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N'oubliez
pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,
Liste des numeros de la nouvelle série,
numéro
33 (décembre 2003)...
Le Courrier des Incrédules
Conseils
de révision
Actualités
de décembre 2003
oooOOO§§§OOOooo
Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
où les numéros sont téléchargeables
en format pdf.
oooOOO§§§OOOooo
"Les jours
du despotisme talmudique sont comptés".
Hors Mahler
Chirac told
Singer (Chairman of the World Jewish Congress Executive) that
Jews are the cause of anti-Semitism in France and everywhere else.
Manfred Gerstenfeld
interview with Israel Singer,
"Restitution: The Second Round," Post-Holocaust and
Anti-Semitism, November 2, 2003.
<http://www.jcpa.org/jl/vp506.htm >
"Well,
the reaction of the world shows that they control the world."
"Exclusive Interview of Dr.Mahathir, by Pichai Chuensuksawadi"
Bangkok Post, October 21, 2003.
Naturally,
then, in searching for the "root cause" of anti-Semitism,
the Jewish state would appear to be the prime suspect. But Israel,
it should be clear, is not guilty.
The Jewish state is no more the cause of anti-Semitism today
than the absence of a Jewish state was its cause a century ago.
Nathan Chtaransky,
ex-dissident soviétique,
ministre israélien des affaires diasporiques,
Commentary, nov. 2003
"Deep
down, I believe that a little anti-Semitism is a good thing for
the Jews
- reminds us who we are." --Jay Lefkowitz (NYT Magazine.
12 F. 1995, 65)
Now Deputy assistant to the US President for Domestic Policy.
TOUJOURS
L'AFFAIRE DU PRISONNIER ZÜNDEL
Les séances des 6 et 7 novembre
du procès Zündel concernant sa mise en liberté
sous caution n'ont pas encore amené le juge à prendre
sa décision. Cette dernière devrait être rendue
le... 10 décembre.
Quelques points marquants de ces journées:
- Le 6 novembre: Ernst Zündel est
entré dans le prétoire les deux mains menottées
et tenant bien difficilement les documents dont il avait besoin
pour l'audience qu'il avait réunis dans une taie d'oreiller
en guise de sac... Doug Christie, son fidèle avocat de
20 ans qui allait le défendre pendant ces deux jours pour
la dernière fois, fit état d'une découverte
qu'il venait de faire: le juge Pierre Blais, ce juge unique dont
la décision sera irrévocable, a été,
il y a quelques années, patron du CSIS (Canadian Security
and Intelligence Service), l'organisme même qui est à
l'origine du fameux "certificat" qualifiant Ernst Zündel
de "menace pour la sécurité du Canada"!!
Autrement dit, ce juge est à la fois juge et partie, et
on peut se demander ce qui pouvait bien se dire lors de ces nombreuses
audiences à huis-clos entre le juge et le CSIS auxquelles
ne pouvaient assister ni l'inculpé ni son avocat!
Doug Christie a donc demandé à
nouveau au juge de se récuser, d'autant plus que, en tant
qu'ancien dirigeant du CSIS, ce dernier n'avait pas pu ne pas
être au courant de l'affaire scandaleuse dénoncée
dans le livre d'Andrew Mitrovika, "Covert Entry", qui
raconte comment le CSIS avait prévenu ses agents, chargés,
à la poste, d'ouvrir les courriers de Zündel, de ne
pas ouvrir un certain colis piégé destiné
à Zündel. Le juge ne s'est pas démonté
et a rétorqué à D. Christie qu'il faisait
perdre son temps au tribunal et dérailler le procès.
- Le 7 novembre: le juge Blais a laissé
entendre qu'il pourrait libérer Zündel sous caution,
mais à certaines conditions, à commencer par la
suppression d'un certain nombre d'articles placés sur le
site de sa femme, le Zundelsite. "Mais comment pourrais-je
me conformer à une telle décision?" a demandé
Zündel. "Vous dites qu'il faut trouver une formule pour
persuader ma femme d'abandonner les droits qui sont les siens
comme citoyenne américaine, afin que son mari ne reste
pas à pourrir dans une prison canadienne. Si on m'ordonne
de ne plus communiquer avec elle, c'en est fini de notre mariage."
Puis le juge fit allusion au mandat d'arrêt
lancé contre lui par l'Allemagne le 17 février 2003,
12 jours après son arrestation dans sa maison du Tennessee.
Dialogue:
- - Le juge: Vous pensez
qu'en Allemagne vous n'auriez pas droit à un procès
équitable?
- - EZ: Non. C'est bien
pour ça que j'ai déposé une demande de statut
de réfugié.
- - Le juge: Si [une fois
libéré] vous receviez l'ordre d'être déporté
en Allemagne, est-ce que vous vous présenterez pour y
être emmené?
- - EZ: A Fort Erie, le
17 février, j'ai signé un engagement comme quoi
j'acceptais volontairement d'être transféré
en Allemagne une fois que j'aurai épuisé toutes
les autres possibilités légales. Je ne m'enfuirai
pas. Si le Canada en arrive à cette extrémité,
je partirai. Croyez-moi.
Une anecdote qui en dit long: Pour montrer
combien Zündel est un homme dangereux, le procureur MacIntosh
a fait visionner un court extrait d'une vidéo prise lors
d'une conférence de Zündel. Ce dernier, ainsi que
son avocat, après bien des difficultés, ont obtenu
que l'intégralité de la vidéo soit visionnée
et, là, le juge s'est aperçu que le procureur avait
fait dire à Zündel exactement le contraire de ce qu'il
disait en réalité! Le juge n'a pas apprécié
et a réprimandé le procureur.
A l'annonce des résultats de ces
deux séances, voici ce qu'écrit Ingrid Zündel-Rimland:
- "Vous ne savez
pas quoi? - c'est encore ce maudit Zundelsite qui empoisonne
les censeurs canadiens!
- Pensez donc - si je
veux récupérer mon mari, on dirait qu'il faut que
je leur vende mon site! Ernst a eu bien raison de dire au juge:
'Je suis le premier otage de la Toile au monde...'
- Je suis en train de
concocter un sondage où je pourrais m'adresser comme ça
au peuple américain: 'Etes-vous d'accord pour que je vende
votre précieux Premier Amendement aux Kommissaires kanadiens
afin que je récupère au Tennessee mon mari kidnappé?
Si c'est non, il va falloir que vous m'aidiez. Si c'est oui,
c'est votre liberté qui va s'envoler par la fenêtre
- vous pouvez être bien tranquilles!'
- Que vont-ils me répondre,
d'après vous?"
On peut écrire un mot à:
Monsieur Ernst Zündel, Toronto West
Detention Ctr., 111 Disco Road, Box 4950, REXDALE, ON. M9W 1M3
(Canada)
COMMENT
FONCTIONNE LE PROCÈS Z ?
- Le procureur en charge("The
Crown"), Macintosh a dit clairement au juge: "Il s'agit
de savoir si le certificat, rédigé par les services
secrets et déclarant Z un danger pour le pays, est "raisonnable"
ou non, et non pas nécessaire correct ou vrai.
- Par conséquent,
il s'agit pour lui de montrer que Z est coupable pas association:
il a connu telle ou telle personne, qui a fait, à tel
moment, telle ou telle déclaration qui, prise hors de
son contexte, peut prêter à caution ou donner l'impression
d'être favorable à activités terroristes.
Même si Z n'est en rien mêlé à ces
déclarations, faites en dehors de lui et des relations
très épisodiques (comme une simple rencontre de
dix minutes, quinze ans auparavant), le principe d'association
permet de tirer la conclusion selon laquelle il est "raisonnable"
de penser que Z est associé à des terroristes,
même si l'accusation veut bien convenir que ce n'est pas
nécessairement vrai. Si le juge tient ces constructions
pour "raisonnables", le certificat sera validé
et Z expulsé vers l'Allemagne, dans la cage où
les tigres l'attendent.
- Rappelons que pour ce
genre d'affaire, il n'y a pas d'appel; juge unique, pas de jury;
certaines audiences sont secrètes: le prévenu et
son avocat ne peuvent pas y participer. Ceux qui appellent ça
de la "justice" sont priés de dire pourquoi.
Ce n'est pas la Corée du Nord mais le Canada. Ceux qui
voient une différence sont priés de nous la signaler.
- Le juge, qui a travaillé
au sein des services, avait menacé le public qui murmurait
devant les délais toujours prolongés qui font traîner
cette affaire en longueur. Dans ce public se trouvait une avocate,
Anita Bomberg, portant un badge du B'nai Brith. Après
les menaces du juge du siège, un supporter de Z dit entre
ses dents: "Dieu sauve ce pays". Bomberg, qui se trouvait
à côté de lui, se pencha vers le protestataire
et lui dit: "Je pourrais vous signaler au juge".
(Power, 295, 7 octobre 2003).
COMMENTAIRES SUR LA
JOURNÉE DU 18 NOVEMBRE:
- Ernst Zündel est
entré dans le prétoire les mains menottées
et entouré de 5 malabars.
- Hier soir, au cours
d'une très courte conversation téléphonique
avec sa femme Ingrid (cinq minutes seulement lui ont été
accordées), il a pu dire que dans l'ensemble il était
très satisfait de sa nouvelle équipe de défenseurs
qui ont manifesté beaucoup de mordant.
- Son impression, cependant,
n'est pas à l'optimisme car la Cour suprême du Canada
- d'après ce qu'a cru comprendre sa femme - semblerait
avoir perdu une bonne part de son indépendance récemment
en rendant des arrêts favorables au CSIS...
- L'avocat Peter Lindsay
a cherché à démontrer que la détention
d'Ernst Zündel était illégale et inconstitutionnelle.
- Il a également
démontré qu'aucune violence n'était jamais
venue de la part de Zündel mais au contraire de ses adversaires,
citant notamment l'incendie criminel de sa maison puis l'envoi
d'un colis piégé. Dans le premier cas, le criminel,
qui avait été pris en photo par la caméra
de Zündel, était vu en train de déposer un
bidon d'essence devant le domicile de Zündel et d'y mettre
le feu, mais il n'a jamais été recherché;
dans le second cas, les deux malfaiteurs que la police canadienne
soupçonnait n'ont jamais été inquiétés.
Zündel a été victime de bien d'autres persécutions
en raison de ses opinions. Le juge Lauren Marshall, qui fut son
avocat il y a bien des années, avait reçu à
l'époque des menaces de mort, et son enfant de 7 ans avait
reçu également un coup de fil lui disant: "Si
ta maman va au tribunal, on la tuera".
- Pour montrer l'inconstitutionnalité
de la loi sur l'immigration, Me Lindsay critiqua le fait que
le juge s'arrogeait le droit d'accepter pour preuve n'importe
quel élément de son choix: des articles de presse,
des on-dit, des témoignages de 2e ou même de 3e
main, tous témoignages pour lesquels il n'est même
pas demandé de prêter serment et où les témoins
ne sont même pas contre-interrogés... Pour Me Lindsay,
cette loi sur l'immigration permet d'envoyer n'importe qui en
prison sans preuve. De plus, dans le cas, comme celui de Zündel,
où un certificat a été émis disant
qu'une personne constitue une menace pour la sécurité
du Canada, il n'est même pas demandé au juge de
déterminer si la personne est réellement un danger
pour la sécurité mais simplement de dire si le
certificat en question est "raisonnable"! Or, si le
juge estime que Zündel ne constitue pas une sécurité
pour le Canada mais que les autres, c.à.d. le ministère
de l'immigration et le procureur général, ne sont
pas d'accord (comme c'est le cas ici), le juge est tenu de dire
que le certificat est "raisonnable" et cette dernière
appréciation se transforme en ordre de déportation
qui sera irrévocable (pas d'appel possible).
- En fin d'audience, le
procureur Macintosh a déclaré au juge, Madame Benotto:
"On vous demande de prendre une décision à
partir de dossiers incomplets. Lors des séances qui se
sont tenues à huis-clos le ministre de la justice et le
ministre de l'immigration ont apporté des preuves qui
montrent que M. Zündel constitue une menace pour la sécurité
du Canada"!!!
- Les interventions se
termineront demain. Les anglophones pourront se reporter au Zundelsite
à: http://www.zundelsite.org
- Rappelons l'adresse
où vous pouvez envoyer vos dons pour contribuer à
payer les frais colossaux : -- Ingrid Rimland-Zündel, 3152
Parkway #13, PMB 109, PIGEON FORGE, TN. 37863 (USA) (les billets
en euros placés dans une enveloppe à cette adresse
sont toujours parvenus à leur destinataire).
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LA
MAHLER INITIATIVE
LIGUE
Ce 9 novembre 2003, Horst Mahler a inauguré
à Vlotho/Weser, en présence d'une soixantaine de
membres fondateurs, l'"Union pour la réhabilitation
des personnes poursuivies en raison de leur contestation de l'Holocauste"
(Verein für Rehabilitierung der wegen Bestreitens des Holocaust
Verfolgten). La réunion s'est déroulée sans
incident et sans intervention de la police.
Communiqué
de presse de Horst Mahler à propos de la création
de
l'Union pour la réhabilitation des Persécutés
de la Négation de l'Holocauste
-
- A la date historique
du 9 novembre 2003 vient d'être fondée à
Vlotho, en Allemagne, l'Association pour la Réhabilitation
des Persécutés de la Négation de l'Holocauste
("Verein zur Rehabilitierung der wegen Bestreitens des Holocaust
Verfolgten" ou "VRBHV"). C'est le Germano-Suisse
Bernhard Schaub, professeur d'histoire, lui-même victime
de persécutions, qui a été élu président.
Il aura pour adjointe Ursula Haverbeck-Wetzel, directrice du
Collegium Humanum.
- A la suite de l'article
de Fritjof Meyer, rédacteur en chef du Spiegel,
sur "Le nombre des victimes d'Auschwitz - Nouvelles découvertes
dans les archives", paru dans le magazine Osteuropa
(n* 5/2002) sous la responsabilité de Rita Süßmuth,
ancienne présidente du Bundestag, l'Association a pour
objet de rouvrir les procès ayant donné lieu à
des condamnations pour négationnisme ou minimisation de
l'Holocauste conformément au §130 art. 3 et 4 du
Code pénal [allemand].
- De telles condamnations
sont toutes fondées sur la thèse assenée
par l'historiographie en vigueur selon laquelle l'extermination
industrielle de millions de juifs en raison de leur race qui
s'est produite sous la responsabilité du Reich allemand
et sous le mandat du chancelier Adolf Hitler (connue sous le
nom de "Holocauste") est un fait évident qui,
en conséquence, n'a pas besoin d'être démontré.
- Dans son article, qui
a fait l'objet d'un examen de la part de nombreux procureurs
qui l'ont estimé inoffensif, Meyer avance la thèse
selon laquelle aucun meurtre de masse n'a eu lieu dans les morgues
des crématoires I et II du camp principal d'Auschwitz
jusqu'à ce jour décrites comme lieux du crime.
Les découvertes de Fritjof Meyer confirment les recherches
faites par le professeur Robert Faurisson et Paul Rassinier (France),
de Fred Leuchter et d'Arthur Butz (Etats-Unis), de David Irving
(Royaume-Uni), de Jürgen Graf (Suisse), Walter Lüftl
et Wolfgang Frölich (Autriche), Frederick Töben (Australie),
et bien d'autres "révisionnistes" qui ont rassemblé
les preuves réfutant ce qu'on appelle le Mensonge d'Auschwitz.
- Si les historiens ci-dessus
mentionnés nient totalement l'exécution en masse
des juifs à l'aide de Zyklon B, Fritjof Meyer, lui, prétend
que les gazages à l'aide de Zyklon B ont probablement
(!) eu lieu dans deux fermettes extérieures au camp d'Auschwitz,
et qu'ils ont gazé probablement (!) 356.000 personnes
(juives et non juives). Il devient ainsi évident que les
poursuites fondées sur la prétendue "évidence"
de l'Holocauste peuvent être considérées
comme une forfaiture de l'appareil judiciaire.
- L'Association vise à
éliminer l'exclusion pratiquée à l'égard
des persécutés telle qu'elle a existé jusqu'à
ce jour, à garantir la prise de conscience par le public
de leur combat pour la justice et à leur fournir les moyens
de gagner leur combat judiciaire.
- Voici quelques-uns des
principaux membres fondateurs:
- Ernst Zündel, infatigable
défenseur de l'honneur de l'Allemagne (sous "haute
surveillance" au Canada, dans des conditions dignes de celles
de Guantanamo) et sa femme, la romancière Ingrid Zündel-Rimland
(Etats-Unis)
- Le professeur Robert
Faurisson (France)
- Le directeur de musée
Rainer Daehnhardt (Portugal)
- Germar Rudolf, auteur
du Rapport Rudolf (en exil)
- Jürgen Graf, auteur
(en exil)
- Gerd Honsik, auteur
du livre Freispruch für Hitler (en exil)
- Wilhelm Stäglich,
auteur du livre Le Mythe d'Auschwitz (Allemagne)
- Frederick Töben,
directeur de l'Adelaide Institute (Australie)
- Andrea Studer (en exil)
- Hans-Dietrich Sander,
rédacteur en chef de Staatsbriefe (Allemagne)
- Manfred Röder,
combattant allemand de la liberté (en prison)
- Frank Rennicke, chanteur-compositeur
allemand
- Hans Schmidt, éditeur
(Etats-Unis)
- Anneliese Remer, veuve
du major général Otto Ernst Remer (Espagne).
- Dans une lettre en date
du 9 novembre 2003 au signataire, Robert Faurisson invitait "tous
les révisionnistes" à s'associer à
l'initiative de cette association. Une copie de cette lettre
en anglais, en allemand, en italien et en français est
jointe à ce communiqué de presse.
- Vlotho/Berlin, le 11
novembre 2003
- Pour le comité
exécutif,
- Horst Mahler
- Remarque de ce jour
de R. Faurisson: "Je regrette que [dans ce communiqué
de presse] le nom de Paul Rassinier apparaisse après le
mien, et celui d'Arthur Butz après celui de Fred Leuchter.
Et quid de Ditlieb Felderer, qui a été le premier
révisionniste de terrain? Je relève des inexactitudes
au sujet de l'article de Fritjof Meyer. Je constate avec plaisir
que des révisionnistes se sont compromis dans l'aventure
et j'invite les autres à suivre leur exemple. Nul ne se
fait d'illusion sur l'avenir d'une telle initiative mais je pense
qu'il convient, jusqu'à preuve du contraire, de soutenir
Horst Mahler.
- Horst Mahler:
- Pressemitteilung
-
- An einem geschichtsträchtigen
Jahrestag, am 9. November 2003, hat sich in Vlotho der "Verein
zur Rehabiltierung der wegen Bestreitens des Holocausts Verfolgten"
(VRBHV) gegründet. Zum Vorsitzenden wurde ein ebenfalls
Betzroffener, der Deutsch-Schweizer Geschichtslehrer Bernhard
Schaub gewählt. Seine Stellvertreterein ist die Leiterin
des Collegium Humanum, Ursula Haverbeck-Wetzel.
- Gestützt auf einen
Artikel des Leitenden SPIEGEL-Redakteurs Firtjof Meyer, "Die
Zahl der Opfer von Auschwitz - Neue Erkenntnisse durch neue Archivfunde",
erschienen in der von der Bundestagspräsidenten a.D. Rita
Süßmuth verantworteten Zeitschrift "Osteuropa"
(Heft 5/2002) strebt der Verein die Wiederaufnahme von Strafprozessen
an, die zur Verurteilung wegen Leugnung bzw. Verharmlosung des
Holocausts gemäß § 130 StGB Abs. 3 und 4 StGB
geführt haben.
- Diesen Urteilen liegt
ausnahmslos die These zugrunde, daß der von der herrschenden
Zeitgeschichtsschreibung behauptete rassistisch motivierte, millionenfache
industrielle Judenmord in der Verantwortung des Deutschen Reiches
unter der Reichkanzlerschaft von Adolf Hitler ("Holocaust"
genannt) eine offenkundige, also des Beweises nicht bedürftige
Tatsache sei.
- In seinem Aufsatz, der
von zahlreichen Staatsanwaltschaften in verschiedenen Bundesländern
geprüft und für strafrechtlich unbedenklich erklärt
worden ist, vertritt Meyer die These, daß in den bisher
als Tatort bezeichneten Leichenkellern der Krematorien I und
II im Stammlager Auschwitz Massentötungen nicht stattgefunden
haben.
- Die Erkenntnisse von
Fritjof Meyer bestätigen die Forschungsergebnisse von Prof.
Robert Faurisson, Paul Rassinier (beide Frankreich), Fred Leuchter,
Arthur Butz (beide USA) Germar Rudolf, Wilhelm Stäglich,
Udo Walendy (Deutschland), David Irving (UK) , Jürgen Graf
(Schweiz), Walter Lüftl, Wolfgang Fröhlich (beide Österreich),
Fredrick Töben (Australien) und zahlreichen anderen "Revisionisten",
die Beweise zur Widerlegung der sogenannten Auschwitzlüge
beigebracht haben.
