Livre fondateur d'un peuple, d'une culture et d'une
religion, il a soutenu l'entier édifice, spirituel et
intellectuel de la vie juive jusqu'à ce jour. Dans la
tradition d'Israël, aucun autre ouvrage n'a présenté
un pareil modèle de créativité, théorique
et pratique et n'offre une somme de savoir comparable.»
Mais les bonnes manières oecuméniques
de Carol Valentine ne sont pas sans arrière-pensées.
Ce qu'elle veut c'est, enveloppée dans le prétexte
imbattable de la tolérance et de la judéophilie,
montrer les horreurs que le Talmud déverse sur les chrétiens
et leur religion, évidemment considérée comme
une sorte de schisme. Le Talmud a en effet été rédigé,
principalement à Babylone et à Jérusalem,
à une époque où triomphait partout au Moyen-Orient
la jeune religion chrétienne, c'est-à-dire du deuxième
au sixième siècle après Jésus-Christ,
avant le surgissement imprévu de l'islam. Ayant perdu le
centre de gravité de l'ancienne religion avec la prise
de Jérusalem et la destruction du Temple en 70 après
J.-C., et donc aussi la caste sacerdotale réduite à
l'inaction et à l'effacement, les juifs de Mésopotamie
et de quelques écoles repliées dans des villages
de Palestine, ont dû inventer une nouvelle religion, sans
prêtres, sans sacrifices, sans temple, qui s'est réduite
aux commentaires inlassables de commentaires portant sur des commentaires
du texte prétendument sacré. Et voilà comment
s'est fait le Talmud, par empilement de commentaires, juridiques,
rituels, principalement, et en lutte violente avec la nouvelle
religion qui a su se fabriquer des prêtres, des sanctuaires,
une croyance simple dans un événement fondateur,
etc. D'où la jalousie, la hargne et même la haine
de ceux qui sont restés dans la mouvance des écoles,
empreintes d'un juridisme étroit, de Babylone et de Palestine,
à qui s'appliquait dès lors un nom nouveau, celui
de "judéens", (yehudi) qui a donné
le mot "juif". La connotation est géographique,
faisant référence à un Etat disparu depuis
le IIIe siècle avant J.-C., et nullement religieuse.
Remplaçant les prêtres disparus, inutiles sans le
Temple, dont les descendants devaient se contenter de se faire
appeler "lévy" ou "cohen", les rabbins
sont demeurés des "civils". N'importe qui peut
se faire rabbin. Le tribunal rabbinique de tel endroit ne peut
voir ses sentences exécutées dans tel autre. En
somme, si les mots avaient un sens, on pourrait dire qu'il n'existe
plus de religion juive, depuis 70 après J.-C., mais qu'il
y a un empilement de textes plus ou moins obscurs, interprétés
par des experts autoproclamés plus ou moins compétents,
plus ou moins ravagés par des accès mystiques et
des bouffées délirantes, dont on a une belle collection
depuis des siècles. Beaucoup de rabbins croient aujourd'hui
à la réincarnation et à toutes sortes de
sornettes qui font rire les juifs eux-mêmes. Mais on trouve
toujours des justifications dans le Talmud, écrit, on ne
le dit jamais assez, par des esprits échauffés par
la culture perse et hellénisée de la fin de l'Antiquité.
Le Paradis, les Anges, et tout le train sont directement empruntés
aux Perses, qui étaient, avec les Romains, la grande puissance
de l'époque. Le Moyen-Orient est d'ailleurs resté
perse (sassanide) jusqu'à la conquête par les musulmans:
Fin de la rédaction du Talmud. Rappelons qu'il est en très
grande partie rédigé en araméen et qu'on
vient de publier une ...traduction en hébreu ! Pour une
traduction française, voir:
<http://www.col.fr/judaisme/talmud/artscroll_release.htm>
Edition prévue en 73 volumes...
