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N'oubliez pas de lire la gazette du golfe et des banlieues,

Liste des numeros de la nouvelle série,

numéro 33 (décembre 2003)...


Le Courrier des Incrédules

Conseils de révision


Actualités de décembre 2003


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Conseils de révision est maintenant établi sur son site propre:

 

<http://conseilsderevision.tripod.com> où les numéros sont téléchargeables en format pdf.

 

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"Les jours du despotisme talmudique sont comptés".

Hors Mahler


 


 

Chirac told Singer (Chairman of the World Jewish Congress Executive) that Jews are the cause of anti-Semitism in France and everywhere else.

Manfred Gerstenfeld interview with Israel Singer,
"Restitution: The Second Round," Post-Holocaust and Anti-Semitism, November 2, 2003.

<http://www.jcpa.org/jl/vp506.htm >

 

"Well, the reaction of the world shows that they control the world."
"Exclusive Interview of Dr.Mahathir, by Pichai Chuensuksawadi" Bangkok Post, October 21, 2003.

 

Naturally, then, in searching for the "root cause" of anti-Semitism,
the Jewish state would appear to be the prime suspect. But Israel, it should be clear, is not guilty.
The Jewish state is no more the cause of anti-Semitism today
than the absence of a Jewish state was its cause a century ago.

Nathan Chtaransky, ex-dissident soviétique,
ministre israélien des affaires diasporiques,
Commentary, nov. 2003

"Deep down, I believe that a little anti-Semitism is a good thing for the Jews
- reminds us who we are." --Jay Lefkowitz (NYT Magazine. 12 F. 1995, 65)
Now Deputy assistant to the US President for Domestic Policy.






TOUJOURS L'AFFAIRE DU PRISONNIER ZÜNDEL


Les séances des 6 et 7 novembre du procès Zündel concernant sa mise en liberté sous caution n'ont pas encore amené le juge à prendre sa décision. Cette dernière devrait être rendue le... 10 décembre.

Quelques points marquants de ces journées:

- Le 6 novembre: Ernst Zündel est entré dans le prétoire les deux mains menottées et tenant bien difficilement les documents dont il avait besoin pour l'audience qu'il avait réunis dans une taie d'oreiller en guise de sac... Doug Christie, son fidèle avocat de 20 ans qui allait le défendre pendant ces deux jours pour la dernière fois, fit état d'une découverte qu'il venait de faire: le juge Pierre Blais, ce juge unique dont la décision sera irrévocable, a été, il y a quelques années, patron du CSIS (Canadian Security and Intelligence Service), l'organisme même qui est à l'origine du fameux "certificat" qualifiant Ernst Zündel de "menace pour la sécurité du Canada"!! Autrement dit, ce juge est à la fois juge et partie, et on peut se demander ce qui pouvait bien se dire lors de ces nombreuses audiences à huis-clos entre le juge et le CSIS auxquelles ne pouvaient assister ni l'inculpé ni son avocat!

Doug Christie a donc demandé à nouveau au juge de se récuser, d'autant plus que, en tant qu'ancien dirigeant du CSIS, ce dernier n'avait pas pu ne pas être au courant de l'affaire scandaleuse dénoncée dans le livre d'Andrew Mitrovika, "Covert Entry", qui raconte comment le CSIS avait prévenu ses agents, chargés, à la poste, d'ouvrir les courriers de Zündel, de ne pas ouvrir un certain colis piégé destiné à Zündel. Le juge ne s'est pas démonté et a rétorqué à D. Christie qu'il faisait perdre son temps au tribunal et dérailler le procès.

- Le 7 novembre: le juge Blais a laissé entendre qu'il pourrait libérer Zündel sous caution, mais à certaines conditions, à commencer par la suppression d'un certain nombre d'articles placés sur le site de sa femme, le Zundelsite. "Mais comment pourrais-je me conformer à une telle décision?" a demandé Zündel. "Vous dites qu'il faut trouver une formule pour persuader ma femme d'abandonner les droits qui sont les siens comme citoyenne américaine, afin que son mari ne reste pas à pourrir dans une prison canadienne. Si on m'ordonne de ne plus communiquer avec elle, c'en est fini de notre mariage."

Puis le juge fit allusion au mandat d'arrêt lancé contre lui par l'Allemagne le 17 février 2003, 12 jours après son arrestation dans sa maison du Tennessee. Dialogue:

- Le juge: Vous pensez qu'en Allemagne vous n'auriez pas droit à un procès équitable?
- EZ: Non. C'est bien pour ça que j'ai déposé une demande de statut de réfugié.
- Le juge: Si [une fois libéré] vous receviez l'ordre d'être déporté en Allemagne, est-ce que vous vous présenterez pour y être emmené?
- EZ: A Fort Erie, le 17 février, j'ai signé un engagement comme quoi j'acceptais volontairement d'être transféré en Allemagne une fois que j'aurai épuisé toutes les autres possibilités légales. Je ne m'enfuirai pas. Si le Canada en arrive à cette extrémité, je partirai. Croyez-moi.

Une anecdote qui en dit long: Pour montrer combien Zündel est un homme dangereux, le procureur MacIntosh a fait visionner un court extrait d'une vidéo prise lors d'une conférence de Zündel. Ce dernier, ainsi que son avocat, après bien des difficultés, ont obtenu que l'intégralité de la vidéo soit visionnée et, là, le juge s'est aperçu que le procureur avait fait dire à Zündel exactement le contraire de ce qu'il disait en réalité! Le juge n'a pas apprécié et a réprimandé le procureur.

A l'annonce des résultats de ces deux séances, voici ce qu'écrit Ingrid Zündel-Rimland:

"Vous ne savez pas quoi? - c'est encore ce maudit Zundelsite qui empoisonne les censeurs canadiens!
Pensez donc - si je veux récupérer mon mari, on dirait qu'il faut que je leur vende mon site! Ernst a eu bien raison de dire au juge: 'Je suis le premier otage de la Toile au monde...'
Je suis en train de concocter un sondage où je pourrais m'adresser comme ça au peuple américain: 'Etes-vous d'accord pour que je vende votre précieux Premier Amendement aux Kommissaires kanadiens afin que je récupère au Tennessee mon mari kidnappé? Si c'est non, il va falloir que vous m'aidiez. Si c'est oui, c'est votre liberté qui va s'envoler par la fenêtre - vous pouvez être bien tranquilles!'
Que vont-ils me répondre, d'après vous?"

 

On peut écrire un mot à:

Monsieur Ernst Zündel, Toronto West Detention Ctr., 111 Disco Road, Box 4950, REXDALE, ON. M9W 1M3 (Canada)


COMMENT FONCTIONNE LE PROCÈS Z ?

 

Le procureur en charge("The Crown"), Macintosh a dit clairement au juge: "Il s'agit de savoir si le certificat, rédigé par les services secrets et déclarant Z un danger pour le pays, est "raisonnable" ou non, et non pas nécessaire correct ou vrai.
Par conséquent, il s'agit pour lui de montrer que Z est coupable pas association: il a connu telle ou telle personne, qui a fait, à tel moment, telle ou telle déclaration qui, prise hors de son contexte, peut prêter à caution ou donner l'impression d'être favorable à activités terroristes. Même si Z n'est en rien mêlé à ces déclarations, faites en dehors de lui et des relations très épisodiques (comme une simple rencontre de dix minutes, quinze ans auparavant), le principe d'association permet de tirer la conclusion selon laquelle il est "raisonnable" de penser que Z est associé à des terroristes, même si l'accusation veut bien convenir que ce n'est pas nécessairement vrai. Si le juge tient ces constructions pour "raisonnables", le certificat sera validé et Z expulsé vers l'Allemagne, dans la cage où les tigres l'attendent.
Rappelons que pour ce genre d'affaire, il n'y a pas d'appel; juge unique, pas de jury; certaines audiences sont secrètes: le prévenu et son avocat ne peuvent pas y participer. Ceux qui appellent ça de la "justice" sont priés de dire pourquoi. Ce n'est pas la Corée du Nord mais le Canada. Ceux qui voient une différence sont priés de nous la signaler.
Le juge, qui a travaillé au sein des services, avait menacé le public qui murmurait devant les délais toujours prolongés qui font traîner cette affaire en longueur. Dans ce public se trouvait une avocate, Anita Bomberg, portant un badge du B'nai Brith. Après les menaces du juge du siège, un supporter de Z dit entre ses dents: "Dieu sauve ce pays". Bomberg, qui se trouvait à côté de lui, se pencha vers le protestataire et lui dit: "Je pourrais vous signaler au juge".

(Power, 295, 7 octobre 2003).


COMMENTAIRES SUR LA JOURNÉE DU 18 NOVEMBRE:

Ernst Zündel est entré dans le prétoire les mains menottées et entouré de 5 malabars.
Hier soir, au cours d'une très courte conversation téléphonique avec sa femme Ingrid (cinq minutes seulement lui ont été accordées), il a pu dire que dans l'ensemble il était très satisfait de sa nouvelle équipe de défenseurs qui ont manifesté beaucoup de mordant.
Son impression, cependant, n'est pas à l'optimisme car la Cour suprême du Canada - d'après ce qu'a cru comprendre sa femme - semblerait avoir perdu une bonne part de son indépendance récemment en rendant des arrêts favorables au CSIS...

L'avocat Peter Lindsay a cherché à démontrer que la détention d'Ernst Zündel était illégale et inconstitutionnelle.
Il a également démontré qu'aucune violence n'était jamais venue de la part de Zündel mais au contraire de ses adversaires, citant notamment l'incendie criminel de sa maison puis l'envoi d'un colis piégé. Dans le premier cas, le criminel, qui avait été pris en photo par la caméra de Zündel, était vu en train de déposer un bidon d'essence devant le domicile de Zündel et d'y mettre le feu, mais il n'a jamais été recherché; dans le second cas, les deux malfaiteurs que la police canadienne soupçonnait n'ont jamais été inquiétés. Zündel a été victime de bien d'autres persécutions en raison de ses opinions. Le juge Lauren Marshall, qui fut son avocat il y a bien des années, avait reçu à l'époque des menaces de mort, et son enfant de 7 ans avait reçu également un coup de fil lui disant: "Si ta maman va au tribunal, on la tuera".
Pour montrer l'inconstitutionnalité de la loi sur l'immigration, Me Lindsay critiqua le fait que le juge s'arrogeait le droit d'accepter pour preuve n'importe quel élément de son choix: des articles de presse, des on-dit, des témoignages de 2e ou même de 3e main, tous témoignages pour lesquels il n'est même pas demandé de prêter serment et où les témoins ne sont même pas contre-interrogés... Pour Me Lindsay, cette loi sur l'immigration permet d'envoyer n'importe qui en prison sans preuve. De plus, dans le cas, comme celui de Zündel, où un certificat a été émis disant qu'une personne constitue une menace pour la sécurité du Canada, il n'est même pas demandé au juge de déterminer si la personne est réellement un danger pour la sécurité mais simplement de dire si le certificat en question est "raisonnable"! Or, si le juge estime que Zündel ne constitue pas une sécurité pour le Canada mais que les autres, c.à.d. le ministère de l'immigration et le procureur général, ne sont pas d'accord (comme c'est le cas ici), le juge est tenu de dire que le certificat est "raisonnable" et cette dernière appréciation se transforme en ordre de déportation qui sera irrévocable (pas d'appel possible).
En fin d'audience, le procureur Macintosh a déclaré au juge, Madame Benotto: "On vous demande de prendre une décision à partir de dossiers incomplets. Lors des séances qui se sont tenues à huis-clos le ministre de la justice et le ministre de l'immigration ont apporté des preuves qui montrent que M. Zündel constitue une menace pour la sécurité du Canada"!!!
Les interventions se termineront demain. Les anglophones pourront se reporter au Zundelsite à: http://www.zundelsite.org
Rappelons l'adresse où vous pouvez envoyer vos dons pour contribuer à payer les frais colossaux : -- Ingrid Rimland-Zündel, 3152 Parkway #13, PMB 109, PIGEON FORGE, TN. 37863 (USA) (les billets en euros placés dans une enveloppe à cette adresse sont toujours parvenus à leur destinataire).



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LA MAHLER INITIATIVE


 




LIGUE


Ce 9 novembre 2003, Horst Mahler a inauguré à Vlotho/Weser, en présence d'une soixantaine de membres fondateurs, l'"Union pour la réhabilitation des personnes poursuivies en raison de leur contestation de l'Holocauste" (Verein für Rehabilitierung der wegen Bestreitens des Holocaust Verfolgten). La réunion s'est déroulée sans incident et sans intervention de la police.





Communiqué de presse de Horst Mahler à propos de la création de
l'Union pour la réhabilitation des Persécutés de la Négation de l'Holocauste


 

A la date historique du 9 novembre 2003 vient d'être fondée à Vlotho, en Allemagne, l'Association pour la Réhabilitation des Persécutés de la Négation de l'Holocauste ("Verein zur Rehabilitierung der wegen Bestreitens des Holocaust Verfolgten" ou "VRBHV"). C'est le Germano-Suisse Bernhard Schaub, professeur d'histoire, lui-même victime de persécutions, qui a été élu président. Il aura pour adjointe Ursula Haverbeck-Wetzel, directrice du Collegium Humanum.
A la suite de l'article de Fritjof Meyer, rédacteur en chef du Spiegel, sur "Le nombre des victimes d'Auschwitz - Nouvelles découvertes dans les archives", paru dans le magazine Osteuropa (n* 5/2002) sous la responsabilité de Rita Süßmuth, ancienne présidente du Bundestag, l'Association a pour objet de rouvrir les procès ayant donné lieu à des condamnations pour négationnisme ou minimisation de l'Holocauste conformément au §130 art. 3 et 4 du Code pénal [allemand].
De telles condamnations sont toutes fondées sur la thèse assenée par l'historiographie en vigueur selon laquelle l'extermination industrielle de millions de juifs en raison de leur race qui s'est produite sous la responsabilité du Reich allemand et sous le mandat du chancelier Adolf Hitler (connue sous le nom de "Holocauste") est un fait évident qui, en conséquence, n'a pas besoin d'être démontré.
Dans son article, qui a fait l'objet d'un examen de la part de nombreux procureurs qui l'ont estimé inoffensif, Meyer avance la thèse selon laquelle aucun meurtre de masse n'a eu lieu dans les morgues des crématoires I et II du camp principal d'Auschwitz jusqu'à ce jour décrites comme lieux du crime. Les découvertes de Fritjof Meyer confirment les recherches faites par le professeur Robert Faurisson et Paul Rassinier (France), de Fred Leuchter et d'Arthur Butz (Etats-Unis), de David Irving (Royaume-Uni), de Jürgen Graf (Suisse), Walter Lüftl et Wolfgang Frölich (Autriche), Frederick Töben (Australie), et bien d'autres "révisionnistes" qui ont rassemblé les preuves réfutant ce qu'on appelle le Mensonge d'Auschwitz.
Si les historiens ci-dessus mentionnés nient totalement l'exécution en masse des juifs à l'aide de Zyklon B, Fritjof Meyer, lui, prétend que les gazages à l'aide de Zyklon B ont probablement (!) eu lieu dans deux fermettes extérieures au camp d'Auschwitz, et qu'ils ont gazé probablement (!) 356.000 personnes (juives et non juives). Il devient ainsi évident que les poursuites fondées sur la prétendue "évidence" de l'Holocauste peuvent être considérées comme une forfaiture de l'appareil judiciaire.
L'Association vise à éliminer l'exclusion pratiquée à l'égard des persécutés telle qu'elle a existé jusqu'à ce jour, à garantir la prise de conscience par le public de leur combat pour la justice et à leur fournir les moyens de gagner leur combat judiciaire.
Voici quelques-uns des principaux membres fondateurs:

Ernst Zündel, infatigable défenseur de l'honneur de l'Allemagne (sous "haute surveillance" au Canada, dans des conditions dignes de celles de Guantanamo) et sa femme, la romancière Ingrid Zündel-Rimland (Etats-Unis)
Le professeur Robert Faurisson (France)
Le directeur de musée Rainer Daehnhardt (Portugal)
Germar Rudolf, auteur du Rapport Rudolf (en exil)
Jürgen Graf, auteur (en exil)
Gerd Honsik, auteur du livre Freispruch für Hitler (en exil)
Wilhelm Stäglich, auteur du livre Le Mythe d'Auschwitz (Allemagne)
Frederick Töben, directeur de l'Adelaide Institute (Australie)
Andrea Studer (en exil)
Hans-Dietrich Sander, rédacteur en chef de Staatsbriefe (Allemagne)
Manfred Röder, combattant allemand de la liberté (en prison)
Frank Rennicke, chanteur-compositeur allemand
Hans Schmidt, éditeur (Etats-Unis)
Anneliese Remer, veuve du major général Otto Ernst Remer (Espagne).

Dans une lettre en date du 9 novembre 2003 au signataire, Robert Faurisson invitait "tous les révisionnistes" à s'associer à l'initiative de cette association. Une copie de cette lettre en anglais, en allemand, en italien et en français est jointe à ce communiqué de presse.
Vlotho/Berlin, le 11 novembre 2003
Pour le comité exécutif,
Horst Mahler



Remarque de ce jour de R. Faurisson: "Je regrette que [dans ce communiqué de presse] le nom de Paul Rassinier apparaisse après le mien, et celui d'Arthur Butz après celui de Fred Leuchter. Et quid de Ditlieb Felderer, qui a été le premier révisionniste de terrain? Je relève des inexactitudes au sujet de l'article de Fritjof Meyer. Je constate avec plaisir que des révisionnistes se sont compromis dans l'aventure et j'invite les autres à suivre leur exemple. Nul ne se fait d'illusion sur l'avenir d'une telle initiative mais je pense qu'il convient, jusqu'à preuve du contraire, de soutenir Horst Mahler.