- Während die genannten
Historiker Massentötungen von Juden durch das Gas Zyklon
B gänzlich in Abrede stellen, geht Fritjof Meyer davon aus,
daß Vergiftungsaktionen mit Zyklon B wahrscheinlich (!)
in zwei Bauernhäusern ausserhalb des Lagers Auschwitz stattgefunden
hätten mit "wahrscheinlich (!) 356.000 im Gas Ermordeten"
(Juden und Nichtjuden).
- Damit ist die auf vermeintliche
"Offenkundigkeit" des Holocausts gegründete Strafverfolgungspraxis
als Justizverbrechen offenkundig geworden.
- Der Verein soll durch
organisierte Anstrengungen die bisher vorherrschende Vereinzelung
der Verfolgten aufheben, ihrem Kampf um Gerechtigkeit die notwendige
Wahrnehmung in der Öffentlichkeit gewährleitsten und
die finanziellen Mittel für einen erfolgreichen Rechtskampf
bereitstellen. Als Gründer haben u.a. mitgewirkt:
- Ernst Zündel, unermüdlicher
Kämpfer für die Ehre Deutschlands (in "Sicherheitshaft"
unter Guantanamo-Bedingungen in Kanada) und seine Ehefrau, die
Novellistin Ingrid Zündel-Rimland (USA)
- Prof. Dr. Robert Fausrisson
(Frankreich)
- Museeumsdirektor Rainhardt
Daehnhardt (Portugal)
- Germar Rudolf , Verfasser
des "Rudolfgutachtens" (im Exil))
- Jürgen Graf , Buchautor
(im Exil)
- Gerd Honsik, Verfasser
des Buches "Freispruch für Hitler" (im Exil)
- Wilhelm Stäglich,
Verfasser des Buches "Der Auschwitzmythos"
- Fredrick Töben,
Direkteur des "Adelaide Institute for Historical Research"
- Andres Studer (im Exil)
- Hans-Dierich Sander,
Herausgeber der Staatsbriefe
- Manfred Röder,
Deutscher Freiheitskämpfer (im Gefängnis)
- Frank Rennicke, Deutscher
Liedersänger
- Hans Schmidt, Publizist
(USA)
- Anneliese Remer, Witwe
des Generalmajors Otto Ernst Remer (Spanien)
- Prof Robert Faurisson
hat in einem an den Unterzeichneten gerichteten Brief vom 9.
November 2003 "alle Revisionisten" eingeladen, sich
der Initiative des Vereins anzuschließen.
- Eine Abschrift des Briefes
in Französisch, Englisch und Deuts ist dieser Presseerklrärung
angefügt.
- Vlotho/Berlin am 11.
November 2003
- Im Auftrage des Vorstandes
LA
LETTRE DE R. FAURISSON
- Dès que j'ai
appris l'existence de votre association qui vise à réhabiliter
les victimes de la répression judiciaire pour contestation
de l'"Holocauste" (Verein zur Rehabilitierung der
wegen Bestreitens des Holocaust Verfolgten ), j'ai demandé
à faire partie de cette association et je vous ai envoyé
ma contribution financière.
- Votre initiative est
ingénieuse et je lui souhaite plein succès. J'invite
tous les révisionnistes à s'y associer.
- Vous m'avez invité
à votre première réunion, qui aura lieu
le 9 novembre 2003. La date est bien choisie puisqu'elle marque
l'anniversaire de la chute, en Europe, d'une tyrannie qu'on pouvait
croire éternelle. Le lieu est également bien choisi
puisque le nom de Vlotho/Weser est associé à celui
de notre ami Udo Walendy, qui a tant oeuvré pour le rétablissement
de la vérité historique et, en même temps,
pour sa patrie allemande.
- C'est bien volontiers
que je me rendrais à cette réunion mais je pense
que la police allemande procéderait, séance tenante,
à mon arrestation. Or j'ai trop de travail pour prendre
des vacances, fût-ce dans une geôle allemande.
- Je ne fais, en matière
de liberté de recherche historique, aucune confiance à
la police et à la justice françaises et encore
moins à la police et à la justice allemandes. A
vrai dire, aujourd'hui, plus aucun pays au monde n'offre d'asile
sûr aux révisionnistes. Même la Chine, le
Japon, la Russie servent Mammon ou bien le craignent, et donc
le servent. Les Etats-Unis, malgré l'existence du Premier
Amendement, et le Canada viennent de montrer, avec l'exemple
du traitement cruel réservé à Ernst Zündel,
jusqu'à quel degré d'iniquité ils peuvent
descendre pour plaire à Mammon. Ernst Zündel est
une figure héroïque du peuple allemand, un homme
exceptionnel qu'on ne peut qu'admirer, si on le connaît
vraiment.
- En 1999, j'ai publié
un ouvrage de plus de 2000 pages rassemblant quelques-uns de
mes écrits de 1974 à 1998. Cet ouvrage s'ouvre
sur un "In Memoriam" où j'évoque, parmi
les noms des morts, Franz Scheidl, Hellmut Diwald et Reinhold
Elstner. A propos de ce dernier, je rappelle qu'il s'est immolé
par le feu, à Munich, le 25 avril 1995, en signe de protestation
contre le "Niagara de mensonges" déversé
sur son peuple. Les derniers mots de cet "In Memoriam"
sont les suivants :
-
- "Puisse [mon livre]
se lire aussi comme un hommage aux vraies souffrances
de toutes les victimes de la guerre de 1939-1945, que
ces victimes aient appartenu au camp des vainqueurs qu'on encense
ou à celui des vaincus qu'on ne cesse, depuis près
d'un demi-siècle, d'humilier et d'offenser."
- Je rappelle que ces
mots datent de 1998. Depuis cinq ans, la situation n'a fait qu'empirer.
Le Niagara de mensonges n'a fait que s'élargir et se renforcer.
Nous n'avons pas le droit de nous croiser les bras et de contempler
en silence l'étendue des dégâts. Nous devons
agir et réagir.
- C'est ce que vous tentez
de faire.
- Comme tout le monde,
j'ignore les chances de réussite de cette tentative mais,
personnellement, je veux m'y associer quelles que soient, par
ailleurs, les différences d'opinion ou d'appréciation
qui peuvent opposer les combattants d'une même cause.
- En décembre 1980,
j'avais résumé en une phrase de soixante mots français
le résultat de mes recherches historiques. Cette phrase,
je l'avais prononcée à Radio Europe 1, non sans
la faire précéder de l'avertissement suivant: "Attention
! Aucun de ces mots ne m'est inspiré par une sympathie
ou une antipathie politiques." Voici cette phrase :
-
- "Les prétendues
chambres à gaz hitlériennes et le prétendu
génocide des juifs forment un seul et même mensonge
historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière,
dont les principaux bénéficiaires sont l'Etat d'Israël
et le sionisme international et dont les principales victimes
sont le peuple allemand mais non pas ses dirigeants et
le peuple palestinien tout entier."
- Vieille de vingt-trois
ans, cette phrase n'a pas besoin, je présume, d'être
retouchée.
- On m'a accusé
d'être antijuif. En réalité, je ne veux aucun
mal aux juifs. Ce que je revendique, c'est le droit de parler
des juifs avec autant de liberté que j'ai le droit, par
exemple, de parler des Allemands. Et je demande que les juifs
soient privés du droit de me faire du mal, soit physiquement
(j'ai subi de leur part dix agressions physiques entre 1978 et
1993), soit par l'entremise d'une loi spéciale qu'ils
ont fini par obtenir, le 13 juillet 1990, et qu'en France nous
appelons "loi Fabius-Gayssot", "loi Faurisson"
ou "loi antirévisionniste". Il est scandaleux
que, parmi les milliards de faits qui constituent l'histoire
de l'humanité, un seul fait, que les juifs appellent "Holocauste"
ou "Shoah", ne puisse être contesté sous
peine de prison, d'amendes, de dommages-intérêts,
de publications judiciaires forcées, d'interdiction professionnelle,
etc. Il y a là un privilège exorbitant et nous
réclamons l'abolition de ce privilège.
- Voilà un objectif
simple, clair, limité.
- Pour moi, le révisionnisme
n'est pas et ne doit pas être affaire d'idéologie;
il est une affaire de méthode pour atteindre à
la plus grande exactitude possible.
- C'est à l'exactitude
historique que j'aspire et donc à la suppression de tout
ce qui entrave la libre recherche de cette exactitude.
- Tous mes voeux vous
accompagnent.
Sur le site <www.rense.com>
on trouvera, sous le titre "Revisionist 'Anti-Defamation
League' Being Formed", la version anglaise de la lettre de
soutien adressée, ce 20 octobre, par Robert Faurisson à
Horst Mahler. Cette lettre a été lue à l'assistance
dans sa version allemande.
L'
INITIATIVE
Introductory remarks
by Fredrick Töben
-
- German lawyer Horst Mahler
has initiated an action in Germany that some regard as merely
a lit candle to which the Revisionist moths fly to their doom.
Someone reminded me that Revisionists are perhaps a little more
intelligent than those moths that are blinded by the light.
- However, there is room
for caution, especially when we recall that Ernst Zündel
has spent almost a year in a Canadian 'detention' centre because
he will not bow to the 'Holocaust' dogma and stop pointing out
what a massive lie it is.
- Wolfgang Fröhlich
is currently spending one year in an Austrian prison for the
same reason. There are many others who are spending time in prison
because of their refusal to accept this oppressive dogma.
- So, as in any enterprise
we need to be careful, especially when we approach the 'Holocaust'
industry upon which in part the so-called New World Order rests.
- Decades-long propaganda
has made the world pliable and intellectually fuzzy. The latest
word that joins the other shut-up words such as 'hater' and 'antisemite',
is denialism.
- In Australia a couple
of academics have begun with their policing efforts to thereby
stifle open enquiry -- and that is very sad for our up-coming
generation because their minds will definitely suffer from arrested
development.
- Professor Arthur Butz
has quietly fought the good fight at the same time held on to
his professorship at North Western University which in itself
is miraculous and reflects upon his moral and intellectual courage
and integrity. His 1970s book, The Hoax of the Twentieth Century remains a classic.
- Below is his considered
opinion about the Mahler initiative that is to force the German
judiciary into action as Mahler gathers around him those individuals
who have been persecuted-prosecuted for so-called 'Holocaust
denial', in many European countries, and including Canada and
Australia.
- Mahler's case is strong
because he uses the 2002 Fritjof Meyer article that in effect
eliminates the claim that Auschwitz was a death camp where millions
of Jews were murdered in homicidal gas chambers, this being one
of the three major pillars on which the 'Holocaust' lie rests.
Le 18 novembre 2003, 15:31, Adelaide Institute
à:
<[email protected]>
L'AAARGH, en tant qu'association, souscrit
aux objectifs affichés par cette nouvelle Union pour la
réhabilitation des personnes poursuivies en raison de leur
contestation de l'Holocauste. Sa création répond
à un besoin de justice et de liberté.
LES
CAVES SE REBIFFENT
Un "antisioniste"
de choc
- Ex-gauchiste
devenu néo-nazi, Horst Mahler expose ses thèses
sur le complot juif.
-
- Horst Mahler est un
avocat qui défendit autrefois les membres de l'ultra-gauche
allemande, et fut inculpé pour avoir pris part aux actions
terroristes du groupe Baader-Meinhof. Puis il passa de l'extrême
gauche à l'extrême droite, adhéra à
l'idéologie néo-nazie (comme un certain nombre
d'anciens militants allemands d'extrême gauche: Rainer
Langhans, Reinhold Oberlercher, Günther Maschke, Klaus Reiner
Röhl, Bernd Rabehl, etc.) et s'engagea dans le combat contre
les droits des travailleurs immigrés.
- Sur un point, cependant,
Mahler n'a jamais varié: son antisionisme acharné.
Hier, sa défense des droits des Palestiniens passait pour
une posture de gauche. Il est évident désormais
qu'il s'agit d'un antisémitisme débridé.
- Aujourd'hui âgé
de 67 ans, Horst Mahler est un militant négationniste.
Cet été, il avait monté le projet de se
rendre à Auschwitz afin de "prouver scientifiquement"
l'inexistence des chambres à gaz. Le projet dut être
annulé car, peu avant son départ prévu pour
le 30 juillet, Mahler se vit retirer son passeport par les autorités
allemandes. Le ministre de l'intérieur de l'Etat du Brandebourg
justifia sa décision par le souci de la réputation
internationale de l'Allemagne [Note de l'AAARGH: aucun sioniste
ne trouvera jamais antidémocratique ou attentatoire aux
droits de l'homme une atteinte à la liberté de
circuler librement, tant que la victime n'est pas un sioniste.
Cf
le texte de Shamir, d'octobre 2000, qui dit tout sur la question.].
- Cette affaire suscita
de vifs conflits au sein des pro-palestiniens, principalement
aux États-Unis. Si les uns s'opposaient à toute
alliance avec un homme aussi déconsidéré,
d'autres étaient solidaires de Mahler et voyaient dans
l'annulation du voyage la marque d'un "lobby juif".
- S'il avait pu se rendre
à Auschwitz, Mahler y aurait prononcé un discours
dont le texte a été diffusé [Note de
l'AAARGH: nous
en avons, bien sûr donné une traduction], depuis lors, sur plusieurs
sites Internet négationnistes avec les encouragements
d'un antisémite professionnel qui signe Israël Shamir.
Dans ce texte délirant, Mahler explique que grâce
au mythe d'Auschwitz "l'Etat d'Israël massacre tous
les jours le peuple palestinien" et "les Juifs"
ont "carte blanche" pour "inciter publiquement
à la troisième guerre mondiale". Puis vient
un long développement sur les Protocoles des Sages
de Sion, avec à l'appui des "documents"
publiés en Allemagne sous le régime nazi.
- Chacun sait aujourd'hui
que ces prétendus Protocoles, qui furent à
la base de l'antisémitisme nazi et jouissent toujours
d'une immense popularité dans le monde arabe, ont été
inventés par des agents tsaristes, au tournant du XXe
siècle, en plagiant un pamphlet français qui visait
Napoléon III. Mais Mahler "sait", lui, que les
Protocoles sont authentiques. Ils ont été
publiés sciemment, car par leur publication "les
Juifs cherchent à intimider les peuples". En effet,
"c'était un trait de génie talmudique de faire
aboutir ce texte chez les agents secrets du tsar, pour prétendre
ensuite qu'il s'agissait d'un faux de ces services secrets".
- Mahler nous apprend
ensuite que "les tours du World Trade Center ont été
victimes d'une conspiration juive". (Il n'est pas seul à
partager ce sentiment: le négationniste français
Serge Thion s'est lancé récemment dans la publication
de textes visant à "prouver" que les attentats
du 11 septembre 2000 sont le résultat d'un complot, suivez
mon regard.) Il fonde donc ses espoirs sur une "insurrection
armée contre le règne des Juifs aux États-Unis".
Car, comme il le proclame dans sa conclusion, "les jours
du despotisme talmudique sont comptés".
- Voilà ce qui
s'écrit et se dit, ces temps-ci. Au nom de l'antisionisme,
bien sûr.
- L'Arche, numéro 548, octobre 2003.
SI l'on suit le raisonnement de ce
brillant plumitif, les événements du 11 septembre,
n'étant pas le résultat d'un complot doivent être
dus au simple hasard. Un accident, en somme. Une coïncidence,
peut-être. Or, à part les gens de L'Arche, tout le monde croit qu'il s'agit d'un
complot. Mais lequel ? Là est la question, parfaitement
légitime en l'absence de preuves. Le "suivez mon regard"
est une libre interprétation des obsédés
de L'Arche, qui ne correspond nullement aux observations
qui sont rapportées dans la Gazette du Golfe et des
banlieues [et non par Serge Thion], à laquelle on présume
que les fins limiers de l'Arche font allusion. Le judéocentrisme
obsessionnel devrait pouvoir se soigner par une thérapie
adaptée. Voir la Gazette et sa rubrique "Les Mystères
de New York".
=======oooooo00000OOOOOO000000oooooo======
L'IMPLOSION
D'INDYMEDIA
Indymedia and
"Muslim antisemitism"
-
- Holocaust denial, historical
manipulation, Muslim attitudes, and the issue of anti-zionism
versus anti-semitism are the most contentious issues for the
IMC's in Europe. Indymedia France collapsed, so far as I know,
after internal disputes on these issues. Indy Belgium and Indy
Netherlands might be heading that way.
- Now apparently, Indymedia
UK is starting to have similar problems. This post was hidden
today, almost as soon as it was posted
- <http://www.indymedia.org.uk/en/2003/11/280115.html>
- It's hard to guess why,
and it is impossible to get answers to this question on Indymedia
itself, since they delete post questionning their policies. If
they remove it entirely, I might post it here.
- Sur Indymedia Irlande,
Sunday, Nov 9 2003, 7:16pm
- <http://www.indymedia.ie/newswire.php?story_id=62065>
RECHERCHÉ
Auschwitz survivor
facing genocide charges
-
- Poland is seeking the
extradition from Israel of a Jewish Auschwitz survivor on charges
of genocide.
- Solomon Morel, 83, a
Polish-born Jew, is facing the charges for the deaths of German
prisoners in a communist camp he commanded after the Second World
War.
- Morel was the commander
of a camp near the Polish city of Katowice, for German prisoners
from February to November 1945. Israel previously refused Poland's
request to extradite him to face charges of torture in 1998,
saying the statute of limitations had run out.
- Polish special prosecutors
have now upgraded the charges to genocide, for which there is
no statute of limitation, based on new testimony from former
German inmates at the defunct Swietochlowice camp.
- Andrzej Arseniuk, a
spokesman for prosecutors at the Institute of National Remembrance,
which investigates Second World War and communist-era crimes,
said: "The testimony from former inmates living now in Germany
significantly enriched the evidence."
- He said the fresh evidence
documents Morel's alleged torture of at least 13 inmates known
by name. Leon Kieres, the head of the institute, said: "Now
the charges say his intention was to exterminate for national
and political reasons."
- Mr Kieres said the extradition
request, which will be made by a regional court in Katowice in
the coming weeks, will be Poland's last attempt to bring Morel
to justice.
- The new charges accuse
Morel of seeking to kill German prisoners by starving them to
death and depriving them of basic medical care as well as carrying
out and sanctioning torture by his subordinates -- including
imprisoning inmates in small cells filled with water, trampling
on them or making them stand for hours, singing Nazi songs.
- Mr Kieres said Morel
is believed to be responsible for at least 1,538 deaths at the
camp. The investigation against Morel, begun in 1992, is the
only one in Poland against a Jew accused of retaliating against
the Germans after their defeat.
- Morel was an inmate
of the Auschwitz Nazi death camp, where he lost his parents and
two brothers. He moved to Israel in 1994 to flee Poland's justice.
- Associated Press, Thursday 23rd October 2003
Rappelons l'existence du beau livre
de John Sack, An eye for an eye,
The Story of Jews Who Sought Revenge For the Holocaust,
plusieurs éditions entre 1993 et 2000. Ce livre a soulevé
la vindicte des "rescapés" et de ceux qui les
manipulent. Morel y joue un rôle central.
Il est intéressant de voir comment
Israël pratique le négationnisme, dans ce cas précis,
et protège des racistes (anti-goy), des coupables (présumés,
of course) de crimes contre l'humanité, ce qui en fait
le refuge de la lie de la terre. Tous les énormes voleurs
de la Russie, des Etats-Unis, de l'Europe, peuvent se la couler
douce là-bas.
<http://johnsack.com>
LES
NÉO-ANTI-RÉVIZO
Holocaust Scholars
Protest Attempt by Homes & Gardens to Suppress Hitler
Article
-
- Philadelphia, Oct. 23
/U.S. Newswire/ -- Sixty-seven leading Holocaust scholars and
educators have signed a petition urging the British magazine
Homes & Gardens to halt its efforts to restrict public
access to an article it published in 1938 portraying Adolf Hitler
in glamorous terms.
- The controversy is the
subject of a front-page story in this week's edition of the national
Jewish weekly The Forward (Oct.24, 2003)
- The Homes & Gardens
article, which appeared in the November 1938 issue of the magazine,
was a laudatory feature about Hitler's vacation home in the Bavarian
Alps. It cast Hitler in a positive light the very month that
the Nazis' "Kristallnacht" pogroms devastated the German
Jewish community.
- When a British journalist
recently posted the 1938 article on his web site, the editor
of Homes & Gardens demanded that he remove it, which
he did. But the David S. Wyman Institute for Holocaust Studies
posted the full original article on its own Web site,
- <http://releases.usnewswire.com/redir.asp?ReleaseID=22443&Link=http://www.WymanInstitute.org>
- Sixty-seven Holocaust
scholars and educators have signed a petition intiated by Prof.