Certes, Carol Valentine n'est pas la première
à se pencher sur les accès de haine démente
contre le christianisme contenus dans le Talmud. On en aura une
vue en français sur un site canadien "anti-sataniste":
<http://www.144000.believer.ca/30.htm>
Venez et Entendez ! Tout un programme.
§== Classe dirigeante.
- The title of this new
inter-active CD-book is The Jewish Ruling Class in America.
- The origin of this volume
rests simply in a question posed about the state of Israel: "How
can such an anti-democratic, ethnocentric, racist, and morally
bankrupt socio-political system (Zionism) be so grossly misrepresented
as a noble endeavor throughout modern America?" Originally
conceived as a traditional book, and a scholarly one, it was
soon clear that no publisher would ever be willing to produce
so frank an investigation about it's subject matter. Above and
beyond all other people, Jews, in western society, have been
popularly configured to be beyond the pale of public criticism.
And this censorship is zealously, militantly, enforced.
- The title of this CD-book
is The Jewish Ruling Class in America. This refers to
the popular notion that the Jewish people are historical victims,
and victims only (never oppressors, never exploiters), always
persecuted, and always scapegoats for irrational prejudice. People
of Jewish heritage are irrefutably pre-eminent, and often dominant,
in many crucial areas of American popular culture. The second
reason for this title, refers to the paradoxical fact that Jews
in America are quite the opposite of victims: this project explores
the enormous Jewish representation in positions of power and
influence in American (and western) society, which serves towards
codifying Jewish and Zionist legend as fact. This investigation,
analyzing traditional religious -- and secular Zionist --Jewish
identities, illustrates why this should be of serious concern
to all Americans, including Jews. Continued denial of the
facts of history by the Jewish community serves no one's
best interest -- in the LONG term, least of all their own. The
facts of history cannot be denied, and dissimulated, forever.
(Note: Israel Shahak, Israel Shamir, Alfred Lilienthal, John
Sack, Norman Finkelstein, and a few others of Jewish heritage
are among the scholarly inspirations for this project. These
men's courageously honest works are trailblazers away from institutionalized
Jewish hypocrisy. If they represented the norm in the Jewish
community, there would be no reason to write this book).
- It is massive -- in traditional
book terms over 2,000 pages long (not including the bibliography),
featuring about 10,000 citations from nearly 4,000 magazines,
scholarly journals, and newspapers (as well as a few web sites).
This has taken a number of years to accomplish.
- All text on this CD-book
may be copied freely. It is intended as an educational source
to counter the avalanche of bias and distortion championed in
the name of Israel and Jewish mythos. In recent decades, post-Holocaust,
this avalanche is not abetting, but growing. Skeptical readers
of this work are encouraged to go to the original sources of
citations and excerpts by other (mostly Jewish) authors quoted
here. Read, read, read. Expand horizons, don't limit them.
- Readers may go to any
chapter of this CD-book in any order they please. It is an inter-active
CD-book. And to understand the full context for each chapter,
and the full dimension of any given fact, the entire volume is
a mosaic that interrelates and informs each respective part.
Many readers will probably look first, perhaps, to the chapters
about Jewish/Zionist influence in government and the mass media.
To fully understand why it is important (and rational, and non-prejudicial)
to note who is Jewish in these fields, the reader must comprehend
the nature of traditional Jewish collective identity, the overwhelming
Jewish allegiance to the ideology of Zionism and the state of
Israel, and parallel Jewish power in other fields -- subjects
explored in other chapters.
- This CD-book is written
by: a group of moral, ethical people gathered to create a clearinghouse
for facts about this subject matter. Among these facts is organized
Jewry's relentless defamation of Ukrainians, African-Americans,
Poles, Iranians, Russians, Arabs, the Swiss, Christians, Muslims,
and whoever else has been their neighbor in history. Jewish identity
in fact categorically defines ALL non-Jews as, in varying degrees,
"anti-Semites," whether one responds with a curse for
being cheated by a Jewish merchant in 16th century Poland, throws
a stone at an Israeli tank, or merely goes to church on Sunday.