Horst Mahler:

Pressemitteilung

 
An einem geschichtsträchtigen Jahrestag, am 9. November 2003, hat sich in Vlotho der "Verein zur Rehabiltierung der wegen Bestreitens des Holocausts Verfolgten" (VRBHV) gegründet. Zum Vorsitzenden wurde ein ebenfalls Betzroffener, der Deutsch-Schweizer Geschichtslehrer Bernhard Schaub gewählt. Seine Stellvertreterein ist die Leiterin des Collegium Humanum, Ursula Haverbeck-Wetzel.
Gestützt auf einen Artikel des Leitenden SPIEGEL-Redakteurs Firtjof Meyer, "Die Zahl der Opfer von Auschwitz - Neue Erkenntnisse durch neue Archivfunde", erschienen in der von der Bundestagspräsidenten a.D. Rita Süßmuth verantworteten Zeitschrift "Osteuropa" (Heft 5/2002) strebt der Verein die Wiederaufnahme von Strafprozessen an, die zur Verurteilung wegen Leugnung bzw. Verharmlosung des Holocausts gemäß § 130 StGB Abs. 3 und 4 StGB geführt haben.
Diesen Urteilen liegt ausnahmslos die These zugrunde, daß der von der herrschenden Zeitgeschichtsschreibung behauptete rassistisch motivierte, millionenfache industrielle Judenmord in der Verantwortung des Deutschen Reiches unter der Reichkanzlerschaft von Adolf Hitler ("Holocaust" genannt) eine offenkundige, also des Beweises nicht bedürftige Tatsache sei.
In seinem Aufsatz, der von zahlreichen Staatsanwaltschaften in verschiedenen Bundesländern geprüft und für strafrechtlich unbedenklich erklärt worden ist, vertritt Meyer die These, daß in den bisher als Tatort bezeichneten Leichenkellern der Krematorien I und II im Stammlager Auschwitz Massentötungen nicht stattgefunden haben.
Die Erkenntnisse von Fritjof Meyer bestätigen die Forschungsergebnisse von Prof. Robert Faurisson, Paul Rassinier (beide Frankreich), Fred Leuchter, Arthur Butz (beide USA) Germar Rudolf, Wilhelm Stäglich, Udo Walendy (Deutschland), David Irving (UK) , Jürgen Graf (Schweiz), Walter Lüftl, Wolfgang Fröhlich (beide Österreich), Fredrick Töben (Australien) und zahlreichen anderen "Revisionisten", die Beweise zur Widerlegung der sogenannten Auschwitzlüge beigebracht haben.
Während die genannten Historiker Massentötungen von Juden durch das Gas Zyklon B gänzlich in Abrede stellen, geht Fritjof Meyer davon aus, daß Vergiftungsaktionen mit Zyklon B wahrscheinlich (!) in zwei Bauernhäusern ausserhalb des Lagers Auschwitz stattgefunden hätten mit "wahrscheinlich (!) 356.000 im Gas Ermordeten" (Juden und Nichtjuden).
Damit ist die auf vermeintliche "Offenkundigkeit" des Holocausts gegründete Strafverfolgungspraxis als Justizverbrechen offenkundig geworden.
Der Verein soll durch organisierte Anstrengungen die bisher vorherrschende Vereinzelung der Verfolgten aufheben, ihrem Kampf um Gerechtigkeit die notwendige Wahrnehmung in der Öffentlichkeit gewährleitsten und die finanziellen Mittel für einen erfolgreichen Rechtskampf bereitstellen. Als Gründer haben u.a. mitgewirkt:

Ernst Zündel, unermüdlicher Kämpfer für die Ehre Deutschlands (in "Sicherheitshaft" unter Guantanamo-Bedingungen in Kanada) und seine Ehefrau, die Novellistin Ingrid Zündel-Rimland (USA)
Prof. Dr. Robert Fausrisson (Frankreich)
Museeumsdirektor Rainhardt Daehnhardt (Portugal)
Germar Rudolf , Verfasser des "Rudolfgutachtens" (im Exil))
Jürgen Graf , Buchautor (im Exil)
Gerd Honsik, Verfasser des Buches "Freispruch für Hitler" (im Exil)
Wilhelm Stäglich, Verfasser des Buches "Der Auschwitzmythos"
Fredrick Töben, Direkteur des "Adelaide Institute for Historical Research"
Andres Studer (im Exil)
Hans-Dierich Sander, Herausgeber der Staatsbriefe
Manfred Röder, Deutscher Freiheitskämpfer (im Gefängnis)
Frank Rennicke, Deutscher Liedersänger
Hans Schmidt, Publizist (USA)
Anneliese Remer, Witwe des Generalmajors Otto Ernst Remer (Spanien)

Prof Robert Faurisson hat in einem an den Unterzeichneten gerichteten Brief vom 9. November 2003 "alle Revisionisten" eingeladen, sich der Initiative des Vereins anzuschließen.
Eine Abschrift des Briefes in Französisch, Englisch und Deuts ist dieser Presseerklrärung angefügt.

Vlotho/Berlin am 11. November 2003
Im Auftrage des Vorstandes



LA LETTRE DE R. FAURISSON



Dès que j'ai appris l'existence de votre association qui vise à réhabiliter les victimes de la répression judiciaire pour contestation de l'"Holocauste" (Verein zur Rehabilitierung der wegen Bestreitens des Holocaust Verfolgten ), j'ai demandé à faire partie de cette association et je vous ai envoyé ma contribution financière.
Votre initiative est ingénieuse et je lui souhaite plein succès. J'invite tous les révisionnistes à s'y associer.
Vous m'avez invité à votre première réunion, qui aura lieu le 9 novembre 2003. La date est bien choisie puisqu'elle marque l'anniversaire de la chute, en Europe, d'une tyrannie qu'on pouvait croire éternelle. Le lieu est également bien choisi puisque le nom de Vlotho/Weser est associé à celui de notre ami Udo Walendy, qui a tant oeuvré pour le rétablissement de la vérité historique et, en même temps, pour sa patrie allemande.
C'est bien volontiers que je me rendrais à cette réunion mais je pense que la police allemande procéderait, séance tenante, à mon arrestation. Or j'ai trop de travail pour prendre des vacances, fût-ce dans une geôle allemande.
Je ne fais, en matière de liberté de recherche historique, aucune confiance à la police et à la justice françaises et encore moins à la police et à la justice allemandes. A vrai dire, aujourd'hui, plus aucun pays au monde n'offre d'asile sûr aux révisionnistes. Même la Chine, le Japon, la Russie servent Mammon ou bien le craignent, et donc le servent. Les Etats-Unis, malgré l'existence du Premier Amendement, et le Canada viennent de montrer, avec l'exemple du traitement cruel réservé à Ernst Zündel, jusqu'à quel degré d'iniquité ils peuvent descendre pour plaire à Mammon. Ernst Zündel est une figure héroïque du peuple allemand, un homme exceptionnel qu'on ne peut qu'admirer, si on le connaît vraiment.
En 1999, j'ai publié un ouvrage de plus de 2000 pages rassemblant quelques-uns de mes écrits de 1974 à 1998. Cet ouvrage s'ouvre sur un "In Memoriam" où j'évoque, parmi les noms des morts, Franz Scheidl, Hellmut Diwald et Reinhold Elstner. A propos de ce dernier, je rappelle qu'il s'est immolé par le feu, à Munich, le 25 avril 1995, en signe de protestation contre le "Niagara de mensonges" déversé sur son peuple. Les derniers mots de cet "In Memoriam" sont les suivants :
 
"Puisse [mon livre] se lire aussi comme un hommage aux vraies souffrances de toutes les victimes de la guerre de 1939-1945, que ces victimes aient appartenu au camp des vainqueurs qu'on encense ou à celui des vaincus qu'on ne cesse, depuis près d'un demi-siècle, d'humilier et d'offenser."

Je rappelle que ces mots datent de 1998. Depuis cinq ans, la situation n'a fait qu'empirer. Le Niagara de mensonges n'a fait que s'élargir et se renforcer. Nous n'avons pas le droit de nous croiser les bras et de contempler en silence l'étendue des dégâts. Nous devons agir et réagir.
C'est ce que vous tentez de faire.
Comme tout le monde, j'ignore les chances de réussite de cette tentative mais, personnellement, je veux m'y associer quelles que soient, par ailleurs, les différences d'opinion ou d'appréciation qui peuvent opposer les combattants d'une même cause.
En décembre 1980, j'avais résumé en une phrase de soixante mots français le résultat de mes recherches historiques. Cette phrase, je l'avais prononcée à Radio Europe 1, non sans la faire précéder de l'avertissement suivant: "Attention ! Aucun de ces mots ne m'est inspiré par une sympathie ou une antipathie politiques." Voici cette phrase :

 
"Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière, dont les principaux bénéficiaires sont l'Etat d'Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand mais non pas ses dirigeants et le peuple palestinien tout entier."

Vieille de vingt-trois ans, cette phrase n'a pas besoin, je présume, d'être retouchée.
On m'a accusé d'être antijuif. En réalité, je ne veux aucun mal aux juifs. Ce que je revendique, c'est le droit de parler des juifs avec autant de liberté que j'ai le droit, par exemple, de parler des Allemands. Et je demande que les juifs soient privés du droit de me faire du mal, soit physiquement (j'ai subi de leur part dix agressions physiques entre 1978 et 1993), soit par l'entremise d'une loi spéciale qu'ils ont fini par obtenir, le 13 juillet 1990, et qu'en France nous appelons "loi Fabius-Gayssot", "loi Faurisson" ou "loi antirévisionniste". Il est scandaleux que, parmi les milliards de faits qui constituent l'histoire de l'humanité, un seul fait, que les juifs appellent "Holocauste" ou "Shoah", ne puisse être contesté sous peine de prison, d'amendes, de dommages-intérêts, de publications judiciaires forcées, d'interdiction professionnelle, etc. Il y a là un privilège exorbitant et nous réclamons l'abolition de ce privilège.
Voilà un objectif simple, clair, limité.
Pour moi, le révisionnisme n'est pas et ne doit pas être affaire d'idéologie; il est une affaire de méthode pour atteindre à la plus grande exactitude possible.
C'est à l'exactitude historique que j'aspire et donc à la suppression de tout ce qui entrave la libre recherche de cette exactitude.
Tous mes voeux vous accompagnent.


Sur le site <www.rense.com> on trouvera, sous le titre "Revisionist 'Anti-Defamation League' Being Formed", la version anglaise de la lettre de soutien adressée, ce 20 octobre, par Robert Faurisson à Horst Mahler. Cette lettre a été lue à l'assistance dans sa version allemande.



L' INITIATIVE


Introductory remarks by Fredrick Töben


 
German lawyer Horst Mahler has initiated an action in Germany that some regard as merely a lit candle to which the Revisionist moths fly to their doom. Someone reminded me that Revisionists are perhaps a little more intelligent than those moths that are blinded by the light.
However, there is room for caution, especially when we recall that Ernst Zündel has spent almost a year in a Canadian 'detention' centre because he will not bow to the 'Holocaust' dogma and stop pointing out what a massive lie it is.
Wolfgang Fröhlich is currently spending one year in an Austrian prison for the same reason. There are many others who are spending time in prison because of their refusal to accept this oppressive dogma.
So, as in any enterprise we need to be careful, especially when we approach the 'Holocaust' industry upon which in part the so-called New World Order rests.
Decades-long propaganda has made the world pliable and intellectually fuzzy. The latest word that joins the other shut-up words such as 'hater' and 'antisemite', is denialism.
In Australia a couple of academics have begun with their policing efforts to thereby stifle open enquiry -- and that is very sad for our up-coming generation because their minds will definitely suffer from arrested development.
Professor Arthur Butz has quietly fought the good fight at the same time held on to his professorship at North Western University which in itself is miraculous and reflects upon his moral and intellectual courage and integrity. His 1970s book, The Hoax of the Twentieth Century remains a classic.
Below is his considered opinion about the Mahler initiative that is to force the German judiciary into action as Mahler gathers around him those individuals who have been persecuted-prosecuted for so-called 'Holocaust denial', in many European countries, and including Canada and Australia.
Mahler's case is strong because he uses the 2002 Fritjof Meyer article that in effect eliminates the claim that Auschwitz was a death camp where millions of Jews were murdered in homicidal gas chambers, this being one of the three major pillars on which the 'Holocaust' lie rests.


Le 18 novembre 2003, 15:31, Adelaide Institute à:

<[email protected]>


L'AAARGH, en tant qu'association, souscrit aux objectifs affichés par cette nouvelle Union pour la réhabilitation des personnes poursuivies en raison de leur contestation de l'Holocauste. Sa création répond à un besoin de justice et de liberté.



LES CAVES SE REBIFFENT


Un "antisioniste" de choc

 

Ex-gauchiste devenu néo-nazi, Horst Mahler expose ses thèses sur le complot juif.

 
Horst Mahler est un avocat qui défendit autrefois les membres de l'ultra-gauche allemande, et fut inculpé pour avoir pris part aux actions terroristes du groupe Baader-Meinhof. Puis il passa de l'extrême gauche à l'extrême droite, adhéra à l'idéologie néo-nazie (comme un certain nombre d'anciens militants allemands d'extrême gauche: Rainer Langhans, Reinhold Oberlercher, Günther Maschke, Klaus Reiner Röhl, Bernd Rabehl, etc.) et s'engagea dans le combat contre les droits des travailleurs immigrés.
Sur un point, cependant, Mahler n'a jamais varié: son antisionisme acharné. Hier, sa défense des droits des Palestiniens passait pour une posture de gauche. Il est évident désormais qu'il s'agit d'un antisémitisme débridé.
Aujourd'hui âgé de 67 ans, Horst Mahler est un militant négationniste. Cet été, il avait monté le projet de se rendre à Auschwitz afin de "prouver scientifiquement" l'inexistence des chambres à gaz. Le projet dut être annulé car, peu avant son départ prévu pour le 30 juillet, Mahler se vit retirer son passeport par les autorités allemandes. Le ministre de l'intérieur de l'Etat du Brandebourg justifia sa décision par le souci de la réputation internationale de l'Allemagne [Note de l'AAARGH: aucun sioniste ne trouvera jamais antidémocratique ou attentatoire aux droits de l'homme une atteinte à la liberté de circuler librement, tant que la victime n'est pas un sioniste. Cf le texte de Shamir, d'octobre 2000, qui dit tout sur la question.].
Cette affaire suscita de vifs conflits au sein des pro-palestiniens, principalement aux États-Unis. Si les uns s'opposaient à toute alliance avec un homme aussi déconsidéré, d'autres étaient solidaires de Mahler et voyaient dans l'annulation du voyage la marque d'un "lobby juif".
S'il avait pu se rendre à Auschwitz, Mahler y aurait prononcé un discours dont le texte a été diffusé [Note de l'AAARGH: nous en avons, bien sûr donné une traduction], depuis lors, sur plusieurs sites Internet négationnistes avec les encouragements d'un antisémite professionnel qui signe Israël Shamir. Dans ce texte délirant, Mahler explique que grâce au mythe d'Auschwitz "l'Etat d'Israël massacre tous les jours le peuple palestinien" et "les Juifs" ont "carte blanche" pour "inciter publiquement à la troisième guerre mondiale". Puis vient un long développement sur les Protocoles des Sages de Sion, avec à l'appui des "documents" publiés en Allemagne sous le régime nazi.
Chacun sait aujourd'hui que ces prétendus Protocoles, qui furent à la base de l'antisémitisme nazi et jouissent toujours d'une immense popularité dans le monde arabe, ont été inventés par des agents tsaristes, au tournant du XXe siècle, en plagiant un pamphlet français qui visait Napoléon III. Mais Mahler "sait", lui, que les Protocoles sont authentiques. Ils ont été publiés sciemment, car par leur publication "les Juifs cherchent à intimider les peuples". En effet, "c'était un trait de génie talmudique de faire aboutir ce texte chez les agents secrets du tsar, pour prétendre ensuite qu'il s'agissait d'un faux de ces services secrets".
Mahler nous apprend ensuite que "les tours du World Trade Center ont été victimes d'une conspiration juive". (Il n'est pas seul à partager ce sentiment: le négationniste français Serge Thion s'est lancé récemment dans la publication de textes visant à "prouver" que les attentats du 11 septembre 2000 sont le résultat d'un complot, suivez mon regard.) Il fonde donc ses espoirs sur une "insurrection armée contre le règne des Juifs aux États-Unis". Car, comme il le proclame dans sa conclusion, "les jours du despotisme talmudique sont comptés".
Voilà ce qui s'écrit et se dit, ces temps-ci. Au nom de l'antisionisme, bien sûr.

L'Arche, numéro 548, octobre 2003.


SI l'on suit le raisonnement de ce brillant plumitif, les événements du 11 septembre, n'étant pas le résultat d'un complot doivent être dus au simple hasard. Un accident, en somme. Une coïncidence, peut-être. Or, à part les gens de L'Arche, tout le monde croit qu'il s'agit d'un complot. Mais lequel ? Là est la question, parfaitement légitime en l'absence de preuves. Le "suivez mon regard" est une libre interprétation des obsédés de L'Arche, qui ne correspond nullement aux observations qui sont rapportées dans la Gazette du Golfe et des banlieues [et non par Serge Thion], à laquelle on présume que les fins limiers de l'Arche font allusion. Le judéocentrisme obsessionnel devrait pouvoir se soigner par une thérapie adaptée. Voir la Gazette et sa rubrique "Les Mystères de New York".



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L'IMPLOSION D'INDYMEDIA


Indymedia and "Muslim antisemitism"


 
Holocaust denial, historical manipulation, Muslim attitudes, and the issue of anti-zionism versus anti-semitism are the most contentious issues for the IMC's in Europe. Indymedia France collapsed, so far as I know, after internal disputes on these issues. Indy Belgium and Indy Netherlands might be heading that way.
Now apparently, Indymedia UK is starting to have similar problems. This post was hidden today, almost as soon as it was posted

<http://www.indymedia.org.uk/en/2003/11/280115.html>

 

It's hard to guess why, and it is impossible to get answers to this question on Indymedia itself, since they delete post questionning their policies. If they remove it entirely, I might post it here.

Sur Indymedia Irlande, Sunday, Nov 9 2003, 7:16pm
<http://www.indymedia.ie/newswire.php?story_id=62065>



RECHERCHÉ


Auschwitz survivor facing genocide charges


 
Poland is seeking the extradition from Israel of a Jewish Auschwitz survivor on charges of genocide.
Solomon Morel, 83, a Polish-born Jew, is facing the charges for the deaths of German prisoners in a communist camp he commanded after the Second World War.
Morel was the commander of a camp near the Polish city of Katowice, for German prisoners from February to November 1945. Israel previously refused Poland's request to extradite him to face charges of torture in 1998, saying the statute of limitations had run out.
Polish special prosecutors have now upgraded the charges to genocide, for which there is no statute of limitation, based on new testimony from former German inmates at the defunct Swietochlowice camp.
Andrzej Arseniuk, a spokesman for prosecutors at the Institute of National Remembrance, which investigates Second World War and communist-era crimes, said: "The testimony from former inmates living now in Germany significantly enriched the evidence."
He said the fresh evidence documents Morel's alleged torture of at least 13 inmates known by name. Leon Kieres, the head of the institute, said: "Now the charges say his intention was to exterminate for national and political reasons."
Mr Kieres said the extradition request, which will be made by a regional court in Katowice in the coming weeks, will be Poland's last attempt to bring Morel to justice.
The new charges accuse Morel of seeking to kill German prisoners by starving them to death and depriving them of basic medical care as well as carrying out and sanctioning torture by his subordinates -- including imprisoning inmates in small cells filled with water, trampling on them or making them stand for hours, singing Nazi songs.
Mr Kieres said Morel is believed to be responsible for at least 1,538 deaths at the camp. The investigation against Morel, begun in 1992, is the only one in Poland against a Jew accused of retaliating against the Germans after their defeat.
Morel was an inmate of the Auschwitz Nazi death camp, where he lost his parents and two brothers. He moved to Israel in 1994 to flee Poland's justice.

Associated Press, Thursday 23rd October 2003


Rappelons l'existence du beau livre de John Sack, An eye for an eye, The Story of Jews Who Sought Revenge For the Holocaust, plusieurs éditions entre 1993 et 2000. Ce livre a soulevé la vindicte des "rescapés" et de ceux qui les manipulent. Morel y joue un rôle central.

Il est intéressant de voir comment Israël pratique le négationnisme, dans ce cas précis, et protège des racistes (anti-goy), des coupables (présumés, of course) de crimes contre l'humanité, ce qui en fait le refuge de la lie de la terre. Tous les énormes voleurs de la Russie, des Etats-Unis, de l'Europe, peuvent se la couler douce là-bas.