Paul Miller of McDaniel College, a member of the Wyman Institute's
Academic Council. Prof. Miller explained: "It's important
that people realize the Western media played a crucial role in
making Hitler seem 'acceptable', even admirable, at a time when
he was already engaged in the mass persecution of Germany's Jews."
- The petition, which has
been sent to the publisher of Homes & Gardens, reads:
- "As educators who
have taught about the Holocaust, we are deeply disappointed that
Homes & Gardens has pressured a British web site to
delete a 1938 Homes & Gardens article that portrayed
Adolf Hitler in highly sympathetic terms.
- "A crucial part
of Holocaust education involves studying the failure of the Western
media to fully and accurately report about the Nazi menace in
the 1930s. The attempted suppression 65 years later of articles
such as the 1938 feature in 'Homes & Gardens' undermines
efforts to teach about the Holocaust and its lessons.
- "Just as various
governments, corporations, and institutions have acknowledged
their role in the Holocaust process by publicly apologizing,
paying reparations, or taking other appropriate steps to face
up to their past, so too should 'Homes & Gardens'
squarely face up to its past. We urge 'Homes & Gardens'
to make the full 1938 article available at no cost to interested
readers, together with a formal letter of apology from the publisher."
- Sixty-seven leading figures
in Holocaust education have signed the petition, including: Prof.
Michael Berenbaum, former research director of the U.S. Holocaust
Memorial Museum (Bébert ! Salut Bébert !);
Prof. Richard Breitman, editor of the leading scholarly journal
in the field, Holocaust & Genocide Studies, Prof.
Deborah Dwork of Clark University, director of the first Ph.D.
program in Holocaust Studies; Dr. Elisabeth Maxwell of England,
founder of Remembering for the Future; Dr. Dov Troy, former
director of the Jewish Educators Assembly of North America; Theodore
Z. Weiss, president of the Holocaust Educational Foundation,
which trains Holocaust educators; and Prof. David S. Wyman, author
of The Abandonment of the Jews. (Institutions listed for
identification purposes only.)
- 23 octobre 2003
Où l'on voit que les "professeurs
de zolo" sont des gens qui n'ont rien à faire, sinon
à essayer de culpabiliser les autres. Franchement, cet
article est d'une parfaite banalité. Pas de quoi fouetter
un chat. Mais ces salopards veulement simplement montrer qu'ils
sont les plus forts et qu'ils savent faire régner la terreur.
Ils agitent la matraque pour obtenir la prosternation.
<http://releases.usnewswire.com/GetRelease.asp?id=124-10232003>
L'article se trouve aussi sur le site
de David Irving
<http://fpp.co.uk>
DIEUDONNÉ
ET DIABLE REçU
- L'humoriste Dieudonné
a été relaxé jeudi par le tribunal correctionnel
de Paris, alors qu'il était poursuivi pour provocation
à la haine raciale et pour injures raciales à cause
de propos tenus dans le magazine Lyon Capitale, le 23
janvier 2002. Dieudonné, alors candidat à l'élection
présidentielle, interrogé sur l'antisémitisme,
avait tenu des propos qui avaient provoqué la plainte
du Consistoire central, de la LICRA et de l'Union des étudiants
juifs de France. "Le racisme, avait-il dit, a été
inventé par Abraham. "Le peuple 'élu', c'est
le début du racisme". Il ajoutait: "Juifs et
musulmans, pour moi, ça n'existe pas. Donc antisémitisme
n'existe pas, parce que juif n'existe pas. Ce sont deux notions
aussi stupides l'une que l'autre. Personne n'est juif ou alors
tout le monde. Je ne comprends rien à cette histoire.
Pour moi les juifs, c'est une secte, une escroquerie. C'est une
des plus graves parce que c'est la première". Le
tribunal a jugé qu'au vu du contexte, il n'y avait pas
d'appel à la haine ni d'injure envers les juifs. "Il
ressort de la teneur générale de l'entretien que
l'invective vise non pas la communauté juive mais le fait
religieux comme système de pensée, de même
qu'il s'en prend à d'autres religions par anticléricalisme
et anti-communautarisme, parce qu'elles portent atteinte à
l'égalité des hommes", explique le jugement.
Pour les magistrats, les termes relèvent de la liberté
d'expression, même s'ils ont été tenus avec
"maladresse".
- AFP. repris par <http://fr.news.yahoo.com/031106/202/3hhsm.html>
ANNOUNCING
The Ninth Annual
Summer Institute
- on the Holocaust
and Jewish Civilization
- Northwestern
University, Evanston, IL 60208
-
- The Holocaust Educational
Foundation and Northwestern University are pleased to invite
applications for Fellowships to participate in the ninth annual
Summer Institute on the Holocaust and Jewish Civilization from
June 20 to July 2, 2004 in Evanston, Illinois. [What the
hell could be something called "jewish Civilization"
? Historians know nothing of the sort. ] This renowned
program is an intensive two-week course of study designed to
broaden and deepen the background of current and prospective
Holocaust educators [Les fameux bourreurs de crânes
].
- Applications, consisting
of a letter explaining the prospective Fellow's interest and
experience in Holocaust studies, a curriculum vitae, and, in
the case of graduate students, a letter of recommendation from
the principal dissertation advisor, should be submitted by January
31 to: Prof. Peter Hayes, Dept. of History, Harris Hall, Northwestern
University, Evanston, IL 60208 (or: [email protected]).
UN
GÉMISSANT POLONAIS
- «I fear that within
Poland, the Holocaust industry is taking root. One can buy books,
ice cream, post cards and posters at Auschwitz.» [Il
y a des types assez inhumains pour vouloir empêcher qu'on
bouffe des glaces en visitant Disney/Auschwitz...]
- Obviously, the Poles
are to blame for all this. Despite the fact that the government
has recently stated (which even the arch-bigot Avi Weiss admitted)
that they will agree to any Belzec memorial that the American
Jewish community wants.
- If there is a memorial
at Belzec to Jewish victims it is because the Poles are exploiting
Jewish suffering because they are anti-Semitic. If there are
no memorials it is because the Poles are ignoring Jewish suffering
because they are anti-Semites. Yes, there is running water, toilets,
and books near Auschwitz. Millions have visited and will visit
the site. They need facilities. (How large an exclusion zone
do you want? A mile? Ten miles? A hundred miles?)
- You object to stores
in Krakow selling books about the city's Jewish heritage. Apparently
if Poles want to learn about the country's Jewish past, that's
another example of their genetic predisposition to anti-Semitism.
If they don't sell books about the city's Jewish heritage that
would generate an equal number of denunciations for the same
reason. If there is any iota of self-reflection left out there
you must realize how silly your argument is.
- People like Weiss have
used Holocaust sites in Poland to stir up hatred, generate publicity,
and raise money for further antics. Several years ago some Jewish
friends assured me that no one took Weiss seriously and that
he did not represent any significant part of the Jewish-American
community. That is becoming harder and harder to believe. His
poison is spreading and yet I see people of good will remaining
silent. How long?
- John Radzilowski
- H-Holocaust, 21 octobre 2003.
ILS BRÛLENT
600.000 MORTS
CIVILS. QUI DIT MIEUX ?
-
- Historian Charges
British With WWII Massacres
- Provokes Row
Over Wartime Photos
- By Luke Harding
-
- Berlin -- A controversial
German historian is at the centre of a row over his latest book
which includes gruesome photos of German civilians killed by
allied bombing during the second world war.
- Jorg Friedrich defended
the decision yesterday to publish the photographs showing the
incinerated bodies of German women and children, most of them
killed by British bombs. His book, Fire Sites, published
at last week's Frankfurt Book Fair, argues that the RAF's relentless
bombing campaign against German cities in the last months of
the war served no military purpose. He claims that Winston Churchill's
decision to bomb a shattered Germany between January and May
1945 was a war crime.
- "The bombing left
an entire generation traumatised. But it was never discussed,"
he told the Guardian.
- Mr Friedrich, whose
previous book Der Brand or The Fire prompted a
storm of publicity and sold 186,000 copies, said that about 600,000
civilians died during the allied bombing of German cities, including
72,000 children. Some 45,000 people died on one night during
the immense firestorms that engulfed Hamburg in July 1943. But
the German victims were over shadowed by the far greater evil
of the Holocaust.
- Many Germans regarded
the British destruction of their cities as retribution for Nazi
crimes, Mr Friedrich said. "The second world war is traditionally
portrayed as a struggle between good and evil. But it wasn't
as simple as that," he said. The photos in Fire Sites
are grim and reveal that many victims were asphyxiated in their
cellars. In Dresden, SS workers from a nearby concentration camp
were called in to dispose of heaps of bodies.
- Policemen, architects
and air protection officers took the photos. Most had lain in
the archives of German towns for more than half a century, before
Mr Friedrich found them. He said yesterday he had approached
the National Archives in Kew, West London, for photos of British
victims of German bombing but was told they could not be released.
His book concedes that Germany started the air war in late 1940,
when 14,000 British civilians died in German raids.
- He acknowledged that
he was a revisionist but said he was describing what happened.
"During my public lectures Germans now in their 70s and
80s have stood up. They have described, with tears in their eyes,
what happened to their families."
- The Guardian, 20 octobre 2003.
- <http://www.guardian.co.uk/germany/article/0,2763,1067259,00.html>
TELL
QUELL
Le premier révisionniste
suisse s'appelle Arthur Vogt. Qui est-il ?
- par Jürgen
Graf
-
- C'est avec regret que
les nombreux amis d'Arthur Vogt dont je fais partie ont appris
qu'il était sérieusement malade. Arthur Vogt qui
va fêter en novembre prochain son 86e anniversaire avait
fait en août 2002 une mauvaise chute dont il ne s'est jamais
vraiment remis. En septembre de cette année son état
de santé s'est aggravé et il a dû être
hospitalisé. Des amis nous ont rapporté que ces
derniers jours (mi-octobre) il allait mieux. Nous espérons
de tout coeur que notre fidèle compagnon va se remettre
pour être encore à nos côtés de nombreuses
années.
- Né en 1917, Arthur
Vogt était professeur d'enseignement secondaire dans les
matières scientifiques. Il a exercé son magistère
pendant des dizaines d'années, en particulier pour les
mathématiques et la chimie. Mais il s'est aussi lancé
avec succès sur le marché immobilier, achetant
plusieurs maisons et obtenant ainsi une enviable situation de
fortune. Il s'est marié immédiatement après
la guerre en mai 1945 et a eu trois enfants de cette heureuse
union.
- Il n'a jamais été
facile de classer Arthur Vogt sur l'échiquier politique.
En matière sociale il appartenait incontestablement au
centre gauche et a été pendant de nombreuses années
membre du parti social-démocrate suisse. Mais contrairement
à la direction de ce parti il se préoccupait du
maintien de l'homogénéité ethnique de la
Suisse. C'est la raison pour laquelle à la fin des années
60 il a adhéré au mouvement dit "d'action
nationale contre la submersion étrangère du peuple
et de la patrie". Il a ainsi soutenu en tant que conseiller
le dirigeant de ce mouvement, James Schwarzenbach, lors de la
campagne électorale qui s'est soldée au 2e tour,
le 7 juin 1970, par le rejet à 54% contre 46% de l'initiative
populaire contre la submersion étrangère. Arthur
Vogt a alors été exclu du parti social-démocrate
à cause de son engagement au côté d'un Schwarzenberg,
vilipendé comme "raciste".
- Dès ses années
de jeunesse Vogt s'est particulièrement intéressé
à l'Union soviétique et à l'idéologie
communiste. Bien qu'étant adversaire du communisme il
a adhéré à l'association "Suisse-Union
soviétique" après l'écrasement du soulèvement
hongrois de 1956, c'est-à-dire précisément
à une époque où de nombreux membres de l'association
pleins d'amertume lui tournaient le dos. Il a ensuite toujours
effectué des voyages en URSS, et encore en août
2001 il me faisait l'honneur d'être à Moscou pour
assister à la cérémonie religieuse de mon
mariage avec Olga. A vrai dire les voyages étaient une
de ses passions: Avant et après la deuxième guerre
mondiale il a effectué un grand nombre d'expéditions,
souvent fort aventureuses, aussi bien en Afrique qu'au Proche
et Moyen-Orient ou encore en Amérique du Sud. Encore en
1997 il était au Viêtnam à Dien Bien Phu
pour voir et examiner sur place le site où la puissance
coloniale française a fait l'expérience d'une défaite
décisive.
- Vogt est devenu un révisionniste
de l'Holocauste à une époque où le mot "Holocauste"
était encore en allemand d'un usage inhabituel et où
l'idée de "révisionnisme" s'appliquait
à des domaines tout à fait autres que ceux d'aujourd'hui.
Lorsqu'en 1945 se multipliaient les terribles nouvelles d'un
massacre dont des millions de juifs auraient été
victimes dans les camps de concentration allemands et lorsque,
ultérieurement, ces prétendus assassinats de masse
furent bientôt présentés comme étant
de "notoriété publique", il n'était
déjà pas question pour Vogt d'ajouter foi aux rapports
faits sur le sujet.
- Son argument de base
était le suivant: Un crime de pareille dimension n'aurait
jamais pu être tenu secret et caché au monde entier.
Les puissances en guerre contre le IIIe Reich n'auraient pas
tardé à en être informées et n'auraient
laissé échapper sous aucun prétexte cette
occasion unique de démasquer leur ennemi mortel. Or pendant
toute la guerre l'ensemble des gouvernements alliés s'est
tu. Pas une seule fois leurs réactions n'ont été
celles de quelqu'un qui accorderait la moindre foi aux terribles
informations que les organisations juives ne cessaient de répandre
sur une prétendue extermination des juifs dans les territoires
contrôlés par l'Allemagne. Même dans la presse
suisse et presque jusqu'à la fin de la guerre il n'a pour
ainsi dire à peu près jamais été
fait mention de chambres à gaz. Et quelques dizaines d?années
après la guerre Vogt a eu soin de se mettre en relations
avec les deux historiens suisses les plus renommés: Edgar
Bonjour et Rudolf von Salis. Tous deux lui ont confirmé
par écrit que c'est seulement après l'effondrement
du IIIe Reich qu'ils avaient appris l'existence d'une extermination
des juifs dans des chambres à gaz.
- A la fin des années
70, Arthur Vogt avait eu connaissance des écrits d'un
certain professeur français du nom de Robert Faurisson
qui niait l'existence des chambres à gaz. Il prit contact
avec lui et ne cessa plus depuis de s'intéresser à
l'Holocauste et de lui vouer le meilleur de ses actions. Grâce
à sa formation scientifique il avait en effet saisi immédiatement
le cheminement technique et chimique de la démonstration
révisionniste, si bien que la lutte contre le mensonge-"Holocauste"
devint l'objectif prioritaire de sa vie.
- J'ai moi-même
fait la connaissance d'Arthur Vogt après plusieurs échanges
de correspondance en mars 1991. C'était à l'occasion
d'une conférence que je tenais à Zürich sur
la question des demandeurs d'asile. Un mois plus tard, lors d'une
deuxième rencontre, il se présentait à moi
en tant que révisionniste et me remettait l'enregistrement
sur cassette d'un texte sur "l'Holocauste" qu'il avait
lui-même rédigé. Je n'avais alors aucune
idée de ce qu'était le révisionnisme et,
bien que ses arguments ne m'aient pas d'emblée pleinement
convaincu, ils ont été pour moi comme un choc:
je constatais que les révisionnistes n'étaient
pas ces farfelus que la presse s'efforçait de ridiculiser
et je demandais à Vogt de bien vouloir me remettre un
dossier d'informations plus complet qui n'a pas tardé
à faire de moi un révisionniste pur-sang. Je décidai
donc bientôt de devenir moi-même un révisionniste
actif et de rédiger un livre, qui manquait encore à
l'époque, et dans lequel seraient recensés et regroupés
les arguments révisionnistes. Arthur Vogt n'a pas manqué
de suivre attentivement l'avancement de mon travail, me donnant
généreusement et à maintes reprises les
moyens financiers qui ont permis au printemps 1993 la parution
de mon livre, intitulé en allemand Der Holocaust-Schwindel
(L'imposture de l'Holocauste).
- En septembre 1991, à
l'occasion du colloque organisé à Munich par la
fondation Thomas-Dehler, Vogt avait fait un exposé intitulé
"L'Holocauste, légende ou réalité ?"
qui reprenait le texte de sa cassette et faisait ainsi de lui
le représentant du point de vue révisionniste.
Il est scandaleux que la "justice allemande" l'ait
condamné ultérieurement pour cet exposé
à une amende de 6.000 DM, la fondation Thomas-Dehler n'étant,
quant à elle, aucunement inquiétée.
- A partir du milieu des
années 90, Vogt a édité une revue imprimée
en autographie intitulée Aurora, qui paraissait
à intervalles irréguliers. Dans des articles qui
étaient le plus souvent de sa main il y exposait ses idées
sur "l'Holocauste" et d'autres thèmes brûlants
de l'histoire contemporaine. Il a en particulier toujours défendu
de façon fort convaincante l'idée selon laquelle
l'Holocauste était devenu la nouvelle religion de notre
temps, moyennant quoi il est permis, par exemple, de douter de
la Sainte Trinité mais en aucune façon des "chambres
à gaz" d'Auschwitz. Il a pu vivre et vérifier
sur lui-même combien cette thèse était vraie
lorsqu'à partir du début de l'année 1995
la loi "antiraciste" a été appliquée.
Au terme d'une procédure dégradante qui n'a été
qu'une farce, les tribunaux de cette Suisse, jadis symbole de
liberté, l'ont condamné à de très
lourdes amendes pour des articles parus dans Aurora. Et
il n'a dû qu'à son grand âge de n'avoir pas
été effectivement incarcéré.
- Est-il besoin d'ajouter
que jusqu'à aujourd'hui Arthur Vogt est resté fidèle
à ses convictions ?
- Nul plus que moi ne
souhaite que cet homme intègre et courageux puisse encore
voir et vivre la formidable aventure que seraient une percée
de la vérité historique et l'effondrement du mensonge
d'Auschwitz. Certes, les chances que pareil voeu se réalise
sont bien faibles. N'oublions pas toutefois que l'histoire aime
les surprises. Qui aurait pu prévoir en novembre 1988
qu'un an plus tard le Mur de Berlin serait tombé?
- Octobre 2003
Arthur Vogt est mort le 30 octobre
2003. Son enterrement a eu lieu le 8 novembre.
Nous comprenons très bien les
sentiments qui poussent notre ami Jürgen Graf à intituler
son article "Le premier révisionniste suisse".
Mais il faut quand même rappeler que Gaston-Armand Amaudruz
a publié le premier livre révisionniste, avant Bardèche
et Rassinier, en 1949: Ubu justicier
au premier procès de Nuremberg. Nous avons ce livre:
<http://aaargh-international/fran/livres/ubu_pdf.zip>
`
CANTON
DIRA-TON
Polémique
et liberté d'expression
- par Mariette Paschoud
-
- Quelque chose serait-il
en train de changer sous les cieux de la plus très libre
Helvétie ?
- 24 Heures du 3 septembre nous apprenait que
Frank Lübke, directeur du Centre David contre l'antisémitisme
et la diffamation de Zurich, avait été inculpé
la veille pour avoir écrit en novembre 2002 une "Lettre
ouverte au Conseil fédéral, au Parlement et aux
Suisses", lettre contresignée par cent trente personnalités
juives et chrétiennes, dans laquelle il s'en prend vertement
aux Palestiniens et à l'islam. Un nommé Daniel
Vischer, député zuricois et candidat, cet automne,
au Conseil des Etats, sans doute désireux de se faire
un peu de publicité électorale, a porté
plainte pour discrimination raciale, ce qui a abouti à
l'inculpation de Monsieur Lübke. Mon quotidien favori fait
remarquer que l'application de la norme antiraciste à
un juif est un cas très rare le deuxième, en fait,
sur deux cent septante procédures, depuis l'entrée
en vigueur de l'article 261bis du code pénal, fleuron
de notre démocratie séculaire --, ce qui n'est
pas pour m'étonner, mais passons.
- Bien entendu, je juge
cette plainte et cette inculpation ridicules et contraires à
la liberté d'expression. Il est normal qu'un juif vitupère
ceux qu'il tient pour les ennemis de son peuple, comme il est
normal que les Arabes critiquent sévèrement les
agissements d'Israël considéré par eux comme
l'ennemi des Palestiniens et, par ricochet, du monde arabo-musulman
en général. Que cela ait ou non à voir avec
le racisme, il s'agit avant tout d'une guerre dans laquelle chacun
choisit son camp et le dit sans prendre de gants. Je ne vois
pas que cela mérite sanction. Mais Daniel Vischer sait
comme nous tous que la majorité des Suisses et singulièrement
des Zuricois, autrefois favorables à Israël, sont
désormais du côté des Palestiniens et compte
sans doute que son coup d'éclat lui vaudra de nombreuses
voix aux élections fédérales. On saura le
19 octobre si le calcul était bon. En tout état
de cause, le procédé est indigne, mais on sait
que certains candidats sont prêts à toutes les bassesses
pour se faire élire et que certains électeurs n'y
voient que du feu. Quoi qu'il en soit, j'espère que Frank
Lübke tombera sur un juge qui ne se laisse pas impressionner
par l'air du temps et qu'il sera acquitté. J'espère
aussi que, ayant appris à ses dépens le caractère
pervers de l'article 261bis du code pénal, il aura à
coeur, avec ses cent trente amis et de nombreux coreligionnaires,
d'entrer en guerre contre la norme antiraciste pour obtenir,
à terme, son abrogation.