The militantly enforced declaration of categorical Jewish innocence
throughout history is preposterous. Yet Jewish identity continues
to demand both material and moral concessions from EVERYONE,
for alleged crimes against Jewry since the creation of Jewish
identity.
- This CD-book seeks public
dialogue, and public forum, from a critical perspective, about
the subject of Jews in America (and throughout the world). To
those who read this volume, the reason for this critical attitude
("Why did you write this book?") will be clear. Injustices
perpetrated by the powerful, whoever they are, must always be
challenged.
- The continued assault
upon, and critical deconstruction of, the WASP power establishment
towards a more balanced power equity by multiculturalist advocates
is a long tradition in this country. But what about a power elite
that is very much part of the "white" establishment,
albeit immune from criticism (one which paradoxically demands
victimhood status even from its collective base in the heart
of the Western world's power centers), and in fact predominates
in so many fields? By what moral premise are these powerful people
screened from public analysis? Why the double standard? No one
has any problem with assailing the WASP establishment as a COLLECTIVE
entity, irrespective of any individual WASP's class or political
belief. Why is it forbidden to criticize Jewry in the same manner
when it is they that have been so profoundly instrumental in
shaping the social, economic, cultural and political fabric of
America?
- This CD-book asserts
that no particular people are entitled to special treatment above
all others, no people are "unique" in the garden of
humanity, no people in history have a corner on tragedy, no group
of people are inherently leaders of all the rest, and that social
systems should be morally riveted towards remedying human suffering
in its most universalistic sense, with justice, and respect,
for all. These are the cornerstones for the creation of this
volume. That criticism of the Jewish community is somehow publicly
configured to evidence the OPPOSITE of these tenets is a foundation
of this investigation.
- The Jewish Ruling
Class
- For the inter-active
CD-book send $20 donation to the address below. Or pay by credit
card thru e-mail or by phone:
- RePortersNoteBook.com,
253 west 72nd St. #1711, New York, NY 10023. Tél.: 00
1 212-787-7891. Michael Santomauro
§== Bousier. Pour les entomologistes, c'est une mine. En tout
cas pour ceux qui s'intéressent aux scarabées qu'on
appelle plus communément les bousiers. Le bousier a cette
habitude remarquable de s'introduire dans des tas d'excrément,
d'en façonner une boule et de la rouler dans un coin pour
la mettre à l'abri. C'est ce que fait Willis Carto, manipulateur
de l'extrême-droite américaine et détourneur
de fonds professionnel. Il a été à l'origine
de l'Institute of Historical Review et en a été
expulsé, plusieurs années après, pour avoir
empoché un gros héritage destiné à
l'Institut. Il s'en est suivi de nombreuses années de procès
où il a été reconnu comme coupable de détournement,
acculé à la faillite, mais il n'a jamais rendu l'argent.
Il a mis sur un site (le Willis Carto site file directory) une
prodigieuse quantité de documents sur cette sombre et sinistre
affaire, qui ne nous a jamais occupés, mais il pourrait
se trouver parmi nos lecteurs des entomologistes qui voudraient
observer de près comment le bousier fait sa pelote et la
met en mouvement:
<http://homepage.mac.com/lsf/directory.html>
§== ¡ Hombre
!
En Argentine, on rend hommage à
notre ami Norberto Rafael Ceresole, «escritor y uno de los
2000 revisionistas del orbe». L'institut argentin de coopération
technologiques et des relations internationales, où il
avait prononcé plusieurs conférences, ouvre un site
à cet effet:
<http://www.iactri.unlugar.com/>
encore en construction.