<http://johnsack.com>



LES NÉO-ANTI-RÉVIZO


Holocaust Scholars Protest Attempt by Homes & Gardens to Suppress Hitler Article


 
Philadelphia, Oct. 23 /U.S. Newswire/ -- Sixty-seven leading Holocaust scholars and educators have signed a petition urging the British magazine Homes & Gardens to halt its efforts to restrict public access to an article it published in 1938 portraying Adolf Hitler in glamorous terms.
The controversy is the subject of a front-page story in this week's edition of the national Jewish weekly The Forward (Oct.24, 2003)
The Homes & Gardens article, which appeared in the November 1938 issue of the magazine, was a laudatory feature about Hitler's vacation home in the Bavarian Alps. It cast Hitler in a positive light the very month that the Nazis' "Kristallnacht" pogroms devastated the German Jewish community.
When a British journalist recently posted the 1938 article on his web site, the editor of Homes & Gardens demanded that he remove it, which he did. But the David S. Wyman Institute for Holocaust Studies posted the full original article on its own Web site,
<http://releases.usnewswire.com/redir.asp?ReleaseID=22443&Link=http://www.WymanInstitute.org>
Sixty-seven Holocaust scholars and educators have signed a petition intiated by Prof. Paul Miller of McDaniel College, a member of the Wyman Institute's Academic Council. Prof. Miller explained: "It's important that people realize the Western media played a crucial role in making Hitler seem 'acceptable', even admirable, at a time when he was already engaged in the mass persecution of Germany's Jews."
The petition, which has been sent to the publisher of Homes & Gardens, reads:
"As educators who have taught about the Holocaust, we are deeply disappointed that Homes & Gardens has pressured a British web site to delete a 1938 Homes & Gardens article that portrayed Adolf Hitler in highly sympathetic terms.
"A crucial part of Holocaust education involves studying the failure of the Western media to fully and accurately report about the Nazi menace in the 1930s. The attempted suppression 65 years later of articles such as the 1938 feature in 'Homes & Gardens' undermines efforts to teach about the Holocaust and its lessons.
"Just as various governments, corporations, and institutions have acknowledged their role in the Holocaust process by publicly apologizing, paying reparations, or taking other appropriate steps to face up to their past, so too should 'Homes & Gardens' squarely face up to its past. We urge 'Homes & Gardens' to make the full 1938 article available at no cost to interested readers, together with a formal letter of apology from the publisher."
Sixty-seven leading figures in Holocaust education have signed the petition, including: Prof. Michael Berenbaum, former research director of the U.S. Holocaust Memorial Museum (Bébert ! Salut Bébert !); Prof. Richard Breitman, editor of the leading scholarly journal in the field, Holocaust & Genocide Studies, Prof. Deborah Dwork of Clark University, director of the first Ph.D. program in Holocaust Studies; Dr. Elisabeth Maxwell of England, founder of Remembering for the Future; Dr. Dov Troy, former director of the Jewish Educators Assembly of North America; Theodore Z. Weiss, president of the Holocaust Educational Foundation, which trains Holocaust educators; and Prof. David S. Wyman, author of The Abandonment of the Jews. (Institutions listed for identification purposes only.)

23 octobre 2003

Où l'on voit que les "professeurs de zolo" sont des gens qui n'ont rien à faire, sinon à essayer de culpabiliser les autres. Franchement, cet article est d'une parfaite banalité. Pas de quoi fouetter un chat. Mais ces salopards veulement simplement montrer qu'ils sont les plus forts et qu'ils savent faire régner la terreur. Ils agitent la matraque pour obtenir la prosternation.

 

<http://releases.usnewswire.com/GetRelease.asp?id=124-10232003>

L'article se trouve aussi sur le site de David Irving

<http://fpp.co.uk>


DIEUDONNÉ ET DIABLE REçU


L'humoriste Dieudonné a été relaxé jeudi par le tribunal correctionnel de Paris, alors qu'il était poursuivi pour provocation à la haine raciale et pour injures raciales à cause de propos tenus dans le magazine Lyon Capitale, le 23 janvier 2002. Dieudonné, alors candidat à l'élection présidentielle, interrogé sur l'antisémitisme, avait tenu des propos qui avaient provoqué la plainte du Consistoire central, de la LICRA et de l'Union des étudiants juifs de France. "Le racisme, avait-il dit, a été inventé par Abraham. "Le peuple 'élu', c'est le début du racisme". Il ajoutait: "Juifs et musulmans, pour moi, ça n'existe pas. Donc antisémitisme n'existe pas, parce que juif n'existe pas. Ce sont deux notions aussi stupides l'une que l'autre. Personne n'est juif ou alors tout le monde. Je ne comprends rien à cette histoire. Pour moi les juifs, c'est une secte, une escroquerie. C'est une des plus graves parce que c'est la première". Le tribunal a jugé qu'au vu du contexte, il n'y avait pas d'appel à la haine ni d'injure envers les juifs. "Il ressort de la teneur générale de l'entretien que l'invective vise non pas la communauté juive mais le fait religieux comme système de pensée, de même qu'il s'en prend à d'autres religions par anticléricalisme et anti-communautarisme, parce qu'elles portent atteinte à l'égalité des hommes", explique le jugement. Pour les magistrats, les termes relèvent de la liberté d'expression, même s'ils ont été tenus avec "maladresse".

AFP. repris par <http://fr.news.yahoo.com/031106/202/3hhsm.html>



ANNOUNCING


The Ninth Annual Summer Institute

on the Holocaust and Jewish Civilization
Northwestern University, Evanston, IL 60208

 
The Holocaust Educational Foundation and Northwestern University are pleased to invite applications for Fellowships to participate in the ninth annual Summer Institute on the Holocaust and Jewish Civilization from June 20 to July 2, 2004 in Evanston, Illinois. [What the hell could be something called "jewish Civilization" ? Historians know nothing of the sort. ] This renowned program is an intensive two-week course of study designed to broaden and deepen the background of current and prospective Holocaust educators [Les fameux bourreurs de crânes ].
Applications, consisting of a letter explaining the prospective Fellow's interest and experience in Holocaust studies, a curriculum vitae, and, in the case of graduate students, a letter of recommendation from the principal dissertation advisor, should be submitted by January 31 to: Prof. Peter Hayes, Dept. of History, Harris Hall, Northwestern University, Evanston, IL 60208 (or: [email protected]).



UN GÉMISSANT POLONAIS

«I fear that within Poland, the Holocaust industry is taking root. One can buy books, ice cream, post cards and posters at Auschwitz.» [Il y a des types assez inhumains pour vouloir empêcher qu'on bouffe des glaces en visitant Disney/Auschwitz...]
Obviously, the Poles are to blame for all this. Despite the fact that the government has recently stated (which even the arch-bigot Avi Weiss admitted) that they will agree to any Belzec memorial that the American Jewish community wants.
If there is a memorial at Belzec to Jewish victims it is because the Poles are exploiting Jewish suffering because they are anti-Semitic. If there are no memorials it is because the Poles are ignoring Jewish suffering because they are anti-Semites. Yes, there is running water, toilets, and books near Auschwitz. Millions have visited and will visit the site. They need facilities. (How large an exclusion zone do you want? A mile? Ten miles? A hundred miles?)
You object to stores in Krakow selling books about the city's Jewish heritage. Apparently if Poles want to learn about the country's Jewish past, that's another example of their genetic predisposition to anti-Semitism. If they don't sell books about the city's Jewish heritage that would generate an equal number of denunciations for the same reason. If there is any iota of self-reflection left out there you must realize how silly your argument is.
People like Weiss have used Holocaust sites in Poland to stir up hatred, generate publicity, and raise money for further antics. Several years ago some Jewish friends assured me that no one took Weiss seriously and that he did not represent any significant part of the Jewish-American community. That is becoming harder and harder to believe. His poison is spreading and yet I see people of good will remaining silent. How long?

John Radzilowski
H-Holocaust, 21 octobre 2003.



ILS BRÛLENT


600.000 MORTS CIVILS. QUI DIT MIEUX ?

 
Historian Charges British With WWII Massacres
Provokes Row Over Wartime Photos

By Luke Harding

 
Berlin -- A controversial German historian is at the centre of a row over his latest book which includes gruesome photos of German civilians killed by allied bombing during the second world war.
Jorg Friedrich defended the decision yesterday to publish the photographs showing the incinerated bodies of German women and children, most of them killed by British bombs. His book, Fire Sites, published at last week's Frankfurt Book Fair, argues that the RAF's relentless bombing campaign against German cities in the last months of the war served no military purpose. He claims that Winston Churchill's decision to bomb a shattered Germany between January and May 1945 was a war crime.
"The bombing left an entire generation traumatised. But it was never discussed," he told the Guardian.
Mr Friedrich, whose previous book Der Brand or The Fire prompted a storm of publicity and sold 186,000 copies, said that about 600,000 civilians died during the allied bombing of German cities, including 72,000 children. Some 45,000 people died on one night during the immense firestorms that engulfed Hamburg in July 1943. But the German victims were over shadowed by the far greater evil of the Holocaust.
Many Germans regarded the British destruction of their cities as retribution for Nazi crimes, Mr Friedrich said. "The second world war is traditionally portrayed as a struggle between good and evil. But it wasn't as simple as that," he said. The photos in Fire Sites are grim and reveal that many victims were asphyxiated in their cellars. In Dresden, SS workers from a nearby concentration camp were called in to dispose of heaps of bodies.
Policemen, architects and air protection officers took the photos. Most had lain in the archives of German towns for more than half a century, before Mr Friedrich found them. He said yesterday he had approached the National Archives in Kew, West London, for photos of British victims of German bombing but was told they could not be released. His book concedes that Germany started the air war in late 1940, when 14,000 British civilians died in German raids.
He acknowledged that he was a revisionist but said he was describing what happened. "During my public lectures Germans now in their 70s and 80s have stood up. They have described, with tears in their eyes, what happened to their families."

The Guardian, 20 octobre 2003.
<http://www.guardian.co.uk/germany/article/0,2763,1067259,00.html>



TELL QUELL


Le premier révisionniste suisse s'appelle Arthur Vogt. Qui est-il ?



par Jürgen Graf

 
C'est avec regret que les nombreux amis d'Arthur Vogt dont je fais partie ont appris qu'il était sérieusement malade. Arthur Vogt qui va fêter en novembre prochain son 86e anniversaire avait fait en août 2002 une mauvaise chute dont il ne s'est jamais vraiment remis. En septembre de cette année son état de santé s'est aggravé et il a dû être hospitalisé. Des amis nous ont rapporté que ces derniers jours (mi-octobre) il allait mieux. Nous espérons de tout coeur que notre fidèle compagnon va se remettre pour être encore à nos côtés de nombreuses années.
Né en 1917, Arthur Vogt était professeur d'enseignement secondaire dans les matières scientifiques. Il a exercé son magistère pendant des dizaines d'années, en particulier pour les mathématiques et la chimie. Mais il s'est aussi lancé avec succès sur le marché immobilier, achetant plusieurs maisons et obtenant ainsi une enviable situation de fortune. Il s'est marié immédiatement après la guerre en mai 1945 et a eu trois enfants de cette heureuse union.
Il n'a jamais été facile de classer Arthur Vogt sur l'échiquier politique. En matière sociale il appartenait incontestablement au centre gauche et a été pendant de nombreuses années membre du parti social-démocrate suisse. Mais contrairement à la direction de ce parti il se préoccupait du maintien de l'homogénéité ethnique de la Suisse. C'est la raison pour laquelle à la fin des années 60 il a adhéré au mouvement dit "d'action nationale contre la submersion étrangère du peuple et de la patrie". Il a ainsi soutenu en tant que conseiller le dirigeant de ce mouvement, James Schwarzenbach, lors de la campagne électorale qui s'est soldée au 2e tour, le 7 juin 1970, par le rejet à 54% contre 46% de l'initiative populaire contre la submersion étrangère. Arthur Vogt a alors été exclu du parti social-démocrate à cause de son engagement au côté d'un Schwarzenberg, vilipendé comme "raciste".
Dès ses années de jeunesse Vogt s'est particulièrement intéressé à l'Union soviétique et à l'idéologie communiste. Bien qu'étant adversaire du communisme il a adhéré à l'association "Suisse-Union soviétique" après l'écrasement du soulèvement hongrois de 1956, c'est-à-dire précisément à une époque où de nombreux membres de l'association pleins d'amertume lui tournaient le dos. Il a ensuite toujours effectué des voyages en URSS, et encore en août 2001 il me faisait l'honneur d'être à Moscou pour assister à la cérémonie religieuse de mon mariage avec Olga. A vrai dire les voyages étaient une de ses passions: Avant et après la deuxième guerre mondiale il a effectué un grand nombre d'expéditions, souvent fort aventureuses, aussi bien en Afrique qu'au Proche et Moyen-Orient ou encore en Amérique du Sud. Encore en 1997 il était au Viêtnam à Dien Bien Phu pour voir et examiner sur place le site où la puissance coloniale française a fait l'expérience d'une défaite décisive.
Vogt est devenu un révisionniste de l'Holocauste à une époque où le mot "Holocauste" était encore en allemand d'un usage inhabituel et où l'idée de "révisionnisme" s'appliquait à des domaines tout à fait autres que ceux d'aujourd'hui. Lorsqu'en 1945 se multipliaient les terribles nouvelles d'un massacre dont des millions de juifs auraient été victimes dans les camps de concentration allemands et lorsque, ultérieurement, ces prétendus assassinats de masse furent bientôt présentés comme étant de "notoriété publique", il n'était déjà pas question pour Vogt d'ajouter foi aux rapports faits sur le sujet.
Son argument de base était le suivant: Un crime de pareille dimension n'aurait jamais pu être tenu secret et caché au monde entier. Les puissances en guerre contre le IIIe Reich n'auraient pas tardé à en être informées et n'auraient laissé échapper sous aucun prétexte cette occasion unique de démasquer leur ennemi mortel. Or pendant toute la guerre l'ensemble des gouvernements alliés s'est tu. Pas une seule fois leurs réactions n'ont été celles de quelqu'un qui accorderait la moindre foi aux terribles informations que les organisations juives ne cessaient de répandre sur une prétendue extermination des juifs dans les territoires contrôlés par l'Allemagne. Même dans la presse suisse et presque jusqu'à la fin de la guerre il n'a pour ainsi dire à peu près jamais été fait mention de chambres à gaz. Et quelques dizaines d?années après la guerre Vogt a eu soin de se mettre en relations avec les deux historiens suisses les plus renommés: Edgar Bonjour et Rudolf von Salis. Tous deux lui ont confirmé par écrit que c'est seulement après l'effondrement du IIIe Reich qu'ils avaient appris l'existence d'une extermination des juifs dans des chambres à gaz.
A la fin des années 70, Arthur Vogt avait eu connaissance des écrits d'un certain professeur français du nom de Robert Faurisson qui niait l'existence des chambres à gaz. Il prit contact avec lui et ne cessa plus depuis de s'intéresser à l'Holocauste et de lui vouer le meilleur de ses actions. Grâce à sa formation scientifique il avait en effet saisi immédiatement le cheminement technique et chimique de la démonstration révisionniste, si bien que la lutte contre le mensonge-"Holocauste" devint l'objectif prioritaire de sa vie.
J'ai moi-même fait la connaissance d'Arthur Vogt après plusieurs échanges de correspondance en mars 1991. C'était à l'occasion d'une conférence que je tenais à Zürich sur la question des demandeurs d'asile. Un mois plus tard, lors d'une deuxième rencontre, il se présentait à moi en tant que révisionniste et me remettait l'enregistrement sur cassette d'un texte sur "l'Holocauste" qu'il avait lui-même rédigé. Je n'avais alors aucune idée de ce qu'était le révisionnisme et, bien que ses arguments ne m'aient pas d'emblée pleinement convaincu, ils ont été pour moi comme un choc: je constatais que les révisionnistes n'étaient pas ces farfelus que la presse s'efforçait de ridiculiser et je demandais à Vogt de bien vouloir me remettre un dossier d'informations plus complet qui n'a pas tardé à faire de moi un révisionniste pur-sang. Je décidai donc bientôt de devenir moi-même un révisionniste actif et de rédiger un livre, qui manquait encore à l'époque, et dans lequel seraient recensés et regroupés les arguments révisionnistes. Arthur Vogt n'a pas manqué de suivre attentivement l'avancement de mon travail, me donnant généreusement et à maintes reprises les moyens financiers qui ont permis au printemps 1993 la parution de mon livre, intitulé en allemand Der Holocaust-Schwindel (L'imposture de l'Holocauste).
En septembre 1991, à l'occasion du colloque organisé à Munich par la fondation Thomas-Dehler, Vogt avait fait un exposé intitulé "L'Holocauste, légende ou réalité ?" qui reprenait le texte de sa cassette et faisait ainsi de lui le représentant du point de vue révisionniste. Il est scandaleux que la "justice allemande" l'ait condamné ultérieurement pour cet exposé à une amende de 6.000 DM, la fondation Thomas-Dehler n'étant, quant à elle, aucunement inquiétée.
A partir du milieu des années 90, Vogt a édité une revue imprimée en autographie intitulée Aurora, qui paraissait à intervalles irréguliers. Dans des articles qui étaient le plus souvent de sa main il y exposait ses idées sur "l'Holocauste" et d'autres thèmes brûlants de l'histoire contemporaine. Il a en particulier toujours défendu de façon fort convaincante l'idée selon laquelle l'Holocauste était devenu la nouvelle religion de notre temps, moyennant quoi il est permis, par exemple, de douter de la Sainte Trinité mais en aucune façon des "chambres à gaz" d'Auschwitz. Il a pu vivre et vérifier sur lui-même combien cette thèse était vraie lorsqu'à partir du début de l'année 1995 la loi "antiraciste" a été appliquée. Au terme d'une procédure dégradante qui n'a été qu'une farce, les tribunaux de cette Suisse, jadis symbole de liberté, l'ont condamné à de très lourdes amendes pour des articles parus dans Aurora. Et il n'a dû qu'à son grand âge de n'avoir pas été effectivement incarcéré.
Est-il besoin d'ajouter que jusqu'à aujourd'hui Arthur Vogt est resté fidèle à ses convictions ?
Nul plus que moi ne souhaite que cet homme intègre et courageux puisse encore voir et vivre la formidable aventure que seraient une percée de la vérité historique et l'effondrement du mensonge d'Auschwitz. Certes, les chances que pareil voeu se réalise sont bien faibles. N'oublions pas toutefois que l'histoire aime les surprises. Qui aurait pu prévoir en novembre 1988 qu'un an plus tard le Mur de Berlin serait tombé?
Octobre 2003


Arthur Vogt est mort le 30 octobre 2003. Son enterrement a eu lieu le 8 novembre.