- Est-ce aussi le revirement
qui s'est produit dans la population à propos du conflit
israélo-palestinien qui incite Michel Jörmann, dans
Genève Home Information des 10-11 septembre, à
réclamer, au nom de la liberté de la presse, le
droit pour les journalistes de polémiquer, notamment "parce
que la polémique suscite la discussion, le débat
d'idées. Parce que c'est une gymnastique extrêmement
profitable à l'intellect. Du moins pour ceux (rares) qui
veulent encore faire travailler leurs méninges" ?
Michel Jörmann fait remarquer avec pertinence que le principal
ennemi de la polémique est le "politiquement correct",
"l'une des déviances les plus perverses de notre
société actuelle." Je suis bien d'accord.
Je suis d'accord aussi quand il déplore la disparition
des polémistes. Mais il faut bien reconnaître que
la polémique devient un art difficile quand l'iconoclaste
doit veiller à ce qu'aucun de ses propos ne tombe sous
le coup de la loi, en particulier de l'art. 261bis du code pénal
qui est désormais, semble-t-il, mis à toutes les
sauces, ce que n'avaient pas prévu, je pense, ses instigateurs.
Michel Jörmann s'est-il montré aussi sage à
l'époque où les révisionnistes étaient
considérés comme les principaux ennemis du judaïsme
et du sionisme ? Je ne sais, mais je veux le croire et encourage
vivement cet esprit indépendant à prendre contact
avec Monsieur Lübke pour organiser la résistance.
- Ces messieurs pourront
compter en cette occurrence sur le concours de l'avocat genevois
Dominique Poncet qui, dans le même GHI et sur la même
page, tient ces propos stupéfiants :
- "Si la polémique
est en recul, c'est aussi parce que la liberté de la presse
régresse. On nous oppose le révisionnisme, le racisme.
Vous n'avez pas le droit de dire ceci parce que c'est révisionniste.
Vous n'avez pas le droit d'écrire cela parce que c'est
raciste. Au contraire, il faut que les opinions, même les
plus folles, puissent s'exprimer. Ne serait-ce que pour qu'on
puisse les combattre ! Imaginez un grand débat public
auquel seraient conviés ceux qui persistent à nier
l'existence des chambres à gaz. Ils exposeraient leurs
théories. Après quoi, on leur projetterait des
films certains très connus, d'autres moins sur les camps
de la mort et on leur demanderait ce qu'ils en pensent.
- Ne croyez-vous pas que
cela aurait plus d'impact que de dire nous vous refusons la parole
parce que vous êtes révisionniste ?"
- Un débat public
avec les révisionnistes réserverait sans doute
quelques surprises, et c'est bien pourquoi il n'a jamais eu lieu.
Mais l'intention de Me Poncet est bonne et me ramène à
ma question initiale :
- Quelque chose serait-il
en train de changer sous les cieux de la plus très libre
Helvétie ?
- Le Pamphlet, périodique indépendant,
n* 328, publié à
Lausanne, octobre 2003.
<http://www.pradoz.com/pamphlet/actuelle.html>
Le Pamphlet, case-ville 4047, 1002 Lausanne,
CH
<[email protected]>
CONFERENCE
Les pronazes de l'European American Culture
Council de Sacramento, capitale, comme chacun sait de la Californie,
où va maintenant siéger l'immortel Monsieur Muscle,
Schwarzenegger, fils d'un flic légèrement nazebroque,
lancent des invitations pour la tenue d'une conférence
révisionniste à Sacramento le 24 avril 2004. Ils
escomptent la protection de la police locale et ils croient que,
munis de leurs droits, on les laissera tenir cette conférence.
Cette naïveté nous paraît charmante. Schwarzie,
qui a copieusement arrosé le centre Néanderthal
pour avoir la paix pendant la campagne électorale, n'aura
rien à refuser au bon rabbin Hier. Entre millionnaires
on se comprend.
Les orateurs prévus sont: Horst
Mahler, Mark Weber, Dr. Tom Sunic, Dr. Frederick Töben, Dr.
Bob Countess, Dr. Dariusz Ratajszak, Paul Fromm, Frank Schmidt,
Claus Nordbruch, Harvey Taylor et l'organisateur Walter Mueller.
Et d'autres.
Contacter: <[email protected]>
ou
<[email protected]>
20 $ par tête de pipe. Pas cher.
PROPAGANDASTAFFEL
Un musée
de la Shoah en Ukraine
-
- Un nouveau musée
en mémoire des victimes de la Shoah, Tekouma, doit bientôt
voir le jour en Ukraine. La pose de la première pierre
de ce nouvel établissement a eu lieu mardi après-midi.
Le président du conseil d'administration de Yad Vashem,
Avner Shalev, a été invité à prendre
part à la cérémonie qui se déroulera
à Dniepropetrovsk. Il sera à la tête d'une
délégation représentant les organisations
de résistants et de vétérans de la seconde
guerre mondiale. Il allumera l'un des six flambeaux et prononcera
une allocution. Des officiels du gouvernement ukrainien ont été
conviés à prendre part à la cérémonie
ainsi qu'un représentant du gouvernement israélien,
l'ambassadeur des Etats-Unis en Ukraine, un envoyé du
Joint et un délégué de la communauté
juive ukrainienne.
- Avner Shalev a salué
la création d'un tel musée et a souligné
que "la commémoration de la Shoah constituait un
élément important de l'identité juive personnelle
et collective". Il a ajouté que cette initiative
"témoignait de la volonté de la nouvelle communauté
juive d'Ukraine de rester attachée à ses racines
et à la tradition juive". Il a par ailleurs indiqué
que Yad Vashem était prêt à coopérer
avec les initiateurs de ce projet.
- Le musée "Tekouma"
consacré au souvenir des victimes de la Shoah, qui a été
créé par une organisation du même nom, est
le premier à être érigé dans l'ex-URSS.
L'objectif de ses fondateurs consiste à éveiller
l'intérêt du public sur l'histoire de la Shoah,
favoriser la tolérance et réduire l'antisémitisme
en Ukraine par l'enseignement et l'observation. L'organisation
Tekouma a à sa disposition une équipe d'universitaires
qui effectuent des recherches en utilisant des documents d'archives
afin de "révéler les événements
historiques de la Shoah en Ukraine restés cachés
jusqu'à présent". [ On va bientôt
découvrir de mirobolantes nouveautés, on les sent
venir... ]
- Tekouma organise par
ailleurs des séminaires sur ce thème pour les enseignants
juifs et non-juifs et des conférences dans des institutions
publiques. Il diffuse également des articles sur ce sujet
et possède un journal. L'Union européenne et le
gouvernement ukrainien ont demandé à Tekouma d'élaborer
un programme éducatif qui soulignerait l'histoire des
juifs au cours de cette période et éveillerait
les consciences sur cette époque sombre. Ce projet pourrait
alors être intégré dans le programme des
écoles ukrainiennes.
-
- Arutz-7, 29 octobre 2003
- .
- Le projet, d'un coût
estimé autour de 3 millions de dollars, doit être
achevé en 2007. [On ne dit pas qui va raquer. Ce sont
évidemment ces idiots de juifs américains...]
D'une superficie totale de 4000 m 2 et situé dans un quartier
de Dnipropetrovsk jadis habité par des juifs, il abritera
également un institut de recherches sur l'Holocauste et
une synagogue.
- Entre 1,6 et 1,8 million
de juifs ont péri lors de la Seconde guerre mondiale en
Ukraine, selon l'organisation non gouvernementale juive Tkuma
(Renaissance), qui estime par ailleurs à environ 4,5 millions
le nombre de non-juifs ayant été tués pendant
l'occupation nazie de l'Ukraine de 1941 à 1944. La communauté
juive de cette ancienne république soviétique,
forte aujourd'hui de 500.000 personnes, est l'une des plus importantes
au monde.
- AFP/ Cyberpress.ca,
ajouté le 29/10/2003
UN
VIEUX MYTHE
- "Pourtant, les juifs
existent depuis plus de 3000 ans et l'hébreu est la seule
langue, à l'ouest de l'Indus, qui est parlé plus
ou moins comme elle était parlée il y a 3000 ans.
- <http://www.atimes.com//atimes/Front_Page/EK04Aa03.html>
Vieux mythe grotesque. D'abord l'hébreu
d'aujourd'hui, prononcé par des lourds paysans blancs-russiens
ou polonais ne sonne certainement pas comme l'hébreu d'autrefois,
que personne ne parlait déjà plus à l'époque
de Jésus-Christ. A l'oreille, c'est une mauvaise caricature
de la phonétique sémitique telle qu'elle est audible
partout dans le Moyen-Orient, et en Ethiopie. C'est une langue
"restituée", trafiquée par les rabbins
de Russie et de Pologne.
En outre, on parle encore l'araméen
dans toute une série de villages ou de petites villes de
Syrie et d'Iraq (et même de Turquie). Il n'est pas interdit
de dire que l'araméen en plus ancien, en tout cas plus
anciennement attesté que l'hébreu. D'ailleurs la
plus grand partie des écrits attribués aux Hébreux,
pour ne pas dire aux juifs, a été écrite
en araméen, et parfois traduite tardivement en hébreu.
Et puis le basque est certainement une langue issue directement
de l'antiquité pré-indo-européenne.. Quand
aux langues parlées par les éleveurs de rennes,
sames et autres, il est logique de penser qu'elles ont été
parlées dans une grande partie de l'Europe du dernier âge
glaciaire. Le mythe de l'hébreu langue-matrice de toutes
les autres a été abandonné il y a deux cents
ans. Mais le judéocentrisme ambiant le fait ressurgir régulièrement.
On voudrait dire une fois pour toutes: basta !
FAIRE
COLLÈQUE
Collecting evil
-
- It's only a knife, thirteen
and five-eighths inches long, and hardly scratched after 65 years
or so. Inscribed along its edge, a seemingly laudable maxim in
German, Meine Ehre heisst Treue, which translates as,
'My honor is loyalty.'
- But consider its provenance.
Once owned by a Nazi SS member, this knife is invested with a
certain horror -- a small piece of the most efficient machine
of extermination the world has ever seen.
- It may surprise you
to learn that the knife is owned by Norman Ross, who is Jewish.
His Austrian-born mother survived the Holocaust, including a
beating from the SS that left her face permanently scarred. But
she refused to speak to her son about her ordeal.
- For Ross, a 37-year-old
personal trainer who lives in Brooklyn, N.Y., collecting Nazi
daggers and swords is a way to grapple with a disturbing past.
'Owning a piece of what happened makes it comprehensible to me,'
he says. 'It's concrete evidence of what I was dealing with while
I was growing up....'
- It comes as something
of a revelation to learn that Norman Ross is not some morbid
Jewish eccentric. In his book 'Selling Hitler' - which deals
with the events surrounding the Hitler diary forgeries - the
author, Robert Harris, writes: 'It has been estimated that there
are 50,000 collectors of Nazi memorabilia throughout the world,
of whom most are Americans, involved in a business which is said
to have an annual turnover of $50-million. Prices increase 20
percent a year....In the States, according to Charles Hamilton
(a leading dealer), 'the collectors of Hitler memorabilia are
40 percent Jewish, 50 percent old soldiers, and 10 percent of
them are young....' [...]
- 'The great sacrifice'
-- certainly the term resonates with religious significance and
this is precisely what the Holocaust is evolving into: a sacred
religious event that is on a par with, perhaps surpassing, other
traumatic Jewish events such as the Babylonian exile and Masada.
- And if there is one
symbol that has come to symbolise the Holocaust it is the swastika,
which is now indelibly associated with torture, suffering and
death. To find a symbol that evoked a similar revulsion, one
must go back 2,000 years to the time of the Roman Empire when
the object that aroused similar passions was -- the crucifix.
- It was on these barbarous
wooden stakes that tens of thousands of people, including many
Jews, underwent the agonies of crucifixion. If you had told a
Jew under the Roman occupation that the crucifix was destined
to become one of the world's most revered holy symbols, he would
have questioned your sanity.
- But could it be that
similar historical and religious forces are presently at work
-- that, like the crucifix, the hated swastika is destined to
become the symbol of a sacrificial covenant between God and the
Jews? The groundswell signs are there: the elevation in recent
years of the Holocaust to the status of a Jewish crucifixion
symbol, and the number of Jews who are busy collecting 'holy
relics' -- in the form of Nazi militaria - associated with this
'religious' event?
- The Holocaust has been
described as a black hole in the fabric of the 20th century,
not to mention the historical tapestry of Judaism. Six million
men, women and children perished in an event of such traumatic
and appalling magnitude that it beggars the imagination. As Claude
Lanzmann writes: 'The Holocaust is above all unique in that it
erects a ring of fire around itself, a borderline that cannot
be crossed because there is an ultimate degree of horror that
cannot be transmitted.' [...]
What a silly bullshit: le crucifix
n'est pas une croix, mais un objet de piété constitué
d'une croix et d'un homme crucifié, l'ensemble symbolisant
le sacrifice volontaire que Jésus-Christ aurait
accomplé pour sauver l'humanité. On ne voit pas
bien ce qu'un symbole indo-européen choisi par les nazis
aurait à voir avec le symbole du Salut du monde tel que
les chrétiens le conçoivent.
Forbes magazine,
December 25, 2000, in a special section dealing with investments:
<http://www.swastika.com/holocaust.html>
PROF
COINCÉ
L'autre visage
du professeur
-
- Norman Finkelstein,
auteur du livre fameux L'Industrie de l'Holocauste, s'en
est pris violemment au professeur Alan Dershowitz, sur les ondes
et en "live" de la station de radio MSNBC, l'accusant
de falsification et de plagiat à propos de son livre The
Case For Israel qui, si l'on en croit Globe-Intel, ne mériterait
place que dans la revue de la ligue Anti-Diffamation (ADL).
- "Il n'y a pas de
recherche historique approfondie. Plutôt une fabrication
frauduleuse d'une anti-histoire (qui se veut) historique. C'est
le genre de tromperie pour laquelle des professeurs sont justement
"virés", non pas pour leurs vues controversées
mais parce qu'ils violent les normes les plus élémentaires
de la recherche historique" a t-il affirmé.
- Le professeur Finkelstein
dénonce les emprunts faits au livre From Time Immemorial
de Joan Peters, publié en 1984. Cet ouvrage polémique,
mal écrit, tentait de soutenir le vieux leitmotiv sioniste
qui veut qu'Israël soit "une terre sans peuple qui
attend un peuple sans terre".
- A une autre époque,
Alan Dershowitz, plagiaire maintenant éventé, avait
proféré une accusation similaire contre le professeur
français Robert Faurisson, le traitant de fraudeur et
de négateur de l'holocauste. Aujourd'hui, il menace MSNBC
(et sans doute Finkelstein) de poursuite en diffamation.
- Selon "Globe-Intel",
le professeur Dershowitz, "chéri" de la Ligue
Anti-diffamation, défenseur de O.J. Simpson, Jonathan
Pollard et Ariel Sharon, parle souvent comme s'il était
le représentant de Moïse sur terre et ne supporte
pas la moindre critique des infractions aux droits de l'homme
par Israël. Il est l'homme dont chaque mot est scrupuleusement
noté par les contacts puissants qu'il a conservés
au sein des médias. Il est le porte-voix de la droite
-- certains diraient l'extrême droite - juive en Amérique.
(Source : Gordon Thomas, lettre de Globe-Intel du 09 octobre
2003)
- 10 octobre 2003
- <http://be.altermedia.info/index.php?p=581&more=1&c=1>
AL
C APONE
Dossier sur le MRAP. Faut se le farcir!
<http://www.france-avenir.com/dossiers/13.htm>
Conclusion: "Voilà comment
les associations d'extrême gauche par une propagande et
pression active sur les politiciens arrivent à les convaincre
de redistribuer l'argent du contribuable et par cette action de
s'acheter une bonne conscience. Car qui ne fera de dons au "Mrap"
risque bien vite le cataloguage "raciste"."
ARCHÉOLOGIE
- Treblinka: un
guide exceptionnel
-
- par Robert Faurisson
-
- Dans quelques conférences,
dans une vidéo et dans ma correspondance, il m'est arrivé
d'évoquer, à propos de Treblinka, le témoignage
de Marian Olszuk mais, pris dans la tourmente du combat révisionniste,
j'ai, pendant quinze ans, toujours remis à plus tard la
rédaction d'un texte qui aurait porté sur ma rencontre
avec cet exceptionnel témoin polonais. Mon texte aurait
aussi porté, d'une manière plus générale,
sur le périple qui, en 1988, m'a conduit d'abord, en Pologne
communiste, à Treblinka-Malkinia, puis, en Allemagne communiste,
à Oranienburg-Sachsenhausen et à Ravensbrück.
Ernst Zündel a détenu un ensemble de sept vidéos
sur ma visite de ces trois camps. J'ignore si ces vidéos
ont été détruites en 1995 par l'incendie
criminel qui a dévasté sa vaste demeure de Toronto.
E. Zündel est aujourd'hui en prison de haute sécurité
et je ne lui poserai donc pas de question sur un tel sujet. En
ce qui concerne Treblinka, j'ai encore en ma possession une trentaine
de photographies qui témoignent de mon enquête sur
ce haut lieu de la "Shoah".
- Deux personnes m'ont
accompagné dans cette enquête in situ de juin-juillet
1988 : l'Allemand Tjudar Rudolph et le jeune Canadien Eugen Ernst.
Tandis que le premier a bien voulu me servir d'interprète
et de dessinateur, le second a été notre cameraman
et photographe. Je leur exprime ici ma reconnaissance pour leur
dévouement, pour leur compétence et aussi pour
leur esprit d'abnégation dans une aventure qui allait
se révéler difficile, avec des journées
de travail exténuantes, de mauvaises conditions d'hébergement
et quelques ennuis suscités par les autorités communistes
polonaises. Je remercie également mon ami E. Zündel
d'avoir pourvu à nos frais de déplacement et d'hébergement.
- Ma méthode d'investigation
- Ma méthode habituelle
d'investigation consiste d'abord à rassembler le plus
de documentation possible sur un sujet donné, puis à
m'extraire des écritures ou des archives chères
à ceux que j'appelle "les historiens de papier"
et, enfin, à me rendre sur le lieu de l'enquête.
Là, après un examen prolongé du site, je
recherche des témoins. Ces témoins, je les veux
aussi proches que possible du lieu que j'ai examiné. Mon
interrogatoire est, en général, direct et pressant;
en tout cas, il n'est marqué d'aucune timidité.
Des témoins de tous âges, de toutes conditions,
de tous partis peuvent m'intéresser, mais l'expérience
m'a enseigné que, dans ce type d'enquêtes, mieux
vaut jeter son dévolu sur des témoins aussi peu
intellectuels que possible et qui, à l'âge des faits,
n'avaient pas plus de vingt ans.
- Il faut dire qu'en 1988
je n'en étais pas à ma première enquête.
Déjà, dans les années soixante, j'avais
acquis l'expérience d'une investigation, délicate
sinon dangereuse, sur les exécutions sommaires perpétrées
durant l'été 1944 par les "résistants"
ou "terroristes" dans un secteur limité de la
Charente limousine (entre Angoulême et Limoges). J'avais
interrogé des communistes et des non-communistes sur des
épisodes qu'ils préféraient tenir cachés.
Dans les années soixante-dix, j'avais également
mené d'autres enquêtes difficiles qui m'avaient
conduit, ainsi que l'écrit Montaigne, à "frotter
et limer [ma] cervelle contre la cervelle d'autrui" et à
quitter toute forme de timidité. Surtout, je pense avoir
été, dans ces années-là, à
une école qui m'a appris à détecter la valeur
du témoin et de son témoignage. De ce point de
vue, j'allais rencontrer, en 1988, lors de mon enquête
sur Treblinka, un témoin d'une exceptionnelle qualité.