§== Binettes. Les photos du
week-end organisé, comme chaque année, "Real
History" par David Irving à Cincinnati, 28 août-1
er septembre 2003 et quelques mots sur les conférences:
<http://www.fpp.co.uk/cinc/2003/report.html>
§== Miséricorde
! Encore un qui tente de faire
carrière sur notre dos. Il pond une thèse. Bon.
Sur quoi ? Sur La Négation du génocide nazi.
On voit déjà rien qu'au titre que c'est lourdement
chargé d'idéologie. C'est du politiquement korrrekkt.
L'auteur est inconnu au bataillon: Martin Imbleau, ce qui tend
à justifier la vieille notion selon laquelle tous les ânes
s'appellent Martin. Non, c'est un puceau canadien qui a reçu
le prix d'excellence Pierre-Elliott Trudeau au Canuckistan.
"D'une valeur de
1500$, ce prix est remis à un étudiant en droit
inscrit à la maîtrise ou au doctorat s'étant
distingué par l'excellence de son dossier universitaire
et qui effectue une recherche sur la justice sociale, le fédéralisme
canadien ou les droits et libertés de la personne. Le
mémoire de maîtrise de Martin Imbleau traite du
négationnisme et s'inscrit tout à fait dans un
des thèmes retenus par M. Trudeau: les droits et libertés
de la personne."
Pas de bol. Comme on sait, les révisionnistes
ne sont pas des personnes.
<http://www.forum.umontreal.ca/numeros/2000_2001/forum_00_09_05/article13.html>
On peut voir la tronche de ce torvine de maringouin !!!
Chez l'Harmattan, mai 2003. Sous-titre:
Liberté d'expression ou crime raciste ? La négation
de la Shoah en droit international et comparé. ISBN
2-7475-4384-6 (br.) : 35 EUR. 442 pages.
442 pages ! Saudit tabernouche ! Miséricorde
!!!
§==
Vigies lentes. Les
antifafs lorrains restent vigilants, ou vigilents... Dossier sur
l'affaire Berger:
<http://www.bialorraine.ras.eu.org/negationnisme/pagnega.htm>
§== Rural en diable. "Ecrivain
campagnard", Raoul Vaneigem ne fait, depuis 1967 et la sortie
de son livre Traité de savoir-vivre à l'usage
des jeunes générations, que de se répéter,
de plus en plus mollement jusqu'à atteindre, aujourd'hui,
le coma dépassé. En plus, ce qu'il ne dit pas, c'est
qu'il vit d'une rente à lui versée par les autorités
de la Belgique francophone. Dans ces moëlleuses conditions,
l'ancien subversif édenté peut jouir d'une page
savignesque dans Le Monde (12 septembre 2003). Nous avons
relevé quelques phrases d'un pamphléticule (il faut
bien justifier sa rente) paru à La Découverte, et
intitulé Rien n'est sacré, tout peut se dire.
Réflexion sur la liberté d'expression. Le titre,
comme on dit chez les bobos, "nous interpelle quelque part".
Extraits:
- «Si nous voulons
garder trace de l'abomination ancienne, méfions-nous de
la fascination qu'elle exercera, sous couvert du "devoir
de mémoire", tant que nous n'aurons pas construit
la situation qui en dissuade à jamais la renaissance.
Ne voit-on pas aujourd'hui l'horreur de l'holocauste, dont le
souvenir devrait prémunir contre tout acte inhumain, servir
de caution à une politique israélienne qui accable
le peuple palestinien et accuse d'antisémitisme quiconque
élève la voix pour la réprouver? »
(p. 33)
- «Je soutiens qu'interdire
les ouvrages et les publications révisionnistes est une
erreur à plus d'un titre:
- « a) le nombre
et l'évidence des témoignages vécus permettent
au premier venu [en l'occurrence Sa Suffisance Vaneighem,
qui disserte sur ce qu'il ne connaît pas ] d'aiguiser
sa critique à l'encontre des spéculations oiseuses
contestant l'existence et l'importance des camps d'extermination
[derechef]. Les assertions délirantes engagent
en outre à s'interroger sur les démarches des érudits
négationnistes et sur les raisons d'une telle incongruité.
