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On a ouvert les vannes !

par Paul Rassinier

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En juillet dernier, commentant dans "Défense de l'Homme" les résultats du scrutin du 17 juin, j'écrivais: "Le sort de l'école laique étant réglé,... après une période plus ou moins longue de soutien accordé à une majorité qui tiendra les gaullistes à l'écart, l'opposition deviendra (pour le Parti socialiste) une nécessité à une majorité qui les englobera."

La période a été courte: huit mois après, les socialistes se trouvent dans l'opposition et, comble de l'infortune, aux côtés des communistes avec lesquels ils avaient juré leurs grands Dieux qu'ils ne mélangeraient leurs bulletins.

Mais mon propos ne vise pas à tirer vanité d'un pronostic au demeurant facile à formuler en son temps et aujourd'hui vérifié. Pas davantage il ne vise à montrer comment, par le truchement des apparentements, le Parti socialiste faisant battre une soixantaine de députés de gauche et d'extrême-gauche pour en faire élire une soixantaine de droite et d'extrême-droite, a pratiquement choisi les verges avec lesquelles on le fouettera. Le stade de la démocratie parlementaire, laquelle ne s'est jamais survécue à elle-même que par les moyens de l'artifice et de l'escroquerie, est depuis longtemps dépassé. D'autre part, il serait très imprudent de se fier aux positions politiques aujourd'hui prises par les parlementaires et les partis: demain et sans plus de justifications elles peuvent être exactement le contraire de ce qu'elles sont, déterminer d'autres majorités et n'avoir ni moins ni plus d'importance sur l'évolution d'une situation dont elles sont seulement des caractéristiques. La seule chose qui soit certaine, c'est que la majorité parlementaire se déplace vers la droite et on peut aussi bien espérer du Parti socialiste une opposition qui se durcira progressivement qu'une participation à un ministère d'union nationale. Pour le reste, le parlement est maintenant complètement isolé de la vie sociale, il en méconnaît les soucis et n'en veut en aucun cas traduire les besoins et les aspirations. L'intérêt se situe ailleurs, c'est-à-dire où se trouvent les vrais problèmes.

La récente crise ministérielle a cependant tiré de l'oubli un certain nombre de vieux mythes auxquels il n'est peut-être pas inutile de s'arrêter un instant, ne serait-ce que pour avoir une idée de la valeur des hommes qui l'ont provisoirement dénouée et des conséquences probables de son dénouement.

Voici d'abord le chef de file: c'est un industriel de la Loire et il a une opinion très précise sur l'administration des entreprises privées. Interrogé par les journalistes, il leur a déclaré: "Quand mes clients boudent, je baisse mes prix." Comme nous vivons en des temps où les clients boudent (sic) partout, parce qu'ils ont de moins en moins de pouvoir d'achat, le nouveau Président du Conseil pense que l'Etat doit faire, sur le plan national, ce que lui, fait dans son usine...

Une première remarque s'impose: quand les clients de M. Pinay ne boudent pas, il va sans dire qu'il remonte ses prix. Nous voici donc en présence d'une nouvelle et très originale manière de calculer les indices du coût de la vie ou d'établir les prix de revient: à la grimace du client. On en saurait avouer plus ingénument qu'on vit au " coup de masse " au client, c'est-à-dire du vol justifié par les circonstances et nous sommes rassurés sur la moralité du troisième personnage de la France républicaine. Nos destinées sont en de bonnes mains: celles d'un sous-Ducreux. Il faut toutefois convenir que la méthode a du bon: depuis la Libération, les tanneries Pinay de Saint-Chamond ont dû être assez souvent obligées de baisser leurs prix puisque les clients n'ont cessé de bouder -- vous ne trouvez pas que l'expression est délicieuse ? -- et, malgré cela, on n'a pas entendu dire qu'elles aient fait faillite ou se soient trouvées aux prises avec de sérieuses difficultés financières. Appliquées à la France, on verra ce qu'elle donnera.

Le plus beau dans cette histoire, c'est qu'à peine investi par l'Assemblée, notre Président-tanneur a confirmé qu'il ferait la politique extérieure de ses prédécesseurs, laquelle postule au bas mot 1400 milliards de dépenses au budget de la guerre. Cette politique fera monter les prix: M. Pinay n'en disconvient pas. Les clients " bouderont " de plus en plus: il ramènera le sourire sur leurs lèvres en bloquant les salaires. Si donc on vous dit qu'on a ouvert les vannes, la preuve est faite qu'on n'exagère rien.