- Un témoin d'exception
: Marian Olszuk
- A Treblinka, ma chance
a été de découvrir un témoin et même
un guide exceptionnel en la personne de Marian Olszuk. Agé
de 63 ans, il était né, tout près de là,
à Wolka Okraglia. A l'époque des faits qui nous
intéressent ici, c'est-à-dire en 1942-1943, il
avait 17 et 18 ans. On ne pouvait guère imaginer un homme
qui eût été plus proche des deux camps de
Treblinka. De décembre 1941 à juillet 1944, Treblinka
I, tout proche d'une gravière fournissant la ville de
Varsovie, avait servi de camp pénitentiaire principalement
à l'usage de Polonais, juifs ou non juifs, coupables d'infractions
aux lois de l'occupant. Du 23 juillet 1942 au 14 octobre 1944,
Treblinka II avait été un camp réservé
aux juifs, principalement aux juifs en provenance de Varsovie
; la légende allait en faire dans le jargon des Alliés
un "camp d'extermination", cette extermination d'au
moins 870 000 juifs s'étant étendue sur une durée
d'environ neuf mois (de la fin de juillet 1942 au mois d'avril
1943, d'après l'Encyclopedia of the Holocaust). Membre
d'une famille de huit enfants, Marian Olszuk travaillait tous
les jours à la gravière avec d'autres Polonais
relativement libres de leurs mouvements ou avec des prisonniers
que surveillaient soit des soldats allemands armés de
pistolets, soit des gardes ukrainiens munis de carabines. Son
père était bûcheron. Le soir, le jeune homme
revenait à la ferme familiale, située, par la route,
à deux kilomètres au nord de Treblinka II. Souvent
il se rendait à la pièce de terre que son père
possédait à 300 mètres de l'enclos de fil
de fer barbelé qui délimitait, à l'est,
le "camp d'extermination". La terre étant pauvre,
on y cultivait le seigle et le lupin. Passant au pied d'une tour
de guet, il arrivait au jeune Marian d'engager la conversation
avec les sentinelles. Peu farouches, ces dernières lui
jetaient parfois des cigarettes du haut de la tour. Le camp n'occupait
qu'environ 13 ou 14 hectares (à comparer avec les 388
hectares du camp d'Oranienburg-Sachsenhausen situé au
nord de Berlin !). En 1942-1943, l'espace occupé par le
"camp d'extermination" était à peu près
dépourvu d'arbres ou de gros buissons et, par conséquent,
les paysans du coin ou les promeneurs pouvaient à loisir,
à travers les barbelés, contempler aussi bien les
prisonniers et les gardes que les différents bâtiments
d'un camp qu'on prétend aujourd'hui avoir été
ultra-secret. Quand on faisait face à l'entrée
du camp, la ferme de la famille Olszuk se situait à deux
kilomètres à gauche tandis que leur pièce
de terre se trouvait, tout de suite à droite, à
trois cents mètres de la limite orientale. Marian Olszuk
passait donc à proximité du "camp d'extermination"
tous les jours où il allait travailler à la gravière,
et, quand il travaillait à la pièce de terre familiale,
il était également tout près dudit "camp
d'extermination".
- Il n'était évidemment
pas question pour le jeune homme de pénétrer dans
l'enceinte du camp, mais, à l'entrée, chaque jour,
des gens se pressaient en foule qui, ostensiblement, pratiquaient
troc et marché noir. Des trafiquants venaient de Varsovie
pour vendre de la marchandise aux gardes ukrainiens qui, à
leur tour, traitaient avec les prisonniers juifs auxquels ils
vendaient de la nourriture, y compris, pour ces juifs mêmes,
jambons et saucisses, ce qui, à l'époque, constituait
un luxe. L'existence des deux camps de Treblinka était
de notoriété publique et les détenus juifs
passaient, dans l'ensemble, pour ne manquer ni d'argent, ni d'or,
ni de bijoux.
- Dans ce "camp d'extermination",
Marian Olszuk avait-il jamais relevé les signes d'une
activité criminelle de la part des Allemands ? La réponse
était non. Une fois, il avait observé un grand
feu dans le camp mais il s'agissait d'un feu de vêtements
formant une masse de près de quatre mètres de hauteur.
Jamais il n'avait vu brûler de cadavres. Cependant, à
plusieurs reprises, il avait entendu, pendant la nuit, des cris
et des lamentations de femmes et d'enfants qui parvenaient jusqu'à
la ferme. Parfois, le camp dégageait d'immondes puanteurs.
Notre témoin avait-il entendu parler de chambres à
gaz ? Oui, il avait rencontré un Russe qui lui avait dit
que les Allemands utilisaient "une chambre à gaz
mobile montée sur rails" (sic). C'est près
de Treblinka I que les Allemands fusillaient les condamnés
à mort. Dans ses déplacements, il arrivait fréquemment
au jeune ouvrier-paysan de croiser des juifs logés dans
le camp de Treblinka II ; ces juifs vaquaient à divers
travaux dans les bois sous la surveillance de gardes ukrainiens
qui, d'ailleurs, souvent désertaient. La nourriture était
exécrable. Son propre travail consistait, pendant huit
heures par jour, à charger à la pelle des wagonnets
(ou des wagons ?) de sable ou de gravier. En hiver, le froid
rendait le travail particulièrement pénible. Personnellement,
il n'avait jamais vu tuer un juif. Un jour, son père avait
fourni des vêtements à un juif qui s'était
échappé du camp. Il arrivait des convois de juifs
tous les jours. Finalement mobilisé pour aller travailler
en Prusse, Marian avait pris la fuite, s'était réfugié
à Varsovie et n'était revenu à la ferme
qu'après la fermeture des camps. Il se souvenait qu'on
avait alors ouvert des charniers contenant des restes humains,
de l'or et des rubis.
- Le plus stupéfiant
est qu'à la "libération" et après
la guerre aucune commission d'enquête, aucune autorité
administrative ou de police ne l'avait interrogé sur les
événements survenus à Treblinka. Il y avait
eu des commissions d'enquête, dont sont connus les extravagants
rapports, dignes en tout point du rapport soviétique sur
Katyn (URSS-008), mais aucune de ces commissions n'avait auditionné
la famille Olszuk. Encore en 1988, la guide officielle du camp,
Maria Pisarek, nous affirmait froidement : "Personne dans
les environs ne vous parlera". Or Marian Olszuk allait,
comme on le voit, nous parler longuement et, à la différence
d'un autre témoin polonais, sobrement.
- Les fausses dimensions
du "camp d'extermination"
- Lors de notre enquête,
un incident allait se produire. J'avais insisté pour que
notre petite équipe se munisse d'une chaîne d'arpenteur
et nous passions de longs moments à prendre les dimensions
des deux camps. Le deuxième jour de notre rencontre, Marian
Olszuk, endimanché pour l'occasion, avait accepté
de nous montrer sur place les véritables dimensions du
"camp d'extermination". Vidéo en action, nous
avions pu l'accompagner de bout en bout. Je crois pouvoir dire
qu'à simplement observer ses déplacements nous
découvrions dans notre témoin le vrai paysan qui,
à plus de quarante ans de distance, se remémorait
devant nous chaque détail du terrain. Arbres et buissons
avaient poussé là où autrefois la terre
était à peu près nue. Aussi, parfois, quand
il rencontrait un arbre, la question se posait pour Marian Olszuk
de savoir si la limite du camp passait à droite ou à
gauche de cet arbre. Il fallait alors voir l'invétéré
paysan s'arrêter, réfléchir et prendre sa
décision. La vidéo a fixé ces moments-là.
C'est lors de cette marche que notre homme nous avait fait une
révélation : le camp avait été, en
réalité, de dimensions plus réduites qu'on
ne le disait aujourd'hui aux touristes ; en effet, après
la guerre, en 1947, les autorités avaient racheté
à plusieurs propriétaires leurs pièces de
terre respectives afin d'en agrandir le "camp d'extermination".
Une première famille ainsi expropriée avait été
celle de Franciszek Pawlowski et la seconde, celle des Olszuk
qui, pour leur part, n'avaient eu à concéder qu'une
pièce de 2 500 m2. Sur le dessin ci-joint, dressé
par Tjudar Rudolph avec les moyens du bord, on notera la différence
de superficie entre le camp réel de 1942-1943, soit environ
14 hectares, et le camp pour touristes de 1988, soit environ
23 hectares. Au terme de cette visite des lieux, Marian Olszuk
avait pris congé de nous et, pour notre part, nous nous
étions remis à notre besogne d'arpentage quand
soudain avait surgi, à vélomoteur, le directeur-adjoint
du musée de Treblinka. Nous apercevant, il était
entré dans une vive colère, nous déclarant
que, jamais de sa vie, il n'avait vu pareille opération.
J'apaisais son ire en lui faisant valoir que, précisément
pour mieux mesurer ce qu'avaient enduré les prisonniers
de Treblinka, il nous avait paru nécessaire de mesurer
les dimensions du camp lui-même. Soudain calmé et
souriant, Tadeusz Kiryluk voulait bien nous déclarer :
"Au fond, c'est précisément de gens comme
vous que nous avons besoin !" De lui et de son supérieur,
Wincenty Trebicky, directeur du musée, nous allions nous
faire presque des amis, tout heureux de nous accorder une interview
enregistrée et filmée. Cependant, leurs propos
de bureaucrates différaient totalement du témoignage
si manifestement vécu de l'ouvrier et paysan Marian Olszuk.
Vagues, stéréotypés et empreints d'une intellectualité
parfaitement creuse, ces propos sortaient tout droit de la littérature
orthodoxe en cours. Les récits des deux fonctionnaires
revêtaient un aspect involontairement burlesque : à
lui seul, le cadre dans lequel ils s'exprimaient avec, par exemple,
les dimensions si modestes du "camp d'extermination"
infligeait un démenti aux aberrations de la thèse
officielle qu'ils nous débitaient et selon laquelle, par
exemple, les Allemands avaient tué là et enterré
sur place, en l'espace de neuf mois, environ 870 000 personnes
( W. Trebicky, pour sa part, en tenait pour le nombre, bien supérieur,
de 1 500 000 victimes !).
- Notre intention était
de revenir voir Marian Olszuk pour la troisième fois car
il nous restait toute une batterie de questions à lui
poser. Malheureusement nous risquions désormais de le
compromettre. La police communiste, forcément mise au
courant de notre activité, pouvait désormais, à
tout instant, l'interpeller et le soumettre à un interrogatoire.
A notre grand regret, nous décidions de ne plus rencontrer
ce guide aussi providentiel qu'inattendu.
- Il faut dire que, la
veille, Tjudar Rudolph, Eugen Ernst et moi-même, nous avions
eu maille à partir avec la police, qui nous avait retenus
pendant une heure, pour interrogatoire, dans un local de la gare,
toute proche, de Malkinia. Nous avions, en effet, été
dénoncés pour avoir été vus en train
de filmer la gare et quelques wagons, comparables en tout point
aux wagons de marchandise de la dernière guerre. Mais,
à défaut de revoir Marian Olszuk, j'allais retrouver
la trace d'un rare oiseau : le fameux chauffeur de locomotive
filmé par Claude Lanzmann dans Shoah.
- L'aveu spontané
du chauffeur de locomotive
- L'un des plus importants
témoins de Claude Lanzmann n'était autre que Henryk
Gawkowski, qu'on voit dans le film Shoah, revêtu
de sa tenue de chauffeur, coiffé d'une casquette et conduisant
une locomotive comme au temps où il transportait des convois
de juifs de Varsovie à Malkinia, puis à Treblinka.
Dans une scène de reconstitution, il se penche à
la portière de la locomotive et, se passant le doigt sur
la gorge, il fait en direction des juifs un geste qui signifie
qu'on va leur couper le cou (pour la transcription des dialogues
et l'indication des jeux de scène, on consultera Claude
Lanzmann, Shoah, préface de Simone de Beauvoir,
Fayard, 1985, p. 47-49).
- Je retrouvais notre
homme à Malkinia, où il était né
en 1922. Les matins, l'interrogatoire se déroulait sans
trop d'encombre mais, les après-midi, sous l'effet de
la boisson, H. Gawkowski devenait intarissable et se révélait
incapable de répondre aux questions posées. Il
dissertait de tout comme s'il avait tout vu. Il ne se souvenait
pas du nom de Lanzmann mais peut-être ce dernier, cédant
à son habitude, s'était-il présenté
à lui sous un nom d'emprunt et s'était-il, en outre,
paré de titres universitaires usurpés (Ecrits révisionnistes
(1974-1998), 1999, II, p. 746). En revanche, H. Gawkowski ne
manquait pas d'évoquer avec émotion le responsable
du film, un Français, nous confiait-il, qui lui avait
fourni de si bons "vins espagnols".
- Par chance, un matin,
alors qu'il nous récitait des histoires manifestement
lues et non vécues, je l'avais interrompu pour lui poser
à brûle-pourpoint une question qui allait faire
s'écrouler l'édifice de ses hâbleries ainsi
que de ses régurgitations d'autodidacte. Je lui demandais
: "Mais alors, vous avez eu conscience d'amener ainsi à
leur mort tous ces juifs, jour après jour, et cela pendant
près de quinze mois ?" La réponse allait fuser
: "Non, bien sûr que non !" Je lui demandais
à quel moment il en avait pris conscience. Réponse
: "Après la guerre". Autrement dit, pour reprendre
l'apologue du révisionniste américain Arthur Robert
Butz, H. Gawkowski faisait partie de la cohorte de ceux qui,
sur le moment, n'avaient pas vu "l'éléphant".
Il ne l'avait ni vu ni entendu barrir mais, bien plus tard, il
avait acquis la conviction que, dans ce coin particulier de Pologne,
un monstrueux pachyderme avait, pendant près de quinze
mois, secrètement hanté les lieux, semant la terreur
sur son passage. A croire que "l'éléphant"
était magique, à moins qu'il n'eût été
un mirage !
- Le "camp d'extermination"
était bien un camp de transit
- Pour se rendre compte
que les prétendues chambres à gaz d'Auschwitz n'ont
pas pu exister, il suffit de voir la chambre à gaz, bien
réelle, celle-là, d'un pénitencier américain.
Pour comprendre que les prétendus rendements attribués
aux fours crématoires d'Auschwitz sont fictifs, il suffit
de s'informer sur les rendements, bien réels, ceux-là,
des fours crématoires qui sont en usage aujourd'hui. Pour
constater de visu que l'histoire attribuée à Anne
Frank fourmille d'impossibilités physiques, il suffit
de visiter, les yeux ouverts, la "Maison Anne Frank"
à Amsterdam. De la même façon, pour mesurer
à quel point les prodigieuses exterminations et inhumations
secrètes de juifs à Treblinka ne sont qu'un mensonge,
il suffit de parcourir aujourd'hui le quadrilatère formé
par le camp et d'en noter les modestes proportions (environ 248m
x 372m x 468m x 472m).
- Les révisionnistes
peuvent évidemment accumuler cent autres arguments, passer
en revue les "témoignages", les "aveux",
les "confessions", les procès et les livres
où, à chaque instant, pour un lecteur tant soit
peu attentif, les accusations juives concernant ce camp se révèlent
illusoires et fausses. On peut se divertir à constater
que, déjà au procès de Nuremberg, en 1946,
le président du tribunal, aidé du procureur soviétique,
se précipitait pour empêcher le témoin Samuel
Rajzman de déposer une pièce censée représenter
le plan de Treblinka ; il faut dire qu'à l'époque
ce juif parlait de "chambre à gaz" (au singulier)
et de "four crématoire" là où
il est admis qu'il n'y a jamais eu de four crématoire
et là où, selon un document ayant, pour le tribunal,
valeur de "preuve authentique", il y avait eu des "chambres
à vapeur" et non pas une ou des "chambres à
gaz" (IMG, VII, p.357 et document PS-3311). On peut rappeler
que l'Allemand Kurt Franz, sur les apparentes confessions duquel
on se fondait pour renforcer la thèse des gazages de Treblinka,
avait fini par écrire en toutes lettres : "Je n'ai
rien eu à faire avec les gazages de juifs ni à
Treblinka ni ailleurs" (Ecrits révisionnistes, op.cit.,
II, p. 753-755). On peut s'amuser à reproduire côte
à côte des plans juifs ou communistes de Treblinka
II et démontrer que tous sont, en ce qui concerne les
bâtiments d'extermination, remarquablement vagues et, en
outre, incompatibles entre eux. Et ainsi de suite.
- Mais personnellement,
je préfère épargner à mes lecteurs
la masse de mes dossiers, en particulier sur Treblinka, pour
ne leur proposer, en la présente circonstance, que cette
visite du camp en la compagnie d'un guide de premier choix :
le Polonais Marian Olszuk.
- Quand, en 2000, Jürgen
Graf m'a demandé conseil pour la préparation de
sa visite de Treblinka avec son ami Carlo Mattogno, je lui ai
proposé de venir consulter mes documents sur le sujet
et je lui ai demandé de prendre contact, une fois rendu
à Treblinka, avec Marian Olszuk. Je lui ai envoyé
des photographies témoignant de mes rencontres avec ce
dernier. Malheureusement J. Graf n'a pu venir en France et, sur
place, à Treblinka, il n'a pas interrogé le meilleur
des témoins et des guides possibles. Je le regrette d'autant
plus qu'il aurait pu poser à ce dernier les questions
restées en suspens. J'ai la conviction que les réponses
de Marian Olszuk lui auraient été, ainsi qu'à
C. Mattogno, d'un précieux secours pour la rédaction
de leur commun ouvrage, Treblinka, Vernichtungslager oder
Durchgangslager ?, publié en 2002 par Castle Hill
Publishers (Hastings, GB).
- De toute façon,
l'affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage
et cent autres preuves, Treblinka II n'a jamais pu être
qu'un banal et modeste "Durchgangslager", c'est-à-dire
un camp de transit pour juifs à transférer vers
Majdanek, Auschwitz ou d'autres camps de concentration et camps
de travail au sud ou à l'est.
- Le gros mensonge de
Treblinka devrait donc aller rejoindre, dans les poubelles de
l'histoire, l'énorme mensonge d'Auschwitz.
- PJ (pour éditeur)
: 1. Photographies 2. Plan de Treblinka II, dessiné par
Tjudar Rudolph d'après le témoignage de Marian
Olszuk : la superficie réelle du camp était d'environ
14 hectares ; quelques années après la guerre,
cette superficie a été fallacieusement portée
à environ 23 hectares.
- Il est intéressant
de noter que l'Encyclopaedia
Judaica, dont la première édition remonte à
la fin des années soixante, indique honnêtement
une superficie de 13 hectares tandis que l' Encyclopedia
[sic] of the Holocaust, publiée en 1990, parle malhonnêtement
d'un rectangle de 400 x 600 m, c'est-à-dire de 24 hectares.
On doit savoir que, de l'avis général, une partie
assez importante du camp était occupée par des
bâtiments de l'administration allemande, par des baraquements
réservés aux gardes ukrainiens et allemands, par
une infirmerie, des entrepôts, des ateliers cependant que
tout un secteur abritait les travailleurs juifs des deux sexes
qui étaient employés comme tailleurs, cordonniers
et charpentiers, ou bien affectés à la lingerie
et aux cuisines. Tout cela aurait constitué autant de
superficie en moins pour l'extermination et l'inhumation d'au
moins 870 000 juifs en l'espace de neuf mois (fin juillet 1942
avril 1943). Sur les "plans" vagues, fantaisistes et
cacophoniques que nous ont tracés différents "témoins"
juifs, on s'aperçoit que la superficie qui serait restée
pour le traitement des cadavres ne peut sans doute guère
dépasser un à deux hectares. Autrement dit, dans
un espace équivalent à celui de un à deux
terrains de football, on aurait procédé, pour 870
000 cadavres, aux quatre opérations suivantes :leur enterrement
dans des fosses, puis, "pour dissimuler le crime",
le déterrement de ces cadavres suivi de leur incinération
sur des grils et, enfin, l'enfouissement des cendres et des ossements
dans les mêmes fosses ! Le comble est qu'on veut nous faire
croire, selon l'Encyclopedia of the Holocaust par exemple,
qu'un si prodigieux massacre a été perpétré
avec un, et un seul, moteur diesel soigneusement déréglé
pour produire une quantité anormale d'oxyde de carbone
! Les révisionnistes ont suffisamment traité de
cette absurdité technique pour qu'on n'y revienne pas
ici.
- 12 octobre 2003.
DERNIÈRES
NOUVELLES !!!!
Vidal-Piquet
serait, en fait, historien (?)
-
- "J'ai mis beaucoup
de passion dans la bataille contre la torture. Je n'ai retrouvé
semblable passion que lorsqu'il s'est agi, à la fin des
années 1970, de dénoncer les falsificateurs de
l'histoire. Sur ce terrain j'ai mobilisé l'Europe savante,
par exemple un Italien, professeur à Varsovie, Benedetto
Bravo, comme il m'est arrivé de le faire pour résoudre
telle ou telle énigme de l'histoire ancienne. Ce qui m'a
alors terrifié, au même titre que les mensonges
officiels en 1957, ce n'est pas le fait qu'un clown comme mon
camarade de khâgne Robert Faurisson s'amuse à chercher
le scandale au sujet des chambres à gaz, comme jadis au
sujet de Rimbaud, mais qu'un ancien camarade de lutte comme Serge
Thion, après avoir déliré sur les Khmers
rouges (*), se mette à écrire que les chambres
à gaz n'avaient pas existé puisque les Khmers rouges
n'avaient pas massacré leur propre peuple. Il est vrai
que le puisque est de moi, non de lui, mais il fait partie du
droit qu'a l'historien d'interpréter. [Il a sans doute
aussi le droit d'inventer que Thion aurait écrit une pareille
ânerie [cf.
le site dudit Thion, où le lecteur peut s'amuser à
chercher cette ânerie].