C'est tenir les lecteurs et les auditeurs pour des demeurés
que de leur dénier la faculté de juger par eux-mêmes.
[Quand on voit l'exercice que fait le gros Raoul de cette
faculté, on peut ressentir des doutes. ]
- « b) L'anathème
érige en martyr le défenseur d'une cause perdue
[non, merci, on se porte à merveille ],
l'auréole de la vérité couronne sans peine
un mensonge jugé digne de sacrifice et étayé
par un discrédit unanime. [Il se goure complètement.
Nous disposons au contraire d'un vaste crédit, qui ne
peut pas s'exprimer publiquement. ]
- « c ) Condamner
pénalement le révisionnisme a sacralisé
la réalité historique du martyrologe juif, qui
n'avait nul besoin d'une consécration religieuse, si ce
n'est dans l'usage qu'en tire la politique de répression
menée par le gouvernement israélien à l'encontre
des Palestiniens. Si ce n'est dans son exploitation par un affairisme
dont Norman Finkelstein établit le constat dans son ouvrage
L'Industrie de l'Holocauste, indépendamment des
conclusions contestables qu'il en tire.
- « d ) Le droit
de proférer impunément des stupidités ou
des infamies incline à les mener jusqu'à l'outrance
où elles se défont d'elles-mêmes.»
(p. 35-36)
On voit que notre brav'campagnard arrive
à ces outrances en trois coups de cuiller à pot.
Il est largement temps pour lui d'écrire un "traité
de savoir-vivre à l'usage des vieilles générations
menacées par le gâtisme."
§== Extrêmement
pratique ce
site classe les nouvelles (AFP, AP, Reuters, mais également
des journaux locaux et régionaux, ainsi que des sites internet
indépendants) selon le sujet choisi. La liste de sujets
est très longue (des centaines) et parmi ceux-ci il y a
"Holocaust" et "Hitler". Il y a quelques sites
qui font quelque chose de similaire, notamment Yahoo et Google,
mais Newstrove a beaucoup plus de choix, garde des archives des
liens plus longtemps que les autres et offre des liens vers des
sources très variées. En anglais seulement mais
on présume que des sites similaires vont éventuellement
voir le jour dans d'autres langues.
<http://holocaust.NewsTrove.com>
§== Tantine est
de sortie. Tante Gluglu se répand
à nouveau dans les gazettes. Elle est tellement affligeante
de connerie que nous n'en dirons pas plus. Enterrons Tante Gluglu
une fois pour toutes et n'en parlons plus. Quant à BHV,
il vend ses salades en Amérique. Pourvu qu'ils le gardent.
Vidal-Brochet ne sort plus de son trou, l'ahuri reste au fond
de sa poubelle et Touche-nerfs fait les petites annonces. Ils
nous font des vacances. Merci les p'tits gars.
§== Nos amis suisses.
- «Profitant de
la liberté d'expression règnant aux États-Unis
d'Amérique, "Vérité & Justice"
a décidé d'y héberger son nouveau site internet.
Plusieurs documents y sont disponibles comme le contre-rapport
Bergier ou tous les numéros du bulletin de "Vérité
et Justice", "organe national de la résistance
antitotalitaire". Ce site évoluera au fil du temps
et nous espérons que vous serez de plus en plus nombreux
à le visiter.»
Quand la vérité
n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie.
<http://www.verite-justice.com/>
++++++++++++++++++++
Informations et commentaires tirés
du site aaargh
Les versions PDF se trouvent aux adresses
suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0308.pdf>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
Ce texte a été affiché
sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
une utilisation mesurée par le Secrétariat international
de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
est <[email protected]>.
L'adresse postale est: PO Box 81475, Chicago, IL 60681-0475, USA.
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à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
[email protected]