La théorie du nouveau gouvernement est que les prix dépendent des salaires. Les expériences des années 1945 à 1948 n'ont servi de rien. Il ne me semble pas utile de répéter ici ce que tous les collaborateurs de cette revue ont toujours dit: la clé des prix est en Amérique où la politique de réarmement à outrance les fait monter sur le marché mondial et dans tous les pays du bloc atlantique acculés à l'alignement. Au regard de ce phénomène, les décisions de nos Présidents du Conseil, de nos ministres et de nos parlementaires seront toujours sans effet aucun. Et, bien plus que de leur impuissance à renverser la situation, c'est de n'en pas vouloir convenir qu'ils sont coupables.

Mais il y a mieux encore que l'ingénuité de M. Antoine Pinay.


L'invocation à Poincaré

Le 25 février dernier, il n'y avait plus de finances: l'Etat français était acculé à la suspension pure et simple des paiements publics, ce qui signifie qu'il n'y avait plus d'Etat. C'était la déconfiture complète.

Un malin s'est souvenu qu'en 1926 nous en étions à peu près au même point et qu'un dénommé Poincaré avait surgi avec cette phrase célèbre que tous les journaux ont saisi l'occasion de reproduire à nouveau:

" Faites une politique financière qui rende l'impôt juste, l'emprunt productif, la monnaie saine."

Qui veut bien réfléchir ne mettra pas longtemps à se persuader que c'était proposer la quadrature du cercle. L'expérience Poincaré elle-même enlevait tout espoir: en 1934, les finances publiques étaient de nouveau dans le même état qu'en 1926 et en 1938, tout était encore à recommencer. La nature des choses n'est pas plus consolante: il n'y a pas d'emprunt possible quand il n'y a pas d'épargne et il n'y a pas d'épargne quand il n'y a pas de pouvoir d'achat. Quant à l'impôt juste, il ne se conçoit que par sa suppression et la notion de santé est inconciliable avec celle de la monnaie. Parler de monnaie saine, c'est un peu comme si l'on parlait de mort vivant ou de toute autre chose qui s'écrirait en deux mots dont l'un serait le contraire de l'autre.

Au reste, cette périphrase de Poincaré visait à proposer une politique financière stable, c'est-à-dire comportant pour les classes dirigeantes un certain nombre de garanties sans contre-partie pour les classes dirigées. Il savait ce qu'il voulait, le bougre. A l'époque, les milieux syndicalistes et les partis politiques de gauche et d'extrême-gauche répondirent à Poincaré qu'aucune politique financière stable n'était concevable si, auparavant, on ne prenait pas la précaution de stabiliser la situation économique, c'est-à-dire d'établir des rapports vraiment normaux entre les individus sur le plan de la production, de la circulation et de la consommation des richesses.

C'était poser dans toutes ses données le problème des structures du régime.

Il n'y a pas d'autre réponse à faire aux parlementaires qui se sont regroupés autour de M. Pinay et aux journalistes qui ont encouragé son retour aux principes de Poincaré.


Un financier à la redresse

Pour éviter la fermeture des guichets publics, la Banque de France a prêté 25 milliards à l'Etat sous condition qu'ils soient remboursés le 21 mai. Bien entendu, ils ne le seront pas, mais ceci est une autre histoire.

Ce qui est sérieux, c'est qu'en remettant ces 25 milliards au ministre des finances, M. Baumgartner, gouverneur de la Banque de France, lui a en même temps remis une lettre à l'intention du Président du Conseil.

Voici ce qu'on peut lire dans cette lettre:

"C'est le sentiment profond du conseil général de la Banque de France que l'Etat comme les particuliers vivent au-dessus de leurs moyens. Les pouvoirs publics en prétendant assumer un ensemble de charges qu'ils ne peuvent couvrir intégralement par l'impôt ou par l'emprunt, les industriels et les commerçants en essayant d'obtenir des banques des ressources dépassant les limites raisonnables de leur crédit, les agriculteurs en voulant faire jouer à leur profit des systèmes de protection qui ne fonctionnent que dans le sens de la hausse des prix, les salariés en portant leurs revendications à des niveaux auxquels les satisfactions deviennent rapidement illusoires, tous sont à des titres divers responsables de la dégradation d'une monnaie que la Banque de France est contrainte d'émettre en quantité croissante au fur et à mesure qu'elle se déprécie."

