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LE GOUVERNEMENT DES ÂMES 

par Paul Rassinier

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Défense de l'Homme, numéro 103, mai 1957.

-- Le gouvernement des âmes, P. Rassinier, p. 6-9.

 -- A la manière des frères siamois, Louis Dorival, p. 27.

L'Actualité

 Le gouvernement des âmes, P. Rassinier

 Le scalpel peut, maintenant, être porté non seulement sans danger mais encore avec la quasi-certitude d'atteindre le but recherché, jusque dans les parties les plus délicates du corps humain: après le coeur, le cerveau et presque coup sur coup. La chirurgie marche à pas de géant, ses progrès sont considérables. A l'endroit des savants qui les ont rendus possibles, notre reconnaissance et notre joie devraient être sans mélange.

 Voici cependant que, le 29 avril, tous les journaux ont reproduit l'expérience à laquelle, sous les yeux des caméras de la télévision anglaise, avait complaisamment accepté de se soumettre, un jeune professeur anglais de psychologie: un lavage du cerveau. « Le but de cette expérience, dit la légende qui accompagnait la photographie, était de savoir si, après un tel traitement, sa pensée serait davantage influençable. »

 Quelques semaines auparavant, les chroniques médicales de tous les journaux s'étaient émerveillées des résultats étonnants obtenus par les chirurgiens du rhino-encéphale: les perversions sexuelles pouvaient être corrigées, les manières de penser changées, par une légère et invisible intervention à partir du nez, des canaux lacrymaux ou des sinus. Cette intervention pouvait, en outre, être pratiquée pendant le sommeil, sans que l'individu s'en aperçoive. Et les chroniqueurs -- généralement des médecins, des philosophes, des professeurs connus -- de construire sur les possibilités d'influencer la pensée des individus, leurs avantages et leurs inconvénients s'il prenait fantaisie aux chefs de peuples d'en tirer parti.

 Sur ce thème, on peut épiloguer à loisir. Il est bien évident qu'il n'y avait matière qu'à se réjouir tant que le scalpel ne visait qu'à redresser un pied, faire disparaître une malformation ou remettre en état un estomac, un intestin, un poumon, une artère ou un ventricule. Tout cela ne concernait que le fonctionnement mécanique de la machine humaine. Il s'agit maintenant du domaine de l'esprit et c'est d'autant plus grave que ce qu'on recherche -- non seulement on ne le cache pas mais on le dit ouvertement -- ce n'est pas mettre le cerveau en état de fonctionnement mécanique normal mais la mesure dans laquelle on peut influencer la pensée. Bientôt, il ne restera plus qu'à déterminer le sens dans lequel on l'influencera.

 Pour cela, nous avons les politiciens. On peut imaginer un jour -- ou plutôt une nuit -- où un chef d'État en difficulté devant son opinion publique ou son Parlement s'en remettrait à une équipe de savants à sa dévotion, du soin de redresser la situation au moyen du scalpel devenu le moyen de gouvernement par excellence.

 Enfoncés Georges Orwell et ses pronostics pour 1984! Enfoncés aussi le penthotal et les procédés vraiment rudimentaires employés par Staline pour conduire à bien les célèbres procès de Moscou!

 Le scalpel vient de tout résoudre.

 A l'échelle individuelle, il suffira d'une entente entre les chefs des peuples, à Genève ou Washington, pour que la Terre ne soit plus peuplée que par une multitude d'être purement végétatifs, pensant et agissant sur ordre d'une minorité de privilégiés. Les problèmes de la production et de la consommation ne se poseront plus sur le plan spéculatif: on produira et on détruira le plus naturellement du monde. L'Humanité sera une vaste termitière, au sein de laquelle, dans les premiers âges du nouveau régime, la vie sera réglée par un collège de reines tirées à un nombre limité d'exemplaires. Il y aura encore des guerres: jusqu'au jour où il n'y aura plus qu'une seule reine. On les fera de gaîté de cœur, elles ne soulèveront plus de problèmes philosophiques ou moraux. Du moins le collège des reines, puis la reine unique seront à jamais à l'abri des troubles sociaux et des révolutions.

 Les savants se mettront en travers des projets des politiciens avant qu'il ne soit trop tard ? Voire: Einstein, le grand Einstein a mis l'énergie nucléaire à la disposition des alliés contre l'Allemagne hitlérienne et conseillé à Roosevelt de l'employer. En mourant, il est vrai, il en eut du remords: leur coup fait, il suffira de passer les savants au scalpel pendant leur sommeil et ils mourront sans remords...