Vidal est un affabulateur complet, surtout plein de vanité.
Nous ne pouvons que renvoyer à l'ASSAG, fondée par Vidal-Criquet
et les siens pour prouver
les meurtres par le gaz (1983) et disparue sans laisser traces
ni preuves, sinon du contraire. On peut aussi se reporter à
l'excellente Déclaration des Trente-Quatre Historiens,
menés au sommet de la honte par Vidal-Roquet en 1979
(c'est sans doute ce qu'il appelle '"mobiliser l'Europe
savante") avant d'être ramenés dans les sous-sol
des aveux, en 1992: "Nous
avions assurément tort" dit-il alors. Et après, il ose encore
la ramener.]
- (*) Esprit de
septembre 1980.
- Pierre Vidal-Troquet,
"Pourquoi et comment je suis devenu historien", Esprit,
août-septembre 2003, p. 56-75. Jusque là on pensait
qu'il faisait préfacier...
- C'est le texte d'un
«exposé présenté aux "Rencontres
de Blois", rendez-vous d'historiens créé par
Jack Lang, le 18 avril 2002. La séance était présidée
par Pauline Schmitt-Pantel. Je n'ai pratiquement pas introduit
de modifications au texte que j'ai lu à Blois. C'est volontairement
que je n'y ai pas ajouté un appareil de notes.»
BLACK
IS BLACK
Prof. Tony Martin
Dis-Invited to UK!
-
- British Blacks are outraged
over the dis-invitation of the highly renowned Marcus Garvey
scholar Dr. Tony Martin to a Black History Month event scheduled
for October 25th in London. The event, an annual opportunity
for Blacks to hear lectures from the world's top Black scholars,
is arranged through the mayor's office which funds and promotes
the event through its yassir-boss-negro Lee Jasper. When London
[trotzkyte] Mayor Ken Livingstone was informed of Dr. Martin's
uncompromising analysis of the Black/Jewish relationship (see
Martin's landmark book, The Jewish Onslaught), Jasper
was ordered to "dis-invite" Martin -- an order which
Jasper promptly and dutifully carried out. London's Blacks, outraged
by Jasper's unreserved submission, appealed to other invitees
to refuse their invitations unless Martin's invitation is restored.
- [editor's note: Uncle
Tomism has plagued the Black man for centuries. The Black Anglo-Saxon,
Lee Jasper, is not the first one to buck and shimmy on behalf
of Jews. Read the Open Letter to the Uncle Toms from the African
United Front.]
- Below is an exchange of
correspondence between Lee Jasper and Dr. Tony Martin, along
with the international community's expressions of outrage.
- Dr. Martin's Response
to Lee Jasper
- Lee Jasper's Dis-Invitation
- Dr. Martin's Response
to the London Jewish Blitzkrieg (21 October 2003)
- Dr. Martin's Letter to
Ken Livingstone Mayor of London
- ------------------------------------------------------------------------
-
Dr. Martin's Response
to Cancellation
- To: Lee Jasper, Mayor's
Office, London. From: Tony Martin, Professor of Africana Studies,
Wellesley College, Massachusetts, USA
- Re: Your cancellation
of invitation to Mayor's First Voice Conference
- Da: 15 October 2003
- You called yesterday and
expressed upset because a Jewish newspaper said that I spoke
at a conference organized by David Irving and another organized
by the Institute for Historical Review. You also said something
not entirely coherent about what you called "holocaust denial."
About an hour afterwards you emailed me abruptly revoking Rosemary
Emodi's five months old invitation to me to address the First
Voice Conference, on the basis of the concerns transmitted to
you by your Jewish sources. I thought that you were just another
overwrought Jew who sees "antisemites" everywhere,
an annoying though partly explicable phenomenon. Now, however,
I discover that you are that most singular of phenomena, to wit
a black talking head for Jewish ventriloquism. I addressed the
first abovementioned conference on the Jewish role in the African
slave trade, a topic that overwrought Jews consider ipso facto
antisemitic. I addressed the other on the tactics of organized
Jewry against persons like myself who they disagree with.
- Organized Jewry, speaking
through you, has defined the organizers of both these conferences
as antisemitic and, as affirmed in your email, they have defined
me as antisemitic for accepting their invitations. This kind
of reasoning would also make me a talking head for overwrought
Jews for my willingness to speak at your conference.
- I hope that someday you
will become as diligent in the knowledge of your own history
as you now appear to be in mindlessly parroting the misconceptions
of others. Then maybe you will interrogate your handlers on the
following questions, among many others
- * the anti-Black sentiments
found in some Jewish publications -- e.g. The Jewish Press (Brooklyn,
New York), whose Professor Howard Adelson called Africana Studies
a "fraudulent" enterprise.
- * Jewish Professor Michael
Levin who went to court in New York to affirm his right to teach
students that Black people are inferior. (Perhaps he'll make
an exception for you.)
- * The "holocaust
denial" of Jewish historians who have made careers out of
minimizing estimates of African deaths during the slave trade.
- The Babylonian Talmud's
invention of the Hamitic Myth, whereby God supposedly cursed
Black people with dark skin, bulging eyes and huge genitals and
relegated them to be the slaves of others for eternity. Millions
of your African forebears lost their lives in the slave trade
on the strength of this pretext for enslaving them. They must
be turning in their graves now to behold your antics.
- You can find documentation
for all this in my book, The Jewish Onslaught: Despatches
from the Wellesley Battlefront.
- Your thoughtless transmission
of allegations of antisemitism is both libelous and incongruous.
I wonder what usefulness someone so out of sympathy with his
own community can be as a representative of that community to
the mayor's office.
- Dr. Tony Martin
- [This book is available
for sale online at:
- <http://www.blacksandjews.com/books.html> ]
- Read the international
comnmunity's expressions of outrage.
- Prof. Tony Martin Responds
to the Controversy:
- Re sharing a platform
with "a known Fascist and racist"
- 1) The Jews are very good
at creating red herrings and defining people and situations to
their liking.
- 2) Their action here has
little to do with David Irving since they have been attacking
me since at least 1993, eight years before I spoke at Irving's
Real History Conference in Cincinnati. My Jewish Onslaught
was written ten years ago in 1993 in response to their earlier
campaign.
- 3) The real issue then
and now was and is their objection to my using the Nation of
Islam's Secret Relationship Between Blacks and Jews in
a class. They seem to think that they are somehow exempt from
acknowledging their role in our enslavement and paying us reparations.
Theirs was in fact an important role and one that their own scholars
have documented. Among the many responses to their untenable
position was a big rally at Howard University in 1994 when Khalid
Muhammad, Len Jeffries, Malik Zulu Shabazz, I and others spoke.
- 4) I am a historian and
I speak for all kinds of forums, including even Uncle Tom forums
on occasion, if I feel that somebody in the audience might benefit
from my message. This does not necessarily make me an Uncle Tom
or whatever the ideology of the convener happens to be. I have
even spoken for Jews on occasion.
- 5) David Irving may be
a Fascist -- I don't know. All I know is that the Jews have been
calling me a racist, antisemite and everything but a child of
God for years. My first instincts are not to take them seriously
unless I can independently verify what they are saying. I did
read an account of Irving's libel case where he is said to have
written a poem saying that he did not want his daughter to marry
a Rastafarian or something like that. On his website he had photos
of a Caribbean sister who had worked for him for years. He argued
from this that he was not racist. Not wanting his daughter to
marry a Rastafarian pales into insignificance next to some of
the racism of Jews that you will see documented in my The
Jewish Onslaught. In particular I would draw your attention
to some of the Jewish hate mail that I reprinted in the book's
appendix.
- 6) They say that a little
knowledge is a dangerous thing and it seems to me that people
like Lee Jasper are so unhinged from their own history and community
that they fall easy prey to other people's agendas besides their
own. Or in some cases it may be a deliberate opportunistic decision
to get ahead. I don't know Lee well enough to say which category
he falls into.
- <http://www.blacksandjews.com/Martin.UK.Disinvitation>
- Sur le fond:
- See:
- <http://www.blacksandjews.com/MarcLeeRaphael.html#anchor196437>
- The following passages
are from Dr. Raphael's book Jews and Judaism in the United
States a Documentary History (New York: Behrman House, Inc.,
Pub, 1983), pp. 14, 23-25.
- "Jews also took an
active part in the Dutch colonial slave trade; indeed, the bylaws
of the Recife and Mauricia congregations (1648) included an imposta
(Jewish tax) of five soldos for each Negro slave a Brazilian
Jew purchased from the West Indies Company. Slave auctions were
postponed if they fell on a Jewish holiday. In Curacao in the
seventeenth century, as well as in the British colonies of Barbados
and Jamaica in the eighteenth century, Jewish merchants played
a major role in the slave trade. In fact, in all the American
colonies, whether French (Martinique), British, or Dutch, Jewish
merchants frequently dominated.
- "This was no less
true on the North American mainland, where during the eighteenth
century Jews participated in the 'triangular trade' that brought
slaves from Africa to the West Indies and there exchanged them
for molasses, which in turn was taken to New England and converted
into rum for sale in Africa. Isaac Da Costa of Charleston in
the 1750's, David Franks of Philadelphia in the 1760's, and Aaron
Lopez of Newport in the late 1760's and early 1770's dominated
Jewish slave trading on the American continent."
-
- Dr. Raphael discusses
the central role of the Jews in the New World commerce and the
African slave trade (pp. 23-25):
VIEUX
PAPIERS
- Dr Robert M W Kempner
was a lawyer in the Weimar-era Prussian Ministry of the Interior,
in Berlin. When the Nazis came to office in 1933, he fled abroad,
as a Jew; he settled in the United States, and returned in US
Army uniform with the victorious Allied troops in 1945: he acted
as assistant prosecutor, in charge of rebuttal cases, at the
main International Military Tribunal in Nuremberg, to the evident
distaste of chief prosecutor Robert H Jackson, who stated in
writing that he had wanted no Jews on his team to avoid the impression
the trials were a vengeance crusade.
- Kempner made few friends
at Nuremberg. He coerced witnesses (Friedrich Gaus) with threats
of deportation to Russia; he allowed the faking of movie and
photographic evidence; he met his match in Dr Stuckart, who knew
more about Kempner's past than was healthy for either -- Stuckart
(a participant in the Wannsee conference) bragged to his friends
(Milch) that he had told Kempner he had a concealed document
that would incriminate him, and that he would be acquitted; and
he was duly sentenced to "time served", to the astonishment
of court, press, and co-defendants.
- Kempner also stole from
the archives large numbers of original documents, and was most
certainly responsible for the attempt to hide from posterity
the March 1942 Schlegelberger Document, in which a hard-pressed
Adolf Hitler ordered the postponement of the Final Solution of
the Jewish Problem until after the war. (The document was missing
from the five-item folder of photocopies, ND: 4025-PS, after
he returned it to the Nuremberg Trial archives; fortunately the
original folder was found intact thirty years later in the Federal
Archives).
- Kempner acted as chief
US prosecutor in the subsequent US Proceedings against German
doctors, generals, industrialists, etc. He returned to the United
States, then practiced in Frankfurt-on-Main for a while as a
lawyer in the 1960s. He moved back to Philadelphia, where he
died in 1993.
- It had long been suspected
that Kempner had also purloined from Nuremberg Trial records
the original diaries of chief Nazi ideologue Alfred Rosenberg,
who was hanged at Nuremberg. (In one later work, Kempner temptingly
quoted passages which are not in Hans-Günter Seraphim's
fragmentary published edition of the diaries).
- His papers were claimed
by the US Holocaust Memorial Museum, which wrongly claimed to
have been left them in a will. Even then the USHMM overlooked
a significant body of pre-war, wartime and post-war documents,
stacked in file-boxes and footlockers on the villa's porch.
- These were obtained
by Philadelphia dealer Walt Martin when he bought the rights
to clean out the house. Among them were important original files
and records of Hans-Georg Thomas, of the OKW's Wehrwirtschaftsamt,
and the original war diary of the Sonderstab Oldenburg, set up
to plan the Nazi economic exploitation of post-war Soviet Union.
The USHMM offered Mr Martin a sum of money for these residual
files. Mr Irving inventoried some of the boxes in September 2001,
and notified the German Federal Archives of the existence of
this important collection. Shortly after Mr Irving announced
that he had done so, the FBI sprang a surprise raid and confiscated
the boxes.
- Walt Martin sued in
the US courts for the return of his property, and was awarded
half of them in a judgment handed down at the end of October
2003.
- Voir l'index des documents
à:
- <http://www.fpp.co.uk/Germany/Kempner/index.html>
LA
FOIRE D'AUSCHWITZ
Finding it harder
to never forget
- Amiram Barkat
-
- A few years ago, with
ever-increasing global interest in Auschwitz-Birkenau, Poland's
prime minister set up the Auschwitz Council. This panel of experts,
intellectuals and camp survivors has the task of advising the
Polish government on appropriate ways to preserve and develop
the site.
- This week, the council
met for its biannual session, with two Israelis, both camp survivors,
taking part in the discussions -- Prof. Yisrael Guttman, scientific
adviser to the Yad Vashem Holocaust memorial, and Noah Flug,
secretary-general of the umbrella organization of Holocaust survivors
in Israel.
- Flug and Guttman spoke
emotionally to Haaretz last night of their deep concerns following
the council's discussions. One of the council's main recommendations
this week was to approve a plan to establish an educational-research
center at Auschwitz that will focus on educating for tolerance
and fighting rising hatred around the world.
- "Auschwitz is being
transformed from a Polish site into an international site,"
says Guttman, noting that this is a positive and important process.
But missing from this process, Guttman said, are the heirs of
the the camp's principal victim, the Jewish people.
- Recently, for example,
a new and impressive memorial, erected with German funding, was
dedicated at Auschwitz to the thousands of gypsies who were murdered
in the camp; and at present, memorials are being erected to the
citizens of Slovakia, Hungary and Holland, with the funding of
the respective governments.
- "But there were
no Slovaks murdered at Auschwitz," Guttman says. "Hungarians
weren't murdered there either, and only a few Dutch were. Jews
were murdered there."
- Not many know it, but
Auschwitz also has a memorial to the 1.2 million Jews who were
murdered in the camp. The display was set up during the Communist
era and has not been refurbished in years.
- "Someone visiting
Auschwitz in the future will get the impression that the citizens
of many countries were murdered there," Guttman says. "It's
true, but it doesn't reflect the main issue - that those citizens
were not murdered because of their nationalities, but because
of their ethnic origin, because they were Jews."
- Guttman, deputy chairman
of the council, suggested at the meeting that the Jewish memorial
be renewed. "We are talking about an investment of several
tens of thousands of dollars in all," he says.
- Around 200,000 non-Jewish
prisoners were laborers at Auschwitz. This, Guttman says, ensures
the international interest in the camp, and its preservation,
for generations to come. But, says, the situation is different
at other lesser-known extermination camps at which Jews were
murdered.
- Flug and Guttman say
that for them, the hardest part of the council's discussions
was hearing reports from the Polish authorities about seven other
major concentration and extermination camp sites in the country
- Treblinka, Chelmno, Sobibor, Belzec, Majdanek, Grossrosen and
Stutthof. The picture that emerged, they say, was one of total
neglect.
- During the Holocaust
some 300,000 of Warsaw's Jews were murdered at Treblinka, but
today the site doesn't have a single sign describing their fate.
"Everything there is broken wide open," Flug says.
"There is no cover from the rain; there aren't even toilets."
- After the war, the Poles
erected an impressive monument in memory of the Jews killed at
Treblinka, but since then nothing else has been done. "We
must back basic arrangements there, together with a minimal display
so that people will know what happened," Flug says.
- "During the meeting,
when I spoke to the Poles, I did indeed express myself very harshly,"
Guttman says. "But I am in no hurry to lay the blame - and
certainly not all the blame - at the feet of the Poles. There
are enough Jews in the world whose ancestors died at Treblinka,
Majdanek and Sobibor and it is the duty of the Jewish people
to take care of these places."
- Flug continues: "There's
the money from Germany, the money from the other countries, the
money from the Swiss banks, and the money from the insurance
companies. If after all of this, those places are left in the
state they are in, it's a crime. If the Polish prime minister
thinks the issue is important enough to establish a special council,
then the government of Israel can also afford such a council."
- Ha'aretz, 7 novembre 2003.
DÉSOPILANT
- "Les étudiants
héritiers des syndicats organisateurs de la manifestation
de résistance du 11 novembre 1940 (corpo, syndicalistes
indépendants, royalistes d'action française, autonomes)
venus déposer une gerbe en compagnie des organisateurs
d'alors, sous la présidence d'André Pertuzio, ancien
président de la corpo de Droit promo 1940, se sont vu
refuser l'accès à la plaque commémorative
située en haut des Champs Elysées.
- "Malgré
le dépôt en préfecture, la police s'est crue
autorisée à tabasser les jeunes venus honorer les
anciens combattants tant de 14-18 que les premiers résistants
à l'occupant nazi, qui avait alors ordonné aux
forces de l'ordre complices l'interdiction de la manifestation.
- "Comme alors, la
police à reçu l'ordre de matraquer les étudiants
présents.
- "Un air de déjà
vu."
- Comité étudiant
11 novembre.
HONGREURS
DE HONGRIE
Association of
Hungarian Electronic Journalists calls upon Hungarian Television
to abandon its axing of the program
-
- The Association of Hungarian
Electronic Journalists called upon Imre Ragáts, president
of Hungarian Television, to revoke his decision to axe the program
"Night Refuge".
- In a statement, the Journalists'
Association stated:
- "On October 28, the
president of Hungarian Television axed the truly public service
Night Refuge cultural program, citing that - using footage recorded
at a function - the Sunday episode provided a platform for British
historian David Irving to express his views about the 1956 Hungarian
revolution.
- The journalists' association
finds it astonishing that in the 14th year after the proclamation
of the Hungarian republic, in a free country, during the reign
of a government that preaches freedom of speech and expression,
the heads of Hungarian television should axe a program because
it does not conform to their ideology."
- Incidentally, today, the
program is no longer promoted on Hungarian Television's website.
All information about it has been scrapped.
- October 30, 2003
- Magyar Elektronikus Újságírók
Szövetsége felszólítja Ragáts
Imrét, a Magyar Televízió elnökét,
hogy vonja vissza az Éjjeli Menedék címz(
mz(sort megszüntet határozatát.
- Az újságíró
szövetség közleménye emlékeztet:
az MTV elnöke október 28-án megszüntette
a "valóban közszolgálati Éjjeli
menedék cím? kulturális háttérm?sort,
arra hivatkozva, hogy a vasárnapi adás - egy rendezvényen
készült felvételen -- teret adott David Irving
brit történész '56-os magyar forradalommal
kapcsolatos nézeteinek.
- "A MEÚSZ megdöbbentõnek
tartja, hogy a Magyar Köztársaság kikiáltásának
14. esztendejében egy szabad országban, egy szólás-
és véleménynyilvánítást
hirdetõ kormányzat regnálása alatt
a tévé vezetése azért szüntessen
meg egy m?sort, mert az nem az õ ideológiájával
azonosul."
- Egyébként
a Magyar Televízió internetes oldalán ma
már nem ajánlják a m?sort, arról
minden információt töröltek.
- <http://www.fpp.co.uk/online/03/11/Hungarian_TV011103.html>
GRANITE
ROSE
Le Bundestag
approuve la construction d'un monument à la mémoire
des victimes homosexuelles du nazisme
-
- Berlin (AP) - L'Allemagne
va construire un monument national à la mémoire
des homosexuels persécutés ou tués par les
Nazis, en complément du mémorial en projet pour
les six millions de juifs victimes de l'Holocauste, a décidé
jeudi une commission parlementaire.
- L'Allemagne nazie avait
déclaré criminelle l'homosexualité masculine
et quelque 50.000 homosexuels furent ainsi condamnés.
Entre 10.000 et 15.000 hommes, selon les estimations, furent
déportés en raison de leur homosexualité
dans des camps de concentration où peu d'entre eux survécurent.
- Un projet de loi pour
la construction d'un mémorial à Berlin a été
adopté par la commission culturelle du Bundestag, la chambre
basse du parlement allemand, avec le soutien de la majorité
socio-démocrate et verte. L'opposition chrétienne-démocrate
s'est opposée à la mesure.
- "Les victimes homosexuelles
du nazisme ont reçu trop peu d'attention par le passé
dans la culture du souvenir en Allemagne", ont estimé
les députés écologistes dans un communiqué.
Un concours va être ouvert pour trouver l'architecte du
futur mémorial.