Grippeminaud le bon apôtre, mettait déjà les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre. On savourera donc cette diatribe qui partage équitablement les responsabilités de la quasi-faillite entre l'ajusteur de chez Renault qui atteint péniblement le minimum vital et l'industriel qui passe les trois-quarts de sa vie entre Deauville et Monaco et l'autre quart à Vichy pour se soigner. Et on trouvera naturel que MM. les membres du conseil général de la Banque de France dont la vie est assurée à un standing légèrement au-dessus du minimum vital par de substantiels jetons de présence, n'aient pas pensé qu'ils avaient, eux aussi, une petite part de responsabilité dans l'affaire.

Si nous avons bien compris, tout est responsable, sauf ce qui touche directement au profit dans l'acception la plus littérale du mot.

M. Baumgartner est très perspicace et, s'il manque de quelque chose, ce n'est pas d'à-propos.


Les dindons de la farce

Ce n'est pas le Parti socialiste qui joua le rôle le moins curieux dans cette crise et dans son dénouement provisoire.

Depuis le Front populaire, les dirigeants de ce parti ont perdu la tête. Leur passage au pouvoir les a tourneboulés. A force de vouloir être un parti de gouvernement, ils ont vidé leur doctrine de sa substance. Pacifistes par définition, ils ont été les plus chauds partisans de la guerre contre l'Allemagne en 1938 (congrès de Nantes) et en 1939 (congrès de Montrouge, à Noel). Internationalistes, ils ont été, à la libération, des nationalistes dans le sens le plus patriotard, voire le plus chauvin du terme. Avec la prétention de représenter les classes opprimées du régime, ils se sont associés dans une impressionnante suite de gouvernements, aux représentants des oppresseurs dont ils avaient au préalable accepté le programme réactionnaire. Un jour, ils ont défendu un amendement Capdeville refusant quelque 3 milliards de crédits militaires et, hier, ils en ont accordé 1400 à Edgar Faure sans barguigner. Dénonçant les supercheries de notre système de fiscalité, ils avaient voté 15 % d'augmentation des impôts. Après avoir été les piliers de l'unité d'action avec le Parti communiste, ils ont poussé l'anticommunisme réactionnaire et banal jusqu'à la loi électorale qui assura le triomphe de la réaction, le 17 juin dernier. Laiques, ils ont fait élire une majorité en faveur de l'école confessionnelle. Partisans des Etats-Unis d'Europe, ils n'en conçoivent la réalisation que par la préparation intensive à une guerre dont ils ne savent plus bien au nom de qui la justifier hormis au nom de la patrie et de l'Etat qui étaient, il n'y a pas bien longtemps, de dangereux truismes à leurs yeux.

Toutes ces contradictions déconcertent ceux que le communisme n'avait pas séduits, qui étaient l'aile marchante de l'antiréaction et qui, en désespoir de cause, finissent par se désintéresser des problèmes sociaux. Le parti socialiste se vide, le socialisme perd son sens et ceux qui le représentent aujourd'hui n'ont plus rien de commun avec ceux qui l'ont vulgarisé autrefois.

Il n'en faut pas faire une maladie: c'est le sort des partis qui sont tous conçus de telle sorte que le parlementarisme a beau jeu de pourrir leur idéologie en les isolant des infrastructures économiques dans lesquelles ils prétendent puiser leurs justifications. En très peu de temps, les radicaux se sont trouvés très loin de Camille Pelletan et des propositions de leur congrès de Belleville (1864) A leur tour, les parlementaires socialistes - qui, au fond, sont à peu près tout ce qui reste du Parti - se trouvent très loin des impératifs de leur doctrine. Et le régime perdure: on ne modifie pas des structures en déplaçant des virgules dans des motions qui restent toujours lettres-mortes et en votant parallèlement des dispositions qui consolident les pouvoirs de la classe qui les détient.

Ni en favorisant ses entreprises jusques et y compris sur le terrain électoral comme ils l'ont fait, le 17 juin dernier, en risquant dans l'opération, ce qui restait de leur crédit.