 

Nous comprenons très bien les sentiments qui poussent notre ami Jürgen Graf à intituler son article "Le premier révisionniste suisse". Mais il faut quand même rappeler que Gaston-Armand Amaudruz a publié le premier livre révisionniste, avant Bardèche et Rassinier, en 1949: Ubu justicier au premier procès de Nuremberg. Nous avons ce livre:

<http://aaargh-international/fran/livres/ubu_pdf.zip>


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CANTON DIRA-TON



Polémique et liberté d'expression

par Mariette Paschoud

 
Quelque chose serait-il en train de changer sous les cieux de la plus très libre Helvétie ?
24 Heures du 3 septembre nous apprenait que Frank Lübke, directeur du Centre David contre l'antisémitisme et la diffamation de Zurich, avait été inculpé la veille pour avoir écrit en novembre 2002 une "Lettre ouverte au Conseil fédéral, au Parlement et aux Suisses", lettre contresignée par cent trente personnalités juives et chrétiennes, dans laquelle il s'en prend vertement aux Palestiniens et à l'islam. Un nommé Daniel Vischer, député zuricois et candidat, cet automne, au Conseil des Etats, sans doute désireux de se faire un peu de publicité électorale, a porté plainte pour discrimination raciale, ce qui a abouti à l'inculpation de Monsieur Lübke. Mon quotidien favori fait remarquer que l'application de la norme antiraciste à un juif est un cas très rare le deuxième, en fait, sur deux cent septante procédures, depuis l'entrée en vigueur de l'article 261bis du code pénal, fleuron de notre démocratie séculaire --, ce qui n'est pas pour m'étonner, mais passons.
Bien entendu, je juge cette plainte et cette inculpation ridicules et contraires à la liberté d'expression. Il est normal qu'un juif vitupère ceux qu'il tient pour les ennemis de son peuple, comme il est normal que les Arabes critiquent sévèrement les agissements d'Israël considéré par eux comme l'ennemi des Palestiniens et, par ricochet, du monde arabo-musulman en général. Que cela ait ou non à voir avec le racisme, il s'agit avant tout d'une guerre dans laquelle chacun choisit son camp et le dit sans prendre de gants. Je ne vois pas que cela mérite sanction. Mais Daniel Vischer sait comme nous tous que la majorité des Suisses et singulièrement des Zuricois, autrefois favorables à Israël, sont désormais du côté des Palestiniens et compte sans doute que son coup d'éclat lui vaudra de nombreuses voix aux élections fédérales. On saura le 19 octobre si le calcul était bon. En tout état de cause, le procédé est indigne, mais on sait que certains candidats sont prêts à toutes les bassesses pour se faire élire et que certains électeurs n'y voient que du feu. Quoi qu'il en soit, j'espère que Frank Lübke tombera sur un juge qui ne se laisse pas impressionner par l'air du temps et qu'il sera acquitté. J'espère aussi que, ayant appris à ses dépens le caractère pervers de l'article 261bis du code pénal, il aura à coeur, avec ses cent trente amis et de nombreux coreligionnaires, d'entrer en guerre contre la norme antiraciste pour obtenir, à terme, son abrogation.
Est-ce aussi le revirement qui s'est produit dans la population à propos du conflit israélo-palestinien qui incite Michel Jörmann, dans Genève Home Information des 10-11 septembre, à réclamer, au nom de la liberté de la presse, le droit pour les journalistes de polémiquer, notamment "parce que la polémique suscite la discussion, le débat d'idées. Parce que c'est une gymnastique extrêmement profitable à l'intellect. Du moins pour ceux (rares) qui veulent encore faire travailler leurs méninges" ? Michel Jörmann fait remarquer avec pertinence que le principal ennemi de la polémique est le "politiquement correct", "l'une des déviances les plus perverses de notre société actuelle." Je suis bien d'accord. Je suis d'accord aussi quand il déplore la disparition des polémistes. Mais il faut bien reconnaître que la polémique devient un art difficile quand l'iconoclaste doit veiller à ce qu'aucun de ses propos ne tombe sous le coup de la loi, en particulier de l'art. 261bis du code pénal qui est désormais, semble-t-il, mis à toutes les sauces, ce que n'avaient pas prévu, je pense, ses instigateurs. Michel Jörmann s'est-il montré aussi sage à l'époque où les révisionnistes étaient considérés comme les principaux ennemis du judaïsme et du sionisme ? Je ne sais, mais je veux le croire et encourage vivement cet esprit indépendant à prendre contact avec Monsieur Lübke pour organiser la résistance.
Ces messieurs pourront compter en cette occurrence sur le concours de l'avocat genevois Dominique Poncet qui, dans le même GHI et sur la même page, tient ces propos stupéfiants :

"Si la polémique est en recul, c'est aussi parce que la liberté de la presse régresse. On nous oppose le révisionnisme, le racisme. Vous n'avez pas le droit de dire ceci parce que c'est révisionniste. Vous n'avez pas le droit d'écrire cela parce que c'est raciste. Au contraire, il faut que les opinions, même les plus folles, puissent s'exprimer. Ne serait-ce que pour qu'on puisse les combattre ! Imaginez un grand débat public auquel seraient conviés ceux qui persistent à nier l'existence des chambres à gaz. Ils exposeraient leurs théories. Après quoi, on leur projetterait des films certains très connus, d'autres moins sur les camps de la mort et on leur demanderait ce qu'ils en pensent.
Ne croyez-vous pas que cela aurait plus d'impact que de dire nous vous refusons la parole parce que vous êtes révisionniste ?"

 


Un débat public avec les révisionnistes réserverait sans doute quelques surprises, et c'est bien pourquoi il n'a jamais eu lieu. Mais l'intention de Me Poncet est bonne et me ramène à ma question initiale :
Quelque chose serait-il en train de changer sous les cieux de la plus très libre Helvétie ?

Le Pamphlet, périodique indépendant, n* 328, publié à Lausanne, octobre 2003.

<http://www.pradoz.com/pamphlet/actuelle.html>

Le Pamphlet, case-ville 4047, 1002 Lausanne, CH

<[email protected]>



CONFERENCE


Les pronazes de l'European American Culture Council de Sacramento, capitale, comme chacun sait de la Californie, où va maintenant siéger l'immortel Monsieur Muscle, Schwarzenegger, fils d'un flic légèrement nazebroque, lancent des invitations pour la tenue d'une conférence révisionniste à Sacramento le 24 avril 2004. Ils escomptent la protection de la police locale et ils croient que, munis de leurs droits, on les laissera tenir cette conférence. Cette naïveté nous paraît charmante. Schwarzie, qui a copieusement arrosé le centre Néanderthal pour avoir la paix pendant la campagne électorale, n'aura rien à refuser au bon rabbin Hier. Entre millionnaires on se comprend.

Les orateurs prévus sont: Horst Mahler, Mark Weber, Dr. Tom Sunic, Dr. Frederick Töben, Dr. Bob Countess, Dr. Dariusz Ratajszak, Paul Fromm, Frank Schmidt, Claus Nordbruch, Harvey Taylor et l'organisateur Walter Mueller. Et d'autres.

Contacter: <[email protected]> ou

<[email protected]> 20 $ par tête de pipe. Pas cher.



PROPAGANDASTAFFEL


Un musée de la Shoah en Ukraine


 
Un nouveau musée en mémoire des victimes de la Shoah, Tekouma, doit bientôt voir le jour en Ukraine. La pose de la première pierre de ce nouvel établissement a eu lieu mardi après-midi. Le président du conseil d'administration de Yad Vashem, Avner Shalev, a été invité à prendre part à la cérémonie qui se déroulera à Dniepropetrovsk. Il sera à la tête d'une délégation représentant les organisations de résistants et de vétérans de la seconde guerre mondiale. Il allumera l'un des six flambeaux et prononcera une allocution. Des officiels du gouvernement ukrainien ont été conviés à prendre part à la cérémonie ainsi qu'un représentant du gouvernement israélien, l'ambassadeur des Etats-Unis en Ukraine, un envoyé du Joint et un délégué de la communauté juive ukrainienne.
Avner Shalev a salué la création d'un tel musée et a souligné que "la commémoration de la Shoah constituait un élément important de l'identité juive personnelle et collective". Il a ajouté que cette initiative "témoignait de la volonté de la nouvelle communauté juive d'Ukraine de rester attachée à ses racines et à la tradition juive". Il a par ailleurs indiqué que Yad Vashem était prêt à coopérer avec les initiateurs de ce projet.
Le musée "Tekouma" consacré au souvenir des victimes de la Shoah, qui a été créé par une organisation du même nom, est le premier à être érigé dans l'ex-URSS. L'objectif de ses fondateurs consiste à éveiller l'intérêt du public sur l'histoire de la Shoah, favoriser la tolérance et réduire l'antisémitisme en Ukraine par l'enseignement et l'observation. L'organisation Tekouma a à sa disposition une équipe d'universitaires qui effectuent des recherches en utilisant des documents d'archives afin de "révéler les événements historiques de la Shoah en Ukraine restés cachés jusqu'à présent". [ On va bientôt découvrir de mirobolantes nouveautés, on les sent venir... ]
Tekouma organise par ailleurs des séminaires sur ce thème pour les enseignants juifs et non-juifs et des conférences dans des institutions publiques. Il diffuse également des articles sur ce sujet et possède un journal. L'Union européenne et le gouvernement ukrainien ont demandé à Tekouma d'élaborer un programme éducatif qui soulignerait l'histoire des juifs au cours de cette période et éveillerait les consciences sur cette époque sombre. Ce projet pourrait alors être intégré dans le programme des écoles ukrainiennes.
 
Arutz-7, 29 octobre 2003
.
Le projet, d'un coût estimé autour de 3 millions de dollars, doit être achevé en 2007. [On ne dit pas qui va raquer. Ce sont évidemment ces idiots de juifs américains...] D'une superficie totale de 4000 m 2 et situé dans un quartier de Dnipropetrovsk jadis habité par des juifs, il abritera également un institut de recherches sur l'Holocauste et une synagogue.
Entre 1,6 et 1,8 million de juifs ont péri lors de la Seconde guerre mondiale en Ukraine, selon l'organisation non gouvernementale juive Tkuma (Renaissance), qui estime par ailleurs à environ 4,5 millions le nombre de non-juifs ayant été tués pendant l'occupation nazie de l'Ukraine de 1941 à 1944. La communauté juive de cette ancienne république soviétique, forte aujourd'hui de 500.000 personnes, est l'une des plus importantes au monde.
AFP/ Cyberpress.ca, ajouté le 29/10/2003



UN VIEUX MYTHE


"Pourtant, les juifs existent depuis plus de 3000 ans et l'hébreu est la seule langue, à l'ouest de l'Indus, qui est parlé plus ou moins comme elle était parlée il y a 3000 ans.
<http://www.atimes.com//atimes/Front_Page/EK04Aa03.html>

Vieux mythe grotesque. D'abord l'hébreu d'aujourd'hui, prononcé par des lourds paysans blancs-russiens ou polonais ne sonne certainement pas comme l'hébreu d'autrefois, que personne ne parlait déjà plus à l'époque de Jésus-Christ. A l'oreille, c'est une mauvaise caricature de la phonétique sémitique telle qu'elle est audible partout dans le Moyen-Orient, et en Ethiopie. C'est une langue "restituée", trafiquée par les rabbins de Russie et de Pologne.

En outre, on parle encore l'araméen dans toute une série de villages ou de petites villes de Syrie et d'Iraq (et même de Turquie). Il n'est pas interdit de dire que l'araméen en plus ancien, en tout cas plus anciennement attesté que l'hébreu. D'ailleurs la plus grand partie des écrits attribués aux Hébreux, pour ne pas dire aux juifs, a été écrite en araméen, et parfois traduite tardivement en hébreu. Et puis le basque est certainement une langue issue directement de l'antiquité pré-indo-européenne.. Quand aux langues parlées par les éleveurs de rennes, sames et autres, il est logique de penser qu'elles ont été parlées dans une grande partie de l'Europe du dernier âge glaciaire. Le mythe de l'hébreu langue-matrice de toutes les autres a été abandonné il y a deux cents ans. Mais le judéocentrisme ambiant le fait ressurgir régulièrement. On voudrait dire une fois pour toutes: basta !


FAIRE COLLÈQUE


Collecting evil


 
It's only a knife, thirteen and five-eighths inches long, and hardly scratched after 65 years or so. Inscribed along its edge, a seemingly laudable maxim in German, Meine Ehre heisst Treue, which translates as, 'My honor is loyalty.'
But consider its provenance. Once owned by a Nazi SS member, this knife is invested with a certain horror -- a small piece of the most efficient machine of extermination the world has ever seen.
It may surprise you to learn that the knife is owned by Norman Ross, who is Jewish. His Austrian-born mother survived the Holocaust, including a beating from the SS that left her face permanently scarred. But she refused to speak to her son about her ordeal.
For Ross, a 37-year-old personal trainer who lives in Brooklyn, N.Y., collecting Nazi daggers and swords is a way to grapple with a disturbing past. 'Owning a piece of what happened makes it comprehensible to me,' he says. 'It's concrete evidence of what I was dealing with while I was growing up....'
It comes as something of a revelation to learn that Norman Ross is not some morbid Jewish eccentric. In his book 'Selling Hitler' - which deals with the events surrounding the Hitler diary forgeries - the author, Robert Harris, writes: 'It has been estimated that there are 50,000 collectors of Nazi memorabilia throughout the world, of whom most are Americans, involved in a business which is said to have an annual turnover of $50-million. Prices increase 20 percent a year....In the States, according to Charles Hamilton (a leading dealer), 'the collectors of Hitler memorabilia are 40 percent Jewish, 50 percent old soldiers, and 10 percent of them are young....' [...]
'The great sacrifice' -- certainly the term resonates with religious significance and this is precisely what the Holocaust is evolving into: a sacred religious event that is on a par with, perhaps surpassing, other traumatic Jewish events such as the Babylonian exile and Masada.
And if there is one symbol that has come to symbolise the Holocaust it is the swastika, which is now indelibly associated with torture, suffering and death. To find a symbol that evoked a similar revulsion, one must go back 2,000 years to the time of the Roman Empire when the object that aroused similar passions was -- the crucifix.
It was on these barbarous wooden stakes that tens of thousands of people, including many Jews, underwent the agonies of crucifixion. If you had told a Jew under the Roman occupation that the crucifix was destined to become one of the world's most revered holy symbols, he would have questioned your sanity.
But could it be that similar historical and religious forces are presently at work -- that, like the crucifix, the hated swastika is destined to become the symbol of a sacrificial covenant between God and the Jews? The groundswell signs are there: the elevation in recent years of the Holocaust to the status of a Jewish crucifixion symbol, and the number of Jews who are busy collecting 'holy relics' -- in the form of Nazi militaria - associated with this 'religious' event?
The Holocaust has been described as a black hole in the fabric of the 20th century, not to mention the historical tapestry of Judaism. Six million men, women and children perished in an event of such traumatic and appalling magnitude that it beggars the imagination. As Claude Lanzmann writes: 'The Holocaust is above all unique in that it erects a ring of fire around itself, a borderline that cannot be crossed because there is an ultimate degree of horror that cannot be transmitted.' [...]


What a silly bullshit: le crucifix n'est pas une croix, mais un objet de piété constitué d'une croix et d'un homme crucifié, l'ensemble symbolisant le sacrifice volontaire que Jésus-Christ aurait accomplé pour sauver l'humanité. On ne voit pas bien ce qu'un symbole indo-européen choisi par les nazis aurait à voir avec le symbole du Salut du monde tel que les chrétiens le conçoivent.


Forbes magazine, December 25, 2000, in a special section dealing with investments:

<http://www.swastika.com/holocaust.html>


PROF COINCÉ


L'autre visage du professeur


 
Norman Finkelstein, auteur du livre fameux L'Industrie de l'Holocauste, s'en est pris violemment au professeur Alan Dershowitz, sur les ondes et en "live" de la station de radio MSNBC, l'accusant de falsification et de plagiat à propos de son livre The Case For Israel qui, si l'on en croit Globe-Intel, ne mériterait place que dans la revue de la ligue Anti-Diffamation (ADL).
"Il n'y a pas de recherche historique approfondie. Plutôt une fabrication frauduleuse d'une anti-histoire (qui se veut) historique. C'est le genre de tromperie pour laquelle des professeurs sont justement "virés", non pas pour leurs vues controversées mais parce qu'ils violent les normes les plus élémentaires de la recherche historique" a t-il affirmé.
Le professeur Finkelstein dénonce les emprunts faits au livre From Time Immemorial de Joan Peters, publié en 1984. Cet ouvrage polémique, mal écrit, tentait de soutenir le vieux leitmotiv sioniste qui veut qu'Israël soit "une terre sans peuple qui attend un peuple sans terre".
A une autre époque, Alan Dershowitz, plagiaire maintenant éventé, avait proféré une accusation similaire contre le professeur français Robert Faurisson, le traitant de fraudeur et de négateur de l'holocauste. Aujourd'hui, il menace MSNBC (et sans doute Finkelstein) de poursuite en diffamation.
Selon "Globe-Intel", le professeur Dershowitz, "chéri" de la Ligue Anti-diffamation, défenseur de O.J. Simpson, Jonathan Pollard et Ariel Sharon, parle souvent comme s'il était le représentant de Moïse sur terre et ne supporte pas la moindre critique des infractions aux droits de l'homme par Israël. Il est l'homme dont chaque mot est scrupuleusement noté par les contacts puissants qu'il a conservés au sein des médias. Il est le porte-voix de la droite -- certains diraient l'extrême droite - juive en Amérique. (Source : Gordon Thomas, lettre de Globe-Intel du 09 octobre 2003)

10 octobre 2003
<http://be.altermedia.info/index.php?p=581&more=1&c=1>



AL C APONE

Dossier sur le MRAP. Faut se le farcir!

<http://www.france-avenir.com/dossiers/13.htm>

Conclusion: "Voilà comment les associations d'extrême gauche par une propagande et pression active sur les politiciens arrivent à les convaincre de redistribuer l'argent du contribuable et par cette action de s'acheter une bonne conscience. Car qui ne fera de dons au "Mrap" risque bien vite le cataloguage "raciste"."



ARCHÉOLOGIE



Treblinka: un guide exceptionnel
 
par Robert Faurisson

 
Dans quelques conférences, dans une vidéo et dans ma correspondance, il m'est arrivé d'évoquer, à propos de Treblinka, le témoignage de Marian Olszuk mais, pris dans la tourmente du combat révisionniste, j'ai, pendant quinze ans, toujours remis à plus tard la rédaction d'un texte qui aurait porté sur ma rencontre avec cet exceptionnel témoin polonais. Mon texte aurait aussi porté, d'une manière plus générale, sur le périple qui, en 1988, m'a conduit d'abord, en Pologne communiste, à Treblinka-Malkinia, puis, en Allemagne communiste, à Oranienburg-Sachsenhausen et à Ravensbrück. Ernst Zündel a détenu un ensemble de sept vidéos sur ma visite de ces trois camps. J'ignore si ces vidéos ont été détruites en 1995 par l'incendie criminel qui a dévasté sa vaste demeure de Toronto. E. Zündel est aujourd'hui en prison de haute sécurité et je ne lui poserai donc pas de question sur un tel sujet. En ce qui concerne Treblinka, j'ai encore en ma possession une trentaine de photographies qui témoignent de mon enquête sur ce haut lieu de la "Shoah".
Deux personnes m'ont accompagné dans cette enquête in situ de juin-juillet 1988 : l'Allemand Tjudar Rudolph et le jeune Canadien Eugen Ernst. Tandis que le premier a bien voulu me servir d'interprète et de dessinateur, le second a été notre cameraman et photographe. Je leur exprime ici ma reconnaissance pour leur dévouement, pour leur compétence et aussi pour leur esprit d'abnégation dans une aventure qui allait se révéler difficile, avec des journées de travail exténuantes, de mauvaises conditions d'hébergement et quelques ennuis suscités par les autorités communistes polonaises. Je remercie également mon ami E. Zündel d'avoir pourvu à nos frais de déplacement et d'hébergement.

Ma méthode d'investigation
Ma méthode habituelle d'investigation consiste d'abord à rassembler le plus de documentation possible sur un sujet donné, puis à m'extraire des écritures ou des archives chères à ceux que j'appelle "les historiens de papier" et, enfin, à me rendre sur le lieu de l'enquête. Là, après un examen prolongé du site, je recherche des témoins. Ces témoins, je les veux aussi proches que possible du lieu que j'ai examiné. Mon interrogatoire est, en général, direct et pressant; en tout cas, il n'est marqué d'aucune timidité. Des témoins de tous âges, de toutes conditions, de tous partis peuvent m'intéresser, mais l'expérience m'a enseigné que, dans ce type d'enquêtes, mieux vaut jeter son dévolu sur des témoins aussi peu intellectuels que possible et qui, à l'âge des faits, n'avaient pas plus de vingt ans.
Il faut dire qu'en 1988 je n'en étais pas à ma première enquête. Déjà, dans les années soixante, j'avais acquis l'expérience d'une investigation, délicate sinon dangereuse, sur les exécutions sommaires perpétrées durant l'été 1944 par les "résistants" ou "terroristes" dans un secteur limité de la Charente limousine (entre Angoulême et Limoges). J'avais interrogé des communistes et des non-communistes sur des épisodes qu'ils préféraient tenir cachés. Dans les années soixante-dix, j'avais également mené d'autres enquêtes difficiles qui m'avaient conduit, ainsi que l'écrit Montaigne, à "frotter et limer [ma] cervelle contre la cervelle d'autrui" et à quitter toute forme de timidité. Surtout, je pense avoir été, dans ces années-là, à une école qui m'a appris à détecter la valeur du témoin et de son témoignage. De ce point de vue, j'allais rencontrer, en 1988, lors de mon enquête sur Treblinka, un témoin d'une exceptionnelle qualité.