- Après la Seconde
guerre mondiale, peu d'homosexuels condamnés par les Nazis
se manifestèrent, l'homosexualité restant stigmatisée
et la loi de 1935 utilisée contre eux restant inscrite
dans la législation de la République fédérale
allemande jusqu'en 1969. L'an dernier, le Parlement allemand
avait demandé officiellement pardon aux victimes homosexuelles
du nazisme.
- AP, 13 novembre 2003.
PROF
OU FLIQUE ?
- [...] Kathia Blas, proviseure
d'un établissement d'Issy-les-Moulineaux qu'elle qualifie
de "très tranquille" et membre du même
syndicat, raconte avoir mis en place un "historique des
postes Internet au centre d'information et de documentation"
afin de savoir quels sites ont été consultés.
"On a mis des filtres, mais on ne peut pas couper "islam",
c'est au programme d'histoire. On surveille également
les lectures tendancieuses pendant les permanences." A l'heure
de la sortie, elle se poste derrière sa fenêtre
: "J'ai vu des barbus venir plus ou moins près de
la porte. Un jour, j'ai vu arriver Ben Laden, j'ai appelé
les RG, j'ai dit : "Vous connaissez cette association ?"
Ils m'ont dit : "Oui, elle vient de se créer, elle
est très active sur la ville." Moi, systématiquement,
je téléphone aux RG..."
- Libération, 19 nov 2003
- <http://www.liberation.fr/page.php?Article=158752>
FIRE
NEXT TIME
Arson destroys
Indiana Holocaust museum
- By Joanne Laurier
-
- A museum dedicated to
the victims of the Nazi Holocaust in Terre Haute, Indiana, was
set on fire and its contents destroyed Tuesday. The Candles Museum
was torched after a wall of the building was spray-painted with
an homage to Timothy McVeigh, the right-wing terrorist who was
convicted in 1995 for the bombing of the Oklahoma City federal
building. McVeigh was executed at the federal prison near Terre
Haute in 2001. The fire caused an estimated $15,000 in damage.
- Founded in 1995 by Holocaust
survivors Eva and Michael Kor, the museum derives its name, Candles,
from an acronym: Children of Auschwitz Nazi Deadly Experiments
Survivors. Eva Kor, orphaned at Auschwitz, was one of 180 children
rescued from the concentration camp at the end of World War II.
During her incarceration Eva and her twin sister Miriam were
the subjects of barbaric experimentation by the notorious Nazi,
Dr. Joseph Mengele, who particularly valued twin children as
his guinea pigs.
- Currently Kor is the
lead plaintiff in a class-action lawsuit brought against the
giant German pharmaceutical company Bayer in federal court in
Terre Haute. Kor is claiming that Bayer, assisted by Mengele
and the Nazis, injected inmates with toxic chemicals and germs
in order to test the company's experimental drugs.
- 20 novembre 2003.
Voir Le Temps irréparable du
24 octobre 1998:
<http://aaargh-international.org/fran/revu/TI98/TI981024>
L'EUROPE
RETIRE SON PANTALON VITE FAIT
Prodi reassures
US Jewish leaders after poll
-
- The US Jewish Community
is going to organise a seminar in Brussels following recent survey
results which saw a majority of EU citizens name Israel as the
biggest threat to world peace.
- The results published
on Monday, sparked outrage in Israeli government circles and
sent the Commission, which organised the poll, into a diplomatic
tailspin.
- European Commission
President Romano Prodi had a hastily arranged meeting with representatives
from the Anti-Defamation League and the World Jewish Congress,
during a visit to New York on Tuesday (4 November). At the meeting
both sides agreed that a seminar should be organised in Brussels
in order to find out why European citizens (59% of the around
7,500 surveyed) put Israel ahead of countries such as Iran and
North Korea. [S'ils nous demandent poliment, on leur dira
pourquoi... ]
- Mr Prodi also did much
to mollify the Jewish community by distancing himself and his
institution from the results. "I am very concerned by the
survey's findings: they reveal a prejudice that must be condemned
without hesitation", he said in New York. [Les petits
chefs qui prétendent nous gouverner devraient s'inspirer
du célèbre conseil de Brecht: ils n'ont qu'à
changer de peuples... ]
- <http://www.fpp.co.uk/online/03/11/EuroPoll061103.html>
AAARGH
: LES NOUVEAUTÉS D'OCTOBRE ET NOVEMBRE
Novembre
Nouvelle mise à jour du dossier
Hayward. Ce dernier vient de créer un site où s'accumulent
les dossiers de presse et les notes universitaires, alors que
la fameuse thèse reste une sorte d'Arlésienne, qui
apparaît sur le Net et disparaît aussi vite. Les forces
occultes qui s'acharnent à effacer cet écrit lui
donnent chaque année plus d'importance. Pour inégale
qu'elle soit, nous n'abandonnerons pas cette lutte dont l'enjeu
est, une fois de plus, la liberté de penser.
La Lettre aux directeurs de la Résistance,
de l'excellent Jean Paulhan. Un texte court mais un grand classique.
Quelques textes passent du format compressé
<zip> au format portable PDF: Roques, Rassinier, avec un
recueil de textes de Jean-Claude Pressac, mort en juillet dernier.
Voir <http://aaargh-international.org/fran/livres/livres.html>
Nos voisins du site SOLUS ont mis en ligne
une version PDF de Bagatelles pour un massacre, un des
grands livres cachés de notre époque, du génial
Louis-Ferdinand Céline, l'un des plus puissants écrivains
du XXe siècle. Attention: ce livre est explosif. C'est
une torpille antisémite. Les débiles mentaux (et
mentales) sont prié(e)s de ne pas s'approcher de ce livre,
qu'il faut lire avec discernement. Il en dit long sur notre temps.
Octobre
Nous proposons un dossier de l'affaire
Michel Adam, un grognard de l'enseignement. Il a été
viré. Normal, puisqu'il disait les choses. On voit que
les profs, surtout ceux qui sont chargés de l'histoire-et-géo,
sont un troupeau de bêleurs et de con-formistes. Une seule
Loi, la Loi d'Airain: "Ne pas faire de vagues". Cette
loi, et elle seule, achemine vers une retraite paisible. Michel
Adam est un paysan du Danube qui ne la connaissait pas.
Troisième version française
du classique des classiques, le livre d'Arthur Butz, La Mystification
du Vingtième Siècle, conforme à l'édition
imprimée qui est sortie l'an dernier à La Sfinge.
Nous tâchons toujours, autant que faire se peut, de publier
des versions numériques conformes aux versions imprimées
disponibles, qui sont nos références, quand elles
existent.
Nous avons mis à jour la page Hayward,
du nom de cet ex-étudiant néo-zélandais qui
a soutenu en 1993, à l'université de Canterbury,
une thèse qui essayait d'expliquer et de jauger le révisionnisme
de l'holocauste. La tempête ne s'est pas déchaînée
tout de suite, mais elle a donné libre cours ensuite à
toutes sortes de bourrasques dont notre page rend compte. Elle
sert d'ailleurs de référence jusque dans les terres
australes ! Les pingouins la lisent avidement, nous dit-on. Dernièrement
une pétition, signée par plus d'une centaines d'universitaires
de Nouvelle-Zélande, a secoué les esprits en réclamant
le respect de la recherche et de la pensée. Le lobby juif
local a disparu dans un trou de souris. Les Néo-Zélandais
sont plus courageux que nous.
Nouvelle version, corrigée, augmentée
et illustrée de la remarquable introduction de Jean-Marie
Boisdefeu au révisionnisme holocaustique: La Controverse
sur l'extermination des juifs par les Allemands, en deux tomes.
La deuxième édition sur papier était sortie
en 1996 chez VHO en Belgique. On sait que l'éditeur anversois
n'est plus en mesure de travailler normalement. Cette nouvelle
édition sort donc en CD-ROM et circule sous le manteau.
La rédaction de la Gazette du
Golfe et des banlieues a compilé un recueil sur le
thème du terrorisme israélien, avec le texte très
important et très révélateur de Livia Rokach,
Le terrorisme sacré d'Israël qui remonte aux
origines de la politique d'expansion sans fin des occupants sionistes.
On raconte aussi comment à été tué
le comte Folke Bernadotte, en 1948, par les terroristes juifs.
On peut consulter ce site à:
<http://aaargh-international.org>
et celui de Solus à:
<http://abbc.com/solus>
La Gazette a aussi son site propre:
<http://ggb.0catch.com>
LE
FAUX-TÉMOINS
More on Auschwitz
"witness" Pery Broad
- by George Brennan
-
- In my October 18 [2003]
query I misrepresented Professor Van Pelt. Although he did state
that Pery Broad's 1963/5 testimony was irrelevant to his earlier,
1945, testimony -- on which, he says, Mr Justice Gray based his
judgment -- Professor Van Pelt has never bidden us to ignore
it.
- In his Expert Report he
specifically quoted Broad's Auschwitz trial testimony in order
to show that Broad was the sole author of the 1945 "memoir
."
- Such sole authorship is
(for him) enough to make that memoir admissible as evidence.
He quotes an exchange from the 1963/5 trial [of Broad et al.],
presumably drawn from Hermann Langbein's account:
- -- "Accused Broad,
what do say about the document that has just been read?
- --"I unhesitatingly
recognise some of it as my own notes but not the whole document.
- -- "You had in Auschwitz
much knowledge of what happened there?
- --"Yes I had much
knowledge.
- -- "You expressed
at the time that it covered a crime.
- -- "That is also
my conviction today. Every act in Auschwitz aided and abetted
that. I believe there are more versions of that report. It seems
to me that there is much unfamiliar knowledge in that report.
- -- "The report is
written on one style and it is homogenous in character. Does
it not mean that it was written by one man, that means you?
- -- "Yes, that is
right. Only I do not know the source of the numbers mentioned.
That I could not know."
- Led by the presiding Judge,
Broad promptly agrees on purely stylistic grounds that he must
be the sole author of propositions unfamiliar to him. Where Professor
Van Pelt sees a hesitant admission, others might as easily see
unhesitating compliance. Hannah Arendt noted the remarkable tendency
among witnesses at this trial "to 'co-ordinate' themselves,
as it were, at a moment's notice." But she probably regarded
such Gleichschaltung as an SS character-trait.
- Sole authorship is certainly
important, but not because of the document itself. Even if Lance-corporal
Broad wrote every word of some definitive edition of this expanding
and contracting memoir, it would have little value as evidence.
It cannot gain authority from the nizkoresque practice of promoting
Broad to Sergeant, or even to Second lieutenant [Mr Rampton on
Day 14 ].
- Strip away from the memoir
things that Lance-corporal Broad "could not know";
take out things that nobody could know or that anybody could
know; overlook the physical impossibilities; try to forget the
fact that such absurdities had ever been there and then strive
to ignore the overcooked style; what remains after all that subtraction
would not amount to a first person account of direct personal
knowledge.
- Faced with an affidavit
based upon this memoir, any honest judge would need to cross-examine
its author. You cannot cross-examine a piece of paper. Perhaps
Mr Justice Gray's good opinion of Broad's ludicrous memoir is
the result of not having read it.
- STILL, if Lance-corporal
Broad really was the sole author of this written testimony, then
we must pay proper heed to the oral testimony he gave in person
at the Tesch trial in early March 1946. Led by Major Draper,
Broad claimed to have seen with his own eyes in July 1942 a complex
event which can have no other explanation than as a homicidal
gassing of about four hundred persons in the "old crematorium."
- Broad, who was too myopic
for active service, must have had an excellent pair of eye-glasses.
Open court testimony always has some value, even when cross-examiners
wear kid gloves.
- Broad's oral testimony
has value, however, only if we are satisfied that it was uttered
by an honest if gullible twenty-four year old SS-man of Brazilian
nationality whose service in the Gestapo office at Auschwitz
had secretly imbued him with the spirit of Polish nationalism
and inspired him to "unload his heart" by writing --
unaided, and allegedly within two or three days in June 1945
-- a trashy novella drawing on unsourced hearsay and far-fetched
psychological conjecture. If such a personality existed, he need
not necessarily be a liar.
- If Lance-corporal Broad
was not the sole author of his ludicrous memoir, if he was the
sort of sensible fellow who would collaborate on anything which
might keep him out of trouble, it follows at once that this oral
testimony was emitted by a pliable and perjured servant of a
dishonest prosecuting authority; a pampered servant, moreover,
who had much to fear and something to gain.
- I myself do not yet have
enough information to form a definite opinion about Broad. Perjury
has not been proven; but since it can be reasonable suspected,
he has no right to figure in Mr Justice Gray's list of indubitably
credible "eyewitnesses" For Gray, as for Mr Michael
Shermer, it must seem a happy instance of "consiliance"
that Rudolf Höss [the Auschwitz commandant] independently
and voluntarily confessed to the murder of "2.5 million
persons" less than a month after Broad independently and
voluntarily pronounced the very same number as prosecution witness
at a public British trial.
- It is true that independent,
voluntary estimates tend to converge upon the same truth. But
voluntary confessions to a crime do not usually exaggerate the
extent of that crime, and independent estimates do not usually
converge upon exactly the same falsehood. Ill-natured persons
might even sniff here the "cross-pollination" which
Judge Gray could not detect.
- In Mr Shermer's epistemology,
cross-pollination could mean only that Broad and Höss secretly
agreed a year beforehand to incriminate each other; which, being
absurd, means in Shermer's view that cross-pollination could
not have happened.
- Alternatives exist. Major
Draper the interrogator could hardly have gone on badgering suspects
with the old Russian four/five million figure after British arithmetic
had just been accepted by Major Draper the prosecutor. Where
Lance-corporal Broad got the 2.5 "rough estimate" from
is a mystery, as it was something which, by his own account,
not even he could know. Perhaps he heard it mentioned around
the office by Colonel Adolf Eichmann, who seems to have been
surprisingly ill-informed.
- P.S.: Lance-corporal was
accepted as equivalent to Rottenführer at the Tesch trial.
A Lance-corporal, after four years service, is merely a private
who has stayed out of trouble. A sergeant is a man who knows
things. In any case, it is the German rank that gets inflated:
Unterscharführer in Shermer's polemic [google: "michael
shermer" "pery broad" ] It is "Untersturmführer
Broad", no less, for Mr Rampton.
- A mere factual error (we
all make them) but it indicates how little attention was given
to the only piece of Broad testimony worth taking seriously.
In my guess the Polish edition of the [Höss] Erinnerungen
is the source of Broad as sergeant.
- If any of your German
readers regularly visits a newspaper archive it would be of interest
to know whether Broad's "2.5 million" figure made it
into to any Gereman newspaper that Höss might have read
between the first day of March 1946 and the eleventh [when Höss
parrotted it].
<http://www.fpp.co.uk/Letters/Auschwitz/Brennan241103.html>
APOLOGIE
R. Faurisson nous communique:
Vincent Reynouard, 34
ans, père de quatre enfants, auteur d'une vidéo-cassette
sur Oradour, est passé hier (18 novembre 2003) en jugement
à Limoges. Il est poursuivi pour apologie de crimes de
guerre. Le procès a été expédié
en trois heures. Le président, François Casassus-Builhé,
a fait preuve d'une spectaculaire partialité. Il a interdit
que la cassette soit visionnée. Il a interdit que l'unique
témoin à charge soit contre-interrogé. L'avocat
de la LICRA a été modéré. Le procureur
a requis une peine de un an de prison ferme. M e Eric Delcroix
a été brillant dans sa défense de V. Reynouard.
Le jugement sera rendu le vendredi 12 décembre.
Un an de prison ferme requis par le
procureur pour avoir dit qu'à Oradour les choses ne se
sont pas passées comme on nous le raconte?
AU
COURRIER 1
Lettre d'un lecteur qui
pérégrine dans des bibliothèques aux Etats-Unis
- J'ai pu consulter le
livre anglais du capricieux Pressac publié en 1989 à
Washington, Auschwitz, Technique and operation of the gas
chambers, et difficilement, ou non trouvable en France. On
y trouve les documents qui ne sont qu'en notes dans le livre
publié par le CNRS en français de 1993, ainsi que
les 39 prétendues traces de preuves que Robert Faurisson
discute et démolit dans "Bricolages et Gazouillages..."
et Jean-Marie Boisdefeu dans La Controverse sur l'extermination
des Juifs.
- Je suis d'accord sur
le fait que les commandes de tests à acide cyanhydrique
ne sont pas des preuves. D'ailleurs dans son livre de 1989, il
écrit que 95% du zyklon B était utilisé
pour désinfecter, et seulement 5% pour tuer. Il reconnaît
que Faurisson a fait avancer la recherche en publiant certains
documents, comme celui (NI-9912) sur les propriétés
de l'acide prussique disponible en allemand au CDJC, cote CLIX
a-21.
- J'ai recherché
la lettre du SS Bischoff où il est question de Vergasungkeller
au Krematorium II (cité dans son livre de 1993, p.69)
et traduit par "cave à gazage". Il est intéressant
de remarquer que dans la version de 1989 l'auteur n'est pas aussi
affirmatif: "Le rapport d'inspection joint à la lettre
rend possible d'établir, par un processus d'élimination,
que Bischoff utilise "Vergasungskeller" pour
désigner la "Leichenkeller 1" du Krematorium
II" ("The inspection report enclosed with the letter
makes it possible, through a process of elimination, to establish
that Bischoff uses 'Vergasungskeller' to designate 'Leichenkeller
1' of Krematorium II").
- La lettre en allemand
(p.432), traduite en francais par Faurisson ou en anglais sur
- <http://www.holocaust-history.org/auschwitz/19430129-vergasungskeller>, dit bien qu'il est question
de transformer cette salle en morgue en attendant la fin du gel
pour aménager le toit. Mais dans ce cas, les "gazages"
criminels supposés s'y dérouler n'auraient pu se
faire pour un temps d'ailleurs indéterminé. Ce
dont Bischoff parle pourrait être, comme l'écrit
Faurrisson, non pas la cave II, mais la cave III ou était
déposé du matériel de désinfetion,
ou comme l'ont proposé d'autres, un abri anti-armes chimiques,
ou une chambre d'épouillage, etc.
- Faurisson écrit
que le terme Vergasung est très courant, et est
traduit par l'équipe Pressac en anglais par "fumigation"
pour le document NI-9912 concernant l'utilisation du zyklon contre
les insectes, mais par "gassing" ailleurs, ce qui,
dans les deux cas, n'indique d'ailleurs pas vraiment de différence
d'utilisation, même si c'est ce que les traducteurs veulent
suggérer. Nous avons voulu vérifier et avons trouvé
significatif que le document NI-9912 concernant la desinsectisation
ne semble présent en allemand que sur votre site
- <http://vho.org/aaargh/fran/techniques/NI9912d.html> Il se trouve en effet le
terme "vergasung", et l'on peut se rendre compte
sur le site <holocaust-history.org> qu'une lettre du médecin
Kremer désigne par ce mot un gazage contre des poux en
septembre 1942 ("Vergasung eines Blocks mit Zyclon B
gegen die Läuse").
- Je n'ai lu que quelques
pages de la version anglaise, mais j'estime que Faurisson fait
une critique solide de quelques unes des 39 traces. Pressac n'est
lui-même pas toujours certain, au fil des pages, si ces
traces sont des preuves définitives ou non. Parfois il
dit que certaines idées d'aménagement (ventilation
en bois, ou désaération pour le haut plutôt
que par le bas) montrent une intention criminelle, or ces projets
ne paraissent pas avoir été mis en oeuvre.
- Le résultat de
ces fastidieuses pérégrinations exterminationnistes,
après d'autres à l'aide de moteurs de recherche,
est que je me demande pourquoi l'on a présenté
l'assemblage déréglé et pétaradant
de Pressac sous un capot rutilant, alors que le travail de Faurisson
présente une finition polie et le survole de loin en vrombissant.
AU COURRIER 2
- Sono ormai anni che
vaglio attentamente quanti più libri inerenti l'argomento
olocaustico, prima di tutti (poichè ne fui costretto all'età
di 12 anni) "Se questo è un uomo", dell'ormai
a tutti noto falsario Primo Levì. Da non molti anni, a
causa della mia giovane età, mi sono avvicinato alle tesi
revisioniste condividendole pienamente... devo aprire una parentesi
su questa questione: solitamente io sono sempre stato scettico
su ciò che udivo o leggevo, grazie all'insegnamento di
mio padre, il quale non ha mai perso occasione di aprirmi gli
occhi sul mondo, mentre nella lettura del serio studioso italiano
Carlo Mattogno sentivo a livello istintivo che quello che leggevo
era vero poichè si basava sulla logica, sulla ricerca
accurata e, soprattutto, sulla consapevolezza di operare in buona
fede e senza pregiudizi di sorta affidandosi su dati reali e
non su documenti già editi.
- Buon lavoro e speriamo
che qualcosa possa cambiare anche grazie alla vostra opera di
ricerca.
- Carlo A. 13 novembre
2003.