 Pour effrayante que soit cette perspective à peine un peu forcée, elle n'en était pas moins inscrite dans le processus d'évolution des sociétés modernes bien avant qu'ait été rendue possible l'intervention du scalpel dans le rhino-encéphale: Nous avions la famille, l'école, l'Église et le dictionnaire des idées reçues dont la presse et la radio n'étaient que des perfectionnements.

 La presse et la radio, en France, notamment, obtenaient déjà des résultats pourtant remarquables.

 Il y aura bientôt six semaines, les dix-neuf pays arabo-asiatiques de l'O.N.U. ont demandé à M. H. d'inscrire à nouveau la question algérienne à l'ordre du jour de la prochaine réunion de je ne sais quel organisme de cette honorable assemblée. La presse et la radio du monde entier ont diffusé la nouvelle dans tous les azimuts et on en discute dans toutes les chancelleries: à l'heure où j'écris, personne n'en sait rien en France et peut-être personne n'en saura-t-il encore rien quand cet article paraîtra.

 Les cinq fils de feu el Glaoui sont-ils arrêtés par le gouvernement marocain pour activités anti-nationales ? Le premier réflexe de la presse et de la radio françaises est d'accuser l'armée marocaine de libération, de les avoir enlevés à l'insu du gouvernement marocain. Ici, tout de même, la ficelle était un peu grosse et il faut rendre cette justice à la presse et à la radio françaises que, le lendemain, elles ont démenti leur information de la veille.

 Je passe sur les aspects aussi multiples que divers et contradictoires sous lesquels la doctrine Eisenhower a été présentée au public français: la palme revient à la visite du roi d'Arabie séoudite à la Maison Blanche et aux événements de Jordanie.

 Tout d'abord, le roi d'Arabie séoudite ne devait jamais être invité par Eisenhower. Quand il le fut, on dit qu'il était mandé aux ordres et qu'il se plierait à ceux qui lui seraient donnés, à savoir la rupture avec l'Égypte, parce qu'il avait besoin de 19 millions de dollars. A son arrivée à l'aérodrome, Eisenhower se précipita à sa rencontre, ce qu'il n'avait jamais fait pour aucun chef d'État et, à son départ, il lui remit 250 millions de dollars en lui en promettant 150 autres millions. Aujourd'hui, le Président de la République française fait dire par ses services que, s'il se rendait à Washington, il aimerait (sic) à être reçu avec autant d'égards que le roi d'Arabie séoudite!

 Quand à la rupture de ce dernier avec l'Égypte, nous sommes fixés sur ce point par la conclusion des événements de Jordanie. Des contacts ayant eu lieu entre les pays de la Ligue arabe (Syrie, Jordanie, Arabie séoudite et Égypte), un communiqué les a rendus publics dans cette forme:

« La Jordanie est la première ligne de défense des pays arabes et plus spécialement de ceux qui sont libérés de l'emprise étrangère, c'est-à-dire l'Égypte, la Syrie et l'Arabie séoudite. » Il considère en outre, comme nécessaires « le renforcement de la collaboration militaire entre la Jordanie, l'Égypte, la Syrie et l'Arabie séoudite; la fidélité à la Ligue arabe; l'appui illimité à tous les territoires arabes encore sous le joug impérialiste[1]; la lutte pour l'indépendance et la souveraineté complète de tous les pays arabes face à l'ennemi commun[2]. »

 Là-dessus, la presse et la radio françaises qui ont passé ce communiqué sous silence continuent à parler de... l'isolement progressif et certain de l'Égypte au Moyen-Orient!

 Et tout le monde y croit.

 Mais, demain, il faudra convenir qu'au Moyen-Orient, l'Égypte mène le jeu avec l'assentiment et le soutien des États-Unis.

 Et le gouvernement risque de s'en trouver fort discuté dans l'opinion publique.

 C'est là un des aléas de la politique gouvernementale que ne peuvent éviter ni la radio, ni la presse et c'est en quoi le scalpel leur est bien supérieur: il éviterait au chef de gouvernement français -- aux autres aussi, bien sûr -- à son ministre des Affaires étrangères et à son ministre de l'Information, toutes ces contorsions intellectuelles qui mettent leurs méninges à rude épreuve, les obligent à avoir de l'imagination en les acculant à un empirisme hasardeux et se traduisant par toutes ces nouvelles injectées dans l'opinion le matin et démenties le soir dans une forme qu'il faut, au surplus, étudier pour éviter les vagues et les remous.

 Nous sommes, ne l'oublions pas, au siècle de l'énergie nucléaire et il faut être de son temps. La famille, l'école, l'Église, le dictionnaire des idées reçues, la radio, la presse, le penthotal sont aussi dépassés en matière de moyens de gouvernement que les chemins de fer en matière de transport ou la lampe à pétrole en matière d'éclairage.