Un témoin d'exception : Marian Olszuk
A Treblinka, ma chance a été de découvrir un témoin et même un guide exceptionnel en la personne de Marian Olszuk. Agé de 63 ans, il était né, tout près de là, à Wolka Okraglia. A l'époque des faits qui nous intéressent ici, c'est-à-dire en 1942-1943, il avait 17 et 18 ans. On ne pouvait guère imaginer un homme qui eût été plus proche des deux camps de Treblinka. De décembre 1941 à juillet 1944, Treblinka I, tout proche d'une gravière fournissant la ville de Varsovie, avait servi de camp pénitentiaire principalement à l'usage de Polonais, juifs ou non juifs, coupables d'infractions aux lois de l'occupant. Du 23 juillet 1942 au 14 octobre 1944, Treblinka II avait été un camp réservé aux juifs, principalement aux juifs en provenance de Varsovie ; la légende allait en faire dans le jargon des Alliés un "camp d'extermination", cette extermination d'au moins 870 000 juifs s'étant étendue sur une durée d'environ neuf mois (de la fin de juillet 1942 au mois d'avril 1943, d'après l'Encyclopedia of the Holocaust). Membre d'une famille de huit enfants, Marian Olszuk travaillait tous les jours à la gravière avec d'autres Polonais relativement libres de leurs mouvements ou avec des prisonniers que surveillaient soit des soldats allemands armés de pistolets, soit des gardes ukrainiens munis de carabines. Son père était bûcheron. Le soir, le jeune homme revenait à la ferme familiale, située, par la route, à deux kilomètres au nord de Treblinka II. Souvent il se rendait à la pièce de terre que son père possédait à 300 mètres de l'enclos de fil de fer barbelé qui délimitait, à l'est, le "camp d'extermination". La terre étant pauvre, on y cultivait le seigle et le lupin. Passant au pied d'une tour de guet, il arrivait au jeune Marian d'engager la conversation avec les sentinelles. Peu farouches, ces dernières lui jetaient parfois des cigarettes du haut de la tour. Le camp n'occupait qu'environ 13 ou 14 hectares (à comparer avec les 388 hectares du camp d'Oranienburg-Sachsenhausen situé au nord de Berlin !). En 1942-1943, l'espace occupé par le "camp d'extermination" était à peu près dépourvu d'arbres ou de gros buissons et, par conséquent, les paysans du coin ou les promeneurs pouvaient à loisir, à travers les barbelés, contempler aussi bien les prisonniers et les gardes que les différents bâtiments d'un camp qu'on prétend aujourd'hui avoir été ultra-secret. Quand on faisait face à l'entrée du camp, la ferme de la famille Olszuk se situait à deux kilomètres à gauche tandis que leur pièce de terre se trouvait, tout de suite à droite, à trois cents mètres de la limite orientale. Marian Olszuk passait donc à proximité du "camp d'extermination" tous les jours où il allait travailler à la gravière, et, quand il travaillait à la pièce de terre familiale, il était également tout près dudit "camp d'extermination".
Il n'était évidemment pas question pour le jeune homme de pénétrer dans l'enceinte du camp, mais, à l'entrée, chaque jour, des gens se pressaient en foule qui, ostensiblement, pratiquaient troc et marché noir. Des trafiquants venaient de Varsovie pour vendre de la marchandise aux gardes ukrainiens qui, à leur tour, traitaient avec les prisonniers juifs auxquels ils vendaient de la nourriture, y compris, pour ces juifs mêmes, jambons et saucisses, ce qui, à l'époque, constituait un luxe. L'existence des deux camps de Treblinka était de notoriété publique et les détenus juifs passaient, dans l'ensemble, pour ne manquer ni d'argent, ni d'or, ni de bijoux.
Dans ce "camp d'extermination", Marian Olszuk avait-il jamais relevé les signes d'une activité criminelle de la part des Allemands ? La réponse était non. Une fois, il avait observé un grand feu dans le camp mais il s'agissait d'un feu de vêtements formant une masse de près de quatre mètres de hauteur. Jamais il n'avait vu brûler de cadavres. Cependant, à plusieurs reprises, il avait entendu, pendant la nuit, des cris et des lamentations de femmes et d'enfants qui parvenaient jusqu'à la ferme. Parfois, le camp dégageait d'immondes puanteurs. Notre témoin avait-il entendu parler de chambres à gaz ? Oui, il avait rencontré un Russe qui lui avait dit que les Allemands utilisaient "une chambre à gaz mobile montée sur rails" (sic). C'est près de Treblinka I que les Allemands fusillaient les condamnés à mort. Dans ses déplacements, il arrivait fréquemment au jeune ouvrier-paysan de croiser des juifs logés dans le camp de Treblinka II ; ces juifs vaquaient à divers travaux dans les bois sous la surveillance de gardes ukrainiens qui, d'ailleurs, souvent désertaient. La nourriture était exécrable. Son propre travail consistait, pendant huit heures par jour, à charger à la pelle des wagonnets (ou des wagons ?) de sable ou de gravier. En hiver, le froid rendait le travail particulièrement pénible. Personnellement, il n'avait jamais vu tuer un juif. Un jour, son père avait fourni des vêtements à un juif qui s'était échappé du camp. Il arrivait des convois de juifs tous les jours. Finalement mobilisé pour aller travailler en Prusse, Marian avait pris la fuite, s'était réfugié à Varsovie et n'était revenu à la ferme qu'après la fermeture des camps. Il se souvenait qu'on avait alors ouvert des charniers contenant des restes humains, de l'or et des rubis.
Le plus stupéfiant est qu'à la "libération" et après la guerre aucune commission d'enquête, aucune autorité administrative ou de police ne l'avait interrogé sur les événements survenus à Treblinka. Il y avait eu des commissions d'enquête, dont sont connus les extravagants rapports, dignes en tout point du rapport soviétique sur Katyn (URSS-008), mais aucune de ces commissions n'avait auditionné la famille Olszuk. Encore en 1988, la guide officielle du camp, Maria Pisarek, nous affirmait froidement : "Personne dans les environs ne vous parlera". Or Marian Olszuk allait, comme on le voit, nous parler longuement et, à la différence d'un autre témoin polonais, sobrement.

Les fausses dimensions du "camp d'extermination"
Lors de notre enquête, un incident allait se produire. J'avais insisté pour que notre petite équipe se munisse d'une chaîne d'arpenteur et nous passions de longs moments à prendre les dimensions des deux camps. Le deuxième jour de notre rencontre, Marian Olszuk, endimanché pour l'occasion, avait accepté de nous montrer sur place les véritables dimensions du "camp d'extermination". Vidéo en action, nous avions pu l'accompagner de bout en bout. Je crois pouvoir dire qu'à simplement observer ses déplacements nous découvrions dans notre témoin le vrai paysan qui, à plus de quarante ans de distance, se remémorait devant nous chaque détail du terrain. Arbres et buissons avaient poussé là où autrefois la terre était à peu près nue. Aussi, parfois, quand il rencontrait un arbre, la question se posait pour Marian Olszuk de savoir si la limite du camp passait à droite ou à gauche de cet arbre. Il fallait alors voir l'invétéré paysan s'arrêter, réfléchir et prendre sa décision. La vidéo a fixé ces moments-là. C'est lors de cette marche que notre homme nous avait fait une révélation : le camp avait été, en réalité, de dimensions plus réduites qu'on ne le disait aujourd'hui aux touristes ; en effet, après la guerre, en 1947, les autorités avaient racheté à plusieurs propriétaires leurs pièces de terre respectives afin d'en agrandir le "camp d'extermination". Une première famille ainsi expropriée avait été celle de Franciszek Pawlowski et la seconde, celle des Olszuk qui, pour leur part, n'avaient eu à concéder qu'une pièce de 2 500 m2. Sur le dessin ci-joint, dressé par Tjudar Rudolph avec les moyens du bord, on notera la différence de superficie entre le camp réel de 1942-1943, soit environ 14 hectares, et le camp pour touristes de 1988, soit environ 23 hectares. Au terme de cette visite des lieux, Marian Olszuk avait pris congé de nous et, pour notre part, nous nous étions remis à notre besogne d'arpentage quand soudain avait surgi, à vélomoteur, le directeur-adjoint du musée de Treblinka. Nous apercevant, il était entré dans une vive colère, nous déclarant que, jamais de sa vie, il n'avait vu pareille opération. J'apaisais son ire en lui faisant valoir que, précisément pour mieux mesurer ce qu'avaient enduré les prisonniers de Treblinka, il nous avait paru nécessaire de mesurer les dimensions du camp lui-même. Soudain calmé et souriant, Tadeusz Kiryluk voulait bien nous déclarer : "Au fond, c'est précisément de gens comme vous que nous avons besoin !" De lui et de son supérieur, Wincenty Trebicky, directeur du musée, nous allions nous faire presque des amis, tout heureux de nous accorder une interview enregistrée et filmée. Cependant, leurs propos de bureaucrates différaient totalement du témoignage si manifestement vécu de l'ouvrier et paysan Marian Olszuk. Vagues, stéréotypés et empreints d'une intellectualité parfaitement creuse, ces propos sortaient tout droit de la littérature orthodoxe en cours. Les récits des deux fonctionnaires revêtaient un aspect involontairement burlesque : à lui seul, le cadre dans lequel ils s'exprimaient avec, par exemple, les dimensions si modestes du "camp d'extermination" infligeait un démenti aux aberrations de la thèse officielle qu'ils nous débitaient et selon laquelle, par exemple, les Allemands avaient tué là et enterré sur place, en l'espace de neuf mois, environ 870 000 personnes ( W. Trebicky, pour sa part, en tenait pour le nombre, bien supérieur, de 1 500 000 victimes !).
Notre intention était de revenir voir Marian Olszuk pour la troisième fois car il nous restait toute une batterie de questions à lui poser. Malheureusement nous risquions désormais de le compromettre. La police communiste, forcément mise au courant de notre activité, pouvait désormais, à tout instant, l'interpeller et le soumettre à un interrogatoire. A notre grand regret, nous décidions de ne plus rencontrer ce guide aussi providentiel qu'inattendu.
Il faut dire que, la veille, Tjudar Rudolph, Eugen Ernst et moi-même, nous avions eu maille à partir avec la police, qui nous avait retenus pendant une heure, pour interrogatoire, dans un local de la gare, toute proche, de Malkinia. Nous avions, en effet, été dénoncés pour avoir été vus en train de filmer la gare et quelques wagons, comparables en tout point aux wagons de marchandise de la dernière guerre. Mais, à défaut de revoir Marian Olszuk, j'allais retrouver la trace d'un rare oiseau : le fameux chauffeur de locomotive filmé par Claude Lanzmann dans Shoah.

L'aveu spontané du chauffeur de locomotive
L'un des plus importants témoins de Claude Lanzmann n'était autre que Henryk Gawkowski, qu'on voit dans le film Shoah, revêtu de sa tenue de chauffeur, coiffé d'une casquette et conduisant une locomotive comme au temps où il transportait des convois de juifs de Varsovie à Malkinia, puis à Treblinka. Dans une scène de reconstitution, il se penche à la portière de la locomotive et, se passant le doigt sur la gorge, il fait en direction des juifs un geste qui signifie qu'on va leur couper le cou (pour la transcription des dialogues et l'indication des jeux de scène, on consultera Claude Lanzmann, Shoah, préface de Simone de Beauvoir, Fayard, 1985, p. 47-49).
Je retrouvais notre homme à Malkinia, où il était né en 1922. Les matins, l'interrogatoire se déroulait sans trop d'encombre mais, les après-midi, sous l'effet de la boisson, H. Gawkowski devenait intarissable et se révélait incapable de répondre aux questions posées. Il dissertait de tout comme s'il avait tout vu. Il ne se souvenait pas du nom de Lanzmann mais peut-être ce dernier, cédant à son habitude, s'était-il présenté à lui sous un nom d'emprunt et s'était-il, en outre, paré de titres universitaires usurpés (Ecrits révisionnistes (1974-1998), 1999, II, p. 746). En revanche, H. Gawkowski ne manquait pas d'évoquer avec émotion le responsable du film, un Français, nous confiait-il, qui lui avait fourni de si bons "vins espagnols".
Par chance, un matin, alors qu'il nous récitait des histoires manifestement lues et non vécues, je l'avais interrompu pour lui poser à brûle-pourpoint une question qui allait faire s'écrouler l'édifice de ses hâbleries ainsi que de ses régurgitations d'autodidacte. Je lui demandais : "Mais alors, vous avez eu conscience d'amener ainsi à leur mort tous ces juifs, jour après jour, et cela pendant près de quinze mois ?" La réponse allait fuser : "Non, bien sûr que non !" Je lui demandais à quel moment il en avait pris conscience. Réponse : "Après la guerre". Autrement dit, pour reprendre l'apologue du révisionniste américain Arthur Robert Butz, H. Gawkowski faisait partie de la cohorte de ceux qui, sur le moment, n'avaient pas vu "l'éléphant". Il ne l'avait ni vu ni entendu barrir mais, bien plus tard, il avait acquis la conviction que, dans ce coin particulier de Pologne, un monstrueux pachyderme avait, pendant près de quinze mois, secrètement hanté les lieux, semant la terreur sur son passage. A croire que "l'éléphant" était magique, à moins qu'il n'eût été un mirage !

Le "camp d'extermination" était bien un camp de transit
Pour se rendre compte que les prétendues chambres à gaz d'Auschwitz n'ont pas pu exister, il suffit de voir la chambre à gaz, bien réelle, celle-là, d'un pénitencier américain. Pour comprendre que les prétendus rendements attribués aux fours crématoires d'Auschwitz sont fictifs, il suffit de s'informer sur les rendements, bien réels, ceux-là, des fours crématoires qui sont en usage aujourd'hui. Pour constater de visu que l'histoire attribuée à Anne Frank fourmille d'impossibilités physiques, il suffit de visiter, les yeux ouverts, la "Maison Anne Frank" à Amsterdam. De la même façon, pour mesurer à quel point les prodigieuses exterminations et inhumations secrètes de juifs à Treblinka ne sont qu'un mensonge, il suffit de parcourir aujourd'hui le quadrilatère formé par le camp et d'en noter les modestes proportions (environ 248m x 372m x 468m x 472m).
Les révisionnistes peuvent évidemment accumuler cent autres arguments, passer en revue les "témoignages", les "aveux", les "confessions", les procès et les livres où, à chaque instant, pour un lecteur tant soit peu attentif, les accusations juives concernant ce camp se révèlent illusoires et fausses. On peut se divertir à constater que, déjà au procès de Nuremberg, en 1946, le président du tribunal, aidé du procureur soviétique, se précipitait pour empêcher le témoin Samuel Rajzman de déposer une pièce censée représenter le plan de Treblinka ; il faut dire qu'à l'époque ce juif parlait de "chambre à gaz" (au singulier) et de "four crématoire" là où il est admis qu'il n'y a jamais eu de four crématoire et là où, selon un document ayant, pour le tribunal, valeur de "preuve authentique", il y avait eu des "chambres à vapeur" et non pas une ou des "chambres à gaz" (IMG, VII, p.357 et document PS-3311). On peut rappeler que l'Allemand Kurt Franz, sur les apparentes confessions duquel on se fondait pour renforcer la thèse des gazages de Treblinka, avait fini par écrire en toutes lettres : "Je n'ai rien eu à faire avec les gazages de juifs ni à Treblinka ni ailleurs" (Ecrits révisionnistes, op.cit., II, p. 753-755). On peut s'amuser à reproduire côte à côte des plans juifs ou communistes de Treblinka II et démontrer que tous sont, en ce qui concerne les bâtiments d'extermination, remarquablement vagues et, en outre, incompatibles entre eux. Et ainsi de suite.
Mais personnellement, je préfère épargner à mes lecteurs la masse de mes dossiers, en particulier sur Treblinka, pour ne leur proposer, en la présente circonstance, que cette visite du camp en la compagnie d'un guide de premier choix : le Polonais Marian Olszuk.
Quand, en 2000, Jürgen Graf m'a demandé conseil pour la préparation de sa visite de Treblinka avec son ami Carlo Mattogno, je lui ai proposé de venir consulter mes documents sur le sujet et je lui ai demandé de prendre contact, une fois rendu à Treblinka, avec Marian Olszuk. Je lui ai envoyé des photographies témoignant de mes rencontres avec ce dernier. Malheureusement J. Graf n'a pu venir en France et, sur place, à Treblinka, il n'a pas interrogé le meilleur des témoins et des guides possibles. Je le regrette d'autant plus qu'il aurait pu poser à ce dernier les questions restées en suspens. J'ai la conviction que les réponses de Marian Olszuk lui auraient été, ainsi qu'à C. Mattogno, d'un précieux secours pour la rédaction de leur commun ouvrage, Treblinka, Vernichtungslager oder Durchgangslager ?, publié en 2002 par Castle Hill Publishers (Hastings, GB).
De toute façon, l'affaire est entendue et, ainsi que le montrent leur ouvrage et cent autres preuves, Treblinka II n'a jamais pu être qu'un banal et modeste "Durchgangslager", c'est-à-dire un camp de transit pour juifs à transférer vers Majdanek, Auschwitz ou d'autres camps de concentration et camps de travail au sud ou à l'est.
Le gros mensonge de Treblinka devrait donc aller rejoindre, dans les poubelles de l'histoire, l'énorme mensonge d'Auschwitz.

PJ (pour éditeur) : 1. Photographies 2. Plan de Treblinka II, dessiné par Tjudar Rudolph d'après le témoignage de Marian Olszuk : la superficie réelle du camp était d'environ 14 hectares ; quelques années après la guerre, cette superficie a été fallacieusement portée à environ 23 hectares.
Il est intéressant de noter que l'Encyclopaedia Judaica, dont la première édition remonte à la fin des années soixante, indique honnêtement une superficie de 13 hectares tandis que l' Encyclopedia [sic] of the Holocaust, publiée en 1990, parle malhonnêtement d'un rectangle de 400 x 600 m, c'est-à-dire de 24 hectares. On doit savoir que, de l'avis général, une partie assez importante du camp était occupée par des bâtiments de l'administration allemande, par des baraquements réservés aux gardes ukrainiens et allemands, par une infirmerie, des entrepôts, des ateliers cependant que tout un secteur abritait les travailleurs juifs des deux sexes qui étaient employés comme tailleurs, cordonniers et charpentiers, ou bien affectés à la lingerie et aux cuisines. Tout cela aurait constitué autant de superficie en moins pour l'extermination et l'inhumation d'au moins 870 000 juifs en l'espace de neuf mois (fin juillet 1942 avril 1943). Sur les "plans" vagues, fantaisistes et cacophoniques que nous ont tracés différents "témoins" juifs, on s'aperçoit que la superficie qui serait restée pour le traitement des cadavres ne peut sans doute guère dépasser un à deux hectares. Autrement dit, dans un espace équivalent à celui de un à deux terrains de football, on aurait procédé, pour 870 000 cadavres, aux quatre opérations suivantes :leur enterrement dans des fosses, puis, "pour dissimuler le crime", le déterrement de ces cadavres suivi de leur incinération sur des grils et, enfin, l'enfouissement des cendres et des ossements dans les mêmes fosses ! Le comble est qu'on veut nous faire croire, selon l'Encyclopedia of the Holocaust par exemple, qu'un si prodigieux massacre a été perpétré avec un, et un seul, moteur diesel soigneusement déréglé pour produire une quantité anormale d'oxyde de carbone ! Les révisionnistes ont suffisamment traité de cette absurdité technique pour qu'on n'y revienne pas ici.

12 octobre 2003.



DERNIÈRES NOUVELLES !!!!


Vidal-Piquet serait, en fait, historien (?)