Le bilan

Il ne nous intéresse de le dresser qu'en ce qui concerne la classe ouvrière. On trouvera ci-dessous un tableau comparatif des indices du pouvoir d'achat des salaires dans différents pays, en 1938 et en juin 1951:


   1938  1951
 U.S.A...................................... 235 367
 France...................................... 100 95
 Angleterre 168 203
 Belgique................................... 95 121
 Italie.......................................... 69 62

L'indice de base de ce tableau est celui de la France évalué à 100 en 1938 et tous les autres sont établis par rapport à lui.


Loin de moi l'idée de louer ce qui a été fait en Angleterre, en Belgique ou en Amérique, mais force est bien de reconnaître que la politique pratiquée étant mauvaise partout, il n'y a qu'en Italie que le niveau matériel de la vie des ouvriers ait baissé plus qu'en France, et qu'ailleurs il a néanmoins augmenté.

On peut discuter ce tableau. Je ne crois cependant pas qu'il soit récusable. S'il l'était, je dégage ma responsabilité personnelle: il a été établi par la Chambre de commerce de Paris - où il ne semble pas que la classe ouvrière ait beaucoup d'amis ! - sur les données de l'Institut national de la statistique.

Dans quelque temps, on demandera à ces messieurs de la Chambre de commerce de Paris de faire à nouveau le point.

Quant la politique de blocage des salaires de M. Pinay aura produit ses effets.

Et on verra ce que le pouvoir d'achat sera devenu par rapport à 1938.


Leur bonne foi

Un récent bulletin d'information des cercles d'études syndicalistes publiait une note patronale d'octobre 1951, émanant du groupe des industries métallurgiques et connexes de la région parisienne, relative aux rapports des salaires en 1938 et en 1951.

En voici la conclusion:

"Dans la métallurgie parisienne, le salaire horaire moyen est passé de 10 fr. 60, pour le deuxième semestre de 1938, à 150 fr. en septembre 1951, soit un coefficient d'augmentation de 14,15. Les charges sociales sont passées, pendant la même période, de 15 % à 43 %."

Henri Aygueperse, l'ancien secrétaire du Syndicat national des instituteurs, l'interprétait en ces termes dans le dernier numéro de l'"Ecole libératrice":

 

 

Ce que voyant, le groupe patronal chercha à réduire l'écart entre le coefficient de revalorisation des salaires (17,69) et celui de la hausse des prix (23,30) en prenant en considération non pas le coût de l'heure de travail, mais le coût de la paye hebdomadaire comprenant non pas les 40 heures de 1938 mais les 47 heures de 1951.

Et passez muscade !

M. Pinay est bien le Président du Conseil qu'il fallait à notre patronat.


Un singulier syndicaliste

Le 13 décembre 1951, le leader syndical américain Irving Brow, a prononcé devant l'American-Club de Bruxelles, un discours sur l'attitude que doit adopter le mouvement ouvrier français dans la défense de l'Europe occidentale. Ce discours a été qualifié "essentiel" par la presse syndicale anticommuniste française et le texte en a été reproduit très complaisamment.

Voici ce qu'on y peut lire (textuellement):

"Le gouvernement doit prendre des mesures en vue de mettre fin à l'octroi de faveurs, directes ou indirectes, à la C.G.T. et de restreindre sa puissance financière. En outre, de même qu'il fut nécessaire, en 1934, de recourir à la législation et au pouvoir du gouvernement pour mettre fin au règne des terroristes du grand Business dans les industries de production en série des Etats-Unis, de façon à permettre la dissolution de syndicats jaunes et l'organisation de syndicats libres, il faut aujourd'hui que des mesures similaires soient prises en France, particulièrement contre les groupes d'hommes de main du P.C. si l'on veut qu'un mouvement syndical libre puisse se développer et grandir.

 

Autrement dit, c'est un appel à la répression contre un autre mouvement syndical critiquable, inféodé à Moscou et tout ce qu'on voudra, mais un mouvement syndical quand même.

Et, pour exercer cette répression, le dénommé Irving Brown n'hésiterait pas à passer un accord avec le gouvernement. Fût-ce celui de M. Pinay.

On demande maintenant comment le mouvement syndical qui passerait cet accord pourrait en même temps être considéré comme libre. A coup sûr, il serait inféodé au gouvernement, ce qui est aussi grave à nos yeux que de l'être à Moscou.

 


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