 Je suis pour le scalpel qui permettra d'agir à coup plus sûr dans le gouvernement des âmes, d'aller beaucoup plus vite et de faire mieux.

 

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Premier Mai

 Ce premier mai 1957 entrera dans l'Histoire pour avoir été, les années de l'occupation et de l'autre guerre mises à part, le plus fade que le mouvement ouvrier ait jamais connu. Les centrales syndicales, quelles que soit leur tendance ou de quelque obédience que ce soit, n'avaient donné aucun mot d'ordre à la classe ouvrière: liberté de décision était laissée dans tous les secteurs de l'économie aux échelons locaux et régionaux. Une réunion que les éléments nord-africains avait projetée fut interdite par le gouvernement et personne n'a protesté.

 Des réunions ont cependant été tenues dans toutes les villes de France un peu importantes par la C.G.T. et la C.G.T.-F.O.: elles se sont signalées par les discours invertébrés qui y ont été prononcés. Dans la plupart des cas, des orateurs des deux centres confédéraux se sont bornés à remonter aux origines du 1er Mai, aux trois huit et aux martyrs de Chicago. Personne n'a songé à transposer les revendications quant à la durée du travail, du mouvement ouvrier du milieu et de la seconde moitié de l'autre siècle, aux contingences qui caractérisent le milieu de celui-ci: les bonzes de la C.G.T. et de la C.G.T.-F.O. n'ont aucune doctrine quant à la durée de la journée de travail au siècle de l'énergie nucléaire et de l'automation.

 Sur le nombre des ouvriers qui se sont rendus aux réunions prévues, les renseignements que nous possédons nous permettent de dire que, dans l'ensemble, celles qui étaient organisées par la C.G.T. ont eu, et de loin, beaucoup plus de succès que celle de C.G.T.-F.O.

 Et ceci est assez paradoxal à un moment où, des élections dans les entreprises et de l'influence de chacune des deux centrales dans les mouvements de protestation ou de grève, on peut déduire que la C.G.T. est en perte de vitesse très nette. Peut-être cette perte de vitesse due aux pantalonnades du parti communiste n'a-t-elle pas tant joué que la perte de vitesse du mouvement syndical dans son ensemble. On dit que des 6.400.000 syndiqués (sur 12 millions de salariés, fonctionnaires et cadres compris) de 1945-46, deux millions seulement restent, que se partagent les trois centrales. Sur ce nombre, la moitié, soit un million, serait encore à la C.G.T., les deux autres centrales se partageant à peu près équitablement le reste.

 Et ceci explique cela.

 Fait à noter: la C.G.T. se vide mais la C.G.T.-F.O. et la C.F.T.C. ne se remplissent pas pour autant dans la même mesure. Sur 10 ouvriers que les communistes ont dégoûtés, 7 vont planter leurs salades, 2 sont à la C.F.T.C. et 1 à la C.G.T.-F.O.

 Tel est du moins le point de vue du journal Les Échos. Il est vraisemblable. Et il signifie que si un jour la C.G.T. tombe à zéro, il n'y aura pour ainsi dire plus de mouvement syndical.

 Telle est l'importance du tribut que le mouvement ouvrier paie à l'inféodation de ses permanents aux partis, à l'Eglise et aux gouvernements.

 

Chronique de l'impuissance

 Selon Philippe Viannay (animateur du Mouvement de Libération nationale sous l'occupation):

- 101 professeurs de la Faculté de Strasbourg et 942 de leurs étudiants;

- 151 élèves de la rue d'Ulm;

- 300 professeurs agrégés de Paris et banlieue;

- 30 professeurs de la Faculté de Clermont-Ferrant;

- 92 professeurs des lycées et collèges de la Manche;

- 75 professeurs de l'E.N.P. de Saint-Etienne;

- 80 étudiants du lycée Lakanal, etc...

ont protesté par diverses motions contre les tortures en Algérie, la politique de Guy Mollet, le baillon mis à la presse.

 Et tout cela ne produit aucune réaction de l'opinion publique.

 Philippe Viannay, naturellement, s'en étonne.

 Pas de quoi, cher Monsieur: tous ces protestataires sont aussi opposés entre eux qu'ils le sont au gouvernement, peut-être plus. Au delà de leur opposition au gouvernement, il n'est possible de les mettre d'accord sur aucune idée qui soit positive et constructive.

 Il ne suffit pas d'être contre quelque chose, il faut aussi être pour quelque chose d'autre...