 
"J'ai mis beaucoup de passion dans la bataille contre la torture. Je n'ai retrouvé semblable passion que lorsqu'il s'est agi, à la fin des années 1970, de dénoncer les falsificateurs de l'histoire. Sur ce terrain j'ai mobilisé l'Europe savante, par exemple un Italien, professeur à Varsovie, Benedetto Bravo, comme il m'est arrivé de le faire pour résoudre telle ou telle énigme de l'histoire ancienne. Ce qui m'a alors terrifié, au même titre que les mensonges officiels en 1957, ce n'est pas le fait qu'un clown comme mon camarade de khâgne Robert Faurisson s'amuse à chercher le scandale au sujet des chambres à gaz, comme jadis au sujet de Rimbaud, mais qu'un ancien camarade de lutte comme Serge Thion, après avoir déliré sur les Khmers rouges (*), se mette à écrire que les chambres à gaz n'avaient pas existé puisque les Khmers rouges n'avaient pas massacré leur propre peuple. Il est vrai que le puisque est de moi, non de lui, mais il fait partie du droit qu'a l'historien d'interpréter. [Il a sans doute aussi le droit d'inventer que Thion aurait écrit une pareille ânerie [cf. le site dudit Thion, où le lecteur peut s'amuser à chercher cette ânerie]. Vidal est un affabulateur complet, surtout plein de vanité. Nous ne pouvons que renvoyer à l'ASSAG, fondée par Vidal-Criquet et les siens pour prouver les meurtres par le gaz (1983) et disparue sans laisser traces ni preuves, sinon du contraire. On peut aussi se reporter à l'excellente Déclaration des Trente-Quatre Historiens, menés au sommet de la honte par Vidal-Roquet en 1979 (c'est sans doute ce qu'il appelle '"mobiliser l'Europe savante") avant d'être ramenés dans les sous-sol des aveux, en 1992: "Nous avions assurément tort" dit-il alors. Et après, il ose encore la ramener.]

(*) Esprit de septembre 1980.
Pierre Vidal-Troquet, "Pourquoi et comment je suis devenu historien", Esprit, août-septembre 2003, p. 56-75. Jusque là on pensait qu'il faisait préfacier...
C'est le texte d'un «exposé présenté aux "Rencontres de Blois", rendez-vous d'historiens créé par Jack Lang, le 18 avril 2002. La séance était présidée par Pauline Schmitt-Pantel. Je n'ai pratiquement pas introduit de modifications au texte que j'ai lu à Blois. C'est volontairement que je n'y ai pas ajouté un appareil de notes.»



BLACK IS BLACK


Prof. Tony Martin Dis-Invited to UK!


 
British Blacks are outraged over the dis-invitation of the highly renowned Marcus Garvey scholar Dr. Tony Martin to a Black History Month event scheduled for October 25th in London. The event, an annual opportunity for Blacks to hear lectures from the world's top Black scholars, is arranged through the mayor's office which funds and promotes the event through its yassir-boss-negro Lee Jasper. When London [trotzkyte] Mayor Ken Livingstone was informed of Dr. Martin's uncompromising analysis of the Black/Jewish relationship (see Martin's landmark book, The Jewish Onslaught), Jasper was ordered to "dis-invite" Martin -- an order which Jasper promptly and dutifully carried out. London's Blacks, outraged by Jasper's unreserved submission, appealed to other invitees to refuse their invitations unless Martin's invitation is restored.
[editor's note: Uncle Tomism has plagued the Black man for centuries. The Black Anglo-Saxon, Lee Jasper, is not the first one to buck and shimmy on behalf of Jews. Read the Open Letter to the Uncle Toms from the African United Front.]
Below is an exchange of correspondence between Lee Jasper and Dr. Tony Martin, along with the international community's expressions of outrage.
Dr. Martin's Response to Lee Jasper
Lee Jasper's Dis-Invitation
Dr. Martin's Response to the London Jewish Blitzkrieg (21 October 2003)
Dr. Martin's Letter to Ken Livingstone Mayor of London
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Dr. Martin's Response to Cancellation

To: Lee Jasper, Mayor's Office, London. From: Tony Martin, Professor of Africana Studies, Wellesley College, Massachusetts, USA
Re: Your cancellation of invitation to Mayor's First Voice Conference
Da: 15 October 2003
You called yesterday and expressed upset because a Jewish newspaper said that I spoke at a conference organized by David Irving and another organized by the Institute for Historical Review. You also said something not entirely coherent about what you called "holocaust denial." About an hour afterwards you emailed me abruptly revoking Rosemary Emodi's five months old invitation to me to address the First Voice Conference, on the basis of the concerns transmitted to you by your Jewish sources. I thought that you were just another overwrought Jew who sees "antisemites" everywhere, an annoying though partly explicable phenomenon. Now, however, I discover that you are that most singular of phenomena, to wit a black talking head for Jewish ventriloquism. I addressed the first abovementioned conference on the Jewish role in the African slave trade, a topic that overwrought Jews consider ipso facto antisemitic. I addressed the other on the tactics of organized Jewry against persons like myself who they disagree with.
Organized Jewry, speaking through you, has defined the organizers of both these conferences as antisemitic and, as affirmed in your email, they have defined me as antisemitic for accepting their invitations. This kind of reasoning would also make me a talking head for overwrought Jews for my willingness to speak at your conference.
I hope that someday you will become as diligent in the knowledge of your own history as you now appear to be in mindlessly parroting the misconceptions of others. Then maybe you will interrogate your handlers on the following questions, among many others
* the anti-Black sentiments found in some Jewish publications -- e.g. The Jewish Press (Brooklyn, New York), whose Professor Howard Adelson called Africana Studies a "fraudulent" enterprise.
* Jewish Professor Michael Levin who went to court in New York to affirm his right to teach students that Black people are inferior. (Perhaps he'll make an exception for you.)
* The "holocaust denial" of Jewish historians who have made careers out of minimizing estimates of African deaths during the slave trade.

The Babylonian Talmud's invention of the Hamitic Myth, whereby God supposedly cursed Black people with dark skin, bulging eyes and huge genitals and relegated them to be the slaves of others for eternity. Millions of your African forebears lost their lives in the slave trade on the strength of this pretext for enslaving them. They must be turning in their graves now to behold your antics.
You can find documentation for all this in my book, The Jewish Onslaught: Despatches from the Wellesley Battlefront.
Your thoughtless transmission of allegations of antisemitism is both libelous and incongruous. I wonder what usefulness someone so out of sympathy with his own community can be as a representative of that community to the mayor's office.
Dr. Tony Martin
[This book is available for sale online at:
<http://www.blacksandjews.com/books.html> ]

Read the international comnmunity's expressions of outrage.
Prof. Tony Martin Responds to the Controversy:
Re sharing a platform with "a known Fascist and racist"
1) The Jews are very good at creating red herrings and defining people and situations to their liking.
2) Their action here has little to do with David Irving since they have been attacking me since at least 1993, eight years before I spoke at Irving's Real History Conference in Cincinnati. My Jewish Onslaught was written ten years ago in 1993 in response to their earlier campaign.
3) The real issue then and now was and is their objection to my using the Nation of Islam's Secret Relationship Between Blacks and Jews in a class. They seem to think that they are somehow exempt from acknowledging their role in our enslavement and paying us reparations. Theirs was in fact an important role and one that their own scholars have documented. Among the many responses to their untenable position was a big rally at Howard University in 1994 when Khalid Muhammad, Len Jeffries, Malik Zulu Shabazz, I and others spoke.
4) I am a historian and I speak for all kinds of forums, including even Uncle Tom forums on occasion, if I feel that somebody in the audience might benefit from my message. This does not necessarily make me an Uncle Tom or whatever the ideology of the convener happens to be. I have even spoken for Jews on occasion.
5) David Irving may be a Fascist -- I don't know. All I know is that the Jews have been calling me a racist, antisemite and everything but a child of God for years. My first instincts are not to take them seriously unless I can independently verify what they are saying. I did read an account of Irving's libel case where he is said to have written a poem saying that he did not want his daughter to marry a Rastafarian or something like that. On his website he had photos of a Caribbean sister who had worked for him for years. He argued from this that he was not racist. Not wanting his daughter to marry a Rastafarian pales into insignificance next to some of the racism of Jews that you will see documented in my The Jewish Onslaught. In particular I would draw your attention to some of the Jewish hate mail that I reprinted in the book's appendix.
6) They say that a little knowledge is a dangerous thing and it seems to me that people like Lee Jasper are so unhinged from their own history and community that they fall easy prey to other people's agendas besides their own. Or in some cases it may be a deliberate opportunistic decision to get ahead. I don't know Lee well enough to say which category he falls into.

<http://www.blacksandjews.com/Martin.UK.Disinvitation>

Sur le fond:
See:
<http://www.blacksandjews.com/MarcLeeRaphael.html#anchor196437>

The following passages are from Dr. Raphael's book Jews and Judaism in the United States a Documentary History (New York: Behrman House, Inc., Pub, 1983), pp. 14, 23-25.

"Jews also took an active part in the Dutch colonial slave trade; indeed, the bylaws of the Recife and Mauricia congregations (1648) included an imposta (Jewish tax) of five soldos for each Negro slave a Brazilian Jew purchased from the West Indies Company. Slave auctions were postponed if they fell on a Jewish holiday. In Curacao in the seventeenth century, as well as in the British colonies of Barbados and Jamaica in the eighteenth century, Jewish merchants played a major role in the slave trade. In fact, in all the American colonies, whether French (Martinique), British, or Dutch, Jewish merchants frequently dominated.

 

"This was no less true on the North American mainland, where during the eighteenth century Jews participated in the 'triangular trade' that brought slaves from Africa to the West Indies and there exchanged them for molasses, which in turn was taken to New England and converted into rum for sale in Africa. Isaac Da Costa of Charleston in the 1750's, David Franks of Philadelphia in the 1760's, and Aaron Lopez of Newport in the late 1760's and early 1770's dominated Jewish slave trading on the American continent."

 

 
Dr. Raphael discusses the central role of the Jews in the New World commerce and the African slave trade (pp. 23-25):


VIEUX PAPIERS


Dr Robert M W Kempner was a lawyer in the Weimar-era Prussian Ministry of the Interior, in Berlin. When the Nazis came to office in 1933, he fled abroad, as a Jew; he settled in the United States, and returned in US Army uniform with the victorious Allied troops in 1945: he acted as assistant prosecutor, in charge of rebuttal cases, at the main International Military Tribunal in Nuremberg, to the evident distaste of chief prosecutor Robert H Jackson, who stated in writing that he had wanted no Jews on his team to avoid the impression the trials were a vengeance crusade.
Kempner made few friends at Nuremberg. He coerced witnesses (Friedrich Gaus) with threats of deportation to Russia; he allowed the faking of movie and photographic evidence; he met his match in Dr Stuckart, who knew more about Kempner's past than was healthy for either -- Stuckart (a participant in the Wannsee conference) bragged to his friends (Milch) that he had told Kempner he had a concealed document that would incriminate him, and that he would be acquitted; and he was duly sentenced to "time served", to the astonishment of court, press, and co-defendants.
Kempner also stole from the archives large numbers of original documents, and was most certainly responsible for the attempt to hide from posterity the March 1942 Schlegelberger Document, in which a hard-pressed Adolf Hitler ordered the postponement of the Final Solution of the Jewish Problem until after the war. (The document was missing from the five-item folder of photocopies, ND: 4025-PS, after he returned it to the Nuremberg Trial archives; fortunately the original folder was found intact thirty years later in the Federal Archives).
Kempner acted as chief US prosecutor in the subsequent US Proceedings against German doctors, generals, industrialists, etc. He returned to the United States, then practiced in Frankfurt-on-Main for a while as a lawyer in the 1960s. He moved back to Philadelphia, where he died in 1993.
It had long been suspected that Kempner had also purloined from Nuremberg Trial records the original diaries of chief Nazi ideologue Alfred Rosenberg, who was hanged at Nuremberg. (In one later work, Kempner temptingly quoted passages which are not in Hans-Günter Seraphim's fragmentary published edition of the diaries).
His papers were claimed by the US Holocaust Memorial Museum, which wrongly claimed to have been left them in a will. Even then the USHMM overlooked a significant body of pre-war, wartime and post-war documents, stacked in file-boxes and footlockers on the villa's porch.
These were obtained by Philadelphia dealer Walt Martin when he bought the rights to clean out the house. Among them were important original files and records of Hans-Georg Thomas, of the OKW's Wehrwirtschaftsamt, and the original war diary of the Sonderstab Oldenburg, set up to plan the Nazi economic exploitation of post-war Soviet Union. The USHMM offered Mr Martin a sum of money for these residual files. Mr Irving inventoried some of the boxes in September 2001, and notified the German Federal Archives of the existence of this important collection. Shortly after Mr Irving announced that he had done so, the FBI sprang a surprise raid and confiscated the boxes.
Walt Martin sued in the US courts for the return of his property, and was awarded half of them in a judgment handed down at the end of October 2003.

Voir l'index des documents à:
<http://www.fpp.co.uk/Germany/Kempner/index.html>



LA FOIRE D'AUSCHWITZ


Finding it harder to never forget


Amiram Barkat

 
A few years ago, with ever-increasing global interest in Auschwitz-Birkenau, Poland's prime minister set up the Auschwitz Council. This panel of experts, intellectuals and camp survivors has the task of advising the Polish government on appropriate ways to preserve and develop the site.
This week, the council met for its biannual session, with two Israelis, both camp survivors, taking part in the discussions -- Prof. Yisrael Guttman, scientific adviser to the Yad Vashem Holocaust memorial, and Noah Flug, secretary-general of the umbrella organization of Holocaust survivors in Israel.
Flug and Guttman spoke emotionally to Haaretz last night of their deep concerns following the council's discussions. One of the council's main recommendations this week was to approve a plan to establish an educational-research center at Auschwitz that will focus on educating for tolerance and fighting rising hatred around the world.
"Auschwitz is being transformed from a Polish site into an international site," says Guttman, noting that this is a positive and important process. But missing from this process, Guttman said, are the heirs of the the camp's principal victim, the Jewish people.
Recently, for example, a new and impressive memorial, erected with German funding, was dedicated at Auschwitz to the thousands of gypsies who were murdered in the camp; and at present, memorials are being erected to the citizens of Slovakia, Hungary and Holland, with the funding of the respective governments.
"But there were no Slovaks murdered at Auschwitz," Guttman says. "Hungarians weren't murdered there either, and only a few Dutch were. Jews were murdered there."
Not many know it, but Auschwitz also has a memorial to the 1.2 million Jews who were murdered in the camp. The display was set up during the Communist era and has not been refurbished in years.
"Someone visiting Auschwitz in the future will get the impression that the citizens of many countries were murdered there," Guttman says. "It's true, but it doesn't reflect the main issue - that those citizens were not murdered because of their nationalities, but because of their ethnic origin, because they were Jews."

 


Guttman, deputy chairman of the council, suggested at the meeting that the Jewish memorial be renewed. "We are talking about an investment of several tens of thousands of dollars in all," he says.
Around 200,000 non-Jewish prisoners were laborers at Auschwitz. This, Guttman says, ensures the international interest in the camp, and its preservation, for generations to come. But, says, the situation is different at other lesser-known extermination camps at which Jews were murdered.
Flug and Guttman say that for them, the hardest part of the council's discussions was hearing reports from the Polish authorities about seven other major concentration and extermination camp sites in the country - Treblinka, Chelmno, Sobibor, Belzec, Majdanek, Grossrosen and Stutthof. The picture that emerged, they say, was one of total neglect.
During the Holocaust some 300,000 of Warsaw's Jews were murdered at Treblinka, but today the site doesn't have a single sign describing their fate. "Everything there is broken wide open," Flug says. "There is no cover from the rain; there aren't even toilets."
After the war, the Poles erected an impressive monument in memory of the Jews killed at Treblinka, but since then nothing else has been done. "We must back basic arrangements there, together with a minimal display so that people will know what happened," Flug says.

"During the meeting, when I spoke to the Poles, I did indeed express myself very harshly," Guttman says. "But I am in no hurry to lay the blame - and certainly not all the blame - at the feet of the Poles. There are enough Jews in the world whose ancestors died at Treblinka, Majdanek and Sobibor and it is the duty of the Jewish people to take care of these places."

 


Flug continues: "There's the money from Germany, the money from the other countries, the money from the Swiss banks, and the money from the insurance companies. If after all of this, those places are left in the state they are in, it's a crime. If the Polish prime minister thinks the issue is important enough to establish a special council, then the government of Israel can also afford such a council."

Ha'aretz, 7 novembre 2003.


DÉSOPILANT


"Les étudiants héritiers des syndicats organisateurs de la manifestation de résistance du 11 novembre 1940 (corpo, syndicalistes indépendants, royalistes d'action française, autonomes) venus déposer une gerbe en compagnie des organisateurs d'alors, sous la présidence d'André Pertuzio, ancien président de la corpo de Droit promo 1940, se sont vu refuser l'accès à la plaque commémorative située en haut des Champs Elysées.
"Malgré le dépôt en préfecture, la police s'est crue autorisée à tabasser les jeunes venus honorer les anciens combattants tant de 14-18 que les premiers résistants à l'occupant nazi, qui avait alors ordonné aux forces de l'ordre complices l'interdiction de la manifestation.
"Comme alors, la police à reçu l'ordre de matraquer les étudiants présents.
"Un air de déjà vu."
Comité étudiant 11 novembre.



HONGREURS DE HONGRIE


Association of Hungarian Electronic Journalists calls upon Hungarian Television to abandon its axing of the program


 
The Association of Hungarian Electronic Journalists called upon Imre Ragáts, president of Hungarian Television, to revoke his decision to axe the program "Night Refuge".
In a statement, the Journalists' Association stated:
"On October 28, the president of Hungarian Television axed the truly public service Night Refuge cultural program, citing that - using footage recorded at a function - the Sunday episode provided a platform for British historian David Irving to express his views about the 1956 Hungarian revolution.
The journalists' association finds it astonishing that in the 14th year after the proclamation of the Hungarian republic, in a free country, during the reign of a government that preaches freedom of speech and expression, the heads of Hungarian television should axe a program because it does not conform to their ideology."
Incidentally, today, the program is no longer promoted on Hungarian Television's website. All information about it has been scrapped.
October 30, 2003

Magyar Elektronikus Újságírók Szövetsége felszólítja Ragáts Imrét, a Magyar Televízió elnökét, hogy vonja vissza az Éjjeli Menedék címz( mz(sort megszüntet határozatát.
Az újságíró szövetség közleménye emlékeztet: az MTV elnöke október 28-án megszüntette a "valóban közszolgálati Éjjeli menedék cím? kulturális háttérm?sort, arra hivatkozva, hogy a vasárnapi adás - egy rendezvényen készült felvételen -- teret adott David Irving brit történész '56-os magyar forradalommal kapcsolatos nézeteinek.
"A MEÚSZ megdöbbentõnek tartja, hogy a Magyar Köztársaság kikiáltásának 14. esztendejében egy szabad országban, egy szólás- és véleménynyilvánítást hirdetõ kormányzat regnálása alatt a tévé vezetése azért szüntessen meg egy m?sort, mert az nem az õ ideológiájával azonosul."
Egyébként a Magyar Televízió internetes oldalán ma már nem ajánlják a m?sort, arról minden információt töröltek.
<http://www.fpp.co.uk/online/03/11/Hungarian_TV011103.html>



GRANITE ROSE


Le Bundestag approuve la construction d'un monument à la mémoire des victimes homosexuelles du nazisme


 
Berlin (AP) - L'Allemagne va construire un monument national à la mémoire des homosexuels persécutés ou tués par les Nazis, en complément du mémorial en projet pour les six millions de juifs victimes de l'Holocauste, a décidé jeudi une commission parlementaire.
L'Allemagne nazie avait déclaré criminelle l'homosexualité masculine et quelque 50.000 homosexuels furent ainsi condamnés. Entre 10.000 et 15.000 hommes, selon les estimations, furent déportés en raison de leur homosexualité dans des camps de concentration où peu d'entre eux survécurent.
Un projet de loi pour la construction d'un mémorial à Berlin a été adopté par la commission culturelle du Bundestag, la chambre basse du parlement allemand, avec le soutien de la majorité socio-démocrate et verte. L'opposition chrétienne-démocrate s'est opposée à la mesure.
"Les victimes homosexuelles du nazisme ont reçu trop peu d'attention par le passé dans la culture du souvenir en Allemagne", ont estimé les députés écologistes dans un communiqué. Un concours va être ouvert pour trouver l'architecte du futur mémorial.
Après la Seconde guerre mondiale, peu d'homosexuels condamnés par les Nazis se manifestèrent, l'homosexualité restant stigmatisée et la loi de 1935 utilisée contre eux restant inscrite dans la législation de la République fédérale allemande jusqu'en 1969. L'an dernier, le Parlement allemand avait demandé officiellement pardon aux victimes homosexuelles du nazisme.
AP, 13 novembre 2003.