AU COURRIER 3
- Bonjour mon prenom est
Alain..Je suis en train de lire les documents en francais de
Rassinier et j ai juste voulu vous dire merci de nous permettre
de lire tous les livres de Rassinier et ce gratuitement
- J en ai pour des jours
et meme mois pour tout lire mais ca eu vaut vraiment la peine
!
- Je suis aussi un revisionniste
et il est grand temps que la verite se sache !! Encore une fois
Felicitations et Merci !!
- Bien a vous
- AST, Quebec,Canada
Rassinier, pour les longues soirées
d'hiver...
PARUTIONS
§== Encéphalogramme
plat. Certains écrivent sur le football ou la
culture des rhododendrons. Ce Christophe Bourseiller écrit
sur tout ce qui est "gauchiste". Pourquoi, on n'en sait
rien. C'est une façon comme une autre de gagner sa croûte.
Il pond ses deux volumes par an, qu'il vente ou qu'il neige. Du
moment que la marmite fume, tout va bien. Son dernier pensum a
un titre qui pourrait faire croire qu'il nous concerne en quelque
façon: Histoire générale de l'ultra-gauche.
Il y a des guillemets à «ultra-gauche»
sur la page de garde, mais ils ont disparu de la couverture. Ce
détail dit tout. Chez Denoël, 546 p., 25 euros.
L'ouvrage survole tout un tas de séries
d'événements, qui n'ont guère de rapports
les uns avec les autres, mentionne tout un tas de noms, cite quelques
anecdotes, résume des pensées complexes en phrases
de quatre mots. L'auteur est totalement dépourvu de sérieux
et il court à la fin du livre avec une hâte suspecte.
Il pense plus à la marmite qui fume qu'aux gens dont il
parle. Certains révisionnistes sont cités et on
ne disputera pas ici de l'exactitude des propos qui leur sont
prêtés. Tout est tellement superficiel, dans ce livre,
qu'on se demande à qui il peut bien servir. Même
la police, les denainxxx, les camus, les raslefront bas, en savent
tout autant avec leurs fiches. Pas d'idée, pas de discussion
des idées. Encéphalogramme plat.
§== C'est le moment
de sortir sa l'haine. Un certain
Raymond A Franklin compile chaque année un "directory
of Hate", c'est-à-dire une liste de tous les sites
qui ne plaisent pas à nos bons maîtres. Le premier
cité, étonnez-vous, est l'aaargh. Avec un nom pareil,
on est sûr d'être en tête.
Par conséquent, si vous voulez
vous faire une petite promenade chez les démonisés
et le zorribles non-korrekt, il vous suffit de consulter cette
brochure, qui fait plus de cent pages ! Misère misère
!
<http://www.bcpl.net/~rfrankli/hatedir.pdf>
§== Un mort très
commode. Opium Lords de
Salvador Astucia propose une nouvelle interprétation de
l'assassinat de John F. Kennedy. Le livre se trouve en ligne:
<http://www.jfkmontreal.com/home.htm>
Petite note biographique:
- "Salvador was unfamiliar
with Jewish culture until well into his adult years. Few Jewish
people lived in the Southern area where he spent his formative
years. He was never taught to have any special feelings about
Jews, good or bad. He always assumed Adolf Hitler was an evil
man because that was what he had been taught. When curiosity
prompted him to read books on the topic of Israel, the Jewish
culture, and Zionism, he experienced a bit of an epiphany. He
began to realize that if he had been lied to about President
Kennedy's assassination, maybe he had been lied to about many
other things, including the Holocaust.".
§== Les affreux
au Bois dormant ? On a remarqué
que Zinzin ne charge plus. Que Panczer dort dans son blindé.
Et Fingerhut, le fringant officier de Tsahal ? Que fait-il: "Michel
Fingerhut 1996-2001 - document mis à jour le 28/03/2001
à 19h37m13s.". C'est la page d'index.
Il appelle "nouveau" un texte
de Sonntag " document mis à jour le 05/12/2000 à
15h29m40s."
C'est le sommeil de Léthé
? Ils voulaient se faire des gros sous, la communauté a
dû leur rire au nez. Ils doivent être dégoûtés.
Enterrons-les avec discrétion.
§== Tâter
le Täter. Le discours du
député au Bundestag Martin Hohmann a fait beaucouip
de bruit. Il n'est pas révisionniste mais il considère
que faire des Allemands, encore et toujours, un "peuple criminel"
("Tätervolk", un peuple qui commet) est une accusation
qui devrait s'arrêter. D'ailleurs, dirait-on la même
chose des juifs qui ont participé au bolchevisme ?
Voir le texte original, évidemment
largement manipulé par les médias:
<http://www.tagesschau.de/aktuell/meldungen/0,1185,OID2535644,00.html>
§== Comment l'histoire
se fabrique. Donald Bloxham, Genocide
on Trial: War Crimes Trials and the Formation of Holocaust History
and Memory, Oxford: Oxford University Press, 2001. xix + 273
pp. Appendices, bibliography, index. $60.00( cloth), ISBN 0-19-820872-3;
$21.95 (paper), ISBN 0-19-925904-6.
Reviewed for H-Holocaust by Michael J.
Hoffman <[email protected],
English Department, University of California, Davis
Holocaust Trials
and Historical Representation
-
- We have always known
that the historical representation of the Holocaust was profoundly
influenced by the Nuremberg Trials -- in particular, the trial
of the major Nazi war criminals by the International Military
Tribunal, whose chief prosecutor was Associate Justice Robert
Jackson of the U.S. Supreme Court. Many books have been written
about the various Nuremberg trials by both journalists (e.g.,
Robert Persico) and participants (Telford Taylor), some of them
primarily descriptive, and some more analytic. One of the later
trials, that of the Nazi judges, was fictionalized in the Stanley
Kramer/Abby Mann film Judgment at Nuremberg. (1961).
- In 2000 Lawrence Douglas's
excellent book, The Memory of Judgment examined the trials
from a perspective that combined the law and media analysis.
Douglas focused not only on the first Nuremberg trial, but on
subsequent media-inflected courtroom events such as the Eichmann
trial and the Canadian indictment of Holocaust-denier Ernst Zundel.
Douglas suggests that all Holocaust-related trials have been
deeply influenced by Justice Jackson's decision to present to
the court vivid footage taken during the liberation of the Western
camps of emaciated prisoners, dismembered corpses, crematoria,
and ashes. This had the effect, for instance, of suggesting to
succeeding generations that the Holocaust took place primarily
in death camps via systematic starvation and execution. The use
of ghettos and such extreme versions of "ethnic cleansing"
as the mobile killing squads (the Einsatzgruppen) were given
a secondary role in the dramatic representation of the Holocaust.
The Allies felt the need to convince skeptical observers that
the Nuremberg trials were instituted to bring to justiceb-- and
not merely "victors' justice" -- perpetrators of war
crimes and crimes against humanity. Douglas concludes that in
this crucial dimension the various trials did not fully succeed,
but that as politically motivated representations they were more
successful.
- In Genocide on Trial,
British historian Donald Bloxham suggests that in setting up
war-crimes trials after World War II the Allies (he focuses on
the United States and Great Britain) were not only pursuing justice
but were also trying to write the history of the war. Bloxham
believes that the trials failed in this attempt because of political
considerations, related primarily to the advent of the Cold War.
But they failed as well because they also tried to define the
war in ways that would be most effective in reaching Germans
concerning their responsibility (avoiding the notion of "collective
guilt") for starting and pursuing the war. The trials were
seen, in other words, as an integral part of the process of denazification.
- It is Bloxham's belief
that the particular emphases of the trials retarded the development
of Holocaust historiography, because they gave rise to a series
of crucially misleading generalizations. Among them were the
following: first, because of the initial and spectacular focus
on liberated camps in the West -- such as Belsen and Buchenwald
-- the earlier and extensive murderous work of the Einsatzgruppen
was ignored until much later. Indeed, the trials of those involved
in the mobile killing squads did not take place until more than
a decade after the Nuremberg trials began. Second, because all
the extermination camps were located in Eastern Europe (in both
the occupied parts of Poland and in the Generalgouvernment) and
were liberated by the Russian army, there was a general confusion
in the West about the nature of the various types of camps. Belsen
and Buchenwald were, for most of the war, concentration camps,
not involved primarily in the industrialized killing processes
typical of Sobibor, Belzec, Treblinka, and Auschwitz-Birkenau.
At the end of the war, however, they received thousands of
prisoners who had been marched westward from the various remaining
camps of all types in the Eastern sector. By this time Belzec,
Sobibor, and Treblinka had been razed. The appearance of these
starving, dying refugees (fewer than half had survived the Death
Marches) made it seem to most observers, including Justice Jackson,
that the camps liberated by American and British forces were
extermination camps when, in fact, they were not. Third, because
the SS had been assigned primary responsibility for the Final
Solution of the Jewish Question, it was thought for many years
that the Wehrmacht had played little or no role in the genocide
of Jews, Poles, Russian soldiers, and Gypsies, when, in fact,
in many sectors of the war they had actually assisted their SS
colleagues in both round-ups and executions.
- Bloxham believes, then,
that it has been the academic historians who have more successfully
constructed the history of the genocidal parts of the War, reconstructing
it out of the distorted historical patterns promulgated by the
various trials. [...]
- In a concluding chapter,
Bloxham examines the role of the Nuremberg trials in establishing
a historiography of the Holocaust. As an example, he discusses
Raul Hilberg's decision to rely primarily on documents left by
German bureaucrats rather than on survivors' testimony. Those
were, after all, the kind of documents collected as evidence
for the trials, and "it was unavoidable that trials would
in large measure be perpetrator-centric" (p. 203). It is
only recently that historians have begun to focus more on the
victims themselves and to respect testimony from them about their
own situations. Also, moving away from the legal perspective
in which conspiracy is central has led more recent historians,
including Bloxham himself, to take a "functionalist"
rather than an "intentionalist" perspective on Holocaust
historiography. [...]
- H-Holocaust, 24 octobre 2003.
C'est l'aveu que toutes les histoires
écrites après-guerre, appuyées sur les comptes
rendus des procès de Nuremberg et des autres, bâclées
par les Poliakov, Reitlinger, Hilberg, sans compter les surnuméraires
Wellers, et autres clowns, ne valent pas tripette. C'est exactement
ce que disaient, il y a cinquante ans, avec moins de circonvolutions,
Bardèche et Rassinier. Nuremberg est à inscrire
aux pertes et profits.
§==CFP, ça veut dire "call for paper",
ce qui signifie appel à qui voudrait et pourrait rédiger
un texte (papier) pour une conférence qui se tiendra dans
plusieurs mois. A vous de vous débrouiller ensuite pour
y être, pour prendre la parole et résumer votre "papier",
mais c'est comme ça qu'on fait avancer sa carrière
et qu'on se fait connaître des collègues qui décident
des recrutements.
Donc l'université Brandeis (USA,
hyperjuive) lance un CFP :
- Call for Papers for
the Following Panel:
"Hollywood
and the Holocaust Memoir"
-
- Papers should address
some aspect of the fictionalization of Holocaust non-fiction.
Suggested topics include: papers that address the manipulation
of non-fiction to suit Hollywood tastes (both financially and
for its audience), the relationship between written and filmed
text, the ethics of visual portrayal of the Holocaust, the limits
of the screen, Holocaust film and its relation to other war films,
thematic shifts in Hollywood's portrayal of the Holocaust memoir
since the 1950s, etc...
- <[email protected]>
En somme, ils ne vont rien cacher.
§== Le grand site
africain WoYaa reprend de nombreux textes de S. Thion
<http://www.woyaaonline.com/>
§== Féroces
échanges sur le révisionnisme
dans la liste de discussion de l'Union des étudiants de
l'University College de Cork, dans la verte Erin:
<http://su.ucc.ie/index.php?name=PNphpBB2&file=viewtopic&t=101>
§== Ces sales
mômes.
"Antisémitisme
: le mal est dans l'école "
- Par Véronique
Grousset
-
- [...] Dès qu'ils
n'aiment pas un prof, c'est tout de suite : «Sale juif»,
confirme Valérie, professeur d'histoire-géographie
dans un collège de banlieue parisienne, où cette
banalisation des insultes antisémites émane surtout
des plus petits, en classes de 6e ou de 5e, majoritairement musulmans,
d'un niveau scolaire trop faible pour qu'on puisse leur expliquer
quoi que ce soit. Avec les 3e, c'est différent, explique
en effet la jeune enseignante, j'ai obtenu assez facilement qu'ils
arrêtent de parler de «génocide palestinien»
en leur faisant faire un travail sur l'ONU et les origines du
conflit au Moyen-Orient.
Très beau résultat en effet.
C'est en niant la réalité que les malheureux sionistes
vont se tirer d'affaire.
22 novembre 2003, Le Figaro Magazine.
LA PAIX MAINTENANT
Le 20 octobre est sorti, en Allemagne
et en allemand, un livre de l'historien anglais Martin Allen que,
en raison de la pression de la communauté juive anglaise,
ce dernier n'a pu publier dans son pays: Churchill's Friedenfalle,
Das Geheimnis des Hess-Fluges , Druffel, (448 pages, 16 pages
de documents photographiques, Euro 34,80) qui traite de l'arrivée
de Hess en Angleterre en 1941 muni d'un plan de paix (repris dans
le livre) dans lequel le chancelier s'engageait à retirer
l'armée allemande de tous les pays occupés d'Europe.
Rudolf Hess atterrit sur l'aéroport
privé du duc de Windsor (le prince Edward) en Ecosse. Il
ignorait que Churchill lui avait tendu un piège dans lequel
il tomba dès son atterrissage et il fut immédiatement
arrêté.
M. Allen réunit dans son ouvrage
plus de 15.000 documents (on y trouve notamment la preuve du rôle
incroyable joué par Lord Vansittart qui avait exigé
que l'Allemagne fût détruite).
Martin Allen est aussi l'auteur d'un autre
livre publié en Allemagne, Lieber Herr Hitler"
1939/1940: So wollte der Herzog von Windsor den Frieden retten,
368 p., qui traite des efforts du duc de Windsor "pour sauver
la paix". On touche là au point ultra-sensible des
affaires cachées de la famille de Windsor, qui est en réalité
une famille allemande, les Hanovre. Beaucoup plus explosif que
Diana, cette pauvre cruche.
On peut commander ces livres en ligne
<http://www.dsz-verlag.de>
(voir "Bücher")
§== Deux livres
vus dans un catalogue d'ouvrages récents, sans mention de l'éditeur:
Arnaud-Aaron Upinsky, Enquête
au coeur de la censure, 412 p. 20 euros.
L'auteur s'est lancé dans une véritable
enquête qui démarre dans l'édition, puis s'étend
à tout l'univers des média. Il révèle
l'existence d'une pieuvre planétaire aux mille bras, constitutive
de la censure la plus puissante de toute l'histoire de l'humanité.
Il nous initie aux mystères qui définissent la liberté
d'expression et décrypte les procédés les
plus inavouables de la cité interdite de l'information
pour en livrer les secrets les mieux gardés, mettant ainsi
à jour de subtils mécanismes.
Bryan M. Rigg, La Tragédie des
soldats juifs d'Hitler, 370 p. 22 euros.
Ce livre raconte la tragédie d'Allemands,
d'origine juive, incorporés dans la Wehrmacht. Ces hommes
acceptèrent de servir leurs pires ennemis pour des raisons
diverses, parfois dans l'espoir de protéger leur famille,
souvent par patriotisme inébranlable. On estime leur nombre
entre 120.000 et 160.000. Certains d'entre eux atteignirent des
grades élevés: général, feld-maréchal,
amiral et se virent décerner des décorations prestigieuses.
Mais il leur fallut toujours obtenir l'autorisation personnelle
du Führer pour combattre.
A notre avis, ce livre ne va pas amuser
tout le monde...
§== Une liste
de moteurs de recherche de livres
en Allemagne et dans le monde:
<http://www.ubka.uni-karlsruhe.de/suchmaschinen/meta.html>
§== Une vieille
crapule. Toute l'histoire de la
crapulerie de Simon Wiesenthal a été racontée
par un chercheur autrichien, Gerd Honsik, dans un livre connu
qui s'intitule Schelm und Scheusal, ("Coquin et affreux),
Meineid, Macht und Mord auf Wizenthals Wegen. Difficile à
trouver. L'exemplaire que nous avons porte l'adresse postale suivante:
Anwalts Kanzlei Ramiro, Sanchez de Lerin Garcia, c/ Academia 8,
28014 Madrid. On ne vous la garantit pas. Il est à noter
que l'ouvrage est dédié à l'ancien chancelier
autrichier Bruno Kreisky, juif, social-démocrate mais ancien
déporté à qui on ne la faisait pas.
Cet ouvrage a été traduit
en anglais: Fiend and Felon, America's Idol - a Crook! Power,
Perjury and Murder in Szymon Wizenthal's Footsteps et les
lecteurs qui ne savent pas l'allemand seront heureux et passablement
surpris de découvrir ce puant pot aux roses à l'adresse
suivante:
<http://www.abbc.com/historia/honsik/honsik.htm>
Honsik vit maintenant en exil, pour échapper
aux chiens lâchés contre lui.
§== Résistance,
le canard des nationalistes-révolutionnaires
(septembre 2003) mentionne les vertueuses protestations d'une
certaine Betoule Fekkar Lambiotte contre le simulacre d'élection
au "Conseil français du culte musulman", un bidule
qui avait été cogité par Joxe, du temps où
il était à l'Intérieur, reniflé par
Vaillant et Chevènement, et qui a finalement été
fabriqué par l'affreux Sarko. (Vous avez remarqué
son élocution lourde, appuyée ? Un linguiste y verra
la trace de l'origine étrangère d'un ou des parents
du locuteur.) "Il faut lire Terre d'Europe, le trimestriel
confidentiel de madame Lambiotte, pour comprendre quel est l'islam
que nos maîtres voudraient promouvoir. Dans le numéro
10, Betoulé Fekkar Lambiotte raconte son pélerinage
à... Auschwitz et affirme qu'il faut redonner "à
la Shoah la dimension universelle d'un drame qui est celui de
l'humanité toute entière". Ce que ne dit pas
Résistance, c'est que Lambiotte est le patronyme
d'un ponte du PCF, journaliste à l'Huma et spécialiste
de l'Afrique...
(Bio et photo dans
<http://www.annuaire-au-feminin.tm.fr/bioFEKKAR-LAMBIOTTEbet.html>
L'asservissement de la hiérarchie
catholique étant à peu près achevé,
la servitude des protestants étant un fait déjà
ancien, il reste à soumettre les musulmans à la
férule des "valeurs juives", humanistes en diable.
++++++++++
Informations et commentaires tirés du site aaargh
<http://aaargh-international.org/fran/actu/actu03/actu0312.html>
(version Web)
La version PDF se trouve aux adresses suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0312.pdf>
Tous les mois, la page
actualité est archivée.
Ce texte a été affiché
sur Internet à des fins purement éducatives, pour
encourager la recherche, sur une base non-commerciale et pour
une utilisation mesurée par le Secrétariat international
de l'Association des Anciens Amateurs de Récits de Guerres
et d'Holocaustes (AAARGH). L'adresse électronique du Secrétariat
est <[email protected]>.
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Afficher un texte sur le Web équivaut
à mettre un document sur le rayonnage d'une bibliothèque
publique. Cela nous coûte un peu d'argent et de travail.
Nous pensons que c'est le lecteur volontaire qui en profite et
nous le supposons capable de penser par lui-même. Un lecteur
qui va chercher un document sur le Web le fait toujours à
ses risques et périls. Quant à l'auteur, il n'y
a pas lieu de supposer qu'il partage la responsabilité
des autres textes consultables sur ce site. En raison des lois
qui instituent une censure spécifique dans certains pays
(Allemagne, France, Israël, Suisse, Canada, et d'autres),
nous ne demandons pas l'agrément des auteurs qui y vivent
car ils ne sont pas libres de consentir.
Nous nous plaçons sous
la protection de l'article 19 de la Déclaration des Droits
de l'homme, qui stipule:
ARTICLE 19 <Tout
individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression,
ce qui implique le droit de ne pas être inquiété
pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre,
sans considération de frontière, les informations
et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>
Déclaration
internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre
1948.
Artigo 19· <Todo o indivíduo
tem direito à liberdade de opinião e de expressão,
o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas
opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração
de fronteiras, informações e idéias por qualquer
meio de expressão.> Déclaration universelle des
droits de l'homme, Paris, 1948.
Le Onze tiret un
Article 11 - 1. «Toute personne
a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou
de communiquer des informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques
et sans considération de frontières.»
Charte des droits fondamentaux
de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.
"Congress shall make no law
respecting an establishment of religion, or prohibiting the free
exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the
press; or the right of the people peaceably to assemble, and to
petition the government for a redress of grievances." --
The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First
Ten Amendments to the Constitution of the United States of America),
connu sous le nom de "premier amendement".
[email protected]