 

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A LA MANIERE DES FRÈRES SIAMOIS

par Louis Dorival

 

 Je ne sais si nos lecteurs ont tous vu des frères siamois. Les frères siamois sont de bien curieux phénomènes qui ont d'inattendues réactions. Par exemple, quand vous pincez les orteils de l'un d'eux, il arrive qu'il reste coi et que ce soit son « pendant » qui hurle qu'il n'aime pas le chatouillis.

 C'est une réaction du même ordre que je viens de constater. Paul Rassinier, qui a de ces terribles fantaisies, s'est amusé, bien à tort à mon avis, à gratter sous les orteils du directeur de L'Express, et c'est un nommé Treno qui s'est mis à « gueuler au charron ».

 Et le nommé Treno s'est répandu en spirituelles invectives dans le Canard Enchaîné du 8 mai. Sous le titre « Un raseur récidive », il nous a gratifié ainsi des fruits de sa bonne humeur:

 Dans « Défense de l'Homme », à propos d'une polémique avec la N.R.F. -- qui ne lui a pas passé sa prose -- M. Paul Rassinier écrit:
« Je n'ai rien à ajouter, sinon que les gens de L'Express sont à la fois très habiles et très puissants: ils font aujourd'hui à la N.R.F. le coup qu'ils ont fait l'an dernier au Canard Enchaîné lorsque Jeanson se permit d'y citer Le Parlement aux mains des Banques. Défense d'en parler: ils font le tour des salles de rédaction, usant du chantage s'ils n'ont pas de complicité dans la maison. »
 Ce Rassiniais y va fort. On aimerait savoir quel « coup » les gens de L'Express ont fait au Canard, après les quelques lignes exhaustives consacrées par notre ami Jeanson au bouquin dudit. A dire vrai, ce coup se résume en ceci que le Canard ayant dit ce qu'il fallait dire du livre en question n'a pas cru devoir y revenir.
 Il est apparu par la suite que M. Rassiniais, polygraphe incontinent et m'as-tu-vu de la plus fâcheuse espèce (c'est le Piqué de la Mirandole), ne pardonnait pas au Canard de n'avoir pas publié la longue et indigeste « tartine » qu'il nous avait envoyée. Ce falot personnage a fait depuis lors un abondant usage de la fin de non-recevoir polie que je lui fis tenir. Je le considère personnellement comme un emmerdeur pur et simple, et je m'étonne que des publications sympathiques et sympathisantes accueillent les yeux fermés ses élucubrations concernant le Canard. Cette petite mise au point s'imposait, dût-elle fournir matière à copie pour dix ans. On souhaite bon courage aux confrères qui s'en repaîtront. -- T.

 Ayant lu ce morceau d'éloquence, je me précipitai chez Rassinier afin de lui apporter les consolations indispensables. Je me préparais à lui citer un tas d'exemples illustres. Victor Hugo traité d'imbécile par une espèce de capitaine de bateau-lavoir. Flaubert malmené avec insolence par un quelconque Dufourneau, Zola, etc. C'était pas mal; mais voilà que je tombe sur un Rassinier hilare qui me dit qu'il n'avait jamais tant ri, qu'il se bidonnait rien qu'en pensant à la gueule du type en train de confectionner ça. Et d'ajouter que des petits trucs de ce goût-là facilitaient sa digestion...

 En sorte que je revins, piteux, avec un discours rentré et le sentiment pénible que, dans cette affaire, ce pauvre Treno restait le seul à être embrené.

 Treno, qui n'a décidément pas grand-chose à faire pour en être réduit à lire la prose des emmerdeurs, n'est pas au fond un méchant garçon: il a simplement le tort, avec son physique de chaisière, de vouloir jouer les durs. Ca lui vaut de récolter quelques flêches acérées dans le « postère », genre recette du Crapouillot, qui disait, dans son n° 9:

 

 TRENO (L. Renaut, dit) -- Obscur cloporte de rédaction qui a réalisé l'extraordinaire performance de faire tomber le tirage du Canard Enchaîné de quatre cent mille exemplaires.

 

 Je me demande si Treno a été vraiment capable de faire tomber pareillement le tirage du Canard , qui n'est pourtant pas rédigé par des emmerdeurs. Quoi qu'il en soit, ce pauvre Treno est incapable de faire tomber ses poussées de fièvre. Les sangsues derrière les oreilles n'y font plus rien. Les lecteurs qui connaîtraient un remède sûr sont priés de le lui envoyer, en port dû, 2, rue des Petits-Pères, Paris-2e. Merci pour lui.

 


[1] Il s'agit des pays du Pacte de Bagdad.

[2] L'Angleterre et Israël: on réserve la Russie.


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