PROF OU FLIQUE ?


[...] Kathia Blas, proviseure d'un établissement d'Issy-les-Moulineaux qu'elle qualifie de "très tranquille" et membre du même syndicat, raconte avoir mis en place un "historique des postes Internet au centre d'information et de documentation" afin de savoir quels sites ont été consultés. "On a mis des filtres, mais on ne peut pas couper "islam", c'est au programme d'histoire. On surveille également les lectures tendancieuses pendant les permanences." A l'heure de la sortie, elle se poste derrière sa fenêtre : "J'ai vu des barbus venir plus ou moins près de la porte. Un jour, j'ai vu arriver Ben Laden, j'ai appelé les RG, j'ai dit : "Vous connaissez cette association ?" Ils m'ont dit : "Oui, elle vient de se créer, elle est très active sur la ville." Moi, systématiquement, je téléphone aux RG..."

Libération, 19 nov 2003
<http://www.liberation.fr/page.php?Article=158752>



FIRE NEXT TIME


Arson destroys Indiana Holocaust museum


By Joanne Laurier

 

A museum dedicated to the victims of the Nazi Holocaust in Terre Haute, Indiana, was set on fire and its contents destroyed Tuesday. The Candles Museum was torched after a wall of the building was spray-painted with an homage to Timothy McVeigh, the right-wing terrorist who was convicted in 1995 for the bombing of the Oklahoma City federal building. McVeigh was executed at the federal prison near Terre Haute in 2001. The fire caused an estimated $15,000 in damage.
Founded in 1995 by Holocaust survivors Eva and Michael Kor, the museum derives its name, Candles, from an acronym: Children of Auschwitz Nazi Deadly Experiments Survivors. Eva Kor, orphaned at Auschwitz, was one of 180 children rescued from the concentration camp at the end of World War II. During her incarceration Eva and her twin sister Miriam were the subjects of barbaric experimentation by the notorious Nazi, Dr. Joseph Mengele, who particularly valued twin children as his guinea pigs.
Currently Kor is the lead plaintiff in a class-action lawsuit brought against the giant German pharmaceutical company Bayer in federal court in Terre Haute. Kor is claiming that Bayer, assisted by Mengele and the Nazis, injected inmates with toxic chemicals and germs in order to test the company's experimental drugs.
20 novembre 2003.


Voir Le Temps irréparable du 24 octobre 1998:

<http://aaargh-international.org/fran/revu/TI98/TI981024>


L'EUROPE RETIRE SON PANTALON VITE FAIT


Prodi reassures US Jewish leaders after poll


 
The US Jewish Community is going to organise a seminar in Brussels following recent survey results which saw a majority of EU citizens name Israel as the biggest threat to world peace.
The results published on Monday, sparked outrage in Israeli government circles and sent the Commission, which organised the poll, into a diplomatic tailspin.
European Commission President Romano Prodi had a hastily arranged meeting with representatives from the Anti-Defamation League and the World Jewish Congress, during a visit to New York on Tuesday (4 November). At the meeting both sides agreed that a seminar should be organised in Brussels in order to find out why European citizens (59% of the around 7,500 surveyed) put Israel ahead of countries such as Iran and North Korea. [S'ils nous demandent poliment, on leur dira pourquoi... ]
Mr Prodi also did much to mollify the Jewish community by distancing himself and his institution from the results. "I am very concerned by the survey's findings: they reveal a prejudice that must be condemned without hesitation", he said in New York. [Les petits chefs qui prétendent nous gouverner devraient s'inspirer du célèbre conseil de Brecht: ils n'ont qu'à changer de peuples... ]

<http://www.fpp.co.uk/online/03/11/EuroPoll061103.html>



AAARGH : LES NOUVEAUTÉS D'OCTOBRE ET NOVEMBRE


Novembre

Nouvelle mise à jour du dossier Hayward. Ce dernier vient de créer un site où s'accumulent les dossiers de presse et les notes universitaires, alors que la fameuse thèse reste une sorte d'Arlésienne, qui apparaît sur le Net et disparaît aussi vite. Les forces occultes qui s'acharnent à effacer cet écrit lui donnent chaque année plus d'importance. Pour inégale qu'elle soit, nous n'abandonnerons pas cette lutte dont l'enjeu est, une fois de plus, la liberté de penser.

La Lettre aux directeurs de la Résistance, de l'excellent Jean Paulhan. Un texte court mais un grand classique.

Quelques textes passent du format compressé <zip> au format portable PDF: Roques, Rassinier, avec un recueil de textes de Jean-Claude Pressac, mort en juillet dernier.

Voir <http://aaargh-international.org/fran/livres/livres.html>

Nos voisins du site SOLUS ont mis en ligne une version PDF de Bagatelles pour un massacre, un des grands livres cachés de notre époque, du génial Louis-Ferdinand Céline, l'un des plus puissants écrivains du XXe siècle. Attention: ce livre est explosif. C'est une torpille antisémite. Les débiles mentaux (et mentales) sont prié(e)s de ne pas s'approcher de ce livre, qu'il faut lire avec discernement. Il en dit long sur notre temps.


Octobre

Nous proposons un dossier de l'affaire Michel Adam, un grognard de l'enseignement. Il a été viré. Normal, puisqu'il disait les choses. On voit que les profs, surtout ceux qui sont chargés de l'histoire-et-géo, sont un troupeau de bêleurs et de con-formistes. Une seule Loi, la Loi d'Airain: "Ne pas faire de vagues". Cette loi, et elle seule, achemine vers une retraite paisible. Michel Adam est un paysan du Danube qui ne la connaissait pas.

Troisième version française du classique des classiques, le livre d'Arthur Butz, La Mystification du Vingtième Siècle, conforme à l'édition imprimée qui est sortie l'an dernier à La Sfinge. Nous tâchons toujours, autant que faire se peut, de publier des versions numériques conformes aux versions imprimées disponibles, qui sont nos références, quand elles existent.

Nous avons mis à jour la page Hayward, du nom de cet ex-étudiant néo-zélandais qui a soutenu en 1993, à l'université de Canterbury, une thèse qui essayait d'expliquer et de jauger le révisionnisme de l'holocauste. La tempête ne s'est pas déchaînée tout de suite, mais elle a donné libre cours ensuite à toutes sortes de bourrasques dont notre page rend compte. Elle sert d'ailleurs de référence jusque dans les terres australes ! Les pingouins la lisent avidement, nous dit-on. Dernièrement une pétition, signée par plus d'une centaines d'universitaires de Nouvelle-Zélande, a secoué les esprits en réclamant le respect de la recherche et de la pensée. Le lobby juif local a disparu dans un trou de souris. Les Néo-Zélandais sont plus courageux que nous.

Nouvelle version, corrigée, augmentée et illustrée de la remarquable introduction de Jean-Marie Boisdefeu au révisionnisme holocaustique: La Controverse sur l'extermination des juifs par les Allemands, en deux tomes. La deuxième édition sur papier était sortie en 1996 chez VHO en Belgique. On sait que l'éditeur anversois n'est plus en mesure de travailler normalement. Cette nouvelle édition sort donc en CD-ROM et circule sous le manteau.

La rédaction de la Gazette du Golfe et des banlieues a compilé un recueil sur le thème du terrorisme israélien, avec le texte très important et très révélateur de Livia Rokach, Le terrorisme sacré d'Israël qui remonte aux origines de la politique d'expansion sans fin des occupants sionistes. On raconte aussi comment à été tué le comte Folke Bernadotte, en 1948, par les terroristes juifs.


On peut consulter ce site à:

<http://aaargh-international.org>

et celui de Solus à:

<http://abbc.com/solus>

La Gazette a aussi son site propre:

<http://ggb.0catch.com>



LE FAUX-TÉMOINS


More on Auschwitz "witness" Pery Broad


by George Brennan

 
In my October 18 [2003] query I misrepresented Professor Van Pelt. Although he did state that Pery Broad's 1963/5 testimony was irrelevant to his earlier, 1945, testimony -- on which, he says, Mr Justice Gray based his judgment -- Professor Van Pelt has never bidden us to ignore it.
In his Expert Report he specifically quoted Broad's Auschwitz trial testimony in order to show that Broad was the sole author of the 1945 "memoir ."
Such sole authorship is (for him) enough to make that memoir admissible as evidence. He quotes an exchange from the 1963/5 trial [of Broad et al.], presumably drawn from Hermann Langbein's account:

-- "Accused Broad, what do say about the document that has just been read?
--"I unhesitatingly recognise some of it as my own notes but not the whole document.
-- "You had in Auschwitz much knowledge of what happened there?
--"Yes I had much knowledge.
-- "You expressed at the time that it covered a crime.
-- "That is also my conviction today. Every act in Auschwitz aided and abetted that. I believe there are more versions of that report. It seems to me that there is much unfamiliar knowledge in that report.
-- "The report is written on one style and it is homogenous in character. Does it not mean that it was written by one man, that means you?
-- "Yes, that is right. Only I do not know the source of the numbers mentioned. That I could not know."

Led by the presiding Judge, Broad promptly agrees on purely stylistic grounds that he must be the sole author of propositions unfamiliar to him. Where Professor Van Pelt sees a hesitant admission, others might as easily see unhesitating compliance. Hannah Arendt noted the remarkable tendency among witnesses at this trial "to 'co-ordinate' themselves, as it were, at a moment's notice." But she probably regarded such Gleichschaltung as an SS character-trait.
Sole authorship is certainly important, but not because of the document itself. Even if Lance-corporal Broad wrote every word of some definitive edition of this expanding and contracting memoir, it would have little value as evidence. It cannot gain authority from the nizkoresque practice of promoting Broad to Sergeant, or even to Second lieutenant [Mr Rampton on Day 14 ].
Strip away from the memoir things that Lance-corporal Broad "could not know"; take out things that nobody could know or that anybody could know; overlook the physical impossibilities; try to forget the fact that such absurdities had ever been there and then strive to ignore the overcooked style; what remains after all that subtraction would not amount to a first person account of direct personal knowledge.
Faced with an affidavit based upon this memoir, any honest judge would need to cross-examine its author. You cannot cross-examine a piece of paper. Perhaps Mr Justice Gray's good opinion of Broad's ludicrous memoir is the result of not having read it.

STILL, if Lance-corporal Broad really was the sole author of this written testimony, then we must pay proper heed to the oral testimony he gave in person at the Tesch trial in early March 1946. Led by Major Draper, Broad claimed to have seen with his own eyes in July 1942 a complex event which can have no other explanation than as a homicidal gassing of about four hundred persons in the "old crematorium."
Broad, who was too myopic for active service, must have had an excellent pair of eye-glasses. Open court testimony always has some value, even when cross-examiners wear kid gloves.
Broad's oral testimony has value, however, only if we are satisfied that it was uttered by an honest if gullible twenty-four year old SS-man of Brazilian nationality whose service in the Gestapo office at Auschwitz had secretly imbued him with the spirit of Polish nationalism and inspired him to "unload his heart" by writing -- unaided, and allegedly within two or three days in June 1945 -- a trashy novella drawing on unsourced hearsay and far-fetched psychological conjecture. If such a personality existed, he need not necessarily be a liar.
If Lance-corporal Broad was not the sole author of his ludicrous memoir, if he was the sort of sensible fellow who would collaborate on anything which might keep him out of trouble, it follows at once that this oral testimony was emitted by a pliable and perjured servant of a dishonest prosecuting authority; a pampered servant, moreover, who had much to fear and something to gain.
I myself do not yet have enough information to form a definite opinion about Broad. Perjury has not been proven; but since it can be reasonable suspected, he has no right to figure in Mr Justice Gray's list of indubitably credible "eyewitnesses" For Gray, as for Mr Michael Shermer, it must seem a happy instance of "consiliance" that Rudolf Höss [the Auschwitz commandant] independently and voluntarily confessed to the murder of "2.5 million persons" less than a month after Broad independently and voluntarily pronounced the very same number as prosecution witness at a public British trial.
It is true that independent, voluntary estimates tend to converge upon the same truth. But voluntary confessions to a crime do not usually exaggerate the extent of that crime, and independent estimates do not usually converge upon exactly the same falsehood. Ill-natured persons might even sniff here the "cross-pollination" which Judge Gray could not detect.
In Mr Shermer's epistemology, cross-pollination could mean only that Broad and Höss secretly agreed a year beforehand to incriminate each other; which, being absurd, means in Shermer's view that cross-pollination could not have happened.
Alternatives exist. Major Draper the interrogator could hardly have gone on badgering suspects with the old Russian four/five million figure after British arithmetic had just been accepted by Major Draper the prosecutor. Where Lance-corporal Broad got the 2.5 "rough estimate" from is a mystery, as it was something which, by his own account, not even he could know. Perhaps he heard it mentioned around the office by Colonel Adolf Eichmann, who seems to have been surprisingly ill-informed.

P.S.: Lance-corporal was accepted as equivalent to Rottenführer at the Tesch trial. A Lance-corporal, after four years service, is merely a private who has stayed out of trouble. A sergeant is a man who knows things. In any case, it is the German rank that gets inflated: Unterscharführer in Shermer's polemic [google: "michael shermer" "pery broad" ] It is "Untersturmführer Broad", no less, for Mr Rampton.
A mere factual error (we all make them) but it indicates how little attention was given to the only piece of Broad testimony worth taking seriously. In my guess the Polish edition of the [Höss] Erinnerungen is the source of Broad as sergeant.
If any of your German readers regularly visits a newspaper archive it would be of interest to know whether Broad's "2.5 million" figure made it into to any Gereman newspaper that Höss might have read between the first day of March 1946 and the eleventh [when Höss parrotted it].

<http://www.fpp.co.uk/Letters/Auschwitz/Brennan241103.html>



APOLOGIE


R. Faurisson nous communique:


Vincent Reynouard, 34 ans, père de quatre enfants, auteur d'une vidéo-cassette sur Oradour, est passé hier (18 novembre 2003) en jugement à Limoges. Il est poursuivi pour apologie de crimes de guerre. Le procès a été expédié en trois heures. Le président, François Casassus-Builhé, a fait preuve d'une spectaculaire partialité. Il a interdit que la cassette soit visionnée. Il a interdit que l'unique témoin à charge soit contre-interrogé. L'avocat de la LICRA a été modéré. Le procureur a requis une peine de un an de prison ferme. M e Eric Delcroix a été brillant dans sa défense de V. Reynouard. Le jugement sera rendu le vendredi 12 décembre.


Un an de prison ferme requis par le procureur pour avoir dit qu'à Oradour les choses ne se sont pas passées comme on nous le raconte?



AU COURRIER 1

Lettre d'un lecteur qui pérégrine dans des bibliothèques aux Etats-Unis


J'ai pu consulter le livre anglais du capricieux Pressac publié en 1989 à Washington, Auschwitz, Technique and operation of the gas chambers, et difficilement, ou non trouvable en France. On y trouve les documents qui ne sont qu'en notes dans le livre publié par le CNRS en français de 1993, ainsi que les 39 prétendues traces de preuves que Robert Faurisson discute et démolit dans "Bricolages et Gazouillages..." et Jean-Marie Boisdefeu dans La Controverse sur l'extermination des Juifs.
Je suis d'accord sur le fait que les commandes de tests à acide cyanhydrique ne sont pas des preuves. D'ailleurs dans son livre de 1989, il écrit que 95% du zyklon B était utilisé pour désinfecter, et seulement 5% pour tuer. Il reconnaît que Faurisson a fait avancer la recherche en publiant certains documents, comme celui (NI-9912) sur les propriétés de l'acide prussique disponible en allemand au CDJC, cote CLIX a-21.
J'ai recherché la lettre du SS Bischoff où il est question de Vergasungkeller au Krematorium II (cité dans son livre de 1993, p.69) et traduit par "cave à gazage". Il est intéressant de remarquer que dans la version de 1989 l'auteur n'est pas aussi affirmatif: "Le rapport d'inspection joint à la lettre rend possible d'établir, par un processus d'élimination, que Bischoff utilise "Vergasungskeller" pour désigner la "Leichenkeller 1" du Krematorium II" ("The inspection report enclosed with the letter makes it possible, through a process of elimination, to establish that Bischoff uses 'Vergasungskeller' to designate 'Leichenkeller 1' of Krematorium II").
La lettre en allemand (p.432), traduite en francais par Faurisson ou en anglais sur
<http://www.holocaust-history.org/auschwitz/19430129-vergasungskeller>, dit bien qu'il est question de transformer cette salle en morgue en attendant la fin du gel pour aménager le toit. Mais dans ce cas, les "gazages" criminels supposés s'y dérouler n'auraient pu se faire pour un temps d'ailleurs indéterminé. Ce dont Bischoff parle pourrait être, comme l'écrit Faurrisson, non pas la cave II, mais la cave III ou était déposé du matériel de désinfetion, ou comme l'ont proposé d'autres, un abri anti-armes chimiques, ou une chambre d'épouillage, etc.
Faurisson écrit que le terme Vergasung est très courant, et est traduit par l'équipe Pressac en anglais par "fumigation" pour le document NI-9912 concernant l'utilisation du zyklon contre les insectes, mais par "gassing" ailleurs, ce qui, dans les deux cas, n'indique d'ailleurs pas vraiment de différence d'utilisation, même si c'est ce que les traducteurs veulent suggérer. Nous avons voulu vérifier et avons trouvé significatif que le document NI-9912 concernant la desinsectisation ne semble présent en allemand que sur votre site
<http://vho.org/aaargh/fran/techniques/NI9912d.html> Il se trouve en effet le terme "vergasung", et l'on peut se rendre compte sur le site <holocaust-history.org> qu'une lettre du médecin Kremer désigne par ce mot un gazage contre des poux en septembre 1942 ("Vergasung eines Blocks mit Zyclon B gegen die Läuse").
Je n'ai lu que quelques pages de la version anglaise, mais j'estime que Faurisson fait une critique solide de quelques unes des 39 traces. Pressac n'est lui-même pas toujours certain, au fil des pages, si ces traces sont des preuves définitives ou non. Parfois il dit que certaines idées d'aménagement (ventilation en bois, ou désaération pour le haut plutôt que par le bas) montrent une intention criminelle, or ces projets ne paraissent pas avoir été mis en oeuvre.
Le résultat de ces fastidieuses pérégrinations exterminationnistes, après d'autres à l'aide de moteurs de recherche, est que je me demande pourquoi l'on a présenté l'assemblage déréglé et pétaradant de Pressac sous un capot rutilant, alors que le travail de Faurisson présente une finition polie et le survole de loin en vrombissant.

AU COURRIER 2


Sono ormai anni che vaglio attentamente quanti più libri inerenti l'argomento olocaustico, prima di tutti (poichè ne fui costretto all'età di 12 anni) "Se questo è un uomo", dell'ormai a tutti noto falsario Primo Levì. Da non molti anni, a causa della mia giovane età, mi sono avvicinato alle tesi revisioniste condividendole pienamente... devo aprire una parentesi su questa questione: solitamente io sono sempre stato scettico su ciò che udivo o leggevo, grazie all'insegnamento di mio padre, il quale non ha mai perso occasione di aprirmi gli occhi sul mondo, mentre nella lettura del serio studioso italiano Carlo Mattogno sentivo a livello istintivo che quello che leggevo era vero poichè si basava sulla logica, sulla ricerca accurata e, soprattutto, sulla consapevolezza di operare in buona fede e senza pregiudizi di sorta affidandosi su dati reali e non su documenti già editi.
Buon lavoro e speriamo che qualcosa possa cambiare anche grazie alla vostra opera di ricerca.
Carlo A. 13 novembre 2003.



AU COURRIER 3


Bonjour mon prenom est Alain..Je suis en train de lire les documents en francais de Rassinier et j ai juste voulu vous dire merci de nous permettre de lire tous les livres de Rassinier et ce gratuitement
J en ai pour des jours et meme mois pour tout lire mais ca eu vaut vraiment la peine !
Je suis aussi un revisionniste et il est grand temps que la verite se sache !! Encore une fois Felicitations et Merci !!
Bien a vous
AST, Quebec,Canada


Rassinier, pour les longues soirées d'hiver...









PARUTIONS



§== Encéphalogramme plat. Certains écrivent sur le football ou la culture des rhododendrons. Ce Christophe Bourseiller écrit sur tout ce qui est "gauchiste". Pourquoi, on n'en sait rien. C'est une façon comme une autre de gagner sa croûte. Il pond ses deux volumes par an, qu'il vente ou qu'il neige. Du moment que la marmite fume, tout va bien. Son dernier pensum a un titre qui pourrait faire croire qu'il nous concerne en quelque façon: Histoire générale de l'ultra-gauche. Il y a des guillemets à «ultra-gauche» sur la page de garde, mais ils ont disparu de la couverture. Ce détail dit tout. Chez Denoël, 546 p., 25 euros.

L'ouvrage survole tout un tas de séries d'événements, qui n'ont guère de rapports les uns avec les autres, mentionne tout un tas de noms, cite quelques anecdotes, résume des pensées complexes en phrases de quatre mots. L'auteur est totalement dépourvu de sérieux et il court à la fin du livre avec une hâte suspecte. Il pense plus à la marmite qui fume qu'aux gens dont il parle. Certains révisionnistes sont cités et on ne disputera pas ici de l'exactitude des propos qui leur sont prêtés. Tout est tellement superficiel, dans ce livre, qu'on se demande à qui il peut bien servir. Même la police, les denainxxx, les camus, les raslefront bas, en savent tout autant avec leurs fiches. Pas d'idée, pas de discussion des idées. Encéphalogramme plat.


§== C'est le moment de sortir sa l'haine. Un certain Raymond A Franklin compile chaque année un "directory of Hate", c'est-à-dire une liste de tous les sites qui ne plaisent pas à nos bons maîtres. Le premier cité, étonnez-vous, est l'aaargh. Avec un nom pareil, on est sûr d'être en tête.

Par conséquent, si vous voulez vous faire une petite promenade chez les démonisés et le zorribles non-korrekt, il vous suffit de consulter cette brochure, qui fait plus de cent pages ! Misère misère !

<http://www.bcpl.net/~rfrankli/hatedir.pdf>


§== Un mort très commode. Opium Lords de Salvador Astucia propose une nouvelle interprétation de l'assassinat de John F. Kennedy. Le livre se trouve en ligne:

<http://www.jfkmontreal.com/home.htm>

Petite note biographique:

"Salvador was unfamiliar with Jewish culture until well into his adult years. Few Jewish people lived in the Southern area where he spent his formative years. He was never taught to have any special feelings about Jews, good or bad. He always assumed Adolf Hitler was an evil man because that was what he had been taught. When curiosity prompted him to read books on the topic of Israel, the Jewish culture, and Zionism, he experienced a bit of an epiphany. He began to realize that if he had been lied to about President Kennedy's assassination, maybe he had been lied to about many other things, including the Holocaust.".



§== Les affreux au Bois dormant ? On a remarqué que Zinzin ne charge plus. Que Panczer dort dans son blindé. Et Fingerhut, le fringant officier de Tsahal ? Que fait-il: "Michel Fingerhut 1996-2001 - document mis à jour le 28/03/2001 à 19h37m13s.". C'est la page d'index.

Il appelle "nouveau" un texte de Sonntag " document mis à jour le 05/12/2000 à 15h29m40s."

C'est le sommeil de Léthé ? Ils voulaient se faire des gros sous, la communauté a dû leur rire au nez. Ils doivent être dégoûtés. Enterrons-les avec discrétion.



§== Tâter le Täter. Le discours du député au Bundestag Martin Hohmann a fait beaucouip de bruit. Il n'est pas révisionniste mais il considère que faire des Allemands, encore et toujours, un "peuple criminel" ("Tätervolk", un peuple qui commet) est une accusation qui devrait s'arrêter. D'ailleurs, dirait-on la même chose des juifs qui ont participé au bolchevisme ?

Voir le texte original, évidemment largement manipulé par les médias:

<http://www.tagesschau.de/aktuell/meldungen/0,1185,OID2535644,00.html>



§== Comment l'histoire se fabrique. Donald Bloxham, Genocide on Trial: War Crimes Trials and the Formation of Holocaust History and Memory, Oxford: Oxford University Press, 2001. xix + 273 pp. Appendices, bibliography, index. $60.00( cloth), ISBN 0-19-820872-3; $21.95 (paper), ISBN 0-19-925904-6.


Reviewed for H-Holocaust by Michael J. Hoffman <[email protected], English Department, University of California, Davis


Holocaust Trials and Historical Representation


 
We have always known that the historical representation of the Holocaust was profoundly influenced by the Nuremberg Trials -- in particular, the trial of the major Nazi war criminals by the International Military Tribunal, whose chief prosecutor was Associate Justice Robert Jackson of the U.S. Supreme Court. Many books have been written about the various Nuremberg trials by both journalists (e.g., Robert Persico) and participants (Telford Taylor), some of them primarily descriptive, and some more analytic. One of the later trials, that of the Nazi judges, was fictionalized in the Stanley Kramer/Abby Mann film Judgment at Nuremberg. (1961).
In 2000 Lawrence Douglas's excellent book, The Memory of Judgment examined the trials from a perspective that combined the law and media analysis. Douglas focused not only on the first Nuremberg trial, but on subsequent media-inflected courtroom events such as the Eichmann trial and the Canadian indictment of Holocaust-denier Ernst Zundel. Douglas suggests that all Holocaust-related trials have been deeply influenced by Justice Jackson's decision to present to the court vivid footage taken during the liberation of the Western camps of emaciated prisoners, dismembered corpses, crematoria, and ashes. This had the effect, for instance, of suggesting to succeeding generations that the Holocaust took place primarily in death camps via systematic starvation and execution. The use of ghettos and such extreme versions of "ethnic cleansing" as the mobile killing squads (the Einsatzgruppen) were given a secondary role in the dramatic representation of the Holocaust. The Allies felt the need to convince skeptical observers that the Nuremberg trials were instituted to bring to justiceb-- and not merely "victors' justice" -- perpetrators of war crimes and crimes against humanity. Douglas concludes that in this crucial dimension the various trials did not fully succeed, but that as politically motivated representations they were more successful.
In Genocide on Trial, British historian Donald Bloxham suggests that in setting up war-crimes trials after World War II the Allies (he focuses on the United States and Great Britain) were not only pursuing justice but were also trying to write the history of the war. Bloxham believes that the trials failed in this attempt because of political considerations, related primarily to the advent of the Cold War. But they failed as well because they also tried to define the war in ways that would be most effective in reaching Germans concerning their responsibility (avoiding the notion of "collective guilt") for starting and pursuing the war. The trials were seen, in other words, as an integral part of the process of denazification.
It is Bloxham's belief that the particular emphases of the trials retarded the development of Holocaust historiography, because they gave rise to a series of crucially misleading generalizations. Among them were the following: first, because of the initial and spectacular focus on liberated camps in the West -- such as Belsen and Buchenwald -- the earlier and extensive murderous work of the Einsatzgruppen was ignored until much later. Indeed, the trials of those involved in the mobile killing squads did not take place until more than a decade after the Nuremberg trials began. Second, because all the extermination camps were located in Eastern Europe (in both the occupied parts of Poland and in the Generalgouvernment) and were liberated by the Russian army, there was a general confusion in the West about the nature of the various types of camps. Belsen and Buchenwald were, for most of the war, concentration camps, not involved primarily in the industrialized killing processes typical of Sobibor, Belzec, Treblinka, and Auschwitz-Birkenau. At the end of the war, however, they received thousands of prisoners who had been marched westward from the various remaining camps of all types in the Eastern sector. By this time Belzec, Sobibor, and Treblinka had been razed. The appearance of these starving, dying refugees (fewer than half had survived the Death Marches) made it seem to most observers, including Justice Jackson, that the camps liberated by American and British forces were extermination camps when, in fact, they were not. Third, because the SS had been assigned primary responsibility for the Final Solution of the Jewish Question, it was thought for many years that the Wehrmacht had played little or no role in the genocide of Jews, Poles, Russian soldiers, and Gypsies, when, in fact, in many sectors of the war they had actually assisted their SS colleagues in both round-ups and executions.
Bloxham believes, then, that it has been the academic historians who have more successfully constructed the history of the genocidal parts of the War, reconstructing it out of the distorted historical patterns promulgated by the various trials. [...]
In a concluding chapter, Bloxham examines the role of the Nuremberg trials in establishing a historiography of the Holocaust. As an example, he discusses Raul Hilberg's decision to rely primarily on documents left by German bureaucrats rather than on survivors' testimony. Those were, after all, the kind of documents collected as evidence for the trials, and "it was unavoidable that trials would in large measure be perpetrator-centric" (p. 203). It is only recently that historians have begun to focus more on the victims themselves and to respect testimony from them about their own situations. Also, moving away from the legal perspective in which conspiracy is central has led more recent historians, including Bloxham himself, to take a "functionalist" rather than an "intentionalist" perspective on Holocaust historiography. [...]

H-Holocaust, 24 octobre 2003.


C'est l'aveu que toutes les histoires écrites après-guerre, appuyées sur les comptes rendus des procès de Nuremberg et des autres, bâclées par les Poliakov, Reitlinger, Hilberg, sans compter les surnuméraires Wellers, et autres clowns, ne valent pas tripette. C'est exactement ce que disaient, il y a cinquante ans, avec moins de circonvolutions, Bardèche et Rassinier. Nuremberg est à inscrire aux pertes et profits.



§==CFP, ça veut dire "call for paper", ce qui signifie appel à qui voudrait et pourrait rédiger un texte (papier) pour une conférence qui se tiendra dans plusieurs mois. A vous de vous débrouiller ensuite pour y être, pour prendre la parole et résumer votre "papier", mais c'est comme ça qu'on fait avancer sa carrière et qu'on se fait connaître des collègues qui décident des recrutements.

Donc l'université Brandeis (USA, hyperjuive) lance un CFP :

Call for Papers for the Following Panel:

"Hollywood and the Holocaust Memoir"


 
Papers should address some aspect of the fictionalization of Holocaust non-fiction. Suggested topics include: papers that address the manipulation of non-fiction to suit Hollywood tastes (both financially and for its audience), the relationship between written and filmed text, the ethics of visual portrayal of the Holocaust, the limits of the screen, Holocaust film and its relation to other war films, thematic shifts in Hollywood's portrayal of the Holocaust memoir since the 1950s, etc...
<[email protected]>

En somme, ils ne vont rien cacher.



§== Le grand site africain WoYaa reprend de nombreux textes de S. Thion

<http://www.woyaaonline.com/>



§== Féroces échanges sur le révisionnisme dans la liste de discussion de l'Union des étudiants de l'University College de Cork, dans la verte Erin:

<http://su.ucc.ie/index.php?name=PNphpBB2&file=viewtopic&t=101>



§== Ces sales mômes.

"Antisémitisme : le mal est dans l'école "


Par Véronique Grousset

 
[...] Dès qu'ils n'aiment pas un prof, c'est tout de suite : «Sale juif», confirme Valérie, professeur d'histoire-géographie dans un collège de banlieue parisienne, où cette banalisation des insultes antisémites émane surtout des plus petits, en classes de 6e ou de 5e, majoritairement musulmans, d'un niveau scolaire trop faible pour qu'on puisse leur expliquer quoi que ce soit. Avec les 3e, c'est différent, explique en effet la jeune enseignante, j'ai obtenu assez facilement qu'ils arrêtent de parler de «génocide palestinien» en leur faisant faire un travail sur l'ONU et les origines du conflit au Moyen-Orient.

Très beau résultat en effet. C'est en niant la réalité que les malheureux sionistes vont se tirer d'affaire.


22 novembre 2003, Le Figaro Magazine.



LA PAIX MAINTENANT


Le 20 octobre est sorti, en Allemagne et en allemand, un livre de l'historien anglais Martin Allen que, en raison de la pression de la communauté juive anglaise, ce dernier n'a pu publier dans son pays: Churchill's Friedenfalle, Das Geheimnis des Hess-Fluges , Druffel, (448 pages, 16 pages de documents photographiques, Euro 34,80) qui traite de l'arrivée de Hess en Angleterre en 1941 muni d'un plan de paix (repris dans le livre) dans lequel le chancelier s'engageait à retirer l'armée allemande de tous les pays occupés d'Europe.

Rudolf Hess atterrit sur l'aéroport privé du duc de Windsor (le prince Edward) en Ecosse. Il ignorait que Churchill lui avait tendu un piège dans lequel il tomba dès son atterrissage et il fut immédiatement arrêté.

M. Allen réunit dans son ouvrage plus de 15.000 documents (on y trouve notamment la preuve du rôle incroyable joué par Lord Vansittart qui avait exigé que l'Allemagne fût détruite).

Martin Allen est aussi l'auteur d'un autre livre publié en Allemagne, Lieber Herr Hitler" 1939/1940: So wollte der Herzog von Windsor den Frieden retten, 368 p., qui traite des efforts du duc de Windsor "pour sauver la paix". On touche là au point ultra-sensible des affaires cachées de la famille de Windsor, qui est en réalité une famille allemande, les Hanovre. Beaucoup plus explosif que Diana, cette pauvre cruche.

On peut commander ces livres en ligne

<http://www.dsz-verlag.de> (voir "Bücher")



§== Deux livres vus dans un catalogue d'ouvrages récents, sans mention de l'éditeur:

Arnaud-Aaron Upinsky, Enquête au coeur de la censure, 412 p. 20 euros.

L'auteur s'est lancé dans une véritable enquête qui démarre dans l'édition, puis s'étend à tout l'univers des média. Il révèle l'existence d'une pieuvre planétaire aux mille bras, constitutive de la censure la plus puissante de toute l'histoire de l'humanité. Il nous initie aux mystères qui définissent la liberté d'expression et décrypte les procédés les plus inavouables de la cité interdite de l'information pour en livrer les secrets les mieux gardés, mettant ainsi à jour de subtils mécanismes.


Bryan M. Rigg, La Tragédie des soldats juifs d'Hitler, 370 p. 22 euros.

Ce livre raconte la tragédie d'Allemands, d'origine juive, incorporés dans la Wehrmacht. Ces hommes acceptèrent de servir leurs pires ennemis pour des raisons diverses, parfois dans l'espoir de protéger leur famille, souvent par patriotisme inébranlable. On estime leur nombre entre 120.000 et 160.000. Certains d'entre eux atteignirent des grades élevés: général, feld-maréchal, amiral et se virent décerner des décorations prestigieuses. Mais il leur fallut toujours obtenir l'autorisation personnelle du Führer pour combattre.

A notre avis, ce livre ne va pas amuser tout le monde...



§== Une liste de moteurs de recherche de livres en Allemagne et dans le monde:

<http://www.ubka.uni-karlsruhe.de/suchmaschinen/meta.html>



§== Une vieille crapule. Toute l'histoire de la crapulerie de Simon Wiesenthal a été racontée par un chercheur autrichien, Gerd Honsik, dans un livre connu qui s'intitule Schelm und Scheusal, ("Coquin et affreux), Meineid, Macht und Mord auf Wizenthals Wegen. Difficile à trouver. L'exemplaire que nous avons porte l'adresse postale suivante: Anwalts Kanzlei Ramiro, Sanchez de Lerin Garcia, c/ Academia 8, 28014 Madrid. On ne vous la garantit pas. Il est à noter que l'ouvrage est dédié à l'ancien chancelier autrichier Bruno Kreisky, juif, social-démocrate mais ancien déporté à qui on ne la faisait pas.

Cet ouvrage a été traduit en anglais: Fiend and Felon, America's Idol - a Crook! Power, Perjury and Murder in Szymon Wizenthal's Footsteps et les lecteurs qui ne savent pas l'allemand seront heureux et passablement surpris de découvrir ce puant pot aux roses à l'adresse suivante:

<http://www.abbc.com/historia/honsik/honsik.htm>

Honsik vit maintenant en exil, pour échapper aux chiens lâchés contre lui.



§== Résistance, le canard des nationalistes-révolutionnaires (septembre 2003) mentionne les vertueuses protestations d'une certaine Betoule Fekkar Lambiotte contre le simulacre d'élection au "Conseil français du culte musulman", un bidule qui avait été cogité par Joxe, du temps où il était à l'Intérieur, reniflé par Vaillant et Chevènement, et qui a finalement été fabriqué par l'affreux Sarko. (Vous avez remarqué son élocution lourde, appuyée ? Un linguiste y verra la trace de l'origine étrangère d'un ou des parents du locuteur.) "Il faut lire Terre d'Europe, le trimestriel confidentiel de madame Lambiotte, pour comprendre quel est l'islam que nos maîtres voudraient promouvoir. Dans le numéro 10, Betoulé Fekkar Lambiotte raconte son pélerinage à... Auschwitz et affirme qu'il faut redonner "à la Shoah la dimension universelle d'un drame qui est celui de l'humanité toute entière". Ce que ne dit pas Résistance, c'est que Lambiotte est le patronyme d'un ponte du PCF, journaliste à l'Huma et spécialiste de l'Afrique...

(Bio et photo dans

<http://www.annuaire-au-feminin.tm.fr/bioFEKKAR-LAMBIOTTEbet.html>

L'asservissement de la hiérarchie catholique étant à peu près achevé, la servitude des protestants étant un fait déjà ancien, il reste à soumettre les musulmans à la férule des "valeurs juives", humanistes en diable.



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Informations et commentaires tirés du site aaargh
<http://aaargh-international.org/fran/actu/actu03/actu0312.html> (version Web)
La version PDF se trouve aux adresses suivantes:
<http://conseilsderevision.tripod.com>
<http://aaargh-international/fran/livres3/cr0312.pdf>



 

 

 

 

 

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ARTICLE 19 <Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontière, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit>

Déclaration internationale des droits de l'homme, adoptée par l'Assemblée générale de l'ONU à Paris, le 10 décembre 1948.

Artigo 19· <Todo o indivíduo tem direito à liberdade de opinião e de expressão, o que implica o direito de não ser inquietado pelas suas opiniões e o de procurar, receber e difundir, sem consideração de fronteiras, informações e idéias por qualquer meio de expressão.> Déclaration universelle des droits de l'homme, Paris, 1948.


Le Onze tiret un

Article 11 - 1. «Toute personne a droit à la liberté d'expression. Ce droit comprend la liberté d'opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu'il puisse y avoir d'ingérence d'autorités publiques et sans considération de frontières.»

Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne, Nice, 7 décembre 2000.

"Congress shall make no law respecting an establishment of religion, or prohibiting the free exercise thereof; or abridging the freedom of speech, or of the press; or the right of the people peaceably to assemble, and to petition the government for a redress of grievances." -- The first article of the Bill of Rights (Consisting of the First Ten Amendments to the Constitution of the United States of America), connu sous le nom de "premier amendement".

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